Messieurs, Nous Voudrions Voir Jésus
1 Vous dites quoi? Croyez que vous recevez cela...?... Et nous sommes très [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... des choses que Tu as promises de faire pour nous. Nous sommes venus ici nous réunir avec...?... Ton peuple, et communier autour de Ta Parole. Nous Te prions de bénir tous nos efforts, afin que Tu sauves les perdus. Nous savons que nous vivons dans les ombres du soir. Le temps est pratiquement terminé maintenant. Il peut y avoir quelques âmes qui restent encore, que Tu aimerais voir entrer dans le Royaume. Nous Te prions de nous aider à les glaner durant cette série de réunions.
Et nous Te prions de guérir tous Tes enfants malades, ceux qui sont si nécessiteux. Que Ta glorieuse Présence soit simplement avec nous soirée après soirée et jour après jour. Pardonne-nous nos manquements, et aide-nous alors que nous nous approchons du temps de la fin. Que Ton Esprit traite avec nous plus puissamment. Accorde-le, Seigneur, car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
2 Il fait bon être ici à Newark, New Jersey, ce soir, pour ma première fois de visiter donc votre belle ville et d’être par ici. Je demandais à un conducteur de taxi, quand on quittait la gare il y a quelques instants, à combien s’élevait la population. J’ai dit: «Environ–environ cinq cent mille. Je suppose que c’est à peu près comme Louisville.»
Il a dit: «Je pense que c’est trois millions.»
Et j’ai dit: «Eh bien, c’est cela la tendance, vous savez. Nous...?...»
Et je comprends si–si–si ceci est juste l’autre côté de New York City. C’est très bien. Une merveilleuse ville, et nous avons tenu quelques réunions à New York, dans la ville de New York. Et nous trouvons des gens merveilleux, où que nous allions, car c’est le peuple de Dieu. Ainsi donc, nous sommes toujours heureux d’être associé à de telles gens.
3 Nous sommes un peu en retard ce soir pour commencer la réunion. Hier soir, j’ai eu le parcours le plus froid jamais connu. Je suis monté à bord du train à Louisville, et on a choisi la–la voiture que je devais prendre pour venir ici, et on a dit: «Il n’y a pas de lampes là-dedans maintenant même.» On a dit: «Il y a quelque chose qui a cloché. Nous allons les arranger à Cincinnati.» A Cincinnati, on les a arrangées, et elles se sont encore éteintes, et il n’y avait pas de réchauffement à l’intérieur. Alors, nous avons passé un véritable temps dur, et nous sommes arrivés à quinze heures et quelques, tard, cet après-midi, ou plutôt tard ce soir. Nous étions donc heureux d’arriver ici. Nous découvrons donc que c’est plein de neige, cela s’accommode donc avec les Etats de l’est en cette période de l’année. J’aime ça.
Il y a environ deux semaines seulement, j’étais à Miami où tout le monde faisait la natation. Et puis, on vient ici. Mais un jour, toutes les malédictions de la terre seront ôtées quand Christ deviendra Roi, et alors, nous ne connaîtrons plus de temps froid, de temps suffocant. Et le peuple de Dieu dominera et régnera à toujours sur la terre. Nous sommes très heureux et nous attendons impatiemment ce temps-là.
4 Et maintenant, de me retrouver ici avec mon bon ami, frère Hutchins et frère Joseph Boze... Et ceci était censé être les vacances pour moi. Cet automne, j’ai commencé les vacances, et j’aime beaucoup chasser; je suis donc allé à l’ouest pour la chasse. L’équipe avec laquelle je suis parti, moi-même y compris, s’est complètement effondrée avec cette grippe asiatique qui sévit ici. Nous n’avons même pas sorti de caisses nos fusils, et nous sommes rentrés à la maison.
Puis, un peu plus tard après... J’ai dit: «Eh bien, les Hommes d’Affaires Chrétiens qui parrainent mes réunions d’outre-mer et autres, ils allaient m’amener à la Rivière de Non Retour. Aussitôt que j’étais arrivé à la Rivière de Non Retour, un avion est passé par là, et je me suis dit: «C’est étrange, un avion.» Vous ne voyez qu’un seul avion, ou vous entendez cela, une fois par jour; eh bien, c’est le soir ou la nuit. Vers onze heures trente, un courrier est venu. Ce–c’est si accidenté, les montagnes, que les avions ne peuvent pas atterrir dans une telle région.
5 Mais voici un petit avion, à environ un mile [1,6 km] d’altitude J’étais là sur un rocher en train de pêcher. L’avion a tournoyé, il est rentré, et il a largué un petit quelque chose. Howard, mon frère, venait de mourir. On cherchait à me transmettre un message. Je suis vite rentré à la maison. Et dans environ deux heures, on allait tenir les services funèbres. Beaucoup parmi vous se souviennent de Howard, il a été ici à New York avec moi. Le Seigneur avait montré son départ il y a six ans, qu’il serait le prochain à partir.
Je disais donc: «J’irai en Californie tenir cette série de réunions, à Lakeport. Je retournerai à la maison, et ensuite je prendrai un peu de vacances.»
Une fois revenu à la maison, on m’a appelé, disant: «Frère Bosworth se meurt en Floride.» Eh bien, je suis allé en Floride la semaine passée voir frère Bosworth. Et le Seigneur lui a épargné la vie. Et alors, quand je suis rentré, je me disais: «Eh bien, oh! la la! chérie, ai-je dit à ma femme, je vais prendre un peu de vacances.»
6 C’est pratiquement à ce moment-là, environ une heure, que frère Hutchins a dit: «Frère Branham, s’il vous plaît, venez ici.» Frère Boze était au téléphone. Et eh bien, il était là; et j’ai dit: «Eh bien, chérie, oh! en vacances de Noël, s’il te plaît, j’aimerais passer un petit temps à la maison, car nous allons partir pour l’Afrique cet été et outre-mer, nous absenter pratiquement tout l’été.»
Ainsi donc, les prédicateurs sont venus et j’ai dit: «Je suis désolé, frère. Je suis désolé, je dois donc–donc...» Eh bien, frère Babbage, un très cher ami à moi du Kentucky, il a dit: «Frère Branham, je suis content de prendre les vacances.»
Et j’ai dit: «Eh bien, ma femme et mes enfants les prennent aussi.» Mais finalement, il m’a parlé d’autres choses. J’ai donc dû aller là. Il n’y a donc pas de repos pour les épuisés, les épuisés. Eh bien, un jour, de l’autre côté de la rivière, nous nous reposerons. Oh! C’est vrai.
7 Eh bien, ce soir, comme d’habitude, je suis ici comme votre frère, pour vous aider dans tout ce que je peux, pour la grâce spirituelle de Dieu, vous instruire, aider frère Hutchins et–et ceux de cette église-ci et vous visiter. Nous ne sommes pas ici pour une quelconque dénomination. Nous n’avons pas de dénomination. Nous sommes ici même comme votre frère et votre ami. Et il n’y a pas de barrières, pas de race, pas de credo ni de couleur. Voyez, nous sommes donc tous un en Christ.
Ainsi donc, nous aimerions que vous vous sentiez à l’aise, que vous invitiez vos pasteurs et les autres, s’ils ne... Certains parmi eux m’ont déjà appelé, s’excusant de ce que la réunion est intervenue si vite; c’est juste une petite réunion d’au revoir pour notre frère ici avant le départ pour outre-mer... Et ils s’étaient excusés de ce qu’ils tenaient leurs propres réunions en ce temps-ci, pendant que nous sommes ici.
8 Mais nous sommes juste venu avoir un... peut-être... Si une seule personne est sauvée, ce que... ce qui vaut toutes les peines des trajets et tout le reste. C’est vrai. Cette seule personne peut aller dans les champs de mission et sauver dix mille personnes avant que Jésus vienne. C’est vrai.
Donc maintenant, j’aimerais juste parler un peu; en fait, vous avez beaucoup de bons prédicateurs. Vous n’êtes pas dans le besoin de prédicateurs par ici, mais je me classe moi-même comme un pneu de réserve. Vous savez, on transporte toujours un pneu de réserve pour le cas où on connaît une crevaison. Eh bien, nous ne connaissons pas de crevaison, mais–mais nous allons nous servir du pneu de réserve, peut-être pour un peu de temps.
Et chaque soir donc, je pense, le dimanche après-midi, c’est la fin ici. Et le dimanche soir, à–à New York City, je pense, à Brooklyn. Je confonds tout cela. Tout cela, c’est New York pour moi, chaque brin de cela. Ainsi, Brooklyn, c’est là que nous serons le dimanche pour la réunion du dimanche soir.
9 Maintenant, ce soir, j’aimerais juste peut-être... Billy, mon garçon, frère Hutchins l’a attrapé à l’hôtel et lui a dit: «J’aimerais que tu descendes distribuer les cartes de prière.» Si nous savions qu’il y aurait ici autant de gens, nous ne serions pas... Et Billy est revenu et a dit: «Papa, on ne peut pas distribuer des cartes de prière, il n’y a pas là assez de gens à qui les distribuer.» Je pense, il a dit avoir distribué environ douze ou quatorze cartes de prière, quelque chose comme cela. Il a dit qu’il n’y avait pas encore beaucoup de gens assemblés là, à cause du temps froid.
Vous savez quoi? Là dans mon Etat, on n’aurait eu personne dehors par une soirée pareille. Ils ne viendraient pas. Il fait trop froid. Ainsi donc, nous... Mais nous allons simplement prier pour les malades de toute façon. Je ne vous retiendrai pas très longtemps. Et puis, demain soir, le Seigneur voulant, je prêcherai demain soir, le Seigneur voulant, et aussi une ligne de prière, si le Seigneur conduit donc à prier pour les malades.
10 Et maintenant, la raison pour laquelle parfois nous distribuons les cartes de prière, oh! la la! quelques-uns... J’ai mes deux jeunes gens chargés de bandes ici, monsieur Mercier et monsieur Goad, ici, et ils ont leurs bandes magnétiques, ils enregistrent les réunions. Et ils les ont, ils les vendent juste avec une très petite marge bénéficiaire par rapport à ce que ça leur coute. Ils m’accompagnent partout où je vais, ils ont beaucoup de grands services. Et si vous avez un enregistreur, je suis sûr que vous apprécierez ces bandes. Ainsi, eux donc, ou si Billy ne peut pas être ici, l’un d’eux distribuera des cartes chaque soir, plutôt chaque nuit. Eh bien... Oh! Je pense que c’est le soir. Je...
Je confonds toute cette histoire. Quand j’arrive ici, je dois faire attention à ce que je dis. Là dans le Sud, nous avons le petit-déjeuner, le dîner et le souper. Ici dans le Nord, vous avez le petit-déjeuner, le repas de midi et le dîner. J’ai l’impression d’avoir manqué un repas quand ce–quand ce temps arrive. Je n’ai pas pris mon souper. Je–je ne sais pas... Je suis donc... Nous les gens du Sud, nous pouvons paraître un peu drôles, vous savez, aux yeux des Yankees ici dans le nord, mais la guerre est maintenant finie...?... La guerre est terminée. Maintenant, nous sommes tous ensemble dans une guerre contre le péché et contre la maladie.
11 Et j’aimerais lire juste un peu ce soir. Et il peut y avoir des gens ici que j’ai peut-être... que je n’ai jamais vus de ma vie, peut-être qu’ils n’ont jamais assisté à l’une de mes réunions. Franchement, je ne reconnais personne de visage en ce moment-ci. Je pense, cet homme, le frère ici avec la–avec la barbe; je crois l’avoir vu quelque part. C’est possible, je n’en suis pas sûr. Avez-vous été dans l’une de mes réunions, frère? J’ai pensé réellement me souvenir de lui par la barbe et les cheveux. Il me rappelle frère Ryan. Qu’en est-il, Gene, ne ressemble-t-il pas à frère Ryan? Vous souvenez-vous de frère Ryan? C’était un cher ami à moi, vraiment un merveilleux, il était de Michigan. Il vient de partir à la rencontre du Seigneur récemment.
Et maintenant, j’aimerais expliquer... J’ai... Combien ici aimeraient qu’on prie pour eux ce soir? Levez la main. Voyons. Eh bien, je pense donc que c’est bien. Nous allons donc prier pour les malades. Je vais simplement me trouver autre chose, peut-être. Ou...
12 Voyons, je–j’aimerais lire un–un verset des Ecritures ici de toute façon, il se trouve au–au chapitre 12 de Saint Jean, verset 20, très familier, mais juste pour avoir une toile de fond pour parler de la guérison.
Quelques Grecs, du nombre de ceux qui étaient montés pour adorer pendant la fête,
S’adressèrent à Philippe, de Bethsaïda en Galilée, et lui dirent avec instance: Seigneur, nous voudrions voir Jésus.
Eh bien, c’est un petit passage des Ecritures très familier, mais voici ce que j’aimerais demander à ce petit groupe: «Et si c’était la dernière soirée où on est donc sur terre?» Savez-vous qu’avant le... nous terminions, j’ai un message que j’ai apporté ici en Californie, il n’y a pas longtemps, sur L’Ecriture sur la muraille, et sur le spoutnik moderne, si c’est dans la Bible, et tout, et ce que cela représente pour cette génération-ci à l’heure où nous vivons. Et j’espère que le Seigneur me permettra d’en parler avant de partir et de quitter la réunion.
13 Maintenant, nous vivons à une heure si tardive, et à un temps tel qu’il n’y a rien au monde qui compte en dehors de Christ. Il n’y a rien de naturel sur lequel vous pouvez mettre vos mains, qui ne périra pas, sauf Christ l’Invisible qui est l’unique Chose Eternelle que nous avons ce soir; c’est–c’est–c’est Christ. Et nous L’aimons.
Ainsi donc, maintenant, s’Il était à Brooklyn, ou à Newark ce soir... Si Christ était à Newark, à New Jersey, ce soir, à quoi vous attendriez-vous? A quel genre de Personne vous attendriez-vous? Or, nous savons que la Bible enseigne dans Hébreux 13.8 qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Eh bien, maintenant, s’Il est le même, maintenant Il... S’Il n’est pas le même plutôt, eh bien, alors les Ecritures sont fausses. Et s’Il est le même, il devrait y avoir un moyen pour nous de savoir qu’Il est ici. Ne pensez-vous pas que c’est vrai? S’il y a un moyen visible par lequel nous pouvons savoir... Je pense qu’Il était humain. Je crois qu’Il s’intéressait à la race humaine. Il est mort pour elle, Il a donné Sa Vie pour elle.
14 Et maintenant, avons-nous... S’il me fallait traverser la rue... J’ai vu un signe qui était là ce... de l’autre côté de la rue, un frère qui tenait des services là, du nom... J’oublie simplement le nom maintenant. Je lisais cela tout à l’heure quand je venais. Si je vais demander au frère: «Croyez-vous que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement?»
Il dirait: «Oui, oui, Frère Branham.»
Si je descendais au coin suivant, chez un autre frère, ou n’importe où, chacun d’eux dirait: «Oui, je crois qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Si je demandais à ce groupe de frères ici ce soir, des chrétiens, je présume: «Croyez-vous qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement?»
Vous diriez: «Oui, Frère Branham, je crois qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»
15 Alors, s’Il est si grand, et qu’Il est le même, et qu’on L’a vu les jours passés, pourquoi ne pouvons-nous donc pas Le voir aujourd’hui? Voilà ce que je me demande. Eh bien, s’il est le même, Il est... Il n’y a qu’une seule chose de différent en Christ par rapport à ce qu’Il était en Galilée, c’est que ce soir, Il est dans un corps spirituel plutôt que dans un corps corporel.
Eh bien, quand Il était ici sur terre, Il a dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Eh bien, ce n’est pas le cep qui porte les fruits. Le cep communique seulement la vie au sarment, et c’est le sarment qui porte les fruits. Vous ne cueillez pas de fruits du cep. Vous les cueillez des sarments. «Tout sarment qui est en Moi et qui ne porte pas du bon fruit (Saint Jean), Il le retranche, Il l’émonde», l’église et que sais-je encore...
16 Or, les fruits de Christ, quand Il était ici sur terre, les oeuvres qu’Il avait accomplies quand Il était ici sur terre, Il a promis que cela serait accompli par l’église, après Son départ: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez de plus grandes, car Je m’en vais au Père.»
De plus grandes, si quelqu’un connaît le grec, il sait que ces mots: de plus grandes, ça ne veut pas dire que ça sera en qualité; ça veut dire en quantité. En d’autres termes, cela sera: «Vous en ferez davantage. C’est ainsi que nous devrions lire cela. «Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.»
Grand, car personne ne pouvait faire de plus grandes oeuvres que ce que Lui a fait, car Il a ressuscité les morts, Il–Il a arrêté le cours de la nature. Il–Il a fait tout ce qui pouvait être fait. Il a arrêté la mer houleuse, Il a calmé les vents, Il a ressuscité les morts après qu’ils se furent déjà corrompus dans la tombe. Et–et aucun homme ne pouvait faire de plus grandes en qualité. Mais comme Son Esprit est entré dans l’Eglise et qu’Il s’est répandu, ce sera une Eglise universelle, partout à travers le monde; alors ils peuvent faire davantage de mêmes choses que Lui faisait.
17 Eh bien, alors, nous regardons... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Voyez quel genre de Personne Il était. Quand nous Le trouvons, Il n’était pas différent de tout autre homme, à Le voir. Il était si... Eh bien, nous appellerions cela un habillement simple et tout, au point qu’Il passait parmi les hommes, et nul homme ne Le distinguait de tous les autres, difficilement, sauf Ses disciples seuls. Quelque chose dont Il parlait, Il pouvait passer en plein milieu des gens, et ils ne savaient pas Qui Il était, parce qu’Il... Tous les hommes s’habillaient de la même façon.
Si nous Le cherchions, nous ne chercherions pas un grand souverain sacrificateur, habillé de façon tout à fait différente pour se distinguer de tous les autres, par son apparence. Il serait juste un Homme ordinaire, habillé décemment, s’Il vivait aujourd’hui. Et c’est le genre de Personne qu’Il serait. Il ne serait pas si cultivé ni si instruit que personne ne saurait de quoi Il parlait. La Bible dit: «Les gens du peuple L’écoutaient avec joie.» C’étaient juste des gens comme–comme vous et moi. Nous étions juste des gens du peuple.
18 La Bible est écrite dans un langage si ordinaire que les érudits et les gens instruits prennent un mot comme ceci, ils disent: «Ce mot veut dire ceci et cela.» Ils finissent par découvrir que cela a été exprimé dans un langage ordinaire, en grec, et ils en ont manqué le sens.
Eh bien, vous savez quoi? Lors de mes tours à travers le monde, vous savez là où j’ai eu le plus besoin d’un–d’un interprète par rapport à n’importe où ailleurs? C’était à Londres, en Angleterre. Oui. Je pensais que je parlais anglais jusqu’à ce que j’étais arrivé là. Et je me suis rendu compte que je ne parlais pas anglais. Non. Je–je n’arrivais pas à comprendre quoi que ce soit de ce qu’ils disaient. Ils n’arrivaient pas à me comprendre. Alors...
19 Une fois, j’étais à Miami, j’ai téléphoné ici à New York. Quelqu’un était au téléphone, j’ai eu une connexion et la–et la petite opératrice au Sud n’arrivait pas à faire comprendre à cette petite opératrice du nord ce qu’elle disait. Et on a dû faire passer cela par Saint Louis et avoir quelqu’un pour servir d’interprète entre le nord et le sud, ici même en Amérique. C’est vrai.
Eh bien, Jésus parlait le langage très clair et ordinaire qu’on entend dans la rue. Et alors, si vous essayez d’utiliser cette version anglaise des érudits de très haut niveau du... Regardez là où nous nous serions retrouvés ce soir. Oh! la la! Si je me mettais ici avec un grand... Eh bien, vous pourriez me comprendre, mais généralement, les hommes ordinaires ne comprendraient pas, si vous utilisez une grammaire de très haut niveau, une bonne grammaire.
20 C’est ce que Dieu a donc fait, comme Il a dit qu’Il cacherait cela aux sages et aux intelligents, et qu’Il le révélerait aux enfants qui veulent apprendre. On ne connait pas Dieu par une grande instruction qu’on a. On connaît Dieu par la foi que l’on a. Voyez? On ne connaît pas Dieu par la science, on ne Le connaît pas non plus par une quelconque culture, mais on Le connaît par la foi. Et par la grâce, Il se manifeste à Son croyant. C’est par un acte de grâce que Dieu se manifeste aux gens.
Si nous nous mettions à Le suivre un petit moment, alors nous saurions davantage sur le genre de Personne que nous chercherions. Eh bien, nous savons que Sa naissance, comme nous allons célébrer cela bientôt, le Seigneur voulant, à la Noël, Il est né dans une crèche et tout.
Mais après, nous voyons que ce n’était pas exactement l’histoire de Noël. Souvent, si vous lisez la Bible, on voit que cette histoire de Noël, où on amène Marie à la crèche avec un petit enfant, c’est une fiction.
21 Vous savez, les mages n’étaient pas allés vers un petit Bébé. Ils sont allés vers un jeune Enfant, de deux ans ou plus. Voyez-vous? La Bible dit qu’on avait tué tous les enfants de deux ans jusqu’en bas pour L’avoir. Il avait environ deux ans. Mais nous avons toutes ces petites choses qui sont devenues juste de petites fictions et de petites histoires que nous racontions. Néanmoins, dans tout cela, Dieu est glorifié.
Maintenant, nous aimerions Le voir dans Son oeuvre. Eh bien, Jésus est né dans un dessein, c’était pour que Dieu se manifeste au travers de ce corps-là. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Il était un corps qui avait été rendu physique, afin que les hommes et les femmes puissent voir ce qu’Il pensait, ce qu’Il exprimait vis-à-vis des gens selon Sa reconnaissance. Et Son attitude envers toute l’humanité, Il l’a exprimée au travers de Christ.
Christ semblait avoir une double personnalité. Parfois, Il parlait et les gens se grattaient la tête. Et–et ils ne Le comprenaient pas. Il disait une chose une fois, on dirait, puis autre chose à un autre moment. Ce qui se passait, c’est que Jésus parlait, et puis Christ parlait. Jésus était l’Homme, Christ était Dieu qui était en Lui. «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi qui fait les oeuvres.» Voyez? Dieu ne partagera Sa gloire avec personne.
22 Tout cela vient donc par l’Esprit, mais Jésus est né d’une vierge pour servir de Tabernacle au Saint-Esprit de Dieu, premièrement pour se manifester aux gens; et Il a donné Sa vie, un Sacrifice volontaire, afin que par Sa justice, nous les injustes nous puissions avoir le droit d’avoir communion comme Lui en avait avec le Père avant la fondation du monde. Si ce n’est pas là la grâce et la gloire, ce qu’Il a fait pour nous.
Alors–alors, de penser que le jour dans lequel nous vivons, il y a beaucoup de gens qui sont privés de ce privilège. Eh bien, vous êtes... Nous sommes à des millions de kilomètres en dessous du privilège que Dieu nous a donné. Exact. L’Eglise du Dieu vivant ne devrait jamais être divisée. Nous devrions être un et ensemble.
23 Nous ne devrions jamais vivre en dessous de notre privilège tel que nous vivons aujourd’hui. Les grandes puissances de Dieu sont à la portée de chaque–chaque membre du Corps de Christ. «Tout ce que vous demanderez, en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir.» Et cela vous sera donné.
Je lisais le lexique l’autre jour, quand cela... Là dans Luc, dans ce passage-là que je viens de citer. Dans la version originelle, cela est rendu par: «Quand tu pries...», dit-il... voici à quoi je veux en venir. Il a dit: «Si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer’, et si vous croyez dans votre coeur que cela est déjà fait...» Croire que cela est déjà fait...
24 Oh! Beaucoup de gens disent: «Priez pour moi, frère.»
Très bien: «Seigneur, aide ce cher frère.» On leur donne une carte de prière, et la meilleure qu’on peut. Il a vu d’autres être guéris soirée après soirée, temps après temps, mais: «Je n’ai pas reçu cela. Je vais encore essayer demain soir.» Oh! la la! Vous dis–vous discréditez Dieu pour le... Vous discréditez Sa Parole.
Observez. «Si vous croyez dans votre coeur que cela est déjà fait...» Peut-être que cette montagne a toujours le même aspect, mais dans votre coeur vous croyez cela. Il n’y a peut-être pas un seul petit grain de sable, mais quelque chose est en train de se défaire. Quelque chose commence à prendre place. Voyez? Quand nous croyons que cela est déjà fait... Mais vous voyez, nous aimons donc quelque chose de spontané...?... Et qu’obtenons-nous? Un reste, un reste. En effet, cela affaiblit.
D’ici quelques soirées, j’aimerais aborder cela, sur la foi, l’Eternel des armées en vous. Voyez?
25 Maintenant... Mais maintenant, voir Jésus. Eh bien, nous voyons que quand vous voyez Jésus, vous voyez Dieu. Il a dit: «Celui qui M’a vu a vu le Père; pourquoi dites-vous donc: Montre-nous le Père?» Jean 14.
Quand Thomas a dit: «Montre-nous le Père et cela nous suffit», Il a dit: «Il y a si longtemps que Je suis avec vous, et tu ne M’as pas connu? Quand vous Me voyez, vous voyez Mon Père.» Le Père était en Christ, en–en Jésus, se manifestant au monde.
Maintenant, nous Le voyons au commencement, quand Il fut baptisé du Saint-Esprit le jour où Dieu était venu habiter en Lui, quand Jean L’a baptisé d’eau. Il est allé directement dans le désert et Il a été tenté par le diable. Ne voyez-vous pas qu’aussitôt qu’une bénédiction spirituelle arrive effectivement, vous vous attendez à ce que le diable se tienne là même alors pour vous la dérober, s’il le peut?
26 Eh bien, il a fait passer Jésus par chaque détour possible. Il L’a d’abord sérieusement affamé. Il a dit: «Si Tu es le Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains.» Jésus a directement répliqué, pas avec Sa puissance, pas avec Ses dons, alors que toute la plénitude de la Divinité habitait en Lui, mais Il ne s’En est pas servie. Il a rabaissé cela au niveau où le chrétien le plus faible pourrait avoir le privilège de s’en servir. Il a dit: «Il est écrit que l’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.» Vous y êtes. «L’homme ne vivra pas de pain seulement.»
Le–le... Puis, Jésus fut tenté sur le haut du temple et il Lui fut dit: «Accomplis un miracle pour moi. Fais-le-moi voir.» Vous voyez, ce même ennemi vit aujourd’hui. «Fais-moi voir quelque chose. Laisse-moi t’amener quelqu’un, et guéris-le-moi.» Voyez? C’est le même démon.
Le diable retire son homme, mais jamais son esprit. Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. L’Esprit qui était sur Elie est venu sur Elisée, d’Elisée à Jean-Baptiste, ainsi de suite. Le même Esprit qui était en Christ est sur Son Eglise, et Il restera jusqu’à ce que Jésus vienne unir ce Corps-là au Sien dans la Gloire. Certainement.
27 Jamais son esprit, mais son homme... Satan descend avec un homme religieux, tout aussi religieux et réputé au possible, il travaillera et il persécutera l’Eglise du Dieu vivant; il retire son homme, mais il place cela sur un autre. Considérez ces pharisiens et ces sadducéens, quels érudits ils étaient! Combien instruits, combien intelligents, combien saints! Ils devaient naître dans une certaine lignée. Ils devaient descendre d’une certaine tribu. Ils devaient être très érudits et très saints, mais néanmoins ils avaient rejeté Christ.
Et je dis cela avec respect, mais les mêmes choses se répètent aujourd’hui. Dieu agit par Son Esprit sur la terre, accomplissant des signes et des prodiges. Et écoutez ça, mes amis; je n’aimerais pas vous effrayer ni vous faire du mal, mais j’aimerais vous dire la vérité. Vous vous attendez à ce qu’il arrive quelque chose, cela est déjà arrivé. La prochaine chose, c’est la Venue du Seigneur. Cela vous est directement passé par-dessus la tête. Vous n’avez pas reconnu cela. Rappelez-vous le jour dans lequel vous vivez. Faites attention à ce que vous écoutez. Réveillez-vous.
28 Il y a quelques jours, je parlais. Quelqu’un était venu faire examiner cette photo de l’Ange du Seigneur, et on disait que c’est le même Ange qui avait conduit–conduit les enfants d’Israël après que ce célèbre film fut joué ici: Les Dix Commandements. Cecil DeMille a essayé de tourner cet endroit... ce film sur ces Dix Commandements.
La Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël, C’était l’Ange de l’alliance qui était Christ. Quand Il était sur terre, Il disait: «Je viens de Dieu, Je vais à Dieu.» Et quand Il... Avant qu’Il ne vienne pour être le Fils dans l’Esprit et dans la chair, Il était la Colonne de Feu. Il est retourné à la même chose.
Paul, quand il était en route vers Damas pour persécuter l’Eglise, il y eut une grande Lumière qui se suspendit devant lui et qui lui creva les yeux. Personne à part Paul n’a vu cela. Christ peut apparaître ici ce soir, et l’un peut voir tandis que l’autre n’arrive pas à voir cela. Il se révèle à qui Il veut.
29 Mais Il a permis que Sa photo soit prise maintenant par l’oeil mécanique de l’appareil photo ici, en Allemagne et à travers le monde. Et il y a des preuves pour ça. Cela est accroché ici même à Washington, D.C., maintenant là dans le musée des arts religieux: l’unique Etre surnaturel jamais photographié. Qu’est-ce? C’est Lui qui montre qu’Il est ici. Et vous allez vous réveiller trop tard.
Aucun journal n’a publié cela, aucun magazine n’a publié cela. Pourquoi? Pourquoi ne l’ont-ils pas publié? Dieu ne peut pas être publié en ce jour-ci, pas plus qu’Il ne L’a été. Ils n’avaient jamais su jusqu’à ce qu’Elie... Elisée était parti. Ils n’avaient jamais su qui Elie était jusqu’à son départ. Ils n’avaient jamais su qui Jean était jusqu’à sa décapitation. Ils n’avaient jamais reconnu qui Jésus était jusqu’à Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection.
Ils n’avaient jamais reconnu qui saint Patrick était (L’Eglise catholique l’avait persécuté) jusqu’à sa mort et son ensevelissement. Après, ils l’ont canonisé saint. Saint François d’Assise, que nous appellerons aujourd’hui un prédicateur itinérant avec une Bible sous son bras, l’Eglise catholique... Il avait protesté contre elle. Et on le haïssait. Mais après sa mort, c’est alors qu’ils l’ont canonisé saint.
30 Jeanne d’Arc, qui sauva la France, une femme spirituelle qui avait des visions et qui prophétisait, l’Eglise catholique l’a brûlée comme sorcière. Exact. On disait qu’elle était une sorcière et on l’a brûlée. Une centaine d’années ou plus après sa mort, ils se sont rendus compte qu’elle était une sainte. Oh! Ils ont fait des pénitences, assurément; ils ont déterré les corps des prêtres et ils les ont jetés dans la rivière. C’était là une pénitence. Mais malgré tout, ils ne l’avaient pas reconnue jusqu’à son départ.
C’est donc pareil aujourd’hui. Le Saint-Esprit se meut parmi les gens avec de grandes oeuvres et Il se manifeste, et fait même savoir cela, et ils ne s’en rendent pas compte jusqu’à ce que ça soit terminé. Ils ne se rendent pas compte que Dieu avait promis que cela... Vous direz: «Eh bien, quand va-t-Il faire telles choses?»
C’est ce que les disciples ont dit de Jean. Ils ne comprenaient pas. Ils ont dit: «Pourquoi disent-ils que le prophète Elie doit venir premièrement?»
Jésus a dit: «Il est déjà venu, et vous ne l’avez pas reconnu.» Il ne peut pas être une Chose dans une génération, et autre Chose dans une autre. Il doit continuer de même.
31 Ecoutez, Jésus est ici maintenant, et ceci est votre occasion. C’est aujourd’hui le jour du salut. C’est maintenant le temps. Invoquez-Le. Voyez? C’est maintenant l’heure. C’est maintenant le temps de la délivrance. C’est maintenant le temps où Dieu appelle Son peuple à sortir, pas un autre temps; c’est aujourd’hui le jour. Il se manifeste, Il se montre.
Nous voici donc venir ce soir devant ces soixante ou soixante-quinze personnes avec un défi, qu’Il est ressuscité d’entre les morts. S’Il ne l’est pas, je suis une–je suis une–je suis une personne horrible. Je–je suis un séducteur, si Christ n’est pas ressuscité d’entre les morts et si là où deux ou trois sont assemblés, Il ne se réunit pas avec elles, selon Sa Parole; alors, je serai trouvé un faux témoin. Et tout autre prédicateur le sera aussi, celui qui prêche l’Evangile.
Pouvez-vous faire entendre cela aux gens? Certainement pas. Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Ils se sont moqué, ils ont raillé, ils ont ridiculisé. Ce qu’ils avaient... Considérez les gens quand Lot a essayé, avant la destruction de Sodome, il est allé essayer de leur parler, mais ils ont dit: «Tu racontes des histoires.» Ils n’ont pas cru cela.
32 Et Il doit donc faire la même chose aujourd’hui...?... Mon message, qui est en fait le pur Evangile et des Ecritures, et les gens doivent rejeter cela pour accomplir la Parole. Peu importe ce qu’Il fait, ils ne croiront toujours pas. La Bible dit que même s’Il accomplissait beaucoup de miracles parmi eux, ils ne pourront croire cela, car Esaïe a dit: «Ils ont des yeux et ils ne peuvent pas voir, des oreilles, ils ne peuvent pas entendre, de peur qu’ils ne voient de leurs yeux, qu’ils n’entendent de leurs oreilles et qu’ils ne se convertissent.»
Nous vivons en un–un temps merveilleux pour le croyant. Nous vivons en un temps terrible pour l’incroyant, car il a rejeté. Et rappelez-vous, la même chose qui avait détruit le monde avait sauvé Noé. Et le même Evangile qu’ils ridiculisent aujourd’hui enlèvera l’Eglise et détruira l’incroyant. [Frère Branham tousse.–N.D.E.] Excusez-moi. Oh! Que c’est vrai!
Maintenant, nous sommes dans les derniers jours. Quand Jésus, à la fin de la dispensation des Gentils... Je ne suis pas tellement un dispensationaliste, mais je sais qu’il y a une dispensation des Gentils. Jésus l’a dit dans Matthieu 24. Et maintenant, la fin des Gentils, je crois que ce réveil qui vient de frapper annonce la fin des Gentils.
33 Jésus a aussi dit dans Matthieu 24, Il a dit: «Quand vous verrez le figuier et tous les autres arbres bourgeonner, sachez que le temps est proche, même à la porte. Cette génération ne passera point que tout soit accompli.» Pensez-y donc. Ce n’était pas seulement des Juifs, le figuier qui devait bourgeonner, mais les autres arbres.
Et chaque église a eu un réveil et elle en a eu pendant les quelques dernières années. Les pentecôtistes, vous avez eu un réveil. Les baptistes ont eu un réveil. Les presbytériens ont eu un réveil. Et les Juifs retournent en Palestine. «Cette génération ne passera point que tout soit accompli.»
Une génération compte quarante ans. Dix ou douze ans de cela sont déjà écoulés depuis qu’il est devenu une nation le 7 mai 19... non, le 6 mai 1946. Nous sommes au temps de la fin. Jésus a promis ces choses pour les derniers jours. Nous sommes un peuple privilégié de les entendre. Ne les laissez pas passer. Appréciez-les. Recevez-les. Parlez-en aux autres. Embrassez-les.
34 Dieu ne vit pas dans l’éclat. Dieu habite dans l’humilité. L’éclat vient de Satan. Il habite dans l’humilité. Quand Il était ici sur terre, Il était le plus humble parmi les hommes, le plus pauvre parmi les hommes. Qui était celui qui voulait l’éclat? Satan. Il voulait que son royaume soit plus glorieux que celui de Micaël, aussi l’avait-il établi au Nord, cherchant à dépasser l’autre par l’éclat, le fils de l’aurore.
Or, remarquez quand Il était ici en ce temps-là, après que Sa tentation eut commencé, Il est allé, Il a enduré Sa tentation. Pourquoi? Par un... Comment? Par la Parole. Accrochez-vous à la Parole.
Nous avons un jour (Je sais qu’il n’y en a pas beaucoup ici, mais j’aimerais dire ceci.)–nous avons un jour où le monde est plein de... Vous pouvez voir que la–la chose est pratiquement terminée.
35 Le monde, ce qui devrait être spirituel, c’est devenu des ismes. Le monde, ce qui devrait être spirituel en est arrivé au fanatisme, aux émotions et autres. Ils ne s’accrochent pas à la Parole. La Parole est la Voie de Dieu. La Parole de Dieu est... subsistera. Elle subsistera au test à tout moment. Mais nous adoptons de petites émotions, des excitations, et tout, et ce–c’est ce genre de trouble que nous connaissons.
Or, suivons Jésus au commencement et voyons ce qui se passe maintenant. Nous Le voyons, le Messie oint. Observez là. Il tenait une réunion. La première chose, les gens commencent à venir. Il priait pour eux, et il y avait des résultats. C’était là Jésus hier. S’Il est le même, c’est le genre de réunions qu’Il tiendrait aujourd’hui, pas à un endroit où on renie les puissances du Père, Il prouverait les puissances du Père, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
36 Eh bien, nous voyons qu’Il tenait une réunion, il y eut un homme du nom de Pierre qui vint vers Lui. Jésus ne l’avait jamais vu. Et Il a dit: «Ton nom est–est Céphas, Simon, fils de Barjonas, fils de Jonas plutôt. Ton nom est Simon, fils de Jonas. Mais, désormais, tu seras appelé Pierre.» Quelle chose étrange c’était! Votre...
«Tu veux me dire que Tu as su que mon nom est Simon et que le nom de mon père était Jonas? Et puis, tu vas me surnommer maintenant et m’appeler d’un autre nom, ‘petite pierre’?» Cela l’a plutôt intrigué. Mais c’était la vérité. C’était là Jésus hier. S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit faire de même aujourd’hui pour être Jésus. C’était le pêcheur de Galilée.
37 Nous voyons donc dans Saint Jean, je pense, en chapitre 1, nous voyons qu’il y a eu un homme du nom de Philippe qui était sauvé, il Lui avait donné son coeur, il était devenu Son serviteur et Son disciple. Et la chose suivante, vous savez, il est allé trouver un autre homme qui était son ami, un très bon membre d’église. Et ce dernier habitait de l’autre côté, à côté de la montagne à plusieurs miles. Alors... Son nom était Nathanaël. Philippe va donc, il trouve Nathanaël et dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé.»
Maintenant, suivez. Eh bien, Nathanaël représente toute la nation juive, les croyants. Il trouve donc Nathanaël et il lui a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.» Et il a dit...
Cet Israélite était à genoux, sous un arbre en train de prier. Et quand il s’est relevé, il a dit: «Eh bien, attends une minute, Philippe. Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»
38 Et je pense que Philippe lui a donné la meilleure réponse que quelqu’un puisse donner. Il a dit: «Viens, et vois.» Sois toi-même convaincu. J’imagine que le long de la route, alors qu’ils parlaient, il a dit: «Eh bien, Nathanaël, une fois que tu arriveras, tu sais ce que le Messie va être. Le Messie va être Jéhovah voilé dans la chair, enveloppé d’un corps. Il va naître d’une vierge, disent les prophètes. Il sera un Homme, mais Il va être le Dieu-Homme. Et Dieu connaît toute chose. Donc, ce Messie va être un Homme merveilleux. Et nous savons que ce Jésus de Nazareth est le Messie.»
Je peux entendre Nathanaël dire: «Eh bien, attends que j’arrive. Je vais–je vais donc découvrir de moi-même. Et puis, je te dirai mon avis après que je Lui aurai parlé un peu.»
39 Eh bien, Jésus avait un groupe de gens pour qui Il priait, dirons-nous. Et le jour suivant, Nathanaël arrive là avec Philippe. Ils s’arrêtent quelque part dans l’assistance, ou peut-être qu’ils sont entrés dans la ligne de prière pour s’approcher, afin qu’il puisse rencontrer Jésus. Je ne sais comment c’était.
Mais de toute façon, quand Il est entré dans la Présence de Jésus, Jésus l’a regardé, c’était juste un homme, un Juif ordinaire. Et Il l’a regardé, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»
Eh bien, cela l’a beaucoup frappé. Je pense qu’il s’est demandé: «Qui T’a dit cela? Comment m’as-Tu connu? As-Tu, ou quelqu’un T’a-t-il parlé de moi?» C’est comme ça que Dieu est. Il vous connaît. Il sait ce que vous êtes. Il sait de quoi vous êtes constitué. Il vous comprend.
40 Il a dit: «Comment m’as-Tu connu, Rabbi? Comment m’as-Tu connu?» Et Jésus a dit: «Avant que Philippe t’appelât hier, ou je ne sais quand c’était, quand tu étais sous l’arbre en train de prier, pour ainsi dire, Je t’ai vu.» Quels yeux, de l’autre côté de la montagne, à trente miles [48 km]! Il a regardé de l’autre côté de la montagne et Il l’a vu à genoux en train de prier. Cela prouvait ce qu’Il était.
Alors, cela avait tellement frappé ce Juif croyant orthodoxe qu’il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.» Qu’était-il? Le choisi, le sélectionné, le préordonné, le prédestiné de Dieu. Par la prescience, Dieu, avant la fondation du monde savait qu’il serait là. Dieu est infini.
41 Que quelqu’un me dise ce que ce mot infini veut dire. Vous ne pouvez pas l’expliquer. Il est le Dieu omnipotent, omniscient, Tout-Puissant, infini. Il connaissait chaque puce, chaque mouche. Avant que le monde fût créé, Il savait qu’il serait ainsi. Il savait que cette réunion se tiendrait ce soir.
Il est là. Et quand il entre dans la Présence, là dans le Corps de Son Fils, Christ, ce Juif croyant a dit: «Tu es le... Rabbi, Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Christ, le Fils de Dieu.»
Maintenant, considérez le véritable enseignant orthodoxe qui se tenait là à côté de Lui. Eh bien, quand il a vu ce miracle être accompli, il a dit: «Cet Homme est un diseur de bonne aventure. Il est Béelzébul. Il est le chef... Il est le plus grand de tous les diseurs de bonne aventure. Eh bien, son–son inspiration vient du diable. C’est le diable qui a fait de Lui un Roi. Et maintenant, Il vient ici séduire notre peuple avec ces choses.»
42 Qu’est-ce que Jésus leur a dit, à ces docteurs? Eh bien, Il a dit: «Vous pouvez parler en mal de Moi, le Fils de l’homme, il vous sera pardonné. Mais quand le Saint-Esprit sera venu (Ce que nous avons ce soir), parler en mal de Cela ne vous sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. Alors, dans quelle position sommes-nous ce soir? Que sommes-nous pour rejeter Christ?
Eh bien, nous avons des églises, nous avons de grandes choses, ce que nous apprécions. Quel que soit le genre d’église qui prononce le Nom du Seigneur Jésus, bénie soit cette église-là. Peu m’importe qu’elle soit catholique, qu’elle soit protestante, qu’elle soit juive, quoi qu’elle soit, que ce soit–que ce soit les adventistes du septième jour, qu’elle soit de Russell, ou quoi qu’elle soit. Peu importe ce que c’est, je préférerais les voir essayer de faire quelque chose pour Dieu plutôt qu’être dans la rue en train de vivre dans la luxure et des choses comme ce que le monde est en train de faire. Certainement. Mais, frère, dans tout cela, il doit y avoir quelque part, on doit en arriver à une confrontation quant à la vérité.
43 Je crois que Christ honorera chaque croyant dans chaque église. N’importe qui dont le coeur est en ordre avec Dieu, Dieu honorera cette personne-là: Catholique, protestante, quoi qu’elle puisse être. Oui, Dieu connaît votre coeur. Eh bien, vous ne pouvez pas cacher cela. Dieu connaît votre coeur.
Eh bien, nous Le constatons. Eh bien, en ce jour-là, c’est ce que–ce–c’est ce que ce Juif a dit. Il représentait chaque croyant juif, car les croyants s’étaient assemblés autour de Lui. Jésus a dit: «Là où est le corps, là s’assembleront les aigles.» C’est exact. Ils s’assemblent autour de Lui.
Eh bien, considérons-Le, pour un autre commentaire, chez les Samaritains. Maintenant, ceci est Saint Jean, chapitre 5. Eh bien, nous Le trouvons dans le... montant au... Il allait à Jéricho. Si quelqu’un connaît la géographie, Jérusalem est située sur une colline, Jéricho est située dans une vallée.
44 Et sur Son chemin de Jérusalem à Jéricho, Il allait tout droit en descendant, mais il Lui a fallu passer par la Samarie. Or, les Samaritains étaient mi-Juifs mi-Gentils. C’était un groupe de gens mélangés. Pourquoi devait-Il monter là-haut? Quelle contrainte y avait-il qui Le poussait là-haut?
Saviez-vous donc que des hommes qui sont conduits par l’Esprit de Dieu ne peuvent pas se comprendre eux-mêmes? Ils sont poussés par une force telle que parfois ils se demandent: «Pourquoi ai-je donc fait cela?» Mais c’est Dieu opérant en eux. Les fils et les filles de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu.
45 Considérez Siméon au temple ce matin-là, alors que le Saint-Esprit lui avait promis qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur. Il est directement entré dans le temple, sous la conduite du Saint-Esprit, il est allé tout droit vers cette petite vierge qui se tenait là avec un Enfant dans ses bras, emmailloté, il a pris ce petit Enfant dans ses bras, et il a dit: «Seigneur, laisse Ton serviteur s’en aller en paix selon Ta Parole, car mes yeux ont vu Ton salut.»
Considérez la vieille aveugle Anne, Anne au temple, une prophétesse qui attendait la consolation d’Israël. Et elle servait le Seigneur jour et nuit au temple par des jeûnes et des prières. Et sous la conduite de l’Esprit, elle vient, conduite par le Saint-Esprit, elle, aveugle, tout droit, et elle a pris l’Enfant, elle a prophétisé sur Lui et pour ceux qui attendaient la consolation d’Israël.
46 Jésus conduit par l’Esprit est allé en Samarie et Il a renvoyé tous Ses disciples acheter des vivres dans la ville. C’était alors que Jean s’était fâché contre eux pour ne leur avoir pas vendu à manger, il voulait consumer la ville; plus tard, il est devenu le disciple de l’amour.
Maintenant, nous voyons qu’en leur absence, une jeune femme... Nous croyons dans ce pays que c’était une femme de mauvaise réputation. Elle vint au puits puiser de l’eau. Pendant qu’elle était au puits pour puiser de l’eau, elle a regardé, il s’est détaché du petit panorama Quelque Chose, peut-être un décor comme celui-ci, alors là était assis un Homme, Juif, d’âge moyen.
47 Il avait environ trente-deux ou trente-trois ans, mais d’après les Ecritures, Il paraissait en avoir environ cinquante. Les gens disaient: «Tu as vu Abraham, Toi qui n’as pas plus de cinquante ans?» Voyez, Son travail a peut-être pu Lui donner cet aspect-là.
Il a dit: «Avant qu’Abraham fût, Je suis.» Ce n’était pas Jésus. C’était le Dieu en Lui qui parlait, C’est Lui qui était là dans le buisson ardent jadis, au commencement.
Alors, nous voyons que cette femme, quand elle a regardé, Jésus voulait s’entretenir avec elle. Il a dit: «Apporte-Moi à boire.»
Elle a dit: «Eh bien, il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains.» Il y avait une loi de ségrégation. Ils ne voulaient pas communier ensemble. Et Jésus lui a fait savoir que ce n’était pas correct.
Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire et Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais pas puiser ici.»
Elle a dit: «Nos pères ont adoré sur cette montagne et vous, vous dites que c’est à Jérusalem.»
48 Et la conversation s’est poursuivie jusqu’à ce que Jésus a contacté son esprit, et quand Il a alors vu ce pour quoi le Père L’avait envoyé là, Il a su que quelque chose allait arriver. Cela n’était pas arrivé tout au long de la route, Il a donc attendu d’arriver là, Il avait renvoyé Ses disciples et Il a dit: «Ça doit être la femme.» C’était Jésus, l’Homme. Mais Dieu, l’Homme en Christ, savait ce qu’Il voulait. Il a simplement conduit Son Fils par l’Esprit.
Ainsi donc, Dieu s’est mis à l’oeuvre, Il a commencé à se servir des propres lèvres de Son Fils pour parler. Il a dit: «Va chercher ton mari et viens ici.»
Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»
Il a dit: «Tu as dit vrai, car tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari. En cela tu as dit vrai.»
49 Et écoutez ce qu’elle a dit. Qu’avait dit le Juif orthodoxe quand Il avait accompli ce miracle sur lui? Etait-ce le miracle qui avait été accompli sur Philippe, ou Nathanaël plutôt? Il a su où il était la veille. Etait-ce le... un miracle qu’Il avait accompli sur Pierre? Il avait su qui était son père et quel était son nom, et tout. Eh bien, regardez, là, c’étaient les Juifs. Maintenant, voyons ce que les Gentils vont dire, ou les–les Samaritains, qui étaient mi-Juifs mi-Gentils.
Elle a dit: «Maintenant, Seigneur, a dit cette femme, Seigneur, je vois (le fait qu’Il sait que j’ai eu cinq maris), je vois que Tu es Prophète.» Maintenant, écoutez ses paroles: «Mais nous savons, a dit la femme, nous savons que quand le Messie sera venu...» Croyez-vous qu’Il était le Messie? «Nous savons que quand le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera. Il nous montrera toute chose. Et nous savons qu’Il viendra, mais nous... Tu dois être Son Prophète.»
50 Eh bien, attendez. Qu’avaient dit les Juifs? «Toi, Rabbi, Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.»
Qu’avaient dit les Samaritains? «Eh bien, nous attendons que pareille chose arrive, mais cela doit se passer par le Fils de Dieu, ceci... Le Fils de Dieu, quand Il viendra, le Messie, cela doit se passer par Lui. Mais Tu dois être Son Prophète.»
Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»
Et sur ce, elle est entrée dans la ville en courant et elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie? N’est-ce pas là le signe du Messie?» Si c’était cela le signe du Messie à la fin de la dispensation des Juifs, c’est le Signe du Messie à la fin de la dispensation des Gentils, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Exact.
51 Avant qu’Il quitte la terre... Notre temps ne me permettra pas d’aller plus loin. Mais avant qu’Il quitte la terre, Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais», la même chose. «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus.» C’est l’ordre du monde. Voyez? «Le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous (Jusque quand?) jusqu’à la fin du monde.» Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Encore un petit passage des Ecritures. Je vais vite mentionner cela. Saint Jean 5, la page suivante, le verset 19, quand Il a dépassé beaucoup d’estropiés, Il a guéri un seul homme qui était couché sur un grabat. Il savait que cet homme-là était dans cet état depuis plusieurs années. Voyez? Il savait qu’il était dans cet état-là. Il l’a guéri, Il s’en est allé, laissant un grand nombre d’estropiés, d’aveugles, de boiteux étendus là. Quoi? Oui, Il les a laissés là.
52 Et qu’arriva-t-il? Eh bien, Il fut interrogé au sujet d’un homme qui transportait son lit le jour de Sabbat et tout. Et Jésus a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» C’était là Jésus hier. S’Il est le même aujourd’hui, Il fera la même chose aujourd’hui.
Il y avait une petite femme qui n’avait pas eu de vision, mais elle a eu une conduite, elle est descendue là où était Jésus, sur le rivage de la mer. Elle souffrait d’une perte de sang. Elle a touché Son vêtement, car elle se disait dans son coeur: «Si je Le touchais, je serais guérie.» Elle est rentrée au milieu de Son... des gens, elle s’est assise, ou je ne sais dans quelle position elle était. Elle était peut-être restée debout, quoi que ce fût.
53 Jésus s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?» Eh bien, Il ne savait pas. C’était Jésus qui parlait, le Fils. «Quelqu’un M’a touché.»
Pierre l’a repris, disant: «Eh bien, tous Te touchent. Pourquoi dis-Tu: ‘Qui m’a touché?’»
Il a dit: «Mais Je–mais J’ai connu que Je suis devenu faible.»
Le mot vertu veut dire force. «La vertu est sortie de Moi, ou la force M’a quitté. Quelqu’un M’a touché.» C’était le Fils de Dieu.
«Eh bien, dites-vous, oh! Frère Branham, j’aurais bien voulu vivre en ce jour-là. Je L’aurais touché.» C’est aujourd’hui ce jour-là. «Est-ce scripturaire, Frère Branham?» Absolument. La Bible déclare cela: «Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités.»
54 Comment sauriez-vous donc que vous L’avez touché s’il n’y avait pas quelque chose, une réaction qui vous le faisait savoir? Voyez, la foi n’est pas quelque chose que... Ce n’est pas un mythe. La foi est la ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration que quelque chose d’invisible a eu lieu. Ce n’est juste–juste pas une soi-disant foi, pour dire: «Eh bien, oh! oui. Alléluia! J’ai eu ça.» Il y en a trop chez vous les pentecôtistes, pour commencer. Vous vous réjouissez de quelque chose que vous n’avez pas.
La foi est absolument une substance. Ce n’est pas une espérance. L’espérance n’est pas–l’espérance n’est pas... La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère. Mais quand la foi s’en empare, ça devient une ferme assurance des choses que vous espérez (Voyez?), une démonstration des choses que l’on ne voit pas.
55 L’un des organisateurs, docteur Vayle et moi, nous avons discuté pendant une heure et demie l’autre jour. Il cherchait à dire que l’espérance et la foi, c’est la même chose. Je disais: «Non, l’espérance est ce que vous attendez, tandis que la foi est ce que vous avez pendant que vous espérez.» C’est exact. Certainement. Ce n’est plus une espérance, une fois que vous avez cela. C’est à vous. C’est en votre possession. Vous avez cela, vous êtes tout aussi heureux que possible, car c’est une ferme assurance des choses qu’on espère.
Eh bien, cette petite femme a dit dans son coeur, sa foi a dit: «Si je peux Le toucher, cela me suffira.» Amen. Oh! J’aurais bien voulu que nous ayons cette foi-là à Newark ce soir. «Si je peux Le toucher...» Pouvez-vous le faire? Oui, Il est le Souverain Sacrificateur (Il vit toujours pour intercéder), qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. Touchez-Le et voyez si c’est vrai ou pas. Voyez si nous disons juste cela pendant qu’on se tient ici. Voyez si la Parole est vraie. Si ce n’est pas vrai, comment... où êtes-vous? Quelle espérance pouvez-vous édifier en vous-mêmes?
56 Je suis un Américain. J’aime mon pays. Mais tout le monde voit ces boogie-woogies et ce rock-and-roll. Le péché a amené cela au point qu’il est prêt pour le jugement. Ne pensez pas que nous allons échapper à cela. Il y a un spoutnik qui attend là-bas, et un de ces... Et que feront-ils s’ils montent à bord de cet avion-là, cette histoire, ce soir et que cela vrombissait droit par ici? Ils pourront le faire s’ils le veulent. Que pouvons-nous faire à ce sujet? Nous sommes en retard de cinq ans par rapport à eux. Vrombissant carrément par ici, ça remplirait cette histoire de missiles, cinq cents décollant de la terre, là vous pourrez les toucher.
Considérez les nôtres, quand ils ont envoyé cela là en Floride. Cela est retombé à quelques pieds de la terre. Nous assistons aux fêtes de rock-and-roll plutôt que d’étudier la Bible et nous préparer pour la Venue du Seigneur. Assurément, nous sommes au temps de la fin. Ils peuvent dire: «Rendez-vous, sinon vous serez réduits en poussière dans cinq minutes.» Nous nous livrerons aussi. Si cela... Que va-t-il donc arriver? Oh! Je L’aime. Il est merveilleux.
57 Mais rappelez-vous, avant que cela arrive, l’Eglise doit partir. Amen. Nous sommes donc au temps de la fin. Nous sommes juste dans les ombres de Sa Venue maintenant même. Je suis très reconnaissant de voir qu’Il descend prouver Sa Parole, que ça soit devant une douzaine, ou devant un million. Mais cela passera par-dessus les gens, et des millions ne sauront jamais à ce sujet. Cela a toujours été ainsi, cela sera toujours ainsi. Alors, ils se demanderont à un moment: «Eh bien, je n’ai pas... Je ne savais réellement pas cela.» Ils ont des yeux, mais ils ne peuvent pas voir.
Observez-Le maintenant, quand cette femme a touché Son vêtement. Et elle a reçu. Jésus a regardé partout, Il a dit: «Qui M’a touché?»
Pierre a dit: «Tout le monde Te touche.»
Il a regardé tout autour, Il a dit: «Mais je me suis senti faible, quelqu’un... Oh! a-t-Il dit, c’est toi. Toi, avec la perte de sang là, ta foi t’a sauvée. C’est complètement terminé maintenant.» C’était là Jésus hier. Et quand Il partait, Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.»
58 Maintenant, mes chers amis, c’est soit la vérité, soit ce n’est pas la vérité. Si c’est la vérité, nous devrions ce soir être les gens les plus heureux de ce côté-ci des cieux. Si ce n’est pas la vérité, eh bien alors, qui est... Que pouvez-vous croire?
Eh bien, je sais que les gens essaient de contourner cela, disant: «Eh bien, c’était pour les disciples, et c’était pour ceci, et...» C’est ce qu’ils firent du temps d’Elie. C’est ce qu’ils firent du temps de Jean. C’est ce qu’ils firent du temps de Jésus. C’est ce qu’ils font maintenant même, malgré tout. Voyez?
Mais il y a un groupe de gens auxquels Dieu, par prescience, a ouvert les yeux de leur entendement, et ils peuvent voir. Que Dieu accorde que ça soit vous et moi ce soir. Maintenant, s’Il revient... Soyez... non pas revenir, mais Il est déjà revenu. Il est ici sous forme du Saint-Esprit, Il est ici depuis le jour de la Pentecôte sous forme de l’Esprit pour opérer dans Ses sarments, manifester Sa bonté.
Et si je vous disais ce soir que j’ai un grand esprit, par le–l’esprit de ce hors-la-loi, Dillinger? Et si je disais que j’avais l’esprit de Dillinger, vous feriez mieux de venir me rechercher. Je pourrais avoir des pistolets. Je–je serais dangereux de par ma présence ici.
59 Et si je vous disais que l’esprit d’un grand artiste était en moi? Je viendrais ici et je dirais: «J’ai l’esprit d’un grand et célèbre artiste.» Je ferais descendre ceci ici et je mettrais un autre tableau, et dans les quelques minutes, la musique va commencer à jouer, je vous peindrai un tableau, vous vous assiériez là, surpris, en le contemplant, si j’avais cet esprit-là en moi. Assurément.
Et si j’avais le... N’importe quel esprit qui est en moi me conduit et cela opère, et fait exactement... Je fais ce que l’esprit qui est en moi me fait faire. Et si nous sommes chrétiens, l’Esprit de Christ est en nous. Il sera donc exactement comme Il était dans le passé. Certainement. Il aura des conducteurs. Il aura des enfants qui comprendront le conducteur. Il aura un peuple qui...
60 Si l’Esprit de Christ est en vous, vous reconnaîtrez l’Esprit. Jésus ne l’a-t-Il pas dit? «Mes brebis connaissent Ma Voix, elles ne suivront pas un étranger.»
«Eh bien, direz-vous, je–je ne crois pas dans ce genre d’histoires. Je ne crois pas dans la guérison et des histoires.» Mon très cher ami, je crains alors que vous ne soyez pas une brebis. Voyez? En effet, Christ, Ses brebis L’ont alors entendu, ils L’ont suivi, dans chaque âge ils L’ont suivi.
Il était à l’époque ce qu’Il est aujourd’hui. Il est aujourd’hui ce qu’Il était à l’époque. Les gens sont aujourd’hui ce qu’ils étaient à l’époque, il y en a donc eu qui L’avaient reçu. D’autres ne pouvaient pas Le recevoir parce qu’ils n’arrivaient pas à comprendre cela. Que le Seigneur accorde que nous comprenions ce soir.
Et même dans ce petit groupe de gens... Maintenant, rappelez-vous... vous dites: «Eh bien, Frère Branham, pensez-vous qu’Il viendrait dans ce petit groupe d’environ une centaine de gens?» Eh bien, assurément. Il viendra, même s’il y en avait un seul. Il viendra n’importe où. Certainement.
61 Juste quelques minutes avant de venir ici par avion, par train plutôt, il y avait là une dame avec une jeune fille. Elle était dans un motel. Elle avait assisté aux réunions de frère Roberts et là dans le... Frère Roberts avait prié pour la petite fille, et ils n’avait pu rien trouver. Et, oh, elle était dans un état terrible.
Et ma femme n’arrêtait de m’en parler, disant: «Billy, j’espère que tu pourras disposer de quelques minutes.» Et il y en avait dans des hôtels et assis partout. Et je venais de rentrer du Kentucky et, dans vingt-cinq minutes, je devais prendre mon train. Et ma femme a dit: «S’il te plaît, passe cinq minutes avec la femme (Le veux-tu?), si je peux la faire venir ici.»
J’ai dit: «Je vais juste... en route.»
Je me suis rendu sur le lieu, le petit motel où elle restait. J’ai dit: «Soeur.» Elle s’est simplement mise à pleurer, la mère. Elle était assise là dans la chambre, le Saint-Esprit s’est mis à descendre, Il est descendu et Il s’est mis à révéler, Il est remonté dans le passé, Il a dit à la petite fille quelque chose qu’elle avait caché à sa mère, et tout comme cela, caché à tout le monde. Elle s’est mise à pleurer, elle a dit: «Ne dites pas cela, Frère Branham. Ne dites pas cela. Ne dites pas cela.»
J’ai dit: «Arrêtez ça.»
62 L’Ange du Seigneur était là et Il a commencé à révéler cela. Elle a dit: «C’est vrai.»
J’ai dit: «Soeur, confessez cela. C’est l’unique chose qui cloche chez vous.» Elle s’en est allée heureuse, elle se réjouissait et elle a dit: «Oh! Si seulement j’avais su cela avant.» Voyez? Vous y êtes. Voyez? C’est Christ, le Fils de Dieu. Prions.
Père divin, nous venons humblement à Toi maintenant, Te remerciant pour Ta Parole. Maintenant, Ta Parole a été proclamée. Il y a quelques personnes ici ce soir, Seigneur, qui sont assemblées ici dedans. Beaucoup parmi elles sont des nécessiteux, sinon elles n’auraient pas levé la main pour la prière. Nous savons qu’elles ont besoin de Toi.
63 Il peut y avoir par hasard quelques-uns ici présents qui ne croient pas, qui sont des pécheurs. S’il y en a, Seigneur, que celle-ci soit l’heure où ils se rendront compte qu’ils ont plus besoin de Toi ce soir que tous les malades qu’il y a au monde. Leur âme est malade. Peut-être qu’ils ont essayé de croire. Peut-être qu’ils ont–ils ont cru, mais ils ne sont jamais devenus de vrais croyants.
Et nous savons que l’incrédulité est le péché originel: «Celui qui ne croit pas est déjà condamné, car il n’a pas cru au Fils unique de Dieu.» Et Tu as dit ceci: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Oh! Combien nous sommes reconnaissant pour ça, Seigneur! Et en ce jour-ci, on ne devine plus. Tu T’es déjà manifesté. Et béni soit Ton Nom pour avoir fait cela.
64 Nous prions ce soir, maintenant. Je–j’ai essayé de prêcher en Ton Nom. Maintenant, je demande cela dans ce petit groupe de gens, que Tu envoies une foi ici, Seigneur, qui fera qu’ils croiront.
Maintenant, Seigneur, je viens d’arriver il y a juste quelques instants, ici dans cette ville, pour ma première réunion. Et je Te prie, Père, de m’aider à manifester Ton amour à ceux-ci que Tu as envoyés ce soir pour écouter. Je Te prie de le faire. Et que ceux-ci en parlent à d’autres. Et que plusieurs soient sauvés et guéris. Nous demandons au Nom de Jésus. Amen.
Maintenant, mes chers amis, je suis juste... j’ai promis de ne pas être en retard, mais je suis en retard, plus en retard que d’habitude. Nous devrions être partis maintenant. Mais je devais simplement vous parler. Demain soir, je serai ici tôt, le Seigneur voulant, je vous parlerai sur un sujet d’évangélisation. Ce soir, maintenant même, je ne fais que parler, et vous savez, nous nous familiarisons les uns avec les autres. Et je–j’espère que...
Eh bien, Billy a dit, je pense, il a dit avoir distribué très, très peu de cartes de prière. Demain soir, allez chercher vos malades... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
65 Non pas parce que... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Oh! Vous êtes mieux avisés que ça. Voyez? J’aimerais voir vos gens être guéris. Nous ne... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Qu’ils soient des gens de couleur, qu’ils soient jaunes, bruns, quoi qu’ils... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] qu’ils soient catholiques, protestants, orthodoxes, Juifs, qu’ils soient musulmans, bouddhistes, ou quoi... amenez-les. Oui, oui.
J’ai trouvé étrange... J’aurais bien voulu avoir le temps de dire quelque chose maintenant. Le peuple américain, oh! mes chers et tendres amis, vous ne savez à quel point votre situation est mauvaise. C’est vrai. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... d’y penser. J’ai rencontré frère Osborn l’autre jour [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... restez ici. J’ai dit: «Je pars.»
[Espace vide sur la bande–N.D.E]... isme, le petit culte et autres. C’est au point que les gens ne savent quoi croire. J’ai vraiment pitié d’eux, mon peuple. Eh bien, que pouvons-nous faire? Il n’y a rien, car la Bible dit qu’il en sera ainsi. Ils iront de l’est, de l’ouest, il y aura une famine, pas la famine du pain, mais celle d’écouter la Parole de Dieu. C’est vrai. Le prophète l’a dit. Ça doit exister.
66 Maintenant, nous sommes ici, amis, ce soir. Nous ne savons pas si nous serons ici demain ou pas. Tout cela dépend de Dieu. Si vous les malades ici, je... S’il y a un quelconque moyen pour moi de pouvoir faire quelque chose pour vous aider, je le ferai. Si je savais que vous étiez malade et–et que quelque chose me disait que si je prenais une pièce de vingt cents ou une cacahuète et que je plaçais cela par terre, là dans cette rue, et que je poussais cette cacahuète avec mon nez jusque dans le coin, là dans l’espace public ici, que cela vous guérirait, je le ferais.
Eh bien, Dieu sait si je suis sincère là-dessus ou pas. Si je suis un hypocrite, je n’ai rien à faire ici derrière cette chaire, avec cette Bible. C’est vrai. Je–je–je sais ce que c’est la maladie. J’en ai beaucoup souffert moi-même, et je sais ce que cela représente. Je ne peux pas vous guérir. Et il n’y a aucun autre homme sur terre qui peut vous guérir. Votre guérison a déjà été acquise. La guérison est une oeuvre achevée. Je n’ai pas de guérison dans ma main. J’ai... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
67 Vous devez être en erreur, frère. Cela doit être quelque part ailleurs...?... Très bien. Tenez-vous donc là même, madame, juste là même. Qui a 51? La carte de prière cinquante... Tenons-nous ici même, à côté des marches. 51. Levez la main, le voulez-vous, si quelqu’un en a, assurément? Cette dame ici. Très bien. 51, 52, 53, 54, 55.
Billy, trouve un huissier et viens ici juste une minute, quelqu’un. 55, 56, 57, 58, 59, 60. Voyons maintenant si nous en avons pris beaucoup ici. Je crois que ça fera environ dix. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8. Il en faut deux. Peut-être que j’en ai appelé trop. Peut-être que tu n’en as pas distribué beaucoup. Très bien. 60. Très bien. Maintenant, j’aimerais... J’aimerais poser une question.
La carte de prière... Il y en a deux qui manquent. Il n’y a que huit ici, alors qu’on est censé... Est-ce que vous... Êtes-vous huissier, monsieur? Et celui-ci aussi un huissier? Très bien. Il y en a encore deux quelque part, entre 50 et 60, qui manquent. Très bien.
68 J’aimerais vous poser une question. Que dit la Bible? Qu’est-ce qui a toujours été une confirmation dans la Bible? Toute parole sera établie sur la déposition de deux ou trois témoins.
Très bien. Il essaie d’aligner les gens. Très bien...?... Si la dame est très malade, voudriez-vous tous la faire asseoir sur l’un de ces fauteuils, Frère Hutchins? Quelqu’un tient l’autre là qui est peut-être très, très malade, ainsi il... Très bien.
Maintenant, 60, 61, 62, 63. Ça doit être tout ce qu’il y a là donc. Très bien. Maintenant, soyez vraiment respectueux. Soyez donc... Eh bien, demain soir, venez ici tôt, vers dix-huit heures trente afin que cela ne dérange pas le reste des services, et certains parmi les jeunes gens distribueront des cartes de prière. Vous pouvez les avoir.
La raison pour laquelle nous distribuons des cartes de prière, je vais vous montrer. Voyez, voici ce qu’il y a. Eh bien, demain soir, je ne sais à partir d’où nous allons commencer, ça sera n’importe où que le Seigneur me mettra à coeur. Mais, voyez, il y a trop... Il y a tout le monde...?... disons que ces dix personnes ici, on doit prier pour ces dix personnes; qui va être la première? (Voyez?)
69 Je pourrais ne pas prendre juste une seule. Voyez, Cela peut prendre trois, peut-être prendre deux, ça peut être dix. Voyez? Qui sera le premier? Vous ne savez pas. Disons, ce soir, peut-être qu’il y a cinquante sur cent ici, s’il y en a cent. Alors, on prend cinquante. Eh bien, qui va être le premier sur ces cinquante-là? Nous ne pouvons pas en prendre un très grand nombre à cause des visions, cela donc... Vous savez ce que ça vous fait, si quelqu’un a déjà assisté aux réunions.
Ainsi, on prend juste... on fait passer... ils apportent juste leurs cartes devant vous et les battent juste devant vous, de sorte que nous ne savons pas... ils distribuent...?... tout celui qui veut en avoir peut en avoir. Très bien. Puis, ce qu’on dit, on dit: «Si j’ai le numéro 1... Si je n’ai pas reçu 1, l’une de dix premières, je–je ne vais pas...» Eh bien, cela peut commencer à vingt-cinq. Voyez? Donc, celui-ci peut avoir 1, un autre là au fond a une autre, un autre ici au fond a une autre. Voyez-vous? Comme ça, c’est juste pour tous. Mais cela n’a rien à faire avec la guérison. Il peut arriver que l’une de ces personnes ici à l’estrade soit guérie pendant que chacun de vous là dans l’assistance est guéri.
70 Combien maintenant n’ont pas de cartes de prière et aimeraient que le Seigneur les guérisse? Levez la main pour dire: «J’aimerais être guéri.» Très bien. Tout ce que je vous demande donc de faire... Maintenant, tenez, ces gens qui montent ici, qu’est-ce que cela a à faire? C’est juste pour obtenir que le Saint-Esprit... que les gens croient.
Eh bien, vous croyez, mais vous attendez qu’une chose très mystérieuse, une sensation vous envahisse juste par-dessus la tête. Voyez? Ne laissez pas votre sens... Jésus n’a jamais dit: «As-tu senti cela?» Il disait: «As-tu cru cela?» Voyez? Pas une sensation, une croyance, une foi. Voyez?
Dites simplement comme un petit enfant: «Seigneur Jésus, eh bien, évidemment, cet homme vient de lire cela dans la Bible, et cela apparaît dans toutes les Ecritures. Tu es juste le même dans chaque âge. Et nous voyons ce que Tu étais jadis.» Demain soir, nous examinerons ce qu’Il était jadis, dans l’Ancien Testament, quoi que ce fût. Il est juste le même.
71 «Si donc Tu es le même, Tes oeuvres doivent être les mêmes.» Il l’a dit. Mais vous voyez, vous dites: «Seigneur, mes yeux sont-ils si aveugles que je n’arrive pas à voir? Aie pitié de moi et ouvre-moi les yeux, Seigneur.» C’est alors que vous aboutirez quelque part. Et puis, comme un petit enfant, dites: «Merci, Père», jusqu’à ce que quelque chose arrive dans votre coeur. Alors, une fois cette certaine chose arrive dans votre coeur, observez donc ce qui se passe. Voyez ce que le Seigneur fera.
Maintenant, à vous ici dans la ligne de prière, vous qui avez vos cartes, maintenant, j’aimerais vous poser une question. Je suppose que nous tous, nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? Je ne vous connais pas. Si c’est vrai, levez la main, vous qui êtes dans la ligne de prière. Vous savez que je ne vous connais pas, que je ne sais rien à votre sujet, levez la main. Très bien. C’est bien.
72 Combien là dans l’assistance savent que je ne les connais pas? Levez la main, vous les malades. Eh bien, voyez, je suis inconnu. Eh bien, s’il arrivait qu’il y ait par ici quelqu’un qui n’a jamais connu... J’aimerais que vous soyez très respectueux. Eh bien, si Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et...
Est-ce la dame pour qui on doit prier? Venez ici juste une minute, madame. Maintenant, cette dame ici, je crois... Avez-vous levé la main pour montrer que nous ne nous connaissions pas l’un l’autre? Est-ce vrai? Maintenant, voici un–voici un cas parfait pour commencer. Voici une dame qui ne m’a jamais vu et que je n’ai jamais vue.
73 Eh bien, voici un tableau dont je viens de parler il n’y a pas longtemps, une femme et un homme qui se rencontrent pour leur première fois, la femme de Samarie et Jésus de Nazareth. Or, Jésus, Son corps, Son cops corporel a été amené en Haut et est placé à la droite de Dieu. Nous le savons. Le Saint-Esprit est revenu sur nous. L’Esprit de Dieu qui était dans Son corps est sur nous (Est-ce vrai?), promettant la même chose.
Maintenant, si cette femme... Je ne sais pas ce qui cloche chez elle. Elle me paraît une femme bien, en bonne santé. Ce soir, elle peut... Ce n’est peut-être pas pour sa santé. C’est peut-être pour de l’argent. C’est peut-être pour un problème au foyer. C’est peut-être pour un autre problème. Mais maintenant, observez donc et soyez très respectueux.
74 Quel que soit son besoin, si elle se met à parler à Dieu à ce sujet, Dieu me révélera cela, ce dont elle a besoin. Qui saura donc si elle est en prière si ce n’est Dieu seul? Est-ce vrai? Maintenant, faites de même là dans l’assistance. Vous n’avez pas à monter ici à l’estrade. Restez juste là dans l’assistance, mettez-vous simplement à prier, voyez si la même chose ne se produit pas.
Maintenant, c’est un défi terrible. Mais j’ai lancé cela devant cinq cent mille personnes à la fois (Voyez?), des païens, des sorciers et tout, qui se tenaient là; ils vous feraient couler le sang en une seconde. Voyez? Voyez donc Jéhovah quand Il se met à l’oeuvre. Observez le changement d’attitude. C’est ce qui fait la différence.
75 C’est ma première visite à Newark. Ne laissez pas ceci passer. Non pas le fait que c’est moi, là (Voyez?), je ne parle pas de moi-même, je parle de Lui. Vos pasteurs ici Le représentent d’une certaine manière. Ils sont dotés d’un don pour faire cela. Je ne suis pas tellement un prédicateur, mais ceci est mon don.
Maintenant, si cette soeur ici debout qui est une parfaite inconnue... Nous ne nous connaissons pas l’un l’autre, jamais de la vie nous ne nous sommes vus l’un l’autre, et ceci est notre première rencontre. Elle se tient là, je lui ai demandé de prier et de demander à Dieu tout ce dont elle a besoin. Si le Saint-Esprit me révèle ce qu’est son problème, ce qu’elle demande, sera-ce le même acte que le Seigneur Jésus avait posé quand la femme samaritaine s’était approchée et qu’Il avait su quel était son problème? Serait-ce le même acte? Cela prouvera-t-il que Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement?
76 Maintenant, voici nos mains, nous deux avec nos mains levées. Jamais de la vie nous ne nous sommes rencontrés l’un l’autre, à ce que je sache. Elle a peut-être été dans la réunion, mais elle... Je ne la connais pas. Dieu le sait. Je ne connais pas cette femme, je ne sais pas à son sujet, pas plus–plus que je... plus que vous, si vous ne la connaissez pas. Voyez? Maintenant, je ne dis pas qu’Il le fera. Je ne dis pas qu’Il le fera, mais Il le peut. S’Il le fait, alors vous tous, mettez-vous à croire, voyez s’Il n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement. Que le Seigneur l’accorde.
Maintenant, madame, je–je dois simplement vous parler, car après avoir parlé, il est juste question de saisir votre esprit. C’est exact. Juste voir ce que vous–vous... J’aimerais que vous, dans votre coeur (Voyez?), vous soyez en train de prier le Seigneur pour ce dont vous avez besoin. Que ça soit pour de l’argent, que ça soit... Quoi que ce soit, ou que ça soit pour la maladie, ou pour quelqu’un d’autre, ou–ou pour n’importe quoi, continuez simplement à prier le Seigneur.
77 Et maintenant, Père, j’ai parlé à ce groupe ce soir. Je suis au bout du rouleau. J’ai essayé de dire avec autant de respect possible ce que Tu étais hier, et dire que Tu es le même aujourd’hui. Et maintenant, c’est Ton tour de parler, le Dieu invisible qui est omniprésent. Je Te prie d’accorder ces bénédictions, que ces gens deviennent Tes serviteurs et qu’ils Te servent, au Nom de Jésus, nous prions. Amen.
Maintenant, je–je ne sais pas ce qu’est votre problème, nous venons juste de nous rencontrer pour la première fois. Je ne me répète pas, mais vous pouvez vous représenter quelle pression nerveuse cela exerce en ce moment-ci, car je vais soit être trouvé un faux prophète, ou un menteur. Et si je suis trouvé un menteur, j’ai cité la Parole, et qu’est-ce que la Parole? Voyez? A quoi sert-il donc d’avoir des églises là où nous en sommes?
78 Si nous allons avoir des églises à fréquenter et où nous assembler, chercher à faire le bien, pourquoi ne pas être une église bouddhiste, ou musulmane? Pourquoi ne pas donc avoir un temple de la continuité? Tout ce que vous voulez croire, tout ce que vous voulez dire, vous vous réunissez simplement, formez donc une loge. Mais nous parlons, disant qu’il existe un Dieu vivant qui vit maintenant, qui est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Mais maintenant, Il a promis ces choses. Je crois en Lui. Je crois en Lui. Et je suis sûr que vous aussi, vous croyez en Lui, car il n’y a probablement personne qui arrive à voir ceci. Entre vous et moi, il y a quelque chose qui est arrivé. Maintenant, en tant que–en tant qu’un être mortel qui doit rencontrer Dieu, si cela n’est pas vrai maintenant même, quelque chose vous est arrivé, une sensation douce et calme. Si c’est vrai, levez la main. Voyez? Voyez, autour...?...
79 Eux ne voient probablement pas cela, mais juste autour de vous il y a cette Lumière-là. Et puis, juste à côté de Cela, il y a la mort. Et c’est une–une chose hideuse. C’est un cancer. Et ce cancer est... Je vois qu’on vous examine pour cela; c’est dans la mâchoire, un cancer de mâchoire. Ça ne se fait pas voir de l’extérieur, mais cela est à l’intérieur, un cancer de mâchoire. Et... C’est vrai, n’est-ce pas?
Maintenant, avez-vous entendu cette Voix-là? Ce–ce n’était pas moi, mais ce que Cela a dit est la vérité. Est-ce vrai? Si c’est vrai, faites signe de la main comme ceci à l’intention de l’assistance. Maintenant, vous voyez ce que cela me fait faire? Voyez? C’est juste le Saint-Esprit qui se sert de ma voix. Je ne... Je regarde simplement, et ce que je vois, je le dis.
80 Maintenant, plus on parlera à la femme, plus il en sera dit. Eh bien, voudriez-vous que je lui parle un peu plus longtemps? D’accord. Parlons donc encore. Voyez? Comme nous avons juste peu de gens ici, et je vais juste vous parler juste un peu–un peu plus.
Maintenant, je ne sais pas ce qu’Il–ce qu’Il a dit, mais on dirait qu’il y avait une ombre. Eh bien, cela vous a quittée maintenant. Je ne vois pas cela en ce moment-ci. Eh bien, je vois la Lumière revenir. Oui, oui. Il y a une dame, elle a quelque chose dans sa mâchoire: un cancer de mâchoire. Et vous êtes venue ici avec quelqu’un d’autre, une amie vous a amenée ici. Vous n’êtes pas d’ici, vous venez d’une ville, Brooklyn. Voyez? C’est vrai, n’est-ce pas? Maintenant, croyez-vous? Prions maintenant.
Bien-Aimé Seigneur et Sauveur, Tu es si fidèle, et Tes Paroles sont si vraies. Je Te prie de m’accorder que ces gens comprennent ce soir, qu’ils comprennent que c’est Ta Présence, Seigneur, que c’est Ta Parole qui est rendue manifeste. Et Tu as appelé le monde à l’existence par Ta Parole. Et la même Parole qui l’avait appelé à l’existence dit qu’il disparaîtra.
81 Et Tu as proclamé la vie, et cette femme vit, et Satan cherche à la déranger avec une maladie. Je Te prie de tout mon coeur d’ôter cette maladie, de chasser l’esprit de la maladie qui est sur elle, et qu’elle puisse aller libre ce soir par sa foi dans le Fils de Dieu. Amen.
Qu’Il vous bénisse, soeur. Il n’y a pas lieu au doute pour vous, n’est-ce pas? Allez simplement en croyant maintenant. Eh bien, croyez-vous de tout votre coeur? Je crois. Y a-t-il un moyen là quelque part? Maintenant, regardez... Eh bien, ne doutez pas. Maintenant, béni Saint-Esprit... Combien ont déjà vu Sa photo? Faites voir les mains, la photo de l’Ange du Seigneur telle qu’elle a été prise... Eh bien, elle a été prise en Allemagne et dans divers pays.
Maintenant, Cela est ici même dans notre petit groupe ce soir. Cela est ici dans ce petit amphithéâtre ce soir, le même Esprit qui avait marché en Galilée dans un Homme appelé Jésus de Nazareth, Qui était le Fils de Dieu, Qui avait promis que ces oeuvres s’accompliraient. Maintenant, Le voici de nouveau ici ce soir. Maintenant, soyez très respectueux. Soyez en prière.
82 Maintenant, voici une autre femme. Voici un autre tableau par rapport à cet autre-là; en effet, un petit décor dont nous venons de parler, Jésus et une femme. Il y avait une femme samaritaine, qui était d’une autre race. Et ce soir, celle-ci est une dame de couleur, ici debout, elle est une autre... Elle n’est pas une Anglo-Saxonne. Et elle est une dame de couleur, moi, je suis Blanc. C’est le même tableau que celui de Jésus de Nazareth avec la femme de Samarie. Voyez?
Oh! Comme Il lui a fait savoir qu’il n’y avait pas de différence, que nous sommes tous des enfants de Dieu. Nous descendons tous d’Adam, et les pays où nous avons vécu, c’est ce qui a transformé notre peau en jaune, brun, blanc. Cela n’a rien à faire. Nous sommes les descendants de Dieu. Si cette femme de couleur était...
83 Si je tombais malade ce soir, elle pourrait me donner son sang pour la transfusion. Oui, oui. Et si un–si un jaune tombait malade, elle pourrait lui donner son sang pour la transfusion. Mais ne vous faites jamais transfuser le sang d’un animal. Cela vous tuera. Voyez? Nous sommes... Dieu a fait tous les hommes à partir d’un seul sang. Un seul sang coule dans tous les hommes. Nos couleurs n’ont rien à faire avec cela.
Maintenant, voici un homme blanc et une femme de couleur. Et–et je suis du sud, et elle est du nord. Nous voici, frères et soeurs, j’espère ce soir en Christ. Je ne sais pas. Je ne peux pas le dire. Mais si nous ne le sommes pas, c’est uniquement alors sa pensée. Voyez? Maintenant, si le Seigneur Jésus revient et dit à cette femme, comme Il avait fait à la femme samaritaine... Elle a peut-être le même problème. Je ne sais pas. Nous le saurons d’ici quelques minutes, si le Seigneur le permet.
84 Maintenant, prions, alors que je parle à la femme. Maintenant, vous n’avez pas à me regarder, soeur. Soyez simplement en prière, c’est tout ce que je vous demande de faire. Et il ne s’agit pas de la lecture des pensées; c’est juste... Vous êtes juste un être humain là debout. Et si le Seigneur Jésus me révèle ce pour quoi vous êtes ici, et ce dont vous avez besoin, allez-vous croire cela de tout votre coeur?
Maintenant, si vous êtes malade et que je vous disais: «Oh! Madame, AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous allez vous rétablir. La maladie est terminée.» Eh bien, cela...
Vous pouvez dire: «Je crois, Frère Branham. Je–je pense que je vais Le croire là-dessus sur Parole.» Eh bien, cela pourra être exact, mais cela pourrait ne pas être... Vous aurez simplement à me croire sur parole.
85 Mais si le Seigneur Jésus est ici, qu’Il révèle quelque chose sur le problème que vous avez, ou quelque chose que vous avez fait dans la vie qui vous empêche d’obtenir ce que vous demandez, ou quelque chose comme cela, vous saurez vous-même si c’est la vérité ou pas. Vous le saurez. Est-ce vrai, assistance? Vous le saurez. Et s’Il sait ce qui a été, assurément qu’Il sait ce qui sera. Eh bien, que le Seigneur l’accorde, alors que je compte sur Lui pour voir ce qu’est le problème de la femme.
La première chose, si l’assistance entend toujours ma voix, je vois la femme avec ses mains levées. Oh! Elle–elle est dérangée par des problèmes spirituels. C’est vrai, n’est-ce pas, madame? C’est spirituel. Vous–vous êtes tout embrouillée, comme nous le disons. Vous–vous–vous n’arrivez pas à obtenir...
86 Voici une autre chose. Je vous entends dans votre prière demander à Dieu de vous donner le baptême du Saint-Esprit, et vous êtes venue ici ce soir après avoir prié, vous êtes venue ici pour que je vous impose les mains afin que vous receviez le baptême du Saint-Esprit. C’est vrai, levez la main. C’est vrai. C’est vrai, n’est-ce pas? J’espère–j’espère que Dieu vous l’accordera.
Croyez-vous que je suis Son prophète? Croyez-vous que j’ai effectivement vu cela? Et si je vous dis que votre nom est May, me croirez-vous? Votre nom de famille, c’est Adams. Est-ce vrai? Si c’est vrai, faites signe de la main. Maintenant, croyez-vous cela? Eh bien, partez. Vous allez recevoir cela. Très bien. Seigneur Jésus, accorde-le-lui, car je le demande au Nom de Christ. Amen. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Croyez.
87 Une autre dame de couleur... Bonsoir. Croyez-vous–vous que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous étiez en train de prier, ou quelque chose comme cela là. Vous avez touché Quelque Chose. Cela m’a amené à me retourner. Maintenant, vous souffrez d’une espèce de sinusite, de maux de tête. C’est vrai.
Et puis, vous êtes aussi en prière pour ce petit garçon qui est assis à côté de vous, il souffre de l’épilepsie, et vous aimeriez que Dieu l’en guérisse. N’est-ce pas vrai? Si c’est vrai, levez la main. Croyez-vous cela? Vous pouvez avoir cela si vous le croyez. Vous le pouvez. Imposez les mains au petit garçon.
Père Divin, je prie que Satan ne puisse pas s’en tirer avec ça. Je–je Te prie de les guérir tous deux, au Nom de Jésus. Amen.
88 Mais je vois encore un homme debout à côté de cette femme. Elle prie aussi pour quelqu’un. Vous souffrez de la colonne vertébrale. Vous avez une affection de la colonne vertébrale. C’est vrai. Croyez-vous donc que je suis prophète de Dieu? Vous priez pour un frère. Et il est aveugle, n’est-ce pas? Amen.
Si vous croyez cela de tout votre coeur, vous pouvez l’avoir. Ô Seigneur, sois près de cette femme, et nous la bénissons. Au Nom du Seigneur Jésus, qu’elle parte recevoir ce qu’elle a demandé, au Nom de Jésus. Amen. Ne doutez pas, soeur. Votre état va s’améliorer.
Ayez foi. Ne doutez pas. Tout est possible à ceux qui croient. Croyez-vous? Maintenant, vous là dans l’assistance, mettez-vous simplement à prier. Mettez-vous simplement à prier. Croyez.
Maintenant, voici une–une dame. Est-ce la patiente, Frère...?... Très bien. Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. C’est vrai. Le Seigneur Jésus nous connaît tous deux. Maintenant, de par la sensation qui tire depuis l’assistance... Maintenant, ce que c’est, c’est votre foi.
89 Maintenant, regardez, amis, ce que Dieu fait ici même, Il le fait là dans l’assistance, exactement de même. Voyez? Si je venais prier, vous oindre d’huile, ou que sais-je encore, cela n’aurait pas... Cela pourrait... tout ce que cela ferait, ça serait simplement votre foi. Vous devez croire cela après tout. Si seulement vous croyez cela là même où vous êtes maintenant même, vous recevrez cela de même. Je vous défie de croire.
Maintenant, la dame se tient ici. Que Dieu soit miséricordieux envers cette femme qui souffre gravement. Elle... Sa maladie est dans ses intestins. C’est vrai. Et cela est paralysé, les intestins se sont beaucoup rétrécis. Vous-même, comme vous développez l’anémie, cela donc, l’eau revient. Vous êtes très gravement malade. N’est-ce pas vrai, soeur? C’est vrai. Très bien, venez ici maintenant. Prions. Tout le monde, priez. En effet, cette femme doit avoir une touche de la part de Dieu.
90 Maintenant, Père céleste, au Nom du Seigneur Jésus, le Fils de Dieu, je réclame la guérison de cette femme. Tu es Dieu, et il y a une femme que Tu peux guérir. Je Te prie de lui accorder cela alors que je lui impose les mains, pendant que le Saint-Esprit qui est en train d’oindre connaît sa vie, Sa Présence, puisse-t-elle être guérie. Je condamne l’ennemi qui lui retire la vie, et je réclame que sa vie soit prolongée, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse maintenant.
Maintenant, si vous croyez de tout votre coeur, maintenant, vous allez... vous pouvez recevoir votre guérison. D’accord.
Eh bien, qu’en est-il de vous, soeur? Croyez-vous que Dieu prendra soin de cette affection de thyroïde et qu’Il vous guérira? Vous étiez en train de prier pour cela alors que je priais pour la dame. En effet, devant moi se tenait une femme rousse, elle priait, elle souffrait de la thyroïde. C’est vrai. C’est vous la femme. Quand cela est revenu, il y a maintenant même une Lumière au-dessus de vous. Voyez?
91 Eh bien, si c’est vrai, levez la main, si vous étiez en train de prier, n’est-ce pas? Vous y êtes. Très bien. Maintenant, vous pouvez aller et recevoir votre guérison. Vous êtes... Vous avez touché Quelque Chose. Vous ne m’avez point touché. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue. Vous avez touché Quelque Chose. Qu’était-ce? Le Souverain Sacrificateur, Jésus-Christ, qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. «Si tu peux croire...» Ayez foi.
Que la dame reste là juste une minute, qu’elle se retourne. Regardez de ce côté, madame. Vous n’avez pas à monter ici. Croyez-vous de tout votre coeur? Mais vous avez des ennuis. Ne croyez-vous pas que Dieu vous rétablira, soignera ces mains et qu’Il vous rétablira complètement...?... Croyez-vous qu’Il le fera? J’aimerais imposer les mains à la dame...?...
92 Ô Dieu, alors que cette dame est à l’article de la mort, Toi seul peux la sauver, Seigneur. Je Te prie de l’accorder. Qu’il arrive donc maintenant que rien d’autre ne se fasse sinon...?... Que sa foi s’élève vite et saisisse la main de Christ, et qu’elle puisse...?... dans les hauteurs les plus élevées, qu’elle parte d’ici en se réjouissant, heureuse, louant Dieu...?... guérie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Ne doutez pas, soeur. Que votre force s’élève maintenant, allez et soyez rétablie et guérie, de tout votre coeur; que Dieu vous l’accorde.
Croyez-vous que Dieu vous guérira de la même chose et vous rétablira? C’est une chose horrible, n’est-ce pas? Mais Christ, le Fils de Dieu, peut guérir et rétablir. Venez ici et laissez-moi prier pour vous.
Père céleste, voyant cet homme juste sous les ombres de la mort, je Te prie d’être miséricordieux envers lui, de le rétablir et le guérir; car je le demande au Nom de Jésus-Christ et pour Sa gloire. Amen.
Maintenant, monsieur, arrêtez toutes vos mauvaises habitudes. Voyez? En effet, c’est ce qui empêche cela donc. Ne fumez plus et des choses semblables. Allez de l’avant et vivez pour le Seigneur. Et Dieu vous rétablira. Allez en croyant. Maintenant, ayez foi en Dieu.
93 Très bien. Pensez-vous que Dieu guérira cette affection d’intestins pour vous, madame, et vous rétablira? Croyez-vous cela? Très bien. Si vous croyez cela de tout votre coeur, cela ne vous dérangera plus. Vous avez touché Quelque Chose, n’est-ce pas, soeur? Vous avez touché Christ. Amen.
Maintenant, je défie votre foi de croire. Je vous demande simplement au Nom de Christ, de croire cela (Voyez?) et de voir ce qui arrivera, si vous pouvez croire cela. Je crois que chacun de vous peut être guéri maintenant même.
94 Voyez, c’est ce qui–c’est ce qui m’inquiète. Voyez? Voici ce qui me frappe. Voyez? Quand je peux voir le Seigneur Jésus descendre directement avec Ses bénédictions et faire que j’examine cela page après page dans la Bible, et que je dise: «Voici ce qu’Il avait fait. Voici ce qu’Il a promis. Lisez-le vous-mêmes. Voici ce qu’Il a dit qu’Il ferait quand Il viendrait. Ceci est exactement ce qu’Il... Vous avez lu cela d’un bout à l’autre.», je vous défie alors, et je dis: «Croyez cela.»
Il descendra directement et fera la même chose qu’Il avait faite jadis, Il a prouvé cela carrément, et pourtant vous sortez tel que vous étiez entré. Pouvez-vous voir que ç’en est fini pour l’Amérique? L’Esprit a quitté le pays, au point que tout ce qui reste, c’est juste un peu d’émotion. C’est vrai.
La Bible ne dit-Elle pas que ceci sera l’âge de Laodicée? Comment était l’âge de Laodicée? Une église tiède, avec juste assez pour avoir... être un peu émotif, et c’est pratiquement tout ce qu’il y a à cela (Voyez-vous?), dansant pendant que la musique est en train de jouer et–et...?... C’est... un relâchement. Voyez? Oh! Nous devrions être enflammés, nos coeurs brûlants. Christ vient.
95 Qu’est-ce que le diable nous a fait? Il vous a simplement amené au point où vous paraissez simplement comme... «Eh bien, tout cela est... Eh bien, que Dieu soit béni. Me voici.» Voyez, c’est ça le problème, amis. S’il vous plaît, croyez en Lui. Ayez foi en Lui. Croyez cela de tout votre coeur et dites: «Oui, Seigneur, je reçois cela, j’accepte cela.»
Si les toutes petites choses, juste dans cette réunion, s’étaient accomplies en Afrique ce soir, savez-vous ce qui serait arrivé? Il n’y aurait aucune personne faible parmi nous. C’est vrai. Un Hottentot, il ne sait pas distinguer la main droite de la main gauche... C’est vrai.
J’avais offert une seule prière, et le docteur F. F. Bosworth a estimé et a évalué à vingt-cinq mille guérisons, après que trois personnes étaient passées à l’estrade. Sept gros camions pleins de béquilles, de fauteuils roulants et autres qui avaient été ramassés par terre, aussitôt après que la prière avait été offerte, sept gros camions à bétail pleins de morceaux de bois, des brancards et autres.
96 Et vous les gens de couleur qui avez été ici, c’était votre peuple. C’était votre peuple en Afrique qui n’a pas ce que vous avez. Ils n’ont même pas d’habits à porter. Et je n’arrive pas à comprendre comment on pense que cette civilisation apporte Christ. Vous vous trompez là-dessus. Christ apporte la civilisation. Et ces civilisations que nous avons aujourd’hui, ce n’est pas contrôlé par Christ.
Permettez-moi de vous poser une question. Chaque année, les femmes se déshabillent davantage, chaque année, au point que cela est devenu une chose horrible à voir, des jeunes et des vieilles dans la rue. Et vous fréquentez l’église, vous vous dites, certaines parmi vous, les gens de la sainteté, et avec le Saint-Esprit, des membres d’église, vous êtes censées être des élues. Et chaque année, vous enlevez vos habits, des dames.
97 Et quand ces purs païens qui se tenaient là sans rien dessus, une ceinture, pas d’habits, de ce côté en haut, pas du tout, et aussitôt qu’ils furent convertis, elles plièrent leurs bras comme ceci pour s’en aller. Si Christ apporte une condamnation à une païenne qui ne savait pas autre chose, pour lui faire savoir qu’elle était nue, qu’en est-il des gens qui sont censés Le connaître et être civilisés? Il y a quelque chose qui cloche quelque part. Et je suis sûr que ce n’est pas avec Christ que ça cloche. C’est notre civilisation moderne.
Vous voyez, maintenant même, quand Christ fait ce qu’Il... Je défie quiconque de prouver que ce n’est pas la Bible, et que ce n’est pas Christ. Vous ne pouvez pas le faire. C’est Christ. Si donc Il est présent, qu’y a-t-il avec nous? Nous devrions nous réjouir, Le remercier, accepter notre guérison et dire: «Oui, Seigneur, je Te reconsacre ma vie. Je–je veux T’aimer. Je veux faire tout ce que je peux.»
98 On ne devrait pas en arriver à ce que le prédicateur soit tenu de vous dire de le faire. Cela devrait provenir de votre coeur. Non pas par une conception psychologique, intellectuelle, mais par une expression qui touche le coeur vis-à-vis de Christ. Amen.
Je pense que c’est cet homme-ci. Je ne vous connais pas, monsieur. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Si le Seigneur Jésus révèle à cet homme... Voici un–un Nathanaël maintenant, un homme qui se tient ici, un Nathanaël. Si le Seigneur Jésus révèle la maladie de cet homme, serez-vous disposé à accepter Jésus comme votre Guérisseur?
Maintenant, ne pincez pas votre chair, mais pincez votre âme avec la Parole: «Réveille-moi, Seigneur. Ouvre-moi les yeux. Qu’est-ce qui cloche avec moi? Est-ce que je rate ça? Qu’est-ce que ce prédicateur cherche à me faire comprendre?» Je cherche à saisir cela. C’est vrai.
Vous–vous–vous dites: «Eh bien, Frère Branham, ça fait des années que je suis membre d’église.» Mais vous mourrez dans vos péchés. Voyez? Qu’est-ce qu’est le péché? C’est l’incrédulité. Voyez, si vous recevez cela rapidement, vous L’acceptez, vous Le louez et que vous dites: «Merci, Seigneur, que cela s’accomplisse», sortez directement de la salle ce soir parfaitement guéri. Si vous ne l’êtes pas, vous êtes tout aussi bien portant que si vous avez accepté votre guérison sous forme de semence, par la Parole. Voyez-vous? C’est ce que...
99 Je redoute que ces grandes villes aient besoin de beaucoup d’enseignements. Je suis sûr que les gens ont été travaillés par des émotions et autres, ils ont donc besoin de vrais enseignements sur les Ecritures, comment recevoir cela. L’un de ces jours, Dieu voulant, avant que la fin arrive, j’aimerais qu’Il me permette d’avoir ici quelque part un très grand bâtiment où je pourrais rester quelques trois mois, ou quelques trois, quatre, cinq semaines ou quelque chose comme cela, afin que nous puissions simplement nous attarder là-dessus et nous accrocher à la Parole. [L’assistance réagit.–N.D.E.] Merci. Que Dieu l’accorde.
Maintenant, cet homme assis ici, si le Seigneur Jésus accorde ceci à cet homme... Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, monsieur? Nous le sommes. Nous sommes–nous sommes inconnus. Si le Seigneur Jésus montre à cet homme, nous montre ce pour quoi il est là en train de prier, combien ici diront: «Je vais accepter cela tout de suite. Je–je–je vais maintenant même ouvrir mon coeur et tourner mon visage droit vers Christ»? Que le Seigneur l’accorde.
Il souffre du cou. Est-ce vrai, monsieur? Levez la main. Voyez? Maintenant, cela ne peut pas être deviné. C’est la vérité. Ça doit être vrai. Il est le Juge. Maintenant, comment ai-je su cela? Je l’ai vu. Qu’avait dit Jésus à Philippe? «Je t’ai vu. Tu es un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»
Il a dit: «Comment me connais-Tu?»
Il a dit: «Je t’ai vu quand tu étais sous l’arbre.»
100 Parlons à l’homme juste un peu plus longtemps. Cela vous convaincra-t-il si le Seigneur lui dit autre chose? Qu’il en soit juge. Je ne fais que regarder, monsieur, pour voir ce qui va se passer. Oui, vous avez d’autres ennuis. Exact. C’est une maladie dont souffre quelqu’un d’autre. C’est votre frère. Et votre frère est à la maison souffrant d’une dépression nerveuse. Croyez-vous?
Non seulement cela, mais je vois une espèce d’institution psychiatrique apparaître ici. C’est votre mère. Elle est dans une institution psychiatrique. Croyez-vous? Maintenant, imposez-vous les mains les uns aux autres. Imposez les mains, pendant que vous avez des mains levées comme cela, levez les mains vers Christ. Que le Seigneur vous bénisse, mon frère.
Père Divin, accorde-lui les désirs de son coeur. Qu’il parte ce soir et qu’il reçoive tout ce qu’il a réclamé, je le demande au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse. Maintenant, allez...?...
Maintenant, à vous ici, Dieu a promis ces choses. Je suis–je suis ici pour vous aider, amis. Pourquoi ai-je quitté ma maison, mes petits enfants? Pourquoi suis-je venu ici juste en période de la Noël alors que j’étais absent toute l’année? Pourquoi suis-je venu ici pour ce service? Je sens que peut-être le Seigneur m’aidera ici à vous assister. Voyez? Et c’est ce pour quoi je suis ici. Voyez?
101 Peu importe que vous soyez un tout petit groupe. Vous dites: «Frère Branham, vous dites que vous avez prêché?» Oui, à un demi-million de gens à la fois. Voyez? C’est vrai. Des dizaines de milliers... Cela ne fait pas de différence qu’il y en ait trois parmi vous. C’est là que Dieu peut utiliser et faire quelque chose.
Maintenant, ceci est votre visitation. Croyez que Son serviteur est votre frère. Eh bien, si vous avez besoin de quoi que ce soit maintenant même, pendant que Sa Présence est ici... affaiblissant simplement... Vous pouvez comprendre, si le Fils de Dieu pour avoir eu une seule vision, a dit: «Je... La force M’a quitté», qu’est-ce que cela ferait à moi, un pécheur sauvé par la grâce? Qu’est-ce que cela me ferait? Certainement. C’est juste jour après jour, car Il a promis: «Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.»
Maintenant, croyez en Lui de tout votre coeur et vous recevrez cela. Eh bien, vous les malades, que tous ceux qui sont malades lèvent la main, tous ceux qui sont malades. Maintenant, vous qui êtes assis à côté d’eux, imposez-vous les mains les uns aux autres, les malades et les nécessiteux là. Et prions ensemble maintenant que le Père guérisse. Maintenant, croyez simplement cela de tout votre coeur.
102 Il y a une dame que... Là même, madame, assise, la dame avancée en âge là derrière avec les mains levées... Oui. Imposez-lui les mains là, s’il vous plaît. Et par ici, il y a des gens aussi avec les mains levées. Imposez-vous les mains les uns aux autres.
Maintenant, jeunes et vieux, pendant que vous avez les têtes inclinées juste un instant. Je me demande s’il y a ici un pécheur qui lèverait la main ou se tiendrait debout, un pécheur qui dirait: «Je veux maintenant accepter Christ pendant que je suis dans Sa Présence. J’ai toujours désiré faire cela, mais ce soir, je crois maintenant de tout mon coeur qu’Il est ici, et j’aimerais L’accepter comme mon Sauveur personnel.»
Voudriez-vous vous lever, un pécheur qui ne L’a jamais accepté auparavant et vous... un pécheur est un incroyant, évidemment. Et maintenant, vous... vous pouvez être un membre d’église, mais vous êtes néanmoins un pécheur si vous ne croyez pas. Voyez? Maintenant, je ne veux pas dire croire intellectuellement; je veux dire croire du coeur. Voyez? Et si vous l’êtes, voudriez-vous vous lever?
103 Je suppose qu’il n’y en a aucun, j’en suis reconnaissant. Je crois que vous êtes sincère et que vous le faites. Maintenant, prions, tous ensemble, vous tous qui savez comment prier, priez avec moi maintenant.
Père céleste, nous venons maintenant et nous T’apportons ces gens au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus. Nous sommes venus, car nous avons été invités à venir. Et maintenant, dans Sa Présence, alors que nous nous tenons, attendant que le Saint-Esprit prenne la Parole et plante cette Parole au fin fond de leur coeur... Tu es ici, Seigneur, Ton glorieux Esprit ne fait que se mouvoir au-dessus de l’assistance. Maintenant, guéris tout le monde.
104 Et je dis à Satan qui a lié ces gens avec la maladie: Ne comprends-tu pas, Satan, que tu as perdu la bataille? Jésus, le Fils de Dieu, est présent. Nous t’ordonnons, par une commission du Saint-Esprit, de quitter tout le monde ici présent. Sors, Satan. Au Nom de Jésus-Christ, quitte cette assistance, et que ces gens puissent retourner chez eux, libres, qu’ils aillent prendre leur repas, qu’ils jouissent encore d’une bonne santé. Car Jésus-Christ l’a promis. Et maintenant, nous prenons l’initiative, par la foi, nous croyons cela, au Nom de Jésus-Christ. Amen.