Et Puis Jésus Vint

Date: 57-0302 | La durée est de: 1 heure et 53 minutes | La traduction: Shp
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1                      Seigneur, je crois; Seigneur, je crois;
Tout est possible, Seigneur, je crois.

            Inclinons la tête juste un moment dans la Présence du Dieu Tout-Puissant pour adorer. Notre Père céleste, nous Te sommes reconnaissants pour le privilège que nous avons de venir auprès de Toi au Nom de Ton Bien-Aimé Fils, le Seigneur Jésus. Et nous Te prions de nous pardonner tous les péchés que nous avons commis contre Toi, et puissions-nous ensuite être reçus ce soir dans Ta communion.

            Et que le Saint-Esprit prenne la Parole et nous L’apporte ce soir comme cela Te plaira. Et accorde-nous Ton amour, Ton pardon, et Tes bénédictions, afin que nous puissions avoir une glorieuse communion ensemble. Guéris les malades et les nécessiteux. Sauve les perdus. Tires-en gloire, car nous le demandons au Nom de Christ. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2          C’est vraiment un privilège de servir le Seigneur à tout moment. Et nous sommes très reconnaissants d’être ici à Phoenix ce soir. Et nous croyons que Dieu nous accordera Ses bénédictions au-delà de toute mesure.

            Et maintenant, si je devais intituler cela, afin que nous puissions entrer immédiatement dans la Parole... Je suis quelqu’un qui croit que la foi vient en écoutant la Parole. Et je crois que Dieu tient Sa Parole.

            Et nous allons lire ce soir un passage dans l’Evangile de Saint Jean, au chapitre 11, le verset 17:

Jésus, étant arrivé, trouva que Lazare était déjà depuis quatre jours dans le sépulcre.

            Et si je dois prendre un sujet ce soir, ce que j’ai choisi pour quelques instants, j’aimerais prendre ce sujet: «Et puis Jésus vint.» 

3          Ce passage des Ecritures que nous avons devant nous ce soir est l’un des passages les plus glorieux de tous ceux que nous avons dans le Nouveau Testament, qui donnent la preuve et la confirmation que Christ était le Messie de Dieu. C’était une occasion où, pour ainsi dire, l’herbe avait été coupée sous les pieds des incrédules, lors de ce glorieux événement.

            Aucun homme ne peut ressusciter les morts, excepté Dieu seul. Et cet homme était mort et avait été enterré depuis quatre jours; la corruption s’était déjà installée; son nez s’était affaissé; et les vers rongeaient son corps. Et tout le monde sait que personne ne peut ressusciter les morts, excepté Dieu seul.

4          Il y a quelque temps, j’ai eu une discussion avec une dame, qui était une religieuse, ou qui prétendait l’être. Et elle m’a dit: «Monsieur Branham, je–j’admire votre façon de prêcher, mais il y a une seule chose sur laquelle vous êtes dans l’erreur.»

            Et j’ai dit: «Je suis toujours heureux que quelqu’un me dise là où je suis dans l’erreur, car je veux être dans le vrai. Et j’apprécie quiconque me le fait savoir, quand je suis dans l’erreur. Cela montre que vous m’aimez. Mais alors, pour ce qui est d’être dans l’erreur, cette erreur doit être prouvée, et elle doit être prouvée avec la Bible de Dieu.»

            Et elle m’a dit: «Voici où se trouve votre erreur. Vous mettez trop l’accent sur Jésus. Vous faites de Lui Dieu. Mais Il n’était pas Dieu.»

            J’ai dit: «Madame, si vous pouvez le prouver avec la Bible, alors je l’accepterai.»

            Et elle a dit: «Je peux certainement le prouver avec la Bible.»

            Alors j’ai dit: «Dans ce cas, j’aimerais connaître ces passages des Ecritures.»

5          Et elle s’est référée à ce passage des Ecritures, Saint Jean 11. Elle croyait qu’Il était juste un prophète, et juste un homme ordinaire, un homme bon, un prophète. Eh bien, si Jésus était juste un prophète, alors nous sommes tous perdus et dans l’erreur. Il n’était rien de moins que Jéhovah Dieu manifesté dans la chair. Il était Dieu.

            Alors, elle fondait sa pensée sur ceci: Elle a dit: «Si donc, je peux vous prouver qu’Il n’était qu’un homme, allez-vous alors accepter cela, si je le prouvais avec la Bible?»

            J’ai dit: «Oui, madame. Mais je ne crois pas que cela soit faisable.»

            Elle a dit: «Lorsqu’Il se rendait à la tombe de Lazare... Je suppose que vous connaissez bien ce texte.»

            J’ai dit: «Oui, madame. Je le connais.»

            Elle a dit: «La Bible dit ‘Jésus pleura.’» Et elle a dit: «Cela prouve qu’Il était un homme, parce que ce n’est qu’en tant qu’homme qu’Il pouvait pleurer.»

            J’ai dit: «C’est vrai, mais lorsqu’Il s’est tenu devant la tombe de Lazare et qu’Il a ramené à la vie un homme qui était mort depuis quatre jours, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu dans cet homme.» J’ai dit: «Il est vrai qu’Il était un homme, lorsqu’Il est descendu de la montagne, affamé, et qu’Il a cherché partout sur l’arbre pour trouver à manger. Il avait faim comme un homme. Mais lorsqu’Il a pris cinq petits pains et deux poissons et qu’Il a nourri cinq mille personnes, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu dans l’homme.»

6          Et il est vrai qu’Il devenait fatigué comme un homme; car un soir, après que la vertu L’eut quitté pour avoir prêché et prié pour les malades toute la journée, Il était si fatigué que la petite barque qui était ballottée sur les vagues de la mer, rebondissant comme un petit bouchon de liège, alors que peut-être dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer ce soir-là, lorsqu’ils L’avaient surpris dans cet état de faiblesse, couché et endormi dans une barque... Il se reposait et dormait comme un homme. C’est vrai. Mais lorsqu’Il posa Son pied sur le bastingage de la barque et qu’Il leva les yeux vers le Ciel et dit: «Silence !», et à l’océan: «Tais-toi !», et que les vents et les vagues Lui ont obéi, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu.

            Et il est vrai qu’Il a imploré miséricorde à la croix. Pendant qu’Il mourait, Il implora miséricorde comme un homme, car Il mourut comme un homme, car Il portait sur Lui nos péchés, les emportant au loin. Il était un homme quand Il est mort. Mais au matin de Pâques, lorsque le sceau romain... Ni la tombe ni la mort n’ont pu Le retenir, Il prouva qu’Il était Dieu.

            Il n’est pas étonnant que le poète ait dit: Vivant, Il m’aima; Mourant, Il me sauva; Enseveli, Il emporta mes péchés au loin; Ressuscitant, Il me justifia gratuitement à jamais; Un jour Il va venir, oh ! quel jour glorieux !» C’est le jour que nous attendons. C’est la chose qui a fait frémir le coeur des prophètes et des poètes au travers des âges.

7          L’Ancien Testament attendait deux grands événements. L’un c’était la Venue du Messie, et l’autre la Venue du Saint-Esprit. Nous, nous attendons deux événements: l’effusion du Saint-Esprit dans les derniers jours, et la Seconde Venue du Seigneur. Et nous recevons maintenant l’effusion du Saint-Esprit, et la Seconde Venue est proche. Oh ! comme cela fait frémir le coeur d’un croyant, de savoir que c’est glorieux, le jour dans lequel nous vivons !

            La scène que nous avons devant nous, la preuve, une évidence de Sa qualité de Messie... Je ne sais pas, mais je crois que c’était dans une petite histoire que j’ai lue. Cela pourrait ne pas être authentique. Je crois que c’était dans le petit livre d’Ingraham, Le Prince de la maison de David. Et peut-être que c’est de la fiction. Mais je lisais un récit dans Le Prince de la maison de David, disant que Marthe, Marie et Lazare étaient des amis de Jésus. Oh ! je... C’est ce que désire mon coeur: être un ami de Jésus. Il n’y a pas de plus grand ami au monde que Jésus.

8          Et puis, cette petite histoire nous apprend, la Bible aussi, qu’un jour lorsque Lazare tomba malade... Eh bien, cette petite famille avait été excommuniée de la communion de leur première église. Et d’habitude, cela provoque une petite agitation lorsque vous vous mettez à croire au Seigneur Jésus.

            Et ils avaient abandonné tout ce qu’ils avaient considéré comme religieux, pour croire en Lui. Et maintenant, lorsqu’ils ont eu besoin de Lui, au pire moment de leur vie, c’est à ce moment-là qu’il y eut une déception. Jésus s’en était allé. Et si vous lisez attentivement les Ecritures, Jésus a dit dans Saint Jean 5.19: «Je ne fais rien, à moins que Mon Père me le montre premièrement.»

9          Maintenant, nous voyons qu’un jour Jésus traversait une foule de gens, et une petite femme toucha Son vêtement. Et Il a dit qu’Il avait senti qu’une vertu était sortie de Lui. Mais combien la résurrection de Lazare était plus glorieuse que cela, et il n’est mentionné nulle part que la vertu L’avait quitté. Qu’était-ce? Dans un cas, c’était la femme qui utilisait le don de Dieu; dans l’autre, c’était Dieu qui utilisait Son propre don.

            Eh bien, c’est ce que vous voyez sur l’estrade. Vous direz: «Quel...» J’ai reçu beaucoup de critiques, les gens disent: «Qu’est-ce qui vous affaiblit?» Il est inutile d’essayer d’expliquer cela. On ne peut pas expliquer cela. Je ne peux pas comprendre cela, mais je peux soutenir cela par les Ecritures. Mais je ne peux pas expliquer cela. Ces visions qui apparaissent à l’estrade, ce sont les gens qui les provoquent. C’est votre propre foi. C’est vous qui faites cela. Vous utilisez le don de Dieu.

            Mais alors, lorsque je suis chez moi, ou quelque part, ou là dans la forêt, et que le Seigneur apparaît et qu’Il montre une vision, cela ne m’affaiblit pas. Ma femme est dans l’assistance ce soir. Et elle est mieux placée que n’importe qui pour expliquer comment ces choses viennent, alors que nous n’en savons rien. Je suis simplement assis, et parfois la vision dure une ou deux heures, mais au lieu d’être faible, lorsque j’en sors, je suis heureux et joyeux. C’est Dieu qui prend Son don et qui montre quelque chose, et les gens peuvent tirer profit de ce don par leur foi.

10        Or, Dieu avait montré à Jésus de partir et de rester éloigné pendant ce laps de temps. Et bien souvent, nous pensons que c’est décevant lorsque nous tombons malade ou que nous sentons que quelque chose nous est arrivé. Mais seulement, ne vous découragez pas, et souvenez-vous que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. L’Eternel affermit les pas du juste.

            Eh bien, cette petite famille, alors qu’ils étaient dans la pire des situations qu’ils eussent jamais connues... Lazare était tombé malade, et ils ont envoyé chercher leur Ami et Compagnon. Et Il s’était assis bien des fois à leur table et avait mangé à leur table. Elles Lui avaient confectionné un vêtement à porter. Il avait posé sa tête sur les oreillers que Marthe et Marie avaient confectionnés, essayant de montrer tout le respect qu’elles avaient pour Lui. Et pourquoi les a-t-Il laissées tomber quand elles demandaient une faveur?

11        Bien des fois nous sommes amenés à ce point-là: «Pourquoi cela? Puisque je fréquente l’église et vis correctement de tout mon coeur devant Dieu, essayant d’être une personne juste, honnête, et entièrement tel que le christianisme l’exige, pourquoi ces choses arrivent-elles?» Mais, vous savez, bien des fois ce sont des bénédictions déguisées. Bien des fois nous ne pouvons pas les comprendre. Si vous laissez tout simplement cela tranquille, Dieu arrangera les choses.

            Maintenant, j’aimerais que vous remarquiez. Ceci c’était peut-être l’heure la plus sombre que cette petite famille n’eût jamais vécue. Ils avaient quitté leur église et, apparemment, leurs amis les avaient abandonnés. Et elles avaient perdu tout ce qu’elles avaient de cher: le soutien de la famille était mort, leur frère gisait dans la tombe, et ces deux petites femmes désespérées, excommuniées de l’église, taxées de saintes exaltées, de fanatiques pour avoir suivi le Seigneur Jésus... Pouvez-vous imaginer les habitants de Béthanie les pointer d’un doigt dédaigneux? Pouvez-vous imaginer les entendre dire: «Eh bien, où est votre saint exalté d’ami? Vous voyez, lorsque l’épreuve est venue, Il est allé ailleurs et Il a refusé de venir vous aider.»

            Vous savez, ce démon n’est pas encore mort, depuis ce temps-là. Il vit toujours, ce démon méprisant. Mais d’une manière ou d’une autre, lorsque l’heure la plus sombre vient... Après quatre jours, cet homme pourrissait dans la tombe, puis elles ont appris que Jésus venait. Et Marthe avait été lente, s’adonnant à apprêter différentes choses et ainsi de suite à la maison, mais cette fois-là, elle a montré de quoi elle était faite. Oh ! je crois...

12        Vous pentecôtistes, vous qui êtes chez les méthodistes, les baptistes, les presbytériens et dans les églises luthériennes, il y a beaucoup de Marthe là-bas ce soir. Je crois que lorsque l’épreuve viendra, elles montreront de quoi elles sont faites. Je le crois.

            Et lorsque Jésus vint dans la ville, en principe la petite Marthe avait le droit de sortir pour Le blâmer; mais Marthe avait lu une histoire une fois dans la Bible, au sujet d’une Sunamite qui avait perdu son fils, et cette Sunamite avait reconnu que Dieu était dans le prophète. Et si Dieu était dans Son prophète, à combien plus forte raison était-Il dans Son Fils. Elle ne se préoccupait pas tellement du prophète; elle reconnaissait le Dieu du prophète. Et elle ne reconnaissait pas l’homme qui semblait l’avoir déçue, mais le Dieu qui était dans cet homme.

            Oh ! voilà. Ce n’est pas l’action de l’Eglise qui compte, mais c’est la puissance de Dieu qui est dans l’Eglise. Remarquez. Oh ! en cette heure-là personne ne sait compatir, à moins d’être passé par cette heure sombre.

13        Une fois, là à Babylone, il y eut une scène, un grand drame qui se déroulait. En fait, un matin, une fournaise était chauffée sept fois plus qu’elle n’avait jamais été chau-...–ou plutôt chauffée. Ensuite, lorsque l’ordre fut donné que trois croyants de Dieu, qui se tenaient fermement sur la promesse éternelle de Dieu...

            Oh ! j’aimerais que vous voyiez cela. Dieu honore toujours tout homme qui se tient fermement sur Sa promesse. Oh ! ça semblait être un moment sombre. Lorsque Schadrac, Méschac et Abed Nego avaient les mains liées dans le dos, et que pour ainsi dire, le roi était assis sur son trône et avait dit: «Eh bien, mes garçons, si vous voulez faire un petit compromis ici et accepter de changer votre décision, je vais vous accorder une chance.» Mais, vous savez, les compromis n’ont pas de place dans le coeur d’un croyant qui est solennellement établi sur l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Ils ont dit: «Notre Dieu est capable de nous délivrer des flammes de la fournaise. Mais quoi qu’il en soit, nous ne nous inclinerons pas devant ta statue.»

14        Oh ! si le monde ce soir, si vous les femmes ce soir, si vous les hommes ce soir... Vous les femmes, lorsque le diable vient vous tenter, quand ce soleil devient un peu plus chaud, de porter ces sales vêtements scandaleux et sortir sur la rue, pour être populaire, si vous pouvez dire: «Je prendrai le chemin avec le petit nombre des méprisés qui suivent le Seigneur. Peu importe ce qui arrive, j’ai pris ma décision de suivre Christ.»

            Et si vous les hommes vous pouvez ôter ce bréchet de votre dos et y placer une colonne vertébrale, et prendre votre femme par la main, et ne pas la laisser faire pareille chose, Dieu vous honorera davantage pour avoir fait cela. Et vous savez que c’est vrai. Il y a des moments où l’homme doit prendre position et où le diable doit se soumettre.

15        Ainsi, avec leurs mains liées dans le dos, ils faisaient la marche de la mort, alors que le roi avait ordonné aux hommes les plus vigoureux de son armée de les jeter dans la fournaise ardente... Et pendant qu’ils faisaient la marche de la mort, leurs mains liées dans le dos, se tenant fermement sur les promesses qui ne peuvent faillir, ils marchaient sur cette planche qui conduisait au sommet de cette fournaise, quand la chaleur était tellement intense que les hommes qui étaient derrière eux furent tués, ceux qui avaient été nourris du vin du roi, et de ses bières, et de toute la graisse de son pays. Et ces gens-ci n’avaient que des légumes comme nourriture; leurs petits corps frêles ne pouvaient en rien être comparés à ceux des hommes qui étaient derrière eux.

            Mais on ne juge pas l’homme par la taille de ses muscles, on juge l’homme par son caractère. J’ai vu des hommes qui pesaient deux cents livres [90,7 kg] et qui n’avaient pas une once d’homme en eux. C’est par son caractère que la valeur d’un homme est mesurée.

16        Et c’est la raison pour laquelle la chaleur n’a pas du tout brûlé les corps de ces petits Juifs bronzés, Dieu était dans ces coeurs qui battaient. C’est ce qui faisait la différence. La Parole était ancrée dans leurs coeurs. «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.»

            Et alors qu’ils faisaient cette marche de la mort, chacun regardait les autres; arrivés au bout de la planche juste avant qu’ils entrent, ça semblait être l’heure la plus sombre qu’ils eussent jamais connue. Et juste au moment où était venue l’heure la plus sombre pour eux et où ils faisaient leur dernier pas pour entrer dans la fournaise, alors Jésus vint.

            C’est comme cela qu’Il agit, juste à l’heure la plus sombre. Il n’y a qu’une seule chose que nous devons faire, c’est de nous tenir sur les promesses éternelles de Dieu. Quelles que soient les circonstances, se tenir sur la promesse. A l’heure la plus sombre, alors Jésus vint.

17        C’était un soir, lorsqu’une petite barque se trouvait au milieu de l’océan, ou plutôt au milieu de la mer de Galilée, rebondissant là comme un bouchon de liège. Les vents étaient contraires. Les rames étaient brisées. Et un groupe de petits disciples s’étreignaient pour la dernière fois. La vieille petite barque était trempée et se remplissait d’eau, au point qu’elle était pleine d’eau.

            Cela pourrait être un grand mot pour vous les Arizoniens. Etre plein d’eau se dit des bois lorsqu’ils sont trempés et qu’ils sont sur le point de tomber pour la dernière fois. Et alors que la petite barque montait chaque fois, on était sûr qu’elle allait couler la prochaine fois. Le diable était assis sur chaque vague et disait: «Je les ai eus maintenant. Désormais, ils ne vont plus prêcher.»

            Ils pensaient... ou plutôt, lui pensait qu’ils étaient partis sans leur Seigneur. Mais qu’avait-Il fait? Il était monté au sommet d’une montagne, et Il s’était assis là-haut pour surveiller cette petite barque, pendant qu’elle rebondissait sur la mer.

18        Oh ! je suis tellement heureux ce soir de savoir qu’Il a escaladé les remparts de la Gloire et qu’Il est assis dans la Majesté céleste, et Son oeil veille sur le passereau, et je sais qu’Il veille sur moi. Et Il veille sur vous.

            Juste à l’heure la plus sombre, lorsque chaque tangage semblait être le dernier, alors Jésus vint, marchant sur la mer. J’aimerais que vous remarquiez ceci: Ils étaient impuissants, sans espoir, désespérés; et lorsqu’ils L’ont vu, ils ont eu peur de Lui. La seule chose qui pouvait les aider, ils en ont eu peur.

            Puis-je dire ceci ce soir: En cette grande heure, dans cet âge atomique, alors que ce monde est dans le désespoir, alors que des nations s’élèvent contre des nations, et que le monde peut être complètement détruit dans les trente prochaines minutes, Jésus vient, marchant dans cette heure la plus sombre, mais le monde a peur de Lui, et les gens traitent cela de saint exalté, de diseur de bonne aventure, et de tout le reste.

19        Je suis tellement heureux qu’en cette heure sombre Jésus marche aux côtés de Son Eglise, montrant Lui-même qu’Il est vivant. C’est ici l’heure la plus sombre que ce monde ait jamais vue. Depuis la nuit des temps, cela n’a jamais été ainsi. Cela n’a jamais été aussi séparé; jamais les églises n’ont été aussi mises en pièces; elles n’ont jamais été aussi rongées par des dénominations, avec tant de divergences, tant de sensations et tout ce qu’il y a dans l’Eglise. Mais en plein milieu de tout cela Jésus vient en cette heure la plus sombre pour se manifester et montrer Son amour à Son Eglise. A l’heure la plus sombre, alors Jésus vient.

            De l’autre côté du rivage, lorsque la petite barque est arrivée sur le rivage le lendemain matin, il y avait une petite femme qui vivait sur le flanc de la colline, qui avait peut-être tout vendu dans sa ferme, et qui avait essayé de se faire soigner par les médecins, et aucun d’eux n’avait pu l’aider.

            Elle avait peut-être vendu l’attelage; elle avait vendu tout ce qu’elle avait, elle avait dépensé tout ce qu’elle avait comme moyen de substance, et avec son pauvre petit corps frêle ayant mauvaise apparence, avec ses petites joues pâles, tout espoir avait disparu; rien ne pouvait se produire.

            Evidemment, elle avait entendu parler de Jésus, mais Il était très loin de l’autre côté de la mer. Et lorsqu’elle a dépensé le dernier sou, et lorsqu’elle a préparé de petits pains pour le petit déjeuner, ce pot est devenu complètement vide, il n’y avait plus d’huile dans la cruche; elle avait dépensé tout son argent; et elle était toujours malade et faible. Et juste à l’heure la plus sombre, une petite barque accosta là-bas, et Jésus vint, juste en cette heure sombre. Oh ! c’est de cette manière qu’Il agit.

20        Eh bien, elle ne pouvait pas aller vers Jésus, mais... Oh ! voilà une chose bénie. Vous ne pouvez pas aller vers Lui, mais Lui peut venir vers vous. Et Il n’a jamais manqué de le faire, à aucun moment.

            Un jour, loin là-bas au pays de Gadara, vivait autrefois un homme qui était sans doute sociable, un citoyen qui craignait Dieu. Et il avait eu une mauvaise fréquentation. Peut-être qu’il était un jeune marié et qu’il avait deux ou trois petits enfants. Mais il s’était associé à un mauvais groupe.

            Et c’est là que beaucoup de jeunes hommes et de jeunes femmes deviennent perdants, c’est quand ils se mêlent à un mauvais groupe, les mauvais–aux mauvais amis.

            Et ainsi, un soir ils l’ont fait sortir, on lui a offert à boire. «Oh ! joue un petit peu, fais ceci, joue un peu à l’argent. Cela ne te fera pas de mal.» Alors, le premier démon est entré en lui. Il est rentré chez lui et a dû raconter un mensonge à sa femme. Le deuxième démon est entré en lui. Et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il était possédé par une légion de démons, et on ne pouvait plus rien pour lui. Et le pauvre homme fut entrainé dans les sépulcres.

            Avez-vous déjà remarqué, le diable aime rester dans les sépulcres? Le diable reste près d’un endroit mort. Et cela n’exclut pas non plus les églises, lorsqu’elles deviennent froides. C’est un endroit que le diable hante.

21        Et le pauvre type était entraîné dans les sépulcres, un endroit mort. Et on le liait à l’aide de chaînes, et il les brisait. Eh bien, lorsque le diable possède une personne, cet homme devient plusieurs fois plus fort que d’ordinaire. Et si le démon peut vous donner le double de votre force, que pensez-vous que Dieu puisse faire de vous qui êtes assis là dans un fauteuil roulant? Que pensez-vous que Dieu puisse faire de vous qui êtes un pécheur?

            Si le diable peut vous entraîner dans un bar, ou là dans la rue avec un comportement immoral, ou en faisant les choses du monde, ce qui est contraire à votre propre nature (En effet, vous êtes né pour être un fils et une fille de Dieu, et le diable peut vous faire faire des choses et vous amener à tromper votre mari, à tromper votre femme, à voler, mentir); combien plus Dieu peut faire lorsqu’Il vous possède entièrement?

            Et cet homme de légion, qui était autrefois un gentleman, n’avait alors plus aucun espoir; il était là dans les sépulcres avec le diable. Et année après année son état ne faisait qu’empirer, et il en était arrivé au point où personne ne pouvait passer par là. Eh bien, ce n’était pas son intention de faire du mal à quiconque. Il se gardait de le faire, mais chaque fois qu’il voyait quelqu’un, le diable sautait sur lui, et il poursuivait cet homme et essayait de le tuer, si bien que tout le monde le craignait.

22        Il était complètement banni de la société, de la ville. Le diable lui avait fait perdre l’esprit, et il était là dans les sépulcres, c’était l’heure la plus sombre qu’il n’eût jamais connue; et alors Jésus vint. Et Il chassa tous les démons hors de lui. Et ces démons sont entrés dans un troupeau de pourceaux, qui avaient suffisamment de bon sens pour aller se noyer eux-mêmes.

            Je me suis souvent demandé lorsque j’arriverai au Ciel, j’aimerais voir quelle force son témoignage avait contre les éleveurs des pourceaux dans cette contrée après cela.

            Les gens ne voulaient pas de réveil, si cela devait leur coûter quelques pourceaux. Ils se sentaient plus à l’aise avec les pourceaux et les démons qu’avec le Seigneur Jésus. Ils aimaient bien leurs pourceaux, et ils Lui ont demandé de quitter leur contrée.

            Et c’est pareil ce soir. Les gens préfèrent rester dans une vieille condition viciée, froide, formaliste, impie, indifférente, plutôt que de supporter de temps en temps un petit feu de forêt. Je préférerais des milliers de fois plus avoir cela. Les gens se sentent plus à l’aise avec les démons et leur vieille condition, boire, fumer, parier, porter de sales vêtements, couper les cheveux, faire toutes ces autres choses qu’ils font. On se sent plus à l’aise en faisant cela que d’être traité de démodé et d’avoir Jésus chez soi. Je préférerais L’avoir des millions des fois plus que cela.

23        A l’heure la plus sombre, alors Jésus vint. Pouvez-vous imaginer légion qui rentre chez lui, et qui retrouve l’endroit où il habitait. Sa petite femme avait vendu la maison. Il se demandait où elle se trouvait, alors, il a cherché de lieu en lieu. Finalement, quelqu’un a dit: «Elle habite là dans l’allée.»

            Et lorsqu’il va là-bas à une vieille petite cabane en tôles, lorsque les enfants l’ont vu venir, ils ont couru se cacher. Sa femme a pris son petit châle, et l’a porté, et elle est sortie par la porte. Et il a dit: «N’aie pas peur, chérie. N’ayez pas peur, les enfants. Venez accueillir papa. Je veux vous prendre dans mes bras. Je veux t’entourer de mes bras, chérie. Ta petite robe est déchirée.»

            Oh ! elle a dit: «Qu’est-ce qui est arrivé?»

            Il a dit: «Jésus est venu. C’est ce qui a produit le changement. Oh ! ma femme, mes enfants, venez. C’était l’heure la plus sombre. Les démons me tourmentaient, et puis Jésus est venu.»

24        Oh ! en ces heures sombres, un homme était couché à la piscine, cela faisait bien des années, environ trente-huit ans qu’il avait cette infirmité. Et on l’avait amené à la piscine. Il se faisait vieux. Et un grand nombre de gens étaient couchés là. Et il nous est rapporté que les gens se donnaient des coups de couteau pour essayer d’entrer le premier dans la piscine.

            Et ce pauvre homme n’avait aucune chance. Il n’y avait pas un jeune homme qui pouvait repousser les gens pour qu’il entre dans la piscine. Et il était couché là après avoir souffert pendant trente-huit ans. Les médecins l’avaient abandonné, rien ne pouvait être fait. Et il n’avait aucun bien à part un petit grabat sur lequel il était couché. Juste à l’heure la plus sombre de sa vie, puis voilà Jésus venir, et Il dit: «Prends ton lit, et rentre chez toi.»

            Oh ! cela amène le coeur humain à crier: «Alléluia !», quand vous y pensez. L’heure la plus sombre...

25        Il y avait un vieux mendiant aveugle, comme nous le disions hier soir, qui s’asseyait près de la porte de Jéricho, il avait perdu tout espoir. Il était aveugle, il n’avait aucune chance. Son âge était contre lui; les gens étaient contre lui; tout semblait être contre lui. Et juste pendant qu’il était assis là à l’heure la plus sombre, alors Jésus vint. Et cela changea ses ténèbres en lumière. Tout semble bien marcher lorsque Jésus vient.

            Bien plus tard, après la résurrection, un petit groupe de disciples découragés s’étaient réunis à différents endroits. Pierre a dit: «Eh bien, je vais aller pêcher. Je suis très découragé. Comment est-ce possible que Celui que j’ai vu appeler Lazare à sortir de la tombe, comment est-ce possible, alors que je me tenais là et que j’ai vu la femme de Naïn, son unique fils mort, et Il a posé la main sur le cercueil et Il a dit: ‘Jeune homme, lève-toi !’ et j’ai vu celui-ci revenir à la vie... je suis un témoin oculaire, j’ai vu Lazare, après qu’il était mort depuis quatre jours, son visage et son corps étaient enveloppés d’un linceul, et il est sorti de la tombe.»

            «Je L’ai vu changer l’eau en vin. Je L’ai vu toucher un lépreux qui était blanc comme neige, et en quelques minutes ses joues resplendissaient de santé. Comment pouvait-il se faire qu’Il soit suspendu sur la croix, Son visage couvert de crachats de moqueries de soldats? Comment pouvait-il se faire qu’Il puisse étendre Ses mains, et qu’on puisse y planter des clous? Comment pouvait-il se faire qu’Il permette qu’une couronne d’épines soit posée sur Sa tête, et qu’on croise Ses pieds, et qu’Il les laisse enfoncer des pointes dans Ses pieds?»

26        «Comment pouvait-Il être là à se rouler après qu’on lui ait lacéré le dos avec un martinet au point que les côtes se voyaient? Comment pouvait-Il les laisser Le traiter de la sorte? Comment a-t-Il pu être suspendu là entre les cieux et la terre et que le Sang dégoulinait de Son corps, et laisser ces sacrificateurs moqueurs, ses ennemis jurés, passer par là et Lui parler avec insolence? Comment pouvait-Il laisser un soldat romain Lui bander la tête et Le frapper, et dire: ‘Eh bien, Toi qui prophétises, et qui peux prédire des choses, et–dis-nous qui T’a frappé. Nous Te croirons?’»

            «Comment cela pouvait-il se faire? Comment pouvait-il se faire qu’Il laisse ce souverain sacrificateur s’avancer là et dire: ‘Descends de la croix, si Tu es le Fils, et nous Te croirons.’ Comment pouvait-il se faire qu’une Glorieuse Personne comme celle que nous croyons être le Fils de Dieu puisse passer par de tels tourments et un tel châtiment et rester silencieuse?»

27        «Oh ! c’était une heure sombre, c’était 1”heure la plus sombre qu’ils eussent jamais vue. Et voir ces gens retirer ces clous (après L’avoir vu pencher la tête et mourir), et on a pris Son Corps et on L’a placé dans la tombe de Joseph d’Arimathée, comment était-ce possible? Lorsqu’Il a vu ce grand rocher placé là-bas, et que le sceau romain a été apposé dessus, comment était-ce possible?» Il était très découragé. Il a dit: «Je crois que je vais tout simplement aller pêcher.»

            Et les autres disciples ont dit: «Eh bien, nous irons avec toi.»

            Et toute la nuit, dans leur découragement, ils avaient tiré le filet et n’avaient rien attrapé. Le Seigneur était parti. Il semblait que tout était parti. Ils n’arrivaient même pas à attraper un poisson. Juste à l’heure la plus sombre, Quelqu’Un s’est tenu sur le rivage et a dit: «Enfants, n’avez-vous rien à manger?»

28        Sur le chemin d’Emmaüs, en ce premier matin de Pâques alors que toute la terre était en floraison et que des bourgeons poussaient, que les abeilles bourdonnaient, en ce beau matin d’avril, les disciples ne se doutaient pas qu’Il était ressuscité des morts, et qu’Il avait participé à la résurrection. Et comme Cléopas et son ami qui étaient en route vers Emmaüs, très découragés, ils méditaient cependant sur les Ecritures.

            Avez-vous remarqué, pendant qu’ils parlaient des Ecritures, Il est apparu. Et pendant qu’ils étaient en route, à l’heure la plus sombre qu’ils eussent jamais connue, quand tout espoir avait disparu, c’est à ce moment-là que Jésus vint sur la scène, mais eux ne L’ont pas reconnu.

            Et je suis sûr que c’est la faute de beaucoup d’églises aujourd’hui. Jésus est ici, mais les gens ignorent cela. Ils ne s’en rendent pas compte. Et dans cette grande heure dans laquelle nous vivons, en ce jour où le monde dénominationnel se rassemble pour former la marque de la bête, quand la confédération des églises les a tous englouties, toutes les dénominations, et en cette heure où même nos frères du Plein Evangile sont en train de se diviser, de se quereller, de se battre, de se tirailler, et ils se mettent dans tous leurs états sur de toutes petites divergences sur les Ecritures, et ils se séparent tous, et–et ils deviennent singuliers, et appellent des disciples, je commence à penser que c’est plus pour un gagne-pain que pour sauver des âmes.

29        Mais, vous savez quoi? Au beau milieu de cette heure la plus sombre, juste au moment où on–on promulgue un ordre dans les tribunaux aujourd’hui, disant que tous ces petits prédicateurs qui ne font pas partie de la confédération des églises ne pourront plus diffuser des émissions à la radio, et qu’ils ne vont plus avoir des émissions à la télévision, et qu’on ne leur autorisera plus...

            Qu’est-ce? Ce n’est qu’une jalousie mesquine. Ils essaient d’arrêter le Message de Dieu. Ils essaient d’éloigner ceci des gens. Ils ignorent que c’est ce qu’ils essaient de faire. Ils ne se rendent pas compte de ce qu’ils font. Mais Jésus a dit qu’un temps viendrait où ils chercheraient même à vous tuer, pensant rendre un culte à Dieu. Mais, frère, ce qui soulage, c’est qu’au beau milieu de cette heure la plus sombre, Jésus vient, et Il prouve qu’Il est vivant.

30        Je crois qu’Il est ici ce soir. Et je crois qu’Il peut–qu’Il nous prouve jour après jour et soir après soir, qu’Il est avec nous. Alors, qu’ils lancent toutes les bombes atomiques qu’ils veulent, ça les regarde. Je sais une seule chose: mon espoir n’est bâti sur rien d’autre que le Sang et la justice de Dieu. Quand tout cède autour de mon âme, alors Il est tout mon espoir et mon appui. Car sur Christ, le Roc solide, je me tiens, tout autre terrain n’est que du sable mouvant.

            Prions. Notre Père céleste, alors que nous venons à Toi ce soir, avec des coeurs reconnaissants, car malgré toutes nos divergences et tous nos petits scrupules et nos mesquineries enfantines, Tu es venu vers nous de toute façon, Tu es venu nous visiter. Et Tu es notre Hôte.

            Oh ! quel traitement nous devrions Te réserver, de savoir que c’est le seul espoir pour l’humanité, et Te voici ce soir dans notre petite barque alors qu’elle est ballottée d’église en église, d’un endroit à un autre? Mais en cette heure sombre Tu viens vers nous. Et nous Te sommes reconnaissants.

            Et maintenant, Seigneur, je prie, s’il y a des pécheurs dans cette salle, que cette soirée soit la soirée où ils reconnaîtront que Tu es ici et que Ta Présence est ici, que Ton Esprit est ici, et que Tu veux qu’ils viennent à Toi. Exauce la prière de Ton serviteur, alors que je demande ceci au Nom de Jésus. Amen.

31        Maintenant, mes chers amis, comme ma mère me le disait toujours, les paroles ne signifient rien à moins qu’elles aient un sens qui peut être prouvé. Toutes les prédications que je pourrais apporter, ce ne serait que comme un commissaire-priseur ou quelque chose d’autre qui peut faire du bruit ou prêcher sur tout ce qu’ils veulent, à moins que Dieu confirme ce qu’Il a promis de faire.

            Et puis, c’est la prédication du prédicateur, mais lorsque Dieu vient prouver que ce qu’a dit le prédicateur est juste, alors ne pas croire est un péché. Qu’est-ce que le péché? C’est l’incrédulité. Le fait de fumer, boire, prendre du tabac, parier, commettre adultère, ce n’est pas cela le péché. Ce n’est pas le péché. Ce sont les attributs de l’incrédulité. La raison pour laquelle vous faites cela, c’est parce que vous ne croyez pas. C’est la raison pour laquelle vous faites cela.

32        Si vous croyez en Christ, vous ne feriez pas cela, parce que vous êtes né de nouveau lorsque vous croyez. «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, qui croit à Celui qui M’a envoyé, a (temps présent) la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Ce sont les propres Paroles de Jésus.

            Et puis, lorsque vous croyez au Seigneur Jésus, quand vous L’acceptez comme votre Sauveur personnel, le Saint-Esprit vous baptise alors dans le corps des croyants pour confirmer cette foi, et alors, vous devenez un véritable enfant de Dieu, rempli du Saint-Esprit, prêt pour l’Enlèvement. Vous n’êtes pas simplement une vierge, mais une vierge qui a de l’huile dans sa lampe, prête à partir. Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions.

33        Maintenant, ce soir nous allons appeler quelques malades ici à l’estrade afin de prier pour eux. Et maintenant, j’aimerais poser une question. Y a-t-il quelqu’un ici qui n’a jamais assisté aux réunions auparavant? Voulez-vous lever la main? Quelqu’un... Que Dieu vous bénisse. C’est très bien. Merci d’être venu.

            J’aimerais dire ceci, mes amis. Je ne suis pas un guérisseur. Je ne peux pas guérir les gens. Je ne crois pas qu’il existe un homme, un médecin, un hôpital, un médicament qui peut guérir les gens. Je crois que la guérison relève de Dieu seul.

            Eh bien, un médecin peut ôter une obstruction, il peut remettre un os en place, il peut arracher une dent, il peut faire l’ablation d’une tumeur. Mais cela ne guérit pas. Cela ne fait qu’ôter l’obstruction. C’est Dieu qui guérit. La guérison est une création. Il s’agit de créer et de reconstituer. Et aucun médicament ne peut reconstituer votre corps. Seul Dieu peut le reconstituer. C’est juste. C’est Dieu seul qui guérit.

34        Mais Dieu a envoyé dans l’Eglise cinq différents dons: les apôtres, les prophètes, les docteurs, les évangélistes, les pasteurs. Ces dons sont pour le perfectionnement de l’Eglise. Voilà Sa preuve, l’Esprit qui est à Son service, envoyé à l’Eglise pour rassembler le Corps de Christ.

            Et oh ! j’aimerais vous demander cette seule chose: si Christ est vivant, s’Il est vivant ce soir, pas mort mais vivant, et qu’Il vienne juste ici et fasse les mêmes choses qu’Il avait accomplies lorsqu’Il était ici sur terre, ce sera une preuve parfaite montrant qu’Il est vivant.

            Eh bien, pour moi cette Bible est... soit Elle est la vérité, soit Elle ne l’est pas. Soit je suis un homme honnête, soit je ne le suis pas. Soit vous êtes un chrétien, soit vous ne l’êtes pas. Voyez-vous ce que je veux dire? Eh bien, si ceci n’est pas la Bible, si c’est juste comme le Coran, oublions cela. Continuez votre chemin, mangez, buvez, et réjouissez-vous, car demain vous mourrez.

            Mais si c’est la Bible, adoptons Cela, car c’est le seul Livre qui vous dit d’où vous venez, qui vous êtes, et où vous allez. Et c’est votre foi dans Cela qui déterminera le lieu où vous passerez votre destinée éternelle. Croyez en Lui; ayez foi en Lui.

35        Et la Bible déclare que Jésus est ressuscité des morts. Et Jésus a dit après être ressuscité des morts: «Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde...» Eh bien, ce monde-là, c’est le mot cosmos, cosmos signifie l’ordre du monde, l’église, la prétendue église. «Le monde ne Me verra plus.»

            Pensez-y, mes amis, avant que nous commencions la ligne de prière. Il y a ce soir à Phoenix des gens qui ne croient pas en Jésus-Christ, peu importe ce qu’Il peut faire. Savez-vous que la Bible dit qu’ils sont nés pour cette condamnation? C’est juste. Dieu ne veut pas que quiconque périsse, mais étant Dieu, Il savait qui périra et qui ne périra pas. Il ne veut pas que les gens périssent. Mais ils périront de toute façon.

            Pour être Dieu, Il connaissait chaque puce, chaque mouche, chaque moustique, chaque personne, tout le reste qui existerait sur la terre, avant même que la terre fût créée. Si ce n’est pas le cas, Il n’est pas Dieu. C’est juste. Mais Il le sait.

36        Et pour vous qui avez reçu ce privilège, que Dieu puisse frapper à votre coeur, et vous accorder l’occasion d’accepter, et de faire un choix, et qu’ensuite vous rejetiez cela... Frère, je dis ceci avec respect, mais l’enfer ne suffit pas. C’est juste. Pour une personne qui se rend compte que Jésus-Christ, l’unique espérance de la Vie Eternelle...

            Que peut... Pouvez-vous espérer que votre travail vous donne la Vie Eternelle? Pouvez-vous placer votre espérance dans votre papa ou dans votre maman? Pouvez-vous placer votre espérance dans votre femme, dans votre mari? Pouvez-vous placer votre espérance dans votre popularité? Pouvez-vous placer votre espérance dans votre société? Pouvez-vous placer votre espérance dans votre église? Pouvez-vous placer votre espérance dans votre pasteur? Pouvez-vous placer votre espérance dans un évangéliste? Non, non. Dieu seul peut vous accorder la Vie Eternelle.

            Et pourquoi voulez-vous vous accrocher à ces choses qui sont mondaines, chancelantes, défaillantes, même à votre pasteur, même à l’église, même à l’organisation, même à vos associations et tout? Pourquoi voulez-vous vous accrocher à cela, alors que le Christ vivant est ici pour vous donner la Vie Eternelle, avec une promesse qu’Il a faite sous serment de vous ressusciter au dernier jour? Et vous rejetteriez cela...? Soyez sûrs de comprendre. Et je crois ce soir...

37        Vous savez quoi? Laissez-moi vous dire ceci, avec un–du fond de mon coeur. Un jour, avant longtemps, chaque personne ici se tiendra avec moi devant Christ.

            Et savez-vous que notre voix ne meurt jamais? Savez-vous que nos pensées au Ciel crient plus fort que notre voix sur terre? Et lorsque Dieu déploiera là-bas l’écran de Son grand radar, et que vos pensées que vous avez pendant cette réunion ce soir vibreront contre cela, qu’est-ce qui arrivera ce jour-là? Pensez simplement à cela. Pensez-y, madame. Pensez-y, monsieur. Soyez sincères.

38        Maintenant, nous allons demander aux gens de venir afin que l’on prie pour eux. Et j’aimerais vous demander ceci avant que je le fasse. Si Christ fait les mêmes choses sur l’estrade ce soir...

            Pour votre bien, allez-vous croire qu’Il est ressuscité des morts, s’Il fait les mêmes choses qu’Il faisait avant sa crucifixion, et Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Je serai avec vous, même en vous. Les oeuvres même que Je fais, vous les ferez aussi.» A-t-Il dit cela?

            A-t-Il dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus»? Mais Il a dit: «Mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous (pendant combien de temps?) jusqu’à la fin du monde.» Tout le long... Le monde n’est pas encore arrivé à la fin.

39        Et Christ est toujours avec Ses croyants. Le monde continue de dire: «Ça ne vaut rien...» Ils ont peur d’examiner la Parole. C’est pourquoi les pharisiens ne croyaient pas en Lui. Ils avaient leurs propres petits dogmes. Ils ont manqué de voir cela. Jésus a dit: «Si vous M’aviez connu, vous auriez connu Mon jour. Esaïe a parlé de Moi», il a dit les choses qu’Il allait faire.

            Eh bien, Jésus a dit: «Les choses que Je fais, le... vous les ferez tout du long jusqu’à la fin du monde.» Qu’avait-II fait? Il a prêché la Bonne Nouvelle aux pauvres, aux nécessiteux. Il faisait parti du commun des mortels, Il était un Homme ordinaire. Il ne prétendait pas être un Guérisseur. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui guéris. Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres; c’est Mon Père qui habite en Moi. C’est Lui qui fait les oeuvres. Je ne fais rien à moins que le Père me le montre premièrement, ensuite Je vais le faire.» Est-ce juste? Et qu’est-ce que le Père Lui montrait?

40        Une fois, un homme était venu vers Lui; ils étaient dans une petite réunion de prière, son ami était allé le chercher et l’avait ramené. Et Jésus s’est tenu là, et II lui a dit où il se trouvait et qui il était. Et qu’ont dit ces pharisiens? Ils ont dit: «C’est Béelzébul, le diable.» Eh bien, si seulement ils avaient examiné cela!

            Maintenant, considérez ce Juif, Nathanaël. Lorsqu’il a vu cela s’accomplir, ce miracle être accompli, il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.» Cet homme a reconnu que c’était le signe du Messie. Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu», parce qu’Il a fait cela.

            Jésus a dit: «Parce que Je t’ai dit ce que ton–où tu étais, ou qui tu étais. (Je t’ai dit que tu étais un chrétien ou un croyant, comme nous le dirions) Me crois-tu? Tu verras de plus grandes choses que celles-ci.»

41        Et puis, une petite femme de Samarie vint une fois. Il s’est tenu là et lui a parlé pendant quelques minutes, Il a découvert son problème. Il a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est juste. Tu en as eu cinq. Celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. En cela tu as dit vrai.»

            Maintenant, écoutez ce qu’elle a dit. Eh bien, elle n’était pas juive; elle était une Samaritaine. Cela avait accompli... Elle a dit: «Eh bien, Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons, nous les Samaritains, nous savons que lorsque le Messie viendra, Il fera ceci. (C’était le signe du Messie.) Nous savons que lorsque le Messie viendra, Il nous annoncera toutes choses.» Mais elle ne comprenait pas qui Il était.

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit telle et telle chose. Ne serait-ce pas le Messie même?» Si c’était là le Messie pour les Juifs, les Juifs honnêtes, si c’était là le Messie pour les Samaritains, les Samaritains honnêtes, c’est le signe du Messie pour les gens des nations, les gens des nations honnêtes, pas les membres de l’église des nations, les gens des nations honnêtes, ceux qui sont honnêtes de coeur, qui examinent la Parole de Dieu et qui voient que c’est vrai.

42        Maintenant, Dieu notre Père, c’est entre Tes mains. Et je Te prie de guérir ce soir chaque personne qui est dans Ta divine Présence. Et ce tas de mouchoirs qu’on a posés ici dans ce petit paquet, ô Dieu, ils iront là-bas de l’autre côté du désert et partout dans le pays. Peut-être qu’ils représentent de petits enfants malades, un pauvre vieux papa aveugle assis dans une pièce quelque part, peut-être une mère malade à l’hôpital... Tu sais tout au sujet de ceux qu’ils représentent. Et, ô Dieu, alors que nous envoyons ce symbole, nous l’envoyons parce que nous croyons que le diable est vaincu, ainsi que chaque oeuvre qu’il accomplit.

            Et, ô Dieu, un écrivain a dit que lorsque la mer Rouge faisait obstacle à Dieu, Son Eglise venait en marche... Oh ! Toute la nature doit avoir tremblé lorsqu’elle les vit acculés dans un coin, mais Dieu baissa le regard à travers la Colonne de Feu, et la mer prit peur, et elle fit reculer ses murs et ouvrit un sentier que Dieu avait vu au fond de la mer. Et Il fit traverser la mer Ses enfants à sec.

            Ô Dieu, lorsque ces mouchoirs seront posés sur les malades, que Tu puisses regarder à travers le Sang de Jésus et voir la promesse, et que le diable prenne peur et recule. Et que Tes enfants, qui sont dans ce voyage, traversent vers le pays de la bonne santé et de la force, par la promesse de Christ. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

43        Maintenant, nous allons... Quelle série avons-nous appelée? N’était-ce pas la série U, hier soir, je crois? Je crois que c’est juste. Appelons ce soir à partir de–commençons à 75. Qui a U-75? Commençons à partir de là. Vous l’avez, madame? Très bien. 75, 76? Monsieur, est-ce vous qui l’avez, juste par ici? 77? 78, qui a la carte de prière 78? La série U, il y a un U écrit dessus et 78. Voulez-vous lever la main? Est-ce cette dame-ci le 78? 79? Cette autre dame a-t-elle le 79? 80, levez la main afin que je voie. Avez-vous le 80, monsieur? Très bien. 81? Voulez-vous lever la main? Qui a le 81? Très bien, madame. 82? Très bien. 83? Très bien. 84? Très bien. 83? 84? Très bien, monsieur, 84. 85? 86? Très bien, 87? 88? 89? 89? Mais... je ne le vois pas.

44        Peu importe le nombre de gens. Parfois nous arrivons à les prendre tous, parfois non. Qui–qui n’a pas une carte de prière et est malade? Faites voir la main. J’aimerais les voir. Très bien. Par ici, qui n’a pas de carte de prière? Parfois, j’aimerais voir... Les gens qui ont des cartes de prière, je ne–nous ne voulons pas qu’ils... Vous savez, je–je ne... avez encore une chance d’entrer dans la ligne de prière. Voyez-vous? Mais ceux qui n’ont pas...

            Très bien. Combien croient que Jésus est toujours le même hier, comme lorsque cette femme était passée ou plutôt lorsqu’Il passait et que cette petite femme est allée et a touché Son vêtement? Et elle s’est retirée... Maintenant, souvenez-vous, toute l’assemblée Le serrait, mais cette petite femme a touché Son vêtement, ensuite elle s’est éloignée et s’est tenue dans la foule, qui était peut-être deux fois plus nombreuse que celle-ci. Jésus a dit: «Qui M’a touché?»

            Maintenant, écoutez cette histoire: «Qui M’a touché?» Tout le monde a nié cela: «Ce n’est pas moi. Ce n’est pas moi.» Peut-être qu’elle aussi a nié: «Ce n’est pas moi.» Mais Il avait une puissance. Il a dit: «Je me suis affaibli.»

            Pierre a dit: «Eh bien, Seigneur», il L’a repris, il a dit: «C’est toute la foule qui Te touche, et pourquoi dis-Tu: ‘Qui M’a touché?’»

            Il a dit: «Mais Je sens que Je suis devenu faible.»

            Voyez? Elle avait utilisé le don de Dieu. Dieu ne Lui avait rien montré. C’est elle qui avait fait cela. C’est ce qui se produit ici. C’est vous qui faites cela. Alors, Jésus a regardé autour de Lui jusqu’à ce qu’Il l’a répérée. Et Il a dit... Elle avait une perte de sang, et elle était... Sa foi l’avait sauvée, est-ce ce que dit la Bible? «Ta foi t’a guérie.»

45        Or, la Bible dit dans Hébreux: «Jésus-Christ est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.» Combien savent que la Bible dit cela? Eh bien, comment le saurez-vous, s’il n’y a pas un moyen de vous le faire savoir? Il pourrait être... S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il opère de la même façon. Est-ce juste? C’est de cette manière qu’Il s’y prend.

            Maintenant, regardez au Souverain Sacrificateur de notre confession, croyez de tout votre coeur, car Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités, et croyez. Maintenant, j’aimerais que vous tous qui êtes ici dans les fauteuils roulants...

46        Il y a quelques soirs, un ami, à Minnéapolis, dans le Minnesota, j’ai vu une personne clouée dans un fauteuil roulant, je ne sais pas depuis combien de temps. On a amené la femme à l’estrade. La pauvre créature, je pense, elle était, elle pensait que du fait qu’elle avait une carte de prière et qu’elle avait été appelée sur l’estrade, qu’elle allait être guérie. Et aussitôt qu’elle est arrivée à l’estrade, son fauteuil roulant a été retiré, et elle criait et courait partout.

            L’autre soir, je me tenais ici dans la salle, les gens me disaient qu’on avait amené sur l’estrade un petit bébé indien qui louchait. J’ignorais cela. Mais la vision de la femme qui avait le bébé a montré que le bébé louchait, et que lorsque j’ai baissé les yeux vers le bébé, ses yeux étaient aussi normaux que ceux de n’importe qui. Personne n’a prié, personne ne l’a touché, personne ici. Mais Dieu a touché le bébé. La Présence du Seigneur était ici pour guérir. Pourquoi a-t-il obtenu cela? C’était un bébé. Il n’a pas de superstitions, de callosités; et il ne se pose pas des questions comme nous. Vous vous tenez là, vous recevez simplement une vision de la chose; Dieu a guéri le bébé, sans aucune prière ni rien. Dieu l’a fait. C’est de cette manière que Dieu aime faire cela.

47        Ceci c’est un niveau plus élevé que l’imposition des mains. Vous direz: «Eh bien, Frère Branham, si on vous impose les mains...» Je sais. Frère Roberts, frère Allen, et tant d’autres frères dans le champ prient pour les malades, ils leur imposent les mains, peut-être qu’ils les oignent d’huile. C’est tout à fait conforme aux Ecritures. C’est parfaitement juste. Voyez, ils ont des dons de guérison. Ceci c’est un don prophétique. C’est pour atteindre tout le monde. C’est la manière dont les Juifs croient cela.

            Vous savez, Jaïrus a dit, là-bas, il a dit: «Viens imposer les mains à ma petite fille, et elle sera guérie.» C’était un Juif. Mais qu’a dit l’homme des nations? «Je ne suis pas digne que Tu entres sous mon toit. Dis seulement un mot; c’est tout.» Vous y êtes. Qu’est-il arrivé aux gens des nations? Ils ont reçu trop d’enseignements. C’est juste.

            L’homme des nations a dit: «Je suis soumis à des supérieurs.» Eh bien, remarquez ce qu’il a reconnu en Jésus. Il a dit: «Je suis soumis à des supérieurs. Si je dis à l’un: ‘Va faire ceci ! et il le fait. Il doit le faire parce que j’ai une autorité sur lui. Je dis à l’autre: ‘Viens ! et il vient. A celui-là: ‘Va ! et il va.» Il a dit: «Dis simplement un mot.»

48        Qu’a-t-il reconnu? Il a reconnu que chaque démon, chaque maladie, chaque maladie était sous l’autorité de Jésus-Christ, Il était le Maître de toute la situation. «Dis seulement un mot, et mon serviteur vivra. Je ne suis pas digne, Seigneur, que Tu viennes chez moi. Mais Toi, prononce seulement un mot, et mon serviteur vivra.» Jésus s’est retourné, et Il a dit: «Jamais Je n’ai trouvé une telle foi en Israël.» C’est juste.

            Oh ! j’aimerais que vous puissiez croire sans l’imposition des mains. Croyez simplement que la Présence du Seigneur est ici pour guérir les malades. Et si le Seigneur venait ici et vous prouvait que Sa Présence est ici, alors à qui la faute? A vous, c’est juste. Certainement. La Présence du Seigneur...

49        Maintenant, si je vous impose les mains et que je dise: «Eh bien, je vais faire ceci. Je vais... je...» Oh ! vous direz: «Frère Branham m’a certainement guéri. Mon gars, il a posé les mains sur moi. Oh ! je crois que c’est un homme de Dieu.» C’est frère Branham qui recevrait la louange.

            Mais si vous vous asseyez là et dites: «Seigneur Jésus, je T’aime.» Et que moi je ne vous touche même pas, alors frère Branham n’a rien à voir là-dedans. C’est Jésus qui reçoit la louange. Voilà. Voyez? C’est Lui que nous voulons louer: «Que Ton Nom soit loué !»

            Et la seule chose qu’Il peut faire par un don divin, s’Il nous le permet, nous pouvons prouver qu’Il est ici. Et puis, s’Il est ici, Sa Présence est ici pour guérir. Combien comprennent cela? Amen. Puisse-t-Il accorder cela.

50        Maintenant, bien sûr que vous comprenez. J’essaie d’amener mon manager ici, monsieur Moore, à apporter une prédication. Je suis enroué; ma gorge est en mauvais état; je n’ai pas eu une seule nuit de repos depuis octobre ou novembre. J’ai encore des semaines et des semaines devant moi. Et ensuite, peut-être, j’irai outre-mer et en Afrique, jusqu’au... partout, outre-mer, un tour complet du monde m’attend, et je suis enroué et faible...

            Frère Moore est un petit homme merveilleux. Nous l’aimons tous. C’est l’un des hommes les plus merveilleux que j’aie jamais rencontrés. Mais il dit: «Eh bien, Frère Branham, les gens aimeraient vous entendre. Les gens... Tenez-vous debout là et parlez-leur; les gens–les gens vous croient.» Je crois qu’il en est ainsi.

            Ainsi donc, j’essaie... En prêchant, bien sûr, cela amène cette autre onction-là. C’est une autre onction. L’une, c’est le don de la prédication, le docteur, le pasteur, l’évangéliste. Ce sont tous des dons à part. La prophétie, c’est un autre don; un voyant. C’est une autre onction. Mais Dieu, dans Sa grâce nous est venu en aide jusque-là. Je crois qu’Il le fera ce soir. Et s’Il le fait, alors cela prouvera que Sa Présence est ici.

51        Frère Branham n’a rien à voir là-dedans, rien du tout. Même les visions, je n’ai rien à voir là-dedans. C’est vous-même qui provoquez cela. Bien, vous direz: «Pourquoi faites-vous monter les gens sur l’estrade?» Parfois, je ne les fais même pas monter ici. Je peux vous prouver maintenant même qu’il n’est pas nécessaire que les gens soient sur l’estrade. Non, monsieur.

            Si la Présence du Seigneur est ici, alors Son don opère sans qu’il y ait quelqu’un sur l’estrade. Certainement. Ayez la foi et croyez. Croyez en Dieu. Ne doutez pas, mais ayez la foi. La Bible dit: «Si tu crois, tout est possible.»

            Si seulement l’assistance en arrivait à un point où la foi de chaque personne regardait tout droit au Calvaire... Ôtez-moi de la scène; regardez au calvaire. Je ne suis pas le Souverain Sacrificateur; c’est Lui le Souverain Sacrificateur. Je n’ai rien à faire, sinon m’abandonner. Cette chose-ci est parfaitement muette s’il n’y a pas une voix pour parler à travers cela. Moi aussi. Comment pourrais-je connaître... Il n’y a pas une personne ici qui...

52        Je crois que j’ai reconnu frère Stadsklev tout à l’heure, Julius Stadsklev, un capitaine de l’armée. Il était ici quelque part. C’est un grand ami à moi, c’est lui qui a écrit le livre, le livre sur l’Afrique. Je l’ai aperçu il y a un instant. Et cela, du mieux que je sache... Oui, Frère Julius, je suis heureux de vous voir, vous et soeur Stadsklev, là ce soir.

            Et à part eux, en regardant dans l’assistante, à ce que je sache, je ne connais personne. Et vous savez que je ne... Si Julius a quelque chose qui cloche chez lui, lui ou soeur Stadsklev, j’ignore de quoi il s’agit. C’est juste. Dans la ligne de prière, je pense que je suis un inconnu, bien entendu je... Frère Brown, ces hommes-ci, je les connais. Mais je veux que vous croyiez. Et puisse la Présence du Seigneur venir guérir les malades.

53        Qu’en pensez-vous, vous la petite dame mexicaine assise là au bout, qui souffrez de la nervosité, vous qui êtes assise là, portant un foulard autour de la tête, croyez-vous de tout votre coeur? Ces derniers temps vous êtes extrêmement nerveuse, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez la main. Très bien. Eh bien, votre foi vous a guérie. Vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante.

            Maintenant, êtes-vous obligé d’en avoir une, que quelqu’un soit sur l’estrade? Cette femme était assise là, croyant que c’est la vérité. Observez-la, comment ele pleure. Elle n’y peut rien. La Lumière est descendue juste au-dessus d’elle. C’est ce qui fait qu’elle se comporte comme cela. Voyez? Cette femme était tellement nerveuse que le diable essayait même de lui dire qu’elle avait traversé la ligne de démarcation. C’est juste. Des ténèbres l’environnent; mais maintenant, elle est guérie.

            Le petit Mexicain juste derrière elle, qui souffre du dos, croyez-vous que Dieu va vous guérir, monsieur? Le croyez-vous? Très bien, monsieur. C’est ce que vous aviez, pas vrai? Levez la main si c’est vrai. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous et votre mal de dos vous a quitté. Amen.

54        Voici une dame assise juste ici, juste ici, en train de me regarder, une Blanche qui regarde vers moi. Elle souffre aussi du dos. Si elle croit de tout son coeur, elle peut être guérie. Si vous le croyez. Cela dépend de vous. Dieu–Dieu le fera, si vous l’acceptez et croyez de tout votre coeur, Dieu va vous guérir.

            Qu’en penses-tu, jeune fille? Crois-tu de tout ton coeur? Si tu crois, 1’épilepsie va te quitter. Tu n’auras plus jamais à en souffrir. Crois-tu que Dieu va te guérir? Veux-tu croire en Lui, Lui faire confiance? Si tu crois, cela ne te dérangera plus jamais, si tu peux croire de tout ton coeur.

            L’arthrite va vous quitter, monsieur, si vous croyez de tout votre coeur. Amen. Voyez? Il n’est pas nécessaire qu’on ait des gens ici sur l’estrade. Il vous faut simplement avoir la foi.

            Que pensez-vous de cette maladie de la gorge, croyez que cela va vous quitter, que vous serez guérie, la dame assise juste là à côté? Lorsque cet homme a levé la main, Cela est passé à vous et j’ai vu cette Lumière en train de se déplacer; Cela est monté là au balcon vers cette fille qui est assise là, et Cela est redescendu de nouveau vers vous. Vous souffrez de la gorge. C’est juste. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Cela vous a quittée maintenant. Amen. Ayez foi en Dieu.

55        Approchez, madame. Croyez-vous de tout votre coeur? Je vous suis inconnu. Je ne vous connais pas. Mais Dieu vous connaît. Si Dieu me révélait ici même quel est votre problème, soyez le juge, croyez-vous que vous pourrez alors accepter cela? Croirez-vous alors que Sa Présence est ici?

            L’assistance croira-t-elle de tout son coeur? Eh bien, cette dame m’est inconnue. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Mais Dieu vous connaît. Vous savez que je suis un inconnu. Est-ce juste? Si c’est juste, afin que les gens le sachent, levez la main. Cette dame est déjà ointe. La Lumière est sur cette dame, parce qu’elle est une chrétienne, une croyante.

            Je vois cette petite dame, tout inquiète au sujet de quelque chose. Elle est en train de prier. Elle fait des va-et-vient. Elle a aussi des ennuis avec ses poumons. C’est juste. Je vois quelque chose... Vous êtes sur le point de... Non, on vous a opérée. C’est pour une affection de la vessie que vous avez été opérée. C’est juste.

            Et puis, vous vous inquiétez au sujet de quelqu’un, d’un fils d’environ vingt et un ans, un mauvais esprit s’est emparé du garçon. C’est juste. Je ne peux pas guérir. Mais vous ne pouvez pas cacher votre vie maintenant. Voyez? On est dans Sa Présence. C’est vrai. Allez-vous croire en Dieu pour cette chose?

            Ô Dieu du Ciel, envoie Ta miséricorde sur cette femme, et puisse-t-elle partir d’ici et être guérie, et que les larmes qui sont sur ce mouchoir soient un signe pour son fils. Je prie au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, ma petite dame. Partez en croyant...?...

56        Maintenant, ne doute pas. Aie la foi. Ce n’est pas grave, fiston. Ne t’inquiète pas. Cela va te quitter. Crois tout simplement maintenant. Tu es un merveilleux jeune homme. C’est bien dommage. Ne t’inquiète pas, tu vaincras cela maintenant, si tu crois tout simplement.

            Je ne vous ai jamais vu de ma vie, à ce que je sache, mais Dieu vous connaît. Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. Cet homme n’est même pas, il n’est même pas ici. Il vit en Californie. Cet homme est votre frère. Et il y a quelque chose qui cloche avec lui, et cela–cela a un rapport avec cette même chose ci. Votre frère avait quelque chose comme la grippe, cela lui a fait du mal, cela a affecté son esprit. C’est juste. C’est vrai.

            Croyez-vous qu’il sera– qu’il sera guéri? Dans ce cas, allez dire à monsieur Buford qu’il sera guéri. Au Nom du Seigneur Jésus, qu’il reçoive sa guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse. Allez en croyant de tout votre coeur.

            Si tu peux croire, tout est possible. Maintenant, voici encore la même chose. Non, c’est ici. C’est... Vous souffrez de la nervosité et vous avez un problème au niveau des intestins. C’est juste. Et votre mari aussi a un problème au niveau des intestins et souffre d’une maladie mentale. C’est l’exacte vérité. Voilà ce démon qui essaie de se déplacer par là. Très bien, prenez ce mouchoir-là et mettez-le sur lui. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il soit guéri.

57        Ayez foi en Dieu, Croyez-vous que Sa Présence est ici pour guérir? Je n’ai rien à voir là-dedans.

            Maintenant, je ne vous connais pas. Mais Dieu vous connaît, n’est-ce pas? Croyez-vous cela? Très bien. Vous souffrez de la nervosité. Vous avez quelque chose qui cloche sur votre côté. C’est juste. Vous souffrez du coeur. C’est juste. Oui, monsieur, vous avez un coeur qui palpite. Laissez-moi vous dire, si vous croyez que je suis le prophète de Dieu, croyez-vous? Vous voulez que je prie pour votre petit-fils, parce qu’il a un problème de nerfs? C’est juste, n’est-ce pas? Alors, me croyez-vous? Dans ce cas, au Nom de Jésus, recevez ce que vous demandez. Amen.

            Ayez foi en Dieu. Si tu peux croire... Eh bien, qu’est-ce, mes amis? Ce n’est pas moi. C’est la Présence du Seigneur. Il est ici pour guérir les malades, pour vous guérir. Croyez en Lui.

            Eh bien, votre problème se trouve dans votre bras et dans votre dos. Et ça fait environ deux jours, vous êtes tombé et vous vous êtes encore fait mal partout. C’est juste. N’est-ce pas étrange pour vous? De toutes les façons vous n’êtes pas d’ici. Vous venez de Glendale. Vous vous appelez Marie, n’est-ce pas? Rentrez chez vous, et soyez guérie. Au Nom du Seigneur Jésus.

58        Ayez foi en Dieu. Croyez-vous?

            Bonsoir, monsieur. Je ne vous ai jamais vu dans ma vie, n’est-ce pas, à ce que je sache. Vous m’avez déjà vu, mais moi, je ne vous ai jamais vu. Eh bien, voici une chose que j’aimerais vous dire: vous étiez assis ici dans l’assistance il y a quelques soirées, vous avez accepté votre guérison d’un problème du coeur. C’est juste. Est-ce juste? Très bien. Et vous êtes ici maintenant pour quelqu’un d’autre, C’est votre beau-fils. C’est l’exacte vérité. Il a un problème de la moelle épinière. C’est l’exacte vérité. C’est un alcoolique. Et vous ignorez même où il se trouve. Est-ce juste? Croyez-vous que je suis Son prophète? Dans ce cas, la Présence du Seigneur est ici pour vous accorder votre requête. O Dieu, au Nom de Christ, qu’il reçoive cela. Amen. Que Dieu vous bénisse. Ayez la foi.

            Croyez-vous? Maintenant, mes amis, ceci pourrait tout simplement continuer à n’en point finir. Mais c’est... Je deviens faible. C’est l’exacte vérité. Qu’est-ce? C’est parce que c’est vous qui faites cela. C’est votre foi qui fait cela. Cela ne fait que tirer (Voyez?), cela ne fait que tirer.

59        Maintenant, cette dame-ci, je ne l’avais pas regardée du tout. Je ne saurais même pas vous dire si elle est une jeune femme ou une vieille femme. Si Dieu me montrait ici ce qui cloche chez cette femme, allez-vous croire de tout votre coeur? Très bien, madame, si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez rentrer chez vous et prendre votre souper, et cet ulcère dans votre estomac disparaîtra. Croyez-vous cela? Très bien, alors, allez prendre votre souper. Amen. Au Nom du Seigneur Jésus.

            Si vous croyez de tout votre coeur, la maladie de reins va vous quitter...?... Croyez-vous que vous allez guérir? Disons: «Gloire au Seigneur !» Croyez- vous que Sa Présence est ici? A quel point croyez-vous? De tout votre coeur?

60        Je me demande s’il y a un pécheur ici qui croit que Sa Présence est ici. Le croyez-vous? Croyez-vous qu’Il est ici? Ceci pourrait être l’heure la plus sombre pour vous, que vous ayez connue, maintenant même, mais si vous croyez de tout votre coeur, voulez-vous approcher et vous tenir à mes côtés juste un moment pour la prière? Voulez-vous le faire? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Venez carrément. Voilà la manière de faire. Venez carrément. Amen. Que Dieu vous bénisse.

            Qu’en est-il de vous, madame assise là? Voulez-vous approcher? Dieu vous guérira de cette mauvaise circulation sanguine dont vous souffrez, vous qui êtes assise là. Cela vous étonne-t-il? Vous avez une mauvaise circulation sanguine, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez la main. Très bien, venez vous tenir ici.

61        Très bien, pécheur, venez maintenant. C’est votre heure, rétrograde, vous membre d’église tiède, vous pécheur. C’est le moment pour vous de venir pendant que la Présence du Seigneur est ici. Allez-vous le croire? Inclinons donc la tête un instant.

            Ô Dieu, si ceci est la dernière réunion que Phoenix aura jamais eue, Tu as témoigné que Tu es vivant. Tu es ici. Ta Présence est ici pour accomplir la plus glorieuse guérison, pour guérir l’âme malade du péché, guérir celui qui est épuisé, pour faire entrer ceux qui sont indifférents, ceux qui ont adhéré à l’église et qui ne Te connaissent pas par l’Esprit. Ils ne sont jamais nés de nouveau. Ils ignorent ce que signifie avoir la paix, cette paix parfaite qui dépasse tout entendement. Je Te prie, ô Dieu, de chasser toute peur, d’amener ces gens maintenant même autour de cet autel, et d’accorder la guérison au Corps de Christ.

            Et Seigneur, s’il y en a ici qui sont tellement liés à leurs églises et tellement indifférents qu’ils ne veulent pas communier avec l’autre groupe, ô Dieu, je Te prie de les amener à avoir honte d’eux-mêmes; et s’ils sont coupables de ce péché, puissent-ils venir à l’autel maintenant et confesser eux-mêmes. Et qu’il n’y ait un brisement à Phoenix, un rassemblement à l’ancienne mode, une effusion du Saint-Esprit à cause de Ta Présence. Accorde-le, Seigneur.

62        Maintenant, je vous demande de venir, avec vos têtes inclinées et dans la prière. Et pendant que la chorale chante avec nous, voulez-vous venir? Venez, pécheur; j’aimerais que vous vous teniez autour de l’autel, vous rétrogrades, et vous qui parlez du mal des autres. J’aimerais que vous veniez vous tenir autour de l’autel.

            Au Nom de Christ, si vous me considérez comme Son prophète, je vous dis ceci, qu’au Nom de Christ, vous payerez pour vos péchés, si vous quittez cette salle ce soir sans être venus ici et sans avoir mis des choses en ordre devant Dieu. Maintenant, si vous me croyez sur base de la vision, si vous croyez que Dieu m’a parlé, et que vous croyiez qu’Il parle par moi, venez à cet autel, si vous n’êtes pas en ordre avec Dieu. Chantons...?...

Tel que je suis, sans aucune défense,
Sinon que Ton Sang...

            Descendez ici du balcon. Venez. Descendez des balcons. C’est ça. Descendez carrément.

...que Tu m’invites à venir à Toi,
Ô... (Juste derrière par ici, descendez, maintenant même...)
Dieu...

63        Ecoutez, ami pécheur, vous qui êtes indifférent, vous êtes peut-être assis là au balcon, vous pensez peut-être que c’est une longue distance pour descendre jusqu’à cet autel, mais, frère, c’est aussi une longue distance qui sépare l’enfer du Ciel. Venez donc. Levez-vous de votre siège maintenant. Si vous êtes convaincu... Si vous ne l’êtes pas, je ne sais pas s’il y a encore de l’espoir pour vous ou pas.

             Après que Christ est venu et qu’Il a confirmé Sa Parole, qu’Il s’est révélé, qu’Il est présenté comme ceci, et qu’Il a accompli ce qu’Il accomplit, le Dieu vivant, Celui qui est ressuscité des morts et qui se tient ici... Et si je–vous me considérez comme Son serviteur et que je vous supplie de tout mon coeur, ma pauvre voix enrouée retentira à l’heure de votre mort, quand vous serez sur votre lit de mort. Cela vous hantera au travers des âges. Venez à l’autel pendant que nous chantons.

Tel que je suis, sans aucune défense (Ne voulez-vous pas venir?)
...que Ton Sang a été versé pour toi,
Et que Tu m’invites à venir à Toi,
Ô...

            C’est... Quittez carrément le balcon, descendez directement; nous allons vous attendre. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, les enfants.

... je viens !

            (Fredonnons cela maintenant.) [Frère Branham se met à fredonner.–N.D.E.]

64        Oh ! allez-vous Le repousser pendant que Sa Présence est ici? Viens carrément, jeune homme. Que Dieu te bénisse. Cette seule âme qui s’avance là pourrait être un prédicateur de l’Evangile, qui répandra le Message du Seigneur Jésus dans tout le pays. Venez carrément, monsieur. Dieu... C’est juste, frère. C’est juste, soeur. Voici venir un homme qui porte son bébé. Il désire venir de toute façon, et ainsi que sa petite femme. Que Dieu les bénisse. Descendez carrément. C’est juste.

Ô Agneau de Dieu, je viens ! je viens !

65        Voici venir une pauvre Indienne; en voici une autre, qui pleure, qui descend. Ne voulez-vous pas venir? C’est juste, ma soeur Indienne. C’est pour quiconque veut. Venez carrément... C’est juste. Christ est mort pour sauver les pécheurs, peu importe qui ils sont. Ne voulez-vous pas venir maintenant? Comment pouvez-vous rester assis tranquillement, sachant que vous avez quelque chose sur le coeur et dans l’esprit? Comment pouvez-vous faire cela, de savoir que le péché vous a séparé des bénédictions de Dieu, et Sa Présence est ici? Si vous ne le croyez pas, je vous demande d’accepter cela.

            Maintenant, ce n’est pas quelque chose de fabriqué, une certaine psychologie. C’est le Seigneur Jésus ressuscité des morts depuis deux mille ans, et la preuve infaillible, la même vie qu’Il a vécue, Il la vit juste ici parmi vous ce soir.

66        Que Dieu te bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse, mesdames, là. Ne voulez-vous pas venir? Tel que je suis, et je n’attends pas que j’aie débarrassé mon âme d’une seule tache sombre. Ne voulez-vous pas venir? C’est juste, jeune homme, descend carrément. Que Dieu bénisse votre âme courageuse.

            S’Il m’exauce, si la puissance de Dieu a pu faire qu’un bébé aveugle ou plutôt qu’un bébé qui louchait ait les yeux droits juste ici sur cette estrade, faire que ces choses qui sont arrivées se produisent en se tenant ici et en prouvant par des preuves infaillibles qu’Il est ici, certainement qu’Il désire votre âme.

            Souvenez-vous tout simplement, demain matin, ça pourrait être trop tard. Ce soir à vingt-trois heures, ça pourrait être trop tard. Une ambulance pourrait hurler et le sang jaillir de vos veines, dans vos bras, et vous serez mort, Qu’a-t-il dit? «Si vous ne voulez pas M’accepter, que vous Me négligez, en ce jour où vous vivez, Je Me moquerai simplement de vous au jour de votre malheur.» Qu’en serait-il si vous êtes un membre d’église formaliste, froid, assis ici vous attendant à ce que l’église vous amène au Ciel? L’église ne fera que vous embrouiller. Seul Christ peut vous amener au Ciel.

67        Ça m’est égal, si vous êtes catholique, ça ne change rien. Si un catholique, si un chrétien, si un catholique est un chrétien et croit au Seigneur et qu’il soit né de nouveau, il ira au Ciel. Si c’est un méthodiste, ça ne change rien, un presbytérien, un luthérien, ou un pentecôtiste, peu importe...

            Oh ! vous direz: «J’ai parlé en langues.» Cela n’a rien à voir avec la chose. «J’ai crié.» Cela n’a toujours rien à voir avec la chose. Paul a dit: «Je pourrais parler les langues des hommes et des anges et cependant être perdu. Je pourrais avoir la foi pour déplacer des montagnes et cependant être perdu.» Ce n’est pas cela. Si l’amour de Dieu n’est pas dans votre coeur pour faire sortir tout ce qui est du monde, vous êtes perdu. C’est juste. Et le diable ne fait que vous séduire.

68        Maintenant, si vous croyez que je suis Son serviteur, si Dieu a confirmé par Sa Parole, par Son Esprit, que je vous dis la vérité, alors écoutez-moi. Demain pourrait être trop tard. Venez maintenant, pendant que nous chantons encore une fois Tel que je suis. Tout le monde maintenant. Voici votre dernier appel. Après cet appel, ça sera entre vous et Dieu. Moi, je suis disposé. Considérez ce bon et grand appel à l’autel, ici, des pécheurs qui se repentent. Ne voulez-vous pas venir vous joindre à eux? Venez maintenant pendant que nous chantons encore une fois. Très bien, soeur.

Tel que je suis, Tu recevras,
Oh ! ... (Que Dieu te bénisse, petit garçon) pardon,
...purifier, soulager;
Parce que (parce que vous faites quoi)... promesse je crois (je crois)
(Tu es ici, Seigneur. Je crois que Tu es ressuscité des morts. Oh ! Agneau de Dieu.) Je viens ! je viens !

            Frère Branham se met à fredonner.–N.D.E.] Venez carrément. Les gens viennent du balcon. Ils viennent peut-être à l’autel. J’aimerais qu’ils viennent carrément. Je vous attends, cher ami. Oh ! votre petit corps ne vaut pas grand-chose, mais cette âme vaut dix mille mondes. C’est la guérison à un plus haut niveau. C’est la guérison éternelle.

            Quand un homme est guéri ici sur l’estrade, il tombera de nouveau malade s’il vit longtemps. Mais quand un homme est sauvé ici, il a la Vie Eternelle et il ressuscitera au dernier jour. Voilà la différence. C’est la guérison éternelle. Ceci est une guérison temporaire. Mais Christ est ici, confirmant...

69        Maintenant, écoutez, a-t-Il confirmé cela? Tout d’abord Sa Parole le déclare; ensuite Il est venu; Il a parcouru l’assistance, Il a accompli des miracles et des prodiges, montrant qu’Il est vivant. Ensuite Il... J’ai fait un appel, parce qu’Il me l’a aussi dit. J’ai fait un appel à l’autel. Hier soir je ne l’ai pas fait. Ce soir Il m’a dit de le faire. Lorsque j’ai fait l’appel à l’autel, Il a dit: «Il y a des gens qui doivent venir.» J’ai fait l’appel à l’autel. «Nul ne peut venir à Moi, à moins que Mon Père l’attire premièrement.»

            Est-ce qu’Il est ici? Certainement. «Et tous ceux qui viennent à Moi, Je leur donnerai la Vie Eternelle, et Je les ressusciterai au dernier jour. Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»

70        Vous venez parce que Dieu vous a averti; vous avez accepté cela. Et vous, lorsque vous venez ici, et que vous inclinez la tête, que vous vous abandonnez à Dieu, et que vous vous repentez de vos péchés, vous naissez de nouveau. Alors là, vous êtes un candidat pour être baptisé dans l’Eglise par le Saint-Esprit, pour former le Corps de Christ. Il n’existe qu’un seul baptême; c’est le baptême du Saint-Esprit: «Nous avons tous été baptisés dans un seul esprit pour former un seul Corps.»

            Vous devenez un croyant, vous naissez de nouveau lorsque vous croyez. «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle», maintenant même. Mais Dieu vous baptise dans le Corps et vous met au service par le Saint-Esprit. Ceci, c’est ce que vous faites pour Dieu; ça, c’est ce que Dieu fait pour vous. Voilà la différence. Vous vous repentez et vous acceptez ce que Dieu a fait, ensuite Dieu vous accorde la chose suivante, qui est le baptême du Saint-Esprit.

            Pierre a dit le jour de la Pentecôte: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, et pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»

            Ceci–ceci est le même Evangile que Pierre a prêché le jour de la Pentecôte, les mêmes miracles, les mêmes prodiges, les mêmes choses, le même Jésus. Juste pour terminer maintenant, pour me rassurer que je me suis occupé de tout un chacun.

71        La Bible dit: «Il y aura un jour qui ne sera ni jour ni nuit.» La Bible dit-Elle cela? C’est vrai. «Mais vers le soir la lumière paraîtra.»

            Remarquez, cette Bible est un Livre de l’Orient. Géographiquement la lumière se lève à l’est; elle se couche à l’ouest. Et la civilisation a voyagé, de l’est vers l’ouest. Nous sommes maintenant sur la côte ouest, où l’est et l’ouest se rencontrent. Ecoutez, lorsque le soleil se leva dans les pays de l’est, le baptême du Saint-Esprit tomba sur les apôtres et les Juifs. Eh bien, depuis lors, il y a eu un jour brumeux. Il ne fait pas clair, il ne fait pas non plus nuit. C’est un jour sombre. C’était juste un jour pour adhérer à l’église et se faire membre. Mais la Bible a promis qu’au temps du soir, le même soleil qui brillait là-bas brillera au temps du soir. Le voici, sur les gens des nations. Le soleil qui a brillé à l’est est en train de briller à l’ouest. C’est le temps du coucher du soleil. Le Saint-Esprit est ici, faisant les mêmes choses qu’Il faisait...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ici maintenant. Vers le soir, la lumière paraîtra. Alléluia ! Oh ! mon pauvre coeur irlandais frémit de savoir que nous avons été acceptés. Gloire à Dieu ! C’est ça.

72        J’aimerais que chaque ministre maintenant prenne place ici autour de cet autel, chaque ministre et chaque co-ouvrier, que chacun vienne. S’il y en a encore, venez autour de l’autel. Vous allez voir maintenant de glorieuses guérisons. C’est juste. Oh ! la la !

            Vers le soir, la Lumière paraîtra. Le même Jésus qui a travaillé chez les Juifs à l’est, ce même Jésus est vivant ce soir parmi les Gentils à l’ouest. C’est le temps du soir. Le même Saint-Esprit, les mêmes miracles, les mêmes prodiges, les mêmes moqueurs, les mêmes membres d’églises qui se moquent, qui rient... «Dans les derniers jours, il viendra des moqueurs, des gens emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, déloyaux, calomniateurs, intempérants, ennemis des gens de bien; ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Eloigne-toi de ces hommes-là.» C’est le temps du soir. Les Lumières du soir sont ici.

73        Que chaque chrétien incline la tête maintenant. J’aimerais m’adresser à ceux qui sont à l’autel. Que Dieu vous bénisse, soeur. Poursuivez maintenant votre chemin et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus. Oh ! quel moment ! Quel moment!

            J’ai parlé en Son Nom. Il s’est retourné et Il a répondu pour montrer que j’ai dit la vérité. Vous avez accepté cela sur base de la Parole de Dieu, Il est ici pour vous guérir, guérir votre âme, faire de vous un chrétien. Vous l’Indien, l’Espagnol, l’Anglo-saxon, qui que vous soyez, Dieu est ici. Dieu est ici.

            Petite fille, le Seigneur Jésus est ici pour te guérir complètement, chérie. Petit garçon, Jésus est ici. Grand-mère, Jésus est ici. Grand-père, Jésus est ici. Jeune homme, Jésus est ici. Oh ! jeune dame, Jésus est ici. Il est ici. Il vous accepte parce que vous êtes venu à Lui. Maintenant, nous allons offrir un mot de prière. Et j’aimerais que chacun incline la tête, que tout le monde se joigne à nous dans la prière.

74        Ô Eternel Dieu qui n’as pas de fin, Celui sur qui la couronne d’immortalité a été posée: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé; écoutez-Le !» Moïse et Elie sont tous passés. Toutes les lois et toutes les cérémonies sont finies. «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé. Venez à Moi vous tous qui êtes fatigués et chargés, a-t-Il dit, Je vous donnerai du repos. Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi.»

            Ces gens, Seigneur Jésus, pendant que Tu es ici à l’estrade avec cette glorieuse puissance, montrant que Tu es infaillible, le Ressuscité, la preuve... Oh ! vous n’avez aucune excuse. Les gens sont sans excuse. Tu es ici.

75        Et voici des Espagnols, des Indiens, des Anglo-Saxons, des Irlandais, des Allemands, différentes races de gens. Comme Tu es mort pour sauver le monde, et Abraham a été appelé le père des nations. Par sa postérité, par Isaac est venu Christ; par la mort de Christ, nous sommes morts aux choses du monde, cohéritiers avec Lui et nous sommes la postérité d’Abraham. Et nous appelons les choses qui ne sont point comme si elles–qui sont comme si elles n’étaient point, parce que nous croyons la Parole de Dieu. Avec l’opération du Saint-Esprit, qui peut faire se lever de son siège un pécheur invétéré et l’envoyer ici à cet autel... Quelque chose s’est passé. Quelque chose s’est produit.

            Comment peut-on dire à un cochon qu’il a tort? Comment un agneau peut-il convaincre un cochon que sa nourriture est mauvaise? Il ne le pourrait jamais, jusqu’à ce que la nature du cochon soit changée. O Dieu, c’est ce que Tu as fait à ces gens ce soir. Tu les as convaincus qu’ils ont tort, et ils veulent que leur nature soit changée. Et Tu as changé leur attitude et Tu les as amenés à cet autel. Et les voici qui se tiennent ici comme des âmes pénitentes.

            Oh ! en tant que Ton serviteur, Seigneur, je T’invoque au Nom de Jésus, et je demande que chaque âme ici soit sauvée et remplie du Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur. Guéris chaque malade physique dans cette salle. Tire gloire de cette réunion, Seigneur, maintenant même. Au Nom de Jésus, nous nous attendons à ce que cette glorieuse puissance se manifeste.

76        Maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée, la prière de la foi sauvera le malade, spirituellement, physiquement, quelque soit le cas. Maintenant, vous qui vous tenez ici, qui priez avec ces pécheurs, imposez-leur les mains, posez la main sur votre ami pécheur. Là dans l’assistance... Maintenant, tout le monde respectueusement...

            Je veux être sûr que ceux-ci qui se tiennent ici, qui sont venus pour le salut, que vous croyez vraiment que Christ, le Fils de Dieu, qui vous a conduit à vous lever de votre siège pour vous tenir ici devant ces gens... «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire.» Vous ne pourriez pas venir par votre propre puissance.

            Vous êtes une personne morte, sans vie, s’il n’y a rien pour vous mettre en mouvement. Et voulez-vous me dire que c’est le diable qui vous conduit à vous lever de votre siège pour venir ici? Jamais. C’est une sorte d’Esprit qui est entré en vous et qui a dit: «Tu as tort. Va à l’autel et confesse tes péchés. Je serai là pour te rencontrer.» C’est Lui qui vous parle maintenant.

77        Et pendant que vous avez incliné la tête, ayant confessé vos péchés, Dieu est juste pour vous les pardonner. Et maintenant, comme Dieu est tellement juste pour pardonner vos péchés, voulez-vous lever votre main droite vers Dieu et accepter Christ comme votre Sauveur maintenant? Maintenant, c’est quelque chose... Que Dieu vous bénisse tous. Tout le monde a levé les mains. Grâces soient rendues à Dieu. Ils acceptent Christ maintenant.

            Qu’avez-vous fait lorsque vous avez levé votre main droite? Vous avez brisé chaque loi de la science qui existe. La gravitation doit garder votre main baissée, mais l’Esprit qui est en vous a fait un choix; et Dieu vous a amené à lever votre main au Ciel vers Lui, pour L’accepter comme votre Sauveur. Vous êtes sauvé par la grâce de Dieu. Et quand vous faites cela, vous avez la Vie Eternelle.

            Désirez-vous recevoir le baptême du Saint-Esprit? Si vous le désirez, levez la main, si vous désirez recevoir le baptême du Saint-Esprit. Juste là sur la même base selon laquelle vous êtes sauvé, Jésus vous envoie le Saint-Esprit. Si vous croyez.

78        J’aimerais que l’assistance se tienne debout un instant, une bonne voix va vous conduire dans la prière. Frère Ballard, Frère Moore, l’un de vous, venez ici, l’un de vous.

            Mes amis, ceux-ci sont des bébés nouveau-nés. Ces gens sont nés de nouveau. Ils ont cru au Seigneur Jésus-Christ et L’ont accepté comme leur Sauveur personnel. Leurs noms ont été écrits dans le Livre de Vie il y a quelques instants. C’est la Parole éternelle de Dieu. Le croyez-vous? Dites: «Amen !»

            Maintenant, ils désirent recevoir le baptême du Saint-Esprit pour être co-ouvriers avec nous ici dans ce grand champ de mission. J’aimerais maintenant que ceux qui ont le Saint-Esprit, viennent se tenir tout près, spécialement les ministres, pour leur imposer les mains. Alors que je vais demander à frère Ballard, s’il veut bien avancer pour dire la prière, et nous tous ensemble, afin que ces gens reçoivent le baptême du Saint-Esprit. Très bien. Frère Ballard, pendant que nous avons nos têtes inclinées.

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