Christ Frappe À La Porte

Date: 58-0330E | La durée est de: 1 heure et 30 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          Merci. Restons debout juste un instant, s’il vous plaît, pour la prière. Seigneur Dieu, nous Te remercions parce que Tu nous as accordé ce privilège de voir cette grande action de Dieu parmi les gens. Et nous Te prions de continuer à être avec ces gens, et que ce réveil ne s’arrête jamais. Qu’il aille d’une église à une autre, d’une personne à une autre, jusqu’à ce que Jésus-Christ devienne Roi et Seigneur du groupe entier. Guéris tous les malades ce soir, Seigneur. Qu’il ne reste personne de faible dans cette salle ce soir. Que Ton Esprit repose sur tout un chacun de sorte qu’il voie le Seigneur Jésus et toutes Ses promesses nous être confirmées, rendues claires, manifestées en ce dernier jour.

2          Seigneur, alors que nous serons sur des routes ce soir, retournant à nos foyers respectifs, viens-nous en aide, Seigneur. Bénis notre vaillant frère Sullivan et tous ces autres ministres qui ont collaboré, que leurs églises soient enflammées à partir de ce moment. Que beaucoup d’âmes naissent dans le Royaume. Que tous ceux qui ont levé la main, qui se sont levés et qui ont accepté Christ trouvent de très bons foyers quelque part, dans de bonnes églises, et y restent Tes aimables serviteurs jusqu’à ce que Tu les appelles.

            Pardonne-nous nos manquements. Et si nous avons fait, dit ou pensé quelque chose de contraire à Toi, pardonne-nous, Seigneur. Maintenant, nous aimerions Te demander de rompre le Pain une fois de plus pour nous ce soir. Que nous ayons la communion divine autour de la Parole. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3          Je dirais comme frère Vayle : «Ça a été l’une des plus glorieuses réunions que j’aie jamais tenues en Amérique pour le Seigneur Dieu.» Ça n’a pas été la plus grande en nombre, évidemment, mais ça a été la plus glorieuse en communion, en collaboration. Tout le monde semblait être d’un seul coeur et de commun accord. C’est ainsi que le Saint-Esprit peut agir.

            Je désirerais bien avoir environ un mois de ceci, de sorte que nous puissions simplement rester jusqu’à ce que ça soit terminé. Et Dieu voulant, et si c’est aussi votre désir, j’espère revenir dans votre belle ville à un moment pour être avec vous, de braves gens ici à Ohio. [L’assemblée applaudit.–N.D.E.] Merci. Avec ça, je me sens vraiment bien et je me sens le bienvenu.

4          J’espère qu’à mon retour, je ne serai pas tout épuisé comme je l’ai été cette fois-ci, avec une voix en mauvais état. J’ai maintenant environ trois semaines de repos avant de prendre un mois plein, et deux jours, je pense, ou trois jours par mois...?... tous les Etats de la région de Nouvelle-Angleterre.

5          Et maintenant, le Seigneur voulant, après ce service-ci, nous effectuerons le voyage vers Jeffersonville, chez nous. Et ça sera mon dernier service. Puis, je pense, le dimanche prochain ça sera la Pâques. C’est alors que j’aurai vingt-cinq ans, vous savez. Alors... [L’assemblée applaudit.–N .D.E.] Merci.

            Et je... j’espère que le–que le Seigneur nous bénira. Et à vous du tabernacle là, frère Neville... Le Seigneur voulant, nous tiendrons un service du lever du soleil de Pâques le dimanche matin au tabernacle pour vous qui êtes près. Et puis, il y aura un message sur la résurrection: puis, un service de guérison. Nous nous attendons à ce que ça soit un vrai jour de bénédictions de la part du Seigneur, au tabernacle, le dimanche matin. Et nous espérons que vous ici, dans l’Ohio et dans diverses villes, vous passerez aussi un grand moment le dimanche matin et chaque matin à partir de maintenant jusqu’à ce que nous rencontrerons notre Seigneur dans les cieux.

6          A monsieur... A notre frère qui... Sullivan et à tous les ministres qui collaborent, j’aimerais vous remercier de tout mon coeur. Je vous remercie de ma propre part et de la part de toute mon équipe. Ça a été un privilège de vous prêcher à vous les frères et d’avoir cette précieuse communion.

            Et à vous tous les ministres qui venez des autres parties du pays, et à vous les membres d’église, aux fils et aux filles de Dieu, oh! comme vous m’avez supporté par votre foi et avec votre argent! Billy me disait, en route vers ici, que tout sera payé. Qu’on ne doit rien. Le Seigneur nous a bénis. Et aussi, frère Vayle voulait vous remercier pour une bonne offrande d’amour pour lui-même. Et j’aimerais vous remercier pour mon offrande d’amour. J’apprécie beaucoup cela. Et j’espère que Dieu vous récompensera au centuple, c’est ma sincère prière. Et maintenant, nous aimerions exprimer notre appréciation aux gens qui nous ont permis d’avoir cet auditorium. Je ne sais pas si l’un de leurs représentants, de l’école, est ici ou pas. Je vous remercie certainement gentlemen de tout mon coeur, et j’espère que chaque étudiant qui fréquente cette école trouvera Christ comme son Sauveur personnel et que ça sera ma sincère et grande prière.

7          Et maintenant, priez pour nous. Dieu voulant, aussitôt après ces réunions, j’irai donc outre-mer, en Afrique, et à divers endroits dans des pays étrangers. Et vous allez prier pour moi, n’est-ce pas? Et quand les sorciers lanceront le défi, que les vents souffleront fort, et que la persécution sera forte, puissé-je me souvenir de Connersville et de vos prières, je veux dire, pas Conner, Middletown... Vous prierez pour moi, n’est-ce pas? D’accord, merci. Je prierai aussi pour vous. Je ne vous oublierai jamais. Que Dieu vous bénisse.

            Je pense que frère Vayle a dit, alors que j’entrais... J’ai dit à Billy qu’on lui accorde un petit soutien ce soir pour m’accompagner outre-mer. Billy veut que j’exprime cela, sa reconnaissance à chacun de vous. Nous vous remercions infiniment. De tout notre coeur, nous essayerons de tout notre être de faire la chose correcte. Vous nous faites confiance, et nous allons faire de notre mieux afin de pouvoir vivre comme des chrétiens le devraient devant le monde, dépensant Son argent, faisant ce qui est correct, autant que Dieu nous accorde la grâce de le faire.

8          Maintenant, j’aimerais lire un passage des Ecritures. Et dans les Ecritures, pour terminer, j’avais quelques sujets sur lesquels je voulais prêcher cette semaine. Je ne les ai pas abordés. L’un d’eux surtout, c’était : Viens voir un Homme, un petit sujet que j’aime. Crois-tu cela? Parle au rocher. L’Ecriture sur la muraille. L’Eglise allant avant la tribulation. Quand l’aigle éveille sa couvée. Je n’ai simplement pas eu assez de voix pour le faire. J’ai donc dû toucher de petits points amateurs. Et vous avez été si gentils en me supportant, longtemps, sachant d’abord qu’il vous faut supporter rien que de m’écouter: et puis, avec une voix enrouée, ça devient pire que jamais. Tous mes remerciements pour votre confiance.

9          Et maintenant, allons... chaque fois que je vois des mouchoirs et autres qui sont déposés là... Nous prions sur des mouchoirs. C’est un grand ministère. Et maintenant, si vous n’en avez pas ici, et que vous voulez que je prie sur cela, c’est en ordre, envoyez-les-nous simplement, au... ou demandez-les simplement au... C’est Jeffersonville, Indiana, boîte postale 325. C’est gratuit. Si vous ne voulez pas indiquer la boîte postale, écrivez tout simplement William Branham, Jeffersonville. Cela me parviendra. Et nous vous enverrons un petit tissu sur lequel nous avons prié. Gardez-le dans votre Bible, dans Actes 19. Si un enfant tombe malade, dites : «Ô Dieu, ceci représente la prière de la foi qui a été offerte pour moi. Ensuite, écrivez votre témoignage. Nous avons bien de merveilleuses guérisons comme cela. Et nous serons contents de faire ça. Or, je ne cherche pas à avoir votre adresse là, amis: en effet, c’est difficile pour moi d’avoir quelqu’un même pour répondre. Mais je n’ai pas de programmes à parrainer ni rien. Ce n’est pas ça. Nous vous les envoyons simplement tout à fait gratuitement. Tout ce que nous pouvons faire pour vous aider, faites-le-nous simplement savoir. Nous serons contents de le faire.

10        Maintenant, avant d’aborder la Parole... Eh bien, ayons encore un mot de prière. Seigneur Dieu, Ceci est Ta Parole que nous abordons. Aucun homme, peu importe combien il a été bien préparé, n’est tout à fait suffisant pour manipuler la Parole de Dieu, car Elle ne fait l’objet d’aucune interprétation particulière, comme nous l’avons lu dans les Ecritures. Mais Elle est révélée par le Saint-Esprit. Et nous aimerons demander que le Saint-Esprit vienne ce soir interpréter la Parole que nous allons lire. Enfonce la Semence profondément dans les coeurs des gens. Que nous puissions dire la chose correcte et entendre la chose correcte, afin que Dieu soit glorifié. Car nous le demandons au Nom de Son Fils, le Seigneur Jésus. Amen.

11        Je désire lire ce soir dans Apocalypse, chapitre 3, verset 20. Et ceci s’adresse à l’âge de l’église dans lequel nous vivons présentement, l’âge de l’Eglise de Laodicée. Et si beaucoup parmi vous qui... Une fois de retour chez vous, je souhaiterais que vous lisiez donc tout le chapitre. Mais je désire lire comme texte le verset 20.

Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.

            Ceci est un passage inhabituel. Ça nous présente un tableau de quelqu’un qui frappe à la porte. Je ne me rappelle pas en ce moment même l’artiste qui avait passé toute sa vie à peindre ce tableau de Christ frappant à la porte. Mais après que le tableau fut peint... Vous savez, tout tableau célèbre doit passer par la commission de censure avant de pouvoir aller au musée.

            C’est pareil pour l’Eglise. L’Eglise doit premièrement passer par la commission de censure avant d’être emportée dans l’Enlèvement et placée au musée de Dieu. Tous ceux qui vivent pieusement en Jésus-Christ seront persécutés. Vous voyez donc, vous devez être critiqué: on doit se moquer de vous. Il n’y a pas d’échappatoire à cela.

12        Alors, ce grand artiste, après qu’il eut peint ce tableau, celui-ci est passé par les critiques. Un critique a dit : «Monsieur, votre tableau, c’est un tableau merveilleux, mais il y a une chose que vous avez oubliée en peignant votre tableau.»

            Et cet artiste a dit : «Monsieur, qu’ai-je oublié?»

            Il a dit : «Vous avez peint Christ. Son tableau... Son portrait est très beau, et le bâtiment se présente comme la maison de quelqu’un, mais il n’y a pas de loquet à la porte. Il frappe donc à une porte sans loquet.» Et l’artiste a dit : «Oh! Non, monsieur, vous voyez, dans ce cas-ci, le loquet est à l’intérieur.» Et c’est vrai. Le loquet est à l’intérieur de votre coeur. Peu importe combien vous voyez, ou combien vous dites que vous croyez, combien vous êtes religieux, vous devez ouvrir votre coeur pour Le recevoir. Nul ne peut l’ouvrir pour vous. Votre prêtre ne le peut pas, votre pasteur ne le peut pas, votre mère ou votre papa ne le peuvent pas, vos soeurs et votre frère ne le peuvent pas: vous devez le faire seul.

13        Et dans ce passage de ce soir, on s’adresse à l’âge de l’église de Laodicée, qui est le dernier âge de l’église. Et avez-vous remarqué, selon les Ecritures... Ceci peut ne pas s’accorder avec la théologie de beaucoup de gens, et c’est tout à fait en ordre: je peux être en erreur. Souvent, je suis sans doute en erreur. Mais d’après ce que je crois, c’est le dernier âge de l’église, dans lequel nous vivons maintenant. Si vous voyez comment–comment les âges de l’église se sont succédé, l’un a été brillant, l’autre un peu plus, et un peu plus de ténèbres, puis il y a les mille cinq cents ans des âges de ténèbres, ensuite Luther, et puis Wesley, enfin la Pentecôte.

            Et Il se tenait au milieu des sept chandeliers d’or, qui représentaient les sept âges de l’église, avec Ses mains tendues, étant l’Alpha et l’Oméga, le Premier et le Dernier. Le chandelier le plus élevé était le plus sombre, évidemment. Et dans ce dernier âge de l’église, qui est censé recevoir la même lumière qu’on avait au début, Alpha à Oméga... Mais le côté pitoyable, dans les Ecritures, que nous avons appris ici, c’est qu’Il dit : «Parce que tu dis : je suis riche, je me suis enrichi...» Voyez-vous la condition de l’église aujourd’hui?

14        Il y a ici un petit vieil homme et une petite vieille femme desséchés assis ici dans le siège de devant, il s’agit de mes amis, frère et soeur Kiddson, ou Kidd, je pense, qui prêchait l’Evangile avant ma naissance. Si je devais les faire venir ici à cette estrade ce soir et les laisser vous raconter certaines de leurs expériences, comment ils parcouraient de longues distances, affamés, boutés hors des villes, chassés des endroits pour la cause de l’Evangile. Ils vous diront ce soir que l’église et toute sa belle décoration, et ses hautes flèches, c’est des milliers de fois plus froide qu’à cette époque-là. Vous devriez une fois inviter ce petit homme et cette petite femme dans votre église. Laissez-les vous raconter l’histoire des premiers jours, d’il y a cinquante ans.

            Mais nous pensons que nous sommes maintenant mieux que nous l’étions. Nous sommes pires maintenant que nous l’avions jamais été. Il a dit : «Parce que tu dis : ‘Je suis riche et je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien...’» Qu’est-ce? Nous avons les meilleurs prédicateurs, les érudits raffinés, les meilleurs bâtiments, les meilleurs bancs, certains de meilleures orgues, des chanteurs, des voix exercées.

15        A mon arrivée, j’ai entendu un bon quatuor chanter. J’aime des chants à l’ancienne mode. Je pense qu’il n’y a rien de plus beau qu’un véritable bon chant. Et je déteste entendre une voix surexercée. Je déteste entendre quelqu’un qui s’efforce de chanter, qui retient sa voix jusqu’à ce que son visage devienne bleu, et ensuite, il lâche juste une espèce de cri aigu. Vous ne chantez pas pour la gloire de Dieu. Vous cherchez à voir à quel point vous pouvez retenir votre souffle. J’aime les chants à l’ancienne mode qui touchent le coeur, de la Pentecôte chantés avec des mains en l’air. Même si vous ne pouvez pas chanter harmonieusement, eh bien, je pense que c’est vraiment céleste. Chanter avec votre coeur, faire de la mélodie au Seigneur, c’est ce genre-là que Dieu veut, qui provient du fond du coeur. Si vous ne pouvez pas chanter, poussez vers l’Eternel des cris de joie. C’est ce que déclarent les Ecritures.

16        Maintenant, nous voyons aussi qu’Il a dit : «Parce que tu dis que tu t’es enrichi et que tu n’as besoin de rien, et que tu ne sais pas que tu es pauvre, aveugle, misérable, malheureux, nu, et tu ne le sais pas.»

            Si un homme se retrouve dans la rue, pauvre, misérable, aveugle, malheureux, et qu’il savait cela, il chercherait à se cacher. S’il était nu, il chercherait à trouver des habits: il chercherait à améliorer les choses. Ça serait le tableau le plus pitoyable à voir, un homme dans la rue qui pense qu’il est bien habillé, qu’il est riche, qu’il n’a besoin de rien alors qu’il est nu, misérable, juste assez de religion pour se rendre malade, et il ne le sait pas.

            Et pourtant, il nous est dit que c’est l’état dans lequel l’Eglise pentecôtiste se retrouvera dans les derniers jours : enrichie, riche en membres, ce qui est une bonne chose: je n’ai rien contre cela. Je remercie Dieu pour cela. Mais je préférerais être dans une mission en train de battre un tabourin avec une demi-douzaine de personnes là, et voir l’Esprit de Dieu se mouvoir dans ce petit groupe de gens, plutôt que d’avoir la meilleure église qu’on puisse avoir dans le pays, avec un groupe de membres juste formalistes. Vous savez que c’est vrai.

17        Et si cet homme ne le sait pas... Eh bien, Il a dit : «Je te conseille.» Savez-vous ce que c’est un conseil? C’est quand un homme s’assoit et parle avec un autre. Il s’assoit et en discute, comme vous le faites avec votre famille, comme vous le faites avec votre employeur, comme vous le faites avec votre ami. Vous vous assoyez et vous en discutez.

            Et, oh! c’est ce que Dieu veut ce soir, c’est nous asseoir et en discuter avec Lui. Rien qu’une petite causerie avec Jésus arrange bien la chose. Je te conseille de venir à Moi et d’acheter le collyre, afin que tu voies.

18        Vous savez, quand nous étions des petits enfants, par là dans l’Etat du Kentucky, nous avions une vieille maison à clins, elle était en bardeaux disposés en clins, et on devait prendre un morceau de toile pour nous couvrir le visage afin de nous protéger les yeux contre la neige. Et nous, un petit tas de Branham, on dirait un petit tas d’opossums, environ six ou huit dans le même lit, nous attrapions un gros rhume. Et je ne sais pas si votre enfant a déjà attrapé cela ou pas, mais nos yeux attrapaient de la matière, comme maman l’appelait, ils s’étaient collés. Et le matin, quand nous nous réveillions, nous devrions appeler maman à cri. Nous ne voyions pas, parce que nous avions attrapé le froid. Et mon grand-père était un chasseur de ratons laveurs. Il chassait les ratons laveurs. Il avait l’habitude d’extraire la graisse et de remplir une petite bouilloire de graisse de raton laveur. Et chaque fois que nous avions mal aux yeux, ou que les yeux était pleins de matière, à cause du froid, maman allait prendre cette graisse de raton laveur et nous frottait les yeux avec cela, et cela enlevait donc le froid et débarrassait nos yeux de la matière.

19        Cette graisse de raton laveur pouvait bien marcher pour enlever le froid naturel, mais elle ne marchera pas contre ce genre de froid, contre un de ces courants d’air dans lequel l’église s’est engouffrée. Il vous faudra prendre le Saint-Esprit de Dieu, le collyre, pour oindre les yeux de Son Eglise et débarrasser vos yeux de tout le froid. Nous avons dernièrement eu quelque courant d’air dans l’église, cela vous donne froid et vous ferme les yeux. Vous savez, ceux qui disent que les jours des miracles sont passés, et tous ces coups de vent froid qui parcourent l’église, qui produisent votre prédicateur du cimetière, ou plutôt du séminaire, excusez-moi... Je vous avais dit que j’étais enroué pour commencer. Eh bien, c’est tout à fait le même endroit. C’est vrai.

20        S’il y a quelque chose dont je suis donc désolé, c’est un poulet issu d’une couveuse. Vous savez, vous prenez un petit poussin, un oeuf, vous le placez dans une couveuse, et vous le faites éclore automatiquement. Et le pauvre petit poussin ne sait que gazouiller.

            Cela m’a toujours rappelé un prédicateur du séminaire, comment il est produit par une grande machine. Et un pauvre petit poussin peut gazouiller, gazouiller, gazouiller, sans une maman auprès de qui aller. C’est pratiquement pareil avec le... un de ces prédicateurs de couveuse, il ne connaît que la théologie...?... «Nous sommes méthodistes, nous somme baptistes, nous sommes ceci et cela.» Oh! quelle disgrâce!

            Mais Dieu a dit : «Consulte-Moi, et Je te donnerai du collyre qui t’ouvrira les yeux et tu pourras voir que tu es misérable, malheureux, aveugle et nu, et que tu ne le sais pas.» Avant que tes yeux s’ouvrent, tu ne t’en rendras jamais compte. Il te faut avoir les yeux ouverts.

21        Eh bien, c’est un tableau debout. Et malgré toute cette condition, Jésus dit néanmoins : «Je me tiens à la porte et Je frappe.» Eh bien, pourquoi un homme frappe-t-il à la porte d’un autre? Il frappe parce qu’il veut entrer. Il veut vous parler. Il veut vous conseiller, discuter des choses, ou peut-être faire quelque chose pour vous, ou vous demander quelque chose.

            Et, au cours de l’âge, beaucoup de grands hommes se sont tenus aux portes. Par exemple, que serait-il arrivé si, à l’époque de César, César, César Auguste, que serait-il arrivé s’il était parti chez un paysan et qu’il avait frappé à la porte [Frère Branham frappe sur la chaire.–N.D.E.] et que ce paysan, un pauvre homme, en s’avançant à la porte, voyait ce grand César à la porte? Il se prosternerait sur son visage, il dirait : «Ô grand César, entrez dans ma maison. Vous m’avez honoré. Entrez. S’il y a ici quelque chose que vous voulez, vous pouvez l’avoir. Demandez-moi n’importe quoi à faire, je le ferai, parce que vous m’avez honoré en venant frapper à ma porte.»

22        Ou, que serait-il arrivé si, il y a quelques années, un–un soldat allemand, un petit fantassin, entendait frapper à sa porte et qu’en ouvrant, il trouvait là à sa porte le grand Führer de l’Allemagne, Adolf Hitler? Ce petit homme ouvrirait la porte, regarderait et verrait le grand Hitler là debout. Il se tiendrait au garde-à-vous et exécuterait le salut allemand. Et sans doute, avec des larmes de joie lui coulant sur les joues, il dirait : «Grand Führer de l’Allemagne, j’ai été béni par votre arrivée chez moi. Entrez. S’il y a ici quelque chose que vous voulez, vous pouvez l’avoir. S’il y a quelque chose que je peux faire, je le ferais volontiers, car vous êtes le plus grand homme de l’Allemagne.»

            Ou, disons, que serait-il arrivé si le président Dwight Eisenhower, ce soir, allait à la porte du meilleur démocrate qu’il y a à Middletown? Vous vous sentiriez honoré. Pourquoi? C’est le président des Etats-Unis. C’est l’un des plus grands hommes qu’il y a dans la nation. Vous pouvez être en désaccord avec lui sur la politique, mais n’importe qui parmi vous les bons démocrates aimerait jouir de l’honneur de recevoir le président Eisenhower en visite chez lui. Vous diriez : «Entrez, monsieur Eisenhower. Je ne suis pas digne que vous entriez dans ma maison, mais sentez-vous à l’aise, monsieur. Tout ce que je peux faire, faites-le-moi simplement savoir et je le ferai.»

23        Ou tout récemment, la reine d’Angleterre avait effectué une visite ici aux Etats-Unis. Et que serait-il arrivé si elle était venue ici à Middletown, ou dans l’une de vos villes, d’où vous venez, chez vous à la maison, et que vous entendiez frapper à la porte? Vous vous rendriez à la porte, et elle dirait : «C’est moi la reine d’Angleterre.»

            Oh! la la! Vous diriez : «Soyez la bienvenue, votre Altesse. S’il y a ici dans ma maison quelque chose que vous voulez avoir, vous pouvez l’avoir.» Quand bien même vous n’êtes pas son sujet. Mais c’est à cause de son importance. C’est une reine, et la reine la plus importante sur terre pour les nations, la plus puissante reine. Et n’importe laquelle parmi vous les femmes se sentirait honorée de recevoir la reine d’Angleterre à sa porte. Et savez-vous ce qui arriverait? Si elle faisait cela, le lendemain, la télévision diffuserait cela: les journaux publieraient cela, que la reine d’Angleterre s’est abaissée jusqu’à aller chez vous. Mais, oh! qui est plus important que Jésus? Qui est plus grand que Lui? Et qui est plus rejeté que Lui? Pensez-y juste un instant. Combien de milliers de coeurs Le rejettent chaque jour? Et qui est plus important que Lui?

24        Et si la reine pouvait désirer quelque chose de votre part... Notre honorable président, Dwight Eisenhower, pourrait avoir besoin de quelque chose de votre part. Mais Jésus veut vous donner, sur Sa demande, la meilleure chose qui ait jamais été donnée sur terre : la Vie Eternelle. Oh! Ce monde cruel! Il avait bien dit ce qu’il voulait quand il a dit : «Donnez-nous Barabbas et prenez Jésus.» Ils feraient la même chose ce soir. Ils commettraient un meurtre si la loi ne l’interdisait pas. La Bible dit qu’ils le feraient. Il a exprimé ce qu’il voulait quand il a rejeté Jésus.

25        Maintenant, Jésus peut frapper à votre coeur. Et vous en parlez à votre voisin, ce dernier dirait : «Un instant, un instant, un instant, tu vas donc perdre le nord.» Et si vous acceptez cela, on vous critiquera et on se moquera de vous. Et si les journaux avaient à dire à ce sujet, ce serait critiquer. Vous pouvez parier là-dessus.

            Qui est plus important : la reine d’Angleterre ou le Seigneur Jésus-Christ? Nous apprécions nos journaux, mais si nous, dans ce réveil, on a besoin d’un service de journaux, on doit payer pour ça, et puis, cela doit être censuré avant d’être rédigé. A quoi servent les journaux? A informer le public sur ce qui se passe. C’est ça le but de la presse libre.

            Mais Jésus a sauvé des centaines de gens ici cette semaine. Beaucoup ont été guéris et ils sont sortis des fauteuils roulants et des civières. Des maladies cardiaques, la cécité, les gens ont été délivrés de maladies, et il n’y a pas de murmure là-dessus. Mais rappelez-vous, tout est écrit dans le grand Registre dans la Gloire, et cela est publié partout dans la Gloire, parmi les anges et ceux qui sont de l’autre côté.

26        Frapper à la porte : «Voici, Je me tiens à la porte et Je frappe : Si quelqu’un entend Ma Voix, J’entrerai, Je souperai avec lui, et lui avec Moi.» Eh bien, vous direz : «Frère Branham, j’ai déjà fait cela, il y a longtemps. J’ai laissé Jésus entrer il y a longtemps.» Beaucoup disent cela, mais, frère, soeur, quand Jésus entre, vous êtes disposé à Le laisser être comme votre Sauveur, mais... C’est bien, j’apprécie cela, mais quand Il entre, Il veut se sentir le Bienvenu. Il veut être votre Seigneur. Seigneur veut dire propriétaire, maître. Il entre, pas pour être Seigneur, pour s’imposer dans votre vie, mais pour vous donner le meilleur qu’il y a pour vous. Vous Le laisserez entrer: vous n’aimeriez pas aller en enfer, mais vous ne Le laisserez pas devenir votre Seigneur. Vous Le laissez être votre Sauveur, mais pas votre Seigneur.

            Et aussi, je trouve que, dans le coeur humain, il y a beaucoup de... Après qu’il a ouvert une porte pour entrer... Vous sentiriez-vous le bienvenu chez moi, si vous frappiez à la porte, et que je disais : «Entrez»?

            Et vous direz : «Frère Branham, pourrais-je être le bienvenu?»

            «Oh! Non, tenez-vous là même. Dites-moi ce que vous voulez.»

            Si je venais chez vous et que vous m’accueilliez en disant : «Frère Branham, soyez le bienvenu.» Oh! J’entrerais, j’ôterais mes souliers, je m’assoirais, je mettrais mes pieds dans le fauteuil, j’irais au réfrigérateur me trouver quelque chose à manger, je m’allongerais sur le lit et mangerais cela. Je me sentirais le bienvenu si vous me disiez que j’étais le bienvenu.

27        Et quand Jésus entre, Il veut être accueilli. Mais nous avons de petites portes secrètes, de toutes petites portes dans notre coeur où nous ne voulons pas laisser Jésus entrer. Là, du côté droit du coeur humain, après que Jésus est entré, il y a une petite porte appelée l’orgueil. Oh! Je Le recevrai comme Sauveur, mais n’osez pas me dire comment je dois m’habiller, comment je dois m’y prendre. Oh! S’il me faut laisser pousser les cheveux, si je dois arrêter de fumer la cigarette, ou arrêter d’aller dans la salle de billard, je ne voudrais rien avoir à faire avec cela.» Ne vous en faites pas, Il ne restera pas longtemps. L’orgueil...

            Il y a une autre petite porte du coeur, là-dedans, appelée «votre propre vie privée.» Vous n’aimeriez pas que quelqu’un traînaille là. «J’aime ma vie. Je fais ceci, cela ou autre. Ce que je fais ne concerne personne.» N’avez-vous pas entendu ce vieux proverbe? Mais je vous assure, vous ne vous appartenez pas. Vous avez été acheté à un prix et vous appartenez à Dieu. Vous n’avez pas droit à votre propre vie privée. Dieu devrait tout savoir, et Il sait effectivement tout ce que vous faites. Et Il devrait avoir le droit à cette porte-là.

28        Et il y a une autre porte à l’intérieur, et cette porte est appelée la foi. Oh! C’est une... toute une porte. Vous direz : «Ecoute donc, oh! j’ai accepté Jésus comme mon Sauveur, mais je ne crois pas que les jours des miracles sont là aujourd’hui. Je ne peux simplement pas croire cela.» Il voudrait franchir cette porte-là. Si jamais vous pouvez ouvrir cette porte-là et qu’Il s’y tienne comme Seigneur, frère, vous croirez chaque Parole que Dieu a écrite dans Son Livre. Mais comment allez-vous vous y prendre, alors que vous avez une espèce de lois ecclésiastiques affichées à la porte : «Ne t’approche pas, Jésus. N’ose pas me dire quoi que ce soit de cette vieille histoire, que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Tu peux Te tenir là. Je n’aimerais pas aller en enfer. J’aimerais être populaire à l’église. Mais Tu ne peux pas me contrôler, parce que je suis mieux avisé. Je suis un homme de science.»

29        Cela me rappelle un jour, j’étais en train de faire paître le bétail dans des montagnes. Et j’étais allé chasser l’élan cet automne-là, là-haut. Et les orages n’avaient pas encore rabattu l’élan vers les plaines en bas. Et sur environ trente-cinq miles [56,32 km], j’étais seul avec le garde forestier, et lui était allé dans l’autre direction. Nous allions nous rencontrer dans trois ou quatre jours. Et juste pour contempler Dieu à l’oeuvre. Et un orage éclata là. En cette période-là de l’année, vers octobre dans le Colorado, il peut pleuvoir un moment, puis il gèle, et puis, il neige, et puis il pleut: le soleil brillera. Et un orage avait éclaté: il tordait et ventait. Je me suis caché derrière un arbre, je me suis tenu là derrière. Et après l’orage, je suis sorti, j’ai écouté, et là loin dans la vallée, j’ai entendu un vieil élan se mettre à beugler. Frère Roy Roberson, savez-vous de quoi je parle? Cela avait éparpillé le troupeau. Oh! rien que d’entendre ce cri! Je me suis mis à pleurer. Et là loin vers la rivière Ethel, j’ai entendu un vieux coyote se mettre à hurler, et sa compagne répondait dans la vallée.

            Ma mère est mi-Indienne, et là, ma conversion ne m’a jamais débarrassé de cela. Oh! j’aime la nature. Je me suis mis à pleurer. Et j’ai vu le soleil se coucher, brillant au travers d’une fissure d’un rocher, se reflétant sur les arbres toujours verts, qui avaient gelé: et cela formait un arc-en-ciel. Et j’ai dit : «Oh! C’est Lui. Il y a sept couleurs, les sept Âges de l’Eglise : l’Alpha et l’Oméga, le Commencement et la Fin.

30        Je devins si heureux que j’ai failli piquer une crise. Je contournais, contournais, contournais l’arbre, de toutes mes forces, criant à tue-tête. Si quelqu’un avait été là, il aurait pensé qu’il y avait un fou dans les bois. Il aurait pensé que j’étais sorti d’un asile de fous. Mais peu m’importait ce que quelqu’un d’autre pensait, j’adorais le Créateur. J’ai encore regardé, alors je me suis remis à contourner, contourner l’arbre. Je me suis dit : «Oh! Il fait bon être ici.» Il serait peut-être facile de construire trois tentes. Mais pendant que je me tenais là, je me disais : «Ô Grand Jéhovah, que Tu es grand!»

            Et j’ai entendu un petit écureuil de pin. Je ne pense pas que vous en ayez dans cet Etat-ci. C’est un tout petit, audacieux, à peu près de cette taille, une petite queue touffue. C’est le policier en manteau bleu dans les bois, l’animal le plus bruyant qu’on ait jamais entendu. Et il avait sa petite tête tournée de côté, il était perché sur une souche à côté d’un vieil arbre abattu par le vent, ne faisant que jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, jacasser, jacasser. Et je me suis dit : «Qu’est-ce qui t’a tant excité petit animal?» Et je me demandais quoi, mais j’ai constaté qu’il ne me regardait pas. Il avait sa petite tête tournée de côté, regardant vers le bas.

31        Et j’ai vu que l’orage avait forcé un gros et drôle d’aigle à descendre là, un gros aigle brun. Et il est sorti de dessous les–les branches d’arbre. Il a bondi là et il m’a regardé. Je me suis dit : «Seigneur, qu’est-ce que... Ai-je hurlé en poussant des cris?» Je me suis dit : «Que penses-tu de moi? Penses-tu que je suis fou?» Et il continuait à bouger ses grandes ailes. Et je me suis dit : «Alors, Seigneur, pourquoi as-Tu envoyé cet aigle m’arrêter de crier et de T’adorer, Toi le Grand Créateur qui forme cet arc-en-ciel?» Je me suis dit : «Certainement qu’il y a un but.»

            Et alors que je le regardais, il m’est arrivé de remarquer... J’ai dit : «Oh! oiseau, sais-tu que je peux te tirer dessus?» Ces énormes yeux gris m’ont regardé et il a détourné le regard. Il n’avait pas peur de moi. En effet, je l’ai vu bouger les ailes, se rassurant que chaque plume était bien en place. Je me suis dit : «Ça y est, Seigneur. Il n’a pas peur. Tant que ces ailes sont en bon état, il sait qu’il peut se retrouver au sommet des arbres avant que je puisse même toucher mon fusil.»

            Et si Dieu donne à un aigle des ailes, et que ce dernier a foi en cela pour échapper aux troubles, à combien plus forte raison en serait-il d’un homme né du Saint-Esprit? Tant que nous savons que Christ est ici, qu’importe ce que le monde a à dire, ou ce que quelqu’un dit?

32        Je l’ai observé. Il n’avait pas peur de moi, mais il n’avait pas peur de ce petit et drôle de tamia, un petit écureuil qui bougeait sa petite queue et poussait des cris. Peu après, il en a eu marre. Il a fait un très grand bond, il a battu ses ailes à peu près deux fois, il était au-delà des bois. Et alors, je l’ai observé. Il n’a pas continué à battre: il savait bien comment disposer ses ailes. Et à chaque coup de vent dans ce canyon, il montait plus haut, plus haut, plus haut jusqu’à ce qu’à devenir un tout petit point. Je me suis tenu là, pleurant comme un enfant.

            J’ai dit : «C’est ça, Seigneur.» Il n’est pas question de sauter de chez les méthodistes vers chez les baptistes, de chez les presbytériens vers chez les luthériens. Il n’est pas question d’aller d’un service de guérison à un autre: il est juste question de disposer les ailes face au... vos ailes de la foi face à la puissance du Saint-Esprit, et au coup de vent, vous naviguez dessus, sans cesse jusqu’à ce que vous en ayez marre d’écouter ces jacasseries, jacasseries par ici, jacasseries par là : «Les jours des miracles sont passés.» C’est une bande de saints exaltés. Il n’y a rien là.» Disposez simplement vos ailes face à Sa puissance et partez d’ici sur ces grandes ailes du Saint-Esprit. Oh! cette aile de la foi, juste savoir comment les disposer, et quand le Saint-Esprit se met à naviguer là, naviguez avec Lui. Les vagues reviennent, montent.

            La chose suivante, vous ne saurez pas que tel voisin dit : «Oh! Vous allez devenir un saint exalté. Vous n’avez jamais été guéri.» Vous naviguez carrément dépassant toutes ces vieilles critiques : «Jacasserie, jacasserie par ici. Jacasserie, jacasserie par là. La guérison divine n’existe pas. Rien de... Personne n’a jamais été guéri. Je donne mille dollars à quiconque me montre pareille chose.» Détournez-en simplement la tête et éloignez-vous.

33        Cette porte, Il veut s’y tenir. Puis, il y a une autre porte. Ce sont vos yeux, la porte de vos yeux. Si jamais Il peut vous ouvrir les yeux...

            Comme je vous l’ai dit il y a quelques instants, l’église a attrapé un froid spirituel. Et pendant ce froid spirituel, un courant d’air froid leur est passé sur le dos. Et ils ont mal aux yeux, froid aux yeux, les enfants de Dieu. Ils ont besoin qu’une bonne huile du Saint-Esprit descende et leur mette du collyre dans les yeux afin que cela leur ouvre les yeux pour voir la gloire de Dieu.

            L’église ne peut pas comprendre. Ce peuple américain, frère, la reine de Séba se lèvera en son jour et condamnera cette génération. Jonas se lèvera et condamnera cette génération. Nous sommes si habitués à voir tout nous être servi sur un plateau. Nous aimons le loisir. Si l’église n’organise pas tout un tas de fêtes, des jeux d’arnaque, de fêtes sociales, de pique-nique, de souper de bienfaisance... C’est une honte. Nous avons besoin d’avoir des yeux ouverts. Et un bon graissage à l’ancienne mode du Saint-Esprit, c’est ce dont nous avons besoin, un bon gonflement.

34        Nous utilisions autrefois un vieux wagon. Cela grinçait. Chaque fois que nous le déplacions, il grinçait, parce que tous les rayons étaient complètement secs. Et chaque fois qu’on se mettait à le rouler, il grinçait, il bondissait et faisait des histoires. Mais vous savez, le meilleur moyen de faire rouler ce wagon, c’est de le plonger dans l’eau et de le laisser là jusqu’à ce qu’il gonfle. Puis, il se resserre et ne grince plus. Ce dont l’église a besoin, c’est d’une très bonne immersion dans la fontaine remplie de Sang tiré des veines d’Emmanuel: les pécheurs plongés dans ce flot perdent toutes les taches de leur culpabilité et restent là jusqu’à ce qu’ils soient tellement gonflés et serrés avec le Saint-Esprit qu’ils arrêtent de grincer, de rouspéter et de dire : «Les jours des miracles sont passés. Nous ne pouvons pas...?... On nous rejette comme des fanatiques.» Que vous importe ce que les gens font? Que les gens vous rejettent, Dieu vous recevra. C’est le collyre qui est sur la liste.

35        Ecoutez attentivement maintenant, alors qu’il nous reste dix minutes. Les gens de... Les Américains ne se rendent pas compte de ce qu’ils ont eu. Il y a eu des Billy Graham, Jack Shulers, Oral Roberts, et beaucoup de grands hommes qui ont parcouru nos contrées: de grands serviteurs de Christ, eux et beaucoup d’autres. Et cependant, nous avons beaucoup plus de bars, plus de whiskies, plus de cigarettes, l’église s’éloigne davantage de Dieu chaque année. Pourquoi? C’est... Vous avez vu des miracles. Vous avez vu des signes. Vous avez vu le signe de Sa résurrection. Vous voyez Sa puissance pour guérir. Vous voyez les signes dans les cieux.

36        Il n’y a pas longtemps, quand Billy et moi, nous sommes arrivés en Inde, j’ai lu un article dans un journal qui disait... Quelque chose était arrivé, c’était juste la veille, avant le tremblement de terre. Et l’Inde n’a pas de clôture en fil de fer comme nous. Ils ont des clôtures en pierre. Et avant le tremblement, tous les petits oiseaux qui nichaient dans ces clôtures et dans ces immenses bâtiments s’étaient envolés au milieu du bois. Tout le bétail et tous les moutons qui se tenaient à côté de... s’abritant contre le soleil dans ces... à côté de ces clôtures, ils étaient tous partis au milieu du champ, sous le soleil, et ils se sont tenus tranquilles. Dieu leur a donné un instinct pour les prévenir de s’éloigner de ces murs. Juste comme Il a fait du temps de Noé. Et si eux, par l’instinct, ont pu prévenir que la destruction était proche, à combien plus forte raison l’église qui a le baptême du Saint-Esprit devrait le savoir. Mais nous ne voyons pas cela.

37        Il y eut une fois un homme qui allait se reposer à la mer. Et il a dit aux membres de sa famille : «J’aimerais descendre et... à la mer prendre du repos. Je n’y ai jamais été.» Et en route vers là, il a rencontré un vieux marin qui revenait de la mer. Et celui-ci, ce vieux marin, lui a demandé : «Où allez-vous, monsieur?»

            Il a dit : «Je me rends à la mer. Je n’ai jamais vu cela. Je vais me reposer, a-t-il dit, flairer ces eaux salées, contempler ces grosses vagues bondir, les gros moutons se briser, et sentir le rafraîchissement de l’air salé, entendre des mouettes sauvages, alors qu’elles poussent des cris par-dessus l’océan. Oh! je suis sûr, a-t-il dit, ça sera très reposant.»

            Alors, le vieux marin a dit : «Ecoutez, monsieur.» Il a dit : «Je suis né sur cette mer-là. J’ai grandi là-dessus, et je ne vois rien d’émouvant là.» Pourquoi? Il y est resté si longtemps qu’il s’y est habitué, et cela ne le ravissait plus.

38        Et c’est ça le problème de l’Eglise pentecôtiste. Elle a vu le baptême du Saint-Esprit descendre sur ses membres. Elle les a vus changer de prostituées en femmes pieuses et saintes. Elle a vu des hommes sortir de... des ivrognes, des alcooliques, et devenir des prédicateurs et des gentlemen. Elle a vu de grandes puissances de Dieu se mouvoir, accomplir des signes et des prodiges au point que cela devint si ordinaire que c’est à peine que l’Eglise pentecôtiste traverse la rue pour voir la gloire de Dieu. C’est trop ordinaire.

            Mais, rappelez-vous bien, il arrivera un temps où vous irez de l’est à l’ouest, du nord au sud, cherchant à trouver cela, et vous ne le trouverez pas. C’est ce que dit la Bible. Il est si bon envers nous.

39        Cette nation a été secouée d’un bout à l’autre, de l’est à l’ouest, du nord au sud, pendant les quarante dernières années. Elle a eu chaque signe biblique qui ait jamais été accompli : les morts sont ressuscités: les aveugles voient: les sourds entendent: les muets parlent: les infirmes marchent: le Saint-Esprit manifeste tous les neuf dons spirituels. De grands réveils qui changent des âmes, des dizaines de milliers converties à Christ et, néanmoins, à présent, il en est arrivé au point où ça s’est refroidi.

            On a de grandes églises. On n’est pas très persécuté. Les gens ont eu beaucoup d’argent. Ils vont acheter de grandes et immenses belles églises, ils retirent le feu de la chaire, et mettent cela au sous-sol, juste comme le reste des églises. Oh! nous ne savons simplement pas combien Il a été bon pour nous.

40        En Inde, je voyais ces petites mamans, debout là dans la rue avec leurs petits au ventre tout bedonnant, avec leurs bébés, dire : «Nourrissez mon enfant. Même si moi, je meurs, que l’enfant mange.» Il n’y avait rien à manger.

            J’avais environ mille cinq cents dollars que j’avais rassemblés çà et là. Je n’allais pas mettre cela dans ces associations, un gars avec un gros cigare à la bouche, avec un anneau de cinq cents dollars. L’argent que je donne, je le reçois et je l’utilise moi-même. Je sais alors que quand j’aurai à répondre devant Dieu, ce sera exact. Alors, j’avais environ mille cinq cents dollars, j’avais changé cela pour avoir quelques roupies. Et je suis allé dans la rue distribuer cela aux pauvres qui en avaient besoin. Et on a dû chercher une milice pour m’amener là. Billy et moi, nous nous tenions à la fenêtre. Et ces pauvres mères et enfants se mouraient, ils se mouraient comme des bois à brûler, on les emportait et on les jetait dans une salamandre et on les consumait. Pas de Jean 14, on ne sait pas qui ils sont. On les y jette simplement, on les incinère donc. C’est tout. Ils meurent dans les rues.

41        Nous laissions tomber cela, alors que ces pauvres lépreux sans bras, criaient, descendaient la rue en courant, pour avoir un tout petit peu de curry à manger, très puant. Ils n’avaient pas de bras: d’autres devaient lécher des saletés et des souillures dans la rue, là où ils adoraient le bétail et autres.

            Voulez-vous dire qu’un Dieu juste peut se tenir là et nous laisser nous y prendre comme nous le faisons, et nous en tirer avec ça? Dieu aurait à ressusciter Sodome et Gomorrhe et leur présenter des excuses pour les avoir consumées, si cette nation ne subit pas le jugement. Nous sommes au bout du chemin, amis. Toutes nos bombes atomiques et tout le reste n’aideront en rien. Il n’y a qu’une seule zone de sécurité. C’est en Christ. Nous sommes à la fin. Dieu a accompli Ses grands signes. Il a été miséricordieux envers nous, et nous ne reconnaissons pas cela. Oh! que Dieu nous ouvre les yeux!

42        Là dans le Sud, nous avions un vieux prédicateur de couleur, là-bas, c’était un bon vieil homme. Il y avait aussi un jeune homme avec qui il chassait. Son nom était Gabriel, mais nous l’appelions Gabe, comme diminutif, là en Louisiane. C’était un bon jeune homme, mais nous n’arrivions pas à le mettre au pas avec le Seigneur. Le pasteur avait essayé: sa mè... sa femme et sa mère avaient prié pour lui. Mais le vieux Gabe ne restait simplement pas en ligne. Il aimait cependant chasser, le pasteur aussi. Alors, un jour, ils sont allés chasser. Et le vieux Gabe était un mauvais tireur, mais ce jour-là, il avait tiré sur beaucoup de gibiers, il avait des lapins et des oiseaux suspendus partout sur lui. Sur le chemin de retour ce soir-là, alors qu’il avançait en se balançant derrière le pasteur qui portait son fusil sur l’épaule, il regardait tous les oiseaux, les lapins et autres qu’il avait eus. Et en remontant un vieux chemin familier, il observait le coucher du soleil. Il a tapoté le pasteur à l’épaule, le pasteur s’est retourné et il a demandé : «M’as-tu touché, Gabe?»Il a dit : «Oui, pasteur, je t’ai touché.» Il a dit : «Gabe, tu pleures.» Il a demandé : «Qu’y a-t-il?»

43        Il a dit : «Pasteur, vois-tu ce soleil qui se couche là-bas?»Il a dit : «Oui, Gabe. Qu’y a-t-il de si inhabituel à ce sujet? Tu as vu le coucher du soleil toutes ces années. Tu es né et tu as grandi dans cette contrée.»Il a dit : «Mais, pasteur, je réalise que mon soleil se couche aussi.» Et il a dit : «Pasteur, demain, c’est dimanche, et tu vas me trouver là au banc des pénitents le matin. Je vais donc me trouver un siège là derrière à côté de ma femme, et je vais devenir un membre fidèle d’église jusqu’à ce que Dieu me retire de ce monde.» Et le pasteur a dit : «Eh bien, Gabe, tu sais que j’apprécie cela, et Dieu seul sait combien j’apprécie cela.» Il a dit : «Mais, Gabe, ta femme a prié fidèlement: ta vieille mère avant sa mort, a prié fidèlement: ton papa, de même. J’ai chassé avec toi. J’ai été chez toi pour le dîner. J’ai prié avec toi. Mais pourquoi ce changement soudain? Qu’est-il arrivé soudain»?Il a dit : «Pasteur, regarde simplement ces gibiers que j’ai eus.» Il a dit : «Tu sais, pasteur, je–je ne suis pas un bon tireur.» Il a dit : «Je–je ne peux rien tirer.» Mais, a-t-il dit, tu sais, le Seigneur doit m’avoir aimé, sinon Il ne m’aurait pas donné cela.»

44        C’est ça. Le Seigneur vous aime, sinon Il ne vous donnerait pas ces choses. Ne pouvez-vous pas reconnaître que c’est sa miséricorde ici en Amérique? Il vous a donné le meilleur qu’il y a au Ciel. Ne pouvez-vous pas reconnaître cela? Il n’est pas obligé de revenir accomplir les choses qu’Il avait faites. Il n’a pas à faire ces choses, mais Il les fait parce qu’Il vous aime. Il n’a pas à guérir les malades. Il n’a même pas à sauver votre âme. Vous pouvez continuer droit dans les tourments. Mais Il vous aime et Il vous a donné Son Fils unique afin que quiconque croie en Lui ne périsse point, mais qu’il ait la Vie Eternelle.

            Ne voulez-vous pas penser à Sa bonté pendant que nous inclinons la tête juste un instant pour la prière? Notre soeur va nous donner un accord sur l’orgue. J’aimerais vous remercier, soeur, vous et frère Kidd, pour votre gentillesse cette semaine, ainsi que les huissiers et tous.

            Oh! Cette douce et ancienne musique sur l’orgue... Mon âme ravie trouvera du repos de l’autre côté de la rivière. A la croix, à la croix, soit ma gloire à jamais.

45        Je me demande ce soir combien de pécheurs ici, rapidement, reconnaîtront que Dieu a été très bon envers eux. L’autre jour, quand vous aviez failli avoir cet accident là, c’était Lui qui vous avait sauvé. Vous rappelez-vous quand l’enfant était très malade, que la femme était malade, et le docteur avait dit : «Eh bien, mon gars, je ne sais pas s’il s’en tirera ou pas.» Mais il s’est rétabli. Qu’était-ce? C’était la bonté de Dieu. Le patron devait renvoyer quelqu’un, mais il ne vous a pas renvoyé. C’était la bonté de Dieu. Il est très proche de vous, si bon envers vous. Ne reconnaissez-vous pas que c’est Lui? Voudriez-vous vite lever la main pour dire : «Pardonnez-moi d’avoir si longtemps traîné.» Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse ici, fils. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Oh! la la! Les mains. Vous savez que Dieu est bon envers vous. Qu’en est-il de certains parmi vous membres d’église qui êtes si froids et si formalistes à Son égard. Et pourtant, vous–vous avez entendu dans des réunions que Dieu est bon envers vous. Vous ne vous assiérez même pas ici ce soir n’eût été la bonté de Dieu.

            Un homme se tient ici dans... est assis ici dans le fauteuil roulant. Vous vous retrouveriez aussi dans un fauteuil roulant n’eût été la bonté de Dieu envers vous. Je crois que Dieu va être bon envers ces hommes ce soir pour les faire sortir de leurs fauteuils roulants. Ceux qui utilisent des béquilles, des boiteux, des malades, des affligés, des aveugles, ceux qui souffrent du coeur...

46        Pourquoi ne voudriez-vous pas lever la main pour dire : «Ô Dieu, sois miséricordieux maintenant même. Je sais que je T’ai mal traité. Je ne me suis pas levé...» Que Dieu vous bénisse, jeune dame, assise ici, qui continue à faire signe de la main. Que Dieu bénisse cette dame, ainsi que la mère et le petit garçon. Que Dieu vous bénisse, monsieur d’âge moyen. Là tout au fond, madame, jeune homme à gauche, que Dieu soit avec vous. Là-haut aux balcons, à ma gauche, là-haut, que Dieu vous bénisse. C’est bien. Là-haut par là, que Dieu soit miséricordieux. Là tout autour, au deuxième balcon à gauche, Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Que Dieu vous bénisse, petit homme. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, madame. D’accord. Que Dieu vous bénisse, petit homme là derrière. Aux balcons à gauche, le balcon d’en haut et le balcon d’en bas, voudriez-vous juste lever... Que Dieu vous bénisse, là derrière, madame. Je vous vois, le frère et la soeur de couleur. Maintenant, là-haut au balcon, là. Que Dieu vous bénisse, là à gauche. C’est bien. Aux balcons, en haut et en bas à ma droite, voudriez-vous lever la main pour dire : «Ô Dieu, sois miséricordieux. Je–je–je ne sais...» Que Dieu vous bénisse, là derrière, frère. Que Dieu vous bénisse, là-haut, jeune homme. Que Dieu vous bénisse, oui, là au coin, ces adolescents. Très bien, ici derrière, que Dieu vous bénisse, jeune dame, vous, vous soeur. Vous soeur, que Dieu vous bénisse.

47        Que faites-vous en levant la main? Vous acceptez Christ. Que Dieu vous bénisse, monsieur, l’homme avec la main levée là derrière, aux cheveux grisonnants. Oh! la la! très doucement, prions sérieusement. Sondons-nous donc une minute pendant que nous chantons Jésus, garde-moi près de la croix, il y a là une Fontaine précieuse. Très doucement maintenant. Soyez en prière.

Jésus, garde-moi près de la croix,
Là (comme Il vous parle, levez la main.)... Fontaine ...-cieuse,
Gratuite pour tous (Sans prix.), un flot guérissant,
Qui coule de la fontaine du Calvaire,

A la croix, à la croix,
Sois ma gloire à jamais:
Jusqu’à ce que mon âme ravie trouve
Du repos de l’autre côté de la rivière.

            [Frère Branham fredonne.–N.D.E.]

48        Seigneur Dieu, les services vont se terminer d’ici là. Sois miséricordieux maintenant, ô Dieu. Ai-je fait de mon mieux? Sinon, pardonne-moi, ô Dieu. Amène chaque âme perdue ici aux pieds de la croix maintenant même. Accorde-le, Seigneur. Qu’ils baignent dans Sa bonté et Sa sainteté maintenant même. Pardonne chaque péché dans la salle, Seigneur. Nous confessons nos péchés. Nous étions en erreur.

            Ô Eternel Dieu, avant qu’on joue ce cantique un jour au salon des pompes funèbres, quand des mères pleureront sur leurs enfants, le papa sur une mère, la maman sur un père, sachant qu’ils ne se rencontreront plus jamais, puissent-ils maintenant régler cela pour toujours. Puissent-ils trouver la croix maintenant même, le Christ qui a été crucifié, pour ouvrir une Fontaine dans la maison de David pour la purification des impurs. Accorde-le, Père.

Du repos au-delà de la rivière.

A la croix...(Voudriez-vous lever la main vers Lui maintenant, vous qui voulez trouver ce repos-là?)... la croix,
(C’est vrai. Gardez vos mains levées.) ... gloire... (Que Dieu vous bénisse, ici en haut devant.) Jusqu’à ce que mon âme ravie trouve
Du repos au-delà de la rivière.

            [Frère Branham se met à fredonner.–N.D.E.] ... à la croix, je veillerai,

Espérant, croyant...

            Maintenant, Seigneur, le service est à Toi. Sauve tout le monde au plus profond de son coeur. Fais que chaque âme connaisse Christ. Qu’il ne reste pas un seul pécheur dans la salle, Seigneur, qui ne soit sauvé, que chaque rétrograde soit ramené maintenant même, pendant que Tu Te tiens avec Tes ailes par-dessus cette salle. Nous pouvons sentir Ta Présence. Nous savons que Tu es ici. Nous Te remercions pour leur salut. Puissent-ils rester doux jusqu’au jour où ils seront rappelés à la Maison. Que leur... la gloire à la croix.

... gloire à jamais:
Jusqu’à ce que mon... (Jusqu’à ce que.)... âme ... vie trouve...?..

49        Avec nos têtes inclinées maintenant, combien acceptent Christ maintenant même, tout de suite, dans leurs coeurs? Levez la main vers Lui maintenant même. «Frère Branham, ma décision est prise. Je vais maintenant, à partir de cette heure, servir Christ au mieux de ma connaissance. J’ai été paresseux et lent. Je vais maintenant donner à Christ mon coeur, ma vie. Tout ce que j’ai Lui appartient maintenant.» Voudriez-vous vous consacrer en levant les mains? Partout dans la salle, partout maintenant, levez les mains. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est très bien. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. [Frère Branham se met à fredonner. –N.D.E.] ... du repos au-delà de la rivière.

50        Maintenant, Seigneur Dieu, tout ceci est à Toi maintenant. Ils sont le fruit du Message. Je Te prie ô Dieu, de les garder dans une paix parfaite, ceux dont le coeur est fixé sur Toi, car Tu as promis de le faire. Puissent-ils mener une longue et heureuse vie: et qu’en ce glorieux jour, quand l’Enlèvement aura lieu, si jamais je n’arrive pas à leur serrer la main ici sur terre, puissé-je les voir là dans l’Enlèvement alors que nous nous rencontrerons, juste avant d’aller à la rencontre du Seigneur dans les airs. Accorde, Seigneur, qu’ils soient gardés par Ta puissance. Ils sont les offrandes d’amour à Ton Fils, de la part du Père. Nul ne peut les arracher de Ta main. Nous Te les confions au Nom de Jésus. Amen. Mon...

51        Chantons Ma foi regarde à Toi, maintenant même. Tous ensemble, juste pour la gloire de Dieu. Je déteste vraiment quitter en tout cas.

Ma foi regarde à Toi,
Toi Agneau du Calva... (C’est maintenant le temps d’adorer. Adorez-Le simplement.)
Sauveur divin:
Maintenant, écoute-moi pendant que je prie,
Ôte tout mon péché,
Oh! laisse-moi dès ce jour
Etre entièrement à Toi!

            N’aimez-vous pas simplement adorer? Les messages sont parfois très tranchants avec la Parole. Mais après, vous savez, après que nous avons tous été corrigés et que nous nous tenons sans culpabilité dans la Présence du Père, reposant sur la grâce du Seigneur Jésus, j’aime simplement lever les mains et L’adorer. N’aimez-vous pas faire cela? Combien croient dans cela? Levez les mains. Oh! la la! Adorez-Le simplement dans le cantique.

52        Il est maintenant temps pour la ligne de prière. Eh bien, il y a une grande expectative. J’espère que vous croirez. Frère Vayle a placé le fondement, peut-être avant que j’arrive ici, vous disant à quoi vous attendre : Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement. Pensez à Celui que nous adorons. Eh bien, nous voyons qu’Il est ici. Il nous a pardonné les péchés. Il est doux et bon envers nous. Maintenant, qu’Il apparaisse en vous et en moi, et qu’Il opère Ses oeuvres telles qu’Il avait promis. J’aimerais que chacun de vous, chaque personne dans la salle... Maintenant, nous avons seulement environ cent cartes de distribuées. Je ne peux pas les appeler toutes. Et je sais qu’il existe quelque chose comme l’imposition de mains aux malades. Je crois cela. Mais rendez-moi témoignage. C’est une tradition juive. Ce n’était pas pour l’Eglise des nations. Les Juifs disaient : «Viens imposer les mains à mon enfant: elle vivra.» Les gens des nations ont dit : «Je ne suis pas digne que Tu entres sous mon toit: prononce simplement la Parole.» C’était fait. Eh bien, nous, nous sommes les gens des nations, et nos jours se terminent. Et le même Jésus qui était là-bas, accomplissant le genre de signes qui montraient qu’Il était le Messie, qui ont fait que les Juifs ont reconnu cela, Il n’avait jamais fait cela pour l’âge des Gentils: maintenant, Il est ici dans l’âge des Gentils, à la fin de l’âge des Gentils, faisant la même chose pour les gens des nations, ce qu’Il avait fait pour les Juifs.

            «Prononce la Parole, Seigneur, et je serai guéri.»

            «Prononce la Parole, mon frère vivra, ma soeur, ma femme, ma fille, mon enfant, mon père, ma mère. Ils vivront, prononce simplement la Parole.» Voyez s’Il le fera.

53        Juste pour avoir quelques personnes à l’estrade. Eh bien, s’il vous plaît, accordez-nous environ quinze minutes ou vingt.

            Vous voyez donc, mon ministère n’est pas comme celui de frère Roberts et celui de beaucoup d’autres. Frère Roberts est un merveilleux homme de Dieu. Son ministère consiste à imposer les mains aux malades. Il aligne quatre ou cinq cents d’entre vous et il les fait passer ici, disant... vous imposant les mains, vous imposant les mains. C’est ça son ministère. Quelqu’un a dit : «Frère Branham, eh bien, frère Roberts peut prier pour des centaines avant que vous, vous priiez pour trois.» C’est exact. C’est bien. Mais, écoutez, frère Roberts fait ce que Dieu lui dit de faire: je dois faire ce que Dieu me dit de faire. Voyez? C’est donc là la différence. Or, nous sommes tous deux des serviteurs de Christ, pour vous servir selon la capacité pour laquelle Dieu nous a oints.

            Eh bien, vous dans l’assistance, beaucoup parmi vous ne seront pas appelés dans la ligne de prière, car je ne peux pas vous appeler vous tous. Je n’ai aucun moyen de savoir qui va être à l’estrade. Les jeunes gens viennent, ils battent toutes les cartes et vous les distribuent chaque soir. J’arrive et vous dites : «Oh! Donnez-moi une carte afin que je sois appelé dans la ligne.» Ce jeune homme ne peut pas faire cela. Il ne sait pas par où commencera la ligne. Pour commencer, ces cartes ont été toutes battues.

54        Combien ici ont vu les cartes être distribuées? Faites voir les mains. Voyez? On bat les cartes juste devant vous, et il passe les distribuer, 1, 2, ou je ne sais qui en veut. Est-ce ainsi qu’il s’y prend? Dites : «Amen.» [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E] Nous ne savons donc pas qui va être qui. Puis, j’arrive et je ne sais toujours pas. Je dis simplement : «Eh bien, je vais bien commencer par quelque part.» Et nous venons ici. Tout ce qu’il y a ici. Alors, quand le Saint-Esprit se met à agir, les gens se détendent... Généralement, il y a un nouveau groupe chaque soir. Combien sont ici pour la première fois? Faites voir les mains. Partout dans la salle, êtes-vous des nouveaux venus? Regardez là, la moitié de la salle. Chaque soir, c’est comme ça.

55        Maintenant (Voyez?), et quand le Saint-Esprit se met à se mouvoir, alors les gens peuvent Le toucher. Combien croient qu’Il est le Souverain Sacrificateur, maintenant même, qui peut être touché par le sentiment de vos infirmités? Eh bien, s’Il est le même Souverain Sacrificateur, Il devra agir de même. Maintenant, souvenez-vous de ceci, rendez-moi témoignage que quand une situation surgit... N’oubliez donc pas cela, vous les frères ministres. Quand une situation surgit et que Dieu agit dans un cas, la façon dont Il agit la première fois, Il doit agir de même chaque fois qu’il y a un cas semblable, sinon Il avait mal agi en agissant ainsi la première fois. Combien comprennent cela? Qu’ils disent amen. [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E.] Voyez? Voyez?

            Nous apprenons davantage en grandissant. Nos générations deviennent plus intelligentes, comme le dit la Bible. Mais Dieu ne devient pas plus intelligent. Il est infini pour commencer, infini, et nous, nous sommes limités. Ainsi, Il est parfait pour commencer. Il ne devient pas plus intelligent qu’Il l’était donc. Il ne peut pas devenir plus intelligent, parce qu’Il est–Il est... Il est la Fontaine même de l’intelligence.

            Ainsi, comme Il a agi, qu’Il a élevé le serpent d’airain pour l’expiation, pour la maladie, Il doit faire la même chose aujourd’hui, et Il l’a fait : Jésus-Christ Son Fils. Le–le serpent d’airain ne priait pour personne: il n’imposait les mains à personne non plus. Main on regardait et on vivait. C’est ce que vous faites ce soir. Regarder et vivre. Sa Présence est ici.

56        Faisons venir quelques personnes. Maintenant, prenez vos cartes de prière. Quelle... voyez... Il me l’a dit une fois, mais j’ai oublié ce que c’était... «C.» La carte de prière C, comme Christ. La carte de prière C. Par où commencer. Commençons par le numéro 1. Qui a C numéro 1? La dame là derrière. Numéro 2. Mettez-vous vite debout. Aidez-moi ici, s’il vous plaît, quelqu’un. C numéro 1, numéro 2. Qui l’a? Le gentleman qui descend du balcon. Numéro 3? C numéro 3, voudriez-vous lever la main si vous le pouvez? Regardez chez votre voisin. Quelqu’un, Frère Sullivan, vérifiez chez ceux qui sont sur des brancards ou dans des fauteuils roulants là. D’accord, nous avons des cartes de prière 1 et 2, mais pas 3. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ...?...

57        Que Dieu vous l’accorde. Très bien, alors, pendant qu’on attend qu’ils viennent, faisons... Je vois deux autres hommes venir, ce–c’est peut-être quelqu’un qui va, qui vient, qui était là dans la–l’une des pièces ou quelque chose comme cela. Je pense que nous sommes tous sur le point de... Par où a-t-on arrêté? A 15? Vérifiez là si vous en avez autant en ligne de toute façon.

            D’accord. Combien croient que le Seigneur Jésus demeure le même hier, aujourd’hui et éternellement? Il est ici même. La seule différence en Lui, c’est qu’Il n’a pas un corps physique. Et combien croient qu’Il a dit : «Je suis le Cep, vous êtes les sarments»? Or, ce n’est pas le cep qui porte les fruits: c’est le sarment qui porte les fruits. Et les seules mains qu’Il a ce soir, ce sont nos mains. Les seuls yeux qu’Il a, ce sont nos yeux. Et Il est ici sous forme de la Colonne de Feu, le Christ ressuscité. Combien croient que c’est vrai? Qu’ils disent amen. [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E.] C’est ce que déclarent les Ecritures. Le même Seigneur Jésus, le même hier, aujourd’hui et éternellement, jamais Il...

            Vous dites quoi? D’accord, mon fils dit que toutes les cartes de prière ont... se sont présentées, sauf quoi? 3 et 5. Les cartes de prière 3 et 5. Là tout au fond, dans le hall, là derrière? Je vois un groupe de gens là derrière avec... On arrive un peu tard, et puis on dit : «Bien, ma carte a été appelée et personne ne me l’a dit.» Vous avez regardé la carte de tout le monde, et ils sont tous en ordre. O.K.

58        C’est bien, soeur. C’est bien, regardez tout autour. C’est bien. D’accord. Maintenant, détendons-nous juste un instant donc, et prions. Très bien. Très respectueux. Maintenant, voyez-vous où je me tiens? Si quelqu’un désire prendre ma place, je–je quitterai l’estrade. C’est avec plaisir que je céderai cela à tout frère qui aimerait venir, qui pense que ceci n’est pas réel et qui peut faire la même chose. Venez.

            C’est un don. C’est un don envoyé par Dieu. Pourquoi? Pour amener les gens à voir que Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Eh bien, cela n’exige pas beaucoup de gens. L’affaire devrait être classée avec une seule personne. Combien croient qu’une seule personne, si cela est bien établi... Quand Moïse est descendu en Egypte, il a accompli ce signe une seule fois devant Israël, et ils sont sortis avec lui. Vous savez que c’est vrai. Chaque fois qu’il rencontrait un Israélite, il disait : «Ecoute ça, regarde ma main. La lèpre, ça a été guéri.» Non, non. Il a fait cela une fois et c’était assez. Eux tous ont cru en lui. Mais Dieu est un Dieu bon.

59        Maintenant, voici une dame ici debout, que je ne connais pas. Cette femme, à ce que je sache, est–est absolument... Je ne la connais simplement pas. Nous sommes inconnus, je suppose. Est-ce vrai, madame? Elle a assisté à l’une de mes réunions ailleurs, mais elle dit qu’elle ne me connaît pas, et moi non plus, je ne la connais pas.

            Juste assister à une réunion comme... Quelqu’un vient et dit : «J’étais dans–dans telle ville.» Et nous étions à New York, et vous étiez assis là derrière, quelque part en haut au balcon, là. Comment saurais-je qui vous étiez? Et en outre, si je vous connaissais à ce point-là, Dieu révèle des secrets que personne ne connaît, à part vous et Lui.

60        Or, si je disais à cette dame... Elle peut être une... elle peut être une inconnue. Elle peut être une athée. Elle peut être une critiqueuse. Si c’est le cas, voyez ce qui arrive.

61        Combien étaient à la réunion de Windsor et ont vu ce critiqueur, ce prédicateur-là?... On l’a transporté paralysé, et il est toujours paralysé. Il était monté à l’estrade, pensant que c’était une espèce de psychologie, et il avait écrit sur sa carte qu’il y avait telle et telle et telle maladies. Il est monté à l’estrade, le Saint-Esprit a dit : «Vous mentez. Vous avez écrit là sur votre carte de prière telle chose. Vous avez écrit tuberculose et toutes ces maladies-là. Maintenant, puisque vous avez fait cela... Vous venez d’une certaine église dénominationnelle.» On a dit qui il était, et j’ai dit : «Hier soir, vous étiez assis avec votre femme, et cet homme là en cravate rouge, était assis avec vous à une table couverte d’une nappe verte, la table.» Et j’ai dit : «Eh bien, ce que vous avez écrit sur votre carte de prière, vous l’avez.» Et cet homme est vite tombé là, alors je...

            Il a dit : «Que Dieu soit miséricordieux, Frère Branham, c’est la vérité.» On l’a fait sortir, paralysé, et il est toujours paralysé.

62        J’en ai vu attraper toutes sortes de maladies. Combien savent que c’est scripturaire? Combien savent qu’une fois des vagabonds étaient allés, pensant qu’ils pouvaient chasser un démon, vous en souvenez-vous? Le mauvais esprit est venu sur eux. Certainement. Combien savent ce qui concerne la lèpre qui avait quitté Naaman? Cela va d’une personne à l’autre.

            Eh bien, si le Seigneur Dieu... Voici un homme et une femme, c’est notre première rencontre dans la vie. Maintenant, si cette femme était malade, et que je pouvais la guérir, mais que je ne le faisais pas, je serais un hypocrite. Mais je ne peux pas la guérir si elle est malade. Mais si Jésus se tient ici (Je ferais attention, mais écoutez), si Jésus se tenait ici, Il ne pourrait pas la guérir, car Il l’a déjà fait. Il l’a rachetée de sa maladie, Il l’a rachetée de ses péchés en mourant au Calvaire. Si vous êtes racheté, l’affaire est classée. Combien savent cela? Il faudra sa propre foi à elle en Lui. C’est vrai.

63        Maintenant, soeur, si le Seigneur pourvoit et me dit quelque chose, que vous savez être vrai ou pas, vous en serez témoin. Et s’Il fait cela et que vous savez que je ne vous connais pas, alors, juste comme Il l’avait fait pour la femme au puits, et tout, croirez-vous de tout votre coeur? Combien dans l’assistance promettent à Dieu qu’ils croiront, si le Seigneur accorde cela? Voudriez-vous lever la main pour dire : «Je promets à Dieu de croire. Voici mes mains et les mains de la femme aussi, pour montrer que nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant.»

            Maintenant, vous là dans l’assistance sans carte de prière, continuez à regarder dans cette direction et priez. Vous êtes horriblement nerveuse. C’est l’assistance. Non seulement cela, mais vous êtes nerveuse pour commencer. C’est votre constitution. Et à cause de cette nervosité, vous avez attrapé une espèce de maladie, une maladie interne, qui est dans les intestins. C’est vrai. Et aussi, vous êtes tout inquiète au sujet de quelque chose, vous vous préoccupez de quelqu’un d’autre qui n’est pas ici. Si le Seigneur Dieu me révèle ce que cette personne a, croirez-vous? C’est votre fils. C’est juste un jeune garçon, un jeune garçon d’environ douze ans. Et il souffre du coeur: en effet, je vois un médecin tenir un stéréoscope sur son coeur. Et ils tiennent un staff médical, les médecins veulent effectuer une intervention chirurgicale sur ce coeur-là. [La dame dit : «C’est exact. J’ai vraiment peur.»–N.D.E.] Et vous en avez peur.

            Et vous êtes... Vous n’êtes pas de cette ville-ci. Vous venez d’une ville où il y a un grand parc, une espèce de, on dirait, de champs de course ou quelque chose, on organise des courses. Il y a un immense parc là où vous habitez. C’est Connersville, dans l’Indiana. C’est exact. AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous de tout votre coeur? Allez donc et trouvez cela. Cela arrivera exactement selon que vous avez cru. Que Jésus-Christ vous l’accorde, au Nom du Seigneur Jésus-Christ.

64        Dieu est bon. Croyez-vous maintenant? Maintenant, cela devrait régler la question–devrait régler la question. Maintenant, ayez simplement foi. Ne doutez pas. Là dans l’assistance, croyez. La Bible dit : «Si tu peux croire...»

            Nous sommes inconnus, je pense, monsieur. Je ne pense pas que nous nous soyons jamais rencontrés, n’est-ce pas? Il y a des années. En d’autres termes, je ne vous connais pas. Eh bien, voici un homme. Voyez, la scène de la femme au puits? Voici une scène de Philippe allant trouver Nathanaël et l’amenant. Je n’ai aucune idée sur ce pour quoi cet homme se tient là, pas plus que quoi que ce soit.

65        Frère Neville, il y a une femme assise derrière vous qui est en train de prier. Quand j’ai dit ça, il y a une Lumière qui se tenait au-dessus d’elle, aussitôt que j’ai dit cela, la Lumière est descendue sur elle. Elle en est consciente maintenant même, que quelque chose est arrivé. Une sensation très douce et humble l’a entourée. Si c’est vrai, levez la main, madame. Vous suis-je inconnu? Faites signe de la main. Si Dieu me révèle ce pour quoi vous priez, recevrez-vous cela? Vous êtes en train de prier pour votre fils. Votre fils souffre de coeur. Et il est couvert d’une ombre noire, c’est la mort. Non, je vous demande pardon, madame. C’est un pécheur. L’ombre noire, vous priez pour le salut de son âme. C’est ce que représente cette ombre noire. Levez la main si c’est vrai. Alléluia! Je défie votre foi en Dieu. Demandez à la femme. Qu’a-t-elle touché? Rien. Qu’est-ce qui a fait cela? Etait-ce ce pasteur fidèle qui se tient là en train de prier? Je ne le pense pas. C’était sa foi qui a fait cela. Croyez simplement.

66        Vous savez que quelque chose se passe, monsieur. Vous n’êtes pas de cette ville. Vous êtes d’une ville près d’un grand lac. Vous avez un terrain de baseball. Ça me semble être Cleveland, dans l’Ohio. C’est de là que vous venez. Et je vous vois à la chaire. Vous êtes un prédicateur. C’est tout à fait vrai.

            Mais vous ne vous tenez pas ici pour vous-même. C’est pour quelqu’un d’autre. C’est une femme. Elle est dans une autre ville, et cette ville-là, c’est une petite ville: il y pousse beaucoup de pins. Et voici, c’est sur le flanc d’une espèce de colline, leur principal centre de palais de justice, ça ressemble à Kentucky, ou c’est Tennessee. C’est Cleveland, dans le Tennessee. AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est tout à fait vrai.

            Et votre belle-mère souffre de l’eczéma. C’est causé par une maladie des nerfs. Elle a connu beaucoup de complications. Et vous vous tenez pour elle. Croyez-vous? Ce mouchoir-là que vous avez dans votre poche, sur votre coeur, envoyez-le-lui. Ne doutez pas. Elle se rétablira. Que Dieu vous bénisse. Disons : «Grâces soient rendues au Dieu vivant!» Ayez simplement foi. Ne doutez pas.

67        Je vous suis inconnu, madame. Croyez-vous que Dieu accordera ces choses? Vous êtes... Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. Et ce quelqu’un d’autre, c’est quelqu’un qui a joué avec vous quand vous étiez jeune, il est comme un frère. Et cet homme est estropié. Il n’est jamais tombé. Il n’a pas non plus été paralysé à la suite d’une paralysie, mais c’est une maladie de sang qui l’a rendu estropié. Et vous êtes debout pour lui. Croyez-vous qu’il va être rétabli? Alors, vous recevrez ce que vous avez cru. Allez, et que Dieu vous l’accorde au Nom du Seigneur Jésus.

            Je vous suis inconnu, madame. Vous vous tenez ici pour quelqu’un d’autre. Et cette dame-là se trouve dans un hôpital, elle est très malade, le cancer. Et les médecins ne peuvent plus rien faire. Et vous avez aussi besoin de prière, parce que vous avez un coeur chargé. Et Dieu connaît les secrets du coeur. Croyez-vous qu’Il peut me dire pourquoi vous avez ce chagrin? C’est parce que vous voulez avoir un enfant. Et je vois deux ombres noires. Vous avez eu deux fausses couches en votre temps. C’est vrai.

            Et maintenant, l’esprit... Ne pouvez-vous pas voir Cela quitter cette femme pour aller vers cette vieille femme assise là? Regardez ici, cette vieille femme assise au coin. Elle souffre de la colonne vertébrale. Et la raison pour laquelle cela va de l’une à l’autre... Vous venez d’une ville appelée Richmond, Richmond dans l’Indiana. Rentrez chez vous et trouvez cela comme tel. Et, madame, la vieille dame au coin, vient de Richmond, dans l’Indiana, avec votre maladie de la colonne vertébrale, vous avez connu des moments difficiles pour arriver ici, n’est-ce pas? D’accord. Vous pouvez retourner chez vous et être rétablie maintenant. Jésus-Christ vous a guéries toutes deux. Vous pouvez poursuivre votre chemin et vous réjouir, étant rétablies. Je ne savais pas qui vous êtes.

68        Juste un instant. La dame qui a bougé sa fourrure autour d’elle tout à l’heure, elle est assise ici même. Non, la petite dame à côté de vous qui souffre du coeur. D’accord, soeur, vous pouvez rentrer chez vous maintenant. Que votre petite âme soit bénie. Votre foi vous a guérie. Poursuivez votre chemin et réjouissez-vous, réjouissez-vous dans le Seigneur Dieu.

            Monsieur, croyez-vous que Dieu guérira cette prostatite? Vous êtes assis là croyant depuis longtemps, n’est-ce pas? Vous suis-je inconnu? D’accord, c’est terminé maintenant. Poursuivez votre chemin. Cette petite dame avec la main levée au niveau de la bouche tout à l’heure, vous souffriez des artères, vous assise là. Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez rentrer chez vous, guérie.

69        Croyez-vous? Croyez simplement en Dieu et voyez ce qu’Il fait. Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre. Croyez-vous que Dieu me dira qui est ce quelqu’un d’autre? S’Il le fait, recevrez-vous cela? C’est votre soeur. Elle est dans un hôpital. Elle a été opérée pour des glandes féminines. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Vous avez aussi besoin de prière. C’est pour votre pied et de votre estomac. Vous avez un estomac agité, qui vous dérange. Croyez-vous de tout votre coeur que Dieu vous guérira? Allez donc et recevez cela.

            Je défie votre foi. Combien croient? Levez la main et dites : «Je crois cela.»

70        Juste un instant. Qu’en est-il de vous dans des fauteuils roulants? Que faites-vous, vous en costume gris, vous qui me regardez, assis là dans ce fauteuil roulant? Croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? M’obéirez-vous en tant que Son serviteur? Sortez du fauteuil roulant, prenez votre fauteuil roulant et rentrez chez vous. Ne doutez pas de cela. Levez-vous et prenez votre fauteuil roulant, faites-le sortir en le poussant et rentrez chez vous.

            Croyez-vous? Le reste d’entre vous peut-il croire? Levez-vous. Levez-vous, vous tous, et soyez guéris, vous tous, au Nom du Seigneur Jésus. Recevez-Le. Levez les mains. Rendez-Lui gloire. Vous êtes tous guéris. Croyez-le maintenant même.

Up