Le Puissant Conquérant

Date: 58-0110 | La durée est de: 1 heure et 33 minutes | La traduction: Shp
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1          Notre Bienveillant Père céleste, nous Te remercions vraiment ce soir pour cette nouvelle occasion de pouvoir nous rassembler pour T’adorer. Et nous voudrions prier, Seigneur, que Ton Esprit bénisse chaque coeur affamé ici présent. Remplis-les de Ta bonté et de Ta miséricorde de telle façon qu’à la fin de la réunion, et qu’en rentrant chez nous, nous puissions dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous alors qu’Il nous parlait en chemin?»

            Sauve, Seigneur, ceux qui ne sont pas sauvés. Guéris les malades. Et glorifie Ton Nom, et donne gloire à Christ sur la terre, car nous attendons patiemment ce glorieux jour où cesseront des choses telles que la maladie, la mort, le chagrin et le péché, où notre Glorieux Roi viendra de la Gloire. Nous attendons patiemment Sa Venue.

            Nous voudrions demander ce soir que le Saint-Esprit nous accorde de Sa grâce abondamment, au-delà de toute mesure. Car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2          Celui-ci est encore un jour très béni pour moi. Je suis juste un peu fatigué, parce que nous avons eu beaucoup, beaucoup d’entretiens aujourd’hui, car c’était la clôture des entretiens. Et je suis juste un peu fatigué. Aujourd’hui, dans la pièce, le Seigneur a donné des visions et tout, c’est un peu dur pour moi; puis, il me faut revenir aux réunions. S’il n’y avait qu’une seule réunion, ça serait différent, mais vous passez d’une réunion à une autre, d’une réunion à une autre, et ainsi de suite.

            Demain matin, il y aura le petit-déjeuner des Hommes d’Affaires Chrétiens à l’hôtel Edgewater Beach. Je suis sûr que cela a été annoncé. Et j’aurai le privilège, si c’est la volonté du Seigneur, de–de parler le matin à ce groupe d’hommes et à leurs épouses, ainsi qu’à tous ceux qui viendront à ce petit-déjeuner. Le Seigneur voulant, j’aimerais prêcher le matin sur Les trésors de la Vie.

3          Et puis, demain soir, notre bon ami, l’humble serviteur de Dieu, frère Tommy Osborn, sera ici. Et on va projeter son film, que j’attends impatiemment de suivre moi-même. C’est sur son oeuvre là en Afrique. Et puis, peut-être après la projection de son film, et que vous aurez vu comment Dieu exauce les prières de ce vaillant guerrier, peut-être qu’il priera pour les malades demain soir, aussitôt après la projection de son film.

            Et puis, le dimanche matin, si vous êtes visiteurs ici, allez à une bonne église. Et ensuite, le dimanche après-midi, frère Osborn parlera encore et priera pour les malades le dimanche après-midi. Le dimanche soir, j’aurai alors le privilège de clôturer les services de cette campagne. Le Seigneur voulant, et s’Il ne me fait pas changer d’avis, j’aimerais parler le dimanche soir sur La porte dans la porte. Ce sera donc cela, le sujet du dimanche soir, le Seigneur voulant.

4          Maintenant, ce soir, j’aimerais lire dans le Livre de l’Apocalypse du Seigneur Jésus, au chapitre 6, les deux premiers versets.

Je regardai, quand l’Agneau ouvrit un des sept sceaux, et j’entendis l’un des quatre êtres vivants qui disait comme d’une voix de tonnerre: Viens, et vois.

Je regardai, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait avait un arc; une couronne lui fut donnée, et il partit en vainqueur et pour vaincre.

            J’aimerais prendre pour sujet juste pour quelques instants ce soir, veuillez prier avec moi, le sujet: Le Puissant Conquérant.

5          Ça a été pour nous un privilège au cours de ces quelques derniers services de parler sur les jugements imminents et aussi sur l’Enlèvement de l’Eglise juste avant la période de la tribulation. Et je crois solennellement de tout mon coeur que l’Enlèvement aura lieu avant la tribulation.

            Eh bien, beaucoup d’enseignants peuvent être en désaccord sur cette idée, ou plutôt sur cet enseignement. Mais moi, je n’ai pas d’instruction, et j’étudie la Bible juste à partir des types. Et les types sont des ombres. Et si nous pouvons voir ce qu’est l’ombre de quelque chose, alors nous aurons une idée générale de la réalité.

            Et nous voyons qu’avant le déluge, pas une seule goutte d’eau n’était tombée avant que Noé et tous ceux qui devaient être sauvés du déluge, se retrouvent dans l’arche et que les portes soient fermées. Et nous voyons qu’avant qu’une seule boule de feu tombe du ciel sur Sodome et Gomorrhe, Lot devait quitter la ville et être tout à fait hors du jugement.

6          Car le juste Juge ne pouvait pas juger les justes avec les injustes; en effet le croyant avait déjà été jugé quand Christ fut jugé à sa place. Par conséquent, ce serait injuste de la part du Dieu Saint de les juger encore, après qu’Il eut déjà accepté notre jugement en Christ.

            Et maintenant, le sujet de ce soir, c’est: Le Puissant Conquérant. Depuis le début des âges, l’homme a résolu de vaincre. L’homme aime être un conquérant. Et c’est une grande chose que d’être un conquérant. Un conquérant, c’est celui qui a vaincu son ennemi. C’est pourquoi je crois ce que déclarent les Ecritures, que nous sommes plus que vainqueurs, car Il a vaincu pour nous.

            Et les hommes, en ces moments glorieux où ils réalisent un succès, où ils conquièrent, ils organisent alors généralement une grande cérémonie après. Il nous est rapporté que quand feu Adolphe Hitler avait conquis la France, il avait pris place à l’Arc de Triomphe. Des heures durant, quand les soldats allemands défilaient torse bombé, au pas de l’oie, en l’honneur de leur grand Führer, des avions vrombissaient jusqu’à assombrir le ciel, pour rendre hommage à Adolphe Hitler, car ils avaient également conquis la France.

7          Mais vous voyez, cela n’a pas duré; car, si un homme est un conquérant, ses objectifs doivent être corrects, ses motifs aussi. Et si vous ne jouez pas franc-jeu, vous êtes obligé de perdre, peu importe combien vous êtes conquérant. Vous devez suivre les règles du jeu pour être vainqueur. Et si vous trichez, on vous écarte du jeu, peu importe combien vous êtes un bon joueur.

            Ainsi, Hitler n’avait jamais suivi les règles. Il voulait toute la puissance pour lui-même et toute la gloire pour lui-même. Par conséquent, ses objectifs étaient mauvais. Et tout homme qui a de tels motifs ou de tels objectifs finira juste comme Hitler.

8          Il nous est rapporté que quand Constantin le Grand était en route vers Rome, il avait fait un rêve une nuit, juste avant de traverser pour aller combattre. Et il était un peu inquiet de l’issue de la bataille. Mais dans son rêve, il a vu une croix blanche, et une voix lui a dit: «Par ceci, tu vaincras.» Il a donc réveillé ses soldats en pleine nuit et a peint une croix blanche sur leurs boucliers. Et il a effectivement vaincu.

            Nous nous souvenons aussi d’un autre homme. Il y a environ deux ans, je me suis tenu près de Waterloo, en Belgique, et je regardais là les ruines du lieu où Napoléon avait connu la défaite. Et pendant que je me tenais là, quelqu’un m’a remis un petit livre. Et je lisais l’histoire de ce grand homme, ce qu’il était; d’abord, il haïssait la France, et ensuite il était devenu un guerrier, et il avait conquis le monde à l’âge de trente-trois ans.

            Et comment il... Cependant, ses objectifs... Et on nous rapporte qu’à l’âge de trente-trois ans, il avait conquis le monde entier, et il s’était assis et avait pleuré, parce qu’il n’y avait aucun autre endroit à conquérir. Un grand homme, mais les objectifs de ses conquêtes étaient mauvais. Il voulait la puissance pour lui-même, et il voulait que tout le monde ait peur de lui. Et à l’âge de trente-trois ans, le monde entier tremblait rien qu’à penser à Napoléon.

9          On nous raconte, rapporte plutôt dans ce petit livre sur son histoire, que quand les mamans allaient mettre leurs enfants au lit, ou que ces enfants se montraient indisciplinés, les mamans disent d’habitude: «Si tu n’es pas sage, le vieux croque-mitaine va t’attraper.» Mais au lieu de dire: «Le vieux croque-mitaine va t’attraper», elles disaient: «Napoléon va t’attraper.» Et c’était...

            Les enfants avaient plus peur de Napoléon que de croque-mitaine, parce qu’il était un grand meurtrier et un homme très méchant. Et il est mort à l’âge de trente-trois ans. Au départ, il était un prohibitionniste, mais il est mort alcoolique, un ivrogne hors cadre, car ses objectifs n’étaient pas bons.

            Vous ne pouvez pas conquérir par le mal. Le bien seul vaincra. Vous n’allez jamais conquérir par la tricherie. Vous n’allez jamais conquérir en faisant des prosélytes pour votre église. Vous n’allez jamais conquérir en construisant une dénomination après une autre. Vous n’allez conquérir qu’en laissant tomber les barrières, qu’en laissant le Saint-Esprit entrer dans le Corps entier de Christ. Nous n’allons jamais conquérir tant que nous sommes égoïstes. Dieu hait le péché. Et Il ne le laissera jamais triompher sur le mal.

10        Napoléon mourut à trente-trois ans, lui le conquérant du monde, mais le péché l’a conquis. Mais, oh! il y eut un autre Homme qui mourut aussi à l’âge de trente-trois ans, Il avait conquis le monde, Il avait conquis l’enfer, Il avait conquis la mort, Il avait conquis chaque ennemi de la race humaine, c’était notre Adorable Seigneur Jésus, le Puissant Conquérant.

            Il n’était pas venu conquérir pour Lui-même. Ses objectifs étaient de faire la volonté de Dieu qui L’avait envoyé. Il ne combattait pas pour Lui-même; Il s’était donné Lui-même. A la croix, Il avait dit: «Je peux parler à Mon Père, et Il M’enverra tout de suite des légions d’anges.» Mais Il était venu conquérir pour la race déchue d’Adam. Et les ennemis, chaque ennemi... J’aimerais que vous écoutiez ceci. Chaque ennemi de la race déchue d’Adam a été conquis et placé sous les pieds de Jésus.

11        Quand Jésus était ici, je peux me représenter des démons alors qu’ils avaient possédé un jeune homme. Et toute la force militaire et leur puissance, tout ce que la police pouvait faire, c’était de l’enchaîner. Et il était tellement fort avec cette puissance démoniaque qu’il pouvait briser ces chaînes en morceaux. Il n’y avait aucun moyen de le conquérir.

            Et les esprits démoniaques l’avaient chassé loin des hommes, et il avait établi sa demeure dans les tombes. Et quiconque passait par ce chemin-là, il le conquérait. Mais, oh! un jour, un petit Homme descendait ce chemin. La Bible dit qu’Il n’avait pas beauté pour attirer nos regards, peut-être qu’Il était un petit Homme voûté, aux cheveux pendant au cou.

            Et ce démon s’est dit: «Voici pour moi l’occasion de vaincre ce petit Homme.» Et ils avaient possédé cet homme. Et ils se sont lancés sur la route à Sa rencontre. Et pendant qu’ils accouraient vers Lui pour Le conquérir, Il a levé les yeux, et ils ont changé de discours. Plutôt que de chercher à Le conquérir, ils ont dit: «Toi, le Saint de Dieu, pourquoi viens-Tu nous tourmenter avant le temps?» Ils reconnaissaient avoir trouvé leur Maître. Le Grand et Puissant Conquérant du Ciel se tenait là.

12        Physiquement, Il n’était pas assez grand pour briser les chaînes. Il n’était pas physiquement capable de tenir un homme possédé par des démons. Mais, il y avait en lui la puissance du Dieu Tout-Puissant devant qui se prosternèrent les démons. Et Il a conquis cet ennemi; plus tard, cette race d’Adam, qui était liée par un tel esprit, a eu le privilège de prendre le Nom de ce très Puissant Conquérant pour chasser cet ennemi.

            Puis, un jour, je peux Le voir entrer dans une maison où il y avait une malade, chez Ses disciples, et dans cette maison se trouvait la belle-mère de Pierre, elle était alitée faisant la fièvre. Et, naturellement, les médecins, peut-être, ne pouvaient pas l’aider. Mais Il n’a pas dit mot. Il s’est simplement avancé et a touché sa main, et la maladie a été conquise. Il a conquis la maladie pour la race d’Adam.

13        Et un jour, alors que son ami intime était mort, qu’il s’en était allé depuis quatre jours, quand Lui est arrivé là, les vers du corps grouillaient dans son corps. Et ces mains que Jésus avait serrées, et ces épaules sur lesquelles Il avait tapoté, la corruption les avait conquises. Et la mort avait conquis Son ami. Et je peux Le voir debout là, Ses petits yeux pleins de larmes, on dirait un homme ordinaire; puis Il a parlé: «Lazare, sors!» Et la corruption a rendu sa victime, la mort a délivré l’âme de l’homme, car le Puissant Conquérant a parlé au mort et à celui qui était décomposé, montrant ce qu’Il pouvait faire pour tous les enfants d’Adam. Je suis si heureux de ce qu’Il est mon Ami, car un jour, si Jésus tarde, c’est ainsi que nous tous, nous serons. Mais Il est le Puissant Conquérant.

14        Un soir, alors qu’Il traversait la mer, les puissants éléments de la terre s’étaient déchaînés. Et pendant qu’Il se reposait là à la poupe de la petite barque, les vents sont descendus des cieux et se sont mis à agiter la mer, et de grosses vagues faisaient bouillonner pratiquement le fond, et la petite barque fut remplie d’eau, et c’était pratiquement le bout du chemin, et Il... Ils L’ont réveillé.

            Et Il s’est frotté les yeux et a dit: «Oh! gens de peu de foi! Où est votre foi?»

            En d’autres termes: «Puisque vous M’avez vu délivrer un fou, puisque vous avez vu la fièvre baisser, et les morts ressusciter, où est votre foi?» Et Il a placé Son pied sur le bastingage de la barque, Il a levé les yeux vers ces vents et a dit: «Silence.» Et Il a dit à ces vagues tourbillonnantes: «Taisez-vous.»

            Et ils se sont calmés comme un enfant dans les bras de sa mère. Les vents et les vagues Lui ont obéi, au point que ces apôtres, Ses amis intimes, ont dit: «Quel est Celui-ci, à qui obéissent même les vents et les vagues?»

15        De l’autre côté de la mer se trouvait une petite femme qui habitait près du rivage. Elle avait entendu parler de Sa renommée. Elle avait dépensé tout son argent, cherchant à se débarrasser d’une perte de sang. Elle payait cela aux médecins. Ils avaient essayé avec dévouement et durement, mais il n’y avait rien qu’ils puissent faire. L’hémorragie continuait.

            Et elle est descendue au rivage. Elle s’est frayé une voie à travers la foule jusqu’à ce qu’elle a touché le bord de Son vêtement. Que se passerait-t-il? Le Puissant Conquérant était là tout près, et cette maladie, qui avait défié les médicaments des médecins, a obéi à la volonté du Puissant Conquérant, et sa perte de sang s’est arrêtée. C’est Lui.

16        La mort a frappé un foyer où il y avait une fillette de douze ans. Et alors qu’Il y allait, un message fut envoyé, disant: «Ne dérange pas le Maître, car ta fille est déjà morte. Tout est consommé maintenant.»

            C’est ce qui nous arrive parfois. Nous pensons qu’il n’y a pas d’espoir. Mais Il est toujours le Puissant Conquérant. Quand il n’y a pas d’espoir, Il est toujours le même.

            Et les gens se disaient que c’était fini. Ils ont embaumé son petit corps et l’ont déposé sur un lit. Et le coursier a dit: «Ne Le dérange pas, car il n’y a plus d’espoir maintenant.» Et alors que son papa regardait Jésus pour se mettre à pleurnicher et à crier, oh! ces précieux yeux se sont tournés vers Jaïrus et Il a dit: «N’aie pas peur. Crois seulement, et tu verras la gloire du Seigneur.»

17        Il est entré dans cette chambre mortuaire où seule la fin de temps pourra révéler la fin. Mais le Commencement et la Fin se tenait là. Et Il a tenu la jeune fille par la main et a dit: «Jeune fille, lève toi.» Et la mort a été conquise, elle s’est levée et a vécu.

            Le plus grand ennemi que l’homme ait jamais eu, c’est la mort, pour tous les hommes. Et un jour, Il est allé au Calvaire, et là, sur la croix, Lui, une fois pour toutes, Il a conquis le plus grand ennemi que l’homme ait jamais eu. Il a conquis la mort pour nous tous. Puis, quand Il est mort, cela n’a pas mis fin à la chose. Il devait toujours être le Puissant Conquérant.

            Ainsi, la Bible déclare qu’Il est allé prêcher aux âmes en prison, qui avaient rejeté le Message d’Enoch, de Noé, ce dont nous avons parlé hier soir, et de tous les autres, de ceux qui étaient à Sodome et ceux qui avaient rejeté les prophètes. Il leur a rendu témoignage qu’Il était la Réponse au Message de chaque prophète, le Puissant Conquérant. Mais ils avaient franchi la ligne de démarcation entre la mort et la vie, et il n’y avait plus d’espoir pour eux.

18        Il est allé dans les régions des mauvais esprits, des démons; Il les a mis en déroute. Et Il est allé en plein dans les abîmes mêmes de l’enfer sombre, toujours vivant. Bien que Son corps fût inerte sur la croix, Il était toujours le Grand et Puissant Conquérant. Et après mille neuf cents ans, Il est toujours le Puissant Conquérant. Et Il sera toujours le Puissant Conquérant.

            Puis, quand Il est arrivé aux portes mêmes de l’enfer, si nous pouvons présenter une petite scène ici, le diable s’est avancé et a dit: «Je T’ai donc finalement eu. Tu es donc finalement arrivé. J’ai cherché à détruire cette semence tout du long. J’ai tué Abel. Je pensais T’avoir eu. En tuant les prophètes, je pensais T’avoir eu. En ayant Jean, j’étais sûr de T’avoir eu. Mais maintenant, Te voilà, et Tu es dans mon royaume, Tu es dans mon domaine et Tu es sous mon pouvoir, car Tu es mort comme un pécheur.»

            Je peux L’entendre dire: «Satan, Je suis le Fils de Dieu né d’une vierge. Mon Sang est encore humide sur la croix. J’ai satisfait à toutes les exigences justifiées pour la race déchue d’Adam, et Je suis venu ici pour conquérir et pour prendre le pouvoir.» Amen. Il a tendu la main vers le diable, a arraché les clés de la mort et du séjour des morts, Il les a accrochées à Son côté et, d’un coup de pied, Il l’a renvoyé à sa place dans les abîmes. Il est toujours le Puissant Conquérant.

19        Il a repris le chemin vers la terre, avec la victoire sur la mort et le séjour des morts, pour vaincre la tombe. Mais alors qu’Il remontait les grands sentiers, Il a entendu des hymnes être chantés, et Il a su qu’Il était près des portes du Paradis, là où ceux qui avaient obéi au Message de Noé, ceux qui avaient obéi aux Messages des prophètes attendaient; en effet, ils ne pouvaient pas monter.

            Il y avait une brume de péché sur la terre. Et le sang des taureaux, des veaux et des brebis ne pouvait pas faire l’expiation pour l’homme. C’est pourquoi, ils étaient gardés en un lieu appelé paradis. Il y avait une brume de péché qui planait dessus. Ils ne pouvaient pas monter, sauf Lui qui était descendu.

            Et Il s’avance vers la porte, et frappe doucement à la porte. Père Abraham ouvre la porte, et il est resté là, ébloui. Et il a dit: «Sara, viens ici juste un instant. N’est-ce pas la même Personne pour qui tu avais fait des gâteaux? N’est-ce pas là Celui qui était assis sous le chêne ce jour-là?»

            Sara a dit: «C’est Celui qui avait le dos tourné à la tente et qui avait discerné mes pensées alors que je riais de ce qu’Il avait dit.»

20        Il a dit: «Mes enfants, Je suis venu vous prendre maintenant. J’ai conquis cette chose horrible appelée le péché.»

            Et juste à ce moment-là, juste par-dessus son épaule, l’épaule d’Abraham, par où Sara regardait, je peux voir une autre tête bouger. Et c’était peut-être un homme apparemment âgé, et il a regardé par-dessus l’épaule d’Abraham. Et lui aussi était ébloui. C’était le prophète Daniel. Il a dit: «C’est cette Pierre que j’avais vue se détacher de la montagne sans le secours d’aucune main et qui avait détruit les royaumes du monde.»

            Quelqu’un vient en courant. Qui était-ce? C’était le prophète Ezéchiel. Il regarda par-dessus l’épaule du prophète, et dit, alors qu’il se tenait là, ébloui: «Voilà la Roue dans la roue que j’avais vue tourner là en l’air.» Chacun Le voyait sous la forme dans laquelle ils L’avaient prêché.

            Oh! qu’en sera-t-il quand nous Le verrons comme la Rose de Sharon, le Lys de la vallée, le plus beau d’entre dix mille pour mon âme? Que sera-t-Il? L’Alpha et l’Oméga, le Commencement et la Fin, la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile brillante du matin.

21        Et lorsqu’ils sortaient, Il a conquis la tombe. Mais alors, il y avait toujours une grande brume qui planait sur la terre, Il devait donc conquérir cette brume de péché, cette brume qui dégageait une puanteur des péchés de gens. Et avec Son propre Sang, Son habit teint de Sang, Il a conquis les atmosphères célestes. Béni soit Son Saint Nom.

            Il a dissipé les brouillards de l’enfer de part et d’autre jusqu’à faire une percée dans les cieux telle que les enfants perdus d’Adam pouvaient prier jusqu’à vaincre. Il a conquis les atmosphères. Il a conquis le péché. Il a conquis la mort. Il a conquis l’enfer. Et Il est ressuscité triomphalement.

            Il est allé au-delà de la lune et des étoiles avec les saints de l’Ancien Testament. Oh! quel défilé de victoire ça a dû être avec le Véritable Conquérant! Peu après, ils ont vu cette glorieuse cité. Abraham dit à Sara: «Viens ici, chérie.» Et elle rejoint Isaac et suit. Isaac prend Jacob. Jacob prend Joseph.

            Et il a dit: «Voilà la ville que papa avait vue, dont Dieu est l’Architecte et le Constructeur. J’ai erré sur la terre à la recherche de cette cité à venir, dont Dieu est l’Architecte et le Constructeur, et maintenant, je m’approche de ses portails.» Bien qu’ils fussent de grands hommes, ils ne pouvaient pas conquérir cela. Il fallait que cette Personne descende conquérir cela. Bien qu’Abraham eût conquis des difficultés, aussi Isaac, Jacob et Joseph, mais il n’y avait qu’un seul qui pouvait conquérir le péché. C’était Lui, le Seigneur Jésus.

22        Et quand ils ont aperçu la lumière éclairant l’intérieur de la ville, les grands portails de perle qui brillaient, Jésus marchait en tête. Et les anges se sont mis à monter au sommet des maisons. Et ils les virent venir, et les saints de l’Ancien Testament s’écrièrent: «Elevez-vous, portes éternelles, élevez-vous. Et que le Roi de Gloire fasse Son entrée, le Puissant Conquérant!» Et les anges ont répondu en criant, disant: «Qui est ce Roi de Gloire?» Et les saints de l’Ancien Testament se sont écriés: «L’Eternel des armées, le Puissant dans les combats.» Et les portes s’ouvrirent. Et Il a placé à la porte la vieille croix rugueuse, afin que chaque homme ou chaque femme qui franchît donc cette porte s’incline absolument devant cette croix et reconnaisse Jésus comme le Puissant Conquérant.

            Et alors, les anges, une dizaine de milliers de fois des milliers des milliers hurlaient, criaient, poussaient des cris et louaient le Seigneur, en tant que ce très Vaillant Guerrier, qui a amené captive la captivité et qui a fait des dons aux hommes. Non pas à l’Arc de Triomphe comme Adolphe Hitler, mais dans les sphères de la Gloire.

23        Les anges le chantaient et louaient l’Etoile du matin alors qu’Elle descendait la rue en tant que le Puissant Conquérant qui avait conquis les péchés du monde et avait amené triomphalement les justes. Ils parcoururent la ville jusqu’au Trône. Là, sur le Trône, était assis le Puissant Jéhovah.

            Et quand Jésus est allé au Trône, Il a fléchi le genou et Il a dit: «Père, J’ai achevé cette oeuvre que Tu m’avais donnée d’accomplir. J’ai payé le prix du péché. J’ai les clés et de la mort et du séjour des morts. Et Ton ennemi est vaincu. Et ceux-ci sont ceux qui attendaient patiemment cette heure.»Et je peux voir le Père, alors qu’Il dit: «Monte ici sur Mon Trône, Mon Fils, et assieds-Toi ici jusqu’à ce que Je fasse tous Tes ennemis Ton marchepied.» Il s’assied là, le Puissant Conquérant. Je crois en Sa Parole. Je crois tout ce qu’Il dit. Je crois en Lui comme mon tout, comme mon souffle, comme ma vie, comme tout ce que j’ai...

            Ce soir, je m’abandonne entièrement à Lui, âme, corps et esprit. J’attends Sa Seconde Venue dans la Gloire. Quand je suis triste, je me confie en Lui. Quand je suis heureux, je me confie en Lui. Quand je suis malade, je me confie en Lui. Et quand je suis perdu, je me confie en Lui. Quoi qu’il m’arrive, je mets ma confiance en Lui.

24        Il y a quelque temps, là dans les montagnes Adirondack... Je me souviens d’une petite histoire. Je ne l’ai jamais racontée en public. Ma mère est mi-Indienne. Et j’aime les bois, vous le savez. Même ma conversion n’a point ôté cela de moi. Oh! comme j’aime les bois et les montagnes! C’est mon divertissement.

            L’autre jour, je parlais à ma femme, disant: «Chérie, Dieu m’a aidé dans tout ce que j’ai fait. Comme pêcheur, je suis piètre, mais j’ai battu les records au niveau national, de la pêche, à un endroit le plus mystérieux où un pêcheur n’aimerait même pas aller.» C’est le Seigneur. J’ai fait des tirs à six ou sept cents yards [548,6 m ou 640 m], ce qui est tout à fait inconcevable pour un fusil, mais cela a atteint la cible trente-trois fois d’affilée, l’un après l’autre, alors que je ne suis qu’un piètre tireur. C’est le Seigneur.

25        Je pensais être un peu très bon homme de bois, que je ne pouvais pas me perdre. Je venais de me marier. Et Billy était alors un petit garçon. Sa mère était morte, ça faisait environ cinq ans. Et j’ai pris mon actuelle femme, Meda. Et ils étaient restés dans un appentis. J’attendais l’arrivée du garde forestier.

            Et j’ai dit: «Je pense que j’irai m’attraper un venaison.» J’ai dit: «Attendez, et si le garde forestier vient, nous irons chasser l’ours là sur la montagne Hurricane.» J’ai dit: «Attendez ici; il va ouvrir la cabane une fois arrivé.» Et nous étions dans une petite cabane. Ce soir-là, il faisait très froid. Nous étions obligés d’étreindre le petit garçon entre nous pour l’empêcher de geler.

26        Et alors, je suis allé chercher une venaison. Et je suis descendu de la montagne. Je pensais connaître ces Adirondacks, chaque arbre. Mais quand vous en arrivez à connaître quelque chose, c’est alors que vous ne connaissez rien de ce que vous devriez connaître. C’est ce que disent les Ecritures.

            Et j’ai gravi quelques collines; puis, je suis descendu. Et j’ai vu un gros lynx roux, et je suivais sa piste, parce qu’il chassait la grouse. Je me suis dit que si je pouvais lui tirer dessus, je pouvais l’avoir. Mais je n’ai pas pu l’attraper. Puis, je me suis dit que j’allais flairer un ours. J’ai atteint un petit creux et j’y suis descendu, me dirigeant dans cette direction, vers ce qu’on appelle les Géants.

            Et pendant que j’étais là, j’ai regardé de l’autre côté et j’ai vu quelque chose de sombre bouger dans les buissons. Eh bien, tout chasseur sait qu’on ne tire pas sur les objets; vous devez savoir sur quoi vous tirez. Ça peut donc être un homme. Alors, j’ai attendu que cela apparaisse, et c’était un vieux cerf. Et quand j’ai tiré le cerf, j’ai dit: «Eh bien, j’ai dit à ma femme que je serais de retour à 14 h.»

27        J’ai fait demi-tour, et le brouillard commençait à descendre, la neige et les brouillards venaient. Je me suis mis à remonter cet égout. Je me suis dit: «Je vais remonter là. Je sais où j’avais viré à droite.» Et j’ai marché, j’ai marché, j’ai marché, et je ne retrouvais point cet endroit. Un moment après, je me suis arrêté, et je me suis retrouvé devant ma biche. J’ai repris et je me suis retrouvé devant la biche. Je suivais une voie droite, je me suis retrouvé devant la biche. Eh bien, les Indiens appellent cela La marche de la mort. Vous tournez en rond, sans boussole. Et les vents soufflaient alors très fort. Et tout le monde sait que quand il y a des brouillards dans les montagnes, c’est à peine si on peut voir devant soi. Et tout ce qu’il y a à faire, c’est aller quelque part, se terrer, s’attraper quelque chose à manger si on peut en trouver, et rester là jusqu’à ce que ça soit passé.

            Mais je ne pouvais pas faire cela. J’avais une femme et un enfant dans ces bois-là. Et ils mourraient sous cet orage. Je ne pouvais donc pas faire cela. Je devais essayer de nouveau. Et après être parti aussi loin que je pensais devoir aller, je me suis dit: «Eh bien, je suis perdu.» Je me suis dit: «Attends une minute, Bill Branham. Tu n’es pas perdu. Tu penses simplement être perdu. Eh bien, assieds-toi une minute.»

28        Et quand j’allais m’asseoir, la neige soufflait, et le vent tourbillonnait, les arbres se penchaient, je me suis dit: «Oh! la la!» Ma femme n’était jamais de sa vie sortie de la ville, sauf pour se promener à la campagne et revenir. Que ferait-elle sans moi, si je me perdais dans les montagnes? Elle s’affolerait. Et elle mourrait avant le matin, elle et mon enfant. Eh bien, j’ai dit: «Oh! tu es un trop bon homme de bois pour te perdre. Eh bien, tu sais, ton instinct te dit que tu devrais aller tout droit, dans cette direction-ci, car le vent soufflait en face quand tu gravissais la colline, ça doit donc être derrière toi, descendre la colline.»

            Je me suis donc engagé dans cette direction-là, et Quelque Chose s’est mis à parler: «Je suis un Secours qui ne manque pas en temps de détresse.»

            J’ai dit: «Eh bien, je perds la tête. Je pense entendre une voix me parler.» J’ai secoué la tête; j’ai dit: «Vas-y, mon gars. Vas-y donc, tu es sur la voie qui mène droit à ton camp. Tu sais que c’est ça.»

            Et j’ai pris mon fusil, j’ai dit: «Vieux fusil, ça fait bien des fois que tu es avec moi. Tu m’aideras à m’en sortir.» Je l’ai jeté sur mon épaule. Je me dirigeais exactement vers le Canada, sans le savoir.

            Et cette Voix continuait à parler: «Je suis le Seigneur. Je suis un Secours qui ne manque pas en temps de détresse.»

            Et Elle se faisait de plus en plus profonde, jusqu’à ce que, finalement, je me suis arrêté, j’ai posé mon fusil contre un arbre. J’ai posé mon vieux chapeau de chasse par terre, je me suis agenouillé et j’ai dit: «Seigneur, je ne suis pas un homme de bois, je suis un pauvre homme, perdu et misérable. Je ne mérite pas de vivre, mais je T’en supplie, aie pitié de ma femme et de mon enfant.» Je pensais pouvoir maîtriser tout orage, pouvoir maîtriser tout bois. Mais j’ai découvert que je n’étais pas un conquérant.

29        Et quand j’ai prié, je me suis senti vraiment bien à ce sujet. Je me suis relevé et j’ai dit: «Eh bien, mon instinct me dit de continuer droit devant. Je dois aller droit devant.» Et quand je m’y suis engagé, essuyant les larmes de mes yeux (Il se peut que vous ne vouliez pas croire ceci), mais j’ai senti la main du Puissant Conquérant se poser sur mon épaule.

            Et je me suis arrêté, ahuri. Je me suis dit: «Je suis seul ici dans ce bois. Qui est sorti de derrière un arbre pour poser sa main sur mon épaule?» Je me suis retourné et j’ai regardé, et il n’y avait personne là. Mais quand j’ai regardé en arrière, à ma droite, derrière, de... les vents s’étaient dissipés et j’ai vu la tour sur la montagne, la tour Hurricane, où le garde forestier et moi avions installé le téléphone jusque là.

            J’allais à ma mort, sans le savoir. Mais Il est un secours qui ne manque jamais en temps de détresse. J’ai fait demi-tour, vite, avant que les nuages reviennent. Juste une petite percée, et j’ai repéré la tour. Qu’était-ce? C’était Sa main puissante, Lui qui a maîtrisé les vents et les vagues, a dissipé le brouillard pour sauver un pauvre malheureux perdu. Il est toujours vivant. Il est le Puissant Conquérant.

30        Je me suis dirigé vers cette tour. C’était redevenu tout brumeux, mais je devais aller en ligne droite. Et j’ai marché, marché. Il faisait noir. J’ai du coup gravi cette montagne, les glissements de terrain et que sais-je encore, je savais que je ne pouvais pas changer de direction. Il faisait noir. Les cerfs sautaient devant moi, des animaux. Je ne faisais pas cas d’eux. Je suivais mon chemin, en disant: «Je fais confiance au Seigneur et je me tiens sur Sa Parole.» Et comme je pensais qu’il faisait trop noir, j’ai dit: «Oh! si seulement je peux toucher cette fil téléphonique.» Je savais qu’elle traversait la montagne quelque part. J’avais aidé à son installation. Je me suis dit: «Si seulement je peux toucher ce câble. Si seulement je peux... C’est mon seul espoir. Je ne vois plus. Si seulement je peux toucher ce câble.»

            Et j’étais sur le point de perdre l’espoir, mais peu après, ma main a heurté contre quelque chose et j’ai touché cela. C’était le câble. Je ne pouvais pas lâcher ce câble. J’ai ôté mon chapeau et j’ai jeté mon fusil par terre. J’ai pleuré comme un enfant. Je savais qu’au bout de ce câble téléphonique, m’attendaient ma femme et mon enfant. Je ne pouvais pas lâcher ce câble sur tout le parcours, en descendant la montagne. Je m’y suis accroché aussi respectueusement que possible. Et j’ai été ramené sain et sauf vers mes bien-aimés.

31        Frère, un jour, alors que j’étais perdu, plus que cette fois-là, j’ai entendu une Voix dire: «Je suis toujours le Puissant Conquérant.» Et Il a ôté mes péchés, et j’ai posé la main sur la puissance du Dieu Tout-Puissant qui m’a secoué du sommet de la tête à la plante des pieds. J’ai posé la main dessus depuis lors. Au bout de ce chemin m’attendent mon Seigneur et mes bien-aimés. Et un jour, j’espère les voir.

            Je resterai sur le chemin. Je resterai accroché au câble de Sa gloire, qui va de la croix à la Gloire, et je croirai en Lui jusqu’à la mort, car Il a conquis tous mes ennemis. Il a conquis mes maladies. Il a conquis mes péchés. Il a conquis mon égoïsme. Il a conquis mes voies. Et aujourd’hui, je suis plus que vainqueur en Jésus-Christ qui a conquis pour moi.

32        Si vous ne Le connaissez pas, c’est maintenant le moment de Le connaître, pendant que nous inclinons la tête juste un instant pour la prière. Pendant que nous attendons, et que la musique s’apprête, je me demande pendant que vous y pensez: Avez-vous déjà mis votre main dans la Sienne? Avez-vous déjà vu la différence qu’il y a?

            Il se peut que vous ayez serré la main au prédicateur. C’est une bonne chose. Mais avez-vous déjà touché la main du Conquérant? Le connaissez-vous comme votre Sauveur, comme votre Conquérant? Il a conquis votre jugement. Vous n’avez pas à mourir, non plus à passer par le jugement. Mettez simplement votre main dans la Sienne et suivez.

            S’il y a ici un homme ou une femme, un jeune garçon ou une jeune fille qui n’a jamais fait cela, voudriez-vous lever la main pour dire par là: «Frère Branham, priez pour moi. J’aimerais toucher Sa main.»? Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, madame. Quelqu’un... Que Dieu vous bénisse là.

            «J’aimerais toucher la main du Puissant Conquérant maintenant même.» Que Dieu vous bénisse là derrière. Qu’Il vous bénisse monsieur ici. Qu’Il vous bénisse madame, ici, et qu’Il vous bénisse. Qu’Il vous bénisse, frère. Qu’Il vous bénisse, ma soeur; vous frère, vous soeur, et vous soeur.

33        «J’aimerais toucher cette main qui a des cicatrices de clous.» Oh! C’est différent–c’est différent quand on touche une autre main. Il est le Puissant Conquérant. Vous ne pouvez pas conquérir par vous-même. Vous devez compter sur Lui. Y en aurait-il un autre qui aimerait toucher Sa main? Qu’il la lève simplement vers Lui et dise: «Seigneur, sois miséricordieux envers moi.»

            Là au balcon? Que Dieu vous bénisse là-haut, jeune dame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse. Là à droite, que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Quelqu’un d’autre, qu’il lève la main et dise: «Seigneur, sois miséricordieux envers moi. J’assiste à...

            Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse. «J’assiste à ces réunions, frère Branham. Je vois Dieu se révéler, et j’aimerais qu’Il me touche. J’aimerais sentir Son toucher en retour, et cette petite secousse dans mon coeur me dit que je suis pardonné et que je peux rentrer chez moi avec Lui. Quand cette heure terrible vient, quand Son Eglise est enlevée, j’aimerais avoir ma main sur le câble.»

            Que Dieu vous bénisse là, au mur, jeune fille. Que Dieu vous bénisse, madame, là derrière, au fond. Que Dieu vous bénisse, monsieur, là derrière. Quelqu’un d’autre juste... Que Dieu vous bénisse, vous ici, madame. Juste alors que nous attendons un peu plus longtemps... Il y a quelque trente mains ou plus, je suppose, qui se sont levées, des pécheurs implorant la miséricorde de Dieu.

34        Maintenant, avec vos têtes inclinées, et chaque chrétien en prière, fredonnons doucement ce cantique maintenant. Si vous vous sentez conduit à lever la main, faites-le.

... Sans rien à moi,
Sinon Ton Sang versé pour moi,
Et par ma foi dans Ta promesse,
Ô Agneau de Dieu (Que Dieu vous bénisse), viens!
(Que Dieu vous bénisse, monsieur) Je viens!

Tel que je suis, sans attendre pas débarrasser mon âme
D’une seule tache noire,
A Toi (Le Puissant Conquérant) dont le Sang peut ôter chaque tache,
Ô Agneau de Dieu, je viens!
(Que Dieu vous bénisse, jeune fille.) Je viens!

35        Juste un autre? [Frère Branham se met à fredonner.–N.D.E.] Que Dieu vous bénisse, soeur, là derrière. Il vous voit. Si vous croyez que je suis Son serviteur, aussitôt que vous avez levé la main d’un coeur sincère, l’ange qui enregistre inscrit votre nom dans le Livre. «Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi.» «Même si vos péchés sont rouges comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige.» Juste une touche de Sa main, Il conquiert le péché. Il conquiert votre tempérament colérique. Il conquiert vos penchants naturels. Il conquiert votre vie. Il conquiert vos mauvaises habitudes. Il est le Puissant Conquérant. Ne voudriez-vous pas vous abandonner à Lui ce soir?

            Et en ce jour-là, quand nous entrerons... Que Dieu vous bénisse, madame. Et en ce jour-là, quand nous entrerons... Que Dieu vous bénisse là derrière, soeur. Nous passerons, non pas sous l’Arc de Triomphe, mais nous passerons sous la vieille croix rugueuse, Le louant alors que nous entendrons chanter les anges. Il viendra nous chercher un de ces jours.

            Et même si les vers du corps détruisent celui-ci, cependant de mes yeux, je verrai le Puissant Conquérant, car Il me l’a promis et Il ne peut faillir. Il est le Dieu du Ciel. Il est présent ici maintenant.

36        Juste un autre avant de terminer pour prier? [Frère Branham se met à fredonner.–N.D.E.] Que Dieu vous bénisse, vous là, monsieur. Que Dieu soit miséricordieux envers vous, madame. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous assise là, madame. C’est bien. Que Dieu vous bénisse, madame, juste ici, et vous. C’est bien. [Frère Branham se met à fredonner.–N.D.E.]

            Ô Père miséricordieux, en ce glorieux moment, si seulement cette petite audience ici, ce soir, peut voir ce qui se passe! Par la foi, je crois que les anges agitent des drapeaux blancs au Ciel. Les mères dont l’âme est sous le Trône se réjouissent avec eux, leurs enfants perdus sont revenus à la maison. Ils ont regardé par le treillis. Ils ont vu cette main se lever.

            Le diable est vaincu. Son royaume obscur, son domaine, n’a plus de puissance. Nous nous tenons avec Lui, le Grand et Puissant Conquérant. L’Etoile du matin est au-dessus de nous. La vieille croix rugueuse est devant nous, dégageant la voie pour nous.

37        Ô Dieu Saint, je Te présente ces convertis. Et Tu vas les donner à Ton Fils. Tu as dit: «Nul ne peut venir à moi si Mon Père ne l’attire.» Et maintenant, le Père les a attirés, et ils ont levé la main. Et, Seigneur Jésus, ils T’appartiennent. Ce sont les dons de la part du Père, les offrandes d’amour par Ta grâce.

            Reçois-les dans Ton Royaume, c’est ma prière, ô Dieu. Donne-leur le baptême du Saint-Esprit. Et place-les ici dans le champ de bataille sous la bannière de la vieille croix rugueuse, avec Jésus le Puissant Conquérant, en tête, donnant des instructions. Nous finirons par vaincre.

            Bénis-les, Seigneur. Et bénis ceux qui auraient dû lever la main. Donne-leur une autre occasion, Seigneur, et même maintenant dans leurs coeurs, puissent-ils dire: «Oui», Seigneur. Nous ne savons pas. C’est Toi qui sais. Mais je Te prie de les sauver de toute façon. Et tires-en gloire, car nous savons que le temps est proche, où les récompenses seront données, et où le jugement du monde viendra.

38        Maintenant, Dieu Tout-Puissant, pour ces enfants nouveaux-nés, je Te prie de Te révéler ce soir à eux de... d’une façon apparente, que Tu manifestes Ta Présence ici pour leur faire savoir que c’est différent d’adhérer à l’église. C’est différent du fait de citer des credos. Il est question de naître de nouveau dans le Royaume du Roi, et de devenir ami du Grand Conquérant qui a conquis leur vie, leurs péchés, leurs tempéraments colériques et leur... tous leurs péchés et leurs désillusions. Accorde-le, Père. Nous Te les confions maintenant, au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

            Oh! vous vous sentez très bien, n’est-ce pas? Ce bon vieil Evangile a quelque chose qui vous récure. Je L’aime, pas vous? Si réel... Vous savez, je crois que celle-ci va aussi être une soirée merveilleuse pour la guérison. Eh bien, Il est le Puissant Conquérant. Et regardez seulement ce soir aux mains qui se sont levées.

39        Eh bien, le matin, tout aussi vite que vous le pouvez, allez à une bonne église, faites-vous baptiser, et recevez le Saint-Esprit. C’est ça la promesse. Le jour de la Pentecôte, pierre a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous...» C’est ce que vous avez fait. «soyez baptisé au Nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»

            Et Il vous a appelé, et vous êtes maintenant candidat au Saint-Esprit. Et cela vous met au service du Seigneur. Oh! nous vous souhaitons le bienvenu dans le Royaume de Dieu. Nous sommes si heureux de vous avoir comme notre frère et notre soeur. Que la grâce de Dieu repose sur vous, mon cher ami.

40        Maintenant, nous allons prier pour les malades. Et puisse le Seigneur nous accorder Ses bénédictions pendant que nous prions. Et maintenant, n’oubliez pas pour demain soir donc. Ça été annoncé. Et maintenant... Et puis, demain matin...

            Les cartes de prière... Vous m’avez dit ce que vous avez distribué, mais je l’ai oublié. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

            Et ici, c’est notre première rencontre. C’est le même tableau que celui de Nathanaël qui avait trouvé Philippe, ou plutôt Philippe qui avait trouvé Nathanaël et l’a amené au Seigneur Jésus; il s’était mis à lui raconter le long du chemin ce que Jésus avait fait. Eh bien, je peux m’imaginer Nathanaël dire: «Un instant donc. Je ne crois pas cela. Je ne crois pas que cet Homme sache quelque chose à mon sujet.»

            Et quand il s’est approché, Jésus l’a regardé droit en face et a dit: «Voici un Israélite en qui il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Rabbi, quand as-Tu su cela. Comment m’as-Tu donc connu? Tu ne m’as jamais vu auparavant.»

            Il a dit; «Eh bien, avant que Philippe t’appelât», à trente miles [48 km], de l’autre côté de la montagne, «Je t’ai vu sous l’arbre en train de prier.»

            Il a dit: «Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.»

41        Maintenant, combien là dans l’assistance n’ont pas de cartes de prière, et voudraient que le Seigneur Jésus les guérisse? Voudriez-vous bien lever la main? Très bien. C’est bien. Eh bien, la Bible dit qu’Il peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Touchez-Le et voyez ce qu’Il dit. Voyez s’Il ne parle pas exactement comme Il l’avait fait pour la femme au puits. Eh bien, maintenant, monsieur, juste pour vous parler un moment. Si vous étiez malade et que je demandais: «Monsieur, êtes-vous malade?» Vous diriez: «Oui, oui.» Je dirais: «C’est quoi votre maladie?» Vous diriez: «J’ai une tumeur», ou «J’ai la tuberculose», ou je ne sais de quoi vous souffririez. Je dirais: «Eh bien, vous serez vous rétablir, monsieur.» Allez-y donc, ayez bon courage.

            Eh bien, peut-être que vous pourriez vous rétablir. Mais ce ne serait pas un miracle. Là, ce serait juste un homme qui vous dit quelque chose. Cela ne manifesterait pas le surnaturel. Ce serait juste un acte de foi. Est-ce vrai?

42        Mais maintenant, et si le Saint-Esprit... Si nous deux, des hommes, nous allons nous tenir dans Sa Présence, le Puissant Conquérant, et si le Saint-Esprit vient me révéler... Comme Jésus l’a dit: «Je ne fais rien de moi-même. Et Je ne fais rien à moins que le Père me le montre.» Alors, selon Sa propre Parole, qui est les Ecritures qui ne peuvent pas être brisées... Il a dit Lui-même: «Je ne fais que ce que Je vois d’abord faire au Père.» Combien savent que c’est ce que dit la Bible? Saint Jean 5.19.

            Eh bien, Ses Paroles sont vraies, par conséquent, Il ne fait que ce qu’Il voyait d’abord faire au Père, Il avait donc une vision, comme pour la femme au puits, et pour tous les autres. Il avait une vision. Maintenant, s’Il fait la même chose ce soir, cela prouvera que...

            Et s’Il me fait savoir quelque chose à votre sujet [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... votre maladie, à quel point vous êtes malade, ce qu’est votre maladie, ou ce pour quoi vous êtes ici, ou quelque chose que vous avez fait ou n’importe quoi dont vous savez que moi, je ne sais rien, ce serait Sa grâce, Sa miséricorde. Ce serait pour prouver qu’Il est ici. Le croiriez-vous? Vous le croiriez. L’auditoire croira-t-il de même cela?

43        Maintenant, vous voyez, nous voici tous deux. Et je vais parcourir du regard cette ligne de gens. Il n’y a personne que je connaisse. Même pas dans l’auditoire ce soir, sauf Rosella qui est assise juste ici. Je la connais, la jeune fille qui a été guérie de l’alcoolisme, tout comme ces gens qui sont ici chaque soir. Qu’en dites-vous, Rosella? C’est ça. Il lui a été dit qu’elle était alcoolique et le péché dans lequel elle était.

            Et je me demande si cette petite dame-ci qui était une–une danseuse, quel était son nom? Elle était–elle était alors une jeune fille catholique, je pense, ou quelque chose comme cela. Et le Saint-Esprit a appelée. Elle était ici l’autre soir, m’a-t-on dit, elle et son mari, je pense, et un petit garçon. Quel était son nom, soeur? Eileen.

            Eileen, êtes-vous ici ce soir? Si vous êtes ici, voudriez-vous lever la main? Elle était une partenaire de danse de Fred Astaire, et elle s’est impliquée dans la drogue et tout le reste, et le Saint-Esprit l’a appelée là, juste là à Hammond. Elle a été glorieusement convertie. Et Aujourd’hui, elle est dans le champ de travail, oeuvrant pour le Seigneur.

44        Rosella, là dans les prisons et ailleurs, elle travaille pour le Seigneur. Quand elle était venue, elle était une ivrogne misérable, aux yeux globuleux, malheureux, farcie de drogue, sortant de fosse septique là en ville, avec son manteau ouvert comme ceci, et des bouteilles de whisky bourrées là-dedans. Et les meilleurs médecins de cette ville avaient dit: «Il n’y a même pas de l’espoir pour elle.» Mais, oh! Un jour, ce Puissant Conquérant passa par là. La voici ce soir, une jolie, belle jeune femme, un trophée de la grâce éternelle de Dieu.

            Qu’est-il arrivé? Certainement, le médicament, les Alcooliques Anonymes, rien ne pouvait guérir cela. Mais le Puissant Conquérant, qui a conquis chaque tentation, chaque mauvaise habitude, tout ce que le diable avait placé sur l’homme, avait conquis cela, et Rosella en est un témoignage, non seulement elle, mais des milliers d’autres comme elle. Regardez simplement et croyez.

45        Maintenant, s’Il faisait cela, monsieur, vous sauriez que cela a absolument une origine surnaturelle. L’assistance aussi. Mais tout dépendra d’eux. Que... Si vous pensez que ce–c’est du diable, alors vous recevrez la récompense du diable. Si vous pensez que c’est de Dieu, alors, vous recevrez la récompense de Dieu. Non pas moi, je ne suis qu’un homme comme vous, le moindre parmi les hommes. Mais s’Il révèle cela, alors soyez-en juge. Vous pouvez savoir si c’est vrai ou pas. Et s’Il sait ce qui a été, certainement qu’Il sait ce qui sera.

            En regardant cet homme, je ne suis pas en train de lire ses pensées. Dieu au Ciel, Lui qui est mon Juge solennel, avec ma Bible sur mon coeur, sait que je ne suis pas en train de lire les pensées de cet l’homme, pas du tout. J’observe quelque chose, par la grâce de Dieu. Pierre et Jean ont dit: «Regarde-nous.» Cela veut dire «Prête attention. Observe.»

46        Jésus a eu la femme quand Il a dit: «Donne-moi à boire.» Il s’est mis à regarder cette belle jeune femme, et s’est mis à lui révéler son péché, après lui avoir parlé un peu. C’est exactement la même chose.

            J’essaie de prêcher. Ça, c’est un esprit, une onction. Ça, c’est tout à fait une autre onction. Et passer de l’une à l’autre rapidement... Un jour, Dieu me donnera un vrai organisateur qui prêchera encore pour moi. Alors, je tiendrai de longs services.

47        Vous n’êtes pas ici pour votre propre santé. Vous êtes un homme en bonne santé. Mais vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. Et c’est un autre homme, votre parent. Il n’est pas ici. Et il n’est même pas dans cet Etat. Il n’est même pas aux Etats-Unis. Je vois la contrée, et, on dirait, une ville sur des collines. Et c’est Outre-mer. Et c’est la Norvège. J’y ai été. Il s’agit de votre beau-frère. Il souffre du coeur, de l’hypertension.

            Et je vois apparaître une femme maintenant. Et elle est une parente, une nièce. Et elle est... c’est–c’est... Elle est sourde. Et c’est AINSI DIT LE SAINT-ESPRIT. C’est vrai. Eh bien, s’Il connaît ce qui a été, Il peu connaître le futur. C’est Lui qui a dit que ceci aura lieu. C’est le Même qui a dit: «Qu’il vous soit fait selon votre foi.» Croyez-vous? Alors, prions.

            Dieu miséricordieux, devant ces enfants nouveau-nés, alors qu’ils voient Ton glorieux Esprit agir dans le corps de l’Eglise, accorde, Dieu Eternel, que cet homme reçoive le désir de son coeur, alors que je prie pour Lui. Au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen. Que Dieu vous bénisse, monsieur.

48        Venez, madame. Nous ne nous connaissons pas non plus l’un à l’autre, je suppose. Si c’est le cas, voudriez-vous juste levez la main avec moi? C’est juste assez pour dire à cet auditoire que nous ne nous connaissons pas. Si l’Adorable Seigneur Jésus me révélait ce que vous Lui demandez, croiriez-vous cela? L’accepteriez-vous? Et croiriez-vous qu’Il vous accordera le désir de votre coeur?

            Vous vous tenez aussi ici pour quelqu’un d’autre. C’est à cela qu’est destiné ce mouchoir. Et cette personne-là est une femme plus jeune que vous. C’est votre fille. Et elle est extrêmement nerveuse, et elle a quelque chose à la gorge. Elle a un goitre à la gorge. Et elle a de sérieux ennuis. Elle n’est pas sauvée. Elle est une pécheresse. Son mari est un catholique.

49        Et vous avez un petit-fils. Et ce petit garçon semble avoir quatre ans, et il est opprimé par le démon. Ces paroles sont vraies. Maintenant, prenez le mouchoir, repartez, et ne doutez pas. Dieu vous récompensera pour votre foi. Amen. Que le Seigneur vous bénisse, ma soeur.

            Croyez seulement. Eh bien, voici une dame que je n’ai jamais vue de ma vie. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Veuillez bien lever la main afin que les gens voient...

            Qu’en dis-tu, petit garçon? Tu priais, n’est-ce pas? Tu veux que papa soit guéri. Il souffre du dos, n’est-ce pas? Très bien. Cela le quittera. N’ayez donc pas peur.

            Croyez-vous? Ayez seulement foi. Qu’est-ce que ce petit enfant a touché? Il ne m’a point touché. Il a touché Christ. Et Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être senti ou plutôt touché par les sentiments de nos infirmités. Tout l’auditoire devrait être totalement convaincu. Vous avez décidé si vous croyez en Lui ou si vous ne croyez pas. Vous avez décidé si c’est Dieu ou si ce n’est pas Lui.

50        Parlons à la femme ici juste un instant. Elle est debout ici. Oui. Cette femme se tient ici à cause d’une maladie de vésicules biliaires. Et elle a quelqu’un d’autre à coeur. Et, oh! dans quelle condition se trouve cette personne! C’est votre frère. Il est dans un asile de fous, il est aveugle et il devient sourd. Acceptez-vous le Grand Conquérant maintenant même à sa place? Alors, que le Seigneur vous accorde, ma soeur, le désir de votre coeur. J’aimerais toucher ce mouchoir.

            Ô Dieu du Ciel, délivre, je prie. Au Nom de Jésus. Amen.

            Croyez seulement. Ne doutez pas. Jésus a dit: «Si tu peux croire, tout est possible à celui qui croit.»

51        Madame, je suppose que c’est notre première rencontre dans la vie. Est-ce vrai? Voudriez-vous bien... afin que les gens voient que c’est... N’ayez pas peur. Cessez de vous inquiéter. Tout ira bien. Maintenant, vous redoutez que quelque chose arrive. Voyez? Et vous savez de quoi je parle, madame. Je ne mentionnerai pas cela ici. Vous le redoutez, mais n’ayez pas peur. Tout ira bien. Et ce dont il est question, ne vous en faites pas, cela finira bien.

            Si le Seigneur Dieu du Ciel me révèle ce pour quoi vous êtes ici–ce pour quoi vous priez, serez-vous disposée à accepter cela? Je vois que vous souffrez d’une maladie gynécologique. C’est un désordre gynécologique. Et je vous vois couverte d’un drap blanc. Un... oh! c’est une intervention chirurgicale. Vous venez de subir une intervention chirurgicale à cause de la même maladie. Et le... cela n’a pas été guéri. Et c’est ce pour quoi vous êtes ici. C’est vrai.

            Et puis aussi, je vous vois avec une chose à votre bras. Vous faites l’hypotension. Et vous êtes extrêmement nerveuse. Et vous êtes venue d’une autre ville vers celle-ci pour qu’on prie pour vous. Avant de venir, vous avez prié dans une chambre, près d’un lit, qu’on vous fasse entrer dans la ligne de prière. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et comme je vous vois quitter la ville, c’est Rockford, en Illinois. Rentrez, croyez et vous serez rétablie. Que Dieu soit miséricordieux.

52        Nous sommes inconnus l’un à l’autre, je suppose. Vous m’avez vu dans des réunions. Mais nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant. Alors, le Seigneur Dieu, s’Il me révèle ce pour quoi vous êtes ici, monsieur, croyez-vous de tout votre coeur? Maintenant, auditoire, si jamais vous allez croire, croyez maintenant.

            Ecoutez. Il a été donné à Moïse deux signes à accomplir. Et aussitôt qu’il a fait cela, une fois, Israël a suivi cela. Il y avait d’autres prophètes, et il y avait d’autres conducteurs et autres qui ont aidé à faire sortir Israël. Et après tout, ce n’était pas Moïse, c’était Dieu, cette Colonne de Feu qui suivait les enfants d’Israël. Moïse était un homme. Dieu était Dieu, et Il est toujours Dieu.

            Et maintenant, ces visions, ce ne sont pas de visions. C’est la foi de ces gens. Les visions, c’est ce qui arrive quand les jeunes gens qui enregistrent ici et autres sont à la maison, et tout, ils connaissent ces choses... Cette série de réunions prévues là en Afrique. C’est une vision. C’est alors que Dieu utilise Son don et le manifeste. Ceci, ce sont les gens qui font cela. C’est vous-même qui faites ça. C’est votre propre foi qui Le touche.

53        La raison pour laquelle je dois demander à quelqu’un ici de s’approcher, c’est parce que, regardez simplement ceux qui sont assis devant moi. Voyez? Il y a, chacun de vous, des centaines de milliers d’entre vous qui font ce toucher. Et c’est difficile quand cela vient, et vous devenez faible. Une vision fait beaucoup plus mal qu’une prédication de deux heures.

            Ainsi, cet homme-ci dit que nous sommes inconnus l’un à l’autre, et il se peut que nous soyons nés à des kilomètres de distance et que nous ayons un décalage d’âges. Mais le Seigneur connaît tout à son sujet, et Il connaît tout à mon sujet. Et si le Seigneur révèle à cet homme, à cet homme ce pour quoi il est ici ou quelque chose à son sujet, dont il sait que je ne connais pas... Si je ne le connais pas et que je ne l’ai jamais vu, donc je ne sais rien à son sujet. Mais si le Seigneur fait cela, combien diront: «Amen. Je vais alors croire...?...»

54        Maintenant, le frère et moi, nous nous tenons tous deux ici, déclarant que nous ne nous sommes jamais vus ni rencontrés auparavant, et nous ne connaissons rien l’un au sujet de l’autre. Puisse le Seigneur accorder cela, monsieur. J’aimerais juste vous parler un instant, juste pour voir ce qu’Il dirait.

            Je vois cet homme alors qu’il essaie de se lever d’un fauteuil. Il se lève lentement. C’est l’arthrite. Et il y a aussi quelque chose qui cloche dans ses poumons. Et c’était causé par une certaine histoire. C’est la poussière, la poussière des pierres qui s’est posée sur les poumons. Eh bien, voyez-vous cela? Combien croient maintenant? Eh bien, plus on parlera à cet homme, plus il se fera des choses. Voudriez-vous que nous lui parlions une minute de plus, afin que vous voyiez le côté infaillible de cela.

55        Maintenant, maintenant, franchement, avant que Léo ici ou quelqu’un d’autre me rejoue la bande, je ne sais pas ce qu’Il a dit. Voyez? Ce n’était pas moi. Je cède simplement la place. Je–je vois quelque chose se passer, et je dis simplement ce que c’est, et vous entendez ma voix. Ce n’est pas moi. C’est Lui. Il parle juste au travers de ma voix. Voyez? C’est ce qui se passe. Et puis... On dirait que vous pouvez voir cela. Il y a cette femme assise là en train de prier, juste là. Elle a une grosseur à l’oreille, et elle prie Dieu de la guérir. Croyez-vous que le Seigneur Dieu ôtera cette grosseur de votre oreille et vous rétablira? Si vous croyez, levez la main et acceptez simplement cela. Très bien. Vous pouvez alors avoir ce que vous demandez. Qu’a-t-elle touché?

56        Parlons encore avec vous, monsieur. Voyez ce qu’Il dirait. Oui, je peux voir maintenant, on dirait quelque chose en ébullition, du brouillard. C’est... Non, c’est la poussière. Quelque chose au sujet de la poussière. Le médecin a dit que cela s’est établi dans les poumons. Cela s’est établi dans les poumons.

            Vous n’êtes pas de cette ville-ci. Vous êtes d’une contrée qui a des bois durs. Elle est près d’une rivière. Et je vois une–une... cette rivière, c’est une rivière large. C’est la rivière Ohio. Et j’ai été près de cet endroit. Vous habitez près d’Evansville, dans l’Indiana. Cependant, ce n’est pas dans Evansville. C’est une petite ville appelée Lola, de l’autre côté de la rivière, dans le Kentucky. C’est de là que vous venez. Monsieur William H. Beeler, eh bien, si vous voulez croire au Seigneur, rentrer chez vous bien portant, vous pouvez le faire. Croyez-vous cela? Rentrez alors chez vous, bien portant, et soyez... Que le Seigneur vous bénisse, mon frère.

57        Croyez-vous? Croyez-vous qu’Il guérira ce diabète et vous rétablira? Vous le croyez.

            Cette dame assise juste là, la dame âgée, qui me regarde par là, elle souffre et du coeur et du diabète, elle est assise au bout du siège juste là derrière, elle me regarde. C’est vrai, madame. Maintenant, vous pouvez et rentrer chez vous rétablie. Amen.

           

            Dites donc, en fait, madame, imposez la main à cette dame de couleur à côté de vous. Elle souffre de la gastrite. C’est vrai. Et la dame de couleur assise à côté d’elle soufre aussi de la gastrite, toutes les deux. Très bien. Vous ne l’avez plus maintenant. Le Seigneur vous a guéries.

            Vous redoutez que cette arthrite vous rende estropié, mais elle ne le fera pas si vous croyez. Allez-vous croire? Alors, partez et soyez rétablie. Que le Seigneur vous bénisse. Si tu peux croire! Croyez-vous? Chacun de vous? D’un même coeur et d’un commun accord...

58        Vous priez pour ce garçon. C’est une maladie mentale et il n’est pas sauvé. Croyez-vous que le Seigneur va le guérir et le rétablir? Croyez-vous, monsieur? Très bien. Il le fera. Amen. Ayez foi.

            Très bien. Venez, madame. D’une part, vous souffrez d’une maladie gynécologique, ce qui est normal pour votre âge. Mais ce pour quoi vous voulez que je prie, c’est la maladie cardiaque. Et Dieu vous guérira si vous croyez cela. Allez-vous croire cela? Très bien. Partez, et croyez.

            Maintenant, laissez-moi vous poser une question, étant donné que vous ne comprenez pas bien cela, vous voyez. La Bible dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Avez-vous déjà lu cela? Vous avez aussi désiré marcher plus près de Dieu. C’est vrai. Vous avez essayé cela depuis que vous étiez jeune fille. Mais, pensez-vous que je suis un croyant? Allez-vous croire avec moi? Alors, la Bible dit: «Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

            Maintenant, Seigneur, Tu es Dieu. Et je Te prie de lui accorder cette bénédiction au Nom de Jésus. Amen. Allez, en croyant.

            Oh! Quel beau temps! Quel glorieux moment! Maintenant, soyez respectueux.

59        La dame assise là, elle veut être guérie de ses yeux, celle assise au bout du siège là derrière, en train de prier. C’est vrai. La dame à côté de vous a une infection de glandes féminines, la petite dame aux cheveux coupés, de cet autre côté. Les médecins ont dit que c’est une infection des glandes féminines. Si vous croyez de tout votre coeur... Croyez-vous? Si vous croyez, levez la main. Très bien. Vous pouvez alors recevoir ce que vous demandez.

            Que pensez-vous de votre gastrite? Pensez-vous qu’elle vous a quitté tout à l’heure, quand vous avez éprouvé cette sensation? Allez donc manger. Amen. Ayez foi. Et quand j’ai dit: «Gastrite», quelque chose d’étrange s’est passé. Vous avez été guéri de la même maladie, vous pouvez donc aller manger maintenant. Faites-vous...?...

60        Croyez-vous de tout votre coeur? Croyez-vous? Croyez-vous que le Seigneur Jésus est ici pour vous rétablir, pour vous guérir? Comment... Que peut-Il faire de plus? Maintenant, répétez exactement ce que je vous dis. Maintenant, inclinez la tête. Maintenant, vous... Pendant que j’offre cette prière, offrez-la dans votre coeur.

            Ô Dieu, Créateur des cieux et de la terre (Parle-la à haute voix maintenant) Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, je suis ces instructions, parce qu’on m’a enseigné ce soir que Ton Fils a conquis toutes mes maladies. Je L’accepte comme mon Conquérant. Je me confie entièrement à Lui, croyant que ma maladie, mes afflictions, ou tout ce qui cloche en moi me quittera, car je le demande au Nom de Jésus.

            Maintenant, soyez vraiment respectueux. Maintenant, accrochez-vous-y donc. C’est votre prière. Maintenant, gardez cela à l’esprit. Qu’est-ce qui est près de vous? C’est cet Ange du Seigneur.

            Oui, jeune fille là, cette maladie gynécologique vous a quittée. Très bien.

            Oui, monsieur, cette prostate vous a aussi quitté, monsieur. Très bien. Continuez à prier. Continuez à prier. «Seigneur, je sais simplement que Tu es près de moi maintenant. Je sais que Tu me guéris.»

61        Vous assis là, aveugle, avec votre main levée au niveau du front, ayez foi en Dieu. Il est là près de vous. Ne doutez pas. Que peut-il arriver en ce moment? Que peut-il arriver? Si seulement vous croyez... Maintenant, restez seulement enfermé avec Dieu. J’ai été plusieurs fois à Chicago. Avez-vous déjà...

            Vous n’avez jamais vu quelque chose avancer sur cette estrade sans être touché par la main de Dieu. Dans aucune réunion, nulle part, vous n’avez vu cela. Il ne m’a jamais fait défaut. Et Il ne me fera jamais défaut. Il va soit guérir soit me dire pourquoi Il ne peut pas vous guérir.

            Maintenant, je vais prier pour vous et demander pour vous pendant que vous êtes oint maintenant, et que l’Ange du Seigneur est juste à vos côtés. Ne restez plus dans les ténèbres. La lumière est venue. Le Grand Conquérant est ici. Et alors que je prie, croyez que Dieu exauce ma prière et vous recevrez ce que vous demandez.

62        Seigneur, Toi qui as existé avant le monde, Tu as vu chaque geste. Je ne sais pas quoi de plus Tu peux faire, Seigneur. Tu as accompli Ta Parole à la lettre, Tu es allé au-delà de notre imagination. Tu es allé si loin que tu as frappé de cécité des millions de gens qui tâtonnent ce soir dans les ténèbres, pour avoir refusé de marcher dans la Lumière.

            Mais Tu as aussi ouvert les yeux des millions d’aveugles. Et, ô Seigneur, que ce soir, cet aimable groupe de gens ici, ne marche plus dans les ténèbres. Que celle-ci soit la glorieuse soirée pour chaque personne ici. Et comme ils essayent maintenant, se pressant, se bousculant qu’ils se détendent simplement et sachent que Tu Te tiens à leurs côtés.

63        Ô Dieu béni, j’ai prêché jusqu’à m’enrouer. J’ai regardé et amené les gens devant Ta Présence jusqu’à m’affaiblir et être tellement fatigué que c’est à peine si je peux me tenir debout ici. Maintenant, Seigneur, si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, fais ceci pour moi, Seigneur. Je T’en prie, ô Dieu, ôte tous les doutes des coeurs de ces gens, afin qu’ils sache que Tu Te tiens ici à leurs côtés et que Tu es prêt à les guérir.

            Et que le démon de doute fuie loin d’eux, et que le Saint-Esprit afflue comme un vent impétueux et qu’Il remplisse chaque personne ici présente de la foi divine. Et que leurs petites chandelles soient plongées dans l’huile du Saint-Esprit, et qu’ils soient guéris maintenant même. Accorde-le, Seigneur.

            Je Te les confie. Et je réprimande le diable. Au Nom de Jésus, le Grand et Puissant Conquérant, qui a conquis chaque maladie et chaque ennemi de la race humaine, et qui, ce soir, est infaillible, montrant qu’Il est le Ressuscité.

            Satan, tu es vaincu. Fuis au Nom de Jésus-Christ, sors de cet auditoire et va loin de ces gens, afin que Dieu puisse régner et dominer dans cette salle. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Oh! levez-vous, brillez et rendez gloire à Dieu. Sa Présence est dans la salle. Sa puissance est ici pour transformer chaque maladie en bonne santé et vous accorder le désir de votre coeur. Enfants, levez les mains et louez le Dieu puissant qui est au milieu de vous, et qui vous bénit ce soir. Béni soit le Nom du Seigneur.

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