Amour Divin

Autres traductions de ce sermon: Amour Divin2 - MS
Date: 57-0305 | La durée est de: 2 heures | La traduction: Shp
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1          Pendant que nous sommes debout, inclinons nos têtes juste un moment dans la Présence de Dieu. Notre Bienveillant Père céleste, c’est vraiment avec des coeurs reconnaissants que nous nous inclinons dans Ta Présence pour T’offrir l’adoration même de nos coeurs, pour T’exprimer notre appréciation de Ton amour et de Ta bonté envers nous, et pour Te dire que nous sommes indignes des bénédictions que Tu as déversées sur nous.

            Et je Te prie, Père céleste, d’avoir pitié de nous ce soir, de nous accorder Ta grâce et Tes bénédictions. Bénis ces gens. Guéris les malades et les nécessiteux et sauve les perdus, car nous le demandons au Nom de Ton Bien-Aimé Fils, le Seigneur Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2          Nous sommes très heureux d’être ici ce soir. Je suis un peu enroué pour avoir beaucoup prêché dans de très nombreux services et de lieu en lieu. Mais nous éprouvons toujours un–un grand transport de joie dans nos coeurs quand nous parlons de notre Seigneur Jésus et de Sa bonté.

            Et nous avons le reste de cette semaine, le Seigneur voulant. Et pendant le reste de cette semaine, si Dieu m’aide donc à avoir un peu de voix, je désire parler très précisément de la Venue du Seigneur Jésus et de la préparation de Son Eglise avant le temps de la fin.

            Ainsi ce soir, je désire juste vous parler pendant un petit moment et ensuite prier pour les malades et les nécessiteux. Et un soir, peut-être ça pourrait être demain soir, ou au cours d’une soirée qui suivra, nous allons essayer avec l’aide du Seigneur d’avoir une de ces soirées à l’ancienne mode. Je ne parle pas d’une–une ligne rapide, comme nous l’appelons, mais d’une ligne de prière où nous pourrons prendre les individus et prier pour eux personnellement, sans le discernement, prier tout simplement pour les gens.

3          Nous avons eu une de ces soirées il n’y a pas longtemps à Lima, dans l’Ohio. Et oh! comme le Seigneur a honoré ces prières pour les malades, et quelles glorieuses choses notre Seigneur Jésus a accomplies!

            Maintenant, j’essaie d’amener les gens à croire en Dieu sur base de quelque chose de plus élevé que cela: L’accepter sans que quiconque vous touche. C’est vous qui Le touchez. Vous voyez, si–si je posais mes mains sur vous et priais pour vous, en principe vous pourriez alors dire: «Frère Branham m’a imposé les mains.» Mais, ce n’est pas cela le but. J’aimerais que vous soyez en mesure de dire: «Personne à part Lui ne m’a touché.» Je–je... C’est de cette manière que j’aimerais que ça se fasse. Rendez-Lui la gloire.

            Et il y a tant de louanges fabriquées par l’homme aujourd’hui, au point que c’est vraiment pitoyable, n’est-ce pas? Et l’autre soir, lorsque ce petit enfant indien a été guéri pendant qu’il montait sur l’estrade, personne ne l’a touché, il a tout simplement été guéri: il louchait, vous vous teniez là et vous en avez été témoins vous-mêmes. Eh bien, c’est de cette manière que j’aime voir cela se produire, juste comme cela. Cela montre que personne n’a prié; personne n’a fait quoi que ce soit; mais Dieu dans Sa grâce souveraine a guéri l’enfant. C’est bien. Alors Dieu en reçoit la louange. Voyez-vous? J’aime cela de cette manière.

4          Frère Sothmann, êtes-vous sur le point de flamber ici à Phoenix, après être venu de cet iceberg du Canada? Frère Fred Sothmann, mon manager canadien... Si quelqu’un désire voir un homme qui vit réellement là où il fait froid, je n’ai pas l’intention de vous embarrasser, Frère Fred, mais voulez-vous vous tenir debout un instant? Frère Fred Sothmann qui vient du Saskatchewan, au Canada. Que le Seigneur vous bénisse, Frère Fred Sothmann. C’est le meilleur pêcheur du Canada, tandis que moi je le suis aux Etats-Unis.

            Nous comptons maintenant tenir une autre série de réunions là-bas très bientôt: je vais monter en mai. Nous allons parcourir le Canada, le Seigneur voulant, et nous avons passé de bons moments là au Canada avec ces merveilleuses personnes. Malgré tout, ils ont certainement un merveilleux endroit ici, n’est-ce pas? Oui, monsieur.

5          Maintenant, j’aimerais lire un peu, et ensuite essayer de terminer pour commencer la ligne de prière à vingt et une heures. J’aimerais lire un vieux passage bien connu, qui semble être sur mon coeur ce soir, dans Saint Jean, chapitre 3, verset 16. En effet, chaque enfant dans cette assistance ce soir, qui a été instruit avec la Bible, peut citer ce passage.

Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle.

            Et comme sujet, j’aimerais en prendre un de très étrange, et c’est «L’Amour Divin.»

            La Bible dit: «Dieu a tant aimé le monde...», de l’amour divin, et lorsque l’amour divin est projeté vers son objet, la grâce souveraine intervient et produit ce qui a été projeté.

6          Dieu fait des choses d’une manière très simple. Je pense que si bien des fois les gens manquent le sens même de la chose, c’est parce que Dieu fait des choses si simples. Les hommes s’attendent à ce qu’une grande–une grande chose se produise, alors que Dieu demeure dans la simplicité.

            Lorsque Jésus est venu sur terre, les hommes s’attendaient à ce que le Messie vienne avec beaucoup de splendeur. Mais lorsque Dieu a envoyé Son Fils sur la terre, et qu’Il L’a envoyé, Il n’est pas né dans une famille royale, Il ne L’a pas non plus envoyé à un grand ordre religieux. Mais il a visité une jeune paysanne, et Il a choisi d’amener Son Fils au monde à travers cette enfant, qui n’était qu’une adolescente.

            Non seulement cela, mais d’habitude lorsqu’un roi naît, de grands chants s’élèvent parmi les gens, et les célébrités du monde ou de cette nation-là attendent la naissance de cet enfant. Et d’habitude, on fait des préparatifs particuliers pour cet enfant. La salle d’accouchement est entièrement décorée en rose et ainsi de suite, le jour où on fait venir les médecins, et ils se tiennent prêts.

7          Mais chose étrange, Dieu a amené Son Fils sur la terre à travers cette petite vierge. Elle avait chevauché toute la journée sur le dos d’un âne. Et il n’y avait pas de chambre pour elle à l’hôtel. Et Dieu avait ainsi décidé que Son Fils unique naisse dans une étable, dans une mangeoire. Qu’elle est simple, la manière dont Dieu fait les choses!

            Parfois c’est pour confondre l’esprit des sages et des intelligents, afin que les enfants aient la chance de connaître cela. Et si Dieu tout au travers des âges a agi ainsi... Et souvent ce qu’Il fait semble ridicule aux yeux du monde. Dieu peut faire certaines des choses les plus ridicules aux yeux du monde.

8          Une fois dans la Bible, lorsqu’un jeune homme du nom de Moïse qui avait été très bien formé dans toutes les stratégies de la nation la plus puissante au monde... C’était un grand militaire, et il avait été enseigné par l’un des meilleurs enseignants de la religion: sa maman. Il avait quarante ans d’expérience, et malgré toutes ses techniques et ses stratégies, il a échoué pour faire le travail. Et alors Dieu l’a amené derrière le désert, et là Il l’a gardé pendant quarante ans.

            Et un jour, Dieu est descendu dans un petit buisson ardent, et Moïse en savait plus sur ce qu’il devait faire en cinq minutes dans la Présence de Dieu que toutes les stratégies qu’il avait apprises pendant quarante ans en Egypte.

            Toute sa formation ne pouvait jamais se mesurer avec ce glorieux moment dans la Présence de Dieu. Et Dieu voulait délivrer Ses enfants. A ce qu’il paraissait, Dieu avait fait grandir le garçon pour qu’il ait le pied sur le trône afin de s’emparer de la grande armée égyptienne et libérer Son peuple. Raisonnablement, tel que le monde voit la chose, cela aurait pu se faire de cette manière-là; mais Dieu l’a fait d’une manière simple.

9          Eh bien, pouvez-vous imaginer le jour suivant, après que Dieu était apparu à Moïse, qui se cachait des Egyptiens? Et si vous voulez voir quelque chose qui semble ridicule aux yeux de l’homme, considérez cette scène. Voici venir un vieillard de quatre-vingts ans, la barbe pendant jusqu’à la taille, un vieux petit bâton dans la main, et les cheveux et la barbe flottant au vent dans toutes les directions, ses petits bras osseux appuyant le bâton sur le sol pendant qu’il avance, monté sur une petite mule, avec sa femme assise à califourchon et portant un enfant sur chaque hanche, se rendant en Egypte pour prendre le contrôle. Pouvez-vous imaginer cela?

            Pouvez-vous imaginer quelqu’un dire: «Moïse, où vas-tu?»

            «Je me rends en Egypte pour prendre le contrôle.» Ce serait comme une invasion par un seul homme. Mais ce qui est étrange, c’est qu’il l’a fait. Peu importe combien cela semblait simple, Dieu était derrière ce programme; c’est l’essentiel.

10        Pouvez-vous imaginer un homme se tenant là, environné par un millier de Philistins portant des armures et des lances, comme Samson qui se tenait là, et ayant ramassé la mâchoire d’une mule, il a tué un millier de Philistins? Dieu fait des choses tellement simples.

            Pouvez-vous imaginer une grande armée d’un côté de la colline, une grande armée de l’autre côté de la colline, et cette armée qui se trouvait du côté opposé c’étaient des Philistins qui combattaient Israël avec bien plus d’hommes, et ils avaient là un adversaire du nom de Goliath. Il était de loin plus grand que n’importe quel autre homme. Et il avait lancé un défi. Et tout Israël, malgré toute sa formation, avait peur de lui. Et Dieu a choisi un petit rougeaud, un gars couvert de taches de rousseur, du nom de David, qui portait un petit manteau en peau de brebis, et qui avait en main une fronde, pour tuer ce géant et prendre le contrôle. Dieu utilise des choses simples qui paraissent ridicules aux yeux du monde; Il fait cela pour montrer Sa grande puissance.

            Dieu a fait la même chose lorsqu’Il a envoyé Son Fils sur terre. Il est né dans une crèche. Il est venu au monde portant, pour commencer, une mauvaise réputation d’enfant illégitime; mais Il a produit l’une des plus grandes secousses que ce monde ait jamais connues.

11        Et le jour de la Pentecôte, Dieu avait cent vingt pêcheurs et paysans illettrés dans une chambre haute pour inaugurer le commencement de l’effusion du Saint-Esprit, mais Il les avait entièrement sous Son contrôle. Il est entré dans la ville, où des hommes très instruits, des philosophes, des docteurs, des théologiens étaient venus du monde entier, mais Dieu a choisi un groupe d’humbles petits pêcheurs. Et Il condamna le monde et envoya la liberté au monde entier par ce groupe d’humbles petits pêcheurs.

            Et ensuite cela serait-il trop difficile pour Dieu, dans ces derniers jours, alors que nous avons toutes sortes d’écoles de théologie, alors que nous avons toutes sortes de dénominations, toutes sortes de religions, cela serait-il trop difficile pour Dieu de prendre un groupe de gens humbles, juste des gens ordinaires? Et dès qu’Il les aura sous Son contrôle, ne peut-Il pas répéter les bénédictions de la Pentecôte? Ne peut-Il pas répéter la même Vie qu’Il avait vécue sur terre?

12        La Bible dit: «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique.» Eh bien, l’amour de Dieu envers le monde, et Dieu est amour. Et lorsque Dieu s’est projeté vers le monde pour le sauver, il n’y avait rien d’autre que la grâce souveraine pour produire un Sauveur. Lorsque Dieu aime, quelque chose doit se produire. Et Dieu a tant aimé le monde qu’un Sauveur divin est apparu; Sa grâce a pourvu à ce Sauveur. C’est Son amour qui a produit ce Sauveur.

            Or, en ce temps où nous vivons comme à toutes les époques, nous sommes nés pour être des fils et des filles de Dieu. Nous sommes des rejetons de Dieu. Et étant des rejetons de Dieu, il y a quelque chose en nous qui croit en Dieu. Il y a quelque chose en vous qui réclame quelque chose. Et aujourd’hui pour satisfaire ce désir ardent de nos coeurs, bien des fois nous essayons de satisfaire cela par l’instruction; nous essayons de satisfaire cela par la dénomination. Nous essayons de satisfaire cela par–par des choses sensationnelles. Nous essayons de satisfaire cela par l’une ou l’autre chose. Mais cela ne marchera jamais jusqu’à ce que l’amour divin dans nos coeurs sera projeté vers le Dieu Tout-Puissant.

13        Alors lorsque notre amour répondra à Son appel, la grâce souveraine produira ce que nous demandons. Tout d’abord il faut que ce soit l’amour. Paul a dit: «Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. Quand j’aurais la foi pour déplacer des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. Quand je pourrais accomplir toutes sortes de miracles, produire toutes sortes de signes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien.»

            C’est pour cette raison qu’aujourd’hui nous essayons de produire quelque chose par une dénomination, par l’instruction, par une organisation en mettant de côté l’amour divin. La raison pour laquelle nous sommes tellement divisés, que tant de choses ne marchent pas, qu’il y a tant d’ismes, c’est parce que nous avons laissé la chose essentielle qui produit ce qu’il nous faut: l’amour.

14        Vous souvenez-vous de mon sermon de dimanche? Le petit ressort principal au centre de l’horloge règle cette horloge par rapport à tout. Et alors que Dieu est amour et que l’amour entre dans nos coeurs, cela règle chaque émotion et tout directement par rapport à la Bible de Dieu. Vous ne devez pas montrer aux gens quel beau cristal vous avez, quel beau cadran elle a, quelles belles aiguilles elle a, quel beau rubis elle a, mais plutôt quelle belle horloge c’est. Et le monde en a assez de regarder ces très grands clochers, de regarder des gens bien habillés, et de regarder un tas d’ismes. Il veut voir l’amour authentique de Dieu projeté dans le coeur de Son peuple. C’est ce que le monde cherche.

            Le monde se meurt par manque d’amour; l’Eglise se meurt par manque d’amour. Jésus a dit: «Vous êtes le sel de la terre.» Mais si le sel a perdu sa saveur, il ne sert plus qu’à être jeté dehors et à être foulé aux pieds par les hommes. Et quand l’église perd sa révélation divine de l’amour de Dieu, elle devient un simulacre, de la paille, une pierre d’achoppement pour le monde.

15        Or, il n’y a qu’une seule chose que l’Eglise doit faire. Si vous voulez que quelqu’un vienne à Christ, soyez salé. Le sel donne la soif; soyez salé et le monde aura soif. C’est juste.

            Car dans l’homme, il est dans un sens un créateur en miniature, si c’est un enfant de Dieu, parce que l’Esprit de Dieu est en lui, c’est Lui qui le contrôle, qui le fait agir. Et j’aimerais vous faire comprendre certaines choses dont j’ai la certitude que c’est la vérité. Si j’avais un peu plus de voix, j’aimerais prêcher là-dessus ce soir.

            Mais j’aimerais vous faire comprendre certaines choses comme celle-ci, ce que l’amour divin... Maintenant écoutez, Paul a dit: «Les langues cesseront; les prophéties prendront fin.»

            Tous ces signes... L’antichrist peut produire n’importe quel signe qui se trouve dans la Bible, mais il ne peut pas produire l’amour. Il n’y a rien en lui qui puisse le faire aimer.

            Oh! vous pouvez avoir un genre d’amour qui est faux. Il existe deux sortes d’amour. Il existe un amour qu’on appelle l’amour humain, ou qu’on appelle en grec l’amour phileo. Et l’amour divin, c’est l’amour agapao. L’amour agapao, c’est l’amour divin. Et lorsque l’amour divin est dans votre coeur, il y a un changement dans votre vie, et tout le monde le sait. C’est juste. Vous vivez comme un chrétien, vous vous comportez comme un chrétien, vous marchez comme un chrétien; et tout votre système est réglé sur la Bible de Dieu.

16        Maintenant, il y a quelque temps... Ma femme se trouve quelque part dans cette salle ce soir. Combien cette journée-là avait été très ennuyeuse, et nous avions eu tant à faire, il y avait des gens à l’étage, au rez-de-chaussée, partout. Et après que j’ai finalement fait sortir tout le monde, à la tombée de la nuit, je suis entré dans la cuisine; et ma pauvre femme se tenait là, la tête entre les mains, en train de pleurer. Sara et Rebecca étaient là en train de se battre sur le plancher, à cause de quelques lego. Le petit Joseph criait à tue-tête. Vous parlez d’une douce demeure; ils étaient là.

            Et lorsque je suis entré, j’ai passé mon bras autour des épaules de la première et unique petite dame de mon foyer. Et je lui ai dit: «Chérie, qu’est-ce qu’il y a?»

            Elle a dit: «Bill, je suis sur le point de devenir folle.» Elle a dit: «Durant toute la journée ces enfants n’ont rien eu à manger. Les gens se tiennent partout tout autour aux différents endroits et ils discutent, disant: ‘Le Seigneur va l’amener ici. Le Seigneur va le faire venir ici.’» Elle a dit: «Oh! il y a une telle confusion!» Eh bien, j’ai compris tout de suite qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas.

17        Eh bien, si vous aimez réellement Dieu... Et, vous savez, il y a un genre de personnes qui sont de très braves gens, mais seulement vous n’arrivez pas à supporter leur compagnie. C’est vrai. Pourquoi cela? Ils créent ce genre d’atmosphère là. Et il y a un genre de personnes dont vous aimez la compagnie. Ils créent cette atmosphère dans laquelle ils vivent.

            Eh bien, c’est surnaturel. Or, lorsque la Présence du Seigneur descend, cela crée une atmosphère pour la foi. Et lorsque... Je me disais: «Maintenant, Seigneur Dieu, aide-moi.»

            Et j’ai dit: «Chérie, tu sais quoi?» Elle est juste une femme, vous savez, et elle aime les belles robes, vous savez, et les sacs à main. Et elle n’en reçoit pas tout le temps, mais je... Elle les aime bien. Alors j’ai dit: «Tu sais, j’ai vu une des plus belles robes que j’ai jamais vues.»

            Elle a dit: «C’est vrai?»

            J’ai dit: «Oui, chérie.» Et je me suis dit: «Seigneur Dieu, aide-moi maintenant.» Et j’ai posé ma main sur sa petite épaule voûtée. Et j’ai dit: «Chérie, tu devrais la voir.»

            Elle a dit: «Oui.»

            Je me suis dit: «Seigneur, sois bon envers moi maintenant et aide-moi.» Je me suis dit: «Maintenant, je dois croire que Tu vas faire cela. C’est dans ma petite famille, et ces malades les ont complètement dérangés, mais veuille m’aider.»

18        Eh bien, vous devez créer une atmosphère, et c’est votre foi qui le fera. Ils étaient tous dans la chambre haute, d’un commun accord, lorsque soudain il vint du Ciel comme le bruit d’un vent impétueux; l’atmosphère était bonne. Il faut qu’il y ait une certaine atmosphère pour faire quoi que ce soit.

            Vous savez, la procédure normale pour faire éclore les poussins, c’est de mettre les oeufs sous la poule. Mais si vous mettez l’oeuf dans la bonne atmosphère, cela éclora de toute façon. Ecoutez, frère, si un homme aime Dieu, et s’il peut entrer dans le bon genre d’atmosphère, cela produira un bébé nouveau né, aussi certain que je suis ici. C’est l’atmosphère qui compte. Que cette petite poignée de gens qui sont assis ici ce soir entre dans une atmosphère parfaite, et observez ce qui se produira. Il n’y aura pas une personne faible parmi–une seule personne faible parmi nous. Les boiteux marcheront; les aveugles verront; les sourds entendront; le muet parlera, sans que l’on ait prié ni quoi que ce soit. C’est de l’atmosphère qu’il s’agit.

            C’est comme ça qu’en Afrique vingt-cinq mille personnes ont été guéries à la suite d’une seule prière. Lorsqu’ils ont vu le Seigneur faire quelque chose, cela a créé une atmosphère, et ils y sont entrés. C’est la piscine quand les eaux coulent bien.

19        J’ai donc posé ma main sur sa petite épaule, j’ai commencé à essayer de créer une atmosphère dans mon coeur: «Seigneur, je suis content. Tout va bien chez moi. Je T’aime, Tu sais que je T’aime, et redresse simplement ma petite famille.» Et peu après, j’ai dit: «Je vais te dire quoi, chérie, je te montrerai où se trouvent ces robes. Ensuite je... Apprêtons un petit souper pour les enfants, et ensuite nous allons partir.» Aussitôt j’ai pris mon tablier, je l’ai noué autour de moi, j’ai commencé à l’aider et à parler d’autres choses. Lorsqu’elle s’est calmée, j’ai baissé les yeux, et Sara et Becky avaient–avaient fait la paix, elles étaient en train de jouer, et le petit Joseph agitait son petit hochet, et il passait un bon moment. Vous voyez, vous devez entrer dans le bon genre d’atmosphère.

20        Frère Lindsay, beaucoup parmi vous le connaissent, c’est l’éditeur de La Voix de la guérison. Et nous avons beaucoup travaillé ensemble au cours des dix dernières années de notre vie. Nous nous trouvions à Portland, dans l’Oregon, un soir. Et beaucoup parmi vous ont déjà lu l’histoire de ce fou qui avait couru vers l’estrade pour me tuer. Et il était grand comme ça, il pesait près de trois cents livres [136 kg], un géant... Et moi, à cette époque-là, je pesais 128 livres [58 kg]. Et il mesurait près de sept pieds [2,10 m], il avait des bras énormes. Et il est entré dans la salle d’un pas lourd, pendant que j’étais en train de prêcher sur la foi, devant environ six mille personnes. Il s’est rué vers l’estrade, et les prédicateurs se sont dispersés comme des mouches. Et je me demandais ce qui n’allait pas. Je pensais que c’était peut-être quelqu’un qui venait apporter un message à l’un des ministres.

            Et je me suis retourné pour regarder, et ce très grand géant se tenait là, le torse bombé, et il grognait, les dents serrées, et les yeux... Il a dit: «Espèce d’hypocrite! Tu te tiens là, te faisant passer pour un homme de Dieu.» Il a dit: «Je vais briser chaque os de ton corps ce soir. D’un coup de poing je vais t’envoyer au milieu de cette assistance, pour te montrer si tu es un homme de Dieu.»

21        J’ignorais qu’il venait d’un asile d’aliénés. J’ai compris par sa taille qu’il était bien en mesure de mettre sa menace à exécution. Alors je l’ai regardé. Normalement j’aurais fui avec les autres. Mais vous savez ce qui est arrivé? Oh! si seulement je pouvais rester toujours dans cet état-là! Il se passa quelque chose, au lieu de haïr cet homme, j’ai eu pitié de lui.

            Je me suis dit: «Cet homme n’a pas l’intention de me faire du mal. Oh! c’est un homme comme moi. Et ça doit être le diable qui pousse cet homme à se comporter ainsi. Alors ce pauvre martyr...» Et il s’est rué vers moi, et il s’est raclé le fond de la gorge et m’a craché droit au visage.

            Et vous voyez, le diable essayait de me faire sortir de l’atmosphère dans laquelle Dieu me faisait entrer. Mais cela ne m’a pas dérangé.

            Je me suis dit: «Pauvre homme, il n’a pas l’intention de faire cela; et il n’aurait certainement pas voulu faire cela.»

            Et il a dit: «Je vais briser chaque os de ton corps. Il a levé son grand poing pour me frapper; et chose étrange, je n’avais pas peur, pas plus que je n’en ai en ce moment même. L’amour chasse la peur, l’amour parfait.

22        C’est cela, frère, soeur, qui entretient nos différends ce soir, c’est à cause de l’amour, du manque d’amour. Je ne parle pas de l’amour terrestre, l’amour dénominationnel, l’amour sexuel, mais je parle de l’amour divin qui fait de nous des frères.

            Alors, quand cet homme a fait le mouvement pour me frapper, j’ai entendu mes propres lèvres dire: «Puisque tu as défié l’Esprit de Dieu, ce soir tu tomberas sur mes pieds.»

            Il a dit: «Je vais te montrer sur les pieds de qui je vais tomber.»

            Et il a levé son poing pour me frapper, et alors j’ai dit: «Satan, sors de cet homme!»

            Et ses yeux sont complètement ressortis, ses dents se sont serrées, ses mains se sont levées, il a tourné sur lui-même, et est tombé sur mes pieds, si bien que la police a dû le faire rouler pour l’enlever de mes pieds. Qu’est-ce qui avait fait cela? L’amour, l’amour de Dieu.

23        Je ne sais pas à quel point vous allez croire ceci. Mais il y a peut-être environ deux ans, j’étais... J’ai une très grande cour de devant de 90 pieds [27 m], elle appartient au presbytère, là, et c’est difficile d’obtenir l’aide de quelqu’un dans l’Indiana, parce que tout le monde travaille. Et je devais sortir pour tondre le gazon. Et je tondais le gazon, et je faisais environ deux tours, et quelqu’un arrivait, et le gazon de devant repoussait avant que j’aille tondre celui de derrière.

            Alors je suis passé derrière la maison un après-midi chaud du mois d’août, et je portais une salopette du genre...?.... Il n’y avait personne, et il faisait terriblement chaud, et ma chemise était trempée et collait sur mon dos, alors je l’ai tout simplement enlevée, je me suis remis à tondre la cour de derrière. Et là, je tondais de toutes mes forces, et j’avais oublié qu’il y avait un grand nid de frelons là au bout de la rangée. Et j’ai fait passer cette tondeuse en plein dans la clôture avant de réfléchir, et j’étais entièrement entouré de frelons. Vous savez ce que c’est; ils peuvent vous tuer, ce sont de très gros insectes.

24        Et alors, normalement j’aurais osé me mettre à lutter contre eux et à fuir. Je sais que ceci semble puéril; cela pourrait sembler déraisonnable, mais c’est la vérité. Au lieu d’avoir peur de ces insectes, je me suis dit: «Pauvres petites créatures, je vous ai dérangées.» Et au lieu de les détester, il y avait une sympathie dans mon coeur pour elles. J’aurais voulu avoir cela tout le temps. Si c’était le cas, je serais une personne différente.

            Et j’étais entièrement environné de frelons, alors je me suis mis à penser: «Tu sais quoi, ce sont de petites créatures qui ont été créées par Dieu, et elles ont le droit de vivre dans leur maison. Elles n’ont aucune intelligence pour raisonner comme moi, et j’ai fait passer cette tondeuse là-dedans; et la seule protection qu’elles ont, c’est leur aiguillon pour me chasser.» Considérez cela raisonnablement.

            Alors je... Ils m’avaient complètement environné, et je me suis arrêté. Et voici la vérité. Vous pourriez penser que je ne suis pas très intelligent, je ne le suis pas après tout, mais ceci est vrai. J’ai dit à ces petits frelons, j’ai dit: «Petites créatures de Dieu, je suis le serviteur de Dieu, et je suis pressé. Ses enfants malades viennent et s’en vont; et je vous ai dérangées, et j’en suis désolé. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, notre Créateur, rentrez dans votre maison; je ne vous dérangerai plus.» Et, frère, soeur, lorsque je vous rencontrerai à la barre du Jugement, ces frelons se sont tous mis en file indienne, ils ont tourné autour de moi et sont rentrés droit dans le nid pendant que je me tenais là. C’est juste.

25        Oh! c’était Dieu. Vous voyez, mais avant que cela n’arrive, j’avais l’amour. Je ne dis pas ceci pour blesser les sentiments des Mexicains qui sont présents, car Dieu sait que j’ai tenu certaines de mes meilleures réunions chez les Mexicains. Je n’oublierai jamais la petite chorale espagnole qui essayait de chanter Crois seulement pour moi, quand frère Garcia avait une église ici quelque part à Phoenix, la première fois que je suis venu ici. Je n’oublierai jamais ce petit «gloria à Dios!» familier, ou quoi que ce soit qu’ils disent: «Gloire à Dieu!»

            Et j’étais au Mexique il y a quelque mois. Et, à propos, mes prochaines réunions, ce sera chez les Mexicains, sur la côte ouest. Et j’étais au Mexique, frère Moore, frère Brown, frère Arganbright, et beaucoup d’autres frères, nous étions sur l’estrade, et mon coeur était brisé, c’était lorsqu’un petit bébé mort a été ressuscité; il était dans les bras de sa mère, il était mort à trois heures pendant la nuit; c’était à vingt et une heures, il pleuvait. Et sur toute l’estrade il y avait une grande pile haute comme ça de vieux châles et tout, sur lesquels les gens voulaient que je prie.

26        Et ensuite, celui qui est monté sur l’estrade, c’était un pauvre vieux Mexicain couvert de poussière. Ses cheveux étaient gris, et son visage avait des rides profondes. Il était pieds nus, et son pantalon était complètement en lambeaux. Son manteau était presque tout usé. Son visage était couvert d’une barbe grise, et par-dessus tout il était aveugle.

            Lorsque j’ai vu ce pauvre vieil homme s’avancer vers moi, je me suis dit: «Tu sais, il a à peu près l’âge de mon papa.» Je me suis dit: «Combien le destin a été cruel à son égard! Cet homme n’a probablement jamais pris un bon et vrai repas dans sa vie.» J’ai placé mon pied à côté du sien pour voir si mes chaussures allaient lui convenir; j’avais l’intention de lui donner mes chaussures. J’ai considéré ses épaules, et il avait des épaules plus larges que les miennes; j’avais l’intention de lui donner ma veste. Elle–elle était trop petite.

            Alors je me suis dit: «Je ne peux pas lui donner mes chaussures; je ne peux pas lui donner ma veste.» Et je me souviens qu’il essayait de faire sortir un petit chapelet de sa poche pour réciter une prière. Et j’ai dit: «Frère, ce n’est pas nécessaire. Remettez cela dans votre poche.» Et l’interprète le lui a dit.

27        Et puis, lorsqu’il s’est avancé là... Ce qu’il fallait faire pour aider cet homme, vous deviez partager sa souffrance avec lui. La seule façon, c’est d’avoir toujours une bonne attitude. Soyez simplement gentil avec un animal, et vous le gagnerez. Combien plus vous devez être gentils, montrer de l’amour fraternel les uns envers les autres!

            Et je lui ai parlé, et de toute façon j’ai senti combien le diable est méchant. Cet homme avait probablement élevé une ribambelle de petits enfants dans sa vie, en travaillant là pour gagner quelques pesos, et en mangeant les petites tortillas que les touristes avaient jetées, faites peut-être à base de laitue, et de tout ce dont c’était constitué. Et mon coeur était brisé. Et ensuite, de penser que le diable le faisait tituber dans une obscurité totale... Et je ne pouvais rien faire de plus que serrer contre ma poitrine ce pauvre vieillard ridé. Et alors que je regardais, il ne comprenait pas un mot de ce que je disais.

            Mais j’ai dit: «Père céleste, aie pitié. Le diable l’a certainement maltraité, il lui a fait ceci, cet homme pour lequel Tu es mort.»

            Et pendant que je priais, j’ai entendu quelqu’un crier: «Gloria à Dios!» Et je l’ai retourné et ses yeux s’étaient ouverts. Il marchait sur l’estrade, criant et glorifiant Dieu. Qu’était-ce? La sympathie. L’amour avait... Il ne pouvait pas comprendre, mais il savait que je l’aimais. Dieu le savait.

28        Au sujet de bêtes sauvages beaucoup de gens m’ont dit: «N’avez-vous pas peur d’elles, Frère Branham?» Jamais. Je les aime.

            Il y a quelque temps... J’ai passé mes sept premières années de travail comme un agent de la conservation de la nature, un garde-chasse. Et une fois, alors que je voulais creuser un petit trou pour y mettre un peu d’eau afin de lâcher quelques poissons dans une rivière... Nous étions censés porter un petit pistolet. Et pendant que je traversais le champ, il y avait là-bas un homme malade que je connaissais... J’étais ministre à l’époque. Et j’allais là-bas pour visiter ce ministre qui avait... ou plutôt cet homme afin de prier pour lui.

            Et en route, j’ai simplement retiré ce vieux petit fusil, et je l’ai laissé dans la voiture, et j’ai fermé la portière, j’ai commencé à traverser ce champ, qui mesurait environ un kilomètre. J’avais oublié qu’il y avait un taureau meurtrier dans ce champ, qui venait de tuer un homme de couleur à la ferme Brook, et on l’avait vendu à monsieur Guernsey, là-bas dans le pâturage. C’était un taureau qui était bien connu, c’était une bête de race, mais c’était un meurtrier.

29        Et je traversais ce champ en chantant, et je suis passé à côté d’un petit bosquet d’arbrisseaux; et tout d’un coup ce grand taureau meurtrier s’est levé de ces arbrisseaux. Et il a regardé droit vers moi. Et quelle était ma première réaction? J’ai tendu la main pour prendre l’arme pour le tuer. Je n’avais pas de fusil. J’ai cherché la clôture, et elle se trouvait à environ trois cents yards [274 m]. Il se tenait à environ vingt ou trente yards [18 ou 27 m] de moi. Il n’y avait pas d’arbre, nulle part où aller, mais il fallait rester là et accepter sa mort. Alors j’ai dit: «Père céleste, je pense que ceci est la fin.»

            Et je suis heureux de ce que je n’avais pas le fusil. J’aurais alors tué le taureau, et alors je serais allé le payer. Mais je me suis tenu là, regardant cet animal; il a reculé, il a renâclé, il a planté ses cornes dans le sol, en agitant sa queue. Je savais qu’il se préparait à charger, et je me suis tenu là, et je l’ai regardé un moment, et quelque chose s’est produit. Je ne sais comment... Ceci pourrait sembler comme de la folie, mais toute peur m’avait quitté: lorsque l’amour vient, la peur se dissipe.

30        Et j’ai eu la même pensée que j’avais eue pour les abeilles. Je me suis dit: «Ça y est, ça recommence.» Et je lui ai dit: «Je suis le serviteur de Celui qui t’a créé. Et je vais là prier pour un de Ses enfants qui est malade. Je regrette de t’avoir dérangé, mais au Nom de Jésus-Christ, va te coucher et je ne te dérangerai plus.» Et le taureau a secoué ses cornes dans la poussière à deux ou trois reprises, et le voilà venir. Je n’avais pas peur, pas plus je n’en ai en ce moment même. Quelque chose s’est produit.

            Eh bien, ceci a l’air d’une rigolade, mais ce n’est pas dans cette intention-là. Ce n’est pas non plus une plaisanterie, car cette chaire sacrée n’est pas un endroit où faire des plaisanteries et des histoires, c’est un endroit destiné à l’Evangile. Et ce taureau, je l’ai aimé et j’ai regretté de l’avoir dérangé. Et il a chargé droit sur moi jusqu’à environ dix pieds [3 m], et il s’est arrêté les pattes en avant. Et il a regardé à droite et à gauche, il avait l’air très épuisé. Il a fait carrément demi-tour et il est allé là-bas, et il s’est couché. Et je suis passé à cinq pieds [1,5 m] de lui, et il n’a plus jamais bougé.

            Qu’est-ce? C’est l’amour. Et frère, peu importe combien nous essayons de bluffer, nous ne sommes rien sans l’amour. C’est juste.

31        Beaucoup parmi vous ont entendu parler de l’histoire de l’opossum. Léo et Gene, les jeunes gens qui enregistrent mes bandes, sont ici. A propos, je pense qu’ils sont...?... des bandes par ici. Ils ont toutes les bandes des réunions qui ont été tenues partout. Ils m’accompagnent et font les enregistrements, et les donnent aux gens, à un prix très légèrement supérieur à ce qu’ils doivent payer pour les avoir. Et ainsi, ceux qui ont des magnétophones peuvent avoir les bandes des messages de partout, et des lignes de prière.

            Et un matin, ils sont venus chez moi, ils s’appellent eux-mêmes mes étudiants. Et ils sont venus chez moi un matin l’été dernier, et il était environ dix heures du matin. Et j’avais le journal du soir, et je leur montrais une belle fille de couleur qui avait fait une chose horrible dans la ville. Elle avait donné naissance à un enfant illégitime; et ne voulant pas garder l’enfant, elle l’avait étouffé dans des couvertures, et elle l’avait enroulé avec un fil de fer, et elle avait demandé à un chauffeur de taxi pour qu’il l’amène à la rivière Ohio, afin de jeter le bébé dans la rivière. Le chauffeur de taxi a dénoncé la chose, et la gendarmerie maritime a repêché l’enfant et a arrêté la fille.

32        Et pendant que nous étions assis là sur la véranda, en train d’en parler par cette matinée chaude du mois de juin, monsieur Wood, un de mes amis, qui est mon voisin et sa femme, une vétérinaire... Pendant la journée il avait travaillé dans sa cour à l’aide d’un vieux râteau de jardin... Et je regardais là sur la route, et voilà venir un opossum, qui remontait la route comme ceci. Et j’habite la troisième maison en partant de la route, en partant des bois, et je suis le seul qui possède une clôture tout autour du presbytère; les autres cours ne sont pas clôturées. Et ce vieil opossum est venu droit vers ma barrière, il est entré.

            Eh bien, en étudiant la nature, l’opossum se déplace la nuit; ils sont aveugles le jour. Et alors j’ai dit: «Regardez cet opossum venir là, comment il se roule et se renverse. Il a probablement la rage. Il a été mordu par un renard ou un autre animal, et il a attrapé la rage. Je ferais mieux de l’arrêter avant qu’il arrive à la maison.»

            Et juste à ce moment-là le laitier est arrivé. Je suis sorti, j’ai pris le vieux râteau du jardin et je l’ai posé sur l’opossum. Et j’ai dit: «Et d’habitude lorsque vous les touchez, comme on dit, ils feignent la mort; il reste plutôt immobile.» Mais au lieu de faire cela, elle mordait le râteau.

33        Eh bien, j’ai alors remarqué, Léo et Gene sont sortis, ces jeunes gens que voici. Et j’ai remarqué que la patte gauche de l’opossum était enflée et avait triplé de volume; elle était brisée et elle la traînait. J’espère que je ne vous fais pas retourner l’estomac, mais elle était pourrie; et des mouches avaient pondu dessus plein d’asticots s’y étaient formés, et il clopinait. Et j’ai dit: «Oh! il est blessé. Soit les chiens lui ont brisé la patte, soit une voiture l’a cogné.» Et j’ai dit: «Il est mourant.» J’ai dit: «Il est probablement en train de livrer sa dernière bataille.»

            Et quelques voisins sont venus pour voir. Et madame Wood est l’un d’eux, elle s’est approchée, et pendant que je retenais l’opossum, j’ai remarqué que... L’opossum et le kangourou sont les seuls animaux qui ont des poches pour porter leurs petits. Et ils ont une poche, c’est une peau; cela recouvre les petits. Et ils les portent, et ils ouvrent cette poche.

            Ainsi, pendant que la mère opossum était sous ce râteau, elle a ouvert sa poche; et neuf tout petits bébés opossums d’environ cette longueur couraient tout autour sous ce râteau.

            Et j’ai dit à Léo et Gene: «Voilà, les garçons». J’ai dit: «Cet opossum est de loin plus une dame et une mère que cette femme qui a noyé son bébé. Elle a plus de moralité que cette femme.» J’ai dit: «Cette femme-là ne voulait pas de son bébé, mais cet opossum n’a pas peut-être plus de trente minutes à vivre. Mais elle donnera ces trente minutes ou perdra sa vie pour se battre pour ses petits. Voilà une vraie mère.»

34        Et ces femmes d’aujourd’hui font des avortements, et elles pratiquent le contrôle de naissance, et tout le reste; je ne comprends pas cela. Prendre ces petits bébés et les jeter dans des poubelles, et les mettre sur...?... les noyer dans des rivières, les jeter au feu. Ça, c’est plus bas qu’un animal. Un animal ne ferait pas cela.

            Et pendant que nous nous entretenions, cette pauvre mère opossum essayait encore de prendre ses petits. Et pendant que ces petits retournaient dans la poche, elle ne cessait de mordre le râteau. J’ai dit: «Observez, je vais la relâcher. Elle ne fera qu’une courte distance; elle est mourante. C’est ce qui la fait courir comme cela, c’est la mort, c’est ce qui la fait courir.» Et alors, lorsque j’ai retiré le râteau, elle est partie en direction de la maison en traînant cette patte. Et elle est allée droit jusqu’à mon perron, à côté du petit buisson à feuilles persistantes, et là elle s’est effondrée, elle s’est immobilisée.

            Je suis allé vers elle; je l’ai secouée, et elle n’a pas bougé. J’ai dit: «Je pense qu’elle est morte.» Et j’ai regardé, et tous ces petits bébés opossums essayaient de téter. Et j’ai dit: «Quelle pitié!» J’ai baissé le râteau et j’ai touché l’opossum; et j’ai vu encore cette sorte de petite grimace chez cet opossum. J’ai dit: «Non, elle est vivante.»

35        Et madame Wood a dit: «Frère Branham, maintenant, il n’y a qu’une seule chose à faire», c’est un médecin, une vétérinaire. Elle a dit: «Tuez cette pauvre mère. Ces petits ont une bouche ronde; on ne peut pas les élever. Et ensuite prenez simplement les petits et tuez-les rapidement pour qu’ils ne souffrent pas.»

            J’ai dit: «Je ne peux pas faire cela.»

            Et elle a dit: «Voulez-vous me dire que vous allez laisser cette mère étendue là et mourir, dans cet...?... et les pauvres petits opossums téter pendant environ quarante-huit heures et mourir dans cet état de...? Vous voulez dire que vous allez faire cela, Frère Branham?»

            J’ai dit: «Soeur Wood, vous avez peut-être raison. Mais je ne peux pas le faire. Elle m’a déjà montré quelque chose qui dépasse de loin ce que beaucoup de personnes ont. C’est une véritable mère.» J’ai dit: «Je ne peux pas tuer cette mère.»

            Elle a dit: «Eh bien, allez prendre votre fusil, et abattez-la donc, et abattez les petits.» Elle a dit: «Vous êtes un chasseur.»

            J’ai dit: «Je suis un chasseur, mais pas un meurtrier.» J’ai dit: «Je ne peux pas tuer cette mère.»

            Et elle a dit: «Vous allez la laisser étendue là sous ce soleil brûlant.» On a pris un peu d’eau et on a versé cela sur elle: elle paraissait morte.

36        Eh bien, je ne voulais pas les laisser la tuer. Gene et Léo sont partis. La vieille mère opossum est restée étendue toute la journée sous ce soleil brûlant, et elle était couverte de ces mouches vertes.

            La nuit tomba, et monsieur Wood a dit: «Eh bien, Billy, tu as travaillé dur toute la journée ici à prier pour les malades; je vais t’amener faire un petit tour en voiture. Alors il a pris sa femme, ma femme et moi, et nous avons fait un petit tour en voitures. Et en descendant une route de campagne, j’ai vu un petit chiot, quelqu’un l’avait abandonné sur la route. Et je suis sorti, et j’ai pris ce petit chiot. Et il était tellement couvert de gales et de poux que mes mains étaient couvertes de poux. J’ai arrangé un petit endroit dans ma voiture pour l’y mettre.

            Et ma femme a dit, elle a dit: «Billy, tu ne vas pas amener ce petit chien galeux.»

            J’ai dit: «Bien sûr. Il a droit à la vie.» Et nous sommes rentrés à la maison, j’ai prié pour lui. Il s’est rétabli, je l’ai lavé, et maintenant c’est un gros et beau colley. Il a droit à la vie. Je l’ai aimé.

37        Lorsque nous sommes rentrés à vingt-trois heures, ce pauvre opossum était toujours étendu là. Frère Wood, qui chasse avec moi, a dit: «Eh bien, vous savez bel et bien que si cet opossum devait partir, quand le soleil s’est couché, il serait parti.»

            J’ai dit: «C’est juste.»

            «Eh bien, a-t-il dit, veux-tu que je le tue?»

            J’ai dit: «Non.»

            Durant toute la nuit je n’arrivais pas à oublier cet opossum. Le lendemain matin de bonne heure, je suis sorti, comme je sortais, la petite Rebecca qui, je crois, va me remplacer un jour... Elle a eu sa première vision tout récemment. C’est une petite fille très sensible.

            Lorsque je suis sorti sur la véranda vers sept heures (le soleil se levait) pour voir s’il y avait quelqu’un là dehors. Et il n’y avait personne. Et aussitôt, la petite Rebecca se tenait à mes côtés. Elle a dit: «Papa, qu’en est-il de ce pauvre opossum. Toute la nuit je n’ai fait que rêver de lui.»

            Eh bien, je suis allé là, et l’opossum était étendu là, recouvert de rosée, et ses petits essayaient toujours de téter. «Oh! ai-je dit, il est probablement mort, chérie.»

            Elle a dit: «Papa, que vas-tu faire de ces petits bébés, vas-tu les tuer?»

            J’ai dit: «Non, chérie, je ne vais pas les tuer.» J’ai dit: «Rentre vite à la maison; il est trop tôt pour que tu sois débout.» J’ai dit: «Vas-y.» Elle était en pyjama. J’ai dit: «Rentre à la maison, chérie.»

38        Et je suis retourné à la porte latérale du cabinet de travail, et je me suis assis là, et je me suis mis à me frotter le visage comme ceci. J’ai dit: «Eh bien, aujourd’hui, me suis-je dit, je pense que je devrai prendre...» Ce n’est pas étonnant que ce pauvre opossum soit étendu là. J’ai entendu quelque chose dire ceci. Maintenant, on pourrait penser que je suis mentalement dérangé. Mais j’ai entendu Quelque Chose me parler. J’ai dit: «Qu’en est-il de ce pauvre opossum?»

            Et la voix a dit: «Tu t’es servi de lui comme sujet hier, disant qu’elle était une merveilleuse mère.»

            J’ai dit: «C’est vrai.»

            Et la voix a dit: «Et tu as enseigné, en tirant exemple d’elle, ce qu’est une véritable mère...»

            «Oui.»

            La voix a dit: «Je l’ai envoyée à ta porte, elle a attendu durant vingt-quatre heures son tour pour que tu pries pour elle, et tu n’as pas dit un seul mot.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, je ne...» J’ai dit: «A qui suis-je en train de parler?» Oh! j’ai dit: «Ai-je perdu la tête? Que s’est-il passé? A qui étais-je en train de parler?» Je me suis dit: «Cela devait être Dieu.» Je me suis dit: «Dieu se soucierait-Il de cet animal? Je savais qu’Il envoyait des gens. Mais je me souviens qu’Il a même dit que même un petit moineau ne peut tomber à terre sans que votre Père céleste le sache. Je sais qu’Il a parlé une fois à un homme par une mule, et bien des choses dans la Bible.»

39        Je suis sorti vers le pauvre opossum, là où il était couché. Et j’ai dit: «Père céleste, pardonne-moi. Si le... J’étais tellement pris par les occupations de la journée que je n’ai pas compris. Et si Tu as envoyé cet animal muet, qui n’a pas d’âme, mais qui a été conduit par l’instinct pour venir à ma porte afin que je prie pour lui, afin qu’il vive et élève ses petits, pardonne-moi, Seigneur. Et je Te prie au Nom de Jésus de le guérir.»

            Frère, soeur, lorsque je vous rencontrerai au Jugement, ceci retentira. La petite Becky se tenait là, en train de regarder. Cette pauvre mère opossum s’est levée, elle a pris ses neuf petits, elle a dressé aussitôt sa queue en l’air, elle a carrément descendu cette voie privée, aussi libre que possible. Lorsqu’elle est arrivée au bout de la route, elle s’est retournée. Et Becky m’avait entouré de ses bras, et j’avais entouré Becky de mes bras, et nous pleurions. Elle s’est retournée comme pour dire: «Merci, monsieur.» Et elle est entrée droit dans les bois, à ce que je sache, elle est heureuse avec ses petits là-bas dans les bois aujourd’hui.

40        Lorsque l’amour divin est projeté, et qu’il arrive à la fin de sa course, la grâce souveraine prend la relève et prend sa place. Frère, soeur, si Dieu... Cet opossum en savait plus sur la guérison divine que la moitié des prédicateurs de Phoenix. C’est juste.

            Elle avait assez de bon sens pour suivre la conduite de l’Esprit. Et si Dieu a pu envoyer un opossum par une grâce divine et l’amour divin pour protéger ses petits, combien plus se soucie-t-Il de vous et de moi ce soir, si nous Lui donnons tout l’amour de notre coeur, si nous Lui abandonnons notre volonté, et que nous Lui abandonnions tout! Il projettera vers nous Sa grâce souveraine, et celle-ci devra se manifester et apporter la guérison, si vous Lui donnez cet amour-là.

41        Le monde a besoin de voir davantage de cela. Le monde désire ardemment cela, de voir cet amour-là. Vous valez bien plus qu’un opossum. Vous valez bien plus que n’importe quel animal. Mais parfois Dieu peut traiter avec un animal, qui ne peut pas agir de lui-même, avant qu’il puisse aller vers un coeur de pierre qui est établi sur le libre arbitre, qui peut agir selon son désir. Inclinons la tête juste un moment.

            Ô Dieu, Toi qui as tant aimé le monde que Tu as donné Ton Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle... Nous Te rendons grâces et gloire, Toi qui sais toutes choses. Combien de récits pouvons-nous relater au sujet de Ton grand amour et de Ta grande grâce, que Tu nous as accordés. Et nous T’en remercions.

42        Et dans cette assistance ce soir, ô Dieu, que le pécheur, homme ou garçon, femme ou fille, qui a été divinement conduit dans cet endroit pour T’adorer ce soir, qu’ils sachent maintenant même que c’est Ton Esprit qui les a conduits ici, dans un seul but, celui de venir Te servir.

            Oh! parle à leur coeur maintenant. Et qu’ils envoient de leur coeur l’amour divin de Dieu en signe d’appréciation de ce que Tu les as conduits ici. Et la grâce répondra en envoyant un message, le message du salut du Seigneur: «Vos péchés pourraient être rouges comme le cramoisi, maintenant ils sont blancs comme la neige.» Accorde-le, Père, car nous le demandons en Son Nom.

43        Et pendant que nous avons incliné nos têtes dans la prière, je me demande ceci, mes amis: Pendant que nous parlions, ou soit avant que vous veniez à l’église, ou la semaine dernière ou le mois passé, l’année passée, quelque chose a-t-il parlé à votre coeur?

            Qu’est-ce qui vous a poussé, monsieur ou ma demoiselle, à venir à cette réunion ce soir? C’était le même Dieu qui a arrêté les animaux dans le champ. C’est le même qui a conduit la mère opossum, qui a posé tous ces actes qui sont l’amour. Dieu vous aime tellement, car Il vous a conduit à un endroit où vous pouvez L’accepter. Allez-vous le faire, sur base du Sang versé de Son Bien-Aimé Fils? Ce Dieu ne peut rien faire d’autre, mais c’est... Son grand amour L’a contraint à tel point qu’Il ne pouvait rien faire d’autre. La grâce a dû vous envoyer un Sauveur.

44        Et maintenant, si votre amour pour Dieu est le même que Son amour qui L’a poussé à envoyer Jésus, votre amour attirera Jésus à vous, et vous pouvez être sauvé. Si vous voulez accepter Christ et que l’on se souvienne de vous dans la prière, voulez-vous bien lever la main maintenant, partout en bas, et dire: «Par la grâce de Dieu je lève les mains et je dis: ‘Ô Dieu, conduis-moi à travers la vie et la mort, comme Tu conduis les autres, tel qu’on nous l’a dit ce soir.’» Que Dieu vous bénisse, monsieur. Y a-t-il quelqu’un d’autre en bas, voulez-vous lever la main? Que Dieu vous bénisse. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Levez les mains rapidement. Chrétiens, priez, vous qui êtes... Que Dieu vous bénisse là derrière au fond, je vois votre main. Y a-t-il quelqu’un d’autre? «Je lève ma main.» Que Dieu te bénisse là-haut, fiston. C’est bon.

            En haut au balcon, à ma gauche. Levez... Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Que Dieu te bénisse, fiston. Y a-t-il quelqu’un au balcon derrière, voulez-vous lever vos mains et dire: «Frère Branham, priez pour moi. Je désire que Dieu m’aide.»? Que Dieu vous bénisse là derrière; je vois vos mains. Et Dieu les voit certainement. Que Dieu te bénisse ici, fiston. Que Dieu–que Dieu vous bénisse, soeur, certainement.

45        Au balcon à droite, levez la main, dites: «Frère Branham, priez pour moi. Je désire réellement avoir Christ.» Que Dieu te bénisse, jeune homme. Que Dieu te bénisse là-haut, encore un jeune homme. Que Dieu te bénisse par là, jeune homme. Que Dieu te bénisse. Très bien. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Au fond derrière? Que Dieu vous bénisse là-haut, mon frère. C’est bon.

            Partout dans la salle, y a-t-il quelqu’un d’autre maintenant avant que nous–nous terminions? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Y a-t-il quelqu’un d’autre? C’est juste; levez la... Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu–Dieu vous bénisse, madame. Y a-t-il quelqu’un d’autre? «Je veux maintenant que Dieu...» Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse aussi, ainsi que vous. C’est juste.

            Vous direz: «Frère Branham, cela signifie-t-il quelque chose?» Certainement. Cela signifie la différence entre une séparation éternelle d’avec Dieu et rester éternellement dans la Présence de Dieu.

            Lorsque vous levez la main, cela signifie qu’il y a quelque chose en vous, vous avez la puissance en vous pour briser chaque loi de la science, pour briser, se libérer de la pesanteur. Et quelque chose en vous a fait un choix, et vous avez levé la main. Qu’est-ce que cela fait? Cela montre que vous acceptez l’amour divin de Christ. Quelque chose en vous vous a fait lever la main.

            Et la Bible dit... Que Dieu vous bénisse, madame. Oui. Que Dieu vous bénisse là derrière. Que Dieu vous bénisse, mes soeurs. Les jeunes filles espagnoles là au balcon derrière, je vous vois.

46        Qu’est-ce? Dieu vous a tant aimé. Son amour était tellement grand pour vous que Son amour a projeté un Sauveur pour vous. Il vous a tellement aimé qu’Il a donné Son Fils unique. Et voici le Saint-Esprit ici qui vous conduit. La Bible dit: «Nul ne peut venir à moi, a dit Jésus, si Mon Père ne l’attire premièrement.» Que Dieu vous bénisse, la dame espagnole assise ici.

            «Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique.» Ensuite que faites-vous? Quelque Chose en vous, Quelque Chose d’immortel dit: «C’est Moi qui parle ce soir, Mon enfant.»

            Et quand vous levez votre main, vous brisez chaque loi scientifique. «Oui, Père, je lève ma main pour montrer que je reconnais Ta voix. C’est Toi qui appelles.»

            Jésus a dit: «Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi, et nul ne peut les arracher de Ma main. Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en Jugement, mais Il est passé de la mort à la Vie.»

47        Y a-t-il quelqu’un d’autre pendant que je fais le ratissage de l’assistance? Levez simplement vos mains vers Christ. Que Dieu vous bénisse là, frère. Que Dieu vous bénisse aussi.

            Très bien, ici en bas à gauche. Pouvons-nous maintenant faire le tour pour voir simplement quelqu’un d’autre qui n’a pas levé les mains. Que Dieu vous bénisse là, monsieur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est bon.

            Nous retournons de nouveau au balcon derrière, y a-t-il quelqu’un qui n’a pas levé sa main? Au balcon à gauche, nous allons ratisser encore une fois. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu soit avec vous. Quelqu’un d’autre? Très bien, juste ici en bas. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, madame, là-haut. Encore ici en bas, encore une fois à gauche maintenant. Que Dieu vous bénisse, et vous, et vous, oui, et vous, et vous, frère. Que Dieu vous bénisse tous. Oui. Quelqu’un d’autre qui pense juste–juste–juste ceci, si Dieu parle à votre coeur et dit... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

48        Pouvez-vous imaginer, mes frères, ces petites histoires qui sont des choses mineures, je pourrais vous raconter des choses que je sais qu’Il a accomplies et qui vous étonneront. Ma vie est une vie mystérieuse, c’est vrai. Les gens ne comprennent pas, mais cela est arrivé parce que je L’aime.

            Lorsque Dieu a jugé bon de reprendre ma femme, mon bébé, et tout ce que je possédais, les gens n’avaient jamais pensé à mon petit bébé lorsque je... Ma femme était un cadavre, et mon bébé était mourant, j’ai couru à l’hôpital et je me suis prosterné devant Dieu. J’ai dit: «Ô Dieu, ne prends pas ma petite chérie. Ne le fais pas, Seigneur.» Et j’ai regardé devant moi, et un rideau noir est descendu, j’ai compris qu’Il allait la prendre.

            Alors Satan m’a parlé, il a dit: «Là-bas dans la morgue est étendue ta femme, à vingt-trois ans. Voici ton bébé de neuf mois, et Il l’a pris. Tu veux dire que tu vas encore Le servir?»

            Alors j’ai baissé les yeux, j’ai dit: «Même s’Il me tue, je Le servirai quand même.» Car il s’était passé quelque chose ici au fond de moi qui faisait que je L’aime parce que la Bible dit: «Ni les choses présentes, ni les épreuves, rien ne peut nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Christ.»

            Même s’Il m’envoyait dans les lieux des tourments au jour du Jugement, Il sera toujours juste. Et si j’ai la pensée que j’ai maintenant, pendant que je serais en enfer, je L’aimerais toujours. C’est une partie de moi. C’est ce qu’il en est. C’est ce qu’il en est de vous, mes amis, qui aimez le Seigneur. C’est ce que je désire qu’Il soit, une partie de vous, l’amour. Maintenant, alors que nous inclinons la tête, prions.

49        Père céleste, je ne saurais pas combien dans cette assistance ont levé la main vers Toi. Qui sont-ils, Père? Ils sont les dons d’amour que Tu donnes à Ton Fils Jésus. «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire. Tout celui qui vient à Moi, Je lui donnerai la Vie Eternelle. Et nul ne peut les ravir de Ma main.» Ils sont les dons de l’amour de Dieu.

            Et, ô Seigneur Jésus, en tant que Ton ministre et Ton serviteur indigne et inutile, je Te donne maintenant le fruit de ce message. Tout celui qui a levé les mains, inscris son nom dans le Livre de Vie. Tu as promis de le faire, et de les ressusciter au dernier jour. Maintenant qu’ils T’ont accepté, qu’ils ont écouté Ta Parole, qu’ils ont cru en Toi, ils sont nés de nouveau et ils ont reçu la Vie Eternelle.

50        Maintenant, Dieu notre Père, je Te prie de les baptiser du Saint-Esprit dans le Corps de Christ comme des croyants. Envoie ces jeunes hommes et ces jeunes femmes dans le champ de mission, les vieux comme les jeunes. Oh! nous avons besoin de recrues pour cette grande armée. Et un jour Tu feras le dernier appel, et ce sera fini.

            Accorde, Seigneur, que tous ceux qui ont levé leurs mains ce soir, et beaucoup de ceux qui–qui auraient pu lever leurs mains peut-être et qui ne l’ont pas fait, je prie pour qu’ils soient Tes enfants, et que Tu sois avec eux dans leur vie. Et un jour, lorsque ma voix sur ce grand écran radar fera vibrer ce sermon à la fin du monde, que ce jour-là, sur ce grand écran, Tu voies leurs mains et que Tu reconnaisses leur nom. Accorde-le, Seigneur. Je Te confie cela, Seigneur, nous prions au Nom de Jésus. Amen.

            Que le Seigneur vous bénisse, mes chers amis. Vous savez ce que... Vous avez reçu la Vie Eternelle.

51        Maintenant, je vais voir si Billy a distribué des cartes de prière. S’il l’a fait, nous allons avoir une ligne de prière. Si nous ne le faisons pas, je vais faire un appel à l’autel maintenant. (As-tu distribué des cartes de prière? Oui, oui. Hein! Quelle série? La série H de 1 à 100, de 1 à 100.) Il a distribué des cartes de prière.

            J’aimerais vous demander une chose. Tous ceux qui ont levé la main... je ne sais pas combien de temps la ligne de prière va durer, mais voulez-vous faire ceci pour la gloire de Dieu. A la fin du service, j’aimerais que vous veniez directement ici pour offrir un mot de remerciement à Dieu pour vous avoir appelés.

            Vous savez, c’est l’une des choses les plus merveilleuses qui soient. Il y aura peut-être des cancers qui seront guéris, des sourds ou des muets, ou peut-être des infirmes qui marcheront; ce sera merveilleux. Mais cela ne sera jamais aussi merveilleux que ce que vous venez de recevoir. Les gens tomberont de nouveau malades, mais vous avez la Vie Eternelle.

            J’aimerais que vous veniez, que vous me promettiez et promettiez à Dieu, ou plutôt promettiez à Dieu et à moi, que vous viendrez faire une prière à la fin du service.

52        Maintenant, combien n’ont jamais assisté à une de mes réunions, faites voir la main? Il y en a beaucoup. Maintenant, j’aimerais que vous sachiez. Vous venez probablement de toutes les dénominations et églises. Mais ici nous ne représentons aucune dénomination, nous essayons seulement de représenter notre Seigneur béni, Celui que vous aimez, Celui que votre église prêche et dont elle parle. Nous n’essayons pas de faire de quiconque un disciple. Nous essayons seulement de vous amener à tomber profondément amoureux du Seigneur Jésus et à commencer à gagner des âmes pour Lui.

            Eh bien, dans la ligne de prière je ne prétends pas être un guérisseur ni avoir un quelconque pouvoir pour guérir quelqu’un, je ne crois pas non plus qu’il y ait quelqu’un qui a le pouvoir de guérir, à part Dieu. Je crois qu’il n’y a pas un hôpital, un médecin, une opération, ni quoi que ce soit qui ait déjà guéri quelqu’un. Je crois qu’un médecin est envoyé sur terre par Dieu. Je crois que les médecins, lorsque vous vous fracturez un bras, il peut remettre votre bras en place; il ne peut pas le guérir. Il peut le remettre en place alors que Dieu le guérit. Un médecin peut ôter une tumeur, ou un appendice, ou une dent, mais qui est-ce qui guérit l’endroit d’où cela a été ôté? Cela consiste à ôter une obstruction. Qui va guérir l’endroit? Dieu et Dieu seul.

53        Eh bien, le Seigneur voulant, nous allons commencer demain soir avec Dieu dans Sa Parole. Voyez? Et Dieu a dit dans Sa Parole: «Je suis l’Eternel qui guéris toutes tes maladies.»

            Et il n’y a jamais eu un médicament, il n’y a jamais eu une opération, il n’y a jamais eu un guérisseur divin, il n’y a jamais eu quiconque d’autre qui ait pu créer et former des cellules, à part Dieu seul. Le diable ne peut pas le faire. Le diable ne peut pas créer. Il peut seulement pervertir ce que Dieu a créé. C’est le diable qui vous donne la tumeur, il corrompt une cellule. Voyez-vous? Il ne peut pas créer une cellule. Il peut en corrompre une, s’il peut introduire sa vie dedans. Mais il ne peut rien créer.

            Alors je déclare que Dieu, pas moi... Mais la Bible dit que Dieu a établi dans l’Eglise des apôtres, des prophètes, des docteurs, des évangélistes et des pasteurs. Ils sont établis pour le perfectionnement de l’Eglise.

54        Eh bien, je ne suis pas un prédicateur, comme vous le savez. Et je le sais mieux que quiconque que je ne suis pas un prédicateur qui doit prêcher. Mon–mon travail, c’est de prier pour les enfants de Dieu malades par des visions que je reçois. Et c’est le travail du Seigneur Jésus. Prêcher, c’est le travail du Seigneur Jésus; les évangélistes, les pasteurs, tous font le travail du Seigneur Jésus. Nous avons beaucoup d’imitateurs, mais il y a également un véritable serviteur.

            Maintenant, remarquez. Lorsque Jésus était ici sur terre, prétendait-Il être un Guérisseur? Non, non. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui habite en Moi.» Il a dit dans Saint Jean 5.19: (Pensez-y: c’est comme une poignée et deux douzaines d’oeufs, lorsque vous rentrerez chez vous lisez cela, le chapitre tout entier de Saint Jean.) «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.»

55        Un Juif est venu vers Lui, et Il a dit: «Eh bien, tu es un croyant. Voici cet Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Celui-ci a dit: «Quand m’as-Tu connu, Rabbi?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, Je t’ai vu sous l’arbre.» Combien savent que c’est vrai? Saint Jean 1. Certainement.

            Ce Juif-là a dit: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»

            Il a dit: «Parce que Je t’ai dit ceci, tu crois.» Eh bien, c’était probablement à trente miles [48 km] de l’autre côté de la montagne qu’il l’avait trouvé le jour précédent, mais à présent il était ici. Il croyait.

            La femme au puits. Il est monté... Il était en route vers Jéricho qui est en bas par rapport à Jérusalem. Il fallait qu’Il passât par la Samarie, Il devait contourner la Samarie. Il a envoyé Ses disciples au loin. Une femme de mauvaise réputation est sortie pour puiser de l’eau. Il... Elle était une Samaritaine, elle n’était donc pas une Juive.

            Maintenant, souvenez-vous bien cependant que lorsqu’Il a fait cela devant les Juifs, les Juifs ont dit: «C’est le Messie, le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»

56        Maintenant, voici venir une Samaritaine, et Jésus a dit: «Femme, apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs demandiez pareille chose à nous les Samaritains. Nous n’avons pas une telle coutume.» En d’autres termes, il y avait une ségrégation, comme dans le Sud, entre les Blancs et les hommes de couleur.

           

            Mais Jésus lui a fait comprendre qu’il n’y avait aucune différence lorsqu’on se trouve dans la Présence de Dieu. Il a dit: «Si tu savais à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.» Et la conversation s’est poursuivie pendant longtemps.

            Finalement, Jésus a découvert ce qu’était son problème. Le Père L’avait envoyé là-bas. Le Père m’a envoyé ici.

            Or, Il ne connaissait pas la femme, Il ne l’avait jamais vue. Mais Il était en train de contacter son esprit. Et Il lui a dit, lorsqu’Il a découvert son problème, Il lui a dit: «Va chercher ton mari.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est juste. Tu en as eu cinq, et celui avec lequel tu vis maintenant n’est pas ton mari. Donc en cela tu as dit vrai.»

            Ecoutez ce qu’a dit cette femme. Eh bien, elle était une Samaritaine, elle semblait être une croyante froide et formaliste. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Nous savons (nous les Samaritains), nous savons que lorsque le Messie sera venu, Il fera cela. Il nous annoncera les choses à venir. Mais, a-t-elle dit, Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Et elle est entrée dans la ville en courant. Elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?» Si c’était le signe du Messie en ce jour-là, et la Bible dit dans Hébreux 13.8: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement», ça doit être le même signe du Messie ce soir.

57        Nous n’avons pas d’espace ou plutôt de temps pour parler davantage. Croyons.

            Dieu notre Père, je m’abandonne à Toi et Te confie ce service. J’ai longuement parlé de Toi. Parle, ô Dieu. Un seul mot de Ta part vaut plus que ce que je pourrais dire durant toute ma vie. Et que Ton Saint-Esprit parle ce soir et accomplisse ces choses que Tu as promises, et toute la gloire Te reviendra; nous prions au Nom de Christ. Amen.

            Maintenant... C’était quelle série? H. Très bien. Nous ne pourrons pas mettre debout trop de gens à la fois. La série H numéro 1, 2, 3, 4, 5. Alignez-vous tout simplement par ici maintenant. Maintenant, surveillez... Jetez un coup d’oeil chez vos voisins pour voir s’ils ont... S’ils peuvent entendre, jetez un coup d’oeil sur leurs cartes de prière pour voir où sont ces numéros. 5, 6, 7, 8, 9, 10, alignez-les... Pendant qu’ils viennent prions pour ces mouchoirs.

58        Dieu Tout-Puissant, en Qui nous croyons et nous nous confions. Que Ta miséricorde pleuve sur ces mouchoirs. Opère de grands miracles et prodiges en guérissant les malades. Je les envoie aux malades et aux nécessiteux au Nom de Ton Bien-Aimé Fils, le Seigneur Jésus, qui nous a tant aimés. Amen.

            Eh bien, certains parmi vous oignent les mouchoirs, et–mais si vous remarquez dans la Bible... Actes 19, Paul ne les oignait pas. C’est très bien. Les oindre, c’est OK. Mais Paul n’oignait pas les mouchoirs; les gens utilisaient des linges et des mouchoirs qui avaient touché son corps.

            Très bien. Ai-je dit 5? 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15. H–H-1 jusqu’à H-15, que ces gens entrent dans la ligne. Et maintenant, j’aimerais... Pendant qu’ils viennent, j’aimerais que vous regardiez dans cette direction. Très bien. Et si le... certains d’entre eux vont descendre, ou... Je pense que certains les aident.

59        Maintenant, j’aimerais vous demander quelque chose: si le Seigneur Jésus, de l’amour de–de Qui nous avons parlé, Qui a aimé des animaux, Qui a aimé les hommes, Qui vous aime dans votre péché, Qui vous aime dans vos différences, Celui qui vous aime dans votre maladie... Si la Bible dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, s’Il vient sur cet estrade au milieu de ces gens et qu’Il reproduit Sa Vie par les mêmes oeuvres qu’il faisait lorsqu’Il était sur terre, allez-vous L’accepter d’un commun accord pour tout ce dont vous avez besoin? Allez-vous le faire, partout?

            Maintenant, vous les petits enfants qui êtes fraîchement venus à Christ ce soir, voyez si vous servez ou si vous avez accepté un Christ mort ou un Christ vivant. Il est vivant à jamais.

            Et maintenant, voyons voir. Alignent-ils encore les gens? Très bien. Très bien, juste une minute en attendant de voir que ça s’est calmé par ici.

60        Combien n’ont pas de cartes de prière? Faites voir vos mains. Très bien. Regardez et vivez, regardez et... Est-ce que la Bible dit... Dans la Bible, quand Jésus traversait un groupe de gens et qu’une petite femme a touché Son vêtement, Il s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?»...

            Or, nous savons que le vêtement palestinien est ample, et il comporte un vêtement de dessous. Et Il aurait pu la toucher d’une manière physique, ou plutôt sa–senti physiquement le toucher de cette femme. Elle a touché Son vêtement, et elle est retournée se tenir quelque part dans la foule. Jésus s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?»

            Pierre L’a repris, Il a dit: «C’est toute la foule qui Te touche. Pourquoi dis-Tu: ‘Qui M’a touché?’»

            Ils ont tous nié. Elle a nié elle aussi, mais Jésus était revêtu d’une puissance. Alors Il a regardé tout autour jusqu’à ce qu’Il a trouvé ce qui n’allait pas. Il a trouvé la petite femme, et Il a dit: «Ta foi t’a sauvée.» Est-ce juste?

            Eh bien, est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement? La Bible dit-Elle qu’Il est maintenant même un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? Alors regardez et vivez. Croyez en Lui, ensuite laissez-Le confirmer cela.

61        Maintenant, Il n’a pas d’autres mains sur terre, sinon les miennes et les vôtres. Il n’a pas d’autres yeux, sinon les miens et les vôtres. Il n’a pas d’autre bouche, sinon la mienne et la vôtre. Mais Il veut que nous Lui abandonnions ce que nous possédons comme des sarments, et Il est le Cep qui donne l’énergie. Le cep ne porte pas de fruit, n’est-ce pas? Ce sont les sarments qui portent les fruits. Il a dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.»

            Maintenant, nous devons porter les fruits de Son ministère jusqu’à ce qu’Il vienne. La Bible dit, c’est Jésus qui le dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus. (C’est-à-dire lorsqu’Il est parti dans Son corps physique; les gens n’en sauraient plus rien du tout, eh bien, ça c’est le monde.) Le monde ne Me verra plus du tout (C’est fini.) Mais vous, vous Me verrez. («Vous», c’est le croyant). Car Je serai avec vous (Pendant combien de temps?) jusqu’à la fin du monde.» Est-ce juste? «Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Eh bien, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Soyons respectueux et prions. Maintenant...

62        Maintenant, s’il vous plaît, je vais vous demander pendant quelques instants, disons peut-être quinze minutes. Si vous voulez bien rester très calmes. Maintenant, nous avons entendu le message. Les pécheurs ont accepté Christ. Nous avons certainement trouvé grâce à Ses yeux.

            Maintenant, qu’y a-t-il ensuite, Frère Branham? Très bien. C’est Dieu qui, partout, conduisait ces pécheurs vers Lui. C’est Dieu. Maintenant... «Que faites-vous maintenant, Frère Branham?» Je m’abandonne à l’Esprit par un don divin. Je–je m’abandonne tout simplement à Son Esprit; Il prend le contrôle. C’est Lui qui travaille, pas moi. Ce ne sont pas mes propres paroles que je prononce. C’est peut-être ma voix, mais c’est Sa puissance qui parle à travers cette voix. C’est juste comme la mule, ou les prophètes, ou tout ce dont Dieu prend le contrôle. Il utilise cela.

63        Maintenant, voici un homme. Approchez, monsieur. Maintenant, voici un homme qui se tient ici ce soir, et à ce que je sache, nous sommes tous des inconnus l’un pour l’autre. Si c’est juste, levez la main.

            Eh bien, je ne connais pas cet homme. Il ne me connaît pas. Si je venais ici et que je disais: «Je vais poser mes mains sur vous. Alléluia! Vous allez guérir.»

            Eh bien, il a en quelque sorte le droit de dire: «Eh bien, j’espère que je vais être guéri.» Vous voyez?

            Mais si je dis: «Oh! encore six mois, vous avez besoin d’argent. C’est ce que vous venez demander à Dieu. Vous avez une petite famille qui meurt de faim, et vous avez besoin d’argent. Après demain vous aurez cela.»

            Eh bien, il aura le droit de dire: «Bien, je–peut-être que j’aurai cela.»

            Ou bien, s’il désire que l’on prie pour quelqu’un d’autre. «Oh! ils obtiendront cela.» Il aura le droit d’en douter un peu. Mais si le Saint-Esprit descend dans sa vie, comme Il a fait avec Philippe...

64        Bon, cet homme pourrait être un critiqueur. Il pourrait être un infidèle. Il pourrait être un chrétien. Je ne sais pas. Je n’ai jamais vu cet homme. Mais quoi qu’il soit, écoutez ce que le Saint-Esprit dira à son sujet.

            Et puis, si le Saint-Esprit lui révèle quelque chose qui a été, il saura certainement si c’est vrai ou pas. Si donc Il lui révèle ce qui a été, il aura la foi pour croire ce qui sera. Est-ce juste? Alors il en sera le juge. Et ce sera tout simplement la même chose que Jésus a faite lorsqu’Il était ici sur terre.

            Maintenant écoutez, c’est un homme. Il y eut un homme qui vint vers le Seigneur Jésus, un homme bon. Et Jésus a dit: «Voici un Israélite.» Or, les gens s’habillaient tous de la même manière. Il pouvait ne pas être un Israélite. Il pouvait être un Grec ou quelque chose d’autre. Mais Jésus savait qu’il était un Israélite, un homme bon, honnête. Et cela l’a un peu surpris. Il a dit: «Quand m’as-Tu connu, Rabbi (ou Révérend, Docteur)?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Quels yeux! A trente miles [48 km], de l’autre côté de la montagne, le jour précédent. C’était la première fois qu’Il le voyait.

            Et cet homme L’a regardé et a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu.»

            Jésus a dit: «Parce que Je t’ai dit cela...» Voyez, c’était le signe du Messie.

65        Maintenant, je ne sais pas s’Il le fera ou pas. Je ne saurais le dire. Cela dépend de Dieu seul. Mais soyez respectueux, s’il vous plaît, et nous avons confiance que Dieu le fera. Et, pensez-y, s’Il le fait vraiment, eh bien, cela devrait électriser cette ville.

            Comment pouvons-nous rester assis là si empesés et l’air égaré, sachant bien que le Christ vivant est parmi nous. Cela montre qu’il y a quelque chose qui cloche. C’est juste. Maintenant, soyez très respectueux. Je vais parler à cet homme.

            Maintenant, monsieur, je vois que vous portez un insigne qui dit: «Ouvrier indépendant.» Très bien. Maintenant, si nous ne nous connaissons pas et que le Seigneur Jésus me révèle ce que vous êtes venu Lui demander... Venir me demander quelque chose ne servirait pas à grand-chose, parce que j’ai... S’il s’agit de l’argent. Je pourrais avoir deux ou trois dollars à vous remettre, mais je le ferai si vous en avez besoin. Je vous donnerais tout ce que j’ai, si je pouvais vous aider.

            Mais si vous avez besoin de la guérison ou de quelque chose d’autre, ça pourrait être quelque chose que je ne pourrais pas faire pour vous. Mais vous savez ce que vous désirez. Et si vous savez ce que vous désirez et ce dont vous avez besoin, Il est en mesure de me le dire comme Il l’avait dit à la femme au puits. Est-ce juste? S’Il le fait, allez-vous l’accepter? L’assistance va-t-elle accepter cela et croire?

66        Maintenant, voici le moment où je serai trouvé soit véridique soit menteur. Voyez? Soit c’est la vérité, soit ce–c’est un mensonge. Et, souvenez-vous, ce n’est pas quelque chose que je peux faire de moi-même, c’est Dieu qui permet que cela soit fait, et vous le savez tous, par un don divin. Puisse-t-Il accorder cela.

            Maintenant, soyez simplement tranquille. Ne vous déplacez pas. Voyez? Une fois que l’Esprit s’empare... Chacun de vous est un esprit. Vous savez cela. Et si vous ne l’étiez pas vous seriez mort. C’est donc votre esprit (Vous voyez?) que je saisis. Et lorsque cela touche... Priez simplement, s’il vous plaît... Restez simplement tranquille. Ne vous déplacez pas; priez simplement, et dites: «Ô Dieu, aie pitié de moi.» Observez ce qu’Il fera pour vous ce soir partout dans l’assistance, les amis... Est-ce juste? Cela se produit beaucoup plus dans l’assistance qu’ici sur l’estrade.

            Beaucoup de gens ne disent même rien au sujet de leurs lettres qui affluent et tout, comment ils vont chez des médecins, et tout, comment ils viennent; et la maladie n’est plus. Voyez? Ayez simplement la foi: croyez.

67        Maintenant, si je pouvais vous aider et que je refusais de le faire, je serais une personne cruelle. Mais je ne peux pas vous aider, mais Dieu peut vous aider. Si Dieu me révèle ce que vous attendez de Lui, allez-vous alors croire en Lui, allez-vous croire que je suis Son serviteur?

            Si l’assistance entend encore ma voix, je vois cet homme en train de marcher; c’est dans la salle. Et son problème se trouve ici tout près de ses yeux ou à la tête. C’est un–c’est la sinusite. Je le vois se frotter un peu comme ceci de ce côté, la sinusite. Et vous avez un problème dans l’un de vos côtés. C’est juste. Vous avez subi une opération. Et c’est cette opération qui a fait que votre côté soit comme cela. C’est juste. Maintenant, est-ce que vous croyez? Est-ce la vérité? Est-ce que vous croyez? Alors prions.

            Bienveillant Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, je Te prie de répandre Ta miséricorde pour cet homme par le Saint-Esprit, et qu’il soit guéri au Nom de Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère. C’est fini maintenant, partez en vous réjouissant, et soyez heureux.

68        Bonsoir, madame. Je serais un hypocrite de me tenir ici devant cette chaire sacrée, si je pouvais vous aider, vous savez que je le ferais volontiers. Voyant que vos cheveux grisonnent, vos mains ont probablement travaillé pendant bien des jours, et vous voici debout ici ce soir, désirant quelque chose de la part de Dieu. Si je pouvais vous aider, je le ferais. Mais tout ce que je peux faire, c’est prêcher la Parole du mieux que je peux, et puis vous aider si possible par un don divin.

            Je vous vois à la maison ou quelque part, et vous apprêtez une table. C’est quelque chose qui se passe quand vous mangez. C’est votre estomac. Vous souffrez de l’estomac. C’est juste. Et puis, vous avez une grosseur: cette grosseur se trouve dans le côté. C’est juste, n’est-ce pas? Levez la main si c’est juste. Eh bien, Il vous connaît, et vous savez que moi, je ne vous connais pas. Croyez-vous qu’Il vous guérira si je le Lui demandais? Il y a ici Quelque Chose qui m’oint. Vous le savez, je... Vous le savez. Que pensez-vous que c’est? Pensez-vous que c’est Dieu? Eh bien, et puis Dieu a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Le croyez-vous?

            Notre Père céleste, j’impose les mains à cette femme et je demande qu’elle soit guérie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Maintenant, partez en croyant. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur maintenant. Que Dieu vous bénisse, soeur.

69        Qu’en pensez-vous? Vous qui êtes assis là, en train de prier, n’est-ce pas? Si je vous disais la chose pour laquelle vous priez, allez-vous croire que je suis le prophète de Dieu? C’est au sujet de votre dos. C’est juste, n’est-ce pas? Si c’est juste, levez la main. Très bien. C’est fini maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous et être guéri. Votre foi a touché Quelque Chose, n’est-ce pas? Elle a touché Christ. Maintenant, ayez la foi et croyez.

            Je demande à cette assistance, au Nom de Christ, de regarder dans cette direction et de croire au Seigneur Jésus-Christ. Regardez simplement et vivez. Ne doutez pas, mais ayez la foi.

            Très bien, jeune dame, étant donné que vous êtes assise là en train de prier comme cela, parce que j’ai parlé de son dos, vous souffrez aussi du dos. C’est juste. C’est juste. Vous avez aussi la sinusite. C’est vrai, n’est-ce pas? Vous êtes juste là en train de prier, disant: «Seigneur, que ce soit moi ce soir.» Est-ce juste? Très bien, vous l’avez reçu maintenant. Vous L’avez touché.

            Voyez-vous ce que je veux dire? Regardez et croyez. La Bible dit: «Regardez et croyez.» Est-ce que vous croyez?

70        Que pensez-vous, vous qui êtes assis là, ayant votre main sur...? Est-ce que vous croyez? Vous étiez aussi en train de prier, n’est-ce pas? Croyez-vous que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, m’a envoyé faire ceci? Le croyez-vous? Très bien. Vous avez une maladie de la peau, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez la main. Croyez-vous que vous êtes guéri? Très bien. Rentrez chez vous et soyez alors guéri au Nom de Christ. Est-ce que vous croyez?

            Bon, madame, je crois que je suis un inconnu pour vous. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Mais Dieu vous connaît. Pas vrai? Un homme par ici...?... Très bien, ayez maintenant la foi. Si Dieu me révèle pourquoi vous êtes ici, allez-vous croire cela? Maintenant, vous voyez, la raison pour laquelle vous ne... Je pourrais vous parler pendant un long moment. Plus je parle, Il pourrait continuer à me révéler des choses; et plus je parle, plus Il me montre des choses. Voyez-vous? Mais quand j’entre en contact avec votre esprit (Voyez-vous?), c’est ce qui produit cela.

            Vous avez été malade cette semaine, n’est-ce pas? Franchement, vous étiez alitée pendant toute la semaine. C’est juste. Vous avez eu des hémorragies. C’est juste. Vous avez une colite dans les intestins, n’est-ce pas? Vous vous appelez Madame Reynolds, n’est-ce pas? Oui, oui. Vous habitez au 2010 de la rue Henshaw. Maintenant, rentrez là-bas, soyez guérie et rétablie au Nom du Seigneur Jésus. Si tu peux croire, tout est possible.

71        Très bien, madame. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue, je ne sais rien à votre sujet; mais il y a ici Quelqu’Un qui vous connaît bien. S’Il se manifeste, allez-vous croire en Sa résurrection? Eh bien, écoutez. Vous êtes consciente que quelque chose est en train de se passer, n’est-ce pas? Et vous savez que vous ne vous sentiriez pas ainsi du fait que moi, je me tiens ici. C’est cette Lumière qui s’est arrêtée sur vous. Voyez, c’est ce qui fait que vous...?...

            Eh bien, vous souffrez d’une extrême nervosité, cela est dû à cette période de la vie que vous traversez. Et vous avez quelque chose qui ne va pas dans votre poitrine, vous avez quelque chose qui ne va pas dans votre estomac. C’est juste. Et vous avez une grosseur sur votre jambe, ça ressemble à un nodule. C’est juste. Maintenant, croyez-vous que je suis Son prophète, je veux dire, Son serviteur? Ce mot achoppe les gens. Est-ce que vous croyez? Alors je... Il vous aidera certainement. Oui.

            Vous avez quelqu’un d’autre pour qui vous priez. Et c’est votre petit enfant, votre petite-fille, votre petite-fille. Et elle a une grosseur au genou. Et elle n’habite pas cette contrée. Elle habite une région plane de l’est. C’est dans l’Ohio. C’est l’exacte vérité. Un instant, un instant, madame!

72        L’homme assis juste ici, le missionnaire, le prédicateur, sa femme est assise à côté de lui, en train de prier pour un mal de tête. Il y a quelque chose au sujet de l’Ohio qui vous concerne. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue. Mais c’est quelqu’un qui vous est proche qui a été guéri de la tuberculose au cours de mes services dans l’Ohio. C’est un petit garçon, et on avait prié pour sa mère pour le même cas. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Très bien, poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé, madame. Que Dieu ait pitié de vous. Oh! croyez-vous maintenant?

            Maintenant, monsieur, je ne vous connais pas, vous le savez bien. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît bien. Donnez-moi la main un instant. Vous avez des ulcères. C’est juste. C’est correct. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Le croyez-vous? Vous faites quelque chose qui aggrave ces ulcères. Le tabac vous ruinera, cela rendra votre état pire que jamais. Croyez-vous que Dieu vous débarrassera de cette cigarette et fera de vous... Allez-vous abandonner cette cigarette et votre vie à Christ, maintenant même? Allez-vous le faire? Que le Dieu du Ciel ôte donc l’iniquité de cet homme et le guérisse au Nom de Jésus-Christ. Amen. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, monsieur. Allez adhérer à une très bonne église et faites...

73        Ne vous déplacez pas, mes amis. Restez tranquillement assis. Voyez? Quelque chose s’est produit. J’ai vu un hôpital. C’est une vieille femme, et elle est dans un–un hôpital psychiatrique. C’est la mère de cette femme qui est assise juste là. Elle prie pour sa mère qui est dans un... Croyez-vous que Dieu va la guérir? Que le Seigneur vous l’accorde, soeur.

            Dieu peut guérir le cancer, n’importe quelle autre maladie et vous rétablir. Croyez-vous qu’Il peut ôter de vous ce cancer? Alors je condamne cela, au Nom de Jésus-Christ que cela vous quitte. Amen. Ayez foi en Dieu.

            Bonsoir, monsieur. Ces heures fatigantes pendant lesquelles vous toussez, l’asthme est une chose horrible. Mais croyez-vous que Jésus-Christ peut vous guérir? Est-ce que vous croyez? Notre Père céleste, je bénis cet homme au Nom de Jésus-Christ; qu’il soit guéri. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Partez, et soyez guéri.

            Ma soeur, Dieu peut guérir ce trouble cardiaque autant que n’importe quoi d’autre. Croyez-vous qu’Il va vous guérir de ce trouble cardiaque si je le Lui demande? Votre problème, c’est un coeur qui palpite. Cela empire lorsque vous vous couchez. Voyez-vous? Je vous vois couchée, vous étouffez; en fait ce sont des gaz, parce que cela remonte et presse le coeur. Ô Dieu du Ciel, calme les nerfs de cette pauvre petite femme et guéris-la au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Ayez la foi maintenant.

            C’est étrange, lorsque je lui ai dit cela, quelque chose vous est arrivé, n’est-ce pas? C’est la même chose. Vous étiez toutes les deux guéries au même moment. Alors quittez simplement l’estrade en vous réjouissant, en disant: «Grâces soient rendues à Dieu!»

74        Approchez, madame. Cette dame qui vient, une ombre noire la suit, l’ombre de la mort, c’est le cancer. Croyez-vous que Dieu va vous guérir, madame, et vous rétablir?

            Notre Bienveillant Père céleste, alors que ma propre force est en train de s’en aller, je prie pour cette femme. Oh! si Tu as pu guérir un opossum, à combien plus forte raison peux-Tu guérir cette sainte! Je condamne cet esprit de la mort qui est sur elle, et je demande qu’elle vive au Nom de Jésus. Amen. Partez, soyez heureuse, soeur, réjouissez-vous.

            Vous avez un problème d’estomac, vous êtes nerveuse. Cela vous plonge dans une sorte d’angoisse, le renvoi de la nourriture et tout ce qui entre dans votre estomac. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Allez-vous maintenant L’accepter comme votre Guérisseur? Ô Eternel Dieu, au Nom de Jésus-Christ, je condamne ce démon qui fait du mal à ma soeur, et je demande qu’il la quitte au Nom de Christ! Amen.

            Ayez foi en Dieu. Est-ce que tout le monde croit? Croyez-vous de tout votre coeur? Oh! ceci peut arriver heure après heure. Mais qu’est-ce que cela confirme? Jésus-Christ est vivant. Jésus est ici.

75        Qu’en pensez-vous, la jeune dame en train de me regarder, là, souffrant d’un problème gynécologique, juste là au fond de l’auditoire? Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Le croyez-vous de tout votre coeur? Si vous le croyez, très bien, vous pouvez l’obtenir. Très bien. Que le Seigneur vous bénisse.

            Qu’en pensez-vous, vous autres. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que Dieu vous guérira maintenant? Je vous assure, mon ami, regardez ici. Je suis tellement faible que j’arrive à peine à me tenir debout ici. Je... Et toute la salle semble simplement être comme un–un... Je sais que vous n’allez pas me traiter de fanatique; vous ne le ferez certainement pas.

            Si en touchant Son vêtement une petite femme a fait sortir de Lui la vertu, qu’en serait-il (et c’était le Fils de Dieu), qu’en serait-il de moi un pécheur sauvé par grâce? Et qu’est-ce qui produit ces visions? Ce n’est pas moi, c’est vous. C’est votre foi qui Le touche, et Lui répond. Est-ce que vous comprenez? Croyez-vous qu’Il est vivant? Croyez-vous qu’Il est ici pour vous guérir? Alors pourquoi ne pas L’accepter?

76        Je me demande ici même pendant que nous nous tenons ici, combien parmi vous sont convaincus que le Seigneur Jésus est ici? Levez la main. Maintenant, je vais demander à ceux... Une minute, pendant que nous arrêtons la ligne une minute. Ceux qui ont levé la main, de même que ceux qui n’ont pas levé la main, j’aimerais que vous veniez ici juste une minute. Pendant que l’onction est ici sur moi, je–je–j’aimerais que vous veniez ici. J’aimerais que vous veniez ici, juste... J’aimerais prier pour vous. Vous les pécheurs, qui avez levé la main, j’aimerais que vous veniez. Les pécheurs qui viennent et qui cherchent le salut... J’aimerais que vous veniez à l’autel juste ici maintenant. Descendez des balcons, tout le monde. Voulez-vous venir maintenant même. J’aimerais que vous vous teniez ici pendant que nous prions pour votre âme, ce qui vaut de loin plus que votre guérison physique. Ne voulez-vous pas venir?

77        Que Dieu bénisse ce pauvre vieillard qui s’avance sur des béquilles. Monsieur, venez Lui donner votre coeur; vous pourrez vous en aller sans vos béquilles. «Cherchez premièrement le Royaume de...»

Et Tu m’invites à venir à Toi,

Ô Agneau de Dieu, je...

            Ce qui est–c’est juste. Descendez directement des balcons. Venez directement ici maintenant. Vous direz: «Frère Branham, pourquoi arrêtez-vous la ligne de prière plus tôt?» Parce que je cherche les perdus. C’est ça. Je veux que vous veniez maintenant. Descendez carrément. C’est juste, faites-les passer là derrière. Descendez directement et tenez-vous ici une minute. Je voudrais m’approcher là pour prier avec vous. C’est ça. Descendez directement dans cette direction. Avancez juste ici.

... Sang qui a été versé pour moi,

Et Tu m’invites à venir à Toi,

Ô Agneau... je viens! je viens!

78        Très bien, vous les rétrogrades, j’attends que le Saint-Esprit vous conduise ici.

            J’ai vu une jeune fille de couleur descendre, se tenir ici. Elle porte une petite robe rouge, avec un petit ruban blanc dans ses cheveux. Autrefois une petite fille avait été emmenée en captivité. Et elle a dit à son maître: «Oh! si vous étiez dans mon pays. Il y a là un prophète qui peut te rétablir et te guérir de cette lèpre.» Le témoignage que cette petite fille a rendu de sa foi dans le prophète a fait qu’une histoire immortelle soit écrite dans la Bible.

            Voulez-vous simplement descendre maintenant? Venez carrément, vous qui avez besoin de Christ. Vous qui avez un besoin spirituel de Christ, ne voulez-vous pas venir? Je crois qu’il y a plus de mains que ceci qui s’étaient levées. Je veux que vous veniez carrément. Ne voulez-vous pas le faire? Je vous persuade maintenant.

79        Il y a quelque temps... Vous avez peut-être entendu cette petite histoire. Il y a quelque temps de cela. Il y avait un homme qui comparaissait en jugement, il était jugé. Pendant qu’il était jugé, il a dit au juge... Le juge l’a trouvé coupable et a dit: «Je te condamne à la pendaison, jusqu’à ce que mort–mort s’en suive.»

            Et cet homme s’est précipité, il a dit: «Juge, ne me reconnaissez-vous pas?»

            Ce dernier a dit: «Non, je ne te reconnais pas.»

            Il a dit: «Un jour, lorsque j’étais un petit garçon, j’étais couché dans une charrette. Vous étiez alors un jeune homme, juge. Quelqu’un a tiré un coup de feu dans la rue. Les chevaux se sont emballés et ils allaient se précipiter du haut d’une grande falaise. Et vous avez couru jusque devant ces chevaux, et vous les avez arrêtés, et vous vous êtes écorché les pieds, jusqu’à ce que vous avez arrêté ces chevaux et vous m’avez sauvé la vie.» Il a dit: «Juge, je suis ce garçon-là. Sauvez-moi encore, juge.»

            Il a dit: «Jeune homme, ce jour-là j’étais votre sauveur. Aujourd’hui je suis votre juge.» Il se pourrait que cela vous soit dit. Ce soir, Il est votre Sauveur, le matin Il pourrait être votre Juge. Ne voulez-vous pas venir pendant que nous chantons encore une fois?

Tel que je suis, et je n’attends pas,

Pour débarrasser mon âme d’une tache sombre,

A Lui, dont le Sang... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

80        Et vous êtes ici pour rendre grâces à Dieu pour Sa bonté envers vous. Maintenant, nous allons incliner la tête partout dans la salle pour prier.

            Père miséricordieux, sois bienveillant maintenant. Et je prie pour chacun de ces gens qui se tiennent ici, afin qu’ils soient touchés par Ta puissance divine. Je Te prie de leur accorder le pardon de tous leurs péchés. Accorde-le, Seigneur, je sais que Tu l’accorderas. Tu as promis que Tu le ferais.

            Et maintenant nous les présentons à Christ, parce que Dieu les a appelés à cet autel de la repentance, et ils ont accepté Jésus comme leur Sauveur personnel. Et ils se tiennent ici comme un témoignage pour ces gens, montrant qu’ils ont accepté Christ comme leur Sauveur personnel.

            Maintenant, ô Dieu, je Te prie de les baptiser dans le Corps du Seigneur Jésus par le baptême du Saint-Esprit. Et Tes serviteurs expérimentés que voici les ont instruits, eux qui peuvent se tenir ici et leur faire comprendre cette grande révélation... Je prie pour qu’ils reçoivent le Saint-Esprit ce soir. Accorde-le, Seigneur. Bénis tous ceux qui sont dans Ta Présence divine.

81        Cette dame qui se tient ici attendant sa guérison, je lui impose les mains et je Te demande de la guérir au Nom de Christ. Je Te demande de guérir chacun d’eux, tous ceux qui sont ici, chaque malade.

            Oh! Satan, tu sais que tu vas perdre la bataille. Christ t’a vaincu au Calvaire. Tu n’as aucune puissance, tu as été dépouillé de tout ce que tu avais. Tout ce que tu es n’est qu’un grand bluff, et nous te démasquons dans ce bluff au Nom de Jésus-Christ. Sors de cette salle! Sors de ces gens et pars d’ici! Et que l’esprit de doute et de superstition quitte cette salle, car le Dieu des Cieux qui a ressuscité Son Fils Jésus-Christ, qui est présent en ce moment même pour guérir chaque malade et déverser le baptême du Saint-Esprit sur les gens... Accorde-le, ô Dieu, au Nom de Jésus.

82        Maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée, que tout le monde est en train de prier, croyant... Maintenant, vous ici qui cherchez le Saint-Esprit, j’aimerais que vous leviez la main. Levez les mains si vous désirez que Dieu vous remplisse du Saint-Esprit. Que tous ceux qui désirent le baptême du Saint-Esprit lèvent la main.

            Maintenant, je suis fatigué, je suis faible et épuisé, je vais demander à notre frère Ballard, un ministre chrétien, de continuer cette prière. Vous les ouvriers indépendants, imposez maintenant les mains à ces gens. Imposez-leur les mains. Que quelqu’un là-bas qui a le Saint-Esprit impose les mains à ceux qui ont levé leurs mains. Et maintenant, pour une grande unité, une grande démonstration de la puissance de Dieu, puissiez-vous recevoir le baptême du Saint-Esprit et être guéris, au Nom de Jésus.

E-1 As we remain standing, let's bow our heads just a moment in the Presence of God. Our kind heavenly Father, it is indeed with grateful hearts that we bow in Thy Presence to offer to Thee the very adoration of our hearts, to tell Thee of our appreciation of Thy love and kindness to us, and to express that we are unworthy of the blessings that Thou would bestow upon us.
And I pray Thee, heavenly Father, to be merciful to us tonight, to give unto us of Thy grace and blessings. Bless the people. Heal the sick and the needy and save the lost, for we ask it in the Name of Thy beloved Son, the Lord Jesus. Amen. Be seated.

E-2 We are very happy to be in tonight. I'm just a little bit hoarse from over speaking so many services and from place to place. But it always gives us a--a great thrill in our hearts to speak of the blessed Lord Jesus and His goodness.
And we have the rest of this week, the Lord willing. And we want to speak very definitely for the rest of the week, if God will just help me now to have a little voice, upon the coming of the Lord Jesus and the preparation of His Church before the end time.
So tonight, I just want to speak to you for a short time and then pray for the sick and the needy. And one night, perhaps maybe tomorrow night, or one night following, we are going to try by the help of the Lord to have one of the old fashion nights. I don't mean a--a fast line, as we call it, but a line where we can take the individuals and pray for them individually, without discernment, just pray for the people.

E-3 We had one of those nights not long ago up in Lima, Ohio. And oh, how the Lord did honor them prayers for the sick, and the great things that our Lord Jesus did.
Now, I am trying to get the people to believe God on a higher base than that: To accept Him without having anyone touch you. It's you touching Him. You see, if--if I would put my hands on you and pray for you, it seems like then you could say, "Brother Branham laid his hands on me." But, that ain't the idea. I want you to be able to say, "No one touched me, but Him." I--I... That's the way I want it to be done. Give Him the praise.
And there's so much man-made praise today, till it's all right pitiful, isn't it? And the other night, when the little Indian child was healed coming up to the platform, no one touched him, just healed: crossed eyes, you stood and looked at it yourself. Now, that's the way I like to see it happen, just like that. That shows that no one prayed; no one did nothing; but God in His sovereign grace just healed the child. That's good. God gets the praise then. See? I like it like that.

E-4 Brother Sothmann, are you about to burn up down here in Phoenix, after coming from that iceberg of Canada? Brother Fred Sothmann my Canadian manager... If someone wants to see someone who really lives up where it's cold, don't want to embarrass you, Brother Fred, but would you just stand up a moment? Brother Fred Sothmann from Saskatchewan, Canada. The Lord bless you, Brother Fred Sothmann. He is the best fisherman in Canada, when I'm in the United States.
We're fixing to have another meeting up there right away now: comes up in May. We're going through Canada, the Lord willing, and we're have some great times up in Canada with those fine people. Sure got a beautiful place down here though, haven't they? Yes, sir.

E-5 Now, I wish to read for a moment, and then try to finish up and start the prayer line at nine o'clock. I want to read a familiar old text, that seems to be on my heart tonight, out of the 3rd chapter of Saint John and at the 16th verse. Which most any child in the audience tonight, that's had any training of the Bible, could quote this text.
For God so loved the world, that he gave his only begotten Son, that whosoever believeth in him should not perish, but have everlasting life.
And for a subject, I would like to take a very strange one, and that is "Divine Love." The Bible says, "That God so loved the world..." Of Divine love and when Divine love is projected to its object, sovereign grace steps in and produces what is projected.

E-6 God does things in such simple ways. I think many times that's how people lose the very meaning, is because that God does things so simple. Men are looking for some great--some great thing to take place, when God dwells in simplicity.
When Jesus came on the earth, men were looking for the Messiah to come in great splendor. But when God sent His Son to the earth and sent Him, not born in some royal kings family, and neither did He bring Him to some great religious order. But He visit a little peasant girl, and He chose to bring His son through that child, no more than a little teen-age girl.
Not only that, but usually when a king is born there is great singing among the people, and there the celebrity of the world is looking or that nation, for this child to be born. And there is usual a special preparation for this child. The hospital room is all decorated in pink and so forth, the day that the doctors are brought, standing by.

E-7 But the strange thing that God brought His Son to the earth through this little virgin. She had been riding all day on the back of a donkey. And there was no room for her at the hotel. And God so chose it that His only begotten Son was born in a stable in a manger. How simple God does things.
That sometimes is to confuse the minds of the wise and prudent, so that babes will have a chance to know it. And if God down through the age has done thus... And many times what He does seems to be ridiculous in the sight of the world. God can do some of the most ridiculous things in the eyes of the world.

E-8 One time in the Bible when a young man by the name of Moses had been very well trained in all the strategies of the most mightiest nation in the world... A great military man and had been taught with one of the best teachers that could be taught in religion his mama. Forty years of experience, and with all of his techniques and all of his strategy, he failed to do the job. And then God took him on the back side of the desert, and there kept him for forty years.
And one day God come down in a little burning bush, and Moses knowed more about what he was to do in five minutes in the Presence of God, than all of his Egyptian strategy had taught him in forty years.
All of his training never competed with that great moment in the Presence of God. And God was going to deliver His children. It seemingly that He had brought the boy up to have his foot on the throne to take the great Egyptian army and liberate His people. Sensibly speaking, the way the world counts it, that would've been the way to do it; but God did it in a simple way.

E-9 Now, could you imagine the next day, after God had appeared to Moses, who was hiding from the Egyptians. And if you want to see something that looks ridiculous in the eyes of man, look at this sight. Here comes an old man, eighty years old, the whiskers hanging down to his waistline, a little old stick in his hand, and the hair and whiskers blowing every way, little old skinny arms beating the stick on the ground as he goes, leading a little old mule with his wife setting astraddle with a young one on each hip, going down to Egypt to take over. Could you imagine that?
Could you imagine someone saying, "Moses, where are you going?"
"I'm going down to Egypt to take over." That would be like a one man invasion. But the thing of it was, he done it. No matter how simple it seems, God was behind the program; that's the main thing.

E-10 Could you imagine a man standing surrounded by a thousand Philistines with armors and spears, as Samson stood and picked up the jaw bone of a mule and slayed a thousand. God does things so simple.
Could you imagine a great army on one side of the hill, a great army on the other side of the hill, and the army on the opposite side were the Philistines versing Israel with so many more, and they had a challenger over there by the name of Goliath. He was many times bigger than any other man. And he was making his challenge. And all Israel, with all their training was scared of him. And God choose a little old ruddy, warty looking guy by the name of David, with a little sheepskin coat on him, and a slingshot packing in his hand, to slay that giant and take over. God uses simple things that seems ridiculous in the sight of the world, He does that to show His great power.
God did the same thing when He sent His Son to the earth. Born in a manger, come to the world with a black name to begin with as a illegitimate child, but He produced one of the greatest shocks this world has ever had.

E-11 And on the day of Pentecost God had a hundred and twenty illiterate fishermen and peasants in a upper room to inaugurate the beginning of the outpouring of the Holy Ghost, but He had them completely under control. Went in the city, where men from all over the world, with great education and philosophers, teachers, theologians, but God choose a bunch of little humble fishermen. And He condemned the world and sent forth the liberation to all the world, with this bunch of little humble fishermen.
And then would it seem too great for God, in this last day, when we got all kinds of schools of theology, when we got all kinds of denominations, all kinds of religion, would it seem too great for God that He could take a bunch of humble people, just ordinary people and once get them under His control, could He not repeat again the blessings of Pentecost? Could He not repeat again the very life that He lived on the earth?

E-12 The Bible said, "That God so loved the world, that He gave His only begotten Son." Now, God's love to the world, and God is love. And when God projected Himself to the world to save the world, there could be nothing else but sovereign grace to produce a Saviour. When God loves, something has to operate. And God so loved the world that a Divine Saviour appeared; His grace provided that Saviour. It was because of His love that brought forth this Saviour.
Now, in the day that we're living and in all days, we were born to be sons and daughters of God. We are offsprings of God. And being offsprings of God, there's something about us that believes God. There's something in you that calls out for something. And today to satisfy that longing in our hearts, many times we try to satisfy it with education; we try to satisfy it with denomination. We try to satisfy it with--with fantastics. We try to satisfy it with one thing and another. But it will never take place until Divine love in our hearts is projected to Almighty God.

E-13 Then when our love goes out to His call, sovereign grace will produce what we are asking for. First it must be love. Paul said, "Though I speak with tongues as men and Angels, and have not love, I am nothing. Though I have faith to move mountains, and have not love, I am nothing. Though I can do all kinds of miracles, produce all kinds of signs, and have not love, I am nothing."
That's the reason today, we are trying to produce something by a nomination, by an education, by an organization with leaving out Divine love. That's the reason we're so separated, so many things wrong, so many isms going on, is because we've left the main thing that produces what we need out: love.

E-14 Do you remember my sermon Sunday? The little main spring in the middle of the watch times that watch to everything. And when God is love and love moves into our hearts, it times every emotion and everything right with God's Bible. You don't want to show the people what a fine crystal you got, what a fine face its got, what fine hands its got, what fine rubies its got, but what a wonderful time piece it is. And the world is sick and tired of looking at great big spires, looking at fine dressed people, and looking at a bunch of isms. It wants to see the genuine love of God projected in the hearts of His people. That's what the world is looking for.
The world is dying for love; the church is dying for love. Jesus said, "Ye are the salt of the earth." But if the salt has lost its savour, it is henceforth good for nothing, but to be trod under the feet of men. And if the church has lost its Divine revelation of the love of God, it becomes a mock, and a stalk, and a stumbling block to the world.

E-15 Now, there's only one thing the church has to do. If you want somebody to come to Christ, you be salty. Salt makes a thirst; you be salty and the world will get thirsty. That's right.
For in a man, he is in one sense a miniature creator if he is a child of God, because the Spirit of God is in him, Who controls him, Who operates him. And I'd like to let you in just on a few things that I know to be the truth. If I had just a little more voice, I'd like to preach on that tonight.
But I'd like to let you in on some things as this, what Divine love... Now listen, Paul said, "Where there's tongues, they shall cease. Where there's prophesies, it'll fail." Where there's all these signs... The antichrist can produce any sign that's in the Bible, but he cannot love. There's nothing about him to love.
Oh, you can have some kind of a false love. There is two kinds of love. There is a love which is called human love or in the Greek word, it would be called "phileo. " And in the Divine love is a Agapao. Agapao love is Divine love. And when Divine love is in your heart, there's a difference in your life, and everybody knows it. That's right. You live like a Christian, act like a Christian, walk like a Christian; and your whole system is timed to God's Bible.

E-16 Now, here some time ago... My wife who's in the building somewhere tonight. How the day had been real dull, and we'd had much of carrying on, people upstairs, downstairs everywhere else. And after I finally got everybody out along towards night, I went into the kitchen; and there stood my poor little wife with her head buried in her hands and a crying. There was Sarah and Rebekah fighting on the floor, because of some blocks. Little Joseph was screaming to the top of his voice. You talk about home sweet home; there they were.
And when I come in, I put my arm around the little first lady of my home and only one. And I said to her, "Sweetheart, what is the matter?"
And she said, "Bill, I'm just about to go crazy." She said, "These kiddies all day long haven't had a bite to eat. People standing around and around and around and different and them arguing: 'The Lord's going to take him down here. The Lord's going over here.'" Said, "Oh, it's such a confusion." Well, I seen right then there was something on, going wrong.

E-17 Now, if you really love God... And you know there's some kind of people that's real good people, only you just can't hardly stand to be around them. That's right. Why is it? They create that atmosphere. And there's some kind of people that you just love to be around. They create that atmosphere that they live in.
Now, it's a supernatural thing. Now, when the Presence of the Lord comes down, it creates an atmosphere for faith. And when... I thought, "Now, Lord God, You help me."
And I said, "Sweetheart, you know what?" She's just a woman, you know, and she likes pretty dresses, and you know, and pocketbooks. And she don't get them all the time, but I... She likes them. So I said, "You know, I saw one of the prettiest dresses I ever saw."
She said, "You did?"
I said, "Yes, honey I did." And I thought, "Lord God, help me now." And I laid my hand over on her little stooped shoulder. And I said, "Honey, you should see it."
She said, "Yes."
I said, "Lord, be good to me now and help me." I said, "Now, I've got to believe that You're going to do this. This in my little family, and these sick people has got them all upset, but You'll help me."

E-18 Now, you've got to create an atmosphere, and your faith will do it. They were all in the upper room with one accord, when suddenly there came from heaven as a sound of a rushing mighty wind; the atmosphere was right. It takes a atmosphere to do anything.
You know, the regular procedure to hatch chickens is to put them under the hen. But get the egg in the right atmosphere, it'll hatch anyhow. Listen, brother, if a man loves God, and the right kind of an atmosphere he could get into, it'll produce a new born babe just as certain as I am here. It's the atmosphere that counts. Let this little handful of people setting here tonight, get in the perfect atmosphere, watch what takes place. There will not be a feeble among a--one in our midst. The cripples will walk; the blind will see; the deaf will hear; the dumb will speak without prayer or anything. It's the atmosphere.
That's how twenty-five thousand was healed at one prayer in Africa. When they seen the Lord do something, it created a atmosphere, and they stepped into it. That's the pool when the waters in running right.

E-19 So I had my hand on her little shoulder, and I begin to try to create, in my heart. "Lord, I'm happy. There's nothing wrong with me. I love You, You know I do, and You just straighten out my little family." And after while, I said, "Tell you what, honey, I'll show you where those dresses are." Then I'll...
Let's get the kiddies a little bite of supper, and then we'll start. And the first thing I got my apron and tied it around me, and I got to helping her and talking about something else. When she got quiet, I looked down, and Sarah and Becky had--had signed the peace treaty, and they were playing; and little Joseph was just a shaking his little rattle box and having a good time. You see, you've got to get in the right kind of an atmosphere.

E-20 Brother Lindsay, many of you know him, the editor of the "Voice of Healing." And we been associated together much in the past ten years of our lives. We were at Portland, Oregon, one night. And many of you has read the story, of a maniac who run out to kill me on the platform. And just as this great big, almost three hundred pound giant... I weighted at that time one hundred and twenty-eight. And he was grossed at seven foot, great big huge arms. And he come stomping down through the building, while I was preaching on faith, before about six thousand people. Rushed up to the platform, and preachers scattered like flies. And I wondered what was the matter. I thought it might've been someone coming to bring a message to some of the ministers.
And I turned to look, and this great big giant standing there with his chest swelled out, and groaning, and his teeth set, and eyes... He said, "You hypocrite, up there acting as the man of God." Said, "I'll break every bone in your body tonight. I'm going to knock you plumb out in the middle of that audience, to show you whether you're a man of God."

E-21 Little did I know that he was out of the insane institution. And I knew by his size he was very able to carry out his threat. So I looked at him. Ordinarily I would've took off with the rest of them. But you know what happened, oh, if I could only always stay in that. Something, instead of hating the man, I felt sorry for him.
I thought, "That man wouldn't want to hurt me. Why, he's a man like I am. And that's got to be the devil making that man do that way. So the poor martyr..." And he rushed up towards me, and he hawked down in his throat and spit right in my face. And see, the devil was trying to get me to shake away from that atmosphere that God was getting me in. But it didn't bother me.
I thought, "Poor fellow, he don't want to do that; and surely he wouldn't have wanted to do it."
And he said, "I'm going to break every bone in your body." And he drew back his big fist to do so; and the strange thing was, I wasn't no more afraid than I am right now. Love casts out fear, perfect love.

E-22 There's where brother, sister, our differences hangs tonight, because of love, the lack of love. I don't mean earthly love, denominational love, sexually love, but I mean Divine love that makes us brothers.
Then when the man started to hit me, I heard my own lips say, "Because you have challenged the Spirit of God, tonight you'll fall over my feet."
He said, "I'll show you whose feet I'll fall over."
And he drew back his fist to hit me, and when he did I said, "Satan, leave that man." And his eyes bulged way out, and his teeth set, his hands went up; he turned around, and fell over my feet, till the police had to roll him off of my feet. What did it? Love, the love of God.

E-23 I don't know how much you're going to believe this. But here about two years ago, maybe it was, I was... I got a great big ninety foot front yard, belongs to the parsonage there, and it's hard to get anybody to help you in Indiana, 'cause everybody works. And I'd have get out and mow the grass. And I was mowing the grass and make about two rounds and somebody'd come in, and the front would grow up before I got to the back.
So I got around in behind the house on a hot August afternoon, and I had on a pair of overalls the...?... type. No one was around, and it was awful hot, and my shirt was sweaty and gripping on my back, till I just took the thing off, started mowing the yard back in the back yard. And down through there going just as hard as I could, and I'd forgot that there was a big mess of hornets down at the end of the row. And I ran this mower right into that fence before thinking, and I was covered all over with hornets. You know what they are; they can kill you, great big fellows.

E-24 And now, usually I would've dared to start fighting at them and running. I know this seems childish; it may seem not even sensible, but it is the truth. Instead of being afraid of those things, I thought, "Poor little creatures, I disturbed you." And instead of hating them, there was a sympathy in my heart for them. I wish I could have that all the time. If it would, I'd be a different person.
And the hornets was all around me, so I begin to think, "You know what, they are little creatures that has been created by God, and they have a right to live in their house. They have no intelligence to reason like I do, and I run this mower in there; and the only protection they have is their stinger to get me out of the way." Look at it sensible.
So I... They was all around me, and I stopped. And here's the truth. You may not think that I'm very intelligent, which I'm not after this, but this is true. I said to those little hornets; I said, "You little creatures of God, I am the servant of God, and I am in a hurry. His sick children are coming and going; and I disturbed you, and I'm sorry that I did it. Now, in the Name of Jesus Christ, our Creator, go back into your house; I won't bother you anymore." And brother, sister, when I meet you at the judgment bar, them hornets all taken single file, and flew around me, and went right straight back into the nest while I was standing there. That's right.

E-25 Oh, it was God. You see, but before it happened I had to love. I don't say this to hurt the feeling of the Mexican people who's present, for God knows that I've had some of my best meetings with the Mexican people. I shall never forget the little Spanish choir that used to try to sing "Only Believe" for me, when Brother Garcia had a church up here somewhere in Phoenix, when I first come here. I shall never forget that little familiar, "Gloria a Dios." or whatever it is, that they're saying, "Glory to God."
And I was down in Mexico a few months ago. And by the way my next meeting is with the Mexican people on the west coast. And I was in Mexico, Brother Moore, Brother Brown, and Brother Arganbright, and many of the brethren, we were on the platform, and my heart was breaking where a little dead baby had been raised from the dead; laying in the mothers arms, it died at three o'clock in the evening; this is nine o'clock, it raining. And all up and down that platform piled that high was just great big ricks of old shawls and everything, that they wanted me to pray over.

E-26 And then who coming to a platform was a poor old, dusty, looking Mexican man. His hair was gray, and the wrinkles was deep in his face. He was barefooted, and his trousers were ragged off way up. His coat was almost gone. The gray whiskers on his face and above all that, he was blind.
When I seen that poor old man come up to me, and I thought, "You know, he'd be just about the age of my daddy." I thought, "How cruel that fate has been to him. The man probably never had a good decent meal in his life." I put my foot up beside of his to see if my shoes would fit him; I was going to give him my shoes. I looked at his shoulders, and he was far wider than I; I was going to give him my coat. It--it was to small.
Then I happened to think: "I can't give him my shoes; I can't give him my coat." And how do I know that them old wrinkled hands trying to get a little prayer beads out to run over a prayer bead. And I said, "Brother that's not necessary. Put them back in your pocket." And the interpreter told him.

E-27 And then when he come up there... The thing had to do to help the man, you've got to enter into his own suffering with him. The only way, you just treat anything good. Just be kind to an animal and you'll win it. How much more have you got to be kind, showing brotherly love one to another.
And I talked to him, and somehow I just felt how bad the devil was. He had probably raised a bunch of little kiddies in his day, working out there for a few pesos and eating the little tortillas, maybe made out of old lettuce had been throwed away by the tourists, and the stuff that it was made of. And my heart was breaking. And then to think the devil had him staggering in black darkness. And I just couldn't do no more of that, but embrace that old wrinkled man up to my bosom. And as I looked, he couldn't understand a word I was saying.
But I said, "Heavenly Father, be merciful. Surely the devil has mistreated him, done this to him, the man that You died for."
And while I was praying I heard something; hollered, "Gloria a Dios." And I turned him around and his eyes was open. He was walking over the platform, shouting and praising God. What was it? Sympathy? Love had been... He couldn't understand, but he knowed I loved him. God knew it.

E-28 Many people said about wild animals, "Aren't you afraid of them, Brother Branham?" Never. I love them.
Here sometime ago... My first seven years was a conservation officer, a game warden. And one time while I was going up to dig a little ditch to throw some water over to turn some fish into a stream... We were supposed to pack a little old pistol. And when I went over across the field, there was a man sick over there that I knew... I was a minister at the time. And I was going over to visit this minister, that had... or this man to pray for him.
And on my road, I just pulled off this little old gun and throwed it up in the car, and locked up the door, and took out across the field, which is about three quarters of a mile. I had forgotten that in that field was a killer bull, that had just killed a colored man, down at the Brook's Farm and had sold him to Mr. Guernsey on the pasture up there. He was a famous bull, good stock, but was a killer.

E-29 And I was going out across the field, singing to myself, and I come up to a little bunch of scrub timber; and all of a sudden out of that scrub timber raised this big killer bull. And he looked right at me. What was the first thing? I reached for the gun to kill him. I had no gun. I looked for the fence about three hundred yards. He was standing about twenty or thirty yards from me. There was no trees, nowhere to go, but was stand on and take your death. So I said, "Heavenly Father, I suppose this is the end."
And I'm glad I didn't have the gun. I'd have killed the bull then and then went and paid for him. But I stood to look at the animal; he backed off, snorted, threw his horns down in the dirt, twisting his tail. I knew he was coming, and I stood and looked at him a moment, and something happened. Somehow or another... This may seem foolish, but all the fear left; when love come in, fear went away.

E-30 And I thought the same thing as I did about the bees. I thought, "Here it is again." And I said to him, "The One that created you, I am His servant. And I'm on my way to pray for one of His children that's sick. I'm sorry I disturbed you, but in the Name of Jesus Christ go lay down and I won't bother you." And the bull shook his horns, two or three times in the dirt, and here he come. I wasn't no more afraid than I am right now. Something took place.
Now, this sounds like a laugh, but it's not for that purpose. Neither is it a joke, for this sacred desk is no place for a joke and carrying on, it's the place for the Gospel. And the bull, I loved him and was sorry that I disturbed him. And he run right straight to me within about ten feet and stopped with his feet out. And he looked to the right and to the left, looked so depleted. And he turned right around, and went over there, and laid down; and I walked within five feet of him, and he never moved a time.
What is it? It's love. And brother, no matter how much we try to bluff, we're negative without love. That's right.

E-31 Many of you have heard the story of the opossum. Leo and Gene, which are my tape boys, they're here. By the way, I guess they're in a tape...?... up here. They have the tapes of the meetings from everywhere. They come along and take them, and let the people have them, just a little shade over what they have to pay for it. So that the people who have tape recorders can get them of the messages everywhere, prayer lines.
And they come up to my house one morning; they call themselves my students. And they come to my house one morning last summer, and they was about ten o'clock in the morning. And I had the evening paper, and was showing to them a lovely looking colored girl, who had done a horrible thing in the city. She had give birth to a illegitimate child; and not wanting to keep the child, she had smothered it in some blankets, and wrapped some wire around it, and had a cab driver to take her out over the Ohio River, and drop it in the river. The cab driver reported it, and the coast guard picked it up and arrested the girl.

E-32 And while we were setting there on the porch, talking on this hot June morning. Mr. Wood, a friend of mine, who live next door and his wife's a veterinary. Day he had been over raking in the yard with an old yard rake... And I looked coming down the road, and here come a opossum, going around the road like this. And I live the third house from the road from some woods, and I'm the only one that's got a fence around the parsonage; others are open. And that old opossum come right straight down to my gate, turned in.
Well, studying wildlife, a opossum travels at night time; they're blind in the day. And so I said, "Look, coming there at that opossum, how it's rolling and tumbling. It's probably got rabies. It's been bitten by a fox or something, and has picked up rabies. I'd better stop it 'fore it gets to the house."
And just then the milkman came up. I went out and took the old yard rake and through it over the opossum. And I said, "And it's usually when you touch them, they'll do what they call, playing opossum; they'll kinda lay over." But instead of that, she kept biting to get away.

E-33 Well, I happened to notice then, and Leo and Gene came out, the boys here. And I noticed that the old opossum's leg on the left side was swollen about three times the size, and it was broke and hanging back. And I hope I do not turn your stomach, but it was rotten; the flies had blowed it; maggots was all in it; and was hanging sideways. And I said, "Oh, it's hurt. The dogs has broke its legs, or either a car has hit it." And I said, "It's dying." I said, "It's probably in its last struggle."
And some of the neighbors come over to look. And Mrs. Wood is one, she come up; and while I was holding the opossum down, I happened to notice that... A opossum and a kangaroo is the only animals that have a pocket to pack their young in. And they have a pocket, it's skin; it goes over the young. And they pack them, and they let it down.
So when the old mother opossum had been under this rake, she'd let her pocket down; and nine little bitty baby opossums, about that long, was running around under the rake.
And I said, "Here you are boys," to Leo and Gene. I said, "This opossum is far more a lady and a mother, than that woman was that drowned her baby. Its got better morals than that woman has." I said, "That woman didn't want her baby, and this old opossum hasn't got maybe thirty minutes longer to live. But she'll give that thirty minutes or forfeit her life to fight for those babies. That's a real mother."

E-34 And how these women today can have abortionate cases, and practice birth control, and everything else; and I don't understand it. Take little babies, and throw them in garbage cans, and put them on...?... drown them in rivers, and throw them in fires. It's below a animal. An animal wouldn't do that.
And while we were talking, the old opossum still trying to get those young ones up. And when the little ones caught up again, she kept biting at the rake. I said, "Watch, I'm going to turn her loose. She won't go but a little piece; she's dying. That's what's a running her, death like that, a running her." And then when I let up the rake, she took off towards the house dragging this foot. And she went right up to my steps by the side of the little evergreen bush, and there collapsed, and went out.
I went up to her; I shook her, and she didn't move. I said, "I guess she's died." And I happened to look, and all those little baby opossums were trying to nurse. And I said, "What a pity." I took the rake down and punched the old opossum; I seen that little grin like on that goes back on the opossum. I said, "No, she's living."

E-35 And Mrs. Wood said, "Brother Branham, now, there's only one thing to do," she's a doctor, veterinary. She said, "Kill the old mother. The little ones has a round mouth; they can't be raised. And then just pick up the little ones, and kill them quickly, so they won't suffer."
I said, "I just can't do it."
And she said, "Do you mean to tell me, that you're going to let that mother lay there and die, in that...?... and them pour little opossums nurse around for about forty-eight hours and die in that condition with...? You mean you're going to do that, Brother Branham?"
I said, "Sister Wood, you're perhaps right. But I just can't do it. She's done displayed to me something that's far beyond what a lot of people has. She's a real mother." I said, "I can't kill that mother."
She said, "Well, go in a get your gun, and shoot her then, and shoot the little ones." Said, "You're a hunter."
I said, "I am a hunter, but I'm not a killer." I said, "I can't kill that mother."
And she said, "You're going to let her lay there in that hot sun." We got some water and poured over her: look like she was gone.

E-36 Well, I wouldn't let them kill her. Gene and Leo left. The opossum laid there all day in that hot sun, and them old green flies got all over her.
It come night, and Mr. Wood said, "Now, Billy, you've been working hard all day here, praying for the sick; I'm going to take you on a little ride. So he took his wife and my wife and I, and we went on a little ride. And coming down a country road, I seen a little pup, somebody had dropped out on the road. And I got out and picked that little pup up. And he was so mangy and lice all over him, till my hands was covered with lice. And I fixed him a little place to put him in my car.
And my wife said; she said, "Billy, you're not going to take that little old mangy dog."
I said, "Sure. He's got a right to live." And we went home, prayed for him. He got all right, washed him up, and he's a fine big collie dog now. He's got a right to live. I loved him.

E-37 When we got in at eleven o'clock, there laid the old opossum. Brother Wood, who hunts with me, said, "Now, Billy, you know good an well, if that opossum was going to move, when that sun went down, she'd have moved."
I said, "That's right."
Well, said, "Do you want me to kill her?"
I said, "No, I don't."
All night long I couldn't get that opossum off my mind. The next morning early, I went out, and as I started out little Rebekah, who I believe is going to maybe take my place someday. She seen her first vision just recently. And she's a very tender hearted little thing.
When I went out on the porch about seven o'clock (the sun was rising) to see if there's anybody out there... And there was not. And first thing you know by my side is little Rebekah. She said, "Daddy, what about the old opossum. I just dreamed of her all night."
Well, I went down there, and there laid the old opossum, dew all over it, and the little ones still trying to nurse. "Aw," I said, "She's probably dead, honey."
She said, "Daddy, what you going to do with them little babies, you going to kill them?"
I said, "No, honey, I'm not." I said, "You hurry in the house; it's to early for you to get up." I said, "You go on." She had on pajamas. I said, "You go in the house, honey."

E-38 And I went back into the side door of the den room, and I set down there, and begin to rub my face like this. I said, "Well, today," I said, "I guess I'll have to take..." No wonder that old opossum laying there. I heard something say this. Now, you may think I'm mentally disturbed. But I heard Something speaking to me. I said, "What about that old opossum?"
And the voice said, "You used her for a text yesterday, telling what a wonderful mother she was."
I said, "That's true."
Said, "And you taught from her what a real mother..."
"Yes."
Said, "I sent her up to your door, and she's waited for twenty-four hours for her turn to be prayed for, and you haven't said one thing."
And I said, "Well, I didn't..." I said, "Who am I talking to?" Oh, I said, "Am I beside myself? What's happened? Who was that I was talking to?" I thought, "It must have been God." I thought, "Would God care for that animal? I'd knowed He sent people. But I remember that He even said a little sparrow can't fall to the ground without your heavenly Father knowing it. I know He spoke through a mule to a man once, and many things in the Bible."

E-39 I went out to the old opossum, where she was laying. And I said, "Heavenly Father, You forgive me. If the... I was so took up with things of the day, so I never understood. And if You sent that dumb animal, who did not have any soul, but was guided by instinct to come to my door to be prayed for, so she could live and raise her babies, forgive me, Lord. And I pray that in Jesus' Name that You'll help her."
Brother, sister, when I meet you at the judgment, this will be ringing out. Little Becky was standing there looking down. That old mother opossum raised up, picked up her nine little babies, stuck that tail right up in the air, walked right down that driveway, just as free as it could be. When she got to the end of the road, she turned around. And Becky had her arms around me, and me and my arms around Becky, crying. And she turned around as if to say, "Thank you, sir." And right down to the woods she went; and as far as I know, she's happy with her babies over there in that woods today.

E-40 When Divine love is projected, and it comes to the end of its course, sovereign grace will stand in and take its place. Brother, sister, if God... That opossum knowed more about Divine healing, than half the preachers of Phoenix knows. That's right.
She had gumption enough to follow the leading of the Spirit. And if God could send a opossum by a Divine grace and love to protect her babies, how much more will He think of you and me tonight, if we'll give Him our whole heart of love, our surrendered will, everything to Him? He will project to us; His sovereign grace will have to take place and heal, if you'll give Him that love.

E-41 The world is wanting to see some more of that. The world is a longing for that, to see that love. You're much more than a opossum. You're more than any animal. But sometimes God can deal with an animal, who can't act for itself, before He can get to a stony heart who is on a free moral agency base, who can act according to the way you wish. Let us bow our heads, just a moment.
O God, Who so loved the world, that He gave His only begotten Son, that whosoever believeth in Him should not perish but would have Eternal Life... To Thee we give thanks and praise, Thou Who knowest all things. How many stories could we tell of Your great love and grace, that Thou has done for us. And we thank Thee for it.

E-42 And in this audience tonight, O God, may the sinner man, boy, or woman, or girl, Who has been Divinely led to this place of worship tonight. Let them know right now that it is Your Spirit that has led them here, for no other purpose but to come and serve You.
Oh, speak to their hearts just now. And may they send forth from their heart the Divine love of God in appreciations of You leading them here. And sovereign grace will send a message back, the saving message of the Lord, "Thy sins may be as scarlet; now they are white as snow." Grant it, Father, for we ask it in His Name.

E-43 And while we have our heads bowed in prayer, I just wonder this, friends. While we have been speaking, or either before you come to church, or last week, or month, or year, has something been speaking to your heart?
What caused you, mister or misses, to come to the meeting tonight? It was the same God that stopped the animals in the field. It's the same One Who led the old mother opossum, Who's done all the things that's love. God so loves you, that He's led you to a place where you could accept Him. Will you do it, upon the basis of the shed Blood of His beloved Son? That God could not do nothing else, but it's... His great love constrained Him in such a way, that He could not do nothing else. Grace had to send you a Saviour.

E-44 And now, if your love to God will be the same way that His love was to send Jesus, your love will draw Jesus to you, and you can be saved. If you would like to--to accept Christ and be remembered in prayer, would you raise your hands now, anywhere on the bottom floor, would say, "By the grace of God I put up my hands and say, 'God, lead me through life and in death, like You do others, like we have been told tonight.'"? God bless you, sir. Someone else on the bottom floor, raise your hand? God bless you. Someone else, just raise your hands quick? Christians, pray you who are... God bless you back there in the back; I see your hand. Someone else? "I put up my hand." God bless you up there, sonny; that's good.
Up in the balcony to my left. Put... God bless you, lady. God bless you. God bless you. Someone else? God bless you, sonny. Someone like in the balconies to the rear, would you put up your hands and say, "Brother Branham, pray for me. I want God to help me."? God bless you back there; I see your hands. And surely God does. God bless you here, sonny. God--God bless you, sister, certainly.

E-45 To the balconies to the right, put up your hand, say, "Brother Branham, pray for me. I really want Christ." God bless you, young man. God bless you up there, young fellow again. God bless you over there, young man. God bless you. All right. Someone else? Back to the rear? God bless you up there, my brother. That's good.
Anywhere in the building, someone else now before we--we close? God bless you, sir. Someone else? That's right; put up your... God bless you, lady. God--God bless you, lady. Would someone else? "I now want God to be..." God bless you, lady. God bless you, lady. God bless you too, and you. That's right.
You say, "Brother Branham, does that mean anything?" It certainly does. It means the difference between an eternal separation from God or an eternal Presence of God. When you raise your hand, that means that something in you; you have power within you to break every law of science, break, move, gravitation. And something within you makes a choice, and you stick up your hand. What does that do? That shows an acception of the Divine love of Christ. Something in you caused you to raise your hand.
And the Bible said... God bless you, lady. Yes. God bless you back there. God bless you, sisters. Little Spanish ladies up in the balcony to the rear, I see you.

E-46 What is it? God so loved you. His love was so great for you, till His love projected as Saviour for you. He so loved you that He gave His only begotten Son. And here's the Holy Spirit here leading you. The Bible said, "No man can come to Me," said Jesus, "except My Father draws him first." God bless you, the Spanish lady setting here.
"God so loved the world that He gave His only begotten Son." Then what do you do? Something inside you, an immortal Something says, "I am speaking tonight, child of Mine."
And you put up your hand you break every law of science. "Yes, Father, I raise my hand in recognition of Your voice. You're calling."
Jesus said, "All the Father has given Me will come to Me, and no man can take them from My hand. He that hearth My words and believeth on him that sent Me, has Eternal Life, and shall never come into the judgment, but's pass from death to Life."

E-47 Would there be another while I comb the meeting over. Just raise your hands to Christ. God bless you there, brother. God bless you too.
All right, down on the main floor here to the left. Can we go around now and just see someone else who hasn't raised their hands. God bless you there, sir. God bless you, sir. That's good.
Balconies to the rear again, someone who hasn't raised their hand? Balconies to the left, going to comb it once more. God bless you, lady. God be with you. Someone else? All right, right down here. God bless you. God bless you, lady, up there. Down here to the main floor again, once more around to the left now. God bless you, and you, and you, and yes, and you, and you, brother. God bless you all. Yes. Someone else just--just--just think this, if God speaks to your heart and say... [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-48 Could you think, my brethren, these little stories which are amateur, how I could tell you things that I know He's done that would startle you. In my life has been a mysterious one; that's true. People don't understand, but it's been that I loved Him.
When God seen fit to take my wife, baby, and everything I had. They never thought of my little baby when I... My wife was a corpse, and my little baby started dying, I run down into the hospital and fell down before God. I said, "God, don't take my little darling. Don't do it, Lord." And I looked in front of me, and a black sheet letting down, I knowed He was going to take her.
Then Satan spoke to me; He said, "Yonder in the morgue lays your wife, twenty-three years old. Here's your nine month old baby, and He's taken that. You mean you'll serve Him?"
Then I looked down; I said, "Though He slay me, yet I'll serve Him." For there was something happened down here in my bosom that made a love for Him that the Bible said, "There's nothing present, neither trials or nothing can separate us from the love of God that's in Christ."
If He would send me to torment at the day of the judgment, He's still just. And if I have the mind that I have now, while I'm in hell, I'll still love Him. It's part of me. That's what it is. That's what it is to you, friend, that loves the Lord. That's what I want Him to be, a part of you, love. Now, as we bow our heads. Let us pray.

E-49 Heavenly Father, I would not know how to say how many in this audience has raised their hands to You. What are they, Father? They are Your love gifts that You're giving to Jesus Your Son. "No man can come to Me except My Father draws him. And all that come I'll give them Eternal Life. And no man can pluck them from My hand." They are Gods love gifts.
And, O Lord Jesus, as a minister of Yours and unworthy and unprofitable servant, I now give You the fruit of this message. Each has raised their hands, put their name on the Book of Life. Thou has promised to do it, and raise them up at the last day. Now that they have accepted You, heard Your Word, and believed on You, they are borned again and have Eternal Life.

E-50 Now, Father God, I pray that You'll baptize them with the Holy Ghost into the body of Christ as believers. Set these young men and women into the field of service, the old and young alike. Oh, we are needing recruits for this great army. And someday You'll make Your last call and it'll all be over.
Grant, Lord, that each one that raised their hands tonight, and many of those who sh--could've raised their hands maybe and did not, I pray that they will be Your children, and You'll be with them through life. And someday when my voice on Your great radar screen vibrates this sermon again at the end of the world, may on that great screen You'll see their hands and know their name. Grant it, Lord. I just commit it to You, Lord, in Jesus' Name we pray. Amen.
The Lord bless you, my dear friends. You know what... You've received Eternal Life.

E-51 Now, I'm going to see if Billy give out any prayer cards. If he did, we'll have prayer line. If we don't, I'm going to make the altar call now. (Did you give out prayer cards? Uh-huh. What was it? H's 1 to a 100, 1 to a 100.) He give out prayer cards.
I want to ask you something. Every one that raised your hand... I don't know how long the prayer line will run, but will you do this for the glory of God? When the service is over I want you to walk right down here and offer a word of thanksgiving to God for calling you.
You know, that's one of the most marvelous things there is. Perhaps there'll be cancers healed, deaf or dumb, or maybe cripples walk; that'll be wonderful, but never as wonderful as what you've just received. They'll get sick again, but you've got Eternal Life.
I want you to come down, promise me and God, or God and I, rather, that you'll come down and pray at the end of service.

E-52 Now, how many has never been in one of my meetings, let's see your hand? There's many. Now, I want you to know. You're probably of all different denominations and churches. But here we don't represent any denomination; we only try to represent our blessed Lord, Who you love and Who your church preaches about and talks about. And we're not trying to make disciples out of anyone. We're only trying to get you to fall deeply in love with the Lord Jesus and start winning souls for Him.
Now, in the prayer line I do not claim to be a healer or have any power to heal anyone; neither do I believe that any person has power to heal, but God. I believe there never was a hospital, doctor, operation, or anything ever healed anyone. I believe that a doctor is sent on earth by God. I believe the doctors, when you break your arm can set your arm; he cannot heal it. He can put it in place where God can heal it. A doctor can remove a tumor, or appendix, or a tooth, but who's going to heal the place where it was taken away from. That's moving a obstruction. Who's going to heal the place? Only God alone.

E-53 Now, if the Lord willing, we're starting tomorrow night, on "God in His Word." See? And God said in His Word, "I'm the Lord Who heals all your diseases."
And there never was a medicine, never was an operation, never was a divine healer, never was anyone else that ever could create and build cells, but God alone. The devil can't do it. The devil can't create. He can only pervert what God has created. It's the devil that gives you the tumor, perverts a cell. See? He cannot create a cell. He can pervert one, if he can get his life into it. But he cannot create nothing.
So I claim that God, not me... But the Bible said that God has set in the church apostles, prophets, teachers, evangelists and pastor. They're for the perfecting of the Church.

E-54 Now, I'm not a preacher, as you know. And know one knows any better than I do. that I'm not a preacher to preach. My--my work is to pray for God's sick children by seeing visions. And it's the work of the Lord Jesus. Preaching is the work of the Lord Jesus, evangelist, pastors all the work of the Lord Jesus. We have a lot of impersonators, but there's really a real one too.
Now, notice. When Jesus was here on earth. Did He claim to be a Healer? No, sir. He said, "It's not Me that doeth the works; it's My Father that dwelleth in Me." He said in Saint John 5:19 (Think of it: A hand full and two dozen eggs; when you go home read it, the whole chapter of Saint John.), "Verily, verily, I say unto you, The Son can do nothing in Himself, but what He sees the Father doing."

E-55 A Jew came to Him, and He said, "Why, you're a believer. Behold this Israelite, in whom is no guile."
He said, "When did You know me, Rabbi?"
Said, "Before Philip called you, I saw you under the tree." How many knows that's is true: Saint John 1? Certainly.
That Jew said, "Thou art the Son of God, the King of Israel."
He said, "Because I told you this, you believe." Now, it was probably thirty miles around the mountain where he found him the day before, but here he was over here. He believed.
The woman at the well. He went up... He was on His road to Jericho down below Jerusalem. He had to go through Samaria, up around Samaria. He sent His disciples away. A woman of ill fame come out to get some water. He sa... She was a Samaritan, not a Jew now.
Now, remember though when He did that to the Jew, the Jew said, "That's the Messiah, the Son of God, the King of Israel."

E-56 Now, here comes a Samaritan out, and Jesus said, "Woman, bring Me a drink."
She said, "It's not customary for you Jews to ask us Samaritans such. We have no such customs." In other words, it was a segregation, like in the south, the white and colored.
But Jesus let her know there was no difference in the Presence of God. He said, "If you knew Who you were talking to, you'd ask Me for a drink." And the conversation went on at length.
Finally, Jesus found out what that woman's trouble was. The Father sent Him up there. The Father sent Me here.
Now, He didn't know the woman, He'd never seen her. But He was contacting her spirit. And He said to her when He found her trouble, said, "Go, get your husband."
She said, "I don't have any husband."
Said, "That's right. You got five, and you're living with one now that's not your husband. So in that thou saidst right."
Watch what the woman said. Now, she was a Samaritan, seemly a cold formal believer. She said, "Sir, I perceive that You are a prophet." She said, "We know (we Samaritans), we know when the Messiah cometh He will do that." He will tell us things to come. But said, "Who are You?"
He said, "I'm He that speaks to you." And she run into the city. Said, "Come, see a Man Who told me the things that I done. Isn't this the Messiah?" If that was the sign of the Messiah in them days, and the Bible said in Hebrews 13:8, "He's the same yesterday, today, and forever," He's got to be the same sign tonight of Messiah.

E-57 We haven't room or time to talk much more. Let's believe. Father God, I now commit myself and this service to You. I have spoken at length of Thee. Speak O God. One word from You will be more than I could speak in a many a lifetime. And let Thy Holy Spirit speak tonight and do those things that You promised, and all praise shall be Thine; in Christ's Name we pray. Amen.
Now... What was that? H. All right we can't stand too many at a time. H number 1, 2, 3, 4, 5. Just line yourself up over here now. Now, watch... Look at your neighbors and see if they got... If they can hear, look at their prayer cards and see where they're at. 5, 6, 7, 8, 9, 10, let them line... While they're coming let's pray for these handkerchiefs.

E-58 Almighty God, in Whom we believe and trust. Let Thy mercies rain upon these handkerchiefs. Show great signs and wonders by healing the sick. I send them to the sick and the needy in the Name of Thy beloved Son, the Lord Jesus Who so loved us. Amen.
Now, some of you anoint handkerchiefs, and--but if you'll watch the Bible... Acts 19, Paul didn't anoint them. That's all right. Anoint them, that's okay. But Paul didn't anoint handkerchiefs; they taken from his body, handkerchiefs and aprons.
All right. 5 did I say? 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 15. H--H 1 to 15, let those get in line. And now, I want... While they're coming I want you to look this way. All right. And if the--some of them will go down, or... I guess some of them are helping.

E-59 Now, I want to ask you something: If the Lord Jesus, Who we have spoken of--of His love, Who loved animals, Who loved people, Who loves you in your sin, Who loves you in your differences, Who loves you in your sickness... And if the Bible says that He is the same yesterday, today, and forever, if He will come to this platform in the midst of these people and will reproduce His life by the same works that He did when He was on earth, will you all accept Him with one accord for anything that you have need of? Will you do it around?
Now, you little children who have just come to Christ tonight, see whether you're serving or you accepted a dead Christ or a live one. He is alive forevermore.
And now, let's see. Are they still lining? All right. All right just a minute till we see if it gets quietened down over here.

E-60 How, many doesn't have prayer cards, let's see you raise your hands? All right. You look and live, look and... Does the Bible say... In the Bible where Jesus was going down through a group of people, and a little woman touched His garment, and He turned around and said, "Who touched Me."...
Now, we know the Palestinian garment hangs loose, and it has the underneath garment. And He could've touched her physical, or her--felt her physical touch. She touched His garment and went over and somewhere and stood up in the crowd. Jesus turned and said, "Who touched Me?"
Peter rebuked Him, said, "The whole crowd touched You. Why say, 'Who touched Me?'?"
Everyone of them denied it. She denied it, but Jesus was endued with a power. So He looked around until He found what was wrong. And He found the little woman, and He said, "Thy faith has saved Thee." Is that right?
Well, is He the same yesterday, today, and forever? Does the Bible say that right now He's a High Priest that can be touched with the feeling of our infirmities? Then you look and live. Believe Him; then let Him vindicate it.

E-61 Now, He doesn't have any hands on earth but mine and yours. He doesn't have any eyes but mine and yours. He has no mouth but mine and yours. But He wants us to yield what we got to Him as a branch, and He's the Vine that shoves forth the energy. The vine doesn't bear fruit, does it? The branch bears fruit. He said, "I am the Vine; ye are the branches."
Now, we are to bear the fruit of His ministry until He comes. The Bible said, Jesus did, "A little while and the world will see Me no more. (That's when He physical left; they'd never know it no more; now, that's the world.) The world will see Me no more for all (it's gone.); yet ye shall see Me. ('Ye,' that's the believer.) For I'll be with You (How long?) to the end of the world." Is that right? "I'll be with you, even in you to the end of the world." Now, He's the same yesterday, today, and forever. Let us be reverent and pray. Now...

E-62 Now, if you will, I'm going to ask you for just a few moments maybe say fifteen minutes. If you'll be real quiet. Now, we've heard the message. The sinners has accepted Christ. Surely we found favor with Him.
Now, what's next, Brother Branham? All right. It was God Who lead those sinners to Him all around. It's God. Now... "What do you do now Brother Branham?" Yield myself to the Spirit and by a Divine gift. I just--just yield myself to His Spirit; He takes over. He does the work, not me. It's not my words that's speaking it. It maybe my voice, but it's His power speaking through that voice. Just like the mule, or like the prophets, or anything that God takes over. He uses it.

E-63 Now, here's a man. Come here, sir. Now, here stands a man tonight, and so far as I know, both of us are strangers to each other. If that's right, raise up your hand?
Now, I do not know the man. He does not know me. If I come here and said... I'll put my hands on you, "Hallelujah, you're going to get well."
Now, he has a right to kinda, "Well, I hope I do." See?
But if I say, "Oh, in another six months you're needing finances. That's what you come to ask God. You got a little family that's starving, and you want finances. The day after tomorrow you're going to get them."
Well, he'd have the right to "Well, I--maybe I will."
Or if he wants prayer for somebody else. "Oh, they're going to get it." He'd have the right to kinda doubt that. But if the Holy Spirit will go down into his life, like He did Philip...

E-64 Now, the man may be a critic. He may be a infidel. He may be a Christian. I don't know. I never seen the man. But whatever he is, watch what the Holy Spirit will tell about him.
And then, if the Holy Spirit will tell him something that has been, surely he'll know whether that's true or not. Then if He tells him what has been, he'd have faith to believe what will be. Is that right? Then he will be the judge of that. And that would be just the same thing that Jesus did when He was here on earth.
Now look, this is a man. There was a man came to the Lord Jesus, a good man. And Jesus said, "Behold, an Israelite." Now, they all dressed alike. He could've not been an Israelite. He could've been a Greek or something else. But Jesus knowed he was an Israelite, a good honest man. And so it kinda a astonished him. He said, "When did You know me, Rabbi (or reverend, teacher)?"
He said, "Before Philip called you, when you were under the tree I saw you." What eyes, thirty miles around the mountain the day before. The first time He'd ever saw him.
And the man looked at Him and said, "Rabbi, You are the Son of God."
Jesus said, "Because I told you that..." See, that was the sign of the Messiah.

E-65 Now, whether He will or not I don't know. I can't say that. That goes to God alone. But if you'll be real reverent, and we'll trust God to do it. And just think: If He does do it, why, it ought to electrify this city.
How can we seat so gross and groggy and know that the living Christ is in our midst. Shows there's something wrong. That's right. Now, be real reverent. Let me talk to the man.
Now, sir. I see you have a sign on you says, "Personal worker." All right. Now, if we do not know each other, and the Lord Jesus will tell me what you're here to ask Him... To come ask me something, wouldn't do much good, because I have... If it'd be money. I might have two or three dollars to let you have, but I'd do that if you wanted it. I'd give you everything I had, if I could help you.
But if you're wanting healing or wanting something else. Might be something I couldn't do for you. But you know what you want. And if you know what you want and what you need. He's able to tell me like He told the woman at the well. Is that right? If He will do it, will you receive it? Will the audience receive it and believe?

E-66 Now, here's the place where I'm either found to be the truth or a lie. See? Either the truth or it--it's a lie. And remember, it's nothing I can do within myself; it's God permitting it do be done. And all knows that by a Divine gift. May He grant it.
Now, be just quiet. Don't move around. See? When the Spirit once takes a hold... Each one of you are spirits. You know that. If you wouldn't you'd be dead. So it's your spirit (See?) that I catch. And when it hits... If you'll just pray... Just set still. Don't move around; just pray, and say, "God, be merciful to me." Look what He does to you tonight everywhere in the audience, people... Is that right? Way more in the audience than there is up here.
Many don't even say nothing about their letters pouring in and things, how they go to doctors and everything, how they come; it's over. See? Just have faith; believe.

E-67 Now, if I could help you and wouldn't, I'd be a cruel person. But I can't help you, but God can. If God will let me know what you want from Him, then you'll believe Him, believe me to be His servant?
If the audience can still hear my voice. I see the man walking; it's in the floor. And his trouble is up in here around his eyes or head. It's a--it's a sinus trouble. I see him rubbing up in here kinda in this way, sinusitis. And you got something wrong with your side. That's right. And you've had an operation. And that operation is the cause of your side being that way. That's right. Now, do you believe? Is that the truth? You believe? Then let's pray.
Kind heavenly Father, in the Name of the Lord Jesus, I pray that Your mercies will be shed for this man by the Holy Ghost, and may he be healed through Christ's Name. Amen. God bless you, brother. Over now, go rejoicing, and being happy.

E-68 How do you do, lady? Would I be hypocrite to stand here before this sacred desk, if I could help you, you know I'd do it. Seeing that your hair is gray and both hands has probably done a many day's work, and here you stand tonight wanting something from God. If I could help you, I'd do it. But the only thing that I can do is preach the Word the best that I can, and then by a Divine gift help you if I can.
I see you at the house or place, and you're fixing a table. And it's something about when you're eating. It's your stomach. You got stomach trouble. That's right. And then you've got a growth; that growth's in the side. That's right, isn't it? Raise your hand if that's right? Now, He Who knows you, and you know I don't, do you believe that He will make you well if I'll ask Him? There's something here that's got me anointed. You know that; I'm... You know that. What do you think it is? You think it's God? Well, then God said this, "These signs shall follow them that believe: if they lay hands on the sick they shall recover." Do you believe it?
Our heavenly Father, I lay hands upon this woman and ask for her to be healed in Jesus Christ's Name. Amen. Now, go believing. Don't doubt. With all your heart now. God bless you, sister.

E-69 What do you think? Setting there praying, aren't you? If I tell you what you're praying about, would you believe me to be God's prophet? About your back. That's right, isn't it? If that's right raise up your hand? All right. It's over now. You can go home and be well. Your faith touched Something, didn't it? It touched Christ. Now, have faith and believe.
I challenge this audience in the Name of Christ, to look this way and believe on the Lord Jesus Christ. Just look and live. Don't doubt, but have faith.
All right, little lady, being that you're setting there praying like that, because I spoke of his back, you had back trouble too. That's right. That's right. You have sinusitis also. That's right, isn't it? You was right there praying, "Lord, let it be me tonight." Is that right? All right, you got it now. You touched Him.
See what I mean? Look and believe. The Bible said, "Look and live." You believing?

E-70 What do you think setting there with your hand back on...? You believe? You're praying to, aren't you? You believe that Jesus Christ the Son of God has sent me to do this? You do? All right. You got skin trouble, haven't you? Is that right, raise your hand? You believe you're healed? All right. Go home and be well then in Christ's Name. Do you believe?
Now, lady, I guess I'm a stranger to you. I don't know you, never seen you. But God does know you. Isn't that right? A man up here...?... All right, have faith now. If God will reveal to me what you are here for, will you believe it? Now, see, the reason that you don't... I could talk to you a long time. He'd keep telling me more and more I talk, as much as God would show me. See? But contacting your spirit (See?), that's what brings it.
Been sick this week, haven't you? Frankly, you've been in bed all week. That's right. You've had hemorrhages. That's right. You got colitis in the bowels, haven't you? Your name is Mrs. Reynolds, isn't it? Uh-huh. You live at 2010 Henshaw. Now, go on back up there and be over it and get well in the Name of the Lord Jesus. If thou canst believe, all things are possible.

E-71 All right, lady. We're strangers to each other. I don't know you, never seen you, don't know nothing about you; but there's Someone here Who does know you. If He will reveal Himself, will you believe His resurrection? Now, look. You're aware that something's going on, aren't you? And you know you wouldn't feel that way because of me standing here. That Light settled over you. See that's what makes you...?...
Now, you're suffering with an extreme nervous condition, which is caused by the time of life you're living. And you have something wrong in your chest, and you have something wrong in your stomach. That's right. And you have a growth on you leg, knot like. That's right. Now, do you believe me to be His prophet, I mean, His servant? That word stumbles the public. You do? Then I... Surely He will help you. Yes.
You're got someone else you're praying for. And that's a grandchild, granddaughter, granddaughter. And she's got a growth on the knee. And she don't live in this country. She lives in a flat country in the eastern country. It's in Ohio. That's exactly right. Just a moment; just a moment, lady.

E-72 The man sitting right down here, the missionary, preacher, his wife's setting next to him praying for a headache condition. There's something about Ohio with you. I don't know you. I've never seen you. But it's someone who's close to you that was healed in my meeting in Ohio of TB. It's a little boy, and his mother's been prayed for the same. That's THUS SAITH THE LORD. All right, go on your road rejoicing. You can have what you ask for, lady. God be merciful to you. Oh, do you now believe?
Now, sir, I don't know you, you know that. I don't know you, but God does know you. Let me have your hand just a moment. You got ulcers. That's right. Correctly. You believe me to be God's prophet? You would? You're doing something that's making those ulcers worse. Tobacco will ruin them, make you worse than ever. Do you believe God will take that cigarette away from you and make you... Will you surrender that cigarette and your life to Christ, right now? You will? Then may the God of heaven take away the iniquity and heal this man in Jesus Christ's Name. Amen. Go on your road rejoicing, sir. Join some real good church and make...

E-73 Don't move friends. Just set still. See? There's something happened. I seen a hospital. It's an old woman, and she's in a--a mental hospital. It's that woman's mother setting right there. She's praying for her mother in a... You believe that God will heal her? The Lord grant it to you, sister.
God can heal cancer, anything else and make you well. You believe He can make that cancer leave you? Then I condemn it; in the Name of Jesus Christ may it go from you. Amen. Have faith in God.
How you do, sir? Those wearisome coughing hours, asthmatic condition is a horrible thing. But do you believe Christ can make you well? You do? Our heavenly Father, I bless this man in the Name of Jesus Christ; may he be well. Amen. God bless you, my brother. Go, and be made well.
My sister, God can heal heart trouble the same as anything else. You believe that He will make you well of heart trouble, if I'll ask Him? It's a nervous heart is what it is. You have it worst when you lay down. See? I see you laying down, smothers; gas is what it really is, 'cause push up against the heart. O God of heaven, settle the nerves of this poor little woman and make her well in Jesus' Name. Amen. God bless you, sister. Have faith now.
Strange, when I said that to her something happened to you, didn't it? It's the same thing. You both was healed at the same time. So just go on off the platform rejoicing, saying, "Thanks be to God."

E-74 Come, lady. The lady coming has a black shadow following her, the shadow of death, which is cancer. You believe God will heal you, lady, and make you well? Our kind heavenly Father, as my own strength is fading away, I pray for this woman, Oh, if You could heal a opossum, how much more can You make this saint well. I condemn this spirit of death on her and ask that she live in Jesus' Name. Amen. Go, happy, sister, rejoicing.
You got a stomach condition, nervous. Causes you to have distress through like, the belching up of the foods and stuff that goes into your stomach. Do you believe that God will make you well? Will you accept Him now as your Healer? O eternal God, in Jesus Christ's Name, I condemn the devil that's harming my sister, and ask that he leave her in Christ's Name. Amen.
Have faith in God. Do you believe everyone? With all your heart you believe? Oh, hour after hour this can happen. But what does it confirm? Jesus Christ, alive. Jesus is here.

E-75 What do you think of it, little lady, looking at me there with female trouble right back there in the back of the audience. Do you believe that God will make you well? You believe it with all your heart? If you believe it, all right, you can have it. The Lord bless you.
What do you think about it, the rest of you. Do you believe with all your heart? You believe God will heal you now? I tell you, friend, looky here. I'm just so weak I can hardly stand here. I... And the whole room just looks like kind of a--a... I know you don't call me a fanatic; surely you don't.
If one little woman touching Him made virtue go from Him, what, if that the Son of God, what about me a sinner, saved by grace. And what's doing these visions? Not me, it's you. It's your faith a touching Him, and He's answering back. Do you understand? Do you believe He's alive? Do you believe He's here to heal you? Then why not accept Him.

E-76 I wonder right here while we're standing, how many of you is convinced that the Lord Jesus is here? Raise up your hand. Now, I'm going to ask for those... Just a minute, while we stop the line a minute. Those who raised their hand, along with those who did not raise their hand, I want you to come here just a minute. While the anointing is here with me, I--I--I want you to come here. I want you to come here, just... I want to pray for you. You sinners, that raised your hand, I want you to come. The sinners coming seeking salvation... I want you to come to the altar right here now. Come down out of the balconies, every one. Will you come right now. I want you to stand here while we pray for your soul, which is far more than your physical healing. Won't you come?

E-77 God bless this poor old man coming on crutches. Sir, come, give your heart to Him; you can walk away without your crutches. "Seek ye first the Kingdom of..."
And that Thou bidd'st me come to Thee,
O Lamb of God, I come! I come!
What's--that's right. Come right down out of the balcony. Come right here now. You say, "Brother Branham, why do you stop the prayer line early?" Because I'm seeking the lost. That's it. I want you to come now. Move right on down. That's right, give them room back there. Come right down and stand here a minute. I want to come here and pray with you. That's it. Come right on down this a way. Move yourself right down here.
Blood was shed for me,
And that Thou bidd'st me come to Thee,
O Lamb... I come! I come!

E-78 All right, backslider, I'm waiting for the Holy Spirit to lead you down here.
I seen a little colored girl come down, standing here. Little red dress on, little white ribbon in her hair. There was a little girl taken captive one time. And she said to her master, "I would to God that you were over in my country. There's a prophet over there could recover you and heal you of that leprosy." How'd that little girl giving testimony to her faith in the prophet, caused a immortal story to be wrote in the Bible.
Will you come just down now? Come right on, you that are needing Christ. You that has a spiritual need of Christ, won't you come? I believe there was more hands than this that went up. I want you to come right on--on. Won't you do it? I'm persuading you now.

E-79 Here sometime ago... You might've heard the little story. It was some time ago. There was a man standing in a court, being tried. And while he was being tried, he said to the judge; the judge found him guilty and said, "I sentence you to hang by your neck, until you're mortal--mortal life is gone."
And the man ran up, and he said, "Judge, don't you know me?"
Said, "No, I don't."
He said, "One day when I was a little boy, I was laying in a wagon. You were a young man then, judge. Someone shot a gun down the street. The horses run away and were going to run over a big bluff. And you rushed in front of the horses, and grabbed them, and drug the hide from your feet, until you stopped those horses and saved my life." Said, "Judge, I'm that same boy. Save me again, judge."
He said, "Young man, that day I was your saviour. Today I'm your judge." That might be said to you. Tonight He's your Saviour in the morning He may be your Judge. Won't you come while we sing once more?
Just as I am, and waiting not
To rid my soul from one dark blot,
To Him, whose blood... [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-80 And you're here to thank God for His goodness to you. Now, we're going to bow our heads to pray, all over the building everywhere.
Merciful Father, be kind now. And I pray for each of these who are standing here, that they may be touched by Thy Divine power. I pray that You will give to them the forgiveness of all their sins. Grant it, Lord, and I know You will. You promised You would.
And we now present them to Christ, that God has called them to this altar of repentance, and they have accepted Jesus as their personal Saviour. And they're standing here as a testimony to the people, that they have accepted Christ as personal Saviour.
Now, God, I pray that You will baptize them into the body of the Lord Jesus by the baptism of the Holy Ghost. And these Your trained servants instruct them, who can stand here and make known to them this great revelation... I pray that they will receive the Holy Ghost this night. Grant it, Lord. Bless all who's in Divine Presence.

E-81 This lady standing here waiting for her healing. I lay hands on her and ask that You'll heal her in Christ's Name. I ask that You'll heal each one, everybody that's here, every sick person.
Oh, Satan, you know you're going to lose the battle. Christ defeated you at Calvary. You have no power; you were stripped of everything you had. And all you are is a big bluff, and we're calling your hand on that bluff in Jesus Christ's Name. Get out of this building. Come out of the people and go from here. And may the spirit of doubt and superstition leave this building, for the God of heaven Who raised up His Son Christ Jesus, Who is present right now to heal every sick person and to pour out the baptism of the Holy Ghost on the people... Grant it, God, in Jesus' Name.

E-82 Now, while we have our heads bowed, everyone praying, believing... Now, you here seeking the Holy Ghost, I want you to raise up your hand. Raise up your hands if you want God to fill you with the Holy Ghost. All that wants the baptism of the Holy Ghost raise up your hand.
Now, that I'm tired and I'm weak and weary, I'm going to ask our Brother Ballard, a Christian minister, to continue this prayer. The personal workers, lay hands on these people now. Lay your hands on them. Somebody out there that's got the Holy Ghost lay your hands on those that's got their hands up. And now, for a great one unity, a great blast of the power of God, may you receive the baptism of the Holy Ghost and be healed in Jesus' Name.

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