La Foi
1 ...encore ce chant: «Crois seulement...Tout est possible, crois seulement.»
Et nous n’avons pas assez de–de places assises ici pour recevoir notre petite église. Il n’y a que deux ou trois cents personnes, je pense, ou un peu plus, qui peuvent s’y asseoir. Et nous regrettons que les gens soient obligés de rester debout, mais je vais me dépêcher tout de suite, et–et les quelques remarques que j’ai à faire. Et je prierai que Dieu vous accorde à tous ce que vous êtes venus voir ici ce soir, et que vos coeurs soient remplis de Sa bonté et de Sa miséricorde, car je sais vraiment que c’est Sa divine volonté qu’il en soit ainsi.
2 La première chose que j’aimerais dire, c’est qu’on regrettera longtemps ici le départ de notre soeur Casey. Malgré son âge avancé (elle avait dépassé les quatre-vingts ans, je pense)... Et jour après jour, à travers la neige et la pluie, elle allait vers l’église du Dieu vivant. L’autre soir, c’était un grand privilège de me tenir à son chevet au moment de son départ. Et j’ai dit: «Me connaissez-vous?» Et elle... Je ne sais pas si elle m’avait reconnu ou pas. Mais quand j’ai dit: «Connaissez-vous Jésus?», elle a fait un signe de tête affirmatif que, oui, elle Le connaissait. Alors, j’étais content d’appeler ses enfants, ses petits-enfants et, je pense, même ses arrière-petits-enfants à son chevet et de dire: «Voilà la belle façon de partir.» Après tout, il nous faut partir. «Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement.»
3 Et puis, notre soeur Hall... frère William Hall, pasteur de l’église baptiste de Milltown, qui s’était converti au Seigneur lors d’une des réunions récemment, il y a quelques années et qui a été guéri d’un cancer grave alors que les médecins avaient dit, les meilleurs qu’on puisse trouver dans son coin du pays, et aussi le médecin de New Albany, ils avaient dit: «Il se meurt.»
Et il est venu ici, sa femme m’a téléphoné, disant: «Frère Billy, voudriez-vous venir prier pour Will? Il se meurt du cancer.» Et nous sommes allés le voir. C’était un cancer du foie, et cela lui avait déjà gonflé le foie, et il avait jauni et était presque inconscient.
Et je lui ai demandé si ça ne le dérangeait pas que j’appelle mon ami médecin, de la ville, ici, pour lui parler. C’était le docteur Sam Adair. Beaucoup d’entre vous le connaissent. Et le docteur Sam a dit: «Billy, il n’y a qu’une seule chose à faire, c’est l’envoyer à Louisville auprès d’un illustre cancérologue.» Et ils l’ont envoyé là-bas pour un examen. Evidemment, comme le médecin de là-bas ne voulait pas lui dire ce qu’il en était, il a appelé le docteur Adair. Et le docteur Adair m’a appelé et a dit: «Billy, ton ami prédicateur, dans quatre jours, il sera mort.» Il a dit: «Il n’a plus que quatre jours à vivre, a-t-il dit, parce que le cancer a rongé son foie.»
J’ai dit: «Docteur, n’y a-t-il plus rien que tu puisses faire pour lui?»
Il a dit: «Billy, nous ne pourrions pas lui enlever le foie, et qu’il reste en vie.» Et il a dit: «Puisque il est prédicateur, il est censé être prêt à partir.»
J’ai dit: «Ça, je crois qu’il l’est.»
Alors, c’était dur pour moi d’aller annoncer à sa précieuse épouse que frère Will Hall mourrait dans quatre jours. La famille Wright ici, assise ici, en est témoin, ainsi que beaucoup d’autres. Et alors, je suis allé annoncer à Mme Hall: «Dans quatre jours, Will sera mort. Le médecin a dit que son foie était rongé par le cancer.»
4 Ainsi, je suis rentré à la maison, et le lendemain matin... Beaucoup de gens viennent à la maison, vous savez, il me faut alors m’éloigner un peu, de temps à autre. Je reviens d’un tel voyage, là-bas au Kentucky, où j’étais à la chasse. Et ce matin-là, j’allais chasser l’écureuil. Je me suis réveillé de bonne heure, j’ai regardé dehors, il n’y avait personne sur la voie d’accès à la maison. Alors, je–je suis allé prendre mon vieux chapeau et ma carabine de calibre vingt-deux, et j’étais sur le point de sortir. Et j’ai vu une pomme suspendue là, c’était la pomme d’apparence la plus horrible que j’aie jamais vue. J’ai pensé: «Pourquoi Meda a-t-elle déposé une pomme comme celle-là au mur?» Ratatinée et rongée par les vers, j’ai remarqué qu’elle n’était pas accrochée au mur, elle flottait dans l’air. Et je me suis agenouillé, avec mon vieux chapeau et mon fusil à la main, et j’ai vu une autre pomme, puis une autre, jusqu’à ce qu’il y en eût là cinq. Et puis, une très grosse pomme avec des rayures rouges est descendue et a happé cinq fois, et elle a simplement coupé les pommes en morceaux et les a avalées. Et j’ai pensé: «Qu’est-ce?»
Et alors, l’Ange du Seigneur, dont vous voyez la photo là, s’est tenu dans la pièce et a dit: «Va dire à frère Hall: AINSI DIT LE SEIGNEUR, il ne va pas mourir. Cela fait maintenant cinq mois qu’il est malade, mais d’ici cinq jours, il sera rétabli.»
Rapidement, j’ai appelé le docteur Adair et j’ai dit: «Il va vivre.»
Il a dit: «Billy, comment peut-il vivre avec en lui un foie complètement rongé?»
J’ai dit: «Je ne sais pas. Mais le Seigneur a simplement dit qu’il va vivre, et c’est tout ce que je sais.» Et il est en vie aujourd’hui.
Sa femme, je pense qu’elle avait près de soixante-quinze ou quatre-vingts ans, est partie pour être avec le Seigneur il y a quelques jours, pendant que j’étais dans le Kentucky. Que Dieu accorde le repos à son âme, et aussi à soeur Casey. Elles ont été toutes deux de cette église et elles communiaient avec nous. Tout homme, peu importe qu’il soit jeune ou vieux, ou en bonne santé, un jour, nous allons tous rencontrer Dieu. Nous pouvons nous préparer pour ça.
5 Maintenant, ce soir, je... juste quelques remarques de la Parole éternelle et bénie de Dieu. Et je voudrais En lire juste une portion ici, qui se trouve dans l’Evangile selon Marc, au chapitre 11 de Saint Marc. J’aimerais parler sur la foi, juste pendant quelques instants, parce que beaucoup d’entre vous sont debout; vous aurez mal aux jambes. J’aimerais commencer au verset 20. Je veux le lire d’après le lexique du grec original.
Et le matin, comme ils passaient, ils virent le figuier séché depuis les racines.
Et Pierre, se ressouvenant de ce qui s’était passé, lui dit: Rabbi, voici, le figuier que tu as maudit est sec.
... Jésus, répondant, leur dit: Ayez foi en Dieu.
En vérité, je vous dis que quiconque dira à cette montagne: Ôte-toi, et jette-toi dans la mer, et qui ne doutera pas dans son coeur, mais croira que ce qu’il dit se fait, tout ce qu’il aura dit lui sera fait. [Version Darby]
6 Quelle promesse bénie! La foi en Dieu, pour beaucoup de gens, c’est quelque chose de stupéfiant. Et pourtant, nous devrions avoir honte de nous-mêmes de confesser que nous n’avons pas foi en Dieu. D’abord, il y a des lâches qui meurent dix mille fois pendant qu’ils sont ici sur terre, mais un héros ne meurt jamais. Sa mémoire subsiste par suite de ses hauts faits héroïques. Et d’habitude, les gens qui ont la foi sont des gens qui ont de l’expérience. L’expérience produit la foi.
Je pense que c’est la raison pour laquelle la Bible nous enseigne... Jésus a dit, dans Saint Jean, au chapitre 3: «Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut comprendre le Royaume de Dieu.» Or, ça, c’est en le citant d’après le texte original. Dans la version du–du roi Jacques, il est dit: «Il ne peut pas voir.» Mais ce mot ne veut pas dire voir, comme vous regardez avec vos yeux. Il veut dire comprendre. Vous ne pouvez pas voir le Royaume, de toute façon. Vous devez le comprendre. Et Jésus a dit: «Si un homme ne naît de nouveau premièrement, il ne peut pas comprendre le Royaume de Dieu.» Alors, c’est... il nous faut avoir une expérience avant que la foi puisse accomplir beaucoup de choses. Par conséquent, les gens devraient être sauvés avant... Premièrement, ils viennent à Dieu et ont une expérience du salut avant de s’approcher de Dieu pour leur guérison. Cela doit... cela–cela accomplira des prodiges, si seulement vous pouvez le croire.
7 Maintenant, remarquez, bien des fois, dans les Ecritures... Prenons cette fameuse vieille scène, d’Israël, quand ils avaient des difficultés. Une guerre avait éclaté entre Israël et les Philistins. Et Israël s’était rassemblé sur le flanc d’une colline. Et ils étaient en ordre de bataille, mais personne n’était capable d’aller combattre, parce que, sur l’autre flanc de la colline, l’ennemi avait un grand challenger. Et comme il en était à cette époque-là, il en est de même maintenant: quand le peuple de Dieu s’engage à faire quelque chose, l’ennemi a toujours un challenger, pour vous défier là-dessus.
Et ce grand géant, presque préhistorique, se tenait là, avec des doigts de quatorze pouces [35,56 cm], et en main une lance de la taille d’une aiguille de tisserand. Il défiait tout homme d’Israël de venir se battre avec lui. C’est comme ça que l’ennemi agit quand il pense avoir le dessus. Il ne le fera jamais quand il voit une foi victorieuse. Mais il le fera uniquement quand il sait qu’il a réussi à vous intimider. C’est là que l’Eglise ne peut pas bouger: quand il a l’aiguille de tisserand sur vous.
8 Mais pendant que, dans les armées des Israélites... Saül, le grand guerrier... S’il y avait, dans toute l’armée, un homme plus apte à pouvoir aller se battre avec ce géant, c’était Saül. Premièrement, il était un guerrier bien entraîné. Il connaissait toutes les manoeuvres: comment esquiver les lances, et comment les parer avec son bouclier. Et en plus de ça, il dépassait d’une tête tous les hommes de son armée. Physiquement, il faisait plus le poids, et c’était un entraîneur d’hommes.
Mais ce qui est arrivé dans le cas de Saül à l’époque, nous voyons que c’est la même chose aujourd’hui, parmi les gens qui fréquentent l’église. Certains d’entre eux, qui sont des érudits avec la plus solide formation, ont quelquefois la plus petite foi en Dieu. Ils ont un doctorat en philosophie et un doctorat en théologie, et ils essaient d’expliquer cela, ou ils essaient d’éviter le fait même d’avoir foi dans la Parole de Dieu; ils essaient de l’expliquer d’une autre manière. Et c’est vrai. Tout notre savoir, toute notre formation, cela ne nous mettra jamais en position d’affronter l’ennemi. Il faut la foi en Dieu pour le faire, et rien que ça.
9 Mais si nous remarquons, pendant que ce géant était là à se vanter tant, ce grand théologien, dirait-on, se tenait là avec une solide formation pour savoir comment se battre, mais il n’avait jamais eu aucune expérience avec Dieu... Et c’est vraiment dommage, aujourd’hui, de voir des hommes et des femmes qui ont vécu dans l’église, qui y ont été élevés, inscrits sur les registres dès la naissance, et qui connaissent bien la Bible, mais qui, pourtant, n’ont jamais témoigné d’une expérience avec Dieu. Ce dont nous avons besoin, c’est de revenir à une expérience qui touche vraiment le coeur, pour savoir en Qui vous croyez, non pas des écrits, mais le Dieu vivant et véritable, qui vit maintenant.
10 Et là, au milieu de tout ça, en retrait derrière les champs, Dieu avait un jeune garçon au teint rosé, du nom de David. Il gardait les brebis de son père–père. Et pendant qu’il gardait ses brebis, il avait acquis une expérience. Et c’est son père qui l’a envoyé là-bas auprès des armées, pour apporter à ses frères des gâteaux de figues et des gâteaux de raisins. Et pendant qu’il était là-bas, il a vu ce grand géant s’avancer et se vanter haut et fort.
Or, le petit David ne faisait pas du tout le poids. D’abord, il n’était qu’un jeune garçon; et puis, il était un garçon au teint rosé, ce qui veut dire que c’était un gringalet, comme on l’appellerait. Et il ne faisait pas du tout le poids. Il n’avait jamais tenu une épée dans sa main, peut-être qu’il n’avait jamais soulevé un bouclier, de sa vie. Il ne connaissait rien de la formation militaire. Mais il y avait une chose qu’il connaissait bien. Il connaissait son Dieu. C’est ça l’essentiel. Il connaissait Celui en Qui il avait cru.
11 Et alors, après que le géant a lancé son défi, David connaissait une autre chose: ce qui était bien et ce qui était mal. Parfois, nous qui fréquentons l’église, il semble que nous n’avons pas pour ainsi dire l’intelligence spirituelle qu’il faut pour faire la différence. Si nous l’avons, il n’y a pas de différence dans notre comportement. Mais il savait ce qui était bien et ce qui était mal. Il savait que c’était mal pour ce Philistin de défier les armées du Dieu vivant. Alors. il a prononcé ces mots: «Vous n’allez pas me dire que vous allez laisser ce Philistin incirconcis se tenir là et défier les armées du Dieu vivant?» Quelle réprimande pour une armée bien entraînée!
Quelle réprimande aujourd’hui pour une petite lavandière, qui peut-être ne connaît pas son abc, mais peut se tenir en face d’un ecclésiastique bien formé qui déclare que les jours des miracles sont passés, et elle va défier ses propos, en disant: «A un moment donné, j’étais estropiée, ou malade, et maintenant, je suis guérie.» Peut-être qu’elle ne connaît pas tous les tenants et les aboutissants de la théologie, mais elle connaît Dieu. Après tout, c’est ça qui est exigé.
12 Et là, ce petit David au teint rosé, tout jeune, enveloppé dans son petit manteau en peau de mouton, s’est avancé devant ces gars-là, et il leur a fait honte. Il a dit: «Vous vous tenez là, l’armée bien entraînée du Dieu vivant, et vous laissez ce Philistin défier les armées de Dieu.» Il a dit: «J’irai le combattre moi-même.»
Oh! J’aime cet esprit courageux de David. Et Saül a essayé de l’instruire et lui a fait porter une veste ecclésiastique, mais ça ne lui allait pas. Il a dit: «Débarrassez-moi de ce truc. Je ne sais pas dire ‘amen’ comme vous. Et je ne connais pas non plus votre théologie. Laissez-moi y aller avec ce que j’ai expérimenté.»
13 Oh! Un homme m’a dit il y a quelque temps, il m’a dit: «Frère Branham, votre prédication est vaine, car la guérison divine, ça n’existe pas.»
J’ai dit: «Ce qu’il y a, frère, c’est tout simplement que vous n’avez pas été là où nous, nous avons marché. Voilà tout. En effet, vous arrivez vraiment trop tard pour nous dire ça maintenant. Nous l’avons déjà trouvée, et nous en avons témoigné dans le monde entier, le grand réveil de l’effusion du Saint-Esprit, pour produire des signes et des prodiges, pour accomplir la Parole de Dieu dans ces derniers jours.»
14 Et ce petit homme s’est débarrassé de ces vieux diplômes, s’est avancé là et a dit: «Ecoutez, voici pourquoi j’y vais. Je sais en Qui j’ai cru.»
Saül ne savait rien de ça, pourtant, il allait à l’église tous les sabbats. Et peut-être qu’il pratiquait tous les actes religieux comme les autres, mais il n’avait jamais connu d’expérience.
Et que s’est-il passé? David a dit: «Quand je gardais les brebis de mon père, quand je marchais là-bas dans les verts pâturages et près des eaux paisibles, j’ai appris au sujet d’un Dieu qui a créé les cieux et la terre. Et j’étais responsable de quelques brebis de mon papa. Un ours est venu, a attrapé l’une d’entre elles, et je l’ai tué. Puis, un lion est venu, a capturé un petit et s’est sauvé, et je l’ai terrassé avec ma fronde. Et quand il s’est relevé, je l’ai saisi par la barbe et je l’ai tué.» Il a dit: «Le Dieu qui a livré l’ours et le lion, à combien plus forte raison livrera-t-Il ce Philistin incirconcis entre mes mains.» Certainement, il savait de quoi il parlait. Il avait foi en Dieu. Il avait eu une expérience, d’avoir vu ce que Dieu allait faire; par conséquent, il savait que cette expérience-là allait le mener à la victoire.
15 Oh! Des années plus tard, quand il est devenu roi d’Israël (Ce n’est pas étonnant qu’il soit devenu roi, un guerrier comme celui-là), quand il est devenu roi, il a eu une idée: «Je vais bâtir la maison de l’Eternel.»
Et alors, quand le prophète Nathan, ce soir-là, était sorti avec lui et s’était entretenu avec lui, le Seigneur était apparu à Nathan. Il a dit: «Va dire à Mon serviteur David: Je sais qu’il n’était qu’un petit gars au teint rosé; Je sais qu’il portait un manteau en peau de mouton. Mais Je l’ai retiré de ce pâturage et Je l’ai établi chef sur Mon peuple, et Je lui ai donné un nom semblable aux grands hommes de cette terre.» Oh! Combien Dieu a vu cette sincérité de foi pour Le croire, fondée sur une expérience qui montrait qu’Il était le Dieu vivant.
16 C’était bien peu de choses pour Abraham, après qu’il avait tenu ferme, comme voyant Celui qui était invisible, là, après avoir rencontré Dieu et après avoir eu l’expérience de parler avec Dieu face à face, de pouvoir appeler les choses qui n’étaient pas comme si elles étaient. En effet, il avait une expérience. Il avait parlé à Dieu face à face. C’est ça qu’il nous faut: une expérience personnelle avec le Dieu vivant.
17 Moïse, après quarante ans de formation religieuse auprès de sa mère, quarante ans avec le pouvoir militaire en main, pour savoir comment vaincre une nation, comment conquérir, et Dieu a mis quarante ans à sortir ça de lui. Mais une fois seul, là-bas dans le désert, un jour, il s’est trouvé face à face avec Dieu dans un buisson ardent. Et, en cinq minutes, il était mieux équipé, après avoir parlé avec Dieu, qu’avec ce que les quatre-vingts ans d’instruction lui avaient apporté.
Il avait été un lâche, qui meurt mille fois. Et après avoir rencontré Dieu, il aurait voulu avoir mille vies à donner pour Christ. Il était prêt à aller de l’avant. Rien ne pouvait l’arrêter, bien qu’il n’eût pas d’armée, bien que son instruction ne lui fût d’aucune utilité. Il ne pouvait pas combattre; il n’avait pas d’épées. Il n’avait pas de guerriers, pas de chars, pour le soutenir d’après ce que le monde en savait. Mais il s’était trouvé face à face avec Dieu, par une expérience qui avait amené les anges armés de toute l’Eternité à se tenir derrière lui. Et comme Moïse allait son chemin, avec sa femme assise à califourchon sur une espèce de vieux mulet, sa longue barbe pendant, je crois que des myriades de myriades d’anges faisaient route avec lui sur ces routes poussiéreuses. Il avait une expérience.
18 Il y a eu, une fois, à Dothan, un jeune homme, serviteur d’un–d’un prophète... Il était descendu avec celui-ci à Dothan. Et pendant que le prophète dormait, la grande armée syrienne était venue entourer... assiéger les grandes murailles de Dothan. Et quand il s’est réveillé, le lendemain matin... Il n’avait jamais eu une expérience. Il a dit à... en voyant cette grande armée qui cherchait Elie, il a dit: «Oh! Mon père, des armées entières se sont rassemblées et ont entouré ce lieu. Ils te cherchent.» Cela n’a pas du tout ébranlé ce vieux prophète. Ça aurait pu être le cancer; ça aurait pu être la tuberculose; ça aurait pu être une attaque, mais ça n’a pas ébranlé ce prophète. Il l’a regardé, et il a dit: «Fils, ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont avec eux.»
Il a dit: «Je ne vois que toi et moi.»
Il a dit: «Ouvre ses yeux, ô Dieu, pour qu’il puisse voir. Donne-lui une expérience.» Et quand ses yeux se sont ouverts, il a regardé: les montagnes étaient toutes pleines de chars, et de feu, et de chevaux de feu, tout autour de ce saint vieux prophète. Il a eu une expérience. Il n’y avait plus de doute dans sa pensée à ce moment-là.
19 Il y a eu Samson qui, avec une mâchoire de mulet, a tué un millier de Philistins, parce qu’il avait eu une expérience: il était né de nouveau. Il avait eu une expérience: il était un naziréen, et le Dieu du Ciel était avec lui.
20 Il y a eu Philippe qui, ayant vu Jésus dans des expériences passées, est allé trouver Nathanaël derrière la montagne. Et il a dit: «Viens voir Celui que nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, fils de Joseph.»
Et cet homme, qui était très orthodoxe, a dit: «Eh bien, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»
Il a dit: «Viens, et vois.» Pourquoi? Il avait été avec Jésus. Il savait qu’il y avait quelque chose dans cet Homme, qui était largement de taille à faire face à tout ce que le diable pouvait présenter.
Oh! Ecoutez attentivement. Et pendant qu’ils contournent la montagne, Philippe se met à parler, et Nathanaël converse avec lui. Et il lui dit: «Eh bien, quand tu arriveras là-bas... Je L’ai vu, quand Pierre s’est approché. Il n’avait même jamais vu Pierre de toute Sa vie, mais quand il est arrivé là, Il a dit: ‘Tu t’appelles Simon, et tu es le fils de Jonas.’ Il connaissait son nom, et Il savait qui était son père.» Oh! Lui, il ne pouvait pas croire ça. Mais Philippe avait été une fois avec Lui, alors il a su le convaincre, que c’était possible, qu’Il l’avait bien fait. Alors, quand il s’est avancé jusque dans la Présence de Jésus de Nazareth, il en était alors venu à croire.
21 Alors, quand Il l’a regardé, Il lui a dit, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»
Et il Lui a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»
Et Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
Or, ça l’a étonné. Comment a-t-Il pu faire ça? Mais Philippe a su convaincre Nathanaël que ça pouvait se faire, parce qu’il avait eu une expérience, d’avoir été avec Jésus.
Vous savez, il y a quelque chose au fait d’être avec Jésus; ça vous donne une expérience. D’être là où Il se trouve, de voir Son oeuvre, alors ça vous donne la foi. Quand vous avez une expérience, ça produit la foi. La foi agit en fonction de votre expérience.
Maintenant, remarquez ceci, là, alors qu’il s’approche; eh bien, nous pouvons les voir se mettre à se parler l’un à l’autre, quand ils se sont approchés. Et Il s’est mis à lui dire ce qui se passait, et qui il était, d’où il venait, et tout à ce sujet. Et alors, aussitôt qu’il a eu l’expérience... Oh! Béni soit le Nom du Seigneur! Quand il a eu l’expérience,–qu’un miracle de Dieu s’était opéré sur lui,–alors il a pu tomber à Ses pieds et dire: «Rabbi, Tu es le Fils du Dieu vivant. Tu es le Roi d’Israël.» Mais il devait d’abord voir cela s’accomplir. Il pouvait avoir foi en Dieu, après que Dieu s’était manifesté. C’est comme ça que Dieu agit.
22 La femme au sujet de qui frère Neville lisait ce soir, dans la Bible, elle était assise au puits, ou plutôt elle puisait de l’eau du puits. Elle était Samaritaine. On lui avait enseigné qu’il viendrait un Messie, qui accomplirait de grands signes et des prodiges. Elle en savait un peu là-dessus. Et quand elle a plongé le sceau dans le puits pour puiser de l’eau, Jésus a dit: «Apporte-Moi à boire.»
Elle a dit: «Mais Tu n’as rien pour puiser. Et pourquoi me demandes-Tu à boire, étant donné que Tu es... D’abord, en tant que Samaritaine, nous n’avons pas de relations les uns avec les autres.» Et ainsi de suite.
La conversation s’est poursuivie. Au bout d’un moment, voici ce qui s’est passé, Il a découvert où résidait son problème. Rappelez-vous, d’abord, elle s’est présentée là, c’était pour Le critiquer, car Il était Juif. Mais Il a dit: «Va chercher ton mari et viens ici.»
Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»
Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari.»
Et très vite, aussitôt que ça s’est produit, elle a été intriguée dans son esprit. Rappelez-vous, elle avait fréquenté une église froide et formaliste. Elle ne savait quoi faire. Elle a dit: «Eh bien. Maintenant, Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses.»
Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Oh! Quelle expérience! «Je Le suis, Moi qui parle avec toi.»
Et qu’a-t-elle dit? Elle est entrée dans la ville en courant, avec une expérience dont elle avait été témoin, que Jésus était le Fils du Dieu vivant. Pourquoi? Elle avait vu une puissance oeuvrer en Lui, qui avait accompli un miracle, qui lui avait dit qui elle était et où se trouvait son péché, et où se trouvait son problème. Donc, elle pouvait courir et dire: «Vraiment, c’est le Fils de Dieu. Venez voir l’Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même?»
23 Maintenant, remarquez encore. Dans quelques instants... Il y avait une femme à la perte de sang. Elle avait pleuré et avait tout essayé pour faire... pour se rétablir; elle n’y était pas arrivée. Elle s’est frayée un chemin à travers la foule et elle a touché le bord de Son vêtement, car elle croyait. Alors quoi? «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend vient de la Parole de Dieu.» Elle s’est frayée un chemin, parce que la foi vient de ce qu’on entend. Elle a touché Son vêtement. Et elle a dit: «Avec ça, je suis satisfaite. Je L’ai touché.» Et elle retourna dans la foule, en croyant dans son coeur que quelque chose se passerait.
Oh! Si seulement les gens aujourd’hui pouvaient saisir ça, croire! Et quand ça s’est produit, Jésus s’est retourné et a dit «Qui M’a touché?»
Et Pierre a dit: «Eux tous Te touchent. Pourquoi dis-Tu: ‘Qui M’a touché?’»
Il a dit: «Mais Je me suis senti faible. Je suis si faible! De la vertu, de la force, est sortie de Moi. Je suis faible.»
Et il a dit: «Eh bien, comment l’as-Tu su?»
Et Il a promené le regard sur la foule. Elle pensait qu’elle était cachée. Elle était tout au fond, cachée dans la foule. Et quand Jésus s’est retourné et l’a regardée, Il lui a dit quel était son problème et qu’elle avait été guérie. C’est alors qu’elle a pu tomber à Ses pieds et tout confesser. Après avoir fait l’expérience de Sa grande puissance magnifique, qui lui a révélé qu’elle avait touché non seulement Son vêtement à Lui, mais le vêtement de Celui qui vit éternellement, le Dieu Tout-Puissant. Certainement que c’était ça.
24 Alors, il y a eu ces gens, le Jour de la Pentecôte, qui étaient craintifs, et ils étaient dans une chambre haute. Les portes étaient toutes fermées. Ils avaient peur des Juifs. Mais quand Dieu est venu sous la forme du Saint-Esprit et qu’Il a baptisé chaque personne de ce groupe du baptême du Saint-Esprit et de Feu, c’est là qu’ils ont pu aller dans la rue. Et cet homme qui avait juré en Présence de Jésus, quelques jours auparavant, a pu dire: «Hommes Juifs, et vous qui séjournez à Jérusalem, sachez ceci et prêtez l’oreille à mes paroles: Ces gens ne sont pas ivres comme vous le supposez, car c’est la troisième heure du jour, mais c’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël.» Certainement, après qu’il avait eu une expérience! Avant de passer par l’expérience, il avait la foi pour y croire; mais après que l’expérience est venue, l’expérience a produit les résultats. Certainement que oui.
25 Or, ces gens à qui Jésus parlait, là, à propos de l’arbre... Maintenant, remarquez un petit instant, maintenant, alors que nous terminons. Comme Il s’approchait du... sortait du temple un jour, Il s’est précipité vers un arbre pour voir si on pouvait trouver quelque chose à manger sur cet arbre. Il n’y avait rien, parce que ce n’était pas encore la saison des figues. Et Il n’avait rien pu trouver. Il a donc dit à l’arbre: «Que désormais personne ne mange de ton fruit. Que personne n’en mange.»
Et le lendemain... Ils n’avaient pas vu la moindre différence dans l’arbre immédiatement; il n’y avait aucun résultat apparent, aucun résultat physique apparent. Maintenant, voici ce que je voudrais que vous saisissiez. Il n’y avait aucun résultat apparent. Mais qu’avait-Il dit? «Que personne ne mange de ton fruit.»
Et vingt-quatre heures plus tard, le lendemain vers midi, ils sont passés à côté du même arbre. Et là, ils ont remarqué que l’arbre avait commencé à sécher. Et Pierre a dit: «Regarde l’arbre que Tu as maudit; il sèche déjà depuis les racines.»
26 Maintenant, observez là ce que Jésus a dit, alors que nous terminons: «Ayez foi en Dieu.» Quoi? D’abord, Il leur avait montré Sa puissance. Il l’avait montrée sur un figuier, ce qu’Il pouvait faire. En effet, quand Il demandait quelque chose au Père, Il croyait qu’Il avait reçu ce qu’Il demandait. Alors, Il leur a dit: «Vous, ayez foi en Dieu. Car Je vous le dis, si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là, transporte-toi et jette-toi dans la mer’, et si vous ne doutez point en votre coeur, mais croyez que ce que vous dites arrive, vous le verrez s’accomplir.» Saisissez-vous cela? C’est ici dans le lexique du grec original, voyez. «Croyez que ce que vous dites arrivera, vous pouvez le voir s’accomplir. Ayez foi en Dieu. Croyez que ce que vous demandez, vous le recevez; croyez que c’est déjà fait, et vous pouvez le voir s’accomplir.»
Maintenant, au sujet de la montagne à déplacer. Peut-être qu’un petit grain de sable a commencé à se déplacer; mais, de toute façon, aux yeux de Dieu, c’était déjà fait. Si vous croyez, ce soir, que... Peu importe ce qui cloche chez vous, si vous croyez, quand vous demandez à Dieu, que vous recevez ce que vous dites, vous pouvez le voir s’accomplir. Ayez foi en Dieu. Mais d’abord, Dieu doit se manifester à vous, vous prouver qu’Il–qu’Il est toujours le même Seigneur Dieu. Il est toujours le même puissant Jéhovah. Or, Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»
27 Maintenant, pour vous qui êtes ici ce soir au tabernacle, alors que nous allons commencer à former la ligne de prière, combien parmi vous voudraient dire ceci: «Si je peux voir Jésus-Christ accomplir les mêmes miracles et faire la même chose qu’Il avait faite quand Il était ici sur terre, moi, dans mon coeur, j’accepterai Dieu et je croirai que tout ce qui cloche chez moi, cela se fera aussitôt que je demanderai à Dieu.» Le croirez-vous? Voulez-vous lever la main pour dire: «Ô Dieu, je croirai de tout...», peu importe ce que c’est.
28 Or, personne ne peut guérir. La guérison est un produit fini de Dieu. Si un homme parvient à vous dire qu’il peut vous guérir, s’il est médecin et qu’il vous dit qu’il peut vous guérir, il a tort. En effet, il n’y a qu’un seul Guérisseur, c’est Dieu. Un médecin peut donner des médicaments. Il peut administrer un médicament dans une plaie pour tuer les microbes qui s’y trouvent, pour qu’elle soit guérie. Qu’arrive-t-il? Le–le médicament ne guérit pas. Le médicament arrête seulement les germes nuisibles, tue les germes de maladies qui détruisent les germes utiles, qui vous tuent. Alors, la science travaille sur différents poisons qu’on introduit dans votre système pour empoisonner certains microbes, sans que ça vous empoisonne. Voilà ce que fait la science. Voilà ce qu’est un médicament, c’est quelque chose qui va tuer un certain microbe, sans vous tuer. Ces antibiotiques, dans bien des cas, ça tue les deux. Ainsi donc, ils... C’est la raison pour laquelle ils sont difficiles à prendre, par exemple, la pénicilline qui, quelquefois, tue la personne.
Eh bien, un médecin peut enlever une obstruction. Il peut replacer un os, mais il ne peut pas guérir. C’est Dieu qui opère la guérison. C’est Dieu qui produit le calcium. C’est Dieu qui produit la–la multiplication des cellules pour reconstruire votre corps, là où on a ôté l’appendice ou quelque chose comme ça. Dieu est le seul Guérisseur.
29 Or, Jésus a promis qu’Il nous guérirait. «Si vous demandez quoi que ce soit en Mon Nom, Je le ferai. Quand vous priez, croyez que vous avez reçu ce que vous demandez, et vous le verrez s’accomplir.» C’est à vous. Croyez que la chose s’accomplit maintenant.
Or, quand Il a déployé Ses grandes puissances sur terre... Eh bien, Il ne guérissait pas les gens avant que le Père Lui ait d’abord montré quoi faire: Saint Jean 5.19. Il a dit: «Si tu peux croire, tout est possible.» Et puis, dans Saint Jean 5.19, Il a dit: «Je ne fais rien avant de l’avoir vu faire au Père premièrement. Tout ce que le Père Me montre, le Fils le fait pareillement.» Combien savent que la Bible le dit? L’avez-vous déjà lu dans la Bible? Certainement.
30 Maintenant, quand Il a fait ça, pendant Son séjour ici sur terre, Il l’a fait dans une ville; ils croyaient en Lui. Ils ont été guéris, par milliers. Il va dans une autre ville, Il le fait; ils croient. Il va dans Sa propre ville, l’endroit où Il a grandi; et quand Il s’est mis à le faire, ils ont dit: «Qui est cet Homme? D’où Lui vient cette sagesse? Comment sait-Il accomplir ces choses? Nous Le connaissons.» Et la Bible déclare qu’Il n’avait pas pu faire beaucoup de miracles puissants à cause de leur incrédulité. Il n’avait pas pu faire beaucoup de miracles.
Maintenant, je prie, s’il y a un pécheur ici ce soir, que quand vous verrez, s’Il veut bien le faire... Ici, c’est la ville où j’ai grandi, et c’est l’endroit le plus difficile où j’aie jamais combattu de ma vie. J’ai été chez les Hottentots en Afrique. J’ai été en Inde chez les vaudous, et tout le reste, et j’ai été défié par leurs sorciers et tout. Et je n’ai jamais eu à lutter pour faire agir l’Esprit de Dieu, comme je dois le faire dans ma propre ville, là où j’ai grandi. C’est tout à fait vrai. Ce n’est pas parce que les gens ne m’aiment pas, c’est parce que la Bible est vraie. «En vérité, en vérité, Je vous le dis, un prophète n’est pas sans honneur, si ce n’est dans son propre pays (c’est dans sa propre région), si ce n’est dans ce lieu-là.» Il doit en être ainsi. Maintenant, inclinons la tête un petit instant, pendant que nous prions.
31 Ô Adorable Seigneur, Toi qui as fait les cieux et la terre, qui les as créés par Ta propre main bénie, je Te prie, Seigneur, d’être bienveillant et miséricordieux envers nous ce soir, en pardonnant nos péchés et nos transgressions. Je Te prie d’être bienveillant envers les malades et les nécessiteux. Accorde-le, Seigneur.
Et s’il y a un péché parmi nous, ô Eternel Dieu, pardonne-le. En effet, dans les quelques instants qui suivront, soit que Ta Parole sera tenue pour vraie, soit qu’Elle sera tenue pour fausse. Soit qu’Elle sera tenue pour vraie, soit qu’Elle est une erreur. Dieu est toujours Dieu, ou bien les Ecritures ont tort. Et, Seigneur, nous prêchons ceci, nous le croyons, nous nous y accrochons jusqu’à ce que vienne l’épreuve de force, Seigneur, au point où il faut que quelque chose se passe... Il faut que soit... Ou bien Dieu doit prouver qu’Il est réel, ou bien les gens sont en droit de dire: «Je dois d’abord voir ça.»
Mais, Seigneur, les gens sont nés dans le péché, conçus dans l’iniquité, comme nous le sommes tous, venus au monde en proférant des mensonges. Alors, nous savons, Seigneur, que le Dieu miséricordieux nous fera certainement miséricorde et qu’Il nous aidera, Dieu bien-aimé. Nous prions ce soir pour chaque individu ici, que Ton Esprit repose sur eux, pardonnant nos péchés et notre mauvaise conduite. Et puissions-nous reconnaître le Seigneur Jésus comme notre Sauveur béni maintenant même. Et que Son Esprit soit bienveillant.
32 Maintenant, Père, il est écrit dans la Parole, c’est des lèvres de notre Adorable Seigneur et Sauveur, Lui-même, Ton Fils, qu’il a été dit ainsi: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, et en vous, jusqu’à la fin de l’âge.» Tu as promis que les enfants incrédules d’Adam ne seraient plus jamais capables de Te voir après que Tu aurais quitté la terre, mais que le croyant Te verrait dans la puissance et la démonstration, dans chaque génération. Nous le croyons, Seigneur.
Et nous croyons que nous vivons dans les derniers jours de la dispensation des Gentils, qu’elle va bientôt se terminer, et Tu as ramené ces miracles puissants pour que les Gentils soient sans excuse. Tu T’es fait photographier avec nous comme la grande Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. Et, comment... Quel phénomène que celui-là, et de Te voir! S’il n’y avait que la photo seule, cela, nous pouvons dire: «Eh bien, c’était peut-être telle et telle chose, bien que le monde scientifique ait dit que c’était vrai.» Mais quand nous voyons l’Esprit descendre, se manifester et faire les mêmes choses qu’Il avait faites, alors, nous sommes forcés de reconnaître qu’il s’agit là du Seigneur ressuscité.
33 Viens-nous en aide, ce soir, Seigneur; nous sommes un peuple en route vers l’Eternité. Nous avons incliné nos têtes vers la poussière d’où Tu nous as tirés, et où nous retournons rapidement. Ce petit moment de préparation est pour nos âmes. Sois bienveillant maintenant, Seigneur. Et comme Ton serviteur se tient là, ô Dieu, avec... J’ai la foi pour croire que Dieu ne peut pas mentir, qu’Il tiendra Sa promesse. Il doit le faire pour être Dieu.
Et, Seigneur, comme je prends de l’âge, et je ne sais pas combien de temps encore je dois rester ici, je Te prie, ô Dieu, de me donner de grandes expériences, même plus grandes que ce qui a été fait, si c’est possible, afin que les gens puissent le savoir et en faire l’expérience, que la Parole vivante de Dieu est une partie de Dieu. Et que chaque personne soit sans excuse ce soir quand nous sortirons d’ici, si jamais ils Te tournaient le dos. Accorde-le. Sauve des âmes et guéris les malades. Car nous le demandons au Nom de Ton Enfant, le Seigneur Jésus, notre Sauveur béni. Amen.
34 Merci de votre attention. Je sais que je vous ai retenus un–un peu trop longtemps. J’aime tant cette bonne vieille Parole. J’Y suis né. Je veux mourir avec Elle. L’endroit où je voudrais partir, c’est ici même derrière l’estrade. J’aimerais m’en aller à la Maison pour rencontrer Dieu. Si j’avais vingt vies à vivre, ou cent vies, je voudrais que chacune d’elles soit donnée au Seigneur Jésus. Même si après il n’y avait pas de Ciel où aller, je voudrais quand même servir le Seigneur Jésus, à cause de la paix et de la satisfaction que j’ai de savoir qu’Il vit. Et parce qu’Il vit, je peux vivre, moi aussi.
35 Or, si je me tenais ici ce soir pour dire à ce petit groupe de gens que j’ai la puissance de guérir quelqu’un, je... vous sauriez tout de suite, ou ceux qui connaissent la Bible le sauraient, que je serais en train de tromper. Je n’ai pas de puissances pour guérir. Il n’y a pas non plus un homme au monde qui ait des puissances pour guérir. Ce n’est que par Christ et par votre foi dans l’oeuvre terminée. Chaque pécheur peut être sauvé maintenant même, par... Pourquoi? Parce que Jésus descend et vous sauve maintenant? Non. Parce qu’Il vous a sauvés quand Il est mort pour vous au Calvaire. C’était terminé, le plan entier du salut et de votre guérison. C’est votre foi personnelle dans le Dieu vivant.
36 Eh bien, je me suis tenu avec le Coran dans une main, et la Bible dans l’autre, devant des centaines de milliers de musulmans, et j’ai dit: «L’un doit être vrai, et l’autre faux.» Quoi que dise un homme, s’il ne peut pas confirmer ses dires, il ment.
Et si Jésus-Christ a promis que Son Eglise ferait la même chose que ce que Lui avait fait, et qu’Il ne le confirme pas, il y a quelque chose qui cloche: Il n’était pas le Fils de Dieu. Mais s’Il le confirme, alors le monde est sans excuse. C’est exact. Il est obligé de tenir Sa Parole. Et vous Lui êtes obligé. Vous ne vous appartenez pas à vous-même; Il est mort pour vous racheter. Et c’est vous qu’Il cherche, pour que vous reveniez à Celui qui vous a racheté.
37 Si je le pouvais, ce soir, je guérirais chaque personne ici présente. Je n’ai aucune puissance pour le faire. Le seul moyen pour un prédicateur de le faire, c’est de prêcher la Parole. «La foi vient de ce qu’on entend la Parole.» Et la Parole dit aussi qu’il y aura, dans les derniers jours, et tout au long de l’âge, de l’âge de l’Eglise, qu’il y aura premièrement des apôtres, qui sont des missionnaires; secundo des prophètes; après cela, des docteurs. Et puis, différents dons, qui seraient dans l’Eglise pour manifester et montrer Sa Présence.
38 Or, ce que j’affirme, c’est ceci, s’il y a des nouveaux venus ici. Je ne reste pas à ma propre église assez longtemps pour savoir qui vient ici. Voici le petit tabernacle, vous visiteurs, où j’ai... j’ai grandi, mon premier et unique petit tabernacle. C’est dans cette ville-ci que j’ai vécu parmi les gens. Si vous êtes des nouveaux venus chez nous, demandez à quelqu’un dans cette ville; allez à la police, chez le maire de la ville, et chez n’importe qui, et vérifiez si jamais un chrétien d’ici a déjà vu faillir une seule de ces visions. Ça ne peut pas faillir; c’est Dieu. Voyez? C’est Dieu.
Et juste là-bas sur la rivière, il y a bien, bien, bien des années, quand nous baptisions, lors de mon premier petit réveil, là, cet Ange du Seigneur ici était descendu et était suspendu au-dessus de l’endroit où nous étions, Il m’a dit que ce Message ferait le tour du monde, qu’Il amorcerait un réveil qui se répandrait dans le monde entier, et que ce serait juste avant la Venue de Christ, la seconde fois.
39 Et alors que le... frère Davis, le docteur Roy Davis, beaucoup d’entre vous le connaissent, celui qui m’a ordonné dans l’église, dans l’Eglise baptiste, alors qu’il disait que j’avais fait un cauchemar, avec un niveau d’instruction de septième primaire, comment allais-je prêcher aux rois, aux potentats et aux monarques, dans le monde entier? Je ne saurais vous le dire. Mais Dieu l’a dit, et je l’ai cru. Et Il m’a permis de vivre pour le voir, que ça se réalise. Et il y a un grand réveil maintenant, des feux de réveil sont en train de flamber sur chaque colline, partout dans le monde, dans l’attente de la Venue du Seigneur béni.
De grands précurseurs de ces choses... Il y a aujourd’hui un grand messager dans le monde de l’évangélisation, c’est Billy Graham qui, comme Jean-Baptiste, travaille d’arrache-pied à ces choses, et il met la cognée à la racine de l’arbre, sans produire des miracles; Jean non plus n’en avait pas accompli. Mais il prêchait la Parole.
40 Mais tout de suite après lui, le Seigneur Jésus est venu; pas un si grand prédicateur, mais Il accomplissait des signes et des prodiges. Il disait: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres, si vous ne Me croyez pas, croyez aux oeuvres.» Puis, Il a dit: «Je ne fais rien de Moi-même, mais seulement ce que Je vois aussi faire au Père.» Et qu’a-t-Il fait? Il a dit à la femme ses péchés. Il a dit à Philippe où il était avant que Nathanaël... à Nathanaël où il était avant que Philippe le trouve: sous un arbre, en train de prier. Il a dit à Pierre quel était son nom. Il a dit à la femme à la perte de sang, quand elle avait touché Son vêtement, toutes ces choses.
Et Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.» Une seule femme toucha Son vêtement, et Il était devenu très faible. Personne d’autre n’avait touché, à ce que nous sachions. C’est tout ce que nous avons. La Bible est tout ce que nous avons comme référence. Mais maintenant, nous pouvons le voir se produire, maintes et maintes fois, par des pécheurs sauvés par la grâce. Pourquoi? Parce que Sa Parole a dit: «Vous en ferez davantage.»
41 Or, Il est mort. Oui, Il est ressuscité, et Il est vivant ce soir. Il a dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Ce n’est pas le cep qui porte des fruits; on émonde les sarments, et ce sont les sarments qui portent le fruit. Il n’a de mains que les miennes et les vôtres; Il n’a d’yeux que les miens et les vôtres, parce qu’Il est retourné à l’état Esprit. La Colonne de Feu qui conduisait les enfants d’Israël. C’était l’Ange de l’alliance, Jésus-Christ. C’est la Bible qui le dit. Tout lecteur de la Bible le sait.
Et Il a dit: «Je viens de Dieu. Je vais à Dieu.» Et Il est retourné à Dieu.
Vous dites: «Il est retourné à cette Colonne de Feu?» Absolument. «Est-ce la Bible qui le dit?» Oui, oui.
Paul, peu après Sa résurrection, L’a rencontré sur le chemin de Damas. C’était cette même Lumière éclatante, qui a aveuglé Paul. Et personne ne L’avait vue, sauf Paul.
C’était une réalité pour les uns, mais pas pour les autres. Je sais, par une expérience, que ce même Seigneur Jésus est à moins de deux pieds [60,96 cm] de là où je me tiens maintenant même. C’est exact. Les visions viennent, et vous voyez ça. Et Elle était si éclatante qu’Elle l’a aveuglé. Il a dit: «Seigneur! Seigneur!»
Il a dit «Pourquoi Me persécutes-tu, Paul?»
Il a dit «Qui es-Tu, Seigneur?»
Il a dit «Je suis Jésus», la Lumière.
42 Le voici, dans ces derniers jours, produisant la même chose, les mêmes fruits. Un esprit rendra chaque fois témoignage de lui-même. Qu’Il veuille bien le faire ce soir dans cette petite église, alors que vous vous tenez ici, avec les pieds et les jambes qui font mal, c’est ma prière. Il suffirait qu’Il le fasse une fois. Une fois suffirait. Nous sommes des gens qui avancent à tâtons dans l’obscurité. Nous voulons penser qu’il en est autrement, mais ce n’est pas le cas. Nous voyons ces choses. Jésus a dit dans la Bible, ou c’est la Bible qui le dit de Lui, Elle dit ceci: «Ils ont des yeux, mais ils ne voient pas; des oreilles, mais ils n’entendent pas.» Malgré tant de miracles qu’Il avait faits, ils ne croyaient toujours pas en Lui. Voyez-vous ce que je veux dire? Réveillez-vous maintenant, vite. Si le Seigneur Jésus accomplit ces choses, alors Il est le Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Puisse-t-Il l’accorder maintenant. S’Il le fait, je Lui serai reconnaissant, alors que nous prions.
43 Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, maintenant, le reste est entre Tes mains, Seigneur. Voici le petit message entrecoupé, apporté avec difficulté. Des gens, l’esprit perturbé, sont debout, ayant mal aux pieds, et des malades qui pleurent, et c’est très difficile. Mais je Te prie, Seigneur, de leur faire parvenir d’une manière quelconque, d’une manière ou d’une autre, ce petit message, à ces hommes qui ont la foi, qui croient que Tu as promis, que tout est possible.
Puis, ceux qui ont touché le vêtement de notre Seigneur... Le Nouveau Testament nous enseigne qu’Il est toujours le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Il peut encore parler. Il est toujours vivant. Et nous sommes Son cep... ou Ses sarments, rattachés au Cep. Alors, viens, Saint-Esprit, parle et donne-nous la Lumière. Donne-nous la guérison. Accorde-nous le pardon de nos péchés, et fais de nous Ton peuple. Car nous demandons ceci au Nom de Jésus et pour Sa gloire. Amen.
44 Je ne sais pas comment procéder pour faire que les malades se tiennent ici, nous ne pouvons pas en faire venir beaucoup à la fois. Voyons voir, des cartes de prière... Est-ce que vous tous... Eh bien, il y a deux jeunes gens de plus qui viennent distribuer des cartes de prière, Gene et Léo. Ils ne sont point arrivés, et on n’a pas distribué beaucoup de cartes. Je pense que Billy avait... Combien? Il n’en avait que cinquante. Vous n’êtes pas obligés d’en avoir une. Evidemment, il n’y en a que quelques-unes, on les mêle, on peut en faire venir un petit nombre ici, pour–pour entendre cela.
Alors, c’était quoi? De un à cinquante? C’était de un à cinquante. Comment procèdent-ils? Ils viennent là et battent les cartes, les distribuent entre vous, et même...
45 [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... seulement pour vous parler, simplement pour contacter... Veuillez vous placer de ce côté-ci, parce que je pense que la voix ne passe pas comme il faut dans ce petit microphone-ci. Si vous... Si le Saint-Esprit révèle ce pour quoi vous êtes ici, comme à la femme au puits qui était venue au Seigneur Jésus, et Jésus a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»... Et s’Il révèle ce que vous attendez de Lui, ce que vous voulez, quel est votre problème, croiriez-vous que c’était Lui? Vous croiriez. Ils sauraient alors que ça ne pourrait venir que d’une puissance surnaturelle.
Maintenant, si la dame... Si je disais: «Madame, vous voulez–vous voulez de l’argent, parce que vous... votre... vous avez une dette à régler; vous en aurez.» Hum! Elle aurait le droit d’en douter. Si je disais: «Vous êtes malade, et vous allez vous rétablir», elle aurait le droit d’en douter. Elle ne saurait pas. Mais, et si le Saint-Esprit retourne en arrière et montre quelque chose qu’elle faisait, quelque chose que... Ça, elle saura si c’était vrai ou pas. Elle en sera juge. Voyez? Qu’elle en soit juge. Voyez?
Alors: «Que dites-vous que vous êtes en train de faire, là, Frère Branham?» Après avoir prêché comme ça, et dans mon église locale, ici, j’attends que cette onction descende, que ce Saint-Esprit béni donne l’onction. Et j’ai confiance qu’Il le fera pour la gloire de Dieu.
46 Maintenant, que la dame... Elle est ici; Elle a la tête inclinée, ses yeux sont fermés; elle est en prière. Je veux que vous priiez tout pour ce que vous voulez obtenir. Que le Seigneur le révèle, et ce sera à vous d’en juger. Cette femme, si l’auditoire peut encore entendre ma voix, souffre d’une nervosité extrême. Et je vois un médecin qui fait quelque chose, il lui met un–un truc autour du bras. Et il dit qu’elle a l’hypertension. C’est vrai. N’est-ce pas vrai, madame?
Maintenant, Quelque Chose... Avez-vous entendu cette voix–là? Ce n’était pas moi. Je n’ai rien eu à voir là-dedans. Maintenant, plus je lui parlerais, plus il se passerait des choses. Regardez bien, là, nous allons encore lui parler. Je ne sais pas ce qu’Il a dit qui clochait chez elle, si... ce que c’était, ce sera sur les bandes, là au fond. Voyez-vous? Mais, peu importe ce que c’était, c’était vrai. Maintenant, posons encore un peu notre regard sur elle.
Oui, je la vois maintenant dans un état de nervosité. Et quelque chose cloche dans son sang. Et elle n’est pas de cette ville, elle est de Louisville. Dernièrement, elle a été dans un hôpital, et c’était pour une pneumonie. Et son médecin lui dit qu’elle fait une rechute, et qu’elle doit encore retourner à l’hôpital. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai, n’est-ce pas? Mais vous n’êtes pas obligée d’y retourner, madame, votre foi vous a rétablie. Vous êtes–vous êtes guérie maintenant, au Nom du Seigneur Jésus. Amen. Maintenant, allez et soyez en bonne santé. Que le Seigneur vous bénisse.
Est-ce que j’ai eu quoi que ce soit à voir là-dedans? Rien du tout.
47 Maintenant, voici une dame que je n’ai jamais vue de ma vie. Je suppose que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, n’est-ce pas? Vous m’avez vu, mais je ne vous ai probablement jamais vue. Vous avez probablement été à des réunions, ou quelque part. Maintenant, si le Seigneur Jésus me faisait savoir ce pour quoi vous êtes ici, vous reconnaîtriez alors, puisque je ne vous connais pas, que j’ai un moyen qui me permet de le savoir. Il vous faudrait reconnaître que ça vient du surnaturel. Alors, à votre avis, ce serait quoi? La même chose que déclare la Bible, que Jésus-Christ est le même hier et éternellement. Croyez-vous cela, auditoire?
Je lève la main. Pour autant que je sache, je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Voyez? Et elle m’a vu... mais je ne sais pas ce pour quoi vous êtes ici. Je ne sais rien à ce sujet. Je–je–je ne le sais vraiment pas, mais Dieu, Lui, le sait. Maintenant, si le Seigneur le révèle, amen. C’est tout ce qu’Il pourrait faire s’Il se tenait ici. Que ce soit pour une guérison ou pour quoi que ce soit d’autre, Il désire simplement que vous le croyiez, c’est tout. C’est pour manifester que Sa Parole est vraie.
Il s’est passé quelque chose dans l’auditoire tout à l’heure, là. Ayez seulement la foi. Maintenant, il semble que... Je... Si vous pouviez voir entre moi et la femme... Vous souffrez d’une faiblesse. Vous connaissez des moments de grande faiblesse (Exact), vraiment une faiblesse extrême; nerveuse, faible. Mais ce n’est pas la raison de votre présence ici. Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre, et c’est un homme. C’est votre mari. Il n’a pas pu venir parce qu’il souffre d’une maladie cardiaque grave et de nervosité. Et vous n’êtes pas de cette ville; vous êtes d’une ville appelée Columbia. Columbia, dans le Kentucky. Vous vous appelez Lottie Goodin. Votre mari s’appelle Elmer. Rentrez chez vous, et trouvez la chose comme vous l’avez crue. Et que Dieu vous l’accorde, au Nom du Seigneur Jésus. Croyez seulement, ayez foi. Maintenant, ne doutez pas; croyez seulement.
48 Je suppose que nous sommes inconnus l’un pour l’autre, monsieur. Maintenant, voici deux hommes, tout comme Philippe, qui était allé trouver Nathanaël et l’avait amené auprès du Seigneur. Je ne vous connais pas, et vous ne me connaissez pas; mais Dieu nous connaît tous les deux. Vous êtes conscient qu’il se passe quelque chose en ce moment même. Voyez? Le fait de vous tenir devant un homme ne vous ferait pas ressentir ça, cette sensation humble et douce. Si seulement vous pouviez voir la Lumière qui se déplace et qui se pose entre moi et cet homme...
Maintenant, il disparaît de devant moi, et il n’est pas ici pour lui-même. Il est ici pour quelqu’un d’autre. C’est un parent, un neveu. Et il est dans les forces armées, dans la marine. Mais il n’est pas loin d’ici. Il est près d’un endroit où il y a beaucoup d’installations militaires. C’est un hôpital, et c’est Fort Knox. Et il est aveugle, par suite d’un–d’un coup de fusil. Et le médecin dit qu’il n’y a pas d’espoir pour lui. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous? Alors, qu’il en soit selon votre foi, mon frère, et recevez, au Nom de notre Seigneur Jésus. Amen. Croyez-vous? Que Dieu vous bénisse, mon cher frère.
49 Le suivant. Bonjour. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Qu’Il est aimable, notre Sauveur béni, qu’Il–qu’Il est omniprésent! Oh! que ce même Jésus qui s’est tenu en Galilée... Un petit instant. Etait-ce cet homme-là qui était sur l’estrade tout à l’heure? Lequel de ces hommes était-ce? Cet homme-là? Bien. Vous pouvez vous asseoir.
Il s’agit de cette dame ici même au bout, portant le chapeau rouge. Oui. Vous priez pour un ami alcoolique. C’est exact. Bien. Si vous pouvez croire, vous pouvez le recevoir. Amen.
50 Très bien. Croirez-vous? Je ne vous connais pas; je ne vous ai jamais vue de ma vie. Nous sommes inconnus l’un pour l’autre. Mais si le Seigneur Dieu du Ciel se manifeste dans Sa puissance et révèle qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, croirez-vous en Lui? Voyons un peu; est-ce trois, ou comment... personnes ou... Il y en a eu plus que ça qui sont passés, n’est-ce pas? Trois, c’est une confirmation, bien sûr. Mais quoi qu’il en soit...
Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. C’est ça votre désir principal. Et c’est pour un homme, et cet homme, c’est votre fils. Et il souffre d’une maladie de coeur. Et il lui est arrivé quelque chose. C’est une attaque. Et ça l’a partiellement paralysé. Et vous aussi, vous êtes malade. Vous souffrez de colite. C’est une affection intestinale. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et autre chose, je vois un messager aller d’un endroit à un autre... Non. C’est quelqu’un qui était venu ici au tabernacle, il y a quelque temps, et qui avait demandé qu’on prie pour vous, et le Seigneur vous avait guérie. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Si c’est vrai, levez les mains. Croyez-vous que vous recevez ce que vous demandez? [La soeur dit: «Oui, je le crois.»–N.D.E.] Alors, qu’il vous soit fait, ma soeur, selon ce que le Seigneur Jésus a pourvu. Amen.
51 Bonjour. Est-ce que tout le monde croit? Vous croyez de tout votre coeur? Maintenant, ayez foi. Qu’est-ce?
Il faut que je parle, juste là, une seconde, si vous me permettez, car cela... il y en a encore d’autres dont je dois m’occuper, et je veux juste me reposer un petit instant. Vous ne vous rendez pas compte de ce que ça vous fait. C’est pire que prier... Bien sûr. Combien se rappellent que le grand prophète Daniel a eu une seule vision, et il a eu la tête troublée pendant plusieurs jours? Vous vous rappelez? Bien sûr. Voyez? C’est seulement Sa grâce.
Maintenant vous, dans l’auditoire, qui n’êtes pas dans la ligne de prière, commencez donc à regarder par ici. Je... Vous dites: «Frère Branham, est-ce que ça servirait à quelque chose?» Bien sûr.
Demandez simplement au Seigneur Jésus, disant: «Père béni, laisse-moi toucher Ton vêtement. Et le seul moyen pour moi de savoir que Tu m’as touché, ou que Tu m’as entendu, c’est si Tu parles à travers les lèvres de cet homme et que Tu me dis ce que je demande, comme là-haut sur l’estrade. Je crois en Toi.» Vous qui n’avez pas de carte de prière maintenant, priez et croyez-le de cette manière-là. Ne doutez pas. Ayez seulement la foi.
52 Maintenant, est-ce la patiente, Frère Neville? C’est ça.
Je ne l’ai pas fait exprès de vous laisser debout là. Mais c’est... Vous pouvez vous imaginer ce qui se passe. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Nous le sommes. Maintenant, que ce soit une chose réglée. Cette femme m’est inconnue. Je ne la connais pas. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Et je... C’est notre première rencontre [C’est exact], la première fois que nous nous regardons dans les yeux. Et elle est simplement une femme qui est montée ici sur l’estrade. Quelqu’un lui a donné une carte de prière, et elle est simplement montée ici sur l’estrade. C’est tout ce que je sais d’elle.
Mais le Seigneur Jésus peut le révéler. Et s’Il peut le révéler, alors Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est exactement ce qu’Il a promis de faire. Et si cette promesse-là s’accomplit, Il accomplira chaque promesse qu’Il a faite. Et Il a promis de vous guérir si vous le croyiez. Voyez-vous ce que je veux dire maintenant? Ça ne peut pas faillir. Il faut qu’il en soit ainsi. Oh! béni soit Son Nom! Il ne peut tout simplement pas faillir.
Si le Seigneur Jésus me permet de savoir ce qui s’est déjà passé dans votre vie, certainement qu’Il saura ce qui se passera dans votre vie. Soyez-en juge. Combien diront: «Je croirai de tout mon coeur si cette femme lève les mains, que vous le faites tous les deux, pour dire que vous ne vous êtes jamais rencontrés avant, et que le Seigneur Jésus le révèle. Je croirai»? De–de tout votre coeur, le ferez-vous? Dieu ne veut pas que nous soyons paresseux. Il veut que nous ayons la foi. Nous voici devant la chaire, la Bible posée ici, et tous les deux, nous voici debout ici.
53 Cette dame souffre d’une nervosité extrême. C’est ça votre problème. Mais vous, ce que vous pensez, c’est que c’est quelque chose à l’estomac, qui vous donne des gaz dans l’estomac. C’est la nervosité qui fait ça. C’est exact. Et vous avez des problèmes avec votre cou et avec vos épaules. En effet, vous fréquentez l’église, et vous êtes chrétienne, et vous êtes pianiste de votre église. Et quand vous jouez du piano, cette douleur se fait sentir, quand vous jouez du piano. C’est AINSI DIT L’ESPRIT. C’est vrai. Et vous n’êtes pas de cette ville, mais vous êtes d’une ville située au bord de la rivière. Et ce n’est pas Louisville, c’est Cincinnati. Cincinnati, dans l’Ohio. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.
Pouvez-vous voir cette ligne? La foi a touché, juste à ce moment-là, parce que cela... Ce jeune homme assis juste là, avec les cheveux un peu ondulés, il a un lien avec vous. C’est vrai, jeune homme. Votre foi a touché Quelque Chose. Vous souffrez d’une hernie. C’est exact. Et vous venez aussi de Cincinnati. C’est vrai. Croyez-vous?
54 Une petite dame a haussé les épaules, elle est assise juste ici, portant un chapeau rose, un châle autour d’elle. Elle a mal aux yeux. C’est vrai. Elle aussi vient de Cincinnati. C’est vrai. Et permettez-moi de vous di... Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Le croyez-vous? Vous priez pour un mari qui s’est mis à boire. Avant, il allait à l’église et il était chrétien, mais il a rétrogradé; et maintenant, il boit. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. Levez la main si c’est vrai donc. Très bien.
55 Cette petite dame, assise à côté de vous, là, souffre de nervosité. Elle aussi, elle vient de là-bas. Mais la chose dont vous avez besoin, plus que jamais... Vous fréquentez l’église, mais vous n’êtes pas encore devenue une vraie chrétienne. C’est vrai. Voulez-vous L’accepter maintenant comme votre Sauveur personnel, étant donné qu’Il est là? Si oui, faites-Lui signe de la main, disant: «Je L’accepte.» Que Dieu vous bénisse. Vos péchés sont pardonnés. Allez en paix. Et votre nervosité est partie. Amen. Rentrez chez vous et soyez heureuse, au Nom du Seigneur.
56 Croyez-vous? Tout est possible à ceux qui croient. Maintenant, j’ai senti une vibration, là-bas, au fond, pas une vibration, mais un esprit qui dit que je lis leurs pensées. Ce n’est pas ce que je fais. Faites attention, sinon c’est à vous que ça arrivera. Tenez, cet homme-ci, placez votre main sur la mienne, monsieur. Je ne vous regarderai même pas. Si le Seigneur Jésus me révèle quel est votre problème, accepterez-vous votre guérison, ou ce dont vous avez besoin? Le ferez-vous? Cet homme-ci: Le ferez-vous? Problèmes cardiaques. Maintenant, allez et soyez guéri. Le Seigneur Jésus vous rétablit. Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez aller et être en bonne santé.
57 Maintenant, cette dame ici. Cette femme a un esprit de mort sur elle, car elle a le cancer. Croyez-vous que le Seigneur vous guérira, soeur?
Ô Dieu bien-aimé, qui as créé les cieux et la terre, cette pauvre petite femme a été prise dans les griffes du diable; une ombre noire est suspendue près d’elle, mais nous défions ce démon. Au Nom du Seigneur Jésus, sors de cette femme. Et puisse-t-elle aller et être en bonne santé, par le Nom de Jésus-Christ. Amen.
Que le Seigneur vous bénisse, soeur. Allez, et ne doutez en rien.
«Si tu peux croire...» Croyez-vous? Ayez seulement foi. La Bible déclare: «Si tu peux croire, tout est possible.» Mais c’est le seul moyen par lequel ça peut se faire.
58 Nous sommes inconnus l’un à l’autre, monsieur, mais le Seigneur nous connaît tous les deux. S’Il me révèle ce pour quoi vous êtes ici, le recevrez-vous? Vous avez des troubles gastriques. Et autre chose, vous êtes un pécheur, vous n’avez pas accepté le Seigneur comme votre Sauveur. Voulez-vous L’accepter comme votre Sauveur? Levez les mains vers Lui, acceptez-Le comme votre Sauveur, et je vous déclare, au Nom de Christ, guéri de vos troubles gastriques. Allez et ne péchez plus. Amen.
59 Sois miséricordieux, Dieu vivant! Croyez-vous que Dieu vous a guéri de ces problèmes cardiaques? Alors, allez là-bas et soyez guéri, au Nom du Seigneur Jésus.
La petite dame assise ici, portant un manteau noir et des lunettes, avez-vous une carte de prière, madame? Vous n’en avez pas? Vous avez des problèmes avec vos oreilles, vous voulez que je prie pour ça. Et vous avez aussi des problèmes d’intestins. Est-ce vrai? Très bien. C’est fini maintenant. Allez, croyez.
60 «Si tu peux croire...» Vous voulez la prière pour quelqu’un, n’est-ce pas? Une soeur dans un hôpital psychiatrique.
«Ô Dieu Eternel, envoie Ta bénédiction à cette personne, et qu’elle soit guérie. Accorde-le, ô Seigneur, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Trouvez la chose comme vous l’avez crue, mon frère. Ne doutez pas.
«Si tu peux croire...» Est-ce que vous croyez? Oh! Quel moment glorieux ça pourrait être pour tous, si vous...
61 Il semble y avoir une Lumière autour de la femme plutôt corpulente, celle qui me regarde, juste ici derrière. C’est la dame qui est dans la rangée. Cela s’éloigne d’elle, parce que cette dame vient d’être guérie. Mais la dame à côté a quelque chose, comme de la tension artérielle, de l’hypotension. Croyez-vous que le Seigneur vous guérira, madame? «Si tu peux croire, tout est possible.» Le croyez-vous, madame, celle qui regarde autour d’elle, là, croyant de...? Le croyez-vous de tout votre coeur? Oui. Vous l’acceptez? Très bien. Vous pouvez aller et être rétablie, au Nom du Seigneur Jésus.
62 L’homme assis juste ici, en train de prier. Voulez-vous que je vous dise ce que vous êtes en train de dire? «Seigneur, guéris-moi de cette sinusite.» Très bien. Il le fait, au Nom du Seigneur Jésus. «Si tu peux croire...»
Croyez-vous que Dieu va vous ôter cette maladie de coeur, que vous allez repartir pour être en bonne santé?
Ô Seigneur, envoie Ta miséricorde et Ta puissance, et bénis ce pauvre homme, Seigneur, et rétablis-le, par le Nom de Jésus-Christ, je le demande. Amen.
Croyez-le maintenant. Ne doutez pas. Tout est possible.
63 L’arthrite n’est pas une chose difficile à guérir pour Dieu. Croyez –vous qu’Il le fera?
Ô Seigneur, je Te prie, au Nom de Jésus, d’envoyer Ton Esprit sur cette chère femme et de la guérir complètement. Et puisse-t-elle rentrer chez elle dans la joie, et qu’elle soit rétablie, sans douter du tout, mais en croyant que la chose arrive maintenant même. Et elle recevra ce qu’elle aura cru. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
Croyez-vous de tout votre coeur? Alors, vous pouvez recevoir ce que vous demandez.
64 Tout au fond, là-bas, au coin, il y a l’Ange du Seigneur qui se tient là, une Lumière. Si vous pouvez croire, vous là-bas, à environ trois rangées du fond, de ce côté. Ah! Au mieux de ma vue d’ici, c’est à peu près la deuxième personne dans la rangée: celle qui prie, là-bas au fond, qui a des problèmes intestinaux. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Très bien. Vous pouvez recevoir ce que vous demandez. Imposez les mains à cet homme, là à côté de vous. En effet, il prie, il souffre d’une affection d’amygdales. Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez recevoir ce que vous demandez. Amen.
65 Croyez-vous? Le Seigneur Jésus, juste à Son... en ce moment, peut rétablir parfaitement chacun de vous, si vous pouvez le croire. Le croyez-vous? Alors, imposez-vous les mains les uns aux autres un petit instant, et je vais vous montrer la gloire du Seigneur.
Maintenant, c’est soit frère Wood, soit Billy, l’un des deux, qui me touche au dos; alors, je sais qu’il est presque temps, que... Ils ne me laisseront plus debout encore très longtemps, parce que je suis à bout de force.
66 Je l’ai dit il y a quelques instants, que si Dieu venait et qu’Il se manifestait, s’Il prouvait, par une expérience, qu’Il est le Seigneur Dieu, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, alors vous n’auriez aucune raison de douter. Ceux de mon Message de ce soir non plus, aucun de ceux qui ont une fois vu la Présence de Dieu... Comment Philippe aurait-il pu douter? Comment Nathanaël aurait-il pu douter? Comment la femme à la perte de sang aurait-elle pu? Elle ne pouvait pas douter, elle L’avait touché, et Il lui avait révélé ce pour quoi elle L’avait touché.
67 Ne regardez pas aux dimensions de l’église ni à son aspect. Ne regardez pas à la petite assemblée, parce que nous sommes tous des gens ordinaires; mais pensez au Seigneur béni, dont la Présence est ici, qui montre qu’Il est vivant. Croyez en Lui maintenant même, et vous pourrez recevoir tout ce que vous demandez et croyez.
Maintenant, Il peut guérir, exactement de la même manière, ici même. Sa Présence... Vous êtes déjà guéris. Il n’y a qu’une seule chose qui vous empêche de le recevoir, c’est l’incrédulité. Débarrassez-vous-en, maintenant même. Ne soyez plus incrédules; renoncez à ça, et acceptez le Seigneur Jésus comme votre Guérisseur. Regardez bien ce qui se passera. Vous sortirez de ce bâtiment en vous réjouissant, parce que vous êtes maintenant même dans la Présence du Seigneur Jésus. Non pas parce que vous êtes dans ce tabernacle, mais parce que Lui est venu nous visiter. Non pas parce que je suis le prédicateur, ou ce... ou mon frère Neville, ou n’importe lequel de ces autres chrétiens, ce n’est pas notre présence, mais c’est Sa Présence à Lui. Elle est infaillible. C’est la Bible. C’est la Vérité. Béni soit Son Nom!
68 Malgré ce qu’Il avait dit, dans notre propre pays, parmi les nôtres, la grâce a passé outre à ça, ce soir, parce que le temps est proche. La fin est proche. Il a promis que, quand ces choses commenceraient à arriver, le temps de la fin serait proche. Croyez-le maintenant, pendant que je prie. La Bible déclare: «La prière fervente a une grande efficace.» Prions donc, alors que vous priez les uns pour les autres, que vous vous imposez les mains les uns aux autres.
69 Seigneur, Tu as été une Retraite dans chaque génération. Tu as été notre Refuge. Nous nous sommes longtemps attendus à Toi. Cette église protestante a longtemps brûlé de voir le jour où elle pourrait se tenir debout, alors que ce petit groupe a été repoussé, mis à l’écart, parce qu’ils avaient refusé de se conformer à l’incrédulité des incroyants qui se sont mis sous un même joug. Et ceux-ci ont lancé leur défi, disant que ce petit Feu, qui avait commencé à descendre il y a quelques années, finirait par s’éteindre. Mais, oh! nous sommes si contents d’avoir notre grand Capitaine, David, qui se tient au milieu de nous ce soir et qui défie l’ennemi.
Ô Seigneur Dieu, nous aimerions offrir cette prière de la foi pour chaque personne ici présente. Qu’ils sachent, en ce moment précis, que Ta grande Présence est ici pour envahir tout cet auditoire et guérir chaque personne. O grand Saint-Esprit, puisse chaque coeur tressaillir de joie en ce moment même, alors qu’Il les baptise dans la grande Présence du Saint-Esprit.
Oh! Satan, tu es vaincu. Sors de ce lieu et retire-toi des gens. Au Nom de Jésus-Christ, que chaque personne soit guérie. Ô Dieu Eternel et béni, accorde ces choses par le Nom de Jésus-Christ.
70 Que chaque personne qui croit qu’elle est guérie se lève et donne louange à Dieu. Merci, et que le Seigneur Dieu vous bénisse. Frère Neville.