Ecoutez-Le
1 Merci, Frère Thompson. Prions. Père béni, nous sommes effectivement content de venir devant Toi ce soir et solliciter Tes faveurs, que Tu déverses de Ton Esprit sur nous tous ce soir et que Tu répandes Ton amour dans nos coeurs par le Saint-Esprit. Et nous Te prions de guérir les malades et les nécessiteux, et de recevoir la gloire pour Toi-même. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous rasseoir.
Ce soir, attendons-nous à ce que le Seigneur nous accorde une soirée que nous avons impatiemment attendue, pour tout, depuis que nous sommes dans la ville. Que cela soit infiniment au-delà de toute mesure, ce soir; c’est ma prière.
2 Je désire lire ce soir dans l’Evangile selon saint Matthieu, chapitre 17, pour ceux qui généralement notent la–la Parole. J’aime lire la Parole, car je sais que si nous ne faisons que lire la Parole, il y aura une bénédiction grâce à cela. Mes paroles failliront, car ce sont les paroles d’un homme. La Parole de Dieu ne faillira jamais, car c’est la Parole de Dieu. Et nous savons que beaucoup... Si nous lisons les Ecritures chaque fois que nous venons à la réunion, il y aura une bénédiction, car c’est la Parole éternelle et bénie de Dieu.
Six jours après, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques, et Jean, son frère, et il les conduisit à l’écart sur une haute montagne.
Il fut transfiguré devant eux, son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière.
Et voici, Moïse et Elie leur apparurent, s’entretenant avec lui.
Pierre, prenant la parole, dit à Jésus: Seigneur, il est bon que nous soyons ici; si tu le veux, je dresserai ici trois tentes, une pour toi, une pour Moïse, et une pour Elie.
Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici, une voix fit entendre de la nuée ces paroles: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection: écoutez-le !
3 Et je désire prendre ce soir, comme sujet, ces trois derniers mots: Ecoutez-Le [En anglais, trois mots: Hear Ye Him] Nous trouvons, en lisant cette merveilleuse Parole de Dieu, nous trouvons que là, notre Seigneur Jésus s’occupait toujours des affaires du Père. Chaque pas qu’Il effectuait avait un but. Il n’y a point eu un seul acte qu’Il ait posé qui ne soit ordonné de Dieu. Et cela nous fait vraiment du bien de penser que la Bible déclare: «Les pas des justes sont ordonnés de l’Eternel.» Et si seulement nous faisons ce qui est dans notre coeur...
Une fois, David était assis devant Nathan le prophète, et il a dit: «Est-ce bien que moi, j’habite dans une maison de cèdre alors que l’Arche de mon Dieu est sous une tente?»
Nathanaël lui a répondu: «Fais tout ce qui est dans ton coeur, car Dieu est avec toi.» Et nous trouvons dans notre passage des Ecritures, le plus inhabituel de ce soir, un moment très remarquable.
4 Souvent, sans doute, les membres du clergé dans la salle, les pasteurs et les évangélistes, ont prêché ceci, plusieurs fois, mais chaque fois que vous prêchez n’importe quel passage de la Parole de Dieu, il y a quelque chose de nouveau. Il y a eu des milliers de pasteurs et d’évangélistes, depuis le jour où ceci a été écrit, qui ont prêché le même sujet, et chaque fois qu’ils prêchent cela, il y a quelque chose de nouveau. Eh bien, chaque fois que vous lisez un passage de la Parole de Dieu, cela vous dévoile quelque chose de nouveau. Cela montre que C’était inspiré.
Si je vous écrivais une lettre, vous pourriez peut-être l’apprécier, vous pourriez la garder un moment, mais cette lettre-là va bientôt être dépassée. Elle n’aura de valeur que pour notre amitié. Ainsi donc, après votre mort, alors cette lettre ne représentera, peut-être, rien du tout. Mais il n’en est pas ainsi de la Parole de Dieu. Chaque génération, Elle est simplement aussi nouvelle et Elle donne la vie autant qu’Elle en donnait le jour où Elle était écrite.
5 Et la bonne et correcte approche de ce texte ce soir, c’est l’ordre de la Seconde Venue de Christ. Comment, premièrement, il a vu Jésus, ensuite Moïse et Elie, et enfin Jésus seul. A vrai dire, c’est en parfaite harmonie avec la Seconde Venue de Christ. Et Il venait de dire juste avant cela, que: «Plusieurs de ceux qui sont ici ne mourront point qu’ils n’aient vu le Fils de l’homme venir dans Sa gloire.» Et c’était une préfiguration de Sa Venue dans la Gloire.
Mais nous aimerions aborder cela ce soir par une voie nouvelle, un autre détour, car chaque Parole de Dieu s’emboîte. Il n’y a pas de contradiction dans la Parole de Dieu. J’aimerais voir un passage des Ecritures qui contredit l’autre, sans qu’il soit redressé par la même Ecriture. Cela est écrit, assurément, en paraboles; en effet, c’est fait à dessein, pour confondre les sages et les intelligents, afin que Dieu puisse le révéler aux enfants qui veulent apprendre.
6 Or, nous trouvons ceci, que Dieu est là où les hommes s’assemblent; parfois ce sont de grandes et importantes rencontres des hommes. Nous voyons une fois qu’Il est apparu devant cinq cents frères. Il est encore apparu devant soixante-dix, puis vingt-quatre, ou douze, trois, et même un seul. Christ apparaîtra devant tout coeur honnête. Peu importe combien vous pouvez paraître insignifiant, vous êtes... votre âme vaut dix mille mondes.
Il y a quelque temps, là dans le Tennessee, j’étais dans un grand musée, et je regardais au travers de la vitre, quelques jeunes gens se tenaient à côté de moi, et on avait exposé là des composants chimiques d’un homme de cent cinquante livres [68 kg]. Et cela peut vous surprendre de savoir votre valeur réelle. Si vous êtes en bonne santé, un homme bien fort, de soixante-huit kilos, cela vaut quatre-vingt-quatre cents. Eh bien, vous ne valez pas grand-chose, n’est-ce pas? Juste assez de chaux pour asperger le nid d’une poule, un tout petit peu de calcium et autres, tout cela valait quatre-vingt-quatre cents, de composants chimiques de votre corps.
7 Un jeune homme a dit à l’autre, il a dit: «John, nous ne valons pas grand-chose, n’est-ce pas?»
Je me suis dit que cela m’accordait une grande occasion. J’ai posé mes mains sur les épaules de chacun de jeune gens, je me suis avancé entre eux, et j’ai dit: «C’est vrai, fiston, nous ne valons pas grand-chose quant à ce corps, mais dans ce corps-là, il y a une âme qui vaut dix mille mondes.»
Cependant, nous aimerions prendre soin de ces quatre-vingt-quatre cents. Nous le revêtirons de meilleurs habits, nous le nourrissons de meilleures nourritures, nous mettons un chapeau de dix dollars dessus, et, oh ! combien nous aimons prendre soin de ces quatre-vingt-quatre cents ! Mais cette âme là, nous la laissons simplement...?... le vieux monde et tout le reste, sans remarquer ou faire cas de cela, nous traînons cela à l’église et nous dormons alors que le prédicateur prêche pendant vingt minutes, et on tient la réunion des diacres pour dire qu’il a prêché trop longtemps. Cette âme-là vaut dix mille mondes.
8 Mais nous trouvons, dans ce passage des Ecritures, que Jésus avait choisi trois de Ses apôtres. J’aime vraiment penser aux chiffres de la Bible: Trois, sept, douze, quarante, cinquante. Et si vous considérez ces chiffres, vous pouvez juste disposer la Bible comme un grand tableau.
Trois, c’est la perfection, comme Père, Fils et Saint-Esprit; et l’eau, le sang et l’esprit, et autres. Et les trois Venues de Jésus: Il est venu une fois pour racheter Son Epouse. La fois suivante, Il vient prendre Son Epouse. La fois suivante, Il vient avec Son Epouse après le Souper des Noces.
Nous trouvons donc qu’Il a choisi trois vases: Pierre, Jacques et Jean. Et la Bible nous enseigne que c’est l’amour, l’espérance et la charité; ou plutôt la foi, l’espérance et la charité, c’est ça: la foi, l’espérance et la charité.
9 J’aimerais vous faire remarquer combien ces trois hommes représentaient merveilleusement cela, les esprits qui étaient dans ces hommes. Pierre, la foi; tout disposé à tout aborder. Jacques, l’espérance. Jean, la charité. La foi, l’espérance et la charité. Et il est écrit dans la Parole qu’il y en a trois qui rendent témoignage, ou qui sont une confirmation. La Bible déclare: «Chaque parole sera établie sur la déposition de trois témoins.» Trois, c’est... C’était une confirmation dans l’Ancien Testament. Si une accusation était portée contre quelqu’un, elle devait être confirmée sur la déposition de trois témoins. Et cela s’est aussi fait dans le Nouveau Testament, il y en a trois qui rendent témoignage.
Et nous trouvons que Dieu était sur le point de faire quelque chose. Et Dieu, quand Il fait quelque chose, Il rend toujours témoignage. Nous trouvons qu’à la Pentecôte, Il a dit: «Attendez dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’En Haut, ensuite, vous deviendrez Mes témoins.» Il préparait Ses témoins, Dieu envoyait des témoins.
10 Et Il amenait ces trois grands esprits avec Lui pour qu’ils soient témoins de ce que Dieu était sur le point de faire. Or, Dieu ne fait jamais quelque chose sans premièrement confirmer cela, faire savoir cela. Il ne fait rien dans l’ombre. Avec Dieu tout est sur table. Tout ce qu’Il fait, ce que vous entendez dans la chambre secrète, prêchez-le sur le toit de la maison. Dieu ne veut rien de voilé.
Et maintenant, ceci peut vous aider. Et quand les hommes et les femmes qui confessent être des chrétiens ne témoignent jamais à ceux qui ne sont pas sauvés, ou ne laissent pas leur lumière briller, il y a quelque chose qui cloche chez cet individu-là. Dieu veut que vous fassiez briller la lumière, que vous Le louiez partout, comme Paul l’a dit autrefois: «Je n’ai point honte de l’Evangile, car c’est la puissance de Dieu pour le salut.»
11 Et nous voyons ces trois témoins qui vont rendre témoignage de ce que Dieu était sur le point de faire. Or, dans l’Ancien Testament... Tout l’Ancien Testament était pratiquement des types et des ombres du Nouveau. Dieu n’a jamais demandé à un homme de faire quoi que ce soit que Lui-même ne ferait pas.
Quand Dieu a prononcé la peine de mort contre la race humaine, il n’y avait qu’une seule chose correcte à faire pour Dieu. S’Il avait envoyé un ange, Dieu aurait été injuste. S’Il avait envoyé une autre créature du Ciel, Il aurait été injuste. Mais l’unique moyen pour Dieu de s’y prendre, c’était de prendre Lui-même la place du pécheur. Par conséquent, Il a dû devenir chair. Il a vécu dans Son unique Fils, Il a tabernaclé ici sur terre dans un Corps, Jésus-Christ, rendu un peu inférieur aux anges pour endurer la mort.
12 Nous avons vu cela dans le message d’hier soir, qu’Il a dû retenir l’aiguillon de la mort dans Sa propre chair et Il l’a arraché. Oh ! Frère, soeur, quelle merveilleuse révélation ! Quelle merveilleuse vérité est-ce de savoir que Dieu a ôté l’aiguillon de la mort !
Je me suis tenu en face des saints à leur mort, je les ai vus lever les mains, les larmes leur coulant sur les joues, ils crient victoire juste en face de la mort; c’est un beau tableau.
Et nous trouvons donc dans l’Ancien Testament... Il y a plusieurs mots dans notre nouvelle version de King James qui paraissent très étranges. Mais pour moi, vous autres frères, vous pouvez enseigner à partir de n’importe quelle version que vous voulez, mais moi, j’aime King James. Cela me paraît plus comme la Bible. Et à propos, il y a des traductions qui peuvent nous paraître un peu étranges. Par exemple, dans Saint Jean 14, il est dit: «Dans la maison de Mon Père, il y a plusieurs demeures.» La maison de Mon Père, c’est une petite maison, avec plusieurs grandes demeures à l’intérieur. Eh bien, cela paraît étrange, mais les traducteurs qui traduisaient la Bible pour le roi Jacques se sont servis du langage de leur époque. Et en Angleterre, ils avaient la même organisation sociale que du temps de l’Ancien Testament. En effet, en Angleterre, ils avaient ce qu’on appelait la maison du père, c’était son domaine, le domaine du roi.
13 Eh bien, la traduction Moffatt, je pense, paraît plus ridicule que celle de King James. Il est dit: «Dans le flat de Mon Père, il y a plusieurs appartements. Comme si on allait là pour louer un appartement. Mais si tous les deux sont... Voici la version originelle: «Dans le Royaume de Mon Père, il y a plusieurs palais.» C’est comme ça dans la version originelle, en hébreu. Eh bien, mais du temps du roi Jacques, ils ont traduit cela de telle façon que les gens comprennent cela.
Eh bien, dans l’Ancien Testament, ils avaient le même genre d’organisation sociale. Un père possédait une très grande concession, et cela était appelé sa maison ou son domaine. Et dans toutes les différentes parties de sa concession, il y avait de petites, de petites dépendances, comme nous les appellerions aux Etats-Unis. Et ses locataires occupaient ces maisons-là. Et alors, quand un enfant naissait dans cette maison à un père qui était riche, eh bien, ce père étant un homme d’affaires, il devait s’occuper des affaires, il cherchait dans tout le pays jusqu’à trouver le tout meilleur tuteur qu’il pouvait trouver pour élever son fils.
14 Maintenant, si vous permettez l’expression... Et maintenant, ce que vous croyez de ceci, vous le prenez. Et ce que vous ne croyez pas, mettez-le simplement de côté comme je fais quand je mange la tarte à la cerise. Si je tombe sur un noyau, je ne jette pas la tarte, je mets simplement le noyau de côté et je continue à manger la tarte. Faites de même.
Eh bien, ce que Dieu était sur le point de montrer ici sur la montagne de la Transfiguration, c’était... Il était sur le point de faire quelque chose, exactement ce qu’Il leur avait demandé de faire dans l’Ancien Testament: le placement d’un fils.
Eh bien, quand un fils naissait dans une famille, il était un fils à la naissance. Et c’est là que vous les pentecôtistes, vous avez sauté le mur de clôture. Vous avez pensé qu’une fois né de nouveau, la question était réglée. Ce n’était que le commencement. C’est vrai. Vous êtes un fils, certainement, une fois né. Mais quand ce fils naissait, il n’était pas encore héritier de toutes choses. Il devait passer par des épreuves et des tests pour qu’on voie s’il était le bon genre de fils pour hériter de toutes choses. Ecoutez, la Parole de Dieu déclare que chaque fils qui vient à Dieu doit premièrement être éprouvé et châtié, subir la formation d’enfant, avant de pouvoir être adopté dans la famille.
15 Eh bien, ce père prenait le fils et le confiait à un précepteur, un tuteur, un maître d’école, en d’autres termes. Et ce maître d’école devait faire rapport au père sur l’évolution exacte de l’enfant, s’il était paresseux, ou s’il était lent, ou si c’était un jeune homme brillant, intelligent, et bien éveillé.
Eh bien, le père devait trouver quelqu’un, le bon genre de tuteur. Et c’est un beau type de l’église. Quand nous devenons des fils de Dieu, nés dans le Royaume de Dieu, le Père nous a envoyé le meilleur Tuteur qu’Il pouvait trouver, le Saint-Esprit. Eh bien, Il ne nous a jamais envoyé un archevêque pour être notre tuteur, ou un surveillant général, ou un surveillant de district. C’est là que nous avons commis notre erreur. L’Eglise est dirigée par le Saint-Esprit. C’est ça le gouvernement de Dieu pour Son Eglise. Mais nous avons adopté d’autres tuteurs, d’autres précepteurs.
16 Et puis, ce tuteur doit être juste, ne rien ménager. Il doit rapporter la pure vérité au père. Et combien ce tuteur devait rougir en s’avançant devant le père, et qu’il disait: «Votre enfant n’évolue pas très bien. Il échoue dans ses études. Il est lent à agir.» Quel sentiment le tuteur devait éprouver en se présentant devant le père avec un tel message au sujet de son fils !
Et je me suis souvent demandé quel sentiment le Saint-Esprit doit éprouver en Présence de Dieu, en faisant un rapport sur la conduite de notre église en ce jour moderne, avec trop de choses du monde dedans, des gens trop lents à agir, ceux à qui Il a témoigné la grâce et Il leur a donné la nouvelle naissance. Oh ! Ça doit être terrible. Et de penser combien notre église devient corrompue en ces derniers jours. Le mercredi soir, au lieu d’aller à la réunion de prière, ils restent à la maison regarder la télévision.
17 Remarquez, ces genres de conduite que vous affichez sont directement rapportés à Dieu par Quelqu’Un qui ne ménage rien. Que vous soyez un bon voisin, que vous soyez une bonne colonne dans l’église, le Saint-Esprit rapporte la vérité à Dieu. Oh ! Quel sentiment Il doit éprouver, quand Il va et dit: «Les femmes, les filles de l’église, se déshabillent et portent de tout petits habits bizarres et courts, elles sortent et tondent la pelouse dans la cour devant des hommes.» Cela pourrait vous écorcher, mais cela le devrait. C’est vrai.
Le problème aujourd’hui, c’est qu’il y a beaucoup de femmelettes derrière la chaire, et beaucoup d’évangélisation à la Hollywood. Nous avons besoin de l’Evangile à l’ancienne mode, un réveil à l’ancienne mode, à la saint Paul, et du Saint-Esprit de la Bible de nouveau dans l’église.
18 Autrefois, c’était mal pour les gens de la sainteté, les méthodistes, les gens qui essayaient de vivre correctement, pour leurs femmes, de porter des manucures, ou je ne sais comment vous appelez cette histoire qu’on met au visage. Je sais que ce n’est pas le mot qu’il faut, mais je n’arrive jamais à penser à cela. De toute façon, c’était mal, mais maintenant, vous n’arrivez pas à distinguer l’un de l’autre. Autrefois, c’était mauvais pour les femmes chrétiennes de se couper les cheveux. Quelque chose a cloché quelque part. La Bible déclare que c’est mauvais. Eh bien, soit vous vous êtes dégagées de harnais, soit votre pasteur est sorti de la volonté de Dieu et a cessé de prêcher cela. Mais c’est la vérité, et le Saint-Esprit rend témoignage devant Dieu. C’est vrai.
Autrefois, c’était mauvais pour les gens d’aller au cinéma et à des amusements mondains. Mais aujourd’hui, vous n’arrivez pas à faire la distinction entre les uns et les autres. Les gens ratent la réunion de prière pour suivre une espèce de réunion de loge. Et comment diantre un chrétien peut-il, celui qui se dit enfant de Dieu, fréquenter donc de tels endroits pour manger, et tout, ces drôles de petits juke-box, et jouer des chansons pourries d’Elvis Presley, et toutes ces choses qui parlent d’être secoués. Je vous assure, vous allez être secoués l’un de ces jours, et c’est vrai.
19 Mais comment, non seulement les jeunes gens, mais la grand-mère et le grand-père font cela. C’est vrai. Des baby-sitters, pendant que maman et papa sont dehors en train de faire la fête dans le pays... Et le dimanche matin, ils vont à l’église avec un visage long de petit saint. Ce dont vous avez besoin, c’est d’une bonne secousse à l’ancienne mode du Saint-Esprit, c’est ce dont ce pays a besoin. Vous savez que c’est la vérité.
Et, oh ! il y a des années, c’était mauvais pour des femmes de fumer la cigarette. Mais aujourd’hui, c’est populaire. Et peu importe à quel point la médecine dit qu’il y a une cargaison de cancer dans chaque paquet de cigarettes... L’autre jour, je suivais la radio; on disait qu’il y aurait beaucoup de morts aux Etats-Unis l’année prochaine, plus que ceux qui avaient été tués de deux côtés pendant la guerre, à cause de la cigarette. Le cancer de gorge est causé par le fait de fumer la cigarette. Et pourtant, selon les estimations, environ quatre-vingt-quinze pour cent de gens dans l’Eglise chrétienne fument la cigarette. Quelle disgrâce !
20 Vous parlez de la cinquième colonne, c’en est une. Je ne me soucie pas de ce que la Russie viendra par ici nous faire du mal. Ils ne viendront pas nous faire du mal, c’est nous-mêmes qui nous faisons du mal. C’est la dépravation de nos moeurs qui nous fait dépérir. Ce n’est pas le rouge-gorge qui picore la pomme qui la ruine, c’est le ver qui est dans son trognon qui la ruine. C’est notre propre pourriture.
Vous dites: «Frère Branham, vous vous en prenez aux femmes.» Très bien, vous les hommes, voici pour vous. Tout homme qui laissera sa femme porter des habits sales, comme ces drôles de petits shorts, pour sortir devant le public, montre de quoi il est constitué. Je ne vous appelle pas tellement un homme. C’est vrai. C’est vous qui êtes censé être le chef de la maison, et c’est elle qui est le cou. Elle vous dicte où vous tourner. C’est un monde de femmes. C’est vrai. Et vous cédez à cela.
21 Et vous sortez et vous trouvez des femmes chrétiennes qui s’étalent à la plage pour se bronzer. Eh bien, j’ai deux jeunes filles ici ce soir. Je ne sais pas ce que le futur réserve, mais si jamais j’attrapais l’une d’elles, alors qu’elles sont des jeunes filles, étalée sur une plage pour se bronzer, elle va très bien avoir un bronzage. Ça ne sera pas le bronzage du soleil, ça sera celui du fils de Charles Branham avec une barre d’un tonneau en main, la ramenant à la maison, la faisant sauter à chaque coup.
Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est plus de papa et de maman à l’ancienne mode. Plutôt que d’avoir tous ces magazines de Véritable Histoire rangés sur le rayon, à la place de la Parole de Dieu, là, et de La lire, La croire, enseigner à ses enfants à grandir dans la crainte du Seigneur.
22 Que pensez-vous que le Saint-Esprit éprouverait comme sentiment alors qu’Il s’avance devant le Père? «Tes filles portent des shorts. Tes fils permettent cela.» Quel beau tableau vous présentez ! Mais c’est ce qui se passe. Je ne vous réprimande pas. Je cherche simplement à vous dire la vérité, juste un peu plus longtemps, de sorte que cela ne vous écorchera pas trop. Mieux vaut être écorché un peu ici plutôt que de brûler plus tard.
Et remarquez, le Saint-Esprit doit rapporter cela au Père. Oh ! Comme le Père doit dire: «Je–Je n’arrive pas à obtenir que ces gens fassent quoi que ce soit», dit le Saint-Esprit au Père. «Nous donc... Je–Je les avertis, tout ce que Tu leur as envoyé. Ils vont à l’église, et Ton Esprit peut bien accomplir toutes sortes de choses. Ils vont simplement rester assis, regarder çà et là comme un petit pot qui se remplit très vite, se lever et rentrer à la maison.» A votre avis, que pense Dieu à votre sujet lorsque vous faites cela? J’espère qu’il y en a beaucoup ici. Quand vous n’arrivez pas à écouter l’Evangile pendant trente minutes...
23 Il n’y a pas longtemps, j’ai connu une église. Un homme était un grand membre de cette église, ou il voulait en devenir membre. Et il avait beaucoup d’argent. Alors, il a dit: «Je n’aimerais pas faire une confession en public.» Et ce pasteur-là l’a reçu en secret, il l’a baptisé et l’a fait entrer dans l’église. Eh bien, il devrait être chassé de la chaire d’un coup de pied. C’est tout à fait vrai. Il n’en est pas digne.
Il n’y a pas longtemps, je descendais à la rivière, et une femme a dit... Nous allions baptiser un groupe de gens. Et elle a dit: «Frère Branham, allez-vous là pour me noyer?»
J’ai dit: «Femme, votre coeur n’est pas en ordre avec Dieu. Je ne vous baptiserais certainement jamais. Rentrez chez vous, repentez-vous et mettez-vous en ordre avec Dieu.» Certainement.
24 Eh bien, quand le père trouve un fils obéissant, oh ! combien il aime venir et dire: «Monsieur, votre fils est un parfait enfant.» «Oh ! Que Tes enfants sont obéissants, ils aiment T’adorer. Ils se rassemblent, ils élèvent les mains, les larmes leur coulent sur les joues. Ils sont simplement pleins de joie.» Oh ! Comme le Saint-Esprit peut... doit aimer faire cela, car Dieu est un objet d’adoration, et Dieu aime être adoré, en Esprit et en Vérité. C’est ce que Jésus a dit. Mais nous devenons très guindés, nous ne pouvons simplement pas faire entendre un grognement; nous ne pouvons pas dire: «Amen.» Nous–nous restons simplement assis là. Voyez? Combien le Saint-Esprit doit avoir horreur de dire cela au Père ! Mais quand nous sommes obéissants, que nous L’aimons, nous Le louons, nous Lui rendons gloire, combien le Saint-Esprit doit aimer Lui faire rapport là-dessus. Savez-vous qu’Il le dirait? «Père, Tu sais, Ton Fils est juste comme Toi. Oh ! Il est bien parfait.» Et si nous le disions ici dans notre expression de la rue: «C’est un fils à papa.» «Eh bien, il T’aime, il est obéissant.»
25 Eh bien, si ce garçon n’est pas bon, il reste néanmoins un fils. Il n’est rien de moins qu’un fils parce qu’il est né un fils. Mais s’il n’est pas obéissant et qu’il n’est pas le bon genre de fils, il continue simplement à être un fils là sans aucune récompense. Mais si c’est un fils obéissant selon les Ecritures, alors, il y aura l’adoption de ce fils-là, ou le placement de ce fils-là. Et alors, après qu’il aura atteint un certain âge, il sera amené à un lieu public. Et là sera organisée une grande cérémonie, là devant le public. Et ce fils sera placé à un lieu élevé et on tiendra la cérémonie de l’adoption. Pensez-y donc. Le père adopte son propre fils dans sa famille. Et puis, après cela, le nom de ce fils-là sera tout aussi valable sur le chèque que celui de son papa. C’est une cérémonie en public, et tous seront là, ils verront ce papa placer son fils dans sa position.
26 Et c’est çà le problème de l’église aujourd’hui, la raison pour laquelle nous n’avons pas de très grandes manifestations. Cette grande Eglise du Dieu vivant, en ces derniers jours, devrait être très avancée sur la route, avec chaque don divin mis en ordre, une grande et belle Eglise. Mais nous nous sommes divisés en dénominations, ismes, petites querelles, et tout, au point que Dieu ne peut pas faire plus avec nous avant que nous nous assemblions et que nous mettions nos coeurs en ordre avec Dieu. C’est pourquoi nos bénédictions s’épuisent pratiquement. C’est pourquoi, dans les églises, il y a un refroidissement; c’est que nous avons été indifférents envers Dieu, Son Esprit et Sa Parole. C’est vrai. Nous n’avons plus jamais accueilli le Saint-Esprit.
27 Et si le roi venait, la reine venait ici en visite à Edmonton? Tous les drapeaux seraient hissés et vous jetteriez des tapis pour lui souhaiter la bienvenue. Les petites filles et les servantes se tiendraient dans la rue pour souhaiter la bienvenue à leur belle reine lorsqu’à sa descente du train. Ils... elle parcourrait les rues. Elle aurait le meilleur de la ville. Les dames se tiendraient et jetteraient des boutons de rose et différentes choses pour l’accueillir. C’est ce que vous êtes censés faire. Mais elle est juste une reine, juste une femme. Et alors, Jésus peut venir à une ville, et ils diront: «Saint exalté, Fanatique. Ôtez-Le. Nous n’en voulons pas. C’est contre notre dénomination.» Oh ! Que Dieu aie pitié de Ses enfants stupides !
Quand Jésus-Christ se manifeste parmi les gens pour montrer Sa puissance de la résurrection, ceux qui sont censés être Ses enfants secoueront la tête et diront: «C’est du non-sens. Cela arrive juste comme ça. Cela, oh ! je ne sais pas. C’est de la télépathie.» Quel sentiment le Saint-Esprit doit éprouver dans la Présence de Dieu avec un tel message à Lui transmettre !
28 Il n’est pas étonnant que nous n’aboutissions nulle part. Tout le monde veut porter la balle. Quand on joue au football avec fair-play, c’est au meilleur homme qu’on passe la balle. Mais aujourd’hui, tout le monde dit: «Que Dieu soit béni, je peux m’en occuper moi-même.» Et c’est la raison pour laquelle nous sommes divisés. Nous n’avons jamais marqué de but. Méthodistes, baptistes, presbytériens, pentecôtistes, tous ensemble, nous sommes dans cette grande bataille de la vie. Nous devrions nous tenir derrière notre pasteur, nous tenir derrière nos frères avec tout ce que nous avons en nous. Et plutôt que de faire cela, vous dites: «Oh ! Il est des assemblées. C’est un méthodiste. Nous n’aurons pas de communion avec lui. Nous ne collaborons jamais dans cette réunion-là. Non, non, nous n’aurions rien à faire avec ça.» Oh ! Vous pauvres gens trompés, décrépits, honte à vous ! Que pensez-vous que le Saint-Esprit dit dans la Présence de Dieu? Il n’y a pas de division dans l’Eglise du Dieu vivant.
29 J’ai quarante-huit ans. Je n’ai jamais été invité à adhérer à la famille Branham. Pourquoi? Je suis né dans la famille Branham. Je suis devenu un Branham par naissance. C’est ainsi que nous devenons un enfant de Dieu. Ce n’est pas en étant un méthodiste, un presbytérien, ni un anglican, ni un pentecôtiste, ni un nazaréen, ni un pèlerin de la sainteté. Nous sommes nés par l’Esprit de Dieu, dans l’Eglise du Dieu vivant. Certainement.
Et ensuite, notre caractère est surveillé par le Saint-Esprit. Et si aujourd’hui nous sommes méthodiste et qu’on nous énerve un peu, nous allons chez les baptistes le jour suivant. Ils se disputent un peu avec nous, et quelque chose comme ça, le prédicateur dit quelque chose, il nous marche sur les pieds, alors vous allez chez les pèlerins de la sainteté, ou les nazaréens, ou quelque part ailleurs comme cela. Ce n’est pas étonnant. Vous trimballez votre lettre de recommandation de lieu en lieu jusqu’à ce qu’elle soit pratiquement déchirée. Pourquoi ne retirez-vous pas votre nom de là après tout pour l’inscrire dans le Livre de Vie de l’Agneau? Laissez Dieu s’en occuper et communiez avec tous les frères de la même foi précieuse. Que vous voyiez d’un même oeil, cela importe peu. Nous sommes du moins des chrétiens, des frères, nés dans la même famille. Dieu nous a reçus avec nos particularités, nous devrions nous accepter les uns les autres.
30 Si donc, par la suite, ce fils s’avérait un–un bon fils, un fils digne de confiance, celui à qui le père peut faire confiance, alors, il hérite de tout ce que le père a, tout cela.
Et Dieu le démontrait par cette grande illustration, quand Il a amené Pierre, Jacques et Jean au sommet de la montagne, un lieu élevé, Il les a amenés à l’écart, loin du reste du monde, Il allait montrer ce qu’Il ferait. Et là, devant des témoins, trois témoins de la terre, trois témoins du Ciel. Il y avait Pierre, Jacques et Jean, de la terre. Il y avait Moïse, Elie et Jésus, du Ciel. Dieu allait rendre ceci si officiel que les cieux l’ont reconnu et la terre l’a reconnu. Il a donc amené Jésus à l’écart, Il l’a couvert de la gloire de Sa Présence. Les autres ont levé les yeux et ont dit: «Ses vêtements brillaient comme la lumière.»
31 Avez-vous déjà remarqué que dans l’Ancien Testament, on revêtait le fils d’une robe spéciale pour cette cérémonie d’adoption? Et Dieu a revêtu Jésus d’une robe spéciale. Il l’a glorifié là même en présence des témoins du Ciel et des témoins de la terre: Il L’a glorifié. Et vous savez, Pierre, comme d’habitude, comme des hommes s’excitent quand le surnaturel est accompli...
Laissez-moi insérer une pensée ici, si vous me le permettez un moment. Quand le surnaturel est accompli, qu’est-ce que j’avais dit la dernière fois que j’étais ici? Il y a toujours une foule de gens de toutes espèces qui suivent cela. Quand Moïse était en Egypte, le surnaturel avait été accompli: une foule de gens de toutes espèces a suivi cela. Il y avait des croyants, des incroyants, des soi-disant croyants. Et c’étaient eux qui avaient souillé le camp. De là est venu Coré. Et Coré a été englouti par la terre. Et quand le surnaturel est accompli, une foule de gens de toutes espèces va toujours avec cela. Des gens sont excités. Nous ne venons pas à Dieu avec excitation. Nous venons à Dieu de façon saine, en croyant, de façon honorable, disant: «Je suis coupable, ô Dieu, Tu es juste. Pardonne-moi mes péchés, et je Te servirai tant que je vivrai.» C’est ainsi que nous venons à Lui, en étant sincère là-dessus du fond de notre coeur.
32 Remarquez donc. Aussitôt que le surnaturel a commencé à se manifester, Pierre, comme n’importe quel autre homme, était tout excité. Il a dit: «Seigneur, je vais Te dire ce que nous allons faire. Construisons ici trois tentes. Nous en construirons une pour tous ceux qui croient dans la loi, ceux qui sont sous Moïse, ils peuvent tous adorer la loi. Nous construirons une autre pour ceux qui croient aux prophètes, et une pour ceux qui croient en Toi. Voyez, il voulait diviser et faire très vite des dénominations. Cela se trouve simplement dans l’homme de faire cela. Il n’avait pas encore terminé de dire cela de ses lèvres qu’une Voix cria du Ciel, disant: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le.»
Je suis très content qu’Il ait dit cela.
33 Comment oseriez-vous observer la loi? Aucun homme n’est justifié par la loi. Aucune chair ne peut être sauvée par la loi. La loi n’a pas de salut. La loi, c’est une prison. La loi est venue et vous a dit que vous étiez un pécheur et elle vous a mis en prison, mais elle n’a pas le pouvoir de vous faire sortir de la prison. Je n’aimerais donc pas être un prisonnier. Et c’est ce que la loi fait, vous enfermer, vous condamner. Et elle a dit: «Tu ne feras pas; si tu fais cela, tu seras en prison», il n’y a aucun moyen d’en sortir. Je n’aimerais donc pas la loi, mais Pierre voulait construire une dénomination et appeler les adorateurs de la loi. «Construisons une tente pour Moïse.»
34 Et puis, regardons de l’autre côté. Et il a dit: «Construisons-en une pour Elie.» Que représentait Elie? La justice de Dieu. Et nous ne voulons pas de la justice. Je ne veux pas de la justice. Je veux la miséricorde, pas la justice. Elie, c’était la ligne droite de la justice de Dieu. Dieu lui avait donné une commission. Il est monté sur la montagne, et le roi a envoyé le chercher, il ne voulait pas aller. Il avait une commission de la part de Dieu, rester là. Et le roi a dit: «Ce vieux fanatique-là, nous allons simplement le faire descendre.» Alors, il a envoyé cinquante soldats et un capitaine. Et quand il est arrivé devant Elie, Elie s’est levé et a dit: «Si je suis un homme de Dieu, que le feu descende du ciel et vous consume.» Et le feu est descendu, la justice. Et il a effacé cinquante. Eh bien, le roi a dit: «Vous savez, évidemment, les jours des miracles sont passés. C’était juste un éclair qui a frappé ce groupe de gens. J’enverrai donc un autre groupe.»
Et il a envoyé un autre groupe. Et quand ils sont arrivés devant ce vieux prophète, celui-ci s’est levé sous la puissance de la justice, et il a dit: «Si je suis un homme de Dieu; que le feu descende du ciel et vous consume.» Un autre groupe de cinquante a disparu. Dieu sait que nous n’avons pas besoin de la justice. Nous avons besoin de la miséricorde, toujours de la miséricorde.
35 Maintenant, tournons la tête de l’autre côté. Pierre cherchait à nous parler de ceci, mais il y eut une Voix qui retentit du Ciel. Laissez aller vos dénominations. Qu’a-t-Il dit? «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le.» Que représentait-Il? L’amour de Dieu. C’est ce que je veux, pas la justice, pas le jugement, pas la loi. Je veux l’amour et la miséricorde de Dieu sur moi. «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le.» J’en suis très content. Car ce que Moïse ne pouvait pas faire, ce qu’Elie ne pouvait pas faire, Jésus a pu le produire.
Dieu voulait bénir Ses enfants et Il ne pouvait pas le faire sous la loi, Il ne pouvait pas non plus le faire sous le jugement et la justice. Mais l’unique moyen pour Lui de le faire, c’était par l’amour de Son Fils, Jésus-Christ. «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé en Qui Je prends plaisir de demeurer, écoutez-Le.» Qu’est-ce? Toute la loi est accomplie. Tous les jugements sont passés. «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le.» Toutes ces autres choses sont finies. Le voici.
36 Aujourd’hui, nous aimons écouter tout sauf Lui. Vous aimez écouter le rock-and-roll. Vous aimez écouter toutes ces autres choses, mais vous ne voulez pas L’écouter. C’est ce que Dieu a dit: «Ecoutez-Le.» Et je dis à ce groupe de gens dans cette arène ce soir: «Ecoutez-Le.» Et Il a dit: «Si un homme ne naît de nouveau, il n’entrera jamais dans le Royaume.» «Ecoutez-Le.»
Il est le Grand Médecin. «Ecoutez-Le.» «Il était blessé pour nos péchés; et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.» «Ecoutez-Le.» Si un médecin vous dit que vous avez un cancer et que vous allez mourir, cet homme est sincère; c’est tout ce qu’il sait à ce sujet. Toute sa médecine prouve que cela ne peut pas être guéri; il n’y a rien pour guérir cela. Mais: «Ecoutez-Le.» Il a dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.»
37 Si vous êtes coupable et que vous avez péché, vous avez péché contre les commandements de Dieu, et vous ne savez quoi faire à ce sujet, la Bible dit: «Ecoutez-Le.» Car Il s’est chargé de toute notre iniquité, Il a ôté toutes nos offenses. «Ecoutez-Le.»
Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, ce n’est pas tellement de la loi, ce n’est pas tellement de... ces dénominations, et de tant de barrières. Ce dont nous avons besoin, c’est de l’amour de Dieu. Ce dont nous avons besoin ce soir, c’est des hommes et des femmes qui prendront position avec courage, du fond de leur coeur, et serviront le Seigneur Jésus. Aujourd’hui, le monde ne cherche pas une nouvelle dénomination. Si j’avais commencé il y a dix ans quand j’étais ici, j’aurais probablement été le père d’une grande dénomination. Assurément qu’il y en aurait eu, alors que les hommes venaient chez moi et disaient: «Frère Branham, oh ! vous avez la chose en mains. Faites ça.» Non. Il y a Quelqu’Un qui m’a parlé d’En Haut, et je L’ai écouté. Je n’aimerais pas commencer des dénominations. Nous en avons assez. Ce que j’aimerais faire, c’est être Son serviteur, L’aimer et Lui obéir, et bien Le servir.
38 La Bible déclare que vous êtes le sel de la terre. Aujourd’hui, vous pouvez vous dire un presbytérien, cela ne représente rien dans la Présence de Dieu. Vous pouvez vous dire un pentecôtiste, cela ne représente rien dans la Présence de Dieu. Ce qu’Il veut voir dans un homme ou une femme, c’est la qualité de chrétien dans son coeur. C’est ce que le monde veut voir. Le monde veut voir des hommes et des femmes qui sont juste exactement ce qu’ils sont censés être, ce que vous confessez être. Si je n’étais pas pour Christ ce soir, je m’opposerais à Lui ici. Mais je sais qu’Il est réel, et je L’aime. Et c’est pourquoi je suis ici pour Lui.
Sans doute qu’un jour cela scellera mon témoignage de mon sang, mais je serai heureux en ce jour-là, car je sais qu’Il est le Seigneur Jésus-Christ. Je sais qu’Il ne peut pas faillir. Je sais qu’Il est l’Amour.
39 Il y a quelque temps, quand j’avais perdu les membres de ma famille et tout, quelqu’un m’a rencontré et m’a dit: «Frère Branham, avez-vous gardé votre religion durant ce temps-là?»
J’ai dit: «Non, frère, c’est elle qui m’a gardé.»
Il a dit: «Que pensez-vous de Christ maintenant? Votre femme et votre enfant gisent là dans cette tombe, moisissant. Votre papa et votre frère gisent là, tous partis en quelques jours. Que pensez-vous de Lui maintenant?»
J’ai dit: «Il est plus que la vie pour moi. Je L’aime avec tout ce qui est en moi.»
40 A l’heure la plus difficile que j’aie jamais connue de ma vie... Je vous donne juste mon témoignage personnel. Quand je suis entré dans la chambre où mon enfant se mourait, ça faisait environ six ans que j’étais prédicateur de l’Evangile; je me suis tenu là à côté de mon enfant. On ne voulait pas me laisser entrer, on ne voulait pas que j’y entre; je suis entré furtivement. C’était là dans le sous-sol, dans l’isolement, un pavillon en quarantaine. Les mouches lui entraient dans les petits yeux, j’ai chassé les mouches, et je l’ai couverte d’un petit filet, on dirait. J’ai regardé la petite créature et j’ai dit: «Sharon, reconnais-tu ton papa?» Et elle avait tellement souffert que ses petits yeux d’enfant étaient devenus louches. Mon coeur était touché. Sa mère avait été déposée à la morgue la veille. Je me suis agenouillé et j’ai dit: «Père céleste, qu’ai-je fait pour mériter ça? Veux-Tu épargner mon enfant? Ô Seigneur béni, je T’en supplie, fais-le.» Et on dirait qu’un rideau noir s’est déplié comme cela, et cela l’a donc bloquée à ma vue. Il a catégoriquement refusé d’exaucer ma prière. Je me suis relevé, je l’ai regardée comme ça, je savais qu’elle était morte.
41 Satan est venu vers moi et il a dit: «Le serviras-tu maintenant? Ta femme est là, ton père venait de partir, ton frère a été tué là sur la route; ta femme est là à la morgue. Oh ! Oui, tu es prédicateur. Il devrait te témoigner de la bienveillance, n’est-ce pas? Vas-tu Le servir?» C’était la tentation la plus cruelle que j’aie jamais connue. En effet, mon enfant était là, et qu’est-ce que j’avais fait? Il n’y avait rien à ma connaissance. J’ai dit: «Révèle-le-moi, ô Dieu, je mettrai cela en ordre.»
42 «Mais chaque enfant qui vient à Dieu doit être châtié et éprouvé.» Puis, tout d’un coup, j’ai été abandonné seul pour prendre ma décision. J’ai mis ma main sur sa petite tête et j’ai dit: «Shari, chérie, les anges viennent te ramener à la Maison. Papa amènera ton petit corps là et le déposera dans les bras de maman, et je t’ensevelirai là au cimetière sur la colline; mais un glorieux jour, papa te reverra.» J’ai levé les mains vers Lui, j’ai dit: «Seigneur, même si Tu me tues, je Te ferai toujours confiance. Je T’aime.» Et une paix profonde s’est établie en moi.
Je me rappelle, j’allais une fois au cimetière, et une drôle de colombe était perchée dans un buisson en train de roucouler. On dirait que le vent, en parcourant ces pins là, chantait:
Il y a un pays au-delà de la rivière,
Que nous appelons terre de joie sans fin
Nous atteignons ce rivage uniquement par décision de la foi;
Un à un nous rejoignons le portail,
Pour y demeurer avec les immortels,
Un jour, les cloches d’or retentiront pour toi et moi.
43 Il n’y a pas longtemps, mon jeune garçon et moi, nous sommes allés déposer des fleurs à la Pâques, et c’était pratiquement à l’aube. Le petit enfant portait un pot de fleurs à déposer sur la tombe de sa maman et de sa soeur. J’ai enlevé mon chapeau alors que je m’agenouillais. Je l’ai vu enlever son petit chapeau et se mettre à sangloter. J’ai repris la fleur de ses mains et je l’ai placée... la fleur par terre, à peu près là où le petit bébé gisait. Je l’ai entouré de mon bras. J’ai dit: «Billy, chéri, maman et ta petite soeur ne sont pas là. Tu vois cette étoile du matin qui est suspendue là? Là loin de l’autre côté de la mer, là dans le pays qui abrite Jérusalem, il y a une tombe vide ce matin. Notre Seigneur est ressuscité, et ceux qui sont morts en Christ, et ceux qui sont en Christ, Dieu les ramènera avec Lui à Sa Venue.»
Ô frère, l’amour authentique peut prendre une position éternelle juste sur le rocher, et les vagues de la mort cogneront en dessous de cela, alors, voyez-Le là loin, Lui qui a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie», a dit Dieu. Certainement, rien ne dépassera l’amour de Dieu. Certainement pas. «Ecoutez-Le», l’Unique qui peut vous témoigner le véritable amour.
44 Inclinons la tête juste un instant. Seigneur béni, alors que mon coeur déborde en pensant au temps passé, s’il ne s’agissait que d’être loyal à une dénomination, je serais parti il y a longtemps. Je suis très content de ce qu’un jour, j’ai senti Tes tendres bras entourer mes pauvres épaules du pécheur, alors que j’étais en train de rire en moi-même, de pleurer et de Te dire combien j’étais mauvais. Et pendant que j’étais assis là sur une paire d’éperons de roue, Tu m’as donné Ton amour. Quelque chose est descendu dans mon pauvre coeur d’Irlandais, qui ne m’a jamais quitté depuis ce jour-là.
Ô Dieu, au travers de nombreux dangers, épreuves et pièges par lesquels je suis déjà passé, Ton amour et Ta grâce m’ont fait passer sain et sauf jusqu’à présent, et cela m’amènera jusqu’au bout. Oh ! Un glorieux matin, le soleil manquera de se lever, il paraîtra là à l’ouest et deviendra du sang. Les étoiles refuseront de briller. La lune disparaîtra. C’est cette l’heure-là, Seigneur, que j’aimerais voir, quand les morts commenceront à sortir de la tombe pour être enlevés dans les airs, j’aimerais être de leur nombre. Ô Dieu, s’il me faut perdre chaque ami que j’ai sur terre et tout le reste, j’aimerais bien être là en ce jour-là.
Père bien-aimé, je prie pendant que je suis ici, comme je l’avais promis à ma compagne, à sa mort, que je resterais sur le champ de travail jusqu’à ce que Tu viennes, je Te prie de m’aider ce soir, de me donner le genre de mot, d’une façon ou d’une autre, qui touchera le fin fond des coeurs de gens et les amènera à recevoir Ton Fils bien-aimé et à naître réellement de nouveau, pas dans une dénomination, pas dans un genre d’isme, mais réellement d’un amour chrétien authentique qui ne faillit jamais. Qu’ils écoutent le Fils de Dieu dire: «C’est Moi, Je suis venu vous accueillir dans une Vie d’amour et de liberté.» Accorde-le, Père, nous le demandons en Son Nom.
45 Et pendant que nous avons les têtes inclinées, je me demande si ce soir, dans l’assistance, il y aurait quelqu’un ici qui sentirait au fin fond de son coeur, dire: «Frère Branham, vraiment du fin fond de mon âme, je sais que je n’ai pas ce genre d’amour qui garde.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Montrez-moi un homme dans le monde qui peut donc ramener cela à sa place une fois de plus. Ce n’est pas ici. Soyez loyal à votre nation, mais, frère, par-dessus tout... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Je sais que je suis passé de la mort à la Vie. Je lève les mains et je dis: «Ô Dieu, sois miséricordieux.»
46 Maintenant, Père céleste, Tu as vu les mains de ces hommes et de ces femmes, littéralement des douzaines, et ils sont sincères. Le Saint-Esprit commence donc à se mouvoir dans la réunion. Nous pouvons les voir alors qu’ils regardent, ils se posent des questions, Dieu parlant à leur coeur. Tu as dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire. Tous ceux que le Père m’a donnés viendront. Aucun d’eux ne sera perdu, Je les ressusciterai dans les derniers jours; je leur donnerai la Vie Eternelle (La Vie qui ne périt pas.) Ô Dieu, je prie pour tout celui qui a levé les mains. Et il y en a beaucoup ici présents qui n’ont pas levé leurs mains et qui le devraient, je prie également pour eux, Seigneur. Que celle-ci soit l’heure du plus grand défi de leur vie: accepter la vie au lieu de la mort. Accorde-le, Père, pendant que la musique joue doucement: «Ecoute mon humble cri, ô Sauveur.» Accorde-le, Seigneur, que plusieurs maintenant même prennent cette décision éternelle et disent oui à Christ. Et que dans le calme de leur âme vienne cet amour qui descend du Ciel, cette paix qui dépasse tout entendement, qui change les ténèbres en lumière, la mort en vie. Que cela arrive maintenant même partout dans cette salle. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils, en Te les confiant. Amen.
Sauveur, Sauveur, (Détendez-vous donc là dans l’Esprit.
Ceci est une adoration)...-ble cri;
Quand les autres Tu appelles,
Ne m’oublie pas.
47 Combien L’aiment réellement maintenant? Levez les mains, dites: «Je...» C’est bien. C’est merveilleux.
Toi la Fontaine de
tout mon réconfort,
Plus que la vie pour moi,
Qui d’autre ai-je sur terre à part Toi?
Qui est au Ciel à part Toi?
Sauveur, Sauveur,
Oh ! écoute mon humble cri;
Quand les autres Tu appelles,
Ne m’oublie pas.
48 C’est vrai. Laissez simplement jouer la musique. Baignons-nous donc dans cette atmosphère. Oh ! Il vous arrive très rarement d’avoir donc ceci. Je suis un chrétien à l’ancienne mode. Je crois dans la douceur de l’Esprit. Je–j’espère que vous ne me taxez pas de fanatique. Je n’en ai pas l’intention, mais j’ai donc juste envie dans mon âme, j’ai l’impression d’éclater, de crier, ou quelque chose comme cela, juste quelque chose qui inonde ma vie. Oh ! Quelle détente ! C’est comme quand on s’approche d’un grand vieux chêne, on s’assoit en dessous par un jour chaud, et on sent la brise fraîche alors qu’elle vous baigne de part et d’autre.
Jésus-Christ est présent. Pouvez-vous ce soir, ami chrétien, pouvez-vous simplement vous faire une idée pendant juste un moment? Pensons à ceci. Croyez-vous que cette Bible est la Parole éternelle de Dieu? Assurément que vous croyez. Eh bien, Elle l’est. Dieu est tout aussi réel... Il est tout aussi réel que vous. Il est plus réel que vous; en effet, après tout, vous n’êtes qu’une ombre. Vous désirez ardemment la Vie Eternelle, n’est-ce pas? Assurément. Vous qui avez mon âge et vous qui êtes plus âgé que moi, vous désirez ardemment redevenir jeunes. Je vais prêcher là-dessus une ou deux soirées. Je peux le prouver par la Bible, que vous êtes sur le chemin de retour. Oui, oui.
49 Qu’est-ce? Qu’est-ce qui vous donne cet ardent désir? Ceci est une ombre. Quand cette tente dans laquelle nous habitons ici sur terre est détruite, nous en avons déjà une qui nous attend. Nous allons à un endroit où nous serons à jamais pleins de jeunesse, pour ne plus jamais vieillir. Oh ! Que c’est beau ! C’est ce qui nous pousse à appeler, la profondeur appelant la profondeur. Il y a là quelque chose qui nous fait éprouver un ardent désir, et qu’est-ce? C’est ce corps-là qui attend là. Nous gémissons ici pour être revêtus, là je pourrais vous serrer la main et vous ne deviendrez plus jamais vieux. Vous n’allez plus vous asseoir dans un fauteuil roulant, Frère Dawson. Là, vous ne serez plus jamais aveugle, mon frère; là, la vie sera réelle; là, la vie est vie... Comment pouvons-nous rejeter pareille invitation? De penser qu’un jour, un jour, nous connaîtrons un rétablissement rapide et nous serons avec Lui. Je–je sais que c’est la vérité. Christ est ici. Il est ressuscité d’entre les morts.
50 Je ne pense pas que nous ayons encore le temps de former une longue ligne de prière. Je vais simplement prier pour vous à partir d’ici. J’aimerais que chacun de vous soit disposé.
Il y a quelques jours, une femme a accouru vers moi et elle a dit: «Monsieur Branham, a-t-elle dit, ma mère est juste ici dehors, elle est malade.» Il y avait des centaines et des centaines de gens assemblés. J’ai dit: «Je ne peux pas aller auprès d’elle, soeur, comme ça. Je ne peux pas traverser la foule. Prenez mon mouchoir ici et allez le poser sur elle.» Elle m’a grondé pour n’être pas parti. Il n’est pas étonnant que sa maman n’ait pas été guérie. Vous ne pouvez pas vous y prendre comme cela. Voyez?
Il n’y a rien que j’aie à vous donner. C’est quelque chose que Dieu vous a déjà donné. Il vous faut simplement recevoir cela. Je suis simplement Son témoignage. Je suis un témoignage de Sa résurrection. Il est ici. Tout ce qu’il vous faut avoir, c’est la foi pour croire cela.
51 Maintenant, si le Seigneur Jésus est ressuscité d’entre les morts et qu’Il se tenait dans Ses assistances, et que vous regardiez l’assistance, et que les gens Le touchaient par le sentiment de leurs infirmités, Il se retournerait et dirait: «Qui M’a touché?» Il promènerait le regard sur l’assistance jusqu’à repérer qui c’était, Il lui dirait ce qui était arrivé. Il savait où était un homme, sous un arbre. Il connaissait le nom d’un homme qui était venu vers Lui. Il connaissait le nom de son papa, Il connaissait son nom chrétien. Et si Christ est ressuscité d’entre les morts, la Bible déclare: «Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.»
Maintenant, écoutez-moi juste un instant. Christ est dans cette salle maintenant. Christ est en vous maintenant même, vous les croyants. Christ était en Joseph. Avez-vous vu comment cela l’avait fait agir? Christ était en Elie. Christ était en David. Regardez David, rejeté, détrôné par son propre peuple, rejeté comme roi à Jérusalem, il gravissait le mont des oliviers, il a regardé en arrière, il a pleuré. Huit cents ans plus tard, le Fils de David s’est tenu sur la même montagne, rejeté et pleurant: «Jérusalem, Jérusalem, combien de fois ai-Je voulu vous assembler?» Voyez, c’est Christ.
52 Or, si Christ est en vous, Christ reconnaîtra Christ. «Mes brebis connaissent Ma voix; elles ne suivront pas un étranger.» Maintenant, si... Dieu sait que je ne connais personne parmi vous ici. Il n’y a personne à part mon bien-aimé frère Dawson, assis ici devant moi, que je connais dans cette salle. Mais Christ vous connaît vous tous. Et s’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités, s’Il confirme cela et qu’Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais», Il l’a prouvé et les Juifs ont cru en Lui (les vrais Juifs), l’église n’avait pas cru en Lui; elle n’a jamais cru; elle ne croira jamais; ils ne croient toujours pas. La soi-disant église, le système ecclésiastique, ils n’ont jamais cru en Lui; ils ne croient toujours pas; et ils ne croiront jamais. Eh bien, c’est horrible. Vous dites: «Frère Branham, vous êtes très violent.» Non, je ne le suis pas, frère, soeur, bien-aimé. Je dis la vérité.
53 Si seulement vous connaissiez le prix que j’ai payé, mes frères, pour me tenir ici ce soir ! Je pourrais vous dire quelque chose qui vous choquerait. Rien qu’à cause de la vérité et de l’Evangile que j’ai présenté clairement, vous ne savez pas quel prix ça a coûté. Certainement que vous ne le savez pas.
Conserver la faveur dans la Présence de Dieu, c’est être honnête avec Dieu et être honnête avec vous. Et si je ne suis pas honnête avec vous, je ne serai pas honnête avec Dieu. Et si je ne peux pas être honnête envers mes frères que je vois, comment pourrais-je être honnête envers Dieu que je ne vois pas?
Hier soir, il m’a semblé, quand je me tenais ici, que cet Ange est allé juste dans ce coin ici. Et j’ai vu cette petite lueur sacrée, jaune, se tenir là au coin. Il m’a semblé que des gens spirituels auraient eu... devraient être là. Puis, je ne pensais pas dire ce que j’ai dit, et tout d’un coup une réprimande sévère a été faite. Des centaines ont afflué. Voyez?
54 Ce soir, il y a une autre atmosphère dans la salle. Eh bien, ça devrait être ainsi au début. Nous sommes prêts. Croyez simplement en Dieu maintenant. Maintenant, mettons Dieu à l’épreuve.
Combien ici présents, surtout ceux que je peux voir, quand l’onction devient un peu plus forte... Eh bien, regardez, peu importe combien grand est le don que Dieu m’a donné, si vous ne croyez pas ce don-là, il ne fera jamais aucun bien.
Quand Jésus Lui-même, avec la plénitude de la Divinité corporellement en Lui, est entré dans une ville, ils ont dit: «Eh bien, qui est-ce après tout? N’est-ce pas le Fils du charpentier? Eh bien, Il n’a jamais fréquenté l’école par ici. Il n’a pas d’instruction, pour parler. Où a-t-Il donc reçu cette instruction? Quelle école a-t-Il fréquentée? Nous ne savons rien à Son sujet.» Et ils ont été offensés à Son sujet. Et Il n’a pas pu accomplir beaucoup de miracles.
55 Mais quand on a cru en Lui, quand Il a accompli un miracle sur Philippe et qu’Il lui a dit, ou plutôt Nathanaël, et qu’Il lui a dit où il était... Il a accompli un miracle sur la femme au puits et lui a dit quel était son problème, elle a dit: «Nous savons que c’est ce que fera le Messie quand Il sera venu, mais Toi qui es-Tu?»
Il a dit: «Je Le suis.» Oh ! la la ! Elle est allée... Eh bien, Il n’est point entré dans la ville pour accomplir des miracles; en effet, Il savait qu’Il r»servait cela à Philippe, pour qu’Il le fasse après Son départ; mais Il a semé la Parole. Et Philippe est descendu, il a accompli des miracles à–à Samarie.
Eh bien, Christ est ressuscité d’entre les morts. Il est ici. Eh bien, que tout le monde regarde de ce côté-ci. Et si Christ, par trois témoignages dans cette salle ce soir, prouve qu’Il est vivant...
56 Maintenant, comment ça: «Nous sommes les sarments, Il est le Cep.» Combien savent que c’est ce qu’enseigne Jean 15? Jésus a dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Eh bien, ce n’est pas le cep qui porte les fruits, n’est-ce pas? Absolument pas. Ce sont les sarments qui portent les fruits. Le cep ne fait que donner la vie aux sarments. Eh bien, alors, nous sommes les sarments. C’est la Parole de Dieu. Maintenant, ne regardez pas pour dire: «Frère Branham, ceci, ou Jean, ceci, ou tel et tel.» C’est Jésus que vous regardez. Il est la Vie du cep. Il est la Vie du sarment. Et la même Vie qui est dans le Cep sera dans les sarments, et Elle produira la même Vie qui est dans le Cep, si c’est vraiment un–un sarment. Maintenant, si nous sommes les sarments, Christ apparaîtra.
57 Eh bien, est-ce que je peux vous sauver? Non, absolument pas. Vous qui avez levé la main il y a quelques instants, il m’est impossible de faire cela. Vous avez été sauvés depuis même que Jésus était mort. Est-ce que je peux vous guérir? Si j’avais la puissance de guérir, mon frère ne ferait plus encore cinq minutes dans ce fauteuil. Absolument pas. J’ai regardé chaque soir au-dessus de cet homme-là. Je le connais. Je l’aime. Voyez-vous? Je priais avec ardeur et j’ai une lettre, ici dans ma poche qui vient de mon secrétaire, il y est dit: «Rassurez-vous de voir frère Dawson.» Je l’ai téléphoné, et j’ai dit: «Il est assis juste devant chaque soir. J’observe.» Si j’avais un brin de puissance de guérison, il ne resterait pas assis comme cela, ni personne parmi vous autres. Je n’en ai pas, et personne d’autre n’en a. Cela... c’est à vous. C’est ce que Jésus-Christ a acquis en mourant pour vous il y a mille neuf cents ans, et «Il était blessé pour vos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéris.»
58 Maintenant, la première chose, c’est prêcher cela par la Parole. Ensuite, la chose suivante, c’est faire opérer les dons et les signes. Eh bien, Il est ressuscité d’entre les morts, et comme nous l’avons prêché ce soir, trois, c’est le témoignage. S’Il prend trois personnes quelque part dans cette assistance et confirme le même Message qu’Il avait quand Il était ici sur terre, par le même signe du Messie, retourneriez-vous chez vous ce soir en disant en chemin: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous? Comme–comme ceux qui revenaient d’Emmaüs, Cléopas et son ami, ils avaient marché avec Lui toute la journée. Sans doute que vous l’avez fait pendant des années. Mais une fois qu’Il les avait eus à l’intérieur, Il a accompli un miracle juste comme Il l’avait fait avant Sa crucifixion, cela a prouvé qu’Il était le Jésus vivant. S’Il fait la même chose ce soir, nous devrions rentrer chez nous en disant: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous? Certainement, Il est ressuscité d’entre les morts. Tout m’appartient par Christ.»
59 Maintenant, soyez vraiment respectueux. Partout dans la salle, où que vous soyez, regardez de ce côté-ci, priez et dites: «Seigneur Jésus, je ne m’approche pas de frère Branham. Je m’approche de Toi. Je suis malade et nécessiteux, et si seulement Tu permets que quelque chose me dise ce soir...» Ou si vous n’êtes pas malade, dites: «Je connais Untel là en bas, qui est malade. Fais que le... Seigneur Jésus, parle par... Si nous sommes Ton cep, si Tu es... nous sommes Tes sarments, parle par frère Branham ce soir et confirme cela à cette personne-ci. Je croirai en Toi. Je ne douterai plus jamais.»
C’est–c’est simplement Le mettre à l’épreuve. Il a dit: «Mettez-Moi à l’épreuve, dit l’Eternel.»
60 Eh bien, c’est une chose remarquable. Ô frère, nous avons beaucoup d’imitations. Je le sais. Et beaucoup de cela, c’est la contrefaçon. Nous le savons, mais cela ne peut pas rendre ce qui est réel une contrefaçon. Nous avons un Seigneur Jésus réel, un Fils de Dieu réel, et Il opère par des puissances et des prodiges. Et si... Vous rendez-vous compte que je suis directement, indirectement en contact, avec plus de dix millions de personnes à travers le monde? Des gens s’appuieront bien sur vos paroles, et alors au Jugement j’aurai à répondre de cette parole-là. On doit faire attention à ce qu’on dit.
Je suis venu ici à Edmonton parce que je me suis senti conduit à venir à Edmonton. Et je suis ici; c’est à Dieu de faire le reste. C’est à vous de croire cela.
61 Ô Dieu, donne-nous trois soirées, s’il Te plaît. Sentez-vous donc bien abandonné, juste par moment. Maintenant, soyez vraiment respectueux.
Vous rappelez-vous que, dans la Bible, il est dit: «Que tout le monde reste tranquille et que quelque chose soit révélé»? Il a dit: «Si vous tous, vous parlez en langues, et que quelqu’un arrive, il dira que vous êtes tous fous, si vous tous, vous parlez en langues, n’est-ce pas?» Mais il a dit: «S’il y en a un qui prophétise et qui révèle le secret du coeur, alors, il se prosternera et dira que Dieu est réellement au milieu de vous.» Est-ce vrai? Assurément. Il est le Dieu de tous les dons.
62 Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, je prends chaque esprit sous le contrôle du Saint-Esprit pour la gloire de Dieu. La photo que vous voyez et la Lumière qui est dessus, à la barre du Jugement, je me tiendrai comme témoin de cette soirée, Cela n’est pas à deux pieds [60 cm] de là où je me tiens maintenant même.
Maintenant, soyez respectueux. Ceci est l’adoration. Vous avez suivi le message. Ceci est l’adoration. S’il vous plaît, comprenez cela. C’est maintenant que vous déversez l’adoration de votre coeur pour Christ dans l’amour.
63 Je vois une dame qui continue à apparaître devant moi, ici, ici même. Vous souffrez de la colonne vertébrale; quelque chose cloche dans votre colonne vertébrale. Et vous êtes en train de prier pour quelqu’un; c’est une femme. C’est votre mère; il y a une maladie mentale. C’est vrai. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Maintenant, madame Herd, si vous croyez de tout votre coeur, vous pourrez trouver cela tel que vous croyez. C’est là votre nom, n’est-ce pas? Levez la main si c’est vrai.
64 Vous continuez à bouger la tête, madame, là. Vous pensiez que Cela venait vers vous, mais la Lumière était au-dessus de la dame. Regardez-moi juste une minute. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Croyez-vous, la deuxième dame, là? Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? J’isole juste une seule jusqu’à ce que... Pensez-vous que je me tiendrais ici pour vous dire quelque chose de faux? Vous ne le pensez pas? Eh bien, si vous avez besoin de quoi que ce soit, demandez simplement à Dieu. Et croyez pendant que je... pendant que vous êtes assise si près et que le–l’Ange se tenait à côté de la femme. Maintenant, croyez simplement, et alors que je vous parle comme Jésus avait parlé à la femme, probablement à cette distance-là, jusqu’à ce qu’Il avait découvert ce qu’était son problème. Et si Dieu au Ciel, la première chose... Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? La deuxième dame là. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Vous. Levez la main si nous sommes inconnus.
65 Très bien. Je vois la dame souffrir de l’estomac. Elle a un trouble d’estomac. C’est l’Esprit du Seigneur. Maintenant, le même Dieu qui avait révélé à la femme au puits ce qu’était son problème a révélé là où est votre problème. Et voici autre chose. Je vois que vous souffrez aussi du dos. C’est vrai. C’est tout à fait vrai. Et vous priez pour quelqu’un, et c’est votre mari. Il n’est pas ici. Je peux aussi le voir maintenant. Et si Dieu me révèle ce que votre mari... ce qui cloche chez lui, allez-vous accepter aussi sa guérison? C’est une éruption. C’est vrai. Levez la main. Eh bien, voulez-vous que je vous dise quel est votre nom? Vous êtes madame Wilson. C’est vrai. Très bien, maintenant, croyez simplement de tout votre coeur, vous pouvez avoir ce que vous demandez.
66 Qu’en est-il de la dame à côté? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Qu’en pensez-vous? Croyez-vous que c’est la vérité? Je ne veux pas dire, excusez-moi pour... Je ne veux pas demander que vous m’excusiez. Ce mot prophète achoppe les gens, je vais–je vais dire serviteur. Eh bien, vous souffrez de la colonne vertébrale. C’est tout à fait vrai. Si c’est vrai, levez la main. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Faites signe de la main, comme ceci. Et si je vous disais que vous en êtes guérie maintenant? Elle a cru cela.
67 Et il se fait que cette autre petite dame assise ici à côté d’elle est en train de prier. Qu’en pensez-vous, madame, la petite dame en robe blanche? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu, ou Son serviteur? Si Dieu me révèle ce qu’est votre maladie, allez-vous croire cela? Premièrement, vous êtes très nerveuse. Et autre chose, vous souffrez aussi de la colonne vertébrale. C’est tout à fait vrai. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai, levez la main. Très bien, vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante. Ça fait environ quatre ou cinq dans une rangée.
68 Je vois une dame juste derrière votre tête, juste en train de prier de toutes ses forces. Elle a la main levée comme ceci, une femme avancée en âge, environ d’âge moyen. Qu’en pensez-vous, soeur, est-ce que vous... Oui, vous ici, en train de regarder droit par-dessus la tête de la dame. Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? La raison pour laquelle je dis ceci, c’est qu’Il m’avait dit: «Si tu amènes les gens à te croire», non pas à me croire, moi comme Lui, croire qu’Il m’a envoyé. Si Dieu me dit ce qu’il y a sur votre coeur, ou quelque chose dont moi, je ne sais rien, allez-vous croire de tout votre coeur? Si nous sommes de parfaits inconnus l’un à l’autre, levez la main afin que les gens voient. Très bien. Regardez maintenant de ce côté-ci. Si mon assistance peut seulement voir Cela s’établir sur la femme. Eh bien, pour commencer, elle–elle veut la prière pour quelque chose. Ce sont ses yeux. Elle est en train de perdre la vue. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. C’est pour cela que vous vouliez la prière, n’est-ce pas? Croyez-vous toujours que je suis serviteur de Dieu? Croyez-vous que c’est vrai? Vous portez des lunettes; cherchons autre chose. Regardez ici même vers moi une fois de plus. Vous portez des lunettes. Les gens disent: «Assurément, l’homme peut voir qu’elle portait des lunettes.» Eh bien, regardez de ce côté-ci. Que le Dieu du Ciel nous vienne en aide. Dieu sait que c’est pour Sa gloire.
69 Oui, ça y est. Vous avez un fardeau sur le coeur. Et ce fardeau sur le coeur, c’est... Je vois un, deux, trois, quatre, quatre jeunes gens. Et ces jeunes gens sont rétrogrades. Et vous êtes en train de prier pour leurs âmes. Et c’est votre fillette qui est assise à côté de vous. Et cette enfant a la tête inclinée en prière, et maintenant même cette enfant est en train de prier pour une belle-soeur qui est rétrograde, qui n’est pas sauvée. Est-ce vrai, chérie? Petite fille, lève ta main si c’est vrai, chérie. Très bien. Va trouver cela. Que Dieu t’accorde exactement ce que tu as demandé.
Croyez-vous? «Si tu peux croire, tout est possible.» Mais Il ne peut faire que selon que vous croyez cela. Ça doit être votre foi, votre foi.
70 Tenez, je vois juste la Lumière au-dessus d’un jeune homme qui se tient ici avec un mouchoir à la main, juste ici derrière: toi, fiston. Oui. Crois-tu que le Dieu Tout-puissant a envoyé Son Fils, Jésus-Christ, et qu’Il est mort? Il a promis que les oeuvres qu’Il faisait, nous les ferions aussi? Crois-tu qu’Il m’a envoyé prendre Sa place pour te parler? Très bien. S’Il me révèle, comme Il l’avait fait pour la femme au puits ou pour Nathanaël qui était venu, toi, accepteras-tu donc cela? Toute ta vie tu as souffert de la nervosité, et tu es une personne nerveuse. Tu as toutes sortes de scrupules, des choses et tout. Tu te fais des soucis pour l’avenir et tout, tu es toujours dérangé au sujet de tout. N’est-ce pas vrai?
Je vois même quand tu étais un petit garçon, quand tu étais à l’école, tu avais encore de petites frictions, des choses qui te dérangeaient tout le temps, donc continuellement dérangé. Est-ce vrai? N’est-ce pas? Si c’est vrai, lève la main et agite ton mouchoir là. Très bien. C’est terminé. Tu peux rentrer à la maison et être bien portant. Celui qui a su ce que tu étais quand tu étais un enfant, sait certainement ce que sera le futur. Rentre à la maison, sois tout aussi heureux que possible. Réjouis-toi et sois content.
71 Il y a une petite femme assise juste derrière lui avec sa main levée au niveau de la bouche. Elle est en train de prier. Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu, madame? Si Dieu me révèle ce pour quoi vous priez, allez-vous accepter Jésus comme... pourvoir à ce que vous demandez? Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Levez la main si... Très bien, vous souffrez du coeur. Et si c’est vrai, levez la main. Il y a des palpitations dans votre coeur. Et vous avez cela, surtout après avoir mangé et vous être couchée. Cela étouffe, on dirait autour de votre coeur parfois, et vous avez des palpitations, des dérangements. C’est une maladie de nerfs dans votre coeur qui est à la base de cela. Vous avez un coeur nerveux. Maintenant, croyez-vous que Christ vous a guérie? Si vous croyez, levez la main. Maintenant, rentrez chez vous et soyez donc bien portante, au Nom du Seigneur Jésus.
72 Je défie n’importe quelle foi ici présente de regarder et de croire cela. C’est Jésus-Christ, ce n’est pas un mythe. Il est ici. N’avez-vous pas besoin de Lui? Ne L’aimez-vous pas? Ne croyez-vous pas...
Cet homme assis juste là derrière souffre de la prostatite. Il y a une espèce d’ombre autour de sa tête, il est assis juste là derrière. Si vous croyez, monsieur, en ce moment-ci, vous pouvez avoir votre guérison, si vous acceptez cela. Vous étiez en train de prier pour cela, vous vous réveillez la nuit pour aller dans la salle de bain. Vous savez de quoi je parle. Si vous acceptez cela de tout votre coeur, vous pouvez avoir ce que vous demandez. Très bien.
Qui d’autre aimerait être guéri? Aimeriez-vous être guéri? Levez simplement la main. Maintenant, gardez donc vos mains levées.
73 Miséricordieux Père, pendant que cette Présence magnifique du Seigneur... Je pensais certainement, Seigneur, que Tu le ferais. Si ces pécheurs viennent à Toi, si seulement ils se tordent le coeur plutôt que les mains, plutôt que d’être nerveux et bouleversés, mais juste se tordre simplement le coeur devant Dieu et dire: «Ô Dieu, je crois en Toi. Débarrasse-moi de toute–toute peur et de tout doute», je Te prie, ô Dieu, de guérir chacun d’eux. Partout dans la salle, que chaque personne soit guérie ce soir. Que Ton Saint-Esprit vienne maintenant même et parcoure cette assistance, et guérisse chaque personne malade. Je leur ai clairement dit, Seigneur, que je ne peux pas guérir ni aucun autre homme ne le peut, et Tu as déjà fait cela pour eux, et Tu es ici vivant ce soir, dans la salle, nous confirmant cela, que Tu es Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Et Tu aimes Ton peuple et Tu cherches à ce qu’ils reviennent à la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes. Je Te prie, Père, d’accorder cela ce soir, et que la foi s’ancre suffisamment dans chaque coeur pour leur guérison. Je prie au Nom de Jésus. Amen.
74 Que pensez-vous? Croyez-vous en Lui? Maintenant, vous qui avez levé la main il y a juste quelques minutes, voudriez-vous vous avancer ici juste une minute, pécheurs et autres? J’aimerais prier avec vous ici même. Avancez ici. C’est bien, mon frère, avancez directement ici. J’aimerais vous serrer la main. Que Dieu vous bénisse. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
«Une génération faible et adultère demande des miracles.» Mais croyez-vous que Dieu restituera la vue à ce petit garçon aveugle? Un couteau de poche lui est entré dans les yeux et les a crevés. J’aimerais que vous tous, vous incliniez la tête et que vous fermiez tous les yeux. Maintenant, tournez... que personne, au Nom de Jésus-Christ, ne relève la tête avant que vous entendiez ma voix le dire.
J’ai formé deux lignes de prière, je n’ai rien obtenu dans cela qui pouvait montrer un miracle. Je voudrais simplement que vous... je crois. Je ne sais pas si Dieu le fera ou pas. Je le Lui demande simplement. Mais j’aimerais que vous sachiez que Jésus ne connaît pas seulement les coeurs des hommes, Il guérit les hommes. Maintenant, j’aimerais que tous les yeux soient inclinés, que chaque tête soit inclinée, que chaque coeur soit incliné. Ne relevez pas la tête.
Je sais que parfois vous vous dites: «Que faites-vous, Frère Branham?» Je fais la même chose que Jésus avait faite quand Il avait fait sortir les gens de la maison, quand Il avait guéri la fille de Jaïrus.
75 Le père de ce petit garçon se tient ici, ici présent. Le petit garçon a accepté Christ il y a quelques instants, il s’est avancé et il m’a serré la main. Je l’ai vu tituber contre la paroi. J’ai dit: «Est-il aveugle?» Il a dit: «Oui.» J’ai demandé à l’homme qui l’amenait, il a dit: «Son père vous le dira.» Il est venu là et il s’est crevé les yeux avec un couteau de poche. Eh bien, c’est juste un petit garçon qui ne peut pas exercer beaucoup de foi pour lui-même. Les yeux ont reçu un coup de couteau. Et si c’était votre fils? [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Maintenant, je ne sais pas. Dieu peut ne pas faire cela, mais j’espère qu’Il le fera, afin que ces gens d’Edmonton voient que ce n’est pas moi qui leur dis quelque chose de faux.
76 Maintenant, fiston, j’aimerais que tu poses ta tête sur moi, comme ceci. Veux-tu être un bon garçon maintenant, puisque tu sers... tu viens au Seigneur Jésus? Vas-tu aller à l’école de dimanche et L’adorer, s’Il te fait recouvrer la vue afin que tu puisses encore marcher çà et là? Vas-tu le faire? Tu n’as pas une école de dimanche où aller? Honte à cette contrée. Tu as reçu un Jésus qui viendra à toi, chéri. Inclinons.
Maintenant, Seigneur, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, ce tendre petit garçon, il a frappé mon coeur quand je l’ai vu se cogner contre un endroit là en bas. Il est aveugle. Ô Dieu, ce pauvre petit garçon, ne le laisse pas rester ainsi, ô Dieu. Toi seul peux faire voir les aveugles. Quatre ans maintenant... Donne-lui sa vue, Dieu bien-aimé.
77 Je suis venu à Edmonton juste par Ta volonté, croyant que Tu m’as envoyé ici. Ô Dieu, exauce la prière de–de Ton serviteur dans cette église, alors que nous prions maintenant. Et si nous avons trouvé grâce à Tes yeux, nous Te prions de nous accorder ce miracle ce soir. Et si nous sommes en erreur en demandant cela, pardonne-nous, Seigneur. Nous n’en avons pas l’intention. Nous ne cherchons pas de miracles, car Tu as dit: «Une génération faible et adultère demande de telles choses», et le miracle qui leur sera donné, ce sera la résurrection. Et nous avons vu ce miracle soirée après soirée. Mais, Seigneur, c’est Toi qui as touché les yeux de l’homme, et il a pu voir. Tu as dit: «Quand l’esprit de cécité a quitté ses yeux, l’esprit de surdité a quitté ses oreilles...» Je Te prie, Père céleste, de faire voir ces yeux poignardés, que d’une façon ou d’une autre le grand Créateur des cieux et de la terre accomplisse un miracle ici. Ta Parole est en jeu, Seigneur. Et je Te prie, si nous avons trouvé grâce à Tes yeux, de restaurer la vue aux yeux de ce petit garçon aveugle. Au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, je demande que cette bénédiction arrive maintenant pour la gloire de Dieu.
78 Que tous gardent la tête inclinée. Que personne ne regarde, s’il vous plaît, jusqu’à ce que vous m’entendiez le dire. Maintenant, fiston, j’aimerais que tu relèves... gardes tes paupières fermées, relèves la tête. Maintenant, j’aimerais que tu me regardes. Peux-tu me voir? Peux-tu voir mon doigt? Vois-tu ma main? Est-ce que j’ai... Qu’est-ce que j’ai, ai-je un doigt levé? Peux-tu toucher mon nez? Peux-tu voir mon nez? Vois si tu peux toucher mon nez, lève ton doigt. Tu y es. Lève les yeux ici et vois si cela... à quoi ça ressemble. Une lampe? Peux-tu les compter?
Maintenant, relevez la tête. La vue a été restaurée aux yeux du petit garçon. Désigne ces lampes, fiston, montre-leur que tu peux voir ces lampes. Désigne ici, montre-leur ces deux ici, ici de cet autre côté et en haut de ce côté ici. Amen. Maintenant, regarde ici. Montre-leur que tu peux toucher mon nez ici. Montre-le-leur. Etends ta main ici et touche. Disons: «Gloire à Dieu !»
79 Maintenant, Père, ramenez-le à la maison. A la fin de cette réunion, si vous êtes toujours dans la réunion, ramenez-le ici et montrez-nous ce qu’il peut voir. Que Dieu vous bénisse. Louons Dieu, tout le monde. Croyez-vous que Jésus vit?
Sauveur, Sauveur,
Ecoute mon humble cri,
Pendant que Tu appelles les autres,
Oh ! ne m’oublie pas.
Eh bien, le petit garçon était juste ici un exemple. J’ai attendu un peu. Evidemment, tant qu’il se tenait si près et que l’onction était sur lui, ses yeux étaient tenus de voir. Je n’ai jamais demandé quelque chose de ma vie sans que cela arrive ou quelque chose comme cela. Pourquoi? Eh bien, je crois que la vue du petit garçon continuera à lui revenir afin que vous voyiez, nous n’avons pas...
80 C’est censé être déjà terminé ici, je pense, à vingt et une heures trente, si nous le pouvons. Et nous avons de loin dépassé le temps. Et nous remercions tout le monde, leurs concierges et tout de nous avoir permis de dépasser le temps et tout. Et nous dépassons le temps pratiquement chaque soir.
81 Il y a ici un groupe de gens qui se repentent, ils sont debout à cet autel. Que Dieu vous bénisse, mes chers amis. Que Jésus-Christ soit miséricordieux envers vous. Le même Jésus ici, qui connaît toutes choses, vous connaît, Il peut tout faire. Croyez-vous cela? Inclinons donc la tête pendant que nous L’adorons. Demandez-Lui, repentez-vous, chacun de vous. Demandez-Lui de vous pardonner vos péchés. Demandez-Lui de vous introduire dans Sa Présence bénie.
Et maintenant, j’aimerais que les ministres de la ville s’avancent et se tiennent autour de ces gens qui se repentent. Les ministres de cette ville-ci, et des autres villes aussi, venez ici et tenez-vous autour de ces gens qui se repentent comme ceci pendant que nous prions.
82 Nous aimerions que vous les invitiez dans votre église. Quelle que soit l’église à laquelle vous appartenez, nous aimerions que vous veniez ici et que vous disiez à ces gens que vous aimeriez qu’ils viennent à votre église. Et vous savez où ils sont, et s’ils sont dans votre district ou quelque part, nous aimerions que ces gens aient une église où ils se sentent à l’aise. S’ils n’ont jamais été baptisés, nous aimerions que vous les baptisiez dans l’eau, car c’est ce qu’ils sont censés faire. C’est l’Evangile. «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» C’est dans Actes 2.38-39. Très bien. La commission est toujours valable pour quiconque se repent et se fait baptiser; ses péchés seront pardonnés. Dieu l’a dit.
83 Maintenant, j’aimerais que chacun de vous, vous les frères prédicateurs, que vous vouliez bien vous avancer ici... Maintenant, inclinons la tête, tout le monde, pendant que nous prions pour ces gens. Vous les prédicateurs, imposez-leur les mains pendant qu’ils se tiennent là. Que tout celui qui s’intéresse aux âmes perdues...
Père céleste, par l’oeuvre du Saint-Esprit ce soir, nous avons fait longtemps ici, mais, ô Dieu, nous avons une éternité devant nous. Et nous sommes heureux de savoir que ces gens sont venus prendre position et recevoir leurs tickets, pour ainsi dire, afin de traverser la mer un de ces jours. Ce soir, Tu as parlé à leurs coeurs, et ils se sont avancés ici humblement, beaucoup d’entre eux, et ils se tiennent à l’autel. Ils T’abandonnent leur vie.
84 Ô Dieu, Toi qui connais les secrets du coeur, Tu sais ce qu’il y a dans chacun d’eux. Et je Te prie, Père céleste, de les aimer dans Ton sein. Accorde-le, Seigneur. Nous savons qu’ils ne pouvaient pas se lever de leur siège par leur propre force, car ils n’en ont pas. Le corps sans esprit est totalement mort. Et l’esprit a pris la décision face à l’appel de Dieu, ils se sont avancés maintenant pour confesser cette décision qu’ils ont prise. Ils ont choisi Jésus comme leur Sauveur.
Ô Jéhovah, Tu les Lui as confiés. Ils sont des offrandes d’amour de Ta part. Et moi, en tant que Ton serviteur, je les Lui présente comme les fruits de ce message, au Nom du Seigneur Jésus. Je Te prie, Eternel Père béni, de les garder dans une paix parfaite. Qu’aucun mal ni qu’aucun danger ne leur arrive.
85 Et que tout celui qui se tient ici malade, ou estropié, ou affligé, que cela puisse le quitter en ce moment-ci, comme ils ont confessé leurs péchés et qu’ils ont cru en Jésus, Qui est présent maintenant. Il a confirmé qu’Il est présent par Sa grande manifestation, celle de Son Esprit, et nous Te demandons maintenant de leur pardonner toutes leurs offenses. Tu as dit dans Ta Parole: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Quel miracle ! Il y a quelques minutes, c’étaient des pécheurs morts, maintenant, ils sont ressuscités par le Seigneur Jésus. Avant que le monde soit donc formé, Tu les avais prédestinés à la Vie Eternelle; et ce soir, ils sont venus accepter Cela dans la Présence de Jésus ressuscité.
86 Un jour, si Tu tardes, sans doute que leurs corps seront enterrés quelque part ici; mais en ce grand et remarquable jour que nous attendons depuis six mille ans, Jésus viendra, et les morts en Christ ressusciteront. Nous serons enlevés ensemble pour aller à Sa rencontre dans les airs. Quel jour ce sera ! Puissent-ils dire comme David: «Que mon âme repose dans l’espérance. Car Tu ne permettras pas que Ton saint voie la corruption, ni que son âme reste dans le séjour des morts.» Un glorieux jour, puisque Jésus est ressuscité, nous aussi, nous apparaîtrons à Sa ressemblance.
Garde-les dans une paix parfaite avec cette foi, Seigneur. Leurs vieilles et précieuses mères et leurs vieux et précieux pères, beaucoup d’entre eux sont allés de l’autre côté, certains d’entre eux avaient offert la prière. Et s’il y a ce soir une chose telle qu’ils peuvent être conscients, savoir, qu’ils sachent que leur enfant errant est revenu à la maison. Que les anges en rendent témoignage. Nous savons que les drapeaux noirs de l’enfer ont été vaincus ce soir par l’Evangile, et les drapeaux blancs du Ciel et les anges se réjouissent parce que les pécheurs sont rentrés à la maison. Dieu a été rendu manifeste. Je Te les donne maintenant pour la Vie Eternelle comme Tu l’as promis. Et Tu as dit: «Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et les saints anges.» Accorde cette bénédiction au Nom de Jésus.
87 Maintenant, vous qui êtes ici à l’autel, qui êtes debout ici, si vous croyez vraiment et humblement que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, et que vous L’acceptiez comme votre Sauveur personnel, tournez-vous directement vers l’assistance en guise de témoignage que vous croyez que Jésus est ici et qu’Il pardonne chaque péché. Tournez-vous directement vers l’assistance. J’aimerais que toute l’assistance, au balcon et tous, lèvent la main d’association, afin que vous les accueilliez dans la communion dans le Corps du Seigneur Jésus. Oh ! Quel merveilleux moment !
Serrez maintenant la main, dans une minute (aussitôt la réunion congédiée), à ces ministres. Trouvez-vous une bonne église où vous vous sentez à l’aise, et restez là jusqu’à ce que Jésus vienne. Maintenant même, nous allons demander aux gens de venir serrer la main à ceux-ci juste dans un instant. Avant cela, je demande à notre bon pasteur, frère Rasmussen, de venir au microphone ici pour congédier l’église en ce moment-ci. Que Dieu vous bénisse.