La Porte À L’Intérieur De La Porte

Date: 58-0209E | La durée est de: 1 heure et 52 minutes | La traduction: Shp
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1          Et bienvenue... Ça me fait me sentir vraiment bien. Mais tandis que vous êtes debout, parlons maintenant à Celui qui a rendu tout ceci possible. Notre Dieu, nous venons à Toi avec un coeur humble. Nous venons avec nos têtes inclinées, parce que nous savons que Tu as soufflé sur nous et nous sommes sortis de la poussière, et nous sommes les sujets de Ton Royaume. Et nous prions, Père, qu’en cette soirée, Tu trouves un endroit dans chacun de nos coeurs pour Te faire connaître à nous et à nos associés. Nous voudrions Te remercier cette fois pour cette belle église, pour son pasteur, et pour tous ses associés. Et nous voulons Te remercier pour ceux qui ont conduit à travers la tempête de neige, sur le sol glacé et lisse afin d’arriver ici pour T’adorer avec nous.

2          Ô, Adorable Dieu, un jour, dans un pays au-delà de la rivière où nous n’aurons jamais une autre tempête de neige, ou il n’y aura jamais une autre personne malade pour qui prier, un autre service funèbre à tenir, ni même un autre Message de l’Evangile à prêcher, nous voulons nous réunir là, Seigneur, en tant que familles qui ne se briseront pas. Pardonne-nous nos imperfections. Fais-nous savoir que nos jours sont peu nombreux ici sur terre; et ceux que nous avons, puissions-nous les passer pour Ton honneur et pour Ta gloire. Donne-nous beaucoup plus de réunions heureuses comme celle-ci. Bénis chacun de nous individuellement. Bénis-nous pour ce qui est de nos besoins, Seigneur, car ils sont nombreux. Et quand la vie sera finie, puissions-nous nous rencontrer à Ta maison. En attendant, que le pot ne soit jamais vide dans nos foyers. Que la cruche ne tarisse jamais jusqu’à ce que nous voyions notre Adorable Seigneur venir dans les cieux pour nous enlever. Garde-nous en bonne santé et heureux au Nom de Jésus. Amen.

3          Il y a tellement de choses que je pourrais dire, au point que je sais à peine comment commencer. Et à propos, ces mouchoirs qui sont posés ici chaque soir, je suis si heureux que vous croyiez au fait de prier sur les mouchoirs. Maintenant... (Merci, gentil monsieur.) Beaucoup de gens oignent ces mouchoirs, ce qui est en ordre. Tout ce que notre Adorable Sauveur bénira, je suis certainement pour cela. Mais pour rendre témoignage, la Parole, dans Actes 19, on retirait du corps de Paul des mouchoirs et des linges. Je crois que Paul était un prédicateur fondamentaliste. Ne le croyez-vous pas? Voulez-vous que je vous dise où, à mon avis il a tiré cela? Je pense qu’il a tiré cela dans les Ecritures là où on parle de la femme sunamite. Elle avait perdu son enfant; en effet, le prophète l’avait bénie et elle avait donné naissance à ce bel enfant. Et quand l’enfant est mort, la femme sunamite a fait seller une petite mule par l’un des serviteurs, et elle est allée chez le prophète. Car elle savait que Dieu était dans ce prophète. Et c’était le représentant de Dieu. C’était son agent sur la terre.

4          Et elle se disait que si elle pourrait arriver auprès du prophète... Je ne crois pas qu’elle pensait récupérer son enfant, mais elle voulait savoir pourquoi Dieu l’avait pris. Et Dieu ne révèle pas toujours à Ses prophètes tout ce qu’Il a dans Son plan divin. Ainsi quand la femme est arrivée, le prophète n’a pas su quel était le problème. Il a donc dit à son serviteur Guéhazi: «Voici venir cette Sunamite, et elle est préoccupée, mais Dieu me l’a caché.»

5          Et pendant que nous sommes sur le sujet, si vous voulez bien y penser... Il a envoyé Guéhazi au-devant d’elle et il a dit: «Va voir si tout va bien.»  Et il a dit: «Te portes-tu bien? Ton mari se porte-t-il bien? Ton enfant se porte-t-il bien?»

            Observez la réponse de la Sunamite. «Tout va bien», et son enfant était étendu là, un cadavre.

            Mais elle était arrivée à sa destination, là où elle croyait que Dieu lui ferait connaître ce qui était arrivé. «Tout va bien.» Je me demande si nous, ce soir, nous pourrions y penser, après que les Ecritures ont été lues concernant le Seigneur Jésus et Sa volonté bénie de nous guérir tous ou de nous sauver, de nous pardonner nos péchés. Tout va-t-il bien ce soir?

6          Et remarquez, Guéha-... Le prophète a dit à son serviteur: «Prends mon bâton et va le poser sur l’enfant.» Eh bien, Elisée savait que le Saint-Esprit était en lui, et que tout ce qu’il touchait était béni. Mais maintenant, pour amener la femme à croire que... Il a donc dit: «Prends mon bâton et va le poser sur l’enfant.» Je pense que c’est là que Paul a tiré le fait qu’on prenne les mouchoirs qui avaient touché son propre corps et d’aller les poser sur les malades et les affligés. Mais cependant, la femme ne pensait pas vraiment au bâton. Elle a dit: «Je ne te quitterai pas.» Et il... elle est restée avec lui jusqu’à ce qu’elle ait obtenu ce que son coeur désirait.

7          C’est ainsi que nous agissons avec Christ: restez juste avec Lui jusqu’à ce que nous obtenions ce que nous demandons. Maintenant, ces mouchoirs, nous prions dessus; et si votre mouchoir n’est pas ici et que vous en désiriez un, écrivez-moi simplement. Ce n’est pas que je désire obtenir votre adresse, chers amis; en fait, je passe un temps terrible à répondre aux lettres. Je n’ai aucun programme à parrainer, quoi que ce soit. Il–il me faut simplement quelqu’un pour m’aider à répondre aux lettres. Mais je prierai dessus, peut-être pas un mouchoir... Nous en envoyons des milliers tout autour du monde et c’est très cher. Donc, je ne peux pas me permettre d’envoyer un mouchoir, mais je prends un tissu et le découpe en de petits morceaux, je prie dessus, et je les envoie.

8          Eh bien, le modèle de la lettre... Nous avons une chaîne de prière autour du monde. Mais maintenant, la lettre que vous recevez sera écrite et polycopiée par un secrétaire; mais le mouchoir ou le petit morceau de tissu, c’est moi qui ai prié dessus. Voyez? Si j’avais foi en vous en tant que serviteur de Dieu et que mon enfant était malade, je ne voudrais pas qu’un secrétaire prie sur le mouchoir; je voudrais que ce soit vous qui priiez dessus. «Ce que vous voulez que les autres fassent pour vous, faites-le de même pour eux.» Voyez? Priez dessus. Il est à vous gratuitement, non, rien, c’est sans taxe. Envoyez simplement et nous serions heureux de le voir... de l’envoyer, boîte postale 325, Jeffersonville. Si vous ne pouvez pas vous souvenir de cela, écrivez juste mon nom. Et Jeffersonville, en Indiana, est une très petite ville d’environ vingt-sept mille habitants; et–et écrivez donc simplement cela à Jeffersonville et tout le monde là-bas me connaît.

9          J’aimerais dire que ça été un glorieux jour pour moi. Pendant que j’étais assis en chambre cet après-midi, en train de prier, je pensais à certaines réunions que vous êtes arrivés à... Nous aimons... Nous ne pouvons pas nous attendre à ce que tout soit merveilleux. J’aurais voulu être en mesure d’amener ce groupe avec moi partout. Donnez-moi un groupe de prière comme celui-ci et accordez-moi deux semaines de réunion quelque part, que tous les incroyants se rassemblent autour d’eux ceux qui veulent, Dieu bénira de toute façon. Quand vous les avez obtenus debout comme un mur de briques, c’est merveilleux. Je crois alors que Dieu peut donc tout faire quand vous sentez la liberté de l’Esprit.

10        Et je remercie certainement Dieu pour cette église merveilleuse, pour son pasteur, et pour tous les travailleurs. Et ce petit chanteur, je ne me rappelle pas son nom... [Quelqu’un dit: «Golden»–N.D.E.] Golden. Frère Golden, il a chanté ce cantique spécial pour moi il y a quelques instants, et je l’ai suivi, frère Golden. Je me tenais derrière la porte avec certaines de mes petites amies d’environ huit ou dix ans; un petit garçon se tenait là pour avoir des autographes. Je n’arrive même pas à lire ma propre écriture. Eh bien, comment vont-ils le faire? C’est ce que je me demande. Et puis, Mme Branham se tenait là, et ils étaient... je pense qu’ils se sont faufilés avec elle chez... Et même mon petit garçon, Joseph, voulait aussi écrire. Et ça serait probablement tout aussi lisible que pour son papa. Donc... il a deux ans.

11        Ainsi, nous voulons vous dire de notre mieux que nous sommes reconnaissants d’être ici. Et je–je dis ceci pour moi-même, ma famille, frère Lee Vayle ici, frère Wood et son épouse, frère Léo Mercier, frère Gene Goad, tous ceux de notre équipe, nous vous remercions certainement.

12        Il y a quelques instants, en entrant, quelqu’un a dit qu’on avait prélevé une offrande d’amour pour moi. Je ne suis pas venu pour une offrande d’amour, amis; je suis venu uniquement pour être votre frère. Mais je partage... j’apprécie certainement cette offre d’amour. Je suis un homme pauvre. J’aurais pu être un millionnaire si j’avais pris... Je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie, jamais. J’ai vingt-sept ans de ministère, je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie. Je continue à regarder mon épouse. Je... Chaque fois que j’en arrive à cette partie, elle (pensant à une offrande)... Je... Elle me jette toujours un coup d’oeil. Je vais de toute façon le raconter, chérie.

13        Une fois, j’étais vraiment contre cela; vous savez, quand vous en arrivez au point où vous ne pouvez simplement pas joindre les deux bouts. Et je travaillais comme garde-chasse ici en Indiana. Et ainsi, ils... J’ai dit à mon épouse: «Ce soir, je vais prélever une offrande. Je ne peux plus supporter ceci plus longtemps; Je suis...» Elle a dit: «J’irai te voir faire cela.» Nous habitions juste de l’autre côté du tabernacle. Eh bien, ces gens le feraient. Oh! la la! Ils vendraient leurs biens, et me les donneraient; mais je pouvais travailler. J’aurais souhaité pouvoir le faire à ce moment-là et ne même pas devoir prélever un sou.

14        Mais je–je suis allé là, et j’ai dit (nous n’avions même pas un plateau d’offrande); j’ai dit: «Mes amis, je suis à un point, oh! juste à un petit point où, ai-je dit, j’ai besoin d’un peu d’argent. Je me demande si vous aurez une dent contre moi si je prélevais une petite offrande; chacun de vous ici, mettez quelque chose dedans.» J’ai dit: «Frère Wisehart, voudriez-vous prendre mon chapeau?» Et il a tendu la main pour prendre mon chapeau, et c’est parti. Et j’ai regardé: il y avait, assise devant moi une petite vieille dame. Combien se rappellent que ces femmes portaient ces petits tabliers avec une poche à l’intérieur? Elles portaient leur porte-monnaie et... je... Une vraie guerrière de la prière a étendu la main et a pris un de ces petits porte-monnaies qui se ferment au dessus, il y a plongé la main et a pris ces petites pièces de cinq cents. Honnêtement, je ne pouvais pas le faire. «Oh! ai-je dit, je plaisantais tout simplement. Ce n’est pas ce que je voulais dire.» Je n’ai donc pas achevé cette épreuve.

15        Vous savez, il y avait un vieil homme qui était là, venant de quelque part, portant une longue barbe et une longue chevelure; il s’appelait John Ryan. Je ne sais pas si vous l’aviez jamais connu ou pas. Il... Combien de cette contrée ont connu John Ryan? Bien. Que Dieu accorde du repos à sa vaillante âme. Un jour, il est venu à bicyclette chez moi et me l’a donnée. Et c’était resté là pendant longtemps. Et je suis allé à un bazar et je me suis procuré de la peinture rouge; j’ai peint cette vieille bicyclette, je l’ai vendue à cinq dollars, et j’ai quand même payé la dette, et je n’ai plus eu à prélever d’offrande. Ainsi, j’en étais donc pratiquement arrivé à le faire.

16        Je vous assure donc, mes amis, mes dépenses sont d’environ cent dollars par jour, mon bureau et mon entretien, juste environ cent par jour. Eh bien, c’est... Je sais que cela semble beaucoup, mais ce n’est pas le cas. Combien pensez-vous que frère Roberts dépense par jour? Je pense que le dernier rapport que j’ai eu, c’était sept mille par jour. Billy Graham dépense parfois mille dollars par minute dans son émission. Ce n’est pas sa télévision, c’est diffusé dans le monde entier. Ainsi, vous voyez, c’est très vraiment moindre; comparé à cela. Donc, si... Je vous remercie pour votre offrande. Et par la grâce de Dieu, chaque sou, je la dépenserai au profit du Royaume de Dieu de la meilleure façon possible. Un jour au ciel, puissiez... que vous receviez votre récompense, si pas ici sur terre. Maintenant, nous allons lire une portion de Sa Parole bénie.

17        Chaque fois que je peux vous faire une faveur, je le ferai. J’avais l’habitude de dire ceci: «Les nuits ne seront jamais trop sombres, ou la pluie ne tombera jamais trop fort pour m’empêcher de venir chez vous.» Eh bien, maintenant, je suis en contact direct et indirect avec environ dix millions de personnes; ça, c’est une grande chose à dire. Il se peut que je ne sois pas en mesure de venir vers vous, mais si vous me faites parvenir un mot sur votre besoin, je prierai certainement pour vous. Quand je suis à la maison, mon épouse le sait ainsi que ceux qui viennent chez moi là, mais toute la nuit durant ce téléphone... Je ne dors que quelques minutes, à moins que je ne sois loin de chez moi. Il y a des accidents sur la route, dans le pays, partout; les gens appellent, appellent, appellent, appellent constamment tout le temps. Nous avons soixante-quatre appels venant de longue distance par heure (il y a maintenant quatre téléphones pour répondre), en moyenne soixante-quatre appels par heure, jour et nuit. Pensez-y. Voyez? Vous pouvez vous imaginer ce que c’est.

18        Mais nous sommes donc toujours contents de les avoir, toujours contents de faire quelque chose pour aider quelqu’un. Savez-vous ce qu’est une bénédiction? C’est faire quelque chose pour quelqu’un d’autre. C’est vrai. Et si vous avez un voisin ou quelqu’un qui manifeste de l’injustice à votre égard, souvenez-vous de ceci, à cause de moi: ne le rejetez point. Voyez? Amenez–amenez-le à Dieu dans la prière et vous verrez quelle attitude différente vous aurez.

            Si vous êtes sincère dans votre prière, vous serez côte à côte avec lui. Malgré qu’il vous a fait du mal, de l’injustice, mais amenez simplement cet homme à Dieu et restez là dans la Présence du Père une fois, et dites: «Père, mon voisin que voici m’a fait du mal. Mais je pense...» Observez quand vous allez raconter ses torts. Cela ne l’aidera pas seulement lui, mais cela vous aidera aussi. Et vous verrez par quoi il est passé lors des tentations et autres. Cela changera votre attitude envers ce frère. Cela l’aidera aussi. Vous faites toujours du bien lorsque vous priez les uns pour les autres.

19        Eh bien, si vous avez ouvert vos Bibles, pour mon dernier texte de cette série de réunions, et j’espère revenir vers vous aussitôt que possible, Apocalypse, chapitre 3, verset 20, j’aimerais lire une portion des Ecritures. Et pour li-... avoir le contexte de ce sujet... La raison pour laquelle je lis cela, je me tiens ici; je ne sais pas ce que le Seigneur Jésus va faire. Et beaucoup parmi vous se sont rassemblés dehors, et la salle est débordée, et les gens sont debout tout autour. Mais pourtant, si je lis les Ecritures, Dieu bénira autant, je le sais.

            Je pense qu’on devrait lire les Ecritures tout le temps. Voici le passage:

Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.

            Et mon sujet ce soir, si je peux l’intituler ainsi, c’est: La–la Porte à l’intérieur de la Porte.

            Ça, c’est un sujet inhabituel, mais c’est une portion de la Parole éternelle de Dieu. Et la Parole de Dieu est si réelle. Et cette Ecriture juste là est assez suffisante pour ôter complètement le communisme du monde et convertir le monde entier. C’est une invitation pour le salut. C’est aussi une invitation pour la guérison; la garantie de la Vie Eternelle. Oh! Ça représente beaucoup si c’est reçu à la Lumière avec Laquelle Elle a été écrite.

20        Vous savez, il y a quelque temps, il y avait un procès fédéral. Je crois que c’était à l’époque de feu Abraham Lincoln, le président des Etats-Unis. Et il y avait un soldat qui avait commis un crime, et il allait être exécuté. Il avait été condamné à mort. Et finalement, quelqu’un a persuadé le président d’épargner sa vie. Et étant pressé, le président a dit: «Très bien, je l’épargnerai.» Il a donc simplement signé sur un morceau de papier: «Je relâche untel, Abraham Lincoln.» «Envoyez cela.»

            Et quand le porteur de cela l’a apporté à la prison et l’a montré au prisonnier, il a dit: «Présente ceci.»

            «Eh bien, a-t-il dit, ce n’est pas valable, ce n’est qu’un morceau de papier.»

            Il a dit: «Mais c’est–c’est entre ta vie et ta mort. En effet, cela porte le nom du président, que tu es pardonné.»

21        «Oh! a-t-il dit, cela devrait être sur un journal officiel. Ça devrait être scellé de son sceau,» et il a montré tout le rituel que ça devrait avoir avant qu’il le reçoive. Et il n’a pas pu persuader cet homme de le recevoir. Et le lendemain matin, il fut fusillé au lever du soleil. Eh bien, après que c’était signé du nom d’Abraham Lincoln, qu’il avait pardonné cet homme, et voici qu’il était là, un cadavre, et alors quoi?

            On a donc amené l’affaire à la Cour fédérale. Et voici ce qu’a été la décision de la Cour fédérale: Un pardon est un pardon s’il est reçu comme un pardon. C’est comme ça que Dieu a promis cela. Ce n’est pas une promesse pour quiconque ne la reçoit pas comme une promesse. Mais chaque Parole de Dieu est une promesse pour ceux qui croient que c’est une promesse. C’est votre attitude mentale envers cela qui compte. C’est soit un pardon, soit une promesse pour votre guérison. Car Ses Paroles sont éternelles.

22        J’aurais voulu me rappeler le nom du poète ou de l’artiste qui me vient à l’esprit maintenant, celui qui a pris la décision il y a de cela plusieurs années d’exprimer sur ce passage des Ecritures. Et cela lui a pris pratiquement toute sa vie pour peindre ce tableau de Christ frappant au coeur de... à la porte du coeur.

            Et tous les tableaux célèbres, avant d’être exposés dans le musée, doivent d’abord passer par les critiques. Et j’aime cela, car c’est comme l’église. Avant que l’Eglise puisse partir dans ce grand Enlèvement, Elle doit d’abord passer par les critiques. «Tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ seront persécutés.» Il n’y a pas d’excuses. Personne n’est exempté. Tous doivent passer par cette ligne de persécution et de critique. Mais alors, si nous pouvons passer par cela menant une vie telle que les critiques ne peuvent rien pointer du doigt qui soit vrai, alors le tableau est donc prêt pour le grand musée.

23        Et cet artiste qui a peint ce tableau, pendant que les critiques contemplaient cela, ils ont dit: «Monsieur, votre tableau est merveilleux. Mais il y a juste une chose qui cloche sur ce tableau.» Il a dit: «Vous avez Christ, Il est bien reproduit, et la porte est bien, mais vous n’avez pas de loquet sur la porte. Alors, pourquoi frappe-t-Il à la porte s’il n’y a pas de loquet sur la porte?»

            Et l’artiste a dit: «Je l’ai peint ainsi parce que sur cette porte, le loquet est à l’intérieur. C’est celui qui est à l’intérieur qui doit ouvrir la porte afin que Jésus puisse entrer.»

            Et c’est la vérité. Christ peut frapper, mais c’est vous seul qui pouvez ouvrir la porte. Vous pouvez dire: «Entre, Christ, je Te souhaite la bienvenue.» Il ne pourra toujours pas entrer à moins que vous ouvriez la porte. Alors, on peut entrer.

24        Pourquoi une personne frapperait-elle à la porte d’une autre de toute façon? C’est pour entrer. Vous avez une affaire quand quelqu’un [Frère Branham frappe.–N.D.E.], il a quelque chose dont il veut parler avec vous.

            Ces grands coups ont été frappés à de grandes portes tout au long des âges. Que pensez-vous qui serait arrivé du temps de César Auguste s’il avait eu l’opportunité ou quelque chose comme cela pour aller à la porte d’un paysan et de frapper à la porte pendant qu’il était l’empereur de Rome? Cela ne serait-il pas un grand honneur pour n’importe quel sujet romain que César Auguste frappe à sa porte?

25        Ou que serait-il arrivé si le grand Napoléon, bien que craint par le peuple... J’étais à Waterloo, en Belgique il n’y a pas longtemps, je lisais son histoire alors que je regardais les reliques de la grande bataille. Et il était si méchant. Et le soir, quand les mamans allaient mettre leurs petits enfants au lit, comme les mamans le disent des fois: «Le croque-mitaine va t’attraper si tu n’es pas sage.» Ça faisait plus de crainte de dire: «Napoléon va t’attraper.» On le craignait tellement. Il faisait tuer les gens.

            Mais combien un de ses sujets se sentirait honoré s’il frappait à sa porte!

26        Ou le grand Adolf Hitler qui vient de partir. Comment... Quel honneur ça serait pour un de ses soldats, ou peut-être un pauvre homme qui vivait là le long de la rivière, qu’Hitler, le Führer d’Allemagne, frappe à sa porte et désire entrer pour parler avec lui un moment!Quel honneur ça serait pour ce soldat qu’Hitler frappe à sa porte pendant qu’il était le Führer d’Allemagne. Oh! Ça aurait été un grand honneur. Ou je dirais ceci: Ça aurait été un grand honneur pour le meilleur démocrate de South Bend que notre président Dwight Eisenhower frappe à sa porte pour lui rendre visite. Bien que vous ayez un différend avec lui sur la politique, il est l’un des plus grands hommes sur la terre, notre bien-aimé président, Dwight Eisenhower. Ça serait certainement un grand honneur. Ce qui fait l’honneur, c’est l’importance de la personne qui frappe.

27        Ou tout récemment, la reine d’Angleterre à visité ces Etats-Unis. Quel honneur ça aurait été pour l’un de vous ici ce soir, ici à South Bend ou aux Etats-Unis, si cette reine (même si vous n’êtes pas son sujet), mais si elle était venue à votre porte et y frappait, combien vous seriez heureux d’aller à la porte et elle dirait: «Je suis la reine d’Angleterre», la plus grande reine sur la terre, la reine d’Angleterre. Bien qu’elle n’ait aucune autorité sur vous, pourtant elle est une grande dame.

            Vous auriez dit: «Votre honneur, la reine, entrez dans ma maison, s’il y a quelque chose que vous désirez dans cette maison, vous pouvez l’avoir. S’il y a un trophée ou quelque chose que je peux faire pour que vous soyez la bienvenue, entrez, vous êtes la bienvenue.»

28        Et quand vous souhaitez à quelqu’un la bienvenue comme cela, si vous ne lui donnez pas la pleine prééminence quand il est chez vous, il n’est pas vraiment le bienvenu. C’est vrai. Si vous souhaitez à quelqu’un la bienvenue... Si je viens vous rendre visite, et que vous disiez: «Entrez, Frère Branham, faites comme chez vous.» Eh bien, j’entrerais, j’ôterais mes chaussures, je m’assoirais, je mettrais mes pieds sur une chaise quelque part. Si j’ai faim, j’irai au réfrigérateur prendre quelque chose à manger. Certainement. Je suis le bienvenu.

            Oh! Nous accueillons quelqu’un comme cela à cause de son importance, la reine. Si vous avez quelque chose que vous chérissez, vous serez content de le lui offrir si elle en voulait, parce que c’est une grande femme.

29        Mais j’aimerais vous poser une question. Qui est plus important que Jésus? Et qui est plus rejeté que Jésus, Il est la Personne la plus importante qui puisse frapper à votre porte. Et Il ne frapperait point à moins d’avoir quelque chose de bon pour vous. Et Il est–Il est rejeté plus que n’importe quelle personne qui existe sur la terre. Jésus est rejeté à la porte, la porte du coeur des hommes et des femmes alors qu’Il frappe chaque jour, cherchant à entrer.

            «Voici, Je me tiens à la porte, et Je frappe. Si quelqu’un entend Ma voix et ouvre la porte, J’entrerai chez lui, Je souperai avec lui, et lui avec Moi.» Oh! Je ne sais pas qui pourrait être plus grand et qui peut faire plus pour vous, et même pas le millionième de ce qu’Il peut faire. Personne ne peut faire pour vous ce que Jésus fait quand Il entre. Seulement, Il est rejeté.

30        Maintenant, vous me direz: «Un instant, Frère Branham. J’ai fait cela il y a longtemps.» C’est bon. Je suis content que vous ayez fait cela. En effet, j’ai dit que c’est la plus grande chose que vous ayez faite quand vous avez laissé Jésus entrer dans votre coeur. C’est le plus grand acte que vous ayez jamais posé. Cela vous a fait passer de la mort à la Vie. Laissez Jésus entrer.

            Mais alors, après qu’Il est entré, est-Il le bienvenu dans chaque porte de votre maison? C’est ça la chose suivante. Oh! Certainement, vous allez accepter Son salut. Vous ne voulez pas aller en enfer. Mais allez-vous Le laisser être votre Seigneur? Il veut entrer et être Celui qui dirige. C’est pour ça qu’Il veut entrer. Vous ne savez pas ce qu’il faut faire. Lui sait effectivement ce qu’il faut faire. Beaucoup L’acceptent comme Sauveur, mais quant à L’accepter comme Seigneur, c’est différent. Quelle différence entre être Sauveur et être Seigneur! En tant que Sauveur, Il vous sauve du péché; mais en tant que Seigneur, Il est Celui qui règne. Vous Le laissez entrer, mais vous ne Le laissez pas régner.

31        En effet, dans le coeur humain, c’est là juste comme une porte de la maison. Après être entré: «Entre, Monsieur, assieds-toi. Mais ces autres petites portes, je ne veux pas que Tu t’amuses chez moi.» J’aimerais parler un peu sur ces portes, toutes sortes de ces petites portes privées de votre vie privée. Jésus peut être votre Sauveur mais, «N’essaie jamais de me dire quoi faire, Seigneur. Je sais ce que je veux faire. Et n’essaie jamais de me diriger.» C’est ça l’attitude de beaucoup de gens qui professent le christianisme.

            «Je vais écouter ce que le pasteur va dire.» C’est bon. Mais si c’est contraire à ce que Jésus dit, alors c’est faux. «Je vais faire ce que l’église dit si...» C’est bon, mais si c’est contraire à ce que la Bible dit, alors c’est faux. Vous devez Le laisser être le Conducteur suprême. C’est-à-dire, Il est au-dessus de tout. Il est au-dessus de vos opinions. Il est au-dessus de tout ce que vous avez. Il est au-dessus de vos émotions. Il est au-dessus de vos idées. Il contrôle chaque fibre de votre pensée. Tout ce que vous êtes, vous le tournez vers Lui, s’Il va être votre Sauveur et votre Seigneur.

32        Combien parmi nous le font? Je vais parler de certaines choses. Il y a une petite porte lorsque vous entrez dans le coeur de l’homme, vous tournez à gauche, et c’est la petite porte de l’égoïsme. Oh! Nous ne voulons pas aller en enfer, certainement pas. Mais nous avons juste une petite conception, que–que nous sommes un petit peu mieux que quelqu’un d’autre. Eh bien, s’Il ne peut pas entrer là, eh bien, alors, vous aurez toujours cette conception.«Je vais aller à l’église à cause de ce que je peux en tirer. Je vais me classer du côté des meilleures gens. Et si jamais je suis en difficulté, alors évidemment si je peux dire: ‘Je suis membre de telle ou telle église,’ je suis sûr que les gens me regarderont et diront: ‘Cet homme est certainement membre de telle église.’» Dieu ne peut pas vous utiliser comme cela. Il doit aussi prendre le contrôle de cela.

33        Ensuite, il y a une autre petite porte. Et cette petite porte s’appelle l’orgueil. Oh! C’est une porte difficile à ouvrir. Vous savez, c’est juste... Les êtres humains sont enclins à penser que peut-être ils sont un peu meilleurs que les Joneses, vous savez. Particulièrement ici en Amérique, vous peignez vos marches en rouge, voyez votre voisin peindre les siennes en rouge. Et vous soeur, mettez une certaine petite chose à votre chapeau quand vous allez à l’église, votre voisin ne peut simplement pas supporter cela.

            Oh! C’est un tel jour où on essaie d’imiter, de calquer. Vous vous achetez une Chevrolet et les Joneses ont une Ford. Et votre Chevrolet est juste un peu meilleure peut-être que leur Ford. Observez-les se procurer une Chevrolet immédiatement. Oh! C’est un temps où on calque.

34        J’avais fait cette remarque, et je n’avais pas l’intention de diriger cela contre quelqu’un, et je ne voulais pas blesser par cela; mais des fois, quand je suis prêt à aller à l’église, ma femme vient et dit: «Billy, penses-tu que cette cravate concorde avec ce costume?»

            Je dis: «Je ne sais pas, chérie.» Et je portais des chaussettes rouges, un pantalon noir, une cravate bleue et, oh! je ne sais pas.

            Elle a dit: «Ça ne concorde pas.»

            J’ai dit: «Chérie, ça ne m’intéresse pas que mon pantalon concorde avec mon costume ou que ma cravate concorde avec mon complet. Ce qui me préoccupe, c’est une seule chose qui doit concorder. Je veux que mon expérience concorde avec la Bible de Dieu.» C’est là que nous devons avoir la concordance: Avec les exigences de Dieu.

35        Mais c’est le temps de la concordance. L’orgueil, s’habiller un peu mieux, fréquenter une église un peu meilleure (ce que nous appelons meilleur), et s’habiller un peu mieux. Et toujours... mais nous ne voulons pas que Christ entre là-dedans. «Eh bien, Seigneur, Tu peux me sauver, mais ne Te mêle pas de mes affaires. Eh bien, je prendrai soin de moi-même.» Eh bien, je sais que ça semble très rude, mais c’est la vérité. Certainement. Les gens ne veulent pas que Christ se mêle de leurs affaires.

            «Et si je veux être un tout petit peu malhonnête dans cette affaire, eh bien, Christ, tiens-Toi simplement là pendant un petit moment. Mais je–je–je dois simplement faire ceci, parce que j’ai besoin de le faire. Oh! Cela ne me blesse pas du tout; j’en suis sûr.» Si vous Le laissez simplement entrer par cette porte-là, Il va arranger tout cela pour vous. Il se tiendra à la porte quand l’ennemi essayera de vous tenter à faire le mal.

36        Il y a une autre porte dont j’aimerais parler pendant un moment. Et c’est la porte de la foi. Beaucoup de gens Le laisseront entrer par la porte en tant que Sauveur, mais vous ne Le laisserez pas vous diriger dans votre foi.

            Eh bien, vous direz: «Oh! Oui, Frère Branham. Oh! Je crois en Jésus-Christ; mais les jours des miracles sont passés. La guérison divine n’existe pas. Le surnaturel n’existe pas.» Qu’est-ce? Vous ne voulez pas laisser Christ entrer par cette porte-là. Vous laissez quelqu’un d’autre vous en détourner par ce qu’il dit. Pourquoi n’ouvrez-vous simplement pas cette porte-là et ne direz-vous pas: «Seigneur, prends ma foi ce soir»? Observez ce qui arrivera certainement. Il prendra cela. Il va diriger toute la chose.

37        Si le médecin ne peut pas faire quelque chose de bon pour vous dans sa profession médicale (Nous remercions Dieu pour cela), s’il en est arrivé à un point où sa capacité limitée est au bout, pourquoi ne laissez-vous pas Christ ouvrir cette porte de la foi, entrer là et prendre alors Sa Parole? Observez ce qui arrivera, (Oh! la la!) quand il vous examinera de nouveau; il dira: «Que vous est-il arrivé?»

38        Il y a quelque temps, une femme souffrait le cancer. Et ce cancer était sur le point de la tuer. Et nous avons demandé à notre Adorable Seigneur de lui venir en aide. Et Il l’a fait. Le médecin l’avait abandonnée. Quelques mois plus tard... Elle avait un fils, je pense, qui était... Il avait fait quelque chose au sujet de... (J’oublie maintenant ce que c’était.) quelque chose au sujet d’emporter... des produits chimiques qui débarrassaient des insectes la maison et tout. Je ne sais pas quel nom vous donnez à cela maintenant. Exterminateur ou quelque chose comme cela–cela?

            Il était à Little Rock, en Arkansas. Elle, elle était à Jonesboro. Quand elle est venue dans la ligne de prière, elle avait un mouchoir sur son nez. Je pensais qu’elle pleurait; mais j’ai découvert qu’elle n’avait pas de nez. Son nez avait été rongé par le cancer, et j’ai dit: «Etes-vous allée consulter un médecin, ma soeur?»

            Elle a dit: «Monsieur Branham, il m’a donné des traitements au radium et tout, et ça continue à ronger.»

            J’ai dit: «Alors, laissez Christ avoir votre foi.» Et alors vous aurez une nouvelle foi. Vous aurez...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

39        «Oh! a-t-il dit, je ne crois pas que je le fais.» Et elle lui a dit qui elle était. Et il a dit: «Oh! C’est vous la femme que j’avais sur la liste ici avec un nez totalement rongé par le cancer, cela avait été rongé.»

            Elle a dit: «C’est vrai.» Elle a dit...

            Il a dit: «Eh bien, ça fait longtemps que je ne t’ai pas vue. Je me demande où vous étiez partie.»

            «Oh, a-t-elle dit, j’ai changé de médecins.»

            Il a dit: «Chez qui êtes-vous allée?» Il a dit: «Je voudrais le complimenter pour le grand travail qu’il a abattu.»

            Elle a dit: «Monsieur, je suis allé chez Docteur Jésus.»

            «Oh! a-t-il dit, je suis désolé. Je... Où a-t-Il pratiqué cela? Je ne pense pas Le connaître.»

            Elle a dit: «Dans la Gloire.»

            Oh! Pouvez-vous vous imaginer cela alors que cette nation est censée être une nation chrétienne? Qu’est-il arrivé à cette femme? Elle a laissé Christ entrer, le nouveau Médecin. Et Il a ouvert un petit portail ou une petite porte qu’elle ne savait vraiment pas que ça existait dans son coeur. Mais laissez Christ y entrer une fois. Observez ce qui se passe.

            J’aurais voulu avoir le temps; il y a davantage de portes. Mais je dois me dépêcher.

40        Il y a une autre porte sur laquelle j’aimerais parler. Ce sont vos yeux. Savez-vous que vous pouvez être aveugle sans le savoir? Le Seigneur, dans la Bible, a dit qu’Il oindrait nos yeux avec du collyre. Avez-vous déjà entendu parler de cela?

            Vous savez, je suis du Sud, et j’ai été élevé avec les opossums, les ratons laveurs et tout. Et mon grand-père était un grand trappeur, et il attrapait des ratons laveurs. Et combien j’aime encore les chasser. Et ainsi, il en retirait de la graisse. Et quand l’un de nous les enfants avait froid aux yeux, et que les petits yeux avaient de la matière, maman allait prendre de cette graisse de raton laveur et nous frottait les yeux avec. En l’espace juste de quelques minutes, cela pénétrait et la lumière commençait à paraître, et nous pouvions voir là où nous ne voyions pas auparavant. C’est comme ça avec Dieu. Il a une Huile sainte du Saint-Esprit et Il peut vous frotter les yeux avec Son collyre et vous verrez les choses que vous n’aviez jamais vues auparavant. Une nouvelle lumière apparaîtra.

41        Vous me direz: «J’ai une bonne vue, monsieur Branham.» Eh bien, je suis reconnaissant pour cela. Mais vous pouvez avoir une très bonne vue physique et être spirituellement aveugle. Laissez Dieu ouvrir votre vue spirituelle. Après tout, vous ne voyez pas avec vos yeux. Saviez-vous cela? Non, vous regardez avec vos yeux, vous voyez avec votre coeur.

            Jésus a dit dans Saint Jean 3: «Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le Royaume de Dieu.» Vous voulez dire que vous ne pouvez pas comprendre le Royaume de Dieu à moins de naître de nouveau. Vous regardez droit sur une chose et vous dites: «Je ne vois pas cela.» Vous regardez avec vos yeux, mais vous voulez dire que vous ne comprenez pas cela.

42        Et c’est le genre d’yeux qui doivent être ouverts ce soir, et il n’y a qu’un seul collyre qui peut le faire. Oh! Vous ne pouvez pas recevoir une piqûre de pénicilline pour cela. Vous ne pouvez pas non plus vous laver les yeux avec la graisse de ratons laveurs pour le faire. Aucun médecin n’a de remède contre cela. Mais Dieu a le Saint-Esprit de Son onction d’Huile qu’Il verse sur votre huile... sur vos yeux, et vous dites: «Maintenant, je vois. Autrefois, j’étais perdu, mais maintenant, je suis retrouvé; j’étais aveugle, mais maintenant je vois.» Ce sont ces yeux-là que nous voulons qu’ils soient ouverts. Observez à l’estrade; considérez la Bible; Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et vos yeux s’ouvrent et vous pouvez Le voir.

43        Après Sa résurrection, il y avait quelques hommes, l’un d’eux s’appelait Cléopas, et son ami, ils étaient en chemin, effectuant leur voyage retour; ils rentraient à leur ancien devoir. Et alors qu’ils avançaient sur le chemin, un Etranger est apparu, un Homme avec qui ils ont marché pendant trois ans et demi; ils avaient marché, ils avaient évité chaque chemin pavé sur ce chemin difficile, si jamais vous l’avez déjà emprunté. Ils allaient dans chaque tournant, Lui serraient la main, et ils étaient aveugles et ne L’ont pas reconnu jusqu’à ce qu’Il les a amenés à Emmaüs. Il est entré dans une pièce avec eux, et puis, Il leur a ouvert les yeux. Et ils ont reconnu que c’était le Seigneur. Et aussitôt que leurs yeux furent ouvert, il leur avait fallu toute une journée de sabbat de voyage à l’aller, mais au retour, ils ont fait juste quelques minutes.

            Quand vos yeux s’ouvrent, allez rapidement travailler pour Dieu. Vous ne vous inquiétez plus. Vous allez simplement travailler. A l’intérieur du coeur, il y a des yeux, les yeux de la compréhension.

44        Un ministre m’a dit il y a quelque temps... j’étais dans une maison pour une réunion et il m’a dit: «Monsieur Branham, j’amènerai une petite fille estropiée, et si vous guérissez cette fille, je croirai en vous.»

            J’ai dit: «Je vais vous dire la même chose que mon Seigneur avait dit à votre père: ‘Arrière de moi, satan.’» Vous savez, c’est tout à fait vrai. J’ai dit: «J’ai un ami pécheur assis là dans une maison, qui a un cigare, long comme ça à la bouche, il maudit à chaque bouffée parce que sa femme assiste à cette réunion; allez sauver cet homme, et je croirai que vous pouvez sauver.»

            Il a dit: «Je le peux s’il croit.»

            J’ai dit: «Amenez la jeune fille à avoir la même foi et je le pourrai aussi.» Certainement. C’est basé sur votre foi.

45        Aux jours de notre Seigneur Jésus, les gens ne pouvaient pas douter qu’Il était un Guérisseur, mais ils disaient qu’Il n’était pas un Sauveur. Le diable a simplement renversé les rôles à leurs dépens. Aujourd’hui, ils disent: «Il peut sauver, mais Il ne peut pas guérir.» Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, le Sauveur, le Guérisseur, le Roi du Ciel, l’Auteur de la Vie Eternelle, le Donateur de tout don excellent venant de Dieu au travers de Jésus-Christ.

            Vos yeux étant ouverts... Oh! Si seulement nous pouvions voir! Observez et voyez ce qu’Il fait dans Sa grande puissance, particulièrement dans ces jours-ci dans lesquels nous vivons, en ce temps merveilleux. Les gens sont secoués, ils ne savent que faire... L’Amérique a besoin de missionnaires plus que n’importe quelle nation où j’aie jamais été. C’est vrai.

46        Eh bien, je ne dis pas ceci pour être différent. Et avec cette Bible ouverte devant moi, c’est la Parole du Dieu vivant. Mais savez-vous ce que le mot païen signifie? Un païen signifie un incroyant Et c’est mieux de... c’est plus facile de convertir un païen non instruit que d’essayer de convertir quelqu’un d’instruit. C’est vrai. Le païen sans instruction est simple dans ses pensées; mais le païen instruit, il va tout s’imaginer et en faire un mensonge. Le diable a utilisé le système éducationnel pour envoyer plus d’âmes en enfer que n’importe quoi d’autre que je connaisse. C’est tout à fait vrai. Eh bien, je ne dis pas que vos enfants doivent être des illettrés. Mais en premier lieu, placez Christ à la porte. Mais ne placez jamais l’instruction au-dessus de Christ. L’instruction prendra fin; Christ ne prendra jamais fin. Laissez Christ entrer dans le coeur, alors le reste... l’instruction suivra.

47        Je préférerais que mon petit garçon Joseph qui est là ne connaisse même pas son ABC, mais qu’il connaisse Jésus comme Son Sauveur, plutôt que de le laisser avoir toute l’instruction du monde et être le président des Etats-Unis sans connaître Christ. Absolument. Je préférerais cela. S’il peut être les deux, ça sera bien. Mais si je dois faire un choix, qu’il connaisse Christ. Et même s’il doit être un mendiant dans la rue, qu’il connaisse Christ, ça sera ma prière à Dieu.

48        Les yeux ouverts... Nous regardons les choses qui frappent. Rappelez-vous, tout ce qui brille n’est pas or. J’ai beaucoup prospecté. La pyrite, ce qui est la pyrite de fer brille plus que le vrai or. Mais sa valeur de ... Soyez sûr que vos yeux voient la chose correcte.

            Mais les Américains... nous avons vu tellement de Dieu. Dieu a été si bon envers nous que nous ne Le reconnaissons pas. C’est devenu... Vous dites: «Allons à la réunion», à un voisin.

            «Qui prêche?»

            «Eh bien, untel, Oral Roberts.»

            Oh! Oral Roberts est un grand homme de foi. Oh! Il a une, si vous permettez cette expression, une prise de bouledogue. Il se tiendra là et il lancera ce grand bras et criera trois ou quatre fois, et s’il n’y a rien d’autre, il va faire sortir le diable de vous en l’effrayant. Mais il a une prise de bouledogue. Il croit cela et Dieu honore cela. Oral Roberts est mon ami intime, un puissant homme de la foi.

            «Oh! J’ai déjà entendu Oral Roberts.»

            Vous direz: «Eh bien, Frère Branham est là.»

            «Oh! Oui. J’ai vu frère Branham se tenir là et il y a le discernement, et il le révèle aux gens, j’ai déjà vu cela.» Le problème avec cela, vous en avez trop vu; c’est devenu si ordinaire pour vous que ça ne donne plus les résultats que ça devrait donner.

49        Pour terminer, je pourrais faire cette déclaration. Une fois, un homme était allé à la mer. Il voulait flairer l’eau salée. Il voulait entendre les mouettes sauvages voler. Il voulait voir le grand jet de vagues alors qu’elles montaient en l’air avec un jet de cette eau salée. Il voulait ôter ses chaussures, patauger dans les rivages dans cette eau salée. Oh! Cela allait être vraiment épatant pour lui d’aller là-bas.

            Sur son chemin vers là, il a rencontré un homme qui en retournait, c’était un vieux loup de mer comme nous l’appelons, un marin. Et il a dit: «Où vas-tu, mon bon homme?»

            Il a dit: «Oh! Marin de grandes eaux, a-t-il dit, je vais là pour me réjouir des bénédictions de l’eau salée, du ciel bleu, et de beaucoup de choses que la mer contient.»

            «Oh! a-t-il dit, j’ai été élevé là-dessus. Je n’y vois rien d’épatant.»

50        Vous voyez, il avait tellement vu cela et s’en était tellement réjoui que c’était devenu ordinaire. C’est ce que vous les Américains vous faites de Christ. Il a été si bon envers vous. Vous L’avez vu ouvrir les yeux des aveugles. Certains d’entre vous ne traverseraient même pas la rue pour voir cela une fois de plus. Vous L’avez vu guérir les malades. Vous L’avez vu accomplir des miracles. Vous avez vu tous ceci, et c’est devenu si ordinaire. Cela n’est plus épatant.

            C’était le grand mystère de ma vie. Comment les Ecritures peuvent-elles être si claires et les gens sont là, sachant que l’Esprit de Christ est dans la salle, et ils restent simplement tranquilles? Je ne peux pas comprendre cela, à moins que vos yeux ne soient pas ouverts. Il est si bon.

51        Là au sud, nous avions un vieux noir là, un homme de couleur, un ministre, un frère merveilleux. Et sa femme et tout le monde essayait de persuader un autre homme, il s’appelait Gabriel. Tous, nous l’appelions Gabe. Gabe, c’est juste un diminutif de Gabriel. Et c’était un vieil homme bon, mais on n’arrivait pas à l’amener à s’aligner avec Christ.

            Quand je tenais des réunions là-bas, il disait: «Non, monsieur. Je n’irai certainement pas là où le pasteur Branham se trouve; il dénoncera tous mes péchés devant moi. Je n’irai pas là-bas.»

52        Et j’aimais tellement chasser, ainsi... Et Gabe aussi aimait chasser. Et son pasteur là-bas à cette assemblée des hommes de couleur, une église pentecôtiste, il–il aimait aussi chasser. Il a donc emmené Gabe à la chasse un jour. Et Gabe était un piètre tireur. Il ne pouvait même pas atteindre le côté d’une grange. Il ne pouvait rien atteindre. Mais il aimait bien chasser. Ainsi, ce jour-là, pendant qu’ils étaient en train de chasser, ils avaient tiré tellement de gibiers que sur le chemin de retour... Ils avaient des lapins, des oiseaux partout sur eux. Ils pouvaient à peine marcher avec tant de gibiers. Et le fidèle vieux pasteur de couleur marchait devant avec son fusil en main, et Gabe chargé de gibiers qui oscillaient derrière lui.

53        Après un temps, ils ont emprunté un vieux sentier familier au coucher du soleil, et le... Le vieux Gabe a touché le pasteur à l’épaule, il a dit: «Pasteur?»

            Et il a regardé tout autour et il a dit: «Oui, Gab?» Et il a remarqué que Gabe riait et les larmes lui coulaient sur les joues. Il a dit: «Gabe, qu’y a-t-il?»

            Il a dit: «Pasteur, le dimanche matin, vous allez me trouver au banc des pénitents.» Et il a dit: «Quand j’aurai quitté cet endroit, je vais me trouver un siège dans l’église. Et pasteur, je vivrai là et servirai Dieu tant que je vivrai.»

            Et le pasteur a dit: «Gabe, vous savez, je suis heureux de savoir cela.» Il a dit: «Je suis si heureux. Mais écoute, Gabe, j’aimerais te demander quelque chose.» Il a dit: «Pourquoi ce changement soudain? J’ai prêché; j’ai supplié; j’ai persuadé; ta femme a jeûné et prié.» Il a dit: «Qu’est-ce qui a provoqué ce changement soudain?»

            Il a dit: «Pasteur, vous savez que je suis un piètre tireur.» Il a dit: «Je ne peux rien atteindre.» Il a dit: «Regardez simplement tous ces gibiers qu’Il m’a donné.» «Eh bien, a-t-il dit, vous savez, Il m’aime, sinon Il ne m’aurait pas donné tous ces gibiers.»

54        Si vous remarquez bien, laissez simplement vos yeux s’ouvrir. Il est tout autour de vous. Il a la volonté, Il est prêt, Il veut vous donner de bonnes choses. Prenez Ses bénédictions afin que vous puissiez Le louer et rendre témoignage de Sa bonté.

            Mais si Dieu parle à votre coeur, ouvrez cette porte de vos yeux afin que vous puissiez voir qu’Il est ici; Sa bonté, Il vous en chargera. Ma prière est que vous ouvriez votre coeur ce soir, votre entendement, que vous ouvriez votre coeur de la foi, que vous ouvriez la porte de l’égoïsme, que vous ouvriez la porte de l’indifférence, que vous ouvriez la porte de la malice qui est dans votre coeur, et que vous laissiez Christ entrer et être totalement Seigneur et Gouverneur de votre vie.

55        Prions avec nos têtes inclinées. Dieu Eternel et Adorable, c’est un auditoire si merveilleux; apparemment, nous pouvons parler toute la nuit. Mais l’heure avance. Nous Te remercions de ce que Tu continues à frapper à la porte du coeur des hommes. Nous Te remercions de ce que Tu veux toujours entrer, souper et discuter avec nous de tout problème que nous avons. Si c’est le péché, Tu discuteras de cela avec nous. Si nous sommes orgueilleux, Tu en discuteras; donne-nous une cure. Si c’est la maladie, Tu es le Grand Médecin qui se tient à la porte et frappe. Si c’est le manque de compréhension, Tu ouvriras nos yeux. «Si un homme manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu.» C’est ça, les Ecritures, Père, et nous croyons que c’est Ta Vérité.

56        Je prie, ô Dieu, que Tu frappes maintenant aux coeurs de beaucoup de gens. Ceux... Chaque coeur qui a un besoin, puisse Ton Saint-Esprit être à la porte maintenant, frapper et dire: «Enfant ou homme, ouvre ta porte et J’entrerai et discuterai de ce problème avec toi. Si tu veux plus de grâce, Je te l’accorderai. Si tu veux plus de foi, Je te l’accorderai. Si tu veux que tes yeux de l’entendement soient ouverts, J’ai le collyre pour cela. Je suis le Grand Médecin. Je suis Celui qui a pourvu à la nourriture pour les Israélites pendant tous les quarante ans de voyage. J’ai préservé leurs habits au point qu’ils ne se déchiraient point.»

            Il n’y avait qu’une seule prescription dans le grand sac de docteur Moïse. Ô Dieu, et si les gens pouvaient lire cette prescription ce soir... si les médecins de l’Amérique et du monde entier pouvaient seulement voir la prescription que docteur Moïse, avec deux millions de gens, il leur a fait traverser le désert, des centaines de bébés naissaient chaque nuit...

57        Les vieilles personnes, et pourtant, ils sont entrés dans le désert, il n’y avait pas un faible au milieu d’eux. Et si nos médecins pouvaient adopter cette prescription? Dieu notre Père, c’est ici dans Ta valise ce soir, la valise de Tes promesses et de Tes bénédictions. Et voici ce qui y est écrit, Père, alors que je le lis. «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies», qui s’en occupe. C’est Ta Parole; c’est Ta promesse. Ouvre Seigneur, l’entendement, des gens ce soir afin qu’ils puissent comprendre. Ouvre leurs coeurs et sois leur Seigneur, leur Dirigeant, non seulement leur Sauveur, mais leur Seigneur et leur Dirigeant, leur Dieu, afin qu’ils puissent être contrôlés par Ton Saint-Esprit. Car nous le demandons au Nom du Seigneur Jésus, Ton Fils.

58        Avec nos têtes inclinées, je vais simplement poser cette question, et s’il vous plaît, que chacun de vous garde la tête inclinée. Des fois, un ami pécheur est un peu conscient. Dieu hait le péché, mais Il aime le pécheur. Il a donné Sa Vie.

            Ami pécheur dans les salles bondées, ou dans l’auditoire principal, voulez-vous qu’Il entre ce soir? A-t-Il frappé... Vous savez qu’Il ne va pas... Si vous frappez à la porte de quelqu’un et qu’il ne veuille pas vous laisser entrer, vous ne reviendrez plus, mais pas Lui. Peut-être qu’Il a frappé pendant des années, mais un jour, Il frappera pour la dernière fois. Voulez-vous Le laisser entrer ce soir?

59        Que personne ne regarde. Levez la main, ami pécheur. Je ne vous demanderai pas de faire plus, levez simplement la main vers Dieu. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre, que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, vous, vous, vous, vous. Ami pécheur... Que Dieu vous bénisse. Là dans les salles bondées, levez simplement la main. Où que ça soit, le long de ces fenêtres et partout ailleurs dans la salle où c’est diffusé par la télévision maintenant, levez simplement la main. Dieu voit cela. «Oui, Seigneur, je–j’ai besoin de Toi. Je vais maintenant Te recevoir comme Mon Sauveur.»

            Vous dites: «Frère Branham, cela représente-t-il quelque chose, le fait de lever les mains?» Eh bien, c’est prendre une décision. C’est entre la vie et la mort. Ce n’est pas si compliqué. C’est simplement vous qui croyez la chose. Nous essayons de faire en sorte que vous étudiiez le catéchisme pendant six ans et vous devez être mis à l’épreuve pendant six mois. Ça, c’est la doctrine élaborée par l’homme.

60        «Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie», quand il croit. Si vous croyez, levez la main, dites: «Oui, Seigneur, sois miséricordieux envers moi, je crois maintenant.» Que Dieu vous bénisse là-bas, madame. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse. C’est bon. «Je crois maintenant. Seigneur, viens au secours de mon incrédulité.» Que Dieu vous bénisse là-bas, monsieur. Que Dieu vous bénisse.

            Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse par ici, monsieur, à ma droite, là au coin. Je n’ai pas encore regardé à ma droite, levez les mains s’il y a quelqu’un là-bas qui aimerait dire: «Seigneur Jésus, ouvre... J’ouvre mon coeur maintenant. Je tire le loquet. J’ai été enfermé dans beaucoup d’égoïsme pendant un long moment. Peut-être que demain, ou un autre jour, mais ce soir, je tire le loquet. Je veux que Tu entres.» Il va le faire aussitôt que vous levez la main. Et vous ne pouvez pas lever la main à moins qu’Il vous appelle.

61        Et si vous étiez l’un de ces gens qui ne peuvent plus jamais sentir Dieu? Vous savez, il y a des gens... Dieu, ne voulant pas qu’aucun périsse; mais il y a des gens qui ne peuvent jamais être sauvés, non pas parce que Dieu ne le veut pas, mais Dieu, par la prescience, le savait.

            Combien ici ce soir sont déjà chrétiens et ont (que Dieu vous bénisse, jeune homme)–qui sont déjà chrétiens et... mais vous ne menez pas le bon genre de vie en tant que chrétien? Dites: «Jésus, entre et prends la porte de l’orgueil, de l’égoïsme, quoi que ce soit sur la voie et ouvre ma porte ce soir.» Voulez-vous levez la main? Que Dieu vous bénisse. C’est–c’est vrai. Que Dieu vous bénisse. Oh! la la! Beaucoup, trente, quarante mains. Que Dieu vous bénisse, madame. Certainement, le Seigneur vous voit.

            Combien ont été... Que Dieu vous bénisse là-bas, jeune homme. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. «J’ai été différent, Frère Branham; je n’ai jamais mené une vie complète de chrétien. Je veux que Dieu prenne mes portes maintenant et qu’Il les ouvre grandement. Prends tout l’orgueil, l’égoïsme, et le monde, fais sortir cela de moi. Je sais, je L’ai accepté comme mon Sauveur, mais je veux être un chrétien totalement soumis. Priez pour moi, Frère Branham. Je lève maintenant ma main et je dis: ‘Ô Dieu, je T’abandonne ma vie.’» Que Dieu vous bénisse, jeune fille. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse la jeune fille ici, le jeune homme là-bas, la petite fille et le jeune garçon là derrière, le jeune homme au fond, ce frère par ici. Oui, que Dieu vous bénisse là-bas au fond aussi. C’est vrai. Par ici, monsieur, que le Seigneur soit avec vous.

62        Maintenant, je vais poser une question de plus pendant que vous avez la tête inclinée. Combien ici aimeraient dire: «Frère Branham, j’ai lu la Bible; je t’ai écouté ces quelques dernières soirées. J’ai entendu comment Jésus-Christ s’est fait connaître aux Juifs en discernant les pensées d’un homme appelé Nathanaël. Et Nathanaël a dit, quand Il lui a révélé qui il était, Il a dit à Pierre quel était son nom, et les disciples et ceux... Aussitôt qu’Il s’est fait connaître, les Juifs L’ont compris et ont dit: «C’est le signe du Christ. Tu es le Christ, Tu es le Fils de Dieu, Rabbi.»

            Et quand Il a fait ce même miracle et qu’Il a parlé à la femme samaritaine, quand Il s’est fait connaître aux Samaritains, et la femme avait eu cinq maris. Et Il lui a demandé à boire, elle Lui a dit que le puits était profond et qu’Il n’avait rien pour puiser. Il a dit: «Va chercher ton mari, et viens ici.»

            Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que quand le Messie sera venu, ça sera le signe du Messie, Il fera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu?»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Il s’est fait connaître aux Samaritains de cette façon-là. Maintenant, pourquoi ne s’est-Il pas fait connaître aux Gentils? Il leur a dit de ne pas aller chez les Gentils. C’est ce jour-ci. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

63        Vous dites: «Seigneur, j’ai observé ceci, mais ce soir, peut-être c’est trop ordinaire pour moi. Peut-être ce soir, Seigneur, si seulement Tu ouvres les yeux de mon entendement et que Tu oignes mes yeux avec cette vue spirituelle... Laisse-moi, Seigneur, voir Ta Présence ce soir, connaître et comprendre que je vis juste au moment où le monde va arriver à sa fin.» Les spoutniks et les bombes et... Ils disent que dans une année, ils vont envoyer une moquette à la lune. C’est du non-sens. Ça, c’est une Babylone moderne. Ne voyez-vous pas que nous sommes à la fin des temps?

            Dites: «Seigneur, ouvre-moi les yeux pour comprendre.» Voulez-vous lever la main, avec la tête inclinée? «Ouvre-moi les yeux, Seigneur; que je comprenne.» Que Dieu vous bénisse. C’est bien. C’est bien. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Que Dieu vous bénisse là derrière, monsieur. Que Dieu bénisse notre frère de couleur là. Oui, c’est vrai. Que Dieu vous bénisse là derrière, mon frère. Assurément. «Ouvre-moi les yeux, Seigneur.»

            Voici le... «Voici mon coeur; voici chaque clé; voici tout; ouvre simplement, Seigneur. Que... Sois le Seigneur; gouverne ma foi; gouverne mes émotions; gouverne mes–mes yeux; gouverne tout, Seigneur. Prends-moi simplement, Seigneur; me voici. Que je sois totalement soumis à Toi.» Que Dieu vous bénisse là dans les salles, les salles bondées et tout. Que le Seigneur vous bénisse. Maintenant, prions.

64        Bien-aimé Père céleste, nous avons prêché toute la nuit, nous aimons faire cela. Parle à Tes enfants là où ils mangent. Et c’est une telle bénédiction de laisser le Saint-Esprit entrer et se nourrir de la Parole. Maintenant, ce n’est pas tout, Seigneur. Nous Te sommes si reconnaissant de ce que Tu as ôté même l’incrédulité.

            Mais, Seigneur Dieu, Tu as manifesté Ta Parole. Tu as prouvé que la Parole est la Vérité en La manifestant. «Allez par tout le monde et manifestez la puissance du Saint-Esprit à chaque nation. Voici, Je suis avec vous tous les jours. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, et en vous jusqu’à la fin de monde.» Pas étonnant que Paul ait dit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»

65        Bénis ces gens. Je sais que ceux qui ont levé les mains sont sauvés. Je sais que ceux qui ont des différends, ça sera éclairci; et ceux qui ne pouvaient pas comprendre, leurs yeux vont s’ouvrir ce soir. Leur foi sera libérée et ceci sera l’un des plus grands apogées que nous ayons jamais atteint dans ce–ce réveil. Accorde-le, Père.

            Maintenant, à moi-même, je T’abandonne mon coeur, mon tout. Mes émotions, mon être. Parle, Seigneur, et que les gens sachent que Tu es Christ et que je suis Ton serviteur. Car je le demande au Nom de Jésus. Amen.

66        Vous sentez-vous bien? C’est merveilleux, soeur. Chantons simplement un couplet de cela. Aimez-vous chanter? Eh bien, regardez, vous pouvez avoir tous vos petits chants que vous voulez, de petits jubilés. Donnez-moi les cantiques à l’ancienne mode. Je suis un homme à l’ancienne mode. Je–j’aime cela. Oh! la la! N’aimez-vous pas cela?

Ne m’oublie pas ô Doux Sauveur, écoute mon humble cri.

            Quelqu’un en connaît-il le compositeur? Certainement, Fanny Crosby. Elle était aveugle.

            Vous vous rappelez l’histoire, quand ces écrivains anglais sont venus et qu’ils voulaient qu’elle écrive un de ces cantiques d’amour moderne, ce qui serait bon aujourd’hui, mais elle a refusé d’écrire quoi que ce soit d’autre que les cantiques religieux.

67        Et l’un d’eux a dit, comme deux d’entre eux lui parlaient: «S’il existe un ciel et que vous y allez, vous ne verrez jamais Christ. Et si vous étiez aveugle à votre arrivée là-bas? Alors quel... comment Le reconnaîtriez-vous si vous étiez toujours aveugle?» Et elle a dit: «Je Le reconnaîtrai. Je Le reconnaîtrai bien que je sois aveugle, pourtant je Le reconnaîtrai.» Et elle s’est retournée et s’est mise à se frayer un chemin vers la maison, et l’inspiration l’a frappée pour ce cantique: «Je reconnaîtrai, oui je Le reconnaîtrai, racheté, je me tiendrai à Ses côtés. Je Le reconnaîtrai, je Le reconnaîtrai par les empreintes des clous dans Ses mains.» Elle a dit: «Je tâterai Ses mains, et je Le reconnaîtrai.» Certainement.

68        Tout homme ou femme qui ait jamais fait quelque chose pour Dieu, a grandement ouvert son coeur à la foi et a vaillamment pris position pour Christ. Que Dieu vous l’accorde.

Ne m’oublie pas, ô Doux Sauveur,
Ecoute mon humble cri.
Pendant que les autres...

            (Que tout le monde se joigne maintenant.)

Sauveur, Sauveur,
Écoute mon humble cri,
Pendant que Tu appelles les autres,
Ne m’oublie pas.

            Maintenant, Il ne vous dépassera pas. Il n’a jamais dépassé quelqu’un. Il entend leur cri. J’aurais souhaité amener tous les malades à l’estrade et exercer le discernement si le Seigneur le permet. Je ne sais pas ce qu’Il voudra.

69        Combien dans cette salle, ce soir, n’ont jamais assisté à l’une de mes réunions auparavant? Faites voir les mains. Regardez simplement. Vous voyez ce que je veux dire. C’est la raison pour laquelle j’amène différentes personnes à parler avant. (J’espère que vous avez expliqué le ministère avant que j’entre; l’avez-vous fait? Comment quelqu’un vient introduire le ministère avant que je vienne à l’estrade. Je ne prétends pas être un guérisseur, mes amis. Je ne peux pas guérir. Personne d’autre ne peut guérir. Frère Oral Roberts, un grand homme de Dieu, mais il ne guérit pas. Il vous impose simplement les mains et demande à Dieu. Frère Valdez, frère Allen, et beaucoup de grands hommes, votre propre pasteur ici, les grands hommes dans le champ missionnaire qui prient pour les malades, mais aucun d’eux ne guérit. Eh bien, ce sont des prédicateurs. Ils peuvent prendre la Parole et La prêcher. Je ne suis pas un prédicateur. Je–je n’ai pas d’instruction, je ne peux donc pas prêcher. Vous savez cela maintenant.

70        Mais ce que le Seigneur m’a donné, c’est un type de ministère différent. C’est un ministère de voir les visions. Combien savent que Dieu a promis de donner cela à l’Eglise? Combien savent que les dons et les appels sont sans repentir? Combien savent la différence, qu’un don de prophétie n’est pas un prophète? Certainement. Un don de prophétie doit être jugé par deux ou trois personnes avant que celle-ci soit donnée. Mais un prophète l’est de naissance, AINSI DIT LE SEIGNEUR, depuis l’enfance. Vous voyez?

71        La Bible déclare: «Premièrement les apôtres.» Est-ce vrai? Les apôtres, nous les appelons aujourd’hui les missionnaires. C’est ça premièrement. Le plus grand appel, c’est celui d’être un missionnaire. Que signifie apôtre? Quelqu’un qui est envoyé. Que signifie missionnaire? Quelqu’un qui est envoyé. Les missionnaires, les prophètes, les docteurs, les pasteurs, les évangélistes. Combien savent que c’est la vérité? Eh bien, nous devons avoir tout cela. Certains sont des pasteurs, d’autres des docteurs, d’autres des évangélistes, d’autres des missionnaires et d’autres des prophètes.

            Eh bien, nous avons ces choses dans l’Eglise. Elles sont... Pourquoi sont-elles envoyées? Est-ce que le... L’apôtre, c’est le plus grand appel. Un missionnaire est le plus grand appel. Le prophète et ainsi de suite... Mais ils ne sont pas différents. Tous sont des serviteurs de Dieu pour modeler et rassembler le Corps de Christ.

72        Quand Jésus était sur terre, Il ne prétendait pas être un Guérisseur. Il déclarait être le Fils de Dieu et disait que le Père était en Lui. Combien le savent? Combien savent qu’Il a dit dans Saint Jean 5.19 qu’Il ne faisait rien à moins qu’Il... que le Père Lui montre quoi faire? Il voyait ce que le Père faisait, puis Il allait le faire. C’est ce qu’Il a dit. Il ne pouvait pas mentir. Il était Dieu. Voyez?

            Il ne faisait donc jamais un miracle à moins de voir premièrement une vision de ce que le Père Lui disait de faire. Les gens venaient à Lui, Il connaissait leur nom. Il leur disait ce qui clochait, ce qu’ils faisaient. Combien savent que c’est la vérité? Combien savent que c’est de cette façon qu’Il s’est fait connaître. Et Israël L’a reconnu par cela, ils ont dit: «C’est le signe du Messie.» Combien savent que la Bible dit cela? Saint Jean, chapitre 1. Combien savent que c’est de cette façon qu’Il s’est manifesté en Samarie? C’est comme ça que cette femme L’a reconnu, elle était entrée et avait parlé aux gens de la Samarie, elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. Ne serait-ce pas le Messie?

73        S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il fait la même chose hier, aujourd’hui et éternellement. Comment pouvez-vous prendre la vie d’un pommier et la mettre dans un pêcher? Quel genre de vie que va porter le pêcher? Des pommes. Voyez? Prenez la vie d’un pécheur et mettez-y la Vie de Christ, il portera les fruits de Christ. Est-ce vrai? Il a dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments. Le Cep ne porte pas de fruits, il fait pousser–il fait pousser les sarments, et ce sont les sarments qui portent les fruits si c’est un sarment sain. Si beaucoup de plantes rampantes s’enroulent tout autour, que les ismes et autres s’enroulent tout autour, cela coupe toute la circulation, cela ne sera rien.

74        Mais si c’est un bon sarment sain, cela portera les fruits du cep. Est-ce vrai? Eh bien, l’église, ce sont les sarments. Lui, Il est le Cep. Elle doit absolument porter Sa Vie. S’Il fait cela, qu’Il fait la même chose ce soir à l’Eglise que ce qu’Il avait fait avant Sa crucifixion et Sa résurrection, combien diront: «Je crois réellement (Vous les nouveaux venus), je croirai réellement qu’Il est ressuscité d’entrer les morts s’Il se manifeste ce soir dans Son Eglise, tout comme Il l’avait fait quand Il était ici sur terre»? Levez les mains vers Lui, le voulez-vous, auditoire? C’est bien. C’est très... Que le Seigneur accorde cela.

75        J’aimerais prier pour ceux-ci. Ça me rappelle quelqu’un que le Saint Esprit avait oint. Maintenant, je... Aviez-vous distribué des cartes de prière? Hein? Qu’avez-vous distribué aujourd’hui? W. Ils ont distribués les cartes de prière W et j’ai expliqué comment... Tenez, je vais montrer aux nouveaux venus. Combien ici veulent qu’on prie pour eux ce soir? Soyez honnête. S’il y a quelque chose de faux, et que vous voulez qu’on prie pour cela, levez la main, partout dans la salle, où que vous soyez, n’importe où? Les quatre cinquième de l’auditoire. Eh bien, qui va être le premier? Nous ne pouvons pas en prendre beaucoup. Les visions, juste une, cela a affaibli le Fils de Dieu. Combien savent cela? Une femme a touché son vêtement; Il était devenu faible. Voyez?

76        Mon ministère n’est pas de vous imposer des mains; ça, c’est une tradition juive. Le Juif a dit: «Ma fille est couchée malade à l’article de la mort; viens lui imposer les mains; elle sera guérie.» Mais le Gentil a dit: «Je ne suis pas digne que Tu viennes sous mon toit, dis seulement un mot, et mon serviteur vivra.»

            Jésus a dit: «Je n’ai pas trouvé une foi pareille en Israël.»

            C’est comme ça qu’il faut croire cela. Demandez-Lui simplement. Voici Sa Parole. Eh bien, la chose suivante à être prouvée, est- Il vivant? Croyez-vous qu’Il est vivant? Assurément, Il est vivant. Et maintenant, la seule chose qui est différente, c’est qu’ici Il est sous forme de l’Esprit plutôt que sous la forme physique. Combien savent cela? La forme de l’Esprit travaille à travers... Il n’a pas d’autres mains que les miennes et les vôtres; pas d’autres yeux que les miens et les vôtres, pas d’autre bouche que la mienne et la vôtre, et cela devrait être soumis. Dieu nous a créés l’un comme ceci et l’autre comme cela.

77        Ma part à moi, c’est de m’aban-... m’abandonner à un don et d’observer simplement... Et alors que je ne suis pas prédicateur pour prêcher, je... le Seigneur se sert de mes yeux pour voir ce qui est dans le passé, et ce qui sera dans le futur.

            Je prends n’importe qui ici ou n’importe où que vous voulez aller, sur les dizaines de milliers de fois, et pas une seule fois cela a jamais failli. Ces choses que vous voyez se passer ici sont moindres. Ce sont des choses que vous faites. Je ne peux pas faire opérer cela. C’est vous qui faites opérer cela. Si vous n’aviez pas de foi, rien ne se passerait. Mais avec votre foi, vous n’avez pas à être ici sur l’estrade.

78        Cette femme avait touché Son vêtement, elle était allée dans l’auditoire et s’est assise, où qu’elle était. Jésus a dit: «Quelqu’un m’a touché.» Il s’est retourné et a regardé jusqu’à repérer où elle était. Elle était là, cette femme souffrant d’une perte de sang, et Il lui a dit que sa foi l’avait sauvée. Il n’avait pas dit: «C’est Moi qui l’ai fait.» «Ta foi t’a sauvée.»

            Eh bien, avez-vous remarqué ce mot sauvé? C’est le mot grec Sozo, là, je crois. Sozo, physiquement ou–ou spirituellement, l’un ou l’autre. Vous êtes sauvé de votre maladie; vous êtes sauvé de vos péchés, tous les deux. Le même mot partout dans la Bible, chaque fois; Sozo, c’est ça le mot grec.

            Eh bien, votre foi vous a sauvé. La Bible déclare-t-Elle qu’Il est le Souverain Sacrificateur? Le Nouveau Testament dit: «Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités.» Combien savent que le Nouveau Testament dit cela? Croyez-vous alors que s’Il est vivant, qu’Il vit et que votre foi peut Le toucher, qu’Il va parler en retour et faire la même chose qu’Il avait faite là pour manifester qu’Il est toujours le Souverain Sacrificateur, qu’Il est vivant? Alors, priez. Dieu accordera cela.

79        Nous devons appeler à partir de quelque part. Je n’arrive pas à ma pensée ce soir sur ce que... ceux qu’on doit appeler. Qu’avons-nous appelé la première soirée? A partir de 1? Hier soir, nous avons appelé de 85 à 100? Eh bien, appelons ce soir les cartes de prière W. Prenez votre carte de prière. Regardez cela. Cela porte la lettre W. Qu’est-ce? C’est une petite carte... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] La Bible... Eh bien, Veuillez–veuillez m’accorder toute votre attention juste quelques instants. Eh bien, C’est le moment où notre Seigneur... La promesse qu’Il a faite, c’est soit la vérité, soit ce n’est pas la vérité. Eh bien, qu’est-ce qui serait plus facile pour vous? Accepter votre guérison par Sa promesse, ou venir ici et Le voir faire quelque chose; vous voudrez prendre ma place ici en haut. Voyez?

80        Mais ce que c’est, Il fait simplement que Sa Parole soit la Vérité. Il–Il–Il fait que chaque Parole soit la Vérité, toujours la Vérité. Eh bien: «Je serai en vous. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Eh bien, à la porte de la Samarie, au puits, une femme et un homme se sont rencontrés, Jésus et la femme samaritaine. Il lui a parlé pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’Il a découvert où était son problème. Le Père le Lui avait montré, certainement. Le Père Lui avait dit d’aller en Samarie. Il était en route vers Jéricho; vous savez cela. Et Il est allé en Samarie, loin de Son chemin, et Il s’est assis au puits. Le Père a dit: «Montez là.» Mais Il ne savait que faire.

            La femme est sortie. Il a trouvé la femme et a commencé à lui enseigner, à lui parler. Et quand Il... Le Père Lui a montré où était son problème à elle, Il a dit à la femme où était son problème. Et alors, elle a dit: «Ça, c’est le signe du Messie.» Combien savent que c’est la vérité? Le même hier, aujourd’hui et éternellement.

81        Eh bien, est-ce clair pour vous? Je n’ai pas dit que j’étais le Messie. Que ça soit clair. Je suis votre frère, un pécheur sauvé par la grâce tout comme vous, indigne des bénédictions. Mais Il doit utiliser quelqu’un. Il doit choisir quelqu’un. Aucune main n’est assez sainte pour cela. Certainement pas. Mais Il doit utiliser celle de quelqu’un. Nous ne croyons certainement pas à notre sainteté. Ce sont Ses mérites. Je ne peux rien faire; c’est ce qu’Il a fait et je le crois.

82        Eh bien, j’aimerais vous dire, les visions m’affaiblissent tellement, j’aimerais vous dire au revoir et que le Seigneur vous bénisse réellement et priez pour moi alors que je pars. L’Esprit du Seigneur s’approche de plus en plus tout le temps. Combien En ont la photo ici maintenant? Combien ont vu cette photo? Cherchez-la, voyez cela, si c’est la vérité ou pas. La même Lumière que vous voyez sur la photo est à moins de deux pas de là où je me tiens maintenant même. Vous dites: «Frère Branham, si vous voyez Cela, puis-je voir Cela?» Pas nécessairement. Aucun d’eux n’avait vu l’étoile sauf les trois mages. Le groupe qui était avec Paul, ils ont entendu un bruit, mais ils n’avaient pas vu la Lumière. Et la Lumière était si réelle pour Paul que ses yeux étaient crevés. Dieu révèle à qui Il veut.

83        Eh bien, je suppose, soeur, la dame debout ici, que vous et moi, nous sommes inconnus l’un à l’autre. Le sommes-nous? Voulez-vous juste... Je... après avoir prêché, ça, c’est une autre onction, et je dois attendre cela. C’est la raison pour laquelle vous êtes ici, juste pour que je puisse trouver quelqu’un qui va–qui va... que je pourrais séparer des autres personnes pour parler avec lui quelques minutes.

            Eh bien, si nous sommes inconnus l’un à l’autre et que nous ne nous soyons jamais vus de notre vie à ce que je sache, à moins que vous ayez assisté à une réunion et que vous m’ayez regardé... Mais moi, je ne vous connais pas, vous savez cela.

            Si le Seigneur Jésus vient maintenant et vous dit, ou vous révèle quelque chose qui est dans votre vie, peut-être ce qui cloche, là où est votre problème, vous savez que moi, je ne connais pas cela, madame. Combien connaissent l’auditoire... cette femme... Je lève mes mains. Je ne crois pas au fait de jurer, mais voici mes mains devant la Bible. Je n’ai jamais vu cette femme, et elle ne m’a jamais vu en dehors du fait pour moi d’être dans une réunion et qu’elle m’a vu, je suppose, dans cette réunion-ci, alors qu’elle est assise ici en train de me regarder. Je ne la connais pas.

84        Eh bien, si je demandais: «Qu’est-ce qui cloche en vous, madame?»

            Et elle dirait: «J’ai le cancer, ou j’ai la tuberculose, ou j’ai quelque chose qui cloche chez moi.» Si je lui imposais les mains et disais: «Le Seigneur dit que vous allez vous rétablir. Alléluia! Allez de l’avant.» Eh bien, ça pourrait être correct. Elle pourrait avoir la foi pour croire cela. «Vous allez vous rétablir. Après une année, vous allez vous rétablir.» Elle pourrait se gratter la tête et dire: «Je me le demande.» Cela n’est toujours pas un miracle.

            Mais si Dieu retourne dans sa vie, quelque part, et trouve quelque chose qu’elle sait que c’est la vérité et que moi, je ne connais pas, et puis qu’Il révélait cela, qu’elle en soit juge. Alors, elle saurait que ça doit être une puissance surnaturelle et non pas un homme. Est-ce vrai? Sera-ce correct, madame?

85        Eh bien, Il doit agir de la même façon qu’Il avait agi quand Il était ici sur terre dans un corps physique. Il doit prendre mon corps physique et son corps physique à elle, ma foi dans Sa Parole et sa foi à elle dans Son don. Si elle s’en approchait avec respect, elle le recevra.

            Eh bien, elle sait que cela vient d’une puissance surnaturelle. Eh bien, si elle croit comme les pharisiens: «C’est Béelzébul», alors, elle aura sa récompense à lui. Si elle croit que c’est Christ, alors elle aura la récompense de Christ. Eh bien, le reste dépend de Dieu. C’est aussi loin que je peux m’avancer en tant qu’être humain. Que Dieu soit avec vous et vous aide.

86        Juste pour entrer en contact avec votre esprit, soeur, juste pour voir ce qu’Il me révélerait. Il pourrait ne pas me révéler une chose. J’aimerais vous poser une question. Croyez-vous que ce que j’ai prêché à Son sujet est la vérité? S’Il ne me révèle pas une chose, allez-vous toujours croire si je priais pour vous, que vous serez rétablie, ou–ou que vous obtiendrez ce que... Je ne connais pas ce pour quoi vous êtes ici. Mais allez-vous croire cela, de toute façon? Si je ne fais pas plus que prier pour vous, vous faire passer par la ligne, croirez-vous cela de toute façon? Que Dieu vous bénisse. Je–je crois que vous le ferez. Mais juste afin que les gens puissent connaître Sa résurrection, puisse-t-Il m’accorder que je sache cela. Combien, si le Seigneur révélait... Qu’elle en soit juge en levant les mains. Vous serez honnête à ce sujet, n’est-ce pas, madame? Levez la main afin que les gens puissent voir. Placez simplement vos mains, non pas pour jurer, simplement pour qu’ils voient que vous comprenez ce que je veux dire. Oui, oui, oui.

            Qu’elle soit juge si c’est vrai, s’Il le fait. Je ne dis pas qu’Il le fera. Combien alors diront: «Ça règle la question pour moi. Je le crois. Je vais–je vais...»? Si les Juifs pouvaient croire en cela une fois, les Samaritains pouvaient croire en cela une fois, qu’en est-il des Gentils?

87        Je pense combien ça sera pitoyable pour les gens que le Seigneur Dieu a bénis pour voir cela et pourtant, ils ne vont jamais reconnaître cela jusqu’à ce que ça soit passé par-dessus eux et fini. C’est comme ça que ça a été dans chaque âge. Ça ne sera pas différent dans cet âge-ci.

            Si les gens peuvent encore entendre ma voix, la dame est en train de s’éloigner de moi. Je la vois; elle est dans un état terrible. Elle souffre d’une maladie des nerfs. Et aussi, elle souffre du coeur. Non seulement cela, mais elle souffre de la gorge, et vous souffrez de la gastrite. Eh bien, qu’elle en soit juge. Est-ce que ces choses qu’Il a dites... La seule façon pour moi de connaître ce que c’est, c’est de réécouter cela dans ma bande là. Ce n’était pas moi. Ça ne pouvait pas être moi. Demandez à la dame si tout ce qu’Il lui a dit était la vérité. Etait-ce vrai? Agitez simplement votre mouchoir. Voilà.

88        Croyez-vous maintenant? Eh bien, que nous... Nous ne sommes pas pressés. Ne soyez pas pressés. Eh bien, vous qui n’avez pas de cartes de prière et qui n’allez pas être appelés dans la ligne, regardez simplement dans cette direction-ci, continuez simplement à croire; dites: «Seigneur, je crois cela de tout mon coeur.» Continuez simplement à regarder et croyez. C’est cela. Ne soyez tout simplement pas pressés. Soyez tranquilles. J’aimerais vous parler encore, madame. Tout ce qu’Il t’a dit était vrai. Je sais que ceci est... prendre de la force, mais vous êtes une personne gentille. Vous avez ressenti un merveilleux sentiment dans votre esprit. Vous êtes une chrétienne, je veux dire une chrétienne née de nouveau.

            Vous n’êtes pas d’ici de toute façon. Vous êtes de Michigan. Alors, vous aimez beaucoup Benton Harbor, n’est-ce pas? Votre nom, c’est Lydia. Votre nom de famille, c’est Schroeder. Croyez-vous que c’est terminé pour vous maintenant? Poursuivez votre chemin, en vous réjouissant. Ô Dieu, sois miséricordieux envers notre soeur.

89        Bonsoir, madame. Croyez-vous réellement? Croyez-vous de tout votre coeur? Si le Seigneur Dieu trouve faveur ce soir pour vous dire quelque chose... Je vois que vous êtes... Quelque chose que vous ne supportez pas bien. Voulez-vous l’aider là juste un moment, frère? Oui.

            Eh bien, regardez ici vers moi et croyez de tout votre coeur. La dame souffre du coeur. Vous souffrez aussi de la toux. C’est une toux asthmatique. C’est vrai. Et vous souffrez aussi de la bronchite, dit le docteur. C’est vrai. La raison, ce ne sont pas vos pieds; vous êtes simplement faible. Vous avez été alitée plusieurs jours et vous êtes sortie du lit pour venir ici afin qu’on prie pour vous. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai, n’est-ce pas? Dieu vous récompensera pour ceci. Prions.

            Dieu Tout-Puissant, la Force de notre être, accorde à cette femme sa guérison. Elle doit avoir cela ou mourir. Et je Te prie, ô Dieu, d’ôter chaque ombre et de lui donner une force surnaturelle maintenant afin qu’elle puisse être guérie au Nom de Jésus. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur. Ne doutez pas le moins du monde que vous possédez ceci...

90        Croyez-vous de tout votre coeur? Ayez simplement foi. C’est tout ce que je vous demande de faire. Regardez dans cette direction-ci, et croyez. Je ne peux pas guérir. C’est Dieu qui est le Guérisseur. Vous êtes Ses sujets.

            Bonsoir. Je suppose que nous sommes étrangers l’un à l’autre, n’est-ce pas, madame? Je ne vous connais pas. Vous êtes membre d’une religion différente, et beaucoup de ces gens portent ces petites casquettes... différentes personnes. Mais croyez-vous que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, et qu’Il est mort pour nous racheter? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Je dis ceci avec respect, juste comme Pierre et Jean ont dit: «Regardez-nous, non pas comme Lui, mais comme envoyés par Lui.»

            Si Dieu me révèle, disons par exemple, ce que vous êtes, ou ce qui cloche chez vous, allez-vous croire cela? C’est notre toute première rencontre, je crois, dans la vie. Est-ce vrai? Vous êtes une mennonite pour commencer, je vois votre colonie. Et vous souffrez du foie. C’est vrai.

            Et ce n’est pas tout ce qu’il y a sur votre coeur. Vous avez quelque chose d’autre sur votre coeur. C’est pour votre mari. Il n’est pas ici. Si Dieu me révèle ce qui cloche chez votre mari, ce qu’il est en train de faire en ce moment même, allez-vous me croire? Il tousse. Il a la fièvre. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.

            Madame Miller, croyez-vous que je suis le serviteur de Dieu? Croyez-vous? Rentrez chez vous, placez ce mouchoir sur lui; ça sera terminé.

91        Bonsoir, monsieur. Je pense que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Philippe est allé trouver Nathanaël, et quand il l’a trouvé, il a dit: «Viens voir Qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph. Et Philippe a dit... ou plutôt Nathanaël a dit: «Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?» Il a dit: «Viens, et vois.»

            Et en chemin, il lui a dit cela, peut-être à propos de la conversation entre Pierre et les autres, comment Il leur a révélé leurs noms, Il leur a révélé qui ils étaient. Il fait la même chose aujourd’hui. Il est le même Christ. Quand il est arrivé là, il était sur le point de croire. Mais quand Jésus l’a vu, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

92        Nous savons tous les deux que nous sommes des êtres mortels et que nous devons faire face à Christ un jour. Que Dieu soit miséricordieux envers nous.

            Si le Saint-Esprit me révèle ce qu’est votre problème, allez-vous croire cela? Il y a quelque chose sur votre dos. C’est votre colonne vertébrale, des douleurs spinales. Et vous souffrez de l’arthrite. Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez de Chicago. Vous avez quelque chose d’autre à l’esprit. Vous priez à ce sujet. Vous priez pour cela depuis un certain temps. C’est une femme. C’est votre soeur. Elle n’est pas à Chicago. Elle est à Cleveland. Elle souffre du coeur et elle est folle. Croyez-vous cela? Allez trouver les choses telles que vous le croyez, frère, au Nom du Seigneur Jésus.

93        Bonsoir. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas. Dieu vous connaît. Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre qui est sérieusement malade; une ville importante, Chicago. Il a une tumeur au cerveau, et il est sur le point de subir une intervention chirurgicale. Envoyez ce mouchoir et ne doutez pas. Et ce que vous croyez, c’est comme ça que ça sera. Que Dieu accorde les bénédictions à ce qu’elle demande.

94        En avons-nous déjà pris trois? Respectueusement, respectueusement, s’il vous plaît, juste une minute. Vous voyez, c’est arrivé à un point où le Saint-Esprit... Vous voyez, Christ, une personne L’a touché... et c’était un... Il a dit qu’Il était devenu faible. Que pensez-vous de moi? L’unique raison pour laquelle je peux tenir un peu plus longtemps, c’est parce qu’Il a dit que vous en ferez davantage. C’est Sa grâce.

            Croyez-vous que Christ est ici? Combien croient que c’est Son Esprit qui permet que ceci soit fait? Alors, soyez bénis. Vous pouvez avoir ce que vous demandez si vous le croyez.

95        Je vous suis inconnu, je suppose, madame. Je ne vous connais pas. Dieu vous connaît. S’Il me révèle votre problème, allez-vous croire en Lui? Si nous sommes inconnus l’un à l’autre, voudriez-vous simplement lever les mains comme ceci?

            Eh bien, auditoire, nous sommes tous deux témoins devant la Parole de Dieu. Si le Saint-Esprit fait ceci une fois de plus, allez-vous tous croire, promettre que vous allez croire?

96        Voilà ce que c’est. C’est pour une bonne chose. C’est que vous essayez de marcher avec Christ. Vous voulez une marche intime avec Lui. Vous avez vos hauts et vos bas, vous rétrogradez, vous avez un pied dedans, un pied dehors. C’est pourquoi vous voulez une marche intime avec Dieu. Ça, c’est une chose digne. Votre foi a été secouée au sujet de quelque chose, et cela vous a dérangé. C’est la vérité. Vous pensez que Dieu peut me révéler ce qui a dérangé votre foi? Est-ce... Ce dont vous avez besoin, c’est du baptême du Saint-Esprit.

            Voilà ce que c’est. C’est parce que vous désirez avoir un enfant, et vous faites de fausses couches et vous ne pouvez pas garder votre bébé. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Voulez-vous Lui abandonner tout cela maintenant, abandonnez votre coeur et tout?

            Dieu bien-aimé, sur cette femme pénitente qui vient humblement, voyant que l’ombre est suspendue au-dessus d’elle, je Te demande, Dieu bien-aimé, sur base de sa foi, de lui accorder ce qu’elle demande maintenant même. Puisse chaque coeur, chaque porte, s’ouvrir grandement, puisse-t-elle Le recevoir maintenant même pour tout ce dont elle a besoin. Je demande ceci au Nom de Jésus. Amen. Soyez-en juge. C’est vrai. Levez les mains si c’est vrai, quoi que ce soit. Maintenant, croyez-vous?

97        Qu’en est-il de vous dans l’auditoire? Etes-vous prêts à croire? Qu’en est-il de vous de ce côté-ci de la ligne? Croyez-vous de tout votre coeur? Vous qui n’avez pas de cartes de prière, j’aimerais que vous regardiez dans cette direction-ci. J’aimerais que vous croyiez de tout votre coeur. Priez.

            L’Ange du Seigneur m’a dit: «Si tu amènes les gens à te croire, alors sois sincère quand tu pries, rien ne résistera devant la prière.»

            J’aimerais prendre quelques personnes dans la ligne, si possible. Que Dieu veuille le permettre. Ayez foi, vous tous. C’est notre dernière soirée.

98        Oui, voici une dame assise juste ici, regardant droit vers moi au travers d’une épaule. Vous souffrez de la poitrine. C’est vrai, madame. Vous assise juste ici, en lunettes, avec des cheveux ramenés vers l’arrière. Vous souffrez de la poitrine, n’est-ce pas? Vous respirez profondément. Vous avez entendu ce que j’ai dit. Vous souffrez de la poitrine; vous n’en souffrez plus maintenant. Votre foi vous a guérie.

            Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, madame? Je ne vous ai jamais vue. Si c’est vrai, levez-vous, je ne vous ai jamais vue, je n’ai pas du tout eu de contact. La voilà. Rentrez chez vous maintenant; vous êtes guérie. Jésus-Christ vous guérit et vous rétablit.

99        Qu’en est-il de cette rangée ici dans cette section-ci? Allons un peu plus loin. Croyez-vous? Qui a dit cet amen que je viens d’entendre? Vous, avec votre... vous en chapeau rouge? Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu, ou Son serviteur? Ce mot-là achoppe les gens. Je vous suis inconnu. Je ne vous connais pas. Mais si vous me croyez, Dieu vous guérira de cette arthrite.

            Pourquoi avez-vous levé la main, vous assise à côté d’elle? Vous voulez être guérie d’une maladie à la colonne vertébrale, n’est-ce pas? Et la raison pour laquelle vous avez levé la main, vous deux, vous êtes venues ensemble, et vous êtes toutes deux des Canadiennes, n’est-ce pas? Vous n’êtes pas des Américaines; vous êtes des Canadiennes. Rentrez au Canada et répandez la Bonne Nouvelle. Christ vous guérit. Ayez simplement foi. Croyez de tout votre coeur. Vous pouvez recevoir cela.

100      Qu’en pensez-vous, madame? Est-ce que cela vous a frappée juste pour croire au Seigneur Jésus? Croyez-vous que je suis Son Serviteur? Avez-vous besoin que Christ fasse quelque chose pour vous? Croyez-vous qu’Il me le révélera? Allez-vous accepter cela? Alors, votre mal au rectum vous quittera. Voilà votre maladie. Si c’est vrai, tenez-vous debout si nous sommes inconnus et qu’on ne se connaît pas l’un l’autre. Est-ce vrai? Très bien, alors recevez cela.

            Croyez-vous? Quelqu’un ici a la foi. Ne doutez pas, croyez. Vous souffrez de la tête. Une dame blonde est assise là, elle est grisonnante. Croyez-vous en Christ? Croyez-vous qu’Il peut me révéler ce qui a causé ces maux à la tête? C’est à cause de gaz. C’est vrai. Si vous le croyez, c’est vrai. Levez la main si c’est vrai. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Je ne vous ai jamais vue de ma vie, à ce que je sache. C’est vrai, n’est-ce pas?

101      Quel... Comment vous aurai-je connue autrement? Il y a une Lumière suspendue au-dessus de vous maintenant même. Cela a fait apparaître une vision. La voilà partir, Elle est partie sur la dame voisine, la deuxième dame, la suivante qui est assise au fond. Oui.

            Vous vous posiez alors des questions, n’est-ce pas? C’est au-dessus de vous. Je veux être honnête envers vous. Soyez honnête envers moi. C’est un sentiment que vous éprouvez maintenant même, c’est comme si vous n’en aviez jamais éprouvé auparavant, un sentiment vraiment doux, humble. Si c’est vrai, agitez la main. Alors, votre hypertension vous a quittée. Ayez foi. «Si tu peux croire, tout est possible.» Si vous pouvez croire, alors c’est tout ce qu’Il demande.

102      Pensez-vous que Dieu guérira cet enfant de la hernie, qu’Il le rétablira? Eh bien, croyez cela. Ne doutez pas, ayez ce que vous avez demandé.

            Allez-vous le croire aussi, frère? Cette nervosité vous quitte aussi. Que Dieu vous bénisse. Je pense que c’est à travers la salle. Croyez-vous? Croyez-vous que Christ vous guérira de cette arthrite et vous rétablira? Partez, en croyant. Cela sera accompli.

            Si vous croyez en Lui, ce diabète vous quittera, ça va vous quitter instantanément, vous serez rétabli. Croyez-vous cela? Alors, partez en croyant cela. Que Dieu vous bénisse comme vous avez cru.

103      Quand vous vous êtes levée, vous avez senti votre dos tout autre. Vous avez été guérie, assise là.

            Vous êtes très jeune, mais vous souffrez du coeur, dû à la nervosité Croyez-vous que Dieu rétablira cela? Partez en croyant maintenant. Amen.

            Quand j’ai dit maladie de dos à cette femme il y a quelques minutes, cela vous a frappé aussi, n’est-ce pas? Vous étiez guéri juste là dans la ligne. Maintenant, poursuivez votre chemin en vous réjouissant. Ne doutez de rien...?... soyez rétabli, si vous croyez de tout votre coeur.

            Et vous aussi. Croyez-vous la même chose et croyez-vous que cette chose qui étouffe va vous quitter, que vous serez rétabli? Poursuivez votre chemin, poursuivez juste votre chemin en vous réjouissant.

104      Disons: «Grâces soient rendues à Dieu!» Croyez-vous? Croyez-vous de tout votre coeur? Est-ce qu’Il fait que tout aille bien? Est-Il le même hier, aujourd’hui et éternellement? Croyez-vous cela solennellement de tout votre coeur?

            Alors, je vais vous demander de faire quelque chose. Imposez-vous les mains les uns aux autres, juste une minute. Je vais vous montrer la gloire de Dieu. Ne doutez pas. Ayez foi. Je sais... Je ne suis pas hors de moi-même, mais je deviens terriblement faible. Je dois arrêter dans une minute.

            Je crois que Dieu a confirmé ce que je vous ai dit être la vérité. Rien en moi, croyez en Lui. Peu importe que vous me touchiez; touchez-Le maintenant. Voyez? Va-t-Il... Il va prouver cela.

105      Maintenant, imposez-vous les mains les uns aux autres. C’est ça les Ecritures. La Bible déclare: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains–les mains aux malades, et les malades seront guéris.»

            Là dans la salle bondée, imposez-vous les mains les uns aux autres, si vous êtes malade et dans le besoin. Je vais prier pour vous. Si vous croyez dans ma prière, ayez foi maintenant. Alors que vous inclinez la tête, j’aimerais mettre dans votre bouche des Paroles qui vont défier le diable maintenant même. Priez simplement en les répétant alors que je prie, et vous, ayant la tête inclinée.

106      Dieu Tout-Puissant, Créateur des cieux et de la terre, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, sois miséricordieux envers moi. J’ai besoin de Ta grâce et de Ta puissance de guérison. Guéris-moi, ô Seigneur. Et guéris la personne à qui j’ai imposé les mains. Sois miséricordieux envers elle, Seigneur. Je compatis avec elle car elle souffre aussi. Je crois maintenant que Tu es le Christ ressuscité manifestant parmi nous de grands signes et des prodiges que Tu as promis que Tu ferais. Sois miséricordieux envers moi, et je Te servirai de tout mon coeur tant que je vivrai. Et par Ta grâce, cette soirée, je T’accepte parce que Tu as promis, je crois. Je suis maintenant guéri. Je crois cela. J’accepte cela. Je ne vais plus écouter Satan. Je vais louer Dieu pour ma guérison, car par les meurtrissures de Jésus, je suis maintenant guéri.

107      Soyez simplement enfermés. Restez enfermés, respectueux. Vous avez prié. Vous avez prononcé des mots corrects. Là juste dans votre coeur, sentez Sa bonté descendre. Ecoutez ces clés qui tournent dans votre porte-là, et cette foi que vous avez une fois désirée qui se libère, quelque chose qui vous dit qu’il y a quelque chose ici près de moi. Quelque chose me rétablit. Mes maux de tête sont partis. Mon mal d’estomac a disparu. Oh! Je me sens tout autre dans mes membres, dans mes bras. Une nouvelle vie est entrée.

            Gardez cela à l’esprit maintenant, pendant que j’ordonne au diable, au Nom de Jésus, de vous quitter. C’est le diable qui vous ferait douter de cela à n’importe quel moment.

            Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, je viens à Toi au Nom du Seigneur Jésus, Te demandant d’être miséricordieux et de pardonner notre incrédulité.

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