L’Aveugle Bartimée
1 Vous pouvez vous asseoir. Je n’ai pas eu l’occasion de voir l’homme qui a chanté ce chant. Ça a été du très bon travail de toute façon. Merci. C’est mon cantique favori. Je pense que vous en connaissez l’auteur, monsieur Clibborn, Booth-Clibborn? Oui, oui. C’était merveilleux. Combien ont apprécié ce cantique-là? Oh ! C’était vraiment... Ça vient après Crois seulement. Celui-là en était un.
Je pensais à certains de mes amis juste à mon arrivée, monsieur et madame Doble. Je m’informais sur le petit enfant. Il y a dix ans, quand j’étais ici, le Seigneur m’avait donné une vision, je l’avais vue porter un bébé, un garçon dans ses bras. Et elle était tombée malade.
Et des années s’écoulèrent, mais le petit garçon est ici maintenant. Ainsi donc, elle était là derrière. Nous... Je les ai rencontrés juste derrière l’estrade. Et mon petit garçon Joseph s’est avancé pour la rencontrer en ce moment-là même. Et ils ont passé un petit moment de communion.
2 Et frère Bosworth, le vieux gentleman, vous le connaissez, il avait l’habitude de... Il avait un sens très avancé de l’humour. Il disait: «Frère Branham, savez-vous ce que c’est la communion?»
Je disais: «Eh bien, je pense que oui.»
Il disait: «Ce sont deux compagnons [fellows] dans un seul bateau [ship] qui communient.» C’est à peu près vrai, une communion baptiste restreinte.
Et aussi, il y a eu des plaintes au sujet de ce qu’on parle sans vibration, ou quelque chose ou l’autre, là derrière, mais je... On disait que ce soir, cela a été dégagé. Le son est-il bon, c’est mieux là derrière ce soir? Entendez-vous mieux tout au fond? Si vous entendez, levez la main, si vous entendez très bien. C’est bien. Magnifique. C’est bien.
3 Le... Demain après-midi, il y aura un... Ce soir, excusez-moi, ce soir, nous avons fait une promesse... C’est la raison pour laquelle j’ai pu arriver sans être sous l’onction et tout, et et.-.et vous parler un petit moment. Nous avons consacré la soirée de vendredi donc...
Au mieux de nos calculs avec les prédicateurs ici, on a évalué environ, entre sept et huit cents... ont accepté Jésus-Christ comme Sauveur depuis que nous sommes dans la ville. Ainsi donc, pour ça, nous sommes très contents.
Ce que nous essayons de faire, c’est d’avoir foi pour trouver grâce aux yeux de Dieu. Et puis, si nous pouvons placer les premières choses en premier lieu, alors nous pensons que Dieu nous accordera la faveur donc pour les deux ou trois prochaines soirées, pour de grands services de guérison. Nous croyons qu’Il le fera. Evidemment, nous demandons toujours aux pécheurs de venir à Christ. Ainsi donc, le...
4 Monsieur Mercier ici, l’un de mes associés chargé de l’enregistrement des bandes, lui et monsieur Goad, me dit que les livres sont épuisés, mais ils recevront des commandes si vous en voulez. Et ils vous seront envoyés. Nous n’avons apporté que quelques exemplaires, et nous avons eu à les distribuer entre Tacoma et ici. Ils recevront donc les commandes entre temps, mais ils...
Je ne pense pas que vous ayez des livres. Est-ce vrai, Léo? Ils n’ont pas de livres, mais vous avez encore des bandes et quelques photos qui sont restées, est-ce vrai? Juste quelques photos qui sont restées.
Eh bien, je ne... comme je l’ai dit au début des réunions, je ne... Je ne suis pas un vendeur de livres. J’achète ces livres auprès de monsieur Lindsay. Je les reçois avec une réduction de quarante pour cent. Eh bien, je... Le temps de parcourir le pays avec, les pertes, et puis nous ne... au Canada, nous n’avons jamais mis un prix là-dessus. Nous les exposons simplement là dehors. Je sais ce que cela était censé... ce que cela nous coûte. Mais si les gens en veulent et que les moyens leur font défaut pour en acheter, qu’ils en prennent de toute façon. Nous vous les donnons. Ainsi donc, nous...
5 Et ces photos appartiennent au Studio Doudy... Douglas, à Houston, au Texas, et c’est protégé par un droit d’auteur. Un membre de l’American Photographers Association... Et il y en a une accrochée au musée des arts religieux à Washington, D.C. Et il est écrit là en dessous: «L’unique Être Surnaturel jamais photographié, preuve scientifique à l’appui.» L’unique Être Surnaturel qui ait jamais été prouvé scientifiquement...
Ainsi donc, c’est juste quelque chose, de petits–de petits signes de la réunion. Je ne–je ne sais pas ce qu’ils–ce qu’ils paient même pour cela une fois qu’ils les reçoivent. Mais quoi que ce soit donc, c’est ce que vous recevez en contrepartie qui compte. Ainsi donc, ce n’est pas à nous. Cela retourne directement au Studio. Voyez-vous?
6 Ainsi, nous–nous ne... Ils sont protégés par un droit d’auteur. Et nous les apportons simplement, nous ne vendons pas des livres ni ne faisons des choses. Nous sommes ici... Nous n’aimerions pas que votre... Nous disons: «Ecrivez-nous.» Nous ne voulons pas avoir votre adresse afin de pouvoir vous demander de supporter quelque chose. Nous n’avons rien à supporter. Tout ce avec quoi vous pouvez me supporter, ce sont vos prières. C’est tout.
Je n’ai pas d’émissions à la radio, pas d’émissions télévisées, j’ai juste un petit bureau là avec... Et nous expédions du courrier avec beaucoup de mouchoirs et autres à travers le monde chaque jour. Et cela... Mes dépenses journalières s’élèvent à environ soixante-quinze à cent dollars. C’est une année à la maison. Ainsi donc, juste assez pour que j’aie à rester sur le champ de travail tout le temps.
7 Quelqu’un ici, il y a quelque temps, m’avait offert une très grosse offrande de plusieurs milliers de dollars. J’avais refusé de la prendre. J’ai dit: «Je n’en ai pas besoin. Donnez simplement cela aux missions à l’étranger.» Et je... le Seigneur pourvoira pour moi au fil des jours. C’est ainsi que j’aimerais vivre, juste au jour le jour. Je ne me soucie pas du lendemain. Il en prend soin pour moi aussitôt qu’on y sera. Mais j’ai juste à vivre aujourd’hui.
Eh bien, ce soir, nous allons prier pour chaque personne qui a une carte de prière, ce soir. Et puis, demain après-midi, monsieur Rasmussen, un ancien pasteur de cette ville, un homme que j’ai appris à aimer d’un vrai amour chrétien et avec respect... Et je sais que tous ceux qui connaissent frère Rasmussen disent la même chose. Il parle ici chaque après-midi.
Et puis, demain soir... Billy dit que les gens ne sont pas ici pour qu’on leur distribue des cartes de prière assez quand il arrive ici. Nous n’aimerions pas faire des interférences avec d’autres services. Ainsi, demain après-midi, on distribuera des cartes de prière après quatorze heures, demain après-midi, ici à l’auditorium, et peut-être le dimanche, la clôture, aussi.
8 Eh bien, j’espère, s’il y a quelqu’un ici qui ne comprend pas l’anglais, eh bien, que quelqu’un assis à côté de lui interprétera. Demain après-midi à quatorze heures. Je pense que c’est à ce moment-là que le service commence, n’est-ce pas? Demain après-midi à quatorze heures. Et on distribuera des cartes de prière ici au service de l’après-midi. Mais alors, quand vous recevez une carte, revenez afin qu’on puisse prier pour vous, car demain après-midi, elles seront appelées.
Et puis, nous allons essayer, par la grâce de Dieu donc, comme on a l’impression que nous avons trouvé grâce à Ses yeux de consacrer ces autres soirées à la prière pour les malades, pour tout le monde. Nous avons environ deux ou trois cents cartes de prière, me dit-on, ici ce soir.
9 Nous aimerions donc prendre notre temps pour juste vous parler juste un court instant de la Parole, sur... nous allons donc parler de la guérison divine, comment accepter cela. Monsieur Rasmussen fera des exposés là-dessus, comment accepter votre guérison.
Et maintenant, ce soir, j’aimerais lire, juste un court passage dans Saint Luc, chapitre 19, verset 42.
Et Jésus lui dit: Recouvre ta vue. Ta foi t’a sauvé.
10 Remarquez ce terme-là, tel que c’est écrit: «Ta foi t’a sauvé.» Eh bien, il y a des érudits ici. Je n’en suis pas un. Mais quand je tombe sur un mot, je retourne à mon grec pour le consulter. Eh bien, ce mot-là, en grec, c’est Sozo. Donc, le mot sauvé ou salut, c’est Sozo. C’est le même mot pour la guérison. Sozo veut dire qu’on est physiquement sauvé ou spirituellement sauvé.
Tous les deux mots s’y appliquent, car c’était par la même expiation, le même Homme, le même jour: «Il était blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Voyez?
Donc, notre scène commence ce soir... Et juste pendant un court instant... afin que nous ayons le temps de faire passer la ligne de prière. Notre scène commence à la porte sud de Jéricho. Et celui que nous voyons, c’est un mendiant. Il est bien devenu un homme d’âge moyen ou un peu plus. Et tournons nos pensées vers lui pendant quelques instants et apprenons par son geste ce que nous devrions faire ce soir quand nous viendrons dans la ligne.
11 Maintenant, c’était à l’époque où les–les Juifs étaient tous redevables d’un impôt lourd de par le gouvernement romain, et les temps étaient très difficiles. Et il y avait plusieurs mendiants dans la ville, à Jérusalem, dans toute la Judée, et plusieurs affligés qui n’arrivaient pas à subvenir à leurs besoins en travaillant dans les champs. Ils étaient estropiés, aveugles, lépreux. Oh ! Quelle scène...
Je me demande s’il y a quelqu’un ici qui a déjà vu la lèpre. Faites voir les mains s’il y en a. Je ne vois même pas une main de quelqu’un qui a déjà vu la lèpre. Eh bien, j’ai étreint des lépreux dans mes bras. Et je pensais que c’était contagieux, mais elle ne l’est pas. La lèpre est causée par une insuffisance alimentaire. Et elle n’est pas contagieuse.
J’ai eu des lépreux qui n’avaient pas de mains, aux oreilles rongées, et ils se tenaient bien là et je les étreignais. Et ils pleuraient. Là en Afrique, en Inde, à divers endroits où il y a beaucoup de lèpre.
12 Et un jour, quand nous étions à Bombay, j’observais un homme. Le peuple américain m’avait donné de l’argent à donner aux pauvres. J’aime vraiment faire ce genre de choses. Je changeais cela en roupies. Je m’engageais dans la rue pour en distribuer aux mendiants, aux pauvres, et on avait pratiquement eu à chercher la milice pour me ramener, tellement on se ruait sur moi.
Et toute la nuit, comme ils avaient appris que j’avais de l’argent et que je restais au Motel Taj, ou l’hôtel, c’était aux portes de l’Inde, je pouvais les entendre hurler: «Padre ! Padre !», toute la nuit. Eh bien, ce n’est pas un mot indien. Padre veut en fait dire père en espagnol. Mais on parle un peu l’espagnol là.
13 Et ils étaient toute la nuit... Je n’arrivais pas à manger. J’allais à la fenêtre. Et j’aimerais vous demander, à vous les Canadiens, et je vois combien vous êtes reconnaissants à Dieu pour votre merveilleuse nation ici.
Et là, ils étaient couchés dans des rues, des petits enfants aux petits ventres bedonnants, comme cela, mourant, crevant de faim. De petites mères tenant leurs petits enfants, et leurs visages avec leurs mâchoires tout enflés, des hommes parcourant les rues, avec rien qu’un pagne. De petits singes crevant de faim, à moitié, les suivaient. Ils étaient couchés dans la rue comme du bois.
Une fois morts la nuit, on les ramassait, on allait avec à un grand four. Non, la cérémonie de Jean 14, on les déposait juste là-dedans. Ils ne savent pas qui ils sont ni d’où ils viennent. Ils mouraient simplement dans la rue. Ils sont des mendiants, c’est tout.
Vous ne savez combien apprécier une bonne nation comme celle dans laquelle vous vivez. C’est vrai. Vous les Canadiens... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Et je pense que, malgré cela, nous devrions essayer de soutenir ces nations par la prière, faire tout notre possible pour conserver cela comme ça.
14 Oh ! Quel tableau pitoyable, voir des lépreux et des mendiants ! Et je... Ce que je voulais dire, c’est qu’il y avait un homme qui courait par là, nous prenions ces roupies et nous les leur jetions par la fenêtre. Et alors, ils pouvaient... Il y avait là un manchot, la lèpre lui avait rongés les bras. Et c’était devenu blanc on dirait des verrues, et cela tombe simplement, leurs bras et que sais-je encore.
J’ai dit à Billy, mon fils, j’ai dit: «Comment cet homme peut-il jamais ramasser une roupie? Il est donc descendu pour l’observer à la porte. Il est sorti. Il est descendu à une autre partie de l’hôtel, il s’est mis à leur jeter les–les roupies là par terre. Et aussitôt qu’ils reçoivent ça, ils contournent le coin où ils pourront se procurer quelques caris.
15 Eh bien, une roupie, ça fait vingt-quatre cents. Et avec ça, ils pourraient–pourraient subsister deux ou trois jours, vingt-quatre cents. Il faut environ trois cents pour avoir un petit plat de cari. Et ce plat-là consistait en des pieds de brebis bouillis, avec ses poils, et–et tout, et de petits... Oh ! C’était terrible. On parcourt la rue avec des doigts dans le nez.
Et puis–puis, les marchés des esclaves, là où on prenait des jeunes filles. On amenait des belles jeunes filles là et on les vendait aux enchères comme on vendrait une vache ou quelque chose comme cela. Vous ne savez pas ce que ça représente que de vivre dans une nation qui a encore de la considération pour Dieu.
16 Et je... Billy a amené ces gens tout en bas dans cette direction, tous les autres. Et j’ai fait signe à ce manchot, j’ai jeté une roupie là quand les autres ne voyaient pas, ça tournoyait par terre. Savez-vous comment il a ramassé cela? Il a léché cela avec sa langue dans cette saleté-là, dans une rue sale. Et il a contourné le coin, criant à tue-tête, pour s’acheter quelque chose à manger.
Et de penser qu’on a ramassé dans votre poubelle ce soir assez de nourriture pour les nourrir ! C’est vrai. Nous ne sommes pas assez reconnaissants.
Et à l’époque qui se rapporte au texte que nous venons de lire ce soir, il y avait des scènes identiques que notre Seigneur avait vues. Et aussi, un mendiant en ces jours spéciaux, où les taxes et autres étaient trop élevés, quand un homme sortait pour aller au travail, il pouvait peut-être disposer d’une pièce d’argent par jour. Et le premier mendiant qu’il rencontrait, eh bien, c’était le–c’était le chançard. Il ne pouvait peut-être pas donner deux pièces de monnaie par jour. Et il y avait des centaines de mendiants.
17 Et représentons-nous ce soir que notre personnage dont nous parlons, Bartimée, était là, et c’était une mauvaise matinée. Il n’avait trouvé personne qui pouvait lui donner une pièce de monnaie. Et c’était un matin froid d’octobre, il s’était donc drapé dans son manteau en lambeaux. Il tremblotait, et il a cherché son chemin de retour à tâtons jusqu’à toucher le mur. Puis, il s’est assis à côté de ce mur.
Et sous un soleil chaud, alors que cela commençait à se réchauffer, il s’est mis à réfléchir, à méditer. Aimez-vous faire cela? Moi oui. Se mettre seul à l’écart quelque part, s’asseoir, et méditer sur tout cela.
18 Et pendant qu’il était assis là, méditant, il entend un petit bruit sec de sabots parcourir la rue, une vieille rue pavée qui passait par là, qui existait là depuis plusieurs, plusieurs années. Et ce petit bruit sec, il l’a reconnu, c’était quelqu’un qui approchait; alors il s’est levé, il a dit: «S’il vous plaît, donnez-moi une pièce de monnaie ce matin. Je suis aveugle.»
Et il s’est pratiquement cogné au petit âne en titubant. Et celui qui était sur l’âne a dit: «Va de côté, mendiant, je suis en route vers la ville. Je suis serviteur de l’Eternel. Il y a un Fanatique qui arrive aujourd’hui en ville. Et nous devons tenir un conseil des églises pour arrêter cette histoire avant qu’elle entre donc dans la ville. Et je suis maintenant en route pour veiller à ce que cela soit arrêté. Je n’ai pas le temps à perdre avec un mendiant, mets-toi donc de côté.»
19 Il s’avère que c’était un sacrificateur. Et il a dit: «Ô serviteur de l’Eternel, a dit l’aveugle, je ne voulais pas vous déranger alors que vous exécutez votre commission pour Dieu. Je regrette de vous avoir arrêté. Mais quel est ce Fanatique qui vient?»
«Oh ! C’est cet Homme qui est un Guérisseur divin par là, le Prophète de Galilée, comme Il se dit. Et Il est en route vers ici. Et c’est moi le chef de l’association des prédicateurs, je dois donc veiller à ce que rien de cette sottise ne se répande dans notre ville, par ici. Je suis donc en route. Mets-toi de côté, mendiant.» Et il continue.
Alors, il rentre sous le soleil chaud et s’assoit de nouveau. Là, il commence à avoir une autre pensée. Un Prophète galiléen doit venir dans cette ville, un Guérisseur. Eh bien, alors il se met à rêvasser. Vous savez, son esprit remonte à plusieurs années avant cela quand il était un petit garçon juif aux cheveux noirs, qu’il avait l’habitude de jouer sur les flancs de la colline de la rivière Jourdain.
20 Et un de ses plus grands plaisirs, c’était d’y aller l’après-midi avant le temps de la sieste, et laisser sa maman le prendre dans ses bras. Et comment il regardait ces gros yeux doux de sa maman, alors qu’elle passait la main dans sa petite chevelure noire, dégageant cela de ses yeux, et elle se mettait à lui raconter les histoires bibliques.
Vous savez, il y a quelque chose dans le fait d’élever un enfant dans la voie qu’il doit suivre. Enseignez-lui la chose correcte, et une fois devenu grand, il ne s’en détournera pas.
Et il se rappelait les histoires que sa maman lui racontait sur le Grand Jéhovah puissant, comment Jéhovah faisait retentir Sa voix en des temps d’épreuve pour changer des situations.
21 Combien il aimait entendre surtout cette histoire d’Elie, le prophète, comment cet Elie était entré et avait posé son corps sur celui d’un petit enfant mort. Et ce prophète était tellement oint que le petit enfant était revenu à la vie. Oh ! Cela ravissait simplement son coeur.
22 Et cela ravit le mien. Je peux me souvenir de l’histoire, quand la femme sunamite avait été gentille envers cet homme de Dieu. Elle n’avait pas fait cela pour recevoir quoi que ce soit, mais vous ne pouvez pas vous empêcher de recevoir une récompense lorsque vous êtes bon envers les enfants de Dieu: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, si vous donnez à l’un de ces petits enfants un verre d’eau, vous ne perdrez pas votre récompense.»
Soyez donc gentils les uns envers les autres. Si le tonneau de farine est vide dans cette maison-là, apportez-y quelque chose. Soyez gentils. Si la veuve a besoin de charbons, achetez-en pour elle. Dieu vous bénira pour cela.
23 Ainsi donc, pour avoir témoigné toute la gentillesse, la Sunamite avait construit une petite chambre à côté pour le prophète, afin qu’il dorme. Alors, le prophète a dit: «Va voir si elle veut que je parle au roi en sa faveur.»
Elle a dit: «Non.» Elle habitait parmi son peuple, et tout allait bien.
Mais Guéhazi a dit: «Elle n’a pas d’enfants.» Et Elie l’a bénie, a prié pour elle, et elle a reçu un enfant. Quand l’enfant avait atteint environ douze ans, je pense que le petit garçon doit avoir attrapé une insolation. Il était là dehors dans le champ avec son papa au temps de la moisson, il s’est mis à crier: «Ma tête, ma tête.»
Et un jeune homme l’a amené à sa maman. Et elle l’a posé sur les genoux et, vers midi, il est mort. Et maintenant, écartons-nous un instant de notre texte. J’aimerais vous faire remarquer la brave foi de cette femme. Elle a pris le petit enfant et l’a couché sur le lit d’Elie. C’est un bon endroit où le coucher, sur le lit où s’était couché le prophète, là où une maison, là où un foyer, là où les prières avaient été offertes. C’est le lieu où aller.
24 Et elle a dit à son serviteur: «Selle-moi l’un de ces ânes, et ne t’arrête pas à moins que je te l’ordonne; va directement auprès du prophète.» Eh bien, elle savait que si elle pouvait arriver auprès du prophète, elle découvrirait pourquoi son enfant était mort.
Eh bien, Dieu ne dit pas toujours à Ses prophètes tout ce qu’Il fait. Il dit à Ses prophètes juste ce qu’Il veut qu’ils sachent. Alors, Elie a regardé sur la route depuis sa caverne, et il a dit: «Voici venir la Sunamite. Elle est triste dans son coeur. Et Dieu me l’a caché. Je ne sais ce qui cloche chez elle.» Alors, quand elle s’est approchée, il a demandé: «Te portes-tu bien? Ton mari se porte-t-il bien? Ton enfant se porte-t-il bien?»
Maintenant, écoutez, maman, cette femme-là avec un enfant couché là mort dans la chambre, elle a dit: «Tout va bien.» J’aime ça. Voyez? Elisée était le représentant de Dieu sur la terre en ce temps-là. Et elle savait que si elle pouvait arriver auprès du serviteur de Dieu, elle pouvait... Elle ne pensait pas à son enfant derrière, elle n’avait aucune idée de lui. Mais elle savait qu’elle découvrirait probablement. Cet homme pouvait demander à Dieu, et Dieu lui parlerait pour lui dire pourquoi l’enfant avait été retiré.
25 Et elle a dit: «Tout va bien.» Et alors, elle s’est mise à lui révéler ce qui était arrivé. Eh bien, Elie a dit: «Prends ce bâton, cours devant moi et pose-le sur l’enfant.»
L’autre soir, je disais que je pense que c’est de là que Paul avait tiré le fait d’appliquer les mouchoirs. Elisée savait que ce qu’il avait touché était béni. Il était oint du Saint-Esprit. C’est la raison pour laquelle nous imposons les mains aux malades.
26 Eh bien, mais qu’est-ce qui est arrivé? La foi de la femme n’était pas dans le bâton. Elle était dans le prophète. Alors, elle a dit: «L’Eternel est vivant, et ton âme est vivante, je ne te quitterai pas.» Il n’y avait donc qu’une seule chose à faire pour le prophète, c’était se ceindre les reins et se mettre en route avec elle. J’aime ça. S’accrocher à cela. Quand vous êtes convaincu que vous êtes dans le vrai, accrochez-vous-y.
Et elle... Le prophète est allé de l’avant. Et le jeune homme a pris le bâton, l’a déposé sur l’enfant, mais pas de vie. Il les a rencontrés sur son chemin de retour. Elie est entré dans la chambre, sans savoir quoi faire. Mais il faisait les cent pas, çà et là dans la pièce, priant, et il est allé et a placé son corps sur ce petit enfant mort, ses lèvres sur ses lèvres, son nez sur son nez. Et l’enfant a éternué sept fois, et il est revenu à la vie.
Oh ! Combien le petit Bartimée aimait cette histoire-là ! Aimes-tu cette histoire-là, toi la petite fille blonde assise ici? Très bien. C’est une belle histoire. Et c’est ce que Dieu est jusqu’aujourd’hui. Crois-tu cela, petit garçon assis là? Crois-tu? C’est bon. Oh ! Ce sont de belles histoires. Et elles sont la vérité.
Et le petit Bartimée, combien il aimait cette histoire-là ! Mais, oh ! vous savez quoi? Le prédicateur disait que ces jours-là étaient tous passés, que Dieu ne faisait plus cela. Mais combien ces sacrificateurs étaient en erreur ! Dieu ne change jamais. Il est juste le même tout le temps, Il ne change jamais. Il est toujours le Dieu Tout-Puissant. Et s’Il ne peut pas faire toutes choses, alors Il n’est pas le Dieu Tout-Puissant. Et s’Il est le Dieu Tout-Puissant, Il peut tout faire.
27 Ainsi donc, il est arrivé que le petit Bartimée a alors pensé à une autre histoire qu’il aimait vraiment bien. Et à pas plus de cinq cents yards [418 m] de là où il était assis, une fois, le large Jourdain, au mois d’avril, alors que sur les collines de Judée la neige s’était fondue, tous les champs étaient inondés d’eau. Le moment le plus fort pour des inondations, les grosses vagues boueuses descendaient des montagnes de Judée, parcourant les plaines. Et le Jourdain était en crue, et sa taille avait plusieurs fois augmenté.
Mais juste à ce moment-là, Israël est arrivé de l’autre côté. Voyez-vous? Dieu leur avait fait une promesse de ce côté-ci. Ils étaient en route pour réclamer cette promesse-là. Et tout ce qui faisait obstacle sur la voie de la promesse de Dieu devait céder, peu importe que ça soit le plus mauvais temps, ou une espèce de pire maladie, ou combien cela paraît noir de boue, tout cédait à la promesse de Dieu. Certainement.
28 Et combien il aimait écouter sa mère raconter comment l’éclair avait jailli, et ce grand Jourdain avait reculé, s’était tenu calme jusqu’à ce que deux millions d’Israélites aient traversé à pied. Oh ! Cela faisait que son petit coeur, il dormait pratiquement, il secouait la tête et disait: «Maman, raconte-moi une autre histoire.»
Puis, il s’est aussi rappelé qu’il s’était passé un grand événement, pas à cent cinquante yards [125,4 m] de là où il était. Et juste, à moins de vingt yards [16,7 m] de là où il était assis, au bas de cette même route, sur ces mêmes vieilles routes pavées, environ quatre cents ans avant cela, le très puissant prophète Elie et Elisée descendaient cette route bras dessus bras dessous, se dirigeant vers le Jourdain pour l’ouvrir encore.
29 Pourquoi? S’ouvrirait-il encore? Dieu reste le même. Ainsi donc, il pensait: «Oh ! Si seulement j’avais vécu à l’époque ! Si seulement j’étais assis ici, aveugle !» Il s’est ensuite gratté la tête et il a dit: «Pourquoi est-ce que je pense à ces choses, depuis que ce sacrificateur a parlé du Prophète de Galilée? Mais d’une façon ou d’une autre, je–je commence à penser différemment. Je n’ai pas pensé à ces histoires ça fait des années.» Quelque chose était sur le point d’arriver.
Et quand quelque chose en vous commence à désirer et à chercher Dieu, quelque chose est sur le point d’arriver. Dieu sait bien tout disposer pour Sa scène.
Nous voyons donc que dès qu’il se met à penser: «Si j’étais assis ici quand Elisée...» Généralement, Dieu a un seul prophète majeur à la fois. Et Elisée descendait à la rivière pour porter son manteau, son manteau sur Elisée. Et il était devenu prophète, car Elie allait monter.
30 Et alors qu’ils descendaient, au niveau de ce portail-là, côte-à-côte, il a dit: «Si seulement j’avais vécu à cette époque-là, je me serais levé de ce lieu-ci où je suis assis. Et j’aurais couru dans la rue et j’aurais dit: ‘Ô prophètes de Dieu, imposez-moi les mains. Et je crois que si vous priez pour moi, Dieu me restituera la vue.’»
Mais, hélas ! les jours des miracles sont passés pour lui. Le sacrificateur lui a dit que cela ne pouvait plus s’accomplir. Elie est parti il y a des années, et Elisée est mort depuis des années. Et, oh ! Jéhovah a oublié les gens. Mais Il n’oublie pas les gens. Il se souvient toujours.
Puis, il s’est souvenu que juste là, de l’autre côté de la porte, ce Grand Jéhovah avait fait marcher Israël juste sur ces mêmes pavés, juste autour des murs de Jéricho. Et tout Jéricho était barricadé. Quand bien même ils dépassaient les Israélites en nombre plusieurs fois, mais la crainte de l’Eternel allait devant eux. Ils ont gardé silence.
31 Un jour, quand le grand Josué, pas plus loin de ce même mur, se promenait un après-midi, il a regardé, et là à côté d’un petit rivage, il y avait un Guerrier, Son Epée dégainée. Et Josué a dégainé la sienne, il a couru à Sa rencontre. Il a dit: «Es-tu des nôtres ou de nos ennemis?»
L’Etranger a brandi Son épée en l’air, Il a dit: «Non, Je suis le Capitaine de l’armée de l’Eternel.» Le redoutable Josué a jeté son épée par terre, il a ôté son casque, il a couru et il est tombé à Ses pieds. Peu savait l’aveugle Bartimée qu’à moins de deux cents yards [167 m] de là se tenait ce même Capitaine de l’armée de l’Eternel !
Et si les gens dans cette salle d’exposition ce soir, ici, pouvaient seulement se rendre compte que ce même Capitaine de l’Eternel se tient ici ce soir !
32 Mais on lui avait dit que ces jours-là étaient passés. Peu après, son rêve a été interrompu. Des petits enfants couraient par là, disant: «Es-tu parvenu à Le voir? Es-tu parvenu à Le voir?» Ils se demandaient ce que tout cela était. Voici venir des dames. Et elles parlaient: «Oh ! Oh ! C’était merveilleux, n’est-ce pas?»
Et Bartimée a commencé à se demander: «Qu’est-ce qui se passe?» Juste au coin, il a entendu beaucoup de bruit. Vous savez, d’une façon ou d’une autre, là où Jésus se trouve, il y a généralement un peu de bruit. Dans l’Ancien Testament, l’unique moyen pour eux de savoir que le souverain sacrificateur était en vie, quand il passait derrière le Saint des saints, il pouvait être tué par le Seigneur, mais il portait un vêtement, et au bout du vêtement, on mettait une grenade et une clochette, une grenade et une clochette. Et comme il devait marcher d’une certaine façon...
Et un homme vêtu de la robe de Dieu a une certaine démarche qu’il doit exécuter. Et quand il marchait, ces clochettes retentissaient: «Saint, saint, saint est l’Eternel. Saint, saint, saint est l’Eternel.» Et l’unique moyen pour l’assemblée de savoir qu’il était vivant ou pas, c’est quand ils pouvaient entendre du bruit.
33 Et je me demande parfois lorsque j’entre dans certaines de ces vieilles morgues froides appelées églises, des glaçons pendant là, spirituellement parlant, avec une température de moins quarante, je me demande simplement s’il y a quelque chose de vivant là-dedans.
C’était comme mon petit frère, j’avais attrapé une tortue qui happe, et je lui ai coupé la tête. Et celui qui connaît une tortue qui happe sait qu’elle continue simplement à happer même si on lui a coupé la tête. Et elle était là sur le rivage, et mon petit frère s’est avancé et il a dit: «Qu’as-tu attrapé, Billy?»
J’ai dit: «Je–j’ai attrapé une tortue.»
Il a dit: «Est-ce ça?»
J’ai dit: «Oui.»
«Où est sa tête?»
J’ai dit: «Elle est là sur le rivage.»
34 Il est allé là, et il allait prendre un bâton pour la retourner, et elle a happé ce bâton. Il a dit: «Hé, je pensais que tu avais dit qu’elle était morte.»
«Eh bien, ai-je dit, j’ai séparé sa tête de son corps. Elle devrait être morte.»
Il s’est gratté la tête. Il a dit: «Elle est donc morte et elle ne le sait pas.» Et il y a beaucoup de bonne théologie là.
Ô frère, quand Christ viendra, Il apportera la Vie en abondance. Il a dit: «S’ils se taisent, les pierres crieront aussitôt», quand Il entrait à Jérusalem.
Et nous voyons qu’il y a du bruit au virage. Il a demandé: «Pourquoi tout ce bruit?» Voyez, il méditait sur ces choses. Cela devait arriver. Avez-vous médité sur ces choses pour ce soir? Si vous l’avez fait, cela va arriver. Ça doit absolument arriver. Vous vous approchez de Dieu, Il s’approchera de vous.
35 Et qu’est-ce qui est donc arrivé? Peu après, voici venir un groupe de gens en train de chanter: «Hosanna dans les lieux plus hauts; béni soit Celui qui vient au Nom du Seigneur. Béni soit ce Prophète de Galilée, car Il fait voir les aveugles et Il fait entendre les sourds. Béni soit le Nom du Seigneur.»
36 Ensuite, derrière venaient les critiqueurs, ces sacrificateurs et ces religieux de l’époque, disant: «Chut, fermez-la. Gardez silence. Il n’y a rien dans ce Gars-là.» Ecoutez ça. Et de temps à autre, quelque chose heurtait le mur avec violence. C’est une tomate trop mûre, ou quelque chose comme cela, qu’on Lui jetait.
Oh ! Si seulement il pouvait voir, un petit Homme parcourait cette route, pas trop grand, sans beauté pour attirer nos regards, Ses cheveux grisonnaient, Il marchait lentement, sans attirer l’attention. Et il y avait ces sacrificateurs qui disaient: «Dis donc, Toi saint exalté, Toi qui as dit que Tu avais ressuscité Lazare d’entre les morts, nous avons tout un cimetière plein de morts par ici. Viens les ressusciter. Fais-nous voir cela.»
Vous savez, ce genre d’esprit n’est jamais mort. Il vit toujours. Et l’autre aussi ne meurt jamais. Grâces soient rendues à Dieu !
37 «Hé, Tu as fait des miracles ailleurs. Fais-nous voir un miracle ici. Nous croirons en Toi. Toi hypocrite, nous savons que les jours des miracles sont passés.»
Bartimée était tout confus. Il a dit: «Qu’est-ce après tout?» Des gens lui montant carrément par-dessus...
Peu après, une gentille petite dame a dit: «Ô mendiant, je regrette qu’on t’ait marché dessus. Que demandais-tu, monsieur?»
Il a dit: «Qui est-ce qui passe, qui cause tout ce brouhaha, les uns allant dans un sens, les autres dans l’autre?»
38 Vous savez, quand Jésus est là, cela produit généralement ce genre de foule: Les uns sont pour Lui, les autres contre Lui; l’un dit que c’est du diable, l’autre dit que c’est Dieu. Et cela n’a pas changé.
Et alors, il a dit: «Il se passe quelque chose. Et je ne comprends pas ce que c’est.»
Et elle a dit: «Eh bien, monsieur, n’avez-vous jamais entendu parler de Jésus de Nazareth?»
«Non, je ne pense pas avoir déjà entendu parler de Lui.»
«Eh bien, c’est un grand Prophète de Galilée. Oh ! Vous devriez Le voir. Eh bien, une femme avait juste touché Son vêtement il y a quelques semaines ici, Il s’est retourné et lui a dit quelle était sa maladie. Et il y avait un–un petit homme juste de l’autre côté de ce mur, il est monté dans un sycomore ce matin pour Le voir. Et sa femme lui parlait de ces choses, et il disait: ‘Il n’y a rien à cela. Ces choses-là n’arrivent pas. Si cet Homme fait cela, Il est un démon.’»
39 «Zachée est donc monté dans un sycomore et il a tiré des feuilles tout autour de lui de sorte que personne ne le voie. Il disait: ‘Je me tiendrai ici, comme je suis un membre important de l’église. Et je tiendrai cette petite feuille, je la soulèverai et Il ne me verra jamais. Et quand Il passera en dessous de cet arbre, je Le regarderai bien, et je dirai aux sacrificateurs tout au sujet de ce que je pense de Lui.’»
«Alors, quand Jésus à contourné le coin et qu’Il passait en dessous de l’arbre, Il s’est arrêté. Zachée a dit: ‘Eh bien, je me demande ce qu’Il va faire.’»
«Il a levé les yeux dans l’arbre et a dit: ‘Zachée, descends de là. Je vais avec toi chez toi aujourd’hui pour le dîner.’»
Non seulement il pensait être caché, mais Christ le connaissait, Il connaissait sa condition, Il connaissait son nom. Il n’a pas changé. Il est toujours le même Jésus.
40 Oh ! Elle s’est mise à lui raconter. Il a dit: «Eh bien, n’est-ce pas là le Fils de David qui avait été promis?»
«Si.» C’était assez pour enflammer son âme. C’était sa première occasion. Nous avons eu beaucoup d’occasions au cours de cette dernière semaine. Mais celle-là était sa première occasion d’entrer donc en contact avec Jésus.
Alors, il s’est levé. Or, la rue avait une certaine distance, depuis le bout de cette arène jusqu’ici au mur. Et des milliers de gens affluaient autour de Lui, certains hurlaient et criaient et d’autres Le louaient... Et il a crié: «Ô Jésus, Toi, Fils de David, aie pitié de moi.»
41 Eh bien, Jésus ne pouvait pas entendre sa voix. C’était trop loin derrière. Si jamais vous avez été là pour regarder et voir où cela était arrivé... Et, autre chose, avec toute cette foule qui hurlait, Il ne pouvait pas entendre cela. Mais qu’était-ce? Jésus s’est arrêté et Il s’est tenu calme. Et Il s’est retourné. Ce n’était pas sa voix qui L’avait arrêté. C’était sa foi qui L’avait arrêté.
Un mendiant insignifiant cherchant, pour être repoussé... Jésus s’est arrêté et a dit: «Que veux-tu que Je fasse?»
Il a dit: «Seigneur, que je recouvre la vue.»
Il a dit: «Recouvre la vue, car ta foi t’a sauvé.»
Et alors qu’ils descendaient dans la rue, je peux voir le pauvre aveugle Bartimée se tenant là, regardant ses doigts. Il a dit: «Il m’a dit. Je L’ai cru sur Paroles. Je crois cela.» Et la foule a continué. Peu après, il a commencé à voir ses doigts. Et il s’est mis à suivre le Seigneur, se réjouissant, car il avait recouvré la vue.
42 Il y a quelque temps, je lisais une petite histoire (C’est peut-être une fiction, et ça peut ne pas l’être) sur l’aveugle Bartimée. On raconte qu’il s’asseyait à l’entrée de Jéricho. C’était un homme marié, il avait une femme et une fillette. Et cette petite fille, au moment de sa guérison, avait environ peut-être, dix ans, elle avait une petite chevelure bouclée, et elle était assez dodue pour être aimable.
Il n’avait jamais vu sa petite enfant parce qu’il était devenu aveugle il y avait plusieurs années. On raconte qu’il avait deux petites tourterelles, et celles-ci faisaient un peu de divertissement, tournaient l’une au-dessus de l’autre, faisant de petites culbutes, afin que cela attire l’attention des touristes.
43 S’il n’avait rien pour amuser les touristes, comme ça se passe en Inde et ailleurs... Il y a un petit singe ou quelque chose comme cela, un petit singe prend un morceau de bois et frappe l’homme, et cela attire l’attention afin qu’il puisse mendier.
Et les petits pigeons de l’aveugle Bartimée tournaient l’un au-dessus de l’autre afin d’attirer l’attention, pour voir la précision de ces petits pigeons, ou ces petites colombes faisant un petit saut, leur bondissant encore sur les pieds. Alors, une nuit, sa femme tomba malade. Et le médecin ne pouvait rien faire pour elle. Et il s’est frayé son chemin à tâtons, longeant la paroi de sa maison, et il a dit: «Ô Jéhovah, si Tu veux être miséricordieux et épargner la vie à ma femme, je Te donnerai mes deux tourterelles.»
44 Alors, sa femme fut guérie. Il est donc allé et il a offert les tourterelles comme offrande. Quelque temps plus tard... il avait un agneau. Et à l’époque, l’agneau conduisait l’homme, juste comme le–l’aveugle... comme le chien conduit l’aveugle aujourd’hui. Et... Mais à l’époque, c’étaient des agneaux qui le faisaient. On dressait des agneaux à conduire l’homme. Et l’aveugle Bartimée, comme il rentrait chez lui à la maison le soir, il était attaché à son agneau par la main, et l’agneau, en retournant à la maison, suivait sa voie, le conduisant sur le chemin de retour à la maison.
Et sa fillette tomba malade. Et elle faisait une fièvre horrible. Alors, le médecin est venu et a dit: «Eh bien, Bartimée, je ne pense pas qu’il y ait quoi que ce soit que je puisse faire pour elle.» Son état continuait à empirer. Il est donc allé une fois de plus la nuit, il s’est agenouillé, il a dit: «Ô Dieu, si Tu guéris ma fillette, je Te donnerai mon agneau.»
45 Et la fièvre a quitté la fillette. Et le lendemain, il était en route pour sacrifier son agneau. Et le sacrificateur est apparu, il a dit: «Où vas-tu, aveugle Bartimée?»
Il a dit: «Ô Sacrificateur de Dieu, je monte au temple offrir mon agneau en sacrifice.» Il a dit: «C’est ce que j’ai promis à Dieu de faire.»
«Oh ! a-t-il dit, aveugle Bartimée, tu ne peux pas offrir cet agneau-là. Je vais te donner de l’argent, et tu iras acheter un agneau en échange, et tu amèneras un agneau à offrir. Je te donnerai de l’argent.»
Il a dit: «Merci, gentil sacrificateur de Dieu, mais je n’avais jamais promis à Dieu un agneau, je Lui avais promis cet agneau-ci.»
Oh ! la la ! Il y a là une leçon.
46 Il a dit: «Tu ne peux pas offrir cet agneau-là, Bartimée. Cet agneau-là, ce sont tes yeux.»
Il a dit: «Mais, ô sacrificateur de Dieu, si je tiens ma promesse envers Dieu, Dieu pourvoira à un agneau pour les yeux de Bartimée.» Et ce jour-là, quand il a entendu parler de Jésus de Nazareth qui passait par là, observez sa foi entrer en action: Il saisit sa robe, il la jette de côté, car Dieu avait pourvu à un agneau pour les yeux de l’aveugle Bartimée, l’Agneau de Dieu auquel il est pourvu.
Et il est pourvu à ce même Agneau ce soir pour vous, monsieur, sur cette civière. Il est pourvu à cet Agneau pour vous là dans ces fauteuils roulants. C’est l’Agneau auquel il est pourvu pour vous qui souffrez du coeur. Il est pourvu à cet Agneau pour vous qui souffrez du cancer. Il est le même Agneau hier, aujourd’hui et éternellement. C’est Lui qui vous a conduit ici ce soir pour ce grand service qui est sur le point d’avoir lieu maintenant.
Et si vous êtes un pécheur et que vous ne Le connaissez pas par le pardon de vos péchés, Il est l’Agneau auquel il est pourvu pour enlever chaque tache de votre vie de péché.
47 Inclinons la tête juste un instant maintenant, pendant que nous pensons à ces choses. Que le pianiste ou l’organiste veuille nous donner une petite note, s’il vous plaît.
Juste avant la prière maintenant, je me demande s’il y a quelqu’un ici présent qui ne connaît pas ce Grand, Merveilleux et Doux Agneau de Dieu, qui aimerait dire: «Ô Dieu, j’aimerais connaître cet Agneau pour le pardon de mes péchés. Mon âme est tachetée. J’ai fait une confession ici.» Peut-être que vous l’avez fait ou vous ne l’avez pas fait. «Mais je vais dire par ceci que je veux L’accepter ce soir comme l’Agneau de mon âme, pendant que je lève la main.» Voudriez-vous faire cela? Quelqu’un qui aimerait qu’on se souvienne de lui dans la prière?
48 Que Dieu vous bénisse ici, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur, cet homme assis ici. Quelqu’un d’autre qui aimerait que cet Agneau le conduise vers la Fontaine... Que Dieu vous bénisse, là derrière, soeur. Quelqu’un d’autre encore dans la salle en bas? Que Dieu vous bénisse, mon frère là. C’est comme ça. Croyez. Si vous croyez, Dieu pourvoira à tout ce dont vous avez besoin.
Y a-t-il un autre, aux balcons, à ma droite, qui aimerait lever la main pour dire: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. Que l’Agneau de Dieu me conduise aux Fontaines de la Vie, des Eaux de la Vie ce soir. J’ai soif de Christ. J’aimerais, que Lui me conduise»? Voudriez-vous le faire? Vous êtes aveugle si vous êtes un pécheur. Vous ne savez où vous allez, monsieur. Si vous êtes un membre d’église, vous êtes toujours aveuglé. Vous êtes aveuglé par les credos d’hommes.
49 Y en a-t-il un autre ici à droite, derrière, aux balcons derrière? Vite. Aux balcons à ma gauche ici, voudriez-vous lever la main? C’est juste une petite chose à faire, mais vous, par votre main levée, vous dites: «Je–je veux maintenant...» Que Dieu vous bénisse là-haut. C’est–c’est bien. Quelqu’un d’autre dans la salle en bas maintenant, qui n’a pas levé la main? Que Dieu vous bénisse là derrière, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Tout votre groupe, là derrière: Que Dieu soit avec vous. Ici à droite: Que Dieu soit avec vous. Puisse-t-Il vous conduire ce soir au Calvaire, où il y a la Fontaine remplie du Sang tiré des veines d’Emmanuel; une fois les pécheurs plongés sous ce flot, ils perdent toutes les taches de leur culpabilité.
50 Je suis juste en train d’observer le mouvement de quelque... l’Esprit tel qu’Il se meut dans la salle, et je prends simplement mon temps, laissant donc cela pénétrer vraiment. Voulez-vous vraiment, vraiment dire que vous L’aimez? Très bien. Je viens de voir quelques mains se lever, et j’observais quelque chose passer. Prions.
51 Père céleste, que l’Agneau de Dieu vienne vite maintenant, qu’Il conduise chacun de ceux qui ont levé la main vers cette Fontaine remplie du Sang tiré des veines d’Emmanuel. Oh ! Et je peux Le voir contourner le mur là à Jéricho, Son visage tourné vers le Calvaire, allant droit à Jérusalem pour être offert entre les mains des impies, en Sacrifice, pour l’expiation de nos péchés et de nos maladies.
Et cette foule qui hurlait, et pourtant, Il portait les–les péchés du monde sur Lui, et Lui, étant Dieu Emmanuel, Il sentait certainement le fardeau qui était juste devant Lui. Le sombre Gethsémané L’attendait. L’épreuve des moqueries L’attendait. Il savait tout cela, et Son précieux coeur battait vite.
52 Mais de penser qu’Il n’était pas trop occupé, Il n’était pas non plus trop chargé pour ne pas s’arrêter et avoir pitié d’un mendiant aveugle. Tu n’es pas trop occupé ce soir, Seigneur, pour ne pas faire miséricorde à ceux qui ont levé la main. Amène-les à la Fontaine d’eau où les Eaux de la Vie coulent gratuitement, et qu’ils boivent. Tu as dit dans Ta Parole: «Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, et il ne périra jamais, mais il est passé de la mort à la Vie.»
Je Te les présente maintenant, Seigneur Dieu, au Nom de Jésus-Christ, comme offrandes d’amour de ce message. Amen.
53 Chantons un petit hymne maintenant. Ceci est l’adoration. Nous avons eu à couper juste un peu court, mais ceci est l’adoration. Maintenant, soyons très calmes et chantons: «Il y a une Fontaine remplie du Sang, tiré des veines d’Emmanuel.» Adorez simplement pendant que vous chantez cela. Oh ! J’aime vraiment ce chant.
Il y a une Fontaine remplie du Sang,
Tiré des veines d’Emmanuel,
Et les pécheurs plongés sous ce Flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
Perdent toutes les taches de leur culpabilité,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité;
Et les pécheurs plongés sous ce Flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
54 Maintenant, les chrétiens nouveau-nés, vous qui avez levé la main il y a juste quelques instants, j’aimerais que vous me promettiez quelque chose. Il y a plusieurs pasteurs ici dans l’église, et j’aimerais que vous vous trouviez l’un d’eux, un pasteur. Promettez cela à Dieu. Maintenant, vous êtes devenu un chrétien, maintenant. La Parole de Dieu est éternellement vraie. Celui qui écoute Ma Parole, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle.»
Il n’y a qu’un seul genre de Vie Eternelle. Et Dieu seul a la Vie Eternelle. Est-ce vrai? Et Il vous La donne. Mais quoi? «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle (C’est sans fin), il ne viendra jamais en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»
Eh bien, trouvez-vous une bonne église où vous êtes à l’aise, vite. Faites-vous baptiser, et entrez dans cette église-là, vous et votre famille, vivez en paix avec Dieu. Et si jamais je ne vous rencontre de ce côté-ici de la rivière, je vous rencontrerai de l’autre côté. Que le Seigneur vous bénisse.
55 Peut-être que si nous avons le temps, après que les cartes de prière auront été distribuées, nous prierons pour les malades ce soir, afin que vous alliez... vous puissiez venir autour de l’autel et ici vous tenir un petit moment, ainsi les pasteurs de la ville peuvent voir qui vous êtes.
J’ai laissé aller cinquante mille convertis il n’y a pas longtemps. Je ne sais ce qui est arrivé dans une certaine nation où j’étais. Quelqu’un organise simplement des réunions. Nous n’avons pas eu de collaboration. On organise simplement des réunions, et des milliers ont afflué dans ce pays. Et il n’y avait pas d’église où les gens pouvaient se sentir à l’aise, où les amener. Je ne sais pas ce qui est arrivé.
56 Je pensais que chaque église du pays collaborait. Mais c’était juste un ministre ou un homme, juste un avocat, qui avait organisé la réunion, disant: «Venez.» J’ai pris l’avion jusque là et j’ai commencé. Nous avons eu cinq soirées de réunions. Et cinq mille personnes chaque soir ou plus venaient à Christ. Et je ne sais pas ce qui est arrivé. Là où ils étaient allés à l’église où ils sont à l’aise...
J’ai appris un peu mieux que cela maintenant. Chaque–chaque personne qui est sauvée doit avoir une église où elle se sent à l’aise. Elle devrait se retrouver dans l’église, et là, chaque–chaque fois que l’église tient un service, ou chaque fois que vous passez par là, entrez, ouvrez les portes, entrez, priez ou faites quelque chose. Aimez le Seigneur.
57 C’était un... Aujourd’hui, là où j’habite, il y avait un... des gens qui devaient quitter. Il s’est fait qu’il y avait un très bon ami à moi, un Norvégien, qui était assis là. Il est mon secrétaire pour les Norvégiens, et il l’a été depuis que j’étais en Norvège. C’est lui qui a tout traduit, sans un seul cent en contrepartie, ni rien.
Il était assis dans la pièce, lui et son aimable petite femme. Et une vision a commencé à apparaître. Et quelqu’un a frappé à la porte, et nous sommes entrés. Et pendant que nous étions dans la pièce, il y avait trois personnes malades à l’intérieur, très malades. Le Saint-Esprit est descendu et Il est entré dans la pièce, Il leur a dit, à eux tous, toutes leurs maladies, et Il les a guéris.
58 Puis, juste quelques minutes plus tard, j’ai rencontré deux dames. Elles sont assises juste devant moi maintenant. Et il a été dit: «Oh ! Eh bien, il lit simplement leurs pensées, ou il y a un moyen par lequel il... Il a une supercherie grâce à laquelle il le fait.» Alors, ces dames ont entendu cela. Elles étaient là même dans la Présence du Dieu Tout-Puissant, Dieu est directement descendu avec une vision et Il a dit tout à ce sujet, pendant qu’on était là même devant elles, leurs problèmes.
Je pouvais demander à cette dame de lever la main, si vous aimerez voir. Voudriez-vous voir la dame? S’il vous plaît, levez la main, si vous voulez voir la dame. Très bien, madame. Ce... D’où veniez-vous? De Dawson Creek. Je ne l’avais jamais vue, ni rien su sur elle, de ma vie. Je pense que celle-ci est l’autre dame, assise ici, une dame ukrainienne. Est-ce vrai? C’est la dame qui est là même, n’est-ce pas? Levez la main afin que les gens voient.
Eh bien, les visions ici à l’estrade, c’est–c’est en miniature par rapport à ce qui se passe dehors, là ailleurs. Eh bien, juste... Nous avons encore cinq minutes. J’aimerais vous dire ce qui se passe. Comme j’essaie de former une ligne de prière, et de me garder de cela autant que possible, afin que nous puissions prier pour les malades.
59 Mais de toute façon, le Saint-Esprit est ici même maintenant. L’Ange du Seigneur est ici même présent maintenant. Permettez-moi de dire ceci avant d’aller plus loin. Si le Saint-Esprit vient et révèle dans cette assistance, guérit les gens d’ici même, en se servant de mes lèvres comme vous avez vu cela se faire, comme Il le fait par Son don et qu’Il parle aux gens dans cette assistance, juste comme Il le faisait quand Il était ici sur terre, combien seront encouragés et mis en confiance par cela, parmi ceux qui passeront par la ligne? Afin que vous sachiez que nous sommes... le Saint-Esprit est ici. Ce n’est pas une soirée où nous allons juste faire un saut par ici. L’onction du Saint-Esprit est ici même maintenant.
Eh bien, vous dans l’assistance, que quelqu’un qui n’a pas de carte de prière se mette à croire. Et si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, s’Il... Si cet aveugle mendiant... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
60 Ecoutez, j’aimerais vous poser une question. La guérison des malades ne s’est jamais avéré être Son signe du Messie. Absolument pas. Quel était le signe du Messie? Par quoi L’ont-ils reconnu? Considérez la nation juive. Par quoi L’ont-ils reconnu?
Quand Nathanaël est venu avec Philippe, et que Jésus l’a regardé et a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude», il a dit: «Quand m’as-tu connu, Rabbi?» En d’autres termes: «Tu ne m’as jamais vu, comment m’as-Tu connu?» Il a dit: «Quand Philippe t’a appelé, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.»
Combien savent que c’est vrai, dans Saint Jean chapitre 1? Pour la nation juive, c’était là le signe du Messie. Eh bien, pour les Gentils, pour la nation des Samaritains, les descendants de Cham, Sem et Japhet, les descendants de Japhet plutôt...
61 Eh bien, quand Il est allé chez les Samaritains, une femme vint. Un homme, ici une femme. Et cette femme est venue; elle était probablement à une distance là quelque part par rapport à Lui. Elle était au puits, et Lui était assis sur un petit siège, qui se trouvait sous un raisin ici.
Et Il a dit: «Apporte-Moi à boire», à la femme.
Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains», comme une femme de couleur, ou à un Blanc, ou quelque chose comme cela.
Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.»
Elle a dit: «Eh bien, le puits est profond. Tu n’as rien pour puiser.»
62 Ils ont continué, entretenant une longue conversation. Peu après, Jésus a dit: «Va chercher ton mari, et viens ici.»
Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»
Il a dit: «Tu en as eu cinq.»
Eh bien, maintenant, elle a dit: «Seigneur... (Maintenant, écoutez.) Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Mais nous savons, nous les Samaritains, nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera toutes choses.» Mais elle n’arrivait pas à comprendre qui Il était. Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»
Et elle a laissé tomber sa cruche d’eau, elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait.» Elle a dit: «Ne serait-ce point le Messie même?»
63 C’était là le signe du Messie à la fois pour les Juifs et pour les Samaritains. Que pensez-vous que ça serait pour les Gentils, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement? C’est aujourd’hui le jour des Gentils. Dieu se choisit un peuple.
Combien y en a-t-il ici qui sont malades, qui n’ont pas de cartes de prière, par ici? Levez la main, quelque part tout près, ceux qui n’ont pas de cartes de prière, levez la main. Très bien. Vous pouvez baisser les mains. Si Christ fait la–la même chose, vous acceptez...
Voici des gens de couleur assis ici. C’est pratiquement la même scène. Voici une femme de couleur assise ici au bout. Eh bien, madame, vous savez que je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue. Eh bien, voici un bon exemple de Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Maintenant, je ne sais pas s’Il le fera ou pas. Tout ce que je suis, juste vous voir assise là, c’est que vous êtes une femme de couleur, et moi, un Blanc.
64 Maintenant, c’est à peu près ce qu’il y avait entre les Juifs et les Samaritains. Eh bien, dans le sud, là loin dans le sud, il y a la ségrégation raciale, mais Jésus lui a très vite fait savoir qu’il n’y avait pas de différence quant à la couleur d’un être, d’une personne. Oh ! la la ! Nous descendons tous d’un seul arbre, et c’est Adam. C’est tout à fait vrai. Le pays dans lequel nous avons habité, cela a rendu notre peau jaune, brune, noire, et que sais-je encore. Cela n’a rien à faire avec la chose. Nous sommes des créatures de Dieu, chacun de nous. Jésus lui a fait savoir cela. Peut-être qu’elle était une aimable et gentille femme, celle qui se tenait au puits là.
Mais après, juste comme vous êtes une femme de couleur, et moi, un homme, vous désirez quelque chose de la part de Dieu, n’est-ce pas? Vous désirez quelque chose de la part de Dieu, n’est-ce pas? Très bien. C’est bien. Croyez-vous donc que je suis Son serviteur? Si Dieu me révèle ce qu’est votre problème, allez-vous donc accepter cela et croire que c’est en ordre, que–que vous reconnaîtrez que c’est le même Christ qui avait parlé à la femme au puits?
65 Maintenant, voici de nouveau le même tableau. Je ne dis pas que Dieu le fera; en effet, il n’y a pas de Lumière autour de la femme. Mais s’Il le fait, combien diront: «Je peux vraiment croire que c’était Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement»?
Ou si nous sommes inconnus l’un à l’autre, madame, levez la main, la dame de couleur à qui je m’adresse. Très bien. Elle porte un gant blanc à la main. Eh bien, s’Il le fait, d’accord. S’Il ne le fait pas, je ne sais pas. J’aurai donc à voir cela.
Maintenant, Cela est là à côté de la dame. Je viens de saisir son esprit alors que nous nous parlons l’un à l’autre. La dame souffre d’une maladie gynécologique, une maladie de femmes. Si c’est vrai, levez la main, madame. Eh bien, vous n’en souffrez plus. Vous êtes guérie. Vous pouvez poursuivre votre chemin vers la maison. Amen.
66 Cela va là juste au-dessus de cet homme assis ici même, au bout de la rangée. Cela a remué votre foi. Et aussitôt que je vous ai regardé, Quelque Chose vous a frappé. Si c’est vrai, faites signe de la main, monsieur, l’homme de couleur. Si Dieu me révèle, mon frère, ce qu’est votre maladie, allez-vous croire en Dieu?
Votre sang est en mauvais état. Si c’est vrai, faites signe de la main. C’est vrai. Maintenant, vous pouvez rentrer chez vous et être bien portant. Votre foi vous guérit.
67 Voyez, Il est le même. Il ne faillit pas. Si vous pouvez croire, tout est possible.
Un homme avancé en âge est assis ici. Cette Lumière est suspendue juste au-dessus de lui. Il est assis, il tourne la tête de côté, il me regarde, ici même. Il est on dirait partiellement chauve au sommet, et il grisonne de côté. Croyez-vous, monsieur, que Jésus-Christ peut me révéler ce qu’est votre maladie? Croyez-vous? Alors, vous n’aurez pas à prendre l’insuline. Le diabète vous quittera. Croyez-vous que Dieu fera cela? Croyez-vous qu’Il vous guérira? Levez la main vers Lui alors. Très bien. Vous pouvez rentrer chez vous et être bien portant.
Qu’en est-il de la dame assise juste derrière lui là? Voyez, Cela s’est déplacé juste derrière, vers la dame qui est juste derrière lui. Vous êtes aussi malade, n’est-ce pas, madame? Vous souffrez de l’hypertension. N’est-ce pas vrai? C’est vrai. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Je ne vous ai jamais vue de ma vie.
68 A part ça, vous avez des varices. Si c’est vrai, levez la main. Vous souffrez aussi de l’arthrite. Je vous vois chercher à vous déplacer le long d’une rue, ou quelque chose comme cela, marchant très lentement, prenant votre temps, surtout lorsque vous vous levez le matin. Si c’est vrai, levez la main. Vous êtes une merveilleuse personne. Madame Spears, croyez-vous que Dieu vous guérira? Croyez-vous qu’Il le fera? C’est là votre nom. Très bien. Maintenant, rentrez chez vous et soyez bien portante, au Nom de Christ.
Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela? Louons Dieu comme ceci donc [Frère Branham se met à taper les mains.–N.D.E.], disant simplement: «Béni soit le Seigneur.»
Oh ! Il est si réel. Amis, ne laissez pas ce jour vous passer à côté. Je–je–je ne pense pas que ceci soit personnel. Ne faites pas cas de moi. Je suis un pécheur sauvé par grâce. Mais Dieu a fait quelque chose pour le monde, et ils n’arrivent pas à voir cela. Voyez?
69 Vous êtes-vous rendu compte que les prêtres qui avaient brûlé Jeanne d’Arc sur le bûcher, la considérant comme une sorcière parce que la Voix de Dieu s’est adressée à elle, plus tard l’église catholique a déterré leurs corps et les a jetés dans la rivière quand ils ont canonisé Jeanne d’Arc comme une sainte?
Un testament n’a pas de valeur tant que le testateur n’est pas mort. Ils n’ont jamais reconnu Jésus en fait comme le Fils de Dieu jusqu’après Sa résurrection. Assurément. Ils n’avaient jamais apprécié Elie jusqu’à ce que tout était terminé. Ces choses se passent parmi nous, amis, et c’est fini. Ils... Considérez saint François d’Assise. Voyez? On ne connaît pas ces choses. Jean-Baptiste, ils ne savaient pas qui il était jusqu’à ce que c’était terminé.
70 Christ est en train de visiter l’Eglise des Gentils. Ce sont les lumières du soir qui brillent maintenant. Le prophète a dit: «Au temps du soir, la Lumière paraîtra.» C’est maintenant l’heure. C’est maintenant le temps. Si seulement vous prenez ce petit... ce genre d’un petit quelque chose qui aimerait vous rendre un mi-croyant de cela, et un mi-douteur de cela, que vous mettiez cela de côté et que vous veniez maintenant. C’est Christ, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Combien croient cela?
Maintenant, cette onction est en train de descendre, je–j’aimerais... Si vous commencez une ligne de prière comme cela, cela arrêtera tout le monde qui passe. Voyez? Eh bien, nous aimerions chanter un cantique ou quelque chose avant de former la ligne de prière, afin que je puisse faire monter les gens ici, pour prier simplement pour eux. En effet, je ne pourrais pas prier pour plus de huit ou dix personnes. On me fera partir d’ici en me transportant. Combien comprennent cela de par les Ecritures?
Combien savent que les poètes, les prophètes et les gens spirituels sont toujours considérés comme des névrosés ou des gens chez qui quelque chose cloche? Assurément, ils le sont.
71 Combien ont déjà entendu parler de Stephen Foster? Faites voir les mains. Il a donné à l’Amérique les chansons populaires les plus grandioses. Il a composé Old Black Joe, Old Folks At Home, Way Down Upon The Swanee River, My Old Kentucky Home. Et cet homme-là était considéré comme un névrosé. Il recevait l’inspiration. Il allait quelque part et composait une chanson, ensuite il revenait et s’enivrait. Et il avait cela dans la tête, mais pas dans le coeur. Il a fini par faire venir un serviteur, il a pris une lame de rasoir et il s’est suicidé, alors qu’il sortait de cette inspiration-là. C’est très bien lorsque vous êtes là-dedans, mais quand vous en sortez !
72 Combien ont déjà entendu parler de William Cowper... Caper... est-ce cela...? Cowper. C’était un poète anglais. Il a composé ce cantique célèbre: «Il y a une fontaine remplie du Sang, tiré des veines d’Emanuel, une fois les pécheurs plongés sous ce flot, ils perdent toutes les taches de leur culpabilité.» Combien ont déjà entendu parler de ce cantique-là?
Je me suis tenu à sa tombe à Londres, en Angleterre, celle de William Cowper. Et quand il–quand il a composé ce cantique-là, il était sous inspiration. Il était considéré comme un névrosé. Et quand il... cette inspiration-là l’a quitté, il était à la rivière, cherchant à trouver où se suicider en se noyant dans la rivière. Il y avait trop de brouillard, sinon il serait entré dans la rivière et se serait noyé.
73 Voyez? Quand vous êtes là-haut, c’est merveilleux. Mais c’est quand vous en sortez. Considérez Jonas, le prophète, il est descendu avec un message de Dieu, il a prophétisé à la ville de la dimension de Saint-Louis à Missouri, à un peuple qui ne savait pas distinguer la main droite de la main gauche. Et son message était si puissant qu’ils ont fait porter des sacs aux animaux.
Et puis, quand l’Esprit l’a quitté, il fut si dégonflé qu’il s’est assis sous un petit arbre, et il s’est fâché, et–et il voulait que Dieu le frappe de mort parce qu’un petit insecte avait fait tomber le ricin. Est-ce vrai?
Considérez Elie, le prophète. Il était sous inspiration, là, il a fait descendre le feu du ciel, il a fait descendre l’eau du ciel le même jour, il a tué quatre cents prophètes, et puis il a fui sous la menace d’une femme, il a fui dans le désert, et il est resté là quarante jours et quarante nuits, errant. L’Ange l’a réveillé alors qu’il dormait et l’a nourri deux fois pour ce long pèlerinage. Il errait dans le désert, sans savoir où il était. Et quand Dieu l’a trouvé, il s’était retiré au fin fond d’une caverne. Combien savent cela? Voyez?
74 Oh ! Si seulement nous pouvons examiner le côté spirituel ! Amis, j’aime entendre les gens crier. J’aime entendre les gens louer le Seigneur. Mais cela n’est pas encore le spirituel. J’ai vu des gens crier, danser et louer le Seigneur, ils ne connaissaient pas les choses spirituelles pas plus qu’un Hottentot n’en savait au sujet d’un chevalier égyptien. C’est vrai.
Ils montaient à l’estrade, couraient tout autour, criaient et faisaient un tas de choses. C’est de l’émotion. L’émotion, c’est bien. Mais, frère, quand on en arrive à la réalité de cela, ce n’est pas l’Esprit. C’est la joie. Mais l’Esprit est discerné spirituellement. Voyez? C’est l’Esprit.
75 Eh bien, s’il vous plaît, comprenez que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, apparaît, non pas parce qu’Il doit le faire, mais parce qu’Il a promis qu’Il le ferait. C’est pour accomplir Sa Parole pour les Gentils. Et vous pouvez voir juste de par la façon dont ils reçoivent cela à travers le monde. Voyez? Le jour touche à la fin. Le soleil se couche. Ça sera bientôt terminé. Réjouissons-nous des bénédictions du Seigneur.
Un jour, vous qui êtes chrétiens, vous irez à un lieu où on n’aura plus jamais à vieillir, on n’aura plus à tomber malade, on n’aura plus à être... plus à mourir. Combien savent cela? Amen. C’est vrai. Dieu ressuscitera cela.
L’autre jour, j’étais en train de me peigner les quelques cheveux qui me restent. Ma femme, assise là derrière, a dit: «Billy, tu deviens chauve.»
«Eh bien, ai-je dit, chérie, je n’en ai perdu aucun.»
Elle a dit: «Dis-moi où ils sont.»
J’ai dit: «Toi, dis-moi où ils étaient avant que je les aie, je te dirai où ils m’attendent.» C’est vrai. Oh ! Oui. Je... Il y eut un temps, ils n’étaient pas là, puis ils ont été là, puis ils ne sont plus. Là d’où ils–là d’où ils sont venus, c’est là qu’ils sont dans la main du Dieu Tout-Puissant. Un jour, ils vont...
76 Eh bien, comme je demandais à un médecin il n’y a pas longtemps: Quand j’avais seize ans, chaque fois que je mangeais... Chaque fois que vous mangez, vous renouvelez votre vie. Et quand j’avais seize ans, chaque fois que je mangeais, je devenais de plus en plus grand et fort. Puis après, vers vingt-cinq ans, peu importe combien on mange, on devient plus vieux et plus faible.
Si vous déversez de l’eau dans un verre à partir d’une cruche, et qu’il continue à se remplir jusqu’à être à moitié plein, puis peu importe combien vous en déversez, il continue à baisser tout le temps. Prouvez-moi cela scientifiquement. En effet, c’est un rendez-vous fixé par Dieu. Dieu vous retrouve, là-haut, juste ainsi.
Quand vous avez épousé la maman, vous rappelez-vous l’aspect qu’elle avait, ces beaux yeux? Vous rappelez-vous comment papa, cette chevelure noire ondulée? Puis, un matin, vous vous êtes réveillé et vous avez dit: «Maman, il y a une ride qui apparait sous ces jolis yeux.»
Elle a dit: «Oui, papa, et il y en a des gris qui apparaissent dans ces cheveux noirs aussi.»
77 Qu’est-ce? La mort s’installe. Cela continue à vous acculer, d’un coin à l’autre. Cela vous rattrapera d’ici peu. Ne vous en faites pas. Cela ne peut pas vous faire du mal. Mais à la résurrection, tout ce qui a jamais–jamais représenté la mort disparaîtra. Vous et la maman, vous redeviendrez jeunes pour toujours, dans la fleur même de la vie. Je peux vous le prouver par la Bible de Dieu. C’est une promesse.
Qu’est-ce qui vous donne ce vif désir? Qu’est-ce qui vous fait tant désirer la bonne santé? Qu’est-ce qui vous fait tant désirer la perfection? C’est qu’il y a... Vous vous, dans cette vie, vous êtes le négatif. Si cette tente dans laquelle nous habitons sur terre est détruite, nous avons une demeure qui attend déjà. C’est donc celle-là qui est en train de faire pression sur ce négatif. Nous gémissons dans l’Esprit pour être revêtus de l’immortalité. En voilà la raison. Voilà ce qui se passe. Voyez? C’est...
78 Il doit y avoir une profondeur qui appelle une profondeur avant qu’il puisse y avoir une profondeur pour y répondre. Et c’est ce corps qui est là, attendant que celui-ci quitte ici pour dire: «Au revoir», ici; «Bonjour», là. Et ce vieux corps frêle, ridé, épris du péché, tombera dans la poussière de la terre, et vous recevrez un nouveau...?... Oh ! Cela ferait crier un baptiste. Cela le devrait, d’y penser. Béni soit le Nom du Seigneur.
Oh ! Vous pouvez alors regarder la mort en face; vous pouvez regarder les soucis en face; vous pouvez tout regarder et dire: «Il n’y a rien qui peut nous séparer de l’amour de Dieu en Jésus-Christ.»
Dieu a fait la promesse: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle. Celui qui mange Ma chair et boit Mon Sang a la Vie Eternelle. Je le ressusciterai aux derniers jours.» Eh bien, assurément, Dieu l’a promis. C’est une promesse. Cela ne peut pas faillir. Dieu a juré avec serment, Il le fera. Amen. C’est réglé.
79 Si Dieu a fait de moi ce que je suis sans mon choix, à combien plus forte raison peut-Il–peut-Il faire de moi une–une personne différente de par mon choix. Quand le Saint-Esprit me fait l’amour, je réagis avec amour au Saint-Esprit. Et c’est Lui qui m’a retiré du sein de la terre...
Vous êtes sorti de la terre. Quand cette terre n’était que de l’éruption volcanique, votre corps gisait alors là. Vous êtes composé de seize éléments de la terre: potasse, calcium, lumière cosmique, pétrole et autres. Et s’il a été tiré de la terre, qui a tiré cela de la terre? C’est Dieu. C’est vrai.
Et pour que vous viviez aujourd’hui, physiquement, quelque chose a dû mourir. Si vous mangez du poisson, le poisson a dû mourir. Si vous mangez de la viande, la vache a dû mourir. Si vous mangez du pain, le blé a dû mourir. Si vous mangez des pommes de terre, cela a dû mourir. Su... Vous vivez des substances mortes. C’est exact.
80 Et s’il vous faut vivre physiquement des substances mortes, vous vivez éternellement parce que Quelque Chose est mort, Jésus-Christ, afin que vous puissiez être vivant et vivre éternellement. Quand Son Esprit se meut sur votre esprit et dit: «Mon enfant, viens», vous dites: «Oui, Seigneur, me voici.» Il vous donne la Vie Eternelle avec une promesse qu’Il vous ressuscitera au dernier jour. Amen.
Chaque promesse dans le Livre est mienne,
Chaque chapitre, chaque verset, chaque ligne.
Je crois dans Son amour divin,
Chaque promesse dans le Livre est mienne. Amen.
Vous dites: «Que faites-vous, Frère Branham?» Je me défais simplement de cette onction-là, c’est... Vous savez, ces visions-là. C’est ce dont je parle. Maintenant, nous sommes prêts pour la ligne de prière.
81 Très bien. Billy, où es-tu? Quelles étaient ces... Quoi? C, D, E, et F. Ça fait à peu près quatre cents cartes de prière. Appelez-les une à la fois. Très bien. Où avons-nous laissé... Quel était le premier numéro? C? Très bien. Je pense que c’était la première soirée. Pourrions-nous appeler à partir de 1 ou quoi? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Je vais faire toute la prière. Toute cette église va être en train de prier pour vous. Combien ne vont pas être appelés ce soir, seront en train de prier pour eux? Levez la main. Voyons. Voyez? Regardez les gens qui s’intéressent à vous, vous les malades. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
82 C’est une oeuvre achevée. Sentez-vous que la Présence du Seigneur est ici pour guérir les malades ce soir? Moi, oui. Moi, oui. J’ai le pressentiment que Dieu va guérir les malades ce soir. Très bien. Séries C, D, E? Les cartes de prière série E, vous allez suivre. Les cartes de prière série E. Les huissiers les alignent d’après leurs numéros. Les cartes de prière séries C, D et E. Très bien. Nous allons les avoir en ligne. Séries C, D et E. Ils vont longer les côtés là au... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Très bien. Que tout le monde soit respectueux. Maintenant, Seigneur Jésus, voici une femme sourde-muette. Ta Parole dit que quand l’esprit de cécité et de mutité était sorti de la personne, elle a pu parler et entendre. Je ne sais pas. Tu ne m’as pas montré depuis combien de temps elle est comme ceci, probablement toute sa vie. Mais j’ai montré cette photo de l’Ange du Seigneur. Elle a secoué la tête pour montrer qu’elle croyait cela.
83 Maintenant, Seigneur, avec mes mains sur son corps, et les têtes de ces hommes respectueux inclinées, ici à l’estrade, et ces centaines de gens dans la salle, nous demandons que cet esprit de surdité quitte la femme, qu’elle puisse à la fois parler et entendre.
Maintenant, Père, si Tu... si nous avons trouvé grâce à Tes yeux, et que notre amour dans le coeur est correct, pardonne-nous si cela ne l’est pas; accorde à cette femme de parler afin que cela puisse amener ces gens à avoir plus de foi, ceux qui passeront dans la ligne. Si seulement Tu fais cela pour nous, nous Te serons reconnaissant, Seigneur. Je prie, au Nom de Jésus.
Maintenant, que toutes les têtes soient inclinées, que tous les yeux soient fermés. [Frère Branham fait un bruit.–N.D.E.] M’entendez-vous? M’entendez-vous? [La femme parle.–N.D.E.] Amen. [«Amen.»] Très bien, vous pouvez redresser la tête. Elle peut à la fois parler et entendre...?... Observez ça. [Frère Branham produit encore un bruit.–N.D.E.] Amen. [«Amen»] Vous êtes guérie. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant.
Disons: «Gloire au Seigneur», tout le monde maintenant. [L’assemblée dit: «Gloire au Seigneur !»] C’est comme ça. Maintenant, maintenant, nous remercions simplement notre Père céleste. Voyez-vous? Nous n’avons pas à réclamer ces choses. Voyez? Ce n’est pas correct de faire cela. Nous devons prier pour les malades. Très bien...?... Elle entend. Oui, elle peut entendre. Les bourdonnements dans la tête. Amen. Amen. Gloire au Seigneur.
84 Eh bien, maintenant, allez-vous tous croire, partout maintenant? Maintenant, nous allons simplement commencer directement la prière pour les malades. Et maintenant, priez avec moi donc. C’est votre prière qui fait cela.
Voyez? Entendez-vous ceci maintenant? Entendez-vous ceci par ici? Oh ! Bien. Par ici? Oui, c’est bien. Elle est assise là, me montrant ses oreilles, qu’elle peut écouter ce microphone maintenant. Oh ! N’est-Il pas merveilleux? Le même Jésus qui connaissait les secrets du coeur... C’était juste un don en action. Voici Christ en action, guérissant les malades. Voyez? Il le fait.
85 Eh bien, qui peut faire entendre les sourds ou faire parler les muets? Maintenant, si elle était dans cette autre ligne, Cela lui aurait dit depuis combien de temps elle est dans cet état, ou ce qui est arrivé. Y a-t-il quelqu’un parmi vous tous là qui sait depuis combien de temps elle est comme ça? Y a-t-il quelqu’un qui sait? Que dites-vous? Toute sa vie, a dit cette femme-là, elle a été sourde et muette. Et la voici, elle peut parler et entendre.
Maintenant, regardez, madame... Elle ne peut pas comprendre beaucoup maintenant. Mais regardez, elle va devoir être comme un enfant. Vous allez devoir l’enseigner, juste comme à un enfant, lui faire répéter... Eh bien, voyez, ce qui est arrivé, c’est juste comme ceci, ses oreilles, comme le nerf auditif était déjà mort. Le médecin dit que le nerf est mort; le nerf vocal, de même. Mais qu’est-ce qui a fait que cela soit mort? Cela n’est pas mort dans tout son corps, c’est mort juste là. Qu’est-ce? C’est un esprit. S’il ne peut pas trouver...
86 S’il y a une bande transparente sur ma main, cela bloque la circulation, le médecin ne peut pas voir cela. Il... Tout ce qu’il dira: «Eh bien, les nerfs sont simplement morts à partir d’ici», s’il n’arrive pas à voir ce qui est à la base de cela. Eh bien, tous les baumes du monde ne guériraient pas ceci. Ils auraient à amputer la main ici. Mais maintenant, regardez. Si la vie revient dans cette nature, si vous n’arrivez pas à voir cela, ça doit être surnaturel. Eh bien alors, une fois cette bande enlevée, la main recouvre des sensations. Mais, évidemment, la nature doit occuper sa place en fonctionnant de nouveau.
Eh bien, c’est ce qui est arrivé à la dame. Eh bien, elle–elle a dit, elle pouvait... elle pouvait avoir l’impression de parcourir cela. Vous devriez vous tenir ici et regarder ce que nous regardons. Très bien. C’est merveilleux. Eh bien, enseignez-lui simplement à–à parler, à chanter; faites-la chanter. Elle se rétablira donc. Que Dieu la bénisse.
87 [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... l’assemblée a été plus respectueuse en se retenant et attendant, comme vous l’avez fait. Je crois vraiment de tout mon coeur qu’il y aura ici des gens qui étaient... Nous ne pourrons que passer un ou deux instants avec elle, à prier, mais une forte vibration de foi qu’ils ont eue... Je crois que vous verrez les gens ici demain soir... Surtout, j’ai vu un petit garçon là, il était tout estropié, la polio avait... Oh ! Il était dans un état horrible. Mais d’une façon ou d’une autre, quand j’ai regardé le petit garçon dans les yeux, je crois vraiment que Dieu l’a guéri. Je–je–je crois vraiment qu’Il l’a fait.
Et nous allons leur demander, à eux tous, à tous ceux qui sont sur des béquilles, ou des morceaux de bois ou des bâtons, ou des appareils orthopédiques, ceux qui sont ici ce soir, j’aimerais que vous rentriez chez vous en croyant de tout votre coeur. Réveillez-vous le matin, laissez vos vieilles béquilles et autres de côté. Venez ici demain soir et tenez cela ici, juste avant que la réunion commence. Quand le ministre a dit... dit: «Je marchais à l’aide de ceci hier soir.» J’aimerais que les gens voient que leurs prières représentaient quelque chose pour vous. Combien vont s’attendre avec anticipation à cela pour demain soir? Levez la main.
88 Vous êtes très aimables. Merci. Et je sais que seul le ciel le révélera... Maintenant, rappelez-vous que ce n’était pas tout à fait mes prières. C’étaient les vôtres.
Il y a une dame assise là, là même, elle souffrait de la déficience mentale. Je crois vraiment que cette femme va être rétablie.
J’ai vu une femme qui avait été retirée d’une institution psychiatrique, elle y avait passé environ dix ans, une femme de couleur, l’autre jour. Elle était dans la–la ligne de prière, sa soeur, et elle a prié pour elle. Et par une vision, le lendemain même, la femme avait été renvoyée de l’hôpital et elle est retournée à la maison une femme normale et bien portante. Elle a simplement récupéré ses sens. Oh ! C’était merveilleux.
89 Maintenant, levons-nous, s’il vous plaît. Puis-je demander à Dieu de bénir chacun de vous pour votre respect? C’est la maman, le papa de quelqu’un, c’est le petit garçon de quelqu’un pour qui vous avez prié. Que Dieu vous bénisse. Maintenant, avec nos têtes inclinées, je vais demander à frère Rasmussen ici de bien vouloir congédier l’assemblée. Que les bénédictions de Dieu soient avec vous, mon frère.
Juste un instant, vous aimeriez que je prie pour les mouchoirs. Père Divin, je Te prie de guérir chacun de ceux que ces mouchoirs représentent. Je prie qu’ils redeviennent normaux et bien portants, par le Nom de Jésus-Christ. Amen.
Maintenant, demain après-midi, à quatorze heures, les cartes de prière seront distribuées, et demain soir, une ligne de discernement. Vérifiez ceux qui–qui–qui ne peuvent pas entendre ou quelque chose comme cela, si on ne pourrait donc pas les mettre dans la ligne de prière pour demain. Le jeune garçon distribuera les cartes...