Jéhovah-Jiré

Date: 57-0326 | La durée est de: 1 heure et 49 minutes | La traduction: Shp
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1          Revenir à Oakland, Californie, pour des réunions... Et je parlais tout à l’heure là dehors à un frère qui a travaillé avec des Juifs, et il me racontait qu’il y a environ trois ans, quand j’étais entré chez lui, sa femme était très malade et elle était enceinte; et le médecin avait dit que l’enfant serait déformé comme elle souffrait de rougeole ou quelque chose comme cela. Alors, nous avons prié, et le Seigneur a fait que l’enfant naisse parfaitement normal et bien portant; c’est un bel enfant.

2          Et aujourd’hui, alors que je prenais mon courrier d’hier soir, je n’avais jamais vu, guère, tant d’agréables choses que le Seigneur avait accomplies et des gens si gentils. Je lisais au sujet d’un prédicateur baptiste qui est ici dans le service et, peut-être qu’il est ici maintenant, il s’est dépouillé de tout ce qu’il avait pour la gloire de Dieu.

            Et d’autres prédicateurs et autres, oh! leurs compliments pour les messages, je vous suis très reconnaissant, mes frères, tant les presbytériens, les baptistes que–que l’Alliance, je pense, il y en avait une autre ici, l’Alliance Missionnaire.

            Et cet homme de l’Alliance Missionnaire m’a remis un mot, un petit témoignage que je n’oublierai jamais. Il a dit que c’était en Floride, il n’y a pas longtemps de cela, trois, quatre ans de cela... Est-ce cet homme assis ici? Eh bien, que votre coeur soit béni, frère. Je... Et il était très malade, pratiquement sur le point de lâcher, il est entré dans la ligne de prière, et–et je pense que le Seigneur lui a dit, par moi, qu’il souffrait du cancer. Et en trois jours, il a fait passer le cancer, tout était terminé et ça avait disparu. Et ça fait des années, il accomplit des tâches pour le Seigneur. Cela... Cet homme est assis ici même devant moi. Je ne le savais pas.

3          Vous savez, quand vous... je descends des avions, et des trains, les gens disent: «Frère Branham, ne vous souvenez-vous pas de moi? Vous avez prié pour moi pour telle et telle chose.» Je me demande simplement ce qu’il en sera quand je descendrai du vieux bateau l’un de ces quatre matins de l’autre côté. Je suppose, peut-être, que j’ai prié pour plus d’un million de gens ou plus, et le Seigneur a accompli de grandes choses.

            J’aimerais que chacun de vous ait foi ce soir et croie. Ça a été un séjour merveilleux. Et je parlais aux hommes d’affaires qui sont ici, frère Borden; et je lui disais aujourd’hui, à lui et à son ami... Et, à propos, il me disait que son jeune homme, ou le jeune homme de l’autre ami, était à l’estrade hier soir, et l’une ou l’autre chose à ce sujet. J’oublie maintenant ce que c’était. Mon esprit est très fatigué, c’est à peine que j’arrive à me souvenir.

4          Et maintenant, demain, nous irons dans une contrée où il y a de la neige, le Seigneur voulant, là où il y a des tempêtes de neige. Et de là, nous irons au Canada, à travers le Canada, et peut-être après, à traves le monde. Peut-être, le Seigneur voulant, je pourrais bientôt revenir. Mais j’aimerais vous demander, vous les frères dans le ministère, une chose: Faites ceci, s’il vous plaît. Pendant que ce glorieux esprit d’unité, d’un seul coeur et d’un commun accord, est avec nous, ne laissez pas cela mourir. Si vous pouvez rester, s’il vous faut rester sur vos genoux jour et nuit, gardez cet esprit parmi vous, frères et soeurs.

            De tous mes voyages, de l’est à l’ouest donc, de part et d’autre, comme nous le disons, Frère Arganbright, parcourant l’Indiana, de lieu en lieu, ceci est l’unique lieu où je vois que vraiment, maintenant même, on peut avoir un réveil qui balaie, c’est ici même parmi vous.

            L’Esprit est ici. Si vous estimez que je suis serviteur de Dieu, l’Esprit de Dieu est ici. C’est vrai. Il est ici.

5          Et je fais confiance à Dieu qu’il y aura des réveils dans chaque église à travers le pays, par ici. Et c’est l’unique espoir que nous avons maintenant même, pour le salut de cette grande église, nous sommes sortis côtoyer les gens, nous associer, et nous avancer au front. Et je prie que cela ne s’arrête jamais jusqu’à la Venue de Jésus.

            Et maintenant, je pense que frère Erickson vient très bientôt pour un réveil au niveau de la ville. C’est le docteur Can–Canada, je pense, qui m’a dit cela. Et frère Erickson est un ami à moi. Je l’ai rencontré deux ou trois fois, un homme très bien. Et j’espère bien que vous tous, vous collaborerez à cent pour cent, et que Dieu va donc... Si c’est en ce lieu-ci, j’espère qu’on aura à placer la police dans la rue pour maintenir de l’ordre pour des gens qui viennent, et que vous aurez un grand réveil.

6          Aujourd’hui, j’ai reçu une lettre, de mon vieil ami, docteur Morrison ici, qui est dans la ville. Généralement, il s’assoit par ici. Mais il n’est pas là ce soir et il tenait à me voir. Mais je suis désolé, frère, je l’ai reçue juste aujourd’hui. Que votre précieux coeur soit béni, mon bien-aimé frère. Si certains membres de sa famille sont ici, dites-lui que j’aurais voulu avoir cela un peu plus tôt pour le voir, mais je prendrai rendez-vous avec lui donc, Dieu voulant, la prochaine fois, ici, je viendrai le voir. Et c’est un homme très brave.

            Quelqu’un le pointe du doigt quelque part. Oui, docteur, que Dieu bénisse votre coeur. C’est lui qui m’avait parrainé premièrement ici dans cette ville. Et que le Seigneur vous bénisse, je suis très content de vous voir et à l’oeuvre, prêchant toujours, n’est-ce pas? Eh bien, amen. Ah! ah! Merveilleux! Oh! oui.

7          Vous savez, je vois ces gens de cet âge-là; j’ai quarante-sept ans, et je disais à ma femme, je disais: «Chérie, je pense que je ferais mieux de me mettre hors du chemin.» Je disais: «Je me fais vieux, et je ne sais pas, les hommes plus jeunes sont en train de venir, des enfants et autres.» Je disais: «Peut-être que j’aurais juste une petite école quelque part et j’enseignerais d’autres prédicateurs au mieux de mes possibilités ainsi que des enfants, les envoyer, et tout, quand ils voudront venir.»

            Et ceci, docteur Morrison ici, et docteur Canada, je suis allé chez lui, et il avait soixante-seize ans, il avait été tout écrasé dans un accident d’automobile, il prêche deux fois par jour à la radio et il est pasteur d’une église d’une capacité d’accueil de mille cinq cents personnes.

            J’ai dit: «Je ne suis pas fatigué; je pensais simplement l’être.» Et ici... Que Dieu bénisse vos braves âmes, frères.

8          Quand je traverserai la frontière, l’un de ces jours, quand nous nous rencontrerons tous de l’autre côté, il y aura un temps de souper. Et oh! comme je me le dis ce soir, je suis assis, je me tiens ici debout sur cette estrade pour proclamer la Parole, et de penser qu’il y a des hommes assis là, pas seulement ces hommes-là, mais d’autres avec eux, qui prêchaient l’Evangile avant ma naissance. Et me voici debout ici ce soir. Frères, voici ce que j’aimerais dire pour... en guise de compliment à votre égard. Vous avez pavé le chemin pour ce que j’apporte. C’est tout à fait vrai. Que Dieu bénisse ces hommes, c’est ma sincère prière.

            Oui, ils se tenaient au coin et jouaient de la guitare, on leur jetait des oeufs pourris et des choses semblables. Alors que moi je suis venu et je suis entré dans un auditorium, je ne fais que courir sur l’autoroute qu’eux ont pavée. C’est vrai. Dieu connaît chaque petit geste, et c’est... tout est là. Je suis sûr qu’il y aura une grande récompense pour vous un jour.

9          Maintenant, ce soir, j’aimerais prendre ceci juste un instant pour exprimer au nom de ma femme, mon fils, ma belle-fille et moi-même, notre appréciation pour la gentillesse et l’accueil dont nous avons fait l’objet dans cette ville. Et nous aimerions remercier chaque prédicateur qui a été avec nous, qui a collaboré et qui nous a aidés, et chaque personne qui nous a visités, pour votre soutien financier au... en gardant les réunions en cours, pour l’offrande d’amour que vous m’aviez donnée l’autre soir. Que le Seigneur vous bénisse.

            Je crois, la Bible dit: «Tout ce que vous avez fait à l’un de ces plus petits de Mes enfants (et ça, c’est à moi), a-t-Il dit, a dit le Seigneur Jésus, c’est à Moi que vous l’avez fait.» Et je prie que Dieu vous accorde le désir de votre coeur, chacun de vous. Je vous remercie du fond de mon âme.

10        Et puis aussi, pour le soutien spirituel qui a servi d’appui à la réunion. Vous êtes venus avec différentes idées de différentes dénominations et tout. Mais vous les avez oubliées, vous êtes simplement entrés ici et vous vous êtes attelés à la Parole et vous avez directement avancé avec nous. Que Dieu vous bénisse. Oh! Cela représente quelque chose. Cela me donne envie, je... que tous les efforts que j’aie jamais fournis pourraient trouver une récompense en cela ici même.

            Et de grands témoignages qui ont été écrits, nous les classons simplement aussitôt là. Non seulement juste ce que quelqu’un a dit, mais les rapports des médecins sur ce qui est arrivé. Et ça a été merveilleux. Et il y en a beaucoup qui n’ont même pas atteint cette estrade, qui n’ont même point été désignés dans l’assistance. Le Seigneur les a guéris pendant qu’ils étaient juste assis dans la Présence du Seigneur, pendant qu’Il est ici pour guérir. N’est-ce pas là la vraie façon réelle de s’y prendre? Dans la Présence du Seigneur, c’est là guérir les malades. Si merveilleux, des centaines qui sont venus à Christ, des rétrogrades qui sont revenus. Nous vous remercions simplement.

            Et j’aimerais y inclure aussi frère Arganbright. Je pensais qu’il était parti, mais je pense qu’il est revenu. Nous sommes donc reconnaissants qu’il soit ici avec nous, et lui, je sais que c’est aussi là ce qu’il ressent.

11        Maintenant, juste avant d’ouvrir le Livre... En fait, je ne prétends pas être un théologien. Je ne le suis pas. En effet, je n’ai que l’instruction de l’école primaire.

            Tenez, il y a quelque temps à Fort Wayne, dans l’Indiana, je parlais, et un homme est passé derrière les rideaux, après qu’on m’eut fait passer là-derrière, je me reposais un tout petit peu avant que je... J’étais très, très fatigué... C’est l’Onction qui me fatigue beaucoup. Alors, quand Cela quitte... Quand je suis ici, ça va. Mais c’est quand Cela vous quitte, que Ça vous bouleverse.

            Et alors, pendant que j’étais là derrière, cet homme est venu vers moi. Il a dit: «Dites donc, prédicateur, oh! la la! a-t-il dit, votre grammaire est pauvre.»

            J’ai dit: «Je le sais.» J’ai dit: «Je n’ai que l’instruction de l’école primaire.»

            Et il a dit: «Oh! la la! a-t-il dit, ce n’est pas là une excuse, vous êtes un homme.»

            J’ai dit: «Eh bien, nous étions tellement pauvres, si pauvres que je ne pouvais pas aller à l’école quand j’étais un garçon. Nous étions neuf garçons et une jeune fille en famille, et papa n’était plus très fort, j’ai donc dû travailler.»

            Il a dit: «Oh! mais maintenant, a-t-il dit, vous êtes un homme.»

            J’ai dit: «Eh bien, depuis que le Seigneur m’a appelé, je suis tellement occupé à prier pour Ses enfants que...»

            Il a dit: «Eh bien, regardez, a-t-il dit, une partie de votre grammaire, et les foules que vous avez là...» Il a dit: «Votre grammaire est si piètre que vous devriez avoir honte de vous-même.»

            J’ai dit: «Oui.»

            Et il a dit–il a dit: «Eh bien, par exemple, a-t-il dit, vous avez dit: ‘Vous tous qui passez ce polepit. [chaire].»

            J’ai dit: «N’était-ce pas correct?» Je ne connaissais pas la différence. Et il a dit... J’ai dit: «N’était-ce pas correct?»

            Il a dit: «Non.» Il a dit: «Vous devriez dire pulpit [chaire], et votre assemblée vous apprécierait mieux.»

            J’ai dit: «Frère, je ne voudrais pas vous blesser, mais, ai-je dit, il importe peu à cette assemblée-là que je dise polepit ou pulpit, pourvu donc que je mène la vie, que je prêche la Parole, que je manifeste Christ, c’est là l’essentiel.» C’est vrai; oui, oui. C’est vrai. Merci.

            Je peux ne pas très bien connaître le Livre, mais j’En connais très bien l’Auteur, et c’est ça la chose qui est–qui est bien. Je pense donc qu’Il nous fera savoir juste dans le Livre ce dont nous avons besoin. Maintenant, inclinons la tête et parlons à l’Auteur, juste avant de lire Son Livre.

12        Ô précieux Seigneur, ce soir alors que je pense aux accumulations de neige qui nous attendent là, ainsi qu’aux réunions outre-mer, et là dans des jungles et, oh! ça semble être un peu difficile de quitter cette bonne et chaleureuse communion où brûlent les feux aux foyers, et tout le monde vous aime, et l’Esprit quitte pour aller là et être défié par des sorciers et des démons et... Mais allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle, c’était là la commission, Seigneur, et c’est ce que nous devons exécuter.

            Et je Te prie de bénir les gens ici chez nous, et puissent-ils se souvenir de nous, Seigneur, dans la prière, alors que nous allons au front pour le Seigneur Jésus.

13        Maintenant, nous Te remercions pour ces choses que Tu as faites pour nous cette semaine, surtout, Seigneur, pour Ton omniprésence, sachant que Tu es ici, et pour Ta Parole, et la confirmation de Ta Parole, la confirmation que Tu es ressuscité d’entre les morts et que Tu es le Christ vivant.

            Nous Te prions de bénir les paroles que nous allons proclamer ce soir. Rencontre-nous, Seigneur, et accorde-nous l’une des soirées les plus glorieuses parmi celles que nous avons eues jusqu’à présent. Les gens attendent avec une grande anticipation. Et, Seigneur, pendant qu’il y a cette grande anticipation, que les hommes et les femmes détachent leur regard de cette condition terrestre où nous sommes pour le diriger vers le Père céleste qui est prêt à déverser Ses bénédictions et Sa puissance sur nous.

            Accorde-le, Père. Nous le demandons au Nom de Christ alors que nous communions autour de Sa Parole. Amen.

14        Je souhaiterais prendre... lire juste ce soir un peu dans l’Ancien Testament, dans la Genèse, chapitre 22, versets 7 et 8, et peut-être, le verset 14. J’aime Sa Parole, et si vous aimez Sa Parole, vous devez L’aimer. Et si vous L’aimez, vous aimez Sa Parole.

Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit: Mon père! Et il répondit: Me voici, mon fils! Isaac reprit: Voici le feu et le bois, mais où est l’agneau pour l’holocauste?

Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble.

            Verset 14:

Et Abraham donna à ce lieu le nom de Jéhovah-Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui: A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.

            Maintenant, que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à Sa Parole.

            J’aimerais solliciter une faveur de plus auprès de vous. Quand je serai outre-mer, et que les sorciers défieront, que les vents seront chauds, puis-je me rappeler que vous serez en train de prier pour moi? Faites-le. Priez pour moi.

15        J’y pense parfois, quand on se retrouve en plein dans ces moments difficiles, et qu’on voit le Dieu du Ciel s’interposer et changer de scène. Oh! c’est vraiment merveilleux. Je pense que des gens à la maison prient maintenant.

            Voyez, nous ne devons pas nous mettre en tête que Dieu travaille juste avec un seul individu. Il travaille avec nous comme un corps. Nous sommes tous un. L’un est tout aussi important que l’autre. Nous devons être ensemble pour former le Corps de Christ.

16        Maintenant, j’aimerais utiliser mon sujet pour juste un petit instant, si je peux enlever ma montre pour que je ne sois pas trop long. Et j’aimerais parler sur le sujet Jéhovah-Jiré. C’est un sujet très profond.

            Eh bien, Jéhovah-Jiré, veut dire l’Eternel s’est pourvu d’un sacrifice. Or, Dieu est apparu dans l’Ancien Testament sous sept Noms composés de la rédemption: Jéhovah-Jiré, l’Eternel se pourvoira d’un sacrifice, Jéhovah-Rapha: L’Eternel qui guérit toutes tes maladies. Jéhovah-Manassé, l’Eternel, l’Armure, le Bouclier, l’Ecusson et autres. Sept Noms composés de la rédemption. Ces noms de la rédemption sont indissociables. Vous ne pouvez pas–vous ne pouvez pas les séparer, car ils s’appliquent tous à une attitude de Jéhovah.

17        Et la soirée où la photo a été prise, celle que vous voyez ici même, de l’Ange du Seigneur, monsieur Best, le prédicateur baptiste, tenait un débat avec frère Bosworth... Frère Bosworth a dit: «Si vous répondez juste à une seule question, Frère Best, par oui ou non, nous aurons tout réglé, et je quitterai l’estrade, que l’assemblée en soit juge.» Alors, lui, le modérateur lui a laissé poser la question, il a dit: «Est-ce que les Noms de la rédemption de Jéhovah s’appliquaient à Jésus, oui ou non?» Cela était réglé. Assurément.

            Et s’Il n’était pas Jéhovah-Jiré, Il n’était pas le Sacrifice auquel le Seigneur avait pourvu. S’Il était Jéhovah-Jiré, Il devait être Jéhovah-Rapha, le même hier, aujourd’hui et éternellement. La question était donc réglée. Vous ne pouvez pas–vous ne pouvez donc pas séparer ces noms-là.

            Et ils s’appliquent tous à Jésus. Et c’est l’attitude de Jéhovah envers Son peuple, toujours. Le Sacrifice auquel il a été pourvu, le Guérisseur, le Bouclier, l’Ecusson, et que sais-je encore. Jéhovah l’était en ce moment-là, Jéhovah l’est aujourd’hui.

18        Maintenant, nous allons parler de ce merveilleux personnage que nous... J’en ai parlé pendant... peut-être prendre un sujet de trois ou quatre semaines et m’attarder juste là-dessus, sans jamais quitter ce sujet sur Abraham.

            Et je prenais les sujets de la Bible dans des réunions. Une fois, j’ai pris Job dans la Bible, et j’en suis arrivé là où il était assis sur le tas de cendre. Et je suis resté là même; j’ai fait pratiquement un an sur Job. Et puis, je l’ai amené sur le tas de cendre, et là, j’ai continué là-dessus pendant environ trois semaines. Alors, une gentille dame a écrit, disant: «Frère Branham, quand allez-vous donc relever Job du tas de cendre?» Elle était gentille, gentille à ce sujet, mais vous savez, je faisais comprendre un point là même. Et quand finalement le Saint-Esprit s’est déversé, les gens ont afflué à l’autel.

            Oh! Dieu prend ces petites Ecritures, et comme Il peut les faire comprendre si seulement nous nous attendons un peu à Lui. Il travaille dans Sa Parole.

19        Maintenant, nous allons parler d’Abraham. J’aime parler d’Abraham. Et la raison pour laquelle j’ai choisi ceci comme sujet ce soir, c’est la clôture, on s’attend à beaucoup.

            Or, Abraham était juste un homme ordinaire. Il n’était en rien différent de l’un de nous, juste le même. Aujourd’hui, les gens, quand ils voient Dieu placer un don dans l’église, certaines personnes essaient d’élever cette personne-là comme quelqu’un de très grand, de remarquable. Eh bien, c’est faux. Vous placez alors votre esprit sur la personne plutôt que sur Christ. Nous sommes tous les mêmes. La Bible dit qu’Elie était un homme de même nature que nous. Il avait les mêmes hauts et bas que nous avons.

20        Or, auparavant les membres de ma famille étaient des catholiques. Vous le savez tous. Et ils sont grands sur «saint homme, saint homme.» Mais pour moi, il ne s’agit pas d’un saint homme, il s’agit d’un Saint Dieu. C’est vrai. C’est Dieu qui est l’objet; nous sommes des hommes, tous les mêmes.

            Remarquez, mais Abraham était juste un homme ordinaire. Il était originaire de Babylone. Il habitait là dans le pays de Schinéar. Et peut-être que son régime alimentaire était: Le matin il allait cueillir des baies dans les buissons, il revenait et abattait un animal, et prenait de la viande à midi, et encore des baies pour le souper et ainsi de suite. Il avait épousé sa demi-soeur; son nom était Sara.

            Et pendant qu’Abraham, alors qu’il n’était qu’un homme ordinaire, Dieu a choisi Abraham par élection. Non pas parce qu’il était différent d’un autre homme, mais c’était parce que l’élection de Dieu devait subsister assurément.

            Maintenant, puissions-nous prendre notre temps et ne pas être pressés. Nous aimerions ratisser ceci juste un instant.

21        Eh bien, si Dieu a appelé Abraham par élection, qu’Il a donné à Abraham Son alliance inconditionnelle, pas: «Si tu fais ceci», ou «tu feras cela»; c’est «Je l’ai fait.» Il n’y avait rien que vous deviez... qu’Abraham devait faire, c’est ce que Dieu a fait.

            Eh bien, Dieu avait conclu une alliance avec Adam. Adam avait brisé l’alliance. Chaque fois que l’homme conclut une alliance avec Dieu, il la brise. Dieu a alors conclu une alliance inconditionnelle avec Abraham. Dieu était déterminé à sauver l’homme.

22        Eh bien, et maintenant, vous dites: «Eh bien, Dieu appelle-t-Il toujours, conclut-Il toujours Son alliance inconditionnelle?» Absolument. La Bible dit cela, Christ a dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement.» Nul ne cherche Dieu à aucun moment. C’est Dieu qui cherche l’homme.

            C’est sa nature; il est un être déchu. Et Adam a bien manifesté la nature de l’homme dans le jardin d’Eden, quand il s’est rendu compte qu’il était en erreur. Au lieu de parcourir le jardin en criant: «Ô Père, où es-Tu?», c’était plutôt Dieu qui parcourait le jardin en criant: «Adam, où es-tu?» Et au lieu qu’Adam vienne confesser son tort, il se cachait dans le buisson. C’est la nature même de l’homme pour commencer.

23        Un homme est un échec. Il est complètement perdu à sa naissance. Il n’y a rien de bon dans un homme. S’il y a quelque chose de bon dans un homme, c’est ce que... la partie de Dieu qui est dans l’homme. Car un homme en lui-même ne vaut totalement rien. Et il n’y a pas de bonté en lui, tout, pas du tout, c’est Dieu qui a fait cela pour lui.

            Nous ne pouvons donc pas dire que nous avons fait ceci pour mériter ceci. Nous avons prié toute la nuit pour mériter ceci. Il n’est pas question de si vous faites ceci ou cela; c’est Dieu. Cela ne dépend ni de celui qui veut, ni de celui qui court; cela dépend de Dieu qui fait miséricorde, cela est entre les mains de Dieu.

24        Et Abraham a reçu l’alliance, sans condition: «Si tu veux...» Mais: «Je l’ai déjà fait.»

            Eh bien, vous dites: «Frère Branham, si j’étais Abraham, je me sentirais très bien alors.» Ecoutez, cette alliance n’était pas uniquement faite avec Abraham; elle était conclue avec Abraham et sa postérité après lui. Nous sommes donc la postérité d’Abraham. Si nous sommes morts en Christ, nous avons revêtu la nature de la postérité d’Abraham et nous sommes héritiers selon la promesse.

            Et la façon dont vous devenez la postérité d’Abraham, c’est en ayant la foi qu’Abraham avait dans la Venue de Christ, et vous acceptez cela, vous êtes rempli du Saint-Esprit; alors, vous êtes la postérité d’Abraham et cohéritier de Christ avec lui dans le Royaume. Ô frère, si seulement les gens pouvaient se rendre compte de cela.

25        Si l’église, ce soir, pouvait cesser de penser qu’il s’agit de quelque chose qu’on doit faire; il s’agit de quelque chose que Dieu a déjà fait. Vous ne faites que mettre la charrue avant le boeuf. Et cela ne tournera pas correctement. Oubliez simplement ce que vous avez à faire, et rendez-vous compte qu’il s’agit de ce que Dieu a déjà fait. Alors, vous ferez rouler correctement la charrue.

            Mais alors tant que vous essayez de pousser cela... de retourner cela. Ne dites pas: «Si je fais ceci, et si je fais cela...» Regardez, dites: «Cela est déjà fait; Christ l’a fait pour moi. Gloire à Dieu», et acceptez cela.

            C’est une oeuvre déjà achevée. Dieu vous a appelé. Vous êtes sauvés par la grâce au moyen de la foi (Voyez?), pas par des oeuvres, mais au moyen de la foi, par la grâce de Dieu.

26        Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique. Maintenant, regardez, non pas que Dieu ait été obligé de le faire, mais c’est parce que Dieu a effectivement fait cela. Et quand l’amour de Dieu s’est élancé, la grâce souveraine a dû produire l’objet que Sa grâce avait projeté, ou plutôt que Son amour avait projeté.

            Et quand vous aimerez Dieu, que vous croirez en Dieu, la grâce projettera l’objet que vous demandez à Dieu. Voyez-vous cela? Voyez, vous êtes la postérité d’Abraham, alors vous aimez Dieu. Et quand vous aimez Dieu, vous L’aimez tellement que vous croyez Sa Parole et vous acceptez Sa Parole, alors la grâce souveraine descendra et projettera ce que vous demandez à Dieu. En effet, Il ne peut pas s’en empêcher. C’est la base sur laquelle cela se trouve. C’est l’amour. Et l’amour projettera la grâce, et la grâce projettera l’objet que vous demandez.

            Vous ne pouvez pas obtenir cela par des émotions; vous ne pouvez pas obtenir cela par l’érudition. Vous n’obtenez jamais cela par l’instruction. Vous n’obtenez jamais cela par des sensations. Vous l’obtenez par l’amour. Vous croyez en Lui et vous acceptez Sa Parole comme Telle. Et quand vous acceptez Sa Parole, cela fait qu’Il vous aime. Et vous recevez ce que vous demandez.

27        Maintenant, remarquez, Abraham était juste un homme ordinaire. Et Dieu l’a appelé par élection, et Il a dit: «Abraham.» Et remarquez, ceci nous encourage beaucoup, nous les gens avancés en âge. Abraham avait soixante-quinze ans avant que Dieu l’ait donc appelé. Et sa femme, Sara, avait soixante-cinq ans. Ils s’étaient mariés depuis qu’ils étaient jeunes, peut-être, disons que Sara avait seize ans et–et qu’Abraham en avait vingt-six. Et quand ils se sont mariés, ils ont vécu comme mari et femme tout ce temps, et elle était stérile. Elle n’avait pas d’enfants. Et peut-être qu’Abraham était peut-être stérile.

28        Mais j’aimerais vous faire remarquer que Dieu a dit à Abraham que quelque chose allait arriver, c’était absolument impossible que cela arrive. Il a dit: «Abraham, tu vas avoir un enfant de Sara», et c’est par cet enfant que les bénédictions allaient venir.

            Maintenant, du point de vue mental, c’était impossible. Cela ne pouvait pas arriver, parce qu’Abraham avait soixante-quinze ans, et Sara, soixante-cinq, environ quinze ou vingt ans depuis la ménopause. C’en était fini pour elle. Son... Son sein en elle avait desséché. Elle avait soixante-cinq ans. La ménopause frappe de trente-huit à environ quarante ans. Et elle en était quitte avant qu’elle ait cinquante, ou vers cinquante ans. Et la voici à soixante-cinq ans.

29        Dieu a dit à Abraham: «Tu vas avoir un enfant de Sara.» Et Abraham ne douta pas de la promesse de Dieu par incrédulité, mais il accepta que ce que Dieu avait dit allait arriver. Peu importe combien cela paraissait ridicule, Abraham ne regarda pas à tout ce qui était autour de lui, ou il ne considéra pas le–l’état du sein de Sara qui était desséché, il ne considéra pas non plus son propre corps, alors mort. Mais il crut Dieu, et appela ces choses qui n’étaient pas comme si elles étaient. Amen.

            Oh! Mon frère, voilà l’Evangile. Suivez cela maintenant, comment cela évolue, commence à venir à l’existence, commence à bouger.

30        Maintenant, que pensez-vous qu’il arriverait aujourd’hui si un vieil homme de soixante-quinze ans et sa faible vieille petite épouse de soixante-cinq ans descendaient chez un médecin et disaient: «Docteur, ma femme a acheté un très grand tas de couches et beaucoup d’épingles. Et nous aimerions prendre des dispositions avec vous, car nous allons avoir un enfant», eh bien, ils auraient... le médecin dirait: «Le vieil homme est peut-être un peu détraqué.»

            Et les gens qui prennent réellement Dieu au Mot sont considérés ainsi (C’est vrai.), considérés comme un peu détraqués. Cela a toujours été, et cela le sera toujours, tant qu’il y a ici le monde qui ne sait pas autre chose.

31        Ainsi donc, Sara passait par... Je peux voir Abraham et Sara faire leurs achats, s’apprêter, alors que cela était absolument impossible. Mais il a cru contre toute espérance, car Dieu l’avait dit. C’est réglé.

            Je peux le voir descendre la rue, souriant, disant: «Je vous assure, amis, cela va être merveilleux.»

            Et certains d’entre eux disent: «Pauvre vieux Abraham, il a simplement fait un faux pas. Je savais que le vieil homme lisait trop la Bible; c’est ça le problème. Il y a bien quelque chose qui lui est arrivé. Eh bien, ce vieil homme-là, à soixante-cinq ans, sa femme, et lui soixante-quinze, et ils disent qu’ils vont avoir un enfant, et ils achètent des habits pour enfants, alors qu’il a vécu avec elle toutes ces années et elle est stérile? Maintenant, le pauvre vieil homme a fait un petit faux pas.»

32        Mais quel était... Qu’est-ce qui rendait Abraham ainsi? Il avait la promesse de Dieu, et il croyait que ce que Dieu avait dit était la vérité. C’était réglé. Exact.

            Maintenant, si nous sommes la postérité d’Abraham, nous prenons la Parole de Dieu juste à Sa valeur réelle comme Abraham l’avait fait. Amen. Je ne suis pas en train de dire amen à moi-même, mais amen veut dire ainsi soit-il.

            Eh bien, Dieu avait dit à Abraham ce qui arriverait. Il n’avait pas dit quand cela arriverait. Il avait simplement dit que cela arriverait.

33        Qu’en est-il de cet homme ici dans le fauteuil roulant? Qu’en est-il de la dame là sur le brancard, de certains parmi vous? Vous dites: «Oh! le médecin dit que je–je–je ne peux pas me rétablir.» Eh bien, peut-être que le médecin vous dit tout ce qu’il sait. Mais qu’est-ce que Dieu a dit à ce sujet? C’est ça qui fait la différence.

            Certains parmi vous qui êtes assis là, rongés par le cancer. Peut-être que cet homme estropié peut mener une longue vie ordinaire. Il peut passer la vie comme cela. Mais vous, rongé par le cancer, ou peut-être par une maladie du coeur, avec un caillot de sang, juste sur le point de vous emporter maintenant, si quelque chose n’arrive pas, vous allez mourir très bientôt.

            Le médecin a dit qu’il n’y a pas d’espoir pour vous. Ça, c’est ce que le médecin dit; c’est sa connaissance qui lui fait savoir cela. Mais vous voyez, nous ne comptons pas sur la connaissance d’un homme. Dieu a dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies. Si tu peux croire, tout est possible.» Maintenant, cela dépend de la quantité de foi dont vous pouvez vous approprier, combien vous croyez cela.

34        Maintenant, remarquez, Abraham, quand cette alliance lui a été donnée, il lui a été demandé de faire quelque chose: C’était de se séparer des incroyants. Et chaque postérité d’Abraham qui vient à Dieu, il lui est demandé de faire la même chose. Nous ne devons pas nous mettre sous le même joug avec les incroyants. Séparez-vous.

            Vous savez, le monde aujourd’hui veut les mélangeurs. Vous savez, j’ai entendu les gens voter une fois dans une église. Il y avait un bon vieux pasteur qui se tenait là, je le connaissais. C’était un véritable homme de Dieu. Et on devait voter pour lui, pour voir si on l’amènera à l’église. Et vous savez, ce groupe de diacres et diaconesses, ils ont dit: «Nous ne voulons pas de lui. Nous voulons un homme qui est social, qui est un peu un mélangeur, qui ne sera pas toujours là à rabâcher sur boire, fumer, et ces genres de choses.» Ils voulaient quelqu’un qui prendrait un petit verre amical, les accompagnerait à leurs fêtes, leur raconterait de petites plaisanteries sales, de petites choses souillées.

35        Ecoutez, le monde veut des mélangeurs, mais Dieu veut des séparateurs. C’est vrai. Séparez-vous de toutes les choses du monde. Dieu veut quelqu’un qui se sépare. Et les enfants d’Abraham, les enfants de Dieu, ils se séparent des choses du monde. La Bible dit: «Sortez du milieu d’eux et ne prenez pas part à leur impureté. Et je vous recevrai auprès de Moi, et vous serez Mes fils et Mes filles, et Je serai votre Dieu.» Des séparateurs...

36        Maintenant, Abraham devait se séparer de sa famille, des membres de sa famille. Et une autre chose qui lui a été demandé de faire, il lui a été demandé d’habiter dans un pays étranger, au milieu d’un peuple étranger, qui parlait une langue étrangère.

            Eh bien, c’est tout pareil aujourd’hui, ça ne change donc pas. Les hommes doivent se séparer et marcher avec d’autres personnes. Vous les jeunes gens qui venez à Christ, alors qu’autrefois vous descendiez à la piscine, tenez-vous loin de ce territoire-là, fréquentez ces jeunes gens qui vont à l’église et à la réunion de prière.

37        Vous les femmes qui autrefois organisiez vos fêtes de thé dansante entre femmes, racontiez de petites plaisanteries, et appeliez cela vos tricotage et couture, tricotage et couture, tricotage et couture, et vous parlez de miss Unetelle, éloignez-vous de ce genre de fêtes et allez à la réunion de prière à l’ancienne mode.

            Et dans votre église où vous avez l’habitude de faire bouillir un vieux coq dur à vendre à cinquante cents le plat afin que vous puissiez payer le pasteur. Arrêtez cela. L’église qui se met en ordre avec Dieu, Dieu a un programme, comment prendre soin du prédicateur, si seulement vous voulez vous en occuper. C’est vrai. Vous n’avez pas à organiser des soupers de soupe et toutes ces autres choses. Dieu prend soin de cela, si seulement vous suivez Son programme. Nous devons nous séparer de toutes ces choses.

38        Remarquez. Eh bien, et quand Abraham sortait, allant dans un pays étranger, il ne s’est pas finalement par la suite séparé lui-même, et Lot s’est mis... Il y a eu des problèmes. Et Dieu n’avait point béni Abraham avant qu’il se soit séparé de Lot. Quand...

            Et c’est la raison pour laquelle aujourd’hui... Eglise, puis-je dire ceci avec le coeur d’un ministre de Christ; c’est ça le problème de notre église aujourd’hui, dans nos églises. Il nous faut absolument nous séparer des choses du monde. Et tant que nous nous accrochons aux petites et vieilles choses du monde, Dieu ne déversera jamais Ses bénédictions pour nous bénir comme Il le veut, car Il ne peut pas le faire. C’est vrai.

39        Nos dons de guérison, nous savons qu’ils sont en miniature. Nos dons de langues, eh bien, cela n’a jamais atteint le niveau qu’il faut. Le don de prophétie, c’est tellement frêle et faible. Quel est le problème? Il n’y a point eu une véritable fondation qui ait été posée jusque là, sur laquelle l’église peut reposer.

            Ce dont nous avons besoin, c’est un exemple. Nous avons besoin des hommes et des femmes qui se séparent des choses du monde, qui acceptent la Parole de Dieu, et qui sont édifiés sur cet Evangile pur de la Bible. C’est ce dont le monde a besoin aujourd’hui. Alors, vous verrez de grands dons être déversés. Vous verrez de grandes choses se produire, quand l’Eglise sera unie, et que tous les ismes les auront quittés, alors ils se mettront à avancer.

40        Maintenant, comme nous le remarquons, en allant un peu plus loin, nous trouvons que quand Abraham s’est séparé de Lot... Et j’aimerais vous faire remarquer l’acte chrétien chez Abraham. Il a dit: «Lot, choisis.» Lot, étant rétrograde dans son coeur, il a pris les plaines bien arrosées de Sodome et Gomorrhe. Mais Abraham a dû prendre ce qui était aride. Il a dû prendre un terrain aride. Mais il était satisfait, peu importe ce qu’était son état, il était satisfait de ce que Dieu était avec lui.

            Je préférerais avoir la Présence de Dieu avec moi et être taxé de saint exalté plutôt qu’être un archevêque dans une autre église qui ne peut pas croire les puissances de Dieu. C’est vrai. Que j’aie à adorer dans une mission ou sous une voûte de feuillage, je préférerais être là où est l’Esprit de Dieu. C’est tout à fait exact.

41        Et après qu’il s’était séparé, alors Dieu dit à Abraham: «Lève-toi. Regarde à l’est, à l’ouest, au nord, au sud.» Il a dit: «Tout cela t’appartient.» C’était assez bien. «Tout est à toi; parcours-le.» J’aime ça: «Parcours-Le.»

            C’est ça le problème de l’église aujourd’hui. Quand un homme est né de nouveau de l’Esprit de Dieu, chaque bénédiction divine dans cette Bible vous appartient.

42        Eh bien, quand j’achète une maison... Eh bien, c’est juste comme si cette concession m’appartenait et que c’était une grande galerie marchande. Alors, j’y entre, j’aimerais découvrir ce que j’ai. Je parcours, je tire tel tiroir, je regarde dedans pour voir ce que j’ai là-dedans, je vais là, je vois ce que j’ai là. S’il y a quelque chose qui semble être un peu plus élevé, je me trouve une échelle et je monte jusque là pour découvrir ce qu’il y a au sujet de tout ça.

            Et quand j’ai été sauvé, frère, j’ai pris ce vieux Livre de trésors de Dieu, je L’ai parcouru pour voir ce que je possédais. Je découvre que chaque bénédiction qui est dans cette Bible m’appartient, et cela appartient à chaque croyant. Oui, oui.

            S’il y en a qui semblent être un peu hors de ma portée, je prierai jusqu’à ce que j’atteigne cela. C’est vrai. Chaque promesse dans le Livre est vôtre.

            Cette grande galerie marchande de l’économie de Dieu appartient à chaque croyant. Et nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit, pour former cette grande galerie marchande. Et chaque chose qui est là-dedans nous appartient. Et nous sommes héritiers de tout, et de chaque promesse de Dieu. Amen.

43        Quand Abraham devenait vieux... Eh bien, il devait avoir environ... Je peux m’imaginer entendre Abraham après à peu près le premier mois, il vient en riant, il dit: «Sara, comment te sens-tu, chérie?»

            «Pas de changement.»

            Il a dit: «Eh bien, alléluia, nous allons l’avoir de toute façon.» C’est vrai. Ceux qui étaient dans la rue ont dit: «Qu’en est-il, Abraham? Ça fait vingt-huit jours depuis lors, comment ça marche chez toi?»

            «Ça ne change rien, comment ça se passe là-bas, tout va bien là.» Ça dépend de ce que vous regardez. Qu’en est-il de ces...?....

44        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... «Quand ils sortiront, ils m’assommeront des coups à la tête. Eh bien, ils ne me nourriront jamais.»

            Mais si cette vieille mère était bien enseignée, elle dirait: «Attends une minute, fiston, regarde ça. Tu as le droit d’aînesse. Ce à quoi tu regardes, ce à quoi tu ressembles plutôt, ça ne change rien, mais quand le sacrificateur viendra voir, quand le propriétaire verra que tu es né, peu importe la condition dans laquelle tu te retrouves, le sacrificateur ne te verra pas, mais un agneau sans défaut devra mourir à ta place.»

            Oh! Frère, arrêtez de vous regarder et regardez votre sacrifice. Si vous arrivez à trouver une quelconque faute là, d’accord. Mais si vous ne trouvez pas de faute en cela, alors vous êtes parfait. Amen. En effet, ce n’est pas vous que Dieu a accepté. Il a accepté Christ, et Christ vous a accepté. Et vous êtes mort, et votre vie est cachée en Dieu par Christ, scellée par le Saint-Esprit. Et tous les démons de l’enfer ne peuvent pas vous faire sortir de là (Amen!), car vous êtes la propriété de Dieu. Dieu ne vous regarde jamais; Il regarde Christ.

45        Maintenant, remarquez, ensuite six autres mois s’écoulèrent: «Sara, comment te sens-tu, chérie?»

            «Pas de changement.»

            «Gloire à Dieu, nous allons l’avoir de toute façon.»

            «Comment le sais-tu? Dieu l’a dit. C’est réglé.»

            Dix ans s’écoulèrent. Eh bien, elle a soixante-quinze ans; lui en a quatre-vingt-cinq. «Qu’en est-il, Abraham?»

            «Comment te sens-tu, Sara?»

            «Pas de changement.»

            «Gloire, nous allons l’avoir de toute façon. Gloire à Dieu, oh! Alléluia!», a-t-il dit. La Bible dit qu’au lieu de faiblir, il se fortifia davantage tout le temps.

46        Maintenant, ne sommes-nous pas de piètres exemples d’enfants d’Abraham? Si nous ne sommes pas guéris en une minute, il n’y a rien à cela, rien à cela. Oh! Et puis, vous vous dites enfants d’Abraham? Abraham se fortifiait davantage tout le temps. En effet, plus cela se faisait attendre, plus ça serait un miracle.

            Il a dit: «Ça doit arriver, Dieu l’a dit.» Et quand Abraham eut quatre-vingt-dix-neuf ans, juste à cent ans, il croyait toujours que Dieu allait faire cela. Et Sara avait quatre-vingt-dix ans.

47        Remarquez, Dieu dit: «Viens ici, Abraham, J’aimerais te parler juste un peu.» Et Il l’amena là dehors; Il dit: «Abraham, Je suis le Dieu Tout-Puissant. Marche devant Moi et sois parfait.» A quatre-vingt-dix-neuf ans...

            Et le mot Tout-Puissant, là, vient du mot hébreu El-Shaddaï qui veut dire les seins. «Je suis le Dieu Porteur des seins. C’est Moi la Nourrice. C’est Moi qui allaite, le Porteur des seins, pas d’un sein, mais de seins comme chez la femme. Car Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris: le Dieu Porteur des seins, pas d’un seul, mais de deux: «Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.»

48        En d’autres termes: «Abraham, tu as quatre-vingt-dix-neuf ans, mais à Mes yeux, tu n’es qu’un petit bébé.» C’est vrai. «Tout ce que Je veux que tu fasses, c’est t’appuyer ici même sur Mon sein, et te mettre simplement à téter, et rester là même. Je te fortifierai.»

            Et un petit bébé, quand sa maman... il–il tombe malade, il s’agite, il devient faible. Le petit bébé s’accroche directement à la maman et tète, absorbant la force de la maman au travers du sein jusqu’à ce que l’enfant se rétablisse.

            Et c’est ce qu’Abraham faisait, il s’accrochait au sein de Dieu, de la promesse, et tétait de Dieu, absorbant la force éternelle qui l’a rajeuni en un jeune homme. Amen.

49        Non seulement il est un enfant qui tète et absorbe la force, mais il est satisfait pendant qu’il tète. Il ne saute pas ici et là. Il reste juste appuyé sur la Parole de Dieu. «Dieu, Tu l’as promis, et je suis convaincu que Tu vas le faire. Je sais que Tu peux tenir Ta Parole. Je m’Y accroche.»

            Et ce soir, Il est le même Dieu Porteur des seins qu’Il était autrefois. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Si vous avez besoin du salut, appuyez-vous sur la promesse de Dieu et tétez de Lui.

50        Vous dites: «J’ai plus de hauts et de bas, Frère Branham.» Aimez-Le de tout votre coeur et continuez simplement à tirer Sa promesse vers vous. Je vous assure qu’Il a plus de vitamines dans cette Parole que toutes les pharmacies du monde n’en ont. C’est vrai.

            Croyez-le! Voyez simplement s’Il ne vous donne pas un peu d’hyposulfite de temps à autre, dans une bonne réunion du Saint-Esprit, à l’ancienne mode, vous élevant tout droit dans l’Esprit. Et si vous êtes malades, accrochez-vous à Sa Parole, Dieu a promis cela. Il a promis cela; Il doit le faire. Il est El-Shaddaï, Celui qui porte des seins, le Tout Suffisant, Celui qui donne la force. Il est juste le même hier, aujourd’hui et éternellement.

51        Et puis, Il voulait savoir comment cela se ferait. Et si Dieu ne faisait rien pour lui là, j’espère que l’église peut voir cela. Il a pris Abraham et a dit: «Prends une génisse de trois ans, prends une–une brebis de trois ans, une chèvre de trois ans, et une tourterelle et un pigeon.» Et Abraham les a découpés en deux, tous sauf les oiseaux, et il les a exposés là, et il a veillé à ce que les oiseaux de proie ne les emportent pas jusqu’au coucher du soleil. Maintenant, voyez comment Dieu a parlé à Abraham et a annoncé Christ sous forme de type.

52        Maintenant, quand le soleil s’est couché, la première chose qui est venue sur Abraham, c’était un profond sommeil. «Maintenant, Abraham, J’aimerais te faire savoir que c’est... c’est Moi qui fais cela; tu n’as rien à faire là-dedans; tu es hors scène.»

            Et Abraham s’est endormi. Et alors, la première chose qu’il a vue, c’était une fournaise fumante, là où tout... ou plutôt une grande obscurité, c’est ce que chaque homme a à faire: mourir. Après cela, une fournaise fumante: l’enfer, là où chaque pécheur mérite d’aller. Mais alors, au-delà de cela, une petite Lumière blanche est passée. Et Elle est passée entre ces sacrifices, ces morceaux découpés ensemble, Elle faisait des va-et-vient, concluant une alliance.

53        Eh bien, cela peut paraître étrange à l’esprit qui n’a jamais étudié les coutumes de l’Orient. Nous avons beaucoup de coutumes, beaucoup de choses. La Bible a été écrite comme un Livre de l’Orient pour les Orientaux. Nous, nous sommes des Occidentaux, cherchant à interpréter un Livre de l’Orient à la manière de l’Orie... de l’Occident.

54        Maintenant, regardez, quand nous nous y prenons, par exemple, comme, vous et moi, pour conclure une alliance, nous disons: «Allez-vous faire ceci?»

            «Oui», on se serre les mains, c’est ça en Occident.

            Descendons au Japon. Comment concluent-ils une alliance? Ils se font une promesse, ils prennent ensuite un petit pot de sel et se jettent du sel l’un sur l’autre. C’est cela une alliance au Japon.

55        Comment cela se passait-il du temps d’Abraham? Ils allaient et tuaient une bête, ils la découpaient. Ils rédigeaient ce qu’ils allaient... leur accord, ce qu’ils allaient faire. Ils prenaient cet accord, ils le déchiraient en deux; une personne prenait un morceau, et l’autre, l’autre morceau. Et ils faisaient des voeux au-dessus de cette bête morte, que leurs corps deviennent comme cette bête morte s’ils brisaient cette alliance.

            Qu’est-ce que Dieu montrait? Que faisait-Il pour Abraham? Dieu montrait ce qu’Il allait faire par Jésus-Christ, Il concluait l’alliance. Et Dieu a amené Son propre Fils au Calvaire, et là, Il l’a séparé. Il a pris une partie et l’a placée à Sa droite en haut, c’était Son corps, et Il a renvoyé Son Esprit sur la terre.

56        Et maintenant, quand cette alliance est confirmée et que tous les deux se rassemblent, ces morceaux de papier doivent s’ajuster l’un à l’autre, sinon l’alliance n’est pas encore confirmée.

            Et maintenant, le Saint-Esprit... Etes-vous prêts? Vous êtes-vous revêtus de votre veste antichoc? Regardez, quand le Saint-Esprit qui était en Jésus-Christ a été détaché de Lui au Calvaire, quand Dieu concluait l’alliance avec l’humanité, Il a pris Sa chair, Son corps, et l’a placé à la droite de Sa Majesté divine, et Il a renvoyé le Saint-Esprit pour qu’Il vive dans l’Eglise afin de manifester Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

57        Quand ce Saint-Esprit est descendu le jour de la Pentecôte, Il a produit une église. Et, frère, peu m’importe l’étiquette de la dénomination que vous partiez, si cet Esprit-là qui a été détaché de Christ n’est pas déversé dans un homme, Il restera le jour de l’Enlèvement.

            Il L’a découpé, Il a envoyé le Saint-Esprit sur la terre, Lequel vit en nous, l’Esprit de Christ, travaillant en nous, accomplissant les mêmes oeuvres que Christ accomplissait, menant la même Vie, faisant les mêmes choses, et le monde extérieur se tient là et s’En moque. Les autres disent qu’il n’y a rien à Cela. Certains cherchent à ridiculiser Cela. D’autres reçoivent Cela. Frère, c’est l’unique moyen par lequel Dieu peut donc faire de vous la postérité d’Abraham. Quand l’Esprit de Christ entre en vous, alors vous devenez la postérité d’Abraham. C’est vrai. Et les Gentils sont inclus dans l’alliance.

58        Remarquez, vite maintenant. Nous en arrivons à la fin. Peu après, pour montrer comment Dieu avait fait, un jour, alors qu’Abraham était assis là sous la tente... Sara, sa femme, une belle femme quoi que vieille, très vieille et fort avancée en âge... Abraham était assis là sous son chêne. Alors un jour, il a vu trois Hommes venir, les habits couverts de poussière. Mais il y avait là chez Abraham quelque chose qui a fait qu’il a reconnu Qui c’était. C’était Dieu et deux anges. C’est vrai.

            Ils se sont approchés de lui et Abraham a dit: «Mon Seigneur, venez vous asseoir sous l’arbre. Laissez-moi apporter un peu d’eau pour vous laver les pieds, et apporter un morceau de pain, que vous vous rafraichissiez, et après, Vous continuerez Votre voyage. Car c’est pour cela que Vous êtes venus me voir.»

59        Il est entré en courant, il a dit: «Sara, pétris juste un peu de farine ou tamise cela, et mets un peu de pains au four et fais un gâteau.» Il est sorti en courant vers le troupeau et il a attrapé un veau gras, il l’a tué, il a demandé à un serviteur de le préparer. Il est arrivé là... Et je m’imagine, comme nous en avions l’habitude dans le Kentucky, qu’il avait un vieux chasse-mouche pour éloigner les mouches (Et, combien savent ce que c’est un chasse-mouche? Oh! la la! Très bien.), et on chasse les mouches. Et Abraham se tenait là, après qu’il leur eut lavé les pieds...

            Et ils étaient là, ils ont mangé du veau, ils ont bu du lait de vache, avec du beurre, et ils ont mangé du pain de maïs. Et l’Un d’eux était le Dieu Tout-Puissant.

60        Je disais cela à une personne il n’y a pas longtemps, elle a dit: «Billy, voulez-vous me dire que vous croyez que c’était Dieu?»

            J’ai dit: «La Bible dit que C’était Lui.»

            Il a dit: «Comment pouvez-vous vous imaginer Dieu descendre avec de la poussière sur Ses habits et tout, se tenir là et manger cette viande-là?»

            J’ai dit: «Vous ne connaissez simplement pas Dieu.»

            Dieu est Créateur. Oui, oui. Il avait Son dos tourné à la tente comme ça. Et quand Il a dit à Abraham ce qu’Il allait faire, eh bien, Sara a ri. Il a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?»

61        Maintenant, vous les incroyants, est-ce cela la télépathie mentale? Qu’est-ce qui avait touché là derrière dans la tente? Sara a dit: «Je n’ai pas ri.»

            Il a dit: «Oh! Si, tu as effectivement ri.» Certainement qu’Il l’a fait. Il est directement parti et Il a disparu. Savez-vous ce que c’était? Voici mon opinion là-dessus. Dieu était descendu, Il descendait voir les péchés de Sodome et Gomorrhe. Tout ce qu’Il a fait, c’était se procurer une petite poignée de calcium, de potassium, de pétrole, de lumière cosmique, Il a fait: «Pouf [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Viens ici, Gabriel; entre ici.» (C’est bien.) Il s’est avancé, Il a pris une autre poignée et Il a placé Micaël de l’autre côté. Puis, Il a pris juste une poignée et Il est entré Lui-même. Alors, Il eut faim, car Il avait un corps dans lequel Il pouvait avoir faim. Et ensuite, Il a changé directement, Il a fait disparaître cela aussitôt, pour venir apporter Son Message. Je suis très content que mon Dieu soit ce genre de Dieu.

            Qu’est-ce que ça change, ce qui arrive à ce vieux corps, un jour, Il parlera et cela viendra de la poussière de la terre. Assurément. Cela montre ce qu’Il peut faire... Il est Dieu. Et quand Il a simplement prononcé cela, il y a eu un corps, absolument. Un jour, Il appellera et je me lèverai de la poussière de la terre.

62        Observez-Le, ce qu’Il a dit à Abraham. Il a dit: «Regarde par terre et compte le sable de la mer.»

            Il a dit: «Je ne le peux pas.»

            «Lève les yeux et compte les étoiles.»

            Il a dit: «Je ne le peux pas.»

            De la poussière de la terre aux étoiles: la résurrection, la postérité d’Abraham. De la poussière de la terre aux étoiles dans la Gloire (Alléluia!), Christ étant l’Etoile du matin, la plus brillante, le plus beau d’entre dix mille, Il est là, le Lys de la vallée, l’Etoile brillante du matin.

63        Il a dit à Abraham ce qui allait arriver, Il a pris Sara, là, Il l’a changée en une jeune femme. Il a changé Abraham en un jeune homme, et Il était là.

            Eh bien, regardez, vous pouvez être en désaccord là-dessus. Mais j’aimerais vous poser une question, frère, avant que vous critiquiez cela. Maintenant, Nous savons que Sara avait quatre-vingt-dix ans et Abraham en avait cent. Ils avaient vécu ensemble toutes ces années, et elle était stérile. Or, nous savons que puisque Dieu allait donner naissance à un enfant par Sara, Il a dû la rendre féconde. Est-ce vrai? D’accord.

64        Elles ne fumaient pas la cigarette à l’époque comme les femmes d’aujourd’hui, et elles ne peuvent pas élever leurs enfants en les nourrissant aux seins. Elles doivent les mettre aux biberons. Elles n’avaient pas de biberons à l’époque. Ainsi, pour–pour la renouveler, de sorte qu’elle puisse allaiter son enfant, Il a dû créer les veines lactogènes, la remettre en forme afin que l’enfant puisse téter. Exact?

            Maintenant, j’aimerais vous poser une question. Je suis votre frère. Vous écoutez un médecin. Ceci est cru, devant une assistance mixte, mais je–j’aimerais que vous compreniez, en tant que votre frère. Comment cette femme-là pouvait-elle entrer en travail avec un coeur aussi vieux? Elle ne pouvait pas le faire. Aussi a-t-Il dû mettre en elle un nouveau coeur. Savez-vous ce qu’Il a fait? Il n’a jamais fait cela. Il a fait d’elle une nouvelle femme pour montrer ce qu’Il ferait. Je peux voir comme Il le prouve par la Bible. La Bible est écrite... de telle sorte que vous ayez à lire entre les lignes donc.

65        Remarquez. Regardez Abraham. Eh bien, je peux le voir vieux avec son bâton en main, la barbe descendant très bas, une centaine d’années, il se réveille un matin, et Sara dit: «Papa, la bosse disparaît de ton dos.» Assurément, il... Il avait pris Dieu à Sa promesse. «Tes cheveux redeviennent noirs.»

            Eh bien, il a dit: «Sara, tes yeux redeviennent beaux, comme la colombe.» Et vous savez ce que Dieu a fait, Il les a rajeunis tous les deux, un jeune homme et une jeune femme.

66        Eh bien, vous dites: «Maintenant, Frère Branham, vous vous êtes butté...» Non, Il l’a fait aussi. Observez pour voir ce qu’Il a fait.

            Eh bien, ils ont effectué un voyage depuis là où ils étaient (Mesurez cela sur votre carte.) jusque dans le pays des Philistins, à Guérar, qui est à environ trois cents miles [482,8 km]. C’est tout un voyage pour une vieille grand-mère de cent ans. Et chose étrange, quand elle est arrivée là, Abimélec, le–le roi, se cherchait une chérie.

            Et malgré toutes ces jolies jeunes filles des Philistins là, quand il a vu cette vieille grand-mère de cent ans arriver, il a dit: «C’est celle que j’attendais.» Une petite grand-mère avec un châle sur son épaule, et une petite casquette contre la poussière, malgré toutes ces jolies jeunes filles, par là, et elle est arrivée là. Et Abimélec a dit: «C’est elle que j’attendais. C’est elle que je veux.»

67        Abraham a dit: «Eh bien, dis-lui–dis-lui que je–je suis ton frère.» Pourquoi devrait-il faire cela pour une vieille grand-mère de cent ans? Voyez, Dieu l’avait rajeunie, une jeune femme. C’est ce qu’Il va faire pour chaque postérité d’Abraham un de ces jours. Il montre seulement ce qu’Il allait faire.

            Là, Dieu l’avait rajeunie, une jeune fille, et Il l’avait rétablie, une belle jeune femme, comme on disait, elle était la plus belle femme du pays. C’est ce qu’Il va faire pour chaque femme et chaque homme qui est ici, qui est une postérité d’Abraham, qui est née de nouveau. Un jour, ce vieux corps sera changé. Certainement. Vous rajeunirez. Dieu montrait ce qu’Il ferait.

68        Sara devint une mère. Elle enfanta ce petit garçon, Isaac. Quand il eut atteint environ douze ans... (Eh bien, nous allons terminer dans un instant; il nous faut simplement effleurer les points principaux.) Maintenant, il a environ douze ans, un joli petit garçon juif aux cheveux bouclés, à peu près comme ça. Je m’imagine qu’il était un chéri, il ressemblait on dirait à sa maman. Et je peux voir ses yeux bruns, son petit visage sombre et sa petite chevelure bouclée pendant autour de sa tête.

69        Et maintenant, rappelez-vous, Sara avait alors cent ans et, oh! peut-être cent vingt, cent quinze, cent vingt ans. Et Abraham avait environ cent et, eh bien, peut-être trente, trente-cinq ans. Pensez-y. Ils étaient là, ils avaient eu ce jeune enfant. Eh bien, remarquez ce qui est arrivé.

            Un jour, Dieu dit: «Abraham, il y aura des réunions là vers 1956 et 57. J’aimerais prouver aux gens ce que je vais faire. Eh bien, Je t’ai dit que J’allais faire de toi le père des nations. Quand tu étais un vieil homme, Je t’ai donné cet enfant. Maintenant, J’aimerais que tu prennes ton unique...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

70        Mais un homme ordinaire, même aujourd’hui où nous avons des pieds à essence, nous ne faisons que vingt [32 km], vingt-cinq miles [40 km] par jour. Eh bien alors, il a effectué–il a effectué un voyage de trois jours loin de la civilisation. Cela ferait environ soixante-quinze miles [121 km] là dans le désert. Et puis, il a vu la montagne de loin. Maintenant, observez-le alors qu’il s’en approche.

            Il s’approche droit de la montagne, il arrête le petit mulet. Je peux l’entendre alors qu’il commence à faire descendre le bois de l’âne, il arrange son petit feu dans la main, il pose du bois sur le dos d’Isaac. Et il dit au serviteur, il dit: «Restez ici pendant que moi, le jeune homme, nous allons là pour adorer. Le jeune homme et moi, nous reviendrons.» Oh! la la! Comment va-t-il s’y prendre? Il n’est pas question pour lui de demander. Ce qu’il y a, c’est croire que Dieu a fait la promesse. Il a dit: «Je l’ai reçu comme quelqu’un venant d’entre les morts; Dieu est capable de le ressusciter d’entre les morts.» Vous y êtes. Oh! J’aime ça: «Le jeune homme et moi, nous reviendrons», Genèse 22.

71        Et nous suivons. Il a déposé le bois sur le dos d’Isaac, un type parfait de Dieu en Christ, comme Christ avait porté Son propre autel en gravissant la colline. Voici le petit Isaac gravir, il commence à devenir suspect, et il dit: «Papa?»

            Il a dit: «Oui, mon fils? Me voici.»

            Il a dit: «Nous avons du bois, et nous avons le feu, mais où est l’agneau que vous allez immoler?»

            Pouvez-vous vous imaginer ce père-là avec son fils unique pendant qu’il gravit la colline avec lui, sans faire trembler sa voix, il a dit: «Mon fils, Dieu se pourvoira d’un agneau pour le sacrifice.» Vous y êtes.

            Voyez, il croyait toujours. Il savait Qui était Dieu, et Il était capable de tenir Sa Parole.

            Croyez-vous cela, ce soir? Dieu peut-Il tenir Sa Parole? S’Il ne le fait pas, Il n’est pas Dieu. S’Il le fait, alors cela mérite de laisser tomber tout et de prendre Dieu au Mot.

72        Maintenant, alors qu’il gravissait la colline, le petit Isaac se demandait d’où viendra cet agneau-là: «Papa n’a pas d’agneau. Il n’y a pas d’agneaux ici en haut.» Il est arrivé là-haut, il a bâti l’autel, il a disposé le bois, il l’a fendu et il l’a posé là en les croisant, il a allumé le feu, il est rentré et il a pris son propre fils. Il aimait Dieu mieux que son propre fils.

            Frère, si jamais vous aboutissez à quelque chose, vous devez aimer Dieu mieux que votre femme, votre mari, vos enfants, votre pasteur, oui, tout ce qu’il y a; vous devez premièrement aimer Dieu. Dieu occupe la première place. Nous Lui accordons à peu près la dixième place. Mais Il mérite le meilleur que nous avons, le premier que nous avons, et tout ce que nous avons.

73        Mais il lui a lié les mains derrière, il l’a placé sur un rocher, il a fait sortir un gros couteau, et il a renvoyé ses cheveux en arrière, dégageant son visage. Pouvez-vous vous imaginer? Il a levé les yeux vers le ciel, il a levé sa main, alors qu’il renvoyait en arrière la tête du petit Isaac, il était sur le point d’enfoncer ce gros couteau dans les petites veines jugulaires, de sa gorge, pour tuer son propre fils. Et juste au moment où il se mettait à faire descendre le couteau, une Voix se fit entendre du ciel. Et le Saint-Esprit saisit sa main et dit: «Abraham, arrête ta main.» Amen. Dieu est juste à l’heure.

74        Les enfants hébreux entraient droit dans la fournaise ardente. Mais il y avait là Quelqu’Un qui ressemblait au Fils de l’homme. Dieu n’est pas pressé. C’est vous qui êtes pressés, pas Dieu. Dieu est juste à l’heure. Oh! Frère, Il est juste à l’heure. Que les fusées s’envolent, que les bombes atomiques, à hydrogène s’envolent, Dieu est juste à temps. L’Eglise va rentrer à la Maison l’un de ces jours juste à l’heure. Oui, oui.

75        Alors qu’il allait enfoncer ce couteau-là, Dieu a retenu sa main, Il a dit: «Abraham, retiens ta main, car Je vois maintenant que tu M’aimes», donnant un double test. Et à ce moment-là, derrière lui un bélier était retenu par les cornes dans le désert.

            Pensez-y. J’aimerais vous poser une question, frères. D’où venait ce bélier-là?

            Maintenant, regardez. Il est à au moins soixante-quinze à cent miles [120,7 km à 160,9 km] de la civilisation, dans une contrée où les hyènes, les loups et les lions... soixante-quinze miles de [120,7 km] la civilisation, et à part cela, il est là loin au sommet d’une montagne là où il n’y a pas d’eau, ni rien pour que le bélier se retrouve là-haut. D’où venait ce bélier-là?

76        Savez-vous ce que c’était? Le même Dieu qui s’était fait un corps dans lequel Il était entré pour parler à Abraham, a amené ce bélier-là à l’existence par la Parole. Car Il est Jéhovah-Jiré: «L’Eternel se pourvoira d’un agneau pour le sacrifice.» Ce n’était pas une vision. Non, non. Il a posé le bélier sur l’autel, il lui a tranché le cou, et le sang a giclé de lui. Jéhovah-Jiré avait amené un agneau vivant à l’existence par la Parole et il est mort la minute suivante. Car Il est Jéhovah-Jiré; Il peut faire tout ce qu’Il veut. Il fera tout ce qu’Il a promis de faire. Il doit faire cela pour être Jéhovah-Jiré. Il est le Sacrifice auquel il a été pourvu pour nous.

77        Dieu a pourvu à un Sacrifice pour nous. Et Il est tout aussi réel ce soir. Il peut vous donner la bonne santé par la Parole. Il peut vous changer d’un pécheur en un chrétien par la Parole. Il peut faire tout ce que vous croyez qu’Il fera pour vous, Il l’a fait, car le Sacrifice a déjà été offert. Jésus-Christ est arrivé en ce lieu-là, et Jéhovah-Jiré a pourvu à l’Agneau pour votre guérison, pour votre salut, et pour votre maison dans la gloire, pour votre sécurité jusqu’à ce qu’Il–qu’Il vienne. Il a été déjà pourvu à un Agneau.

            Ce soir, Il est Jéhovah-Jiré, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Son Fils était ici sur terre et Il a vécu. Il a été tué au Calvaire. Dieu a élevé Son corps en haut, à la droite de la Majesté divine, Il a envoyé le Saint-Esprit en bas pour accomplir les mêmes oeuvres que Christ faisait ici sur terre.

78        Et aujourd’hui, alors que le scepticisme, le modernisme, et tout le reste ont envahi le monde de part en part, Dieu demeure néanmoins le même qu’Il a toujours été Il est Jéhovah-Jiré. Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, toutes les oeuvres, les oeuvres... Vous ferez aussi les mêmes oeuvres que Je fais. Voici, Je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde», Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement, l’Agneau auquel Dieu a pourvu, le Sacrifice auquel Dieu a pourvu. Car Il était blessé pour vos péchés, brisé pour vos iniquités, le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. Il est le Sacrifice auquel Dieu a pourvu. Jéhovah-Jiré a pourvu au Sacrifice, si vous êtes prêts à tendre la main et à recevoir cela. Prions.

79        Avec nos mains vers Dieu, y en aurait-il ici qui diraient: «Ô Dieu, au Nom de Christ, reçois-moi ce soir»? Que Dieu vous bénisse. C’est bien, c’est ainsi qu’il faut lever la main. «Reçois-moi. Je reçois maintenant l’Agneau auquel Tu as pourvu. J’ai participé à ces réunions. Je crois que Tu es ressuscité d’entre les morts. Je crois que Tu es ici. Tu es la Voie à laquelle Dieu a pourvu. Jésus a dit: ‘Je suis le Chemin.’»

            Aux balcons à ma gauche, là-haut, voudriez-vous lever la main pour dire: «Par ceci, ô Dieu, je veux Te recevoir»? Que Dieu vous bénisse.

            Les balcons en-dessous, à gauche, là, voudriez-vous lever la main, par là? «Je lève maintenant mes mains.» Que Dieu vous bénisse là derrière. C’est bien.

            Aux balcons à droite, levez les mains si vous voulez Christ ce soir, pour dire: «Je veux qu’Il soit mon Sacrifice. Oh! J’ai essayé de faire des dons aux voisins, aux pauvres là, de quelques-uns de mes habits usagés. J’ai acheté du charbon une fois à une veuve. Je donne aux associations caritatives, et–et je–je suis membre chez les Kiwanis, je fais de bonnes oeuvres.» Cela n’a rien à faire avec le salut. Ça n’a rien à faire avec ça.

80        «Oh! Oui, mais monsieur Branham, je suis membre d’église.» Cela n’a toujours rien à faire avec la chose. «J’ai été baptisé.» Ça n’a toujours rien à faire. Vous pouvez l’avoir été face en avant, en arrière, de n’importe quelle manière que vous voulez, avoir été aspergé, qu’on vous ait déversé dans n’importe quelle église, méthodiste, baptiste, catholique, quelle qu’elle soit; vous êtes toujours perdu. Tant que l’alliance de Dieu, l’accord, quand Il a détaché la Vie de Christ et qu’Il me L’a renvoyée à moi, et à vous, si vous n’avez pas reçu cette Vie-là en vous, vous êtes perdu. C’est vrai.

81        L’Agneau de Dieu auquel il a été pourvu. Oh! Ne voudriez-vous pas Le recevoir ce soir, chrétiens? Ne voudriez-vous pas recevoir Cela, professeurs, vous qui êtes froids, tièdes et qui ne savez pas ce que ça représente que d’être sauvé et né de nouveau? Ne voudriez-vous pas Le recevoir alors que vous levez la main? Quelqu’un d’autre maintenant, avant que nous terminions. Très bien. Que Dieu vous bénisse maintenant. Prions.

82        Notre Père céleste, nous T’apportons maintenant ces gens. Le réveil touche à la fin, du moins ma part dans cela. Ô Dieu, ne laisse jamais ce réveil se terminer. Qu’il continue sans cesse, et que les hommes et les femmes replongent la tête dans la Bible et se mettent à prier. Que des pasteurs soient remplis et qu’ils soient rallumés avec la puissance du Saint-Esprit.

            Que des docteurs soient suscités, Seigneur, pas pour enseigner des choses perverses, mais pour revenir à la vieille Bible, revenir à l’ancien plan du salut: Jésus-Christ, l’Agneau auquel Dieu a pourvu. Qu’ils reviennent à cette simple foi une fois de plus. Accorde-le, Seigneur, avant la Venue du Juste.

83        Nous Te prions de recevoir ce soir ceux qui ont levé la main, et puissent-ils recevoir le Sacrifice auquel Jéhovah-Jiré a pourvu pour leurs péchés ce soir, et que chacun d’eux soit introduit dans le Royaume en paix, et qu’il lui soit donné la Vie Eternelle. Et puis, qu’ils soient baptisés par le Saint-Esprit pour entrer dans l’Eglise du Dieu vivant, et qu’ils soient placés dans le Corps, dans une position, pour travailler avec les membres du Corps de Christ.

            Exauce la prière de Ton serviteur, Seigneur, alors que je Te les confie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

84        Que le Seigneur vous bénisse, mes bien-aimés. Oh! Il est si merveilleux, ne pensez-vous pas qu’Il est merveilleux?

            Le Sacrifice auquel Dieu a pourvu, qu’est-ce maintenant? Laissez-moi examiner cela très attentivement, calmement, avant que nous priions pour les malades.

            Qu’était-ce là? Récapitulons. Nous... La promesse avait été faite à Abraham et à sa postérité uniquement. Aucune promesse n’a été faite à personne d’autre qu’à Abraham et à sa postérité. Que devait-il être? Le père des nations, les nations: les Juifs, les Gentils, les Samaritains, que sais-je encore, le père des nations.

85        Comment devenons-nous la Postérité? C’est en acceptant la Voie à laquelle il a été pourvu. Comment a-t-Il montré qu’Il a fait cela? Il a conclu une alliance et Il a découpé en morceaux et Il a conclu une alliance avec Abraham.

            Au Calvaire, Il a conclu une alliance avec, non pas avec les Juifs, mais avec le monde entier. Il a élevé Son Fils, Il L’a divisé, Il a élevé Son corps pour Le faire asseoir là, à la droite de la Majesté divine, Il a renvoyé le Saint-Esprit pour manifester la même Vie de Christ ici dans l’Eglise.

            Avant de quitter, Jésus a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, et en vous jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»

86        Cet homme ici debout (Je ne connais pas le nom du frère, le frère de l’Alliance.), il a mentionné là avoir été dans la présence du docteur Reidhead, Morse Reidhead. Docteur Reidhead est l’un des meilleurs érudits, je pense, que cette nation ou n’importe quelle nation ait eu.

            Quand docteur Reidhead est venu chez moi... Juste un instant. Quand il est venu chez moi, il était accompagné de Don Wells, de l’une des plus grandes églises baptistes du Sud. Ils ont dit: «Frère Branham, nous aimerions vous poser une question. Eh bien, vous êtes avec les pentecôtistes ça fait environ sept ou huit ans.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.»

            Il a dit: «Y a-t-il quelque chose en rapport avec ce Saint-Esprit dont ils parlent?»

            J’ai dit: «Absolument.»

            Il a dit: «Eh bien, nous les avons vus détruire les meubles et ce...»

            J’ai dit: «Mettez donc ça de côté.» J’ai dit: «Ce sont des enfants.»

            Et il a dit: «Regardez, Frère Branham», docteur Reidhead a dit: «Quand j’avais sept ans...» Vous avez probablement entendu son histoire, comment il a été appelé par Dieu. Et il a dit: «J’ai travaillé et je me disais: ‘Oh! Si jamais je peux être ordonné comme ministre, ça sera merveilleux, n’est-ce pas?’» Il a dit: «Je vais trouver Christ là même.»

87        Quand il fut ordonné, il a dit: «Ce n’était pas là.» Il a dit: «Si jamais je décroche mon B.A., la licence en lettres, a-t-il dit, c’est là que je Le trouverai.» Il a dit: «J’ai décroché ma licence en lettres, et Il n’y était pas.» Il a dit: «Je me suis dit que quand j’aurai mon doctorat en théologie et mes autres diplômes.» Il a dit: «Frère Branham, je peux pratiquement plâtrer votre mur avec des diplômes.» Et il a dit: «Où est Christ dans tout cela?» Il a dit: «Est-ce que les enseignants étaient en erreur?»

            J’ai dit: «Je n’aimerais pas dire cela. Je n’aimerais pas dire qu’ils sont en erreur. Ils sont dans le vrai dans ce qu’ils enseignent, mais ils ne sont pas dans le vrai... Ils ont évolué, mais ils ne sont pas allés assez loin.» J’ai dit: «Christ ne réside pas dans une licence en lettres. Il ne réside pas non plus dans des titres de référence. Il ne réside pas non plus dans une église ou une dénomination.» C’est vrai.

88        Il a dit: «Maintenant, Frère Branham, a-t-il dit, un jeune garçon indien qui a été converti...» Ou il n’était pas converti, je vous demande pardon, il était venu ici depuis l’Inde. Il a étudié l’électronique, je pense que c’était ça. Il a dit: «Sur son chemin de retour, il se tenait là, parlant, et je lui ai dit: «Jeune homme...» Il était un musulman. J’ai dit: «Comme tu retournes outre-mer, pourquoi n’oublies-tu pas simplement ce vieux prophète mort, Mahomet, pour accepter le Seigneur Jésus ressuscité?» Et il a dit: «En tant que chrétien, je lui ai demandé cela. Et il m’a dit: ‘Gentil monsieur, que peut faire Mahomet... Que peut faire Christ pour moi de plus que Mahomet?’ Il a dit: ‘Vous avez un Livre appelé la Bible. C’est Christ qui L’a écrit, vous croyez, et vous croyez cela. Il a dit: ‘Nous avons un livre appelé le Coran, c’est Mahomet qui l’a écrit, et nous croyons cela. Tous les Deux ont promis la vie après la mort. Je crois le mien et vous croyez le Vôtre.» Il a dit: ‘Maintenant, à quoi me sert-il de changer Mahomet contre Christ?’»

89        Eh bien, il a dit: «Regardez ça, votre Mahomet est mort et il est dans la tombe. Notre Jésus est ressuscité et Il est monté au Ciel.»

            Le musulman a regardé tout autour, il n’était pas un jeune homme, novice. Il a dit: «Est-Il ressuscité de la tombe?» Il a dit: «J’aimerais que vous me le prouviez.»

            Il a dit: «Oh! Nous savons qu’Il est ressuscité d’entre les morts.»

            Il a dit: «Comment savez-vous qu’Il est ressuscité d’entre les morts?»

            Il a dit: «Eh bien, nous avons une tombe vide.»

            Il a dit: «Nous en avons des centaines en Inde.» Et ils en ont. Ils soutiennent des résurrections, des naissances virginales, et tout le reste. Même une petite fille de neuf ans donne naissance à un enfant, ainsi de suite. La naissance virginale et tout, assurément, ils ont tout cela. Vous avez donc... Attendez-vous à tout voir une fois que vous arrivez en Inde.

90        On voit un petit garçon monter un arbre, et un homme monter là, il le décapite, il lui coupe les bras, il les jette par terre, on les ramasse, le sang coule de là, et on les met dans un sac. L’enfant saute et sort du sac en courant et s’enfuit. Ils courent au travers du feu, ils font toutes sortes de choses mystiques et tout le reste... Christ n’est pas dans cela. Certainement pas. Christ ne réside pas dans des miracles, dans des choses comme cela.

            Le diable peut faire pratiquement tout sauf guérir, il ne peut pas guérir. La Bible dit qu’il ne peut pas guérir. Mais il peut accomplir, comme Jannès et Jambrès, le dieu d’Egypte à deux têtes, il peut pratiquement séduire même les élus, dit la Bible.

91        Il a donc dit: «Eh bien, maintenant, a-t-il dit, maintenant, attends une minute, monsieur.» Il a dit: «Nous pouvons prouver qu’Il est ressuscité d’entre les morts.»

            Il a dit: «Prouvez-le-moi.» Il a dit: «Vous avez eu deux mille ans pour le faire. Et non seulement... même pas le tiers du monde n’a jamais entendu parler de cela.» Il a dit: «Que Mahomet ressuscite d’entre les morts, et le monde entier le saura en vingt-quatre heures. C’est vrai. Eh bien, considérons la chose de façon raisonnable. C’est vrai.»

            «Oh! a-t-il dit, nous savons qu’Il est ressuscité d’entre les morts.»

            Il a dit: «Comment savez-vous qu’Il est ressuscité d’entre les morts?»

            Il a dit: «Eh bien, nous avons la joie et la puissance dans notre coeur.»

            Il a dit: «Eh bien, attendez juste une minute.» Il a dit: «Monsieur Reidhead, l’Islam peut produire autant de psychologie que le christianisme.» Et c’est tout à fait vrai.

92        Je les ai vus à la fête des prophètes quand ils prenaient une lance et la faisaient transpercer leur menton, ici au niveau de leur nez, et la faisaient sans qu’il y ait une seule goutte de sang. Je les ai vus prendre une épée là même en Suisse et je... Je n’avais jamais vu cela. Je savais qu’il était là faisant cela, il s’est fait transpercer l’épée au niveau de son coeur, comme ceci, et il a fait sortir cela par le dos. Un docteur a déversé de l’eau de ce côté-ci et cela a coulé de l’autre côté. Certainement.

            Ils prennent des ongles, ils se mettent là à faire: «Allah, Allah, Allah, Allah, Allah, Allah», jusqu’à devenir frénétiques, ils prennent des esquilles, ils se font transpercer cela en dessous de leurs ongles, et restent simplement assis là à rire, sans même sentir cela. Ils marchent dans le feu pieds-nus, comme cela, et ils se couchent sur des clous, oh! ils font tout ce qui peut être fait... Voyez, toutes ces sortes de choses.

93        Il a dit: «Nous pouvons produire autant de psychologie que le christianisme.» Mais, a-t-il dit, Monsieur–Monsieur Reidhead, j’aimerais vous poser une question. Il a dit: «Quand Mahomet était ici, il a seulement promis la vie après la mort. Votre Jésus a promis qu’après Sa mort et Sa résurrection, vous les enseignants, vous ferez la même chose que Lui faisait.» Il a dit: «Maintenant, laissez-moi vous voir faire cela, et nous croirons qu’Il est ressuscité d’entre les morts. Avant cela donc, Il est tout aussi mort que Mahomet. Qu’en est-il de cela?»

            «Eh bien, a-t-il dit, maintenant, attends juste une minute, je... à quoi te réfères-tu? A quoi te réfères-tu?»

            Il a dit: «A votre Bible.» Jésus a dit que les oeuvres qu’Il faisait, vous les enseignants, vous les feriez aussi. Nous attendons de voir cela.» Il a dit: «Eh bien, vous distribuez des milliards de tracts et vous faites toutes ces choses là, mais nous voulons voir l’évidence de la résurrection.» Il a dit: «Nous croyons que Mahomet est dans la tombe, et c’est là ce qu’il dit qu’il est. Et un jour, il reviendra, il chevauchera le monde entier.» Il a dit: «Votre Jésus est tout aussi mort que lui.»

            «Oh! Non», a-t-il dit.

            Il a dit: «Eh bien, j’aimerais vous voir manifester alors cela, et me montrer qu’Il est ressuscité.»

            Il a dit: «A quel passage des Ecritures te réfères-tu? A Marc 16?»

            Il a dit: «C’en est un parmi d’autres, oui, monsieur. C’en est un seul.»

            Il a dit: «Maintenant, regardez, vous êtes là... Vous avez regardé là où il y a les saints exaltés ou quelque chose comme cela. Voyez?» Il a dit: «Eh bien, cette guérison-là et cette histoire, comme cela, a-t-il dit, eh bien, nous les érudits les mieux formés, nous savons que Marc 16, du verset 9 jusqu’à la fin, n’est pas inspiré.»

            Il a dit: «Il ne l’est pas?» Il a dit: «Quel genre de Bible lisez-vous? Tout le Coran est inspiré.»

94        Quel reproche! Il a dit: «Qu’en est-il de Marc 11.24? Qu’en est-il de cela, est-ce inspiré?» Il s’est mis à citer d’autres passages des Ecritures.

            Frère Reidhead a dit: «J’ai tapé du pied par terre et j’ai changé de sujet.»

            Quel est le problème avec le christianisme? Ceci est la Vérité ou ce n’est pas la Vérité. J’ai tenu la Bible dans une main et le Coran dans une autre devant des dizaines de milliers de musulmans et je les ai défiés là-dessus.

95        En plein Bombay, en Inde il y a quelques mois on était là où on ne pouvait même pas voir où les gens s’arrêtaient... Les gens passaient, le Seigneur révélait qui ils étaient. Je ne pouvais même pas citer leurs noms; je devais les épeler. Tout était parfait. Les radjahs et eux tous étaient assis là; ils ont commencé à penser... Evidemment, je pouvais saisir cela, qu’ils étaient... que je lisais la pensée ou exerçais la télépathie.

            Peu après, un homme est passé, il était aveugle. Le Saint-Esprit lui a dit qui il était (c’était un mendiant), Il lui a dit quel était son nom. J’ai expliqué que c’étaient les oeuvres mêmes que Christ faisait. Il a regardé cela un petit instant. J’ai encore regardé. Je l’ai vu en vision regarder tout autour, marchant là. Il est un peu grisonnant au niveau de la tempe. Je me suis dit: «C’est le moment.» Et j’ai dit: «Voici un homme, et je sais ce que vous pensez. Vous pensez que ceci est de la télépathie.» J’ai dit: «Voici un homme qui est un adorateur du soleil.»

96        J’avais été à leur temple de Jaïn ce jour-là, avec différentes religions qui se moquaient du christianisme. Ils disaient: «Vous vous dites des religieux, cependant, vous fabriquez des bombes atomiques pour vous faire exploser les uns les autres avec cela. Puis, vous vous dites religieux.» Ils ont quelque chose là. C’est vrai. Mais tous ceux qui fabriquent... qui fabriquent des bombes atomiques, ce ne sont pas des chrétiens de toute façon.

97        Ainsi donc, il a dit... Je... cet homme se tenait là... J’ai regardé et j’ai vu en vision que Dieu allait le rétablir. Et j’ai dit: «Cet homme est un adorateur du soleil.» Et j’ai dit: «Il a les yeux crevés; ça fait maintenant vingt ans qu’il est aveugle.»

            Et il y avait un petit médecin, qui est venu, il m’avait accompagné au collège méthodiste là pour obtenir une espèce de... un diplôme dans un domaine. Et alors, il se tenait là, il a examiné l’homme. Et ses yeux étaient tout aussi blancs que ma chemise, complètement aveugle: Il contemplait le soleil, il adorait le soleil et il est devenu aveugle.

98        J’ai dit: «Il sait qu’il est en erreur. Et il a dit qu’il adorait et qu’il renoncerait à ce dieu qu’il adorait, et qu’il adorerait le Dieu qui lui ferait recouvrer la vue. Et si vos dieux sont si puissants, pourquoi ne venez-vous pas ici maintenant pour faire recouvrer la vue à cet homme, ai-je dit, vous les musulmans, la plus grande religion dans le monde entier?»

            Les musulmans sont les plus nombreux, et ensuite les bouddhistes, je pense que le christianisme occupe la troisième ou quatrième place.

            J’ai dit: «Je défie chaque prêtre musulman de venir ici et de lui restituer la vue, et il deviendra un musulman, ou qu’un bouddhiste lui restitue sa vue.» J’ai dit: «Maintenant, venez faire cela.» C’était un groupe calme. Et il l’était assurément, pas un soupir, nulle part. Ecoutez-les.

            J’ai dit: «Pourquoi ne venez-vous pas faire cela? Vous m’avez dit aujourd’hui combien vos dieux étaient grands. Assurément que si cet homme était dans l’ignorance en adorant la création au lieu d’adorer le Créateur, assurément qu’Il aura pitié de lui, puisqu’il veut revenir au Créateur.»

99        Et il se tenait là, marmonnant à toute allure quelque chose: «J’adorerai le Dieu qui me restaurera ma vue. J’aimerais voir mes enfants une fois de plus; j’aimerais voir ma femme une fois de plus», et ainsi de suite, comme l’interprète me le disait. Et il se tenait là dans cette–cette position-là.

            J’ai dit: «Non, pourquoi ne venez-vous pas? C’est parce que vous avez peur de venir. Vous ne pouvez pas lui restituer la vue, et moi non plus, je ne peux pas la lui restituer. Mais ai-je dit, le Dieu du Ciel a ressuscité Son Fils Jésus-Christ, qui m’a montré maintenant même en vision que cet homme va voir sa vue... recouvrer sa vue; et s’il ne l’a pas, je suis un faux prophète.»

100      Oh! Frère, quand vous voyez cela, vous savez où vous posez les pieds. Je n’aurais fait cela pour rien au monde n’eût été la vision. Certainement pas, j’aurais eu peur de le faire. Il y en a eu d’autres qui étaient passés, mais j’ai vu cet homme-là en vision. On l’a fait monter là, et il... avec ses mains étendues comme ceci. Il a posé sa tête sur mon épaule; j’ai prié pour lui, et j’ai dit: «Ô Dieu du Ciel, devant ces païens ici, qu’on sache que Tu es toujours Jésus-Christ, et que ces signes et ces prodiges s’accomplissent de Ta part, Restaure la vue de cet homme.»

            Et l’homme lâcha un cri et sauta en l’air, il courut sur... (Et le maire de–de Bombay était là, j’ai sa carte de visite ici dans ma poche.) Il a couru là et s’est mis à l’embrasser, partout sur l’estrade, c’était comme un... Je... Eh bien, ils m’ont même arraché les poches de mon manteau, ils ont retiré mes souliers. La–la milice n’arrivait pas à me dégager de la foule. Et cet homme a témoigné partout en Inde; même devant le Président de l’Inde, il a témoigné devant lui. Et, Dieu voulant, l’été prochain, ils ont un lieu aménagé là à New Delhi, où je peux faire asseoir un million dans un amphithéâtre et tenir une réunion. Ils veulent Jésus-Christ.

101      Quand je vous ai dit... Je leur ai dit: «Si Dieu fait cela, combien Le recevront?» Et aussi loin que je pouvais voir, une mer de mains. Et ils ont tous reçu du coup le Seigneur Jésus.

            Quel est le problème? Nous avons enseigné la théologie; nous avons enseigné la dénomination; nous avons enseigné l’intellectualisme; nous sommes pris... enseigné tout le reste, sauf ce que Christ nous a ordonné de faire. Prêcher l’Evangile. Démontrer la puissance du Saint-Esprit, cette puissance qui était en Christ est en lui.

            C’est la raison pour laquelle nous avons fait cela. Voici ce que nous avons fait: Nous avons formé des organisations. Christ n’a jamais formé une organisation. Je n’ai rien contre cela; c’est en ordre. Nous avons eu des écoles, nous avons instruit des gens. Il n’a jamais dit d’instruire les gens, même si c’est en ordre. Et nous avons enseigné toutes ces autres choses. Il n’a jamais dit de faire cela. Mais Il a dit: «Prêchez l’Evangile.» Et l’Evangile est la puissance de la résurrection de Christ. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» C’est ça. «Voici, Je suis toujours avec vous, même jusqu’à la fin du monde.» Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts, et Il est ici ce soir tout aussi réel qu’Il l’était quand Il marchait sur les rives de Galilée.

            Si Dieu ne le prouve pas, alors je suis un faux prophète. Maintenant, prions.

102      Père céleste, au Nom de Christ, reçois maintenant cette église. Et comme je confie tout ce–ce groupe entier de croyants entre Tes mains, accomplis Ta volonté, Seigneur, et accomplis Ton commandement, ce que Tu nous as ordonné de faire. Que nous puissions observer cela avec révérence et de tout notre coeur. Exauce ma prière, alors que je le demande au Nom de Jésus. Amen.

103      Très bien, nous avons environ vingt-deux minutes maintenant. Eh bien, j’ai longtemps parlé. Je vais solliciter encore une faveur auprès de vous. Veuillez rester assis très calmement, gardez votre position juste quelques minutes. Ne vous agitez pas maintenant. Dieu a fait la promesse. Dieu est tenu à Sa Parole. Croyez-vous cela?

            Maintenant, combien savent que j’ai dit çà et là qu’il n’y a personne, ni moi-même ni aucun autre homme sur terre, qui soit un guérisseur? Dieu seul peut guérir. Combien savent cela? Aucun hôpital ne guérit; aucun médecin ne guérit; ils ne le prétendent pas. Ils enlèvent des obstructions et remettent en place les os, mais c’est Dieu qui opère la guérison. «Je suis l’Eternel qui te guérit, qui guérit toutes tes maladies.» C’est Dieu qui est le Guérisseur.

104      Maintenant, ne soyez pas excités; ne vous précipitez pas à venir ici; ne cherchez pas à toucher, à pousser; regardez simplement et vivez. Dieu a fait la promesse; vous êtes les enfants d’Abraham. Or, si Dieu a fait la promesse, alors voici ce qu’il y a. Il a promis que tout ce que vous demanderiez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.

            «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Après la résurrection, Il... s’Il était censé le faire, cet Esprit qui a été renvoyé, qui était en Christ, venir sur l’église, Il devait accomplir les mêmes oeuvres que Jésus avait accomplies quand Il était ici sur terre, pour faire que l’alliance des gens s’ajuste parfaitement avec le corps. Ceci est donc le Corps physique de Christ. Et quand cela sera ressuscité, cela ira à la rencontre de son Compagnon, Jésus-Christ, comme Mari et Femme ou comme Roi et Reine. Les mêmes matériaux qui étaient dans ce Corps-là sont dans ce Corps de croyants. Le même Esprit qui était en Christ est en nous, accomplissant les mêmes oeuvres si Christ tient Sa Parole.

105      Maintenant, pour gagner du temps, s’Il vient ici ce soir et qu’Il accomplit les mêmes oeuvres qu’Il accomplissait quand Il était ici sur terre, combien parmi vous diront sans l’ombre d’un doute: «J’accepterai cela ce soir. Que Dieu soit mon Juge, j’accepterai Christ pour ce dont j’ai besoin»? Allez-vous le faire? Levez la main. Merci.

            Combien ont été dans des réunions auparavant? Faites-nous voir les mains, qu’on le sache. Combien n’ont jamais été dans des réunions? Faites-nous voir les mains. Juste un... Voyez, c’est là que je manque mon–mon organisateur (Voyez-vous?) pour donner ces instructions avant que je vienne. Très bien.

106      Jésus n’a jamais prétendu être un guérisseur. Il disait: «Je ne fais rien avant que le Père Me le montre premièrement.» Savez-vous cela? Puis, une femme toucha Son vêtement, elle s’en alla et s’assit. Il l’a repérée dans l’assistance et lui en a parlé. Philippe vint ainsi que d’autres personnes; nous connaissons les histoires dans la Bible.

            Maintenant, soit Il est vivant, soit Il n’est pas vivant. Or, n’oubliez pas ça, enfants. N’oubliez pas ça. Christ est vivant. Maintenant, débarrassez-vous donc de toutes les superstitions et de tous les petits ismes, et regardez simplement à Jésus ce soir et vivez.

107      Très bien. Billy, quelle carte de prière as-tu distribuée? M 1à 100? Voyez, la façon dont nous nous y prenons, les jeunes gens arrivent ici et ils amènent ces cartes directement devant vous et les battent toutes ensemble. Donc, vous... vous en voulez, ils vous en donnent une. Voyez? Maintenant, c’est la raison...

            Une fois, nous avons attrapé un gars en train de vendre des cartes de prière dans la réunion. Et cet homme arrivait à faire venir des gens à l’estrade. Nous avons donc arrêté cela; je m’en suis débarrassé, j’ai mis mon frère... Et puis, quand mon frère s’est marié, j’ai amené mon fils. Maintenant, il s’est marié; je ne sais pas ce que je vais faire maintenant, mais de toute façon, j’ai besoin de quelqu’un d’honnête et qui ne vendra pas de cartes de prière.

108      Maintenant, pour se rassurer qu’il ne pourra pas faire cela, la première chose, il bat toutes les cartes devant vous, et vous voyez que vous recevez votre carte. Très bien. Une autre chose, il ne sait pas à partir de quel numéro je vais appeler. Je ne le sais pas moi-même. Je me tiens simplement ici. Autrefois, je disais, prenez ceci, comme ce petit garçon ici, je lui demandais de compter. «Jusqu’à quel nombre peux-tu compter, chéri?» Il se levait: «Un, deux, trois, quatre, cinq...» ou quelque chose comme cela, on s’arrête là. Eh bien, je commençais à partir de là.

            On a fini par découvrir par la suite que les mamans plaçaient là leurs petits garçons et leurs petites filles pour compter jusque là où le numéro de la maman commençait. Voyez? Nous avons toujours des êtres humains. Alors, pour le faire d’une façon souveraine, je vais simplement laisser cela: «Ô Dieu, où que Tu me révèles.»

109      Maintenant, étant donné que celle-ci est la dernière soirée, prenons-en la dernière partie donc. Nous prenons environ quinze ou vingt, l’une ou l’autre chose comme cela. Commençons donc à partir de, qu’était-ce? M–M 85. Très bien, où est 85, voudriez-vous lever la main, M 85? La dame par ici? Venez ici. 86, 86, très bien, madame, avancez directement maintenant. 87, directement par ici à droite. 88, 88, voudriez-vous lever la main aussi vite que possible donc. 88, 89, très bien, c’est bon, 90? 91, 91, 91? Désolé, monsieur. 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 99, 100. Très bien;

110      Merci, monsieur. Merci, monsieur. Je pense que nous tous, il nous faut faire un compliment à ce technicien-ci, qui s’occupe du système de sonorisation ici, un véritable gentleman, si jamais j’en ai rencontré un. Il disait... il a envoyé un mot à mon... par mon fils là, il a demandé qu’on me dise de ne pas penser au temps, qu’il consacrerait son temps et il le donnerait gratuitement. [Frère Branham et l’assistance applaudissent pour le technicien chargé de système de sonorisation.–N.D.E.] Que le Seigneur bénisse mon frère.

            J’espère qu’un jour, quand la vie sera complètement terminée, dans le monde à venir, je pourrai m’avancer vers ce frère et lui rappeler cette soirée, les efforts pour assister ces pauvres gens qui sont dans le besoin. Que le Seigneur bénisse, c’est ma sincère prière. Ô Dieu, sois miséricordieux.

111      Maintenant, aussitôt que ce... j’entends... Je lui ai demandé de rapprocher ces gens qui sont dans ces fauteuils et autres ici ce soir. En effet, vous pouvez avoir... Regardez, vous pensez être un cas désespéré. Où est votre... Avez-vous des cartes de prière? Vous n’en avez pas? Si vous n’arrivez pas ici tôt, ou l’une ou l’autre chose, est-ce ce qu’il y a? Cela–cela ne... il ne vous faut pas avoir cela. Non. Regardez simplement de ce côté-ci et vivez.

112      Combien parmi vous... Ne me regardez donc pas; regardez à Christ. Voyez? C’est Lui le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirm... Combien là dans la salle n’ont pas de cartes de prière et aimeraient que Christ les guérisse ce soir? Faites-nous voir les mains. Vous n’avez pas de cartes de prière. Regardez donc là dans l’assistance, des centaines et des centaines parmi eux n’ont pas de cartes de prière. Ils seront guéris malgré tout.

            Voici ce que j’aimerais que vous fassiez. Maintenant, jeune homme, peu importe ce qui cloche chez vous, je suis juste resté là à vous regarder il y a quelques minutes, le Seigneur Jésus peut me le dire, certainement. Cela ne vous guérit pas. C’est votre foi qui vous guérit. Cela, c’est juste pour vous rappeler que Christ est vivant et qu’Il est ici.

            Mais, et vous dans le fauteuil là, monsieur, avec... dans le fauteuil roulant, et–et les béquilles, la dame qui les tient en main, et la dame sur la civière, et je ne sais sur quoi vous êtes, cela n’a rien à faire pas plus que n’importe quoi d’autre. Croyez simplement et dites alors: «Ô Dieu, j’accepte cela maintenant.» Et observez ce qui arrive (Voyez?); observez ce qui arrive. Dieu honorera cette foi-là.

113      Très bien. Je pense qu’on les aligne encore pour la ligne de prière là-bas. Ainsi donc, regardons juste une minute pendant que... jusqu’à ce qu’on ait quelqu’un ici. Eh bien, soyez très respectueux, et j’aimerais vous poser une question. Si Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il est le même quant à l’essence, le même quant à la puissance, le même quant à l’attitude. Est-ce vrai? Maintenant, qu’a-t-Il fait hier? Comment a-t-Il... Quel était le sceau de sa qualité de Messie? Dites-moi la première chose qu’Il a faite qui avait fait... qui avait scellé Sa qualité de Messie, à laquelle nous pouvons penser dans la Bible.

114      La première chose à laquelle je peux penser se trouve dans Saint Jean, chapitre 1. Quand Philippe fut converti, il alla trouver Nathanaël sous un arbre, en train de prier, à environ trente miles [24 km] et il le ramena. Et quand il entra dans la Présence de Jésus... Maintenant, voici la première fois où Son sceau a été reconnu. Il entra dans la Présence de Jésus, Jésus le regarda et dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Et cet homme, cela l’a beaucoup étonné, il a dit: «Comment m’as-Tu connu?» Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»

            Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Est-ce vrai?

            Maintenant, qu’a dit cet homme, pour reconnaître sa qualité de Messie? Il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.» Est-ce vrai? C’est alors qu’un Juif a scellé Sa qualité de Messie pour le peuple Juif.

115      Maintenant, quelle est la génération suivante, la catégorie suivante? Ce sont les Samaritains. Jésus était en route (Saint Jean 4), Il descendait à Jéricho, Il est passé par la Samarie. Il a renvoyé Ses disciples et une femme est venue. Il a regardé la femme, Il a dit: «Apporte-Moi à boire.» Les Samaritains là, suivez ceci... voyez ici Son sceau de Messie.

            Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: «Monsieur, il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains; nous n’avons pas de coutu... pas de telles coutumes. Nous n’avons pas de relations les uns avec les autres.»

            Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.»

            Et elle a dit: «Eh bien, le puits est profond, et Tu n’as rien pour puiser.»

116      Il a continué et lui a dit quel genre d’eau Il lui donnerait, la conversation a donc continué. Peu après, Il... Ecoutez maintenant attentivement. Cette Samaritaine... Il a dit: «Va chercher ton mari, et viens ici.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.» Eh bien, rien, rien ne semble jusque là être la qualité scellée du Messie. Voyez?

            «Va chercher ton mari, et viens ici.»

            Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq. Et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. Tu as dit vrai.»

            Maintenant, écoutez ce qu’elle a dit. Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Maintenant, nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera de telles choses.» Mais elle ne savait pas Qui Il était.

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Et elle est entrée dans la ville en courant et a annoncé aux hommes, disant: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même?»

117      Etait-ce là le sceau de la qualité du Messie en ce temps-là? Est-ce cela le sceau de la qualité du Messie pour les Juifs? Pour les Samaritains? Qu’en pensez-vous, vous les Gentils? Serait-ce le sceau de la qualité du Messie pour les Gentils? Le serait-ce?

            Eh bien, recevez-vous tout cela dedans? Si donc Il est le Messie, Il est ressuscité d’entre les morts, Il est ici ce soir, alors vous n’avez rien à me demander, demandez-Lui simplement quelque chose. Alors, quand vous Le lui demandez, Il est donc tenu de vous répondre. Est-ce vrai? Demandez ce que vous voulez et cela vous sera accordé. «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.» Croyez-vous cela maintenant?

118      Maintenant, pendant qu’ils sont encore... Je pense qu’ils sont encore sur la ligne de prière. Cela... Je ne... Vous n’êtes pas la pianiste, n’est-ce pas, madame? Très bien. Venez donc ici. Etes-vous l’un de ceux qui ont une carte de prière? Tenez-vous donc ici juste une minute.

            Maintenant, soyez très respectueux, très calmes. Quel beau tableau que le Seigneur nous a donné! Je... Etes-vous Espagnole, ou... Espagnole, Mexicaine? Très bien.

            Maintenant, voici une femme qui est une Espagnole, et moi, je suis–je suis Anglo-saxon. Maintenant, ceci est bien exactement tel que c’était du temps biblique. Eh bien, c’est merveilleux. Maintenant même, l’Ange du Seigneur, la Colonne de Feu qui était avec les enfants d’Israël, qui les avait fait parcourir le désert, qui a été faite chair et a habité parmi nous, Elle était retournée auprès du Père, Elle avait rencontré Paul sur le chemin de Damas, sous la forme de la Colonne de Feu, que je... a même pratiquement crevé les yeux de Paul. Ce même Esprit est ici même à cette estrade, maintenant même.

            Maintenant, soit c’est la Vérité, soit ce n’est pas la Vérité. Et maintenant, s’Il prouve qu’Il est ici avec la même puissance qu’Il avait au puits de Samarie, douter de cela serait... voudra dire que vous êtes perdu.

119      Que dit la Bible: «Allez et (Ne faites plus quoi?) ne péchez plus.» Est-ce vrai? Qu’est-ce que le péché? L’incrédulité, c’est exact, monsieur. C’est une réponse exacte. «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» Voyez? Si vous ne croyez pas, vous êtes simplement condamné; vous êtes un pécheur. Et l’unique moyen pour vous d’être sauvé, c’est d’être un croyant. C’est vrai.

120      Maintenant, si le Saint-Esprit, Celui qui a été détaché de Jésus-Christ, là où Son corps, le corps corporel, est placé à la droite de Dieu, intercédant pour... sur base de notre confession... Croyez-vous cela? Il ne peut rien faire pour nous avant que nous confessions cela, et alors Il travaille et intercède sur base de notre confession. Est-ce vrai? Hébreux 3.1. C’est vrai.

            Maintenant, mais Son Esprit est ici. Et Il a placé dans l’Eglise des dons. Et maintenant, si le Seigneur Jésus vient vers cette femme et lui révèle quelque chose à son sujet (Je ne la connais pas.), et qu’Il le révèle et agit de la même façon qu’Il avait fait quand Il était au puits de Samarie, cela devrait régler la question.

121      Permettez-moi de poser une question à la dame. Nous ne nous connaissons pas; est-ce vrai? Nous sommes de parfaits inconnus l’un à l’autre. C’est notre première rencontre donc. Je n’ai aucun moyen de vous connaître. Est-ce vrai? Si c’est vrai, levez simplement la main afin que tous les Espagnols et tous voient. Voyez? Parfait, de parfaits inconnus... Dieu au Ciel sait que je ne connais pas la femme, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Mais Dieu la connaît. Et s’Il peut... Si seulement je peux m’abandonner à Son don, Il peut parler à cette femme et lui dire quelque chose sur sa vie...

122      Maintenant, si je viens juste ici et que je dise: «Je suis serviteur de l’Eternel. Venez ici; vous êtes malade, n’est-ce pas?» «Oui.» «Vous allez être guéri (Alléluia), partez.» Elle aurait le droit d’en douter.

            Mais maintenant, elle ne sait pas ce que le futur réserve; moi non plus. Et je ne sais pas quel a été son passé, mais Dieu connaît les deux, et le passé et le futur. Est-ce vrai? Eh bien, s’Il peut révéler son passé, assurément qu’Il connaît donc son futur. Est-ce vrai? Vous êtes alors sûr qu’on est dans le vrai. Vous êtes bien sûr.

            Maintenant, vous là dans l’assistance sans cartes de prière, regardez simplement de ce côté-ci et croyez cela de tout votre coeur, et recevez cela. Que Dieu l’accorde, c’est ma prière.

123      Maintenant, madame, juste pour vous parler un instant, après avoir longtemps prêché, et voir si le Saint-Esprit donnera une révélation. s’Il le fait, je serai content, et nous tous, nous serons contents. Et l’église a promis, les gens, de croire de tout leur coeur, si Dieu faisait cela pour nous ce soir.

            Maintenant, j’ai parlé longtemps. Or, mes paroles ne sont que les paroles d’un homme, sauf ce que j’ai dit de la part de Dieu. Eh bien, j’ai dit cela à partir de la Bible et j’ai prouvé cela par Abraham, qu’Il est vivant ce soir. Son alliance est avec nous. Il est avec nous. Et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Jéhovah-Jiré, le Sacrifice auquel Dieu a pourvu.

124      Maintenant, si Dieu a dit que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement... La Bible le dit, ce qui est la Parole de Dieu. Et alors, s’Il doit se manifester de même, Il est Jéhovah-Jiré. Il pourvoira à tout ce dont nous avons besoin pour faire cela. Est-ce vrai? S’il faut un prophète, Il pourvoira à un prophète. S’il faut un voyant, Il pourvoira à un voyant. Il pourvoira à cela, car Il est Jéhovah-Jiré. Et s’Il manifeste cela, alors c’est à l’assistance de prendre sa décision. Est-ce vrai? C’est à vous.

125      Qu’en penserez-vous? Si le Seigneur me dit ce pour quoi vous êtes ici... Vous pouvez être une incroyante. Vous pouvez être une critiqueuse. Vous pouvez l’être, je ne sais pas qui vous êtes, mais Lui vous connaît. Mais s’Il vous dit ce que, au moins ce pour quoi vous vous tenez là, ce que vous voulez de Lui, ou quelque chose de ce genre, et vous savez que moi, je ne sais pas cela, allez-vous accepter cela? Croire cela? Allez-vous le faire? Eh bien, qu’Il l’accorde, c’est ma prière.

            Maintenant, si vous remarquez bien, la dame ne me regarde pas; elle regarde par terre à l’estrade. Je ne touche pas, je ne lis pas ses pensées, je me détends simplement, je me détends, je laisse le Saint-Esprit prendre le contrôle, je m’abandonne simplement, je m’abandonne. C’est ainsi que je m’y prends; c’est un don.

126      Maintenant, si les gens peuvent encore entendre ma voix, je vois la dame disparaître d’ici. Cette Lumière se tient ici, près de la femme. Elle souffre d’une hernie. Et cela est dans le nombril; elle a une hernie dans le nombril, c’est une maladie dans cette partie-là de son corps. Croyez-vous maintenant?

            Eh bien, juste un instant. Etant donné que c’est la dernière soirée, j’aimerais que vous me laissiez aussi longtemps que possible. Parlons donc à la dame un peu plus longtemps.

            Maintenant, vous savez que c’était vrai, je ne sais quoi c’était; c’était une maladie. Mais c’était la vérité. Je n’ai aucun moyen de savoir cela. Est-ce vrai? Non, aucun moyen de le savoir. Eh bien, maintenant, si vous croyez que je suis Son serviteur, qu’Il fasse autre chose afin que vous croyiez.

127      Oui, il y a autre chose que vous aimeriez savoir. Il y a autre chose que vous désirez dans votre coeur. C’est comme les fils d’Isaï qui étaient venus auprès du prophète pour savoir où étaient leurs mulets, vous désirez ardemment autre chose. Et cela concerne... Je vois apparaître à côté de la dame, si les gens peuvent encore entendre ma voix, il y a une petite fille. Et la petite fille a, on dirait, des rougeurs. C’est vrai. Et je vois apparaître un petit garçon. Et le petit garçon s’est fracturé. Il s’est fracturé le dos, et cela fait que ses côtes sont ressorties, ses–ses os, on dirait. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai, n’est-ce pas?

            Eh bien, vous savez, c’est là dans votre coeur, madame, quelque chose s’est passé, n’est-ce pas? Effectivement. Vous avez reçu ce que vous demandiez. Votre foi vous a amenée à recevoir ce que vous avez demandé. Allez et recevez cela, au Nom du Seigneur Jésus.

            L’aimez-vous? Le connaître, c’est la Vie. Maintenant, croyez simplement. Ayez foi; ne doutez pas, croyez simplement.

128      Maintenant, nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? Dieu nous connaît tous deux. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît certes bien. Mais s’Il me révèle ce que vous voulez de Sa part, allez-vous L’accepter?

            Vous souffrez gravement de nerfs. C’est un... plus comme de la lassitude, ou une maladie de nerfs, vous êtes simplement bouleversé tout–tout le temps. Et vous avez quelque chose qui cloche; vous essayez de vous déplacer de côté en sortant d’un fauteuil. Je vous vois vous lever, on dirait de côté; cela est au niveau de votre hanche, quelque chose qui cloche au niveau de la hanche; c’est l’arthrite de hanche. C’est vrai. Et puis, il y a autre chose que je vois, vous vous tenez comme ceci. C’est dans votre poitrine. C’est vrai. Une grosseur. Exact. Vous avez peur, mais ne vous inquiétez pas, cela va vous quitter maintenant. Allez et croyez en Lui. Votre foi, donc... que Dieu soit miséricordieux...?...

129      Bonsoir, madame. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre aussi, mais le Seigneur vous connaît, n’est-ce pas? Votre maladie est au niveau du poumon. C’est vrai. Je vois que vous aviez quelque chose comme les rayons X, le... comme le VTV, ou quelque chose comme cela. Exact. Vous utilisez beaucoup vos poumons. En effet, vous êtes un prédicateur, une femme prédicateur. C’est exact. Viola, croyez-vous que Dieu vous rétablira? Vous venez de Vallejo, en Californie, n’est-ce pas? Maintenant, rentrez, et soyez rétablie au Nom de Jésus-Christ. Amen. «Si tu peux croire, tout est possible.»

130      Maintenant, madame, je pense que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Mais Christ nous connaît tous deux. Si Jésus me révèle ce que vous voulez, allez-vous recevoir Christ comme votre... la délivrer?

            Maintenant, elle est extrêmement bouleversée au sujet de quelque chose. Il s’agit de ses nerfs. Elle est tout troublée au sujet de quelque chose. Et de plus, vous avez mal à votre pied. C’est vrai. Et ce qui vous rend nerveuse, c’est que vous avez subi une intervention chirurgicale là. Et cette intervention chirurgicale, c’était à cause d’un cancer de sein, et depuis lors, cela vous a rendue nerveuse. C’est exact. Croyez-vous maintenant que tout cela vous a quittée? Vous vous sentez bien maintenant. Vous resterez ainsi, car votre foi vous a guérie. Poursuivez votre route, vous réjouissant et étant heureuse et rétablie, au Nom de Christ. Amen.

131      Et cette dame est sourde-muette... Non elle ne l’est pas. Cette dame ne parle pas anglais. C’est tout à fait vrai. L’Esprit... Elle est... Venez interpréter pour elle. Amen. Ayez foi. Vous êtes–vous êtes ici pour une cause noble, jeune dame. Saisissez mes paroles pour elle. Vous désirez quelque chose de noble. C’est au cours de mon sermon de ce soir alors que je prêchais sur Abraham, vous êtes venue ici, vous avez reçu une carte d’une certaine façon et vous êtes ici. Vous voulez que je prie pour que Dieu vous donne un enfant. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

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