La Profondeur Appelant La Profondeur

Date: 56-0415 | La durée est de: 1 heure et 51 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, frère. Prions. Notre Père céleste, nous entrons dans Ta Présence avec des actions de grâce dans nos coeurs, car Tu nous as rachetés par Ton amour immuable. Et nous en sommes très contents aujourd’hui, de savoir que nous ne sommes pas abandonnés à nous-mêmes, mais alors que nous étions étrangers à Dieu, nous étions dans le monde, retranchés sans miséricorde... Nous pouvons nous rappeler ces jours-là, comment nous avions passé notre jeunesse dans les plaisirs. Nous regrettons beaucoup cela, Seigneur. Nous avons honte de notre passé. Nous Te prions de nous accorder un vif désir pour servir davantage d’exemple pour Toi et faire Ta volonté dans l’avenir.

            Nous sommes ici aujourd’hui par Ta grâce, sachant ceci que beaucoup parmi ceux qui sont assis ici maintenant, si Tu me permets de revenir l’année prochaine, quelques-uns parmi ceux-ci seront partis. Ils auront à Te rencontrer. Peut-être beaucoup d’entre eux sont jeunes. D’autres peuvent être vieux, mais nous ne savons pas quand Tu vas nous appeler à répondre là. Sois miséricordieux envers nous, ô Dieu. Et que ce jour-ci soit un temps de décision pour plusieurs, qu’ils prennent la décision aujourd’hui de Te servir.

            Nous le demandons pour la gloire de Dieu, au Nom de Son Fils, le Seigneur Jésus. Amen.

2          Notre bref séjour parmi vous ici à Columbia a certainement été une grande bénédiction pour Billy et moi, ainsi que Gene et Léo, les jeunes gens chargés des enregistrements. Nous regrettons seulement de n’avoir que ces quelques jours que–que nous pouvons passer avec vous. Vous avez été très gentils envers nous. Et je vous suis très reconnaissant ainsi qu’à notre cher pasteur. Je prie que Dieu bénisse cette petite église, ainsi que chaque église qui collabore ici, tous ces frères, et non seulement ceux-là, mais toutes les églises qu’il y a ici à travers le pays aujourd’hui.

            Et j’espère qu’avec l’aide de Dieu, en avril prochain, je pense, frère Bigby m’a dit qu’il aimerait que je revienne, comme on a la pleine collaboration et la communion avec toutes les autres églises, toutes étant ensemble, elles collaborent dans la réunion. Nous aimerions apporter une grande tente qui offre quinze mille places assises, et la dresser ici dehors pendant environ quatre à six semaines, afin que nous puissions enseigner.

            Et souvent, les gens, pour leur guérison, disons, dans quelques jours, ils ne savent simplement pas comment résister à l’ennemi. Ils pourront toujours avoir une occasion de revenir alors, et puis on traitera encore avec eux pour voir là où a été leur erreur et ce qui est arrivé le long du chemin.

            Et nous projetons cela, si c’est la volonté de Dieu, pour l’année prochaine. Merci à vous tous.

3          Billy venait de me dire il y a quelques instants, je pense, ou plutôt frère Léo et les autres, quand nous sommes entrés dans la salle, qu’on a prélevé une offrande d’amour pour moi. Eh bien, il n’est pas nécessaire que vous le fassiez obligatoirement. J’apprécie néanmoins cela de tout mon coeur. Je ne suis jamais venu dans ce but-là. Je suis venu vous rendre service au Nom du Seigneur. Et jamais de ma vie je n’ai prélevé une offrande. J’ai été pasteur du tabernacle baptiste pendant dix-sept ans à Jeffersonville, sans même un salaire. Je n’avais jamais prélevé une offrande. Je travaillais comme... J’étais garde-chasse, de l’Etat d’Indiana. Et jamais de ma vie je n’avais prélevé une offrande.

4          Je me rappelle une fois que... Vous savez, comme il vous arrive parfois, vous n’arrivez pas à joindre les deux bouts. Nous avons tous connu ces situations-là. Je me rappelle, avoir dit à ma femme: «Je vais prélever une offrande ce soir.»

            Elle a dit: «J’aimerais voir la mine que tu afficheras pendant que tu seras en train de le faire.»

            Alors, j’ai dit à l’un des diacres... Eh bien, non pas qu’ils ne feraient pas quoi que ce soit pour moi, mais je–je pouvais donc travailler, j’étais jeune, je ne voyageais pas; alors, pourquoi donc dépendre de l’église? Et c’étaient des temps durs. Alors, j’ai demandé au diacre d’aller prendre mon chapeau. On n’avait même pas de plateau d’offrande. Et il a commencé. J’ai dit: «Maintenant, je viens de connaître l’une de ces situations-là où il me faut donc vous demander, peut-être, une contribution avec une pièce de cinq cents, ou dix cents, l’une ou l’autre chose pour aider un peu à nous en tirer, je connais une situation que j’arrive à peine à traverser.» Et j’ai dit: «Voudriez... Si vous voulez être assez gentils pour faire cela, je l’apprécierais.» Le diacre est allé prendre le chapeau. Il y avait une vieille petite mère là que j’avais toujours appréciée, une petite femme très pieuse, une mère à l’ancienne mode. Elle portait un petit tablier, comme les femmes en portaient autrefois. Alors, elle a fait sortir un petit portemonnaie, juste à peu près long comme ça, elle l’a ouvert, elle s’est mise à fouiller là pour faire sortir ces pièces de cinq cents.

5          Je vous assure, on dirait que j’aurais passé pour Juda Iscariot si j’avais pris cela. Je–je ne pouvais pas le faire pour me tirer d’affaire. J’ai dit: «Je vous taquinais simplement. Ce n’était pas mon intention.» Et le diacre avec le chapeau ne savait que faire.

            Puis, il y avait un vieil homme qui avait l’habitude de passer à la maison, son nom est John Ryan. Il portait une longue barbe. Il était membre de la Maison de David, ou il en avait l’allure, mais je ne pense pas qu’Il en était membre. Il portait une longue barbe et de longs cheveux, un homme très gentil. Non pas le John Rhyn qui a été guéri, au sujet de qui on m’avait amené à la synagogue juive pour m’interroger là-dessus. Celui-ci, c’était John Ryan. Alors, il est venu là chez moi une fois sur une vieille bicyclette. Et il l’a simplement laissée là et me l’a donnée.

            Et j’ai eu dix cents, je suis donc allé dans un bazar acheter de la peinture, j’ai peint cette vieille bicyclette et je l’ai vendue à cinq dollars; je n’ai pas eu à prélever l’offrande après tout. Ainsi, jamais de ma vie je n’ai prélevé l’offrande.

6          Alors... Mais ce que vous avez fait est apprécié. Mes dépenses sont élevées. Les dépenses à la maison s’élèvent à cent dollars par jour, que je prêche ou pas. Et vous pouvez vous imaginer ce que représente envoyer des milliers de rubans et tout à travers le monde, partout. Et j’ai un petit bureau, bien pratiquement de quatre travailleurs. Et nous envoyons des tissus oints et nous répondons au courrier, et puis, à d’autres endroits où cela va par les Hommes d’Affaires Chrétiens, et par divers moyens. Et puis, nous avons environ dix différents bureaux à travers le monde. Et ils prennent cela, le traduisent, l’analysent et nous l’envoient, et puis nous leur envoyons simplement des tas de rubans et tout, à envoyer aux–aux malades et aux affligés. Autrefois, j’envoyais des mouchoirs, mais je–je n’ai pas de fonds pour faire cela. Je fonctionne avec peu de moyens. Je prends donc des centaines, des centaines et des centaines des mètres de rubans blancs, j’amène cela quand je vais à la maison, et je me retire seul à un endroit, et je ne fais que prier, je découpe cela comme cela et je les envoie aux malades et aux nécessiteux. Et le Seigneur Jésus a merveilleusement béni ces efforts.

            Et si à n’importe quel moment, vous avez besoin d’un, écrivez-moi simplement à la boîte postale 325, Jeffersonville, ou simplement Jeffersonville, Indiana. Cela me parviendra.

7          Et nous serons contents de vous en envoyer un pour vous aider d’une façon ou d’une autre. Si vous en avez besoin, mettez-le dans votre Bible, placez-le dans Actes 19, et laissez-le simplement là. Alors, quand un petit enfant attrape la pneumonie ou quelque chose comme cela, eh bien, envoyez simplement prendre les mouchoirs, allez retirer cela de votre Bible, et déposez-le sur l’enfant et ayez cela là. C’est juste un signe (C’est ce que c’est,) de votre foi en Dieu; c’est tout ce qu’il en est. Nous avons donc vu de grandes choses s’accomplir grâce à cela, de grandes choses.

            Il y a quelques semaines, j’ai reçu une lettre de l’Allemagne, comme quoi une dame est restée estropiée des années suite à l’arthrite. Quand elle a donc reçu le mouchoir, elle ne pouvait pas entrer dans des lignes de prière là-bas, elle a donc reçu le mouchoir, elle l’a épinglé dessus. Cela était accompagné des instructions sur comment procéder. Et elle a dit: «Maintenant, démon, sors de mon corps.» Alors, elle s’est simplement levée et s’est mise à marcher; aussi simplement que ça ! Elle a été guérie.

8          Les gens cherchent la guérison de leur corps de façon très compliquée. C’est très simple, prenez simplement Dieu au Mot, juste–juste dire la même chose que Lui. C’est tout. «Et c’est par Ses meurtrissures que je suis guéri.» Et c’est réglé.

            Eh bien, dans le... Et j’ai souvent dit ceci: «La nuit ne sera jamais trop sombre, ni la pluie ne tombera jamais trop abondamment pour m’empêcher de vous aider au mieux de mes possibilités.» Autrefois, je pouvais venir vers vous, mais, oh ! la la, vous pouvez vous imaginer combien... J’ai remarqué... J’ai quatre téléphones par lesquels je réponds. J’ai eu en moyenne soixante appels de loin par heure, jour et nuit, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Soixante par heure, si seulement vous le pouvez, des appels de loin, pas d’appels locaux. Voyez? Vous pouvez vous imaginer combien d’appels affluent de partout à travers le monde. Ainsi donc, je ne peux plus venir, mais n’importe quand que je suis au téléphone, je prierai pour vous. Et je prierai tout le temps.

            Et maintenant, peut-être, je serai en Afrique, en Inde, et dans beaucoup de pays étrangers avant de vous revoir. Et quand les sorciers se tiendront là, lançant des défis, ce qu’ils font avec plaisir, tous les diseurs de bonne aventure et les autres, ils se tiennent là, cherchant à lancer des défis, les vents soufflent fort, et le...?... sont terribles, puis-je compter sur... me souvenir qu’ici en Columbia, on est en train de prier pour moi? Allez-vous le faire? Merci. Je prierai pour vous. Que Dieu veille sur nous jusqu’à ce que nous nous rencontrions.

            Je vois de vieilles personnes, des gens vraiment affligés, avancés en âge, et une foule de cette ampleur, peut-être, dans une autre année, beaucoup parmi vous seront rentrés à la Maison, dans la Gloire. Mon témoignage, je dois vous rencontrer là-haut en ce temps-là. J’aurai pris position. Et quand j’arriverai là, par la grâce de Dieu, j’aurai gardé le même témoignage que j’ai aujourd’hui. Et je suis très content qu’il n’y ait rien à retirer; c’est l’Evangile du Seigneur Jésus.

9          Maintenant, nous allons lire juste une portion de Sa Parole. Nous devons nous dépêcher, tout de suite. Nous devons conduire pratiquement toute la nuit ce soir pour arriver à la maison demain. Et puis, nous retournerons dans l’une de vos belles cités, en Caroline du Nord, à Spindale, pour commencer mercredi soir. Et nous prêcherons jusque dimanche. Je pense que ça sera dans une église de la place. La grande partie de cela, ça devra être le service de prédication. Et puis, de là, nous irons à Charlotte, en Caroline du Nord. Et puis, je pense qu’il y a là un auditorium. On commencera le mercredi prochain jusque dimanche. Et ça sera probablement tout, chaque soir, la guérison des malades, si le Seigneur le permet.

            Il y aura donc beaucoup de places assises, les gens n’auront pas à rester debout là et tout. Je comprends qu’ils ont un grand auditorium là dans la ville. Et nous prêcherons à ces deux endroits dans votre bel Etat.

10        C’est la première fois de ma vie de poser donc les pieds sur ce sol, ici; j’ai parcouru le monde et je suis revenu. Et donc... Mais c’est la première fois de jamais être en Caroline du Nord, ou en Caroline du Sud. Ce sont les seuls deux Etats où je n’avais jamais été de ma vie, jusqu’à présent. Je ne dis pas cela pour blesser (à l’intention des autres ici venus d’autres Etats), mais vous savez, comme je le disais, le Seigneur a dit une fois, quand Il avait changé l’eau en vin, Il avait gardé le meilleur pour la fin. Je ne dis pas cela pour blesser, au détriment des autres endroits; en effet, les gens ont été très gentils, mais vous êtes un peuple gentil, car vous aimez le Seigneur Jésus.

            Maintenant, en lisant Sa Parole aujourd’hui, juste pour un court message, et consacrer bien beaucoup de temps... J’ai instruit les jeunes gens de me laisser ici debout aussi longtemps que je pourrai subsister aujourd’hui pour prier pour les malades.

            Vous pouvez vous demander pourquoi ça. On a tellement posé des questions là-dessus que je ferais mieux de parler à ces braves frères prédicateurs. J’aurais bien voulu avoir le temps d’aller à la maison avec chacun de vous, parler avec vous; vous êtes un groupe de gentils frères. Je ne dis pas cela juste parce que vous êtes assis ici. Chaque soir, quand l’onction du Saint-Esprit vient, je sens votre esprit, et je sais que vous êtes... C’est alors qu’Il vous connaît. Et je vous apprécie. Je pense que grâce à votre petite collaboration ensemble, au Nom du Seigneur, je crois que Dieu ajoutera au nombre de la bergerie ici à Columbia plusieurs milliers de gens lors du prochain réveil.

11        Ce qui cause la faiblesse... Voyons si je peux aborder cela à la manière des enfants, afin que vous compreniez. Puis-je dire cela comme ceci: Presque tous les poètes, ou prophètes, ou des hommes conduits par l’Esprit, sont considérés comme des névrosés. Savez-vous cela? Voyons. Laissez-moi... L’un de vos grands compositeurs du Sud, Stephen Foster, était un homme merveilleux. Beaucoup parmi vous ont appris son histoire et ont lu sur Stephen Foster. Il était un homme merveilleux. Et il a donné à l’Amérique certaines de ses meilleures chansons populaires: Old Folks at Home, Swanee River. Old Black Joe, et beaucoup de ces célèbres vieilles chansons: Old Kentucky Home. C’est juste au-delà d’un petit endroit où il a composé cela, que je suis né. Et dans l’Etat du Kentucky...

12        Mais avez-vous remarqué, monsieur Stephen Foster, il entrait dans l’inspiration. Et pendant qu’Il était sous l’inspiration, il composait une chanson. Puis, quand l’inspiration quittait, il se saoulait. Voyez? Il se perdait simplement. Il y a quelque chose quand on est là-haut, ce n’est pas mauvais pendant que vous êtes là, ni non plus pendant que vous êtes ici, c’est pendant que vous êtes entre les deux endroits que ça vous prend.

            Et finalement, après que monsieur Foster, vous connaissez son histoire, après avoir composé toutes ces chansons, il était emporté par l’inspiration, quand il en est sorti, il a appelé son serviteur, a pris une lame de rasoir et s’est suicidé.

            Vous connaissez probablement William Cowper. Je me suis tenu à sa tombe à Londres, en Angleterre, quand j’y étais afin de prier pour le roi George. Et je... là à sa tombe, j’ai pensé à monsieur Cowper. C’est lui le compositeur de ce célèbre cantique: Il y a une fontaine remplie du Sang tiré des veines d’Emmanuel, une fois les pécheurs plongés dans le flot, ils perdent toutes les taches de leur culpabilité. Vous avez chanté ça plusieurs fois. Après avoir composé ce cantique-là... En avez-vous déjà lu l’histoire? Il a cherché à trouver une rivière où se suicider. Voyez? L’inspiration l’avait quitté. Je me suis tenu à sa tombe et j’ai pleuré. J’ai eu de la compassion pour lui. Il était considéré comme un névrosé, nerveux, ou un détraqué mental.

13        Considérons les prophètes. Le prophète Elie, après qu’il eut fait descendre le feu du ciel, qu’il eut fait pleuvoir la pluie du ciel le même jour, et les cieux avaient été fermés pendant trois ans et six mois... Après cela, il a erré dans le désert, après que l’inspiration l’eut quitté, il a erré quarante jours et quarante nuits, sans même savoir où il était. Et savez-vous là où Dieu l’a trouvé? Il s’était retiré dans une caverne. Il lui a demandé: «Que fais-tu ici?» L’inspiration l’avait quitté. Pendant qu’il était sous l’inspiration, ça allait bien. Mais regardez ça. Il avait tué quarante prêtres sur la colline, il est redescendu, fuyant la menace d’une femme, Jézabel; en effet, elle menaçait sa vie. Après qu’il s’était tenu là... En effet, l’onction était sur lui, mais après que l’onction l’eut quitté, c’était différent.

            Avez-vous considéré Jonas? Après que Dieu eut accompli un miracle en le gardant dans le poisson, il est entré dans une ville de la dimension de Saint Louis, dans le Missouri, il a donné une prophétie alors qu’il parcourait les rues: «Encore quarante jours et cette ville périra.» Il a donné sa prophétie avec une si grande force que les gens ont même fait porter des sacs à leurs animaux. Et avez-vous remarqué quand l’inspiration l’avait quitté? Il s’est assis sous ce petit ricin, priant Dieu de lui ôter la vie. Voyez?

14        La question est la suivante: De quoi cela parle-t-il? En effet, quand on est là-haut, on est sous l’inspiration, c’est au-delà de ce qu’il y a ici. Pendant que vous êtes là, vous vous sentez bien. Pendant que vous êtes ici, vous êtes bien. Mais quand on est entre les deux endroits, c’est cela qui cause la faiblesse, quand vous quittez cette sphère de l’inspiration et que vous redescendez sur la terre.

            Cela me rappelle quand je... il y a plusieurs années quand j’ai enseveli mon enfant. Quand nous aspergions la poussière de la terre sur la tombe, des fleurs: tu es cendre, tu retourneras à la cendre, tu es poussière de la terre, tu retourneras à la poussière de la terre, un murmure traversa les pins cet après-midi-là, on dirait que je pouvais entendre une Voix dire:

Il y a un pays au-delà de la rivière,
Que nous appelons la terre de joie sans fin,
Nous atteignons ce rivage-là par décision de la foi,
Un à un nous rejoignons les portails,
Pour demeurer là avec des immortels,
Un jour, les cloches d’or sonneront pour toi et moi.

            Et c’est vrai. Gardez cela à l’esprit. Et cela ne vous ennuiera pas. Eh bien, pendant que nous sommes ici... Mon jeune homme, les jeunes gens ici m’accompagnent depuis un temps, ils veillent attentivement sur moi, et quand l’inspiration semble simplement soutirer le meilleur de moi... Voyez? Si cela l’a fait au Seigneur Jésus, rien qu’avec une seule vision, Il a dit: «J’ai connu que Je suis devenu faible», si cela a épuisé le prophète Daniel pendant plusieurs jours, il a eu mal à la tête, et il a eu des troubles à la tête pour avoir eu une seule vision, qu’est-ce que cela nous ferait? Comprenez-vous maintenant?

15        Dans l’Evangile selon Luc, chapitre 2, verset 25, voici ce que nous lisons comme texte et nous prions que Dieu nous accorde le contexte juste pendant quelques instants, car nous allons vous laisser sortir, vous pourrez retourner à vos églises respectives ce soir.

            Et merci à tous vos pasteurs, à chacun ici, et soyez... Je suis désolé pour vous, mes chers amis, qui êtes debout là dehors aujourd’hui. Je suis désolé que vous ayez à rester debout, mais... et rester debout là derrière. Mais c’est parce que cette salle est petite. La prochaine fois, peut-être, nous aurons de la place. Maintenant, le verset 25:

Et voici, il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.

Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.

Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,

Il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit:

Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur s’en aller en paix, selon ta Parole.

Car mes yeux ont vu ton salut,

Salut que tu as préparé devant tous les peuples,

Lumière... éclairer les nations, et gloire d’Israël, ton peuple.

Et que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa plus sacrée Parole.

16        Au moment de la naissance du Seigneur Jésus, comme nous venons de lire tout à l’heure, les nouvelles ne se répandaient pas alors comme aujourd’hui. Ils n’avaient pas de presse, ni de radio, ni de télévision, comme nous en avons aujourd’hui. Mais l’unique moyen qu’ils avaient de répandre des nouvelles, c’était de bouche à oreille. Jésus est né à Bethléhem de Judée, huit jours avant ceci. Mais cela n’était connu dans le pays que de peu de gens: Les mages qui étaient venus L’adorer, c’étaient des astrologues; les bergers aussi qui étaient sur les collines, là où les anges étaient venus et avaient chanté à ces bergers et leur avaient annoncé que dans la ville de David était né Christ le Sauveur; Siméon, un homme avancé en âge, un vieux sage, avec une longue barbe qui flottait, des cheveux grisonnants, et il était dans la quatre-vingtaine, jouissant d’un très grand privilège parmi tous comme un érudit et un docteur de son époque. Il occupait une bonne position dans le sanhédrin, mais un jour, pendant qu’il était là à prier, il était l’un des élus, ceux qui étaient choisis.

            Et maintenant, j’aimerais vous faire voir cela. Dieu, toujours, tout le temps, depuis que la terre existe, Il a quelqu’un sur qui Il peut mettre la main et dire: «Celui-ci est Mon serviteur.»

17        Parfois, le nombre se réduit à une seule personne, comme du temps de Noé, ou du temps d’Elie et des autres. Parfois, c’est juste à une seule personne. Mais Il n’a jamais manqué de témoin, tant que la terre existe. Et Il ne manquera jamais de témoin tant que la terre existera. Il y a toujours quelqu’un sur qui Il peut mettre la main, à qui Il peut faire confiance, et dire: «Voici Mon serviteur qui accomplira Ma volonté.»

            Ne serait-ce pas bien aujourd’hui s’Il le disait de nous? «Voici Mes serviteurs, en qui Je peux placer Ma confiance; ils accompliront Ma volonté.»

            Eh bien, quel temps ! Eh bien, de façon générale en ce temps-là, Israël s’était éloigné de Dieu. Ils avaient rétrogradé. Ils s’étaient embrouillés, et ils avaient relâché au point que tout le côté surnaturel de Dieu avait disparu des préceptes, ils avaient pris la doctrine de Dieu et ils en avaient fait–en avaient fait une doctrine des hommes plutôt que la doctrine de Dieu, et ils avaient ôté tout le côté surnaturel de la Parole de Dieu, niant tout cela par des explications: Les jours des miracles sont passés, et on en était arrivé à n’avoir qu’un très faible reste qui croyait réellement en Dieu, ou avaient...

18        Alors, ce vieux sacrificateur, ce jour-ci, il était allé prier, il devait avoir été inspiré. Croyez-vous dans l’inspiration? Que les fils de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu? La Bible déclare qu’ils sont conduits par l’Esprit. Et David a dit qu’il y a quelque chose lorsque vous êtes sous l’inspiration, ou que vous avez un ardent désir, et que vous atteignez cela... J’ai constaté ce matin en parlant... Et je regrette de vous avoir gardés si longtemps dans le message.

            J’ai donc constaté, en parlant, que quand on avait atteint un certain point, les gens avaient rougi; d’autres se sont mis à pleurer avec des larmes. Qu’est-ce? C’est nourrir le troupeau du Saint-Esprit. Voyez? L’inspiration. Les hommes de Dieu, les serviteurs de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu, divinement conduits.

            Eh bien, beaucoup de gens disent que c’est de la psychologie. Récemment, je parlais avec un médecin qui me disait, il a dit: «Oh ! Ces gens-là sont excités.»

            J’ai dit: «Eh bien, docteur, vous savez qu’avant que quelqu’un soit excité, il doit y avoir quelque chose qui l’excite.» Et dans ce cas ici, s’il n’y a rien... Vous ne pouvez pas parcourir l’allée et rencontrer une ombre noire, ou quelque chose comme cela, ou quelque chose là qui vous amène à être tout agité: «Qu’est-ce qui se tient là?» Dans ce cas-ci, lorsque vous ne voyez rien et qu’il y a de l’excitation, ce n’est pas simplement de l’excitation, mais c’est une sensation glorieuse, qui amène les gens à se lever...

19        C’est comme j’ai entendu, il y a quelque temps, les petites dames chanter un cantique, et les gens disaient: «Gloire au Seigneur !» Qu’est-ce qui fait cela? Ce n’est pas... C’est céder à une émotion émotionnelle qui est en vous. Puis-je le dire comme ceci? Comme David a dit: «Quand la profondeur appelle la profondeur au bruit de Tes ondées.» La profondeur appelant la profondeur...

20        Maintenant, suivez attentivement. Avant qu’il y ait une profondeur à l’intérieur qui appelle, il a dû y avoir une profondeur à l’extérieur pour répondre à cet appel-là. En d’autres termes, avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il a dû y avoir de l’eau où il nagerait, sinon il n’aurait jamais eu de nageoire. Avant qu’il y ait un arbre qui pousse dans la terre, il a dû premièrement y avoir une terre où l’arbre pousserait, sinon il n’y aurait pas eu d’arbre pour pousser dans la terre. Voyez-vous ce que je veux dire?

21        Récemment, je lisais, ou il y a quelque temps, sur un petit garçon. Il mangeait les gommes des crayons à l’école. Et sa mère l’a attrapé en train de manger le caoutchouc d’une pédale de bicyclette. On ne savait donc pas ce qui clochait chez le petit garçon. On l’a amené à une clinique, et le médecin a examiné son sang et tout. On a découvert que son corps avait besoin de soufre. Et le caoutchouc contient du soufre.

            Maintenant, regardez. Il a dû y avoir du soufre pour répondre à cet appel-là, sinon il n’y aurait pas eu d’appel là-bas. S’il n’y avait pas de soufre pour répondre à cet appel-là, cet appel n’aurait jamais été là. Et alors, aussi certainement qu’il y a une–une foi qui croit en Dieu, et qui veut plus de Dieu, il doit y avoir un Dieu quelque part pour répondre à cet appel qui est dans le coeur.

22        Vous ici aujourd’hui, vous croyez à la guérison divine, n’est-ce pas? Qu’est-ce qui fait cela? Voyez? Il doit y avoir quelque part une fontaine ouverte de la guérison divine, sinon vous n’auriez jamais éprouvé ce désir-là dans votre coeur. Voyez? Il doit y avoir une profondeur pour répondre à la profondeur qui appelle l’autre profondeur. En d’autres termes, s’il y a dans votre coeur une faim d’être guéri par Dieu, il doit y avoir un Dieu qui a suscité cette faim-là. Autrement dit, laissez-moi présenter cela comme ceci: Avant qu’il y ait une création, il doit y avoir un Créateur pour créer cette création-là. Comprenez-vous cela? Amen.

            Si vous voulez donc être guéri par Dieu, il doit donc y avoir une fontaine ouverte quelque part. Eh bien, il y a des choses que vous pouvez présenter du côté psychique. Par exemple, je–j’aime la nature. Ma mère est mi-Indienne. Il y a assez de cela en moi au point que, quand je suis né, j’ai grandi dans les bois. Je ne connaissais que le plein-air et la chasse. C’est la raison pour laquelle j’ai été garde-chasse, j’ai travaillé dans–dans le service de conservation de la nature, j’ai toujours erré dans les bois. Et souvent, ce n’est pas pour les animaux, mais c’est pour... Il y a quelque chose dans la nature qui fait que quand je vois le coucher du soleil ou le lever du soleil...

            Je me lève tôt dans des montagnes, je monte au sommet de la montagne, rien que pour contempler le lever du soleil. Je me rappelle un jour, pendant que je paissais le bétail dans une ferme, j’ai fait bien un peu d’équitation. Et dans une ferme Tripod, à Denver, dans le Colorado, depuis Denver jusqu’à environ cent-vingt miles [193 km] sur la rivière Troublesome, l’Assosciation Hereford, là où nous faisions paître, là... J’ai fait là un an dans une tournée de chasse. Et le responsable de la ferme et moi, nous connaissions tous très bien la contrée, et nous chassions l’élan. Il a pris un secteur, allant dans ce qu’on appelle la fourche occidentale de la rivière et moi, j’avais pris la fourche orientale. Et environ cinq jours plus tard, nous nous retrouvions. J’étais au moins à soixante-dix miles [112 km] de toute civilisation, là loin, seul avec un cheval de bât.

23        Cette année-là, eh bien, il n’y avait pas eu de neige, il était alors pénible de suivre la piste des animaux. Et–et en fin octobre, il pleut un moment, et puis il neige, puis le soleil brille, et puis tout cela sèche. Et le cli–climat est tout simplement irrégulier. J’étais loin en haut, là vers la lisière cette année-là. Et je me promenais là, et je... Le troupeau d’élans était en haut, la neige ne les ayant pas encore chassés vers le bas. J’ai déposé mon fusil par terre, et je me tenais là. Et une pluie a éclaté là, un orage vraiment fort. Et j’étais près des arbres abattus par le vent. Et je me tenais derrière un arbre attendant que l’orage passe, et quand l’orage était passé, il faisait froid. Il faisait froid durant la pluie. Et le soleil se couchait à l’ouest, regardant au travers de la fissure de la montagne. Et il évoluait discrètement sur le flanc de la colline, il a formé un arc-en-ciel sur les arbres à feuilles persistantes où il avait gelé, la glace s’était formée sur ces arbres à feuilles persistantes là au sommet, à environ dix mille pieds [3 km] de là où j’étais, juste à la lisière. Et les arbres à feuilles résistantes avaient gelé.

24        Et, alors que je me tenais là, la pluie avait cessé partout, l’orage aussi, je me suis retourné. Là loin derrière, j’ai entendu un immense élan se mettre à brailler, j’ai entendu un autre répondre de l’autre côté. L’orage avait dispersé le troupeau. Eh bien, cela peut ne rien représenter pour un homme de la ville, mais pour moi, entendre ces magnifiques grosses bêtes brailler, cela vous donne un frisson tel que vous devez constater cela. Il vous faut avoir–avoir un amour inné pour ça.

            Alors, là loin derrière sur le flanc de la colline, un vieil ours gris était tapi et il a hurlé. Et sa compagne a répondu en bas. La profondeur appelait la profondeur de mon pauvre coeur d’Irlandais. Je me suis dit: «Ô Dieu, pourquoi dois-je donc partir d’ici? C’est pour ici que je suis né. Pourquoi dois-je descendre et peiner parmi les malades et les gens? Laisse-moi vivre ici où je suis libre. Je suis né pour cette contrée.» Mais comme Pierre l’a dit une fois: «Il fait bon être ici. Dressons trois tentes.»

            Mais au pied de la colline, il y avait la maladie dont il fallait s’occuper en ce jour-là. C’est pareil aujourd’hui.

            Pendant que j’écoutais cela, je me suis retourné et j’ai regardé, j’ai remarqué dans cet arc-en-ciel, j’ai vu cet oeil qui voit tout, comme Jéhovah, regardant au travers de cette fissure. Cet arc-en-ciel était une alliance.

            Je vous assure, amis, beaucoup de gens disent: «Frère Branham, j’aurais bien voulu voir Dieu.» C’est tout ce que je vois pendant environ trente ans, c’est Lui. Regardez simplement tout autour. Comment cette fleur arrive-t-elle à manifester sa couleur? D’où vient cela? Voyez? Dieu est partout. Recevez-Le à l’intérieur, vous pourrez Le voir à l’extérieur. Il se manifestera.

25        Un vieux pêcheur m’a dit une fois qu’il était là sur la rivière Ohio, là où j’habite. Il descendait la rivière. Il a dit qu’un petit garçon était avec lui. Et le petit garçon était curieux. Il fréquentait une église, il avait dit à sa maman: «Maman, si Dieu est si grand, puis-je Le voir?»

            Elle a dit: «Demande au pasteur.»

            Le pasteur a dit: «Non, fiston. Personne ne peut voir Dieu et vivre.»

            Et il est allé demander à sa monitrice de l’école du dimanche, celle-ci a dit: «Demande au pasteur.»

            Il a dit: «Je le lui ai demandé.»

            Il a dit: «Eh bien, pourquoi est-Il... Maman, a-t-dit, s’Il est si grand, pourquoi personne ne peut Le voir?»

26        Alors, un jour, il était à la rivière, là loin vers l’île de Six Miles, au nord de Jeffersonville, avec un vieux pêcheur barbu (Il s’en est allé dans la Gloire, c’était un ami personnel à moi.), il était avec ce petit garçon. Et pendant qu’ils descendaient la rivière, la pluie s’est mise à tomber, celle-ci a nettoyé toutes les feuilles; c’était un été sec. Et alors, l’arc-en-ciel traversait le ciel à l’ouest, ou plutôt à l’est, alors que le soleil se couchait à l’ouest. Et le vieux pêcheur était en train de ramer, avec le bout de la rame; seul un rameur ou un marin peut apprécier le rythme produit par la barque.

            Et sa femme était déjà allée dans la Gloire, il y a longtemps, il continuait à regarder par-dessus son épaule vers l’arc-en-ciel. Peu après, le petit garçon, qui était assis à la poupe de la barque, l’a regardé, il a vu des larmes couler sur sa barbe très nacrée, et ses cheveux blancs qui pendaient sous son chapeau.

            Cela a ému le petit garçon, il a alors couru vers la poupe, vers le milieu de la barque, et il est tombé aux pieds du vieil homme. Il a dit: «Monsieur, je vais vous poser une question à laquelle mon pasteur n’a pas pu répondre, ni ma monitrice de l’école du dimanche, ni ma mère non plus.» Il a dit: «J’éprouve une sensation étrange maintenant même, et je suis sûr que vous aussi.» Il a dit: «Quelqu’un peut-il voir Dieu?»

            Le vieux pêcheur a ramené les rames sur ses genoux, il s’est tenu le visage de ses mains, les larmes lui coulaient sur les joues, il a entouré de son bras le petit garçon et il a dit: «Fils, tout ce que j’ai vu pendant cinquante ans, c’était Dieu.» Voyez? Il y avait tellement de Dieu dans le coeur du vieil homme qu’il pouvait voir Dieu. Vous pouvez Le voir si vous regardez.

27        Je me rappelle, dans un cas, je me tenais là, si vous me permettez de quitter mon sujet. Je me rappelle que je me tenais là en train de regarder, voyant cet arc-en-ciel. Alors, j’ai pleuré. Vous pouvez dire que j’ai été travaillé par des émotions. Peut-être oui. Mais je me suis mis à pleurer. Je n’y pouvais rien. Non pas parce que j’étais triste, parce que j’étais heureux d’entendre l’ours hurler. Oh ! Cela m’a ravi. Tout cela m’a amené à voir l’arc-en-ciel. Et je me rappelle que par l’arc-en-ciel, Il a donné une promesse. Il avait l’aspect, selon la Bible, de la pierre de Jaspe et de Sardoine, au bout de tous les arcs-en-ciel, l’Alpha, l’Oméga; ces promesses par Christ ne failliront jamais. Il m’a ancré dans Son Royaume, non pas par mes propres oeuvres, mais c’est par la grâce qu’Il m’a appelé. Par la prescience, Il a élu. Il m’a fait entrer là: «Et tous ceux qui viendront à Moi», Il les recevra, Il les ressuscitera au dernier jour, ces promesses-là.

            Je me suis mis à pleurer; puis je me suis mis à crier. Je ne sais pas si vous croyez cela ou pas, mais je–je l’ai fait de toute façon. Vous dites... Eh bien, un homme a dit l’autre jour, il a dit: «Je ne crois pas à la guérison divine, Frère Branham.»

            J’ai dit: «Vous arrivez juste un peu en retard, frère.» Oui.

            Je me suis mis à tournoyer sans cesse autour de cet arbre-là à toute vitesse, donnant libre cours à mes sentiments. Eh bien, vous pouvez taxer cela d’émotions; mais pour moi, c’était la profondeur appelant la profondeur. Je criais à tue-tête. Franchement, je pense, si... on aurait pensé qu’il y avait l’Armée du Salut là-bas, si certains parmi eux m’avaient entendu. Mais il n’y avait personne en dehors du Seigneur pour m’entendre. C’est Lui que je bénissais de toutes les façons.

            Et j’ai contourné encore et encore l’arbre à maintes et maintes reprises. Et je pense que si quelqu’un était passé par là, on m’aurait mis dans une camisole de force, on aurait pensé que j’étais fou. Mais je ne faisais que crier à tue-tête. Et peu après, un petit écureuil de pin, un petit écureuil insignifiant de pin... Je ne sais pas si vous en avez par ici ou pas: une toute petite créature, et c’est la chose la plus bruyante dans les bois. Il a sauté sur une souche de ce vieil arbre abattu par le vent et s’est mis à me regarder, faisant des jacasseries, jacasseries, jacasseries, jacasseries, jacasseries, jacasseries.

            Et je me suis dit: «De quoi parles-tu?»

28        Alors, le petit animal était tout excité, je me suis dit: «Eh bien, peut-être, je l’ai excité en poussant des cris et en hurlant.» Et il.-.il paraissait drôle, il a jeté de côté ses petits yeux, en me regardant de ce côté-ci. Mais il regardait en bas, vers un tas de buissons on dirait, là où ces vieux sommets étaient abattus par le vent.

            Et peu après, je me suis dit: «Ô Dieu, Tu sais, Tu es simplement partout. Tu es là dans ce–dans ce loup. Tu es par ici dans ce troupeau d’élans. Te voici dans ces pins me chuchotant, me jouant de la musique. Te voici dans l’arc-en-ciel; Te voilà dans le coucher du soleil; partout où je regarde, Tu es là.»

            J’ai dit: «Eh bien, pourquoi m’as-Tu interrompu avec ceci, ce petit écureuil de pin?» Et j’ai vu la petite créature très excitée. Elle continuait à regarder en bas vers le tas de buisson. Et peu après, un immense aigle, qui avait été forcé par l’orage à atterrir, a sauté sur une branche. Eh bien, je me suis dit: «Ô Dieu, Tu es quelque part. Tu–Tu–Tu as arrêté ceci dans un but. Pourquoi donc? Je vais simplement méditer sur Toi.»

29        Alors, j’ai vu ce grand aigle, avec ses énormes yeux gris de velours on dirait, alors qu’il les roulait de part et d’autre, observer cet écureuil de pin et me regarder. Et je me suis dit: «Eh bien, maintenant, Monsieur l’Aigle, tu es une créature de Dieu; alors, pour–pour–pourquoi es-tu apparu ici? Et le petit écureuil de pin a fait comme s’il allait tailler cet aigle-là en pièces. Eh bien, il ne le pouvait pas. Il était seulement gros à peu près comme ça. L’aigle l’aurait simplement pris et il se serait envolé, s’il le voulait. Ainsi, mais, oh ! comme il ne faisait que sautiller ! Et j’observais.

            Alors, le gros aigle m’a regardé, et puis il a regardé l’écureuil de pin. Ensuite, il m’a regardé. Et je me suis dit: «Eh bien, une chose que je peux admirer chez l’aigle, c’est qu’il est brave. Je sais ça. Ça, c’est une chose de divin chez lui.» Les chrétiens ne sont pas des lâches. Ils croient en Dieu. Ils tiennent ferme sur ce qu’Il dit. Et Dieu n’est pas un lâche. Et Il ne peut pas utiliser des lâches dans Son armée. Il vous faut être brave et tenir bien ferme juste à cela, croire en Lui, recevoir et avoir confiance en Sa Parole, sans savoir où vous allez, mais vous savez que vous suivez Son chemin.

            Et puis, j’ai vu cet aigle. Je me suis dit: «Qu’est-ce qui le rend si brave?» Je lui ai dit. J’ai dit: «Sais-tu que je pourrais te tirer dessus?» Et il n’a pas fait cas de moi. Mais on dirait qu’il regardait cet écureuil-là, et ensuite il m’a regardé. Et je me suis dit: «Eh bien, qu’est-ce qui le rend si brave?» Et je continuais à le voir bouger ses ailes, se rassurant que ses ailes étaient en état d’opérer.

            J’ai dit: «Je vois ça, Seigneur.» Il se fie à quelque chose qui lui a été donné par Dieu. Dieu lui a donné deux ailes pour s’éloigner du danger. Et tant qu’il peut sentir que ses ailes sont en état de fonctionner, pourquoi se soucierait-il du danger? Je me suis dit: «Si un...?... un aigle peut faire cela avec deux ailes, que devrait faire un homme né de nouveau qui a le Saint-Esprit?» En quoi un mal lui nuirait-il? Tant que vous pouvez sentir qu’Il est là, il n’y a pas de condamnation. Qu’importent les maladies ou n’importe quoi d’autre? Que feront les critiques? Que doivent les gens... Vous vous y attendez. Assurément, c’est ce qui vous a été donné. Pourquoi les aigles sont-ils dotés des ailes? C’est pour s’envoler loin des troubles.

30        Eh bien, finalement, je lui ai dit: «Sais-tu qu’avec ce fusil je suis plus rapide que tu ne l’es avec tes ailes?»

            Il m’a bien regardé comme pour dire: «Essaie-le une fois.» En effet, il savait que tout ce qu’il devait faire, c’était monter dans cet arbre-là et il serait perdu de ma vue. Alors, j’ai pris mon fusil comme ça. Il m’a observé, il a bougé ces ailes. Je me suis dit: «Ô gros oiseau, je ne te tirerais pas dessus. Je t’admire.»

31        J’admire tout ce qui a du courage. Tout ce que je n’aime pas, c’est un chrétien mou, un soi-disant. C’est vrai. J’aime un homme ou une femme qui dit: «C’est la Parole de Dieu. Je crois Cela. J’accepte Cela humblement. Et je crois Cela et je vis Cela.» Ô Dieu, hâte le jour où les hommes et les femmes seront exactement ce qu’ils professent être. Si je n’étais pas pour Christ, je serais ici aujourd’hui contre Lui, mais je crois en Lui. Je suis prêt à mourir pour la–l’espérance qui repose en moi pour Lui.

            Et puis, je l’ai observé un petit moment, et il en a eu marre d’écouter ce drôle de petit écureuil. Alors, il a simplement fait un ou deux grands sauts comme cela, il a battu ses ailes environ deux fois, il était dans les bois. Et alors, il se passe... s’est passé quelque chose que je n’oublierai jamais. Comment ce grand oiseau à l’allure royale n’a plus battu ses ailes, il les a simplement déployées. Il savait bien comment les disposer. Et à chaque coup de vent, il montait simplement, sans cesse, sans cesse. Il a laissé ce drôle de petit tamia lié à terre en train de jacasser, ou cet écureuil de pin, perché sur un rondin. Et il savait bien comment disposer ses ailes. Il ne les a plus battues pour essayer. Il a simplement disposé ses ailes. Et à chaque coup de vent, il s’élevait simplement. Et je l’ai vu monter jusqu’à devenir un petit point. Il ne pouvait plus entendre cette jacasserie.

32        Les larmes ont commencé à me couler sur le visage. J’ai dit: «Ô Dieu, c’est ça.» Si seulement les gens savaient comment, non pas sautiller d’un lieu à un autre, non pas courir d’une campagne à une autre, mais disposer simplement vos ailes de la foi face aux vagues du Saint-Esprit, continuer à vous envoler, dépassant ce vieux jour, ce petit tamia perché là, cette petite créature rattachée à la terre, qui dit: «Les jours des miracles sont passés. La guérison divine n’existe pas. Le Saint-Esprit a été accepté il y a longtemps, Il ne peut pas l’être aujourd’hui.» Disposez simplement vos ailes et éloignez-vous-en...?... La profondeur parlant à la profondeur...

            C’est une chose étrange chez les animaux. Vous ici du Sud, là dans les bois du nord, j’avais j’habitude d’aller chasser. Et observez comment Dieu dote un animal d’un instinct, pendant que nous y sommes. Vous ici, prenez... Allumez votre radio, et le commentateur annonce le bulletin météorologique, disant: «Demain, il fera beau temps.» Si vous voyez cette vieille truie déplacer ses petits du flanc nord vers le flanc sud de la colline, ne faites pas cas de ce que dit le commentateur du bulletin météorologique. Elle est mieux avisée que ça, de loin plus que ce commentateur. Il fera froid.

            Observez quand ces lapins vont directement en dessous de ces joncs, entrent sous le tas de buisson, attendez-vous à la neige et au mauvais temps. Ils sont de loin mieux avisés à ce sujet. Dieu les a dotés d’un instinct pour leur permettre de s’éloigner du danger.

33        Il n’y a pas longtemps, je me tenais lors de mon premier... à l’une de mes occasions, généralement, je vais tôt dans les bois du nord, je chasse beaucoup là-bas. Et là-haut, les canards quittent le sud, ici en Louisiane et au Texas, et montent au nord faire leur nid dans les boues du nord, là-haut, là où les étangs... Il y a un–un grand tas de–de boues, et la vieille mère cane va là et pond des oeufs, et les petits éclosent.

            En automne, vers septembre, ces petits canards ont une assez bonne taille, des chasseurs d’oiseaux alors. Ils peuvent s’envoler. Et sur les cimes enneigées de montagnes, il peut neiger une nuit et, le lendemain, une brise froide parcourra cette montagne-là. Et à la toute première brise froide qui frappe ce lac-là, un petit canard né sur ce lac-là, il n’avait jamais été nulle part ailleurs que là même, va courir au milieu de ce lac, braquer son petit bec en l’air et cacarder à quatre ou cinq reprises. Et chaque canard sur le lac viendra à lui. Ils savent qu’il est né chef, quand bien même il n’a jamais quitté cet étang-là. Il est né là au printemps. Il s’envolera de cet étang-là, ira tout droit en Louisiane, de toutes ses forces. Pourquoi? Chacun d’eux le suivra. C’est l’instinct.

            Et si Dieu a doté un canard d’assez de sens (Oh ! Je ne le dirais pas comme cela.), mais de l’instinct pour échapper au temps froid, à combien plus forte raison donne-t-Il à un homme le baptême du Saint-Esprit pour se protéger et se préserver, mais l’avantage en est que les canards reconnaissent leur conducteur. Mais les hommes ne reconnaissent pas leur Conducteur. Il sera conduit par un homme et non par l’Esprit. L’Esprit conduit l’homme. Jésus est notre Conducteur. C’est le Saint-Esprit qui nous conduit. Mais nous raisonnons là-dessus et nous disons: «Eh bien, c’était possible en ce temps-là.» Si... Il est le même Conducteur aujourd’hui. Il a parcouru les routes. Il sait ce que... comment s’y prendre.

            Oh ! Que c’est merveilleux d’observer la nature !

34        Je peux me représenter ce sage alors qu’il était là, notre personnage de cet après-midi, Siméon, en prière. Et la Bible dit qu’il a été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Et il a cru cela. C’est le beau côté de cela. Il a cru cela. Et il n’avait pas honte, il n’avait pas non plus considéré son privilège d’un docteur.

            Sans doute que le vieil homme alors, probablement comme nous le dirions aujourd’hui, «avec un pied dans la tombe», à une quatre-vingtaine d’années, il allait chez quelques-uns et disait: «Frères, vous savez, le Saint-Esprit m’a annoncé que je ne mourrais pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Cela est proche.»

            Savez-vous ce que les autres sacrificateurs avaient probablement dit, les incroyants? «Vous savez, le vieil homme a tout simplement perdu un peu la tête. Eh bien, regardez-le. Alors que David L’a attendu, tous les prophètes L’ont attendu, et ce vieil homme, pratiquement mort maintenant, alors que nous sommes en un temps comme celui-ci, lui dit donc qu’il verra le Christ. Il y a quelque chose qui cloche chez lui.» C’était là. Il croyait en Dieu. Il n’avait pas honte de témoigner.

            Il a dit: «J’ai été divinement averti par le Saint-Esprit que je ne mourrais pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur, et je crois cela.» Il n’avait pas honte de le dire. Eh bien, il n’y a pas deux Saint-Esprit. Il n’y En a qu’un seul.

35        Eh bien, présentons cela sous forme d’une saynète maintenant. On est lundi matin, et les femmes affluent toutes. Il y avait environ deux millions de Juifs en Palestine à l’époque. Peut-être, peut-être, deux cents enfants naissaient chaque jour, des mâles, peut-être plus. Mais alors, d’après la loi juive, la mère devait venir après huit jours, amener son enfant mâle, elle devait offrir une offrande de purification pour elle-même; et l’enfant devait être circoncis pour être Israélite, conformément à l’alliance d’Abraham. Comme les gens continuaient à attendre la Venue du Messie...

            On est lundi matin. Oh ! Le temple est très fréquenté. Des centaines arrivent et repartent. Et Siméon éprouve un sentiment étrange. Il entre dans une pièce réservée à la prière afin de prier un moment. Vous êtes-vous déjà arrêté pour Lui parler quand vous éprouvez un sentiment étrange comme cela? Il entre là dans une pièce réservée à la prière afin de parler un moment à Dieu.

36        Le long de cette longue ligne de mamans, à droite du temple, juste sous de grands chérubins en bois d’olivier, avec leurs ailes qui se touchaient... Là se tenaient deux cents mères, disons. Et certaines d’entre elles étaient debout avec de jolis petits enfants, dans une belle broderie, avec de petits châles roses et de petits châles bleus, distinguant le... ce qu’on pensait du petit enfant, et la petite broderie merveilleuse, et les choses qu’on avait, les mamans dans de petites choses coquettes.

            Regardons le long de la ligne. Mais l’un des spectacles les plus étranges que j’aie jamais vus se tient là. Là se tient une petite fille d’environ dix-huit ans. Et je veux dire que les gens prenaient leurs distances vis-à-vis d’elle. J’entends une femme dire: «Ne vous tenez pas près d’elle. Cet Enfant-là est né sans–sans père, en dehors des liens sacrés du mariage. Cet Enfant est né avant... Il a dû être ici avant qu’ils soient même mariés.»

            Mais la petite mère tenait l’Enfant dans ses bras, elle avait une offrande de paysans. Vous savez, pour l’enfant d’un riche, on pouvait offrir un agneau. Mais si les parents étaient pauvres, ils pouvaient offrir deux tourterelles. Ainsi, la mère avait peut-être deux tourterelles à offrir comme offrande.

37        J’ai vu la belle petite broderie sur le veston de chaque petit enfant. Mais cette petite jeune fille-là, aux petites joues rougissantes, avec un voile couvrant son visage, berçait son Enfant qui ne portait pas de broderie, mais qui était emmailloté.

            Vous savez ce que c’est être emmailloté? C’est–c’est être revêtu des langes qui couvraient le joug d’un veau, avec lesquels il labourait. On n’avait rien dans quoi L’envelopper. Ainsi donc, on avait simplement pris un lange d’un veau dans une étable, on L’en avait enveloppé. C’était le Roi du Ciel.

            Et Le voici, avec Sa précieuse mère, tandis que l’église persécutait et se moquait: «Ne vous tenez pas près d’elle.» Mais dans son pauvre petit coeur de mère, elle savait à Qui appartenait cet Enfant-là. Et peu importe combien on se moque d’un chrétien né de nouveau aujourd’hui, dans son coeur, il sait ce qu’il a mis là dans le berceau. Ce que le monde dit importe peu. Ils savent.

38        Je peux la voir alors qu’elle tapote Sa petite joue. Quand bien-même Il est emmailloté d’un lange retiré de derrière le joug d’un veau, mais c’est son Bébé après tout. Peu importe ce qu’on dit, elle sait dans son coeur que le Saint-Esprit avait dit cela. Elle Le tient dans ses bras. Elle est simplement fière de Lui, alors qu’elle avance, et que tout le monde garde ses distances. Alors, quelqu’un dit: «Je me demande ce qu’il y a. Ça doit être un Enfant extrêmement pauvre là. Regardez comment Il est habillé.»

            Et alors, nous pensons que l’habillement représente quelque chose alors que le Roi de Gloire était emmailloté. Mais il nous faut avoir les tout meilleurs habits, nos cheveux doivent être bien arrangés avant que nous chantions dans la chorale, et... Honte à vous !

            Elle Le tient contre son sein. Elle gardait la tête baissée. Elle ne faisait pas cas de ce que les gens disaient. Elle s’intéressait à ce que Dieu avait dit. C’est ainsi qu’est chaque croyant: Ce n’est pas ce que les gens disent qui compte, mais ce que Dieu a dit.

            Au fur et à mesure qu’elle avance, que la ligne avance, un plus grand que Salomon est là. Il y a la Pierre angulaire du Temple. Il y a le Seigneur de Gloire dans Son propre Temple. Regardez comment on Le regarde. Pouvez-vous vous attendre à mieux aujourd’hui? Certainement pas. Le monde est plus cruel aujourd’hui qu’il ne l’était alors. Mais elle s’avance là.

39        Eh bien, si Dieu a fait une promesse... Ecoutez, je veux que vous saisissiez cela et que cela s’enfonce profondément du côté gauche, en dessous de la cinquième côte. Si Dieu a fait une promesse, Dieu est tenu d’accomplir cette promesse-là.

            Eh bien, Dieu avait promis à Siméon par le Saint-Esprit qu’il verrait le Christ. Dieu était tenu à cette promesse-là. Dieu fait une promesse, Il la tient.

            Eh bien, voici Siméon là, peut-être qu’il était en train de lire Esaïe: «Nous étions tous égarés comme des brebis. Le Seigneur a fait reposer sur Lui l’iniquité de nous tous. Cependant, ce sont nos souffrances qu’Il a portées, c’est de nos douleurs qu’Il s’est chargé. Et nous L’avons considéré comme puni, frappé par Dieu, Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.»

            «Seigneur, qui est cette Personne dont parle le prophète? Cela peut-il être le Messie que Tu m’as dit que je verrais?» Et Il était là au temple, dans les bras de Sa mère.

            Et juste à ce moment-là, le Saint-Esprit dit: «Siméon.»

            «Oui, Seigneur.»

            «Lève-toi, et mets-toi en marche.» Amen. Dieu tient Sa promesse. «C’est le temps d’avancer, Siméon. Le temps est arrivé. Tu as eu un vif désir, la profondeur appelant la profondeur. Maintenant, la profondeur est dans le bâtiment pour répondre à cet appel-là.»

40        C’est pareil aujourd’hui. Vous qui croyez dans la guérison divine, vous à qui cela a été enseigné, vous avez senti que c’est Dieu qui peut guérir (En effet, vous L’avez vu guérir les autres), Il vous a conduit ici aujourd’hui comme Il avait conduit Siméon. Les hommes sont conduits par le Saint-Esprit aujourd’hui, tout comme ils étaient conduits à l’époque. Et quand la profondeur appelle, il doit y avoir une profondeur pour y répondre. Et en réponse, Il est entré dans la salle. Il est du devoir de Dieu de pousser quelqu’un dans la Présence de la profondeur pour répondre à l’appel qui est dans la profondeur. Amen. Car le Créateur Lui-même avait créé cela dans son coeur, et Il doit y avoir le Créateur pour répondre à Sa création. Amen. Le Créateur était donc dans la salle. Il était dans le monde. Le monde a été créé par Lui, mais le monde ne L’a pas reconnu. Il était le Créateur, et Il est toujours le Créateur. Il était là dans la salle.

41        Siméon se lève sous la conduite du Saint-Esprit, il se met en marche. «Par où, Seigneur?»

            «Ce n’est pas ton problème, Siméon. Continue simplement à marcher.» C’est ainsi que Dieu s’y prend. «Continue simplement à marcher.»

            «Comment vais-je sortir de ce fauteuil? Comment vais-je sortir de cette civière? Comment vais-je faire ceci?» Ce n’est pas ton affaire. Continue simplement à marcher. Continue à avancer. «Comment vais-je me rétablir?» Je ne sais pas. «Le médecin a dit que je vais mourir.» Continue seulement à marcher. La promesse est pour vous.

            «Comment puis-je mener la vie chrétienne?» Continue simplement à marcher. Garde le Calvaire devant toi et continue à marcher. Elle continue à avancer.

            Et quelques instants après, nous le voyons sortir par la porte, sous la conduite du Saint-Esprit. Il se fraye un chemin dans la foule, sans savoir où il va. Mais Dieu est tenu à Sa Parole. Il doit le mener, le conduire droit à la Fontaine de Sa promesse. Et vous qui croyez en Dieu, et qui êtes venus comme vous êtes venus aujourd’hui, si vous croyez à la guérison divine, c’est que le même Saint-Esprit vous a conduits à cette réunion. Il vous a fait la promesse, qu’allez-vous faire à ce sujet?

42        Siméon continue à marcher. Il...?... cette rangée de femmes. Le Saint-Esprit dit: «Tourne-toi de ce côté-ci, Siméon.» Le voici aller, il longe la rangée de femmes.

            «Qu’est-ce qui est sur le point d’arriver?»

            «Ce n’est pas ton affaire, Siméon, continue simplement à marcher.» Et il descend. Et à quinze pieds [4,5 m] de toutes les autres, tout le monde évitait cette petite jeune fille timide avec son Enfant dans ses bras, emmailloté. Et elle s’essuyait les larmes...?... contre sa joue.

            Le Saint-Esprit a dit: «Siméon, Je t’ai fait la promesse, ne cherche pas de grandes choses. Tu te tiens près de Cela. C’est Ça.»

            Siméon étendit les bras, et quand il fit un geste, quelque chose se passa dans son coeur. Il étend les bras vers la petite mère, il prend l’Enfant et dit: «Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix, selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut, salut que Tu as envoyé pour servir de Lumière pour les nations...?... d’Israël», sous la conduite du Saint-Esprit.

            Voyez, les gens ne faisaient pas attention à cela. Ils disaient: «Le vieil homme est fou.» Ils diront la même chose de vous, mais choisissez qui vous allez croire. Suivez la conduite du Saint-Esprit.

43        Juste un instant avant de clôturer... Là loin derrière au coin, il y avait une vieille femme assise là. Elle était aveugle, une prophétesse. L’Esprit de prophétie était sur elle. Elle prophétisait. Elle attendait aussi la consolation d’Israël. Pourquoi? Elle était une prophétesse. Vous ne pouvez pas être en contact spirituel avec Dieu et douter donc de quelque chose qu’Il a annoncé dans Sa Parole. Elle attendait. Elle était aveugle. Et le Saint-Esprit a dit: «Anne, tiens-toi debout. Celui que tu attendais est ici.»

            Et la voici arriver là, sous la conduite du Saint-Esprit, se frayant le chemin dans la foule. Aveugle, elle ne savait pas où elle allait, mais elle était conduite par le Saint-Esprit. Elle est venue se tenir là où était Siméon et elle a dit: «Laisse-moi L’avoir.»

            Si le Saint-Esprit a pu conduire une femme aveugle à travers une foule débordante, à combien plus forte raison peut-Il vous conduire vers la Fontaine de la Vie? Le même Saint-Esprit qui l’avait conduite, qui avait conduit Siméon, parce qu’il attendait la promesse de Dieu, vous a conduit cet après-midi, car Jésus a dit, quand Il était ici sur terre: «Je ne fais rien de Moi-même, Je ne fais que ce que Je vois faire au Père, en vision, ensuite, Je le fais pareillement.»

44        Et Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.»

            C’est vous donc le vous. Le monde est dans les réjouissances... Le monde est dans les débits de boisson. Mais Il a dit: «Vous, vous Me verrez; le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez jusqu’à la fin du monde.» C’est pourquoi vous êtes conduits ici cet après-midi par le même Saint-Esprit. Et Il est ici. Et puissiez-vous prendre votre décision de L’embrasser dans votre coeur comme Siméon autrefois. Puissiez-vous, avec des bras forts de la foi, Le bercer dans votre sein aujourd’hui, Le recevoir comme votre Sauveur et Guérisseur, voilà ma prière.

45        Prions. Notre Bien-Aimé Père céleste, des pages sont maintenant tournées dans la Bible. Cette réunion va bientôt devenir de l’histoire, peut-être pas du monde, car pourquoi garder l’histoire maintenant? Tu viens bientôt. Mais l’histoire de la réunion figurera sur les pages du Livre de Vie, les décisions des gens, et comment ils ont agi à Ton sujet.

            Que tout le monde cet après-midi soit comme Siméon autrefois, qu’ils soient calmes, qu’ils comptent sur Toi et disent: «Père, c’est Toi qui m’as conduit. Et je suis ici sous la conduite de Ton Esprit. Et je crois maintenant en Toi.»

            Et, Père, je Te prie d’amener tout le monde à se décider à venir à Toi maintenant.

            Et pendant que nous avons nos têtes inclinées, y a-t-il ici quelqu’un qui dit: «Frère Branham, je lève les mains vers Dieu aujourd’hui pour dire: Je n’ai pas vécu le bon genre de vie, mais j’aimerais maintenant accepter Jésus comme mon Sauveur. J’aimerais que vous vous souveniez de moi dans un mot de prière.»? Voudriez-vous lever la main, à l’intérieur ou à l’extérieur? N’importe où, levez la main, très haut. Très bien. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, là-haut aux balcons. Je vous vois.

            Quelqu’un ici qui a été rétrograde, qui dit: «Ô Dieu, je...»

            Toi la petite douce créature, je viens de remarquer tout à l’heure la petite fille, que son petit coeur soit béni.

            Voudriez-vous lever la main pour dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. Je–j’aimerais mener une vie plus intime avec Christ à partir d’aujourd’hui? Voudriez-vous lever la main vers Lui? Juste dans Sa Présence? Que Dieu vous bénisse. Beaucoup de mains sont levées. Et à l’extérieur, je vois vos mains depuis l’extérieur. Très bien.

46        Jésus a dit dans Sa propre Parole, Saint Jean 5.24: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. Mais nul ne peut venir à Moi, M’accepter, en levant les mains, ou par quelque moyen que ce soit, si le Père ne l’attire premièrement.»

            Père céleste, je confie cette assistance entre Tes mains, et que la Parole de Dieu pénètre profondément dans leurs âmes, que chaque pécheur soit sauvé, que le rétrograde revienne à l’église et à Dieu. Accorde-le, Père, ou à Dieu, et puis à l’église. Accorde-le, Seigneur. Que les malades soient guéris aujourd’hui. Et puisses-Tu envoyer Jésus accomplir Ta Parole, Tes Ecritures. Et puisse-t-Il aujourd’hui, pendant que ce petit groupe de gens sincères sont assemblés, alors que des milliers sont là dehors en train de s’amuser dans les plaisirs de ce monde... Assurément, Seigneur, Moïse avait été envoyé uniquement à Israël. Le Message, c’est pour les croyants. Et je Te prie, Père céleste, de bénir ces mouchoirs qui sont déposés aussi ici pour les malades et les nécessiteux.

47        Maintenant, apparais sur la scène pour nous, Père, et manifeste-Toi le Seigneur ressuscité. Bénis ces gens, Père. Que tout le monde reçoive maintenant les Paroles qui ont été proclamées aujourd’hui, bien qu’Elles eussent été entremêlées telles qu’Elles l’ont été, puisses-Tu Les distinguer et Les placer comme il faut dans leur coeur. Puissent-ils partir d’ici en disant comme Cléopas et l’autre, son ami: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsqu’Il nous parlait en chemin?» Car nous le demandons au Nom de Ton Tendre Fils, le Seigneur Jésus. Amen.

48        A tout celui qui a levé la main, et à ceux qui n’ont pas levé la main, je vais vous demander de bien vouloir faire quelque chose pour moi, pas pour moi seul, mais pour vous-mêmes et pour Dieu surtout. Aussitôt le service terminé, la prière pour les malades, voudriez-vous venir ici à l’autel? Et vous êtes un chrétien dès que vous avez levé la main, et dès que, dans votre coeur, vous acceptez Christ, vous devenez une personne vivante. La Parole de Dieu est vraie: «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a (C’est au présent) la Vie Eternelle.»

49        Maintenant, mais ce dont vous avez besoin, vous avez besoin du baptême du Saint-Esprit pour vous introduire dans le corps des croyants. Vous avez cru à la Vie, mais maintenant, Dieu vous baptise du Saint-Esprit dans l’Eglise pour le service. Eh bien, ça peut paraître juste un peu contraire, si c’est le cas, ce n’est pas mon intention en le disant. C’est... Parfois, je...?... Ne dites pas ça...?... Eh bien, d’une façon ou d’une autre, vous êtes venu à Christ. Croyez simplement au Seigneur Jésus-Christ de tout votre coeur. Et croyez de toute votre âme. Et le pasteur de là où vous êtes donc membre, si vous n’êtes membre d’aucune église, regardez, il y en a qui sont assis ici derrière moi. Si j’habitais cette ville-ci, et que j’étais comme vous, près de là où sont ces prédicateurs, ils croient dans ce genre de ministère, sinon ils ne se retrouveraient pas ici pour représenter cela. Ils y croient. Eh bien, allez vers eux, serrez la main au pasteur et dites: «Pasteur, j’aimerais que vous me baptisiez. Et j’aimerais que vous m’instruisiez, comment je dois recevoir le Saint-Esprit. J’aimerais devenir un véritable et authentique saint de Dieu baptisé. Je...»

            Et ils vous instruiront. Ils savent comment s’y prendre. Allez auprès d’eux. N’aimeriez-vous pas faire cela pour moi maintenant? Et quand je reviendrai, j’aimerais vous serrer la main et vous direz: «Oh ! Frère Branham, je suis très heureux. Autrefois, j’étais chargé de fardeaux et j’étais là dans le monde, et beaucoup de choses allaient très mal pour moi, mais maintenant, j’ai complètement surmonté cela. Je suis heureux et libre. Je suis membre de telle belle église par ici, et on–on m’enseigne la guérison divine, les puissances de Dieu, et je me réjouis donc beaucoup.» J’aimerais que vous fassiez cela, un pèlerin, en route avec moi maintenant vers la Gloire. Nous sommes frères et soeurs en Christ. Nous ne sommes pas ici pour nous faire du mal les uns aux autres. Nous sommes ici pour nous entre-aider. Nous sommes ici pour aller ensemble.

50        Maintenant, il y a assis ici dans le fauteuil un jeune homme, un petit garçon assis ici. Oh ! la la ! Je me demande là dans l’assistance, il y a peut-être des gens là derrière qui souffrent des maladies plus graves que ça, peut-être, de la maladie du coeur, qui vont mourir dans les quelques prochains jours. Peut-être quelqu’un qui souffre du cancer, qui est parti, qui s’en va. Oh ! la la ! Si rien ne se fait, il va en mourir. Les médecins l’ont examiné et ont dit: «Je n’en peux plus, c’est entre Dieu et vous maintenant.» Après que le médecin a fait tout son possible, alors je viens essayer, essayer de vous aider à atteindre Dieu (Voyez?), non pas de vous éloigner de votre médecin, non pas de vous éloigner de votre église, mais d’aider à vous amener à Christ (Voyez?), afin que vous puissiez croire. Et Il a fait beaucoup de choses, chrétiens; je–je crois simplement qu’Il fait tout bien. C’est pourquoi je suis ici pour vous aider.

51        Maintenant, je ne peux pas vous guérir...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... ce garçon ici, n’importe qui parmi vous là dans l’assistance qui souffrez ou qui êtes malade, j’aurais bien voulu le faire. Si je pouvais le faire, je le ferais certainement. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Mais je ne le peux pas. Je ne suis qu’un homme. Mais par la grâce de Dieu, Il m’a donné un don d’avoir des visions. Et cela s’est uniquement fait, non pas parce que je l’ai mérité, cela... J’aurais bien voulu échanger cela pour être un bon prédicateur, sortir et prêcher, et juste sortir maintenant même et faire un appel à l’autel. Vous ne connaissez pas les chagrins qui accompagnent cela. Vous ne comprenez simplement pas.

52        Il y a cinq ans, il y a six ans, j’étais fort, avec des épaules droites. J’ai une fois mené des combats de poids coq dans trois Etats, ma tête était couverte de cheveux, je n’avais pas de rides au visage. Regardez ce que cinq ans m’ont fait. Voyez? Que feront cinq autres années? Mais voici ce qu’il y a: «A la fin, après que j’aurai combattu mon dernier combat, que j’aurai prêché mon dernier sermon, et que je me tiendrai là où les vagues s’abattront contre mon âme, sachant que je m’en vais, j’aimerais remettre la vieille flèche dans le bouclier, enlever mon armure et dire: ‘Ô Dieu, envoie le bateau de sauvetage, je rentre à la maison ce matin.’» Il sera là. Ne vous en faites pas.

53        Et j’aimerais vous rencontrer, m’asseoir à côté des arbres aux feuilles persistantes, là où le choeur angélique chante tout le temps, car il n’y a pas de nuit, tout est jour. J’aimerais vous rencontrer là et vous entendre: «Oh ! Frère Branham, vous avez peut-être enduré beaucoup de durs labeurs et autres, mais je vous ai suivi une fois. J’ai vu Christ travailler par vous, et j’avais cru. Et me voici. Je suis très heureux.» Oh ! Combien ça sera alors agréable !

            Vous direz: «Venez chez moi, par ici sur la colline, rendez-moi une visite de mille ans.» Voyez-vous? Ça ne sera pas très long, juste mille ans, c’est rien.

            C’est ce que j’aimerais faire. C’est la raison pour laquelle je meurs petit à petit tel que je me meurs. Mais c’est pour Sa gloire. Et j’aime faire ça. Et j’aurais bien voulu avoir mille vies afin que je puisse les vivre pour Lui. Eh bien, Billy, j’ai oublié de demander... Où est-il? Est-ce que... les cartes de prière? Combien? Cent, 1 à 100?

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... Eh bien, Il a dit: «Encore un peu de temps, et je serai le Cep, et vous serez les sarments.» Eh bien, le–le cep ne fait que donner la vie aux sarments. Ce n’est pas le–le cep qui porte les fruits. Ce sont les sarments qui portent les fruits. Combien savent cela? Vous ne cueillez pas cela au cep. Vous les cueillez au sarment. Et qui est le sarment? L’Eglise, le sarment.

54        Eh bien, maintenant, si la ligne, si le cep a une certaine vie, n’est-ce pas cette même vie qui est dans le sarment? Est-ce vrai? Absolument. J’aurais bien voulu que nous ayons le temps de vous prêcher cette alliance inconditionnelle pendant quelques jours, et vous montrer bien comment Dieu entre dans ce sarment-là, et quel genre de fruit est-ce.

            Remarquez. Mais quand Il était ici sur terre, Il était le Cep. Et quand Il est parti, Il est toujours le Cep et Il a porté des sarments. Maintenant, Il n’a pas d’yeux sur terre en dehors des vôtres et des miens, pas de mains en dehors des miennes et des vôtres. Nous sommes Son porte-parole, Ses oreilles, Ses yeux, et tout le reste sur terre. Est-ce vrai? En effet, Son corps physique, littéral, est à la droite de Dieu le Père, sur le Trône de Dieu, au Ciel, comme un–un Médiateur, ou une offrande, un sacrifice. Et il n’y a pas d’autre médiateur entre Dieu et l’homme, si ce n’est cet Homme-là, Jésus-Christ. Comprenez-vous cela? Aucun autre médiateur, aucun saint, ni rien d’autre, aucun homme, non, personne à part Jésus-Christ Lui-même. Il est le Médiateur entre Dieu et les hommes. C’est ce que déclare la Bible.

55        Maintenant, suivez. Quel genre d’oeuvres avait-Il accomplies ici sur terre? Suivons-Le, voyons ce qu’Il avait fait alors. L’un de Ses premiers miracles accomplis, après l’imposition des mains aux malades... L’un de Ses disciples (Maintenant, ceci est pour les nouveaux venus.) est allé et... du nom de Philippe, il a trouvé Nathanaël qui était en train de prier sous un arbre, à plusieurs kilomètres de là où il était; il a ramené cet homme. Et l’homme a dit, quand Philippe l’a vu, il lui a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth.»

            Et cet homme qui venait de l’église orthodoxe s’est levé et a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Il a dit: «Viens, et vois.» C’est la meilleure réponse, à ma connaissance, à donner à quelqu’un. «Viens, et vois. Découvre toi-même.» Si vous ne croyez pas que Jésus est ressuscité d’entre les morts, venez, et voyez. J’ai lancé ce défi devant des centaines de milliers de païens, des sorciers, des adorateurs du diable...?... des conducteurs; Il n’a jamais fait défaut, et Il ne le fera jamais. Il ne le peut pas. Il est Dieu.

56        Il a donc dit: «Viens, et vois.» Alors, il... ils ont fait route ensemble en causant. Il a dit: «Je vais te dire quoi (Chemin faisant). Tu sais que le Messie est censé accomplir des signes et des prodiges.»

            «Oui, c’est Lui qui est censé le faire.»

            «Quoi? Attends que j’arrive là et que je voie.»

            Il a donc traversé directement la foule, il se tenait comme vous là. Jésus était en train de prier pour les malades, Jésus a regardé tout autour et a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Eh bien, comment avait-Il su qu’il était un croyant? Cela l’a étonné.

            Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»

            «Oh ! a-t-Il dit, quand Philippe... avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre en train de prier, Je t’ai vu.» Et les Juifs se tenaient là, les sacrificateurs, les orthodoxes issus de la grande église, de vrais érudits et des gens instruits au séminaire. Ils ont dit: «C’est le diable. C’est Béelzébul. Il est le chef de tous les diseurs de bonne aventure. Et c’est ce qui fait ça.»

            Jésus a dit: «Vous pouvez le dire contre Moi, cela vous sera pardonné. Mais quand le Saint-Esprit sera venu faire la même chose, dire un seul mot contre Cela ne vous sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.»

57        Mais qu’a fait l’homme... Nathanaël, quand Il a entendu cela? Il a dit: «Rabbi, Tu es le Roi d’Israël. Tu es le Fils de Dieu.» Il a reconnu que c’était le Fils de Dieu, à partir de ce signe-là.

            Si c’était là le signe du Fils de Dieu à l’époque, et qu’Il est ressuscité d’entre les morts, ne serait-ce pas là le signe du Fils de Dieu aujourd’hui, après qu’Il eut promis qu’Il ferait la même chose?

            Quand il fut dit à la femme au puits ses péchés, elle était juste une femme. Jésus s’est mis à lui parler. Il lui a parlé longtemps. Et Il a dit: «Va chercher ton mari.» Il avait découvert son problème.

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «Tu en as eu cinq.»

            Elle a dit (Maintenant, suivez): «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Or, nous savons que quand le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera. Il nous annoncera toutes choses. Mais Toi, qui es-Tu?»

            Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Regardez: Si c’était là le signe du Messie pour les Juifs, c’était aussi le signe du Messie pour les Samaritains, quand Il était ici sur terre, il ne reste qu’un seul pour qui ça doit être le signe, ce sont les Gentils. Jésus a été tué devant... le Sacrifice a été immolé devant les Gentils. Paul, Pierre, et les autres sont venus après confirmer le même signe du Seigneur Jésus ressuscité. Si c’était là le signe du Messie à l’époque, c’est le signe du Messie aujourd’hui.

58        Maintenant, combien y a-t-il de nouveaux venus, ceux qui sont ici pour la première fois? Si Jésus vient à cette estrade faire la même chose qu’Il avait faite dans le passé... Et écoutez.

            Maintenant, vous direz: «Jésus guérissait tout le monde.» Vous êtes en erreur. Il ne guérissait pas tout le monde. Certainement pas. Il est passé à côté d’une piscine où il y avait des gens. La Bible dit, dans Saint Jean 5, un grand nombre: Des milliers de boiteux, d’estropiés, d’aveugles, de paralytiques, des gens aux membres tordus, qui attendaient le mouvement de l’eau. Et Jésus est passé droit dans cette foule-là. Il a eu une vision dans laquelle Dieu Lui avait montré quelqu’un couché sur un grabat, Il est allé là et Il l’a guéri, Il a fait demi-tour et s’en est allé. Est-ce l’Ecriture? Certainement.

            Et les Juifs L’ont interrogé. Ils L’interrogeraient aujourd’hui. Mais suivez ce qu’Il a dit, Saint Jean 5.19 maintenant. Il a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Est-ce vrai? Saint Jean 5.19.

59        Maintenant, Il agira de même aujourd’hui. Eh bien, permettez-moi de dire ceci. S’il n’y avait pas d’opportunité... Je parle au Nom de Jésus-Christ. Vous qui ne comprenez pas, vous aurez à me croire sur parole. Mais si le Saint-Esprit vient aujourd’hui et accomplit l’oeuvre qu’Il avait accomplie, vous rendez-vous compte que les esprits impurs et autres quitteront les gens? Savez-vous que vous êtes un sépulcre ouvert pour eux? Savez-vous que les maladies vont d’une personne à l’autre? Vous rappelez-vous l’autre nuit quand nous disions, ce que c’était? C’est spirituel. Le cancer est un...?... De la matière vivante. C’est une vie. Certainement, ça l’est. Cela a un maître derrière lui, le diable. Jésus l’a dit. Toutes sortes de maladies, les démons... Et si vous ne croyez pas, ou si vous êtes un critiqueur, je vous demande, en tant qu’ami de Christ, de ne pas rester longtemps dans la réunion. A votre place, je sortirais, car vous êtes... Je n’ai pas le temps de vous expliquer cela. Mais il y a des centaines de gens aujourd’hui qui étaient dans des réunions, qui ont été frappés par le cancer et sont paralysés; d’autres sont fous et dans des institutions psychiatriques et autres. En effet, les esprits peuvent sauter de l’un à l’autre. Les gens célèbres, j’ai leurs noms avec des sceaux dessus, scellés par des notaires publics et tout, que c’est vrai.

            Ainsi donc, ne–ne soyez pas critiqueur. Croyez. Et si vous ne pouvez pas croire, alors, je pense qu’après que vous avez entendu le message, que le Seigneur vous bénisse à un moment donné et vous amène à une autre réunion. Maintenant, prions.

60        Et maintenant, Bien-Aimé Père, toutes les paroles que je pourrais dire ce soir ne vaudront pas une seule Parole que Tu dirais. Ma parole est celle d’un serviteur. Ta Parole est la Parole du Maître. Et, Bien-Aimé Père, j’ai essayé de dire à Ton héritage que voici que Tu es mort pour eux, pour les sauver et pour les guérir. Et si seulement ils croient en Toi et croient que Tu es vivant aujourd’hui et que Tu n’es pas mort, et que Tu es ici, ressuscité d’entre les morts, accomplissant les mêmes oeuvres que Tu accomplissais, personne ne peut jamais s’élever au-dessus de cela, faire ce que Dieu oint et montre à faire. Alors, Père, je prie que cette ville, ainsi que ces gens que Tu m’as donnés aujourd’hui pour les enseigner, qu’il n’y ait plus jamais un doute de plus dans leurs coeurs, mais qu’ils croient en Toi aujourd’hui, de tout leur coeur.

61        Et ces enfants nouveau-nés, qui sont venus tout à l’heure à Toi, ô Dieu, parle vraiment à leurs coeurs maintenant, pour leur faire savoir que le Jésus qu’ils viennent d’accepter est vivant, Celui qui ne mourra plus jamais et qui viendra un jour prendre tous ceux dont les noms sont inscrits dans Son Livre vers un monde meilleur, où nous vivrons, nous mangerons, nous boirons, nous construirons des maisons et les habiterons, et nous nous réjouirons ensemble avec Lui aux siècles des siècles.

            Maintenant, Père, veux-Tu oindre Ton serviteur inutile? Alors que je m’abandonne à Ton Esprit, puisses-Tu utiliser ces mains indignes, ces lèvres indignes, ces yeux indignes pour Ton service. Mais, ô Dieu, je suis très indigne. Mais si Tu cherches la dignité, où la trouveras-Tu? Il n’y en a pas sur terre, Seigneur. Il n’y a aucun qui soit digne. Mais c’est la grâce de Jésus, le Fils de Dieu, qui a accordé ceci aux gens, sachant que les Ecritures doivent s’accomplir. Je confie ceux-ci entre Tes mains, Père. Puisses-Tu récolter les résultats. Et aide-moi, au Nom de Jésus-Christ. Amen. [Espace vide sur bande–N.D.E.]

            Que le Seigneur soit avec vous. Généralement, les réunions me mettent dans un état tel que je sais à peine où je suis. J’ai apprécié d’être ici. Que Dieu soit avec vous jusqu’à ce que nous nous rencontrions. Priez pour moi.

            Maintenant, nous allons prier pour les malades.

62        Faites venir la personne...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... Dans cette ligne de prière, m’êtes-vous tous inconnus? Combien ici me sont inconnus? Faites voir les mains, tout le monde. Vous êtes tous inconnus. Il n’y a qu’une seule personne dans cette salle que je connais, c’est ce jeune garçon assis ici, et celui qui est debout ici, et mon fils est ici quelque part. Il est ici quelque part, mon fils. Et je sais que c’est le pasteur qui se tient ici, frère Bigby. En dehors de cela, ce sont des inconnus. Je ne vous connais pas. Mais Dieu vous connaît.

            Maintenant, j’aurais bien voulu faire quelque chose pour vous qui êtes assis ici. Je vois, peut-être, si vous n’avez pas de cartes de prière, ou si votre numéro n’est pas appelé, vous n’avez pas à avoir de cartes de prière. Laissez-moi vous le montrer. Combien ici n’ont pas de cartes de prière et aimeraient qu’on prie pour eux? Levez la main. Voyez? Voyez, vous n’avez pas à avoir des cartes de prière. Il vous faut avoir la foi. Maintenant, Jésus est le même. Tout ce que je fais, c’est simplement m’abandonner à Lui, à Son Esprit. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?...

            Ce n’est pas mon Evangile. C’est le Sien. Ce n’est pas ma parole qui est en jeu, c’est la Sienne. Ainsi, je n’aurai pas peur. Il accomplira toutes choses.

63        Eh bien, voici une dame debout ici. S’il vous plaît, vous pouvez vous approcher un peu plus près, madame. Vous et moi, nous sommes de parfaits inconnus l’un à l’autre. Je suppose que c’est notre première rencontre donc, ou d’être si proches ensemble dans la vie. Si c’est le cas, levez la main. Eh bien, la femme se tient ici dans un but. Je ne sais pas. Dieu sait que je ne sais pas. Mais Il connaît cette femme. Et maintenant, et si c’était exactement la même chose? Si cette femme était juste comme la femme qui était venue au puits, là où Jésus était assis, adossé au mur, que ferait-Il à cette femme-ci?

            Eh bien, et si cette femme est malade? Peut-être qu’elle ne l’est pas. Mais, et si elle était malade? Son... Si Jésus était ici dans ce costume qu’Il m’a donné, pourrait-Il guérir la femme? Faites attention. Non, Il ne le pourrait pas. Il ne pourrait pas le faire deux fois. Il l’a déjà fait une fois quand Il est mort au Calvaire. Croyez-vous cela? Voyez? Vous n’avez pas été sauvé la semaine passée. Vous n’avez pas été sauvé il y a cinq minutes. Vous avez été sauvé il y a mille neuf cents ans quand Jésus avait payé le prix pour cela. Vous avez accepté cela il y a cinq minutes (Voyez?), c’est pareil pour la guérison.

            Maintenant, mais s’Il est le Fils de Dieu ressuscité, qu’Il se tenait ici dans un corps corporel comme le mien, Il parlerait à la femme. Et si la femme disait: «Ô Jésus, j’aimerais que Tu me guérisses», savez-vous ce qu’Il dirait? «Je l’ai fait quand Je suis mort pour toi. Ne crois-tu pas à Ma souffrance à ta place et à Ma mort à ta place au Calvaire, que J’étais blessé pour tes péchés, et que c’est par Mes meurtrissures que tu as été guérie?» C’est tout ce qu’Il pourrait dire. S’Il faisait quelque chose de plus, Il briserait l’Evangile. Est-ce vrai, prédicateurs? Il briserait l’Evangile. Il ne le pourrait pas. C’est déjà terminé.

64        Tout ce qu’un chrétien a, c’est sa foi qui repose dans les oeuvres accomplies au Calvaire. Tout a été achevé et accompli, et nous reposons notre foi sur l’oeuvre accomplie. Tout don qui dit autre chose que cela, ne le croyez pas, ça ne vient pas de Dieu. En effet, c’est là que le prix a été payé. C’est là que tout a été accompli, là même.

            Mais maintenant, Il a placé des dons dans l’Eglise. Eh bien, si cette femme... je lui parle juste pour engager une conversation comme Jésus... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            L’Ange du Seigneur...?... J’ai vu cela ici ce matin sur quelque chose. En avez-vous une ici, monsieur? Cela est dans l’une des photos? En avez-vous une, Gene? C’est juste une partie de Cela là-dessus, fiston. Cela a été pris. C’est juste le bout de Cela; l’une, c’est ce que nous avons sur Ses photos; nous ne vendrons pas le dimanche, c’est tout. Mais nous avons Cela ici. Cela est accroché à Washington, D.C., et C’est sous droit d’auteur, Ça a été photographié à Houston, au Texas. Ça a été aussi photographié en Allemagne, Ça a été encore photographié à Little Rock, dans l’Arkansas. Et Cela a été photographié à plusieurs reprises.

65        Et ce même Ange de Dieu n’est pas à cinq pieds [1,5 m] de là où je me tiens maintenant même. C’est vrai. C’est la raison pour laquelle je suis convaincu qu’Il m’écoute. Voyez? Je ne ferais pas pareil défi si je ne savais pas qu’Il était ici. Mais en lançant pareil défi, avec les rachetés par le Sang de Christ devant moi, vous devez savoir de quoi vous parlez.

            Maintenant, s’Il parle, c’est donc Lui. Vous pouvez douter de moi. C’est en ordre. Mais si vous doutez de Lui, vous allez vous repentir pour cela, sinon vous ne Le verrez jamais. C’est vrai. Et si vous vous êtes moqué de Cela ou vous avez critiqué Cela, il n’y aura jamais de pardon dans ce siècle ni dans le siècle à venir, a dit Jésus. Eh bien, c’est une chose sérieuse à quoi penser.

66        Maintenant, soeur, moi, je ne vous connais pas. La raison pour laquelle je vous ai appelée soeur, c’est que vous êtes une croyante. Votre esprit, comme je vous le témoigne, se sent le bienvenu. Ainsi donc, vous n’êtes pas une critiqueuse. Vous êtes ici pour avoir de l’assistance. Et je ne vous connais pas. Mais si Jésus-Christ me dit ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous accepter cela juste comme la femme au puits qui avait dit: «Eh bien, Tu dois être un Prophète. Et nous savons que quand Jésus sera venu, ou plutôt le Christ, c’est ce qu’Il fera»? S’Il est donc ressuscité d’entre les morts, comme je l’ai dit dans mon sermon, Il est donc ici. Or la Bible dit plutôt qu’Il est ressuscité d’entre les morts pour accomplir les mêmes oeuvres. Vous savez alors que le Jésus ressuscité est ici. Le reste d’entre vous, croira-t-il de tout son coeur? Allez-vous croire, vous qui êtes sur le brancard, madame? Allez-vous croire, vous monsieur sur le fauteuil roulant? Allez-vous croire, vous par ici, vous tous? La femme maintenant, c’est une parfaite inconnue, nous ne nous connaissons pas l’un l’autre. Et je Lui fais confiance.

            Maintenant, je vais la rencontrer par la foi, au Nom de Jésus-Christ.

            Que le technicien veuille bien veiller au microphone, je ne sais à quel point ma voix porte haut quand je parle des fois, si l’assistance entend cela ou pas. C’est à Dieu.

            La femme sait qu’il se passe quelque chose. Elle sait qu’elle est dans la Présence de Quelque Chose d’autre qu’un homme, de son frère. C’est la Présence de Dieu. En effet, entre elle et moi maintenant se tient ce Feu tourbillonnant. La femme En est très consciente. Si elle peut lever la main en ce moment-ci, si vous en êtes consciente. La dame souffre, je la vois, elle souffre d’une–d’une maladie de nerfs. Elle est toute bouleversée au sujet de quelque chose. Je la vois recevoir quelque chose sur son bras. Oh ! C’est–c’est un examen de sang. Elle souffre de l’hypertension. Et elle a... Je les vois examiner le coeur, avec un habit, examinant le coeur ici. C’est une maladie du coeur, elle souffre aussi du coeur. Et puis, il y a quelque chose, on examine la gorge. Il y a–il y a une grosseur à l’intérieur de votre gorge. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Maintenant, vous savez si c’est vrai ou pas. Vous en êtes témoin. Est-ce vrai? Maintenant, croyez-vous que Jésus... Or, vous savez que Quelque Chose doit venir ici pour me dire cela. Est-ce vrai? Croyez-vous que c’est le Fils de Dieu dans Sa puissance de la résurrection pour accomplir Ses Paroles? Croyez-vous cela? L’acceptez-vous donc maintenant comme votre Guérisseur?

            Alors, Seigneur Dieu du Ciel et de la terre, je condamne maintenant la maladie dans le corps de cette croyante et je réclame sa guérison au Nom de Jésus-Christ. Rentrez chez vous et réjouissez-vous, soeur, et soyez heureuse, soyez guérie de votre maladie. Amen.

67        Croyez-vous maintenant? Eh bien, cela règle simplement la question. Vous savez, on pouvait bien s’arrêter à cette seule femme. Vous direz: «Peut-être qu’elle est venue avec moi.» Je ne connais pas la femme, mais... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Maintenant, l’homme devant moi est un inconnu. Je ne le connais pas. Je ne l’ai jamais vu. Est-ce vrai, monsieur? Si c’est vrai, levez la main. Cet homme est un inconnu, il n’est pas inconnu à Dieu.

            Maintenant, monsieur, vous êtes ici pour quelque chose... [Espace vide sur la bande–N.D.E.], c’est dans votre coeur. Et je ne sais pas, mais si Dieu révèle cela, allez-vous l’accepter? Vous êtes très gravement malade. Il y a une ombre noire sur vous. Il y en a deux. L’une d’elles, c’est l’esprit d’épilepsie. Et l’autre, c’est la maladie d’estomac, cela déclenche des hémorragies. Je vois un médecin vous examiner, consulter l’estomac, et il dit que c’est même aussi grave que le cancer dans votre estomac. C’est ce qu’il vous a dit. C’est exact. Etes-vous un croyant? Allez-vous accepter cela? Allez donc au Nom de Jésus-Christ...?... Que Dieu vous bénisse, mon frère.

            Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Tout est possible.

68        Maintenant, je ne peux pas guérir. C’est votre foi en Dieu qui opère la guérison. La femme devant moi est une inconnue que je n’ai jamais vue, je suppose. Sommes-nous inconnus? De parfaits inconnus. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Maintenant, il y a des gens là dans l’assistance. Voyez? Leur foi opère Cela tout comme la vôtre. Je vous isole si je le peux (Voyez-vous?) pour vous parler. Mais c’est leur foi qui fait cela, tout comme la vôtre le fera. Ce n’est pas moi. Je–je ne suis pas Lui. Je ne vous connais pas. Voyez? Il faut votre foi en moi pour croire cela. Voyez? Tout comme leur foi croit, et elle ne fait que tirer de partout. Mais, peut-être, si seulement je peux garder votre esprit en ligne...

            Vous êtes très faible. Et vous avez été quelque part dans un bâtiment où on vous a alitée. C’est un hôpital. Vous venez de sortir d’un hôpital, une bursite. C’est vrai. Cela vous a laissée dans un état terrible de faiblesse. C’est AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT. Croyez-vous maintenant? Croyez-vous que Dieu... Vous êtes censée rentrer, mais vous n’aurez pas à le faire si vous croyez de tout votre coeur. Croyez-vous cela? Venez ici.

            Seigneur Jésus, je bénis cette fille de Dieu et je condamne l’ennemi, au Nom de Jésus. Qu’elle reçoive sa guérison. Amen. Ayez bon courage, soeur. Croyez en Lui maintenant pendant que...?... Adorez-Le donc dans l’Esprit. Amen.

            Maintenant, vous croyez simplement partout. Voudriez-vous faire venir le...?... ou qui que ce soit?

69        Nerveux, n’est-ce pas? Vous regardez tout droit vers moi. Votre bras est replié. Mais vous souffrez des nerfs. Vous étiez en train de prier, n’est-ce pas, que Dieu m’amène à vous parler? Vous avez promis à Dieu que si je vous parlais, vous croiriez en Lui. Est-ce vrai? Est-ce là votre prière? Si c’est vrai, levez la main. Comment ai-je alors su vos prières? Oui, oui. Très bien. Vous êtes guéri.

            Je me demande maintenant si vous me feriez une faveur. Croyez-vous maintenant que la nervosité vous a quitté? Il y a une dame assise juste à côté de vous, elle souffre du cancer. C’est vrai. Est-ce vrai, madame? Maintenant, imposez-lui la main.

70        Bien-Aimé Père céleste, au Nom de Ton Saint Fils Jésus, étends Ses mains aujourd’hui, Seigneur, fortifie la foi, condamne cette obscurité au-dessus d’elle. Et qu’elle soit guérie, par le Nom de Jésus-Christ. Amen.

            «Si tu peux croire.» Oh ! Je défie votre foi.

            Maintenant, maintenant, je prends chaque esprit sous mon contrôle, au Nom de Jésus-Christ. Croyez-vous en Lui? Ne doutez pas. Débarrassez-vous de tout ce sentiment bizarre. C’est l’unique chose qui vous empêche d’être guéri.

            Croyez-vous que Dieu vous guérira de cette affection de vésicule biliaire, vous assise juste là derrière? Croyez-vous de tout votre coeur? Allez-vous accepter cela? Si vous l’acceptez, vous pouvez l’avoir. Très bien. Que Dieu vous bénisse. Levez la main. C’est bien. Il vous en a guérie. Voyez?

            Vous n’avez pas besoin de votre prière, vous n’avez besoin d’aucune carte de prière. Vous avez besoin de foi. J’ai vu la femme alors qu’elle essayait de manger, et cela lui remontait dans la bouche, juste une–une écorchure et une histoire dans sa gorge. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? Levez la main. Tout est parti maintenant. Votre foi...

            Qu’est-ce qui a fait cela? C’est pareil pour la femme qui avait touché le bord de Ses vêtements. Eh bien, vous avez dit: «Elle avait touché Son vêtement.»

            Mais la Bible dit: «Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.» Dites-Lui ce qui cloche chez vous. Murmurez-Lui simplement cela dans la prière et dites: «Seigneur, guéris-moi.» Observez ce qu’Il fera. Cela sera réglé. Il est ressuscité d’entre les morts. Il est le Jésus vivant.

71        Il n’y a aucun doute dans mon esprit qu’il y a beaucoup de gens, des millions dans le monde, de loin plus à la hauteur que moi pour proclamer Jésus-Christ. C’est vrai. Je ne suis rien, le moindre parmi vous. Je suis né hors saison, parmi vous les gens du plein Evangile. J’étais un baptiste. Et vous savez plus sur les Ecritures, peut-être, que moi. Mais j’En connais très bien l’Auteur. Et je sais qu’Il est ici. Et je sais en Qui je crois. Et j’aimerais que vous me croyiez. C’est pourquoi je suis ici, pour vous aider. Miséricorde...

72        Son amour divin pour vous, C’en est Un. Le doigt levé au niveau de votre mâchoire, comme cela, vous assis là, en train de prier, vous souffrez d’estomac, il aimerait que Dieu vous guérisse. Je ne suis pas en train de lire vos pensées, mais c’est la vérité. Vous étiez en train de prier Dieu pour... Vous avez dit: «Seigneur, parle-moi simplement.» Est-ce vrai? Si c’est vrai, faites signe de la main, la dame là qui souffre de l’estomac. Vous êtes guérie. C’est vrai? Votre trouble d’estomac est terminé. Allez manger l’hamburger. C’est en ordre. Votre foi vous a guérie. Je n’ai rien à faire avec cela. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Mais votre foi L’a touché, et Il a parlé. J’ai eu une vision sur vous, je vous ai vue essayer de retenir votre nourriture dans la bouche avec la main. Il s’agit de l’ulcère gastroduodénal. Mais c’est fini maintenant. Vous allez vous rétablir. Amen. Merveilleux !

            Monsieur, l’homme qui s’est placé devant vous. Vous souffrez d’une hernie. Mais croyez-vous que Dieu va vous guérir...?... Je n’étais pas en train de lire sa pensée. C’est sa foi qui a fait cela. Que Dieu soit loué.

            «Si tu peux croire, tout est possible.» Mais vous devez croire.

73        Bonsoir, madame. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous savez que j’ai... Je ne vous connais pas. Mais Christ vous connaît. Maintenant, ça dépendra de votre attitude envers Lui. Et si... Il a dit: «Si tu amènes les gens à te croire», non pas me croire, moi, comme Lui, mais croire que je suis ici sous Ses ordres. Je ne suis point venu de moi-même. C’est Lui qui m’a amené ici. Je ne peux rien faire pour vous. Tout ce que je peux vous dire, c’est ce qui a été déjà fait pour vous. Et si je parle comme un homme, vous pouvez donc encore croire cela par votre prédicateur. En effet, vous êtes une chrétienne et vous avez l’Esprit de Dieu. Mais vous avez besoin d’assistance, juste un petit coup de pousse dans la foi.

            Eh bien, si Dieu m’explique ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous accepter cela et croire cela? Allez-vous le faire? Premièrement, alors que la femme me quitte, je la vois à table. Et elle refuse de manger, parce qu’elle souffre de l’estomac. Et elle est à un endroit où il y a quelqu’un qui examine... ou dans ses intestins. C’est un médecin. Et il dit: Elle a un... quelque chose qui cloche dans le côlon. On appelle cela une occlusion, ou un blocage, ou quelque chose comme ça dans le côlon, a dit le médecin. Je vois cela sur le papier où il écrivait. C’est exact. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il y en a deux qui ont consulté cela. C’est vrai. J’en vois deux. Croyez-vous que je suis Son prophète? Maintenant, voici une autre chose. Je vois quelqu’un à côté de vous. C’est un enfant, un petit enfant d’environ dix ans, et il est ici avec vous aujourd’hui. Il souffre de la migraine. C’est vrai. Amen. Maintenant, prenez ce mouchoir qui est dans votre main et posez-le sur lui et cela le quittera. Allez en paix et que le Seigneur Jésus-Christ, le Fils de Dieu, accorde Ses bénédictions. N’ayez pas peur, maman. Croyez. Amen.

            Ayez foi. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.

74        Bonsoir, monsieur. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Croyez-vous? Oh ! la la ! Il est vivant ce soir.

            Quelque chose est arrivé. Si seulement je peux trouver cela. A vous, une fois de plus, monsieur, évidemment, vous portez des lunettes. Vos yeux vous font mal, sinon vous ne porteriez pas de lunettes. Evidemment, un homme de votre âge doit en fait porter des lunettes de lecture après avoir dépassé quarante ans d’âge, vos globes oculaires s’aplatissent en fait. Vous portez des lunettes de lecture après cela. Mais vos yeux sont en mauvais état.

            Mais je vois quelqu’un qui est ici à côté de vous. C’est une femme. Vous représentez quelqu’un d’autre. C’est votre femme. Elle n’est pas ici, elle souffre de l’arthrite. Ce mouchoir avec lequel vous avez essuyé les larmes de vos yeux, allez le poser sur elle, croyez, et qu’il vous soit accordé selon votre foi, au Nom du Seigneur Jésus. Que Dieu vous bénisse, mon frère.

            N’ayez pas peur. Ayez foi.

            Monsieur, vous priez aussi pour votre femme. Elle est estropiée. Elle n’est pas ici. Mais croyez-vous que Jésus-Christ la guérira? Croyez-vous? Vous pouvez avoir ce que vous réclamez, le gentleman avancé en âge. Ayez foi en Dieu. Croyez-vous? Vous pouvez alors avoir ce que vous réclamez. Que Dieu vous bénisse...?...

            Quelque chose vous est aussi arrivé, n’est-ce pas? Vous m’entendez maintenant. Vos oreilles s’ouvrent. J’espère que vous trouverez votre femme guérie. Que le Seigneur vous bénisse, mon bien-aimé frère.

75        Disons: «Gloire au Seigneur !» [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur !»–N.D.E] L’Alpha, l’Oméga, le Commencement et la Fin, le plus Beau d’entre dix mille, le Lys de la vallée, le Tendre, le Fils de Dieu, le Tout-Suffisant. Celui qui était, qui est et qui vient, la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile du matin, Sa Présence est ici. En Lui habite corporellement toute la plénitude de la Divinité. Il n’y a point de déception en Lui; en Lui réside la Vie; en Lui il y a la guérison, il y a tout en Lui. Il est, non pas Il était. Il est et Il sera toujours le même. Que Dieu soit loué. Alléluia !

            Est-ce la femme? Excusez-moi, madame. Je me sens terriblement faible, avez... Croyez-vous? Si vous croyez de tout votre coeur, il arrêtera de boire. Croyez-vous cela? Très bien. Il est alcoolique, mais il arrêtera cela. Prenez votre mouchoir, placez-le sous son oreiller, celui que vous tenez en main, quand le Saint-Esprit vous a frappée.

76        La dame à côté de vous là, souffrant de cette hernie, elle aimerait aussi être guérie, n’est-ce pas, madame? Oui, oui...?... L’homme qui vient de sauter et qui a secoué la tête, il est dérangé par la nervosité, il aimerait aussi guérir. L’homme qui a levé les mains, qui souffrait des yeux depuis longtemps, il aimerait avoir...?... N’est-ce pas, monsieur?

            Vous ne pouvez pas cacher votre vie. Il est ici.

            Madame, il y a...?... Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue, mais Dieu vous connaît certes. Regardez-moi et croyez. Vous êtes allée vous faire examiner, ou quelque chose comme cela. On vous a examiné la poitrine. On a trouvé une infection. C’est vrai. Un examen radiologique. Et vous devez rentrer. Eh bien, je vois apparaître un homme. Et cet homme a des relations par alliance avec vous. C’est votre beau-frère. Il souffre de reins et de troubles d’estomac. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Maintenant, c’est votre foi. Croyez-vous? Allez donc et recevez ce que vous avez demandé, et posez le mouchoir sur les autres parties du corps, au Nom du Seigneur Jésus.

            Ayez foi.

77        Madame, ce dont vous souffrez tue plus de gens que n’importe quoi: La maladie du coeur. Mais combien de gens là dans l’assistance souffrent du coeur? Faites voir les mains. Vous pouvez être guéris au même moment qu’elle, si vous croyez cela. Croyez-vous cela? Levez donc la main et gardez la main levée.

            Dieu bien-aimé, au Nom du Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, je condamne l’ennemi. Tu peux intriguer les médecins, mais tu n’intrigueras jamais Dieu. Sors d’elle au Nom de Jésus-Christ, puisse-t-elle repartir. Que Dieu vous bénisse, madame. Ayez foi maintenant et croyez.

            Croyez-vous en Lui? Allons ! Il y en a donc qui souffrent ici. Le cancer, mais Dieu peut guérir cela. Ce n’est pas un problème pour Dieu que de guérir le cancer si vous croyez. Que tout le monde qui souffre de cancer lève la main maintenant. Vous êtes prêt pour la guérison.

78        Ecoutez, soeur. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, Dieu le sait, et ma main est sur la Bible, je n’ai jamais vu quelqu’un se tenir ici sans que quelque chose lui arrive. Il l’a promis. Maintenant, par la grâce de Dieu, je vous dis ceci maintenant, par votre foi en venant ici, le cancer vous a quittée maintenant. Mais maintenant, si seulement vous continuez à croire, cela va...?... J’aimerais vous demander quelque chose. Aussitôt que j’ai parlé, vous êtes venue ici, une sensation étrange vous a envahie. Si c’est vrai, levez la main. C’est à ce moment-là que le cancer vous a quittée. Voyez? Maintenant, cela vous a donc quittée. Mais il ira dans des lieux arides, puis il essayera de revenir. Demandez à votre pasteur, il a été instruit, comme il l’a fait l’autre soirée. Maintenant, allez en croyant de tout votre coeur et restez guérie. Et pour confirmer cela, j’impose les mains à cette maman au Nom de Jésus-Christ, et je demande que la puissance démoniaque la quitte. Amen. Allez en croyant maintenant, en ayant foi. Amen.

            Madame, croyez-vous que je suis prophète de Dieu, ou serviteur de Dieu? Je ne suis pas hors de moi, mais si Dieu me dit ce qu’est votre problème... Je deviens simplement très faible. Je n’arrive pas à regarder beaucoup. Allez-vous croire? Allez donc prendre votre dîner. Votre trouble d’estomac vous a quittée. C’est ce que c’était.

            Ayez foi en Dieu.

            Et si je vous disais que votre mal de dos vous a quitté quand vous vous teniez là même, croiriez-vous cela? Allez donc. Ayez foi et croyez.

            Vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale, pour ôter cette tumeur-là. Mais Dieu va vous guérir si vous croyez cela. Croyez-vous cela? Recevez donc votre guérison au Nom du Seigneur Jésus appelé le Christ. Accorde-le.

            Allez de l’avant et mangez, votre trouble d’estomac vous a quitté, continuez, c’est vrai. Alléluia ! Oh ! Il est glorieux. Christ, le Fils de Dieu, vit. Amen.

79        Petit garçon, que ton petit coeur soit béni, chéri; juste un petit garçon. Viens ici vers moi. Oh ! Que son petit coeur soit béni. Chéri, garçon, crois-tu en Jésus-Christ, le Fils de Dieu? S’Il était ici, Il t’imposerait les mains, et tu serais guéri, n’est-ce pas? Tu arrêterais cette drôle de toux, n’est-ce pas? Ce drôle d’asthme te quitterait. Cela te quitterait aussi, si tu croyais cela. Tu es venu ici dans une ambulance, une grande Cadillac blanche servant d’ambulance, en souffrant comme cela. Madame, vous croyez, n’est-ce pas? Si vous le voulez, vous pouvez vous lever de cette civière, repousser cette histoire et rentrer à la maison étant bien portante. Pourquoi n’obéissez-vous pas à Dieu?

            Combien parmi vous croient? Tenez-vous donc debout. Je défie chaque personne, au Nom de Jésus-Christ, peu importe ce qui cloche chez lui. Ô Dieu, j’implore la miséricorde.

            Satan, tu es un perdant. Tu es exposé. Tu bluffes. Tu ne peux pas retenir davantage le peuple de Dieu. Je te défie au Nom de Jésus-Christ, toi esprit d’incrédulité, sors de ces gens, et sors d’eux. Je vous adjure tous, au Nom du Dieu vivant, Jésus-Christ, de vous lever et d’être guéris...?...

E-1 Thank you, brother. Shall we pray. Our heavenly Father, we come into Thy Presence with thanksgiving in our hearts, because that Thou has redeemed us by Thy unchanging love. And we're so happy for it today, to know that we're not left alone, but when we were alienated from God, we were in the world, cut off without mercy... And how we can remember back of those days, how we used our young lives in frolic, so sorry of it, Lord. We're ashamed of our past. We pray that You'll let us look forward to the future of making a more example for You and doing Your will.
We're here, today, by Thy grace, knowing this that many who set here now, if You shall provide for me to come again next year, some of these will be gone on. They'll have to meet You. Maybe, many of them are young. Some of them may be old; but we don't know what time that you'll call for us to answer there. Be merciful to us, God. And may this day be the time of decision for many people, that they will make their minds up this day to serve You.
We ask this for God's glory, in the Name of His Son, the Lord Jesus. Amen.

E-2 Our little stay with you here in Columbia has certainly been a great blessing to Billy, and I, and Gene, and Leo, the recording boys. We're only sorry that we just have these few days that--that we could be with you. You've been very nice to us. And I'm grateful to you and to our good pastor. And I pray that God will bless this little church, and with every church that's cooperating here, all these brethren, and not only those, but all the churches there is through out the land today.
And I trust that by God's help, that next April, I believe, Brother Bigsby told me, that he would like for me to return back, having full cooperation and fellowship with all the other churches, all be together, that's cooperating in the meeting. We'd like to bring the big tent, and seating some fifteen thousand, and set it out here for about four to six weeks, so we could teach.
And many times the people in their healing, say, in a few days they do not know just how to stand up against the enemy. They can always have a chance to come back then, and then be dealt with again, and see where their mistake has been and what's happened along the way.
And we're planning that, if it be the will of God, next year. Thanks to every one of you.

E-3 Billy just told me a few moments ago, I believe, or Brother Leo and them, when we come in the building, they taken a love offering for me. Now, it isn't necessary you have to do that. I appreciate it though with all my heart. I never come for that purpose. I come to be a service to you in the Name of the Lord. And I never took an offering in my life. I pastored a Baptist tabernacle for seventeen years in Jeffersonville, without even a salary. I never took an offering. I worked as... I was a Game Warden, state of Indiana. And I never took an offering in my life.

E-4 I remember one time that... You know how you get sometime, where you can't make ends meet? We all have those places. I remember, I said to my wife, "I'm going to take an offering tonight."
She said, "I want to see how you look when you do it."
So I said to one of the deacons... Now, not because that they wouldn't do anything for me, but I just, I could work, was young, didn't travel, so why just depend on the church. And it was bad times, and so I had the deacon to go get my hat. They didn't even have an offering plate. And he started. I said, "Now, I've just met one of these conditions where I just have to ask you, maybe, put in a nickel, or ten cents, something another to kinda help along, got a place I can't cross over all the way." And I said, "Would... If you'd be so kind to do that, I'd appreciate it." The deacon went to get the hat. There was a little old mother there that I always admired, a very godly little, woman, old fashion mother. And she had a little apron, like the women used to wear in old times, and she pulled out her little pocketbook, just about that long, and opened it up, begin to go in down there and getting those nickels.

E-5 I tell you, it seemed like I'd have been Judas Iscariot if I'd have took that. I--I couldn't do it to save me. I said, "I was just teasing you. I didn't mean that." And the deacon with the hat didn't know what to do.
And there was an old man used to my house by the name of John Ryan. He had long beard. He used to belong to the House of David, or looked like that, but I don't think he did. He had the long beard and hair, a very fine man. Not the John Rhyn that was healed, that they taken me up to the Jewish synagogue to question me on it. This was another John Ryan. And he rode an old bicycle down there to my place one time. And he just left it there and give it to me.
And I had a dime, so I went out to the ten cent store and got some paint and painted that old bicycle and sold it for five dollars, didn't have to take up the offering after all. So I never took an offering in my life.

E-6 So... But what you've done is appreciated. My expenses are great: expenses at home runs a hundred dollars a day, whether I'm preaching or not. And you can imagine, sending out thousands of ribbons, and things, across the world, everywhere, what it is. And I have a small office, just about four working. And we send out anointed cloths and answering the mail, and then, and to other places where it comes in through the Christian Business Men, and different ways. And then we have about ten different offices across the world. And they take it, and translate it, and break it down, and send it to us, and then we send them just masses of ribbons and things to send to the--the sick and afflicted. Used to, I sent handkerchiefs, but I--I don't have the capital to do that with. I operate small. So I get hundreds, and hundreds, and hundreds of yards of white ribbon, take it over when I go home, and go lay back in a place to myself and just pray, cut it off like that, and send it to the sick and the needy. And the Lord Jesus has blessed those efforts wonderfully.
And if any time you need one, just write me: Post office box 325, Jeffersonville, or just Jeffersonville, Indiana. It'll come to me.

E-7 And we'll be glad to send you one, to help you any way. If you need one, carry it in your Bible, put it in Acts 19, and just leave it there. So like the little baby gets pneumonia, or something, why, just send and get the handkerchiefs, and go get it out of your Bible, and lay it on the baby and have it there. It's just a token, what it is, of your faith in God; that's all there is to it. So we have seen great things done by it, great things.
A few weeks ago I got a letter from Germany, that a lady had been crippled with arthritis for years. So when she got the handkerchief, she couldn't get in the prayer lines over there, so she got the handkerchief and she pinned it on. It's got instructions on what to do. And she said, "Now, Devil, get out of my body." So she just got up and went walking on, like it was that simple. She was healed.

E-8 People look for healing of the body to be so complicated. It's very simple, just taking God at His Word, just--just saying the same thing He does. That's all. "By His stripes I'm healed." And that settles it.
Now, in the... And I've often said this, "The night never gets too dark, the rain never falls too hard, but what I would help you, to the best I could." Used to be I'd come to you, but, my, you can imagine how... I have noticed... I have four phones that I answer. And I've had on the average of sixty long distance calls for per hour day and night, the clock around. Sixty an hour, if you can just long distance, not local... See? You can imagine how calls are coming from all over the world. And so, I can't come, but any time I get to a phone, I'll pray with you again. And I'll be praying all the time.
And now, perhaps, I'll be in Africa, and India, and many foreign countries before I see you again. And when the witch doctors are standing out making their challenge, which they gladly do, all the soothsayers, and so forth, are standing up trying to make their challenge, the winds are blowing hard, and the...?... are terrible, can I depend on, remember in Columbia they're praying for me here? Will you be doing that? Thank you. I'll be praying for you. May God watch between us till we meet again.
Seeing old people, and people badly afflicted, and age has stricken them, a crowd of this size, perhaps, another year, many of you will go on home to glory. My testimony, I have to meet with you up there at that time. I'll have stand. And when I get there, by the grace of God, I'll stay have the same testimony I have today. And I'm so glad, they have nothing to take back; it's the Gospel of the Lord Jesus.

E-9 Now, we're going to read just a portion of His Word. We must hurry right away. We got to drive practically all night tonight in order to be home tomorrow. And then, we'll be back at one of your lovely cities in North Carolina, Spindale, beginning Wednesday night. And we'll minister through Sunday. I think that's in the local church. Big part of that will have to be preaching service. And then, we're going from there to Charlotte, North Carolina. And then there I think that's an auditorium. That begins the following Wednesday through Sunday. And that'll probably be all, every night healing for the sick, if the Lord permits it.
So there'll be plenty of seating room, where people won't have stand and so forth. I understand they got a big auditorium down in the city. And we'll be ministering at both these places in your lovely country.

E-10 This is my first time in life to ever set foot on the soil here, and I have been around the world and back again. And so... But the first time to ever be in North, or South Carolina. The only two states that I've never been in in my life, until this time. I don't mean this to any harm, to any other people here from different countries, but you know, as I said, the Lord said, one time when He turned water into wine, He had kept the best at the last. I don't mean that to any harm, for any other places, because the people have been very nice; but you are a nice people, because you love the Lord Jesus.
Now, in reading His Word today, just for a short message. And put just as much time... I've instructed the boys to let me stand just as long as I can stand today to pray for the sick.
You might wonder, why it is. It's so much questioned that I might tell to these fine minister brothers. Wished I had time to go home with each one of you and talk with you; you're a fine bunch of brothers. I don't say that just because you're setting here. Each night when the anointing of the Holy Spirit comes, I feeled your spirit, and I know you're... That's when He knows you. And I appreciate you. I think that the little, your cooperation together in the Name of the Lord, I believe God will add to the number of the fold here in Columbia, many thousands of people in the coming revival.

E-11 The reason of weakness... Let's see if I can approach it in a childlike way, so you'd understand. May I say it like this. Most all poets, or prophets, or spiritual-led men, are considered neurotics. Do you know that? Let's see. Let me... One of your great southern writers, Stephen Foster, he was a marvelous man. Many of you taken their history and read of Stephen Foster. He was a wonderful man. And he gave America some of its best folk songs: "The Old Folks at Home," "Suwannee River," "Old Black Joe," and many of those famous old songs, "Old Kentucky Home." That's just beyond a little place where he wrote that, that's where I was born. And in the state of Kentucky...

E-12 But did you notice, Mr. Stephen Foster, he would go up into inspiration. And when he was in the inspiration, he'd write a song. Then when he come out of the inspiration, he'd get drunk. See? He just lost himself. There's something like being up, it ain't bad while you're there, not while you're here; it's in between them places that gets you.
And finally, after Mr. Foster, you know his history, after writing all those songs, he got carried away in the inspiration, when he come out, he called his servant, and took a razor, and committed suicide.
You're acquainted, probably with William Cowper. I stood at his grave in London, England, when I was there, praying for King George. And I... Out at his grave, I thought of Mr. Cowper. He wrote that famous song: "There Is A Fountain Filled With Blood," drawn from Immanuel's veins, when sinners plunged beneath the flood, lose all their guilty stains. You've sang it many times.
After writing that song, did you ever read the history of it? He tried to find the river to commit suicide himself. See? He had left inspiration. I stood by his grave and wept. I had a feeling for him. He was considered neurotic, nervous, or mentally upset.

E-13 Let's take prophets. The prophet Elijah, after he'd called fire out of heaven, called rain out of heaven the same day, and they closed the heavens for three years and six months... After that, he wandered in the wilderness, after the inspiration left him, he wandered for forty days and nights, not even knowing where he was at. And you know where God found Him? Pulled back in a cave. He ask him, "What are you doing in here?" Inspiration had left him. He, while he was under the inspiration, all right. But look at it. He killed forty priests on the hill, and come back down and run at the threat of a woman, Jezebel, because she threatened his life. After standing there... 'Cause the anointing was on him, but after the anointing leaving him, it was a different thing.
Did you notice Jonah? After God had performed a miracle of keeping him in the fish, he went into the city the size of St. Louis, Missouri, and gave a prophecy as he walked through the streets, "Yet forty days and this city will perish." He gave his prophecy in such force, until the people even put sackcloth on their animals. And did you notice, when the inspiration left him, set there under this little gourd tree, and prayed for God to take his life. See?

E-14 The thing is, what does it speak of? That when you're up in there, you're in the inspiration; it's beyond what this is here. While you're there, you feel fine. While you're here, you're all right. But it's coming between the two places, and that's what causes the weakness, when you're leaving that place of inspiration, dropping down to the earth again.
Reminds me when I, many years old when I buried my baby. When we was sprinkling the dirt on the grave and the flowers, ashes to ashes and dust to dust, the pine trees a whispering that afternoon, seemed like I could hear a Voice saying, "There's a land beyond the river, we call the sweet forever, we only reach that shore by faith's degree; one by one we gain the portals, there to dwell with the immortal, some day, they'll ring the golden bells for you and me." And that's right.
Keep that in mind. And it won't worry you, why. While we're here... My boy, the boys here has been with me along time, they watch me close, and when the inspiration just seems to be getting the best of me... See? If it made the Lord Jesus, just one vision, to say, "I perceive that I've gotten weak." If it made the Daniel the prophet weary for several days, upset at his head, and a mental condition for seeing one vision, what would it do to us? You understand now?

E-15 In the Book of Luke the 2nd chapter, the 25th verse, we read this for a text and pray that God will give us the context for just a few moments, 'cause we'll let you out, you can go to your different churches tonight.
And thanks to all you pastors, to every one here, and be... I'm sorry for you people, you lovely friends, that stands on the outside today. I'm sorry you have to stand, but and standing back there. But it's because of the shortage of room. Next time, maybe, we'll have room.
Now, the 25th verse.
And, behold, there was a man in Jerusalem, whose name was Simeon;... the same man was just and devout, waiting for the consolation of Israel: and the Holy Ghost was upon him.
And it was revealed unto him by the Holy Ghost, that he should not see death, before he seen the Lord's Christ.
And he came by the Spirit into the temple: and when the parents brought... the child Jesus, to do for him after the custom of the law,
Then took he him up in his arms, and blessed God, and said,
Lord, now lettest thy servant depart in peace, according to the thy word:
For my eyes have seen thy salvation,
Which thou hast prepared before the face of all people;
A light... lighten the Gentiles, in the glory of thy people Israel.
And may the Lord add His blessings to the reading of His most sacred Word.

E-16 During the time of the birth of the Lord Jesus, as we're just read of, just now, news didn't get around then like it does now. They didn't have the press, and the radio, and television, as we have today. But the only way they had of news was from lip to ear. And Jesus had been born in Bethlehem of Judaea, eight days before this. But it had never been known around the country, just by a few people, the Magis who come to worship Him, that's star gazers. How either, the shepherd's on the hills where the Angels came and sang to these shepherds, and told them that in the city of David was born Christ the Saviour...
Simeon, an aged man, an old sage, long flowing beard, gray hair, and he was around in his eightieth year, a very high prestige among all the people as a scholar and a teacher of his day. He had a fine standing amongst the Sanhedrin; but one day while out praying, he was one of the elect, the chosen. And now, I want you to see it. God, always at all times, ever since there's been an earth, He's had someone He could put His hand on and call, "This is My servant."

E-17 Sometimes it comes to just one person, like in the days of Noah, or the time of Elijah, and so forth. Sometime it's just one person. But He's never been without a witness, as long as there has been an earth. And He never will be without a witness, as long as there is an earth. There's always someone that He can put His hands on, and put His trust in, and say, "This is My servant that'll do My will."
Wouldn't it be nice today if He say about us? "This is My servants, who I can put my trust in, and they'll do My will."
Now, what a time. Now, Israel, in general at this time, had gone away from God. They had backslidden. They had got tangled up and left off till all the supernatural parts of God fell away from the precepts, and had taken the doctrine of God, and had made it made it doctrine of men, instead of doctrine of God, and had left out all the supernatural part of God's Word, explained it all away, days of miracles passed, and had gotten down to a place where there was just a very small remnant left that really believed in God. Or had...

E-18 And this old priest, this day, that he went out to pray, must have been inspired. Do you believe in inspiration? Sons of God are led by the Spirit of God? The Bible said they are led by the Spirit." And David said, there's something about when you're inspiration, or what you're longing for, and when you strike that... I noticed, this morning in speaking. And I'm sorry I kept you people so long in the message.
So I noticed in speaking, when a certain point would be made, the people's face would flush, and some go into tears. And what is it? It's the feeding of the Holy Spirit to the flock. See? Inspiration... Men of God, servants of God, are led by the Spirit of God, Divinely led.
Now, many people say that it's psychology. Recently, I was speaking with a doctor, who told me, said, "Oh, those people get excited."
I said, "Now, doctor, you know, that before anyone can become excited, something has to excite them." And in this case, if there's nothing... You can't go down through the alley, and find a dark shadow, or something, or something there to cause you to get all stirred, "What is that standing there?"
In this case when you don't see nothing, and it's an excitement, not exactly an excitement, but a glorious feeling, that raises the people up...

E-19 Like I heard the little ladies a while ago singing the hymn, and the people were saying, "Praise the Lord." What does that? It's not... It's a give away to an emotional emotion that's inside of you. May I say it like this? As David said, when the "Deep calleth to the deep at the noise of thy waterspouts." The deep calling to the deep...

E-20 Now, listen close. Before there can be a deep in here calling, there had to be a deep out there to respond to that call. In otherwise, before there was a fin on a fish's back, there had to be a water for him to swim in, or he'd never had the fin. Before there was a tree to grow on the earth, there had to be an earth first for the tree to grow in, or there would be no trees to grow on the earth. See what I mean?

E-21 Recently, I was reading, or sometime ago of a little boy. And he'd eat the erasers off the pencils at school. And his mother found him eating the rubber pedal off of a bicycle. So they didn't know what was wrong with the little fellow, and they took him to the clinic, and the doctor give him his blood check and so forth. They found out that his body needed sulfur. And sulfur is in rubber.
Now, look. There had to be a sulfur to respond to that call, or the call wouldn't have been there. If there was no sulfur to come to that call, the call would never been there. And then, as sure as there is a--a faith that believes in God, and wants more of God, there's got to be a God somewhere to respond to that call in the heart.

E-22 You here today believe in Divine healing, don't you? What does that? See? There has to be a fountain open somewhere of Divine healing, or you would never have that desire in your heart. See? There's got to be a deep to respond to the deep that's calling to the deep. In otherwise, if there is a hunger in your heart to be healed by God, there has to be a God to make that hunger. In other wise, let me put it like this. Before there can be a creation, there has to be a Creator to create that creation. You get it? Amen.
Then if you desire to be healed of God, then there's got to be a fountain open somewhere. Now, there's things that you could lay on the psychic side. For instance, I--I love nature. My mother is a half Indian. And there's just enough about it, till I was born and raised in the woods. I've knowed nothing but outdoors and hunting. That's the reason I was a game warden, worked in--in conservation, always in the woods rambling. And many times, it's not for the animals, but it's for... There's something about nature, that when I see a sunset or a sunrise...
I get up early in the mountains, and go climb to the top of the mountain, just to watch the sunrise. I remember one day, while I was herding cattle on a range. I've done quite a bit of riding. And on the Tripod Ranch, in Denver, Colorado, out of Denver, about a hundred and twenty miles on Troublesome River, Hereford Association where we graze there... I was up one year on a hunting trip. And the foreman of the range and I, we all knew the country real well, and we were elk hunting. And he had taken one section, going into what they call the west fork of the river, and I took the east fork, and about five days later we were to come together. I was at least seventy miles from any civilization, way back in there by myself with a pack horse.

E-23 That year, why, they hadn't had no snow, so tracking was bad. And--and long in October, the--the rain will rain awhile, and then there'll be a snow, and then there'll come sunshine, and dry it all off. And it's just kinda spasmodic, the weather is. And I was way high, up around the timber line this year. And I was walking along there, and I... The elk herd was high; the snow hadn't drove them down. And I set down my rifle, and was standing there. And there come up a rain, a real hard storm. And I was near a blow-down. And I was standing behind a tree, until the storm passed, and when the storm passed, it was cold; it turned cold during the rain. And the sun setting in the west, peeping through the crevice of the mountain. And slipping against the side of the hill, it formed a rainbow, of the evergreens where it had froze, the ice had froze on the evergreens up that high, about ten thousand feet where I was at, just at timber line. And the evergreens had froze.

E-24 And, as I was standing there, and the rain was over, and the storm was gone, I turned around; way back there I heard a great big bull elk begin to bugle. I heard another one answer over one side; the storm had scattered the herd. Now, that might not mean much to the city man, but to me, to hear those large princely beasts bugle, it sends a thrill through you that you have to know it. You have to be--to be born to love it.
Then way back over on the side of the hill, an old gray wolf set down and hollered. And the mate answered at the bottom. The deep was calling to the deep of my poor Irish heart. I thought, "O God, why do I ever have to leave here? Here's where I was born for. Why do I have to go down and toil among the sick and the people? Let me live here where I'm free. I was born for this country."
But as Peter said one time, "It's good to be here. Let's build three tabernacles."
But at the bottom of the hill there was sickness to be taken care of in that day. So is there today.
While listening to that, I looked around, and I looked, and noticed in this rainbow, see that all-seeing eye, like Jehovah, looking through this crevice. This rainbow was a covenant.
I tell you, friends, so many people say, "Brother Branham, I wished I could see God." That's all I've seen for about thirty years, has been Him. You just look around. How could that flower put forth its color? Where did it come from? See? God is everywhere. Get Him on the inside; you can see Him on the out. He will declare Hisself.

E-25 An old fisherman said one time to me up on the Ohio River where I live. He was coming down the river. He said, a little boy was with him. And the little lad was curious. He'd went to church, and he said to his mother, "Mother, if God is so great, could I see Him?"
She said, "Ask the pastor."
The pastor said, "No, son. No one could see God and live."
And he went and ask his Sunday school teacher; she said, "You ask the pastor."
Said, "I've ask him."
He said, "Well, why is He, mother," said, "if He's so great that someone can't see Him?"

E-26 So one day being up at the river, way up around the Six Mile Island, above Jeffersonville, the old bearded fisherman (gone on to glory, a personal friend of mine.), he had the little lad with him. And coming down the river, there come a rain, and washed all the leaves off, dry summer. And when he did, a rainbow come across the western sky, or the eastern skies, rather, as the sun was going in the west. And the old fisherman was boating along, with the tip of the oars, only an oarmen, or a seamen can appreciate that rhythm of the row of the boat.
And his wife had been gone on to glory, long ago, and he kept watching around over his shoulder to that rainbow. After while the little lad setting in the stern of the boat, looked at him, and seen tears running over his very frosted beard, and his white hair hanging under his hat.
It aroused the little lad, so he run up to the stern, towards the middle of the boat, and fell down at the old man's feet. He said, "Sir, I'm going to ask you something that my pastor can't answer, my Sunday school teacher, neither my mother." He said, "I have a strange feeling just now, and I'm sure you do to." He said, "Can anyone see God?"
The old fisherman pulled the oars in his lap, threw his face in his hands, and the tears running down his cheeks, put his arm around the little lad, and said, "Son, all I've seen for fifty years has been God." See? There's so much God in the old man's heart, He could see God. You can see Him if you look.

E-27 I remember, on a instance, standing there, if you'll pardon me for leaving my subject. I remember standing there, watching, seeing that rainbow. And I wept. You might say I got worked up emotionally. Maybe I did. But I got to crying. I couldn't help it. Not because I was sad, because I was happy, hearing the wolf holler. Oh, it send a thrill. That all led me up to see the rainbow. And I remember in the rainbow, He gave a promise. He was to look upon the Bible as jasper and sardis stone, at the end of both rainbows, the Alpha, the Omega, how His promises through Christ it never fail. He had anchored me in His Kingdom, not by my own works, but by grace He had called me. By foreknowledge, He had elected; there He had brought me in, "and all that comes to Me," He will receive, raise Him up the last day, those promises.
I got to weeping; then I got to shouting. Don't know whether you believe in it or not, but I--I did it anyhow. You say... Well, a fellow said the other day, said, "I don't believe in Divine healing, Brother Branham."
I said, "You're just a little late, brother." Yeah.
I begin to run around and around that tree just as hard as I could go, giving vent to my feelings. Now, you can call it emotions; but to me it was the deep calling to the deep. I was screaming to the top of my voice. Honest, I believe, if--they'd have thought they had the Salvation Army out there, if some of them would've heard me. But there was nobody to hear me but the Lord. He was the One I was blessing anyhow.
And around the tree I went around and around again and again. And I guess if someone would've come by, they'd have put me in a straight jacket, thought I was crazy. But I was just screaming to the top of my voice. And after while a little pine squirrel, a little insignificant pine squirrel... I don't know whether you have them here on not, a little bitty fellow, the noisiest thing in the woods, jumped up on a stump in this old blow down, and begin looking at me, going "Chatter, chatter, chatter, chatter, chatter, chatter."
And I thought, ""What you talking about?"

E-28 So the little fellow, all excited, I thought, "Well, maybe, I excited him because I was screaming and hollering. And he--he looked curious, throwed his little eyes sideways, and this way looking at me. But he was watching down in this brush pile like, where the these old tops had blowed in.
And after while I thought, "God, You know, You're just everywhere. You're out there in that--that wolf. You're over here in this elk herd. Here You are in the pine trees whispering to me, giving me music. There You are in the rainbow; there You are in the sunset; everywhere I look, there You are."
I said, "Now, why did You interrupt me with this, this little pine squirrel?" And I noticed the little fellow very excited. He kept looking down in that brush pile. And after while, a great big eagle that'd been forced down in the storm, jumped up on a limb. Well, I thought, "God, You're somewhere; You--You--You stopped this for some purpose. So why? I'll just study You."

E-29 And I noticed that big eagle, those great big velvet gray eyes like, as he rolled back and forth, watching that pine squirrel, and watching me. And I thought, "Well, now, Mr. Eagle, you're God's creature, so what a--a... What--what did you appear here for?" And the little pine squirrel acted like he was going to tear that eagle to pieces. Now, he couldn't do it; he was only about that big. The eagle just picked him up and flew away, if he wished to. So, but, oh, how he was just a jumping up-and-down. And I watched.
And the big eagle watched me, and then he looked at the pine squirrel. Then he looked at me. And I thought, "Well, one thing I can admire in the eagle; he's brave. I know that. That's one thing godly about it." Christians are not cowards. They believe God. They stand on what He says. And God's not a coward. And He can't use cowards in His army. You got to be brave and stand right up to it, believe Him, take and trust in His Word, not knowing where you're going, but you know you're going His way.
And then I noticed this eagle. I thought, "What makes you so brave?" I said to him. I said, "Did you know I could shoot you?" And he didn't pay any attention to me. But he looked like he'd watch that squirrel, and then watch me. And I thought, "Well, what makes him so brave?" And I kept noticing him moving his wings, seeing that his wings was in operation condition.
I said, "I see it, Lord." He trusts in a God-given something that was give to him. God gave him two wings to take him away from danger. And as long as he can feel those wings are in running order, what does he care about danger? I thought, "If a...?... eagle could do that with two wings, what ought a man to do that's borned again with the Holy Ghost." What ought trouble to harm him? As long as you can feel He's around, there's no condemnation. What does diseases or anything else matter to? What does criticism? What must people... You expect it. Sure, that's what you was given. That's what the eagle was given his wings for to fly away from trouble.

E-30 Well, finally, I said to him, "Do you know I'm quicker with this gun than you are with your wings?"
He just as much as looked at me and said, "Try it once." 'Cause he knew the only thing he had to do was get in that timber and he'd be lost from me. So I grabbed my gun like that. He watched me, moved those wings. I thought, "Oh, big bird, I wouldn't shoot you. I admire you."

E-31 I admire anything that's got courage. Anything I don't like is a wishy-washy, so called, Christian. That's right. I like a man or a woman, say, "It's God's Word. I believe It. I humbly accept It. And I believe It and live by It." God, grant the day when men and women will be just what they profess to be. If I wasn't for Christ, I'd be here today against Him, but I believe Him. I'm ready to die for the--the hope that lies within me of Him.
And then, I noticed him a little while, and he got tired of listening to that little old squirrel. So he just gave one or two big jumps like that, and flopped his wings about twice, he was through the timber. And then something take--took place that I shall never forget. How that big kingly bird, he never flopped no more; he just spread out his wings. And he knew just how to set them. And every wind wave that come in, he just lifted up, up, up. He left that little old earthbound chattering chipmunk, or pine squirrel, setting there on the log. And he knowed just how to set his wings. He didn't flop and try. He just set his wings. And when the waves of air come in, he just rode up. And I watched him go up, up, until he was just a little spot. He couldn't hear that chatter no more.

E-32 Tears begin to run down my face. I said, "O God, that's it." If people only knew how to, not jump from pillar to post, not run from one campaign to another, but just set your wings of faith in the waves of the Holy Spirit, fly away on apast this old day, that chipmunk setting around, little earthbound creature, saying, "The days of miracles is passed. No such as thing as Divine healing. The accepted the Holy Ghost was way long ago, can't be today." Just set your wings and ride away from it...?... The deep speaking to the deep...
It's a strange thing among animals. You Southerners here, way in the North woods, I used to go and hunt. And watch how God gives animal instinct, while we're on it. You here, you take on... Turn your radio on, and the commentator says, "Tomorrow it's going to be fair weather," and watch that old sow go get the shucks from off of the north side of the hill and bring them around over on the south side of the hill. Don't you pay no attention to that commentator; she knows more about it, far more than he does. It's going to turn cold.
You watch when them rabbits get right down beneath that sage, get back in the brush piles, watch for snow and bad weather. They know far more about it. They've got a God-given instinct to take them away from danger.

E-33 Not long ago I was standing in my first, one of my times, I usually go early in the north woods, where I hunt much. And up there, the ducks come out of the south here from Louisiana and Texas, and they go up in the north to make their nest in the slimes of the north, up there, where ponds... There is a--a bunch of--of slime, and the old mother duck goes in there and lays her eggs, and the little ones are hatched out.
When fall of the year comes, along September, those little ducks are pretty good size, fowlers then. They're able to fly. And over the snow-topped mountains, there'll come a snow and one night, and the next day the cold breeze will come down across that mountain, and the first cold breeze hits that lake, a little drake that was born on that lake, he's never been nowhere but right there, he will run right out in the middle of that lake, throw that little honker of his up in the air, and honk four or five times. And every duck on the lake will come to him. They know he's a born leader, through he's never been off of that pond. He was born there that spring. And he will rise from that pond, and go just as straight to Louisiana as he can go. Why? Every duck will follow him. It's instinct.
And if God has give a duck sense enough (Oh, I wouldn't say it like that.), but instinct to escape the cold weather, how much more does He give a man the baptism of the Holy Ghost to shield himself and to keep away? But the thing of it is ducks know their leader. But men don't know his Leader. He will be led by man and not by Spirit. The Spirit leads men. Jesus is our Leader. The Holy Spirit leads us. But we reason it out and say, "Well, it might have been in that day." If... He's the same Leader today. He's traveled the roads. He knows what--how to go.
Oh, how wonderful it is to watch nature.

E-34 I can imagine seeing this sage as he was out, our character this afternoon, Simeon, in prayer. And the Bible said that it was revealed to him by the Holy Ghost that he wasn't going to see death until he seen the Lord's Christ. And he believed it. That's the beauty part. He believed it. And he wasn't ashamed, or neither did he regard his prestige as a teacher.
No doubt but the old man then, probably as we would say, today, "with one foot in the grave," eighty something years old, and he'd go one and say, "Brethren, you know the Holy Ghost told me that I wasn't going to die until I seen the Lord's Christ. It's at hand."
You know what the other priests would've probably said, the unbelieving? "You know, the old man's just a little bit gone off in the head. Now, look at him. When David looked for Him, all the prophets looked for Him, and this old man, almost dead now, and us, in this kind of a time, and then saying he will see the Christ. There's something wrong with him." There was. He believed God. He wasn't ashamed to testify.
He said, "It was revealed to me by the Holy Ghost, that I'm not going to see death until I see the Lord's Christ, and I believe it." And he wasn't ashamed to tell it. Now, there's not no two Holy Ghosts; there's only one.

E-35 Now, let's give a little drama now. It's on Monday morning, and the women are all coming in. There was around two million Jews in Palestine at that time. Perhaps, maybe, two hundred babies was born every day, male babies, maybe more. But then, according to the Jewish law the mother was to come after eight days, and bring her male child, and was to offer an offering of purification for herself, and the child must be circumcised in order to be an Israelite, and with the covenant with Abraham. As they kept watching for the coming of the Messiah...
It's Monday morning, oh, it's busy in the temple. Hundreds are coming and going. And Simeon, he feels strange. He goes over in the prayer room to pray awhile. Do you ever stop and talk to Him when you feel kinda strange like that? He goes over in the prayer room to talk to God awhile.

E-36 Along this long line of mothers standing over on the right hand side of the temple, just under the big olive wood Cherubims, with their locked wings... Along there stands two hundred mothers, we say. And some of them are standing with lovely little babies in fine needle work, little pink shawls on, and little blue shawls, detecting the--what they thought about the little baby, and the little fine needlework, and the things that they had, the mothers in the little dainties.
Let's look along that line. But one of the most curious sights I've seen, stands along there. There stands a little girl, about eighteen years old. And I mean people were keeping their distance from her. I hear a woman say, "Don't stand around where she's at. That baby was born without a--a father, holy wedlock. That baby was born before, was to be here before they were even married."
But the little mother, holding the baby in her arms, a peasants offering... You know a rich child could offer a lamb. But if they were poor, they could offer two turtledoves. So the mother, perhaps had two turtledove to make the offering.

E-37 I looked at the nice little needlework on every little babies jacket. But this little young lady there with the little blushing cheeks, a veil over her face, she rocked her baby, not in needlework but in swaddling's cloth.
You know what swaddling's cloth is? It's the--the wrapping on the back of the yoke of an ox where he's plowed. They didn't have anything to wrap Him in, and so they just took the wrapping off of a ox in the stable, wrapped Him up. That was the King of heaven.
And here He is with His darling mother and the church persecuting and making fun. "Don't stand near her." But in her poor little mother heart she knew Who that baby belonged to. And no matter how much a borned again Christian is laughed at today, in their heart they know what they go cradled there. Don't make any difference what the world says. They know.

E-38 I can see her as she pats His little cheek. Although He's got wrappings off of the back of a ox yoke on Him, but it's her baby anyhow. No matter what they say, she knows in her heart the Holy Ghost said that. She holds Him in her arms. She's just as proud of Him, as they move up, and everybody is keeping their distance. And as one saying, "I wonder what's the matter with it? That must be an extremely poor child there. Look how it's dressed?"
And then we think that dressing means something when the King of glory was wrapped in swaddling's cloth. But we have to have the very best of clothes, our hair all fixed up pretty before we can sing in the choir, and... Shame on you.
And she holds Him to her bosom. She kept her head down. She wasn't noticing what people were saying; she was interested in what God had said. That's the way every believer is, not what people is saying, but what God has said.
As she moves over, as the line moved up, there is a greater than Solomon. There's the Cornerstone of the temple. There's the Lord of glory in His own temple. Look how He's looked at. Could you expect much better today? Certainly not. The world's crueler today than it was then. But there she goes.

E-39 Now, if God has made a promise... Listen, I want you to get it, and soak way deep on the left side under the fifth rib. If God has made a promise, God's duty bound to keep that promise.
Now, God promised Simeon by the Holy Ghost that he was going to see the Christ. God's duty bound to that promise. God makes a promise, God keeps it.
Now, here's Simeon over there, perhaps, reading Isaiah. "All we like sheep have gone astray. The Lord laid upon Him the iniquity of us all. Surely He has borne our grief, carried our sorrows: yet we did esteem Him, smitten, stricken of God, that He was wounded for our transgressions. He was bruised for our iniquity; the chastisement of our peace was upon Him; with His stripes we were healed." "Lord, who is this Person that the prophet speaks of? Could that be the Messiah that You told me I would see?" And He's standing out in the temple in His mothers arms.
Just then the Holy Ghost said, "Simeon."
"Yes, Lord."
"Stand on your feet; start walking." Amen. God keeps His promise. "Time to move, Simeon. The time has come. You been longing; the deep's been calling to the deep. Now, the deep is in the building to respond to that call."

E-40 That's likewise, today. You who believe in Divine healing, been taught so, felt that it was the God that could heal, 'cause you seen Him heal others, He's led you here today like He led Simeon. Men are led by the Holy Ghost today, just the same as they were led then. And the deep calls, and there had to be a deep to respond. And in the responding He came into the building; it's God's duty to push the one into the Presence of the deep to respond to the call that's in the deep. Amen. For the Creator, Himself, had created that in his heart, and there had to be Creator to respond to His creation. Amen. So the Creator was in the building. He was in the world. The world was made by Him, the world knew Him not. He was the Creator, and He's still Creator. There He was in the building.

E-41 Simeon raises up under the leadership of the Holy Spirit, and he starts walking. "Which way, Lord?"
"That's not up to you, Simeon. Just keep walking." That's the way God does it. "Just keep walking."
"How am I going to get out of this chair? How am I going to come out this cot? How am I going to do this?" That's not none of your business. Just keep walking. Keep moving. "How am I going to get well?" I don't know. "The Doctor said I'll die." Just keep walking; the promise is to you.
"How can I live the Christian life?" Just keep walking. Keep Calvary in front of you and keep moving. She moves on.
And in a few moments we see him come out the door, led by the Holy Ghost. Here he comes a milling through the crowd, not knowing where he's going. But God's duty bound to His Word. He's got to drag him, lead him right to the Fountain of His promise. And you who believe in God, come out here in the way you have today, if you believe in Divine healing, the same Holy Ghost has led you to this meeting. He's give you the promise, what are you going to do about it?

E-42 Simeon walks on. He...?... this line of women. The Holy Ghost said, "Turn this way, Simeon." Here he goes, down along the line of women.
"What's fixing to happen?"
"That's none of your business, Simeon; just keep walking." And he walks on down. And here within fifteen feet distance of everybody else, everybody bypassing this little bashful girl with her Baby in her arms, with swaddling's cloth wrapped around Him... And she'd wipe the tear...?... Him on the cheek.
The Holy Ghost said, "Simeon, the promise I made you, don't look for big things. You're standing by It. This is It."
Simeon reached over, and when he made a move, something happened in his heart. He reaches over to the little mother, picks up the baby, and said, "Lord, let Your servant depart in peace, according to Your Word, for my eyes have seen Your salvation, which is sent for a Light to the Gentiles...?... of Israel," led by the Holy Ghost.
See, the people didn't pay any attention to that. They said, "The old man's crazy." They'll say the same thing about you, but make your choice who you're going to believe. Follow the leading of the Holy Spirit.

E-43 Just a moment before closing... Way back over in the corner, was an old woman setting over there. She was blind, a prophetess; the spirit of prophecy was upon her. And she prophesied. And she too was watching for the consolation of Israel. Why? She was a prophetess. You can't be in spiritual contact with God and ever doubt anything He said in His Word. She was waiting. And she was blind. And the Holy Ghost said, "Ann, stand on your feet; that One that you've looked for is here."
And here she come, led by the Holy Ghost, milling around the crowds, blind, didn't know where she was going, but led by the Holy Ghost. She come and stood there where Simeon was, said, "Let me have Him."
If the Holy Ghost could lead a blind woman through a milling crowd, how much more can it lead you to the Fountain of Life. The same Holy Ghost that led her, and led Simeon, because they were looking for God's promise, has led you this afternoon, because Jesus Christ said when He was here on earth, "I do nothing of Myself; I only do what I see the Father by vision do, then I do it likewise."

E-44 And He said, "A little while and the world will see Me no more, yet you shall see Me, for I'll be with you, even in you, to the end of the world."
Then you are, "ye." The world is at the jamboree; the world is on the beer joints. But He said, "Ye shall see Me; the world won't see Me no more, but ye shall see Me to the end of the world." That's why you're led here this afternoon by the same Holy Ghost. And He is here. And may you make your decision to embrace Him into your heart as Simeon of old, and may you with strong arms of faith cradle Him into your bosom today, and take Him as your Saviour and Healer, is my prayer.

E-45 Shall we pray. Our dear heavenly Father, pages turn over in the Bible now. This meeting will soon be history, maybe not of the world, for why keep the history now? Soon You're coming. But the history of the meeting will be on the pages of the Book of Life, people's decisions and how they acted concerning You.
May every one this afternoon be like Simeon of old, set quiet, and look to You, and say, "Father, Thou has led me. And I'm here by the leading of Your Spirit. And I now believe on You."
And, Father, I pray that You'll let every one make their decision and come to Thee now.
And while we have our heads bowed, is there a person here that say, "Brother Branham, I raise my hands to God today to say that, "I haven't lived a right kind of life, but I now want to accept Jesus as my Saviour. I want you to remember me in a word of prayer." Would you raise your hands, inside or out? Anywhere, put up your hands, way up high. All right. God bless you. God bless you. Someone else? God bless you, up in the balconies, I see you.
Anybody here that's been backslidden, say, "God, I..."
You little sweet thing, I just noticed just now, the little girl, bless her little heart.
Would you raise your hand, say, "God, be merciful to me. I--I want to live a closer life to Christ from this day on. Would you raise your hand to Him?" right in His Presence. God bless you. Many are hands up. And outside, I see your hands from the outside. All right.

E-46 Jesus said in His own Word, Saint John 5:24, "He that heareth My Words and believeth on Him that sent Me has Everlasting Life, and shall not come into the judgment, but is passed from death to Life. And no man can come to Me, accept Me, by raising hands, or whatever way it is, except My Father draws him first."
Heavenly Father, I give this audience to Thy hand, and let the Word of God sink deeply into their souls, may every sinner be saved, and backslider come back to the church and to God. Grant it, Father, or to God and then church. Grant it, Lord. May the sick be healed today. And may You send Jesus to fulfill Your Word, Your Scripture. And may He today, while this little group of sincere people are gathered together, while thousands are out amusing themselves with the pleasures of this world... Surely, Lord, Moses was sent only to Israel; the message are to believers. And I pray, heavenly Father, that You'll bless these handkerchiefs that are laying here also to the sick and needy.

E-47 Now, appear on the scene for us, Father, and declare Yourself the risen Lord. Bless this people, Father. May every one now take the Words that's been said today, though mixed up as they were, and may You just separate them and place them rightly into their heart. And may they go away from here, saying like Cleopas, and them, his friend, "Did not our hearts burn within us, as He talked to us by the way?" For in we ask it in the Name of Thy loving Child, the Lord Jesus. Amen.

E-48 To every person that raised their hand, and to those who did not raise their hand, I'm going to ask you if you'll do something for me, not for me alone, but for yourself, and for God mainly... As soon as the service, the prayer for the sick, will you come up around the altar here? And you're a Christian when you raised your hand, and in your heart accept Christ, you become a live person. God's Word is true. "He that heareth My Word, and believeth on Him that sent Me, hath (that's present tense) Eternal Life."

E-49 Now, but what you need, you need the baptism of the Holy Spirit to put you in the body of believers. You believed unto Life, but now, God baptizes you with the Holy Ghost in the church for service. Now, that may be just a little contrary, if it is, I didn't mean to say it. It's... I sometimes...?... Don't say this...?... Well, anyhow, you come to Christ. Just believe the Lord Jesus Christ with all your heart. And believe with all your soul. And the pastor where you belong now, if you don't belong to any church, look setting here behind me. If I lived in this city, and was like you around where these ministers are, they believe in this type of ministry or they wouldn't be here to represent it. They believe it. Now, you go to them, and shake hands with the pastor, and say, "Pastor, I want you to baptize me. And I want you to instruct me how I must receive the Holy Spirit. I want to become a real true baptized saint of God. I..."
And they'll instruct you; they know how to do it. And you go to them. Won't you do that for me now? And when I come back, I want to shake your hand, and say, "Oh, Brother Branham, I'm so happy, I was once burdened and out in the world, and so many things was so wrong with me, but now I'm all over it. I'm happy and free. I belong to this fine church down here, and they--and they are teaching me Divine healing, and the powers of God, and I'm just enjoying myself so much." I want you to do that, a fellow pilgrim on the road with me now to glory. We are brothers and sisters in Christ. We're not here to harm one another. We're here to help one another. We're here to go along.

E-50 Now, setting there in a wheelchair, a young fellow, a little boy setting here, my. I wonder back in the audience; there may be people back there with more serious things than that, maybe, with heart trouble, going to die in the next few days. Maybe, someone with cancer, passed going, oh, my, if something isn't done they're going to die. The doctors has looked and said, "I can't do no more; it's between you and God now." When the doctor's done all he can do, then I come to try to try to help you to get to God (See?); not to take you away from your doctor, not to take you away from your church, but to help bring you to Christ (See?), so you can believe. And He's done so many things Christians, I--I just believe He does all things well. That's why I'm here to help you.

E-51 Now, I can't heal you...?... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... this boy here, any of you out there that's suffering, and sick, wished I could do it. If I could do it, I'd sure do it. You believe that, don't you? But I can't. I'm just a man. But by the grace of God, He has given me a gift to see visions. And that was only done, not because I merited it, that... I wish I could trade it for any good preacher, to go out and preach, and just walk out right now, and make my altar call. You don't know the sorrows that go with this. You just don't understand.

E-52 Five years ago, six years ago I was strong, shoulders straight, once had the bantamweight championship of the three states, full head of hair, not a wrinkle on my face. Look what five years has done for me. See? What will another five do? But here's what it is: when the end comes, and I've done fought my last battle, preached my last sermon, and I stand where the breakers are dashing against my soul, I know I'm going, I want to put the old sheaf back in the shield, take off my armor, say, "God, send out the Lifeboat; I'm coming home this morning." He will be there. Don't worry.

E-53 And I want to meet you, set down by the evergreen trees, where the angelic choir's singing all the time, for there's no night, it's all day. I want to meet you There, and say, "Oh, Brother Branham, you might've went through a lot of toil and things, but I heard you one day. I watched Christ work by you, and I believed. And here I am. I'm so happy." Oh, how good that'll be then.
Say, "Come over to my house, over here on the hill, visit with me just a thousand years." You see? That won't be very long, just a thousand years, that's nothing.
That's what I want to do. That's why I'm gradually dying, as I am. But it's for His glory. And I love to do it. Wished I had a thousand lives I could live for him.
Now, Billy, I forgot to ask... Where's he at? Did... Prayer cards? How many? One hundred, one to a hundred?
[Blank.spot.on.tape--Ed.]...?... Now, He said, "A little while and I'm going to be the Vine, and you're going to be the branches." Now, the--the vine only energizes the branch. The--the vine doesn't bear fruit. The branch bears fruit. How many knows that? You don't pick it off the vine; you pick it off of the branch. And who is the branch? The Church, the branch.

E-54 Well, now if the line--if the vine has a certain life in it, won't that same life be in the branch? Is that right? It's got to be. Wish we had time to preach that unconditional covenant to you for a few days, and show you just how God gets into that branch, and what kind of fruit it is.
Notice, but when He was here on earth, He was the Vine. And when He's gone away, He's still the Vine and made up the branches. Now, He doesn't have any eyes on earth but yours and mine, no hands but mine and yours. We are His mouthpiece, earpiece, and eyes, and so forth of the earth. Is that right? Because His literal physical body sets at the right hand of God the Father on the throne of God in heaven, as a--a Meditator, or an Offering, a Sacrifice. And there's no other meditator between God and man, but that Man, Christ Jesus. You get that? No other meditator, no saint, nor nothing else, no man, no, nobody but Jesus Christ Himself. He's the Meditator between God and men. The Bible said that.

E-55 Now, watch. What kind of works did He do here on earth? Let's follow Him, see what He did then. One of His first miracles performed, after laying hands on some sick; one of His disciples (Now, this is for the newcomers.), went over and--by the name of Philip went over and found Nathanael praying under a tree, several miles from him, brought the man back. And the man said, when Philip saw him; he said, "Come see Who we found. Jesus of Nazareth."
And this man from the orthodox church, raised up, and said, "Could any good thing come out of Nazareth?"
Said, "Come, see." That's the best answer I know to give anybody. "Come and see. Find out for yourself." If you don't believe Jesus has raised from the dead, come, find out. I've challenged that before hundreds of thousands of heathens, witch doctors, devil worshippers...?... leaders, never has He failed, and He never will. He can't. He's God.

E-56 Then, said, "Come, see." So he... They went along the road talking. He said, "I'll tell," as he went along, "you know the Messiah was supposed to do signs and wonders."
"Yes, this is Him."
"What? Wait till I get there and see." So he walked right up in the crowd, standing like you are there. Jesus praying for the sick, Jesus looked around and said, "Behold, there's an Israelite in whom there's no guile." Well, how did He know he was a believer? What astonished him...
He said, "Rabbi, when did You know me?"
"Oh," He said, "when Philip, before Philip called you, when you were under the tree praying, I saw you." And the Jews was standing there, the priests, and the orthodox from the big church, real scholars and educated men out of the seminary. They said, "That's the Devil. That's Beelzebub. He's the chief of all the fortunetellers. And that's what's doing that."
Jesus said, "You can speak that against Me; it'll be forgiven. But when the Holy Ghost comes and does the same work, you speak one word against That, it'll never be forgiven in this world, or the world to come."

E-57 But what did the man do... Nathanael, when he heard that? He said, "Rabbi, Thou art the King of Israel; You're the Son of God." He recognized that that was the Son of God, by being that sign.
If that would be the sign of the Son of God then, and He's raised from the dead, would not that be the sign of the Son of God today, after He promised He would do the same thing?
When the woman at the well was told of her sins... She was just a woman. Jesus went to talking to her. He talked to her lengthy. And He said, "Go, get your husband." He found her trouble.
She said, "I don't have any husband."
Said, "You got five."
She said. Now listen. "Sir, I perceive that You're a prophet." She said, "Now, we know that when the Messiah comes, He will do these things. He will tell us all things. But Who are You?"
Jesus said, "I'm He that speaks to you."
Look, if that was the sign of Messiah for the Jews, it was the sign of the Messiah also when He was here on earth for the Samaritans, there's only one left for the sign; that's the Gentiles. Jesus was killed before, and sacrifice was made before the Gentiles. And Paul and Peter, and those come along vindicating with the same sign of the resurrected Lord Jesus. If that was the sign of Messiah of then, it's the sign of Messiah today.

E-58 Now, how many newcomers, first time being here, if Jesus will come to this platform and do the very same thing that He did back there... And look. Now, you say, "Jesus healed everybody." You're mistaken. He didn't heal everybody; certainly He didn't. He went through a pool of people. The Bible said in Saint John 5, a great multitude, thousands of lame, halt, blind, withered, twisted, waiting for the moving of the water. And Jesus went right through that crowd; He had seen a vision where God had showed Him someone laying on a pallet, went over there and healed him, and turned around and walked away. Is that Scripture? Amen. Certainly is.
And the Jews questioned Him. They questioning Him today. But watch what He said, Saint John 5:19 now. He said, "Verily, verily, I say unto you, the Son can do nothing in Himself, but what He sees the Father doing, that doeth the Son likewise." Is that right? Saint John 5:19.

E-59 Now, He will do the same today. Now, let me say this one more thing. If there wouldn't be a chance... I speak in the Name of Jesus Christ; you, not understanding will have to take My Word. But if the Holy Spirit comes today, and performs the work that He did, do you realize that unclean spirits and things will leave people? Do you realize that you're an open sepulcher for them? Did you know the diseases goes from one to another? You remember the other night when we talked, what it was? It's spiritual. Cancer is a...?... live matter. It's a life. Certainly, it is. It's got a master behind it, the Devil. Jesus said so. All kinds of diseases, demons... And if you are unbelieving, or a critic, I ask you, as a friend of Christ, don't stay any longer in the meeting. I'd go out, because you're... I haven't time to explain it to you. But there's hundreds of people today that's been in the meeting, and stricken down with cancer, and paralyzed, and some of them insane, and in the institutions and so forth. For spirits can jump one to the other. Noted men, I have their names with seals on it, by notary public, and so forth, that it's true.
So now, don't--don't be critical. Believe. And if you can't believe, then, I believe that after you heard the message, and may sometime the Lord Jesus bless you and bring you to another meeting. Now, we shall pray.

E-60 And now, Father dear, all the words I would say through the evening, wouldn't amount to as much as one word You would say. My word is the servant's word; You Word is the word of the Master. And, Father dear, I have tried to say to this Your heritage, that You have died for them to save them and to heal them. And if they will only believe You, and believe that You're alive today and not dead, and You're here, raised from the dead, and performing the same things that You did, no man can never raise above that, to do what God anoints and shows what to do. Then, Father, I pray that this city, and these people that You have given to me today to teach to, that there'll will never another doubt in their heart, but they will believe in You today, with all their hearts.

E-61 And these newborn babes that's just come to You, God, speak to their hearts definitely now, to let them know that the Jesus that they just accepted is a live One, the One Who will never die no more and will come someday to take all that has their name on His Book to a better world, where we'll live, eat, drink, build houses and inhabit them, and enjoy ourselves together with Him forever and ever.
Now, Father, will You anoint Your unprofitable servant? As I yield myself to Your Spirit may You used these unworthy hands, unworthy lips, unworthy eyes for Your service. But, God, I am so unworthy. But if You look for worthiness, where would You find it? It's not on earth, Lord; there's no one worthy. But it's the grace of Jesus the Son of God, Who has granted this to the people, knowing that the Scriptures must be fulfilled. These I commit into Your hands, Father. May You reap the results. And help Thou me in Jesus Christ's Name. Amen. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
The Lord be with you. Usually the meetings have me in such a condition till I hardly know where I am. I've enjoyed being here. God be with you till we meet again. Pray for me.
Now, we will pray for the sick.

E-62 You bring the person..?... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... in this prayer line, are you all strangers to me? How many here is strangers to me? Let's see your hands, everybody. You're every one strangers. There's only one person in the building I know, and that's this boy setting here, and this one standing here; and my boy is here somewhere. He's around here somewhere, my boy. And I know this is the pastor standing here, Brother Bigsby. Outside of that, they're strangers. I don't know you. But God knows you.
Now, I wished I could do something for you people setting here. I see, maybe, if you don't have prayer cards, or either if your number wasn't called, you don't have to have prayer cards. Let me show you. How many here doesn't have prayer cards, and wants to be healed, raise your hand? See? See, you don't have to have prayer cards; you have to have faith. Now, Jesus is the same. The only thing that I do, is just yield myself to Him, His Spirit. [Blank.spot.on.tape--Ed.]...?...
It's not my Gospel; it's His. It's not my word at stake; it's His. So, I will not fear; He will do all things well.

E-63 Now, here's a lady standing here, if you wish to, you can come up just a little closer, lady. You and I being perfectly strangers to each other, I suppose, first, time we've ever met, or been this close together in life... If that's so, raise up your hand. Now, the woman's standing here for some purpose. I don't know. God knows I don't know. But He knows this woman. And now, what if it was exactly the same thing, if this woman was just like the woman who came to the well where Jesus Christ was setting up against the side of the wall. What would He do to this woman?
Now, what if the woman's sick? She might not be. But what if she is sick? Her... If Jesus was standing here with this suit on, that He gave me, could He heal the woman? Be careful. No, He couldn't. He couldn't do it twice. He's done it once when He died at Calvary. Do you believe that? See? You wasn't saved last week. You wasn't saved five minutes ago. You were saved nineteen hundred years ago when Jesus paid the price for it. You accepted it five minutes ago (See?), same thing with healing.
Now, but if He being the resurrected Son of God, and He was standing here in a corporal body like mine, He would say to the woman, the woman, say, "Oh, Jesus, I want You to heal me."
You know what He's say? "I did that when I died for you, don't you believe My vicarious suffering and death at Calvary, That I was wounded for your transgressions, with My stripes you were healed? That's all He could say. If He done anything more, He'd break the Gospel. Is that right, ministers? He'd break the Gospel. He couldn't. It's already finished.

E-64 Everything a Christian has, it's his faith resting in the finished works of Calvary. Everything was finished and completed, and we rest our faith in the finished work. Any gift that says anything different from that, don't believe it; it's not of God. 'Cause there's where the price was paid. There's where everything was finished, right there.
But now, He set gifts in the church. Now, if this woman... Me talking to her, is to carry a conversation like Jesus...[Blank.spot.on.tape--Ed.]
The Angel of the Lord...?... I seen it here this morning on something. Have you gone one here, sir? It's in one of the pictures? Have you got one, Gene? That's just a portion of It on there, sonny. That was taken; it's just the end of It, one's that we've got on the pictures of Him; we won't sell on Sunday, that's all. But we got It here; It hangs in Washington, D.C. and copyrighted, and It was taken in Houston, Texas. It was taken again in Germany, was taken again at Little Rock, Arkansas. And It's been taken many times.

E-65 And that same Angel of God is not five feet from where I'm standing right now. That's right. That's the reason I feel satisfied He hears me. See? I wouldn't make a challenge like that, if I didn't know He was here. But making a challenge like that, with the purchased of Christ's Blood before me, you have to know what you're speaking of.
Now, if He speaks, then that's Him. You can doubt me; that's all right. But if you doubt Him, you'll repent for it, or never see Him. That's right. And if you made fun of it, or criticized it, there's never forgiveness in this world or the world to come, said Jesus. Now, that's a serious thing to think.

E-66 Now, sister, me not knowing you... The reason I called you sister because you are a believer. Your spirit, as I witness to you feels welcome, so then you're not a critic. You are here for help. And I don't know you. But if Jesus Christ will tell me what you're here for, will you accept it just like the woman at the well said, "Why, You must be a prophet. And we know that when Jesus comes, or Christ, He will do these things"? Then if He's raised from the dead, as I said in my sermon, then He's here. Or the Bible says, rather, that He's raised from the dead, to do the same things. Then you know the resurrected Jesus is here. Will the rest of you believe with all your hearts? Would you believe on the stretcher, lady? Will you believe on the wheelchair, sir? Will you believe over here, all of you? The woman now, perfectly strange, we don't know one another. And I'm trusting in Him.
Now, I go to meet her in the way of faith in the Name of Jesus Christ.
If the operator will watch the microphone, I don't know just how loud I'm speaking at times, whether the audience will hear it or not. That's between God.
The woman is aware that something's going on. She knows that she's in the presence of Something besides a man, her brother. It's the Presence of God, 'cause between me and her now stands that Fire whirling around. The woman is very conscious of It. If she can raise your hand at this time, if you are conscious of that? The lady is suffering, I see her, with a--a mental nervousness. She's all upset about something. And I see her getting something on her arm; oh, it's--it's a blood checking. It's a high blood pressure she's got. And she's got... I see them look over the heart, with a garment looking over the heart here. It's a heart trouble, got a heart trouble too. And then, there's something that's looking in the throat. It's--it's a growth on the inside of your throat. That's THUS SAITH THE LORD.
Now, you know whether that's true or not. You're the witness of that. It is true? Now, do you believe that Jesus... Now, you know Something has to come here to tell me that. Is that right? Do you believe that it's the Son of God in His resurrection power to fulfill His Words. Do you believe that? Then will you accept Him now, as Your Healer?
Then, Lord God of heaven and earth, I now condemn the disease of this believer's body and ask for her healing in Jesus Christ's Name. Go home and rejoice, sister, and be happy, be over your sickness. Amen.

E-67 Do you believe? Well, just settle it. You know there might just that one woman. You say, "Maybe she come with me." I don't know the woman, but... [Blank.spot.on.tape--Ed.]
Now, the man before me is a stranger. I don't know him. I've never seen him. Is that right, sir? If it is, raise your hand. The man is a stranger, not a stranger before God.
Now, sir, you're here for something [Blank.spot.on.tape--Ed.] is in your heart. And I don't know, but if God will reveal it, will you accept it? You're very seriously sick. There's a dark shadow over you. There's two of them. One of them is a spirit of epilepsy. And the other one is a condition of the stomach, that's causing hemorrhages to break forth. I see a doctor examine you, look at that stomach, and he says, that it's even as bad as cancer in your stomach. That's what he told you. That's exactly. Are you a believer? Will you accept it? Then go in the Name of Jesus Christ...?... God bless you, my brother.
Have faith in God. Don't doubt. Believe. All things are possible.

E-68 Now, I cannot heal; it's your faith in God that does the healing. The lady before me being a stranger that I never seen, I suppose. Are we strange? Perfect strangers. Have faith in God. Don't doubt. Now, it's people out there. See? Their faith operates It as the same as you. I'm singling you out, if I can (You see?), to talk to you. But their faith is the one, just like your faith will have to operate. It's not me; I--I'm not Him. I don't know you. See? It takes your faith in me to believe that. See? Just like their faith is believing and it's just pulling everywhere. But, maybe, if I can just keep your spirit in line...
You're very weak. And you've been somewhere to a place where they had you in bed. It's a hospital. You just come from the hospital, bursitis. that's right. It's left you in an awful weak condition. That's THUS SAITH THE HOLY SPIRIT. Do you believe now? Do you believe that God... You're supposed go back, but you won't have to if you believe with all your heart. Do you believe it? Come here.
Lord Jesus, I bless this daughter of God, and condemn the enemy in Jesus Name. May she receive her healing. Amen. Have a good courage, sister. Believe on Him now, while...?... then worship Him in the Spirit. Amen.
Now, you're just believing everywhere. Would you bring the...?... or whoever?

E-69 Nervous aren't you? You're looking just straight at me; you're arm is folded. But you're suffering with a nervous trouble. You was praying, wasn't you that God would make me speak to you? You promised God, if I would speak to you, you'd believe Him? Is that right? Is that your prayer? If that's right, raise you hand. How did I know your prayers then? Uh-huh. All right. You're healed.
I wonder now, if you'd do a favor for me? You believe now that the nervousness is gone from you? There's a lady setting right next to you with cancer. That's right. Is that right, lady? Now, you lay your hand over on her.

E-70 Dear heavenly Father, in the Name of the holy Child Jesus, stretch forth His hands today, Lord, empowering faith, and condemn that blackness over her. And may she be healed through Jesus Christ's Name. Amen.
If thou canst believe. Oh, I challenge your faith.
Now, now, I take every spirit under my control in the Name of Jesus Christ. You believe on Him? Don't you doubt. Get all that funny feeling away from you. That's the only thing keeping you from being made well.
You believe God will heal you with that gall bladder trouble, setting right back there? You believe with all your heart? Will you accept it? If you will, you can have it. All right. God bless you. Raise up your hand; that's right. He healed you of that. See?
You don't need your prayer; you don't need any prayer card. You need faith. I seen the woman when she was trying to eat, and it was coming back up in her mouth, and just the--the gall and stuff in her throat. That's right, isn't it, lady? Raise your hand. It's all gone now. Your faith...
What did that? The same, like the woman that touched the hem of His garments. Well, you said, "She touched His garment."
But the Bible said, "He's a High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities. Tell Him what's wrong with you. Just breathe it out to Him and say, "Won't You, Lord, heal me, watch what He will do. That settles it. He's raised from the dead. He's a living Jesus.

E-71 No doubt in my mind, but what there's more people, millions in the world, more worthy of the task of the--of proclaiming Jesus Christ than I am. That's true. I'm nothing, the least among you. I was born out of season, amongst you full Gospel people. I was a Baptist. And you know more about the Scripture, maybe, than I do, but I know the Author of It real good. And I know that He's here. And I know Who I believe. And I want you to believe me. That's why I'm here to help you. Mercy...

E-72 His Divine love for you is the One. Hanging up to your jaw, like that, setting down there, praying, got a stomach trouble, he wants God to heal you. I ain't reading your mind, but that's the truth. You're praying for God to... You said, "Lord, just speak to me." Is that right? If it is, wave your hand, the lady there with the stomach trouble. You're healed. That's right? Your stomach trouble's over. Go eat you a hamburger. It's all right. Your faith has healed you. I had nothing to do with it. I don't know you, never seen you. But your faith touched Him, and He spoke. I saw a vision break over you, seen you trying to hold your food in your mouth with your hand. It's a peptic ulcer. But it's over now; you're going to be well. Amen. Wonderful.
Sir, the man just pulled hisself in front of you. You got a hernia. But do you believe that God is going to make you well...?... I wasn't reading His mind. It was his faith that did that. God be praised.
If thou canst believe, all things are possible. But you must believe.

E-73 How do you do, lady. You believe me to be His servant? You know that I have... I don't know you. But Christ knows you. Now, it's going to be your attitude towards Him. And if... He said, "If you get the people to believe you," not believe me as Him, but believe that I am here under His orders. I never come myself. He brought me here. I can't do nothing for you. Only thing I can tell you is what has been done for you. And if I tell as a man, then you still could believe that by your preacher, 'cause you're a Christian and have the Spirit of God. But you're wanting help, just a little boost in faith.
Now, if God will explain to me what you're here for, will you accept it and believe it? You will? The first place, as the woman is leaving me, I see her at a table. And she's refusing to eat, because she has stomach trouble. And she is at a place where there's somebody looking through, or into her bowels. It's a doctor. And he says, she's got a--something wrong in the colon. He calls it a stoppage, or a block, or something in the colon, the doctor did. I see it on the paper there that he was writing on. That's right. That's THUS SAITH THE LORD. There's two of them consulted that. That's right. See two of them. Do you believe me to be His prophet? Now, here's another thing. I see someone standing by you. It's a child, little fellow about ten years old, and he's here with you today. And he suffers with a migraine headache. That's right. Amen. Now, take that handkerchief in your hand and lay it on him and it shall leave him. Go in peace and may the Lord Jesus Christ the Son of God grant these blessings. Don't fear, mother. Believe. Amen.
Have faith. Have faith in God. Don't doubt.

E-74 How do you do, sir. We're strangers to each other. You believe? Oh, my. He lives tonight.
Something happened. If I can only find it. To you again, sir, 'course you're wearing glasses; your eyes are bad or you wouldn't have glasses on. Of course, a man of your age, it actually has to have reading glasses after you pass forty years of age. Your eyeballs just actually get flat, you have reading glasses after that. But your eyes are bad.
But I see someone that's here by you. It's a woman. You're standing for someone else. That's your wife. And she's not here, and she's suffering with arthritis. That handkerchief that you wiped the tears from your eyes, just go lay it on her, believe, and as you believe so shall receive it in the Name of the Lord Jesus. God bless you, my brother.
Don't fear. Have faith.
Sir, you're praying for your wife too. She's a crippled woman. She's not here. But you believe that Jesus Christ make her well? You do? You can have what you ask for, the elderly gentlemen. Have faith in God. You do? Then you can have what you ask for. God bless you...?...
Something has happened to you too, hasn't it? You hear me now. Your ears come open. I trust you find wife well. May the Lord bless you, my dear brother.

E-75 Let's say praise the Lord. [Congregation says, "Praise the Lord."--Ed.] The Alpha, Omega, Beginning and the Ending, the Fairest of ten thousand, the Lily of the valley, the lovely One; the Son of God, the All-sufficient One, He that Was, which Is and shall come, the Root and Offspring of David, the Morning Star, His Presence is here. In Him dwells the Fullness of the Godhead bodily; in Him there's no disappointment; in Him lays Life; in Him lays healing; in Him lays everything. He is, not was. He is and will ever be the same. God be praised. Hallelujah.
Is this the woman? Excuse me, lady. Feeling terribly weak, have... You believe? If you'll believe with all your heart, he will quit drinking. You believe it? All right. He's an alcoholic. But He will quit it. Take your handkerchief, put it under his pillow, the one that you got in your hand, when the Holy Ghost struck you.

E-76 The woman next to you there, with that rupture, she'd like to be well too, wouldn't you, lady? Uh-huh...?... The man that just jumped and shook his head, he's bothered with nervousness, he'd like to get well too. The man who raised up his hands, had eye trouble for a long time, he wants to get...?... don't you, sir?
You can't hide your life. He's here.
Lady, there's...?... I don't know you, never seen you, but God does know you. Look at me and believe. You've been away for an examination or something. And they examined the chest. And they found infection. That's right. Chest x-ray... And you got to go back. Well, I see a man appear. And that man is relation to you by marriage. He's your brother-in-law. He has kidney trouble and stomach trouble. That's THUS SAITH THE LORD. Now, it's your faith. Do you believe? Then go and receive what you've asked for, and lay the handkerchief on the other parties body, in the Name of the Lord Jesus.
Have faith.

E-77 Lady, the thing that you have is killing more people than any. Heart trouble. But, how many people out there has got heart trouble, let's see your hand. You can be healed the same time she's healed, if you'll believe it. Do you believe it? Then raise your hands, and hold your hand.
Dear God, in the Name of the Lord Jesus the Son of God, I condemn the enemy. You can puzzle the doctors, but you'll never puzzle God. Come out of her in the Name of Jesus Christ, may you go. God bless you, lady. Have faith now and believe.
Do you believe Him? Come on. There's just some suffering there. Cancer, but God can heal it. It's no job for Him to heal cancer if you'll believe. Every person with cancer raise your hand now. You're ready for your healing.

E-78 Listen, sister. I have never in my life, God knows, and my hand on my Bible, ever seen anybody stand here, but what something happened to them. He promised it. Now, by God's grace, I tell you this now, by your faith coming here, the cancer is gone from you now. But now, if you'll just keep believing, it'll...?... I want to ask you something. As soon as I spoke, you come up here, a strange feeling struck you. If that's right, raise your hand. That's when the cancer left you. See? Now, it's gone now. But he'll walk in dry places and try to return. Ask you pastor, he's been instructed, as he did the other night, now go believing with all your heart and be well. And to confirm this, I lay my hands on this mother in the Name of Jesus Christ, and ask that the power of the Devil will stay off of her. Amen. Go, believing now, having faith. Amen.
Lady, do you believe me to be God's prophet, or God's servant? I'm not beside myself, but if God will tell me what you're trouble... I'm just getting so weak; I can't look much more. Will you believe? Then go eat your dinner; your stomach trouble left you. That's what it was.
Have faith in God.
What if I told you your back trouble left you when you was standing right down there? Would you believe it? Then go. Have faith and believe.
You're up for an operation, take that tumor out. But God's going to heal you if you'll believe it. You believe it? Then receive your healing in the Name of the Lord Jesus called the Christ. Grant it.
Go ahead and eat, your stomach trouble is gone from you, go on, that's right. Hallelujah! Oh, He's great. Christ the Son of God lives. Amen.

E-79 Little laddie, bless your little heart, honey, just a baby boy. Come here to me. Oh, bless his little heart. Honey, boy, do you believe Jesus Christ the Son of God? If He was here, He'd lay His hands upon you; you'd get well, wouldn't you? You'd quit that old coughing, wouldn't you? That old asthma would leave you. It would leave you too, if you'd believe it. You come here today in an ambulance, a big white Cadillac ambulance, suffering like that. Lady, don't you believe? If you want to, you can rise up out of that cot, and push the thing home, and go home and be well. Why don't you obey God?
How many of you believe? Then stand on your feet. I challenge every person in Jesus Christ's Name, no matter what's wrong with you. O God, I plead for mercy.
Satan, you're a loser. You're exposed. You bluff. You can't hold God's people, longer. I challenge you in the Name of Jesus Christ, you unbelieving spirit, come out of these people, and get out of them. I adjure everyone of you in the Name of the living God, Jesus Christ, to rise to your feet to be made whole...?...

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