Jéhovah-Jiré
1 ...pour rendre grâces à Ton Grand Nom pour le privilège d’être ici ce soir. Nous Te remercions pour tout ce que Tu as fait pour nous. Vraiment, nous sommes des créatures indignes pour recevoir Tes nombreuses bénédictions, mais nous Te prions de nous pardonner nos manquements et de nous aider à être Tes enfants bien-aimés. Nous demandons que le Saint-Esprit nous visite ce soir, qu’Il nous parle et qu’Il parle au travers de nous de façon merveilleuse, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
Je parlais il y a quelques instants à ma femme qui est en Indiana, et quand je lui disais qu’il y avait beaucoup de neige, alors mon petit garçon est venu au téléphone, le petit Joseph, et Joseph a dit... Il vient de totaliser deux ans, il a dit: «Papa, reviens à la maison; je vais aller prier pour les malades.» [Frère Branham et l’assemblée rient.–N.D.E. ] Je me suis dit que c’était original.
2 Ce petit garçon, beaucoup parmi vous connaissent l’histoire du petit Joseph. Le Seigneur me l’avait montré six ans avant qu’il soit... naisse. Il m’avait promis un garçon, car j’aime beaucoup Joseph. Je pouvais bien le comprendre; en effet, il était né, il avait des visions, il pouvait interpréter les songes, il était haï de ses frères sans cause. J’ai toujours éprouvé de la pitié pour Joseph; et un jour, je pleurais à Minneapolis, dans un petit placard; alors, le Seigneur m’a dit: «Tu auras un fils, tu l’appelleras Joseph.»
Eh bien, c’est à peine si je pouvais savoir quelque chose là-dessus; en effet, la... ma femme ne peut pas accoucher normalement; elle doit passer par la césarienne. Et le médecin avait déclaré qu’elle n’aurait plus jamais un autre enfant en dehors de celle qu’elle avait déjà eue. Quatre ans plus tard, deux ans, excusez-moi, nous avons su qu’elle allait encore devenir mère, et quelqu’un a demandé: «Est-ce Joseph?»
J’ai dit: «Je ne sais pas.»
Et puis, à la naissance, ce fut une fille. Les gens ont dit: «Tu voulais dire Joséphine.»
J’ai dit: «Non, je voulais dire Joseph.»
Et le médecin a dit: «Monsieur Branham, a-t-il dit, on devra ligaturer votre femme; elle ne peut plus avoir des enfants.»
J’ai dit: «Oh! non.» J’ai dit: «J’ai un garçon qui vient.»
Il a dit: «C’est impossible, monsieur Branham.»
J’ai dit: «Ce sera possible (voyez?), car le Seigneur l’avait dit.»
Eh bien, il a dit: «D’accord.» Alors, il l’a laissée aller. Et puis, quatre ans plus tard, elle allait encore devenir mère.
Alors, quelqu’un a demandé: «Est-ce Joseph?»
J’ai dit: «Je ne sais pas, mais Joseph est en route.»
Alors, lorsque l’infirmière est sortie de la salle d’accouchement, elle a demandé: «Révérend Branham?» J’ai dit... J’étais dehors avec les pères qui attendaient, et alors...
J’ai répondu: «Oui, madame.»
Elle a dit: «Vous avez un beau garçon de 7 livres [3,17 kg].»
J’ai dit: «Joseph, tu as mis longtemps à venir, mais papa est content de te voir.» Alors... eh bien, ce–c’est certainement un bon garçon. Je prie le Seigneur de me laisser l’élever.
3 Et alors, ce soir, comme nous commençons directement le service, et que nous essayons de ne pas vous garder très longtemps ce soir... Je prie le Seigneur de nous accorder un message qui fera du bien à nos coeurs. Et j’essaie maintenant... Je vais essayer, le Seigneur voulant, de voiler la–l’église d’une foi telle que... plus tard, quand ça sera possible...
Ma femme m’a demandé: «Comment vont les réunions?»
J’ai répondu: «Ce sont des gens aimables, seulement c’est la foule la plus réduite que j’aie jamais eue.» Mais c’est à cause du temps. Eh bien, quand la–la série des réunions va évoluer, eh bien, alors, je m’imagine, si nous pouvons obtenir que ce petit groupe de gens soit enseigné sur la façon de recevoir Christ, alors cela aidera beaucoup ceux qui viendront par la suite. Nous sommes...
4 L’une des graves choses que je trouve dans l’église, c’est que les gens ont peur. Et je voudrais essayer, à l’aide des Ecritures, de vous montrer que vous ne devez absolument pas avoir peur.
Je souhaiterais donc que vous preniez ce soir, pour un passage des Ecritures, le Livre de la Genèse, le chapitre 22, à partir du verset 7:
Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit: Mon père! Et il répondit: Me voici, mon fils! Isaac reprit: Voici le feu et le bois; mais où est l’agneau pour l’holocauste?
Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira Lui-même de l’agneau pour l’holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble.
Et au verset 14:
Abraham donna à ce lieu le nom de Jéhovah-Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui: A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.
5 J’aimerais prendre pour sujet: Jéhovah-Jiré; et puisse-t-Il ajouter Ses bénédictions à la Parole.
Maintenant, nous aimerions prendre notre temps, afin que vous puissiez certainement comprendre cela. Dieu est apparu aux gens sous sept Noms rédempteurs. Ce sont Ses attributs vis-à-vis de Son peuple: sept Noms composés de la rédemption. Jéhovah-Jiré en était un. Jéhovah-Rapha (peut-être qu’on abordera cela demain soir), c’est le deuxième, et ensuite Jéhovah-Manassé, le Bouclier, et–et ainsi de suite, les sept Noms composés de la rédemption. Et vous ne pouvez pas dissocier ces Noms-là.
6 Eh bien, quelque part là au fond de la salle, vous trouverez la photo de l’Ange du Seigneur. Et le soir où cette photo fut prise, le docteur F. F. Bosworth, qui a été enseveli cet après-midi à l’âge d’environ 100 ans, était... Nous étions à Houston, au Texas, et un prédicateur, docteur Best, d’un grand tabernacle, le Tabernacle Baptiste de Houston, avait écrit un article dans un journal, disant: «Monsieur Branham n’est qu’un–un renégat religieux, on devrait le chasser de la ville, et ce serait pour moi un agréable devoir de le faire.»
Eh bien, c’était un article à la une du journal, un article financé dans ce journal. Personne n’avait dit mot; et ensuite, il m’a défié le lendemain, m’invitant à une discussion, ou plutôt à un débat sur la Parole. Eh bien, je ne crois pas personnellement aux débats, je ne pense pas que nous devrions le faire.
7 Au début, lorsque j’ai été ordonné dans l’Eglise baptiste, je me disais que j’étais le défenseur de la foi, et j’ai découvert que chaque fois que vous discutez avec quelqu’un, il s’en va avec la même conception qu’il avait en venant. S’il n’est pas prédestiné à la Vie Eternelle, il ne recevra jamais cela. Donc, il... C’est ainsi que Dieu s’y prend. «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire.»
Et, rappelez-vous, la Bible dit que les hommes d’autrefois (voyez), ces gens-là avaient changé la grâce de Dieu en dissolution parce qu’ils étaient préordonnés à faire cette chose-là. Il n’y a donc pas moyen si la Bible dit qu’ils le feront; nous ne devons pas l’oublier, ils le feront.
8 Et je ne voulais pas écouter cela. Et le lendemain, un autre article a été publié dans le Houston Chronicle, disant: «Cela montre de quel bois ils se chauffent, ils ont peur d’attaquer la Parole, ou plutôt d’aborder la Parole.»
Eh bien, ça, c’était trop pour docteur Bosworth. Il est venu dans ma chambre, là, à Rice Hotel; il a dit: «Frère Branham, le public pensera que nous sommes tout simplement une bande de gens dispersés, qui ne savent pas de quoi ils parlent.»
J’ai dit: «Frère Bosworth, vous ne gagnerez jamais rien en discutant.» J’ai dit: «Il y a au moins... il y a environ trente mille personnes.» Et j’ai dit: «Il y a sept ou huit mille personnes assises là pour qu’on prie pour elles. Pourquoi devrions-nous perdre notre temps sur un seul infidèle, un incroyant, et laisser des milliers de gens s’en aller sans qu’on prie pour eux?» J’ai dit: «Jésus a dit: ‘Laissez-les tranquilles, si un aveugle conduit un aveugle, ne tomberont-ils pas tous dans une fosse?’» J’ai dit: «Laissez-le tranquille.»
Mais il a dit: «Frère Branham.» Qu’il soit béni! Il est en repos auprès de Dieu ce soir. Il a dit: «Laisse-moi m’en occuper.»
Eh bien, docteur Best n’avait que 35 ans environ, il venait de sortir de l’école, c’était un érudit raffiné; docteur Bosworth avait alors à peu près quatre-vingt ans.
9 Et je me suis souvenu de Caleb, quand il a pris l’épée et a dit: «Josué avait placé cette épée dans ma main alors que j’avais quarante ans; aujourd’hui, j’en ai quatre-vingt, et je suis aussi vigoureux aujourd’hui qu’autrefois.» Et il l’a aussi prouvé.
Alors, j’ai dit: «Frère Bosworth, si vous me promettez...» Il y avait beaucoup de reporteurs qui attendaient en bas (ils y avaient passé quelques jours), pour voir quelle serait notre réaction. J’ai dit: «Si vous me promettez que vous ne discuterez pas...»
Il a dit: «Je vous le promets.» Eh bien, il est descendu en courant l’annoncer aux–aux–aux reporteurs. Eh bien, vous savez comment un journal peut exagérer quelque chose, de gros titres: «Ça va barder chez les ecclésiastiques.» Alors, il nous fallait aller à l’amphithéâtre pour contenir les gens. Cela m’a prouvé qu’un jour, lorsque la persécution éclatera, l’Eglise du Dieu vivant sera une.
Des trains spéciaux, des avions ont vrombi toute la journée, amenant des gens. Qu’était-ce? Lorsque cela avait été publié à travers le pays, les gens sont venus par avion depuis le Canada, là loin. Qu’était-ce? Peu leur importait qu’ils fussent des Assemblées de Dieu, ou des Foursquare; qu’était-ce? Une cause qu’ils avaient défendue était remise en question et ils venaient défendre cette cause. Et ils sont venus là, au point que l’amphithéâtre de Sam Houston était bondé.
10 Eh bien, je leur avais dit que je n’irais pas là, parce que je n’aime pas des discussions. Pour moi, on n’a pas à discuter sur les Ecritures, on doit Les vivre. De toute façon, ce soir-là, alors qu’ils étaient entassés, j’ai dit: «Moi, je n’irai pas là.» Alors, tard le soir, eh bien, je ne pouvais simplement pas m’en abstenir; j’ai dit alors à ma femme: «Allons-y.» Ainsi, elle, moi, la fillette et mon frère... Deux agents de police nous ont aidés à entrer, je suis monté au balcon trente, là-haut. Et alors, pendant que j’étais assis là, le col de mon manteau relevé, afin qu’on ne me reconnaisse pas; en effet, nous tenions une série de merveilleuses réunions...
Monsieur Bosworth s’est levé... Eh bien, les modérateurs et les autres, et il a dit... Eh bien... Cy Ramsar (Beaucoup parmi vous connaissent Cy Ramsar, c’est un chanteur chez Paul Rader), il chantait ce soir-là, il a fait une petite déclaration, disant: «J’ai lu un journal où il est dit: ‘Monsieur Branham devrait être chassé de cette ville comme un hérétique religieux.’» Il a dit: «Si vous consacriez plus de temps à chasser les contrebandiers d’alcool de cette ville plutôt que des hommes pieux qui viennent ici pour tenir un réveil, l’état de cette ville serait de loin meilleur», et toute la foule a crié. J’ai alors su que monsieur Best était perdant, là même.
11 Ainsi donc, quand la–la discussion a commencé, monsieur Bosworth voulait... On a d’abord donné la parole à monsieur Bosworth, puis à monsieur Best; et ensuite, ils ont eu une prise de bec à la fin. Le modérateur a dit, puis, nous... Je–je suivais, et frère Bosworth a dit: «Je vais poser une seule question, et si monsieur Best...» Or, il avait eu trente minutes pour s’exprimer, il a dit: «Je vais poser une seule question à monsieur Best.» Il a dit: «Premièrement.» Voici ce qu’il a dit–dit: «J’ai noté ici six cents passages des Ecritures du Nouveau Testament, si monsieur Best veut prendre un de ces six cents passages des Ecritures et démontrer par les Ecritures que c’est faux, que l’attitude que Christ a présentement vis-à-vis des malades est exactement la même aujourd’hui qu’autrefois, s’il démontre le contraire de cela par les Ecritures, je m’assiérai tout bonnement.»
Et monsieur Best ne voulait pas répondre à cela; il a dit: «Je m’en occuperai une fois là.»
Eh bien, il a alors demandé au modérateur une fois de plus: «Puis-je encore dire un mot à monsieur Best?»
Il lui a répondu: «Oui.»
Il a dit: «Monsieur Best, je vais vous poser une seule question, et répondez-moi par oui ou non; dites juste le mot oui ou non, l’un ou l’autre, et je m’assiérai, alors vous pourrez prendre le reste de temps.» L’étau se resserrait davantage, vous savez. Oh! Certains pensent que ceci est un tas de fanatisme, mais c’est la Vérité établie de l’Evangile de Dieu. Certainement.
12 Alors, il a dit: «J’aimerais vous poser une seule question.» Docteur Best avait promis d’y répondre par oui ou non. Frère Bosworth lui a demandé: «Les titres rédempteurs de Jéhovah s’appliquaient-ils à Jésus, oui ou non?» C’est ça. S’il disait non, c’est que Jésus n’était pas Jéhovah-Jiré, donc Il n’était pas le Sauveur. S’Il est Jéhovah-Jiré, Il est Jéhovah-Rapha, le Guérisseur, le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Monsieur Best ne voulait pas lui répondre. Il était mieux avisé. Eh bien, cette brave vieille âme qui a été ensevelie aujourd’hui a pris les Ecritures et a coincé ce jeune érudit dans une impasse telle qu’il ne lui restait rien sur quoi prêcher.
Lorsqu’il s’est levé, il a prêché un très bon sermon à la Campbellite. Eh bien, je sais ce que les baptistes croient, je suis moi-même baptiste. Je sais donc ce qu’ils enseignent. Et il a prêché un sermon à la Campbellite, mettant en doute la guérison divine par Christ, la résurrection de Lazare d’entre les morts. Il disait: «La guérison divine, c’est pour un autre âge, ou pour le passé.» Et à la fin, il a dit: «Il n’y a qu’une bande de saints exaltés qui peuvent croire dans pareille chose.»
13 Et alors, monsieur Bosworth a dit: «Monsieur Best, j’aimerais juste un instant vous poser une question.» Il a demandé: «Combien debout dans... ou dans cet auditoire ce soir, qui viennent de ces grandes Eglises baptistes... (et plus de trente prédicateurs baptistes étaient assis là). Combien dans cet auditoire qui viennent des Eglises baptistes d’ici à Houston peuvent se lever pour témoigner que Dieu les a guéris depuis que frère Branham est dans cette ville? Levez-vous.» Et trois cent et quelques personnes se mirent debout. Il a demandé: «Qu’en dites-vous?»
Il a dit: «Faites venir ce saint exalté, ce guérisseur divin, que je le voie accomplir un miracle.»
Frère Bosworth a dit: «Il est ici chaque soir, mais ce n’est pas lui qui accomplit des miracles. Lui ne fait que prier pour les malades, c’est tout, monsieur Best.»
Il a dit: «Que je le voie hypnotiser quelqu’un, puis, que je revoie cette personne dans un an.» Et il se montrait vraiment discourtois. Puis, il a dit: «J’aimerais voir cela se faire.»
14 Et juste à ce moment-là, monsieur Bosworth a dit: «Je sais que frère Branham est dans l’assistance. Et alors, s’il veut venir congédier l’auditoire, c’est en ordre, mais je lui avais promis que je ne le ferais pas venir à l’estrade, à moins qu’il le veuille.» Eh bien, personne ne savait où j’étais.
Mon frère m’a dit: «Tiens-toi tranquille, Bill.»
J’ai dit: «Eh bien, je suis tranquille, n’est-ce pas?» Je suis donc resté assis là. Et à ce moment-là, l’Ange du Seigneur s’est approché. Je me suis levé.
Howard a dit: «Assieds-toi, Billy.»
Et ma femme a dit: «Regarde. Non, Howard.» Howard a levé les yeux.
Cinq cents huissiers ou plus ont joint leurs mains. Je suis allé à l’estrade. Je me suis avancé, j’ai serré la main à docteur Best, j’ai dit... et je me suis retourné vers l’assistance, j’ai dit: «Ne vous en prenez pas à frère Best, ai-je dit, parce que ce...» Evidemment, il–il avait perdu le débat, il n’avait même pas un–un fondement où reposer le pied, aucun passage des Ecritures où se tenir. Il avait donc perdu le débat, il était très fâché.
Il se déplaçait là, disant: «Oh!», et il–il avait giflé un prédicateur à la bouche, et on était obligé d’aller le tirer pour l’éloigner de ce prédicateur-là. Alors, il a dit... il a dit...
15 J’ai dit: «Ne vous en prenez pas à frère Best, car il a eu une mère qui l’aimait.» J’ai dit: «Et c’est pourquoi nos jeunes gens sont en Corée, en ce moment, en train de se battre...» J’ai dit: «Cependant, je suis en désaccord avec lui sur les Ecritures, mais en tant qu’homme, tout va bien.» Vous voyez? J’ai dit: «Ne vous en prenez pas à lui.» J’ai dit: «Quand on en arrive à la guérison des malades, ai-je dit, cela m’a rappelé ce que Satan avait dit à Jésus: ‘Si Tu es le Fils de Dieu, accomplis un miracle ici devant moi, fais-le-moi voir.’» Fais de lui un croyant.... Mais Jésus ne l’a pas fait; cet esprit existe toujours. Certainement. «Fais-moi voir quelque chose.»
Les soldats avaient mis un lambeau autour du visage de Jésus, ils L’avaient frappé à la tête et ont dit: «Tu avais connu les secrets du coeur de la femme, et toutes ces choses, Toi, Voyant; dis-nous qui T’a frappé et nous croirons en Toi.» Il n’a jamais dit mot. Voyez? Il n’a point ouvert la bouche. Ce n’est pas du clown, c’est pour manifester Dieu.
16 Et j’ai dit: «Mais quant aux visions, c’est un don, cela n’est pas mis en doute.» J’ai dit: «Si je dis la Vérité, Dieu est tenu de confirmer la Vérité.» Et aussitôt que j’avais dit cela, cette Colonne de Feu est venue, tourbillonnant dans l’air, devant trente mille personnes, Elle est descendue comme cela.
Et le photographe que... On n’était pas censé prendre des photos au cours des réunions. Cet énorme... la... une photo a été prise, juste pour voir si on pouvait photographier Cela. Et Cela a été vu à divers endroits, mais les gens–les gens se posaient des questions... Une fois, un reporteur L’avait photographiée, mais ce n’était pas certifié, car le reporteur...
Et puis, lorsqu’on a pris cette photo-là, monsieur Best s’est avancé, il avait pointé son poing sous le nez de monsieur Bosworth, en disant: «Tirez-moi une photo comme ceci, juste devant celui-ci, prenez-la donc comme ceci.» Il a dit: «Je vais écorcher ce vieillard, clouer sa peau sur la porte de mon bureau d’étude, comme mémorial de la guérison divine.» Mais, vous savez, lorsqu’ils sont allés...
17 J’ai dit: «Eh bien, Dieu a parlé. Ça ne sert à rien que je parle encore.» Et je suis sorti. La police m’a aidé à atteindre la voiture. Et lorsque je suis arrivé à la voiture, je suis monté à bord, environ une heure plus tard, on avait pris ce...
Et l’homme qui avait pris cette photo était un critiqueur, il avait écrit dans le journal l’autre jour, disant: «Monsieur Branham avait enlevé le goitre de la gorge d’une femme par hypnotisme. Je l’avais vu frotter ses mains comme cela, par hypnotisme, et le goitre avait disparu.» Il était très critique, il est rentré chez lui ce soir-là, il a dit: «Vous savez quoi? Je ne sais quoi penser.» Il a dit: «Si cet homme était catholique, je croirais que c’est vrai. Mais pas...» Il a dit: «Tous les dons viennent à l’Eglise catholique.» Il a dit: «Mais s’il était catholique, je me dirais que c’est vrai.»
18 Puis, il est allé au–au studio Douglas; vous pouvez...Voici leur adresse et tout sur la photo. Lorsqu’ils se sont mis à développer la photo, on a fait sortir six négatifs où on était censé voir monsieur Best agitant ses poings au nez du vieux saint et pieux homme, mais chacun d’eux était vide. Dieu ne pouvait pas permettre que cet appareil photo tire la photo de cet homme avec son poing sous le nez d’un homme saint, comme cela, agissant comme cela. Et lorsqu’on a tiré la septième photo, là se trouvait l’Ange du Seigneur. Monsieur Ayers s’est effondré d’une attaque cardiaque. Ils m’ont cherché. A 23 h, cette nuit-là, cette photo était en route vers Washington D.C. Une semaine plus tard, elle était protégée sous droit d’auteur; elle a été ramenée. George J. Lacy, le responsable du département du FBI chargé des empreintes digitales et des documents douteux aux Etats-Unis, le meilleur qu’il y a au monde, avait examiné cela plusieurs jours au laboratoire Shell de Houston, au Texas.
Ce jour-là, alors que nous étions tous là pour entendre ses conclusions là-dessus, monsieur Best a dit: «Qui s’appelle Branham?»
J’ai dit: «C’est moi.»
Il a dit: «Levez-vous.» Et je me suis levé. Il a dit: «Venez ici.» Je me suis avancé vers lui. Il a dit: «Monsieur Branham, a-t-il dit, moi aussi, j’ai été votre critiqueur, je disais que c’était de la psychologie, ce que ces gens voyaient.» Il a dit: «Mais l’oeil mécanique de cet appareil photo ne prendra pas de la psychologie.» Il a dit: «La Lumière a frappé l’objectif.» Il a dit: «A ma connaissance, au cours de tous les âges, a-t-il dit, le vieil hypocrite (par là, il voulait dire l’incroyant) disait: ‘Il ne peut pas y avoir des preuves scientifiques de l’existence de l’Etre surnaturel, mais, a-t-il ajouté, cette photo le condamne. Voici l’Etre Surnaturel qui était là.’» La Lumière a frappé l’objectif, alors il a présenté le film. La voilà, là derrière maintenant, publiée par le Studio Douglas, signée de son nom, et elle se trouve aussi dans le livre. L’unique...
19 Il y a quelques semaines, ou quelques–quelques mois en Allemagne, on voulait voir si on pouvait photographier Cela. Et lorsque Cela descendait, ce gros appareil photo allemand a photographié Cela en train de descendre, quand Cela oignait, quand Cela parlait, et quand Cela repartait. Cet appareil photo, de marque allemande, avait photographié Cela. Cela a été photographié en Suisse. Ce soir-là, j’avais plus de trente mille personnes qui étaient venues à Christ en une fois.
20 Eh bien, j’aimerais dire quelque chose, je ne le dis pas après avoir suivi les bandes, mais un homme m’en a parlé. Je veux le dire avec respect: hier soir, à l’estrade, alors qu’il y avait plusieurs personnes là dans l’assistance, des gens bien instruits, habiles, intelligents, et si cette femme est ici ce soir, je n’ai pas l’intention de dire quelque chose de mal, soeur; mais une pauvre femme de couleur, peut-être non instruite, par la simplicité de la foi, a vu cette Lumière alors qu’Elle se mouvait. Elle est venue à l’estrade hier soir, et avant qu’elle puisse arriver ici, Dieu a redressé ses bras meurtris par l’arthrite et autres, ici même, laissant ceux qui étaient assis là à se poser des questions; ils sont restés assis là, se posant des questions. Voyez-vous ce que je veux dire? Dieu est réel. Et si je meurs cette nuit, si celle-ci est ma dernière soirée sur terre, des millions de gens à travers le monde savent que c’est la vérité. Le monde scientifique sait que c’est la vérité. C’est la vérité que nous vivons dans les derniers jours, que le Grand Dieu Jéhovah, Qui avait conduit les enfants d’Israël, Qui était apparu dans une Colonne de Feu à saint Paul sur le chemin de Damas, à Pierre en prison, est ici ce soir, se manifestant dans la résurrection, tant par des moyens scientifiques qu’en réalité. Amen.
21 Jéhovah-Jiré, le Seigneur se pourvoira Lui-même d’un sacrifice. Oh! nous allons maintenant retourner pour aborder l’autre aspect de cette photo, pendant environ vingt minutes. Abraham et Isaac, l’enfant promis...
Eh bien, premièrement, dans Genèse 12, nous voyons qu’Abraham était juste un homme ordinaire. Très souvent, lorsque les gens voient les dons en action, ou quelque chose comme cela, ils veulent considérer la personne qui a cela comme quelqu’un de vraiment très saint. Ce n’est pas une personne sainte, c’est le Saint-Esprit.
Comme je le disais hier soir, quand Pierre a dit: «La montagne sainte...» Ce n’était pas que la montagne était sainte, c’était le Dieu Saint sur la montagne. Et personne parmi nous n’a le droit de prétendre avoir sa propre sainteté, c’est sur la sainteté de Dieu que nous comptons. Je n’en ai aucune, vous non plus. Dieu ne l’accepterait pas après tout, si nous en avions. Il n’accepte que Christ, et nous, en étant morts en Christ, Il nous accepte par... à travers Christ.
22 Alors, Dieu a appelé Abraham, lorsqu’il était là... Il venait peut-être de Babylone, peut-être d’une famille des idolâtres, peut-être. Et la Bible dit que les dons et les appels sont sans repentir. Dieu, par prescience, a placé dans l’Eglise les apôtres, les prophètes, les évangélistes, les docteurs et les pasteurs. C’est par prescience que Dieu les a placés. Il connaissait chacun d’eux avant la fondation du monde.
Il savait, comme Romains 8 nous le dit, qu’Il pouvait... Il a haï Esaü et a aimé Jacob avant que les deux garçons fussent nés. Car Sa prescience Lui permet de prédestiner toutes choses, pour qu’elles concourent pour Sa gloire. Voilà le Grand Jéhovah. «Cela ne dépend ni de celui qui veut, ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde.» C’est ce que déclarent les Ecritures. Donc, ça ne dépend pas des efforts que vous fournissez, ça dépend de ce que Dieu a fait pour vous. Et si vous avez assez de Dieu pour venir ici ce soir, un désir de venir suivre le message, vous devriez être la personne la plus heureuse de la ville, parce que Dieu agit dans votre vie. Il cherche à vous conduire à la Fontaine. Il vous aime.
23 J’aimerais vous faire remarquer qu’Abraham est sorti de–de Babylone avec son père, qu’il a habité dans le–le pays de Schinear, et peut-être qu’il a vécu là. Et sa femme était Sara, sa demi-soeur.
Eh bien, il avait 75 ans, et Sara, 65, avant que Dieu lui parlât et conclût une alliance avec lui. A une femme de 65 ans et à un homme de 75 ans, Dieu dit: «Marchez devant Ma face et soyez intègres.» Dieu a conclu une alliance inconditionnelle avec Abraham, il n’y avait aucune condition. «Si tu fais ceci, Je ferai...» Il a une fois conclu une alliance comme cela avec un homme, Adam, et ce dernier l’a brisée.
L’homme ne tient pas sa promesse; Dieu ne peut pas briser Sa promesse. Dieu a donc résolu de sauver l’homme; Il a conclu une alliance inconditionnelle avec Abraham en lui disant: «J’ai fait cela, et voici comment ce sera, et c’est... Ceci va avoir lieu, tu viendras à Moi dans ta vieillesse.»
24 Oh! vous direz: «Ce serait une bonne chose pour moi, Frère Branham, si Dieu concluait une telle alliance avec moi.» Eh bien, Il l’a conclue! L’alliance n’était pas seulement avec Abraham, mais aussi avec sa postérité après lui. Abraham et sa postérité. Vous direz: «Mais moi, je suis un Gentil.»
La Bible dit: «Nous, par notre mort en Christ, nous revêtons la nature de la postérité d’Abraham et nous devenons héritiers selon la promesse.»
Eh bien, si vous êtes membre d’église, cela ne veut pas dire que vous êtes la postérité d’Abraham. Mais si vous êtes né de nouveau du Saint-Esprit, vous êtes la postérité d’Abraham, et la foi qu’Abraham avait habite en vous. Et Abraham appelait tout ce qui était contraire à la promesse de Dieu comme n’existant pas. Il... Peu importe combien c’était en–en–encourageant, ou plutôt décourageant, on dirait qu’Abraham refusait toujours de considérer comme vérité quoi que ce soit, en dehors de ce que Dieu avait dit. Et puis, nous nous disons la postérité d’Abraham, nous qui doutons de tout ce que Dieu dit, pratiquement, nous qui ne pouvons pas croire soirée après soirée. Vous voyez quelles pauvres personnes nous sommes, pour être l’Eglise du Dieu vivant.
25 Très bien. Eh bien, quand... Dieu a fait une chose après avoir choisi Abraham; Il a exigé une séparation. C’est ce que Dieu fait après avoir appelé tout homme ou toute femme. Séparez-vous du monde. «Sors du milieu de ta famille, a-t-Il dit à Abraham, et Je te bénirai.» Et si vous remarquez bien, Il n’a point béni Abraham avant que ce dernier se soit séparé de tous les membres de sa famille, de Lot et de tous les autres.
Remarquez donc, alors qu’ils progressaient... Eh bien, pouvez-vous vous représenter Abraham rentrer chez lui l’annoncer à Sara? Il avait vécu avec elle depuis qu’elle était une jeune fille; et alors, voyons, elle a 65 ans, ce qui fait vingt-cinq ans après la ménopause. Elle avait été stérile toute sa vie. Et Dieu dit ici qu’Il leur donnerait un enfant, et que, par cet enfant-là, le monde entier serait béni.
26 Et alors, pouvez-vous vous représenter aujourd’hui, si Dieu ne change pas, pouvez-vous vous représenter aujourd’hui un homme de 75 ans avec une femme de 65 ans aller chez un médecin pour prendre des dispositions afin d’avoir un enfant? Eh bien, on leur dirait: «On ferait mieux de garder l’oeil sur ce vieillard; il y a quelque chose qui cloche en lui.»
Mais lui a pris Dieu au Mot. C’était ça. Il ne s’est pas soucié de ce que le médecin disait; il savait ce que Dieu avait dit. Eh bien, il n’y avait rien qui clochait chez le médecin, mais le médecin ne savait simplement pas ce que Dieu avait dit.
Pouvez-vous vous le représenter venir et dire: «Eh bien, Sara, va en ville, achète les couches, les épingles, et apprête donc tout, parce que nous allons avoir un enfant»? Et le médecin pouvait examiner Sara, et elle était absolument stérile. Eh bien, certainement, une femme de 65 ans devait l’être, tout le reste possible.
27 Et remarquez donc, Il ne lui a point donné cet enfant vingt-cinq ans durant. Mais tout le temps, ils... Abraham ne douta pas, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu, mais il fut fortifié, rendant gloire à Dieu. C’est ce que j’aime. Rendant gloire à Dieu. Je peux voir après les premiers vingt-huit jours, il a demandé: «Sara, chérie, comment te sens-tu?»
«Pas de changement.»
«Gloire à Dieu, nous allons l’avoir de toute façon.»
Un autre mois passa: «Sara, chérie, comment te sens-tu?»
«Pas de changement. «
«Gloire! Ce sera un miracle plus glorieux; on va l’avoir de toute façon.»
Et vous pouvez demander à Dieu de vous guérir, vous dites: «Je ne me sens pas mieux ce matin.» Oh! Et un fils d’Abraham! Il appelait ces choses qui n’étaient pas comme si elles étaient! C’est Dieu qui l’a dit.
28 «Comment savez-vous que vous aurez cet enfant?»
«Dieu l’a dit, c’est réglé.» Oh! Ne serait-ce pas merveilleux d’avoir des enfants d’Abraham partout? Quelle merveilleuse chose ce serait! Des années s’écoulèrent, dix ans. «Sara, y a-t-il un quelconque changement?»
«Pas du tout, Abraham.»
«Eh bien, gloire! nous allons l’avoir de toute façon; Dieu l’a dit. C’est réglé. Garde bien les épingles; il viendra. Ne t’en fais pas. Il sera là à temps. Ce sera alors vraiment donc un miracle beaucoup plus glorieux, après cela.»
Alors, nous, nous ne pouvons pas attendre du jour au lendemain, à peine d’une soirée à une autre, pour qu’on prie pour nous. Et pourtant, Dieu a dit que nous sommes la postérité d’Abraham et nous sommes héritiers selon la promesse. Donc, l’Esprit qui était sur Abraham est certainement sur l’Eglise, sinon il y a quelque chose qui cloche. La postérité d’Abraham, l’alliance avait été conclue avec lui, et avec sa postérité après lui, pour toujours. Quelle promesse! Oh! Combien j’aime cette Sainte Parole de Dieu.
29 Abraham a dû se séparer des membres de sa famille. Souvent, cela vous amène à vous séparer de vos incroyants. «Oh! direz-vous, j’ai été sauvé hier soir, mais vous savez, Marthe, celle que je fréquente, dit qu’elle croit que c’est une bande de saints exaltés.» Faites attention, soeur, vous êtes sur un terrain dangereux. Vous feriez mieux de vous séparer de ce drôle de club de bridge d’incroyants que vous fréquentez. Cette drôle de partie de carte mondaine à laquelle vous assistez, vous feriez mieux de vous en séparer et sortir du milieu des incroyants. Certainement.
30 Dieu veut ceux qui séparent; le monde veut ceux qui mélangent, un jeune cheik d’Hollywood qui peigne les cheveux en les renvoyant en arrière, qui se parfume le nez et qui trimbale un petit signe d’aaa-men, qui va à la piscine, qui joue aux cartes, aux jeux d’arnaques et à des choses semblables, qui permet tout ça et qui ne voudra pas dire la vérité à l’église; qui dit aux femmes qu’elles peuvent s’habiller comme elles veulent: «C’est tout à fait en ordre, c’est démodé.» Il n’est pas encore devenu la postérité d’Abraham.
Je préférerais voir prêcher dans mon église quelqu’un qui, même s’il ne connaît pas son ABC ou ne sait pas distinguer les grains de café de ceux de pois, connaît Christ dans la puissance de Sa résurrection; je préférerais l’avoir plutôt que tous les étudiants et tous les érudits que ces incubateurs peuvent éclore avec leurs machines théologiques. Je n’ai pas l’intention d’être discourtois en déformant les faits. Nous voulons des hommes et des femmes qui connaissent Dieu, qui se séparent de l’incrédulité.
31 Bien des fois, et chaque fois qu’un homme a jamais fait quelque chose de valable, il a marché seul avec Dieu. Mais nous pensons qu’il nous faut avoir tout autour de nous quelque chose de grand pour assurer notre sécurité. Le croyant en a, le groupe d’anges, le Saint-Esprit campe tout autour. Les anges campent, ils ne partent pas; ils restent bien en compagnie de ceux qui craignent le Seigneur. Ils veillent à chaque geste. Une fois, il y avait là à Dothan un prophète, Elisée, et les Syriens étaient arrivés; ils avaient entouré tous les murs. Et lorsque Guéhazi s’est réveillé et qu’il a regardé dehors, il a dit: «Oh! Regardez les Syriens.»
Et Elisée, le vieux prophète, se frotta les yeux, regarda tout autour, et il lui dit: «Eh bien, ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont avec eux.» Guéhazi a regardé tout autour et a dit: «Je ne vois rien.» Peut-être que beaucoup parmi vous n’ont rien vu hier soir, mais cette vieille femme de couleur a vu.
Il a dit: «Seigneur, ouvre les yeux de ce jeune homme.» Et lorsque Dieu lui a ouvert les yeux, il y avait tout autour de ce vieux prophète des anges de feu, et les montagnes étaient en feu, avec des chars de feu. Assurément, il s’est avancé là et il les a frappés de cécité, non pas d’une cécité naturelle, de la cécité spirituelle. Ils ne pouvaient pas comprendre cela: «Vous dites que vous cherchez Elie?» Il a dit: «Venez, je vais vous montrer où il se trouve.» Il les a conduits en pleine embuscade. Oh! oui.
32 Ce soir, le monde entier est aveugle aux choses de Dieu. Il n’y a que quelques élus de Dieu qui peuvent voir les choses qui se passent parce qu’ils attendent cela.
Abraham avait été appelé à sortir, il est alors allé dans un pays étranger, pour séjourner parmi un peuple étranger. Et lorsque vous naissez réellement de nouveau, que vous êtes séparés des choses du monde, on vous demande d’habiter à des endroits étranges (Vous n’y avez jamais habité auparavant)... les lieux célestes en Jésus-Christ, où le Saint-Esprit descend et se manifeste, et c’est là que Dieu déclare Qui Il est. Nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Christ Jésus. Quelle place où être!
33 Et remarquez donc, il était parmi des gens qui parlaient une langue différente, mais il était dans l’alliance de Dieu. Et puis, après plusieurs années, après qu’il eut pratiquement cent ans, il a demandé au Seigneur: «Comment cela se fera-t-il?»
Et le Seigneur a dit: «Viens ici dehors, Abraham, et Je te montrerai comment Je vais faire cela.» Abraham est donc sorti.
Maintenant, j’aimerais que vous suiviez attentivement. Nous touchons les points saillants pour essayer d’aborder notre texte. Oh! la Parole est si bonne! Vous vous Y emballez simplement et vous ne savez par où arrêter.
Et il a dit: «Viens, et Je te montrerai comment Je vais faire cela.» Il a amené Abraham dehors, et Il a dit: «Trouve-Moi une génisse de trois ans [Frère Branham se racle la gorge–N.D.E] (Excusez-moi), une chèvre de trois ans, et un bélier de trois ans, un pigeon et une tourterelle.» Et il coupa les animaux en deux, les découpa moitié moitié, les plaça par terre, mais il ne coupa pas la tourterelle et le pigeon. Puis, Abraham se retira après avoir chassé tous les oiseaux de proie loin de cela jusqu’au soir, et le soleil commençait à se coucher; ensuite, observez donc ce qui est arrivé à Abraham.
34 Oh! Frères arméniens, je ne voudrais pas vous offenser, mais écoutez juste un peu. Je ne voudrais pas vous inculquer ceci donc, mais je voudrais que vous écoutiez une minute.
Quand Abraham a fait cela, un profond sommeil s’est emparé de lui pour montrer qu’il n’avait rien du tout à faire dans cela; l’alliance allait être entièrement–entièrement la grâce de Dieu, sans condition. Il n’y avait rien qu’il pouvait faire; Dieu allait faire cela sans condition. Abraham s’est endormi. «Abraham, tu es hors du tableau.» Et alors, le fait qu’il se soit endormi veut dire qu’il mourra. La mort, c’est le lot de chacun de nous, absolument. Alors, après cela, il a vu une grande fournaise fumante; et comme cette fournaise commençait à dégager la fumée, elle représentait l’enfer. Chaque pécheur est voué à l’enfer.
Et qu’est-ce qu’un pécheur? Un homme qui boit? Un homme qui commet adultère? Qu’est-ce qu’un pécheur? Un incroyant. Peu importe combien vous êtes religieux, combien vous êtes saint, ça n’a rien à faire avec. Votre sainteté ne peut en rien se comparer à celle des pharisiens et des sadducéens. Mais Jésus leur a dit: «Vous avez pour père le diable. Et vous voulez accomplir les oeuvres de votre père. Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» Et chaque incroyant doit aller en enfer.
35 Puis, au-delà de cela, il a vu une petite Lumière blanche. Maintenant, observez ce que cette petite Lumière blanche a fait: Elle est passée au milieu de ces morceaux d’animaux découpés: Dieu faisant alliance avec Abraham, montrant d’avance ce qu’Il ferait.
Eh bien, j’ai eu le privilège de prêcher l’Evangile pratiquement dans le monde entier, plusieurs fois.
Bon, en Amérique, si vous et moi nous concluons un accord, nous pouvons aller là manger un petit rien, et ensuite, nous serrer la main: «J’accepte de faire ça, frère; je vais venir à votre église à telle date.» Et nous nous serrons la main, c’est un accord.
Eh bien, au Japon, lorsqu’ils concluent un accord, ils prennent une petite salière. Et une fois leur accord conclu, ils se jettent du sel l’un sur l’autre. C’est comme ça l’accord au Japon.
36 Mais en Orient, la façon dont ils concluent une alliance, ils prennent un animal, le tuent. Ils se tiennent entre les morceaux morts du corps... les morceaux du corps mort plutôt, et pendant qu’ils se tiennent entre ces morceaux, ils rédigent une alliance: «J’accepte de faire telle, telle et telle chose.» Et ensuite, ils déchirent cet écrit. Un homme prend un morceau, et un autre, l’autre; et ils se tiennent la main et jurent: «Si cette alliance est brisée, que nos corps soient comme ceux des animaux morts.» Et lorsque cette alliance sera reconnue, confirmée, ces deux morceaux devront s’ajuster. Vous ne pouvez pas rédiger cela de manière à le faire concorder avec chaque petit bout de l’autre morceau de papier; ça doit être découpé bien parfaitement.
Qu’est-ce que Dieu montrait par là? Voici ce qu’Il montrait: Par la mort de Jésus-Christ, Son Fils, par ce bélier et ce sacrifice étendu là, Il concluait une alliance avec les gens. Et lorsqu’Il a retiré la Vie de Son propre Fils au Calvaire, Il L’a déchiré, Il a amené le corps au Ciel et l’a placé à Sa droite. Il a renvoyé l’Esprit qui était en Lui, le Saint-Esprit, sur la terre. Et le même Saint-Esprit qui était en Jésus-Christ devra être en action dans Son Eglise pour les faire ajuster lors de l’Enlèvement, sinon cela ne montera pas en ce moment-là. L’Esprit qui était en Jésus devra être dans Son Eglise, sinon les deux morceaux ne s’emboîteront pas, la vie de l’Eglise et la Vie de Christ ne pourront pas s’ajuster. Le corps est placé là pour faire l’expiation, pour intercéder sur base de notre confession, et l’Esprit est dans l’Eglise.
37 Où est l’Eglise? Où est aujourd’hui l’Eglise où Jésus-Christ vit, agissant et accomplissant les mêmes oeuvres qu’Il faisait lorsqu’Il était ici sur terre? Mais l’Eglise est ici, ce n’est pas une quelconque dénomination, mais Elle est constituée de toutes les dénominations, c’est-à-dire la postérité d’Abraham, ceux qui sont nés de nouveau du Saint-Esprit. C’est vrai.
Il a dit: «C’est ainsi que Je le ferai, Abraham. Tu n’auras rien à faire là-dedans; ta postérité, non plus, n’aura rien à faire là-dedans; mais c’est Moi Qui vais le faire.» Amen. Oh! J’espère que vous comprenez cela.
38 Remarquez ensuite. Lorsqu’Abraham avait 100 ans, 99 ans, au chapitre 17 du Livre de la Genèse, 99, ce qui fait que Sara avait 90 ans, il a continué à rendre gloire à Dieu, Le louant, parce qu’il croyait Sa Parole. Il savait que c’était la Vérité. Et Dieu était apparu une fois de plus à Abraham, et cette fois-ci, quand Il lui est apparu, Il lui est apparu sous le Nom du Dieu Tout-Puissant. Et le Dieu Tout-Puissant en hébreu, c’est El-Shaddaï.
Eh bien, le mot El signifie Dieu; Shad veut dire le sein, le sein comme celui d’une femme. Shaddaï, c’est au pluriel: porteur des seins. Donc, Il est apparu à Abraham comme le Dieu porteur des seins, le Fort. «Je suis Ta Consolation, Je suis Ta Force. Tu es devenu un vieil homme Abraham, tes–tes jours sont finis, à considérer ta force, mais Moi, Je suis El-Shaddaï.» Pas avec juste un seul sein, mais avec deux. Il a été blessé pour nos péchés, c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris. «Je suis El-Shaddaï, repose-toi simplement sur Mon sein et tète pour récupérer la force.»
39 Et Il est toujours le Dieu Tout-Puissant, sur qui tout enfant croyant d’Abraham peut se reposer; s’il est pécheur, Il est Jéhovah-Jiré; là, c’est un sein. S’il est malade, Il est Jéhovah-Rapha; là, c’est sur l’autre sein.
C’est juste comme un petit enfant malade agité et faible, sa maman le prend, elle le place sur son sein, le petit enfant se met à se restaurer auprès de la maman, à travers le sein. Et nous qui avons perdu notre santé, qui sommes malades, qui sommes fatigués, que faisons-nous? Nous venons à Jéhovah par la foi. Nous nous reposons sur Son sein, Sa promesse, et là, nous nous restaurons à travers Sa promesse.
Les fils d’Abraham n’ont pas peur de faire cela. Devant n’importe quoi, ils croient toujours cela et s’y accrochent, les fils d’Abraham... El-Shaddaï.
40 Non seulement l’enfant, non seulement l’enfant se restaure, mais il est satisfait pendant qu’il tète. Pendant que l’enfant tète, il s’enferme. Il tète, il est donc satisfait tant qu’il s’approvisionne en force. Et si jamais le croyant s’empare de Dieu par Sa promesse, quand bien même sa main est encore infirme, que le cancer se fait encore voir, il est convaincu. Il s’approvisionne en force par la promesse de Dieu. Amen!
Vous allez de toute façon me taxer de saint exalté, je ferais tout aussi mieux de commencer alors.
Oh! c’est assez pour vous secouer, s’il y a quelque chose en vous pour vous secouer. Oui. Lorsque le Saint-Esprit apporte la promesse de Dieu, et que le croyant s’en empare, tous les démons des tourments ne peuvent pas lui en faire lâcher prise. Il se tient là; il appellera tout, même la mort, il la défiera en face, une fois que Dieu lui donne la promesse. Amen.
El-Shaddaï. «Je suis Ton sein, Abraham. C’est ainsi que Je vais faire cela.»
Oh! Combien nous aurions aimé avoir le temps d’aborder d’autres grands points saillants, mais nous tendons vers la fin, nous pouvons donc terminer. Nous n’aimerions pas vous garder trop longtemps.
41 Remarquez, par la suite, Abraham... Dieu apparut à Abraham, Il lui dit ce qu’Il allait faire. Sarah avait conçu, elle avait enfanté un enfant, et après qu’elle eut enfanté l’enfant, le petit Isaac, et que ce dernier eut atteint environ douze ans, Dieu se dit alors que là, plus tard, à la fin de la dispensation des Gentils, là dans une ville appelée Waterloo, peut-être: «J’aimerais confirmer Ma promesse, pendant que J’ai ici un homme qui peut Me faire confiance, Abraham.»
Il a dit: «Abraham, Je t’avais dit que tu deviendrais le père de plusieurs nations, et que ta postérité serait comme les étoiles et la poussière de la terre. Or, J’aimerais que tu prennes ton fils unique, le fils de la promesse, J’aimerais que tu l’amènes sur une certaine montagne que Je t’indiquerai, et J’aimerais que tu l’y immoles en sacrifice.» Quel sentiment il a dû éprouver à ce sujet, son fils unique!
Abraham avait alors environ 115 ans. Certainement. Sara avait alors 105 ans. Voici le petit Isaac, un petit garçon aux cheveux bouclés, d’à peu près cette taille, un petit garçon juif. Oh! quelle consolation il était pour ses parents dans cet âge avancé! Quel sentiment, pensez-vous, Abraham aurait éprouvé s’il devait aller l’annoncer à Sara? «Sara, demain nous allons prendre notre petit garçon, et j’irai sur la montagne, je vais lui trancher la gorge.» Juste, afin que les gens aient la–l’assurance... Il se serait très mal senti; aussi ne l’a-t-il pas annoncé à Sara. Il a donc pris quelques serviteurs, il a fait sceller un mulet et il a pris du bois.
42 Remarquez. Abraham a effectué un déplacement de trois jours, loin de la civilisation, un déplacement de trois jours dans une région sauvage. Un homme ordinaire aujourd’hui, en ce jour où nous avons des pieds à essence, peut marcher sur une distance de 15 ou 20 miles [24 ou 32 km], peut-être qu’il peut marcher, disons, sur une distance de 25 miles [40 km] par jour. Il était là, à une distance de 75 miles [120 km] dans une région sauvage. Et après cela, il a levé la tête, et il a vu là au loin la montagne que Dieu lui avait montrée en vision. Elle était peut-être, probablement, située à une autre cinquantaine de miles [80 km] ou plus. Eh bien, une fois arrivé à destination, il était à 100 miles [160 km] ou plus de la civilisation. J’aime vraiment ce passage de Genèse 22.
Il a arrêté les mulets. Il a fait descendre tout le bois, il a attaché cela au dos d’Isaac; c’était l’image de Dieu mettant la croix sur le dos de Son Fils. Il a attaché cela au dos d’Isaac, il a mis le couteau dans l’étui, il a pris le feu, et il a dit aux serviteurs (Ecoutez donc attentivement): «Attendez ici avec les mulets, mon fils et moi, nous irons là adorer, et nous (le fils et moi) reviendrons.» Comprenez-vous cela? Comment reviendra-t-il? Comment peut-il revenir alors qu’il l’amène là pour le tuer? «Attendez ici avec les mulets; le fils et moi, nous allons là adorer et nous reviendrons.»
43 Oh! la la! Je–je me sens pratiquement hors de moi, je pense. Il savait qu’il avait reçu Isaac comme quelqu’un qui venait d’entre les morts, et il savait que Dieu était capable de le ressusciter d’entre les morts, parce qu’Il lui avait fait une promesse. «Isaac et moi, nous reviendrons.» Le petit garçon était trop jeune pour comprendre tout ce qu’il en était. Ils ont gravi la montagne, ils sont arrivés au sommet de cette grande montagne. Puis, ils ont roulé les pierres. Abraham avait fait descendre le bois du dos d’Isaac, un type du Christ portant Sa croix vers la montagne, des années plus tard, pour mourir pour les péchés du monde, le Fils unique du Père.
Et là, au sommet de la montagne, il a arrangé le bois, il a pris le feu, l’a allumé, et le petit Isaac devint un peu méfiant. Alors, il a dit: «Mon père.»
Il a dit: «Oui, mon fils, me voici.»
Il a dit: «Voici l’autel, voici le bois, voici le feu, mais où est l’agneau pour l’holocauste?»
Que va-t-il donc lui répondre? Comment va-t-il le dire? Dieu nous amène des fois dans des situations très difficiles juste pour nous témoigner Son amour et Sa grâce. Il a dit: «Mon fils, Dieu se pourvoira d’un agneau pour le sacrifice.» Oh! Je souhaiterais que cela pénètre profondément. «Dieu se pourvoira d’un agneau pour l’holocauste.»
44 Il a donc pris le petit Isaac, l’a retourné, il lui a lié les mains et les pieds, il l’a déposé sur les pierres, il a renvoyé ses cheveux en arrière, dégageant le visage, il a fait sortir le couteau, il a retenu sa petite tête en arrière, on dirait, comme ceci, il a tenu le couteau en main, il l’a levé vers le ciel, a regardé vers le Dieu qui lui avait donné la promesse, il a levé la main pour poignarder à mort son propre fils. C’est à ce moment-là que le Saint-Esprit a retenu sa main et a dit: «Abraham, Abraham, arrête-toi. Un instant, Abraham. Je vois que tu M’aimes et que tu Me fais confiance.» Et à ce moment-là, un agneau bêla, retenu par les cornes, un bélier, le mâle d’une brebis, retenu par les cornes dans une région sauvage. Christ sous forme d’une brebis.
J’aimerais vous poser une question: D’où venait ce bélier? Abraham était à cent miles [160 km] de la civilisation, en plein milieu de lions, de léopards et des animaux qui pouvaient... des loups et des chiens sauvages, là loin, à cent miles [160 km]. Non seulement cela, mais il était au sommet de la montagne où il n’y a pas d’eau. D’où venait ce bélier? Ce n’était pas une vision, car Abraham avait pris ce bélier, l’avait immolé, et le sang en avait jailli. C’était un bélier réel. D’où venait-il? Jéhovah-Jiré s’était pourvu de ce bélier. Dieu l’avait appelé à l’existence par la Parole en une minute, et il avait disparu de l’existence la minute suivante. Car Dieu est capable de faire tout ce qu’Il veut.
Et ce soir, Il est toujours Jéhovah-Jiré: «L’Eternel se pourvoira d’un sacrifice.»
L’autre jour, quelqu’un a dit, il a dit: «Frère Branham, voulez-vous me dire que vous croyez que le monde sera détruit? Comment peut-on détruire le monde entier?»
J’ai dit: «La même Parole de Dieu qui a appelé le monde à l’existence est capable de le faire disparaître de l’existence. En effet, Il a dit que ça se ferait.» Il est Jéhovah-Jiré, le Seigneur s’est pourvu d’un sacrifice.
45 Il s’est pourvu d’un sacrifice ce soir pour vos péchés. Il s’est pourvu d’un sacrifice ce soir pour votre maladie. Vous direz: «Frère Branham, le médecin a dit que j’ai le cancer, et qu’il n’y avait pas moyen pour moi d’en guérir.»
Vous rendez-vous compte qu’Il a dit qu’Il est Jéhovah-Jiré? «Je suis l’Eternel qui te guérit de toutes tes maladies?»
Vous direz: «Frère Branham, j’ai beaucoup péché; je crois que j’ai traversé la ligne de démarcation.» Non, vous ne l’avez pas traversée, sinon vous ne vous retrouveriez pas ici ce soir.
«Comment peut-Il faire l’expiation pour moi? J’ai brisé les voeux de mon mariage, j’ai fait ceci, cela et autre.» Il est Jéhovah-Jiré, l’Eternel s’est pourvu d’un sacrifice.
46 Si vous n’avez pas d’espoir, si vous avez brisé chaque commandement, si vous avez fait tout ce que la Bible interdit de faire, à part blasphémer contre le Saint-Esprit, Dieu s’est pourvu d’un sacrifice pour vous. Il est Jéhovah-Jiré. Il change toutes les circonstances.
Rien ne peut subsister dans Sa Présence. Si vous êtes la postérité d’Abraham, croyez cela. Et si vous êtes la postérité d’Abraham, vous croyez effectivement cela. Et si Abraham a pu faire cela sans la Parole écrite, à combien plus forte raison devrions-nous le faire avec la Parole écrite, et la confirmation de l’Esprit parmi nous... Jéhovah-Jiré.
Oh! béni soit Son Nom! Le... Dieu s’est pourvu d’un sacrifice pour les pécheurs, Dieu s’est pourvu de la puissance de guérison pour les malades.
47 Eh bien, ce soir, malgré tout ce chaos que nous connaissons dans le monde, Dieu a promis, Christ a promis que ces choses arriveraient en ce jour-ci, qu’Il ressusciterait d’entre les morts le troisième jour, et que, dans les derniers jours, il y aurait des temps difficiles où les hommes pourront à peine s’asseoir pour écouter un message de quinze minutes. Il y aurait des temps difficiles. L’homme sera égoïste: «Eh bien, je suis docteur Untel, que certains saints exaltés me disent qui je...» «Ils seront égoïstes, orgueilleux, blasphémateurs, rebelles, ingrats, impies, sans affection naturelle–naturelle, déloyaux, intempérants, ennemis des gens de bien. Trait... emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, ayant l’apparence de la piété, fréquentant l’église, tout, mais reniant ce qui en fait la force. Eloigne-toi de ces hommes-là.»
Comment l’église peut-elle donc devenir ainsi avec la Bible devant elle? Il est Jéhovah-Jiré. C’est Lui qui l’a dit, il en sera ainsi. Cela a été proclamé, C’est écrit, et il En sera ainsi.
48 Jésus a dit: «Ces oeuvres que Je fais.» Lorsqu’une femme toucha Son vêtement, Il se retourna, la chercha et vit qui elle était. Il lui révéla sa maladie.
Un homme s’approcha; Il lui dit son nom, ce qu’il était. C’est ainsi qu’Il a fait connaître aux gens Qui Il était.
Les Juifs ont dit: «Tu es le Fils de Dieu, parce que Tu as fait cela.»
La Samaritaine a dit: «Nous savons que quand le Messie sera venu, c’est ce qu’Il nous dira, mais Toi, qui es-Tu?»
Il a dit: «Je Le suis.»Elle est venue et a dit: «Voyez un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?»
Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais au temps de la fin. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»
«Comment est-ce possible, Frère Branham?» Il est Jéhovah-Jiré. Il le fera.
Et s’ils ont appelé le Maître de la maison Béelzébul, à combien plus forte raison appelleront-ils ainsi les gens de sa maison!
49 Lorsqu’Il leur a dit la Vérité, ils sont tous partis. Même les soixante-dix. Il a regardé Son petit groupe de douze qui se tenaient là, et laissant... qui croyaient toujours en Lui après ce message-là, Il a dit: «Et vous, ne voulez-vous pas aussi vous en aller?»
Il a dit: «Seigneur, à qui irions-nous?»
En effet, Il a dit: «Je vous ai connus avant la fondation du monde, Je vous ai ordonnés à la Vie Eternelle. Mes brebis entendent Ma voix.»
Ce soir, je déclare que le même Seigneur Jésus qui avait marché sur la mer de Galilée est ressuscité d’entre les morts et se trouve dans cette salle ce soir. Le Jéhovah-Jiré qui était sur la montagne où le... Isaac a été offert, le même Jéhovah-Dieu qui avait retenu la main d’Abraham, se trouve dans cette salle ce soir. «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je suis au milieu d’eux. S’ils s’accordent pour demander une chose quelconque, elle leur sera accordée.»
50 [Espace vide sur la bande–N.D.E]... ne peut pas être brisé. Je vais alors vous demander... Nous sommes pratiquement en retard pour la ligne de prière. Je me demande, avant la ligne de prière, si nous pouvions incliner la tête juste un instant.
Avez-vous déjà rencontré ce Jéhovah-Jiré? Avez-vous déjà rempli les conditions qu’Il a données, promettant la Vie Eternelle à tous ceux qui croiront en Lui? Il peut changer votre tempérament colérique et faire de vous une personne douce et humble. Il vous fera arrêter le mensonge et vous fera dire la vérité.
Oh! Vous direz: «Frère Branham, je–je suis membre d’église.» C’est en ordre. «J’ai été baptisé.» C’est bien. Mais si cette Vie de Christ n’est pas en vous, vous êtes mort. Cette vie que vous avez, celle qui vous a été donnée par le monde, Dieu l’a condamnée au commencement. Vous savez que vous ne pouvez pas l’astiquer. Vous ne pouvez pas la réformer, elle doit mourir, afin que Christ puisse naître en vous. Ne soyez pas séduits, amis, si Christ ne vit pas en vous par la nouvelle naissance, qui change toute votre nature, vos attitudes et tout, vous êtes perdu. Satan ne se soucie pas de combien vous êtes bon. Si la bonté pouvait sauver un homme, Jésus n’aurait pas dû mourir.
51 Rappelez-vous, Caïn était tout aussi bon qu’Abel, tout aussi religieux. Tous les deux avaient bâti un autel, ils avaient offert un sacrifice, ils s’étaient agenouillés et avaient prié. Tous les deux avaient une église. Tous les deux avaient la qualité de membre. Tous les deux avaient prié. Tous les deux étaient sincères. Mais Dieu a confirmé Abel par le surnaturel.
Moab était un homme tout aussi bon qu’Israël, il a offert sur sept autels sept taureaux, sept béliers, exactement ce qu’Israël avait offert, mais Israël avait le signe de la Colonne de Feu. Il n’était pas une dénomination; c’était juste des gens qui habitaient sous tente. Mais Moab a haï son frère parce que Dieu était avec lui.
«Vous serez haïs de toutes les nations, à cause de Mon Nom», a dit Jésus.
52 Si vous n’êtes pas né de nouveau, et que vous voulez Christ dans votre coeur, vous voulez que Jéhovah-Jiré pourvoie en cette minute au salut pour vous, voudriez-vous lever la main? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Levez la main. Que Dieu vous bénisse, madame. Quelqu’un d’autre? Levez la main pour dire: «Maintenant même, Seigneur, je–j’accepte maintenant ce Sacrifice pour moi. Ça fait longtemps que je suis dans l’église, mon coeur n’a jamais été en ordre.» Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous là derrière, jeune dame. «Je suis dans l’église...» Tout le monde, les têtes inclinées; tous les yeux fermés. «Ça fait longtemps que je suis dans l’église, Frère Branham, mais je sais dans mon coeur, ma propre vie prouve que je ne suis pas ce que je devrais être.» Et vous savez, nous pouvons être réduits en cendre avant l’aube. Pourquoi courez-vous le risque sur quelque chose de ce genre, la destinée éternelle de votre âme? Levez la main vers Dieu. Soyez sincère. Voudriez-vous le faire? Le message vous est adressé. Le Saint-Esprit est ici. Si vous n’êtes pas né de nouveau, si vous ne connaissez pas Dieu, alors le Véritable Dieu, par le baptême du Saint-Esprit dans votre âme, c’est donc l’unique Vie qui vous ressuscitera.
53 Si une semence est semée, peu importe combien elle parait bonne et parfaite, si elle n’a pas de germe de vie, elle pourrira et restera là. Si elle a le germe de vie, elle poussera. Peu importe combien vous êtes bon, que vous soyez diacre, prédicateur, pasteur, docteur, moniteur de l’école du dimanche ou qui que vous soyez, peu importe combien vous avez crié, vous avez dansé, tout ce que vous avez fait, combien de missionnaires vous avez envoyés dans le champ missionnaire, à votre mort, vous êtes mort, si le Saint-Esprit n’est pas là pour vous ressusciter, si votre esprit n’a pas été changé en cette Personne de Christ Jésus.
Si ce n’est pas cela que vous avez reçu, voudriez-vous lever la main? Encore un peu de temps maintenant, et nous allons prier. Que Dieu vous bénisse, madame, par ici. C’est ça la sincérité. Je ne connais pas votre coeur, Dieu le connaît. Très bien, gardons nos têtes inclinées juste un instant.
54 Dieu bien-aimé, il y a beaucoup de mains qui ont été levées ici ce soir. Ils se rendent compte qu’ils sont en erreur. Qu’en ce moment-ci, s’ils sont sincères, je pense qu’ils le sont, qu’ils parlent maintenant, ô Dieu, à Jéhovah-Jiré qui a pourvu à une échappatoire pour eux, afin qu’ils échappent à ces choses mauvaises qui vont venir sur la terre, qu’ils aillent dans l’enlèvement avant cette grande tribulation qui frappera la terre.
Accorde-le, Seigneur, et qu’ils soient sauvés en cette heure, alors qu’ils croient en Christ. Puisse ce soir, alors qu’ils se reposeront sur leur oreiller, puissent-ils, avant d’aller au lit, prendre ce Livre, ce Livre des livres, Le lire, et voir que Dieu a fait la promesse. Fais-le, Seigneur, sauve ceux qui peuvent être sauvés. Tu les connais tous, et j’offre cette prière pour eux. Au Nom de Jésus. Amen.
55 Je suis juste un peu en retard. Avez-vous distribué les cartes de prière? Je ne pense pas que j’appellerai les cartes de prière. Je pense que je me tiendrai juste ici même. Je sais une seule chose, vous pouvez avoir mal compris le message ce soir. Vous pouvez avoir pensé que je vous ai parlé durement, mais le Saint-Esprit tient à ce que vous receviez cela. C’est vrai. Je ne suis que votre frère, mais je... Et vous savez que je ne suis pas–je ne suis pas instruit, pas assez pour être un ministre ou un prédicateur, mais je sais bien en Qui j’ai cru. Et je sais qu’Il est ici. Et je suis pleinement convaincu qu’Il est capable de garder chaque Parole qu’Il a promise dans ce Livre.
Combien parmi vous ici, ceux qui n’ont pas de cartes de prière, aimeraient qu’on prie pour eux? Levez la main, vous qui n’avez pas de cartes de prière, sans carte de prière. Très bien.
Soyez respectueux. Si le Saint-Esprit... Eh bien, quelqu’un a dit, disait bien souvent: «Frère Branham, que... quelqu’un prend sa carte de prière et écrit dessus, et il pense à ce qu’il y a sur sa carte de prière, et lui lit cela par télépathie mentale.» Ça, c’est le diable. C’est tout à fait vrai.
56 Ce soir, vous qui avez des cartes de prière, je n’en veux pas. C’est à vous qui n’avez pas de cartes de prière que j’aimerais parler. C’est ce que je sens dans mon coeur maintenant même. Eh bien, j’aimerais que vous soyez tous très respectueux. Je ne dis pas que Dieu le fera, mais s’Il le fait, ça sera merveilleux. Cela devrait ...
Voici le problème à ce sujet, église. Ecoutez-moi. Je vous aime. Vous savez que je vous aime. Mais le problème en est que vous–vous avez été endoctrinés avec diverses idées au point que vous ne savez que faire. Eh bien, c’est vrai. Si un tel miracle s’accomplissait chez les Hottentots, là au Japon, dans l’un de ces pays-là, des milliers de gens afflueraient du coup à Christ. Mais nous, lorsque le Seigneur fait quelque chose, on dit: «Oui, oui. Oh! je pense que c’est bien.» C’est ça votre attitude.
57 Eh bien, je ne vous réprimande pas. Mais, mon frère, nous devons vivre ensemble toute l’éternité. Et j’aimerais que vous sachiez la Vérité, c’est un Message envoyé par Christ à Son Eglise. Et je... Juste cette semaine (peut-être qu’on commencera demain soir, je ne sais pas), je rassemble cela ici dans les Ecritures pour vous prouver que notre temps est terminé. L’église... vous construisez... Vous les pasteurs, vous construisez des églises de millions de dollars, et Christ est prêt à venir n’importe quand, et des missionnaires sur le champ missionnaire se meurent faute d’un peu d’argent pour subsister; cela montre que vous avez perdu la vision.
Moïse, malgré tout son enseignement (Il avait fallu quarante ans à Dieu pour faire sortir cela de lui), a été mieux équipé en cinq minutes dans la Présence de cet Ange, devant ce buisson ardent, qu’il ne l’a été pendant quarante ou quatre-vingts ans d’enseignement qu’il avait reçu. Cinq minutes dans la Présence de Christ, il a ôté les souliers, et il avait eu du respect pour cela.
58 Quand Marthe... Quand Marie, Lazare, le frère de Marthe et Marie, était mort, quand la petite Marthe est sortie, elle avait envoyé chercher Jésus, et Il n’est pas venu. On trouvait toutes sortes d’erreurs en Lui, apparemment. Quand elle est allée à la rencontre de Jésus, elle avait le droit de dire: «Regarde-moi ça, nous avons quitté notre église pour Te suivre, et maintenant, mon frère a... Tu as prié pour les malades et ils ont été guéris. Je T’ai fait venir pour prier pour mon frère, et Tu l’as laissé coucher là jusqu’à la mort. Et ça fait quatre jours qu’il est dans la tombe, pourrissant maintenant.» Elle avait le droit de le dire, n’est-ce pas? Assurément qu’elle en avait le droit, humainement parlant. Mais quoi?
Elle savait que Dieu était dans cet Homme-là. Elle avait lu ces histoires sur la femme sunamite, comment elle savait que Dieu était dans Elie, le prophète. Alors, si Dieu était dans le prophète, à plus forte raison Il devait être dans Son Fils. Elle est donc sortie, elle a dit... Lorsqu’elle L’a rencontré, elle a dit: «Seigneur...» C’est ce qu’Il était. Elle a honoré ce don de Dieu; elle a dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même, tout ce que Tu demandes à Dieu, Dieu Te l’accorderas.» Vous y êtes; vous y êtes.
Il a demandé: «Où l’avez-vous enseveli?» Vous y êtes.
Et si elle était allée là et qu’elle avait dit: «Eh bien, si seulement Tu avais fait cela, maintenant, je ne sais pas si vraiment Tu es dans le vrai ou pas.» Il ne serait jamais revenu de la tombe. Mais c’est à cause de son respect. Considérez des milliers qui étaient morts durant ce temps. Voyez? Mais Il a ressuscité trois personnes; trois, c’est la confirmation.
59 Eh bien, Il a promis dans Sa Parole que ce qu’Il avait fait jadis... Il a dit: «Je ne fais que ce que le Père Me montre.» Et quand... le seul moyen par lequel Il s’est fait connaître aux gens, c’était d’avoir une vision, leur dire qui ils étaient, ou ce qui clochait en eux, ou quelque chose de ce genre. Il s’est manifesté et devant les Juifs et devant les Samaritains, et ils L’ont reconnu par cela. Combien savent que c’est la Vérité des Ecritures? Vous tous, les mains... Voulez-vous me dire qu’il n’y a pas plus de lecteurs de la Bible que ça ici? Mais c’est vrai.
Quand Philippe a trouvé Nathanaël, et Nathanaël est revenu, il lui a parlé, disant: «Etes-vous...» Lorsque vous êtes dans la présence, Il a dit à Pierre ce qu’il était et qui était son père. Nathanaël ne pouvait pas croire cela, il est entré directement dans la Présence de Jésus, et Jésus a dit que c’était un Israélite en qui il n’y avait point de fraude. Nathanaël a répliqué: «Rabbi, d’où m’as-Tu connu?»
Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
60 Quand Il est allé chez les Samaritains, la femme était sortie puiser de l’eau. Jésus lui a dit: «Donne-moi à boire.» Il lui a un peu parlé, et–et Il a saisi son esprit. Il a dit: «Va chercher ton mari et viens ici.»
Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»
Il a dit: «Tu en as eu cinq.» C’était ça son problème.
Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète. Nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses.»
Il a dit: «Je Le suis.»
Elle entra dans la ville en courant et dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?» C’est ainsi qu’Il s’était manifesté à la fin de la dispensation des Juifs, jadis. Maintenant, c’est la fin pour les Gentils; Il n’avait jamais fait cela devant les Gentils à l’époque (Sondez les Ecritures), aucune fois. Mais Il le fait aujourd’hui, comme Il avait promis de le faire à la fin des Gentils, avant qu’Il retourne chez les Juifs. Je ferais mieux de vous raconter quelque chose.
61 J’étais au Caire, en Egypte, en route vers la Palestine; les Juifs croiront Cela. Les Juifs cherchent des signes, et ils y croiront. Et nous en avons un groupe. J’allais en faire sortir des milliers. Ils... Lorsque Louis Pethrus avait envoyé cette Bible là-bas, quand ces Juifs étaient revenus de l’Iran, ils regardaient ces Bibles et disaient: «Si Celui-ci est le Messie...» Ils n’avaient jamais entendu quelque chose sur le Messie. Ils ont dit: «Si ce Jésus est le Messie, alors qu’Il nous montre le signe du prophète, et nous croirons cela.» Assurément qu’ils croiront. Je vous assure.
Jésus a dit: «Lorsque vous verrez le figuier bourgeonner là...» Lorsque ces Juifs sont rentrés, l’étoile à six pointes de David a flotté pour la première fois depuis 2.500 ans, le plus ancien drapeau du monde; ils sont devenus une nation le 6, le 7 mai 1946, le sixième jour plutôt, et le septième jour, au même moment que l’Ange du Seigneur apparaissait là et envoyait pour... ce message. C’est tout à fait vrai. Cela vous fera tournoyer de savoir ce qui se passe.
62 Donc, j’étais juste au Caire, et le Saint-Esprit a dit: «Pas en cette heure-ci. Rentre.» Je suis rentré à Rome. C’est exact. Ce n’est vraiment pas l’heure. Quand les Juifs recevront l’Evangile, ça sera fini pour les Gentils. Vous le savez. Les portes seront fermées. Que celui qui est souillé se souille encore, que celui qui est saint se sanctifie encore. Ça sera fait. Les Gentils, les Américains, pas comme... ils osent dire que c’est moi, Dieu le sait, du fond de mon coeur, ce n’est pas cela.
Eh bien, si c’était un lieu superbe, magnifique, ou qu’un grand archevêque parlait, vous diriez: «Oh! cet évêque sait de quoi il parle.» Dieu n’a jamais traité avec de tels gens. Sondez les Ecritures et voyez s’Il l’a déjà fait. Montrez-moi une seule fois où Il ait déjà fait cela. Montrez-moi une seule fois où Il ait déjà traité avec toute une organisation. Dieu traite avec un individu. Certainement. Mais juste parce que cela se fait... Voyez, les gens doivent se retrouver dans cette espèce d’état, mais... afin que Dieu puisse se manifester, et puis, lorsque le jugement frappera, Il dira: «C’était ça.»
Savez-vous qu’on ne savait pas qui était Elie quand il était ici sur terre? C’était un homme. La Bible dit que c’était un homme de la même nature que nous. On n’a pas reconnu Jean-Baptiste. Même les disciples ont dit: «Pourquoi les scribes disent-ils qu’Elie doit venir?»
Jésus a dit: «Il est déjà venu, et vous n’avez pas reconnu cela.»
63 Eh bien, vous les braves catholiques, je ne voudrais pas vous blesser. Saint Patrick, qui était-il? Un catholique? Absolument pas. Il a protesté contre l’Eglise catholique. Mais après sa mort, on a reconnu que c’était un saint, et on l’a canonisé.
Considérez Saint François d’Assise. Qui était-il? C’était un prédicateur itinérant avec une Bible sous le bras, accomplissant des miracles, allant... les oiseaux s’étaient mis à jacasser, il leur a dit: «Soeurs, gardez silence pendant que je prêche l’Evangile», et ils se sont tus. Il avait protesté contre l’Eglise catholique. Mais après sa mort, ils ont reconnu que c’était un saint.
Tenez, à vous les écoliers qui êtes ici, qu’en est-il de Jeanne d’Arc? Elle était une sainte. Elle avait des visions; elle accomplissait des miracles; l’Eglise catholique l’a brûlée sur le bûcher. C’est vrai. Ils n’ont pas reconnu qu’elle était dans le vrai. Ils disaient qu’elle était quoi? Une sorcière, une Béelzébul, un mauvais esprit. Et environ cent ans, après sa mort, ils ont découvert qu’ils étaient en erreur. Alors, ils ont déterré les cadavres de ces prêtres et les ont jetés dans la rivière pour faire pénitence. Aujourd’hui, ils disent que c’était une sainte.
64 C’est ce que Dieu fait toujours. Il ne peut pas accomplir un autre signe, parce qu’Il ne fait acception de personne. Cela leur est passé par-dessus la tête avant qu’ils le reconnaissent. Christ est ici. Il en a donné des preuves scientifiques ainsi que tous les moyens. Le fruit de l’Esprit témoignera de l’Esprit. Croyez. Si Christ était ici, s’Il se tenait ici ce soir, et que vous étiez malade, si vous disiez: «Christ, guéris-moi.» Il ne pourrait pas le faire. Il l’a déjà fait. Mais Il voudrait... Il pourrait vous dire quelque chose qui déclencherait autre chose, comme ils étaient... ceux qui revenaient d’Emmaüs, quand Il a rompu le pain et a accompli ce miracle qu’Il avait accompli là, ils ont reconnu qu’aucun autre homme ne pouvait faire cela, ils ont reconnu que c’était Lui. Il était ressuscité d’entre les morts.
Eh bien, s’Il fait la même chose ce soir, combien reconnaîtront qu’Il est ressuscité d’entre les morts et L’accepteront comme–comme leur pardon, comme leur Guérisseur? Que Dieu vous bénisse. Puisse-t-Il accorder cela.
65 Une fois de plus, vous tous qui n’avez pas de cartes de prière, levez la main, vous qui êtes malades, qui voudrez qu’on prie pour vous. Je n’ai aucun moyen de le savoir.
Voici une dame assise ici même sur le siège de devant. Je ne dis pas qu’Il le fera, madame. Avez-vous levé la main pour dire que vous n’aviez pas de carte de prière? Vous n’avez pas de carte de prière. Me connaissez-vous? Vous ne me connaissez pas, vous ne savez rien à mon sujet, mais Dieu vous connaît. S’Il me révèle ce pour quoi vous êtes assise là, croirez-vous que je suis Son prophète, ou Son serviteur? Croirez-vous? Je vous ai vue lever la main pour montrer que vous étiez malade, ou que vous aviez besoin de quelque chose; et–et... de la part de Dieu, et vous aviez levé la main pour dire que vous n’avez pas de carte de prière. Croyez-vous que je suis le serviteur de Christ? Eh bien, je ne dis pas qu’Il le fera, il n’y a pas... il n’y a rien autour d’elle en ce moment-ci. Il faudra Christ.
Je n’ai aucune idée sur ce qui cloche chez vous; vous le savez. Si c’est vrai, levez la main, afin que les gens se débarrassent de leur superstition. Voyez? Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie, mais si Dieu veut révéler cela, qu’Il le fasse. Quand Jésus regardait les gens, Il connaissait ce qu’ils faisaient. Dieu au Ciel est mon Juge, ça devient bleu autour de cette femme. Elle est désespérée. Je lève ma main, et c’est devenu bleu autour de cette femme. Ce n’est pas pour elle-même, c’est pour une–une–une–une enfant, une jeune fille, et cette jeune fille souffre de la polio. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. D’accord. Si vous croyez, vous pouvez donc recevoir ce que vous demandez. Amen.
66 Combien croient? Ayez foi en Dieu. Qu’en pensez-vous par ici? Certains d’entre vous, croyez-vous de tout votre coeur, par ici?
Cette dame assise ici même, avec la tête inclinée, en train de prier, elle porte un manteau bleu, ici même. Il y a cette Lumière au-dessus de cette femme. Si le Seigneur Jésus me dit ce pour quoi vous êtes ici, croirez-vous de tout votre coeur?
Vous souffrez de l’hypotension. C’est exact. Croyez-vous de tout votre coeur que Dieu vous guérira?
Celui qui est assis à côté de vous là souffre de la gastrite et du mal de dos. Croyez-vous que Dieu vous rétablira, monsieur? Très bien. Levez la main et acceptez cela. Ici même. Très bien. Levez-vous; bougez votre main en avant, en arrière, bougez votre dos, en avant, en arrière. Eh bien, vous êtes guéri. Votre dos est rétabli maintenant; vous pouvez rentrer chez vous bien portant.
67 Je vous demande, au Nom de Jésus-Christ, de croire de tout votre coeur. «Si tu peux!... tout est possible.» C’est ce que dit la Bible. «Si tu peux!... tout est possible.»
La dame qui tire sur le collier autour de son cou là derrière est très nerveuse. Avez-vous une carte de prière? Non. D’accord. Croyez-vous en Dieu? Pensez-vous que votre mari se rétablira? Il souffre du coeur, n’est-ce pas? Levez-vous, si vous n’avez pas de carte de prière, et si c’est pour cela que vous priiez. Levez-vous. D’accord. Croyez de tout votre coeur, et vous serez guérie. Aimez-vous le Seigneur? Croyez en Lui. Ce n’est pas moi maintenant; c’est Lui.
68 Qu’en pensez-vous? Vous priez pour cette enfant-là, n’est-ce pas? Cette jeune fille assise là? Croyez-vous que Dieu révélera ce qui cloche chez cette enfant? Croirez-vous que je suis le serviteur de Dieu? Sa maladie, c’est à la gorge. C’est vrai, jeune fille. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Jamais de ma vie je ne vous ai vue. Permettez-moi de vous dire autre chose: Cette enfant a subi une intervention chirurgicale, elle en a subi quatre à la gorge. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. Levez la main à cela. Si vous croyez, elle n’aura plus à en subir une autre. C’est vrai. D’accord. Vous pouvez recevoir ce que vous avez demandé.
Vous auriez dû voir cette petite créature rire de toutes ses forces, le Saint-Esprit, cette Lumière, s’était posé sur cette enfant, et je sais que Dieu l’a guérie. Amen. Ne voyez-vous pas ce qu’une petite enfant peut faire là à côté d’un membre d’église sans coeur? Amen. Oh! grâce étonnante, quel doux son.
69 Voici une petite dame assise ici au bout, sa petite main baissée, en train de prier. Je vois cette Lumière au-dessus de cette dame. Croyez-vous de tout votre coeur, petite dame, assise ici, jeune fille? Si Dieu me révèle votre maladie, croirez-vous que je suis Son serviteur? Votre maladie se trouve aux poumons. C’est vrai. Et si Dieu me révélait qui vous êtes, cela vous ferait-il–vous ferait-il croire davantage? On vous appelle Patty, n’est-ce pas? Mais votre nom est Ramley, n’est-ce pas vrai? Levez-vous. Ramley, c’est ça. Très bien. Levez-vous. Vous y êtes. Vous êtes guérie, madame. Le Seigneur Jésus vous rétablit.
Combien croient de tout leur coeur? Levez-vous donc, rendez gloire à Dieu et soyez guéris, vous tous qui croyez, au Nom de Jésus-Christ. Dieu ne peut pas faire plus à ce sujet, c’est ça. Le Saint-Esprit, cette Lumière est suspendue là sur la salle. Croyez simplement en Lui. Levez la main et louez-Le, disant: «Seigneur, je crois maintenant de tout mon coeur», et vous pouvez recevoir ce que vous demandez.
Dieu du Ciel, quoi de plus peux-Tu faire, Seigneur? Débarrasse ces gens de l’incrédulité et qu’ils soient guéris en cette heure-ci. Je prie au Nom de Jésus.
Maintenant, rendez-Lui gloire. Levez les mains et remerciez-Le pour cela; rentrez chez vous bien portants, vous tous. Au Nom de Christ.