Le Rapport Du Voyage En Inde
1 ...de nous rassembler avec un peuple si merveilleux, et je suis... Je me sens très honoré d’être ici, dans cette assemblée, avec ce groupe d’hommes et de femmes ce matin. Et pendant que nous prenions le petit déjeuner, il semble que j’ai toujours pensé à ce... Je les ai entendus tous donner leur témoignage. Et parfois j’entendais un homme juste ici au bout de la table dire... Je lui avais dit quelque chose hier soir ou je ne sais quoi. Et c’est l’un de ces hommes-là. Je crois que ce sont ces hommes qui sont assis juste là. Et une dame par ici a dit que j’avais prié pour elle. Eh bien, il semble que j’avais vu cela en songe. Ça fait très longtemps. C’est quelque chose que je pourrais essayer d’expliquer de mon mieux en quelques minutes.
Mais pendant que j’étais ici et que je pensais à ce docteur-là, à son témoignage, et aux réunions tenues en prison... Cet homme est un méthodiste qui vient de l’église de ma mère, et–et de l’église de Dieu là-bas, d’après ce qu’a dit le frère. Et les–les différents ministres...
Le jeune homme là, et ce frère-ci, et beaucoup parmi vous, vous tous, notre frère de couleur que voici... Et cela vous donne quelque chose. Je pense alors que nous sommes assis ici ce matin en tant que des hommes et des femmes, nous–nous n’avons qu’un seul motif, c’est l’avancement de la cause de Christ. C’est–c’est pour cette raison que nous sommes ici. Et nous ne sommes pas divisés, même si nos dénominations peuvent avoir des opinions différentes, nous sommes tous un dans Sa grâce. [Espace vide sur la bande.–N.D.E.]
2 La majeure partie de mon temps... Ma–la mère de ma mère venait de la réserve indienne, et il y a quelque chose en moi qui aime le plein air. Comme vous le savez, je suis un chasseur, j’ai fait de l’équitation et j’ai beaucoup fait du cheval. Mon père était un cavalier. Et là sur–à Kremmling, dans le Colorado, là sur la rivière Troublesome, nous avions... L’association Hereford fait paître du bétail dans cette–la vallée de la rivière Troublesome. Et j’ai beaucoup fait de l’équitation dans les années passées là. Et nous avions installé une clôture démontable là où tous les–l’Association y faisait paître leur troupeau. Si vous pouviez rassembler un–une tonne de foin, vous pouviez faire paître une vache dans la–dans la forêt Arapaho. Et j’avais remarqué un cowboy qui se tenait là comptant chaque homme et les marques du troupeau qui passaient par là.
Et bien des fois, pendant que je m’asseyais là ma jambe sur le pommeau de la selle, en train d’observer, et que je le voyais compter ce bétail pendant qu’il passait, je les voyais passer avec le Tripod, ça c’étaient les nôtres. Il y avait le Track Turkey, ça c’était la marque d’une autre ferme là en amont de la rivière. Il y avait le Diamond T, le Lazy R, et beaucoup d’autres marques. Tous ces animaux qui passaient par là portaient des marques différentes, mais tous étaient de la race Hereford.
C’est à cela que je pense aujourd’hui. Voyez? Nous–nous pourrions porter des marques différentes, mais nous sommes tous des chrétiens dans nos coeurs. Aucune bête ne pouvait entrer là, sinon une Hereford enregistrée. Elle ne pouvait pas passer par cette porte à moins que ce soit une Hereford enregistrée. Et nous pouvons entrer par ces portes, peu importe la marque que nous portons, aussi longtemps que nous sommes des chrétiens nés de nouveau.
3 Et en regardant de l’autre côté de cette table-ci, je vois certains de ces hommes qui, peut-être, sont un peu plus âgés que moi, et certains parmi vous sont même plus jeunes que moi; vous prêchiez ce merveilleux plein Evangile, comme nous l’appelons, avant que je vienne sur la scène. Et d’entendre les remarques avec ces marques de respect que vous me témoignez, je comprends que ce n’est pas à moi que vous le dites en tant qu’un homme, vous les adressez à Dieu pour Sa bonté, à cause de Son don que je suis pour vous en prêchant.
Mais avez-vous compris que ce chemin sur lequel je chevauche en ce moment a été bien aplani, c’est vous qui l’avez déblayé lorsque vous étiez ici au coin de la rue il y a bien des années, tenant la guitare, et qu’on vous chassait d’un endroit à un autre? C’est vous les hommes et les femmes qui avez posé cette fondation sur laquelle j’essaie simplement de bâtir. Et voici, je me tiens ici comme un avorton, je suis juste un jeune homme pour ce qui est de l’âge dans le ministère dans lequel vous êtes. Et voici, vous me laissez vous prêcher, alors qu’en réalité c’est vous qui avez posé la fondation. Voyez?
4 Ensuite, je regarde ce matin et je vois ces hommes et ces femmes âgés, alors qu’ils prêchaient déjà lorsque je n’étais qu’un petit prédicateur baptiste ou peut-être bien avant cela, et vous m’acceptez comme votre frère. Et quel sentiment de nous réunir là où il y a des gens qui ne vous traitent pas de démon, ou de fantôme, ou de quelque chose de ce genre, mais qui vous considèrent comme–que vous êtes un frère, et ils–ils comprennent cela! Et je me sens tellement bien. Je dois être... J’aimerais être... Et je sens dans mon coeur de rester fidèle à mon appel. Et ensuite, lorsque je vois quelqu’un vous souhaiter la bienvenue, dans ce cas, vous savez ce que vous ressentez. Vous voyez? Oh! un tel amour qui coule d’un frère et d’une soeur comme cela. Lorsque vous–vous sentez quelque chose que vous savez venir de Dieu, cela–vous essayez d’apporter cela aux gens, et les gens reçoivent cela d’un coeur sincère. Vous savez ce que vous ressentez à leur égard. Vous voyez, ça vous fait du bien.
Et lorsque je parcours du regard cette table, et que je considère ce petit déjeuner, je ne sais pas quand nous allons encore nous retrouver comme ceci. Nous pourrions ne plus jamais nous retrouver comme ceci dans cette vie-ci. Et je pense qu’il est neuf heures, et les affaires–un des hommes d’affaires qui est assis là a dit–est venu et a dit: «Je dois partir à neuf heures, Frère Branham, parce que j’ai quelques obligations d’ordre chrétien,» il avait certaines choses à faire pour les chrétiens. Et je me suis dit: «Eh bien, encore un peu de temps et puis, nous ne nous séparerons plus jamais.» Mais c’est comme le poète l’a dit: «Nous serons toujours unis de coeur, dans l’espoir de nous revoir.» Vous chantez ce vieux cantique, beaucoup parmi vous: Béni soit le lien qui [nous] unit.
5 Et je me suis dit: «Allons-nous donc encore nous rencontrer?» Oui, frères, nous nous reverrons. Et ce ne sera plus pour un petit déjeuner. On nous a enseignés que ce sera un souper. Et comme... Lorsqu’à la fin, lorsque tout sera fini, et que nos peines seront finies, nous entrerons dans Sa Maison, et nous allons prendre le souper avec Lui, boire du fruit de la vigne et–et manger du nouveau dans Son Royaume.... Quand je pense à ce moment où tout sera fini... Nous sommes dans la chaleur du jour maintenant et nous peinons énormément, et lorsque tout sera fini et que je regarderai de l’autre côté de la table, et que je vous verrai vous les hommes, oh! quel sentiment ce sera lorsque nous nous regarderons! Et je sais que c’est complètement fini, et sans aucun doute, nous allons tendre la main par-dessus la table et nous nous serrerons fortement la main. Et une petite larme de joie coulera sur nos joues, à ce moment-là, de penser que le Roi dans Sa beauté s’avancera, essuiera toute larme de nos yeux, et dira: «Ne pleurez plus, enfants. C’est fini. Entrez dans les joies du Seigneur.» C’est un moment que j’attends avec impatience. C’est ce moment-là que j’attends pour l’entendre dire: «C’était bien, Mon bon et fidèle serviteur. Maintenant, entre dans les joies du Seigneur.» Quel moment ce sera alors de voir les cheveux gris disparaître et d’être ramenés à l’état des jeunes hommes, de savoir que nous vivrons et règnerons éternellement avec Lui.
6 Eh bien, aujourd’hui avec ce privilège que nous avons de nous rassembler... Un, il y a un frère ici, je crois, qui vient du Canada, et des différents... le Tennessee et ce petit groupe ici qui vient des environs de chaque petit ca-... petite crevasse. Et de nous voir assis d’un commun accord comme ceci, ce devrait être un nouveau temps de pentecôte. Voyez? Car je sens qu’il y a ici une onction fraîche de la bénédiction de la Pentecôte.
Quelqu’un me demandait souvent: «Frère Branham, êtes-vous membre de l’Eglise Pentecôtiste?»
J’ai dit: «La Pentecôte n’est pas une dénomination. La Pentecôte est une expérience que les hommes reçoivent partout. Et cela–cela n’est pas–cela n’est pas séparé des autres églises. C’est–c’est une bénédiction qui devrait être dans chaque coeur. Et les hommes ont faim de cela.
7 Et frère Vayle disait... nous étions en train de prendre un petit déjeuner en compagnie des ministres ce matin, et certains frères et soeurs allaient se rassembler pour–pour le–un petit temps de communion. Et, vous savez, c’était tellement merveilleux que je–en tant que soldat, j’ai laissé mon épée à la maison. Alors... Tout simplement je... C’est ma Bible. Et ainsi je–je savais que nous devrions être assis ensemble dans les lieux célestes de toute façon, en Christ, et je pensais que peut-être ce matin juste pendant quelques moments d’entretien... Je pense que nous devons évacuer la salle dans les quelques prochaines minutes. Mais étant donné que vous–vous les frères, vous êtes des ministres, et que vous êtes de loin plus aptes que moi à prêcher la Parole, car je ne suis qu’une roue de secours... Voyez, juste... Vous savez ce que vous faites d’une roue de secours. Vous voyez? Alors, nous n’avons pas de crevaison ce matin, nous n’avons donc pas besoin de cette roue de secours.
Mais j’ai jugé bon d’essayer de vous faire un rapport sur certaines choses que notre Père céleste a accomplies à–à des endroits, rapport qui, d’après moi, vous intéresserait davantage, les frères, plutôt que d’essayer de prendre un passage ou quelque chose du genre pour vous parler là-dessus.
8 Et le texte auquel je pourrais me référer, si tel était le cas, ce devrait être Marc 16. Et quel texte merveilleux! C’est la dernière commission adressée à l’Eglise. Lorsque Dieu a adressé la première commission à Son église, Christ dans Matthieu, Il leur a donné la puissance sur les esprits impurs et leur a ordonné de guérir les malades et ainsi de suite. C’était là Sa première commission. Sa dernière commission était d’aller par tout le monde et de prêcher la Bonne Nouvelle à toute la création. Maintenant, les hommes essaient de dire que ce jour-là est passé. Mais il n’y a que le tiers du monde qui a déjà entendu parler de Christ jusque-là. Allez par tout le monde et prêchez à toute la création. «Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru,» a dit Jésus.
9 Et je sais que ce n’est pas bien, je ne pense pas que l’Evangile mérite d’être apporté sous forme de plaisanteries, je n’aimerais donc pas que vous considériez ceci comme une plaisanterie. Mais c’est juste quelque chose qui me vient à l’esprit en rapport avec un événement récent. Un jeune homme était allé à l’école pour recevoir une formation afin de devenir un ministre. Et cela était très bien, si c’est la bonne sorte d’école qui lui enseignerait la chose qu’il faut. Et ainsi, beaucoup de nos... Ainsi... Eh bien, je–j’ai... Vous savez, je n’ai aucune instruction. J’ai une instruction d’école primaire, alors je ne peux pas parler devant des hommes de votre calibre et utiliser des mots appropriés, mais je–j’espère que le Saint-Esprit vous fera comprendre ce que je veux dire.
Les–les écoles sont devenues très formalistes et indifférentes. Les gens ont une espèce d’évangile social. Et les gens ne–n’enseignent pas la pleine Parole de Dieu. Ce jeune homme aurait peut-être mieux fait de rester à la maison et de rester à genoux.
10 Mais ce jeune dans son instruction... Sa mère était tombée malade pendant son absence, elle était très malade, atteinte d’une pneumonie. Et alors elle–elle... On avait envoyé un messager à son fils lui demandant de venir l’assister. On pouvait l’appeler à la maison à n’importe quel moment, car le médecin avait dit que rien ne pouvait être fait. Il lui avait administré de la pénicilline, et–et il l’avait mise...?... Il l’avait placée sous une tente à oxygène. Elle continuait à dépérir. Et ce jeune était sur le point de quitter une université reconnue pour–pour aller à la maison auprès de sa mère. Et tout d’un coup il a reçu un télégramme disant qu’elle était–qu’elle s’était rétablie et qu’elle se portait très bien.
Et ainsi pendant les vacances, ce jeune homme est rentré chez lui voir sa mère. Il est entré dans la maison, et il a dit: «Maman, j’aimerais te poser une question.» Il a dit: «Quand tu étais très malade, a-t-il dit, eh bien, qu’est-ce qui était arrivé tout d’un coup? Qu’est-ce que le médecin t’avait donné pour que tu te rétablisses si rapidement? J’avais déjà tout apprêté, ma valise, lorsque j’ai reçu le–ce télégramme disant que tu étais guérie.» Et il a dit: «Je... Tu ne me l’as jamais expliqué.»
11 Elle a dit: «Chéri, a-t-elle dit, juste là au bas de la rue, au coin dans–presqu’au sud de la ville, bien sûr, a-t-elle dit, il y a une petite mission par là, un endroit appelé le Plein Evangile.» Et elle a dit: «Il y avait là une dame qui a dit qu’elle avait absolument senti qu’elle était conduite à venir me voir. Et elle m’avait demandé si je croyais dans la prière, la prière pour les malades. Et je lui ai dit que je croyais, bien sûr, si la Bible le dit, je le crois.» Et elle a dit: «Notre pasteur prie pour les malades.» Alors elle a dit: «Ils ont envoyé chercher leur pasteur, il m’a lu dans la Bible le Livre de saint Marc, chapitre 16, et a dit que ces miracles accompagneront ceux qui auront cru.» Elle a dit: «Il a prié pour moi et m’a imposé les mains.» Elle a dit: «Chéri, la fièvre m’a quittée et je me suis rétablie.»
Et, oh! ce dernier a dit: «Maman, si... Evidemment...» Il a dit: «Tu–tu ne t’associes plus à ces gens-là, n’est-ce pas?» Il a dit: «Ils viennent d’un–ce sont des gens d’une classe inférieure à la classe dont nous faisons partie.»
Et, «Oh! a-t-elle dit, gloire à Dieu, chéri!» Elle a dit: «C’est merveilleux! Je vais à la mission maintenant.»
12 Il a dit: «Oh! maman, eh bien, a-t-il dit, tu ne devrais pas le faire.» Il a dit: «Tu dois comprendre que ces gens-là sont des illettrés. Tu vois?» Il a dit: «Tu ne devrais pas le faire.»
«Eh bien, a-t-elle dit, bon, alléluia! mon fils.»
Il a dit: «Maman, tu ne devrais pas dire cela.» Il a dit: «Tu commences à te conduire comme ces gens-là.» Il a dit: «Tu ne devrais pas dire cela.» Et–et il a dit: «Eh bien, tu vois, a-t-il dit, aussi longtemps que...»
Elle a dit: «Eh bien, chéri, a-t-elle dit, ils ont la guérison divine.» Et elle a dit: «Ils tiennent des réunions. Et, oh, tu devrais voir comment le Seigneur les bénit.»
«Oh! a-t-il dit, maman, eh bien, cette Ecriture qu’il t’a lue dans Marc, chapitre 16...»
Elle a dit: «Oui, la voici, ici même. C’est ce que dit la Bible.»
13 «Oh! a-t-il dit, tu vois, a-t-il dit, les ministres de ce calibre-là, a-t-il dit, ne sont pas instruits.» Et il a dit: «Nous les érudits, nous comprenons mieux que Marc 16, à partir du verset 9, n’est pas inspiré.» Il a dit: «Cela a tout simplement été ajouté par le Vatican et ainsi de suite.» Il a dit: «Cela n’est vraiment pas inspiré.» Il a dit: «Il n’y a aucun récit historique qui dise que cela a été ajouté ou plutôt mis là.» Et il a dit: «Cela a tout simplement été ajouté. A partir du verset 9, ce n’est pas inspiré.»
Et elle a dit: «Eh bien, alléluia!»
Et il a dit: «Eh bien, maman, quelle audace!» Il a dit: «Eh bien, tu es... Eh bien, a-t-il dit, c’est... Eh bien, j’ai honte de toi.»
Elle a dit: «Je pensais à quelque chose, mon fils.»
Il a dit: «A quoi pensais-tu, maman?»
«Eh bien, a-t-elle dit, si–si Dieu a pu me guérir avec cette Ecriture qui n’est pas inspirée, que pourrait-Il faire pour moi avec ce qui est réellement inspiré?» Je pense que c’est presque ce qu’il en est. Vous voyez? Ce qui est inspiré... Et c’était glorieux ce qui était arrivé.
14 Y a-t-il quelqu’un parmi vous qui connait Morse Reedhead? Il a rencontré la plupart de... Je pense que certains d’entre vous sont... Il était un–c’était le vice-président de la Mission Soudanaise des Baptistes. Vous pourriez... Vous connaissez Reedhead, n’est-ce pas? Et Don Wells, après qu’il a reçu le Saint-Esprit, et vous connaissez Don Wells, là de Chattanooga. Certainement, il possède la plus grande Eglise baptiste de là. Il avait reçu le baptême du Saint-Esprit sous le ministère de Reedhead. Et le docteur Reedhead était venu dans ma maison, et il a dit... Eh bien, il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, j’aimerais vous demander quelque chose.» Un frère Juif était là, accompagné de certains hommes de l’Ohio. Ce frère Juif avait une entreprise ici dans l’Ohio. Son nom m’échappe, c’était un ami personnel de Hyman Appleman. Alors, ils sont venus chez moi, et il a dit...
15 Maintenant, bien sûr étant un baptiste, eh bien ça, ce n’est pas une critique. Vous voyez? Maintenant, souvenez-vous la raison pour laquelle je m’attache à l’Eglise baptiste, c’est la souveraineté de l’église locale que je pense être apostolique. Vous voyez? Ce n’est pas en tant que baptiste, nous en avons là... Je–je n’assiste même pas aux réunions de communion fraternelle, mais l’Eglise baptiste n’est pas une dénomination. Elle n’est pas censée être une dénomination. Elle l’est maintenant, mais elle n’était pas censée être une dénomination. C’est une fraternité. Et la... Et c’est la souveraineté de l’église locale. Et–et si jamais Dieu allait apporter un message à Son homme, Son ancien, lequel est le... Conformément à la Bible, les gens–l’office le plus élevé dans une église locale, c’est l’ancien. Et maintenant, avec–en passant par l’ancien, cela doit aller au surveillant général, et ainsi de suite, et de là à l’évêque, et ensuite il est écrit: «Nous croyons ceci, un point c’est tout.»
C’est comme le docteur Boze l’avait dit ici une fois: «Nous avons rédigé notre–notre liturgie, ou je ne sais quoi, leur croyance... Nous terminons cela, par une virgule. Nous croyons ceci plus tout ce que le Seigneur nous montrera.» C’est plutôt de cette manière que j’aime cela.
16 Et ensuite dans le–dans ce... Le docteur Reedhead est entré. Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, étant un–un ancien baptiste, certainement que vous savez quelque chose au sujet de notre message.»
J’ai dit: «Eh! oui.»
Il a dit: «Eh bien, lorsque j’étais un petit garçon de sept ans, le Seigneur m’a appelé.» Je pense que le docteur Vayle que voici est un... Vous connaissez le docteur Reedhead, vous le connaissez bien.
Il a dit: «J’étais un petit garçon. J’ai été appelé au ministère.» Il a dit: «Ensuite, j’ai fait des études, et je désirais ardemment, mon petit coeur désirait ardemment connaître Dieu.» Il a dit: «Finalement, lorsque j’ai décroché ma licence, a-t-il dit, je pensais que j’allais certainement trouver cette chose que je désirais juste là dans la–ma licence.» Et il a dit: «Mais lorsque j’ai décroché ma licence, a-t-il dit, je n’ai pas reçu ce que je désirais.» Il a dit qu’à ce moment-là, lorsqu’il a reçu les autres diplômes, il a dit: «Je me disais peut-être que dans chacun de ces diplômes je trouverais Christ.» Il a dit: «Et avec ces diplômes à titre honorifique que j’ai reçus et ainsi de suite, a-t-il dit, je pourrais presque tapisser votre mur.» Il a dit: «Mais où est Christ dans tout cela?» Il a dit: «Est-ce que les enseignants étaient en erreur, Frère Branham?»
J’ai dit: «Je ne saurais le dire.»
17 Voyez, je n’aimerais pas prendre quelque chose, parce que les gens vous font confiance afin de soutenir l’ignorance en s’appuyant sur ces propos, je n’aimerais pas le faire. J’ai dit: «Non. Je ne dirais pas que les enseignants étaient en erreur et ainsi de suite. Mais Christ n’est pas dans une licence ou un doctorat en théologie ou un doctorat en Droit. Voyez? Christ réside et demeure dans un coeur humble.» Voyez?
Il a dit: «Je vais vous dire pourquoi je suis ici.» Il a dit: «Une fois, un jeune Indien avait été à l’école, et il retournait en Inde pour aider sa nation..» Il a dit: «Ce jeune Indien alors qu’il retournait, je lui ai dit: ‘Monsieur, pourquoi ne veux-tu pas...’» Il était un hindou. Et il a dit: «Pourquoi n’abandonnes-tu pas ce vieux prophète mort que vous avez, Mahomet, pour accepter Jésus de Nazareth, un Christ ressuscité?»
18 Eh bien, il a dit que le musulman a un peu baissé les yeux, puis il a levé les yeux et a dit: «Gentil monsieur, qu’est-ce que votre Jésus peut faire pour moi de plus que mon prophète?» Je... Frères et soeurs chrétiens, écoutez ceci. Il a dit: «Qu’est-ce que votre Jésus peut faire pour moi de plus que mon prophète?» Il a dit: «L’un d’eux a écrit un Livre que vous appelez la Bible. Vous La lisez et vous La croyez. L’autre a écrit le livre appelé le Coran. Nous le lisons et le croyons.» Il a dit: «Eh bien, les deux ont promis la vie après la mort et vous et nous, nous croyons cela.» Il a dit: «maintenant, qu’est-ce que votre prophète, ou plutôt votre Christ peut faire pour nous de plus que notre prophète?»
Eh bien, le docteur Reedhead a dit: «Eh bien, a-t-il dit, votre prophète est là mort dans la tombe.» Et peut-être, certains parmi vous les voyageurs avaient vu cela tout comme moi. Ils gardent un cheval blanc à la tombe, et cela depuis deux mille ans, attendant que Mahomet ressuscite pour conquérir le monde. Chaque fois, on change celui qui fait la garde du cheval après un certain nombre d’heures, et il est dans la tombe. Il croyait en Dieu. Le prêtre musulman, lorsqu’il sonne la grande cloche au sommet de la mosquée, il dit: «Il n’y a qu’un seul vrai Dieu, et Mahomet est Son prophète.»
Nous, nous disons: «Il n’y a qu’un seul vrai Dieu vivant, et Jésus est Son Fils.» Voilà la différence.
19 Et alors il a dit: «Eh bien, que peut faire votre Jésus pour moi de plus que lui?»
«Eh bien, a-t-il dit, notre Jésus est ressuscité des morts, et votre prophète est dans la tombe.» Il a dit: «Voilà la différence.»
«Eh bien, a-t-il dit, est-il ressuscité des morts?» Il a dit: «J’aimerais vous voir prouver cela.»
«Oh! a-t-il dit, eh bien, la tombe est vide.»
Il a dit: «Oh! en Inde, nous en avons des milliers.» En fait, ils en ont, c’est juste, d’après ce qu’ils prétendent. Des naissances virginales? Oh! la la! la la! Vous pouvez entasser des tas de littératures jusqu’à cette hauteur sur les naissances virginales et tout. Et il y a beaucoup de naissances virginales en dehors de celle de Christ. Chaque abeille qui est née, presque après le deuxième faux bourdon est vierge, sans aucun contact du tout avec un mâle. Et, eh bien, la naissance virginale est devenue un problème dans la pensée des gens, alors qu’il y a tant de naissances virginales tout du long. Ainsi donc, Christ était le Fils de Dieu né de la vierge. Et ensuite, nous...
20 Il a dit: «Et puis je lui ai dit: ‘Eh bien, tu vois...’»
Il a dit: «Qu’est-ce que votre Christ peut me donner de plus que ce que mon prophète a donné?»
Eh bien, il a dit: «Maintenant, nous pouvons prouver qu’Il est–qu’Il est ressuscité des morts.» Il a dit: «Nous pouvons le prouver.»
«Eh bien, a-t-il dit, j’aimerais vous voir faire cela, et alors nous le croirons.» Eh! oui.
Il a dit: «Eh bien, Il vit dans mon coeur.»
«Eh bien, a-t-il dit, Mahomet vit dans le mien.»
Il a dit: «Mais tu vois, nous avons la joie, et–et l’allégresse, et nous–nous pouvons avoir la victoire, et...»
Il a dit: «Eh bien, un instant, Monsieur Reedhead.» Il a dit: «L’islam peut produire autant de psychologie que le christianisme.» Et maintenant, frère, vous savez que c’est la vérité. Voyez? Il a dit: «Nous pouvons juste...»
21 Oh! je les ai vus lorsqu’ils..., à la fête des prophètes; ils pouvaient prendre même une lance et se transpercer le nez comme cela, et la retirer, sans aucune goutte de sang. Ils poussaient des cris, hurlaient et faisaient des histoires et tout, oh! sûrement, certainement. Et voyez, tant de psychologie... C’est juste. Même en Afrique, où l’on adore le diable, où les gens boivent du sang dans un crâne humain, et invoquent la puissance du diable... Eh bien, ça faisait horreur même de se trouver là. Vous voyez? Les sorciers guérisseurs vous défient là en face. Vous ferez mieux de savoir de quoi vous parlez. Vous... Vous pouvez faire semblant ici et simuler. Mais lorsque vous êtes en face de la chose, vous ferez mieux de savoir de quoi vous parlez. Vous voyez?
Je suis... C’est ce que j’essaie de dire à mes frères ce matin. Frères, nous avons ce bubble dance dans les églises depuis très longtemps [C’est une danse proche du strip-tease exécutée dans les cabarets.–N.D.T.]. Vous voyez? Nous devons en venir à quelque chose de réel. Voyez? Toutes ces choses, c’est très bien. Bien des fois, c’est la joie du Seigneur au lieu que ce soit la puissance du Seigneur. Voyez-vous, voyez?
22 Et alors, monsieur Reedhead a dit: «Eh bien, a-t-il dit, maintenant...»
Je veux dire l’hindou a dit: «Vous voyez, Monsieur Reedhead, Mahomet n’a fait aucune promesse à ses adeptes, si ce n’est la vie après la mort.» Mais il a dit: «Votre Jésus a fait d’autres promesses. Il a dit que vous les docteurs, vous feriez les mêmes choses que Lui a faites.» Et il a dit: «Alors, peut-être, si vous pouvez prouver cela, alors nous croirons qu’Il est ressuscité des morts.»
«Oh!» Et monsieur Reedhead a dit, si vous le connaissez tous... Il lui a cité la même Ecriture, et a dit: «Oh! je pense que vous vous référez... Voyant que vous avez lu la Bible.» Il a dit: «Oh!» Il a dit: «J’ai lu cela à maintes reprises.», a dit le musulman.
Il a dit: «Eh bien, peut-être que vous parlez de Marc 16.»
Il a dit: «Ça, ce n’est qu’une Ecriture parmi tant d’autres. Vous voyez? Ce n’est qu’une Ecriture parmi tant d’autres. Que dites-vous de Marc 11.24 et ainsi de suite, et de tant d’autres? Saint Jean 14.12... Tant d’autres. Vous voyez?» Oh! il a dit: «Dans cette Ecriture, Christ a fait la même promesse.» Il a dit: «Nous les musulmans, nous attendons de vous voir, vous les chrétiens, produire cela, à ce moment-là nous croirons que votre Jésus est ressuscité des morts.» Il a dit: «Avant cela, n’essayez de vendre votre psychologie à un musulman, parce que nous en avons une meilleure.» Vous voyez?
23 Et il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, j’ai donné un coup de pied dans la poussière et j’ai changé de sujet, j’ai compris que je ne m’adressais pas à un novice. Il savait de quoi il parlait.»
Et il a dit: «Produisez ce que votre Bible...»
Et ainsi monsieur Reedhead a dit: «Eh bien, si vous vous référez à Marc 16, a-t-il dit, nous voyons... Nous savons effectivement qu’une partie de cette Ecriture, particulièrement, n’est pas inspirée.»
Vous avez entendu cela, frère. Et ils essaient d’enlever Marc 16 là. Même–même dans les notes de Scofield, vous l’avez lu, les notes de bas de page, et tant d’érudits essaient d’enlever cela.
Et vous savez ce qu’a dit ce musulman? Il a dit: «Ce n’est pas inspiré? Vous voulez dire qu’à partir du verset 9 cela n’est pas inspiré.»
Il a dit: «Non. Ce n’est pas inspiré.»
Il a dit: «Alors, quel genre de Livre est votre Bible?» Il a dit: «Le Coran tout entier est inspiré.»
24 Oh! la la! ce qu’il en est, frère, il faut des hommes qui ont la foi et qui savent où ils se tiennent côté position pour relever le défi et pour amener cette chose à une confrontation. Soit chaque Parole de cette Bible est inspirée, soit Elle n’est pas du tout inspirée. Si ceci n’est pas inspiré, et cela n’est pas inspirée, quelle partie de la Bible pouvez-vous croire? Croyez-La entièrement, sinon n’en croyez rien du tout. Soit vous êtes mes frères ce matin, soit vous ne l’êtes pas. Soit je suis votre frère soit je ne le suis pas. Avec Dieu, il n’y a pas de position intermédiaire. Soit nous sommes ici dans le but de promouvoir la cause de Christ, soit c’est le contraire. Voyez? Et c’est de cette manière que les Ecritures devraient être enseignées, pratiquées et crues.
Et il a dit: «J’ai dit: ‘Un jour je viendrai vous visiter.’» Il a dit: «Me voici.» Il a dit: «Recevoir le baptême du Saint-Esprit, cela existe-t-il?»
J’ai dit: «Oui, oui.»
Il a dit: «Quand peut-on le recevoir?»
J’ai dit: «Lorsque vous le désirez.» Voyez?
Et Morse Reedhead a reçu le baptême du Saint-Esprit, et il tient même des réunions de guérison lui-même. Et voilà, frères. Le monde, les deux tiers du monde n’ont jamais entendu parler du Nom de Christ.
25 Il a dit: «Eh bien, vous avez eu deux mille ans pour prouver que Jésus est ressuscité des morts, et seul un tiers du monde en a entendu parler en deux mille ans.» Il a dit: «Que Mahomet ressuscite des morts, et le monde entier le saura en vingt-quatre heures.» Il a raison.
A qui la faute, frères? A qui la faute? Eh bien, veuillez bien m’excuser. Si vous les érudits et... A moi-même... Je ne suis pas une personne instruite. Puis-je dire ceci? C’est notre faute (C’est juste.), parce que nous avons fait l’inverse de ce que Christ nous a ordonné de faire.
26 Eh bien, nous savons que c’est bien d’avoir des églises. C’est merveilleux. Nous savons que c’est bien d’avoir des dénominations. C’est merveilleux. C’est bien d’avoir–d’avoir des séminaires. C’est merveilleux. Mais Jésus ne nous a jamais dit de bâtir des séminaires ou quelque chose du genre. Il a dit: «Prêchez l’Evangile.»
Et l’Evangile ne consiste pas en Paroles seulement, mais dans la puissance et la manifestation du Saint-Esprit, ce qui produira les signes de Marc 16, où Il a dit: «Allez par tout le monde, prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Voici les miracles qui les accompagneront.» La Parole en soi est morte tant qu’Elle n’est pas entrée en action pour produire la vie.
Et si un grain de blé ne tombe en terre, il reste seul. Et alors quand la Parole est plantée dans un coeur de foi, cela fait revivre chaque promesse de la Bible. Voyez? Cela–cela va... Cela–cela doit vivre. C’est une Parole fécondée, et Elle doit vivre si Elle est reçue dans la bonne terre. Dans de bonnes conditions, chaque semence vivra de nouveau, si elle est plantée dans de bonnes conditions.
Et frères, puis-je vous dire ceci avec révérence et respect en tant que mes frères, sachant qu’avant peut-être la tombée de la nuit nous allons tous nous tenir au Trône du jugement de Christ au Ciel. Et écoutez, puis-je dire ceci: c’est l’atmosphère qui produit toujours le–le résultat. Voyez?
27 La poule, le véritable moyen pour une poule d’avoir ses poussins, c’est que la poule ponde des oeufs et qu’ensuite elle les couvre de son corps. Et c’est la chaleur que produit le corps de la poule qui fait éclore l’oeuf. Mais vous pouvez mettre cela sous un–dans une couveuse. C’est la même chaleur et la même atmosphère. Voyez-vous? Cela produira ces poussins de la même manière. Et peu m’importe si c’est sous l’atmosphère méthodiste, ou baptiste, ou presbytérienne, ou l’atmosphère de la Parole... Si la Parole, qui est l’oeuf, et si la bonne atmosphère... Si c’est dans une atmosphère presbytérienne ou peu importe où c’est, cela produira les mêmes résultats. Cela produira des enfants nés de nouveau. Vous savez que c’est juste, frères. Que ce soit sous la Pentecôte, le Plein Evangile, où que ça soit, c’est le–cela dépend de l’attitude que nous prenons à l’égard de la Parole de Dieu.
28 Maintenant, beaucoup parmi vous ont entendu parler de John Sproule. C’était un ami à moi. Il a dit en Alsace Lorraine, une fois au moment où il a été amené par un guide faire le tour d’un jardin, il avait vu une grande statue de Christ. Il a dit qu’il s’est tenu à l’écart et a critiqué cela. Il a dit: «Que voulait exprimer le sculpteur?» Il a dit: «Regardez.» Il a dit: «Eh bien, il n’y a pas de souffrance. Il n’y a rien. Ça a simplement l’air d’un quelconque... c’est juste...»
Et pendant qu’il critiquait cela devant sa femme, le guide s’est avancé et a dit: «Monsieur Sproule, vous critiquez peut-être cela, la–cette sculpture.»
Il a dit: «Oui.» Il a dit: «Je ne vois pas pourquoi il a suspendu ça là-haut. Apparemment, il n’y a rien qui montre les souffrances de Christ.»
Il a dit: «Monsieur, cela dépend de la manière dont vous regardez cela.» Il a dit: «Eh bien, il y a un autel là, ici en bas.» Il a dit: «Maintenant, venez ici en bas maintenant et agenouillez-vous.» Il s’est agenouillé. Il a dit: «Maintenant levez les yeux.» Oh! il a dit que cela a failli briser son coeur. Il y avait là les traits de toutes les souffrances de Christ lorsqu’il a levé les yeux. Il a dit: «Vous voyez, monsieur. Cela dépend de la manière dont vous regardez cela.»
29 Et il en va de même de la Parole de Dieu, mes frères. Ça dépend de la façon dont vous regardez Cela. Si vous vous tenez à l’écart et que vous regardiez cela en observateur, et comme un critique pour dire: «Ce gars n’a pas la touche, et ce gars-là n’a pas la touche,» cela ne marchera pas. Il faut se mettre à genoux et lever les yeux. C’est ce qui produit les résultats. A ce moment-là, vous aurez une attitude différente, une attitude différente vis-à-vis de vos frères, et une attitude différente vis-à-vis de l’homme qui lutte pour la même chose pour laquelle vous essayez de lutter. Voyez? Cela–cela démolit alors toutes les barrières.
Et maintenant, je n’aimerais pas trop vous parler. J’espère que je ne vous ennuie pas, mais j’aimerais juste témoigner un peu sur la bonté et la miséricorde du Seigneur Jésus, afin que vous sachiez que ce merveilleux Evangile n’a pas changé. Christ vit encore, frères.
Et la chose pour laquelle vous les hommes, vous combattez ardemment ce matin, eh bien, elle est tout aussi réelle aujourd’hui qu’elle l’a toujours été. C’est–cela... Il n’a... C’est toujours la même Parole que Paul a prêchée, que Pierre a prêchée, que les prophètes ont prêchée, et les autres. C’est la Parole éternelle de Dieu, et Elle ne peut jamais faillir parce que cette Parole est Dieu.
30 Et quelqu’un parlait ce matin au sujet des campagnes en Afrique relatées dans le livre, je crois que c’est frère Boze et tant d’autres, au sujet d’un article, je crois, que quelqu’un a lu ou quelque chose du genre. Cela a déclenché une discussion ou quelque chose. Eh bien, néanmoins... Je me suis dit, qu’il faudrait peut-être que je puisse vous donner juste un petit témoignage de quelque chose qui est arrivé, et si vous avez lu cet article, et sachant ce qui est arrivé, je pensais qu’il faudrait que je prenne quelque chose en guise de témoignage de ce qui est arrivé en Inde. Peut-être que vous vous intéressez à l’oeuvre de notre Seigneur, parce que nous sommes des ouvriers ici dans la moisson, nous sommes rassemblés ce matin sous l’arbre pour un petit repos et un moment de communion ensemble.
Et lorsque... J’ai été vraiment obligé d’aller en–en Inde. Et cependant, beaucoup parmi vous le savent, le voyage en Inde n’a pas connu le succès qu’il aurait dû connaître, parce que j’avais manqué de suivre la conduite du Saint-Esprit, et je n’ai reconnu cela qu’après qu’Il m’a donné une vision pour aller d’abord en Afrique et ensuite en Inde.
31 Et–et certains frères ont dit: «Oh! c’est juste... Nous ne pourrons pas tous aller en Afrique, ainsi... Frère Roberts y était tout récemment, allons donc en Inde.» Et sous l’influence de mes frères, eh bien, peut-être que j’ai appris... Mais peu importe qui vous influence, si Dieu vous a dit autre chose... Et maintenant, jugez cela par la Parole (Voyez?), par la Parole, et ensuite partez.
Vous savez, nous ne sommes pas censés... En tant que–en tant que des prophètes, nous tous, nous sommes là pour nous entraider, mais jamais pour nous dire les uns aux autres quoi faire. Beaucoup parmi vous ont déjà lu II Roi 13, sans doute. Là, ce prophète-là a eu des ennuis, et un lion l’a tué pour avoir écouté le... un véritable prophète, parce que Dieu lui avait donné une commission. Dieu doit toujours venir en première position. Et lorsque... Et ensuite laisser cela... Pour savoir si c’est Dieu ou pas, jugez toujours cela par la Parole. Si cela n’est pas exactement en accord avec la Parole, méfiez-vous-en. Voyez?
32 Nous vivons dans un temps terrible, frère, où ces Jannès et Jambrès se sont opposés à Moïse. Voyez? Eh bien, cela a été prédit. Nous ne pourrons pas arrêter cela, frères. Et notre–notre peuple américain s’est tellement adonné à la comédie, à la télévision, et–et à des histoires fantastiques, et à notre type d’évangélisation à la Hollywood, et à tout un tas de spectacles... [Espace vide sur la bande–N.D.E.], une prédication sassafras du fin fond du bois... mode, vous savez. Je n’aime pas cette couleur et cette affaire que les gens... Pour–pour apaiser les Américains... Même dans d’autres pays, comme vous le savez vous les missionnaires, là on me dit: «N’y a-t-il pas de bonnes femmes en Amérique? Toutes vos chansons sur vos femmes sont tellement vulgaires.» Et tout ce que nous avons, c’est... Je ne cite pas de noms; ceux-ci sont frères. Des gens tels qu’Arthur Godfrey, et Elvis Presley, et toute cette futilité qui est produite et diffusée à la télévision. Les esprits des Américains sont contaminés par des pareilles affaires, ensuite cela s’est même introduit chez les ministres et ils essaient de fleurir la chaire. Réalisez-vous que c’est exactement ce qu’avait fait Caïn? Savez-vous d’où cela vient? De Caïn. Il avait bâti un autel comme Abel. Il avait adoré comme Abel, mais il avait embelli cela.
Remarquez ce qu’a fait Satan; Lucifer, au Ciel, voulait avoir un royaume meilleur et plus beau, l’avez-vous remarqué? Cela a toujours été ainsi.
Avez-vous remarqué Moab sur la montagne et Israël, le saint exalté, là en bas dans la vallée? Vous voyez? Les deux avaient sept autels, sept sacrifices, les deux avaient sept taureaux, et les deux avaient sept béliers, parlant de la venue de Christ... Fondamentalement, ils étaient dans le vrai, Moab était tout autant dans le vrai qu’Israël ici en bas. Mais, frères, ce que–ce que Balaam a manqué de voir, c’étaient les miracles et les prodiges qui accompagnaient ces croyants ici en bas. Vous voyez? Dieu était dans le camp. Ils avaient un rocher frappé, un serpent d’airain, une Colonne de Feu. Le surnaturel était avec eux, et ça a été ainsi tout du long, et il a été prédit que, comme Jannès et Jambrès se sont opposés à Moïse, il en sera ainsi au dernier jour. Nous devons avoir cela.
33 Mais j’ai une meilleure espérance pour vous ici ce matin, mes frères, c’est que vous serez des hommes de Dieu qui s’en tiendront à la Parole de Dieu. Et que tout le reste tombe à droite ou à gauche, tenez-vous-en cependant à la Parole. Ne vous en détournez pas. Peu importe si vous êtes un paillasson là dehors, soyez un bon paillasson. Ne cherchez pas à rivaliser avec quelqu’un d’autre ou à faire ceci ou cela. Restez juste dans la Parole, tenez-vous-en juste là, et Dieu vous placera dans votre position dans Son Royaume, là où vous pourrez être le meilleur.
Et si mon doigt avait une idée, comme quoi puisqu’il n’est pas un oeil, qu’il ne soit plus un doigt? Je n’aimerais pas perdre ce doigt quand bien même mon oeil aurait plus de valeur, mais j’aime ce doigt. C’est une partie de moi. Comprenez-vous ce que je veux dire? Je suis sûr que vous comprenez. Alors peu importe la tâche qui vous est échue, quoi que cela soit, soyez ce que vous êtes. Et là où Dieu vous a placé dans votre position, restez là et soyez tout aussi fidèle que possible à cette Parole. Dieu bénira cela. S’Il avait une idée pour quelque chose d’autre, Il vous placera là où Il a un besoin.
34 Mais je crains que bien des fois dans nos actions, nos–nos... Beaucoup de nos frères sont tout aussi humains que l’étaient les autres lorsqu’il y avait une multitude de gens de toute espèce parmi–parmi les enfants d’Israël. Eh bien, lorsque les Israélites sont sortis de l’Egypte, il y avait une multitude des gens de toute espèce, et ils étaient partis... Le surnaturel avait été accompli, et c’est... C’est un élément humain. Et si seulement nous pouvons nous éloigner de cet élément.
Et c’est de cette manière–ce que ce petit déjeuner de ce matin signifie pour moi, tel que vous êtes assis ici en tant que des hommes... Peut-être que le docteur Vayle a pu inviter tous ceux qu’il a pu atteindre à venir au petit déjeuner. Mais parce que le Seigneur opère dans le surnaturel, oh! cela fait peur. «Voyez, je n’ai rien à faire avec cela. Je n’aimerais pas m’avilir en–en m’associant à de pareilles gens.» Saviez-vous que c’était l’attitude des pharisiens? Avez-vous déjà remarqué que c’est ce qu’ils avaient fait?
Savez-vous que Dieu ne retire jamais Son Esprit? Il retire Son homme, mais jamais Son Esprit. Son Esprit vient de... L’Esprit qui était sur Elie est venu sur Elisée, sur Jean-Baptiste, et ainsi de suite. Et l’accomplissement de tout cela était en Christ. Lui avait l’Esprit sans mesure, et ce même... Et savez-vous que le diable retire son homme, mais jamais son esprit? Son docteur? Son théologien? Cela suit carrément la ligne, tout le long depuis Caïn, tout au travers de la Bible, cela descend carrément, en rotation.
35 Mais frères, au regard de tout cela, bien des fois, je remets en question le fait d’aller tenir des réunions à certains endroits, où je pense que d’habitude les hommes qui ont une instruction de la Bible venant d’un érudit, qui s’en tient certainement à la Parole de Dieu, et qui voit des histoires fantastiques s’introduire et toutes sortes de choses qui... C’est comme la Bible l’a dit, des gens qui ont des cicatrices au front, et–et du sang sur le visage, et–et toutes sortes d’huiles coulant de leurs mains, et toutes sortes d’histoires fantastiques. Et ils entrent comme cela, et vous savez, les gens vont affluer vers cela? Je me suis dit: «Ô Dieu, et l’Evangile pur et sans mélange est prêché, et rien qu’un petit nombre va écouter cela.»
Mais Il m’a dit: «Que t’importe? Toi, suis-Moi.» Voyez? C’est juste. Ces choses doivent arriver. Voyez? Ainsi donc, nous vivons en ce jour-là.
Frères, gardons nos yeux fixés sur le Calvaire. Gardons nos coeurs loyaux vis-à-vis de la Parole. Prêchons la Parole, en toute occasion favorable ou non. Accrochons-nous à cette Parole immuable et tenons-nous-en à cela.
36 Lorsque nous avons atterri en Inde, malgré les difficultés, l’évêque de l’Eglise méthodiste est venu me rencontrer et tant d’autres. Et on m’avait dit que mon programme n’était pas correct, en venant, que le groupe qui m’avait sponsorisé et ainsi de suite n’était pas le groupe qu’il fallait, et qu’on voulait passer mon parrainage à cet autre groupe. Et j’ai dit: «Frères, en tant qu’un homme d’honneur, je dois tenir ma parole.» C’est juste. Bien des fois, on avait mal annoncé mes réunions à différents endroits, mais, frère, la raison pour laquelle cela est arrivé c’est parce que je n’ai pas de journal en propre. Je n’ai pas d’émission télévisée. Je n’ai pas ceci ou cela. Je–j’essaie de rester dans un état tel que je peux aller vers une petite église, ou une grande église, ou partout où le Seigneur me conduira.
Eh bien, quelqu’un me disait l’autre jour, je ne sais pas si je vous l’avais dit ou pas. Je prêchais à un endroit où un homme avait dit: «Eh bien, nous avons demandé à frère Roberts de venir.»
Ce dernier avait dit: «Vous êtes peu nombreux.»
Ils ont demandé à un autre frère de venir. Il a dit: «Vous êtes peu nombreux.»
Ils ont demandé à un autre frère, il a dit: «Vous êtes peu nombreux.» En effet, ils n’ont qu’une petite église.
Et il a dit: «Frère Branham est venu.»
Il se fait que j’étais dans une pièce à côté, et j’ai entendu cela, alors je suis sorti. Et j’ai dit: «Ecoutez, mes frères, le frère a dit cela en toute sincérité, mais si frère Roberts n’est pas venu, ce n’est pas parce qu’il ne voulait pas venir, mais c’est parce que c’est un homme qui a–a des obligations, comme frère Roberts a...
37 Eh bien, Dieu savait que je n’aurais pas l’intelligence de frère Roberts pour savoir préparer une émission, mais regardez ce que l’homme doit avoir s’il recourt à la télévision. Regardez ce que l’homme doit avoir s’il recourt à la radio, regardez les obligations que cet homme a. Et à cause de cela, il doit avoir beaucoup d’argent, ne le condamnez pas pour cela. Les contrebandiers d’alcool prendront cela et amèneront cela là-bas, et c’est ce qu’ils feront, et toutes les choses qui arrivent, pour aider cet homme. C’est un serviteur de Dieu, et il essaie de son mieux de répandre l’Evangile d’une manière que moi je ne pourrais pas le faire. Chacun a un ministère. Voyez? Chacun a son ministère.
J’ai dit: «Et frère Roberts et ces autres frères seraient heureux de venir, mais ils ne le peuvent pas parce que...» Mais j’ai dit: «Qu’en est-il de moi? Dieu savait que je n’aurais pas une grande connaissance. Il m’a simplement laissé là où je peux être petit et–de sorte que je ne sois pas obligé d’avoir de l’argent, et que je puisse tout simplement aller sans problème. Alors s’Il désire m’envoyer quelque part, Il laissera quelqu’un me soutenir et m’envoyer. Alors s’Il veut que je–je–que j’aille; en effet, Il mettra sur le coeur de quelqu’un de me sponsoriser pour ce moment-là. Alors, ça règle le problème.» Voyez?
38 Ainsi donc, là-bas, lorsque nous sommes arrivés à cet endroit-là, ils ont dit: «Laissez tomber votre sponsor.»
Et j’ai dit: «Non. En tant qu’un homme d’honneur, je dois tenir ma parole.»
«Eh bien, ont-ils dit, vous allez faire beaucoup de mal en Inde.»
J’ai dit: «Mais écoutez...»
Ils ont dit: «Retournez et rentrez chez vous.» Et ils ont commencé à me relater, oh! comment il y aurait des obstacles et ainsi de suite.
Mais j’ai dit: «Ecoutez, des lessiveuses qui font la lessive sur une planche m’ont envoyé ici. Des hommes qui ont travaillé à l’usine avec leurs mains souillées de graisse ont mis la main dans leurs poches et en ont fait sortir un dollar pour m’envoyer ici. Et des pères avec leurs petits enfants, peut-être, qui avaient besoin des chaussures, ont pris le dollar qui aurait servi à acheter la chaussure de l’enfant et m’ont envoyé ici.» J’ai dit: «Monsieur, je–je suis... Dans mon coeur chrétien, je ne pourrais plus les regarder en face, de savoir que j’ai mal utilisé l’argent pour lequel ils m’avaient envoyé ici pour prêcher l’Evangile à ces gens.» J’ai dit: «Pardonnez-moi si dans votre politique et ainsi de suite, je me suis embrouillé. Je ne le savais pas. C’était le manager. Je n’avais rien à faire là-dedans. Je suis simplement venu.» J’ai dit: «Mais je viens prêcher l’Evangile et aider les nécessiteux.» J’ai dit: «J’ai de l’argent ici dans ma poche que je dois remettre en main propre aux pauvres, parce que des gens m’ont donné cela pour le donner en main propre aux pauvres, et il faut que je le fasse.»
39 Je n’oublierai jamais cela, lorsque je suis sorti dans la rue, et que j’ai changé les dollars en roupies et que j’ai commencé à marcher dans la rue, eh bien, on devait presque chercher la police pour m’amener. C’était un... Oh! la la! vous ne saurez jamais ce que sont ces choses jusqu’à ce que vous arriviez là une fois et que vous voyiez les pauvres et les... Mais voici ce qui est à la base de cela. Voici mon idée.
Et vous les ministres, écoutez ceci. Brossons un petit tableau. Voici un vieil homme assis là, enveloppé d’un linge, avec un petit bac, et un peu d’eau. Il puise son eau à–à boire, et sa femme apporte cela à la maison si elle va faire la vaisselle, ou que sais-je encore, ou faire la cuisine. Et ils possèdent un peu de légumes qu’elle cultive. Et nous lui disons que nous sommes frères. Il a une peau sombre, et–et l’homme blanc domine sur lui. Et lorsque nous allons là-bas et que nous descendons du bateau, nous entrons dans une très grosse Cadillac rayée et dorée et nous roulons à bord dans la rue, et le frère mendiant s’assied dans la rue et quémande une pièce de monnaie... J’ai vu cela de mes propres yeux. L’ingérence du peuple américain les a obligés à nous repousser.
40 Un jour, j’ai vu quelque chose qui m’a étonné, un petit garçon dont un orteil était d’environ cette grosseur, presque de cette grosseur, trainait son petit pied bot, et un homme dont les bras avaient été complètement rongés par la lèpre. Et alors, je jetais des roupies là pour voir ce qu’ils allaient en faire. Je me suis dit: «Billy!». J’ai dit à mon fils: «Comment ce pauvre homme va-t-il ramasser cela? Ces mamans portant leurs petits bébés criaient, et les ventres de ces derniers étaient gonflés comme cela et ils crevaient de faim. Elles feraient n’importe quoi. Elles ne se soucient pas de la mort, mais, oh! rien que nourrir ces bébés, c’est ce qui compte. Ils sont quatre cent soixante-dix millions. Et presque quatre cent millions sont des mendiants. Et nous sommes ici aujourd’hui, habillés... Des serviteurs de Dieu assis ici et nous nous disputons, nous chamaillant au sujet de petites divergences de nos dénominations, alors que des millions meurent chaque jour là, sans avoir entendu l’Evangile une seule fois.
41 Lorsque j’ai projeté mes films l’autre soir et que j’ai vu ces pauvres petits enfants africains là, qui n’avaient jamais pris un bon repas de leur vie, ces enfants ayant de petits bras couverts de gale et nus, avec toutes sortes de maladies, gardant leurs mains levées, voulant que je leur parle encore une fois de Jésus avant de partir... Et puis, de penser que nous, nous allons nous disputer pour savoir si nous devrions être comme ceci ou comme cela, ou bien si nous devrions être presbytériens ou baptistes, oh! honte à nous, nous les hommes de Dieu! Comment se fait-il que nous ayons des différends, des divisions avec des idées et des choses semblables alors que Jésus est mort? Ce petit garçon a tout autant le droit de prendre un bon repas et de porter de bons vêtements que mes enfants ou vos enfants. C’est un produit de Dieu, qu’Il a créé, et c’est une création de Dieu.
Et ce n’est pas juste de notre part, avec nos grandes et belles églises, de consacrer des millions de dollars dans la construction des églises, et nous y mettons des orgues à tuyau qui valent des dizaines de milliers de dollars, alors que les missionnaires sont en train de mendier de l’argent pour aller dans les champs missionnaires apporter l’Evangile, et prêcher que le Seigneur vient bientôt. Frères, il y a quelque chose qui cloche. Vous savez que c’est vrai.
42 Et écoutez. J’aimerais vous dire quelque chose avec révérence et respect. Qu’est-ce qui peut... L’Inde va bientôt entrer dans le communisme si vous ne faites pas attention. Pourquoi cela? Parce que nous avons donné les centimes aux missionnaires afin qu’ils aillent dans les champs missionnaires, et nous avons donné notre argent aux bureaucrates et autres comme cela, sous couvert de... et tout dans cette nation. Et nous avons été pesés dans la balance et nous avons été trouvés légers.
Pendant que cet homme est assis là, les bras croisés, un homme qui passe par là l’évite et passe... Et cependant, le missionnaire essaie de lui dire qu’il est notre frère. Et nous traiterions un frère comme cela à cause de sa race? A cause de sa nationalité? Oh! frère. Ne voyez-vous pas ce même esprit arrogant s’infiltrer parmi les dénominations et renier la fraternité chrétienne de la même manière?
Nous sommes tous des produits de Dieu, et nous devrions être des frères, étroitement liés par l’Evangile. Dans nos motifs, nos idées et tout, nous devrions donner à Dieu pour le–pour le soutien, l’avancement de l’Evangile et le rassemblement dans la fraternité, et pour la Venue du Seigneur Jésus-Christ.
43 Cet après-midi-là, le maire de Bombay... On avait estimé qu’il y avait des dizaines de milliers et des milliers de gens qui s’étaient réunis. Je me serais senti un hypocrite si j’étais rentré chez moi sans leur prêcher au moins deux ou trois fois. Alors on m’a appris que je... que là, une dame avant moi avait fait quelque chose, et il s’est fait que quelques personnes–deux hommes avaient été tués dans une émeute. Et alors, on ne voulait pas me laisser tenir des réunions à l’extérieur de la ville. C’était contre la loi de la ville, à moins que j’aille directement à Delhi, New Delhi. Et c’est là que j’irai cette année, le Seigneur voulant, là ils ont un amphithéâtre, qui peut contenir un million de gens. Et ainsi, on a estimé à presque cinq cent mille personnes ceux qui avaient assisté à cette réunion ici à Bombay. Oh! les gens venaient de partout, ils s’étaient entassés sur les routes comme c’était le cas en Afrique et ainsi de suite.
Frère, où se trouve le corps, là s’assembleront les aigles. Jésus a dit: «Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel perdait sa saveur (jusqu’à dire: ‘Je suis presbytérien’; c’est réglé.’ Ou, ‘je suis un pentecôtiste et c’est réglé.’)... Alors il a perdu sa saveur.» Voyez? Le sel suscite la soif. Et seule la soif ne peut que... Le sel garde de sa saveur lorsqu’il est en contact. Soyez simplement salé. Dieu amènera le monde à avoir soif, si vous serez salé. C’est juste.
44 Et ensuite, comme ils étaient venus aux réunions, cet après-midi-là on m’a demandé si j’étais disposé à passer pour rep-... pour représenter la religion chrétienne à un rassemblement dans le temple de Jaïns. Je... Certains d’entre vous les missionnaires, je pourrais ne pas prononcer cela correctement. J’ai oublié comment on épèle cela: j-e-i-n, deux «n» ou quelque chose comme cela. Jans ou Jens, c’est une religion. Et cet après-midi-là, il y avait beaucoup de religions différentes qui s’étaient rassemblées là, parce qu’ils savaient que j’allais venir. Et là, ils avaient ôté leurs souliers et ils sont entrés [nu-pieds] dans ce temple païen. Et lorsque je suis entré là, ils étaient assis sur leurs coussins, et leur pape ou leur grand monsieur était assis là, les pieds relevés, et les moines se tenaient là, ayant arraché la barbe et ils étaient en train de s’arracher les cheveux de la tête. Ils fabriquaient de petits balais, parce qu’ils balaient les rues. Ils ont peur de marcher sur une fourmi, ou un petit insecte, qui pourrait être leur papa ou leur maman, ou leur oncle ou leur tante, et... La réincarnation, ils croient à cela. Et j’ai parcouru le lieu du regard, et j’ai vu leur différent habillement particulier qui représentait leurs différentes religions. Et je me suis dit: «Oh! Jésus. Qu’aurais-Tu fait si Tu étais entré ici?» Voyez?
45 C’est... Ce sont des hommes. Ils–ils mangent comme nous. Ils ont des femmes comme nous. Ils ont du sang comme nous. Ils pourraient nous sauver la vie par une transfusion sanguine, tout comme Christ nous a tous sauvé la vie par la transfusion de Son Sang. Ils ont des enfants. Ce sont des créatures de Dieu. Leur... Juste... Ils sont simplement embrouillés à cause d’un faux enseignement, parce que nous avons failli avec l’Evangile. Vous voyez? Maintenant, nous allons là-bas et nous distribuons des tracts. Les tracts, c’est merveilleux. Je n’ai rien à redire à cela, et j’approuve cela. Mais ce n’est pas ce qu’a dit Christ. Si nous allons enseigner la théologie là-bas, c’est merveilleux, je n’ai rien à redire à cela. C’est ce que nous devrions faire. Mais nous devons avoir quelque chose de plus que cela pour les païens, nous devons leur apporter plus que cela. Ça fait des années que nous envoyons des missionnaires là-bas. C’est juste. Et qu’avons-nous obtenu? Rien de significatif.
46 Je parlais tout récemment dans un club des Kiwanis, lorsque le docteur Davis, celui qui m’avait ordonné dans le ministère, il m’avait imposé les mains dans l’Eglise Baptiste Missionnaire, en tant qu’un jeune prédicateur... Et le soir où j’ai vu la vison du Seigneur lorsqu’Il m’a parlé du Message, je suis allé en parler au docteur Davis, ce dernier a dit: «Prêcher l’Evangile partout dans le monde avec une instruction d’école primaire? Je pense que tu crois cela, Billy?»
J’ai dit: «De tout mon coeur, Docteur Davis.»
Il a dit: «Toi... Billy, tu–tu as besoin d’un repos, fiston.» Il a dit: «Peut-être que tu ferais mieux de rentrer chez toi et de te reposer.»
J’ai dit: «Docteur Davis, je n’apprécie pas cela.» J’ai dit: «J’ai été un membre fidèle de l’Eglise baptiste, mais ai-je dit, je suis plus fidèle à mon Seigneur Jésus.» J’ai dit: «Dans ce cas, j’abandonne ma communion. Eh bien, vous serez toujours mes frères, mais je n’assisterai plus à une autre communion si c’est ça l’attitude de l’Eglise baptiste à l’égard de l’Ange de Dieu qui est en accord avec l’Evangile. Et Paul a dit que si quelqu’un vient vous prêcher autre chose, qu’il soit anathème. Mais cet Ange déclare le vrai Evangile de la Parole. Et Docteur Davis, j’aimerais que vous puissiez défier cela quelque part avec la Parole.» Il n’a pas pu le faire.
Il a dit: «Billy, as-tu pris un souper ce soir-là? As-tu fait un cauchemar?»
J’ai dit: «Très bien, Docteur Davis.»
47 Mais tout récemment, j’étais assis là en train de parler dans une réunion des Kiwanis, il y avait là des docteurs et autres qui y étaient assis, le docteur Davis était présent. Et la manière dont il m’avait parlé, il a dit: «Tu deviendras un saint exalté pour commencer, Billy.»
Lorsque j’ai eu le privilège de me tenir là, j’ai dit: «Docteur Davis, je vous salue, mais ce que vous traitez de fanatisme, notre église baptiste a dépensé des millions de dollars en envoyant des missionnaires en Afrique. Où est-ce que je les ai trouvés? Là, dans une concession. C’est juste. Ils étaient là où il y a juste un–un peu de gens rassemblés venant de certaines des tribus, et ils étaient venus, ils avaient fait quelque chose tel qu’ils ne voulaient pas s’associer à leurs tribus.
Ces gens-là ont une religion plus stricte que nôtre–que celle que nous pratiquons, le christianisme. S’ils font quelque chose, si une fille a été trouvée immorale ou quelque chose d’autre, elle ne peut plus rester dans la tribu. Non, non. Elle enlève la peinture de la tribu, et elle va en ville, elle doit se débrouiller du mieux qu’elle pourra.
48 Et dans l’une de ces tribus, si elle est trouvée coupable, elle doit dire qui a fait cela, et les deux seront tous tués. Ils sont plus stricts que nous, et ce sont des païens. Et de les voir marcher là portant leurs petits...
Je disais que lorsque j’étais en Afrique, que notre... Beaucoup parmi eux, vous les trouverez parmi nos baptistes, portant leur petite idole sous le bras. Ils disaient: «Eh bien, si Amoya...» Amoya signifie une force invisible comme le vent. «Si lui échoue, ceci n’échouera pas. Papa avait porté cela, il avait posé cela par terre, et il a allumé un petit feu, et le lion s’est enfui lorsqu’il a offert la prière.»
J’ai dit: «Le lion n’avait pas fui à cause de la prière. Le lion avait fui à cause du feu.» J’ai dit: «Je suis un chasseur. Je sais que les animaux ont peur du feu. Cela n’avait rien à faire avec la prière.»
Et alors il a dit: «Oh! il portait cela de toute façon.»
Mais cet après-midi-là, lorsqu’ils ont vu le Dieu de la Bible, frères, entrer en action, trente mille purs païens ont brisé leurs idoles en les jetant par terre et ont reçu le Seigneur Jésus-Christ. Voyez? C’est ça l’idée; il ne s’agit pas de distribuer des traités mais de prêcher l’Evangile, de démontrer la puissance du Saint-Esprit. Et vous les hommes, vous avez cela à votre portée. La chose est en vous.
49 Maintenant observez. Et en Inde ce jour-là, lorsque les gens sont entrés dans le temple et qu’ils se sont levés pour... Ils se sont mis à parler, les différentes religions, ils ont commencé à dénigrer le christianisme. Ils disaient... Eh bien, ils avaient beaucoup de bons arguments. Certainement. Ils avaient une bonne argumentation. L’un d’eux a dit: «Comment est-ce que vous, vous qui vous dites pieux, chrétiens, qui croyez en un Dieu, comment toute votre science est utilisée pour fabriquer des bombes atomiques pour vous faire sauter les uns les autres? Et ensuite vous vous prétendez religieux.»
J’ai dit: «Là vous avez raison. C’est juste. Mais tous ceux qui fabriquent ces bombes atomiques ne sont pas des chrétiens. C’est vrai.» J’ai dit: «C’est vrai. Nous les chrétiens, nous ne devrions jamais nous détruire les uns les autres, nous les chrétiens nés de nouveau.» Mais vous pouvez voir leurs arguments. C’est juste l’un des arguments (Vous voyez?), ce sont là leurs arguments. Et ils ont poursuivi en disant: «Notre religion avait existé avant celle-ci, et votre Christ...» Ils ont dit: «Christ est venu...» La foi indienne, selon laquelle Christ a tiré Sa philosophie d’un prêtre bouddhiste (Voyez?) et tout cela...
50 Alors j’ai dû me lever. J’aurai été un traitre à l’égard de Christ si je ne m’étais pas levé. Peu m’importait le genre de temple dans lequel je me trouvais. Je me suis levé et j’ai dit: «Vous êtes dans l’erreur. Et comment pouvez-vous donc–comment puis-je donc vous enseigner un sacrifice de sang, lorsque vous ne pouvez même pas tuer un moucheron?» J’ai dit: «Comment pourriez-vous donc accepter un sacrifice de sang?» J’ai dit: «Je vous invite à la réunion ce soir.»
Et ce soir-là, lorsqu’ils s’étaient tous rassemblés, avec les radjahs assis sur leurs coussins ainsi que les conducteurs religieux... Et nous... Cela m’avait pris deux heures et quelques minutes à m’efforcer de passer à travers cette foule pour entrer, avec les–les jeunes scouts et tous les différents... Je pense qu’ils avaient l’air des scouts, une sorte de, je pense, ce sont les éléments de la garde républicaine ou quelque chose de ce genre avec leurs bâtons et tout pour nous aider à passer à travers la foule, par là, jusqu’à ce que nous sommes arrivés à un endroit à partir duquel je pouvais parler. Et me tenant là à cet endroit, avec un interprète, de pauvres lépreux couchés là, entassés les uns sur les autres...
51 Oh! quel spectacle! Certains n’avaient pas de bras, avec les yeux et les oreilles rongés, et une–une foule compacte, les gens suffoquaient; et à la tombée de la nuit, on transportait les gens sur la tête, et on les jetait dans une salamandre [une sorte de poêle géant–N.D.T.], sans aucune promesse de Jean 3.16, disant: «Je suis la Résurrection et la Vie,» a dit Dieu. Des mortels pour lesquels Christ est mort, se mourant par milliers. On les ramasse dans les rues comme du bois à brûler et on incinère leurs corps, sans cérémonie ni rien, sans connaître leurs familles. On les jette tout simplement dans la salamandre. C’est tout.
Et nous nous disputons pour savoir si nous devrions faire ceci, ou faire cela, ou comment nous devrions nouer les lacets de nos chaussures, ou quel genre de cravate nous devrions porter ou quelque chose de ce genre. C’est une disgrâce, frères. C’est ça. Et tout notre... Si l’homme–si l’église est uniquement dirigée par la théologie de l’homme, elle n’a alors pas besoin du Saint-Esprit. C’est juste. Mais le–l’église ne doit pas être dirigée par la théologie humaine. C’est le Saint-Esprit qui doit diriger l’église. Nous ne devons pas être remplis de l’instruction et de la théologie de l’homme, nous devons être remplis de l’Esprit de Dieu, et c’est par Cela que nous devons être conduits, non pas par l’évêque, c’est par le Saint-Esprit, ni par des conducteurs dénominationnels, mais par le Saint-Esprit, frères.
52 Voilà la défaillance. Je ne dis pas ceci par arrogance. Je le dis par amour fraternel rien que pour faire remarquer et pour montrer une vérité. C’est à cela que j’essaie de vous amener, c’est une Vérité. Il n’y a aucune dénomination au monde devant laquelle je n’ôterai pas mon chapeau, que ce soit les Témoins de Jéhovah ou l’Eglise catholique romaine, devant laquelle je n’ôterai le chapeau. Toute personne qui confesse le Nom de Jésus-Christ avec respect, je respecterai ce frère et je me tiendrai à ses côtés aussi longtemps que j’aurai le souffle dans mon corps. Mais je dis ceci, nous divisons notre peuple et nous créons des divergences, alors que nous ne devrions pas le faire. Nous devrions rester unis. Dans Actes 2, ils étaient tous d’un commun accord.
53 Et, frères, puis-je dire ceci en terminant, parce que j’ai déjà dépassé mon temps maintenant. Je regrette de vous avoir gardés si longtemps. Je... Je n’avais pas l’intention de le faire. Mais pour aborder un point... Cette soirée à l’église, mes frères, lorsque nous nous tenions tous là sur l’estrade, vous ne pouviez même pas vous entendre penser. Vous savez comment c’était. Il y avait des centaines de tribus différentes et tout là. Ils étaient partout sur les routes, attendant à ce que je reste là pendant deux semaines, alors que je ne pouvais rester là que trois jours, parce que les–les foules étaient tellement grandes qu’il n’y avait pas d’endroit où les garder dans la ville, et on m’avait demandé d’aller ailleurs, parce qu’ils n’étaient pas en mesure de s’occuper de toute cette foule. Vous voyez? Eh bien, c’était terrible. Alors je leur ai dit: «Je reviendrai par la grâce de Dieu.» Et je retournerai.
Ainsi ce soir-là, pendant que je me tenais... Je surveillais le Saint-Esprit. Vous avez lu mon histoire sur l’Afrique, vous tous, dans le livre. J’avais attendu jusqu’à ce que cet homme qui marchait sur ses mains comme un animal, vous savez, lorsque les trente mille personnes ont reçu Christ.
54 Et j’attendais et un homme qui avait la lèpre est venu, le tout premier... On ne pouvait pas distribuer des cartes de prière. Oh! la la! les jeunes gens ont essayé de distribuer des cartes de prière, et on leur a déchiré les vêtements. Voyez? Alors, je disais que c’était juste comme en Afrique, laissez les missionnaires prendre... Allez là et prenez quelques-uns de telle tribu, et quelques-uns de telle autre tribu, et quelques autres de telle tribu, deux ou trois de chaque tribu et demandez-leur de se tenir debout.
Et ainsi, pendant que nous nous tenions là, les gens avaient... Les officiers en avaient pris quelques-uns pour les faire passer, ceux qu’ils avaient pu prendre, ceux qui étaient plus aptes. Ils ont fait d’abord passer un–un homme, un lépreux et il s’est tenu... Bien des fois, comme vous le voyez dans les réunions, le Saint-Esprit appelle les gens par leur nom et leur dit d’où ils viennent. Eh bien, cela ne devrait pas paraître fantasmagorique pour vous, frères. C’est la Bible. C’est un peu contraire à la conception moderne de la chose, mais Christ aussi était contraire à la conception moderne de ce jour-là. Et nous savons que l’histoire se répète.
55 Et là, cet homme, je–je voyais leurs noms. Je n’arrivais pas à les prononcer. Je pouvais juste épeler leurs noms tels que je les voyais. Je leur disais ce qu’il en était d’eux et ainsi de suite. Je priais pour la personne et je la laissais passer. Et souvenez-vous, je ne peux rien faire. Je suis juste un homme. Voyez? C’est Quelque chose d’autre qui fait cela. Ce n’est pas moi qui parle. Je n’ai rien à faire là-dedans. C’est votre foi qui fait cela. Alors vous voyez?
Hier après-midi, il s’est fait que frère Joseph est venu jusque dans la chambre où j’étais, juste avant d’aller à l’église, et j’ai commencé à prier à quinze heures. Et Joseph qui est assis là, un de mes amis, ça fait longtemps que nous sommes restés ensemble. Une vision est apparue là, concernant Joseph; en effet, nous nous aimons. Et depuis que nous sommes ensemble, jamais le Saint-Esprit n’a révélé quelque chose à frère Joseph sans que... Il est là, demandez-lui (Voyez?), montrant exactement ce qui s’était produit et ainsi de suite. N’est-ce pas vrai, Joseph? Voyez-vous, voyez-vous? C’est quelque chose...
Il y a plus de choses qui se produisent à l’extérieur qu’ici dans l’église. Voyez? Mais ce sont les gens qui sont dans l’église qui utilisent le don de Dieu. Voyez-vous? Alors, c’est juste comme je l’avais expliqué au docteur... je pense, hier.
56 Voulez-vous encore me supporter juste une minute...?... Ici... Alors vous–vous avez le droit de connaître ceci, frères, soeurs. Vous avez le droit de connaître ceci. Vous ici, vous êtes des bergers. Je ne vous blâme pas du fait que vous vous retenez de dire certaines choses. Vous êtes des bergers. Je ne blâme pas les ministres, les ministres baptistes, et les ministres presbytériens, et ainsi de suite du fait de voir quelque chose, de vous retenir de le dire, parce qu’ils sont des bergers. Ils nourrissent un troupeau, ils doivent veiller sur ce que leur troupeau mange. Mais ce que devrait faire un berger... Les pharisiens aussi étaient des bergers, mais ils devaient consulter les Ecritures comme Nathanaël et la femme au puits de Samarie, et ils auraient dû consulter les Ecritures et voir le jour dans lequel ils vivaient, et dire: «Voici la nourriture.» Voyez? Mais maintenant, écoutez.
57 La Bible a dit, avant que je finisse mon récit sur l’Inde, car j’aimerais que vous saisissiez cela. La Bible a dit que Christ... Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Dieu et Christ étaient Un. Ils étaient Un. Et ce n’est pas qu’Ils étaient un comme votre doigt, comme nous avons aussi eu des querelles là-dessus, alors que cela ne devrait jamais se faire. Et aujourd’hui, nous gardons rancune. Je ne pense pas que les prédicateurs le font. C’est l’assemblée. Avez-vous remarqué l’ordre de 2 Timothée 4? Les gens se donneront une foule de docteurs selon leur bon plaisir, ayant la démangeaison d’entendre des choses agréables, ils se détourneront de la Vérité, de la Parole, pour se tourner vers les fables, des histoires imaginaires, et ainsi de suite. Voyez? Je ne pense pas qu’il s’agit des ministres. J’ai tenu des réunions avec des centaines d’entre eux. Je les ai vus se serrer la main par-dessus la table avec d’autres de différentes dénominations, se serrer la main, et fraterniser. Voyez? Ce sont les–ce sont les brebis qui ne bêlent pas comme il faut. Voyez?
58 Or, Dieu a donné à Christ l’Esprit sans mesure. Est-ce juste? La plénitude de Dieu était en Christ. Il était Dieu Emmanuel. Nous savons cela. Il n’y a aucun–nous n’avons aucun doute dans nos esprits là-dessus. C’est juste comme je l’ai dit hier: «Tout l’océan est rempli d’eau. Et toutes les eaux de l’océan étaient en Christ. Mais ce petit don que vous voyez en train d’opérer ici, c’est juste une petite, une toute petite portion de–comme cela–une cuillère posée là, c’en est qu’une goutte.» Je peux voir cela. Mais en Christ était la plénitude de Dieu. Nous, nous avons l’Esprit avec mesure. Lui en avait sans mesure, dit la Bible. Voyez? Sans mesure, en aucune manière, Il est simplement limité–illimité. Il avait l’Esprit de Dieu.
Maintenant, le problème c’est l’eau. Eh bien, un jour, lorsque Dieu, sachant que Son Esprit demeurait dans Sa plénitude en Christ, Il a voulu utiliser Son Es–Son don qui était dans un Homme, le corps physique appelé Jésus, lequel était Sa demeure. Le corps est un tabernacle. Dieu était dans Son tabernacle ici sur terre. Le croyez-vous, frères? Dans le corps, Christ.
59 Or, Dieu voulait utiliser Son don, alors Il a montré à son Fils de quitter la maison de Lazare et de Marthe, et ensuite–et de s’éloigner pendant plusieurs jours, parce que Lazare allait mourir. Après que les jours fixés par le Père... Parce que Jésus avait dit: «Je ne fais rien de Moi-même, je ne fais que ce que Je vois faire au Père.» Jean 5.19 comme je me réfère à cela bien des fois. Jésus ne faisait que ce que le Père Lui montrait. Est-ce juste? C’est ce que dit la Bible. C’est ce qu’a dit Jésus, et cela règle la question. Maintenant, ensuite lorsque Dieu a pris Son don et L’a amené par ici et qu’Il est resté éloigné, jusqu’à ce que la durée de temps fut accomplie, Il a alors regardé Ses disciples, et Il a dit: «Notre ami, Lazare, dort.» Il savait que le temps était accompli.
Ces derniers ont dit: «Eh bien, s’il dort, il fait bien. Il dort. Il se repose.»
Il a dit: «Mais il est mort. Et Je me réjouis du fait que je n’étais pas là à cause de vous.» Parce qu’ils allaient essayer de Le persuader de prier pour lui, ce qui aurait été contraire à la volonté de Dieu. Voyez, nous devons suivre Dieu, comme le disait la soeur au sujet de son mari: «Les pas du juste sont dirigés par l’Eternel.»
60 Eh bien, Il a dit: «Je me réjouis du fait que Je n’étais pas là, mais Je vais le réveiller.» Vous saisissez? Regardez là à la tombe, Il a dit: «Père, Je Te remercie du fait que Tu M’as déjà exaucé (Voyez?), mais Je dis cela à cause de ceux qui se tiennent à côté, Lazare, sors!» Et cet homme qui était mort depuis quatre jours s’est tenu debout et est revenu à la vie. Nous croyons que cela est l’authentique Parole de Dieu, la Vérité.
Quelques jours après, une femme, une petite femme, sans aucune importance, probablement la femme d’un petit fermier, qui avait peut-être atteint l’âge de la ménopause, elle avait une perte de sang, elle est venue; et elle croyait que Dieu était là. Elle croyait que c’était Dieu. Alors elle a dit: «Si seulement je peux...»
C’est comme frère Roberts le dit bien des fois: «Trouvez un point de contact.»
«Si seulement je peux trouver mon point de contact, je vais toucher Son vêtement, et je serai rétablie, parce que je crois que si je peux toucher cela, Dieu est là-dedans.» Voyez? Et lorsque Christ a été touché physiquement, matériellement par la main de la femme, Dieu à l’intérieur, a rendu témoignage.
61 Il a dit: «Qui M’a touché? Qui M’a touché?» Tout le monde a renié cela, mais étant la plénitude la Divinité là, Il a regardé autour de Lui avec ce discernement. Il pouvait saisir leurs pensées. Est-ce juste? Frères, j’aimerais vous poser une question maintenant pendant que nous sommes réunis. Quelle différence y a-t-il entre le fait de percevoir la pensée d’une personne ou de lire une pensée? Vous voyez, ceux qui lisent la pensée, les lecteurs psychiques sont... Toutes ces choses auraient dû être de véritables dons de Dieu, mais ils ont été pervertis. Le diable ne peut rien créer. Il pervertit ce que Dieu a créé. C’est... Qu’est-ce que la justice? Qu’est-ce que le péché? C’est la justice pervertie.»
J’aimerais vous faire remarquer quelque chose. Excusez-moi, mes soeurs. Vous les hommes mariés, c’est légal et juste: vous avez une femme ave laquelle vous êtes marié, et vous avez suivi la procédure des droits humains, vous pouvez vivre avec votre femme, lui faire l’amour, et elle est une–c’est votre femme. Et c’est tout simplement légal, et la Bible a dit: «Que le lit conjugal soit exempt de toute souillure.» Mais la prostituée, ou la femme qui mène une vie impure peut être juste comme votre femme: mais aller avec elle c’est pervertir cela, la justice en injustice. Vous comprenez ce que je veux dire? Eh bien, je pensais peut-être que cette remarque vous amènera à voir de quoi je parle.
62 L’injustice, c’est la justice pervertie. Le diable ne peut pas créer. C’est pour cette raison que le diable ne peut pas guérir. Seul Dieu peut créer, et Il est le seul qui peut guérir. Voyez? Le diable peut pervertir, mais il ne peut pas créer.
Ainsi, cette femme a donc touché Son vêtement, et elle a été satisfaite. Elle a couru, et Christ a parcouru Son assistance du regard jusqu’à ce qu’Il a trouvé la femme en question, Il savait ce qu’était son problème, ensuite elle a confessé qu’elle avait... ce qu’elle avait fait.
Maintenant écoutez. Il a dit: «Je sens que Je suis devenu faible.» Ou, la vertu, vertu... il s’agit de la faiblesse. Cela vous enlève la vertu... Eh bien, qu’est-il arrivé? C’était Dieu qui utilisait Son don. Dieu utilisait Son don à Lui, et Il... Lorsqu’Il a utilisé Son don à Lui, Christ n’a pas dit qu’Il était devenu faible lorsqu’Il a ressuscité un homme qui était mort depuis quatre jours. C’était Dieu qui avait utilisé Son don. Mais ici c’était la femme qui a utilisé Son don, pas Dieu, la femme avait tiré de Christ ce que–à travers–par Christ, elle a tiré de Dieu par Christ... Elle a utilisé le don de Dieu qui était en Christ. Vous voyez?
63 Maintenant, voici une question qui va être soulevée: «Frère Branham, pourquoi devenez-vous faible après la réunion?» Je... Bien sûr que vous le comprenez maintenant. Tenez, c’est comme je le disais au frère l’autre jour, disons que nous sommes tous des petits garçons, et nous sommes à un cirque. Aucun de nous n’a de l’argent pour y entrer. Mais il se fait que peut-être moi, je suis un peu plus élancé que vous. Vous, vous êtes plus fort que moi.
Et Dieu nous a créés tous différemment, parce qu’Il est un Dieu de variétés. Le croyez-vous? Il a créé de grandes montagnes et de petites montagnes. Il a créé des déserts, Il a créé des océans. Il a créé des fleurs blanches, Il a créé des fleurs bleues et Il a créé des fleurs rouges. Il a créé des hommes petits, de hommes grands, des hommes aux cheveux roux, aux cheveux noirs, aux cheveux bleus. Il a créé des Jaunes, des Bruns, des Noirs. Il–Il–Il est un Dieu de variétés. Il n’est pas comme le complexe commercial Sears and Roebuck Harmony House. Il est–Il est–Il–Il est un Dieu de variétés. Voyez? Eh bien, Il produit une variété, parce que c’est ce qu’Il aime. J’aime la manière dont Il aime faire les choses. J’aime cela parce que Lui aime cela. Et lorsqu’Il est ici, vous aimez les choses qu’Il aime. C’est la raison pour laquelle j’aime la nature dans son état primitif.
64 Maintenant, nous remarquons. Maintenant, il y a un... Peut-être qu’Il m’a créé un peu plus élancé. Eh bien, je n’y peux rien du fait que je sois plus élancé. Vous n’y pouvez rien du fait que vous soyez plus fort. Vous pouvez faire pour Lui des choses que moi je ne peux pas faire. Je peux faire pour Lui des choses que vous ne pourrez pas faire. Oral Roberts, moi-même, vous, nous tous, nous sommes tous différents l’un de l’autre, mais nous sommes tous des frères. Voyez? Nous sommes tous des frères pour le même but.
Eh bien, il se peut que nous désirions voir ce carnaval. Maintenant, vous tous les frères vous dites: «Frère Branham, hé! frère, c’est vous le plus élancé.» Peut-être que vous voyez des visions, ce n’est qu’un don. Ce n’est pas par moi-même que je suis ainsi. C’est Lui qui m’a créé ainsi. Cela ne me rend pas différent de quelqu’un d’autre ni ne vous rend différent de moi. Nous sommes tous formés du même matériau, mais c’est la manière dont Dieu nous a créés qui fait la différence.
Eh bien, maintenant vous direz: «Là-haut à cette hauteur il y a un trou laissé par un noeud. C’est loin au-dessus de ma tête.»
Eh bien, vous direz: «Frère Branham, qu’y a-t-il dans cette salle?... Que se passe-t-il là à l’intérieur?»
«Je ne sais pas.»
«Eh bien, sautez pour voir.»
Eh bien, je vais tendre mes mains en haut pour m’accrocher, et je vais tenir fortement, et m’étirer, pour jeter un coup d’oeil par là. Fiou! [Frère Branham illustre.–N.D.E.]
«Que voyez-vous, Frère Branham?»
«Un éléphant.»
«Oh! vraiment?»
«Oui, oui.»
«Regardez encore, Frère Branham.»
«Oh! la la!»
«Très bien, sautez et accrochez-vous, tenez par mes doigts. Que voyez-vous, Frère Branham?»
«Une girafe.» Whaou! [Frère Branham illustre.–N.D.E.]
65 Oui, ça, c’est ce qui se passe à l’estrade. Voyez? C’est vous, comme cette femme-là, c’est votre foi qui tire de Dieu, cela provoque une vision. Voyez-vous cela? C’est vous qui le faites. C’est ce que nous faisons. C’est ce qu’avait fait cette femme-là. Cela affaiblissait. Voyez? Cela L’avait affaibli, parce que c’était la femme elle-même qui faisait quelque chose, qui a tiré la vertu.
Maintenant, qu’en serait-il si l’hercule de foire, le propriétaire du cirque, passait par là et disait: «Bonjour, Billy.»
Je dirais: «Bonjour, monsieur.»
«Que faites-vous?»
«Je jetais un coup d’oeil par ce trou de noeud.» Oh! oui.
«Qu’avez-vous vu d’autre, Frère Branham?»
«Oh! la la! c’est comme s’il serait satisfait si je lui disais qu’il y a un éléphant là à l’intérieur.»
66 Qu’en serait-il si cette personne ici... C’est une pression. Cette femme qui vient. La voici qui arrive. Il y a quelque chose qui vient à votre rencontre. Cela éclate. C’est une femme qui fait cela, c’est cet homme qui le fait, devant moi; ce n’est pas moi. C’est elle qui fait cela. Moi, je me tiens simplement là m’abandonnant moi-même. Cette chose est muette à moins qu’il y ait une voix vive qui parle à travers cela. C’est ainsi que nous sommes. Voilà un orgue et un piano, mais cela–cela–cela restera silencieux à moins que quelqu’un joue cela. Et ça, c’est nous; c’est moi. Je–je ne peux pas le faire. Voyez? C’est vous qui utilisez le don de Dieu. Voyez? C’est ce qui se passe dans les réunions. Ce ne devrait pas... Je ne devrais pas le faire. C’est juste Dieu qui fait cela. Si vous remarquez bien, je dirais: «C’est Dieu qui le permet.» Voyez?
Ça, ce n’est pas un don de guérison. Oral Roberts a le don de guérison. J’ai un don de guérison tout comme vous les ministres, pour amener les gens là-haut et prier pour eux. Mais ça, c’est juste une foi qui, c’est juste une foi tenace qui s’accroche comme cela, mais des fois vous laissez les choses aller de soi. Voyez? Mais de cette manière, c’est un don prophétique qui sonde cette âme. Voyez? Et vous savez.
67 Peut-être que cinq cents personnes ne passeront pas par la ligne de prière. C’est vrai. Mais lorsqu’une seule personne passe, sa vie est exposée. Vous qui avez assisté aux réunions et qui avez vu comment le péché, et ce qui a été dit: «Cet homme assis juste là, vous avez vécu avec lui, vous avez fait cette chose par ici et ainsi de suite.» Vous avez vu cela dans les réunions et vous le savez bien. Voyez? C’est juste. Voyez? Vous ne pouvez pas les faire défiler aussi vite que vous le voulez, vous devez observer. Il s’agit de la foi des gens eux-mêmes. Maintenant, voici quelqu’un à partir d’ici. Voici quelqu’un par ici. Voici quelqu’un là. Voyez-vous ce que je veux dire?
Maintenant, c’est... Eh bien, qu’en serait-il si le monsieur Loyal [Le maître du ring dans un cirque] passait par là? Eh bien, je suis juste... «Oh! frère, deux personnes sont passées et on leur a dit ceci.» Qu’avaient-ils d’autre?
La première personne se tient là: «Oui, je–j’ai le cancer.» C’est juste.
«Que voyez-vous?» Cette personne...
«Le cancer. Oui. Est-ce juste, soeur? Je ne me souviens même pas... C’est simplement...»
«Oui, c’est juste.»
Eh bien, là où elle devrait dire: «Merci, Seigneur. Je l’accepte maintenant comme ma guérison.» et s’en aller, ils vont attendre pendant un instant. Voyez? Il y a quelque chose d’autre, ensuite cela continue. Ça continue.
L’assemblée reste assise et dit: «Eh bien, c’est très beau.»
68 Mais en Afrique, les gens ne disent pas cela. En Inde, les gens ne disent pas cela. Lorsqu’ils voient cela, ils disent: «Oh! alléluia!» C’est ce qu’ils disent. Les gens disent: «C’est réel.» Voyez? Et ils s’en vont. Vingt cinq mille ont été guéris au cours d’une seule prière en Afrique. Sept grands camions remplis de béquilles et des fauteuils roulants ont été évacués après une seule prière. Les gens ont cru cela. Ils n’étaient pas endoctrinés par toute notre théologie et notre liquide d’embaumement que nous leur avons injecté. Vous voyez? Ils étaient–ils croient. Lorsqu’ils ont vu cet infirme se lever et tout... La plupart d’entre eux le connaissaient là, dans la tribu Songhaï, ou plutôt la tribu Zoulou, et lorsqu’ils ont vu cela, c’était réglé, frère. Ils ont simplement abandonné leurs béquilles, et tout, et ils ont marché tout droit en louant Dieu. Voilà.
Mais, oh! nous dirons: «Eh bien, un instant! Comment ça? Un instant. Ça pourrait être de la télépathie. Oh! ça pourrait être de l’hypnotisme–hypnose. Je vous assure, le docteur Dupont a dit que je–je–je ferais mieux d’être prudent à ce sujet.» Oh! non. Voyez? Dans ce cas, nous ne pourrons aller nulle part. Nous ne pouvons aller nulle part. Voyez?
69 C’est pour cette raison que nos coeurs sont tournés vers ce pays-là. C’est ce qui se passe lorsque je suis parmi les frères. Je dis, mes frères, si vous n’avez pas été appelé comme missionnaire, cherchez quelqu’un dans votre église qui... Faites tout ce que vous pouvez et soutenez quelqu’un qui est là-bas. Faites quelque chose à ce sujet. Voyez? Vous ne pouvez pas être en erreur en étant un missionnaire. Selon les ordres généraux, il faut aller dans le monde entier.
Maintenant, voici venir Monsieur Loyal. Il dit: «Que fais-tu, Billy?»
Je dis: «Je–je–j’étais en train de regarder par le trou du noeud.» Voyez?
«Que veux-tu voir? Eh bien, j’aimerais te montrer quelque chose, Billy. Il me prend par les épaules, me soulève jusqu’au même niveau que lui, et dis: «Vois-tu là-bas ce qui se passe? Cela descend par ici, et c’est là où se trouve cette tente, et telle chose se trouve ici.»
«Oh! oui. Oui, oui. Oui, c’est ça. Oui, oui. Je vois ce que vous voulez dire, oui, oui.» Eh bien, lorsqu’il vous dépose, je ne suis pas fatigué. Cela ne m’a pas dérangé. Voyez? Mais lorsque... Voilà la différence. Lorsque Dieu a utilisé Son don à Lui, et qu’Il a amené Jésus à l’écart, Il Lui a dit ce qui allait arriver, et qu’Il a ressuscité cet homme qui était mort, Il n’a jamais dit qu’Il était fatigué. Mais lorsque cette petite femme a touché Son vêtement, Il a dit: «La vertu était sortie suite à une perte de sang.» Voyez-vous la différence? C’était Dieu qui utilisait Son don, c’est l’homme qui utilisait le don de Dieu.
70 Eh bien, Christ avait l’Esprit sans mesure. Maintenant, c’était Christ, l’océan tout entier. Ce petit don qui est dans votre serviteur ici, votre frère, ce n’est qu’une goutte d’eau tirée de l’océan. C’est avec mesure. Mais souvenez-vous, les mêmes éléments chimiques qui sont dans l’océan tout entier se retrouvent dans cette cuillerée, dans cette petite goutte. Mais ce n’est pas la même quantité. Voyez? De même, nos ministères représentent les éléments chimiques qui constituent la–la grande économie de Dieu. Et Dieu peut utiliser ces éléments chimiques comme Il le veut. Ce n’est pas tellement la quantité qui compte. Mais tous ensemble, c’est plus que ce qu’il y a dans cette seule goutte. Voyez, la Plénitude de Dieu est dans Son Eglise. Mais nous avons l’Esprit avec mesure–avec, par mesure.
Eh bien, c’est ce qui produit cette faiblesse. C’est ce qui–ce qui se produit. C’est pour cette raison que je ne reste pas longtemps sur l’estrade. C’est pour cette raison qu’on me surveille. Je perds presque connaissance. Je vais... Eh bien, c’est comme si je sors de ce monde. Vous sortez d’un autre monde. Vous descendez ici. Mais qu’est-ce que cela déclare? Qu’il y a un pays au-delà de la rivière, frère. Sans l’ombre d’un doute, nous ne sommes pas dans une sorte de fiction. Nous ne sommes pas dans une sorte de mythe, dans l’hypnotisme du vaudou. C’est le Christ ressuscité qui se confirme Lui-même.
71 Je me tenais à l’estrade ce soir-là après que trois ou quatre personnes furent passées dans la réunion de prière, un aveugle est venu et il s’est tenu là. Alors je termine. Un aveugle est passé là. Et c’était un aveugle. Son nom a été appelé, il lui a été dit qui il était. Et ensuite, dans cette onction-là, vous pouvez sentir l’Esprit, je sens cela dans la réunion là où... Vous pouvez dire là où il y a des ténèbres, la froideur, l’indifférence (Vous voyez?), comme cela. Mais j’avais l’habitude, j’appelais les gens. J’ai dit: «Pourquoi doutez-vous? Vous–vous untel, vous le prédicateur presbytérien.» Eh bien vite, vous savez, si vous déracinez la mauvaise herbe, vous déracinez en même temps le blé. Alors c’est mieux de laisser cela tranquille. Voyez? Allez simplement de l’avant, faites votre travail. «Que t’importe? Toi, suis-moi.» Voyez? Faites ce que vous êtes censé faire et puis allez de l’avant.
72 Ainsi, je ne voulais donc pas être méchant envers les presbytériens. Bien des fois, les prédicateurs pentecôtistes (C’est juste.), des incrédules, autant qu’on en trouve n’importe où, frères. C’est juste. Ainsi donc, lorsque les gens... Eh bien, ils viendront à vous. C’est ce qui fait mal. Ils viendront vous voir, et vous diront: «Frère Branham, nous vous aimons.» Et vous savez que c’est faux. Je les vois juste là et j’observe cet esprit, je sens cela. On s’assoit et on se met à parler à cet homme pendant quelques minutes et je vois la vision se produire juste au-dessus là. Je–j’aurais plutôt voulu ne pas voir cela. J’aurais plutôt voulu ignorer cela. J’aimerais croire que son témoignage est vrai. Et lorsque... Voyez, cela crée quelque chose en vous. Comment appellerais-je cela? Eh bien, c’est quelque chose qui... Cela crée un manque de confiance que vous ne voulez pas avoir. Vous voulez les aimer de toute façon. Vous voyez? Et puis c’est pour cette raison que parfois, les gens me comprennent mal et pensent que je suis un séparatiste. Non, non. J’aime mes frères. Voyez? Mais je, je–j’aime avoir cela, garder cet amour-là dans mon coeur. Je n’aimerais pas que cela soit brisé. Voyez? Tout homme m’aime, et j’aime chaque homme. Cela–c’est ainsi. Vous voyez? C’est ce que j’aimerais faire.
73 Ensuite, lorsque cet homme est venu, cette Chose lui a révélé qui il était. Il lui a été dit qu’il était un mendiant, et qu’il adorait le soleil. Vous en avez entendu parler. Il lui a été dit qu’il avait été aveugle depuis vingt ans. C’est juste... Son visage était aussi blanc que ma chemise. C’était juste. Il a accepté que c’était juste. Et quand j’ai regardé l’assistance, le radjah qui était assis là, ou qui que c’était, et ces gens-là, pensaient qu’on exerçait de la télépathie ou quelque chose du genre. On pouvait identifier cela. Et j’ai dit: «Y a-t-il un médecin ici présent qui aimerait examiner cet homme?» Il n’y avait pas de médecin là. On pouvait voir qu’il était complètement aveugle. Voyez? Et je lui ai dit: «Monsieur, je ne peux rien faire pour vous.» Voyez, je lui avais dit qui il était, et c’était juste. Je lui avais dit qu’il avait deux enfants, et c’était juste. Il lui avait été dit depuis combien de temps il avait été aveugle; c’était juste. Et il lui a été dit qu’il cherchait un soulagement pour ses yeux, la guérison. Et dans son coeur, il se disait qu’il servirait n’importe quel Dieu qui le guérirait. Voyez? Il était disposé à servir n’importe quel Dieu qui allait le guérir. Maintenant, voici ce que je dis pour vous, afin que vous connaissiez votre Dieu maintenant, frère. Voyez? N’importe quel Dieu qui...
74 Et ils étaient assis là, au moins quinze religions différentes assises là: ceux qui adorent les mouches, ceux qui adorent les bétails, ceux qui adorent ceci, ceux qui adorent cela. Vous savez comment sont les religions en Inde. C’est plein de superstitions. Et ils étaient assis tout autour là, dans cette condition-là. Et je me suis dit: «Oh! Dieu...» Et j’ai dit: «Maintenant, voici cet homme. Il est aveugle. Je... Je ne peux rien faire pour l’aider.» J’ai dit: «Dieu le sait.» Et pendant que je regardais, il est apparu là, les yeux [ouverts en train de] regardaient autour de lui, vous savez, dans la vision, en train de se frotter les yeux, souriant.
Oh! frères, oh! j’aurais seulement voulu avoir le vocabulaire maintenant ou le–quelque chose en moi pour vous faire voir et vous faire comprendre ce que cela signifie: quel sentiment! Voyez? Je ne suis plus obligé d’utiliser la foi. C’est un drame. Dieu l’a déjà dit. Tous les cieux et la terre passeront, mais Sa Parole ne passera point. Tous les démons de l’enfer n’arriveront pas à arrêter cela maintenant. Dieu l’a dit. Voyez? Cela règle la question.
C’est comme lorsqu’Il m’a parlé hier matin là. Oh! ça m’est égal: que les vagues mugissent, cela n’a rien à faire avec la chose. Le petit garçon en Finlande, et à bien d’autres endroits, lorsque Dieu a dit quelque chose, ça règle la question. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR à ce moment-là. Voyez? Observez cela.
75 Je me suis dit: «Oh! Dieu, comme je Te remercie. Tu es toujours Jéhovah. Tu es toujours le Tout-Puissant.» A ce moment-là, je–à ce moment-là je connaissais ma position. Je savais alors où je me tenais. Peu m’importe le nombre de démons qu’il avait envoyés, ils–il n’y avait aucune défaite à ce moment-là. Dieu l’avait déjà dit. Vous vous sentez comme Elie sur le mont Carmel, qui se tenait là lorsqu’il criait aux prophètes de Baal: «Peut-être qu’il est allé en voyage. Peut-être qu’il est parti à la chasse.» Elie a dit: «Eternel, j’ai fait ceci sur Ton ordre.» Il savait exactement ce qui allait arriver. C’est pour cette raison qu’il a pu dire cela.
Oh! frères, notre religion n’est pas de la fiction. Ce n’est pas une histoire de Père Noël. C’est un véritable Jésus vivant. N’ayez pas peur de Le soumettre au test de Sa Parole, parce qu’Il tiendra alors Sa Parole. C’est juste. Il tiendra Sa Parole.
76 Là, lorsque j’ai vu cela, je me suis dit: «Oh! Dieu! Comme c’était le cas en Afrique, maintenant Tu vas le faire en Inde.» Et je me suis tourné vers l’assistance. J’ai dit: «Messieurs, vous les membres des religions de l’Inde.» Je ne pouvais pas leur parler en tant que frères, parce qu’ils n’étaient pas mes frères. «Messieurs, les membres des religions de l’Inde, vous me disiez aujourd’hui dans votre temple là-bas...»
Oh! Dieu fraie toujours une voie. Oui, oui. Ne vous débattez pas. Donnez-Lui l’accès. Laissez-Le tranquille. Avancez tout simplement. Suivez-Le.
77 J’ai dit: «Aujourd’hui j’étais étonné dans votre temple, lorsque vous m’avez dit combien vos dieux étaient grands et combien le Mien était une fiction, et que cet homme-là n’est jamais mort, qu’Il était monté sur un cheval et qu’Il est allé au ciel.» J’ai dit: «Mais Il est mort, et cependant Il est ressuscité.» J’ai dit: «Voici un homme qui adore le soleil, qui témoigne être aveugle depuis vingt ans.» Et j’ai dit: «Le voici maintenant ici cherchant à recouvrer la vue.» J’ai dit: «Certainement, le Dieu qui l’a créé, le Créateur qui l’a créé,» j’ai dit: «Il peut lui redonner la vue.»
J’ai dit: «Eh bien, bien sûr, vous êtes–vous–vous les sikhs, vous les jaïns, les musulmans, et les bouddhistes et autres, vous dites que c’est un faux Dieu.» Mais j’ai dit: «Qu’allez-vous faire? Vous direz: ‘Venez me voir.’ Qu’allez-vous faire? Vous changerez sa manière d’offrir sa prière.» J’ai dit: «Que ferez-vous? Vous changerez simplement sa philosophie.» J’ai dit: «Vous–vous allez l’amener à adorer quelque chose d’autre, ou à faire quelque chose d’autre ou à changer sa manière de prier.» J’ai dit: «Nous avons la même chose en Amérique.» J’ai dit: «Mais cela n’aidera pas cet homme.» J’ai dit: «Vous ne ferez de lui qu’un prosélyte.»
78 Et j’ai dit: «S’il venait ici pour changer afin de ne plus être un adorateur du soleil, comme vous l’affirmez... Il adore le créateur–la créature au lieu du Créateur. C’est ce qu’il a fait, et il a fait ça par ignorance. Mais que feriez-vous si vous faisiez de lui un jaïn? Que feriez-vous si vous faisiez de lui un musulman?» J’ai dit: «Eh bien, il ne serait pas mieux. Il sera toujours aveugle, et vous ne changerez que sa–sa–sa philosophie, sa manière de prier, vous allez seulement changer son idée, changer sa dénomination.» J’ai dit: «Nous avons la même chose en Amérique. Tous les baptistes veulent convertir chaque méthodiste qu’ils peuvent pour les amener à l’église baptiste. Et chaque méthodiste veut convertir les baptistes. Et les–les baptistes veulent convertir les presbytériens, les luthériens. Les pentecôtistes veulent les prendre tous.» C’est ainsi que ça se passe. Mais j’ai dit: «Qu’est-ce? C’est de la pure psychologie.» C’est juste. Mais j’ai dit: «Nous avons un seul Dieu, là où vous tous vous en avez plusieurs.» Mais j’ai dit: «Il en est ainsi en Amérique. Ils font du prosélytisme, et ils tirent des gens, ils se querellent, ils essaient tous d’amener tout le monde à adhérer à ceci, pour que tous viennent à ceci, gagner un million de plus en quarante-quatre et tous ces slogans et des choses comme cela.» J’ai dit: «Qu’est-ce? C’est de la pure psychologie humaine que d’ériger des organisations.»
79 Et j’ai dit: «Je lance un défi.» Excusez mes émotions. «Je défie le prêtre de Bouddha de s’avancer et de redonner à cet homme la vue. Si vous le faites, il sera désormais un bouddhiste, et moi aussi.» J’ai dit: «Je défie le prêtre mahométan de s’avancer et de lui redonner la vue. Il deviendra désormais un musulman, et moi aussi.»
Oh! frères, notre Dieu vit. Ici en Amérique, vous n’affrontez pas ces choses. Il vous faut aller dans ces pays-là pour... réellement. C’est là où ils observent. Voyez? C’est là où vous en arrivez à une confrontation. Oh! vous pouvez dire: «Je–je peux prouver... Je suis membre d’une grande organisation.» Cela n’a rien à faire avec la chose, frère. C’est juste.
80 J’ai dit: «Je défie n’importe quelle religion ici de venir lui redonner la vue, et il va adhérer à votre religion et moi également.» J’ai dit: «Certainement, le Créateur qui l’a créé, s’Il avait vu qu’il avait adoré la création au lieu du Créateur, certainement qu’Il pourrait le ramener à son état normal, pour le rétablir, s’il a fait ceci à cause de l’ignorance de Son adoration.» Et j’ai dit...
C’était la foule la plus silencieuse à laquelle j’ai jamais parlé. Il y avait des milliers de gens jusqu’à perte de vue qui étaient là, étendus les uns sur les autres, ils s’étaient empilés. C’était silencieux. Chaque homme était assis sur son oreiller, les grands prêtres et les autres. Personne n’a bougé.
J’ai dit: «alors messieurs, pourquoi ne dites-vous rien? J’ai dit: «Aujourd’hui dans le temple des jaïns, vous m’aviez dit à quel point le christianisme était petit, et combien c’était une minorité. Et c’est bien le cas. Les musulmans sont plus nombreux, ils représentent les deux tiers, les catholiques et nous tous y compris. Vous pouvez dire à quel point nous sommes minoritaires. Mais maintenant, à quel point êtes-vous grands?»
81 Oh! alors nous sommes sûrs. Je n’aurais jamais dit cela, frère, Dieu le sait, si cette vision ne s’était pas produite là. Non, non. Mais Dieu l’avait dit, et c’était réglé. C’est la même chose qui s’était produite en Afrique. Certainement, je savais que ce n’était plus moi. Je n’étais que Son porte-parole. Voilà.
C’est la même chose qui s’était passée en Finlande lorsque j’ai ressuscité le garçon mort. Vous en avez lu l’histoire. Certainement, c’est juste. Il est Dieu. Il ne dit pas tout à Ses serviteurs, mais lorsqu’Il veut vous utiliser, qu’Il peut mettre Ses mains sur vous, vous amener ici à faire cela, si vous restez humble et que vous restiez à votre place, Il peut en tirer plus de gloire que toutes ces manoeuvres que vous pouvez faire ou que je peux faire. C’est juste. Demeurez dans votre appel, et restez-y jusqu’à ce que Dieu soit prêt à vous conduire ailleurs. C’est juste.
82 Voilà, pendant que l’homme se tenait là, j’ai dit: «C’est vraiment calme.» J’ai dit: «Pourquoi? C’est parce que vous ne pouvez pas faire cela et moi non plus... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Le Dieu du ciel, Jéhovah Dieu qui a ressuscité Son Fils, Jésus-Christ, qui s’est tenu ici à mes côtés ce soir, qui m’a montré une vision selon laquelle cet homme va recouvrer la vue, et c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Si Dieu ne redonne pas la vue à cet homme, je suis un faux prophète.» Et j’ai dit: «Alors ma religion que je représente, je suis un faux représentant du christianisme. Mais si Dieu a dit ceci; alors s’Il l’accomplit, combien ici vont abandonner leurs superstitions et vont servir le Dieu vivant qui peut redonner la vue aux aveugles?» Jusqu’à perte de vue, il y avait des mains qui s’étaient levées. Voyez?
Voilà la confrontation. C’est ça la preuve. C’est comme le dit le vieux dicton: «C’est à l’usage que l’on juge de la qualité de la chose.» Voilà. Il ne s’agit pas de notre théologie ni de notre psychologie, mais de la vérité du vrai et authentique Créateur qui a créé les cieux et la terre. Et tout comme le Saint-Esprit nous a couvés sur la surface de la terre, certainement que le Saint-Esprit peut nous couver pour restaurer notre état normal.
83 Et là en me tenant à cet endroit-là, je me suis alors retourné avec un coeur aussi assuré, avec autant de foi que j’ai de croire que je peux m’avancer vers ce micro. Oui, oui. Parce que, ce n’est pas parce que c’était moi. Non, frère. Cela n’avait rien à faire avec la chose. C’était Jéhovah Dieu qui était sur le point d’entrer en scène. C’est juste. Et Il venait de me montrer la chose par une vision, par un don. Et Il voulait utiliser cela en ce moment-là. Certainement, devant une bande de païens, Il voulait utiliser Son don. Là, me tenant là, je me suis avancé vers cet homme et j’ai posé mes mains sur son visage, comme cela.
Et j’ai dit: «Père céleste, Toi qui viens de montrer la vision.» J’ai dit: «Je me sens comme Paul d’autrefois, lorsqu’il était sur le navire, et qu’il a dit: ‘Ayez bon courage.’ Voyez? Car je sais que Tu vas redonner la vue à cet homme, parce que Tu l’as dit. J’ai prononcé Ta Parole et je... Avec tout ce que j’ai comme sagesse, je les ai tous amenés à promettre qu’ils Te recevront comme leur Sauveur personnel si Tu accomplis cette chose. Maintenant, ô Dieu, le Dieu qui a créé les cieux et la terre, eh bien, Toi qui as ressuscité Jésus des morts, alors que nous pouvons nous tenir là et voir la gravitation perdre sa puissance, puisqu’Il est le centre de la gravitation comme Il avait ressuscité ce corps froid de la tombe et L’avait envoyé dans la gloire. Maintenant, que l’on sache que Tu es Dieu en ce jour. Je le demande au Nom de Jésus-Christ.»
84 Pendant que je gardais ma main là, et lorsque la prière... bien entendu, elle n’était pas interprétée, lorsque j’ai enlevé mes mains, cet homme a regardé. Il a poussé un cri. Il m’a saisi autour de la hanche. Il a saisi le maire de la ville et s’est mis à l’étreindre et l’embrasser. Il était–il pouvait voir comme n’importe quel homme qui est assis ici. Je vous assure: les gens étaient excités, et une clameur s’est levée de ces gens, et tout le monde est entré dans une agitation. Deux ou trois heures plus tard, ils m’ont fait passer à travers la foule à l’aide de l’armée là qui essayait de repousser les gens. Les poches de ma veste avaient été arrachées. Mes chaussures avaient disparu. Ils m’auraient enlevé tous mes vêtements, ils avaient failli me déshabiller, ils hurlaient et poussaient des cris. Et le lendemain, c’est avec chagrin que j’ai dû quitter l’Inde en promettant que j’y retournerais.
Mais, frère, les commandements de Jésus sont autant vrais et vitaux aujourd’hui qu’ils l’ont toujours été. Il est tout autant ressuscité aujourd’hui qu’Il l’a toujours été. Et Il est le même Seigneur Jésus, et Il est avec nous aujourd’hui. N’ayez pas peur. Croyez au Seigneur. Amen.
85 Prions. Père céleste, comme ces hommes et ces femmes sont assis ici ensemble, nous sommes–nous sommes associés dans cette même bénédiction. Et je suis si heureux de me tenir comme le–aujourd’hui pour leur dire ce que leur glorieux Sauveur est en train de faire dans d’autres pays, chez des hommes qui n’ont pas–qui n’ont pas eu le privilège de la glorieuse visite du Saint-Esprit... Je Te prie de bénir ces hommes et ces femmes.
Ô Eternel Dieu, ces dons qui opèrent dans ce groupe ce matin, ce sont des membres de l’église baptiste, méthodiste, presbytérienne, et pentecôtiste, à des étapes différentes et tout. Ô Dieu, que cette communion que nous avons ce matin en commun, que ça ne puisse jamais cesser parmi eux.
86 Et, quelle que soit la position dans laquelle Tu les a placés, la façon dont Tu les as ordonnés à la Vie Eternelle, et dont Tu leur as donné leur position, qu’ils Te servent avec respect. Car un glorieux jour, Jésus viendra, et tous les soucis et les ennuis de ce monde seront ôtés, et nous Le verrons. Nous aurons un corps semblable à Son propre corps glorieux. Et lorsque nous nous assiérons ensemble là-bas de l’autre côté, oh! quel jour ce sera! Oh! que chaque ministre qui est ici, que son–que sa chaire, que ses sermons, que son ministère soient de plus en plus inspirés. Accorde-le, Seigneur, si j’ai trouvé grâce à Tes yeux.
Et comme mes frères se tiennent ici ce matin, oh! je prie pour chacun de ces ministres ici, ces esprits qui sont au service du Seigneur, ô Dieu, que tu exauces ma prière. Et je Te prie de purifier ce don qui est en eux. Si ce sont des prédicateurs, fais d’eux de meilleurs prédicateurs. Si ce sont des évangélistes, fais d’eux de meilleurs évangélistes. Si ce sont des docteurs, fais d’eux de meilleurs docteurs. Si ce sont des pasteurs, fais d’eux de meilleurs pasteurs. Ô Dieu, accorde qu’ils soient remplis de l’Esprit de Dieu, qu’ils reçoivent la puissance qui vient du super Cep, qui leur donnera la Vie Eternelle, et la puissance pour prêcher, et toucher ce monde nécessiteux comme il est tellement dans le besoin aujourd’hui.
87 Pardonne-nous nos manquements. Pardonne-nous notre étroitesse d’esprit dans la foi et nos petites idées séparatistes, et que nous soyons baptisés pour former une seule grande fraternité, une seule grande communion, afin que le Royaume de Dieu avance par notre union en ce jour. Nous le demandons au Nom de Christ. Amen.
Je regrette de vous avoir gardés si longtemps, frères, mais il se fait tard. Il est vingt-deux heures trente. Non, il est vingt-trois heures moins le quart. Je–je vais payer... additionnel. Je regrette, mais je vous aime.
E-1 To be assembled with such a nice people, and I am... I feel very honored to be assembled here with this group of men and women this morning. And while we were eating breakfast as it seems to be that I always think of this... I hear each one give their testimony. And sometimes I heard a man right up here at the end of the table say... I said something to him last night or something. It's one of those men. I believe it's the men setting right there. And a lady over here said that I prayed for her. Now, that seems that I dreamed it. It's just way back. It's something that I may try to explain it the best I can in a few moments.
But as I set here and thought of the doctor there, his testimony, and at the jail services... And this man is a Methodist from my mother's church, and--and the Church of God there, the brother said. And the--and the different ministers...
The young fellow over there, and this brother here, and just so many of you, all of you, our colored brother here... And how that it just gives you something. And I think as we set here this morning, as men and women, we--we have one motive, and that's to the further the cause of Christ. That's--that's why we are here. And we are not divided, though our denominations may mean different, but we are all one in His grace. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-2 Much of my time... My--my mother's mother came from the reservation, and there's been something in me that loves the outdoors. As you know, I'm a hunter, and I've rode and done much riding. My father was a rider. And up there on--in Kremmling, Colorado, back on Troublesome River, we had... The Hereford Association grazes that--the Troublesome River Valley. And I've rode much in the years back in there. And we have a drift fence where all the--the Association rides their cattle in. If you can raise a--a ton of hay, you can graze a cow on the--on the Arapaho forest. And I noticed a ranger standing there as he counted each man and his brands that went by.
And as I set there many time with my leg over the horn of the saddle watching, and seeing him count those cattle as they go through, I see them come through with the Tripod; that was ours. Turkey Track, that was another ranch up the river. The Diamond T, the Lazy R, and many different brands. Everything went through, and they had different brands, but every one of them was hereford.
That's what I think it today. See? We--we might be different branded, but we're all Christians at heart. Nothing goes in there unless he's a registered hereford. He can't go through the gate unless he's a registered hereford. And we can go in the gates, no matter what we are in brand, as long as we are borned again Christians.
E-3 And looking across the table here and seeing some of the men that, perhaps maybe just a little older than I, and some of you men even that's younger than I, were preaching this marvelous full Gospel, as we call it, before I came in on the scene. And to hear the remarks and the respects that I realize you don't say to me as a man; you're giving them to God for His kindness of His gift that I am with you in ministering.
But did you realize this road that's so smooth that I'm riding on now, you men laid it when you were on the street corner with the guitar years ago and were kicked about from pillar to post? You men and women laid that foundation that I'm only trying to build on. And here I stand as one borned out of season, just a young man in the age of the ministry that you're in. And here, you're letting me speak to you, when really you are the one who laid the foundation. See?
E-4 Then I look this morning and see these aged men and women as they have preached when I was just a little Baptist preacher or maybe before there, and accepting me as your brother. And what a feeling it is to get together where people don't think that you're a devil, or a spook, or something, that you're--you're a brother, and they--they understand it. And it just makes me feel so good. I have to be... I want to be, and it's in my heart to be loyal to my calling. And then when I see someone welcome you, then you know how it makes you feel. See? Oh, such a love that flows to a brother like that and sister. When you are--feel that something that you know that comes from God, that--that you're trying to give to the people, and with a heart they just embrace it. How it makes you feel to them. You see, it's just something.
And as I look around the table here and think this is a breakfast. I don't know whenever we'll be like this again. We may never in this life be like this again. And I thinking of nine o'clock and the business, one of the businessmen sitting there said--come over and said, "I must leave at nine, Brother Branham, 'cause I've got some Christian things," he had to do for Christian people. And I thought, "Well, just a little while and then we'll be separated again." But as the poet said, "We'll still be joined in heart, and hope to meet again." You sing that old song, many of you, "Blest Be the Tie That Binds."
E-5 And I thought, "Will we meet again then?" Yes, brethren, we'll meet again. And it will not altogether be a breakfast. We're told it'll be a supper. And as... When at last, when it's all over, and our toils are finished, and we come up into His house, and we're going to eat supper with Him, drink the fruit of the vine and--and eat anew in His Kingdom... When I think of the time when it's all over... We're in the heat of the day now and toiling hard, and when it's all over and I look across the table and see you men, oh, what a feeling that's going to be when we look at each other. And I know that it's all over, and we'll, no doubt, reach across the table and kinda grip each other's hands. And a little tear of joy will run down our cheeks, then to think the King in His beauty shall walk out, wipe all tears from our eyes, say, "Don't cry anymore, children. It's all over. Enter into the joys of the Lord." That's a time that I look forward to. That's when I look at that time to hear Him say, "It was well done, My good and faithful servant. Now, enter into the joys of the Lord." What a time it will be to see the gray hairs fading out then to young men again, to know that we'll live and reign with Him forever.
E-6 Now, today in this privilege that we have of being together... Some, there's a brother here I believe is from Canada, and from different--Tennessee and this little group is around from every little ca--crevice. And to see us setting in one accord like this, it would just be a time for Pentecost again. See? For a fresh anointing which I feel that the Pentecostal blessing is in here.
Someone has often said to me, "Brother Branham, do you belong to the Pentecostal church?"
I said, "Pentecost is not a denomination. Pentecost is an experience that men receives everywhere. And it--it isn't--it isn't segregated from the rest of the churches. It's--it's a blessing that should be in every heart. And men do hunger for that.
E-7 And Brother Vayle said; we was having a ministerial breakfast this morning, and some of the brothers and sisters were going to gather in for--for the--a little time of fellowship. And, you know, it was such a wonderful thing, till I, as a soldier, I left my sword at home. So... I just... That's my Bible. And so I--I knew that we were be seated together in heavenly places anyhow, in Christ, and I thought maybe this morning for just a few moments talk... I guess we should be cleared out in the next few moments. But being that you--you brethren are ministers, and far more capable of speaking the Word than I am, because I am a spare tire... See, just... You know what you use a spare tire for. You see? So we don't have any puncture this morning, so we don't necessarily need the spare tire.
But I thought I would try to report to you upon some things that our heavenly Father is doing in--in the places which I thought would be more of a interest to you, brethren than to try to take a text or something and talk to you from.
E-8 And the text that I would think in my mind, if would be any, would be Mark 16. And what a marvelous text it is. It's the last commission to the church. When God first commissioned His church, Christ in Matthew 10, He gave them power over unclean spirits and to heal the sick and so forth. That was His first commission. His last commission was to go into all the world and preach the Gospel to every creature. Now, men try to say that day is finished. But there's only on third of the world has ever heard of Christ so far. Through all the world and to every creature. "And these signs shall follow them that believe," said Jesus.
E-9 And I know it's not good, and I don't think that the Gospel deserves to be told jokes, so I wouldn't want you to class this as a joke. But just something that comes to my mind of a recent event. There was young boy who went off to school to get his education to be a minister. And which was all right, if it's the right kind of a school that'll teach him the right thing. And so many of our... so... Well I--I have... You know I have no education. I have a seventh grade education, so I can't speak before men of your caliber and use the right words, but I--I hope the Holy Spirit will let you know what I mean.
The--the schools is just so formal and indifferent. They have a social gospel like. And they don't--they don't teach the full Word of God. The boy will probably be better off to stay home and stay on his knees.
E-10 But this young fellow in his schooling... His mother taken sick while he was gone, and she got very ill with a pneumonia. And so she--she... They sent word to her son to stand by. He may be called home at anytime, for the doctor said that there was nothing he could do. He gave her penicillin, and--and put...?... her in a oxygen tent. She still was fading away. And the boy was ready to leave from a famous college and--and come home and to his mother. And all of a sudden he got a telegram that she was--had recovered and was all right.
And so on the vacation time, the young gent come home to see his mother. And he come in; he said, "Mother, I would like to ask you something." Said, "When you were so sick," said, "Why, what happened all at once? What did the doctor give you to make you get well so quick? I was already packed, my suitcase, when I got the--the telegram that you were well." And said, "I... You never did explain it to me."
E-11 She said, "Honey," she said, "just down the street and around the corner in the--kinda the lower part of the town, of course," said, "there's a little mission around there, a place called Full Gospel." And said, "There was a lady said that she felt real definitely led to come and see me. And she asked me if I believed in prayer, praying for the sick. And I told her that, of course, if the Bible said so, I believed it. And she said, 'Our pastor prays for the sick.'" So said, "They sent the pastor up, and he read to me out of the Bible in the book of Mark the 16th chapter and said these signs shall follow them that believe." Said, "He prayed for me and laid hands on me." And said, "Honey, the fever left me, and I got well."
And, oh, he said, "Mother, if... 'Course..." Said, "You--you're not associating with them people anymore, are you?" And said, "They are from a--a lower caliber than what we belong."
And, "Oh," she said, "Praise God, honey," she said, "it's just wonderful. I go to the mission now."
E-12 "Oh," he said, "Mother," said, "Why, you shouldn't do that." Said, "You must understand that those people are more the illiterate type. You see?" He said, "You shouldn't do that."
"Why," he... she said, "Well, hallelujah, son."
He said, "Mother, you shouldn't say that." He said, "You're beginning to act like those people." He said, "You shouldn't say that." And--and he said, "Now, you see," said, "as far..."
She said, "Well, honey," said, "They have Divine healings." And said, "There's services. And oh, you should see how the Lord blesses them."
"Oh," he said, "Mother," said, "Now, that Scripture he read to you from Mark the 16th chapter..."
She said, "Yes, here it is. Right here. The Bible said so."
E-13 "Oh," he said, "you see," said, "those ministers of that caliber," said, "they're not educated." And he said, "Us better scholars understand that Mark 16 from the 9th verse on is not inspired." Said, "It was just added by the Vatican and so forth." Said, "It's really not inspired." Said, "There's no history that says that it was added or put in there." And said, "It was just added. From the 9th verse on is not inspired."
And she said, "Well, hallelujah."
And, "Why," he said, "Mother, the very audacity," he said, "why you are... Why," he said, "It's... Why, I'm ashamed of you."
She said, "I was just thinking something, son."
Said, "What was you thinking, mother?"
"Well," said, "if--if God could heal me with that Scripture that's not inspired, what could he do to me with that which really is inspired?" I think that's just about the way it is. You see? That it is inspired... And it was a great thing that happened.
E-14 Did any of you ever know Morse Reedhead? Met most... I guess some of you are. He's a--was the Vice President of the Sudan missions of the Baptist. You might... You know Reedhead, didn't you? And Don Wells, after he had received the Holy Ghost, and you know Don Wells, there from Chattanooga. Surely, he's got the biggest Baptist church there is down there. He'd received the baptism of the Holy Ghost under Reedhead. And Dr. Reedhead came to my house, and he said... Now, he said, "Brother Branham," he said, "I want to ask you something." And some Jewish brother and they were with some men from Ohio. This Jewish brother had a business here in Ohio. I forget what his name is, which was a personal friend to Hyman Appleman. And so they came to my house and he said...
E-15 Now, 'course being a Baptist, now that's no throw up. You see? Now, remember the reason that I just kind of stuck with the Baptist church was the sovereignty of the local church what I think is apostolic. You see? Not as the Baptist, we have in there... I--I don't even attend the fellowships, but in the Baptist church is not a denomination. It's not supposed to be. It is now, but it was not supposed to be a denomination. It's a brotherhood. And the... and it's the sovereignty of the local church. And--and if God is ever going to get a message to His man, His elder, which is the... According to the Bible, they--the highest office in the local church is the elder. And now, with--coming through the elder has to go to the state presbyter, and the so forth, and on back to bishop, and then it's wrote, "We believe this period. That's all."
As Dr. Boze said here one time, "We wrote our--our ritual, or ever what it is, their belief... We end it with a comma. We believe this plus as much as the Lord can show us." So that's the way I kinda like that.
E-16 And then in the--in this... Dr. Reedhead came in. He said, "Now, Brother Branham, being a--a Baptist former, surely you knowed something about our message."
I said, "Yes, sir."
He said, "Now, when I was a little boy of seven, the Lord called me." And I think Dr. Vayle here is a... You know Dr. Reedhead, well know him.
He said, "There was a little boy. I was called to the ministry." He said, "Then I studied, and I longed, my little heart longing for God." He said, "Then when I finally got my B.A.," said, "I thought, surely I'd find that thing that I wanted right there in the--my B.A." And said, "But when I got my B.A.," said, "I didn't get what I wanted." He said then when he had his other degrees give to him, he said, "I thought maybe that in each of these degree I would find Christ." He said, "And with honorary degree and so forth," said, "I could almost plaster your wall with them." He said, "But where is Christ in it all?" He said, "Has the teachers been wrong, Brother Branham?"
I said, "I wouldn't say that."
E-17 See, I wouldn't want to take something, because people that put that confidence in you to support your ignorance by the crutches of saying something like that, I wouldn't want to do that. I said, "No. I wouldn't want to say the teachers was wrong and so forth. But Christ doesn't lay in B.A.'s or D.D.'s or LD. See? Christ lays and dwells in a humble heart." See?
And he said, "I tell you what I'm here for." He said, "Sometime ago, a young Indian boy, who had been schooled and was going back to India and to be a help to his nation..." He said, "This young Indian when he was going back, I said to him, 'Sir, why don't you... '" He was a Hindu. And he said, "Why don't you just forsake that old dead prophet you got, Mohammed, and accept Jesus of Nazareth, a resurrected Christ?"
E-18 Well, he said the Mohammedan looked kindly down, and he looked up he said, "Kind, sir, what could your Jesus do for me anymore then what my prophet can do?" I... Christian brethren and sisters, listen to this. Said, "What could your Jesus do for me anymore than my prophet can do?" Said, "One wrote a book that you call the Bible. You read it and believe it. The other one wrote the book called the Koran. We read it and believe it." He said, "Now, both promise life after death and we both believe it." He said, "Now, what could your prophet, or your Christ do for us anymore than our prophet?"
Well, Dr. Reedhead said, "Well," said, "your prophet is laying there dead in the grave." And perhaps, maybe some of you travelers have seen the same as I. They keep a white horse at the grave, and have for right at two thousand years, expecting Mohammed to rise and conquer the world. The horse guard changes every so many hours, and he's in the grave. And he was a believer in God. Only the Mohammedan priest, when he rings the big bong on top of the building, he says, "There's one true and living God and Mohammed is His prophet."
We say, "There's one true and living God and Jesus is His Son." And that's the difference.
E-19 And so, he said, "Now, what could your Jesus do for me anymore than he?"
"Why," he said, "our Jesus raised from the dead, and your prophet is in the grave." He said, "That's the difference."
"Why," he said, "did He raise from the grave?" He said, "I'd like to see you prove it."
"Oh," he said, "Why, the tomb's empty."
Said, "Oh, in India, we got thousands of those." Which they have. That's right, they claim. Virgin births? Oh, my, my. You could stack piles of literature that high on virgin births and so forth. And there is more virgin births besides Christ. Every bee that's borned, almost, after the second droning is virgin, no male contact at all. And why the virgin birth is such a question in people' mind, when there's virgin birth all along. So then, Christ was the virgin born Son of God. And so then, we...
E-20 He said, "Then I said to him, 'Well. You see... '"
He said, "Now, what could your Christ give to me anymore than what my prophet has given?"
Well, he said, "Now, we can prove He--He's raised from the dead." Said, "We can prove it."
"Well," said, "I'd like to see you do it, and then we'll believe it." Uh-huh.
He said, "Well, He lives in my heart."
"Well," he said, "Mohammed lives in mine."
He said, "But you see, we got joy, and--and gladness, and we--we can have the victory, and..."
He said, "Now, just a moment, Mr. Reedhead." Said, "The Mohammedan religion can produce just as much psychology as Christianity can." And now, brethren, you know that's the truth. See? Said, "We can be just as..."
E-21 Oh, I've seen them when they would, at the feast of the prophets, when they'd even take a lance and run through their nose up like that, and pull it back, not even a drop of blood. Shout and scream and go on and everything, oh, sure, certainly. And see, much of psychology... That's right. Even in Africa, where they have the devil worship, where they drinking blood out of a human skull, and call the power of the devil... And why, it was a hideous thing to be around, even. See? How the witch doctors challenge you right out there. You better know what you're talking about. You bet... You can play it here and just act like it. But when you come face to face with the thing, you better know what you're speaking of. See?
I'm... That's what I'm trying to say to my brethren this morning. Brethren, we had the churches bubble dance long enough. You see? We got to get down to something real. See? Them things are all right. It's the joy of the Lord many times instead of the power of the Lord. See, see?
E-22 And... so then, Mr. Reedhead said, "Well," he said, "Now..."
I mean the Hindu said, "You see, Mr. Reedhead," he said, "Mohammed never made any promise to his followers: only life after death." But said, "Your Jesus made other promises. He said that you teachers would do the same thing that He did." And he said, "Then, perhaps maybe, if you people could prove that, then we would believe He raised from the dead."
"Oh," and Mr. Reedhead said, if you all know Him... He taken him to the same Scripture, said, "Oh, I guess you're referring... Seeing that you've read the Bible."
Said, "Oh," he said, "I've read it through and through many times," the Mohammedan said.
He said, "Well, perhaps you're referring to Mark 16."
He said, "That's just one of them. (See?) That's just one of them. How about Mark 11:24, and so forth, and others? Saint John 14:12... many others. You see?" Oh, he said, "At the Scripture, Christ made these promises." Said, "We Mohammedans are waiting to see you Christians produce that, then we'll believe that your Jesus raised from the dead." He said, "Until that, don't try to sell a Mohammedan your psychology, 'cause we got a better." See?
E-23 And he said, "Brother Branham," he said, "I kicked the dust like that with my feet and changed the subject, knowed I wasn't speaking to a fellow that was just a overnight man. He knowed what he was talking about."
And he said, "You produce what your Bible..."
And so Mr. Reedhead said, "Well, if you're referring to Mark 16," said, "we find... We really know that some of that part of the Scripture, especially, isn't inspired."
You've heard it, brethren. And they try to throw off Mark 16 there. Even--even in the Scofield notes you read, the footnotes, and many of the scholars try to throw that out. And you know what that Mohammedan said? He said, "It isn't? You mean from the 9th verse on, is not inspired."
He said, "No. It isn't inspired."
Said, "Then, what kind of a book is your Bible?" He said, "All of the Koran's inspired."
E-24 My, what it is, brethren, is men challenge the faith who knows where they're standing positionally to call that thing to a showdown. That Bible's either every Word inspired or it's none of it inspired. If this isn't, and that isn't, what part can you believe? Believe it all or don't believe any. You're either my brethren this morning or you're not. I'm your brother or I am not. There's no half way between with God. We are either here for a purpose to further the cause of Christ or we're not. See? And that's the way the Scripture should be taught and practiced and believed.
And he said, "I said, 'Someday, I would come visit you,'" and said, "Here I am." He said, "Is there such a thing as receiving the baptism of the Holy Ghost?"
I said, "Yes, sir."
He said, "When can you get it?"
I said, "When you want it." See?
And Morse Reedhead has received the baptism of the Holy Ghost and even having healing services himself. And there it is, brethren. The world, the two thirds of the world that has never heard the Name of Christ...
E-25 He said, "Now, you've had two thousand years to prove that Jesus raised from the dead, and one third of the world has heard it in two thousand years." He said, "Let Mohammed raise from the dead, and the whole world will know it in twenty four hours." He's right.
Whose fault is it, brethren? Whose fault is it? Now, if you'll excuse me. If you scholars and... to myself... I am not an educated person. May I say this? It's our fault (That's right.), because we've done vice versa what Christ told us to do.
E-26 Now, we know that it's nice to have churches. That's wonderful. We know it's nice to have denominations. They're wonderful. It's nice to have--to have seminaries. It's wonderful. But Christ never told us to build any seminary or anything like that. He said, "Preach the Gospel."
And the Gospel isn't Word only, but through power and manifestation of the Holy Spirit, which would produce the signs of Mark 16 when He said, "Go into all the world; preach the Gospel to every creature. These signs shall follow them." The Word Itself is dead until It becomes into a action and produces life.
And except a corn of wheat fall into the ground, it abides alone. And then when the Word is brought into a heart of faith, that makes that every promise in the Bible live again. See? It--it'll... It--it's got to live. It's a germitized Word, and It must live if it's received in the right place. Under the right conditions, every seed will live again, if it's put under the right condition.
And brethren, may I say this with reverence and respect to you as my brethren, knowing that maybe before night we'll all stand at the judgment seat of Christ in heaven... And look, may I say this: That it's the atmosphere always that brings forth the--the product. See?
E-27 The hen, the actual way for a hen to have her chickens, is for the hen to lay the egg and then cover it with her body. And that makes the warmth of the hen's body hatches the egg. But you can put it under a--in a incubator. It's the same warmth and atmosphere. See? It'll produce that chicken just the same. And I don't care whether it's under the Methodist, or the Baptist, or the Presbyterian, the atmosphere of the Word... If the Word, which is the egg, and if the right atmosphere... If it's in a Presbyterian or wherever it's at, it'll produce the same results. It'll produce the borned again child. You know that is right, brethren. Whether it's under the Pentecostal, the Full Gospel, or wherever it is, it's the--it's the attitude that we take towards God's Divine Word.
E-28 Now, many of you has heard of John Sproule. He was a good friend of mine. He said at Alsace Lorraine, one time when he was being taken out by the guide through a garden, and he saw a great statue of Christ. And said he stood off and criticized it. He said, "What was the sculptor meaning?" Said, "Looky there." Said, "Why, there's no sufferings. There's nothing. It just looks like plain, just a..."
And while he was criticizing it to his wife, the guide walked up and said, "Mr. Sproule, perhaps you're criticizing that, the--the work of the sculpture."
He said, "Yes." He said, "I don't see why he hung that up there. It doesn't look anything like it would show any sufferings of Christ."
He said, "Sir, it's the way you're looking at it." He said, "Now, it's got an altar down here." Said, "Now, you come down here now and kneel down." And he kneeled down. Said, "Now look up." Oh, he said his heart would break. There was the features of the suffering and all of Christ when he looked up. He said, "You see, sir. It's the way you're looking at it."
E-29 And that's the same way it is by the Word of God, brethren. It's the way you're looking at It. If you stand off and look at it from an observation of, and a point of criticism to say, "This guy hasn't got it, and that guy hasn't got it," it won't work. It's to get down and look up to. That brings the results. Then you have a different attitude, and a different attitude towards your brethren, and a different attitude towards the man who's striving for the same thing that you're trying to strive for. See? It--it breaks down all barriers then.
And now, I don't want to over talk you. And I hope I'm not boring you, but just a little testimony here of the Lord Jesus and His goodness and mercy, so that you will know that this marvelous Gospel hasn't changed. Christ still lives, brethren.
And the thing that you men are so earnestly contending for this morning, why, it's just as real today as it ever was. It's--it... He hasn't... It's just the same Word of God that Paul preached, that Peter preached, that the prophets had, and so forth. It's God's eternal Word, and It can never fail because It's God.
E-30 And someone was speaking this morning about the African campaign in the book, I believe Brother Boze and many the others, about a article I believe that someone read or something. It started the wheel a rolling or something. Well, however... I thought, maybe, I'd just give you a little testimony of something that happened, and if you read that article, and knowing what happened, I thought I would drop over to something of a testimony that happened in India. Maybe you're interested in our Lord's work, because we're just laborers out here in the harvest that's gathered in this morning for under the tree for a little rest and a time of fellowship together.
And when... I had been very much constrained to go to--to India. And yet, as many of you might know, the Indian trip wasn't the success that it should've been, because I failed to follow the leading of the Holy Spirit, and never recognized it after He give me a vision to go to Africa first and then to India.
E-31 And--and some of the brethren said, "Oh, just... We can't get Africa together, so... Brother Roberts has just been down there, so take off to India." And under the influence of my brethren, well maybe taught... But no matter what someone influences you, if God has told you something different... And now, judge it by the Word (See?), by the Word, and then go.
You know, we're not supposed... As--as prophets together, we are to help one another, but never tell one another what to do. Many of you has read II Kings 13, no doubt. Where what got in trouble there, and a lion killed the prophet because that he--he listened to the--a real true prophet, because God had commissioned him. God comes first always. And when... And then let that be... If you know whether it's God or not, judge it by the Word always. If it's not just exactly with the Word, be leery of it. See?
E-32 We're living in a horrible time, brethren, when this Jannes and Jambres withstood Moses. See? Now, it's predicted. We can't stop that, brethren. And our--our American people, being so much on the television frolic, and--and the fantastics, and our Hollywood evangelistic types, and a lot of show... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... fashion, back woods, sassafras preaching, you know. I don't like this color and stuff that they... To--to appease the American... Even in other countries, as you missionaries know, they say to me over there, "Isn't there any nice women in America? All your songs are so vulgar about your women." And all of our things, it's... I'm not calling any names; this is brethren, such as the Arthur Godfrey, and the Elvis Presley, and all that there nonsense that's produced and put out. To the American people minds is contaminated with such stuff, and then it even gets into ministry and they try to flower the pulpit. Did you realize that's exactly what Cain done? You know where that come from? Cain. He had an altar same as Able did. He worshipped just the same as Able did, but he beautified it.
Notice what Satan did; Lucifer in heaven wanted better and a more beautiful Kingdom, did you see? It's always been that way.
Did you notice Moab up on the mountain and Israel, the holy-roller, down in the valley? See? How that both of them had seven altars, seven sacrifices, both of them with seven bullocks, and both of them with seven rams, speaking of the coming of Christ... Fundamentally, they were just as right, Moab was, as Israel was down here. But, brethren, where--where Balaam failed to see, was the signs and wonders following these believers down here. You see? God was in the camp. They had a smitten rock, a brass serpent, a Pillar of Fire. The supernatural was with them, and so has it been all along; and predicted as Jannes and Jambres withstood Moses, so will this in the last day. We got to have it.
E-33 But I got better hopes of you brethren here this morning, that you'll be men of God who stay with the Word of God. And let everything else fall right to left, but stay right with that Word. Don't move. No matter if you're a door mat out there, be a good door mat. Don't try to compete with someone else or do this. Just get right in the Word, and stay right there, and God will positionally place you into His Kingdom, where you can be the best.
What if my finger ever taken a notion, because it wasn't an eye, it wouldn't be a finger anymore? I would hate to lose that finger. Though my eye may be more valuable, but I love that finger. It's a part of me. You understand what I mean? I'm sure you do. So whatever office, whatever it might be, be whatever you are. And where God has positionally placed you, stay there and be as loyal to that Word as you know how to be. God will bless it. If He takes a notion for something else, He will place you where He needs.
E-34 But I'm afraid that many times in our moves our--our... Many of our brethren, just as humanistic as they was when they was a mixed multitude went up with--with Israel's. Why, so when the Israelis went out of Egypt, there was a mixed multitude, and they went... The phenomena had been done, and that's... It's a human element. And if we can just get away from that human element.
And that's the way--what this morning the breakfast means to me, setting here as you men... Perhaps Dr. Vayle might've invited all he could get a hold of to come to the breakfast. But because that the Lord moves in the supernatural, oh, it's spooky. "See, I ain't got nothing to do with that. I wouldn't degrade myself to--to associate with such." Did you know that was the attitude of the Pharisees? Did you realize that that's what they did?
Do you know, God never takes His Spirit? He takes His man, but never His Spirit. His Spirit comes from... The Spirit was on Elijah, come upon Elisha, come upon John the Baptist, and so forth. And the fulfilling of all of it was in Christ. He had the Spirit without measure, and that same... And do you know, the devil takes his man, but never his spirit? His teacher? His theologian? Just comes right on down, all the way from Cain, all the way down through the Bible, just right on down, rotating.
E-35 But brethren, in regards to that, as many times as I have questioned it to go into places to hold meetings, where I think that men, usually of a Bible education of a scholar, that certainly would stand on the Word of God, and see fantastics come in and all kinds of things that would... Just as the Bible said, and people with scars in their foreheads, and--and blood in their faces, and--and all kinds of oils running from their hands, and all kinds of fantastics. And they'd come in like that, and you know, people would flock to that? And I thought, "Oh, God, and the unadulterated Gospel being preached and just a few would listen."
But He said to me, "What is that to thee? Follow thou Me." See? That's right. These things has to be. See? So then, we're living in that day.
Brethren, let's keep our eyes on Calvary. Keep our hearts single with the Word. Preach the Word; be in season, out of season. Hold to that unchanging Word and stay.
E-36 When we landed in India, under difficults, the bishop of the Methodist church come to meet me and many others. And they told me that my set up was wrong, coming in, that the wrong group had sponsored me and so forth, and wanted me to turn my sponsorship from them over to this other group. And I said, "Brethren, as a man of honor, I must keep my word." That's right. I've been falsely advertised many times in different places, but, brethren, the reason that's happened is 'cause of I don't have any paper of my own. I don't have a television program. I don't have this or that. I--I try to keep myself where that I can come to a little church, or big church, or wherever the Lord will lead me.
Now, someone said the other day, I don't know where I told you or not. I was speaking in a place where a man said, "Now, we ask Brother Roberts to come."
He said, "You're too small."
Ask another brother to come. "You're too small."
And another brother, "You're too small." 'Cause they just a little church.
And said, "But Brother Branham come."
I happen to be in the room and heard that, so I walked out. And I said, "Listen, brethren, as the brother was very nice in saying that, but the reason Brother Roberts didn't come, not because he didn't want to, but because a man that has to--is under an obligation, as Brother Roberts has..."
E-37 Now, God knowed I didn't have the intelligence that Brother Roberts got to know how to put a program together, but look what that man has to have if he stays on television. Look what that man has to have if he stays on radio. Look at the obligation that man's got. And because that he has to have a lot of money, don't condemn the man for that. The bootleggers take it out yonder, and what they do with it, and other things take place, help the man. He's God's servant, and he's trying his best to spread the Gospel in a way that I couldn't do it. Each one has a ministry. See? Each one has his ministry.
I said, "And Bother Roberts and these other brethren would be glad to come, but they can't because..." But I said, "Myself? God knew that I didn't know much. So He just let me where I could be little and--and wouldn't have to have any money, and I can just go along. Then if He wants to send me away, He has to let somebody back me up and send me. So if He wants me to, I--I can go, because He will put it on somebody's heart to sponsor me for that one time. So that just settles it. You see?
E-38 So then, in here, when we hit the place, they said, "Drop your sponsorship."
And I said, "No. As a man of honor, I must keep my word."
"Well," they said, "you're going to do a lot of harm in India."
I said, "But look..."
Said, "Turn and go back." And they begin to tell me, oh, about how it would do hindrance and so forth.
But I said, "Look, wash women, washing over a washboard has sent me over here. Men who's worked in the factory with their dirty greasy hands has went down in their pockets and took a dollar out to send me over here. And fathers with little children, maybe, that needed shoes, took the dollar that would've bought the shoe for the baby and sent me over here." I said, "Gentlemen, I--I'm... In my Christian heart, I couldn't look them in the face again, to know that I had misused the money that was sent over here to come preach the Gospel to these people." I said, "You forgive me if in some of your politics and so forth, if I've got mixed up. That I didn't know. That was the manager. I had nothing to do with it. I just come." I said, "But I come to preach the Gospel and to help the needy." I said, "I have some money here in my pocket that I must give personally to the poor, 'cause people has give it to me to give to the poor personally, and I must do it."
E-39 I shall never forget it when I went out in the street, and got the dollars changed to rupees, and started into the street, why they almost had to get the police to get me. It was a... Oh, my. You'll never know what those things look like till you get there once and see the poor and the... But here's what does it. Here's the idea.
And ministers, listen to this. Let us draw just a picture. Here's the old man setting there with the little loin cloth on him, a little tub, a little puddle of water. He takes his water from there to--to drink, and his wife totes it to the house if she's going to wash the dishes, or whatmore, or cook. And he has a few stalks of food that he's growing. And we tell him that we are brothers. His skin is dark, and--and the white man comes over. And when we come over and get off of the boat in a great big golden stripped Cadillac and drive down the street, and the beggar brother lays on the street and asks for a coin... I seen it with my own eyes. The snoopyism of the American people turn their back.
E-40 I seen something one day that astounded me. A little boy with a toe about that big, about that big around, dragging his little club foot, a man with no arms from leprosy. And so, I was throwing rupees out to see what they would do with it. I thought, "Billy," said to my son, "how would that poor man ever pick it up, and them screaming mothers with their little babies, and their little bellies swelled out like this was starving to death. She'd do anything. She don't mind dying, but, oh, feed that baby. There's four-hundred-and-seventy-million of them. And almost four-hundred-million beggars. And here we are today, dressed in... God's servant sitting here and fussing and arguing about little difference in our denominations and millions dying everyday out there that's never heard the Gospel one time.
E-41 When I throwed my films on the other night and seen those poor little African boys there, that had never had a decent meal in their life, and their little arms mangy and naked, and all kind of conditions, holding their hands up and wanting me to tell them of Jesus once more before leaving... And then to think that we would argue about whether we should be this way or that way, or whether we should be Presbyterian or Baptist. Oh, shame on us, men of God. How we different and split and ideas and such as that going on and Jesus died. That little boy has got just as much right to eat good food and wear good clothes as my children has or your children has. He's a product of God, that God created, and he's God's creation.
And it's not right for us with our great fine churches, and building millions of dollars of churches, and putting tens of thousands of dollars pipe organs in them, and the missionaries begging for money to go to the field to bring the Gospel, and preaching the Lord's coming soon. Brethren, something is wrong. You know that is right.
E-42 And look here. I'd like to say something to you with reverence and respect. What may... India's going to turn communism pretty soon if you don't watch. Why is it? Because that we have put the penny march for the missionary to go over, and give our money to the bureaucrats and so forth like that, in the guise and things in this nation. And we have been weighed in the balance and found wanting.
When that man sets there and his arms folded, and this man come by and shun him and walked past... And yet the missionary tries to tell him that he is our brother. And would we treat a brother like that because of his color? Because of his nationality? Oh, brother. Don't you see that same arrogant spirit gets amongst denominations and denies Christian brotherhood in the same way.
We are the products of God everyone of us, and we should be brothers, closely knitted together by the Gospel. In our motives, and our ideas, and everything, we should give to God for the--the relief, and the furthering of the Gospel, and the bringing together of a brotherhood and the coming of the Lord Jesus Christ.
E-43 That afternoon the mayor of Bombay... They'd estimated tens of thousands times thousands had gathered in. I felt like a hypocrite, if I'd have come home without preaching to them at least a few times. So they told me I... There'd been a lady over there before me that had done something, and got some people--two men killed in a riot. And so they wouldn't let me have the meetings outside the city. It was against the city ordinance, unless I go and went plumb up to Delhi, New Delhi. And there's where I'm going this year, the Lord willing, where they got a amphitheater there, they can put a million people in it. And so they estimated nearly half a million would've been at this meeting here in Bombay. Oh, they were from everywhere, strowed on the roads like it was in Africa and so forth.
Brother, where the carcass is, the eagles will be gathered. Jesus said, "You are the salt of the earth. But if the salt has lost it's savour (till, 'I'm a Presbyterian; that settles it.' Or, 'I'm a Pentecostal and that settles it.'")... Then it's lost it's savour." See? Salt creates a thirst. And thirst can only... Salt can only be a savour as it contacts. You just be salty. God will make the world thirsty, if you'll be salty. That's right.
E-44 And then in the meetings as they come, that afternoon they asked me if I would come to a rep... to represent the Christian religion before a gathering in the Temple of the Jain. I... Some of you missionaries, I may not pronounce that right. I forget how it's spelled, J-e-i-n, double "n" or something like that. Jans or Jens, it's a religion. And that afternoon, many different religions had gathered there, 'cause they knew I was coming. And there they taken their shoes off and walked into this heathen temple. And as I walked in there, and they set on their pillows; and there set their pope or their big man with his feet pulled up, and the monks there with their whiskers pulled out and pulling the hairs from their head. Little mops they were making, because they mop the street. Afraid they'd step on a ant, or a little bug, and it might be their papa or mama or their uncle or aunt, and... Reincarnation, they believe in. And I looked all over that place, and I seen their different peculiar dresses that represented their different religions. And I thought, "Oh, Jesus. What would you do if You walked in here?" See?
E-45 Them--them are men. They--they eat like we do. They have wives like we have. They had blood like we have. They might could save our life with a blood transfusion, as Christ saved all our lives by His Blood transfusion. They have children. They're products of God. Their just... They just got all mixed up because of false teaching, because we failed with the Gospel. See? Now, we go over and pass out tracts. Tracts is wonderful. I have nothing against it, and I'm for it. But that ain't what Christ said. If we go over and teach theology, that's wonderful, nothing against it. That's what we should do. But we got to have more than that for the heathen, going to take more than that. We sent missionaries in there for years. That's right. And what have we gotten? Nothing to count for.
E-46 Speaking at a Kiwanis here recently, when Dr. Davis, the one that ordained me and laid hands on me at the Missionary Baptist Church, as a little preacher... And the night that I saw the vision of the Lord when He told me about the Message, and I went and told Dr. Davis, he said, "Preach the Gospel around the world with a grammar school education. I suppose you believe that, Billy."
I said, "With all of my heart, Dr. Davis."
He said, "You... Billy, you--you need a rest, son." Said, "Maybe you better go home and rest."
I said, "Dr. Davis, I don't appreciate that." I said, "I've been a loyal member of the Baptist church," but I said, "I'm a loyaler to my Lord Jesus." I said, "I shall give up my fellowship then. Now, you'll always be my brethren, but I won't attend another fellowship meeting if that's the attitude the Baptist church takes of an Angel of God that compares with the Gospel. And Paul said if one comes teaching anything else, let him be accursed. But this Angel declares the true Gospel on the Word. And Dr. Davis, I want you to defy it somewhere with the Word." He couldn't do it.
He said, "Billy, did you eat something for supper that night? Did you have a nightmare?"
I said, "All right, Dr. Davis."
E-47 But not long ago, setting at a Kiwanis meeting where I was speaking, there where doctors and so forth was setting, Dr. Davis was present. And how he told me, said, "You'll go to be a holy-roller the first thing you know, Billy."
When I had the privilege of standing there, I said, "Dr. Davis, greeting you, but what you call fanaticism, our Baptist church has spent millions of dollars in sending missionaries into Africa. Where did I find them? Out at the compound. That's right. Out there where there's a--a few of the people gathered in from the tribesmen, and has come in, and have done something that they would not be associated with their tribes.
They have a stricter religion than our-- than what we practice Christianity. If they do anything, if a girl's found immoral or something or other, she can't no longer stay in the tribe. No, sir. She takes off tribal paint, and she goes into the city; she has to make her way the best she can.
E-48 And one of the tribes, if she's found guilty, she has to tell who done it, and they're both killed together. They have a stricter than what we do, and them heathens. And to see them walking with their little...
I said when I went into Africa, our... Many of them, find them with in our Baptist people, with a little idol under their arm. Said, Well, if Amoya..." "Amoya" means "an unseen force like the wind." "If He fails, this won't. Papa packed it, and he set it down, build up a little fire, and the lion went away when he said the prayer."
I said, "The lion never run because of the prayer. The lion run because of the fire." I said, "I'm a hunter. I know that animals are scared of fire. It never had nothing to do with it."
And so he said, "Oh, he'd take it anyhow."
But that afternoon when they seen the God of the Bible, brethren, come down into action, thirty thousand raw heathens broke their idols on the ground and received the Lord Jesus Christ. See? That's the idea, not passing tracts, but preach the Gospel, demonstrate the power of the Holy Spirit. And you men have it in your reach. It's in you.
E-49 Now, watch. And in India that day, when they went into the temple, and they got up to... They begin to speak, the different ones, and they begin to belittle Christianity. How they said... Now, they had a lot of good points. Certainly they do. They had a good point. One of them said, "How do you, who call yourself religious, Christian, that believe in a God; and all your science is used to create atomic bombs to blow one another up. And then call yourself religious."
I said, "You have a point there. That's right. But all that create atomic bombs are not Christians. That's right." I said, "That is right. We Christians would never blow one another up, borned again Christians." But you can see their points. That's just one of them (You see?), what their points are. But they kept saying, "Our religion was before this, and your Christ..." Said, "Christ come over..." The Indian belief, that Christ leaned his philosophy from a Buddha priest (See?) and all that...
E-50 So I had to stand up. I'd have been a traitor to Christ if I hadn't. I don't care what kind of a temple I was in. I raised up and I said, "You're in error. And how could you ever--could I ever teach to you a blood sacrifice, when you won't even kill a gnat?" I said, "How could you ever accept a blood sacrifice?" I said, "I ask you to be at the service this evening."
And that evening when they'd all gathered, and the rajahs on their pillows and the religious leaders... And we... Taken me two hours and something, beating through the crowds to get in, with the--the Boy Scouts, and the all different... I guess they looked like Boy Scouts, some kind of a, I guess, it's national guards or something with their sticks and things to get you through the crowds, through the places, till we got to a place where I could speak from. And there standing in the place, with an interpreter, and the poor lepers laying piled on each other...
E-51 Oh, what a sight. Some with no arms, and eyes eat out and their ears gone, and such a--such a mass of humanity, and suffocating, and nighttime coming down, packing them on top of their head and dumping them in a salamander, with no John 3:16, "That I am the Resurrection and Life," saith God. Mortal beings that Christ died for, thousands of them dying. They pick them up on the streets like cord wood and cremate their bodies, no ceremony or nothing, know who they belong to. They just dump them in. That settles it.
And we are arguing whether we should do this, or do that, or how we should tie our shoes, or what kind of a tie we should wear or something. It's a disgrace, brethren. It is. And all of our... If human--if the church is only governed by man's theology, then it don't take the Holy Ghost. It's right. But the--the church is not to be governed by human theology. The Holy Spirit is to run the church. We're not to be filled with education and man's theology; we're to be filled with the Spirit of God, and to be led by, not the bishop, by the Holy Spirit, or not by any denominational leaders, but by the Holy Spirit, brethren.
E-52 There's the failure. I'm not saying this arrogant. I'm saying this in brotherly love to absolutely make a point straight and to show a truth. That's what I'm trying to get to you, is a Truth. There's not a denomination in the world that I wouldn't take off my hat, let it be Jehovah Witness or Roman Catholic, that I wouldn't take off my hat. Anybody that names the Name of Jesus Christ in respects, how I respect that brother and stay behind him as long as breath stays in my body. But I'm saying, we're segregating our people and making differences, when we shouldn't do that. We should be together. They were all in one accord in Acts 2.
E-53 And, brethren, just in closing may I say this, 'cause I'm overtime now. I'm sorry to keep you this long. I'm... I didn't mean to do it. But to a point... That night at the church, the brethren, when we were all standing there on the platform, you couldn't hear yourself think. You know how it would be. There was hundreds of different tribesmen and everything else in there. And they were scattered all down the roads, expecting me to stay for two weeks, when I could only stay three days, 'cause the--the mobs was so great they couldn't place them in the city, and they asked me to that I'd have to go somewhere else, because they couldn't take of it. You see? Just, it was terrible. And I told them, "I will return by the grace of God." And I will.
So that night, standing... I was watching for the Holy Spirit. You've read my story of Africa, all of you, in the book. Waited till that crippled man with his hands down when he walked like an animal, you know, and when the thirty thousand received Christ.
E-54 I waited and man come through which was a leper, the first one... You couldn't give out no prayer cards. My, the boys tried to give prayer cards, and their clothes was tore off of them. See? So I said just like it was in Africa, just let the missionaries pick out... Go down and get some from this tribe, and some from that tribe, and some from this tribe, two or three out of each one and stand them up.
And then when we were standing there, and they'd... The officers had picked up some to bring through, which they could, some more able. There come through first was a--a man, a leper and standing... Many times as you see in the meetings, It calls the people's names and where their from. Now, that shouldn't be spooky to you, brethren. That's the Bible. It's a little contrary to the modern conception of It; but so was Christ contrary to the modern conception of that day. And we know that history repeats itself.
E-55 And then--them man, I'd see their name. I couldn't pronounce it. I could just spell it out as I seen it. It'd tell them what they were and so forth. I would pray for the person and pass them through. And you remember, it's nothing that I can do. I'm just a man. See? It's something. That isn't me that does the talking. I have nothing to do into it. It's your faith that's doing it. So see?
Yesterday afternoon Brother Joseph happened to come into a place, up to my room where I was at, just a little before going to church, and happened to be that at three o'clock I start praying. And Joseph setting there, a friend of mine, we been together for a long time. There come a vision by Joseph, 'cause we love one another. And the times that we been together, never has there been, but the Holy Spirit revealed something to Brother Joseph that... There he is; ask him (See?), showing just what had taken place and so forth. Isn't that right, Joseph? See, see? It's something... There's more happens outside than there is in the church. See? But it's the people in the church are using God's gift. See? It's just as I explained it to Dr., I believe yesterday.
E-56 Would you bear me just another minute...?... Here... So you--you have a right to know this, brethren, sisters. You have a right to know this. You're here; you're shepherds. I don't blame you from holding back. You're shepherds. I don't blame ministers, Baptist ministers, and Presbyterian ministers, and so forth anything from seeing something, holding back, because they are shepherds. They're feeding a flock, and they've got to watch what their flock eats. But what a shepherd ought to do... The Pharisees were shepherds too, but they should've look to the Scripture as Nathanael did and as the woman at the well of Samaria, and look at the Scriptures and seen what day they were living, and said, "This is the food." See? But now, look.
E-57 The Bible said, before I finish my story on India, 'cause I want you to get that. The Bible said that the Christ... God was in Christ reconciling the world to Himself. God and Christ were One. They were One. And not as they were one as your finger, as we've had frictions on that too, when it ought not to have never been. And today, we hold grudges. I don't think the preachers do. It's the congregation. Did you notice the order of II Timothy 4? They shall heap for themselves together teachers, having itching ears, and be turned from the Truth, the Word, to fables, fantastics, and so forth. See? I don't think it's the ministers. I've gathered with hundreds of them. I see them reach across the tables with different denominations, shake one another's hands, and be brothers. See? It's the--it's the sheep that's bleating wrong. See?
E-58 Now, God gave Christ the Spirit without measure. Is that right? The Fullness of God was in Christ. He was God Emmanuel. We know that. There's no--there's no doubt in our minds of that. Just like as I said yesterday, "The whole ocean full of water, all the waters from the ocean was in Christ. But this little gift that you see working here, is just a teeny, little teeny bit of--like that--on the spoon laying there, just a drop." I can see it. But in Christ was the Fullness of God. We have it by measure. He had it without measure, the Bible says. See? Without measure, no way, He's just limited--unlimited. He had the Spirit of God.
Now, the subject is, water. Now, one day, when God, knowing that His Spirit dwelt fully in Christ, He wanted to use His Sp--His gift that was in a Man the corporal body called Jesus, which was His dwelling place. The body is a tabernacle. God was tabernacling here on earth. Do you believe that, brethren? In the body, Christ.
E-59 Now, God wanted to use His gift, so He showed His Son to leave the home of Lazarus and Martha, and then--and to go away for several days, 'cause Lazarus was going to die. And after the appropriated days that the Father... 'Cause Jesus said, "I do nothing in Myself, but what I see the Father doing," John 5:19 as I refer to it many times. Jesus only did what the Father showed Him. Is that right? The Bible said it was. Jesus said so, and that settles it. Now, then when God picked up His gift and took it over here and stayed away, until the amount of time was finished, and He looked over to His disciples, and said, "Our friend, Lazarus, sleepeth." He knowed the time was fulfilled.
He said, "Well, if he sleepeth, he doeth well." He's taking a sleep, a rest.
He said, "But he's dead. And for your sake I'm glad I wasn't there." 'Cause they'd be trying to get Him to pray for him, which would be contrary to the will of God. See, we've got to follow God, as the sister said of her husband, "The footsteps of the righteous is ordered of the Lord."
E-60 Now, He said, "I'm glad I wasn't there, but I go wake him." You get it? Look at the grave; He said, "Father, I thank Thee as Thou has already heard Me (See?), but for these that stand by I said it, Lazarus, come forth." And the man the had been dead four days stood on his feet and lived again. We believe that to be authentically the Word of God, the Truth.
In a few days, a woman, a little woman, insignificant, probably a little farmer's wife who is perhaps in the time of menopause, had a issue of blood, come through, and she believed that that was God in there. She believed that that was God. So she said, "If I can only..."
As Brother Roberts has said many times, "Get a point of contact."
"If I can only get my point of contact, I'm going to touch His garment, and I'll be made whole, because I believe if I can get any touch of that, God's in there." See? And when Christ was touched physically, materially with the woman's hand, God inside, gave a witness.
E-61 He said, "Who touched Me? Who touched Me?" Everybody denied it, but being the fullness of God in there, He looked around with that discernment. He could perceive their thoughts. Is that right? I want to ask you brethren something now while we're together. What is the difference of perceiving a thought or reading a mind? You see, the mind readers, the psychic readers, are... All those things would've been real gifts of God, but they're perverted. The devil can't create nothing. He just perverts what God has created. It's... What is righteousness? What is sin? It's righteousness perverted.
I want to make a point. Excuse me, sisters. You married men, it's legal and righteous: you have a wife that you have married, and legal procedure of human rights, you can live with your wife, make love to her, and she is a--she is your wife. And that's just as legal, and the Bible said, "The bed is undefiled." But the prostitute, or the unrighteous woman can be just the same thing that your wife was: But to go with her is to pervert what; righteousness into unrighteousness. You understand what I mean? Now, I thought maybe that remark would get you to where you could see what I'm speaking of.
E-62 Unrighteousness is righteousness perverted. The devil cannot create. That's the reason the devil can't heal. Only God can create, and He's the only One that can heal. See? The devil can pervert, but cannot create.
So then, the woman touched His garment, and she was satisfied. She run off, and Christ looked around over the audience until He found the woman, knew what her trouble was, and then she confessed it that she--what she had done.
Now look. He said, "I perceive that I got weak." Or virtue, "virtue' is "weakness." Taken virtue from you... Now, what happened? God used His gift. God used His gift, and He... When He used His gift, Christ never said a thing about being weak when He raised a dead man had been dead four days. God used His gift. But here the woman used His gift, not God, the woman drawed from Christ what--through--through Christ, drawed from God through Christ... She used the gift of God that was in Christ. You see?
E-63 Now, the question's going to arise, "Why does Brother Branham get weak when you leave the meeting?" I... Sure you can understand now. Here, as I said to the brother the other day, we're all little boys, and we're at a circus. None of us has got money to go in. But it happens to be, that maybe that I would be a little taller than you. You're a little stronger than I.
And God made us all different, because He's a God of variety. Do you believe that? He makes big mountains and little mountains. And He makes deserts, and He makes oceans. And He makes white flowers, and He makes blue flowers, and He makes red flowers. And He makes little men, big men, red headed, black headed, blue headed. He makes yellow, brown, black men. He--He--He's a God of variety. He's not a Sears and Roebuck, harmony house. He's--He's--He--He's a God of variety. See? Now, He makes a variety, because that's what He likes. I like the way He likes. I like it because He likes it. And when He's in here, you like the things that He likes. That's the reason I love nature in it's primitive condition.
E-64 Now, we notice. Now, there's a... Maybe He made me just a little bit taller. Now, I can't help because I was taller. You can't help because you're stronger. You can do things for Him that I can't do. I can do things for Him that you can't do. Oral Roberts, myself, you, all the rest of us, we are all different one from another, but we're all brothers. See? We're all brothers for the same purpose.
Now, maybe that we want to see this carnival. Now, all you brothers said, "Brother Branham, hey, you're the tallest." Maybe can see visions; that was just a gift. I never made myself thus. He made it that way. That don't make me any different from anybody else or you different from me. We're all the same material, but it's the way God has made us.
Well, now, you say, "Way up about this tall is a knothole. It's way above my head." Now, you say, "Brother Branham, what's in that build... What's coming on over there?"
"I don't know."
"Well, jump up and see."
Well, I'll reach up and grab a hold, and I squeeze, and pull myself up, and I look through there. Whew. [Brother Branham illustrates--Ed.]
"What do you see, Brother Branham?"
"An elephant."
"Oh, you did."
"Uh-huh."
"Look again, Brother Branham."
"Oh, my."
"All right, jump up and grab it, just hold by my fingers. What do you see, Brother Branham?"
"A giraffe." Whew. [Brother Branham illustrates--Ed.]
E-65 Yeah, that's on the platform. See? That's you like this woman, your faith pulling from God, that's forcing a vision. See it? It's you doing it. That's what we do. That's what the woman done. It weakened. See? It weakened Him, because it was the woman doing something herself that took the virtue.
Now, what if the strong man, the owner of the circus, he walks by and says, "Hello, Billy."
I say, "How do you do, sir."
"What are you doing?"
"I was a looking through this knothole." Oh, yeah.
"What else did you see, Brother Branham?"
"Oh, my. Look like he could be satisfied with wanting me to tell him there's a elephant in there?"
E-66 What if this person here... It's a strain. That's woman's coming. Here she comes. There's something meets you. It bursts. It's a woman doing it, the man doing it, before me; It's not me. It's her doing it. I'm just standing there yielding myself. This things a dumb mute unless some live voice is speaking in it. That's the way we are. There's an organ and a piano, but it--it--it's silent till somebody plays it. And that's us; that's me. I--I can't do that. See? It's you using God's gift. See? That's in the meetings. It shouldn't be... I shouldn't be doing it. It's just God. If you notice, I say, "It's God permitting." See?
That's not a gift of healing. Oral Roberts has the gift of healing. I do have a gift of healing like you ministers to bring the people up there and pray for them. But that's just a faith that, just bulldog faith that takes a hold and like that, but sometimes you let things go by. See? But this way, it's prophetic gift that searches that soul. See? And you know.
E-67 Maybe five hundred wouldn't go through. That's right. But when one comes through, He's combed down. You've been in the meetings and seen them how sin, and say, "That man setting right there, you lived with him, you did this over here and so forth. You've seen it in the meetings and know it. See? It's right. See? You can't take them just as fast as you; you have to watch. It's the people's own faith. Now, here's someone from here. Here's someone out here. Here's someone over here. See what I mean?
Now, that's... Now, what if the ringmaster comes by? Now, I'm just... "Oh, Brother, two people has done went through and told them this." What else did they have?
The first one stand there, "Yes, I--I got cancer." That's right.
"What do you see?" The person...
"Cancer. Yes. Was that right, sister? I don't even remember. It's just..."
"Yes, that's right."
Well, where she ought to say, "Thank you, Lord. I accept it now as my healing," and walk away, they'll wait a little while. See? Something else; then here it goes again. Here it goes again.
The audience set and say, "Well, that's pretty nice."
E-68 But in Africa they don't say that. In India they don't say that. When they see that, "Oh, hallelujah," they say. They say, "That is real." See? And away they go. Twenty five thousand was healed at one prayer in Africa. Seven van loads of crutches and wheelchairs was moved out on one prayer. They believed it. They wasn't indocumated with all of our theology and our embalming fluid that we put into them. You see? They were--they would believe. When they seen that crippled man raised up and all... Most of them knowed him there in the Shangai tribe, or the Zulu, rather, and when they seen that, that settled it, brother. They just left their crutches, and things, and walked right out praising God. That was it.
But oh, we say, "Now, wait a minute. How? Wait a minute. That could be mental telepathy. Oh, that could be hypnotism--hypnosis. I tell you; Dr. Jones said I--I--I better be careful about that." Oh, no. See? Therefore we can't get nowhere. See?
E-69 That's the reason that our hearts go for that country. That's when I'm among brethren. I say, brethren, if you were not called for a missionary, get somebody in your church that... Do everything you can and support somebody that is over there. Do something about it. See? You can't be wrong in being a missionary. The general orders said go into all the world.
Now, here comes the ringmaster by. Said, "What are you doing, Billy?"
I say, "I--I--I was looking through the knothole." See?
"What do you want to see? Well, I want to show you something, Billy." He picks me up by the nap of the neck, raises you up to him, and said, "You see over yonder how that takes place? It goes down here, and there's where this tent is, and that's where this is."
"Oh, yeah. Uh-huh. Yeah, that's it. Uh-huh. I see what you mean, uh-huh." Now, when he sets you down, I'm not tired. Didn't bother me. See? But when... See, there's the difference. When God used His gift, and took Jesus away, and told Him what was going to happen, and He raised the dead man, He never said nothing about being tired. But when the little woman touched His garment, He said, "Virtue went out from a blood issue." You see the difference? It's God using His gift, man using His gift.
E-70 Now, Christ had the Spirit without measure. Now, that was Christ, the whole ocean. This little gift that's in your servant here, brother, is just a little drop out of the ocean. It's in measure. But remember, the same chemicals that's in the entire ocean is in that spoon, that little drop. But it's not as much of it. See? And so our ministries are the chemicals that's made up in the--the great economy of God. And God can use those chemicals the way He wants to. It's just not as much of it. But all together, it's more of it than was in the one. See, the Fullness of God is in His Church. But we have the Spirit with measure--with, by measure.
Now, that's what makes the weakness. That's what it is that--that takes place. That's the reason I don't stay long on the platform. That's the reason they watch me. I faint almost. I go... Now, it seems like stepping off the world. You're coming out of another world. You're coming down here. But what does it declare? There is a land beyond the river, brother. Beyond any shadow of a doubt, we're not in any kind of a fiction. We're not in some kind of a mythical, hoodoo hypnotism. It's the resurrected Christ proving Himself.
E-71 Standing that night on the platform after three or four went by, here come a blind man and he stood. Then I'm closing. There was a blind man came by. And he was blind. It called his name, told him who he was. And then, under that anointing, you can feel the spirit; I can feel it in the meeting there where... You can tell where that darkness, coldness, indifference is setting (You see?), like that. But I used to, I'd call them out. I'd say, "What are you disbelieving for? You--you so-and-so, you Presbyterian preacher." And the first thing you know, if you root up the weed, you pull the wheat with it. So it's best just to leave it alone. See? Just go ahead, do your work. "What's that to thee. Follow me." See? Just do what you're supposed to do and then go ahead.
E-72 So then, I didn't mean altogether Presbyterian. Many times, Pentecostal preachers (That's right.), unbelievers, just as much as there is anywhere else, brethren. That's right. So then, when they a... Now they'll come to you. That's what hurts. They'll come to you, "Brother Branham, we love you." And you know that's wrong. See them right there and watch that spirit, feel it. Just set and talk to the man a few minutes and watch that vision work above there. I--I'd rather not see it. I'd rather not know it. I want to believe his testimony's right. And when... See, it creates something in you. What would I call that? Well, it's something that... It creates a distrust that you don't want to have. You want to love them anyhow. You see? And then that's the reason sometime, I'm a little misunderstood and think that I'm an isolationist. I'm not. I love my brothers. See? But, I--I want to have that, keep that love in my heart. I never want it to be broke. See? Every man loves me, and I love every man. That--that's the way it is. You see? I want to do that.
E-73 Then, and when this man came, It told him who he was. Said he was a beggar, and he was a worshiper of the sun. You've heard of it. And told him that he had been blind twenty years. Just... White as my shirt, his face. That was right. He said that was right. And as I looked to the audience, there sat the rajah, ever what it was, and them people there. They thought it was the working of a telepathy or something. You could tell it. And I said, "Is there a doctor present that would like to examine the man?" Which there wasn't no doctor. You could see he was totally blind. You see? And I said to him, "Sir, there's nothing I could do for you." See, I done told him who he was, and that was right. Told him he had two children, and that was right. Told him how long he had been blind; that was right. And told him that he was seeking relief for his eyes, a healing. And that in his heart, he said that he would serve any God that would make him well. See? He would serve any God that would make him well. Now, here's what I say for your, that you know your God now, brother. See? Any God that...
E-74 And there they set with at least fifteen different religions setting around: worship of flies, worship of cattle, worship of this, worship that. You know how India is. It's just full of superstitions. And there they set in that condition, all around. And I thought, "Oh, God..." And I said, "Now, here is the man. He's blind. I... There's nothing I could do to help him." I said, "God knows that." And as I looked, he appeared with his eyes looking around, you know, in the vision, rubbing his eyes, smiling.
Oh, brothers, oh, I only wished I had the vocabulary now or the--the something within me to let you see and know what that means: such a feeling. See? It's no longer a faith I have to use. It's a drama. God has already said it. All heavens and earth will pass, but His Word won't. All the devils out of hell couldn't stop it now. God has said so. See? That settles it.
Like when He told me yesterday morning up there. Oh, I don't care: let the waves roar; that has nothing to do with it. The little boy in Finland, all the many places, when God has said so, that settles it. It's THUS SAITH THE LORD then. See? Watch it.
E-75 I thought, "Oh, God, how I thank You. You're still Jehovah. You're still the Almighty." Then I--then I knowed my position. I knowed where I was standing then. I don't care how many devils that he sent; They--there's no failure then. God has done said so. You feel like Elijah on Mount Carmel, standing right there when he hollered to the prophets of Baal, "Maybe he's gone on a trip. Maybe he's pursuing." Elijah said, "I've done this, Lord, at Your command." He knowed exactly what was going to happen. That's the reason he could say it.
Oh, brethren, our religion is not a fiction. It's not some Santa Claus story. It's a real living Jesus. Don't be afraid to put Him to the test on His Word, 'cause He will keep His Word then. That's right. He will keep His Word.
E-76 There when I seen that I thought, "Oh, God. As it was in Africa, now You're going to do it in India." And I turned to the audience. I said, "Gentlemen of the religions of India." I could not address them as brethren, because they wasn't my brethren. "Gentlemen of the religions of India, you were telling me today in you temple down there..."
Oh, how God always makes a way. Yes, sir. Don't fight. Just let Him have the way. Just let Him alone. You just walk on. Follow Him.
E-77 I said, "Today I was astonished in your temple, when you told me how great your gods was and how fictitious mine was. How that the man never died, He got on a horse and rode up to heaven." I said, "But he died, and yet He rose again." I said, "Here stands a man of the worship of the sun, who testifies of being blind for twenty years." And I said, "He is now here seeking his sight." I said, "Surely, the God Who made him, the Creator who made him," I said, "could give him back his sight."
I said, "Now, of course, you are--you--you Sikhs, and you Jains, and Mohammedans, and Buddhists, and so forth, you say that He's wrong." But I said, "What would you do? You'd say, 'Come over to me.' What would you do? You'd change his way of saying his prayer." I said, "What would you do? You would only change his philosophy." I said, "You--you would have him to worship something else, or do something, or change of his way of praying." I said, "We have the same thing in America," I said, "but that wouldn't help the man." I said, "You'd only proselyte him."
E-78 And I said, "If he come over here to change from a worshiper of the sun, which you say... He worships the creator--creation instead of the Creator. That's what he did, and through ignorance he did this. But what would you do if you made him a Jain? What would you do if you made him a Mohammedan?" I said, "Why, he would be no better off. He's still blind, and you would only change his--his---his philosophy, his way of praying, change his idea, change his denomination." I said, "We got the same thing in America. All the Baptists wants to covert every Methodist he can to the Baptist church. And every Methodist wants to covert the Baptists. And the--the Baptists to the Presbyterian, the Lutheran. The Pentecostal wants to take them all." And I said, "That's the way it goes. But I said, "What is it? It's purely psychology." It's right. But I said, "We have one God where you all have many." But I said, "That's the way it is in America. They're proselyting, and pulling, and fussing, and everything trying to get all to come this, all to come to this, a build a million more in forty-four and all these slogans and things like that." I said, "What is it? It's pure human psychology in building up of organizations."
E-79 And I said, "I challenge." Excuse my emotions. "I challenge the Buddha priest to come forth and give him sight. If you'll do it, he will be a Buddha from this on, and I will too." I said, "I challenge the Mohammedan priest to come forth and give him his sight. He will be a Mohammedan from now on, and I will, too."
Oh, brethren, our God lives. Here in America, you don't come face to face with these things. You have to get into them lands to really... There's where they're watching. See? There's where you've got the showdown. Oh, you can say, "I--I can prove... I belong to a big organization." That has nothing to do with it, brother. That's right.
E-80 I said, "I challenge any religion here to come and give him his sight, and he will join your religion and so would I." I said, "Surely, the Creator Who made him, if He'd seen that he's worshipped the creation instead of the Creator, surely He would bring him back to his right conditions, to bring him right, if He did receive the ignorance of his worship." And I said...
That was the quietest crowd I ever talked to. Thousands just as far as you could see laying there on each other, and piled together. It was quiet. Every man set on his pillow, of the great priests and them. No man made a move.
I said, "Then gentlemen, why don't you say something?" I said, "Today in the Jains temple, you told me how little Christianity was, and how it was in the minority." And it is. Mohammedans are greater and that more by third or fourth, taking Catholics and all of us together. You told how little we was. But now, how big are you?"
E-81 Oh, we know then. I would've never said that, brother, God knows that, if that vision hadn't have been there. No, sir. But God had said so, and that settled it. That was the same thing that took place in Africa. Certainly, I knowed it wasn't me no longer. I was just His mouthpiece. There it was.
That's the same thing that took place in Finland when I raised the dead boy. You've read the story. Certainly, that's right. He's God. He don't tell His servants all things, but when He wants to use you, He can put His hands on you, take you here and do it. If you'll just be humble and stay in your position, He can make more glory out of it, than all the diddle-dattling along you can do or I can do. That's right. Abide in your calling, and stay in there till God's ready to move you somewhere. That's right.
E-82 There, when he stood there, I said, "It's awful quiet." I said, "Why? Because you can't do it and neither can I... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... God of heaven, Jehovah God has raised up His son, Christ Jesus, Who has stood here by me this night and showed me a vision that this man is going to receive his sight, and it's, THUS SAITH THE LORD. If God doesn't give that man his sight, I'm a false prophet." And I said, "Then my religion I'm representing, I'm falsely representing Christianity. But if the God has said this; then if He does it, how many here will forsake your superstitions and serve the living God Who can restore the sight to the blind?" And as far as you can see, those hands raised in the air. See?
There's the showdown. That's the proof. As the old saying, "The proof of the pudding is the eating thereof." There it is. Not our theology and not our psychology, but the truth of the real true Creator Who made the heavens and earth. And as the Holy Spirit brood us from the earth, surely the brooding of the Holy Ghost can restore us back to our right conditions.
E-83 And there standing in that place, turning then with a heart that's assured as much faith as I believe I could walk through that microphone. Yes, sir. Because, not 'cause it was me. No, brethren. That had nothing to do with it. It was Jehovah God ready to move on the scene. That's right. And He'd just showed me by a vision, through a gift. And He wanted to use it at that time. Surely before a bunch of heathens that He would use His gift. There, standing there, walked up to the man and put my hands upon his face, like that.
And I said, "Heavenly Father, You Who showed the vision a few moments ago," I said, "I feel like Paul of old when he was on the ship, and said, 'Be of a good courage.' See? For I know that You'll give this man his sight, because Thou has said so. And I have spoke Your Word and I... With all the wisdom I have, I have made each one promise that they would receive you as personal Saviour if You would do this. Now, God, the God Who made the heavens and earth, now You Who raised Jesus from the dead, as we can stand and see gravitation lose its power, for He's the center of gravitation as He raised that cold form body out of the grave and sent Him into glory. Now, let it be known that You're God this day. I ask it in the Name of Jesus Christ."
E-84 When I held my hand there, and when the prayer, of course wasn't interpreted, when I dropped my hands, the man looked. He let out a scream. He grabbed me around the waist. He grabbed the mayor of the city and begin hugging him and kissing him. He was just--could see as good as any man setting in here. I'm telling you: a frantic, a scream went from those people, and the whole thing went into a turmoil. Two or three hours later, they got me through the crowd with a army there trying to push them back. I had no pockets in my coats. My shoes was gone. They'd pulled every clothes off of me, nearly stripping me, screaming and crying. And the next day with sorrow. I had to leave India with a promise that I'd be back again.
But, brother, the commandments of Jesus Christ is just as true today, and just as vital. He's just as much resurrected today as He ever was. And He is the same Lord Jesus, and He's with us today. Don't be afraid; trust the Lord. Amen.
E-85 Let us pray. Heavenly Father, as men and women are setting here together, who are--we are associated in this same blessing. And as I'm so happy to stand as the--today to tell them what their great Saviour is doing in other lands to men who doesn't--hasn't had the privilege of the great visitation of the Holy Spirit... I pray that You'll bless these men and these women.
O eternal God, these ministering gifts that's in this group this morning, they belong in Baptists, and Methodists, and Presbyterian, and Pentecostals, of different phases and things. Oh, God, may this fellowship that we have this morning in one thing common, may this never leave them.
E-86 And may, whatever position You have placed them in, and ordained them into Eternal Life, and given them their positions, may they serve reverently. For some glorious day, Jesus shall come, and all the sorrows and troubles of this world will be taken away, and we shall see Him. We'll have a body like His own glorious body. And when we sit together over yonder on the other side, oh, what a day it will be. Oh, may each minister in here, may his--may his pulpit, may his sermons, may his ministry be inspired greater. Grant it, Lord, if I have found grace in your sight.
And as my brethren stand here this morning. Oh, I pray that each of these ministers in here, these ministering spirits, that, God, hear my prayer. And I pray that You'll purge that gift that's in them. If they're preachers, make them better preachers. If they're evangelists, make them better evangelists. If they're teachers, make them better teachers. If they're pastors, make them better pastors. God, grant that they will be filled with the Spirit of God, and will be energized by the great super Vine, that'll give them Life Eternal, and power to minister with, and to touch the needy world as it so needs today.
E-87 Forgive us of our shortcomings. Forgive us of our narrow minded beliefs and little sectarian ideas, and let us be baptized into one big brotherhood, into one big fellowship, that the Kingdom of God might be furthered by our coming together this day. We ask it in Christ's Name. Amen.
I am sorry to keep you long, brethren, but it's way late. It's half past ten. No, it's quarter till eleven. I--I'll pay the extra...?... I am sorry, but I love you.