L'Amour
1 Vous pouvez vous asseoir...?... C'est certainement un privilège d'être ici ce soir, un grand privilège d'être ici pour servir le Seigneur Jésus. Nous sommes désolés que nous n'ayons pas assez de place, sachant que vous devez rester debout et que cela vous fatigue; et la salle... et j'ai demandé s'il y avait un endroit plus vaste que nous pourrions prendre, et je ne pense pas qu'il y en ait pour le moment.
Mais nous tâcherons d'écourter nos messages autant que possible, soyez donc patients et supportez-nous juste un petit moment. Et maintenant, n'oubliez pas les services de demain soir, et puis de dimanche après-midi, et aussi de dimanche soir.
2 Maintenant, ce soir, si c'est la volonté du Seigneur, je désire lire un passage des Ecritures. Et priez donc pour moi pendant que je parlerai ce soir. Je suis enroué depuis que je suis venu ici. Il ne s'agit pas d'un gros rhume, mais simplement d'une voix extenuée.
Permettez-moi de déplacer un peu cette affaire... la transposition de cette affaire-là. Très bien. Je pense que ça sera un peu mieux.
Maintenant, pour la lecture de ce soir, prenons une Ecriture bien connue, connue de tous, une Ecriture qui se trouve dans la vieille Bible bénie. Et je crois que chaque Parole contenue dans la Bible est la vérité. Et je sais que tous les chrétiens croient la même chose. Et ceci est un texte bien connu: Jean 3.16.
Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.
3 Maintenant, inclinons la tête juste un moment pour la prière. Ô Dieu éternel et béni, qui as ramené d'entre les morts le Seigneur Jésus, et Il nous a été présenté aujourd'hui après dix-neuf cents ans comme étant encore vivant, tout aussi suffisant par Sa puissance et par Sa Présence qu'Il l'était il y a dix-neuf cents ans, quand Il marchait en Galilée. Et nous Te remercions, notre Père, parce que Tu as fait ceci pour nous.
Et en ce jour sombre et mauvais où nous vivons, et où il y a tellement de confusion partout dans le monde, parmi les nations, dans la politique, dans tous les milieux, même dans les milieux chrétiens... il y a néanmoins la confusion.
Mais nous sommes si heureux de savoir que Jésus vit encore, et comme les Ecritures l'ont dit à Son sujet:"Le même hier, aujourd'hui et éternellement." Et quand nous voyons la fin arriver rapidement et les signes de sa venue imminente, nos coeurs bondissent de joie alors que nous nous reposons sur la promesse bénie qui dit qu'Il est le même, qu'Il nous a aimés, et qu'Il s'est donné Lui-même pour nous.
4 Ô Dieu, nous voudrions Te demander, ce soir, d'être miséricordieux envers nous et de nous pardonner nos péchés et nos offenses. Accorde-nous [des bénédictions] infiniment au-delà de toute mesure, ce soir, car les coeurs fatigués en ont besoin en ces jours-ci. Bénis chaque personne qui est dans la Présence divine. Et guéris chaque malade qui est venu ce soir étant dans l'expectative. Et nous savons que Tu ne renverras aucune personne affamée, insatisfaite. Car, c'est Ta nature. Tu es Dieu.
Bénis la Parole que nous avons lue, et donne-nous-en le contexte pour le message de ce soir, car nous le demandons au Nom de Celui qui est tout- suffisant, le Seigneur Jésus. Amen.
5 Je pense qu'il n'y a pas un seul enfant, qui ait déjà fréquenté l'école du dimanche, qui ne soit capable de citer ce petit passage de l'Ecriture: c'est une toute petite portion de la Parole du Dieu éternel qui vit à toujours. Et Elle n'est pas très longue, mais ce qui compte ce n'est pas la lecture ou la longueur de ce que nous lisons; c'est la valeur de ce que nous lisons. Ça ne change rien que cela soit très long ou pas. Ce qui compte c'est la valeur de ce que nous avons lu. C'est là-dessus que nous pouvons reposer notre foi, car c'est la Parole du Dieu vivant.
6 Et maintenant, comme nous parlons de la valeur des choses, il y a quelque temps, de l'autre côté de la rivière, à Louisville, au Kentucky, la ville en face de celle où j'habite, un petit garçon était monté au grenier de leur maison. Et il fouillait dans les vieux objets et tout qui appartenaient à la famille. Et il trouva une vieille malle. Et il fouilla dans cette vieille malle pour - pour voir ce qu'il pourrait y trouver par hasard. Et il tomba sur un petit timbre-poste qui avait jauni. Celui-ci mesurait à peu près un demi pouce carré [1,27 cm² - N.D.T.].
Le petit garçon l'examina, et se dit: "Ça peut valoir à peu près cinq cents, et cinq cents me procureraient un cornet de crème glacée." Ainsi, tout en pensant au cornet de crème glacée, il descendit rapidement la rue jusque chez un collectionneur de timbres. Et le collectionneur l'examina, et là... Le garçon dit: "Combien me donnerez-vous pour ce timbre-poste?", ne s'attendant pas à recevoir plus de cinq cents.
7 Et il dit... Après l'avoir examiné, le collectionneur de timbres sut que c'était un vieux timbre, alors il dit: "Je vais te donner un dollar pour cela." Oh! le petit était aux anges. Ça représentait beaucoup de crèmes glacées. Il vendit donc ce timbre à un dollar.
Et environ six semaines plus tard, le collectionneur de timbres le vendit à cinquante dollars. Peu après, il fut vendu à cinq cents dollars. Et aujourd'hui, on dit qu'il vaut un quart d'un million de dollars.
8 Or, nous savons qu'un petit bout de papier d'un demi-pouce carré ne vaut même pas la peine d'être ramassé sur la rue. Mais il ne s'agissait pas de la valeur du papier, il s'agissait plutôt de la valeur de ce qui figurait sur le papier.
Et il en est ainsi de la Parole de Dieu. Il ne s'agit pas juste du papier sur lequel Elle est écrite, mais il s'agit de Sa valeur, car c'est la Parole du Dieu éternel. Et Jésus a dit: "Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne faillira jamais."
Cette Parole, Jean 3.16, ce soir, bien que ce soit un petit passage, Elle a assez de valeur pour sauver le monde. Elle a assez de valeur pour guérir chaque malade qui est sur la terre aujourd'hui. C'est le pardon pour chaque pécheur. C'est la joie pour chaque personne épuisée. C'est l'espoir pour ceux qui sont sans espoir. C'est la nourriture pour les saints. C'est la guérison pour les malades. C'est le pardon pour ceux qui n'ont pas de paix. Elle est un... Elle est tout cela pour vous, si vous La recevez en tant que telle.
9 Il y a quelque temps, un cas s'était posé. Je crois que c'était à l'époque d'Abraham Lincoln qu'un homme avait commis un crime, et il avait été trouvé coupable. Et comme peine, il devait être fusillé par un peloton d'exécution.
Et un brave ami s'éclipsa, alla s'agenouiller devant le président et implora pour que cet homme soit gracié. Et Monsieur Lincoln, qui n'était pas dans son bureau, prit la décision de gracier cet homme. Ainsi, il écrivit juste cela sur un petit bout de papier "Graciez untel. Abraham Lincoln, Président des Etats-Unis."
L'homme s'inclina, remercia le président, et ensuite courut vite vers l'autre à la prison. Et il dit: "Mon ami, j'ai avec moi la grâce pour toi." L'autre dit: "Fais-moi voir cela." Et il présenta ce petit bout de papier.
Et le criminel dit: "Oh! ce n'est pas suffisant! Si c'était réellement la grâce, ça serait écrit sur une très grande feuille de papier. Il serait dit pourquoi je suis gracié, tu ne fais donc que te moquer de moi." Et il ne pouvait pas être persuadé d'accepter sa grâce. Et le lendemain matin, il mourut fusillé par le peloton d'exécution.
10 Et remarquez donc, il y avait là un document signé par le président des Etats-Unis, qui disait: "Cet homme est gracié." Et cela était écrit la veille du jour de son exécution. Alors l'affaire fut ensuite jugée à la Cour Fédérale. Et voici le verdict de la Cour Fédérale: Une grâce n'est pas une grâce, à moins qu'elle soit reçue comme une grâce.
Et il en est ainsi de la Parole de Dieu. C'est une grâce pour ceux qui La reçoivent comme une grâce. C'est la guérison pour ceux qui veulent La recevoir comme une grâce de la guérison. Et chaque promesse divine de Dieu est vraie, si elle est reçue avec une attitu - tude mentale correcte.
11 Je dis ceci ce soir en tant que ministre de l'Evangile, et j'ai vu cela être éprouvé. J'ai eu le privilège de prêcher à travers le monde et devant des dizaines de milliers de gens. Et chaque promesse divine qui se trouve dans la Bible est vraie. Et si vous adoptez l'attitude mentale correcte vis-à-vis de chaque promesse divine de Dieu, cela amènera la chose à s'accomplir, si vous pouvez adopter l'attitude mentale correcte.
Et dans l'Ecriture que nous avons lue ce soir, il est dit: "Dieu a tant aimé le monde..." S'il est une chose par manque de laquelle le monde est en train de mourir aujourd'hui, c'est l'amour. Au cours de mes voyages, j'ai vu que c'est la pierre qui est rejetée, et sans laquelle le bâtiment ne peut pas être assemblé.
Les Assemblées, l'Eglise de Dieu, les baptistes et les méthodistes se serreraient tous la main et seraient des frères, si seulement ils avaient de l'amour les uns pour les autres.
12 C'est le grand besoin à cause duquel le monde est en train de mourir, et Dieu est amour. Or, on trouve dans l'église que ce qui a fait obstacle à l'église, c'est la fausse conception de l'amour.
Or, l'amour... Il existe deux différents types du véritable amour. L'un d'eux est appelé en grec "Agapao". C'est l'amour de Dieu. Et il y a ensuite une perversion de cet amour, qui est l'amour "Phileo", c'est-à-dire l'amour humain.
"Phileo" vient du mot "communion". L'amour phileo est cet amour que vous avez pour votre femme. Et si un homme flirtait avec elle ou l'insultait, vous lui feriez sauter la cervelle pour cela. C'est ce que fera l'amour phileo. Il est accompagné de jalousie. Et beaucoup d'autres choses y sont associées.
Mais l'amour agapao vous amènerait à prier pour l'âme pécheresse de cet homme. Voilà la différence entre les deux amours. L'amour de Dieu est le commencement de l'amour. C'est la fontaine de l'amour. Et c'est ce qui manque à l'église aujourd'hui, ce véritable amour agapao qui vous fait aimer vos ennemis.
13 Oh! si seulement nous avions ce genre d'amour, un réveil balayerait cette nation d'une côte à l'autre et du nord au sud. Et la raison pour laquelle nous n'avons pas cet amour... C'est la raison principale pour laquelle l'église n'avance pas comme elle devrait.
Nous n'avons pas besoin de théologie. Nous avons simplement besoin que le véritable amour accompagne la théologie que nous connaissons déjà. Nous discutons tous tant pour savoir si on doit être baptisé face en arrière, ou face en avant, ou que sais-je encore. Mais cela ne change rien, la manière dont vous êtes baptisé, ou l'église dont vous êtes membre, ou les évidences que vous avez pour attester que vous êtes chrétien; si vous n'avez pas l'amour, vous n'avez pas Dieu.
14 Nous avons besoin d'amour. "Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné son Fils unique." Or, quand l'amour est projeté et qu'il arrive au bout, la grâce souveraine produit ce que l'amour avait projeté. Quand Dieu a tant aimé le monde que Son amour était arrivé à la fin de sa course, alors cet amour a projeté la grâce souveraine qui nous a donné le Sauveur.
C'est comme cela que nous avons eu Jésus. C'est parce que Dieu a aimé le monde. Quelque chose a été produit à cause de Son amour. Et Jésus le Sauveur a été produit. La grande vieille histoire que nous oublions si facilement...
15 Là-bas en Suisse, il y a plusieurs années, et certains d'entre vous, hommes et femmes de mon âge, vous pouvez vous rappeler avoir lu cela dans vos livres de lecture. La Suisse était constituée d'un petit groupe de gens qui étaient partis de l'Allemagne pour s'établir dans les montagnes. Et ils avaient une petite économie à eux. Ce n'était pas un peuple guerrier. C'étaient des gens pacifiques.
Et tout à coup, une guerre survint contre eux. Et les Suisses prirent leurs vieilles lames de faucille, des bâtons, des pierres et tout ce qu'ils pouvaient trouver et descendirent des montagnes pour affronter l'ennemi dans la plaine.
Et ils se tenaient là, complètement acculés, juste un petit groupe de gens, en face d'une grande armée en marche, qui s'avançait comme un mur de briques. Ils n'avaient aucune chance.
16 Mais il y avait un héros parmi eux du nom d'Arnold Von Winkelried. Et il embrassa sa femme et ses enfants en guise d'au revoir quelques heures avant de partir pour la bataille. Il aimait son foyer. Il aimait sa nation. C'est pourquoi son amour le contraignit à faire quelque chose à ce sujet.
Et il a dit: "Peuple de Suisse, ce jour je vais donner ma vie pour la Suisse."
Ils ont dit: "Que vas-tu faire, Arnold Von Winkelried?"
Il a dit: "Suivez-moi tout simplement et combattez avec ce que vous avez." Et il leva les bras et regarda là où les lances étaient les plus nombreuses alors que l'ennemi continuait à avancer comme un très grand mur. Et il vit là où les lances étaient les plus nombreuses. Et il s'écria: "Place à la liberté." Et les mains en l'air, il fonça. Et il s'écria de nouveau: "Place à la liberté."
Avant qu'il ne meure, il a dit: "Là-bas de l'autre côté de la montagne, il y a une petite maison blanche, deux petits enfants et une douce femme que je ne reverrai plus jamais. Prenez soin d'eux. Cependant je vais donner ma vie pour les défendre."
17 L'amour vous amène à faire des choses; et quand l'Eglise recevra le véritable amour de Dieu dans son coeur, elle fera des choses. Les gens n'auront pas honte. Oh! Christ ne veut pas que vous soyez... Il ne s'agit pas tellement d'être fidèle. Il n'a pas besoin de votre parrainage. Il a besoin de votre communion. C'est ce que Dieu veut, avoir communion avec vous.
Et comme cet Arnold Von Winkelried se lançait vers les lignes, il saisit une brassée de lances, il s'en transperça le coeur en tombant dessus et se donna la mort. C'était un acte d'une telle prouesse que cela mit l'ennemi en déroute. Et ceux qui le suivaient, criaient avec des faucilles à la main, des pierres, des cailloux et des bâtons, cependant ils boutèrent l'ennemi hors du pays. Et jusqu'à ce jour, la Suisse n'a plus jamais connu de guerre.
18 Cet héroïsme unique en son genre et jamais égalé (oh!), c'était cependant une petite chose. Un jour, alors que la race déchue d'Adam était acculée dans un coin, qu'elle avait...?... et des lois. Et elle les avait rejetés, et le diable, le péché et la maladie avaient acculé la race d'Adam dans un coin. Quelqu'un au Ciel s'est présenté et a dit: "Je vais descendre sur la terre, car Dieu a tant aimé le monde que Son amour L'a contraint à faire quelque chose. Cela a projeté un Sauveur qui est venu sur terre et qui a vu l'endroit où il y avait le plus de lances, qui était la mort, et s'y jeta."
Et le jour où Il est monté, Il a envoyé le Saint-Esprit et a dit à Son Eglise: "Prenez ceci et combattez du mieux que vous pouvez."
C'est là que l'Eglise manque la chose aujourd'hui. L'amour de Dieu est déversé dans les coeurs, par le Saint-Esprit, mais les hommes ont peur de recevoir cela. Vous préférez adopter une théologie humaine et essayer de combattre, vous perdrez. Prenez ce que notre Conducteur a donné. L'amour de Dieu L'y a contraint. "Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné Son Fils unique."
19 Oh! j'ai remarqué ceci. Beaucoup d'entre vous ont lu le livre qui parle de l'histoire du fou qui a couru vers l'estrade, à Portland, dans l'Oregon. Cependant cela se termine avec une petite note personnelle.
Le fou se dirigea vers l'estrade ce soir-là devant six mille cinq cents personnes, et il voulait me tuer. Un géant très costaud, pesant à peu près deux cent cinquante livres [113,39 kg - N.D.T.] ou peut-être plus, il s'est tenu à près de sept pieds [2,13 m], un fou qui s'était échappé d'un hôpital psychiatrique. Et je parlais sur la foi. Je pesais cent vingt-huit livres [58 kg ]. Et j'ai vu à peu près trois cents prédicateurs fuir l'estrade parce qu'ils le connaissaient. Il haïssait les prédicateurs. Et il était recherché par la justice.
20 Et comme il se précipitait sur l'estrade, je ne le connaissais pas. Et il poussa un cri très fort, et il serra les dents, et ses yeux se rétrécirent. Et il se mit à s'avancer vers moi. Et il dit: "Hypocrite! faux jeton!" Il dit: "Sur cette estrade, tu te fais passer pour un serviteur de Dieu. Tu n'es rien qu'un hypocrite."
Tout le monde garda silence. A ce moment-là, deux petits policiers que j'avais conduits à Christ là dans le vestiaire coururent pour le saisir. Et je leur fis signe. Je dis: "Ceci n'est pas une affaire de la chair et du sang." Mais la chose étrange était que lorsque l'homme monta là, je n'avais pas peur. Eh bien, l'amour parfait bannit la crainte, et c'est la raison pour laquelle les gens ne veulent pas prendre Dieu au mot pour leur guérison. Ils ne L'aiment pas assez, car ils ont peur qu'Il ne tienne pas Sa Parole. C'est la raison pour laquelle les gens ont peur que quelqu'un dise quelque chose contre eux s'ils recevaient le Saint-Esprit. Ils ont peur que quelqu'un se moque d'eux et les tourne en dérision. Mais quand l'amour entre...
21 Qu'est-ce qui poussa Moïse à quitter l'Egypte? Le trône était à ses pieds, mais il regarda l'opprobre de Christ comme une richesse plus grande que tous les trésors de l'Egypte. Pourquoi? Non pas pour dire: "Eh bien, je n'arrangerai pas les choses pour vous", mais pour se ranger du côté de son peuple. Et c'est l'Esprit de Christ qui l'a amené à se ranger du côté du peuple.
C'est ce qui a amené Christ à se ranger du côté du peuple. C'est ce qui amène le chrétien aujourd'hui à sortir et à se ranger du côté de Christ, qu'il vive ou qu'il meure. Soyez en communion, aimez-vous les uns les autres. Aimez Dieu, et n'ayez pas peur de ce que le monde a à dire ou à faire.
22 Quand ce fou a ramené ses grands bras en arrière, quelque chose s'est produit. Oh! combien je souhaiterais vivre de cette manière tout le temps! Et il se précipita vers moi. Et il leva ses grands et puissants bras.
Eh bien, vous feriez mieux de ne pas vous amuser. Vous feriez mieux de savoir de quoi vous parlez. Et avec des sorciers guérisseurs en Afrique, les vaudous en Inde, ils vous défieront. Mais si vous L'aimez réellement, n'ayez pas peur. Il a dit: "Je serai avec vous." Oh! je n'ai jamais vu cela faillir et ça ne faillira pas.
23 Ainsi le - l'homme vint tout près de moi, et les gens ont tout simplement observé le silence. Et il redressa son grand... il se racla la gorge et me cracha au visage. Et il dit: "Espèce de faux jeton! Je vais montrer à quel point tu es un serviteur de Dieu. Je vais t'assommer au milieu de cet auditoire." Il était bien capable d'exécuter ses menaces.
Mais il ne connaissait pas Dieu. C'était ça la chose essentielle. Je suis resté très calme, sans rien dire. Et j'avais pitié de lui. Maintenant, ce n'est pas de l'imagination. Ça doit être réel. Les gens ont vu tant d'imitations de l'amour, au point qu'ils en ont marre. Soyez ce que vous êtes. Si vous êtes chrétien, soyez-en un. La grâce de Dieu fera de vous un chrétien.
24 Et cet homme s'avança plus près de moi et je l'ai aimé, parce que je savais qu'il n'en avait pas l'intention. Je pensais: "C'est le diable qui fait dire cela à cet homme. C'est un homme qui aimerait sa famille comme j'aime la mienne. Il aimerait manger, boire et communier. Mais le problème est que le diable l'a possédé. C'est un être humain comme moi", les pensées de ce genre.
Et vous ne pouvez pas faire cela à moins que Dieu le fasse pour vous. Et quand il est arrivé près de moi, il leva les bras et dit: "Je vais t'assommer au milieu de cet auditoire, et briser chaque os de ton vieux petit corps frêle." Je n'ouvris point ma bouche et ne dis pas un seul mot.
Mais alors, tout d'un coup, quelque chose se mit à parler. Et le Saint-Esprit se mit à parler et dit: "Puisque tu as défié l'Esprit de Dieu ce soir, tu tomberas sur mes pieds." Il y avait deux menaces, deux prophéties.
Il dit: "Je vais t'assommer au milieu de l'auditoire." L'Esprit de Dieu dit: "Tu tomberas sur mes pieds."
Il dit: "Je vais te montrer sur les pieds de qui je vais tomber." Et il leva le bras pour me frapper, et malgré tout je n'avais pas peur.
25 Je n'étais pas là parce que je voulais qu'on me voie; j'étais là avec une mission de Dieu à accomplir. Et lorsqu'il était sur le point de frapper, quelque chose apparut. Je dis: "Satan, quitte cet homme." Et alors, ses grands yeux semblaient ressortir, et les dents serrées, il pivota et tomba sur mes pieds, si bien que les policiers durent venir le retirer.
Qu'était-ce? L'amour. L'amour vaincra l'ennemi le plus puissant qu'il y ait sur la face de la terre. C'est l'amour. Simplement...?... maintenant de la vie.
26 Il y a quelque temps, j'étais au Mexique l'année dernière; un petit bébé a été amené à la réunion ce matin-là. Et il était mort à neuf heures, ce matin-là.
Les gens se tenaient là par dizaines de milliers. Vingt mille vinrent à Christ ce soir-là, vingt mille. J'ai dit: "Je ne veux pas de catholiques, ou de membres des églises évangéliques, je veux des gens qui n'ont jamais reçu Christ du tout." Et on en compta vingt mille.
Mais il y avait une petite femme là-bas qui criait en tenant une couverture. Billy était avec l'homme qui avait distribué les cartes de prière, et ils avaient environ deux cents ou trois cents huissiers. Et ces trois cents huissiers n'arrivaient pas à l'écarter de la ligne.
Elle leur montait sur le dos. Oh! quel était le problème? Son bébé était mort à neuf heures ce matin-là, et il était presque vingt-deux heures cette nuit-là.
27 Après une longue lutte, la petite dame qui n'avait pas plus de vingt-cinq ans, une très belle petite femme, et elle ne cessait de crier, et les huissiers essayaient de la repousser... Elle leur passait entre les jambes, par-dessus les dos, ou n'importe comment. C'était l'amour qu'elle avait pour son bébé.
Et je pouvais entendre ces cris: "Padre." "Padre" veut dire "père". Elle était une catholique.
Et comme elle criait, Billy vint vers moi et dit: "Papa, tu dois faire quelque chose pour cette femme." Il dit: "Elle n'a pas de carte de prière, et nous ne pouvons pas la laisser dans la ligne sans une carte de prière. Les autres se sont tenus ici depuis l'aube ce matin pour obtenir une carte de prière."
Et je dis: "Bien, Frère Moore (Frère Jack Moore de Shreveport, en Louisiane), dis-je, allez-y et voyez si vous pouvez prier pour son bébé ou quoi que ce soit qui ne va pas." Comme il y allait, je levai les yeux devant moi et vis en vision un petit bébé. Je dis: "Juste une minute, Frère Moore."
28 Vous voyez, l'amour souverain projette chaque fois la grâce de Dieu. Je dis: "Peut-être que je ferais mieux d'aller vers le bébé." Je dis: "Vous les huissiers, je sais que ceci n'est pas correct. Selon nos règles, les gens doivent avoir une carte de prière. Néanmoins, laissez venir la petite dame ici."
Et quand elle s'approcha, elle tomba par terre. Je dis: "Lève-toi." Je n'arrivais pas à lui faire comprendre. Et j'ai posé ma main sur cette couverture. Je n'avais jamais vu le bébé. Et je dis: "Seigneur Dieu..." C'était mouillé au possible. Il avait plu toute la journée. Les gens n'avaient pas d'endroit où s'asseoir; ils étaient debout appuyés les uns contre les autres, jusqu'à perte de vue dans cette grande arène.
Et je dis: "Seigneur Dieu, je ne sais pas de quoi il s'agit, mais je vois un petit bébé espagnol dans une vision juste maintenant." Et j'ai posé mes mains sur cette couverture humide. Jéhovah Dieu est mon juge. Et il hurla et poussa un grand cri, et il commença à donner des coups de pied dans la couverture dont il était couvert.
29 Qu'était-ce? L'amour. Une mère pour son bébé, non pas pour être vue, pas une hypocrite, mais un véritable et authentique amour pour son bébé projeta la grâce souveraine du Dieu Tout-Puissant...?... Combien c'est simple de le croire! C'est arrivé il n'y a pas longtemps. Vous pouvez vous retrouver dans des situations très difficiles, comme nous le savons tous.
J'étais assis sur le porche, parlant à mes associés ici présents, frère Goad et frère Mercier. Et nous parlions d'une jeune fille de couleur qui avait tué son bébé la veille. Elle était une... avait eu un enfant illégitime.
Et elle enveloppa l'enfant dans une couverture et l'étouffa, elle monta dans un taxi et se rendit à la rivière et le jeta dans la rivière. Le chauffeur du taxi rapporta cela aux gardes-côtes. Ils repêchèrent le colis à la senne et trouvèrent le petit bébé tué. Mais le bébé n'était pas noyé, il était mort asphyxié. Et la photo de la fille était dans le journal. Et je parlais à mes frères alors qu'on était assis sur le porche. J'ai dit: "Vous savez, cette femme n'est pas - ne devait même pas être appelée femme." J'ai dit: "Une chienne a plus de moralité que cette femme."
30 Et juste à ce moment-là, nous avons vu descendre la route... et ma maison est la quatrième depuis l'autoroute, la rue ou la petite avenue, comme vous pourriez appeler cela par ici. Et c'est la seule maison qui est entourée d'une clôture.
Bien, j'ai vu venir et entrer dans la voie privée, un vieil opossum. Eh bien, vous les gens de la Virginie, vous savez ce que sont les opossums. J'étais garde- chasse pendant beaucoup d'années dans l'Indiana, j'ai étudié les animaux; c'est l'un de mes domaines d'études.
Et tout le monde sait que les opossums ne se déplacent pas pendant le jour. Les opossums se déplacent pendant la nuit, puis ils se retirent et dorment pendant le jour. Et j'ai dit: "Regardez, Leo, Gene. Voici venir un opossum." Et quand il est arrivé devant ma barrière, il est entré.
Et j'ai remarqué qu'il était penché d'un côté comme ceci avec une patte qui boitait. J'ai sauté et suis sorti en courant, et il y avait un râteau dans le jardin. Et j'ai pris le râteau et l'ai posé sur l'opossum. J'ai dit: "Il a peut-être la rage, car c'est la période de chaleur maintenant." Je crois que c'était en juillet, en juin ou en juillet. Et j'ai dit: "Il a peut-être la rage; et par conséquent, nous ferons mieux de l'arrêter."
31 Et quand j'ai arrêté l'opossum, j'ai pu regarder et sa patte était tout déchiquetée, à l'endroit où une voiture l'avait heurté, ou des chiens l'avaient mâchonné. Cela avait doublé de volume, je n'ai pas l'intention d'être - de vous faire vomir, mais les mouches avaient pondu dessus et la patte était toute couverte d'asticots et d'oeufs de mouches.
Et j'ai dit: "Oh! il a été blessé il y a quelques jours." Et je maintenais le râteau sur lui. Généralement, ils font le mort comme on le dit: ils restent inertes. Mais pas elle. Elle mordait le râteau du jardin.
Et ces opossums sont les - les deuxièmes animaux... le Kangourou et l'opossum sont les deux seuls animaux qui ont des poches pour porter leurs petits.
Et j'ai remarqué, quand elle a ouvert sa poche, qu'il y avait neuf petits bébés opossums nus d'à peu près cette taille. Ils essayaient de la téter. J'ai dit: "Voilà, les garçons. Elle est une mère." Et j'ai dit: "Approchez, Gene."
32 Et à ce moment-là, madame Wood qui... et monsieur Wood qui est un ancien témoin de Jéhovah, leur garçon avait été guéri d'une jambe recroquevillée par suite d'une paralysie, si bien qu'aujourd'hui il ne sait même plus laquelle des jambes était recroquevillée. Et ils avaient emménagé à côté de moi, elle est une vétérinaire.
Et elle a approché là pour voir, et elle a dit: "Regarde ça."
J'ai dit: "Mes garçons, cet opossum est plus mère que cette femme qui a noyé son bébé." J'ai dit: "Elle n'a probablement pas plus d'une heure à vivre, mais elle est disposée à passer cette heure en luttant pour ses petits. Elle est une vraie mère."
33 Et alors, quand je soulevais la patte un petit peu, je... Mme Wood a dit: "Frère Branham, qu'allez-vous faire d'elle?"
J'ai dit: "Je ne sais pas."
Elle a dit: "Eh bien, vous feriez mieux de la tuer, et de prendre ces petits et de les tuer, parce qu'ils ont le museau rond, ils ne sauront pas téter, ils mourront en la tétant."
Et j'ai dit: "Je ne peux simplement pas faire cela."
Et elle a dit: "Je pensais que vous étiez un chasseur."
J'ai dit: "Je suis un chasseur, mais pas un tueur."
Et elle a dit: "Eh bien, vous ne parlez pas sérieusement." Elle pensait qu'elle avait raison. Et, humainement parlant, elle avait raison.
Elle a dit: "Vous allez les laisser souffrir comme cela?"
J'ai dit: "Je ne sais pas pourquoi, Madame Wood, mais je ne peux simplement pas la tuer."
Elle a dit: "Laissez mon mari, Banks, la tuer."
J'ai dit: "Non, je ne le laisserai pas faire cela."
Elle a dit: "Vous allez donc la laisser couchée là et mourir comme cela?"
J'ai dit: "Je pense que c'est ce qui va arriver."
Je l'ai soulevée ainsi que ces petits opossums comme cela avec le râteau. Elle les a vite recueillis dans sa poche, et a couru au devant de ma porte et s'est écroulée et s'est renversée.
Quand donc elle s'est écroulée, nous l'avons secouée pour savoir si elle était morte ou pas. Elle a dit: "Et vous allez laisser ces bébés opossums téter son vieux lait et mourir d'une mort horrible?"
J'ai dit: "Je crois que oui."
34 Ainsi, toute la journée les gens venaient et repartaient; la nuit vint, elle était toujours étendue là. Eh bien, M. Wood vint pour m'éloigner de la foule, pour me faire faire un petit tour. Les visions m'affaiblissaient... Et j'ai roulé dans la campagne un petit peu, après un moment, quand nous sommes revenus vers vingt-trois heures, la vieille mère opossum était étendue là. Et n'importe qui sait que si jamais elle allait se déplacer, ce serait après le coucher du soleil. Elle s'en irait. Mais voilà qu'elle était étendue là. Et ma femme a dit: "Billy, vas-tu la laisser mourir comme cela?"
J'ai dit: "Je pense qu'elle est déjà morte." J'ai dit: "Regarde ces bébés opossums qui tètent."
J'ai dit: "Ils meurent de faim." J'ai dit: "Probablement qu'ils ne peuvent pas tirer du lait comme elle est morte."
Je lui ai donné quelques coups de pied, mon pied la touchait, et j'ai vu comme une petite grimace sur le côté de sa face, et j'ai dit: "Elle n'est pas morte." Puis nous sommes entrés.
35 Mon garçon Billy arriva vers minuit, revenant de la pêche. Et il la vit étendue là. Pendant toute la nuit je ne pouvais pas l'ôter de mon esprit. Le lendemain matin, je suis sorti très tôt et j'ai regardé, et là était étendu mon vieil opossum, tout couvert de rosée, avec ces petits toujours en train de téter. J'ai regardé au hasard et ma petite fille Rebecca était debout à côté de moi, une enfant très spirituelle, tout récemment elle a eu sa première vision.
Et elle a dit: "Papa, que vas-tu faire de cette vieille mère opossum? Est-elle morte?" J'ai dit: "Je ne sais pas, chérie." J'ai dit: "Tu ne devrais pas être ici dehors si tôt. Rentre vite dans la maison." J'ai dit...?... elle portait son vieux pyjama. J'ai dit: "Rentre vite dans la maison, et va au lit. Papa revient."
36 Je suis entré dans mon cabinet d'études. Je me suis assis, je me suis mis à me frotter le front comme cela, la tête inclinée. Je ne sais pas ce que vous allez penser à ce sujet. Cela vous regarde, vous et Dieu. Mais Quelque Chose m'a dit: "Que vas-tu faire d'elle?"
J'ai dit: "Je ne sais pas." Je n'étais pas en train de penser. Et j'ai dit: "Oh! je ne voudrai pas la tuer."
"Eh bien, a dit cette Chose, tu as prêché un sermon à son sujet hier, disant qu'elle est une vraie mère."
J'ai dit: "Oui, c'est juste."
"Eh bien, a dit cette Chose, elle est couchée à ta porte depuis vingt- quatre heures, attendant son tour pour que tu pries pour elle, et tu n'as pas dit un mot à ce sujet."
J'ai dit: "Eh bien, je ne savais pas..." J'ai dit: "De toutes les façons, à qui suis-je en train de parler?" J'ai secoué la tête, et je me suis dit: "C'était une voix." Et je me suis dit: "Ô Dieu, Tu guides l'aigle sur le sentier de l'air; un moineau ne peut pas tomber dans la rue sans que Tu ne le saches. Tu veux dire que Tu as conduit ce pauvre opossum ignorant jusqu'à ces marches ici." J'ai dit: "Pardonne ton serviteur stupide."
37 Puis je suis sorti là, et la petite Becky était toujours en train de regarder par-dessus la rampe. Et je suis allé là où la bête se tenait ou plutôt là où elle était étendue; j'ai dit: "Seigneur Dieu, pardonne-moi. Si Tu voulais que je prie pour cette mère opossum, et que Tu l'as conduite par instinct... Elle n'a pas d'âme, car c'est un animal."
Vous savez quoi? Cet opossum en sait plus au sujet de Dieu que beaucoup de prédicateurs. Et elle était étendue là. Et j'ai dit: "Seigneur Dieu, pardonne-moi, qu'elle soit rétablie."
Ma Bible est ouverte ici devant moi. Vous l'avez peut-être lu dans le journal des Hommes d'Affaires Chrétiens. Cela est paru dans la presse nationale, L'Associated Press. Cette vieille mère opossum s'est levée, elle a rassemblé ses neuf petits, et est sortie sur la route, toute aussi heureuse qu'elle pouvait l'être, elle a agité la queue, s'est retournée et a regardé vers la barrière comme pour dire: "Merci, Monsieur." Et elle est allée dans les bois avec ses petits.
Autant que je sache, ils sont encore dans les bois, heureux ensemble. Dieu sait que c'est la vérité. Oh! c'est le vrai amour. "Dieu a tant aimé le monde..." Le monde désire voir quelque chose d'authentique.
38 Et vous qui êtes ici ce soir, Dieu est... Il compte sur vous pour projeter son amour sur les pécheurs. Il y a quelque chose dans un homme ou dans une femme, vous êtes un créateur en miniature.
Avez-vous déjà vu des gens dont vous aimez vraiment la compagnie? C'est l'atmosphère qu'ils créent autour d'eux. Il y a d'autres personnes tout à fait bien, mais dont vous ne pouvez pas tout simplement supporter la compagnie. Elles créent cela par leur manière de vivre et leur manière de penser. C'est une petite atmosphère dans laquelle vous vivez.
39 Juste avant de terminer, j'aimerais dire ceci: une vieille histoire me vient à l'esprit. Comme tout le monde le sait, j'aime chasser. Et j'avais l'habitude de chasser dans les bois du nord, là dans le New Hampshire.
Oh! j'aime vraiment aller dans les bois. Il y a quelque chose de divin dans les bois. Comment un homme peut-il regarder une fleur, un arbre, ou un vieux ruisseau couler sans comprendre que Dieu existe? Dieu vit dans la nature.
Qu'est-ce qui fait que cet arbre ici en Virginie, qui porte de belles feuilles en été, et qu'est-ce qui fait que cette sève descende de l'arbre et aille se cacher dans les racines quand vient l'hiver? Versez de l'eau dans un bâton et voyez si cela descendra comme cela. C'est Dieu.
40 Qu'est-ce qui fait que cette petite fleur que vous avez plantée l'été dernier, qui est morte...? La gelée est venue et l'a tuée, elle a baissé sa petite tête et a rendu l'esprit. Une procession funèbre a été organisée pour elle. Les pluies d'octobre ont fait le deuil, et elles ont enseveli la petite semence. Elle est gelée. La semence s'est ouverte; la pulpe est sortie.
Alors, il n'y a ni semence, ni pulpe, ni rien. Mais quelque part là dans ce sol, la science ne peut pas trouver qu'il y a un germe de vie qui est caché, et quand ce soleil se lève là-bas à l'est, il vivra de nouveau.
Et si Dieu a tant aimé la fleur qu'Il a pourvu à une voie pour qu'elle vive de nouveau, à combien plus forte raison a-t-Il pourvu à une voie pour que l'homme qui est fait à Son image vive de nouveau. Dieu est dans la nature. Il est dans l'amour.
41 Je chassais là dans les bois du nord avec un ami. Il était un bon chasseur. J'aime chasser avec lui. Et il était un bon traqueur. Vous n'avez pas à craindre qu'il se perde, et nous parcourrions sur les montagnes trente miles [48 km - N.D.T.] par jour.
Là au nord, le vent souffle partout. Vous n'avez pas à vous inquiéter à son sujet. Il était toujours un bon tireur et un bon trappeur. J'aime chasser avec lui, mais c'était l'homme le plus méchant que j'aie jamais vu, il était vraiment cruel. Il tirait sur les jeunes biches et les petits faons juste pour m'indisposer. Vous savez comment sont les pécheurs. Ils essaient tout simplement de vous en faire voir. C'est tout. C'est ce qu'ils font aujourd'hui.
42 Les gens savent combien je déteste voir une femme fumer des cigarettes, et le diable envoie ces fumeuses de cigarettes...?... autour de moi juste pour m'en faire voir. Vous ne faites pas de l'épate, vous montrez simplement de quoi vous êtes fait. C'est tout.
Bon. Et ce gars... Il n'y a pas de mal à abattre un faon, si la loi vous autorise de l'avoir. Mais n'en abattez pas toute une file simplement pour vous montrer méchant. Les faons, il n'y a pas de mal. Abraham a tué un veau et Dieu en a mangé. Il n'y a pas de mal, mais si c'est pour se montrer méchant envers eux...
Et il aimait le faire juste pour m'indisposer. Et une année, lorsque je suis sorti un matin brumeux, il s'était fabriqué un petit sifflet. Et il pouvait produire parfaitement le cri d'un petit faon.
Et j'ai dit: "Burt, tu ne vas pas utiliser ça."
Il a dit: "Oh! Billy, ressaisis-toi. Vous prédicateurs, vous êtes des poltrons."
J'ai dit: "Non, ce n'est pas le cas, mais seulement nous n'avons pas ces méchantes choses en nous."
Il a dit: "Ressaisis-toi."
43 Et ce jour-là, nous avons chassé jusque vers midi, avec de la neige sur le sol comme il y en a maintenant. Nous n'avons même pas vu une seule trace. Nous sommes arrivés à l'heure du déjeuner vers... J'étais derrière. Il y avait une petite clairière. Et il s'est en quelque sorte accroupi. (Maintenant vous, les gens du Sud, vous savez ce que s'accroupir veut dire). Et quand il s'est accroupi, je pensais qu'il allait faire sortir son déjeuner, mais qu'est-ce qu'il tenait? Ce petit sifflet. Je me suis dit: "Il ne va pas siffler." Mais il siffla. Et à ma grande surprise, à moins de 30 yards [27 m - N.D.T.], une très grosse biche se dressa.
Eh bien, la biche, c'est la femelle du cerf. Je pouvais voir les grosses veines sur sa face. Les grands yeux bruns, de très larges oreilles. Elle se dressa. Elle regarda. Eh bien, c'est inhabituel à cette heure-là dans la journée. N'importe quel chasseur sait bien cela.
Et il siffla de nouveau. Et elle est sortie à découvert. C'est absolument contraire à la nature des biches de se montrer à découvert comme cela pendant la saison de chasse. Et elle regardait. Quel était le problème? Elle était une mère. Son bébé avait des ennuis.
44 Et Burt leva les yeux vers moi avec un sourire très gêné. Je me suis dit: "Oh! Burt, tu ne vas certainement pas faire ça." Et je l'ai vu tirer le levier, puis introduire une cartouche dans ce 30-06. Puis il braqua le fusil, et alors, la biche vit le chasseur. Elle vacilla. Elle regarda. Mais elle est restée alors immobile.
Généralement elles détallent. Mais qu'était-ce? Son bébé était en difficulté. Elle ne faisait pas semblant. C'était le véritable et authentique amour d'une mère. Et elle voyait le chasseur.
Et je le vis braquer ce fusil. C'était un tireur d'élite. Et j'ai pensé: "Burt, tu ne peux certainement pas faire ça." J'ai pensé: "Dans une seconde, il va faire sauter son coeur et le faire ressortir carrément de l'autre côté", vu qu'il se tenait aussi près que ça. Et elle le regardait. Bien que se tenant en face de la mort, elle était toujours une mère. Il y avait en elle un amour véritable. Son bébé était en difficulté, et même si cela lui coûtait la vie, elle sortit malgré tout pour affronter le danger. Elle cherchait ce bébé.
45 Je ne pouvais pas regarder cela. Je savais qu'à tout moment il allait la mettre en pièces. J'ai détourné la tête, et je me suis dit: "Ô Dieu, comment peut-il être si brutal?" Et je m'attendais à entendre le coup de fusil. J'ai attendu et attendu. Le coup ne partait pas.
Je me suis retourné, et voilà, le canon du fusil allait comme ceci. Et il s'est retourné et m'a regardé. Il jeta le fusil par terre et me saisit par la jambe; il dit: "Billy, j'en ai marre. Conduis-moi à ce Jésus que tu connais." Oh! juste là sur ce banc de neige, j'ai conduit cet homme cruel à Christ, il est ce soir un saint aimable. Qu'était-ce? Parce qu'il a rencontré quelque chose de réel, un véritable amour qui pouvait être déployé en face de la mort.
46 Mon ami, c'est ce que Dieu désire ce soir. Ce - c'est ce que les chrétiens devraient être ce soir pour manifester l'amour de Jésus-Christ en dépit des circonstances. Pensez-y. En tant que chrétien, vous pourriez être membre de la plus belle église qu'il y a dans cette contrée, cependant Dieu est-il déjà venu à votre coeur pour vous donner l'amour qui tiendrait en face des gens qui vous taxent de saint exalté? Vous prendriez position avec l'Eglise du Dieu vivant. Si les gens disaient que vous avez perdu la tête parce que vous L'acceptez comme votre Guérisseur, vous tiendriez toujours bon et loueriez Dieu. Cet amour-là est-il en vous? Si ce n'est pas le cas, ami pécheur et rétrograde, Dieu est ici pour vous donner cela. Pensez-y alors que nous inclinons la tête.
Juste avant que nous priions, j'aimerais poser une question. Je voudrais que vous réfléchissiez sincèrement. "Oh! dites-vous, Frère Branham, ça fait longtemps que je - je - je suis un chrétien." Vous pourriez avoir adhéré à une église il y a longtemps. Vous - vous pourriez avoir dansé dans l'esprit il y a quelque temps. Vous pourriez avoir parlé en langue il y a quelque temps. Vous pourriez avoir été baptisé par un certain credo dans l'église. Vous pourriez brûler un cierge chaque soir et réciter votre chapelet. Mais j'aimerais vous demander quelque chose: L'aimez-vous vraiment au point que vous pouvez manifester votre amour pour Lui même si cela signifiait la mort pour vous?
47 J'aimerais que tous ceux qui sont ici et qui savent réellement... Soyez sincère, car vous êtes dans la Présence de Dieu. Tous ceux qui sont ici et qui savent qu'ils n'ont pas cet amour dans leur coeur, mais veulent que Dieu le leur donne, voulez-vous juste lever la main vers Lui. C'est très bien. Que Dieu vous bénisse. Assurément. Je pense que cent cinquante, deux cents, disons trois cents mains se sont levées. "Ô Dieu, donne-moi cet amour. Donne-moi l'amour qui vient de Christ, l'amour qu'avait cette mère biche." C'était simplement son amour pour son bébé... Vous dites: "Frère Branham, l'amour de Dieu n'est-il pas plus grand que cela?" De loin plus grand!
"Une mère peut oublier le bébé qu'elle allaite, mais Moi, Je ne vous oublierai point. Vos noms sont gravés sur Mes mains." Par une lance romaine, bien sûr. "Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné Son Fils." Y en a-t-il d'autres qui ont pris leur décision depuis lors? Que Dieu te bénisse, fiston ici. Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Très bien.
48 Que quelqu'un d'autre qui n'a pas levé la main, dise: "Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi." Vous dites: "Cela me ferait-il un quelconque bien de lever la main, Frère Branham?" Assurément, si vous aviez besoin de passer de la mort à la vie. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Soyez sincère maintenant. Que Dieu te bénisse, petit garçon.
Encore quelques-uns là au balcon. Que Dieu soit avec vous. Dieu donne... Que Dieu vous bénisse, là, frère. "Donne-moi la vie, ô Dieu." Dieu vous bénisse. Je suis mem... d'une église... Que Dieu vous bénisse, et vous soeur, et vous soeur.
"Je suis un membre d'église, Frère Branham (Que Dieu vous bénisse), mais je n'ai pas encore cet amour. Point n'est besoin pour moi d'imaginer cela, car je ne l'ai pas, mais je veux quelque chose de réel." Que Dieu vous bénisse, vous frère ici contre le mur.
Ceux qui sont là dans le vestibule. Voulez-vous lever la main partout là-bas. Ami pécheur, ou rétrograde, ou juste membre d'église froide et tiède, dites: "Sois miséricordieux." Que Dieu vous bénisse, monsieur. Il faut vraiment être un homme pour faire cela. Que Dieu vous bénisse pour cela.
49 Vous dites: "Dieu voit-Il cela?" Assurément. Il vous voit. Que Dieu te bénisse, jeune homme. Quinze ans. "Dieu a tant aimé le monde qu'Il a donné Son Fils unique", et nous aujourd'hui... Que Dieu te bénisse par ici, jeune homme.
On a simplement essayé d'adhérer à une église, et on a peut-être crié un peu, ou dansé un peu, ou parlé en langues. C'est très bien. Je n'ai rien contre cela. Mais, frère, si vous n'avez pas l'amour de Dieu pour accompagner cela, ça ne vaut rien.
Paul a dit: "Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra. Mais ce qui est parfait, c'est l'amour; quand cela viendra, ça durera pour toujours."
50 Les hommes essayent d'écrire des chants. Ils deviennent fous. Personne... Une fois un homme a écrit:
Si on remplissait les océans d'encre,
Et que les cieux étaient faits de parchemin,
Et que chaque tige sur terre était une plume,
Et tout homme un écrivain de métier,
Décrire l'amour du Dieu céleste assécherait les océans,
Et le rouleau ne pourrait en contenir le tout,
Quoiqu'étendu d'un bout à l'autre du ciel.
Alors que la - alors que la terre, secouée par la puissance atomique, titube comme un homme ivre rentrant chez lui, quand les océans se seront répandus et seront devenus un désert, et vu que cela est parvenu aux oreilles de Dieu, et que les étoiles refuseront de briller, l'amour de Dieu sera toujours le même. Il ne peut jamais faillir.
51 Dieu vous a tant aimé qu'Il a donné Son Fils, afin que vous soyez sauvé et rempli de l'Esprit, et qu'Il projette Son amour dans votre coeur par le Saint-Esprit.
Cela vous fait aimer tout le monde. C'est la raison pour laquelle les chrétiens ont les hauts et les bas comme ils en ont. Eh bien, vous pouvez être sur le toit d'une maison, peu importe la condition dans laquelle vous vous trouvez, si vous aimez Dieu, vous savez où vous vous tenez. Y a-t-il quelqu'un d'autre maintenant, avant que nous priions?
Que Dieu vous bénisse, madame là au balcon. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, mon ami. C'est juste. Très bien. Avec nos têtes inclinées. Que Dieu vous bénisse, là-bas, madame. Je venais de penser: "Peut-être encore une minute." Vous dites: "Frère Branham, qu'est-ce que cela veut dire, quand on lève la main?" Cela veut dire que vous défiez chaque loi de la science.
52 La science dit que vos mains doivent pendre. La gravitation maintient vos mains baissées. Mais vous, vous avez levé votre main. Comment l'avez-vous fait? Vous avez brisé la loi de la science, parce qu'il y a un esprit en vous. Il y a un esprit en vous, et cet esprit a reconnu que vous aviez tort, et vous avez levé la main vers votre Créateur. Ne pensez pas qu'Il ne sait pas cela.
"Nul ne peut venir, si le Père ne l'attire, et tout celui qui viendra, Je lui donnerai la Vie Eternelle et je le ressusciterai au dernier jour." C'est une question de vie ou de mort quand vous levez la main vers Lui. Si vous êtes réellement sincère.
"Celui qui écoutez Ma Parole, et qui croit à Celui qui M'a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie."
Levez la main et dites: "Seigneur, maintenant je crois que Jésus-Christ, le Fils de Dieu, me donne ce genre d'amour, l'amour Agapao dont j'ai vraiment besoin; et je l'accepte au Nom de Christ."
53 Père céleste, Tu as vu le grand nombre de mains qui se sont levées vers les cieux. Et je suis sûr que les anges qui enregistrent [les noms] se tiennent tout près. Car je sais que Tu es tout près. Et Tu as dit: "Les anges de Dieu campent autour de ceux (ils ne quittent pas; ils restent juste là. Ils fixent leur camp là.) - autour de ceux qui Le craignent et qui L'aiment."
Et maintenant, Seigneur, je Te prie de recevoir chacun d'eux, comme les fruits du message de ce soir, et qu'ils soient paisiblement et fidèlement conduits tout au long de leur vie.
Et en ce jour-là, quand la mort frappera, à quelque moment que ce soit, que les anges de Dieu transportent leurs âmes au-delà du Jourdain, de l'autre côté jusque dans le sein de Dieu, où ils seront gardés pour toujours. Accorde-le, Seigneur.
54 Prends soin d'eux. Ils t'appartiennent. Ils sont les fruits de ce message et Tu les donnes à ton Fils, le Seigneur Jésus, comme des dons d'amour. Ton amour a été envoyé dans la réunion ce soir. Il a projeté des pécheurs en larmes, des rétrogrades qui ont levé leurs mains.
Maintenant, Tu les présentes à Christ parce qu'ils sont des dons d'amour, et Il a promis qu'Il va leur donner la Vie Eternelle et les ressusciter au denier jour.
Puissent-ils avoir Son Esprit d'amour à partir de ce soir, le véritable amour de Dieu, comme en avait la vieille mère biche dont nous venons de parler. Accorde-le, Seigneur, car je Te les confie au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.
55 [Espace vide sur la bande - N.D.E.]... La Bible dit-Elle qu'Il est maintenant, maintenant même un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? A-t-Il dit: "Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez."? Qui est ce "vous"? Le monde, c'est l'incrédule. Qui est ce "vous"? Son Eglise. "Vous Me verrez, car Je (Pronom personnel) serai avec vous, même en vous, jusqu'à la fin du monde." Combien savent cela?
"Les choses que Je fais, vous les ferez aussi." Croyez-vous tous cela? Très bien. Alors quand le... Il n'a jamais accompli ce signe-là devant un seul Gentil, mais seulement devant les Juifs et les Samaritains. Pourquoi? C'était exactement la fin de l'âge des Juifs. Ceci est la fin de l'âge des Gentils. C'était Son signe en tant que Messie.
56 S'Il est ressuscité des morts, Il est obligé de faire aujourd'hui la même chose qu'Il fit autrefois, sinon Il avait commis une erreur quand Il l'avait fait autrefois. Quand les [mêmes] circonstances arrivent... Ecoutez attentivement. Quand les [mêmes] circonstances arrivent, la manière dont Dieu a agi la première fois, Il doit agir de la même manière chaque fois, sinon Il avait commis une erreur quand Il avait agi la première fois. C'est juste.
Si donc c'était la manière dont Il s'était révélé autrefois, Il a promis de le faire avec les nations... Regardez tout au long de l'histoire, cela n'est jamais arrivé jusqu'à maintenant. Vous gens des nations, vous êtes en train de recevoir votre dernier appel. Prions!
57 Maintenant, Seigneur, le reste relève de Toi. Je ne peux que prêcher Ta Parole, et je Te prie de Te manifester ce soir comme le Fils de Dieu ressuscité, le même hier, aujourd'hui et éternellement. Accorde-le, Seigneur.
Et puis, à la fin des temps, nous prions qu'il soit bien pris soin de chaque âme qui est ici ce soir, qu'elle soit amenée de l'autre côté de la rivière de la mort, ressuscitée dans les derniers jours avec notre Seigneur, avec qui nous nous assiérons et vivrons, et avec qui nous serons pour toujours.
Et maintenant, nous savons que Tu es ici. Tu as dit: "Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je suis au milieu d'eux." Maintenant, Seigneur, nous Te prions de manifester Ta Présence ici ce soir. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
58 A partir d'où appelions-nous? Quel... Y. Très bien, la carte de prière Y. La première soirée nous avons appelé, je crois, le numéro 25, ensuite jusqu'à 50, et puis 30 ou quelque chose comme cela. Appelons... Y. La Carte de prière Y. C'est une petite carte. Il y a un "Y" écrit dessus. Maintenant, si vous n'êtes pas appelé, gardez votre carte. Nous allons y arriver.
Commençons à partir de... Sautons tout simplement, prenons-en une bonne partie, mélangeons-les ce soir. Prenons certains à un endroit et d'autres à un autre. Combien de cartes de prière avez-vous distribuées? Cent. Très bien.
Très bien. Commençons à partir de Y numéro 1. Qui a le numéro 1? Quiconque a la carte de prière Y numéro 1, levez la main. Où est-ce? Voulez-vous venir ici, madame, là où je suis. Y numéro 2. Voulez-vous lever la main? Y numéro 2. La dame ici derrière.
Eh bien, les jeunes gens amènent ces cartes et les mélangent. Ils les distribuent à l'auditoire. Les anciens, ceux qui étaient ici auparavant, savent comment nous faisons cela. Nous venons ici et mélangeons les cartes. Nous les donnons à tout celui qui en veut. Personne ne sait par où la ligne de prière va commencer, jusqu'à ce que nous en arrivions directement à...?... ce soir. Puis, parfois nous commençons par un numéro donné ou un autre et les mélangeons complètement.
59 Ça va. Y numéro 2, numéro 3? Y numéro 3, voulez-vous lever la main? Numéro 3, cet homme. Numéro 4, voulez-vous lever la main? Y numéro 4? Le monsieur là, tout au fond. Voulez-vous venir ici, monsieur. Ça va. Voyez-vous, ils sont partout dans la salle.
Y numéro 5, voulez-vous lever la main? Y numéro 5. Juste là au bout. Venez ici, monsieur. Je désire m'arrêter maintenant. Allons ailleurs.
Allons jusqu'à Y-50. Qui a Y-50? Levez la main. Y-50. Y a-t-il quelqu'un qui l'a quelque part dans la salle? Au Fond? Quelqu'un dit que c'est au fond. Tenez-vous... Oh! voilà! Ça va, monsieur, venez ici. Y-50, Y-51?
Ça va. Y-51, Y-52, voulez-vous lever la main? 52, 53, 53? Ça va. Venez juste ici. 54? Y-54, 55? Y-55, levez la main. Je ne la vois pas. Ça va. Laissons alors les cinquante.
Allons jusqu'à - allons jusqu'à Y-95. Qui a Y-95? Levez la main. Y-95. Ici. Ça va. Où que ce soit, venez. 96? 96? Ça va. 97? 97, s'il vous plaît. 98? 99? 100?
On les mélange toutes, à travers tout le... Nous ne nous soucions pas de qui se tient debout; c'est simplement dans le but de faire venir quelqu'un ici à l'estrade.
60 Maintenant je vais vous demander quelque chose. Maintenant, vous rendez-vous compte de la position où je me tiens? J'ai prêché un sermon évangélique. Ce n'était pas tellement basé sur la guérison divine, parce que la chose principale aux yeux de Dieu, c'est l'âme. C'est pour cela que nous sommes ici, pour amener les gens au salut, les amener à être en ordre avec Dieu.
La guérison divine n'est qu'un - un bienfait qui accompagne votre police d'assurance-vie. C'est simplement un bienfait. David a dit: "Mon âme, bénis l'Eternel, et n'oublie aucun de Ses bienfaits." Combien savent cela? Qui fait quoi? "Qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes maladies." A-t-Il dit cela? C'est un bienfait qui l'accompagne.
Eh bien, Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui et éternellement. Je veux savoir combien croient cela. La manière dont Il était hier, en principes, en puissance, en actions, en paroles, et tout. Il doit être le même aujourd'hui, s'Il est le même. Combien savent cela? Très bien. Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement.
61 Maintenant, si vous voulez bien être révérencieux juste un petit moment; ne vous déplacez pas maintenant, restez très calmes. Combien ici qui n'ont pas de carte de prière veulent que Dieu les guérisse, levez la main... qui n'ont pas de carte de prière?
Il n'y a pas moyen d'identifier les endroits et les gens. Très bien. Quand vous regardez dans ce sens, quand l'onction de l'Ange du Seigneur vient... Christ... Combien En ont déjà vu la photo? On a la photo ici. Très bien.
Cela se trouve ici à Washington DC. Le seul...?... de Feu, c'est le seul Etre surnaturel qui ait jamais été prouvé par le FBI, ou quoi que ce soit d'autre, à être prouvé scientifiquement, à savoir qu'un Etre surnaturel a été photographié.
62 La Colonne de Feu qui conduisit les enfants d'Israël... Combien savent que cette Colonne de Feu, c'était Christ? Vous, les lecteurs de la Bible, combien savent que lorsqu'Il était ici sur terre, Il a dit: "Je viens de Dieu et Je retourne à Dieu."? Combien savent cela? Et quand Il est retourné à Dieu, Paul L'a rencontré après Sa résurrection sur la route de Damas. Qu'était-Il? De nouveau une Colonne de Feu, une Lumière qui a aveuglé ses yeux. Est-ce juste?
Quand Pierre était en train de prier, Il vint comme une Lumière dans la - la prison, Il entra et le délivra, Il ouvrit les portes devant lui, et le fit sortir. Est-ce juste? Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement.
Qu'est-ce que cela fera-t-il? Tout esprit, toute chose, toute vie rendra témoignage de soi-même. Maintenant, si cet Ange du Seigneur dont vous voyez la photo ici, si cet Ange de Dieu est le Christ, Il accomplira les oeuvres de Christ. Combien savent cela? Il accomplira les oeuvres de Christ. S'Il n'accomplit pas les oeuvres de Christ, alors ce n'est pas Christ.
Si j'avais l'esprit de John Dillinger, j'aurais des fusils; je serais un...?... caractère. Peu importe l'esprit que vous avez, c'est ce qui rend témoignage de vous.
63 Maintenant, si je disais que je pouvais vous guérir, je vous aurais dit quelque chose de faux. Je ne peux pas vous guérir. De quoi s'agit-il? Il s'agit d'un don que j'ai de la part de Dieu, ce n'est pas que quelqu'un m'ait imposé les mains. Cela ne marchera pas. Les dons et les appels sont sans repentir. Vous naissez avec et cela vous accompagne toute votre vie. La Bible le dit. Voyez-vous?
Moïse était né un - un prophète. Jean-Baptiste, sept cent douze ans avant sa naissance, il était la voix de celui qui crie dans le désert. Dieu a dit à Jérémie: "Avant que tu fusses conçu dans le sein de ta mère, je te connaissais, je t'avais consacré, et je t'avais établi prophète des nations." Voyez-vous?
C'est l'élection de Dieu, l'appel, ce n'est pas que vous soyez meilleur que quiconque d'autre; nous sommes tous les mêmes. Nous sommes juste des enfants, mais Dieu a choisi les uns pour qu'ils soient ceci et les autres cela. Et si vous comprenez là où Dieu vous a choisi, alors vous pouvez vous abandonner, et cet Esprit agira au travers de vous.
Juste comme ces ministres ici. Eh bien, on les appelle des prédicateurs. Ils ne montent pas ici... Prédicateur, je n'en suis pas un. Je ne dirais pas que je suis un prédicateur, parce que je n'ai aucune instruction. Mais certains hommes, là, pourraient monter ici et prêcher jusque... Quand ils prêchent sous l'inspiration. Ils s'abandonnent à l'Esprit de Dieu. Ils ont une manière de le faire.
64 Premièrement, il y a quoi? Les apôtres, puis les prophètes, puis les docteurs, les évangélistes, puis les pasteurs. Tout le monde sait cela. Ce sont là les offices de l'Eglise. C'est Dieu qui les a établis. Maintenant si ce que nous affirmons est vrai et que Jésus-Christ est ressuscité des morts, et que ceci c'est un don pour s'abandonner afin qu'Il agisse, Il vous rendra témoignage.
Voici une femme debout ici. Je ne l'ai jamais vue de ma vie. Combien ici me sont totalement inconnus, levez la main, totalement inconnus, je ne vous connais pas? Là dans la ligne de prière, ceux que je ne connais pas, levez la main. Très bien. Nous y sommes. Totalement inconnus. Je ne connais personne.
La dame a levé la main; j'ai levé la mienne. Nous ne nous sommes jamais rencontrés. Maintenant, avancez carrément ici juste une minute. J'aimerais que l'auditoire puisse voir. Maintenant, ceci ne se passe pas dans une pièce obscure, comme le ferait le diable. Ceci c'est juste ici devant vous tous. Dieu est un Dieu de lumière. Il vit dans la lumière. Il est un Feu dévorant.
65 Maintenant, la dame et moi, nous ne nous sommes jamais vus. Je ne la connais pas; elle ne me connaît pas. Vous direz: "Qu'attendez-vous, Frère Branham?" Cet Ange du Seigneur. S'Il n'apporte pas l'onction, alors je ne saurai rien faire. Il s'agit de Lui. Si je peux arrêter de - de parler de la Parole, m'abandonner à l'Esprit, alors Cela agira.
Maintenant, si je disais à la femme... Elle pourrait être une infidèle; elle pourrait être une hypocrite; elle pourrait être une prostituée; elle pourrait être une sainte; elle pourrait être malade; je ne sais rien à son sujet. Je ne l'ai jamais vue, mais Dieu la connaît.
Maintenant, peu importe ce qu'elle est, si je m'approchais d'elle et que je disais: "Madame, vous êtes malade. Oui, gloire au Seigneur, vous allez être guérie." Elle a juste ma parole pour cela. Elle pourrait dire: "Il a pu deviner cela." Mais si le Saint-Esprit remonte dans sa vie et lui dise quelque chose qu'elle connaît... Elle saura si c'est vrai ou pas. Dans ce cas-là ça doit être Dieu. Elle dira: "Certainement." Jésus a dit: "Celui qui..." C'est ce qu'Il a fait. Chaque véritable adorateur croyait qu'Il était le Fils de Dieu, parce qu'Il a fait cela.
66 Finalement, les apôtres ont dit ceci: "Nous croyons maintenant que Tu es le Fils de Dieu. Tu n'as pas... Tu sais toutes choses, Tu n'as pas besoin que quelqu'un T'enseigne, et par ce fait que Tu connais leurs pensées et connais ces choses, nous savons que Tu as été envoyé de Dieu." Jésus a dit: "Vous croyez maintenant?" Après toutes ces choses qu'Il avait faites.
Eh bien, si cette dame sait cela maintenant, si le Seigneur Jésus accomplit ici la même chose qu'Il avait faite au puits de Samarie, combien d'entre vous croiront de tout leur coeur? Très bien.
Maintenant, tenez-vous juste là...?... parce que je ne connais pas à quel point ma voix porte. Maintenant, que celui qui fait fonctionner cela là fasse attention, parce que lorsque l'onction du Saint-Esprit vient, je ne connais pas à quel point... porte. C'est dans un autre monde et vous parlez et vous - vous ne pouvez pas le savoir.
67 Soyez très révérencieux. Que cette dame soit le juge. Si quelqu'un... Quelqu'un ici connaît-il cette femme? Y a-t-il quelqu'un dans la salle? Oui, il y a là derrière au fond des gens qui la connaissent. Très bien. Des gens qui la connaissent. Très bien, vous savez si ceci est vrai ou pas.
Prions maintenant. Soyez très révérencieux. Vous comprenez là où je me tiens. J'essaie de représenter le Dieu qui vous aime, essayant de vous encourager à l'aimer, vous attacher à Lui, à croire en Lui et à Lui faire confiance. C'est la raison pour laquelle Il fait tout cela. Il n'est pas tenu de le faire, mais Il le fait afin que Sa Parole s'accomplisse. Autrefois Il n'a pas guéri parce qu'Il était obligé de le faire, mais c'était afin que Sa Parole s'accomplisse. C'est la même chose maintenant.
68 Bien sûr, de vous voir avec une Bible en main, bien sûr, il se fait que vous passiez simplement votre temps avec cela, mais ce n'est pas le cas. Vous êtes une chrétienne. Vous êtes une croyante. Eh bien, je - je ne vous connais pas; mais maintenant, juste comme Jésus parlait au puits, au puits, concernant la femme au puits plutôt, vous êtes donc consciente que quelque chose s'est passé à l'instant même. Voyez-vous? C'est juste.
Cela... avez-vous vu la photo de cela, madame? C'est exactement ce qui fait que vous vous sentiez comme cela. Si seulement l'auditoire pouvait voir, il y a une Lumière qui se tient entre cette dame et moi.
Maintenant, elle semble s'éloigner lentement de moi. Elle souffre d'une terrible maladie nerveuse pour laquelle elle veut que je prie. C'est vrai. Maintenant, je crois que la femme tremblait. Je l'ai vue. Cela lui arrive souvent. Elle est dans cet état... Elle est dans cet état depuis un certain temps. Cela a commencé à la ménopause, car elle était apparemment une jeune femme quand cela a commencé. Voyez-vous?
Maintenant, un instant, parlons encore un peu à la dame pour voir s'il y a quelque chose d'autre. Voyez-vous? Oui, à part cela, vous avez un problème, ce sont des douleurs au côté, et vous avez un trouble interne. Et ce trouble interne, c'est une maladie intestinale, et vous avez subi une opération pour cela, et c'est ce qui vous a causé ces douleurs.
Vous n'êtes pas de cette ville. Vous venez d'une autre ville. C'est Richmond. Rentrez chez vous. Jésus-Christ vous guérit. S'Il a su ce qui était, Il saura certainement ce qui sera.
69 Bonsoir. Que tout le monde soit révérencieux maintenant, et aussi très révérencieux. Gardez vos sièges maintenant, soyez en prière. Sommes-nous des inconnus l'un à l'autre, madame? Le sommes-nous? Ceci est la première fois que nous nous rencontrons. Dieu nous connaît tous deux.
S'Il me révèle comme il l'avait fait dans la Bible au travers de Son Fils Jésus, et maintenant Son Fils était... mourut afin que l'Esprit revienne sur des pécheurs comme vous et moi, afin d'accomplir l'oeuvre de Dieu, de poursuivre l'oeuvre. Croyez-vous cela?
Il a dit: "Je suis le Cep, vous êtes les sarments." Eh bien, le cep ne porte pas de fruits; ce sont les sarments qui portent les fruits; et les sarments portent la même sorte de vie que celle qui est dans le cep. C'est vrai, n'est-ce pas? Maintenant, s'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement, Il le révélera.
70 Vous souffrez de quelque chose qui vous cause des douleurs ici devant, dans la poitrine. C'est sous votre côté droit. C'est un trouble de la vésicule biliaire. Non seulement cela, mais vous souffrez de l'estomac. C'est dû à une sécrétion excessive d'un abcès.
Et vous n'êtes pas de cette ville. Vous n'êtes pas de cet Etat. Une région... Le Maryland. Vous êtes... Vous vous appelez Mme Bessie Wilmington. C'est ça. Merci. Maintenant, retournez chez vous en vous réjouissant. Vous n'avez pas besoin...?... Croyez-vous? Ayez simplement foi en Dieu. Soyez très respectueuse. Et puis croyez seulement, Dieu vous l'accordera, mère.
71 Maintenant, pour vous là-bas dans l'auditoire, c'est exactement la même chose. Commencez à regarder par ici. Ne doutez pas. Débarrassez-vous des superstitions et dites: "Seigneur Dieu, ce prédicateur vient de me dire sur base de Ta Parole que Tu es le même hier, aujourd'hui et éternellement. Je ne suis pas là à l'estrade; je n'ai pas de carte de prière; je n'ai pas de carte de prière, mais il a dit que Tu es le Souverain Sacrificateur, le même hier, aujourd'hui et éternellement, et que je peux Te toucher par les sentiments de mes infirmités. Ainsi, Seigneur Jésus, je crois que ce que cet homme dit est la vérité, et je viens à Toi maintenant, et prouve-le-moi, que Tu es le même. Et je vais Te demander de demander - de dire à frère Branham de se retourner et de me dire quelque chose à mon sujet, alors que je suis assis ici dans l'auditoire." Partout dans le bâtiment, soyez sincère maintenant. Voyez s'Il va le faire. Soyez simplement sincère. Ne doutez pas.
72 Bonsoir, monsieur. Le Seigneur Jésus-Christ nous connaît. Vous m'êtes inconnu. Au mieux que je sache, je ne vous ai jamais vu de ma vie. Mais Dieu nous connaît tous deux. Et si le Seigneur Dieu me révèle votre problème, allez-vous croire cela, monsieur?
Quelqu'un L'a touché. Il y a un esprit sur cet homme qui est sur quelqu'un d'autre ici. C'est un enfant, un petit garçon. Il ne cesse d'apparaître ici; c'est une double hernie. L'enfant est assis juste là.
Vous avez aussi une hernie. C'est tout à fait juste. Vous voyez, cet esprit pensait qu'il pouvait s'en tirer comme cela. Voyez-vous comment les démons essaient de se secourir, comment ils crient au secours? J'ai suivi ce trait noir et je vous ai vu...
73 Maintenant votre foi...?... ce n'était pas vous, monsieur. Vous avez dit que si Dieu fait ce que je vous ai dit... C'est cela. Maintenant, ne doutez pas; croyez. Oui, monsieur. Vous avez une hernie. Et j'ai vu quelque part... Il me semble que vous êtes sous opération ou quelque chose comme cela. C'est une maladie de la prostate. Vous avez subi une opération pour cela... une maladie de la prostate.
Vous n'êtes pas non plus de cette contrée. Il me semble que c'est le Maryland. Je vois un homme à vos côtés qui prie pour vous. C'est un homme de grande taille qui est courbé, portant des lunettes. Vous êtes un ministre, et c'est un frère qui prie pour vous qui êtes un ministre. Et vous êtes le révérend D.T. Park. C'est juste. Monsieur, vous pouvez partir, et que Dieu soit avec vous.
74 Ayez foi en Dieu. Vous, madame, qui venez d'être - de sentir l'Esprit de Dieu en vous. Cette hypertension pour laquelle vous priez, croyez maintenant même dans cette onction, cela va vous quitter.
Qu'a-t-elle touché? Qui a-t-elle touché? Le Souverain Sacrificateur, pas moi, elle est trop éloignée de moi. Croyez-vous, chacun de vous? Elle a touché le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. "Si tu peux croire, tout est possible."
75 Bonsoir, monsieur. J'ai dit... Oh! nous sommes inconnus l'un de l'autre. C'est la première fois que nous nous rencontrons, n'est-ce pas? Très bien.
Qu'en pensez-vous, madame? Croyez-vous que c'est la vérité? Oui? Pensez-vous que Dieu vous guérira de ce diabète? De cette paralysie? Tenez-vous debout et soyez guérie maintenant. Croyez-vous? Toutes choses... Croyez simplement.
76 Monsieur, si Jésus-Christ est ressuscité d'entre les morts et qu'Il est le même hier, aujourd'hui et éternellement, pour ce qui est de vous guérir, je ne le peux pas. Pour ce qui est de vous aider, si j'étais capable de le faire et que je ne le faisais pas, je serais une personne affreuse. Je n'aurais pas cet amour au sujet duquel j'ai prêché ce soir. Non, je ferais mieux d'aller le chercher moi-même avant d'en parler aux autres.
Mais Il s'est présenté à Son Eglise. Peu importe à quel point Il m'a oint, si vous ne croyez pas ceci, cela ne marchera jamais. Ce n'est pas moi qui fais ceci; c'est votre propre foi qui fait cela. C'est votre foi, en croyant en Dieu. Le diable a essayé de...?... dans le Fils de Dieu, parce qu'Il avait l'Esprit sans mesure; moi, j'en ai une petite cuillerée.
C'est comme une - une cuillerée de l'eau de l'océan, mais c'est la même chose parce que l'océan tout entier se retrouve dans la cuillerée, c'est la même sorte. Mais Il était le Fils de Dieu. Moi, je suis un pécheur sauvé par grâce. Mais Il a promis de faire ceci, et Il tient Sa Parole.
77 Vous voulez que je prie pour une maladie de votre... qui dérange vos yeux. C'est une maladie de la peau qui a fait irruption sur vous, et cela atteint vos yeux, cela gêne vos yeux. C'est vrai. Vous n'êtes pas non plus de cette contrée. Vous venez d'un endroit... C'est la Caroline du Nord et vous vous appelez soeur C.E. Campbell. Maintenant rentrez chez vous et soyez guérie. "Si tu peux croire, tout est possible."
Bonsoir, monsieur. C'est la première fois que nous nous rencontrons, je suppose. Je ne vous ai jamais vu auparavant, mais Dieu vous connaît, n'est-ce pas? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Oui, oui, c'est ce que vous faites ici. Que Dieu vous bénisse.
Vous êtes couvert par l'ombre de la mort, car vous êtes très faible maintenant, et vous avez subi une opération, juste la semaine dernière, ou il y a deux semaines, et c'était un cancer, et ce cancer était au cerveau. Croyez-vous?
Ce n'est pas tout, une femme apparaît à côté de vous. Elle est ici ce soir. Je la sens tirer maintenant. C'est votre femme, et elle est toute enflée, et elle craint que ce soit aussi le cancer. Allez, imposez-lui les mains et soyez tous deux guéris au Nom du Seigneur Jésus. "Si tu peux croire, tout est possible."
78 Croyez-vous? Bonsoir. Oh! vous êtes un frère mennonite, par le veston que vous portez. J'apprécie votre position pour Christ. J'ai des centaines d'amis mennonites. Connaissez-vous Carl Boyd? Vous ne le connaissez pas. C'est un bon ami à moi, tout comme beaucoup d'autres frères mennonites.
Je n'oublierai jamais un soir où je tenais un service à Ft. Wayne. Une fille mennonite jouait au piano, et on a amené vers moi un petit garçon infirme. Le Saint-Esprit me parlait de la maladie qui avait causé cela.
Et au moment où Il le déclara guéri, la fille mennonite jouait: Le Grand Médecin est ici maintenant, et le petit garçon sauta de mes bras et quitta l'estrade en courant; la mère s'évanouit, la fille bondit, et ces touches d'ivoire continuèrent à jouer Le Grand Médecin est ici maintenant, le compatissant Jésus. Des centaines et des centaines de gens étaient assis dans l'auditoire. Christ est toujours vivant.
79 Nous sommes inconnus l'un de l'autre. Dieu nous connaît tous deux. Si le Seigneur Dieu me révèle ce que vous voulez de Lui, allez-vous croire qu'Il va vous l'accorder? Merci, monsieur. Je prie donc que vous obteniez ce que vous demandez.
Vous n'êtes pas ici pour vous-même; vous êtes ici pour quelqu'un qui n'est pas ici. C'est une femme, et elle se meurt du cancer. C'est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous maintenant? Vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé. Croyez-vous de tout votre coeur?
Un instant...?... Quelque chose est arrivé dans l'auditoire. On dirait qu'il y a un...?.... Oui, c'est ça. Cette femme au visage un peu rouge, assise juste ici; est en train de prier. Elle a la sinusite, et elle désire que Dieu la guérisse. Acceptez-Le comme votre Guérisseur, soeur. L'acceptez-vous? Si vous L'acceptez, vous pouvez obtenir ce que vous avez demandé, "si tu peux croire".
80 Que Dieu vous bénisse. Tenez. Je crois que la femme a manqué cela, parce que l'Ange l'a quittée immédiatement. Cela va vers une femme qui est assise ici au bout, et qui a une colite. Croyez-vous que Dieu va vous guérir de cette colite? Très bien, vous êtes guérie.
Maintenant, cela a quitté et s'en est allé vers...?... une autre personne. Vous pouvez...?... Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas. Chacun de vous peut être guéri. Croyez-vous cela?
Juste derrière la femme, la troisième personne ici dans la rangée arrière, vous êtes en train de prier. Il y a quelque chose qui ne va pas au niveau de votre cou. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Tenez-vous debout alors. Vous êtes guérie. Que Dieu vous bénisse.
81 Je vous demande au Nom de Christ de croire cela. Croyez-vous cela? Maintenant, faites ceci alors. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Nous...?... Prions tous ici. Chacun peut obtenir sa guérison. Imposez-vous les mains maintenant même. C'est cela. Entrons dans l'Esprit d'adoration maintenant...?...
Seigneur Dieu, au Nom de Jésus-Christ je condamne le diable...?... Sors d'ici, Satan...?... Quitte les gens qui sont dans cet auditoire...?...