Ecriture Sur La Muraille

Autres traductions de ce sermon: Ecriture sur la muraille - MS
Date: 56-0902 | La durée est de: 1 heure et 35 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          J’aimerais juste demander à frère Neville si lui et sa soeur aimeraient chanter un cantique spécial pour nous juste avant. Voudriez-vous le faire? Nous apprécions tous les entendre à la radio. Très bien. [Un frère dit: «Est-elle ici ce soir ou pas?» Quelqu’un d’autre dit: «Elle n’est pas ici ce soir, je ne pense pas.»–N.D.E.]

            Il a dit: «Elle n’a pas... Elle n’est pas encore ici.» [Un frère dit: «Elle ne s’est pas encore présentée. Elle était censée être ici.»] Eh bien, si elle se présente avant que nous commencions, nous lui demanderons de toute façon de chanter. Alors, nous–nous apprécierons cela.

            Eh bien, nous sommes content d’être dans la Maison du Seigneur ce soir pour Le servir et d’un... de tout notre coeur. Nous aimerions bien que tout le monde se sente vraiment libre maintenant, et nous allons adorer le Seigneur. C’est pour cela que nous sommes assemblés ce soir; c’est dans ce seul but: adorer le Seigneur Jésus.

2          Eh bien, nous avons passé des moments merveilleux dans le Seigneur, et le Seigneur nous a bénis par–par la prière pour les malades et les affligés. Là à Saskatchewan, au Canada, d’où nous venons de rentrer, notre Bienveillant Père céleste a exaucé la prière d’une façon merveilleuse là-bas. Et nous avons eu une merveilleuse, merveilleuse réunion parmi les gens. Et beaucoup de gens ont été sauvés et il y en a qui avaient été égarés qui sont revenus au Seigneur. Et beaucoup de grands signes, que le Seigneur a accomplis parmi nous. Ainsi donc, nous sommes contents pour tout cela.

            Eh bien, je venais de quitter un cas pathétique. Notre frère Burns qui venait ici au tabernacle, on a découvert l’autre jour un cancer dans son corps, et alors nous... On ne pensait pas qu’il allait s’en sortir, juste quelques jours de plus. Il sera là pour adorer avec nous, peut-être mercredi soir. Puis, il reviendra de nouveau au–au service du Seigneur.

3          Et nous avions fait un saut pour prier pour un petit garçon ici à l’hôpital. Je pense que le... frère Curtis Hooper, je ne sais pas s’il est ici ce soir ou pas. Mais il était... Et frère Cox m’a appelé, et un–un petit. garçon qui est resté inconscient dix semaines, qui était... il était arrivé à un endroit ici sur la colline Bull Creek. Ses freins ont lâché à la descente de la colline. Et j’ai parlé à sa mère, et ils ont été... ils fréquentent l’église, mais ils... aucun d’eux n’a réellement, je ne pense pas, n’est déjà né de nouveau. Et ils ont promis à Dieu que s’Il permettait que le petit garçon se réveille, ils–ils serviraient le Seigneur de tout leur coeur.

4          C’est donc une bonne chose. Et je–je pense que le Seigneur permettra que le petit garçon se réveille maintenant. Et c’est juste un petit garçon, il a regardé pendant qu’il était couché là, complètement affaissé. Il n’arrive pas à manger en effet. Il est inconscient ça fait dix semaines. Et ses jambes sont fracturées. On n’arrive même pas à fixer ses jambes ni rien, comme il n’est pas conscient pour s’asseoir.

            Et c’est un cas pathétique. Et pensez-y, si c’était votre enfant. C’est quelque chose auquel nous devrions vraiment penser. Et nous prions. Et j’aimerais que vous vous associiez à moi maintenant. La mère a fait une promesse à Dieu, qu’elle Le chercherait de tout son coeur et va... Le petit garçon, aussitôt qu’il se lève, je lui ai dit de m’appeler. Et au cas où je ne serais pas ici, de me le faire savoir aussitôt à notre retour. J’aimerais aller auprès du petit garçon pour–pour lui parler.

5          Et je n’arrive donc pas à me rappeler son nom maintenant même. J’avais cela dans ma poche, mais j’oublie. Ils habitent quelque part là à–à North Charlestown, quelque part sur cette voie-là. Et c’est un cas très pathétique. Priez donc pour ce petit garçon que je... ou juste après que nous aurons prié, mettons-nous simplement à remercier Dieu, car Il va exaucer la prière.

            Vous savez, Abraham fut fortifié, rendant gloire à Dieu pour ce qui semblait impossible. Et il fut fortifié tout le temps plutôt que de faiblir. Il a attendu dix ans, toujours le même; vingt ans, toujours le même. Et après avoir atteint quatre-vingt-dix ou cent ans, il rendait toujours gloire à Dieu, parce qu’il savait que cela arriverait. Dieu l’avait dit. Et c’était réglé. C’est assez quand c’est Dieu qui l’a dit. C’est–c’est assez pour régler la question.

6          Maintenant, dans l’adoration de cet après-midi, nous... Je... Dimanche passé, j’étais ici, mais j’étais si fatigué que je ne pouvais guère descendre... Alors, je me suis dit que je viendrais ce soir. La semaine prochaine, nous irons donc en Californie, au rassemblement sur la vieille rue Azusa.

            Et il y a deux ans, en Californie, quand nous étions à Cow Palace, là au... en Californie, à une réunion, eh bien, il m’est arrivé de penser que la pentecôte totalise cinquante ans cette année en Amérique. Ça sera cinquante ans de la pentecôte. Il y a cinquante ans, le Saint-Esprit était descendu premièrement sur la rue Azusa, dans la vieille mission de la rue Azusa, en Californie.

            Et alors, le Seigneur voulant, je pense, peut-être, si le Seigneur veut bien m’accorder d’inaugurer ce service le–le seize prochain, ainsi donc, j’aurai les deux premières soirées. Et ensuite, Oral Roberts prendra les suivantes, et puis, je pense Jack Coe sera le suivant, et ainsi de suite. Ce sera donc ainsi, pendant plusieurs soirées.

            Et je vais aller juste un peu tôt, parce que frère Espinosa qui est mon... qui était mon interprète là à Mexico il y a quelques semaines, là où vingt mille personnes étaient venues au Seigneur Jésus en une soirée il y a quelques semaines, suite à la résurrection d’un petit enfant mort, mort cet après-midi-là dans les bras de sa mère...

7          Et combien ont reçu Voice Of Healing [La Voix de la Guérison] de ce mois-ci? Je pense que vous y avez vu sa photo. Et il... C’est un... Il va... Il avait rassemblé tous les Mexicains dans la vallée San Fernando, là, sous une tente, ou quelque chose comme cela, pour une réunion de trois semaines avant le–avant le rassemblement sur la rue Azusa. Soyez donc beaucoup en prière pour moi cette semaine.

            Puis, le Seigneur voulant, le weekend prochain, je serai de retour ici au tabernacle pour un autre service, ici. Et ensuite, de là, nous irons à Idaho, et puis nous retournerons en Californie, sous tente, à Phoenix. Et ils envisagent maintenant de passer l’été outre-mer. Nous nous réjouissons bien, avec vous tous, des bénédictions du Seigneur.

8          Maintenant, ce soir, je vois que c’est une soirée consacrée à la communion, et nous aimons cela. Nous n’allons pas parler trop longtemps, mais juste parler un moment, et ensuite, s’il y a ici des malades qui... Je pense avoir vu une civière qu’on faisait sortir pour faire entrer quelqu’un. Ainsi donc, nous prierons pour les nécessiteux.

            Un homme de couleur m’a demandé hier soir ici s’il serait en ordre qu’il vienne pour qu’on prie pour lui. J’ai dit: «Certainement, mon frère, vous, tout le monde... Il a dit: ‘Que celui qui veut vienne.’ Puisse tout celui. Votre couleur ne change rien à cela. Votre âme peut être tout autant claire aux yeux de Dieu que celle d’un homme d’une autre couleur.» Voyez?

            A partir d’un seul sang Dieu a fait toutes les nations, à partir d’un seul sang. Savez-vous que si vous vous mourez, cet homme de couleur peut vous donner son sang pour la transfusion? Savez-vous que le jaune peut donner au brun, le brun peut donner au noir, le noir peut donner au blanc? Mais on ne vous transfuse jamais le sang d’un animal, vous allez mourir. Cela montre donc que cela...?... Nous ne descendons donc point des animaux. Nous avons un sang humain (C’est vrai.), créé par Dieu.

9          Et maintenant, juste pour une petite leçon ce soir, j’ai trouvé opportun, je voulais aborder ce soir mon sujet intitulé: L’Ecriture sur la Muraille. Et sachant que le temps dans lequel nous vivons, juste avant la Venue du Seigneur Jésus...

            Et voyant la vieille rue Azusa, j’y suis maintenant arrivé, cinquante ans depuis que le Saint-Esprit est en Amérique, et voir qu’on Le rejette complètement. Je pense qu’il serait vraiment opportun ce soir pour nous de lire dans Daniel et de découvrir donc certaines choses qui nous ont servi de préfiguration en ce jour-ci. Mais avant d’ouvrir Son Livre, inclinons simplement la tête pour Lui parler juste un instant.

10        Notre Père céleste, nous Te rendons gloire ce soir pour toute la bonté et la miséricorde que nous, pauvres créatures indignes, avons reçues de Toi par Ta grâce étonnante. Ô Dieu, quand nous aurons fait là dix mille ans, comme l’a dit un poète, nous n’aurons pas moins de jours qu’au départ pour chanter Tes louanges. Quel temps ça sera! Sachant que cela est dans un futur proche, que nous avons cette grande espérance et que nous attendons impatiemment de contempler Son visage, Lui qui est invisible parmi nous et qui nous a bénis de façon si miraculeuse.

            Veux-Tu bien venir ce soir, Père? Alors que nous ouvrons la Parole, que le Saint-Esprit entre directement dans la Parole et L’apporte dans l’assistance, à chaque coeur qui est préparé. Le terrain est tout préparé. Que la Semence tombe dans la bonne terre et qu’elle produise au centuple. Accorde-le, Père, alors que nous le demandons au Nom de Ton Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus. Amen.

11        En lisant la Parole, j’ai toujours pensé que mes propres paroles ne valent pas grand-chose. Mais elles failliront, car elles ne sont que les paroles d’un homme. Mais la Parole de Dieu ne faillit jamais. Juste comme...

            Je répétais à un homme aujourd’hui qui pensait plutôt qu’il avait... Il s’était confié au Seigneur pour sa guérison, mais il a manqué de la recevoir. Et puis, il était découragé et il a dit: «Si je n’ai pas assez de foi pour être guéri, peut-être que je n’ai pas assez de foi pour être sauvé.» Je lui ai parlé, j’ai dit: «La base de la guérison divine n’est pas au même niveau que celle du salut.»

            La guérison divine, c’est quelque chose placé dans le croyant, mais le salut, quand vous êtes... quand vous recevez Christ et que vous naissez de nouveau, vous avez une vie immortelle qui ne peut périr ni vieillir; cela ne peut jamais mourir. Cela ne peut jamais... C’est juste... c’est terminé pour toujours, une fois que vous naissez de l’Esprit de Dieu.

            Mais ce corps, il tombe malade, il devient faible, et Dieu nous vient en aide, Il nous guérit, et nous retombons malades. C’est simplement temporaire jusqu’à ce que le pèlerinage soit terminé. Mais le salut est permanent, pour toujours. Amen. Cela ne faillit pas.

12        Et maintenant, dans la Parole: «La foi vient de ce qu’on entend et ce qu’on entend de la Parole.» Et là dans Daniel, chapitre 5, c’est ce que nous lisons comme texte, au verset 22:

Et toi, Belschatsar son fils, tu n’as pas humilié ton coeur, quoique tu susses toutes ces choses.

            Et que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole.

            Toutes les choses anciennes de l’Ancien Testament n’étaient qu’une ombre de choses nouvelles à venir. Ces choses sont arrivées dans le passé pour nous faire savoir d’avance à quoi nous pouvons nous attendre en ce jour-ci si nous servons le Seigneur, et à quoi nous pouvons nous attendre si nous ne servons pas le Seigneur, et si nous Le servons sans enthousiasme ou de tout coeur.

13        Dans Hébreux, il est écrit: «Puisque nous sommes environnés d’une si grande nuée de témoins, rejetons tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement, afin que nous puissions courir avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte.»

            Or, toutes ces choses anciennes... Daniel, j’ai choisi le Livre de Daniel, je l’aime beaucoup, je n’ai pas enseigné cela depuis un petit moment, mais comme c’était une préfiguration du grand jour dans lequel nous vivons... Et l’âge des Gentils avait commencé du temps de Daniel.

            Dieu avait traité avec les Juifs jusqu’à ce temps-ci, et maintenant, Il se tourne vers les Gentils. Et dans cette grande prophétie, des visions et des songes, de Daniel, de Nebucadnetsar, de Belschatsar, beaucoup de personnages qui sont dans le Livre de Daniel étaient tous placés en ordre afin que nous puissions comprendre aujourd’hui.

14        Et comment, dans la vision de Daniel, on voit l’interprétation de la statue, de la bête et tout en rapport avec l’âge des Gentils, juste comment un royaume a succédé à un autre jusqu’à ce qu’on soit arrivé aux jours mêmes de la fin où nous vivons maintenant.

            Et de voir au Moyen-Orient toutes ces choses qui surgissent, ces troubles. De petites nations là, auxquelles on ne pensait même pas ou dont on ne parlait même pas il y a plusieurs–plusieurs centaines, oui, milliers d’années... peut-être deux mille ans ou deux mille cinq cents ans, rien d’important n’était dit au sujet de ces petits pays, jusqu’à ces derniers jours.

            Et des choses précieuses que nous pensions vraiment être insignifiantes, des endroits comme la mer Morte, et nous découvrons que la mer Morte a beaucoup plus de richesses que tout le reste du monde mis ensemble. Et toutes les mines de l’Iran et tout le reste. Juste un petit territoire qu’il a plu à l’Angleterre de confier aux Arabes, disant: «Il n’y a rien à cela. Qu’avaient-ils besoin de ces vieux territoires rocailleux? Mais ils ont manqué de reconnaître que la Bible avait dit qu’elle fleurirait comme une rose et produirait en abondance.

15        Combien... guère... Comment les hommes dans le passé et dans... même en ce jour-ci, combien ils ont mal jugé les choses en ne les considérant pas du point de vue de la Parole de Dieu! Quelle erreur fatale l’Angleterre avait alors commise? Quelle erreur fatale ont-ils commise en restituant à l’Inde ses droits?

            Mais ils ne se rendent pas compte de ces choses, parce qu’ils ne lisent pas la Bible. Mais si c’est vrai parmi les nations, combien plus cela l’est-il ce soir pour l’humanité, qui n’accorde pas de valeur à leur vie au jour le jour pour lire la Bible et voir ce que Dieu a placé dans Sa Parole pour chaque homme? Et votre attitude envers Dieu et envers Sa Parole...

16        Durant ce temps de la déportation à Babylone, c’était un temps vraiment marquant. Premièrement, ils ont été déportés là en Egypte. Deuxièmement, ils ont été déportés à Babylone, et le temps des Gentils a commencé. Et ensuite, ils ont été déportés ou dispersés par l’empire Romain, et le 7 mai 1947, ils ont une fois de plus été reconnus par les nations du monde pour la première fois depuis deux mille cinq cents ans, les Juifs.

            Le commencement de la fin, le figuier bourgeonne. La vieille étoile de David à six pointes, le drapeau le plus ancien qui ait jamais flotté sur la terre, a été de nouveau hissé sur le mât pour la première fois depuis deux mille cinq cents ans, marquant une promesse précise que Dieu avait donnée par les prophètes hébreux, qu’elle s’accomplirait: Il dresserait une bannière.

            Et quand nous voyons cela flotter sur Jérusalem ce soir, voyant Dieu endurcir les coeurs des hommes comme Staline, Hitler, Mussolini, et tous ceux qui persécutent les Juifs et les renvoient précipitamment vers la patrie, nous savons que le temps est proche.

17        Oh! Quel jour et quelle opportunité que même les chrétiens les plus faibles ont aujourd’hui à témoigner de la gloire du Seigneur Jésus! Quelle opportunité de faire quelque chose que les prophètes avaient désiré faire, et cela est entre les mains du chrétien le plus faible, de la petite ménagère. C’est entre ses mains aujourd’hui, de témoigner pour le Seigneur Jésus et Sa résurrection.

            Et les Juifs s’étaient éloignés de Dieu, ils s’étaient refroidis, ils avaient rétrogradé. Et Dieu a permis qu’une nation étrangère arrive là (Ce qui avait été prophétisé par le prophète), les disperse et les emporte, parce qu’ils s’étaient éloignés de Dieu. Et maintenant, si Dieu avait tant aimé les Juifs, et qu’ils étaient Ses premiers élus comme peuple... Il avait appelé les Juifs à sortir, et pourtant, quand ils ont semé, ils ont eu à récolter ce qu’ils avaient semé.

            Et nous ne sommes pas refoulés, ou nous ne sommes pas immunisés contre les jugements de Dieu, quand nous désobéissons à Ses commandements. C’est vrai. Cela vaut pour les nations, ou les individus, ou les églises, ou pour quoi que ce soit. Quand nous désobéissons à Dieu, nous subirons le jugement à cause de cela. Dieu est juste et Il ne peut rien faire d’autre, mais chaque personne recevra une juste récompense pour les oeuvres qu’il a accomplies.

18        Et maintenant, dans ce grand temps de déclin et de l’apostasie des Juifs... Dieu a permis l’invasion d’une nation païenne pour emmener Ses élus dans la captivité, parce qu’ils n’avaient pas servi le Seigneur de tout leur coeur: C’est un très beau tableau du jour dans lequel nous vivons. Pourtant, nous avons été un peuple choisi et sélectionné, un peuple béni par-dessus tous les autres dans le monde, mais une fois que nous oublions les commandements de Dieu, et que nous commençons une grande beuverie, des émeutes, des divorces, l’adultère, et des choses que nous supportons, en les rendant absolument légales dans ce pays-ci, Dieu a des nations qui peuvent venir prendre cela quand Il le veut.

            Vous avez suivi l’autre jour ce commentateur qui venait de quitter la Russie; il a dit: «Ils avaient–ils avaient au moins dix mille bombardiers, qui ne peuvent même jamais s’arrêter pour l’approvisionnement en carburant et qui sont chargés, dans des silos, des bombes atomiques, qui peuvent survoler l’Amérique et rentrer sans même s’approvisionner en carburant.» Pensez-y, chaque–chaque avion portant au moins huit ou dix bombes atomiques et des bombes à hydrogène qui peuvent anéantir complètement cent cinquante millions de gens dans cette nation en une heure. Et nous pataugeons dans le péché, la corruption, abandonnant le Seigneur, faisant des choses contraires à Sa Parole, riant, nous moquant de ceux qui cherchent à faire le bien. Quoi d’autre pouvons-nous attendre sinon une répétition de la déportation à Babylone? Tout à fait.

19        Remarquez là, Dieu avait là un serviteur du nom de Daniel, un jeune prophète d’environ quarante ans, qui servait le Seigneur de tout son coeur. Et Dieu avait un travail à lui faire faire.

            Et lors de la déportation à Babylone, rappelez-vous, si Dieu a un travail à vous faire faire, tous les démons de tourment ne peuvent pas vous retirer. Ils ne peuvent en aucun cas vous toucher. Dieu a un dessein pour l’Eglise du Saint-Esprit. Et tous les démons de l’enfer ne seront jamais à mesure de retirer cela. Dieu a un dessein pour ça. Et il ne sera jamais détruit avant que Dieu accomplisse le dessein qu’Il a ordonné de faire, et cela se fera.

            Et, rappelez-vous, quand Daniel est allé avec les enfants hébreux là-bas, j’aimerais que vous le remarquiez, beaucoup parmi eux avaient déjà un esprit mondain, beaucoup parmi eux ne se souciaient pas, pendant qu’ils suivaient le courant de la moindre résistance. N’est-ce pas à peu près le tableau de notre pays aujourd’hui?

            Et ceci peut paraître choquant, mais c’est pratiquement le tableau de l’église aujourd’hui; pour la nation, n’en parlons même pas; elle suit le courant de la moindre résistance. Vous semez à tout vent, allant simplement de l’avant.

20        Ô Dieu, donne-nous des hommes comme Daniel! Donne-nous des chrétiens comme Schadrac, Méschac et Abed-Nego, qui sont disposés à consentir des sacrifices et à oublier chaque droit qu’ils ont pour devenir un serviteur du Seigneur.

            Remarquez. Daniel, quand il est allé à Babylone, il savait qu’il allait parmi les incroyants, des incirconcis. Quand il est allé là, il savait qu’il se mêlerait à eux. Non pas qu’il voulait s’y retrouver, mais parce que la nation était tombée, et il a dû aller en captivité avec eux. Mais Dieu était avec lui comme un étranger. J’aime ça. Non, même si nous sommes étrangers, Dieu est toujours avec vous.

            La petite histoire, je ne sais pas, je l’ai racontée si souvent. Je peux l’avoir racontée au tabernacle, mais cela me vient juste à l’esprit en ce moment-ci. Il y a quelque temps, là dans les territoires du sud, on vendait des esclaves. On les achetait, des négociants passaient les acheter juste comme on fait dans un parking de voitures d’occasion aujourd’hui. On vendait des gens, la race de couleur, comme esclaves.

            Et pendant qu’ils faisaient cela, les gens passaient dans les anciennes plantations et ils voyaient un groupe d’esclaves; s’ils avaient l’air de bons travailleurs, il pouvait offrir un certain prix, acheter ces esclaves, les emmener et les revendre comme de bons travailleurs quelque part ailleurs et se faire des bénéfices en échange.

21        Alors, un jour, un négociant est passé, il a vu un groupe d’esclaves qui travaillaient dans une certaine plantation, une centaine, ou plus, d’esclaves. Et ils étaient tristes, parce qu’ils étaient loin de chez eux. Souvent, on les fouettait parce qu’ils ne voulaient pas travailler. Ils se disaient qu’ils ne reverraient plus jamais leurs maisons, ils ne reverraient plus jamais leurs enfants, ils ne reverraient plus jamais leurs papas et mamans, ils ne reverraient plus jamais les membres de leurs familles. Et ils étaient très abattus comme ça arrive très facilement, surtout quand on est opprimé.

            C’est ce que le diable aime faire sur vous et il vous opprime. Vous savez, c’est un truc de l’ennemi, vous opprimer. Mais quand un chrétien connaît ses droits légaux (Amen!), quand vous pouvez citer la Parole de Dieu: «Je ne te quitterai point, Je ne te délaisserai point», cela ôte l’oppression. Et les nuages commencent à se dissiper. Mais si seulement vous savez que Dieu a fait la promesse et que Dieu est fidèle, Il peut tenir Sa Parole, sinon Il ne l’aurait jamais promise.

22        Et alors, ce négociant est passé, et il a vu un de ces esclaves. Oh! la la! Il n’était pas comme les autres. On n’avait pas à le fouetter. Il était bien à la tâche, poitrine bombée, menton relevé. Il était bien disposé à travailler et à tout faire, il était vraiment plein d’entrain, un homme brillant.

            Et le négociant a dit: «J’aimerais acheter celui-là.»

            On lui a dit: «Il est...» Le propriétaire a dit: «Il n’est pas à vendre.»

            Il a dit: «Eh bien, qu’est-il?» Il a dit: «Est-ce lui le chef des autres?»

            Il a dit: «Non, il est juste un esclave.»

            «Eh bien, a-t-il dit, peut-être que vous le nourrissez un peu mieux que les autres.»

            Il a dit: «Non, il mange là à la cuisine avec tous les autres.»

            «Eh bien, a-t-il dit, mais qu’est-ce qui fait qu’il est tant à l’oeuvre?»

            Il a dit: «Je m’étais toujours posé cette question jusqu’au moment où j’ai découvert quelque chose.» Il a dit: «Savez-vous ce que j’ai découvert? C’est que son père est un roi d’une tribu. Et même s’il est un étranger, il sait néanmoins qu’il est le fils d’un roi.» Amen.

23        Frère, même si nous sommes étrangers dans ce monde où il y a des péchés et le chaos, vous bombez néanmoins le torse et vous levez les yeux. Oui, vous êtes fils et filles du Roi. Quel genre de personne devrait... Il faisait cela pour garder haut le moral des autres.

            Et c’est ce qu’il nous faut faire, nous qui sommes nés de nouveau du Saint-Esprit: garder bon courage. Quel genre de personnes devrions-nous–devrions-nous être, sachant que notre Père céleste est le Roi? L’unique chose que l’esclave ne savait jamais, c’est qu’il ne retournerait plus jamais chez lui. Mais il y a une chose bénie, c’est que nous, nous savons que nous retournerons à la Maison un jour. Amen.

            Jésus a dit: «Je reviendrai, et Je vous prendrai avec moi, afin que là où Je suis, vous y soyez aussi; que votre coeur ne se trouble pas. Ne pensez à rien d’autre, mais gardez votre esprit sur ces choses.» Cela ferait chanter un oiseau moqueur au milieu de la nuit aussitôt qu’il pourra le savoir.

24        Je me suis souvent demandé... Je vois frère Wright assis ici. J’avais l’habitude de prêcher dans l’église baptiste. Je voyais cet oiseau moqueur perché là la nuit et chanter dans ce buisson des cèdres. Alors, je me demandais ce qui le faisait chanter. Je me suis mis à lire sur des oiseaux, et j’ai découvert ce qu’il fait.

            J’ai constaté que, par une nuit nuageuse, il se met donc à chanter de temps à autre. Il observe les étoiles. Et chaque fois qu’il voit une étoile briller, il sait que le soleil brille quelque part. Alors, il se met à chanter.

            Et je pense que c’est pareil avec des chrétiens. Tant que nous pouvons sentir et savoir que la Présence de Dieu est avec nous, une petite gloire descendant de temps en temps, un bon réveil à l’ancienne mode ou un vieux cantique alléluia qui nous fait chanter de tout notre coeur, car nous savons que le Saint-Esprit descend encore quelque part. Dieu reçoit encore la gloire. Quelle chose merveilleuse!

25        Daniel, un étranger loin de la maison, là loin. Mais observez ce qu’il a fait. Il a résolu de ne pas se souiller avec ce que faisait le roi là, toute la nourriture compliquée du roi et tous ses mets délicats qu’il avait à manger, et ses vins, et ses liqueurs. Mais il a résolu, alors qu’il était un étranger, de se garder pour Dieu. Amen.

            Vous y êtes. Même si le monde vous oublie, même si tout le monde se moque de vous et vous taxe de tout nom fanatique dont on peut être taxé, soyez résolu à faire ce qui est correct. Soyez résolu à ne rien avoir à faire avec le monde. Nous vivons à l’ombre de la Venue du Seigneur.

            Que pouvez-vous vous promettre, n’importe qui? Qu’est-ce que n’importe quelle nation peut promettre? Il ne reste aucune promesse. Il n’y a rien qui reste. C’est le chaos et tout. Il n’y a rien de ce côté-ci que vous pouvez voir, mais levez les yeux de ce côté-là. Chaque promesse dans la Parole est vraie. Un glorieux jour, Jésus viendra et toutes ces choses seront ôtées et Christ régnera.

26        N’est-ce pas une espérance merveilleuse de savoir que ce vieux corps frêle et fragile dans lequel nous habitons, et ces petits fils fragiles de la vie sur lesquels nous marchons, un jour, cela cèdera, et chaque roue mortelle qui tourne s’arrêtera, et nous effectuerons un voyage vers Mont Sion pour vivre pour toujours dans la Présence de Dieu, et que nous redeviendrons un homme nouveau et une femme nouvelle, jeunes et dans la splendeur de la jeunesse pour rester ainsi éternellement?

            Même si nous deviendrons jeunes là pour toujours, transformés en un instant, immortels, elle brillera à Sa ressemblance, dépassant par son éclat les étoiles et la lune. Quelle glorieuse assurance nous en avons parce que la Parole éternelle de Dieu qui est vraie dans tous les âges a promis cela aux croyants! De quoi devons-nous nous inquiéter? De rien, soyez simplement heureux à ce sujet.

27        Eh bien, Daniel a dit: «Je serai résolu. Peu importe la pression qu’ils pourront exercer sur moi, combien ils riront et diront que je suis un saint exalté, cela ne me dérangera pas du tout. Cela ne me fera pas du tout obstacle. Je vais rester fidèle à Dieu, peu importe combien ça tourne mal.» C’est ça. Alors, vous allez aboutir quelque part lorsque vous commencez avec une telle attitude.

            Rappelez-vous, c’est le motif que vous avez pour n’importe quoi qui détermine ce que vous allez tirer de cela. Ce sont vos motifs. Si vos motifs sont corrects, tout ira bien pour vous. Mais ayez toujours des motifs corrects. Servez le Seigneur dans un but. En effet, vous L’aimez, non pas parce que vous avez peur de l’enfer, non pas parce que vous avez peur de mourir, mais parce que vous L’aimez, Lui qui vous a aimé alors que vous n’étiez pas aimable. C’est ça.

            «Cher Agneau mourant, Ton précieux Sang ne perdra jamais de Sa puissance jusqu’à ce que toute l’Eglise rachetée de Dieu soit sauvée pour ne plus pécher.» C’est exact. «Depuis que par la foi j’ai vu ce ruisseau, que Tes plaies saignantes alimentent, l’amour rédempteur a été mon thème et il le sera jusqu’à ma mort.» Quel merveilleux vers du poète! Et c’est vrai. Prenez tout le reste, mais donnez-moi l’amour.

28        Si j’avais chaque don de la Bible et que je pouvais échanger cela contre l’amour, je ne clignerais jamais un oeil. Je prendrais cela maintenant même. Laissez-moi sentir les bénédictions du Seigneur Jésus et Son amour divin dans mon coeur, déversé par le Saint-Esprit, et j’échangerais n’importe quel don de la Bible contre cela. Oui, oui. J’échangerais un–un domaine, si j’étais un roi et que j’étais assis sur un trône, et que le monde était mon domaine, je donnerais chaque sou de cela et je perdrais un million d’années de cette vie dans ce monde ici pour avoir l’amour de Jésus-Christ, qui est déversé dans nos coeurs par le Saint-Esprit. Il n’y a rien de comparable à cela.

            Soyez donc résolu maintenant à servir le Seigneur, peu importe ce que le monde dit. Oh! Combien le diable est malin, combien il est rusé, amis. Surveillez-le.

29        Dans le petit ministère que le Seigneur m’a donné, à travers le monde, dans divers pays, j’ai vu cette main sournoise du très rusé diable. Combien il peut facilement vous bouleverser et faire paraître cela comme la vérité. Oui, oui. Le plus gros mensonge qui ait jamais été proféré contenait la vérité. Le premier mensonge que le diable a dit à Ève avait beaucoup de vérité.

            Il a dit que cela lui ouvrirait les yeux, qu’elle aurait... qu’elle deviendrait sage, qu’elle aurait plus de connaissance. Tout cela était vrai. Et puis, il a dit: «Vous ne mourrez certainement pas.» Mais Dieu avait dit: «Vous mourrez.» Cela était donc réglé. Restez fidèle à la Parole.

30        Alors, Daniel avait résolu de rester fidèle à Dieu et à la Parole de Dieu. Et pendant qu’il était là, le Seigneur a pu l’utiliser. Pourquoi avait-Il pu utiliser Daniel? Parce qu’il était résolu. Et si vous voulez être utilisé par Dieu, soyez résolu à L’aimer et à Le servir, et tout ira bien.

            Le roi avait fait un songe. Et, oh! combien j’aurais voulu avoir le temps de l’aborder. J’ai prêché sur cela une fois ici au tabernacle semaines après semaines après semaines, il y a de cela plusieurs années, quelques quinze, peut-être, vingt ans.

            Comment en ce début du jour des Gentils, quand Dieu s’est tourné vers les Gentils, là, Il a fait une faveur au roi Nebucadnetsar, Il lui a donné un grand trône. La chose suivante qui est arrivée, c’est que le roi s’est exalté dans son coeur. C’est la nature des Gentils de faire cela, de s’enfler: «Nous sommes une grande personne.»

31        C’est ce qui est arrivé aux églises. Nous nous sommes enflés: Nous sommes de grandes dénominations. C’est ce qui est arrivé aux presbytériens, aux méthodistes, aux baptistes, aux pentecôtistes, et à tous les autres. Vous vous êtes enflés, vous êtes quelque chose de grand, c’est juste en ce temps-là que Dieu vous quitte, quand vous faites cela.

            Vous devenez une grande organisation. Mais je préférerais être–je préférerais être un humble serviteur du Seigneur plutôt que d’avoir toutes les grandes organisations au monde (Oui.), ou fréquenter la plus grande église, ou être du côté de la–de la majorité. Je préférerais être avec la minorité, de toute façon, et être en ordre avec Dieu (oui), à n’importe quel moment.

32        Et alors, quand nous voyons ce roi par la suite, le roi Nebucadnetsar, comment il s’est exalté dans son coeur, et Dieu a eu à lui faire manger de l’herbe comme un veau pendant plusieurs années, ses cheveux ont poussé comme les plumes de l’aigle et ses–ses ongles comme des griffes d’un oiseau. Et comment il a dû... jusqu’à ce que le roi a reconnu dans son coeur qu’il n’était rien, et que c’était le Dieu du Ciel qui plaçait qui Il voulait et qui enlevait qui Il voulait.

            Et souvent, il peut arriver que nos cheveux ne poussent pas comme des plumes de l’aigle, que nos–nos ongles ne poussent pas comme les griffes de l’aigle, que nous ne mangions pas de l’herbe comme un veau non plus, mais parfois Dieu a eu à placer une affliction sur nous pour nous faire savoir que c’est toujours Lui qui règne dans notre vie. Et nous sommes simplement ici parce qu’Il nous permet d’être ici, et que c’est par Sa grâce que nous sommes ici. Et nous devons Le servir.

33        Et il y a quelque temps, je parlais à un homme à Idaho, là-haut, et il a dit: «Eh bien, monsieur Branham, a-t-il dit, j’ai élevé des cochons.» Il a dit: «Mon grand-père avait ce troupeau. Il nous a fait étudier, nous les enfants. Et avec le même troupeau, j’ai fait étudier mes enfants. Et mes enfants grandiront et feront étudier les leurs avec le même troupeau.»

            J’ai dit: «C’est très bien, monsieur. C’est un travail légitime, de–d’élever un troupeau. Mais, ai-je dit, savez-vous que Dieu vous a placé ici dans un but autre que celui d’élever les cochons pour instruire vos enfants? Dieu vous a placé ici pour être des fils et des filles de Dieu, et si vous manquez d’atteindre cela, vous manquez de recevoir le but même pour lequel Dieu vous a placé sur la terre.» C’est vrai.

            Peu importe combien vous êtes honnête, décent, moral, combien vous pouvez être bon, et quel homme très social vous pouvez être, vous manquez toujours l’appel si vous ne servez pas le Seigneur Jésus et que vous ne devenez pas un fils ou une fille de Dieu. Peu importe combien vous pouvez être un bon voisin, combien vous pouvez être un bon n’importe quoi, tout cela est bien et nous apprécions cela. Mais mon frère, à moins que vous deveniez un fils de Dieu, vous manquez d’atteindre le but pour lequel Dieu vous a placé sur la terre. C’est vrai.

34        Or, le roi Nebucadnetsar était un homme hautain. Il a dit: «Regardez ce que j’ai fait.» Alors, le Seigneur lui a donné un songe et cela l’a troublé. Et alors, il a vu une grande statue. Nous connaissons bien cette statue. Et remarquez la précision de la Parole éternelle de Dieu.

            Le roi Nebucadnetsar a vu une statue ayant une tête d’or: la poitrine à ce niveau était d’argent. Et ses cuisses étaient d’airain, et ses pieds étaient de fer et d’argile. Maintenant, observez ces royaumes. Le métal le plus doux, c’est l’or. Le suivant, plus dur que ça, c’est l’argent. Le suivant, c’est l’airain; et le plus dur d’eux tous, c’est le fer. Le fer est le plus dur.

            Et remarquez comment le monde des Gentils a commencé. Cela a commencé par être doux. Ensuite, ça a continué à se durcir de plus en plus, jusqu’à ce que finalement c’est devenu... de l’argile et du fer, mélangés ensemble. Et chacun de ces royaumes...

            Maintenant, pensez-y, il y a deux mille cinq cents ans, un seul homme avait résolu de servir le Seigneur et de ne pas se souiller; c’est une prédiction à point nommé de ce jour-ci, et tout autre âge a succédé parfaitement, comment le royaume babylonien serait emporté. Les Médo-Perses allaient régner, puis la Grèce a été conquise. Rome a régné dessus et Rome s’est divisée en deux pieds, c’étaient la Rome Orientale et la Rome Occidentale.

35        Et chez les Romains, il y aurait deux différentes églises parmi les Gentils. L’une serait catholique et l’autre, protestante. Le fer, de l’église catholique romaine, et l’argile, de l’église protestante. Comment elles ne se mélangeraient pas, mais elles mêleraient leurs semences, se mariant entre eux et cherchant à briser l’un la puissance de l’autre. C’est tout à fait parfait, exactement comme Dieu avait dit qu’il arriverait.

            Et cela s’est passé aussi parfaitement que ça peut se passer. Et toutes les autres promesses de Dieu s’accompliront aussi parfaitement que cela s’était accompli. Un jour, nous retournerons à la Maison, dans la Gloire. Un jour, Jésus viendra.

            Je crois, pour revenir maintenant au texte, que nous vivons au jour même où Dieu a promis qu’Il déverserait Son Esprit sur l’Eglise des Gentils. Il avait déversé Son Esprit sur l’Eglise hébraïque en ce jour-là, au commencement, le jour de la Pentecôte. Il a dit: «Il y aura la pluie de la première et de l’arrière-saison.» Les deux peuples différents, les Juifs et les Gentils. Et dans ces derniers jours, Il déversera Son Esprit sur l’Eglise des Gentils.

36        Maintenant, j’aimerais vous faire remarquer: Aussitôt que le roi avait eu cette vision et qu’il a compris cela, il a obligé chaque personne dans son royaume, dans son domaine, à adorer cette image. Il a fait une image. Et les érudits croient, et je pense effectivement qu’une personne remplie de l’Esprit verrait que cela... Il adorait Daniel, c’est ce qu’il a fait. Il a fait une statue à l’image de Daniel. Et il a appelé cela Beltschatsar. Il a appelé Daniel, Beltschatsar, du nom de son dieu. Et il a fait une image et il a obligé chaque personne à adorer cette image-là.

            J’aimerais vous faire remarquer que le commencement des Gentils, quand Dieu a traité avec eux, ils s’étaient enflés dans leurs coeurs et ils ont obligé chaque homme à adorer l’image d’un saint homme. Et l’âge des Gentils a commencé avec cela, il se terminera de même. De même, un–un boycott de la marque de la bête obligera les gens à adorer des images et à faire des choses contrairement à l’enseignement que nous avons reçu de la Parole de Dieu.

            Et, frère, ça sera si sournois, si malin que cela séduira si c’était possible même les élus. Vous feriez donc mieux d’être résolu ce soir et d’être rempli du Saint-Esprit de Dieu, afin que vous puissiez discerner le vrai du faux lorsque cela aura été décrété. Alléluia!

37        Quand nous voyons toutes ces puissances de l’Orient, du Moyen-Orient, quand nous voyons le monde oriental et le monde occidental s’unir, nous voyons ces deux pieds de la vision de Daniel. Voyez? Cela se répète simplement de nouveau, et il y a un réveil de l’ancien Empire romain qui s’opère aussi certainement que je me tiens ici. C’est vrai. Il est temps que des Daniel se lèvent. Il est temps que les gens soient résolus à vivre fidèles à Dieu, et au Saint-Esprit, et aux principes de la Bible, sans tenir compte de ce que le reste du monde dit.

            Regardez quel immense remue-ménage ils avaient eu. Pour commencer, ils empiraient de plus en plus, tout le temps.

            Or, nous voyons cela atteindre le sommet. Et ça continue jusqu’à la tête de la chose, et cela atteint le point où ils commencent à devenir immoraux, ils ont épousé des femmes, ils ont des alliances mixtes par des mariages et tout. Et finalement, le roi en était arrivé à inviter toutes ses femmes (marier et s’entremarier.) Il a invité tous ses seigneurs, ses concubines, tous ensemble pour avoir une grande fête une nuit; il les a tous fait venir pour avoir un grand bal folklorique comme nous appellerions cela aujourd’hui, rien d’autre dans le monde. Exact.

38        Un très grand jubilé quand tous les gens et peut-être beaucoup de Juifs étaient là même avec eux. Il les a tous invités. Et après qu’ils eurent vraiment bien bu, ils ont eu envie d’aller prendre des objets consacrés, pour s’amuser un peu.

            Et quand un homme est intoxiqué par le whisky et une liqueur forte, il ne jouit plus de ses facultés mentales. Si donc il jouit assez de ses facultés mentales, suffisamment pour savoir qu’il ne devrait pas faire cela, et qu’ensuite il va le faire malgré tout, Dieu l’en tiendra responsable, peu importe qu’il soit ivre, car, Il l’a prouvé cette nuit-là, Il a fait. C’est vrai.

            Vous êtes mieux avisé, pour commencer, pour faire cela. Vous êtes mieux avisé que ça pour commettre adultère. Si on vous attrape en flagrant délit, vous êtes bien coupable. Et Dieu vous rattrapera. Ne vous en faites pas. C’est vrai.

            Et si vous mentez ou volez, ou n’importe quoi d’autre, Dieu vous rattrapera. Rappelez-vous, vos péchés vous rattraperont. Assurément. Soyez donc résolu ce soir à aller servir le Seigneur.

39        Et ils avaient tous les exemples sur ce que Dieu allait faire. Ça leur avait été dit d’avance par le roi. A vrai dire, Beltschatsar est considéré comme son fils, mais c’était son petit-fils. C’étaient ses filles, son... Nebucadnetsar avait une fille, et celle-ci avait épousé un général, et le fils de ce général était Beltschatsar. Ainsi donc, c’était son petit-fils. Et il savait ce que Dieu avait fait à son grand-père pour s’être retrouvé dans cette situation-là. Et il avait toutes ces choses, ce qu’il avait fait, et pourtant, il a ignoré tout ce que Dieu avait dit. Il a ignoré cela et il est allé de l’avant dans sa propre voie.

            Et, frère, soeur, si ce n’est pas là le tableau du pays aujourd’hui, c’est que je ne sais pas ce que c’est. Quand la Bible dit que c’est mauvais de faire ces choses, et que l’église va continuellement de l’avant et le fait...

            Nous légalisons le fait de boire le whisky. Nous légalisons le fait de boire la bière. On laisse les femmes...

40        Tenez, l’autre jour, mon copain là derrière et moi allions chasser l’écureuil, et nous sommes sortis... Et j’ai utilisé des fusils toute ma vie. Et nous avons érigé une grande barricade en acier et tout le reste et on a tiré quelques coups de balle là pour vérifier si nos viseurs étaient au point, là dans une cour. Et on a appelé la police. Ils sont arrivés là et ils ont dit que c’était dangereux d’habiter dans le voisinage.

            J’ai dit: «Je devrais aussi appeler la police pour lui dire: ‘Il est dangereux d’avoir ces femmes nues étalées là dehors dans la cour pendant que les gens conduisent sur la rue.’» Ils sont mieux avisés que cela. La nature elle-même vous dira mieux que ça.

            Mais on en est arrivé à un jour où on ignore chaque loi de Dieu. Ils érigent leurs propres clôtures faites par des mains d’homme et ils servent ainsi. Frère, nous n’avons au monde rien qu’une autre Babylone. Tout à fait. Nous avons une Babylone moderne et une grande fête d’ivrognes étendus là. Et l’église, non seulement juste des pécheurs, mais des membres d’église font cela dimanche après-midi, ils roulent, boivent. De petites filles dans la rue avec un manteau comme ceci, gelant pratiquement à mort, sans habits en-dessous...

41        Il n’y a qu’une seule chose et un seul passage dans la Bible où on ait jamais agi comme cela, ce qui a amené quelqu’un à se déshabiller, c’est quand on était possédé de démon. C’est vrai. C’est la vérité. Et il n’y a pas de compliment pour cela... de compromis. C’est la vérité. C’est le diable qui entre dans ces gens qui les amène à se déshabiller. C’est le diable. Vous ne voulez pas être en erreur, mais femmes, c’est le diable qui fait ça.

            Autrefois, c’était mauvais pour des femmes de la sainteté de se maquiller le visage. Et aujourd’hui, elles appliquent cela de toute façon, et chantent, crient et louent le Seigneur comme si de rien n’était.

            Oh! Frère, vous rendez-vous compte que c’est le diable qui fait faire cela? Soyez résolu à vivre. Que ce soit démodé, vivez de façon démodée et servez le Seigneur Dieu des cieux et de la terre. Soyez résolu.

42        Remarquez comme ils se sont éloignés! Autrefois, c’était mauvais pour les hommes de boire. Eh bien, aujourd’hui, c’est populaire. Partout où vous allez. Dans des salles... J’étais dans une convention de l’école du dimanche il n’y a pas longtemps. Dans une salle, une salle de l’hôtel où nous restions, il y a eu la bande d’ivrognes la plus horrible que j’aie jamais rencontrée de ma vie. Ils parcouraient les ascenseurs, dans une convention de l’école du dimanche. Et de petits garçons et de petites filles allaient dans la même salle ensemble passer toute la nuit. Et leur archevêque était assis là, permettant cela.

            Frère, vous êtes volontairement ignorant. La Parole de Dieu a dit de vous séparer de tel chaos et de tel... Dans notre nation, l’Amérique, le taux de divorce est plus élevé que celui de tout le reste du monde mis ensemble. Quel est le problème? Nous sommes mûrs pour le jugement.

            Vous pouvez prêcher la Bible, la puissance du Saint-Esprit, et la résurrection de Christ, les signes et les prodiges suivront les croyants. Vous parlez des dons qui reviennent dans l’église, de la restauration de toutes choses; et les prédicateurs se moqueront même de vous et diront que vous avez perdu la tête.

            Frère, je suis résolu, peu importe où on doit se tenir sur la terre, si je dois être excommunié, je prêcherai toute la Bible, sinon rien de cela du tout...?... Certainement. Résolu à faire ce qui est correct, et à penser ce qui est saint.

43        J’avais une petite croix suspendue à l’avant de ma voiture, l’autre jour, pendant que nous parcourions Sellersburg. Un homme est entré dans la voiture, il a dit: «Billy, j’aimerais vous poser une question.» Il a dit: «Saviez-vous que c’est catholique?»

            J’ai dit: «Quoi?»

            Il a dit: «La croix.»

            J’ai dit: «Oh! Non. Depuis quand les catholiques ont-ils opté pour la croix?» Amen. J’ai dit: «Ça, c’est l’emblème de la foi chrétienne.» J’ai dit: «Le catholicisme adore les morts, tels que Marie, et–et sainte Cécile, et toutes ces autres petites choses, dix mille petits saints qu’ils ont. C’est ça le catholicisme. Mais le protestantisme, c’est la croix et Christ qui est ressuscité d’entre les morts et qui est vivant ce soir aux siècles des siècles, l’unique Médiateur entre Dieu et l’homme.» Amen. J’ai dit: «Je vais vous dire pourquoi j’ai suspendu cela là.» J’ai dit: «C’est parce que je peux quitter l’un de ces jours. On me dit que le maire de Miami a établi une loi selon laquelle chaque femme qui passe dans la rue doit se couvrir du cou jusqu’aux genoux.» J’ai dit: «Je vais déménager vers Miami, peu importe combien j’ai cela en horreur.» Oui.

            J’ai dit: «La raison, c’est que partout où l’on regarde, à l’est ou à l’ouest, à gauche ou à droite, il y a toujours une espèce de vulgarité. Cela est toujours devant vous. Et quand je regarde cette croix-là, je peux voir quelque chose de mieux, et je pense à la rançon grâce à laquelle le Dieu Tout-Puissant du Ciel a sauvé mon âme. Et je pense que sur cette croix-là, l’emblème de souffrance et de honte, c’était sur cette vieille croix que Jésus saigna et mourut pour me sauver et me sanctifier des choses du monde. Et il est toujours devant ma face.» C’est vrai.

44        Maintenant, en ce jour où nous vivons et des choses que... Remarquez, malgré tous ce chaos, ils sont allés prendre des vases sacrés du Seigneur, ils sont ressortis et s’en sont servis pour boire du vin et faire des moqueries, se moquer des choses sacrées de Dieu. C’est juste ce qu’ils font aujourd’hui. C’est juste ce qu’ils ont fait pendant cinquante ans. C’est juste ce qu’ils ont fait depuis la rue Azusa. C’est exactement ce qu’ils sont en train de faire ici.

            Ils se moquent de cela, et ils disent: «Il n’y a rien à ça.» Ils disent: «Le don divin de la guérison, le don divin du parler en langues, le don divin d’interpréter, le don divin de connaître les choses d’avance, la prophétie, tout cela, c’est dire la bonne aventure. Il n’y a rien à cela. Tout cela est du diable.» Et ils ne se rendent pas compte qu’en prononçant cette parole-là, ils se scellent loin de Dieu pour toujours.

            Jésus a dit: «Quiconque prononcera un mot contre Moi sera pardonné. Mais quand le Saint-Esprit sera venu et qu’Il fera la même chose, dire un seul mot contre cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Et elle a été pesée dans la balance et trouvée légère. Et l’écriture est sur la muraille ce soir. Exact.

45        Frère, nous sommes sûrs de sombrer. Je ne veux pas dire l’église, je veux dire la nation. Elle est aussi sûre de sombrer qu’elle est une nation. Elle doit sombrer, parce que toute la chose est devenue une puanteur aux yeux de Dieu. Et les soi-disant religieux sont devenus pires que les communistes; en effet, ils savent certes faire ce qu’il y a de mieux et ils ne veulent pas le faire.

            Pensez donc au jour, pensez donc. La colonne vertébrale de cette nation, ce sont ces bonnes vieilles mères et ces bons vieux pères là, qui sont dans leurs réunions de prière, à genoux, en train de prier. Ce sont des gens qui servent Dieu qui sont la colonne vertébrale de chaque nation. Et pourtant, on se moque d’eux, on les raille, on les taxe de tout ce qu’il y a–ce qu’il y a sous le soleil, les taxer de cela. Et on se moque d’eux. Rappelez-vous, peu après, l’écriture apparut sur la muraille: MENE, MENE, TEKEL, UPHARSIN. Ce qui veut dire: «Tu as été pesé dans la balance et tu as été trouvé léger.»

46        Frère, quand je vois l’emblème hissé là à Jérusalem, quand je vois les Juifs retourner, quand je vois le conflit au Moyen-Orient, la vieille Inde est là toutes ces années, et maintenant, elle est devenue la clé de voûte, des gens illettrés, mais la clé de voûte. Nous avons manqué de leur prêcher l’Evangile. Nous avons fait tout le reste. Nous avons construit de très grandes églises et nous avons dépensé des milliards de dollars, les investissant dans l’église. Et les missionnaires ne peuvent pas partir parce qu’ils n’ont pas d’argent pour continuer.

            Et nous sommes allés là. Et ce pour quoi les missionnaires sont allés là et ont essayé de leur parler du Seigneur, les autres surgissent en de très grandes belles tenues d’apparat, s’en moquent même et les évitent. Je me suis tenu là et j’ai vu cela de mes propres yeux.

            Frère, nous avons été pesés dans la balance et nous avons été trouvés légers. Les missionnaires avaient une marche de sous sur l’autel, la compagnie de la bière avait ses... l’argent de la dîme qui devrait revenir à Dieu. C’est l’exacte vérité. C’est tout à fait la vérité.

47        Nous avons absolument donné à la mauvaise chose. Nous avons tout mis dans ces soi-disant organisations, et ces petites oeuvres philanthropiques, et autres comme cela. Alors que des hommes roulaient dans de très grosses Cadillac vertes avec des ronds de mégots, un cigare de cinquante cents à la bouche, on touche cinq cents dollars par semaine, à distribuer à ses amis. C’est vrai. C’est la colonne vertébrale de tout cela.

            Et... ou le diable est venu depuis Paris, où il y a les gens les plus vils, les plus souillés et les plus nauséabonds au monde, et ils sont arrivés ici et nous avons laissé nos membres les prendre pour modèle. Toutes les femmes ont leur conception moderne.

            Vous rappelez-vous que je lisais l’autre jour le rapport de Hollywood? Savez-vous quelle était la première chanson qui a jamais été diffusée à la radio, qui a commencé à faire rouler la balle, qui n’a pas été censurée? La première chose qui avait commencé, c’était la petite chanson: Roulez vos... faites descendre vos bas et montrez vos genoux, jeunes filles. Regardez-les aujourd’hui. Elles n’ont plus de bas à faire descendre.

48        Regardez cela. Regardez la saleté. Regardez la souillure. Regardez ce que cela a fait. Regardez les stripteaseuses, regardez tout le reste à la radio, non pas la radio, mais à la télévision. Vous y avez inséré les films, vous essayez de garder vos enfants loin de films. Vous les gens de la sainteté, vous les braves gens, vous qui avez essayé de prêcher la vérité, vous qui avez essayé de vous en tenir à cela. Le diable cherche à faire un bond en avant.

            Savez-vous ce qu’il a fait? Il a placé cela en plein dans votre maison sous le nom de la télévision. Oui, oui. Et maintenant, nous sommes tombés si bas et nous sommes devenus si corrompus, et nous avons réussi et nous avons dépassé Paris au point que, maintenant, c’est eux qui copient leur mode chez nous. Oh! la la!

            Si je pense, quand je parcours les rues de Paris là, et ces vieux urinoirs, comme ça pue dans la rue! Je pense que toute la nation américaine est devenue un urinoir moderne aux yeux du Dieu Tout-Puissant. Quand les divorces, les viols et les crimes... Et arrêtez cela si vous le pouvez; vous ne le pouvez pas. Dieu a dit qu’il en serait ainsi, et elle est mûre pour le jugement. Soyez résolus à ne pas vous souiller avec les choses du monde.

49        Mesdames, laissez pousser vos cheveux; ôtez le maquillage de votre visage, et ôtez ces habits sales. Hommes, débarrassez-vous de ces cigares, de la cigarette, des bars, des piscines, venez au Dieu vivant et soyez résolus devant le Dieu vivant à mettre de côté tout fardeau qui vous enveloppe si facilement et courez avec persévérance dans la carrière qui vous est ouverte.

            Quel jour! Quel temps dans lequel nous vivons, une Babylone moderne! Leur Dieu qui est juste pour déverser Son jugement là doit être le même Dieu juste aujourd’hui pour déverser le Sien ici. De même que l’âge des Gentils avait commencé par des émeutes, de la boisson, des femmes, des beuveries, la dispensation des Gentils se termine de même. Nous nous dirigeons vers le chaos à force de boire avec des ivrognes. Nos petits adolescents ici à l’école, on les initie à fumer la cigarette, et de là, ils passent à la marijuana.

            Et beaucoup d’écoles permettent aux enfants de fumer en classe juste avant de passer un examen. Et il y a quelques années, quand le Faites-les descendre et montrez vos genoux d’une jeune fille était très modeste, une chose choquante. Et aujourd’hui, des femmes, des soi-disant femmes chrétiennes, sortent dans des rues; une disgrâce. Je vous assure, cela ferait rougir un archange. C’est vrai. Dans quel chaos sommes-nous? Dans quelle condition se retrouve le monde?

50        Maintenant, mes amis, ne laissez pas ces paroles passer pour stupides. Elles sont la vérité, elles sont raisonnables, elles sont la Bible. Elles viennent de mon coeur. Si je sais cela, j’essaie de garder un voeu devant Dieu. Et, frère, soeur, recevez cela au Nom du Seigneur Jésus, tel que cela est censé être donné.

            Et j’aimerais que vous remarquiez ceci maintenant. J’aimerais que vous écoutiez attentivement. Avez-vous remarqué? Juste avant l’apogée même de tout cela, quand il y a eu l’écriture sur la muraille, ils ont dit: «C’est quoi tout ça?» Ils sont allés chercher leurs hommes sages. Ils ont pris leurs Chaldéens; ils ont pris les diseurs de bonne aventure. Et aucun d’eux n’a pu interpréter ce langage-là. Aucun ne pouvait savoir ce que c’était.

            Il ne restait dans leur royaume qu’un seul homme qui pouvait interpréter les langues inconnues. Dieu avait parlé dans des langues inconnues et Il avait écrit de Son propre doigt en langues inconnues. Et il y avait là un homme qui avait le don d’interprétation, et c’était cet homme résolu à ne pas se souiller avec les mets du roi. Amen. Et il a eu l’interprétation correcte. Il y a un faux groupe; c’est vrai; mais il y avait un seul homme qui avait la chose. Et il a pu lire cela. Il a interprété ce que c’était.

51        Remarquez, l’âge des Gentils s’est terminé avec les dons surnaturels de Dieu en action. Il a commencé avec les dons surnaturels. Il se termine avec les dons surnaturels. Et les dons surnaturels sont revenus à l’Eglise remplie du Saint-Esprit, et cela est en action aujourd’hui. Et ils lisent l’écriture sur la muraille. Nous sommes dans le chaos. Amen.

            Soyez résolus à ne servir rien d’autre que le Seigneur Jésus. Soyez résolus ce soir à vivre pour Lui. Nous sommes au temps de la fin, amis. Nous sommes juste au jour de la fin. Regardez ce qui est arrivé.

            Je me rappelle la toute première petite chanson vulgaire. Et maintenant, tout ce que vous pouvez allumer la radio... Si vous ne tombez pas sur une bonne émission religieuse, c’est sur l’un de ces vieux boogie-woogies ou les rock-and-rolls. C’est vrai. Pensez donc à ce qui se passe.

52        Considérez le foyer moderne en Amérique. Savez-vous où...? Papa, où est-il? Il est dans un bar en train de prendre un verre amical avec le voisin. Où est maman? Eh bien, elle est à la fête de couture et tricotage, jouant aux jeux de cartes. Junior, où est-il? Il est dans son bolide, là, en train de courir dans les rues, se traînant chacun avec une jeune fille entrelacée dans un bras et une cigarette dans l’autre. Où est la soeur? Elle est à la cantine, dansant le rock-and-roll toute la nuit avec un groupe de soldats et tout avec lesquels elle a couru.

            C’est ça le foyer moderne en Amérique. Frère, l’écriture est sur la muraille. C’est vrai. «Tu as été pesé dans la balance et tu as été trouvé léger.»

            Et de grands hommes ont parcouru cette nation. Billy Graham, Jack Shuler, Oral Roberts, et ils ont prêché l’Evangile pur du Seigneur Jésus. Et les gens se sont moqués d’eux et ils les ont raillés et ils ont carrément rejeté cela. Il ne reste qu’une seule chose; c’est le jugement divin, et cela arrive. Et la Russie est là, vous attendant.

53        Frère, rendez-vous compte que cent cinquante millions de gens peuvent mourir en une heure, et cela peut arriver avant l’aube, au matin. Toute cette nation peut être anéantie. Et que pensez-vous qui va arriver? Quand ceux-ci manquent...?...

            Si dix mille avions larguaient des bombes atomiques, si chacun d’eux larguait une bombe atomique ou une bombe à hydrogène sur cette nation, le monde entier basculerait de son orbite. Qu’est-ce que cela ferait? Accomplir chaque Parole que Dieu a dit devoir se passer. Qu’est-ce que cela ferait?

            A l’époque du monde antédiluvien, quand on a construit les sphinx et autres, ces grandes pyramides, ce que nous ne pourrons pas reproduire aujourd’hui s’il nous le fallait, jadis dans ce même pays où commencent maintenant les histoires, en Egypte, une prophétie très frappante de la Bible, si j’avais le temps d’aborder cela. Mais nous n’en avons pas.

            Mais remarquez, Dieu a prophétisé là, dans Ezéchiel, vers le chapitre 9 ou 19, j’oublie en ce moment ce que c’était là, que dans le jour juste avant la Venue du Seigneur il y aurait une route qui partirait de l’Egypte vers la Syrie. Et ils ont terminé cette route après deux mille cinq cents ans de prophétie.

54        Et en ce jour-là, à Jérusalem, une bannière sera hissée, l’étoile de David à six pointes flottera. Et comment le... Cela bourgeonnera comme une rose, les Juifs reviendront de partout, retournant à la patrie.

            Tenez, l’autre jour, frère Arganbright m’a montré ce film: Minuit moins trois. Ce n’étaient pas des chrétiens, c’étaient des hommes de science qui le disaient. La vieille horloge a sonné et la pendule a fait des tours, au travers des troubles et des chaos, et des sermons de l’Evangile, des messages jusqu’à ce que finalement on est à minuit moins trois.

55        Et j’ai vu ce film-là. Je les ai vus ramener ces Juifs; Ils revenaient de l’Iran, ils revenaient de l’Egypte, ils revenaient de partout à travers le monde. On les transportait, les jeunes gens transportaient leurs vieilles mamans sur le dos. Et on leur a fait passer une interview...

            Quand nous avions atterri juste en bas, et j’avais atterri au Caire, en Egypte, j’ai vu ces gros avions qui revenaient, chargés de ces gens. On s’est avancé et on a demandé: «Pourquoi retournez-vous dans votre patrie? Y retournez-vous pour mourir afin d’être ensevelis dans la patrie?»

            Ces vieux Juifs, les larmes leur coulant sur les joues, ont dit: «Non, nous allons rencontrer le Messie.» Alléluia! «Nous allons voir le Messie. Il sera là bientôt.» Et quand le figuier bourgeonne, le temps est proche, même à la porte: «En vérité, Je vous le dis, cette génération ne passera point, que tout cela n’arrive.»

56        Quand nous voyons l’Amérique, la dernière grande civilisation, frère, en tant que grand pays comme tel, nous en sommes arrivés à tout céder. Ce qui est mortel doit céder à l’immoralité.

            Je me tenais ici il y a quelque temps dans le bois et j’ai pleuré comme un enfant. J’étais allé là à la tombe de mon papa. J’avais l’habitude de le voir se débarbouiller, ses petits bras courts et boudinés. C’était un petit bucheron aussi fort qu’il pouvait l’être. Et j’ai vu comment monsieur Coots me parlait, disant: «Billy, j’ai vu ton père tout seul, a-t-il dit; tu dois être un homme fort.»

            J’ai dit: «Mais je ne le suis pas.»

            Il a dit: «J’ai vu ton papa charger tout seul un rondin de frêne de neuf cent cinquante livres [431 kg].» Et je me disais, mon vieux, que... mon papa vivrait jusqu’à cent cinquante ans. Il est mort à cinquante deux.

            Qu’était-ce? Nous n’avons point ici-bas de cité permanente. Tout ce qui est mortel cède. Peu m’importe combien vous êtes fort, combien vous êtes en bonne santé; votre souffle repose entre les mains du Dieu Tout-Puissant. Il peut le retirer dans la seconde qui suit. C’est vrai.

57        Je me tenais à côté d’un vieil arbre là, quand je fus sauvé, au début. Je ne savais comment parler au Seigneur, mais je voulais me mettre en ordre. Je ne Lui avais jamais parlé. Savez-vous donc comment j’ai offert ma première prière? J’allais écrire cela sur un bout de papier. Comme j’étais un homme de bois, j’habitais toujours dans le bois, pratiquement. Et j’ai–j’ai constaté que là, je Le voyais dans le bois. Je pouvais L’entendre. Je pouvais entendre les empreintes de Ses pas, on dirait, alors qu’Il passait la nuit dans le tourbillon. Oh! Il chevauche le tourbillon. Alléluia! Son onde, c’est dans un tourbillon.

            Je pouvais Le voir alors qu’Il tapait les mains avec des feuilles comme cela. Tout par une Voix, disant: «Adam, où es-tu?» Oh! Couché là sous une couverture, la tête ressortie, regardant les étoiles. Je savais qu’Il restait dans le bois.

58        Alors, j’ai rédigé ma prière. J’ai dit: «Ô Dieu, j’ai été un homme horrible. Veuille donc me pardonner.» J’ai pris cela et je l’ai attaché à un arbre. Je ne savais comment le Lui demander. Je me disais que s’Il passait par là, Il pourrait lire cela et savoir que je regrettais ce que j’avais fait. Je ne savais comment prier. Mais le Dieu du Ciel a compris cela, Il a sauvé mon âme perdue. Oui, oui, monsieur.

            Je me tenais à côté de vieux arbres là dans le bois l’autre jour, et je me suis mis à pleurer. Frère Wood et moi étions dans le bois. Et j’ai constaté cela. Ce très grand arbre avait ses grandes et fortes branches étendues comme cela. Je me suis dit: «Quel merveilleux arbre!» J’avais l’habitude d’en détacher les morceaux, je ne pouvais pas acheter une tente; je me faisais un petit abri de repos et me retirais là en dessous de cela, la nuit, quand il pleuvait, alors que nous étions là à la pêche, qu’on y restait toute la nuit.

            Et quand je... juste un enfant, et je pensais que cet arbre-là subsisterait ici des centaines et des centaines d’années. Aujourd’hui, ce n’est qu’une souche. Qu’est-ce? Non, peu importe combien cela était fort et puissant, tout ce qui est mortel cède à l’immortalité.

59        Et, frère, nous avons une grande nation. Nous sommes un grand peuple. Nous sommes une grande église. Nous sommes grands en tout. Mais je vais vous dire quoi, tout ce qui est mortel doit céder. Et ce–ce temps est proche. Je vous assure, tout réside là. Et le monde en est arrivé à un très grand chaos de rien d’autre que de la corruption et de la puanteur devant Dieu. Cette nation consomme le whisky, elle consomme la bière, et nos taxes ont financé ces whiskys et des trucs, qui soutiennent notre nation, et c’est de l’argent du sang.

            Si vous pensez que c’est mauvais de boire du whisky et que vous dites: «Laissez ça tranquille, prédicateurs, vous ne devriez rien dire au sujet de boire. C’est notre droit en tant qu’Américains.» Je sais que ce sont vos droits en tant qu’Américains, mais ce ne sont pas vos droits célestes.

            Et, frère, si vous êtes disposé devant Dieu, vous serez–vous serez à mesure, vous allez dans votre coeur perdre chaque droit souillé que vous avez pour servir le Seigneur, et vous serez résolu à ne pas vous souiller avec les choses du monde.

60        Vous dites: «Frère Branham, les autres chrétiens fument. Pourquoi ne puis-je pas fumer?» Vous pouvez avoir le droit de fumer en tant que citoyen américain, mais en tant que chrétien, vous n’avez pas le droit de le faire. En effet, c’est une pierre d’achoppement sur le terrain de quelqu’un d’autre. C’est tout à fait vrai. Et vous ne devriez pas faire cela; vous placez une pierre d’achoppement.

            Toutes ces autres choses. Et votre habillement, vous dites: «Eh bien, les autres femmes, elles s’habillent comme ceci ainsi que les autres jeunes filles. Elles s’habillent comme ceci, et elles font ça. Pourquoi ne puis-je pas le faire?» Je sais que c’est votre droit en tant qu’Américaine. «La loi ne dit pas que je ne peux pas le faire.» Je le sais. Elle ne dit pratiquement rien, vous pouvez faire tout ce que vous voulez. C’est vrai. Pratiquement n’importe quoi.

            Mais, frère, ce n’est pas dans le coeur d’un chrétien de faire cela. Si vous êtes résolu à mener une vie pure et propre devant Dieu, la nature elle-même vous enseignera que ces choses-là sont mauvaises.

61        Mais nous y sommes. Nous en sommes arrivés à ce point-là. Qu’est-ce? C’est parce que nous sommes au bout du chemin. Soyez résolu ce soir à ne plus jamais, plus jamais, tant que le monde subsistera ou tant que vous vivrez, à ne plus jamais vous souiller vous-même, plus jamais, avec une portion du mode de vie américain (oui, oui), le mode de vie américain, le soi-disant. Eh bien, l’ancien mode de vie américain était bien. Etre un bon voisin et être honnête et tout, c’est bien. Mais ce mode moderne, de votre nudité, boire, faire des beuveries, la séparation, se marier et s’entremarier, et–et tout ce non-sens. Soyez résolu à vous abstenir de tout cela tant que vous vivrez. Prions.

            Pendant que nous avons nos têtes inclinées, chaque coeur devant Dieu, avec sincérité, je pense que nous sommes au bout du chemin. Ces signes apparaissent toujours à la jonction du temps. Rappelez-vous, juste avant la destruction antédiluvienne, Dieu a suscité un prophète. Dieu a envoyé des anges sur la terre. De grands signes et de grands prodiges ont eu lieu, et la pluie est tombée, et le monde a été détruit.

62        Juste avant la sortie d’Egypte, Dieu a envoyé un prophète. Il a envoyé un Ange dans un buisson ardent. Des signes et des prodiges ont été accomplis. Oh! Quelle horrible chose! Et l’Egypte a été noyée dans la mer derrière et l’église a continué vers la victoire.

            Juste avant la Venue du Seigneur Jésus, un prophète a été suscité, Jean-Baptiste. Le message a été proclamé, des anges sont apparus, des signes et des prodiges ont été accomplis, et Jésus est venu. Et le Sauveur du monde a été crucifié.

            Nous sommes au bout du chemin. Nous avons connu l’âge du catholicisme, mille cinq cents ans des âges de ténèbres. Nous avons connu des centaines d’années de Martin, de lutherisme. Nous sommes passés de là au méthodisme, avec John Wesley. Nous sommes passés de là à Calvin, Knox, Finley... Finney, tous les autres, jusqu’au pentecôtisme. Et nous sommes à la fin de cinquante ans de la pentecôte, et elle est tout aussi rétrograde que le reste de cela.

            C’en est fini d’elle maintenant. Les femmes en sont arrivées à agir comme le monde. Des hommes en sont arrivés à des choses du monde. Le prédicateur à la chaire a honte ou il a peur d’en parler, parce qu’il redoute d’être bouté hors de l’organisation. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Que Dieu nous aide à avoir des hommes libres de toute servitude, libres de tout, de sorte qu’ils peuvent prêcher la Parole sans compromis et appeler le chat par son nom.

63        Mon ami, êtes-vous chrétien ce soir? Etes-vous sauvé? Savez-vous que vous êtes sauvé? Nous sommes au bout du chemin. Et l’une de ces soirées, il va être trop tard. Il viendra, et l’Enlèvement pourra avoir lieu à tout moment.

            Pendant que nous avons nos têtes inclinées, y a-t-il quelqu’un qui aimerait lever la main pour dire: «Frère Branham, souvenez-vous de moi dans la prière ce soir. J’aimerais être résolu, dès ce soir, à ne plus jamais servir le monde.» Voudriez-vous lever la main? «J’arrêterai de fumer. J’arrêterai mes danses. J’arrêterai mes... la bassesse du monde.»

            Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, ami. Qu’Il vous bénisse ici au bout, frère. Qu’Il vous bénisse là derrière, petite dame.

64        Quelqu’un d’autre, qu’il lève la main pour dire: «Par la grâce de Dieu, ce soir, je sais que je suis à Babylone. Je sais la condition dans laquelle nous sommes. J’entends cela être martelé partout, Frère Branham, et je sais que nous sommes au bout du chemin. Je lève maintenant la main vers Jésus-Christ et je Lui demande d’être miséricordieux envers moi. Je vais être résolu, dès ce soir, à arrêter toutes ces choses souillées que j’ai faites et à servir le Seigneur.»

            Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Levez la main, dites: «Je m’abstiens maintenant de toutes les choses du monde, et je sers maintenant le Seigneur à partir de ce soir.» Maintenant, pendant que nous chantons doucement, avec vos têtes inclinées, si quelqu’un est convaincu à ce sujet, j’aimerais, si vous le voulez, que vous vous avanciez vous agenouiller ici à l’autel, afin que nous priions pour vous. En faisant cela, qu’est-ce que Jésus a dit? «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et il ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

65        Combien c’est simple! Hommes, femmes, pouvez-vous vous permettre de rater le Ciel? Que représente–que représente tout, alors que les âges s’écoulent? Des milliers et des centaines de milliers d’années à partir de ce soir, quand ce vieux monde aura explosé, c’est ce que dit la Bible. La Russie se dit cela maintenant. Elle a une bombe suspendue là même, avec votre nom inscrit dessus.

            Ne craignez pas celui qui peut détruire le corps, mais craignez Celui qui peut détruire les deux, le corps, et jeter l’âme en enfer. Voyez? Craignez Dieu; aimez-Le. Soyez résolu ce soir à Le servir.

            Et ce, à un moment, quand ce monde aura explosé sous l’effet de ces bombes, il s’envolera là dans le soleil. Et une chaleur ardente brûlera la terre. Et le monde sera détruit par le feu, qui brûlera les atomes. Des millions, des milliards de fois de degrés Fahrenheit. Voulez-vous faire une chose simple pendant que Dieu parle à votre coeur? Levez la main vers Lui pour dire: «Je servirai Dieu à partir de ce soir. Je servirai Dieu.»

            Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. C’est... Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Maintenant, inclinons donc la tête.

66        Bienveillant Père céleste, une prédication brute et dure de la Parole. Mais, ô Père divin, j’en ai marre d’écouter ces petits sermons à la Hollywood, enfantins, apportés avec des gants, qui ne pénètrent pas au fond des coeurs de gens, mais qui plutôt enduisent cela: «Venez adhérer à l’église.»

            Ô Dieu, nous avons besoin de la repentance à l’ancienne mode. Nous avons besoin des hommes et des femmes qui se lèvent et viennent au Seigneur Jésus. Ô Dieu, nous voulons voir cette chose être réglée, car ça sera la dernière fois pour nous d’être mortels. Ça sera la dernière fois et peut-être la dernière chance pour des hommes et des femmes ici ce soir de jamais venir à Toi.

            Ceci peut être le temps de scellement. Il peut ne pas y avoir un lendemain pour beaucoup. Alors, en ce jour-là, j’aurai à prendre position quand cette grande soirée ici, ce sera sur l’enregistreur du Ciel. Et j’aurai à rendre compte de ce que j’ai dit. Et les gens auront à rendre compte de la façon dont ils auront réagi.

67        Et, Seigneur, ce soir, une douzaine de mains ou plus ont été levées, cherchant le salut. Ô Dieu, Tu es Christ. Et nous Te prions de les recevoir ce soir, de les bénir, de les sauver du péché maintenant même. Et dans leur coeur, qu’ils soient résolus alors qu’ils sortent de cette salle, et qu’ils entrent dans la Babylone moderne, qui doit être secouée un jour...

            Les Médo-Perses attendaient à la porte. Il a dit: «Tu as été pesé dans la balance et tu as été trouvé léger.» Et quand nous apprenons ce soir qu’une nation puissante qui a plus de bombes, plus d’avions et des milliers de fois plus d’hommes, prête... Une nation impie qui ne connaît pas Dieu, qui est prête à venir de l’est vers l’ouest, et qui est à mesure et capable de faire cela... Et nous restons tranquilles, pataugeant dans le péché, dans une fête d’ivrognes avec le whisky, des débits de boisson ouverts, buvant, faisant des beuveries.

68        Et l’église qui a lavé ses vêtements dans le Sang de l’Agneau, on s’en moque. On la raille. Mais les dons de Dieu sont revenus, les grands signes et les grands prodiges qui, as-Tu dit, accompagneront le croyant: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, as-Tu dit; en Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues, ils saisiront des serpents, ou s’ils boivent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

            Et ces signes sont revenus pour montrer aux gens que l’écriture est sur la muraille. Le temps de la fin est ici. Ô Dieu, laisse... réveille chaque incroyant ce soir, qu’il se rende compte du salut de son âme, nous le demandons au Nom de Christ.

69        Et avec nos têtes inclinées, si quelqu’un parmi vous désire, celui qui a accepté Christ comme son Sauveur personnel ce soir, si vous le voulez, j’aimerais que vous veniez vous agenouiller ici à l’autel et que vous vous agenouilliez ici même et que vous priiez un peu.

            Amis, saviez-vous ce qui arrive? Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Y aurait-il quelqu’un d’autre qui le suit? Un homme couché sur la civière lève la main. Un homme peut-être estropié ou quelque chose comme cela, ou malade, très malade, couché sur une civière, lève la main. Peut-être qu’il ne peut pas se lever pour venir à l’autel. Dieu peut... Il prend soin de lui là même où il est, non seulement cela, mais Il le guérit aussi et le rétablit. Nous allons tenir un service de guérison.

            Voudriez-vous vous lever de votre siège et venir ici juste une minute? Vous qui aimeriez servir le Seigneur et qui aimeriez vous consacrer? Que Dieu vous bénisse, mon frère de couleur, alors qu’il s’avance vers l’autel maintenant pour se consacrer. Un autre homme part de là au fond, il s’avance directement. C’est bien.

Il y a une Fontaine remplie du Sang,
Tiré des veines d’Emmanuel,
Une fois les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.

            Pendant que nous chantons doucement maintenant, voulez-vous venir?

Il y a une (C’est ouvert)... de Sang,
Tiré des veines d’Emmanuel,
Et les pécheurs, et les pécheurs...

            Ne voudriez-vous pas venir vous agenouiller ici juste un instant pour en parler? Venez maintenant. Agenouillez-vous ici.

70        Chaque chrétien qui connaît la valeur de la prière, priez. Tout celui qui sait comment prier, soyez en prière maintenant. Rappelez-vous, un homme est assis à côté de vous, c’est peut-être sa dernière chance. C’est peut-être la dernière chance de la jeune fille. C’est peut-être la dernière chance du jeune homme. Ce soir, Dieu peut être en train de frapper pour la dernière fois: «Mon Esprit ne contestera pas à toujours avec les hommes.»

            Peut-être que vous n’aurez jamais l’opportunité de venir encore. Il y a trois hommes agenouillés à l’autel, eux tous des adultes. Eux tous se rendent compte de ce qu’ils font, sachant qu’ils sont dans la présence de Jéhovah Dieu maintenant même.

            Jésus a dit: «Je ne rejetterai pas celui qui vient à Moi.» Ils savent qu’ils ont mal fait, ils savent qu’ils ont transgressé les lois de Dieu. Et ils viennent s’agenouiller ici pour dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, un pécheur.»

71        Qu’a dit Jésus? «Le publicain ne pouvait pas plus que se frapper la poitrine pour dire: ‘Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi, un pécheur.» Il est retourné à sa maison, justifié. Voudriez-vous venir vous agenouiller? Retournez chez vous ce soir, justifié. Dites: «Que les bombes atomiques explosent, que la mort frappe, tout ce que cela veut faire, rien ne va plus me faire obstacle.»

            Je regarde encore un homme au visage, il est assis là derrière maintenant. Que Dieu bénisse son coeur. Il–il est venu ici il n’y a pas longtemps, un homme mourant, souffrant d’un cancer à la gorge. Je me rappelle... Il ne le sait pas, mais j’avais demandé au médecin qui connaissait le cas. Il a dit: «Il n’a que quelques jours.»

            Et il est venu ici, j’ai prié pour lui ici à l’autel. Le Précieux Seigneur Jésus l’a guéri. Je le connais très bien. Je fréquentais sa fille. Et ils sont assis ici même, lui–lui et sa femme, ce soir. Je l’ai rencontré l’autre jour au...?... était en train de tondre sa cour. Et je l’ai vu là dehors, j’ai simplement eu à pleurer, versant un peu de larmes quand je l’ai vu. Je me suis dit: N’eussent été les miséricordes de Dieu, il giserait là dans un cimetière ce soir. Et comme Dieu l’a épargné!

72        J’ai regardé le pauvre frère Burns il y a quelques instants. Après que le Saint-Esprit était entré dans la salle où il était, il s’est levé et a souri, en disant: «Je vais retourner à l’église, Frère Branham.» Attendez-le, il sera ici. Ne vous en faites pas. Il n’y a aucun doute dans mon esprit, pas du tout. Il sera ici.

            Venez, frayez-vous maintenant le chemin à l’autel, la prière à l’autel, à l’ancienne mode. Que Dieu vous bénisse, jeune fille, alors que vous venez vous agenouiller ici même, s’il vous plaît. Qui d’autre viendra en ce moment-ci? Pendant que nous chantons une fois de plus:

Le voleur mourant s’est réjoui de voir
Cette Fontaine en son jour;
Là, puissé-je, aussi vil que lui,
Laver tous mes péchés.

73        Voulez-vous chanter cela avec moi maintenant? Prions, chrétiens. Venez maintenant. Levez-vous et venez ici. J’aimerais descendre prier avec vous. Le voleur mourant s’est réjoui de voir cette...

            Ne voudriez-vous pas venir? La Parole de Dieu dit: «Que celui qui veut vienne.» Redressez cette vie perdue et ruinée.

...puissé-je, aussi vil que lui,
Perdre toutes les taches de leur culpabilité.
Perdre toutes... (Ne voudriez-vous pas venir? Ceci est votre opportunité. Je vous en supplie maintenant.)
Et les pécheurs plongés dans le flot,
Perdent...

            Que Dieu vous bénisse, madame. Quelqu’un d’autre qui voudrait aussi venir? C’est maintenant l’heure et le temps. Que Dieu vous bénisse, soeur. Venez directement ici à côté de ces dames, s’il vous plaît, également. Observez...?... Venez maintenant. C’est ainsi que j’aime les voir venir, en pleurant, regrettant, venir, résolus. Qu’est-ce qui fait ça? Le Saint-Esprit.

74        Je me sens vraiment contraint. Et vous me connaissez assez bien pour savoir que je... Si je suis un fanatique, je ne le sais pas. Et sachant que des dizaines de milliers de gens s’accrochent à chaque parole qu’on dit, on ferait mieux de veiller à ce qu’on dit. Dieu vous fera répondre pour cela.

            Je me sens contraint dans mon coeur. Il y a ici ce soir beaucoup de gens qui doivent en fait venir ici même. Mais l’oppression du diable essaie de vous retenir. Ne voudriez-vous pas vous dégager comme ceci, madame? Tout ce qu’elle a fait, c’est simplement abandonner sa petite volonté. C’était sa volonté à elle, et Dieu a pris Sa volonté à Lui et l’a fait venir ici. Maintenant même, elle a la Vie Eternelle. C’est parce qu’elle est venue Le confesser. Ne voudriez-vous pas venir? Oh! Je sens donc... Prions encore une fois, le voulez-vous?

75        Père céleste, je sens la très forte pression sur mon âme ce soir, je sais qu’il y en a beaucoup ici qui devraient venir. Beaucoup ont même confessé cela en levant la main. Je me retiens juste un peu plus longtemps, Seigneur, sachant que ceci est peut-être un autre moment.

            Cela a représenté quelque chose pour cette dame ici. Cela a représenté la mort, la différence entre la mort et la vie. Elle est venue. Et Tu as dit: «Je ne rejetterai pas celui qui vient à Moi.» Mais Tu le recevras.

            Maintenant, quant à savoir que nous sommes à la fin... Et, ô Dieu, je Te remercie pour la petite dame qui vient maintenant. Et je prie que les autres suivent. Accorde-le, Seigneur. Ne voudriez-vous pas venir, pécheur? Venez maintenant, pendant que nous attendons simplement dans la prière. La prière change les choses.

            Une autre jeune fille, juste à la jonction des chemins de la vie, là où Satan peut s’emparer d’elle, là. Certains parmi vous qui êtes avancés en âge et même des gens grisonnants, vous avez besoin d’être ici. Oh! Frère, soeur, vos jours de jeunesse sont passés. Tout est terminé. Si ces enfants peuvent venir, pourquoi pas vous? Ne voudriez-vous pas venir? Je vous en supplie au Nom de Christ.

76        Seigneur Jésus, je prie encore une fois, je prie qu’il n’y ait pas de pierre, Seigneur, qui ne soit retournée; que tout le monde ici puisse voir. Et puissent-ils venir ce soir se mettre en forme et se revêtir de la Vie du Seigneur Jésus, et puissent-ils devenir de vaillants soldats de la croix, résolus à abandonner les choses du monde et à venir à Christ ce soir.

            Accorde-le, Seigneur, pendant que nous attendons patiemment que le Saint-Esprit arrose cette Parole et leur fasse savoir ce dont nous parlons, que le Fils de Dieu vient bientôt. Ils voient les journaux et tout le reste, la radio diffuse cela, et sachant que les grands conseils et les grandes conférences sont toutes en train de faillir, la Russie continue à marcher directement comme le roi Nebucadnetsar d’autrefois.

            Ô Dieu, le temps des Gentils est terminé. L’écriture est sur la muraille. Les dons spirituels sont dans l’église pour opérer comme Il l’a résolu: MENE, MENE, TEKEL, UPHARSIN. Nous avons été pesés dans la balance et nous avons été trouvés légers.

77        Et, Dieu, alors que l’Evangile a été prêché ici même dans ce tabernacle, des centaines des gens qui sont assis ici, il y en a plusieurs assis ce soir, à qui l’Evangile avait été prêché. L’appel à l’autel écrit donc sur eux est: MENE, MENE, TEKEL, UPHARSIN. Ô Dieu, l’appel à l’autel a été fait. L’homme est sans excuse.

            Tu as dit d’avance; Tu as prophétisé; Tu as accompli des signes et des prodiges. Tu as guéri des cancers. Tu as ouvert les yeux aux aveugles. Tu as fait marcher les estropiés; Tu as fait entendre les sourds, Tu as fait parler les muets. Tu as accompli toutes sortes de signes ici même dans ce tabernacle. Et des gens sont assis ici comme des témoins maintenant même.

            Ô Dieu, qu’en sera-t-il quand le soleil se couchera? Ô Dieu, qu’en sera-t-il quand il sera demandé aux hommes de répondre? Qu’en sera-t-il? Accorde ce soir, Père, au Nom de Christ, que plusieurs viennent.

78        Voudriez-vous venir maintenant, pendant qu’on fait encore l’appel? Voudriez-vous vous frayer la voie vers l’autel? Non, peu importe depuis combien de temps vous avez adhéré à l’église. Etes-vous né de nouveau? Connaissez-vous Christ comme votre Sauveur? Venez vous agenouiller.

            J’aimerais bien attendre un moment. Prions maintenant. Entendez-vous ce cantique qu’on joue?

            Quand il vous sera demandé de répondre, et si Jésus devait venir avant l’aube alors? Et si sur la route vers chez vous, ce soir, un conducteur ivre vous écrasait, et que des glaces vous transperçaient les artères du corps, et que vous étiez là en train de saigner à mort, et qu’il vous faut vous tenir au Jugement? Il vous sera demandé de donner une raison. Alors, quoi?

Et puis après? Et puis après?
Quand le grand Livre sera ouvert, et puis après?
Quand celui qui rejette ce message ce soir
Il lui sera demandé de donner la raison, et puis après?

Et puis après, et puis après,
Quand le grand Livre sera ouvert, et puis après?
Quand celui qui rejette ce message ce soir,
Il lui sera demandé de donner une raison, et puis après?

            Ne voudriez-vous pas venir? Ne Le rejetez pas. Il parle à votre coeur. C’est le Sauveur. Prenez la décision pendant que nous prions pour ceux qui sont à l’autel. Et que tout le monde ait la tête inclinée et que les gens soient en prière.

79        Il y a six ou sept âmes à l’autel ce soir. Bien-aimé frère, vous là sur la civière, Dieu a aussi vu votre main. Qu’avez-vous fait? Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire.» Dieu a parlé à votre coeur. C’était la grâce de Dieu pour vous. Ensuite, vous êtes venu et Jésus a dit: «Je ne rejetterai pas celui qui vient à Moi.»

            Que faites-vous alors? Demandez-Lui simplement de vous pardonner. C’est tout ce qu’Il vous a demandé de faire. Regrettez ce que vous avez fait. Il vous recevra. Dites: «Ô Dieu, je suis résolu maintenant même.» Jeune fille, vous de même, vous deux, vous trois à l’autel; trois hommes et trois femmes. Priez seulement.

80        Bien-aimé Père céleste, alors que je regarde ici en bas, je vois des hommes et des femmes s’incliner à l’autel sous l’influence de l’Evangile. Oh! Je suis si heureux, Seigneur, de ce que nous avons quelque chose qui nous place sous une influence. Ce n’est pas une liqueur forte. C’est le vin de la Pentecôte. Cela nous influence à faire ce qui est correct. Cela ôte tout le mal et redresse cela. Nous en sommes si content, Seigneur.

            Ces hommes ont goûté Dieu. Ces femmes ont goûté Dieu. Ce soir, peut-être la première fois de leur vie, quelque chose a parlé à leur coeur, disant: «Mon enfant, c’est Moi qui t’ai préservé de cet accident-là. C’était Moi qui t’avais épargné ici quand tu étais mourant. Maintenant, ne veux-tu pas venir, retourner, Me donner ta vie et Me laisser te guider et te ramener à la maison? Et Je–Je t’aime. Et J’aimerais te témoigner de la bienveillance.»

81        Et ils sont venus s’agenouiller à l’autel, acceptant cette promesse, ô Dieu, que Tu as faite, que Tu ne les rejetterais pas. Maintenant, je Te prie, Père céleste, ce soir, de bénir chacun d’eux. Qu’ils se lèvent d’ici, avec cette assurance que le Dieu qui a fait la promesse tient la promesse. Qu’ils aient la paix dans leur âme à partir de ce soir.

            Non seulement ceux-ci, mais ceux qui sont là derrière qui avaient levé la main. Ô Dieu, je Te prie d’être avec eux. Je prie que maintenant même, dans leur siège, qu’ils se rendent compte qu’ils ont commis une erreur en ne se levant pas. Qu’ils disent donc ce oui éternel à Dieu.

            «Seigneur, je vais être résolu maintenant même, et je Te servirai à partir de ce soir. Je Te le promets, Seigneur, alors que je lève la main. Je le ferai par Ta grâce, ô Dieu. Je crois maintenant en Jésus-Christ. Je L’accepte maintenant comme mon Sauveur, mon Guide. Je ne suivrai pas la conduite de mes propres sentiments. Je suivrai la conduite de Son Esprit à partir de ce soir jusqu’à ce que je Le rencontre dans...?... personnellement au bout du chemin.» Accorde-le, Père.

82        Maintenant, je me demande, pendant que nous avons nos têtes inclinées, si quelqu’un dans l’assistance a fait cette consécration à Dieu, quelqu’un qui n’est pas venu à l’autel, qui aimerait lever la main pour dire: «Je me suis consacré ainsi dans mon coeur. Ô Dieu, à partir de ce soir, je vais Te servir quel qu’en soit le prix. Je ne vais pas suivre mes–mes propres pensées. Je vais suivre la conviction du Saint-Esprit.»

            Voudriez-vous lever la main pour dire: «Je l’ai fait, Frère Branham, dans mon coeur ce soir»? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse là derrière, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est bien. C’est bien. Que Dieu vous bénisse par ici, mon frère. Que Dieu vous bénisse, frère, là derrière. Je vous vois. C’est bien. Beaucoup d’entre eux.

83        Vous dites: «Frère Branham, doit-on venir à l’autel?» Non, non. Non, non. C’est dans votre coeur. Votre coeur est l’autel de Dieu. Mais c’est bien de venir s’agenouiller et prier comme ceux-ci. Oui. Ils sont venus confesser cela publiquement. J’aime les voir faire cela.

            Mais ceci est un procédé à l’ancienne mode que nous avons, de nous y prendre ainsi, venir à l’autel et faire notre confession. Mais tous ceux qui croyaient au Seigneur Jésus-Christ étaient sauvés. C’est ce que dit la Bible. Et acceptez-Le comme Sauveur personnel.

84        Maintenant, à vous qui êtes autour de l’autel, vous les hommes et les femmes ici présents à l’autel, qui croyez que Dieu vous a envoyés à l’autel, Il vous a appelés ce soir et vous sentez que Dieu vous a pardonnés votre vie passée, et à partir de ce soir, vous êtes résolus à servir le Seigneur Jésus et à vous détourner de vos voies de péché, et vous allez Le servir à partir de ce soir tant qu’il y aura la vie dans votre corps, par Sa grâce; voudriez-vous lever la main? N’importe qui parmi vous à l’autel?

            Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse, frère. Qu’en est-il, mesdames? Que Dieu vous bénisse, soeur. Qu’en est-il... Que Dieu vous bénisse, soeur. Qu’en est-il là à l’autre bout, les deux autres dames là? Demandez à Dieu de vous pardonner, soeur. Tous sauf deux, maintenant, sont sauvés à l’autel. Maintenant, que–que devez-vous faire? Rien. Croyez, acceptez. C’est déjà fait. Jésus l’a déjà fait en mourant à la croix.

            Maintenant, très respectueusement, chantons doucement.

Il y a du repos pour les fatigués,
Il y a du repos pour les fatigués,
Il y a du repos pour les fatigués
Depuis qu’Il vous a libérés.

Sur l’autre rive du Jourdain,
Dans le beau champ d’Eden
... l’Arbre de la Vie fleurit.
Il y a du repos pour vous.

Maintenant, Jésus brise (C’est ce qu’Il fait) chaque chaîne,
Jésus brise chaque... (Tout; fumer, boire, mentir, tricher.)
Jésus brise chaque chaîne,
Quand Il vous libère.

Je Le louerai à jamais, à jamais,
Je Le louerai à jamais, à jamais,
Je Le louerai à jamais, à jamais,
Depuis qu’Il m’a libéré.

85        Quelqu’un d’autre maintenant, avec vos têtes inclinées? Qu’en est-il de vous sur la civière, frère. Acceptez-vous le Seigneur comme votre Sauveur personnel? Que Dieu vous bénisse, mon frère. Vos péchés sont tous sous le Sang maintenant. Je vous vois couché sur une civière, peut-être, estropié. Ne vous en faites pas. Christ vous guérira et votre vie sera épargnée.

            Vous là derrière, vous avez levé la main maintenant, pour dire: «J’ai accepté Christ ce soir.» Et ces deux dames à l’autel, vous rendez-vous compte maintenant, madame, que Jésus-Christ vous sauve du péché? Qu’avez-vous à faire? Rien. Il a déjà fait cela pour vous. Tout ce qu’il vous faut faire, c’est accepter ce qu’Il a fait pour vous. Acceptez cela, et alors vous êtes candidate à recevoir le baptême du Saint-Esprit. Dieu a promis de remplir du Saint-Esprit ceux qui viennent.

86        Pierre a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon des péchés. Et vous recevrez le don du Saint-Esprit.»

            Nous sommes dans les jours de l’effusion de l’Esprit, de grands signes et de grands prodiges dans l’église. Tout le monde en prière maintenant. J’aimerais aller parler à ces dames juste un instant. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Qu’est-ce?

Oh! Précieux est le flot
Qui me rend blanc comme neige;
Je ne connais aucune autre fontaine,
Rien que le Sang de Jésus.

Qu’est-ce qui peut ôter mes péchés?
Rien que le Sang de Jésus;
Qu’est-ce qui peut me rétablir encore?
Rien que le Sang de Jésus. (Tous ensemble.)

Oh! Précieux est le flot
Qui me rend blanc comme neige;
Je ne connais aucune autre fontaine,
Rien que le Sang de Jésus.

87        Maintenant, votre attention, juste un instant. J’aimerais vous poser une question. Cet homme... La raison pour laquelle j’ai fait ce que j’ai fait à cet homme estropié, il était sans secours. Je sais par l’Esprit que celle-ci est sa soirée, pour accepter le Seigneur Jésus, sachant qu’il n’avait pas d’espoir, et de savoir qu’il... toute sa vie, il l’a vécue sans Christ. Mais si cet homme est présent pour écouter ma voix... Je ne le reconnaîtrais pas si je le voyais maintenant.

            Mais sachant que ce sont les quelques dernières semaines, cet homme est en train de chercher Dieu. Et sa fille est venue et elle a été sauvée. Et l’homme... C’est la raison pour laquelle j’ai fait ce que j’ai fait.

88        La femme aveugle... La raison pour laquelle j’ai fait cela, c’est qu’il était question de chasser un mauvais esprit. Maintenant, chasser un mauvais esprit... Mon église sait cela. Je m’y prends avec beaucoup de prudence sur ces choses, quand je ne suis pas sous l’onction pour une vision. Voyez? En effet, premièrement, si quelqu’un a été dans mes réunions, vous verrez qu’avant que je dénonce un démon comme cela, je dois savoir de quoi je parle. Combien ont remarqué cela?

            Cela passe au peigne fin. Mais j’ai demandé au Seigneur, pour la gloire de Dieu, de bien vouloir faire ceci comme... L’autre soir, la petite dame là qui était sourde-muette, avec des nerfs sectionnés, qui pouvait jamais entendre ni parler encore, et je Lui ai demandé... J’ai vu l’Afrique apparaître devant moi.

            J’ai dit: «Seigneur, si c’est Toi qui me rappelle en Afrique, guéris cette muette qui a été dans cet accident-là.» Et elle peut parler et entendre comme n’importe qui d’autre.

89        Maintenant, ce soir, quand cette femme aveugle se tenait ici, juste en entrant dans l’Esprit, j’ai remarqué une–une ombre de ténèbres. Maintenant, si la femme est encore présente, si elle est là ou quelqu’un qui la connaît... Maintenant, maintenant même, elle peut voir mieux qu’il y a quelques minutes. Le matin, elle verra encore mieux. Est-ce–est-ce que la dame est là derrière? Est-ce... Très bien, vous voyez mieux, n’est-ce pas, madame? C’est vrai.

            Maintenant, le matin, vous verrez encore mieux. Le lendemain, vous verrez encore mieux. Mais le jour qui va suivre, cela va reprendre à s’affaiblir. Vous allez commencer à agir comme... Rappelez-vous, ne faillissez pas. Ce sont ces grosseurs qui s’enflent, s’enflent. Elles sont mortes. Ce que c’est, c’est une–une–une grosseur sur votre oeil comme cela, c’est le... c’est un démon. Et cela fait enfler un corps. Et quand la vie de cet esprit sort de n’importe quel genre de chair, cela se rétrécit.

90        Tuez un animal, déposez-le sur la balance, pesez-le ce soir et ne dérangez pas cela, laissez cela jusqu’au matin, il pèsera moins. Eh bien, laissez cela là un petit moment, par exemple un chiot dans la rue. Laissez-le étendu là un petit moment avant qu’il se détériore ou pourrisse, il va enfler et devenir gros.

            Eh bien, dès qu’il commencera à enfler, votre vue devient encore mauvaise, après environ soixante-douze heures; louez simplement Dieu de tout votre coeur. C’est tout. Cela est déjà terminé. Voyez. Croyez simplement.

91        Maintenant, béni soit le Nom du Seigneur. Etes-vous heureux pour le Seigneur Jésus? Ce que c’est, je L’ai vu accomplir des signes et des prodiges. Et, amis, nous n’avons plus à deviner. Jésus-Christ est ici. Il guérit les malades. Il fait marcher les boiteux. Il... Je L’ai vu ressusciter les morts de leurs civières. Je sais qu’Il est le Seigneur Jésus et je crois qu’Il vient bientôt.

            Je suis très content ce soir de ce que vous L’avez accepté comme votre Sauveur personnel. Et combien de chrétiens y a-t-il ici maintenant? Qu’ils lèvent la main, ceux qui attendent la Venue du Seigneur. Béni soit le Seigneur.

            Notre Père céleste, nous Te remercions ce soir pour toutes ces choses. Nous Te remercions pour la réunion, pour la Parole de Dieu, brute, qui sépare réellement. Le jugement commence dans la maison de Dieu. Nous Te remercions pour toutes ces choses. Nous Te remercions d’avoir sauvé les perdus et d’avoir épargné différentes nations de gens.

92        Nous T’avons vu amener ce soir un jeune garçon éthiopien à l’autel, un frère de couleur, et Tu l’as sauvé ici du péché, et je lui ai imposé les mains afin que l’asthme ne le dérange plus. L’une de ses soeurs est venue ici, aveugle, titubant dans l’obscurité. Tout d’un coup, la lumière a brillé dans ses yeux; le démon a quitté. Oh! Qu’il ne retourne jamais!

            Ô Dieu, donne-lui la foi et qu’elle reste guérie. Nous Te remercions pour chaque âme qui a été à l’autel. Nous Te remercions pour cet homme qui était couché sur la civière avec des béquilles près de lui, et puis, il s’est levé, il a marché sans ces supports, un homme sauvé, un homme guéri. Et son enfant, près de lui, se réjouissait de la gloire de Dieu. Quel foyer changé ça sera!

            Oh! Nous Te remercions, Seigneur, pour tout un chacun. Nous Te remercions pour le mari de Betty et pour ceux qui sont venus. Maintenant, ô Dieu, tire gloire de tout cela. Tout est à Toi. Et accorde, Seigneur, qu’un réveil à l’ancienne mode éclate ici à ce tabernacle, Seigneur, qui enverra des gens à travers le monde, et une grande campagne sera tenue ici à Jeffersonville, pour la gloire de Dieu. Accorde-le, Père.

            Maintenant, nous sommes bien prêts à rompre le pain et à prendre la communion. Et nous Te prions, Seigneur Dieu, d’être avec nous, de nous bénir et de nous manifester Ton amour, alors que nous faisons ceci pendant que nous le demandons au Nom de Christ.

93        Maintenant, à vous qui devez partir, nous allons vous congédier. Frère Neville, je vous ai demandé d’apprêter les Ecritures, le passage de la Parole en rapport avec la communion.

            Et vous qui pouvez rester, restez avec nous pour la communion. Vous qui ne le pouvez pas, vous êtes congédiés avec les bénédictions de Dieu sur vous, et revenez et soyez encore avec nous une autre fois. Il est maintenant vingt heures dix.

            Et, maintenant, s’il vous faut partir, que Dieu vous bénisse d’être venus, et nous espérons vous revoir de ce côté-ci de la Gloire, sinon de l’autre côté. Et vous qui pouvez rester, vous êtes les bienvenus à rester pendant les trente prochaines minutes où nous prendrons la communion, et nous aurons–et nous aurons le lavage des pieds.

94        Maintenant, aux étrangers dans nos murs, serrez, tout le monde, serrez-vous la main les uns aux autres et bénissez le Seigneur pendant que nous chantons: «Prends le Nom de Jésus avec toi.» Très bien.

Prends le Nom de Jésus avec...

            [La conversation se poursuit au fond, imperceptible.–N.D.E.]

Up