Jésus-Christ Est Le Même Hier, Aujourd’hui Et Eternellement
1 Merci, frère...?... Vous pouvez vous asseoir. Ceci est un grand privilège que j’ai tant attendu depuis un temps. J’ai souvent...?... le samedi. J’ai impatiemment attendu ce moment. J’ai rencontré frère Pittman, frère Wilson et beaucoup d’autres prédicateurs que j’ai rencontrés dans diverses régions du pays. C’est depuis environ sept ou huit ans que j’ai été invité ici. Et me retrouver ici ce soir, c’est certainement un grand privilège.
2 Et alors, nous n’aimerions pas prendre beaucoup de temps, parce que monsieur Vayle et les autres, les prédicateurs, prêchent. Nous sommes venu passer ces cinq journées avec vous. Nous aurions souhaité rester davantage.
Et rien que d’entrer dans la salle et de sentir la–la–l’atmosphère dans les réunions, elle semble être bonne, tout au début. Oh ! je–j’aime ça ! Et maintenant, cela montre que vous avez ici de bons prédicateurs qui vous enseignent et qui tiennent des réunions de prière. C’est ça qui fait les réunions, des gens qui prient.
Eh bien, un prédicateur ne peut pas seul déclencher un réveil. Il faut Dieu pour envoyer le réveil, et il faut des gens, Son peuple, disposés à se rassembler et prier. Et alors, Il a dit: «J’exaucerai du haut des cieux, si les gens sur qui Mon Nom est invoqué s’assemblent et prient.» Il exaucera donc du haut des cieux, et Il les guérira. Et nous reconnaissons que Ses promesses sont vraies.
3 Ce soir, je me disais que ce serait un bon moment pour juste faire connaissance, parler de la raison de notre présence ici, de ce pour quoi nous prenons position, du but de notre présence ici. Et alors, nous nous serons–nous nous serons un peu familiarisés. Demain après-midi, il y aura un service d’instruction. Puis, demain soir, également, nous prierons pour les malades.
Nous ne pensons pas mettre tout l’accent sur la prière pour les malades. Nous mettons les mala-... la prière pour les malades, c’est juste comme lorsqu’on se met à pêcher. Vous utilisez l’appât, mais vous ne montrez jamais l’hameçon au poisson. Vous le laissez juste voir l’appât. Et aussitôt qu’il prend l’appât, il prend l’hameçon. C’est donc ce que...
4 Nous prêchons l’Evangile, nous croyons d’abord qu’un homme doit naître de nouveau. Il doit naître de nouveau. Et puis, eh bien, s’il n’est pas né de nouveau, alors il ne peut pas comprendre le Royaume de Dieu. C’est ce que Jésus a dit à Nicodème: «Si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le Royaume.» Et le mot voir, là, c’est une traduction anglaise, en réalité ça veut dire: Il ne peut pas comprendre le Royaume de Dieu, tant qu’il n’est pas né de nouveau.
5 Et maintenant, beaucoup parmi vous ont lu des livres sur l’histoire de ma vie. Nous n’avons pas de programmes à parrainer, rien. Nous ne vendons pas d’articles, juste... Nous avons quelques livres, je pense qu’on a dit qu’on en avait environ soixante ou soixante-quinze. C’est tout. En effet, présentement, ces livres sont épuisés, on les réimprime.
Et puis, on a quelques photos, dont celle de l’Ange du Seigneur qui sera montrée ou dont on vous parlera plus tard.
Or, nous ne sommes pas ici pour représenter ou pour édifier une quelconque dénomination ecclésiastique. Nous sommes ici pour représenter une Personne. Et cette Personne, c’est Christ. Nous sommes ici pour un principe, et c’est pour Son–Son principe. Nous venons vous saluer au Nom du Seigneur Jésus.
Nous ne sommes pas contre une dénomination. Nous sommes pour toute dénomination, peu importe le credo ou la couleur. Nous soutenons toutes les dénominations, mais pas des dénominations bien déterminées. Ainsi donc, c’est une réunion d’ensemble. Tout le monde peut venir de plein gré.
Ce n’est pas dans une église, c’est dans un auditorium comme ceci, ou c’est une petite salle de basket, et tout le monde peut venir. Tout le monde est le bienvenu: protestant, catholique, Juif, athée, incroyant. Tout celui qui veut venir peut bien s’avancer. Ils sont tous les bienvenus.
6 Maintenant, la guérison divine. Souvent, les gens pensent que nous sommes ici pour représenter la guérison divine. Non, nous sommes ici pour représenter le Guérisseur divin: Christ, non pas la guérison divine.
Et il n’y a ni en moi-même, ni en aucun autre homme, aucune puissance qui puisse vous guérir. Il y a... Dieu n’a jamais donné à un homme la puissance de guérir un autre. La guérison, c’est la foi dans l’oeuvre achevée, que Christ a accomplie pour Son Eglise au Calvaire. C’est quelque chose de déjà achevé. Ce n’est pas une puissance qui a été donnée aux hommes. C’est une puissance dans... C’est la foi dans ce qui a été déjà acquis pour l’Eglise.
Le salut, le salut vient en premier lieu. Et le salut... Vous direz... Ce soir, je peux demander: «Combien ont été sauvés il y a deux ans?» Beaucoup de mains se lèveraient. «Combien ont été sauvés il y a six mois?» Peut-être que beaucoup de mains se lèveraient, de ceux d’il y a six mois. Mais vous n’avez pas été sauvés il y a deux ans ou six mois. Vous avez été sauvés il y a mille neuf cents ans lorsque Christ mourut au Calvaire. Vous avez simplement accepté cela, votre foi personnelle a accepté cela il y a deux ans et il y a six mois. «Il a été blessé pour nos péchés, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» C’est la foi dans une oeuvre achevée.
7 Un homme a la foi... Et les prédicateurs, nous croyons que Dieu a établi Son Eglise; et dans Son Eglise, Il a placé des dons dans Son Eglise pour rassembler Son Eglise, pour La coordonner, pour fonctionner au profit de Son Eglise.
Nous croyons qu’il y a cinq dons, des dons de ministère, dans le Corps: Ce sont les prophètes, ou plutôt les apôtres, les prophètes, les docteurs, les évangélistes et les pasteurs. Ces dons et ces appels sont sans repentir. Dans le corps local, il y a neuf dons spirituels qui opèrent pour tout le corps, n’importe où, sur n’importe qui parmi les membres de ce corps, de–de l’église.
Je sais que cela a l’air... Peut-être que pour certains d’entre vous, ça peut être quelque chose de nouveau pour vous. Mais c’est l’Ecriture. C’est une promesse faite par le Dieu Tout-Puissant. Et Il tient chacune de Ses promesses.
8 Si jamais je dis, ou l’un de mes collaborateurs fait ou dit quelque chose en rapport avec l’enseignement qui n’est pas dans cette Bible, faites-le-moi savoir. Ceci est la Vérité, la Parole de Dieu. Eh bien, Dieu peut accomplir des choses qui ne sont pas écrites dans la Bible, mais cependant nous croyons que Ceci est le plan de Dieu: La Bible. Eh bien, chacun parmi vous les enseignants, surtout dans ce groupe ici de prédicateurs, chacun de vous trouvera des enseignants qui vous le diront.
Dans l’Ancien Testament, ils disposaient de deux moyens pour savoir si un homme disait la vérité ou pas, c’était... ils avaient quelqu’un qui avait des songes ou un prophète, s’il avait un songe, ou que le prophète prophétisait et que cela était un peu mis en doute, on l’amenait au temple, on avait ce qu’on connaissait sous le nom de l’Urim et le Thummim.
Ce que c’était, c’était le pectoral qu’Aaron portait. Il portait sur sa poitrine douze pierres, de naissance, de toutes les tribus d’Israël. Et alors, lorsque le prophète prophétisait, si la... cette lumière ne formait pas un faisceau lumineux pour refléter le surnaturel, alors peu importe combien la prophétie paraissait vraie, c’était faux. Et peu importe combien le songe paraissait vrai, c’était faux, car Dieu avait rejeté cela. L’Urim et le Thummim était la confrontation, une réponse surnaturelle au prophète.
9 Or, ce sacerdoce-là a été aboli, le sacerdoce d’Aaron, avec le sacerdoce lévitique. Mais aujourd’hui, Dieu a un nouveau sacerdoce, et Il a un nouvel Urim et Thummim, c’est Ça: la Bible. C’est Ici dedans, cela doit provenir de la Bible. Vos en... Nos enseignements et tout doivent être les actes du Saint-Esprit selon la Bible.
Je n’ai jamais vu le Saint-Esprit, à aucun moment, dans mon ministère... J’ai été ordonné dans l’Eglise baptiste missionnaire il y a vingt-sept ans, et je n’ai jamais été membre d’une quelconque autre église, à part l’Eglise missionnaire baptiste. Et maintenant, je–je ne suis membre d’aucune; donc, je... On ne m’avait jamais chassé. Je suis simplement sorti pour être libre, pour faire passer mes bras autour de tout le Corps de Christ et dire: «Nous sommes un.» Voyez? Voyez? Nous sommes un.
Jésus est mort pour ce principe-là, afin que nous soyons un. «Et à ceci tous connaîtront que vous êtes Mes disciples, lorsque vous aurez de l’amour les uns pour les autres.» Et lors de mes nombreux tours du monde, dans les champs missionnaires, en voyant notre Seigneur...
10 J’ai vu en Afrique du Sud, tout récemment, trente mille véritables païens venir à Christ sur un seul appel à l’autel, trente mille. Il y en avait environ près de deux cent mille là. A Bombay, en Inde, tout récemment, même si nous avions environ cinq cent mille personnes, il n’y avait pas moyen d’évaluer le nombre de ceux qui étaient venus à Christ à la fois.
Je crois que nous vivons présentement dans le dernier jour. Je crois que ceci est le dernier Message, ce Message de grâce que Dieu a donné à Son Eglise. Et je crois que Christ peut venir à tout moment. C’est pourquoi je suis ici ce soir, faisant de mon mieux pour lancer les appels de tout côté du monde, tout ce que je peux faire pour permettre aux gens de voir qu’Il est le Véritable Dieu vivant et qu’Il est l’unique Porte; l’unique religion sur des milliers de religions dans le monde, c’est la religion chrétienne, l’unique qui peut prouver que son Fondateur est toujours vivant. C’est Jésus-Christ.
11 Je me suis tenu avec... La plus grande religion au monde, c’est l’islam. Nous le savons tous. La deuxième, c’est le bouddhisme. La troisième, c’est le christianisme. Là, ce sont les catholiques, les protestants, mis ensemble. Et je me suis tenu avec une Bible dans une main et le Coran dans l’autre, j’ai lancé un défi à des dizaines de milliers de musulmans et tous les autres. Que le Dieu qui est Dieu parle.
Il n’y a pas de quoi avoir honte dans le christianisme. Si ce n’est pas la vérité, alors j’en suis quitte. Si Ceci n’est pas la Vérité, j’aimerais... c’est l’erreur la plus grave que le monde ait jamais connue. Mais si c’est la Vérité, alors je suis disposé à mourir pour cela. Et j’ai découvert que chaque Mot en est la Vérité. Il n’y a pas l’ombre de doute dans mon esprit.
12 C’est la raison pour laquelle je... Ce serait plus facile pour moi ce soir... Je ne viens pas pour acquérir une popularité. Ça, c’est une chose que je ne recherche jamais. Je ne cherche pas à devenir populaire. J’aimerais être sincère. Et je...
Et ce n’est pas pour l’argent. Tout celui qui a déjà assisté à mes réunions sait que je ne permets pas qu’on quémande, qu’on mendie l’argent, nulle part, pas du tout. Non, non. Je ne supporterais pas du tout cela. Les dépenses pour les réunions couvertes, c’est réglé.
Et si à la fin de la réunion, on me donne une offrande d’amour et que si les dépenses ne sont pas couvertes, cela y est directement affecté. S’il reste quelque chose de mon offrande d’amour, ce qui n’a pas été le cas depuis longtemps, mais s’il en reste quelque chose, cela est directement affecté aux champs missionnaires, affecté à l’oeuvre de Dieu aussi vite que possible. Voyez, nous n’avons pas–pas d’argent. Nous ne sommes pas ici pour votre argent. Non, non. Je suis ici dans un seul but, c’est de vous aider, et que vous, vous m’aidiez. Et nous sommes ici ensemble pour glorifier le Bien-aimé Fils de Dieu, le Seigneur Jésus-Christ.
13 Et maintenant, nous... Ce soir, je pensais plutôt vous donner un petit aperçu de ce que nous–nous croyons.
Eh bien, j’aimerais d’abord dire que nous distribuons généralement des cartes de prière dans des réunions. Si docteur Vayle ne l’a pas déjà fait... Il a dit qu’il ne l’a pas fait. Eh bien, à nos tout débuts, j’alignais simplement les gens, et c’était comme un–un... Eh bien, les gens s’empoignaient pour entrer dans la ligne. On ne pouvait donc pas supporter cela. Ce n’est pas une arène. C’est une église. Ça a peut-être été une arène dans le naturel, mais nous nous en servons comme une église. Ce n’est pas un lieu où se ruer. Alors, j’ai laissé tous les prédicateurs qui collaborent, j’en vois ici ce soir, on dirait que c’est le–le groupe ici. Il y a au moins vingt-cinq prédicateurs, je pense, qui collaborent, peut-être plus, au moins cinquante d’entre eux.
Eh bien, si je remets à chacun d’eux une centaine de cartes, qui fera venir son groupe ici en premier? Eh bien, ce groupe qu’on fera venir ici sera celui qui va occuper toute la réunion. Que fera alors l’autre ministre? Cela provoque donc des ressentiments parmi les prédicateurs.
14 Après, j’envoyais des hommes distribuer les cartes de prière, et j’en ai surpris un en train de vendre des cartes de prière. Là, c’était fini. Puis, j’ai placé mon fils pour distribuer les cartes de prière, car je savais qu’il ne pouvait pas... Ou mes amis ici, Léo Mercier ou Gene Goad, qui sont mes jeunes gens chargés des bandes... Et, ou l’un d’eux peut distribuer des cartes. Autrement... Quand je prends donc un prédicateur, sa propre dénomination était... il devait tirer les ficelles...?... Il devait le faire.
Ainsi donc, j’ai pris mon propre fils. Il distribue les cartes, c’est juste une petite carte carrée portant un numéro. Vous pouvez la recevoir et vous aligner suivant le numéro. Et avec ça, nous avons alors connu ceci: si quelqu’un recevait un numéro au-delà de vingt-cinq ou de trente, il le jetait par terre. «Nous n’en voulons pas. Il ne sera pas appelé.»
Eh bien, ce que j’ai alors fait, c’est que je demandais à un petit enfant qui était assis devant moi: «Jusqu’à combien peux-tu compter, chéri? Viens ici. Mets-toi à compter.» Et là où tu... là où il s’arrêtait, ou elle, c’est à partir de là donc que je commençais. Croyez-le ou pas, maman demandait au petit Junior de s’arrêter juste là à son numéro. Alors, voyez, c’est juste un facteur humain; comprenez-vous cela?
15 Voici donc comment nous procédons. Nous venons ici, nous nous mettons donc à nous déplacer, distribuant toutes les cartes de prière, toutes, nous les distribuons, le premier jour. Si quelqu’un venait en retard, ou qu’il arrivait le deuxième jour, ça ne servait à rien de venir. Si vous n’étiez pas là le premier jour, vous ne pouviez pas avoir une carte de prière.
Ce que nous faisons donc chaque jour, c’est distribuer un certain nombre de cartes. A partir de cette soirée, personne, les–les jeunes gens qui les distribuent, personne d’autre... Ils les amènent ici même devant vous, ils les battent toutes ensemble, et vous pouvez recevoir, peut-être celui-ci, le numéro un, et le suivant, le numéro trente, numéro soixante, ou quatre-vingt-dix, ou quelque chose comme cela. Donc, personne ne sait à partir d’où on commence.
16 Ce soir, j’attends simplement que le Saint-Esprit me le dise, alors je me mets à appeler et à faire venir quelques-uns à l’estrade. Et puis, nous nous mettons à prier pour eux. Donc, aussitôt que le Saint-Esprit commence le travail, comme beaucoup parmi vous ont assisté aux réunions, eh bien, alors Il se meut dans l’assistance, partout où il y a les malades et les affligés, ils sont guéris par leur–leur propre foi personnelle en Christ. Je n’ai pas à faire cela moi-même. Je suis juste votre frère. C’est tout. Et je suis... Mais Christ, leur foi en Christ opère la guérison.
Et maintenant, chaque soir ou chaque jour, on distribuera ces cartes, chaque jour, des nouvelles. Et puis, parfois, lorsqu’on a beaucoup de cartes de distribuées, nous formerons une ligne, nous demanderons à nos frères prédicateurs de s’aligner afin de prier pour les malades, eux tous. Nous faisons venir les cartes et nous vous prouvons que Dieu exauce la prière de n’importe quel prédicateur, la prière de n’importe qui. On n’a pas à être un prédicateur. Vous pouvez prier pour les malades. Dieu honorera votre prière. Voyez? Ce qu’il y a, c’est la foi dans l’oeuvre achevée du Seigneur Jésus.
17 Aujourd’hui, on entend trop parler de la guérison. Et il y a beaucoup de diversités. Vous pouvez entendre le médecin dire du–du chirurgien... Eh bien, nous n’avons rien contre les médecins, les interventions chirurgicales, ou quoi que ce soit. Pas du tout. Je ne suis pas ici pour prendre la place du médecin. Je suis ici afin de prier pour... Docteur, si vous êtes ici, je suis ici afin de prier pour vos patients, mon ami, enfant de Dieu. Et nous ne sommes pas ici pour vous ravir vos patients.
Et nous voyons que le médecin, le docteur dira: «Eh bien, n’allez pas chez ce chirurgien-là. C’est un drôle de grand boucher. Il vous dépèce simplement. C’est inutile pour vous. Tout ce qu’il vous faut, c’est quelques médicaments.»
Vous allez chez le chirurgien: «Ces pullules sucrées ne vous servent à rien, il vous faut une intervention chirurgicale.» Le chiropraticien dira... Les deux médecins diront: «Il ne vous faut pas aller chez le chiropraticien.»
Le chiropraticien dira: «Pas chez l’ostéopathe.» Eux tous disent: «Tenez-vous loin du prédicateur.»
18 Mais qu’est-ce? Ce sont des motifs égoïstes. C’est exact. Car nous reconnaissons que la chirurgie, la médecine, l’ostéopathie, la chiropraxie, tout ça fait du bien. Et si les hommes avaient le bon sens, qu’ils avaient une attitude correcte, un motif juste, nous ferions passer le bras les uns autour des autres et nous avancerions, cherchant à aider notre prochain à avoir un peu plus de plaisir pendant qu’il est ici en vie à jouir de la bonne santé, tout le groupe.
S’il n’y a pas un homme qui cherche de l’argent avec ceci, et un autre qui cherche de l’argent avec cela, et si «je peux opérer», «si je peux lui éviter l’intervention chirurgicale» ou quelque chose comme cela. Eh bien, tous les médecins ne font pas cela. Ce n’est pas l’attitude de tous les médecins, ni de tous les chiropraticiens, ni de tous les autres, ni de tous les prédicateurs.
19 Mais j’ai découvert une chose: j’ai vu dans mon ministère que les médecins qui croient à la guérison divine sont de loin plus nombreux que les prédicateurs. C’est vrai. C’est vrai. Les médecins qui croient à la guérison divine sont de loin plus nombreux que ces... de prédicateurs. Certains d’entre eux s’y opposent très, très farouchement.
Alors que je n’ai jamais rencontré un médecin sincère... J’ai été interviewé chez les frères Mayo, à beaucoup de grandes cliniques. Vous pouvez vous représenter ce qui se passe à travers le monde. Et j’ai–j’ai trouvé très peu de médecins qui ne croyaient pas dans la guérison divine. C’est à cause de la façon dont c’est présenté. Voyez? Si vous vous présentez comme un guérisseur, le médecin en sait mieux.
20 Eh bien, il n’y a au monde aucun médicament qui puisse vous guérir. Eh bien, souvenez-vous-en, il n’y a aucun médicament, aucun médecin, aucune clinique, qui ait déjà guéri quelqu’un. Toute guérison provient de Dieu. Pouvez-vous saisir cela? Toute guérison provient de Dieu. Je crois que la Parole de Dieu est si infaillible qu’il n’y a pas un seul iota de Cela qui soit faux. Psaume 103.3 dit: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» S’il y avait peut-être autre chose, en dehors de Dieu, qui vous guérit, alors Dieu a dit quelque chose de faux.
Et, rappelez-vous, lorsque des circonstances se présentent, la façon dont Dieu agit dans cette circonstance-là, c’est ainsi qu’Il doit agir chaque fois par la suite, tel qu’Il avait agi cette fois-là, sinon Il avait mal agi lorsqu’Il avait agi cette fois-là. Dieu n’apprend pas davantage. Dieu est infini. Croyez-vous cela? Je crois que c’est pour ceux...?... ce matin, mais Dieu envoie? Il est parfait pour commencer. Et si Dieu a guéri les malades...?... là en Israël, lorsqu’ils étaient en pèlerinage, qu’il avait élevé un serpent d’airain pour l’expiation, et que Dieu a fait alors l’expiation pour la guérison parce que le peuple était dans le besoin, Il devra faire la même chose aujourd’hui, sinon Il avait mal agi lorsqu’Il avait fait cela là-bas. C’est vrai. Il aurait pu juste donner davantage de connaissance en médecine, mais Il a élevé un serpent d’airain.
21 Maintenant, rappelez-vous, voyons combien c’est simple. Et si je me blessais ce soir à la main avec un–avec un couteau, et que je tombais mort ici à l’estrade, vous m’amèneriez chez–chez l’entrepreneur des pompes funèbres, et il embaumerait mon corps. Puis, vous diriez: «Eh bien, c’est la fin de votre vie.» Eh bien, ce n’est pas... Tous les médicaments du monde ne peuvent pas guérir cette entaille à ma main. Un médicament qui guérit une entaille à ma main guérirait une déchirure à mon manteau. Il guérirait une fente à cette chaire. Eh bien, il dirait: «Frère Branham, le médicament n’a pas été fabriqué pour votre manteau ni pour la chaire.»
Eh bien, d’accord. Alors, si je me blessais à la main et que je tombais mort, qu’on m’injectait de la pénicilline et du sulfamide, qu’on me visite, qu’on m’embaumait avec un fluide, qu’on me donnait un air naturel pendant cinquante ans, et que chaque jour on me donnait une piqûre de pénicilline pendant cinquante autres années, à la fin de cette tranche de cinquante ans, cette blessure sera exactement telle qu’elle était le jour où elle a été faite. Eh bien, si le médicament guérit le corps humain, pourquoi donc ne guérit-il pas cela?
Eh bien, vous direz: «La vie en est sortie.» C’est ça. Dites-moi ce qu’est la vie, je vous dirai qui est Dieu. C’est vrai. Voyez? Dieu... Le médicament ne forme pas les tissus. Le médicament assainit seulement pendant que Dieu crée les tissus.
22 Et si je travaillais sur ma voiture ici et que je me fracturais le bras, que j’entrais précipitamment chez le médecin, en disant: «Doc, guéris très vite mon bras. Tu es un guérisseur, j’aimerais que tu guérisses mon bras»? Il dirait: «Monsieur Branham, vous avez besoin de la guérison mentale.»
Eh bien, c’est vrai. Eh bien, alors, s’il est un guérisseur, pourquoi ne guérit-il pas mon bras? Ce qu’il fait, il remet mon bras en place, et Dieu le guérit. C’est vrai. La guérison vient de Dieu seul.
Si je me blessais à la main, le médecin peut m’administrer le sulfamide ou peut m’administrer la pénicilline. Eh bien, vous direz: «Qu’en est-il de la pénicilline? Qu’arrive-t-il lorsque vous attrapez la pneumonie et que le médecin vous administre la pénicilline?» Ce n’est pas cela qui vous guérit. Certainement pas. C’est quoi, la pénicilline? La pénicilline, c’est comme la mort-aux-rats. Si vous avez–si vous avez une maison infestée de rats qui y creusent des trous, et que vous mettiez la mort-aux-rats, elle tuera les rats, mais cela ne bouchera pas les trous. C’est vrai. Eh bien, c’est pareil pour la pénicilline. Elle tue les–elle tue les germes, mais elle ne retape pas votre corps. Dieu doit recréer des cellules pour rétablir ce que les germes ont dévoré. Voyez? C’est l’absolue vérité.
23 Il n’existe pas de médicament qui puisse guérir. Le médicament n’a pas été fabriqué pour guérir. Les médecins, les bons médecins vous diront que le médicament ne guérit pas. Le médicament... Jimmy Mayo a déclaré dans leur grande clinique... il y a ...?... Maintenant, cette nouvelle visite de médecins a été acceptée. Mais ils ont dit: «Nous ne professons pas être des guérisseurs. Nous professons seulement assister la nature. Il n’y a qu’un Seul Guérisseur, c’est Dieu.» C’est vrai. C’est exact.
C’est donc Dieu qui est le Guérisseur, et la foi en Dieu, c’est une oeuvre achevée. Que le médecin vous administre n’importe quelle quantité de médicaments, si vous ne croyez pas que cela va vous aider, vous allez être un patient mort d’ici peu. C’est exact. Il y a... C’est votre foi. Vous devez croire.
Oh ! Vous ne pouvez pas rentrer chez vous ce soir sans la foi. Si vous pensez que vous ne pouvez pas vous déplacer et que vous croyez que c’est assez difficile, vous resterez là même. C’est exact. Vous devez croire cela. «Eh bien, comment puis-je croire cela, Frère Branham? Comment puis-je voir que je vais me rétablir?»
24 Il y a quelque temps, là dans les montagnes du Kentucky où je suis né... Et alors, je parlais à un homme et il a dit: «Frère Branham, je ne peux simplement pas accepter cela.» Il a dit: «Je dois le voir avant de pouvoir l’accepter.» Il tenait une lanterne en main. Eh bien, évidemment, vous ici, vous ne marchez pas avec des lanternes comme eux là dans ces montagnes. Et alors, j’ai dit: «Où habitez-vous?»
Il a dit: «De l’autre côté de la montagne, à environ deux miles [3 km].»
J’ai dit: «Comment allez-vous vous y rendre? Il fait terriblement noir.»
Il a dit: «Je me sers de cette lanterne.»
J’ai dit: «Eh bien, alors, vous ne voyez pas votre maison.»
Il a dit: «Non.» J’ai dit: «Eh bien, comment allez-vous donc vous y rendre? Que...»
Il a dit: «Eh bien, je tiens simplement la lanterne.»
J’ai dit: «C’est la même chose que vous faites donc.»
Entrer dans la Lumière, marcher avec la Lumière, Elle éclairera le chemin jusqu’à la délivrance si seulement vous continuez à marcher. «Marcher dans la Lumière comme Lui est dans la Lumière, le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous purifie de toute iniquité.»
25 Maintenant, j’aimerais tirer un sujet d’un passage des Ecritures. Eh bien, j’ai environ vingt minutes. J’aimerais tirer un sujet d’un passage des Ecritures. Mais avant d’ouvrir cette Sainte Parole bénie, parlons à l’Auteur.
Très Bienveillant Dieu, nous Te rendons grâces ce soir pour le Seigneur Jésus mort pour être l’expiation de nos péchés et de nos maladies. Nous Te remercions de ce qu’Il nous a accordé ce grand et merveilleux privilège de nous assembler ici dans cette grande vallée avec Ton peuple.
Et nous demandons que Sa glorieuse Présence se fasse connaître parmi nous soirée après soirée alors que le réveil se poursuit. Et, accorde, Seigneur, qu’il y ait... qu’il se produise quelque chose qui déclenchera un réveil à l’ancienne mode, dans cette contrée, de sorte que des dizaines de milliers d’âmes perdues soient ramenées dans le Royaume de Dieu. Accorde que chaque église qui a un siège vide soit remplie après ce réveil et qu’elle reste ainsi jusqu’à la Venue de Jésus.
Bénis ces frères prédicateurs, les bergers des troupeaux. Nous Te demandons, Dieu bien-aimé, de Te faire simplement connaître à eux d’une manière très spéciale. Bénis les laïques, les brebis de la bergerie. Bénis chaque dénomination.
Et maintenant, manifeste-Toi, Seigneur. Il est écrit dans les Ecritures: «La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la Parole de Christ.» Maintenant, nous Te prions de nous parler par la Parole, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
26 J’aimerais lire une portion des Ecritures, juste pour vous parler de la Parole pendant juste quelques instants avant la ligne de prière, juste pour vous permettre de vous familiariser avec le ministère.
Eh bien, tout le monde comprend qu’en distribuant les cartes, nous ne prétendons pas être des guérisseurs; il s’agit de votre foi en Dieu. Que tous ceux qui comprennent cela lèvent la main. C’est–c’est bien. Votre foi personnelle en Dieu.
Maintenant, dans l’Evangile de saint Jean, chapitre 12, verset 20, voici ce que nous lisons juste pour quelques instants donc. Nous allons prendre ceci pour avoir un contexte, le Seigneur voulant.
Quelques Grecs, du nombre de ceux qui étaient montés pour adorer pendant la–pendant la fête, s’adressèrent à Philippe, de Bethsaïda en Galilée, et lui dirent avec instance: Seigneur, nous voudrions voir Jésus.
Et maintenant, pour le sujet et le thème de notre campagne, c’est dans l’Epître aux Hébreux, chapitre 13, le verset 8:
Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
27 Maintenant, ce que je viens de lire, c’est une portion de la Parole éternelle de Dieu. Les cieux et la terre passeront, mais la Parole de Dieu ne passera point. Elle est tout aussi éternelle que Dieu. Et lorsque Son Eglise en arrive à accepter Sa Parole sur base de ces principes et de ces choses, que la Parole de Dieu est une partie de Dieu, alors Sa Parole...
Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Ainsi donc, nous avons lu les Paroles qui ne connaissent jamais de fin. Tant qu’il y a l’éternité, ces Paroles demeureront les mêmes.
Ces Grecs affamés étaient venus avec enthousiasme, avec cette requête: «Messieurs, nous voudrions voir Jésus.» Et comme votre frère, je ne pense pas qu’il y ait un homme dans son bon sens, ou une femme, qui ait jamais entendu parler de ce précieux Nom et qui sait ce que Cela représentait, ou qui ait une quelconque conception mentale de ce que Cela représentait, mais qui ne désire pas voir Jésus. Si je demandais à cette assistance ce soir: «Voudriez-vous voir Jésus?» Chaque personne ici dirait: «Oui.»
Eh bien, aussi, les Ecritures déclarent qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Pourquoi donc ne pouvons-nous pas voir Jésus? Si les Ecritures déclarent qu’Il est le même, Il doit donc rester le même, sinon les Ecritures ne sont pas infaillibles.
28 «Elles déclaraient cela juste pour un certain temps.» Mais ce n’est pas ça. La Bible déclare qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ainsi donc, cela doit être vrai. Et si ce n’est pas vrai, alors le reste de Cela n’est pas vrai. Soit tout est vrai, soit c’est faux. Vous ne voyez jamais quelqu’un qui ait donc cru cela et qui ait été sauvé sans avoir cru que c’était vrai.
Chaque promesse divine est oui. Et voici ce que j’atteste. Je crois qu’une bonne attitude mentale envers n’importe quelle promesse divine de Dieu le fera s’accomplir, si seulement vous considérez cela tel que c’est écrit.
Je pourrais ne pas avoir assez de foi pour faire cela, mais je ne ferais certainement pas obstacle à quelqu’un d’autre qui a assez de foi pour le faire. Voyez? Si je ne peux pas le faire, et que la promesse est faite, je dirai: «Que Dieu vous bénisse, mon frère.» Je pourrais ne pas marcher là où Josué avait marché. Je pourrais ne pas marcher là où Enoch avait marché; il effectuait juste une petite promenade d’après-midi et il rentra à la Maison auprès de Dieu; mais je ne ferais pas obstacle à quelqu’un d’autre qui peut le faire.
29 Je crois que la Parole est infaillible. Et il est dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Eh bien, comment peut-Il être le même? Maintenant, Il est le même quant à l’essence, le même quant à la puissance, le même quant à l’attitude. La seule différence en Jésus par rapport à ce qu’Il était hier, si ceci est Sa promesse, c’est qu’en ce temps-là, Il avait un corps physique ici sur terre comme nous, mais ce corps a été livré comme sacrifice, il a été ressuscité d’entre les morts et est assis à la droite du Père, intercédant sur base de notre confession. Et Il a aussi dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez.» Et ce mot monde veut dire l’ordre du monde, les incroyants. «Ils ne me verront plus; mais vous, vous Me verrez (c’est-à-dire l’Eglise, les croyants), car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement.
30 Dans Saint Jean 15, Il a dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Il parlait de Son Eglise. Il devait partir, Lui le Cep, et nous, nous sommes les sarments. Or, ce n’est pas le cep qui porte des fruits. Le cep donne toujours la sève aux sarments, et ce sont les sarments qui portent des fruits. C’est exact.
Remarquez, puisque le cep ne peut pas porter des fruits, il compte sur ses sarments. Et le sarment ne peut pas porter des fruits s’il ne reçoit pas la sève du cep. Donc, si vous qui êtes ici vous avez déjà vu un potiron, ce potiron porte des potirons si la vie des potirons est dans le potiron. Si c’est une pastèque, elle portera des pastèques si elle a en elle la vie de pastèques. Si c’est une vigne, elle portera des raisins parce que la vie des raisins est dans la vigne; elle donnera la sève aux sarments et ceux-ci porteront des raisins.
31 Si l’Eglise chrétienne est le cep, ou plutôt le sarment qui est en Christ, elle accomplira les oeuvres de Christ et manifestera la Vie de Christ. «C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.»
Eh bien, donc, la forme sous laquelle Il est aujourd’hui, Il est ici sous forme du Saint-Esprit, opérant au travers de Son Eglise, accomplissant les mêmes oeuvres qu’Il avait accomplies là. Cela fait de Lui le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Sa Vie, la Vie qui était en Christ, Lequel était Dieu, a produit le genre de Vie qu’Il avait vécue en ce temps-là, la même Vie entre dans Ses Eglises, les membres de Son Eglise, depuis qu’ils ont été purifiés par Son Sang et qu’ils ont permis au Saint-Esprit d’opérer au travers d’eux, ils portent les mêmes fruits que Lui avait portés. Ainsi donc, le monde peut donc voir que Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
32 Maintenant, si je vous demande, à vous les méthodistes: «Qu’en pensez-vous?», vous direz: «C’est vrai.» Dans Jude, nous sommes...?... pour chaque...?... combattre. Mais Il est dit: «Je combats ardemment pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.» Les baptistes pensent que ce sont eux qui combattent pour cette foi-là. Les pentecôtistes pensent que ce sont eux qui combattent pour cette foi-là. Les nazaréens pensent que ce sont eux qui combattent pour cette foi-là. Et je crois ça. Je crois certainement cela.
Mais maintenant, allons droit dans la Bible maintenant pour voir. Eh bien, si nous pouvons voir ce que Jésus était hier, alors Il doit être le même aujourd’hui et éternellement, sinon l’Ecriture est en erreur. Eh bien, cela semble-t-il raisonnable? Si nous pouvons voir ce qu’Il était lorsqu’Il était ici sur terre dans un corps, un corps physique, alors nous pouvons voir ce qu’Il sera dans Son Corps, l’Eglise, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
33 Eh bien, ce soir, j’ai lu dans Saint Jean. Eh bien, retournons dans la Bible, dans Saint Jean 1, lisons juste quelques instants. Voyons ce qu’Il était hier. Eh bien, si nous allions chercher Jésus comme ces Grecs l’avaient fait...
Or, Il n’était pas un prédicateur très puissant. Les Ecritures déclarent que Sa Voix ne se faisait pas entendre dans les rues et ailleurs. Mais Jean était un puissant prédicateur. Jean est apparu comme un prédicateur, il prêchait effectivement, mais sans accomplir un seul miracle. Christ suivit sans beaucoup prêcher–prêcher, mais Il accomplit de grands miracles.
Et quiconque a un brin de spiritualité peut voir aujourd’hui que ce même Esprit a accompli des miracles. Pensez à notre frère Billy Graham, apparaissant comme Jean, sans–sans miracles, prêchant seulement et réveillant les gens.
34 Eh bien, remarquez. Eh bien, lorsque Jésus, après qu’Il fut baptisé et qu’Il fut sorti de l’eau, le Saint-Esprit est venu sur Lui, et les pouvoirs dans les cieux et sur la terre Lui avaient été donnés, nous Le voyons lors de Son jeûne au désert. Et puis, quand Il en est sorti, Il a aussitôt commencé Son ministère sur la terre.
Et il y eut alors un homme. Eh bien, nous sommes dans Saint Jean. Lorsque vous rentrerez chez vous ce soir, ou demain, vous les femmes, lisez ce saint-là, cet Evangile de saint Jean pendant que le réveil est en cours. Observez, et comparez cela, passage par passage des Ecritures sur Jésus.
Eh bien, si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et qu’Il se manifeste le même hier, aujourd’hui et éternellement, combien aimeraient Le voir? Faites voir les mains pendant que vous êtes... «J’aimerais voir Jésus.» Oh ! Si les Ecritures déclarent que nous pouvons Le voir, pourquoi donc ne pouvons-nous pas Le voir? Si cette promesse nous a été faite, alors nous avons le droit de réclamer cette promesse.
Et si Dieu tient cette promesse-là, Il tiendra chaque promesse qu’Il a donc faite. Certainement qu’Il le fera. Beaucoup–beaucoup parmi vous ici ce soir, vous êtes des chrétiens. Dieu a tenu Sa promesse: Quand vous avez cru en Lui, Il vous a sauvé. Beaucoup parmi vous ont le baptême de l’Esprit. Ainsi donc, quand vous croyez cela, peut-être en pleine difficulté, mais vous voyez que les Ecritures avaient promis cela, vous avez reçu cela, car vous avez cru cela.
35 Eh bien, la guérison est aussi ici. Et Sa promesse est pour vous. C’est vrai. C’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéri. Pour Dieu, tout est réglé. Voyez? Jésus a payé le prix.
Maintenant, dans Saint Jean 1, nous voyons des hommes appelés Philippe et André. André était le frère de Simon Pierre, il est donc allé chercher son frère, dont le nom était Simon. Il lui a dit de venir voir Qui il avait trouvé. Il l’a amené dans la Présence de Jésus. Observons ce glorieux Saint-Esprit maintenant.
Et aussitôt qu’il est entré dans la Présence de Jésus, Jésus a dit: «Tu es Untel, tu seras appelé Céphas, Pierre, ce qui veut dire une petite pierre, et le nom de ton père est Jonas.» Eh bien, vérifiez si c’est scripturaire. Combien savent que c’est scripturaire?
Là, c’était Jésus hier. Aussitôt que cet homme L’a rencontré, Il a su qui il était et qui était son père. Pierre a reçu plus tard les clés du Royaume. C’est vrai.
36 Alors, cet homme, Philippe, qui était de la ville d’André et Pierre, avait un bon ami, un membre d’église, un homme très bien, qui attendait l’accomplissement de quelque chose. Il est allé à trente miles [48 km] de l’autre côté de la montagne (si jamais vous êtes en Palestine, vous pouvez aller voir cela), à partir du lieu où Jésus tenait Son réveil, trente miles [48 km] de l’autre côté de la montagne, à pied; et il a trouvé un homme du–du nom de Nathanaël, son copain.
Et quand il est arrivé, Nathanaël était sous un arbre en train de prier. Il lui a juste dit: «Viens voir qui nous avons trouvé: Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»
Et nous pouvons dire cela sans ressentiments. Peut-être que Nathanaël était un très bon presbytérien, ou un baptiste, ou d’une autre dénomination, un catholique. Eh bien, il s’est levé et a dit: «Eh bien, juste un instant. Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»
Et je pense qu’il lui a donné la meilleure réponse qu’un homme puisse donner. Il a dit: «Viens, et vois.»
C’est le meilleur moyen. Viens, sois convaincu personnellement. Ne...?... toi-même et ne sors pas à toute vitesse. Reste assis; attends jusqu’à la fin. Reviens la soirée suivante. Mets ça à l’épreuve. Viens, et vois. Ne reste pas à la maison à critiquer, mais viens, vois toi même.
37 Alors, il s’est préparé, et il a entrepris de contourner la montagne avec Philippe. Et en route, sans doute que Philippe s’est mis à lui dire: «Connais-tu ce vieux pêcheur là-bas, le vieux Simon?»
«Oui.»
«Tu sais, aussitôt qu’il est entré dans la Présence de cet Homme de Galilée, de Nazareth, ce Dernier lui a dit son nom et celui de son père. Eh bien, ça ne serait pas un mystère pour moi qu’Il te révèle qui tu es aussitôt arrivé.»
Voyez, il avait vu quelque chose. Il savait de quoi il parlait. Oh ! Je peux me représenter Nathanaël dire: «Eh bien, juste un instant. Tu as probablement perdu le nord.»
«Eh bien, allons. Tu as dit que tu irais voir.»
38 Et en route... Lorsqu’ils sont arrivés là où Jésus priait pour les malades, peut-être qu’il s’est tenu dans l’assistance. Peut-être qu’il est entré dans la ligne. Ça, je ne sais pas. Mais lorsqu’il est entré dans la Présence du Seigneur Jésus, Jésus a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»
Eh bien, c’était étrange. Examinez cela une minute. Voyez. Tous s’habillaient de la même façon. Il aurait pu être un Grec. Il aurait pu être un Arabe. Il aurait pu être n’importe qui d’autre. Mais Jésus a dit: «Tu es un Israélite, un homme sincère et juste.»
Cela a frappé ce petit homme. Et il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu? Eh bien, c’est la toute première fois que Tu me vois. Quand m’as-Tu donc connu?»
Et Jésus a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Quels yeux ! A trente miles [48 km] de l’autre côté de la montagne. «Je t’ai vu sous l’arbre.» Là, c’était Jésus hier. S’Il est le même aujourd’hui, Il doit être le même aujourd’hui, et Il le sera éternellement.
39 Maintenant, observez attentivement. Eh bien, qui était ce gars, Nathanaël? Il était un Israélite, de nationalité juive. Eh bien, lorsque ce miracle avait été accompli sur lui, il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.» En d’autres termes: «Tu es le Messie que nous attendions.»
C’est ce que le véritable croyant Juif a pensé quand cela avait été accompli; en effet, il a reconnu que c’était le signe du Messie. Et tout véritable croyant sait cela aujourd’hui, car Jésus ne change pas.
Mais il y avait beaucoup de gens, des membres de grandes églises, des évêques, des sacrificateurs, des docteurs, des gens habiles et intelligents; qu’avaient-ils dit? Ils ont dit: «Cet Homme est un diseur de bonne aventure, Béelzébul, un mauvais esprit.»
Jésus a dit: «Je vous pardonnerai pour cela. Mais quand le Saint-Esprit sera venu accomplir la même chose, un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné, ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir.»
40 Voyez-vous donc quelle sera la situation en ce jour-ci? Le Saint-Esprit viendra un jour et Il accomplira la même chose; alors, un seul mot contre Cela, ça sera le péché impardonnable, pour avoir taxé l’Esprit de Dieu d’esprit impur: un blasphème contre le Saint-Esprit, c’est d’En parler.
C’est comme, par exemple, vous me taxez de démon; ça sera en ordre. Vous pourrez vous en tirer, et Dieu vous pardonne. Mais taxer le Saint-Esprit d’une mauvaise chose, cela ne vous sera jamais pardonné. Vous devriez être mieux avisé.
41 Maintenant, ce que le–le vrai Juif avait cru, c’est ce que les Juifs instruits et orthodoxes avaient cru. L’un a dit: «Tu es le Fils de Dieu», parce qu’Il avait fait cela. Et l’autre a dit: «Il est un mauvais esprit. Il est possédé d’une puissance démoniaque qui Lui fait faire ça.» Il ne pouvait pas comprendre cela. Il n’était pas spirituel pour savoir par l’Esprit. Les choses de Dieu sont cachées aux yeux des sages et des intelligents.
Tous les deux lisaient la même Bible. Ils ne pouvaient pas reconnaître que c’était l’Esprit de Dieu. Ils connaissaient toute la théologie. Ils connaissaient toute la–la–la doctrine de l’église. Mais ils ne connaissaient pas l’Esprit. Ils ne connaissaient pas les véritables Ecritures.
Et alors, remarquez. Il va un peu plus loin. Nous Le trouvons dans Actes... je veux dire dans Saint Jean, chapitre 4. Il descendait à Jéricho. Mais il Lui fallait passer par la Samarie. Maintenant, si jamais vous avez été en Palestine, c’est tout à fait ailleurs. Monter là loin dans les montagnes de la Samarie plutôt que d’aller droit de Jérusalem vers Jéricho.
42 Mais, remarquez. Il Lui fallait passer par là. Maintenant, nous allons découvrir dans quelques minutes pourquoi. Il avait renvoyé Ses disciples vers midi. Et une jolie femme est arrivée, une belle femme, mais pour ainsi dire, nous croyons qu’elle était une–une femme de mauvaise réputation, une prostituée.
Et Jésus, un Homme d’âge moyen, bien qu’âgé seulement de trente-trois ans, les Ecritures déclarent qu’Il paraissait cependant en avoir cinquante. C’est ce que dit la Bible: «Tu dis que ce... Toi un Homme de pas plus de cinquante ans, Tu dis avoir vu Abraham ! Eh bien, nous savons que Tu as un démon.» Voyez? Probablement que cet air vieux, c’étaient les effets de Son travail.
Mais remarquez. Il était assis là, appuyé contre le mur. En Palestine et dans les pays orientaux, c’est un petit panorama comme cela, avec des vignes, généralement, surplombant cela; et il y avait un puits. Et cet endroit était comme cela.
Et Jésus était assis là; alors, cette femme est venue. Eh bien, Il savait qu’elle venait. Et remarquez. Lorsqu’elle s’est mise à faire descendre la cruche dans le puits... Si vous remarquez bien, cela a un treuil. Toutes les femmes allaient tôt puiser de l’eau, elles causaient et prenaient... Les femmes prennent tout ce qu’elles peuvent; elles causent, elles puisent de l’eau, vous savez, la transportent sur la tête et s’en vont avec.
43 Mais cette femme est venue vers midi. Pourquoi? Elle ne pouvait pas aller avec les autres femmes. Elle ne pouvait pas s’associer aux autres femmes, parce qu’elle était une femme de mauvaise réputation. Voyez? Et elle a dû aller puiser de l’eau au moment où elle n’avait pas à se mêler aux autres femmes.
Et Jésus était assis là, Il a dit: «Femme, donne-Moi à boire.» Rappelez-vous, elle n’était pas une Juive. Elle était une Samaritaine. Et il n’y a que trois races: Les Juifs, les Gentils et les Samaritains; les descendants de Cham, les descendants de Sem, les descendants de Japhet, à partir des trois fils de Noé.
Observez le... Pierre avec la clé de la Pentecôte, le jour de la Pentecôte: Pour les Juifs. Là en Samarie, pour les Samaritains; enfin chez Corneille; et depuis lors, le Saint-Esprit était bien libre. Il avait ouvert ça pour ces trois nations, ou... ou des peuples présents. Remarquez.
44 Alors, cette Samaritaine est venue. Et Il lui a dit: «Femme, donne-Moi à boire.» Et il y avait une ségrégation comme ce qu’on connaît dans le Sud.
Elle a dit: «Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose aux Samaritains. Nous n’avons pas de relations entre nous.»
Il a dit: «Si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire. Je t’aurais donné de l’eau que tu ne viendrais pas puiser ici.»
Et elle a dit: «Le puits est profond, et Tu n’as rien pour puiser.» La conversation s’est poursuivie. Que faisait Jésus? Il contactait son esprit jusqu’à ce qu’Il eût vu son problème. Et Il a dit: «Va, appelle ton mari, et viens ici.»
Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»
Il a dit: «Tu as dit vrai, car tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»
Observez ce que cette femme a dit. A-t-elle dit: «Eh bien, Tu es un démon»? A-t-elle dit: «Tu es Béelzébul»? Ou: «Tu exerces de la télépathie»? Elle a dit: «Seigneur... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ces choses, mais qui es-Tu?»
[Espace vide sur la Bande–N.D.E.] «... Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie?» Si c’était là le Messie hier, c’est le même aujourd’hui, s’Il demeure le même éternellement.
45 Certainement. C’est ainsi qu’Il s’est manifesté devant les Juifs. C’est ainsi qu’Il s’est manifesté devant les Samaritains. Mais pour vous, frères, et pour vous les érudits, ou les enseignants de l’école du dimanche et les autres, les lecteurs de la Bible, Il avait interdit à Ses disciples d’aller même chez les Gentils. Aucune fois Il ne s’est manifesté comme cela devant les Gentils. Pourquoi? Il réservait cela pour ce jour-ci.
Et s’Il s’est ainsi manifesté en ce jour-là aux Juifs et aux Samaritains, mais qu’Il se manifeste par la théologie ou autrement aux Gentils, c’est qu’Il s’y était mal pris en agissant ainsi à l’époque. Il doit être le même hier, aujourd’hui et éternellement; la même chose. C’est maintenant le temps des Gentils. Là, c’était la fin pour la race juive.
46 Quelle était l’attitude des autres? Quelques-uns ne croyaient pas en Lui, et ils L’ont taxé d’un démon. Les autres croyaient qu’Il était le Fils de Dieu. Ceux qui croyaient qu’Il était un démon recevront la récompense du diable. Mais ceux qui avaient cru que c’était le Fils de Dieu recevront la récompense du Fils de Dieu. Et celui-ci est le jour des Gentils, c’est pratiquement la fin de la dispensation.
Dieu voulant, cette semaine, j’aimerais aborder une prophétie (Je reviens de l’Orient, l’Orient et ailleurs), montrer ce qui vient d’arriver. Nous sommes au temps de la fin. Cette nation peut être réduite en poussière avant l’aube. Et cela est tout à fait enclin à cela. Il y a quatre-vingt-dix pour cent de chance contre dix pour cent que cela s’accomplisse. C’est vrai. Nous aborderons cela plus tard, car nous n’avons pas de temps maintenant.
47 Eh bien, lorsque Jésus est allé là... Une fois, Il a traversé la mer. Il a traversé. Un petit sacrificateur a dit: «Viens auprès de ma fille. Elle est couchée, malade.» Et une femme dans la ménopause souffrait d’une perte de sang depuis plusieurs années, elle toucha Son vêtement, fit demi-tour et regagna l’assistance.
Jésus s’était arrêté et avait demandé: «Qui m’a touché?» Et eux tous avaient nié cela. Mais Jésus était revêtu de l’Esprit de Dieu. Il était Lui-même un Homme, mais à l’intérieur Il était Dieu. Croyez-vous cela? Aujourd’hui, dans cet âge moderne, on essaie de faire de Lui juste un prophète. Il n’était pas un prophète; Il était le Dieu des prophètes. Une dame membre de l’église de la science chrétienne me disait, il y a quelque temps, elle disait: «Monsieur Branham, vous essayez de faire de Jésus Dieu.»
J’ai dit: «Il était Dieu. S’Il n’était pas Dieu, c’est qu’Il était le plus grand séducteur que le monde ait jamais connu.»
Elle a dit: «Si je vous prouve par les Ecritures qu’Il n’était pas Dieu, accepterez-vous cela?»
J’ai dit: «Assurément.»
Elle a dit: «Dans Saint Jean 11, quand Il se dirigeait vers la tombe de Lazare, Il a pleuré. La Bible dit qu’Il pleura. Il ne pouvait pas être Dieu et pleurer.»
48 J’ai dit: «Femme, votre argument est plus léger que le bouillon fait à base de l’ombre d’un poulet crevé de faim.» J’ai dit: «Vous savez mieux que ça.» J’ai dit: «Il avait pleuré. C’est vrai. Il était un Homme en pleurant. Mais lorsqu’Il s’est tenu là, qu’Il a redressé ce petit corps et a dit: ‘Lazare, sors’, et qu’un homme mort depuis quatre jours est sorti de la tombe, c’était plus qu’un homme. La corruption a reconnu son Maître; l’âme a reconnu son Créateur.» Oui, oui.
Lorsqu’Il descendait de cette montagne, un soir, affamé, Il a cherché quelque chose à manger et qu’Il n’a pu rien trouver, c’était un Homme lorsqu’Il était affamé. Mais lorsqu’Il a pris cinq petits pains et deux petits poissons et qu’Il a nourri cinq mille personnes, là, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu, le Créateur.
Il était un Homme lorsqu’Il était tellement fatigué, couché là, sur cette vieille petite barque ballottée comme un bouchon de liège sur un océan en furie. Dix mille démons de la mer avaient juré de Le noyer; Il était un Homme lorsqu’Il était couché là, endormi. Mais lorsqu’Il mit Son pied sur le bastingage de la barque, leva les yeux et dit: «Silence, tais-toi», là, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu qui...?...
49 Il était un Homme lorsqu’Il implorait miséricorde à la croix, mais lorsqu’Il a brisé les sceaux de la tombe le matin de Pâques et qu’Il en est sorti, Il était plus qu’un homme; Il a prouvé qu’Il était Dieu. Il n’est pas étonnant que le poète ait dit:
Vivant, Il m’aima;Mourant, Il me sauva;
Enseveli, Il emporta mes péchés au loin;
Ressuscitant, Il me justifia gratuitement pour toujours;
Un jour Il va venir, oh ! quel jour glorieux !
Plus qu’un homme. Il était Dieu manifesté dans la chair.
Quand cette femme Le toucha là, Il promena Son regard et demanda: «Qui M’a touché?» Là, c’était un Homme qui parlait. Tous ont nié cela. Mais cette puissance qui était en Lui ! Il a repéré cette petite femme. Il lui a dit quelle était sa maladie, Il lui a dit: «Ta foi t’a sauvée.»
Là, c’était Jésus hier. Il est le même aujourd’hui. Pas l’Ancien Testament, le Nouveau Testament dit dans Hébreux: «Il est notre Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités.» Comment sauriez-vous que vous L’avez touché si, par Sa grâce, Il ne répondait pas? Juste comme Il l’a fait hier, Il le fera aujourd’hui, sinon Il n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement. Nous vivons dans les derniers jours.
50 Observez-Le dans Saint Jean 5.19 se diriger vers une piscine. Là étaient couchées de grandes foules, des milliers de gens étaient couchés là: des boiteux, des infirmes, des paralytiques, des aveugles, attendant que l’eau soit agitée. Le voici venir quelques jours après que cela était arrivé. Il traverse cette foule-là. Il y avait des boiteux, des infirmes, des aveugles, des paralytiques; Il les a carrément dépassés, regardant çà et là jusqu’à repérer un homme couché sur un grabat.
Eh bien, vous les gens du Sud, vous savez tous ce qu’est un grabat. J’ai grandi sur un, donc une couverture matelassée à la porte (d’accord), ça garde le froid.
Et là, Il a trouvé un homme couché sur ce grabat, souffrant peut-être de la prostate, peut-être de la tuberculose. Quoi que ce fût, cela avait duré. Il en avait souffert depuis trente-huit ans, cela n’allait pas le tuer. Et Jésus dépassa tous les autres, alla auprès de cet homme et lui dit: «Veux-tu être guéri?» Combien savent que c’est l’Ecriture, Saint Jean, chapitre 5?
51 Suivez. Comment avait-Il su cela? En effet, Il savait que cet homme était dans cette condition depuis longtemps. Dieu Lui avait montré où aller. Eh bien, quand Il fut interrogé là-dessus, Saint Jean 5.19, pensez-y donc, 5.19, quand Il fut interrogé, Jésus a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Combien savent que c’est l’Ecriture? Exact.
Qu’est-ce? Il n’a jamais accompli un miracle, Il n’a jamais accompli une seule oeuvre sans que Dieu le Père Lui ait montré quoi faire, et Dieu le Père était en Lui. «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Et voici, Je suis avec vous tous les jours.» Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement...
Si c’est pour la guérison, c’est déjà acquis. Pour ce qui est du salut, chaque bénédiction de la rédemption qui est incluse dans l’expiation pour vous est vôtre par la foi.
52 Un prédicateur peut prêcher la Parole. Je ne suis pas prédicateur. Le prédicateur peut prêcher la Parole, Il peut rendre Cela tellement clair pour vous que vous L’accepterez comme ça. Donc, Dieu est bon.
Et si vous ne pouvez pas me croire sur parole, ça serait assez, mais ce n’est pas le cas avec Dieu. Non. Il retourne chaque pierre qui peut être retournée pour voir s’Il peut vous amener à croire. Ensuite, Il envoie Son Esprit en nous. Parfois, Cela opère de diverses manières. Il envoie Cela dans...?... pour se révéler.
Et ce n’est jamais trop...?... la vision...?... n’importe où, cela n’a été révélé de cette manière jusqu’aujourd’hui. Qu’est-il arrivé? Cela...?... Vous direz: «Eh bien, Frère Branham, cela ne peut pas...?... ici et là.» Cela n’a même pas été publié par les journaux. Pourquoi? Cela n’est jamais arrivé du temps biblique. Cela n’est jamais arrivé à l’époque des saints. Cela n’était jamais arrivé. Mais Dieu a apporté la Vérité malgré tout. Quand tout sera terminé, alors on dit: «Eh bien, je ne le savais pas.» Voyez? Vous... «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement.» C’est exact. C’est vrai.
53 Maintenant, je vous prie, mes amis, de comprendre que Jésus [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... est le même qu’Il était autrefois. Il agira en vous tel qu’Il avait agi en Christ en ces jours-là. Dieu le fera. Il agira à travers tout membre de Son Corps.
Eh bien, nous tous, nous ne pouvons pas faire la même chose. Certains sont des yeux, d’autres le nez, d’autres encore les oreilles; vous savez comment cela est, ce que les Ecritures déclarent, 1 Corinthiens 12; certains prophétisent, d’autres font autre chose, d’autres encore autre chose. Mais ce sont les dons de l’Esprit qui opèrent dans l’Eglise, le Corps.
Et Christ est ressuscité d’entre les morts. Eh bien, s’Il entre dans cette salle, se fait entendre, afin que vous voyiez Sa Parole, et accomplit la même chose qu’Il faisait hier en ces jours-là, comme je vous l’ai dit, alors vous saurez que c’est l’Ecriture. Si cela était le signe qu’Il avait accompli pour prouver qu’Il était le Messie à la fois–à la fois aux Juifs et aux Samaritains, Il est tenu de faire cela pour les Gentils. Combien savent cela? La Bible dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Prions.
54 Seigneur Dieu, Grand Jéhovah, fais-Toi connaître ce soir. Nous croyons que Tu es le Dieu infaillible, le Grand Elohim, le Grand Jéhovah-Jiré, Jéhovah Rapha, le Tout-Puissant, l’Alpha, l’Oméga. Tu n’es pas mort. Comment Dieu peut-Il mourir? Le Tabernacle dans lequel Il habitait était mort, mais pas Dieu.
Il a ressuscité ce Tabernacle-là, le corps de notre Adorable Seigneur qui a fait la promesse: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde.» Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Seigneur Dieu, nous ne sommes que des hommes. Nous ne sommes que des hommes et des femmes, et Toi, Tu es Dieu. Et, peut-être, il pourrait y avoir ici des gens qui n’ont jamais vu Ta grande puissance. Et pourtant, ils ont marché avec Toi. Ils ont parlé comme Cléopas et son ami.
55 Après la résurrection, ils avaient marché là toute la journée avec Toi. Tu leur avais parlé, leur expliquant les Ecritures. Ils ne T’avaient pas reconnu. Et nul ne peut connaître Dieu, sauf celui à qui le Fils de Dieu Le révélera. Et je prie, Père céleste, comme Cléopas et l’autre T’avaient fait entrer à l’intérieur, avaient fermé la porte de ce petit restaurant, alors Tu leur as ouvert les yeux, Tu as fait quelque chose tel que Tu le faisais avant Ta crucifixion; et par cela, ils ont reconnu que Tu étais ressuscité d’entre les morts.
Seigneur Dieu, il y a beaucoup de Cléopas ici ce soir, Tes enfants que voici. Et ils T’ont servi. Ils ont marché avec Toi. Ils ont parlé avec Toi. Ils ont écouté leur pasteur. Et maintenant, Seigneur, nous avons la porte fermée et notre coeur ouvert. Ouvre-nous les yeux et manifeste-Toi. Fais ce soir ce que Tu avais fait avant Ta crucifixion; cela encouragera Tes enfants à continuer à Te servir. Cela fortifiera ceux qui sont faibles. Cela guérira ceux qui sont malades. Cela amènera les incroyants à croire. Accorde-le, Père. Et nous Te rendons grâce au Nom du Seigneur Jésus.
Maintenant, Seigneur, nous nous soumettons à Toi. Fortifie le corps de Tes serviteurs afin que nous puissions Te chercher et entendre le Seigneur Jésus. Amen.
56 Il se fait un peu tard. Je suis désolé de ce que vous attendez depuis longtemps. Demain soir, nous viendrons très vite.
Maintenant, je pense, Billy m’a dit avoir distribué les cartes de prière. Lesquelles–lesquelles? Série H, 1 à 100, ou... D’accord. Il y a des cartes de prière H. C’est une petite carte carrée. Cela a juste... je ne pense pas que le... Mon... Autrefois, je les prenais... Elles portaient ma photo, mais elles ont un numéro dessus et une lettre. Et ça porte la lettre H, de 1 à 100. Maintenant, nous commencerons quelque part là. Nous ne pouvons pas faire venir beaucoup de gens à la fois. Mais nous allons juste les faire venir autant que nous le pouvons.
...?... Commençons par le numéro 1, comme celle-ci est notre première soirée. Qui a la carte de prière H numéro 1? Levez simplement la main, où que vous soyez dans la salle; H numéro 1? Est-elle quelque part? Eh bien, nous commencerons quelque part ailleurs.
Oh ! Je suis désolé. D’accord. Numéro 1, venez ici même, madame. Numéro 2, voudriez-vous lever la main? H numéro 2. Là même? Venez ici, madame. Numéro 3, H numéro 3, voudriez-vous lever la main? La dame là derrière, juste là. C’est en ordre. Tenez-vous là, au pied de marche, ici même. Numéro 3. Numéro 4, qui a le numéro 4? Faites voir la main, H numéro 4? La carte de prière...
57 Regardez, cela peut... Que quelqu’un parmi vous regarde la carte de son voisin. Il se pourrait que... D’accord. Avez-vous la main levée, madame? La vôtre est-elle H numéro 4? Très bien. Ici même. Vérifiez vos numéros lorsque cela est appelé, car quelqu’un peut être sourd-muet, il ne peut ni parler ni entendre. Quelqu’un peut être tellement estropié qu’il ne peut se lever. Vérifiez seulement la carte des gens. Regardez...
D’accord. Numéro... C’était quoi, 4? 5, qui a 5? D’accord, soeur. Numéro 6? Très bien. Numéro 7? La carte de prière numéro 7? Est-ce vous, madame? 8? 9? Venez juste ici, madame. Chacun de vous maintenant, au fur et à mesure que nous appelons votre numéro, mettez-vous en ligne par ici. Numéro 9? Numéro 9, ai-je eu celle-là? D’accord, numéro 10, carte de prière numéro 10? Le gentleman.
Numéro 11, 11? D’accord. 12? C’est ça. Levez-vous rapidement si possible. Si vous ne pouvez pas lever la main, quelqu’un viendra vous prendre. 12. 13? 14, 14? 15, 15, la carte de prière numéro 15, voudriez-vous lever la main? D’accord. Il nous manque une carte, 15. Très bien. Ça doit être 14. 16, la carte de prière 16? D’accord, monsieur. 17, la dame, ou un homme, ou qui que ce soit, peut s’avancer. 17, 18, 18? D’accord. 19? 20? Je pense que c’est pratiquement le nombre que nous pouvons mettre debout maintenant même...?... me donner ma Bible.
58 Non, c’est en ordre. Maintenant, si les gens peuvent juste être... Vous n’auriez pas à venir ici s’ils veulent... ou peut-être c’est en ordre, ici même pour vous. Vous pouvez donc reculer, tant qu’ils peuvent marcher. S’ils ne peuvent pas marcher, alors vous les amenez ici.
Maintenant, j’ai environ quinze minutes de retard pour commencer la ligne. Celle-ci est la première soirée...?... excité, vous savez ce que je veux dire. Et je suis enroué. Et je viens de prêcher. C’est juste une réunion après l’autre, juste l’une après l’autre, l’une après l’autre, l’une après l’autre, l’une après l’autre, et cela donc... toutes sortes de temps du nord au sud, et–et il ne fait pas froid. C’est juste une voix forcée.
Eh bien... Maintenant, je voudrais vous demander: «Combien ici n’ont pas de carte de prière et sont cependant malades et aimeraient que Dieu les guérisse? Voudriez-vous lever la main afin que j’aie une idée générale? C’est partout, partout.
59 Maintenant, regardez. Maintenant, si ces gens ici... Maintenant, j’aimerais demander: Combien parmi vous ici dans la ligne de prière me sont inconnus, que je ne connais pas? Levez simplement la main, vous dans la ligne ici, les inconnus. Combien dans l’assistance me sont inconnus, que je ne connais pas? Levez la main, n’importe où. Eh bien, c’est pratiquement plein, partout. Je ne connais personne ici à part monsieur Mercier ici, monsieur Vayle, frère Jenning ici, et peut-être que je pourrais reconnaître certains de ces prédicateurs. Je les regardais il y a quelques instants, on dirait que je les ai vus dans des conventions et tout, je pense, mais peut-être pas eux tous. Je ne me souviens du nom de personne. Cet homme ici, on dirait que je l’ai vu. Et ce petit homme ici, est-ce vous frère Wilson? Je pensais que c’était lui. D’accord. C’est pratiquement–c’est pratiquement la limite de ce que je sais.
60 Maintenant, regardez. Eh bien, je venais de vous expliquer par la Bible que toute guérison provient de Dieu, et que c’est une oeuvre déjà achevée. Combien savent cela maintenant? Combien savent que si Jésus, le Fils de Dieu, se tenait ici même, dans ce costume que certains parmi vous m’ont envoyé l’autre jour... D’accord. Comment pouvais-je... Comment pourrais ...
S’Il se tenait ici, et que vous veniez vers Lui, disant: «Seigneur Jésus, veux-Tu me guérir?» Eh bien, faites attention. Pourrait-Il le faire? [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il ne le pourrait pas. Il l’a déjà fait. C’était par l’expiation. Combien savent cela? Il dirait: «Mon enfant, ne sais-tu pas que J’ai déjà accompli cela? Crois-tu cela?»
«Oui, Seigneur, je le crois.»
«Très bien. Poursuis ton chemin, qu’il te soit fait selon ta foi.» Combien savent qu’il en serait ainsi? Combien savent qu’Il a déjà guéri tout le monde par l’expiation, que chaque bénédiction de la rédemption, tout ce qui peut être fait pour la race humaine a déjà été fait lorsque Jésus a accompli l’oeuvre au Calvaire et qu’Il a dit: «Tout est accompli»? Vous savez cela. Chaque bénédiction de la rédemption.
61 Maintenant, certains parmi vous, prédicateurs, ne croient peut-être pas dans la guérison divine. Mais comment pouvez-vous prêcher le salut de l’âme sans la guérison divine? La maladie, c’est quoi? La maladie, c’est un attribut du péché. Le péché, c’est quoi? Fumer et boire? Non. Commettre adultère? Non. Eh bien, c’est quoi? C’est l’attribut de l’incrédulité.
C’est quoi, le péché? Il n’y a qu’un seul péché, c’est l’incrédulité. «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» Comme nous savons qu’ils le sont ! Il n’y a que deux choses: la foi et l’incrédulité. Vous êtes d’un côté. Si vous êtes un croyant, vous ne fumez pas, vous ne buvez pas et vous ne commettez pas adultère. Mais ce n’est pas parce que vous ne faites pas cela que vous êtes un croyant, voyez? Absolument pas. Cela est juste un attribut.
Eh bien, c’est quoi la maladie? La maladie est un attribut du péché. Avant que nous connaissions un quelconque péché, nous ne tombions pas malades. La maladie est entrée à cause du péché. Combien savent cela? Eh bien, assurément.
62 Eh bien, regardez donc. Si un très gros animal vous attrapait et, de sa patte enfoncée dans votre flanc, il vous arrachait des côtes, eh bien, ça ne vous servirait à rien de lui couper cette patte-là, s’il ne–s’il ne vous mordait pas. Vous ne vous contenterez pas de lui couper la patte. Assenez-lui juste un coup à la tête. Cela tuerait tout l’animal. N’est-ce pas vrai?
Eh bien, c’est pareil avec la maladie. Lorsque vous tuez le péché, vous tuez la maladie avec cela. Vous ne pouvez prêcher le salut sans inclure tout ce qui est arrivé à la race humaine. Il était notre Rédempteur pour nous racheter. Oui, oui. Même ce vieux corps, lorsqu’il meurt comme notre âme meurt, et que notre esprit est né de nouveau, nous devenons de nouvelles créations, nous avons la Vie Eternelle, éternellement, éternellement. Nous ne mourrons jamais en ayant la Vie Eternelle. Impossible. C’est Eternel, Zoe, la Vie même de Dieu. Elle ne peut pas mourir.
63 Très bien. Donc, lorsque vous tombez malade et que vous êtes... et que vous vous en allez, et que vous êtes mourant, vous allez à la tombe; quand Dieu viendra, Christ viendra, vous serez appelé d’entre les morts. C’est déjà une oeuvre achevée, Dieu appelle et vous ressuscitez. Il n’a pas à descendre faire une expiation, vous faire sortir, faire de vous une autre personne; Il parle seulement et vous sortez. C’est exact.
Eh bien, maintenant, quel est ce... C’est quoi, le salut que nous avons maintenant? C’est le gage de notre plénitude en Dieu; là, nous n’aurons plus à penser au péché. La maladie, c’est quoi donc? C’est quoi, la guérison de nos corps? C’est le gage de notre résurrection. Parfait.
Maintenant, croyez. Maintenant, j’aimerais que vous soyez maintenant aussi respectueux que possible et que vous croyiez de tout votre être. Ne vous déplacez pas maintenant. Mais maintenant, lorsque le Saint-Esprit parle, s’Il fait...
64 Combien ce soir ont déjà vu Sa photo? Voyons combien ont déjà vu la photo. Elle se trouve ici même à Washington, D.C. Nous l’amènerons pour vous demain soir, l’Ange du Seigneur.
Elle se trouve ici même, à Washington, D.C. George J. Lacy, le responsable d’un département de FBI, et les autres l’avaient examinée; il a établi un document signé ici même: l’unique Etre surnaturel qui ait jamais été photographié au monde. C’est exact. Cela est ici même.
Nous avions cela. Ce n’est pas un... Eh bien, il nous faut les acheter auprès de l’Association américaine de photographes, le Studio Douglas de Texas, c’est là qu’elle avait été amenée. Cela a été vu en Allemagne à trois reprises, il y a quelques mois: Elle vient, Elle rentre, la Colonne de Feu, la même qui avait accompagné les enfants d’Israël à l’époque de leur pèlerinage. Combien savent que C’était la Colonne de Feu? Combien savent que c’était Christ? Cela montre que vous êtes appelés. C’est ce qui fait... C’est bien, frères. C’est exact. C’est certain.
65 Lorsqu’Il était ici sur terre, Il a dit: «Je viens de Dieu, Je retourne à Dieu.» Lorsqu’Il est venu sur terre, quand Il était avec les enfants d’Israël, Il était la Colonne de Feu. Il était dans le buisson ardent. Jésus, lorsqu’Il était sur terre, Il a dit: «Je suis le JE SUIS qui était dans le buisson.» Est-ce exact? Il L’était. D’accord. Puis, Il a dit: «Je viens de Cela, J’Y retourne.»
Après Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, Paul L’a rencontré sur le chemin de Damas. Qu’était-Il? Une Lumière qui a crevé les yeux à Paul; il se tenait dans Sa Présence. C’est vrai. Maintenant, voici de nouveau Sa photo ici même une fois de plus. Je continue à dire...
George Lacy a dit: «J’ai été aussi votre critiqueur, monsieur Branham. Et, a-t-il ajouté, je disais que c’était de la psychologie. Mais, a-t-il dit, l’oeil mécanique de cet appareil photo ne prendra pas de la psychologie.» C’est le responsable du département du FBI pour les empreintes digitales et les documents douteux. Oui. Elle se tenait absolument là.
66 Ce même Ange n’est pas à deux pieds [60,96 cm] de là où je me tiens maintenant; si ce n’est pas le cas, je suis un menteur. C’est vrai. Ce n’est pas pour moi; c’est pour vous. C’est pour nous, l’Eglise, les croyants. Nous sommes en plein dans les jours de la Venue du Seigneur. Il est retourné visiter les péchés qui s’accumulent juste comme Il l’avait fait du temps d’Abraham avant de détruire les pierres et autres, ou plutôt Sodome et Gomorrhe. Nous aborderons cela plus tard cette semaine. Nous n’avons pas de temps pour cela maintenant. Maintenant, soyez très respectueux. Regardez, croyez.
Maintenant, Seigneur, à partir de ce moment, c’est Ton serviteur qui T’appartient depuis tout le temps. Mais maintenant, parle, Seigneur; un seul Mot de Ta part représentera plus que des millions de notre part, de nous tous les prédicateurs. Nous sommes Tes enfants. Nous aimons parler de Toi. Mais juste un seul Mot de Ta part représentera plus que tout ce que nous pouvons faire. Accorde ces bénédictions. Au Nom de Jésus. Amen.
67 Maintenant, vous qui n’avez pas de cartes de prière, mettez-vous simplement à prier: «Seigneur, je crois que cet homme a dit la vérité, car Il a tiré cela des Ecritures. Maintenant, je touche Ton vêtement, et fais-le-moi savoir ce soir, à moi-même. Je ne sais pas monter dans la ligne pour la prière, mais qu’il parle. Si je Te touche, fais qu’il parle et m’appelle à partir d’ici, et qu’il me dise que...» Voyez? Il–Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Maintenant, mettez-vous à croire ainsi, en priant.
Maintenant, ne soyez pas nerveux. Croyez seulement. Laissez passer vite cette nervosité. Maintenant, la petite dame, je suppose qu’elle est Amish ou... avec le petit... sur–sur la tête ici, le petit chapeau. Et je suppose que c’est notre première rencontre. N’est-ce pas, madame? Vous m’aviez vu. C’était probablement dans une réunion. D’accord, dans une réunion, dans une convention. D’accord.
Maintenant, évidemment, je n’ai aucun moyen de vous connaître, ni de savoir ce qui cloche en vous, ni rien. Vous le savez; je suis juste un homme et vous êtes une femme. Maintenant, voici un beau tableau biblique qui est peint, mais pas dans un coin obscur, comme le diable a essayé de le faire, mais ici où tout le monde peut voir. Voyez, Dieu n’a pas à aller dans un coin obscur. Dieu est le Dieu de la lumière.
68 Eh bien, Jésus et une femme s’entretenaient au puits de Samarie. Et il y avait là un Homme et une femme qui se rencontraient pour la première fois. Et Jésus avait découvert ce qui clochait chez elle et Il le lui a révélé. Cela étant, elle a dit: «Nous... Tu dois être Prophète.» Ce devrait être une servante du Messie.
Mais elle a dit: «Je sais que quand le Messie sera venu... Nous savons, nous les Samaritains, nous savons que quand le Messie sera venu, Il accomplira ces signes.» Croyez-vous cela? D’après votre propre religion, vous–vous–vous avez appris que vous... Elle sait ce qu’elle dit. Très bien. C’est bien.
Maintenant, c’était juste comme un homme, puis le Messie est ressuscité d’entre les morts; Il est ici sous forme du Saint-Esprit. Or, si je disais: «Madame, vous êtes malade», vous pourrez ne pas l’être. Si je disais: «Madame, vous avez besoin d’argent», ça pourrait ne pas être votre cas. Je dirais: «Madame, vous vous tenez là pour quelqu’un d’autre», ça pourrait ne pas être votre cas. Je ne sais pas. Mais si je disais: «Vous êtes malade», et que cela tombe juste, «vous allez vous rétablir», eh bien, vous diriez: «C’est bien deviné.» Voyez? Mais maintenant, si le Saint-Esprit vient, remonte dans le passé et dit quelque chose, et vous savez si c’est vrai ou pas, c’est... alors, vous–vous–vous pouvez en être témoin. Vous le saurez.
69 Mais alors, si je vous annonce quelque chose dans le futur, vous auriez le droit d’en douter. Mais si Cela vous dit quelque chose qui est arrivé dans le passé, vous reconnaîtrez si c’est la vérité ou pas. Eh bien, est-ce–est-ce la vérité, ce que je dis? Ce–c’est un miracle. Voyez? Qu’elle en soit juge. Et vous, soyez-en juges. Non pas que nous jugions Dieu, mais nous aimons Dieu, et nous sommes contents qu’Il soit ressuscité d’entre les morts.
Maintenant, je–je déclare que je crois qu’Il le fera. Si seulement Il... étant donné que vous êtes la première personne ici. S’Il me fait connaître votre problème, en tant que votre frère... (En fait, vous êtes une chrétienne.) et–et si vous... s’Il parlait par moi, me révélant la raison de votre présence ici, ou quelque chose comme cela, accepteriez-vous qu’Il vous connaît donc et que vous allez recevoir ce que vous demandez? Croyez-vous cela? Est-ce que les autres dans l’assistance croiront cela avec elle?
Maintenant, voyez, ce que j’essaie de faire, c’est trouver faveur auprès de–auprès du Saint-Esprit (Voyez-vous?), voir si les gens croiront en Lui. Voyez? Si vous lisez le livre, Il a dit: «Si tu amènes les gens à te croire...»
J’ai dit: «Je ne suis pas instruit.»
Il a dit: «Cela te sera accordé.» Et puis, Il m’a montré cela dans les Ecritures. C’était donc... C’est depuis que j’étais un tout petit garçon. Voyez? Cela est arrivé des milliers de fois et ça n’a jamais failli... Maintenant, soyez vraiment, vraiment en prière.
70 Maintenant, si le Seigneur Dieu... Si je pouvais vous aider et que je ne le fasse pas, je serais quelqu’un de très méchant. Mais je ne peux pas vous aider, cependant Dieu le peut. Maintenant, si le Seigneur me révèle votre problème, allez-vous croire cela? C’est...
Maintenant, si tout le monde, s’ils entendent toujours ma voix dans l’assistance, la femme s’éloigne de moi. Et elle souffre du coeur. C’est tout à fait vrai. Et c’est un coeur nerveux. C’est une maladie de nerfs. Et puis, je vous vois chercher à lire ou à faire quelque chose. Vos yeux vous font mal. C’est vrai.
Et puis, vous avez une–une maladie gynécologique, une grosseur sur l’organe féminin. Cela devrait être opéré. Ainsi donc, vous pouvez reconnaître Cela. Il a dit, le médecin, il a dit que ça doit être fait. Si c’est vrai, levez la main. Croyez-vous qu’Il est Jésus-Christ le même...?... Ai-je guéri cette femme? Non. Mais je crois qu’elle est déjà guérie. Je crois que sa foi l’a fait.
Maintenant, est-ce que chaque mot... Je ne sais pas ce que je vous ai dit. Voyez-vous l’enregistrement en cours là? C’est ce qui rapporte ce qu’il y a eu. Voyez? C’était quelque part dans un autre–un autre monde, ou pour vous les hommes de science, dans une autre dimension. Vous les chrétiens (Voyez?), l’Esprit de Dieu...?... D’accord.
71 Eh bien, voici une femme que je n’ai jamais rencontrée auparavant. Pour tout ce qu’Il lui a dit, elle a les mains levées pour montrer que c’est la vérité absolue. C’est notre première rencontre, et c’est la première fois que nous nous voyons au monde. Qu’est-ce? Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement. «Messieurs, nous voudrions voir Jésus.»
Eh bien, ce n’est pas votre frère; vous le savez. Ça ne peut pas être moi. Une certaine puissance la connaît. Eh bien, ça dépend de ce que vous pensez que cette puissance est. Si vous pensez que c’est le Saint-Esprit, vous recevrez cette récompense. Prions.
Père céleste, accorde à cette précieuse femme ce qu’elle désire. Je prie pour cette bénédiction en sa faveur, au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus. Amen. Maintenant, ne doutez pas. Allez, et voyez exactement ce que vous avez demandé, vous pouvez recevoir cela. Que tout le monde soit très respectueux maintenant.
72 Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je pense que vous avez levé la main il y a quelques minutes. C’est notre première rencontre. Le Seigneur Jésus nous connaît tous deux. Vous voyez? Et un jour, nous aurons à nous tenir dans Sa Présence. Maintenant, ce soir, on est un peu nerveux à cause de l’assistance, des gens merveilleux, mais cela commence à s’élever un peu. On n’y peut rien. (Voyez?) Lorsque vous... Cela vous rend nerveux, mes amis.
Si je ne vous connais pas et que le Seigneur Jésus me révèle ce pour quoi vous êtes ici, croirez-vous que je suis Son serviteur? A-t-Il promis qu’Il le ferait? Y a-t-il quelqu’un dans l’assistance qui vous connaît? Y en a-t-il? Il saura alors si c’est la vérité ou pas. Vous le saurez. Maintenant, quant à vous guérir, je ne le peux pas. Quant à cacher votre vie, vous ne le pouvez pas. Voyez? A cause de Sa Présence.
73 Maintenant, vous savez qu’il se passe quelque chose. Voyez? Vous savez que vous tenir devant un homme, votre frère, ne vous donnerait pas cette sensation-là. Afin que l’assistance le sache, vous êtes une personne raisonnable, sincère; vous éprouvez un sentiment très doux et humble. Est-ce vrai? Cet Ange du Seigneur est en train d’environner cette femme. Je regarde droit à Cela.
La femme veut que je prie pour elle à cause d’une maladie dont elle souffre, ce sont ses membres, ses jambes. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Maintenant, si c’est vrai, levez la main.
74 Maintenant, voyez, plus on parle à la femme, plus on peut en dire. Maintenant, quoi que ce fût... J’ai vu quelque chose, la femme faisant... ou quelque chose comme cela. Quoi que ce fût, elle en est témoin. Eh bien, parlons-lui juste un peu plus. Voyez, on ne peut pas trop en prendre, mais ce soir, prenons simplement notre temps.
C’est un... Ce sont vos–ce sont vos jambes; et aussi, vous souffrez d’une espèce de maladie dans le flanc. C’est l’affection de la vésicule biliaire. C’est l’exacte vérité. Et vous êtes profondément affligée au sujet de quelqu’un; c’est un bien-aimé. C’est votre fils. Il n’est pas ici. Il est dans une autre ville, et cette ville s’appelle Roanoke. Et il souffre d’une maladie mentale. Ça s’appelle... C’est un vétéran, un jeune homme, au sujet de la Deuxième Guerre mondiale. C’est tout à fait vrai. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous que Jésus-Christ vous connaît donc, et que votre foi est juste entre Ses mains? Croyez-vous que vous recevrez ce que vous avez demandé? Prions encore...?...
Dieu bien-aimé, je Te prie d’être miséricordieux envers notre soeur et de lui accorder ce qu’elle a demandé. Nous prions au Nom de Jésus. Amen.
75 Maintenant, la Bible déclare: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Alors, allez en croyant. Maintenant, soyez très respectueux. Ne vous déplacez pas, s’il vous plaît. Vous voyez, si–si vous le faites, ça me dérange. Soyez très respectueux.
Je suppose que celle-ci est notre première rencontre. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, et probablement que nous avons un décalage d’âge et que nous sommes nés à des endroits distants des kilomètres. Maintenant, s’il vous plaît, ne faites pas cela, mes amis. Ne vous déplacez pas. Restez simplement tranquilles juste une minute, s’il vous plaît. Je–je–je vais partir dans les cinq prochaines minutes, si seulement vous... maintenant, ne vous déplacez pas, voyez.
Voyez, vous devez être respectueux dans la Présence de Dieu. Lorsqu’Il m’avait rencontré là-bas, le Saint-Esprit m’avait dit: «Si tu amènes les gens à te croire.» Et vous devez faire ce que je vous dis, si vous croyez que je suis serviteur de Christ. Je ne dis que ce qu’Il me dit de dire. Maintenant, croyez.
76 Cette dame et moi, nous sommes inconnus. Elle est plus jeune que moi. Nous ne nous connaissons pas, c’est notre première rencontre. Mais Dieu nous connaît tous deux. S’Il me révèle ce qu’est votre problème, croirez-vous qu’Il est le Christ ressuscité, agissant par Son Eglise ici? Vous croirez cela.
Que le Seigneur Dieu vous l’accorde, madame. Votre maladie, c’est une maladie de nerfs. Vous souffrez aussi de la poitrine. Ce sont vos nerfs qui vous remontent. Et vous avez connu, il n’y pas longtemps, une espèce d’accident. Oh ! Vous êtes tombée sur la glace, et vous vous êtes fait mal. Cela vous a fait mal à la colonne vertébrale. Et vous êtes un–vous êtes un–un prédicateur, une femme prédicateur.
Et vous avez à coeur quelqu’un de cher, c’est quelqu’un de votre propre assemblée. C’est quelqu’un qui souffre du cancer au dernier stade, et vous voulez qu’on prie pour elle. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Maintenant, les larmes sur ce mouchoir-là, posez celui-ci sur elle.
Seigneur Dieu, accorde ces choses alors que je prie et bénis...?... Au Nom de Jésus-Christ. Amen. Ne doutez pas. Croyez ce que vous avez demandé. Vous le recevrez.
77 Bonsoir. Soyez respectueux. Maintenant, madame, vous assise là, avec la tête inclinée, en train de prier, là. Vous avez touché Quelque Chose. Je ne vous connais pas, oui, vous. Croyez-vous que je suis le serviteur de Christ? Croyez-vous? Vous avez besoin de quelque chose de la part de Dieu, n’est-ce pas?
La raison en est que cette femme d’il y a quelques instants souffrait quelque chose à la poitrine. Je vous ai vue debout devant moi; vous souffrez du coeur. C’est vrai. Je vois que vous souffrez aussi de l’hypertension. Si c’est vrai, levez la main. Vous avez touché Quelque Chose. Je ne vous ai jamais vue, n’est-ce pas? Vous avez touché Quelque Chose. Il vous a alors guérie. Poursuivez votre chemin...?...
Là dans l’assistance maintenant, soyez très respectueux. Cela a beaucoup fait frissonner la femme en manteau rouge, juste là derrière vous; elle souffre de vésicule biliaire. C’est vrai, madame. Croyez-vous que Dieu vous rétablit maintenant? D’accord, vous pouvez avoir cela si vous le croyez. D’accord, c’est bien.
Le frère mennonite là à côté de vous, là, en train de prier aussi à cause de la maladie du coeur, croyez-vous que Dieu vous rétablira, monsieur? Vous L’avez touché. C’est terminé. Amen. Ayez foi en Dieu.
78 Personnellement, je ne vous connais pas; mais le Seigneur Dieu vous connaît certes. Si le Seigneur Dieu, le Créateur des cieux et de la terre, me révèle ce pour quoi vous vous tenez ici, croirez-vous cela? Vous souffrez du dos, un mal de dos. Vous souffrez aussi de la gorge. C’est vrai. Une vésicule biliaire vous dérange.
Vous n’êtes pas de cette ville. Non. Si le Seigneur me révèle quelque chose à votre sujet, le lieu d’où vous venez, croirez-vous de tout votre coeur? Vous essayez de forcer quelque chose, madame. Cela ne fera aucun bien. Voyez? Cela ne fera aucun... Croyez simplement, avec la simple foi d’enfant. Croyez simplement. Vous venez d’une ville appelée Madison, en Virginie. Votre prénom, c’est Rose. Votre nom de famille, c’est Middleton. Eh bien, c’est vrai. Rentrez donc, retournez chez vous, et croyez de tout votre coeur et vous serez guérie.
«Si tu peux croire, tout est possible...?...» Ayez simplement foi, croyez de tout votre coeur. Continuez à être respectueux. Soyez simplement en prière.
79 Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Vous avez été dans l’une de mes réunions, pas à l’estrade, ou bien vous étiez assis dans l’assistance, n’est-ce pas? Vous êtes passé dans une ligne rapide. Depuis combien de temps cela a-t-il eu lieu? A Fort Wayne.
C’est lorsque cette fillette aveugle avait été guérie là, ainsi que l’enfant estropiée des pieds, et ils sont devenus...?...aussi. Ça doit être...?... C’était là à l’époque de frère Bosworth et des autres, un merveilleux frère. Je me souviens des gens qui montaient par la fenêtre pour voir la réunion. Le tabernacle de frère Rediger, là. Vous connaissez le frère Rediger il y a des années.
Nous sommes inconnus l’un à l’autre, exact. Je ne vous connais pas. Vous êtes passé par une ligne où des milliers de gens étaient passés, c’est tout, personne ne le saurait donc. Soyez très respectueux.
Quelque chose est arrivé. Très bien. Maintenant, soyez très respectueux. Croyez simplement de tout votre coeur maintenant...?... Vous... Croyez-vous que Dieu vous accordera ce que vous demandez? Amen.
80 Vous souffrez de beaucoup de maladies. Je vous vois, vous avez et vous aviez subi une intervention chirurgicale, ou quelque chose comme cela. Je vous vois subir cela à deux reprises. Vous avez subi deux interventions chirurgicales. Puis, vous avez une maladie interne, des troubles internes. Cela a été causé par l’accouchement. C’est une plaie, il y a de cela plusieurs, plusieurs années, quand vous étiez une jeune femme. C’est exact. Croyez-vous que Dieu vous a guérie? Prions maintenant.
Ô Eternel Dieu, Auteur de la Vie, envoie Tes bénédictions sur cette femme et guéris-la, Père. Je Te prie d’accorder ces choses au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.
Maintenant, ne doutez pas. Croyez simplement de tout votre coeur. Et la Bible... Comme la Bible dit: «Si tu peux croire, tout est possible.» D’accord.
81 Je perçois une pensée là derrière, quelqu’un a pensé...?... Jésus connaissait leurs pensées. Combien le savent? Voyez? Ce n’est pas de la télépathie. Je vais vous demander quelque chose. Madame, placez votre main sur la mienne. Si Dieu me révèle ce qu’est votre maladie, pendant que vous regardez dans cette direction, me croirez-vous? D’accord, alors votre coeur ne vous dérangera plus. Vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante...?... et si vous pouvez croire...?... Ne prenez pas... les gens doutent (Voyez?); cela rendra votre situation pire si vous faites ça.
Croyez-vous cela là, petite dame qui jette un coup d’oeil sur cette petite dame assise là? Vous souffriez aussi du coeur, vous assise là derrière, avec le doigt à la bouche. Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Croyez-vous cela? Vous pouvez l’avoir. La maladie du coeur aussi... «Si tu peux croire.»
Juste là derrière aussi, vous souffrez du coeur. Vous souffrez aussi d’une hernie. Vous croyez que Dieu rétablira cela. Levez la main, monsieur, afin que nous puissions... Le voilà.
82 Qu’en est-il de ceux qui, parmi vous, ont été guéris avant de venir ici? Voudriez-vous me croire sur parole là-dessus? Faites donc demi-tour et rentrez...?... Juste avant de venir, madame, si vous vous tenez là où vous êtes, frère Levy s’assoit, juste là même pour une minute. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous êtes couvert d’une ombre. C’est la mort. Vous souffrez du cancer. Croyez-vous que Dieu guérira cela? Levez la main, pour dire: «Je T’accepte, Jésus, comme mon Guérisseur.» Que Dieu vous bénisse. Maintenant, poursuivez votre chemin et n’y pensez plus. Continuez, croyez de tout votre coeur. Si vous le pouvez, je vous fais confiance que vous croirez, monsieur.
Restez juste là où vous êtes, madame. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous que ce mal de dos va vous quitter et que vous serez bien portante? Si vous croyez, levez la main. D’accord. Vous pouvez contourner juste par ici et être bien portante. Voyez? Allez directement de l’avant en croyant de tout votre coeur.
Croyez-vous là dans l’assistance? «Si tu peux croire.» Cela vous a quitté lorsque le mal de dos a quitté cette femme-là, cela vous a quitté aussi, fils. Continuez simplement votre chemin, en vous réjouissant et en remerciant Dieu. Croyez. Vous aussi, madame. D’accord. Votre dos, aussi l’affection de rein, c’est depuis longtemps. C’est vrai. Poursuivez votre chemin et réjouissez-vous.
83 Combien là dans l’assistance aimeraient être guéris et croient que Dieu les rétablira? Cet homme se réjouit de ce qu’il y a eu la guérison de la maladie du coeur ou de je ne sais quoi qu’il y avait, il y a quelques minutes. Cet homme assis à côté de lui est tout...?... Il souffre de l’asthme, il veut en être guéri. Croyez-vous, monsieur, que Dieu vous guérira de l’asthme et vous rétablira, vous assis là derrière, avec cet homme qui a été guéri d’une maladie du coeur? Croyez-vous? Eh bien, vous pouvez donc avoir cela. Vous pouvez poursuivre votre chemin, vous réjouissant et disant: «Merci, Seigneur, de m’avoir guéri.»
Combien aimeraient être guéris? Levez la main. Voyez, je vous ai retenus trop longtemps. Ce–c’est...?... L’Esprit est ici...?... et des choses semblables. Je ne voudrais pas être discourtois, mais j’aimerais que vous fassiez quelque chose pour moi. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Imposez-vous simplement les mains les uns aux autres si vous croyez. Ici même, car nous n’avons pas beaucoup de temps. Imposez les mains...?...
84 Amis, croyez-vous que le Fils de Dieu, que je cherche à vous dire qu’Il vous aime, croyez-vous qu’Il existe? Dites: «Amen.» Ceci est-il ce que la Bible a dit que ça arriverait? Maintenant, rappelez-vous, ceci est plus que ce qu’Il avait fait lorsqu’Il était ici sur terre. En effet, une seule personne L’avait touché et Il était devenu si faible qu’Il ne pouvait pas se déplacer. Ou plutôt, Il pouvait–Il pouvait se déplacer, mais Il a dit: «La vertu est sortie de Moi.» La vertu, c’est la force.
Mais Il a dit: «Vous ferez aussi des oeuvres que Je fais, vous en ferez davantage.» Voyez? Nous sommes au temps de la fin maintenant. C’est la raison pour laquelle je prends...?... Je me sens faible. C’est vrai. Après... Ce n’est pas... C’est cette vision qui est à la base de ça. Pensez-y, il y en a beaucoup qui passent, au point qu’on ne sait quoi, si on est dans la vision ou en dehors de la vision. Voyez? C’est pour vous. C’est le Seigneur Dieu; c’est bon pour vous, pour vous montrer.
85 Maintenant, amis, je ne sais quoi de plus Il pourrait faire. Je ne sais rien de plus Il pourrait faire. Il vous a prouvé qu’Il n’est pas mort. Il est vivant et Il est ici. Maintenant, à quoi me servirait-il de me tenir ici, étant oint, si vous là, dans l’assistance, vous ne croyiez pas cela? Cela exige votre foi. C’est votre foi qui Le touche et qui accomplit ces choses. Ce n’est pas moi. Vous... Ce n’est pas moi qui fais cela. C’est vous qui le faites par votre propre foi, c’est ce qui fait cela. Voyez? C’est vous, pas moi, vous.
Et qu’est-ce? Cela montre que ceci... une–une personne, un homme, rien du tout, je suis juste un homme comme vous, ou un humain. Probablement que si l’Enlèvement avait lieu, et qu’on citait les justes pour entrer en premier, vous tous, vous me précèderiez. Je suis né hors saison.
Beaucoup parmi vous ici prêchaient l’Evangile, cependant, en ce temps-là, je n’étais qu’un petit pasteur baptiste là-bas, et vous aviez pris position pour ces choses. Voyez? C’est la bonté et la miséricorde de Dieu pour vous. Croyez-moi, mes amis; croyez-moi en tant que votre frère. Je vous le dis de tout mon coeur, que c’est Dieu envoyé auprès de vous. Ce n’est pas moi, je ne suis pas Dieu envoyé auprès de vous. Le Saint-Esprit est le Don de Dieu envoyé auprès de vous. Voyez? Et c’est pour vous.
86 Et chacun de vous qui peut croire cela, accepter cela sur base de la résurrection de Christ et accepter cela, est guéri maintenant même. Voyez? Maintenant, prions. Et priez pour la personne qui est à côté de vous. Chacun de vous, priez pour la personne qui est à côté de vous, tel que vous priez dans votre église.
Si vous êtes baptiste, priez comme les baptistes prient. Si vous êtes pentecôtiste, priez comme ils prient. Quoi que ce soit, priez simplement tel que vous priez, pour celui qui est à côté de vous, pour lequel vous priez. Je vais prier pour vous tous.
Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre...