Il Y A Ici Plus Que Salomon
1 Merci, merci beaucoup. [Frère Branham répond aux commentaires d’un frère.–N.D.E.] Merci...?... merci beaucoup. C’est vraiment gentil de la part de vous tous. Je reviens vous voir, comme je l’ai dit ce matin, fatigué et épuisé, je n’ai pratiquement pas eu un jour de repos depuis Noël. Et puis, je quitte pour rentrer chez moi à trois heures du matin, j’arrive chez moi, je décharge ma voiture, et environ deux heures plus tard, je me remets en route pour Philadelphie, pour commencer là-bas le dimanche. Ainsi on est constamment en déplacement.
Maintenant je connais votre... vous avez... je vois que vous avez des ventilateurs, si seulement vous aviez de l’électricité pour les faire marcher. Il fait donc très chaud, et je serai aussi bref que possible avec le message et nous commencerons sans tarder la prière pour les malades.
2 Je ne saurais pas dire à quel point j’apprécie cette visite ici à Southern Pines, ainsi que notre–notre collaboration avec frère Thomas, et ils... tous les autres prédicateurs des différentes dénominations qui collaborent, sans oublier vous les fidèles. J’apprécie certainement ceci. Ç’aura été quatre jours qui sont passés très vite. Vous avez un beau pays et des gens aimables. Ce sont les gens qui font le... du pays ce qu’il est. Peu m’importe combien il fait chaud ou quoi, si vous avez un merveilleux peuple, c’est un beau pays, c’est ce qui fait le pays. Et ce sont des gens avec lesquels je m’attends à passer l’éternité.
J’ai été invité dans vos maisons; j’aurais aimé pouvoir venir. Je sais que chacun de vous a la meilleure cuisinière du pays et j’aimerais bien pouvoir sortir et–et aller manger chez vous, ça me ferait plaisir de m’asseoir et converser avec vous pendant des heures. Je ne saurai pas le faire, juste pendant ces brefs séjours comme ceux-ci.
3 Et puis, beaucoup de gens croient que je suis un isolationniste. Je ne suis pas un isolationniste, non, mais je ne peux pas être serviteur de Christ et en même temps serviteur des hommes. Je dois donc me tenir à l’écart dans la prière et la méditation pour donner le meilleur de moi-même à la chaire.
Et j’ai honte de devoir venir ici complètement épuisé. Comme je vous l’ai dit l’autre jour, j’ai perdu neuf kilos depuis Noël. Voilà mon manteau. Voyez Je–je ne peux vraiment pas expliquer cela. Et je ne suis pas tellement fatigué physiquement, autant que je le suis mentalement. J’ai passé la majeure partie de mon temps à tenir des services de guérison. J’ai annulé deux soirées de services de guérison ici pour que nous ayons un petit... juste un peu de repos et me rattraper sur mon sommeil.
Et l’autre, c’est la convention des hommes d’affaires chrétiens, eh bien, dimanche après-midi ce sera à Philadelphie, dans un grand tabernacle, qui peut accueillir plusieurs milliers de personnes, je dois tenir la réunion là dimanche après-midi. Et lundi soir dans le hall de la convention, j’ouvre la convention des hommes d’affaires chrétiens, c’est une convention mondiale. Priez pour moi. J’ai vraiment besoin de vos prières, pour que Dieu m’utilise et m’aide à être Son serviteur et votre frère dans la Parole.
4 Bien, Billy a dit il y a quelques instants, je crois, que lorsque nous sommes arrivés, on a prélevé une offrande d’amour pour moi. Cela n’était pas vraiment nécessaire. Je suis... je regrette même de devoir accepter cela, mais je ne leur ai jamais demandé de faire cela. Je ne suis pas du tout venu dans ce but-là. Je suis pauvre; j’ai besoin d’argent pour vivre et faire mon travail, mon travail est modeste. J’ai gardé mes réunions vraiment humbles.
J’étais dans le champ missionnaire avant frère Roberts. Frère Roberts est venu à mes réunions. J’étais à Kansas City, dans le Kansas, et lui était à Kansas City, dans le Missouri, là-bas sous une petite tente usée, avec juste une petite poignée de gens. Un soir il est venu et s’est assis sur le côté. Je l’ai rencontré au fond dans le vestibule; nous nous sommes fait photographier ensemble. Il me dit: «Pensez-vous que Dieu peut entendre ma prière pour les malades?» Je lui dis: «Il entend la prière de tous ceux qui sont sincères, Monsieur Roberts.»
5 Monsieur Roberts est un érudit: quatre ans de psychologie, et une haute instruction, c’est un érudit et un homme habile. Il sait comment manier les choses. Dieu peut l’utiliser. Et il a commencé, et maintenant il fait vraiment un grand travail à travers la nation. Et...
Eh bien, Dieu ne me permettrait pas de faire cela. Pour commencer je n’ai pas d’instruction. Je n’ai presque pas d’instruction, et alors, je ne pourrais pas faire cela. Je ne m’y connais en psychologie; je n’ai même pas une instruction d’école primaire, juste celle de la septième. Je–je ne pourrais rien faire de pareil, et Dieu le savait. Au lieu de laisser mes réunions faire beaucoup de bruit, et on m’en a donné bien des occasions, mais pourtant, je sens que Dieu ne veut pas que je le fasse.
Eh bien, comment aurais-je pu venir ici, et peut-être passer quatre jours, et j’imagine, je ne sais pas, mais j’imagine que nous sommes tous des gens pauvres, un montant d’environ deux cents dollars, prélevé comme offrande d’amour, a suffi pour couvrir presque toutes les dépenses.
6 Comment Oral Roberts pourrait-il rester ici deux ou quatre nuits avec juste deux cents dollars prélevés comme offrande d’amour? Ce n’est pas parce qu’il ne voudrait pas venir, mais il ne saurait pas venir. Il a de tels engagements qu’il lui faut environ sept mille dollars par jour pour travailler chaque jour de la semaine. La dernière fois j’ai entendu dire que c’était sept mille dollars, maintenant, avec ses nombreuses stations de télévision, c’est probablement plus que cela. Il ne pourrait pas venir ici. Il aimerait bien pouvoir le faire.
Oral Roberts est un homme bien. Je le connais, il aimerait–il aimerait venir ici de tout son coeur, mais il ne saurait pas le faire. Et lorsque vous–vous l’invitez, il répond: «Je ne saurais le faire; il faut qu’il y ait plusieurs centaines d’églises qui collaborent.»
Il ne dit pas cela pour être indifférent; il dit cela parce qu’il ne saurait le faire; tellement il a des engagements.
Mais, vous voyez, je n’ai jamais laissé mon ministère devenir comme cela. Il est vraiment modeste. Le montant de mes engagements s’élève à environ cent dollars par jour dans mon bureau, à la maison, c’est environ cent dollars par jour. Ainsi donc, je peux aller n’importe où. Et puis, si le Seigneur veut que je prêche devant cent mille, cinq cent mille personnes, Il place tout simplement la chose sur le coeur de quelqu’un, et ils m’envoient de l’argent. Je n’ai pas à m’inquiéter au sujet de l’argent. Je n’en ai pas besoin, je n’ai donc pas à m’en soucier. Alors je...
7 Voyons, j’ai célébré un anniversaire récemment, et j’ai... je crois que j’ai eu vingt-cinq ans ou je viens de dépasser cela un tout petit peu. Je suis né en 1909; cela me donne un peu... environ vingt-cinq ans, n’est-ce pas? Juste un peu plus de quarante-neuf ans. Donc cela fait vingt-sept ans que je suis dans le ministère, je n’ai jamais de ma vie prélevé une offrande. J’ai été le pasteur de l’église baptiste pendant dix-sept ans, et je n’ai jamais reçu un centime comme salaire, ni prélevé une offrande durant tout ce temps. J’ai travaillé comme garde forestier dans l’Indiana, et je gagnais ma vie. Je n’ai jamais de ma vie prélevé une offrande.
Je me souviens d’un soir (je raconte souvent cela, surtout, lorsque ma femme n’est pas là) lorsque j’en étais arrivé au point où je ne pouvais pas joindre les deux bouts. Etes-vous déjà passé par cette situation-là? C’est sûr, cela nous est arrivé à nous tous. Et j’ai dit: «Chérie, je vais prélever une offrande ce soir.»
Elle dit: «J’irai là pour te voir le faire.» Et elle trouva une place et s’assit. Or, ce n’est pas que les gens ne le feraient pas, ils le feraient certainement. Ils m’auraient donné tout ce qu’ils avaient. Mais j’étais jeune, et je–je ne tenais des réunions que le mercredi et le Dimanche, et je... c’est tout ce que je–je pouvais travailler, alors pourquoi ne pas travailler, et ne pas être obligé de... être une charge pour eux. Tout l’argent que je gagnais, je le plaçais carrément dans l’église, tout, à part ce dont j’avais besoin pour vivre.
8 Et ainsi, je suis allé, j’ai parlé au diacre de l’église, je lui ai dit: «Va prendre mon chapeau, Oncle Jim.» Nous n’avions pas de plateau à offrande ni rien, on n’en a jamais eu un dans l’église. Je lui ai dit: «Va prendre mon chapeau, je vais prélever une offrande.» J’ai dit: «Mes amis, je suis un peu en difficulté, je... si vous avez quelques cents à mettre dans le plateau à offrande, je–j’ai une dette d’environ cinq dollars, et je n’arrive pas à m’en tirer.» Je dis: «Si vous voulez bien m’aider, j’apprécierai cela.»
Et oncle Jim alla prendre mon chapeau. Il y avait une petite vieille dame qui avait l’habitude de s’asseoir devant moi; elle portait un de ces tabliers qui ont une poche intérieure. En avez-vous déjà vu un? Bien sûr, vous les mères du Sud. Ma vieille grand-mère avait l’habitude de mettre une vieille petite pipe de canne là-dedans; elle se baissait pour la mettre dans sa poche comme cela. Combien ont déjà vu une de ces vieilles petites... Je crois que ces pipes étaient faites de calcaire ou quelque chose comme cela, et elles avaient un long tuyau, celles que les grands-mamans fumaient! La mienne fumait. Elle ne voulait pas que quelqu’un... que les hommes ne la voient fumer; alors elle la cachait dans sa poche intérieure, où elle portait son tabac. Elle la tenait là-dessous quand elle parlait avec un homme comme cela, on aurait dit que cette vieille pipe lui brûlait les doigts. Et elle...
9 Et cette vieille petite dame portait un de ces petits tabliers; elle y a plongé la main et en a tiré un vieux petit porte-monnaie ayant un bouton-pression dessus, et elle s’est mise à chercher là-dedans quelques pièces de cinq cents. Frère, je ne pouvais pas prendre cela! Eh bien, la chose m’aurait hanté toute ma vie. Oh! j’ai dit: «Je plaisantait tout simplement; je ne voulais pas dire ça.»
Le vieil homme se tenait là, le chapeau en main, il a dit: «Que dois-je faire, Frère Branham?»
J’ai dit: «Je–je plaisantais tout simplement pour voir votre réaction. Raccroche mon chapeau.»
Et il y avait un vieil homme du nom de Rya-... le vieux frère Ryan, qui faisait de la bicyclette, depuis Dowagiac, dans le Michigan. Si je posais la question ce soir, il se peut que beaucoup d’entre vous l’aient connu, c’était un de mes grands amis. Il roulait là-bas sur une vieille bicyclette. Je disais [souvent] qu’elle était rétrograde, mais elle n’était pas rétrograde, elle était usée. Et il–il me l’a laissée, je suis monté au bazar, j’ai acheté deux boîtes de peinture, je l’ai peinte en deux couleurs différentes et j’y ai accroché une étiquette: «A vendre pour cinq dollars», j’ai vendu la bicyclette, je n’ai pas été obligé de prélever une offrande en fin de compte. C’est la fois où je suis allé aussi loin concernant le prélèvement de l’offrande dans ma vie. Ainsi lorsque vous y mettez une partie de vos moyens de subsistance, avec l’aide de Dieu et par Sa grâce, je vous le promets, au mieux de ma connaissance, cela sera placé dans le Royaume de Dieu. Tout...
10 J’ai trois enfants, une femme, une mère veuve, une belle-mère qui est veuve, j’ai de grandes obligations, le bureau et ainsi de suite. J’envoie des milliers de tissus de prière par semaine à travers le monde, et nous avons dix bureaux différents, dans dix nations étrangères qui travaillent grâce à ce petit endroit. Et alors, les gens, s’ils ne m’envoient pas leurs offrandes, par la poste, je serai obligé de quitter immédiatement le champ missionnaire, c’est tout. Parce que je ne saurai pas y faire face; en effet, je dois payer des centaines de dollars par jour, et je... L’année passée, j’ai passé les six derniers mois dans le champ missionnaire sans interruption; chaque campagne m’a coûté deux ou trois cents dollars, chaque fois, pendant la campagne. Vous voyez donc ce que je–ce que je veux dire.
11 Et tout le monde sait, et nous avons des livres là, mais j’achète ces livres avec une réduction de quarante cents, je les achète chez Gordon Lindsay. Et j’achète ces photos; elles sont placées sous des droits d’auteur par les studios Douglas de Houston, au Texas. Je dois acheter toutes ces choses, et je les vends juste pour... Eh bien! je perds de l’argent sur chaque–sur chaque lot. Premièrement, il y en a beaucoup qui sont endommagés quand je les reçois; ensuite, vous devez payer quelqu’un pour les vendre. Et puis, j’en donne beaucoup gratuitement; si quelqu’un en veut et n’a pas de quoi payer, il les prend de toute façon. Voyez-vous? Ainsi je... nous ne... nous ne sommes pas ici pour l’argent, nous sommes ici pour essayer d’aider, afin de vous rendre la vie un peu plus facile, à cause du Royaume de Dieu. Alors, Dieu sait; c’est mon coeur. C’est... que cela soit toujours mon objectif et mon motif. Tous mes remerciements. Que Dieu vous bénisse.
12 Et si je ne vous revois plus jamais de ce côté-ci du grand fleuve, de l’autre côté, là où les brises fraîches souffleront, là près de l’arbre au feuillage toujours vert, je vous attendrai, juste au-delà du fleuve de l’autre côté.
Quant à ce ministère au sujet duquel je vous rends témoignage comme étant la vérité, ce même témoignage sera sur mes lèvres, lorsque je vous rencontrerai là-bas. C’est la grâce étonnante, combien doux est le son, qui sauva un malheureux comme moi. J’étais perdu, mais maintenant je suis retrouvé. J’étais aveugle, mais maintenant je vois.
13 Je souhaite lire juste un–un petit passage des Ecritures. J’allais prêcher ce soir et j’ai annoncé que j’allais prêcher sur la foi triomphante. Mais comme il fait si chaud, je n’aurai pas le temps. Je vais prendre un autre petit texte à partir d’un autre sujet, et prêcher sur cela.
14 Premièrement, ces mouchoirs sont posés ici pour que l’on prie dessus. Il y en avait un bon nombre, j’ai essayé d’en prendre chaque soir. Si vous... s’ils ne sont pas là, si vous n’avez pas déposé votre mouchoir ici, et que vous désiriez recevoir un mouchoir sur lequel j’ai prié, écrivez simplement à mon bureau: Jeffersonville, Indiana. Je vous en enverrai un gratuitement, franco de port, sans aucune obligation. Et je n’ai pas besoin de votre carnet d’adresse, parce que je n’ai pas d’émission à la radio ni à la télévision, rien d’autre. Et j’ai du mal à payer des secrétaires pour répondre. Il pourrait y avoir un petit retard, mais nous vous répondrons un de ces jours.
Mais maintenant écoutez bien, vous recevrez une lettre, il y a une lettre circulaire, qui fait le tour du monde, là où un demi million de gens prient ensemble. Certains se lèvent à deux heures du matin, dans les champs missionnaires à l’étranger, pour prier, ils forment une chaîne de prière à trois heures ici et à travers le monde, chacun prie pour l’autre. Et les miracles, il y en a des milliers de fois plus que ceux qui se produisent dans les réunions... Bien sûr, j’atteins une plus grande audience.
Mais maintenant, lorsque vous recevez ce petit morceau de tissu, cela n’a pas été fait par le secrétaire. J’ai moi-même prié sur ce tissu. Eh bien, beaucoup d’entre vous pensent, et vous dites dans vos lettres: «Frère Branham, oins ce mouchoir pour moi.»
Eh bien! je sais que vous les nazaréens, et beaucoup d’entre vous croyez cela, c’est parfaitement en ordre. Tout ce que Dieu bénit, je soutiens cela. Mais si vous voulez bien remarquer ce passage de l’Ecriture, on n’a jamais oint les mouchoirs, on retirait du corps de Paul des mouchoirs et des tabliers. Et les malades et les affligés étaient guéris.
15 Je crois que Paul était un fondamentaliste. Ne le croyez-vous pas? Et je ne crois pas que Paul aurait fait cela sans l’autorité des Ecritures. Savez-vous où je crois qu’il a eu cela? Lorsque la femme sunamite alla vers Elisée, et celui-ci prit son bâton, et dit à Guéhazi: «Va, pose-le sur l’enfant.» Voyez-vous? Il savait que tout ce qu’il touchait était béni, s’il pouvait amener la femme à croire la même chose. Voyez-vous? Tout ce qu’il touchait était béni. Il savait cela, parce que le Saint-Esprit était sur lui. Et Paul, comme je l’ai dit, étant un fondamentaliste...
Voici une petite remarque. Lorsque je voyage à travers le monde, je trouve deux groupes de gens. L’un, ce sont les fondamentalistes, l’autre les pentecôtistes. Les pentecôtistes ont beaucoup de foi, mais ils ignorent qui ils sont. Les fondamentalistes savent qui ils sont, mais n’ont pas de foi en plus de cela. C’est juste comme un homme qui a de l’argent en banque mais ne sait pas remplir un chèque, et l’autre sait remplir un chèque mais n’a pas d’argent en banque. Si jamais vous pouviez mettre ces deux ensemble (amener un pentecôtiste à reconnaître qui il est, ou amener un fondamentaliste à reconnaître que tous ses enseignements fondamentalistes, bien que ce soit Christ, la lettre tue, mais l’Esprit vivifie), à ce moment-là vous y êtes.
Je prie donc qu’un jour je voie cette grande unification de tout le Corps de Jésus-Christ, s’unir comme un grand Corps, alors l’Enlèvement viendra. Avant d’ouvrir les Ecritures, prions.
16 Dieu bien-aimé, comme le silence s’est installé dans cette salle, au moment où j’ai dit «prions», nous sommes tous très conscients ce soir, qu’il y a un Dieu dans le Ciel, qui connaît les secrets du coeur. Comme Daniel l’a dit en son jour: «Il y a un Dieu dans le Ciel.» Et Tu connais les secrets de nos coeurs, et je Te prie ce soir, Dieu bien-aimé, de nous révéler Ton Fils dans la puissance de Sa résurrection, de pardonner toutes nos iniquités et de guérir toutes nos maladies.
Parle au travers de Ta Parole, ô Dieu éternel, et que le Saint-Esprit La prenne et La plante dans les coeurs des auditeurs, pour qu’il puisse en sortir un grand réveil, un de ces réveils à l’ancienne mode, qui balayera le pays d’une côte à l’autre, avant que Jésus vienne. Accorde-le, Seigneur. Sauve les perdus ce soir et guéris les malades. Car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.
17 Dans le douzième chapitre de l’Evangile de Saint Matthieu, et le verset 24, nous aimerions lire un moment ces Paroles. C’est un petit texte que j’ai lu et sur lequel j’ai prêché maintes fois. Et la raison pour laquelle je l’ai pris ce soir, c’est parce que je peux aller rapidement avec cela, pour atteindre le point où je veux parvenir avant de prier pour les malades. Et pendant que je vais prier et parler, j’aimerais que chaque personne ici garde ceci dans sa pensée. Dès que la prière pour les malades commencera, chacun de vous se lèvera et sortira du bâtiment guéri. Ne gardez rien d’autre dans votre pensée. Continuez de penser à cela. «Que tout ce qui mérite l’approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l’objet de vos pensées.» Vous ne pouvez rien recevoir de Dieu en ayant des pensées négatives.
Il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu’il est le rémunérateur de ceux qui Le cherchent.
Maintenant le verset 42:
La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus grand que Salomon.
18 Notre Seigneur venait juste d’être traité de Béelzébul par les–les docteurs de Son jour, c’est-à-dire les théologiens. Et il avait réprimandé la ville dans laquelle il venait de prêcher, et Il avait accompli des signes et des miracles, comme nous l’avons lu l’autre soir sur ce qu’était Son ministère en Son jour, comment Il pouvait discerner les pensées du coeur par l’Esprit de Dieu.
Et les–les membres d’église de Son jour pensaient qu’Il était un liseur de pensées, ou une espèce de sorcier, et ils L’ont traité d’esprit malin. Et notre Seigneur a dit: «Si vous dites cela de Moi, Je vous pardonnerai; mais un jour le Saint-Esprit viendra, à ce moment-là Il fera la même oeuvre que Je fais, et alors une seule parole contre ce Saint-Esprit-là, faisant la même oeuvre, ne sera jamais pardonnée à un homme dans ce monde ni dans le monde à venir.» Il a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres de Mon Père, alors croyez les oeuvres.»
19 Maintenant quelles sont les oeuvres du Père? Or, Il a clairement déclaré cela, à savoir que la manière dont Il a manifesté Son ministère aux gens, c’était en utilisant les–les gens spirituels. Eh bien, il existe deux églises: il y a l’église naturelle; il y a l’Eglise spirituelle. Et les deux évoluent ensemble, car il n’y a aucun moyen de les séparer. Comme Jésus a dit: «Un semeur sortit pour semer des semences. Un semeur a semé une bonne semence, et un ennemi a semé de l’ivraie. Et le cultivateur, qui était le pasteur, a dit: «Devons-nous arracher l’ivraie?»
Il a dit: «Vous arracheriez aussi le blé avec elle. Laissez-les croître ensemble.»
Donc il n’y a aucun moyen de séparer l’église naturelle et l’Eglise spirituelle. Mais l’Eglise spirituelle est l’Eglise élue, appelée à sortir et séparée par Dieu seul. Et ce sont eux qui comprendront la Parole du Seigneur. Peu importe combien cela est difficile... cela paraît étrange à dire, mais il y a des hommes qui sont prédestinés à la destruction éternelle; c’est ce que disent les Ecritures: «Certains hommes, dont la condamnation est écrite depuis longtemps, des impies, qui changent la grâce de notre Dieu en dissolution» dans le chapitre de Jude. Nous n’aimons donc pas penser à ces choses, mais il y a des gens qui ne seront jamais sauvés, peu importe ce que vous faites, et ils sont très religieux.
20 Et l’esprit antichrist est un esprit religieux; n’oubliez pas cela, chers amis. Et combien vos yeux sont bénis du fait que vous voyez, entendez et comprenez; car vous ne pouvez pas comprendre à moins que Dieu vous le révèle. En effet, l’Eglise tout entière est bâtie sur la révélation spirituelle de Jésus-Christ qui est le Fils de Dieu.
Chaque fois que vous touchez ce point, vous touchez une foule mélangée, surtout lorsque le surnaturel est accompli. Moïse est sorti d’Egypte avec le surnaturel; une foule mélangée est sortie.
21 Luther, beaucoup d’entre vous luthériens, eh bien, l’histoire dit que ce n’était pas un mystère, que Martin Luther ait protesté contre l’Eglise catholique et s’en soit tiré, mais le fait qu’il ait pu garder sa tête au-dessus du fanatisme qui a suivi le réveil.
Et c’est ce qu’il en est aujourd’hui. Et vous les non pentecôtistes, c’est ce qui... permettez-moi de dire ceci, en tant que baptiste: ce que je sais, c’est que les pentecôtistes ont beaucoup d’histoires absurdes. Ils ont beaucoup de manifestations charnelles et font bien des histoires, mais frère, il y a un véritable Saint-Esprit parmi eux. C’est juste. Alors, vous les pentecôtistes, qui gardez votre tête dans le–dans le calvaire, et dans la Parole, et non dans les sensations, mais conformément à la Parole et continuez à marcher devant Dieu, vous êtes alors bénis. Vous avez le dessus du panier: l’Esprit et la Parole.
22 Et Jésus s’occupait des affaires de Son Père, étant aussi intransigeant que ces pharisiens prétendaient l’être, et lorsqu’Il a accompli Ses oeuvres, eux s’attendaient à ce que ça soit quelque chose de différent, parce qu’Il pouvait discerner les pensées de leurs coeurs... C’est comme lorsque Pierre est venu, Il a dit: «Tu t’appelles Simon, et le nom de ton père était Jonas.»
Lorsque Philippe alla trouver Nathanaël et qu’il lui dit qui il avait trouvé, eh bien, Nathanaël ne pouvait pas comprendre cela, que le Messie vienne de Nazareth; le Messie devait plutôt venir d’une certaine dénomination, sinon d’aucune dénomination du tout. Il n’arrivait pas à comprendre cela, il lui a dit: «Viens donc voir par toi-même.» Et lorsqu’il arriva, Jésus lui dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»
Et il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu? Je Te suis inconnu.»
Et Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
Et Philippe a dit, ou plutôt Nathanaël a dit: «Tu es le Christ; Tu es le Roi d’Israël», voyez-vous, le véritable élu reconnaît que c’est Dieu, pendant que les vrais sacrificateurs et les scribes se tenaient à côté et disaient: «Cet Homme est un diseur de bonne aventure.» Et tout le monde sait que dire la bonne aventure, c’est du diable.
Ils ont donc traité l’Esprit de Dieu d’esprit impur. Et Jésus a dit que, lorsque le Saint-Esprit viendra se manifester, Il fera les mêmes oeuvres que Lui a faites, et une parole contre cela ne sera jamais pardonnée.» Alors voyez-vous l’heure dans laquelle nous vivons?
23 Regardez la femme samaritaine. Aussitôt que Jésus lui a révélé les secrets de son coeur, elle a dit: «Nous attendons la Venue du Messie, et Il nous annoncera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu? Tu dois être le Prophète.»
Il dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»
Elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un homme qui m’a dit les choses que j’ai faites, ne serait-ce point le Messie?» Et les Samaritains crurent en Lui, eux qui étaient des proscrits.
24 Maintenant j’aimerais dire ceci: Lorsque Jésus parlait ici, Il était... Il a dit: «Ô toi Capernaüm, tu t’es élevée jusqu’aux Cieux, parce que tu penses avoir les meilleures synagogues, tous ces prédicateurs sensationnels et tout, et que vous êtes très religieux. Vous êtes tellement enflés d’orgueil et tellement pieux que vous vous êtes élevés jusqu’aux Cieux, mais je vous le dis, vous serez abaissés jusqu’au séjour des morts.»
Où se trouve Capernaüm aujourd’hui? Au fond de la mer Morte. Chaque ville qui a reçu Jésus subsiste aujourd’hui. Chaque ville qu’Il a maudite a disparu aujourd’hui. Bien sûr, Il était plus qu’un prophète. Il était Dieu manifesté dans la chair.
25 Et remarquez, Il se réfère à Ses... aux Ecritures et commence à leur montrer (comme je souhaite le faire pendant les prochaines quinze minutes) que dans tous les âges, Dieu a toujours eu Son peuple à Lui et le surnaturel a opéré dans tous les âges. Lorsque Dieu envoie un don sur terre, si cette génération reçoit ce don, ils deviennent un peuple béni, et s’ils le refusent, ils deviennent un peuple maudit, toujours.
Considérez la génération du temps de Jésus. Dieu envoya le plus grand Don qui fût jamais envoyé à une génération, c’est ce qu’Il a dit: «Il y a ici plus que Salomon.» Et ils ont rejeté cela et L’ont traité de diseur de bonne aventure. Où sont-ils aujourd’hui? Disséminés aux quatre vents du monde, le temple fut brûlé. Voyez-vous, ils ont rejeté cela.
Et Jésus se référait au chapitre... au verset qui précède celui-ci, au temps de Jonas. Il a dit: «Ce qui arriva...» Ils sont venus à Lui, disant: «Nous voudrions voir un autre signe.» Et Il a dit: «Il y aura une génération méchante et adultère qui demandera un signe, et ils recevront un signe.» Je me suis écarté de mon texte, mais j’aimerais vous faire comprendre ceci.
26 Croyez-vous que nous vivons dans l’une de ces générations méchantes et adultères? Certainement. Comme je l’ai souvent dit, cette nation ne pourra jamais échapper à la condamnation et à la colère de Dieu. Je suis Américain. Beaucoup de membres de la famille Branham ont été ensevelis sur les champs de bataille, tués pendant la guerre. Et si ce soir, je devais en venir à faire un choix, l’Amérique est mon pays. Je l’aime, mais je n’aime pas les péchés qu’il est en train de commettre. Dieu aime l’Amérique, mais Il hait son péché. Et le péché, c’est un opprobre pour n’importe quel pays; et ne pensez pas que nous allons échapper au jugement parce que nos pères, au Rocher de Plymouth, ont fondé cette nation sur les principes qui l’ont régie. Israël était l’Epouse bien-aimée de Dieu, et elle a payé pour son péché. David était un homme selon le coeur de Dieu; il dut payer pour son péché, et nous devrons payer pour notre péché. Si Dieu ne juge pas l’Amérique pour son impiété, étant un Dieu saint et infini, Il serait obligé de ressusciter Sodome et Gomorrhe et de leur présenter des excuses pour les avoir brûlées et fait sombrer dans la mer. Sans doute, nous allons inévitablement passer par le jugement. Il n’y a pas moyen d’y échapper. Alors, préparez-vous pour échapper à la damnation de la colère de Dieu, en fuyant vers Jésus-Christ.
27 Maintenant, Il s’est référé à Jonas et je crois que ce qu’Il a dit de Jonas, Il parlait de ce jour-ci. Eh bien, Il dit: «Les gens cherchent un signe et ils recevront un signe, le signe de la résurrection. Car de même que Jonas passa trois jours et trois nuits dans le ventre de la baleine, le Fils de l’homme passera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre. Et ainsi, la résurrection serait le signe pour cette génération méchante et adultère.»
Tout le monde sait qu’une Ecriture a une multiple signification et que l’histoire se répète. Croyez-vous que l’Ecriture a une multiple signification? Très bien.
Prenez là où c’est... ce passage-ci, qui me vient tout de suite à l’esprit, là où il est dit dans Matthieu 3: «J’ai appelé Mon Fils hors d’Egypte.» Suivez la référence de ce passage des Ecritures et voyez s’il ne parlait pas de Jacob. Certainement, ça parlait de lui, Jacob, le fils de Dieu; cela voulait aussi dire Jésus, le Fils de Dieu. C’était une prophétie à plusieurs sens, et c’est bien souvent le cas.
Je crois donc que nous sommes retournés à une génération méchante et adultère. Et cette génération-ci doit recevoir le Signe de la résurrection pour bien cadrer avec mon sermon de la première soirée sur «les Signes qu’Il a accomplis en ce temps-là.» Depuis ce temps-là, Il n’a plus jamais accompli cela, dans tous les âges, jusqu’à la fin de la dispensation des Gentils, dans laquelle nous vivons maintenant. Et cette génération méchante et adultère qui a rejeté Christ a reçu le signe de la résurrection, le dernier signe qui doit être donné à l’église.
28 Maintenant, regardez Jonas. Beaucoup de gens pensent que Jonas était une personne horrible. Jonas était un prophète du Seigneur, marchant dans toute la volonté du Seigneur. Vous direz: «Pourquoi a-t-il fait ce qu’il a fait?» Il n’a rien fait qui soit contraire à la volonté de Dieu. Si vous êtes en Christ, vous ne ferez pas tout ce qui est contraire à la volonté de Dieu, si vous marchez dans l’humilité, et–et avec droiture. Il peut paraître que vous le faites, mais vous ne le faites pas. Rien n’arrive au hasard. Les pas du juste sont conduits par l’Eternel, et toutes choses concourent au bien de ceux qui L’aiment. Comment pouvez-vous prendre ces passages des Ecritures, Les comparer avec d’autres et ensuite Les anéantir?
Les Ecritures ne peuvent pas être anéanties.
Oh! vous direz: «Il a pris un navire et il s’est rendu à Tarsis, plutôt qu’à Ninive; alors que Dieu l’avait envoyé à Ninive; lui, il s’est rendu à Tarsis.»
Considérons cela pendant quelques minutes, pour comprendre. Ça dépend de la manière dont vous regardez cela. Vous passez par-dessus cela et vous dites: «Oh! tu es un Jonas.» J’aimerais bien en être un. Certainement, il était un homme de Dieu.
29 Remarquez, lorsqu’il est allé à Ninive, il n’y avait aucun navire, il a donc pris un navire pour Tarsis. Lorsqu’il fut en mer, la mer se mit en colère, parce que le prédicateur avait rétrogradé. Et on lui a lié les pieds et les mains, et on l’a jeté hors du navire. Et Dieu avait un grand poisson pour l’avaler.
Eh bien, tout le monde sait qu’un poisson parcourt les eaux dans tous les sens jusqu’à ce qu’il trouve sa nourriture, après quoi il va au fond de la mer ou du lac, partout où vous pêchez, et il pose ses petites nageoires sur le fond et se repose. Donnez à manger à vos poissons rouges et observez-les. Ils iront tout au fond du bocal, poseront leurs petites nageoires là au fond pour se reposer.
Or, ce poisson-ci, Dieu l’avait préparé et Il avait préparé un prédicateur comme son dîner. Et il s’est approché du navire. Et Il l’a jeté dans la bouche de la baleine, il est descendu au fond de la mer, les mains liées derrière le dos, les pieds liés.
Je me suis souvent demandé comment les gens, en ce jour-ci et en cette heure-ci, peuvent-ils lire cette histoire et continuer à regarder à leurs symptômes? Voilà la raison pour laquelle les gens ne sont pas guéris. Vous vous mettez à regarder à vos symptômes. Vous ne pouvez pas regarder à vos symptômes et être guéris. Vous devez regarder à la promesse que Dieu a faite.
30 Tenez, il y a quelque temps, je suis allé à–à un endroit où un garçon se mourait, cela fait environ dix ans. Un vieux saint vint vers moi et me dit: «Frère Branham, voudriez-vous venir voir mon fils; il se meurt de la diphtérie noire.»
Je lui ai dit: «Oui, monsieur, je viendrai dès que la réunion sera terminée. Et je suis allé là où le jeune garçon se mourait, cela faisait deux jours qu’il était dans le coma. Eh bien, le médecin ne voulait pas me laisser entrer.
Il a dit: «Etes-vous marié?»
J’ai dit: «Oui, monsieur. J’ai deux enfants.»
Il a dit: «Eh bien, je ne peux pas vous laisser entrer parce que vous allez véhiculer cette maladie.»
J’ai dit: «Docteur, si je ne peux pas faire confiance à Dieu pour cela, je ne devrais pas aller prier pour ce garçon.»
Et il a dit: «Je ne peux pas vous faire entrer.»
J’ai dit: «Laissez-moi entrer, et alors... lui donner la communion ou quelque chose.» J’ai dit: «Etes-vous catholique?»
Il a dit: «Je suis catholique.»
J’ai dit: «Si un prêtre venait ici pour lui donner les derniers sacrements, s’il était catholique, allez-vous le laisser entrer?»
Il a dit: «Ça, c’est différent; le prêtre n’a pas d’enfants.»
J’ai dit: «Mais j’aimerais vous demander une chose. Ceci est aussi sacré pour nous que les derniers sacrements pour vous.» J’ai dit: «Laissez-moi entrer.»
Il a dit: «Prenez-y garde, vous en porterez toute la responsabilité.»
J’ai dit: «Dieu y veillera.» Et il m’habilla comme un membre du Ku Klux Klan. Et je suis entré pour–pour voir–pour voir ce garçon, et il était dans le coma. Une petite infirmière se tenait là, une très jolie petite dame, et je me suis agenouillé sur un côté du lit. L’enfant était dans le coma. Et l’infirmière a dit: «Madame...»
La dame dit: «Je...» Je crois que la dame en question est ici ce soir. Je–je voudrais finir ceci avant de lui dire, et ensuite... de quelle dame il s’agit. Et j’ai dit... l’infirmière lui a dit: «Voulez-vous... savez-vous que votre fils est en train de mourir?»
Je crois que la petite infirmière avait dit cela à mon avantage.
Et j’ai dit: «Eh bien! s’il se meurt, Dieu est un Sauveur.» Elle a remué en quelque sorte ses petites lèvres maquillées et elle a regardé de côté, et j’ai dit: «Prions.» Et le vieux père et la mère se sont agenouillés de l’autre côté du lit de l’enfant; j’ai dit: «Seigneur Dieu, Toi le Dieu qui a créé le ciel et la terre, Tu as dit: ‘Tout ce que vous désirez, quand vous priez, croyez que vous l’avez reçu!’ Et il est aussi écrit: ‘si vous dites à cette montagne, ôte-toi de là et ne doutez pas dans votre coeur, mais croyez que cela s’accomplira, vous le verrez s’accomplir.’ C’est Ta Parole, et c’est ce que nous faisons, Seigneur.» Et j’ai dit: «J’impose les mains sur ce garçon, et je condamne cette mort au Nom de Jésus-Christ.» Je me suis levé; le vieux père s’est levé, il a essuyé les larmes de ses lunettes, et il a pris la mère dans ses bras, et il a dit: «Maman, penses-y; il va vivre maintenant, n’est-ce pas glorieux? Le garçon était toujours dans le coma, il respirait à peine. Et l’infirmière a dit: «Oh!»
La mère a dit: «C’est merveilleux, Fred, c’est merveilleux!» Elle a dit: «Il va vivre maintenant, merci Seigneur.»
31 Et la petite infirmière les a regardés de la tête aux pieds, sans rien y comprendre, et elle a dit: «Monsieur, est-ce que vous comprenez que le meilleur médecin du pays a dit que cet enfant va mourir dans les cinq prochaines heures?» Elle a dit: «Ce cardiogramme indique les battements de son coeur.» Je n’y connais rien du tout. Elle a dit: «Cela est descendu très bas, et jamais dans l’histoire de la médecine, cela n’est jamais remonté lorsque ça descend jusqu’à ce point-là.»
Et le vieux père s’approcha de la petite infirmière, passa les bras autour d’elle et lui a dit: «Chérie, tu vois, j’ai pitié de toi. Tu regardes à cette machine, parce que c’est tout ce qu’on t’a appris à regarder.» Il a dit: «Tu regardes à cette machine; moi, je regarde à la promesse divine que Dieu a faite.» Et aujourd’hui, le garçon est marié; et il a deux enfants. Mademoiselle Bartell, si vous êtes ici... Très bien. Vous voilà. Vous voyez, c’est ce qui rend les choses réelles. Cela dépend de ce à quoi vous regardez.
32 Lorsque Jonas était dans le ventre de la baleine, si jamais quelqu’un a eu des symptômes, c’était Jonas. Eh bien! qu’il regarde de ce côté-ci, c’était la baleine, le ventre de la baleine. Qu’il se retourne de l’autre côté, c’était le ventre de la baleine. Partout où il regardait, c’était le ventre de la baleine. Il avait des algues autour du cou, étendu dans le vomi, dans le ventre de la baleine. Eh bien, ce n’est pas étonnant. Il en avait vraiment, les symptômes.
Il était dans un cas bien pire que vous pourriez l’être ce soir. Personne ici n’est dans cette condition-là. Mais, savez-vous ce que Jonas a dit? il a dit: «Ce sont des vanités mensongères. Je ne vais plus regarder au ventre de la baleine, mais une fois encore, je lèverai les yeux vers Ton saint temple!» Amen. Pourquoi? Il savait que lorsque Salomon fit la dédicace du temple, Salomon avait fait cette prière, et il avait dit: «Seigneur, si Ton Peuple est en danger où que ce soit, et regarde vers ce lieu saint et prie, alors exauce-le des cieux.» Et Jonas, si vous voulez l’appeler un rétrograde, les mains liées derrière lui, les pieds liés, dans une mer houleuse, dans le ventre de la baleine tout au fond de l’océan, il refusa de regarder à quoi que ce soit, sauf au temple, parce qu’il y avait une prière au sujet du temple. Si Jonas pouvait regarder au temple fait par l’homme et avoir ce genre de foi, dans ces conditions-là, combien plus pouvons-nous ce soir, dans n’importe quelle circonstance, regarder au Ciel, là où Christ est assis à la droite de Dieu, avec Son propre Sang pour intercéder sur base de notre confession. Cela dépend de ce à quoi vous regardez.
33 Savez-vous ce que Dieu a fait? Il a dû mettre un réservoir d’oxygène ou quelque chose là-dedans. Il a gardé ce prophète en vie pendant trois jours et trois nuits, et lui a fait faire un tour à travers l’océan jusqu’à Ninive.
Ninive était une grande ville de plusieurs milliers d’habitants. C’étaient des idolâtres, ils adoraient des dieux et leur grand dieu était le dieu de la mer, la baleine. Ils avaient tous comme occupation la pêche. Ils étaient là sur le rivage, tirant leurs filets. Ils vivaient tout autant dans le péché que les Etats-Unis aujourd’hui. Et tout à coup, vous savez, la baleine apparut (c’était un dieu pour eux), elle ouvrit sa bouche, tira sa langue, et le prophète sortit en marchant comme sur une passerelle. Voilà le dieu, crachant le prophète. Ce n’est pas étonnant... Voyez-vous, Dieu devait le faire ainsi. Dieu sait ce qu’Il fait. Ce n’est pas étonnant qu’ils se soient repentis à la prédication de Noé, ou plutôt de Jonas. Pourquoi? Parce qu’il était... le dieu baleine l’avait craché sur le rivage.
Le prophète est sorti de la bouche de la baleine et s’est mis à prêcher. Certainement qu’ils se sont repentis. Dieu fait les choses de manière surnaturelle, pour accomplir Ses prodiges, certainement.
34 Jésus a dit: «De même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre de la baleine, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre, quand Il ressuscitera.» Et en ce jour-là, alors une génération méchante et adultère cherchera des signes, ça sera pour eux un signe. Maintenant, si Jésus est toujours mort, alors Il n’était qu’un simple homme. Mais s’Il est ressuscité ce soir, étant vivant pendant deux mille ans, depuis Sa mort, Son ensevelissement et Sa résurrection, alors la Bible déclare: «Il est Le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Alors s’Il est Le même, Il agira de la même manière, Il agira de même: les mêmes oeuvres, les mêmes miracles, la même puissance, la même grâce. Il est le même Dieu, et cet âge qui marque la fin des Gentils voit cela. Puis Il a dit: «Et la reine du midi se lèvera au jour du jugement avec cette génération et la condamnera, car elle est venue des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon.»
35 Or, aux jours de Salomon, Dieu avait donné un don à Salomon. C’était un don de discernement. Tout Israël s’était rassemblé autour de ce don-là. Oh! ils pensaient que c’était merveilleux. Et tout le monde sait que c’était l’âge le plus glorieux qu’Israël eût jamais vécu. Pourquoi? Parce qu’ils avaient tous soutenu le don. Un grand temple fut construit. Ils n’avaient connu aucune guerre pendant les jours de Salomon (non, monsieur). Les nations avaient peur de lui parce que le peuple était d’un commun accord avec Dieu.
Et vous savez quoi? Le meilleur abri que nous ayons ce soir, ce n’est pas d’avoir un savant qui puisse inventer une–une bombe plus puissante que la bombe à cobalt ou la bombe à hydrogène, mais d’avoir un homme qui puisse se lever avec une puissance qui va secouer l’Amérique et la ramener à Dieu. Ce serait la chose la plus glorieuse qui puisse arriver... secouer tous les gens en Amérique, qui se disent chrétiens et les ramener au Sauveur, loin de leurs credos, loin de leurs petites choses fantastiques et fantaisistes et les ramener au Dieu vivant. Ce serait la chose la plus glorieuse qui puisse arriver–ça vaut plus que toutes les bombes que l’on pourrait inventer, c’est la meilleure protection que nous ayons.
36 Remarquez, et aux jours de Salomon, ce grand don, tout le monde avait soutenu cela, et les gens ont commencé à en parler et, vous savez, la nouvelle s’est répandue partout dans le monde de l’époque. Tout le monde qui passait disait: «Ces gens sont d’un commun accord. Tenez, ils–ils ont un grand don que Dieu leur a envoyé.» Et tous, ils croyaient ce don-là. Ne serait-ce pas merveilleux ce soir, si seulement le monde ecclésiastique de l’Amérique croyait le plus grand Don que Dieu ait jamais envoyé au monde, le Saint-Esprit, et soutenait cela!
Si vous les méthodistes, vous pouviez démolir vos barrières et vous les baptistes, si vous pouviez démolir vos barrières, vous les presbytériens et les pentecôtistes, les nazaréens, les pèlerins de la sainteté, et si chacun de vous démolissait ses petites barrières pour laisser le Saint-Esprit venir parmi nous tous et créer un amour pieux et fraternel, et le respect, alors une puissance frapperait cette nation, au point que les journaux et les radios en parleraient partout dans le monde. Mais ils ne veulent pas le faire. Chaque homme a son propre arbre, et ils ne veulent pas se mettre ensemble.
37 En ce temps-là, ils étaient tous d’un commun accord, ils allaient devant Salomon et observaient ce grand don–on en parlait partout. Et la nouvelle s’est répandue jusqu’aux extrémités du monde connu, jusqu’à Séba. Et il y avait une petite reine là-bas; elle était une païenne pour commencer, mais, vous savez, Dieu ne fait acception de personne, Il sauve quiconque veut être sauvé.
Maintenant observez. Lorsque les gens se rendaient là-bas, les gens qui passaient, chaque voyageur qui traversait la Palestine, chacun d’eux venait et disait à quelqu’un, disait à la petite reine: «Dites, je viens de passer par la Palestine; vous n’avez jamais rien vu de pareil dans votre vie. Leur Dieu est un Grand Dieu. Il n’est pas un Dieu mort. Il est un Dieu vivant. Et Il leur a donné un homme du nom de Salomon. Eh bien! ils l’ont fait roi, et il a une grande puissance de discernement, cela ne peut venir que de Dieu.» Eh bien, vous savez, la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole de Dieu. Ainsi cela créa une faim dans le coeur de la petite reine. Et tout le monde en parlait, alors elle décida d’aller voir elle-même; ça, c’est une bonne idée. C’est beaucoup mieux que de rester chez soi à critiquer. C’est beaucoup mieux que de dire: «Ma dénomination ne collabore pas avec ce réveil», c’est beaucoup mieux. Elle a dit: «J’irai voir moi-même.»
38 Eh bien, elle avait bien des choses à affronter, beaucoup plus que vous pourriez en avoir. Premièrement, elle était une femme. Ensuite, elle était païenne. Or, afin de pouvoir y aller, elle devait obtenir une autorisation de son–de son prêtre païen. Elle alla donc voir l’archevêque de son église et lui dit: «Evêque, j’ai entendu dire... J’ai amené mon pasteur, mais il n’est pas d’accord avec moi, mais j’ai entendu dire qu’en Palestine, ils ont un Dieu qui leur a donné un grand don, et Sa grande présence opérant à travers un homme manifeste la Présence du Dieu vivant.»
Alors, l’évêque a dit: «Hum, hum, maintenant, reine, sais-tu que tu es un membre fondateur de cette assemblée? Eh bien, tu sais, nous ne tolérerons pas de telles absurdités. Eh bien, vous savez bien que pareille chose n’existe pas. S’il y avait quoi que ce soit comme signe surnaturel ou autre, notre dieu Dagon, et tout le reste l’auraient ici. Tu vois? Il n’en est rien; c’est un tas de non-sens; c’est une chose inventée.»
Elle a dit: «Mais, vous savez, j’aimerais aller voir moi-même.»
Voilà une bonne idée! Allez vous rendre compte.
39 Eh bien, j’entends l’évêque, l’archevêque et les autres s’assembler et dire: «Maintenant écoute-nous, même si tu es la reine, mais souviens-toi que si tu te joins à ce genre de fanatisme, nous allons t’excommunier et tu ne recevras pas les derniers sacrements à ta mort, et tu ne seras pas ensevelie ici dans notre cimetière (c’est sûr) là où ta mère, ton papa et les autres ont été ensevelis.»
Et elle a dit: «Mais écoutez, évêques, il y a dans mon coeur quelque chose qui me donne la soif d’aller m’en rendre compte.» Heureux ceux qui ont faim et soif de justice, car ils seront rassasiés. Rien ne va les arrêter. Oh! elle a dit: «Eh bien, un instant, je vais y aller.»
Et il a dit: «Maintenant écoute, si tu es curieuse, pourquoi ne vas-tu pas chercher ton livre de prières, et venir à l’église et nous allons en parler en long et large.»
40 Je peux l’entendre dire: «Un instant. Ma mère a fréquenté cette église, mon père, mes frères et soeurs également; et j’ai fréquenté cette église pendant quarante ans et tout ce que j’ai entendu, c’est tout un tas de credos n’ayant aucune vie du tout. S’il existe une telle chose, un Dieu vivant qui peut produire un don vivant, j’aimerais voir cela.» Oh! la la! nous avons besoin de plus de reines comme celle-là! «Tout ce que j’ai connu, c’est un tas de prières, un recueil de chants et ainsi de suite; vous parlez d’un grand dieu, mais où est-il? Est-ce qu’il vit? Je n’ai jamais vu un mouvement; maman n’a jamais vu de mouvement; et ma grand-mère ne l’a jamais vu bouger. Alors où est-il?» C’est ce que je dis aujourd’hui, si Jésus-Christ n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement, où est ce Dieu qui autrefois était grand?
41 A quoi bon nourrir votre canari des vitamines (comme je l’ai dit l’autre soir), de beaucoup de vitamines pour qu’il ait de puissantes ailes et le garder en sûreté dans une cage? A quoi bon prêcher un Dieu historique s’Il n’est pas le même ce soir? A quoi bon prêcher un Dieu de Moïse, s’Il n’est pas le même ce soir? A quoi bon prêcher un Christ qui guérissait et accomplissait des miracles s’Il n’est pas le même ce soir? S’Il ne l’est pas, je n’ai rien à voir avec Lui. Car la Bible dit: «Il est Le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Si ce n’est pas la vérité, alors la Bible est un mensonge. Et si c’est la vérité, alors la Bible a raison et il y a un Dieu vivant, pas une forme morte de credos et de dénominations et un peu de...?... des chapelets, et–et des livres à lire et ainsi de suite. Mahomet peut produire cela. Bouddha peut produire cela. N’importe quelle idole peut produire cela et peut produire tout autant de psychologie. Laissez-moi vous dire une chose, mon frère, il y en a eu seulement Un Seul qui ait jamais vécu, qui est mort et qui est ressuscité, et Il reste le même ce soir. C’est Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant, qui vit et règne, et qui accomplit chaque Parole et chaque Promesse qu’Il a données.
42 Je sais que vous pensez que je suis excité; si vous sentiez ce que je ressens, vous le seriez aussi. Je sais qu’Il est réel, non pas parce que cela se trouve dans mon coeur; c’est une des raisons, oui. Les mahométans disent: «Il est réel, parce que Mahomet est dans mon coeur.» Eh bien! laissez-moi voir Mahomet faire les choses qu’il faisait quand il était vivant. Je peux vous montrer que Jésus fait les mêmes choses. Evidemment, Il est le Dieu vivant. Alors la reine a dit: «Eh bien! vous pouvez effacer mon nom du registre. Faites ce que vous voulez. J’en ai assez de ces vieux credos. Je vais aller voir si cette chose est vraie ou pas.» Et lorsqu’elle s’est apprêtée pour partir, elle n’allait pas partir les mains vides. Elle chargea les chameaux d’or, d’encens et d’argent, et elle dit: «Si la chose est vraie, je vais la soutenir. Si ce n’est pas vrai, je ramènerai mon argent.» C’est une bonne chose. C’est juste.
Si vous, les fidèles, vous étiez plus sincères à ce sujet et que vous souteniez quelque chose dans lequel Dieu se trouve, au lieu de soutenir tant de vieilles choses comme un bâtiment d’un million de dollars qui n’est rien d’autre qu’une vieille morgue quelque part. Entrez-y et vous verrez que le thermomètre spirituel marque 90° au-dessous de zéro. Si quelqu’un dit «amen», les autres s’évanouissent. Qu’est-ce qui ne va pas? Si Christ accomplissait un miracle, on vous mettra à la porte.
43 Cela me rappelle une entreprise de pompes funèbres. On y fait entrer un cadavre et ensuite on lui injecte un liquide, pour s’assurer qu’il ne reviendra plus à la vie. On vous emmène là-dedans, et on vous injecte ces vieilles affaires telles que: «Le temps des miracles est passé. La guérison divine n’existe pas. Le Saint-Esprit avait existé il y a bien longtemps, la Pentecôte n’existe plus.»
Frère, ça, c’est le liquide d’embaumement de l’enfer. Jésus-Christ est le même hier aujourd’hui et éternellement, c’est juste. S’Il ne L’est pas, Il n’est qu’un tas de credos. Certaines personnes réduisent Dieu à un credo. Nous pouvons ne pas être en mesure de marcher là où Josué a marché, de faire tomber les murailles de Jéricho par des cris. Je peux ne pas être en mesure de marcher comme Enoch, faire une petite promenade et m’en aller à la Maison sans voir la mort. Mais je ne ferai jamais obstacle à quelqu’un, qui a la foi de faire cela. C’est juste. Je prierai pour eux et remercierai Dieu pour eux, au lieu de les critiquer et de me moquer d’eux.
44 Donc cette petite reine, elle avait bien des choses à affronter. Eh bien, avez-vous déjà évalué la distance qui sépare Séba de la Palestine? Eh bien! elle n’est pas allée dans une Cadillac climatisée ou dans un grand autocar. Elle est allée à dos de chameau. Et ça ne lui a pas pris juste une heure ou deux, ça lui a pris trois mois pour y arriver. Et aujourd’hui les gens ne veulent pas traverser la rue. Que fera-t-elle dans votre génération, lorsqu’elle se lèvera avec cette génération? Si elle a parcouru trois cents miles [482 km] à dos de chameau, non pas sur une belle et grande route comme celles que nous avons ici, mais à travers le désert pour entendre un don... Et Jésus a dit: «Elle se lèvera au jour du jugement et condamnera cette génération-là», et nous avons eu deux mille ans d’enseignement biblique avec le même Saint-Esprit qui est ici ce soir, avec la même puissance, faisant les mêmes oeuvres, et nous ne voulons pas traverser la rue ou parcourir ne serait-ce qu’un kilomètre dans une voiture climatisée! Que va-t-elle faire à cette génération?
45 Oh! il vous faut rester pour regarder Elvis, Arthur Godfrey, Nous aimons Susie, ou des choses semblables. Se divertir, voilà le problème du peuple américain; ils veulent se divertir, ils ne veulent pas de l’Evangile. Vous attendez d’avoir un prédicateur, et vous allez voter dans votre église, que faites-vous? Vous choisissez un homme qui est une petite poule mouillée, du style Hollywood, qui s’étendra là toute la nuit, couché sur une plage quelque part, et vous organisez des parties de fêtes, vous jouez au jeu de loto au sous-sol de l’église, vous organisez des repas de bienfaisance où vous faites cuire un vieux poulet racorni et vendez cela à cinquante cents le plat pour payer le pasteur.
Si vous prêchez l’Evangile, le prédicateur exposera la chose là et amènera les gens à payer la dîme, vous ne serez pas obligés de faire ce genre d’histoires, ça ce sont des credos faits de main d’homme. Et vous appelez ça une religion! Il va se lever le dimanche matin et prêcher un sermon de dix minutes; si jamais il prêche plus de dix minutes, le–le conseil des diacres le réprimande et à la prochaine séance ils votent contre lui. Honte à vous! Ce dont nous avons besoin ce soir, c’est d’un Evangile aux mains nues, à l’ancienne mode, envoyé de Dieu, au ciel bleu, une religion qui tue le péché et le Saint-Esprit qui retourne dans l’Eglise, dans les membres. C’est juste.
46 Cette petite reine avait faim, elle ne se souciait pas de ce que cela allait lui coûter, elle est tout de même allée. Elle a traversé le désert. Or, remarquez qu’en ce temps-là, les fils d’Ismaël vivaient dans le désert, c’étaient des brigands et ils étaient des milliers. Que pourrait donc faire cette petite caravane de chameaux, une petite femme avec deux ou trois petites femmes assises à ses côtés, quatre ou cinq eunuques qui voyageaient avec elles et une petite armée d’environ quarante ou cinquante hommes? Eh bien, les fils d’Ismaël auraient vite fait de les traquer, de les écraser et d’emporter les dizaines de milliers de dollars en or. Mais il y a quelque chose à ce sujet. Lorsqu’un homme veut trouver Jésus, réellement trouver Dieu, rien ne peut entraver son chemin. Aucun prédicateur, aucun évêque, aucun credo, aucune maman, aucun papa, aucun membre d’église, non, rien d’autre ne peut se mettre entre vous et Dieu. Si votre coeur a faim, vous irez de toute façon. Vous irez.
47 Elle a dit: «J’ai entendu dire que s’il existe un Dieu vivant, Il honore son peuple, et Il a donné un don à un homme, et c’est un don merveilleux, c’est ce que j’ai entendu dire; quoi qu’il en soit, j’y vais.» Elle s’est mise en route; elle a voyagé pendant quatre-vingt-dix jours, à dos de chameau, à travers ce désert brûlant du Sahara, à raison de 2 miles [3 km] par heure à travers le désert. Mais Dieu veillait à ce qu’elle arrive saine et sauve. Il veillera de même pour vous, si vous avez réellement faim et soif de Dieu pour trouver quelque chose; si Dieu vit encore, s’Il a encore la même puissance, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Si vous avez faim de cela, voyez si Dieu ne va pas vous l’apporter. La voilà qui vient, et elle arrive finalement à la porte. Lorsqu’elle arriva, elle n’était pas venue juste pour dire: «Je vais m’asseoir pendant cinq minutes, et si le pasteur Salomon dit une seule chose contraire à ce que l’évêque Untel a dit, je vais directement me lever et sortir.» Voilà la manière des Américains. «Je ne vais pas le suivre une minute de plus.» Elle ne connaissait même pas le christianisme. Elle ne connaissait rien de Jéhovah, mais elle prit les rouleaux et se mit à étudier pour savoir ce qu’Il était.
Voilà, prenez votre Bible et examinez-La. «Ce sont des Paroles de Vie, ce sont Elles qui témoignent de Moi, a dit Jésus. Sondez les Ecritures.» C’est pour faire cela qu’elle était venue.
48 Elle n’est pas venue pour rester juste une seule nuit. «Eh bien! si on ne prie pas pour moi ce soir, je ne reviendrai plus.» Non, non; elle avait quelque chose sur son coeur. Elle s’installa dans la cour du palais, déchargea ses chameaux, dressa sa tente et se prépara à rester quelque temps. C’est comme ça qu’il faut faire. Elle a dit: «Je vais rester jusqu’à en être convaincue.» Que se passerait-il si seulement les hommes et les femmes d’Amérique étaient tout aussi sincères? «Je resterai jusqu’à en être convaincu. Je sonderai les Ecritures pour voir si ce Grand Dieu, qui a promis qu’Il est le même hier aujourd’hui et éternellement, fera aujourd’hui les mêmes choses qu’Il a faites hier; je vais sonder les Ecritures. Je ne critiquerai pas la chose; je serai sincère; je vais sonder les Ecritures.» Faites cela et vous vous tiendrez du côté des justifiés au jugement avec la reine. Mais critiquer cela et sortir en courant, pendant que vous ignorez même ce dont vous parlez, voyez de quel côté vous vous tiendrez au jour du jugement. Dieu est obligé d’envoyer la chose; c’est à vous de recevoir cela, que vous le vouliez ou non. Dieu ne fait pas avaler de force Sa religion à quelqu’un. Le prédicateur pourrait faire ça, mais pas Dieu.
49 Remarquez, lorsqu’elle s’est avancée, elle a dit: «Je vais rester jusqu’à la fin. Lorsque je serai convaincue, très bien.» Alors je la vois le lendemain matin, dans ses plus beaux vêtements, et ses petites princesses autour d’elle et les eunuques et ainsi de suite, et ils se sont avancés jusqu’à la porte. Et ils se sont tenus là; la grande assemblée était réunie. Elle a dit: «Maintenant je vais voir; j’ai entendu dire qu’il discerne les pensées du coeur, une grande puissance de discernement. Et il y a un Dieu qui peut faire cela. Nos dieux ne peuvent pas faire cela. Ils n’ont pas assez de vie en eux pour faire ça. Nous n’avons qu’un tas de livres et de credos qui nous parlent d’un certain dieu qui était et nous avons des statues et tout le reste, mais il n’a aucune vie. Mais cet homme-là est un véritable serviteur de Dieu qui peut produire cela, alors je vais devenir la servante de ce Dieu-là.» Très bien.
Elle s’avance et prend une place... sa position, le pasteur Salomon apparaît, se tient sur l’estrade et commence à parler un peu du Grand Jéhovah, et on lui amène un cas. Aussitôt que cela parvient jusqu’à Salomon, il y avait une puissance de discernement qui révélait la vérité. Que croyez-vous que cette petite païenne a dû penser? Elle a dit: «Je crois que je suis déjà convaincue.»
Après un instant un autre cas se présente, Salomon n’était qu’un homme, mais elle voyait qu’il y avait quelque chose dans l’homme, un don venant de Dieu, lequel était surnaturel. Elle a dit: «J’ai observé pendant deux jours jusqu’à présent, et il n’y a pas eu une seule erreur, ma carte de prière sera appelée d’ici peu. Finalement, elle se présenta devant Salomon et Salomon, la Bible dit: «lui fit connaître toutes les choses qu’elle désirait.» Que fit-elle? Elle s’est présentée directement devant les gens et a dit: «Tout ce que j’ai entendu dire était la vérité, et c’est plus que ce que j’ai entendu, c’est la vérité.» Et elle a pris position publiquement, et elle est repartie chez elle avec un Dieu dans son coeur, qui était le Dieu du surnaturel. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... C’était un Dieu qui lui avait révélé les secrets de son coeur au travers de Son serviteur. Et Jésus a dit: «Elle se lèvera au jour du jugement.» Avec ce Salomon qui avait une petite cuillerée du don de Dieu, et Lui ayant la plénitude de la Divinité corporellement, on L’a traité de démon, de Béelzébul, Il a dit: «Elle se lèvera au jour du jugement et condamnera cette génération.» Que fera-t-elle avec cette génération-ci? Que fera-t-elle? Qu’a-t-elle dit? Elle a dit: «Heureux sont les hommes qui vont avec toi, heureux les hommes qui te suivent, car constamment ils voient cette grande sagesse que Dieu t’a donnée, ce grand esprit de discernement, heureux sont tes eunuques et heureux sont tes porteurs et ceux qui travaillent avec toi, car ils sont privilégiés de se tenir à tes côtés et voient le discernement de Dieu constamment. Jésus a dit: «Elle se lèvera au jour du jugement et condamnera cette génération.»
50 Je me demande... en terminant j’aimerais dire ceci: «Christ est le même hier aujourd’hui et éternellement.» Il a des obligations. Il est toujours le Dieu vivant. Il n’est pas mort. Il est ressuscité. Je me demande ce soir... Je lisais une petite histoire il n’y a pas longtemps au sujet de Danny Greenfield, de l’Amérique centrale; il était évangéliste cela fait environ soixante-quinze ou cent ans. Et il avait gagné beaucoup d’âmes à Christ; et une nuit, il a rêvé qu’il est mort. Et bien sûr, il est allé au Ciel. Quand il est arrivé à la porte, il y avait un... le portier sortit et lui dit: «Qui approche ce lieu saint?»
Et il a dit: «Je suis Danny Greenfield, l’évangéliste américain. J’ai gagné beaucoup d’âmes pour notre Seigneur et je viens pour prendre ma position et ma place au ciel.»
«Un instant, monsieur», lui dit le gardien. Il fait un pas en arrière: «Vous avez dit que vous vous appelez comment?»
–Daniel Greenfield.
–Il a parcouru tout le registre et a dit: «Ce nom-là ne figure pas ici.»
«Oh! a-t-il dit, vous vous êtes certainement trompé, monsieur.» Il a dit: «J’ai prêché et gagné des âmes à Christ.»
Il a dit: «Je regrette, monsieur, votre nom n’est pas dans ce Livre et vous devrez vous retirer des portes.»
«Eh bien, a-t-il dit, que dois-je faire?»
L’Ange dit: «La seule chose à faire que je sache, vous pouvez interjeter appel, au grand Trône blanc du jugement, si vous désirez vous tenir là.»
«Eh bien, dit-il, je n’ai pas d’autre choix!»
Il a dit: «Très bien.»
51 Il dit: «Il a commencé à se déplacer et à voyager dans l’espace; il allait de plus en plus vite. Après un moment, il est entré dans la présence d’une Lumière; il commença à ralentir, ralentir. Finalement, il s’est arrêté complètement. Ce n’était pas une Lumière venant d’un certain endroit, mais la Lumière était tout autour de lui... juste au centre de cette Lumière.» Il dit: «Quel endroit pour se tenir!» Frère, j’espère que je n’aurai jamais à me tenir là.
Après un moment, la Voix a dit: «Qui approche de Mon Trône de justice?»
Et il a dit: «Je suis Danny Greenfield, l’évangéliste américain, je m’approche de Ton Trône de jugement, ô Seigneur.» Il a dit: «On m’a condamné à la porte, et on m’a dit que mon nom n’était pas dans le Livre et je fais appel à Ta justice.»
Il a dit: «Très bien, Daniel Greenfield, Je vais te juger selon Mes lois», Il a dit: «Danny Greenfield, as-tu jamais dit un mensonge dans ta vie?»
«Bien, a-t-il dit, j’allais dire: ‘Certainement j’étais un honnête homme.’ Mais, il a dit: ‘Je me suis rappelé en ce moment-là qu’il y avait un tas de choses que j’avais dites qui n’étaient pas exactement vraies». J’ai dit: «Oui, Seigneur, j’ai menti.»
Il a dit: «Danny Greenfield, as-tu jamais volé dans ta vie?»
Il dit: «Je pensais que, si je pouvais répondre de quelque chose, c’était que j’ai toujours été honnête.» Et il a dit: «En présence de cette Lumière, je me suis souvenu de nombreuses petites affaires louches que j’avais conclues.»
52 Frère, il en est ainsi ce soir. Pendant que vous êtes assis ici à l’église, pendant que vous êtes en bonne santé tel que vous l’êtes, vous vous sentez à l’aise, mais dans la présence de ce Trône blanc de jugement, il y aura bien des choses qui surgiront à ce moment-là. Vous êtes mortel, vous regardez comme un mortel. Ne vous confiez jamais à vos mérites.
Il a dit: «Oui, Seigneur, j’ai volé.»
Il a dit: «Daniel Greenfield, ma justice exige la perfection. As-tu été parfait dans ta vie?»
Il a dit: «Non, Seigneur, je n’étais pas parfait.»
Et il a dit, comme il écoutait, il entendit ce grand tonnerre gronder, disant: «Envoie-le à la destruction éternelle, loin de Ma Présence.»
Il a dit: «Il semblait que mes os, a-t-il dit, allaient se disjoindre, alors que j’entendais ce grand grondement venir de quelque part.» Et il a dit: «J’entendis la Voix la plus douce que j’aie jamais entendue de ma vie.» Il a dit: «Aucune voix de mère n’aurait pu être comme celle-là.» Et il a dit: «Je me suis retourné pour regarder, j’ai vu le visage le plus doux que j’ai jamais vu. Aucun visage de mère ne peut avoir un tel aspect.» Il marcha vers moi, m’entoura de Ses bras et me serra contre Son côté.
Et Il a dit: «Père, il est vrai que Daniel Greenfield n’était pas parfait dans sa vie, mais a-t-Il dit, Daniel Greenfield a fait une chose dans sa vie, il a pris position pour Moi et pendant qu’il est ici, Je vais prendre position pour lui.»
Frère, mon église ne peut pas prendre position; ma dénomination ne peut pas prendre position; ma justice ne peut pas prendre position et la vôtre non plus. J’aimerais faire comme la reine de Séba, j’aimerais prendre position ce soir pour le Seigneur Jésus. Si vous étiez en train de mourir ce soir, qui prendrait position pour vous en ce lieu saint? Pensez-y pendant que vous inclinez votre tête juste un instant.
53 Avant que vous voyiez un seul signe surnaturel, avant que Jésus vienne se manifester au-delà de la prédication de la Parole, combien ici ce soir aimeraient lever la main et dire: «Ô Dieu, je lève ma main pour dire solennellement, ‘Je vais prendre position pour Toi ici; Tu prendras position pour moi là-bas. Je vais maintenant me lever, physiquement, et déclarer que Tu es Le même’.»? Que Dieu te bénisse là, soeur. Que Dieu te bénisse toi, mon frère. Toi, oui. Regardez-moi toutes ces mains! Quarante à cinquante mains, juste ici dans les deux rangées du milieu.
«Je vais prendre position avec courage, Seigneur. J’ai entendu le prédicateur dire ce soir que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Tu n’es pas mort. On m’a parlé de ces réunions, que Tu viens sur l’estrade et que Tu te manifestes ici parmi les gens, par de grands signes que Tu as accomplis au temps des Juifs, quand ils furent rejetés jusqu’à la fin de leur génération. On me dit que Tu les accomplis à nouveau. Seigneur, j’ai lu Ta Bible. Je sais que c’est juste. Je sais que c’est Ta promesse. Avant de voir cela accompli, je crois ce que dit la Parole; ce soir je prends position pour Toi.»
Levez la main. Aux balcons à ma droite, que Dieu vous bénisse tous ensemble, là-bas. Les deux balcons à ma gauche, voulez-vous lever la main et dire: «Voici ma main, Seigneur, je vais prendre position.»? Que Dieu vous bénisse tous là-bas. Soyez sincère; souvenez-vous, cela pourrait être la dernière chance que vous ayez pour prendre position. Avant que le jour se lève demain matin, le médecin pourrait être chez vous, pour prendre votre pouls, il va secouer sa tête et dira: «On ne peut plus rien faire, c’est une crise cardiaque.» Vous sentirez ces veines gelées se refroidir, le pouls baisser, et vous serrerez votre oreiller, étant dans l’agonie. «Oh! si seulement je pouvais retourner à cette réunion, une fois de plus, et entendre cette voix dire, levez votre main.» Cela pourrait être trop tard à ce moment-là, pourquoi ne le faites-vous pas maintenant?
54 Vous direz: «Quelle différence cela fait-il de ...?» Que Dieu vous bénisse là dans ces allées. Je vous vois. Gardez simplement votre main levée. Dieu voit chacun de vous. «Je vais prendre position.»
Qu’est-ce que ça fait lorsque vous levez la main? Cela signifie que vous implorez miséricorde auprès de Dieu du plus profond de votre coeur. «Comme une biche soupire après des courants d’eau, ainsi mon âme soupire après Toi, ô Dieu!» Je vais maintenant prendre position, ô Dieu éternel et juste. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour Te servir le reste de mes jours. Je serai comme la reine du midi; je vais prendre position juste ici en levant les mains en présence de cette assistance. «Je vais prendre position pour Toi.»
Y en aurait-il d’autres, juste avant de terminer, qui n’auraient pas levé leur main, et qui aimeraient qu’on se souvienne d’eux dans cette prière? Dieu te bénisse là-haut, jeune dame. Oui, jeune fille, c’est bien, soeur, la plus grande chose que vous ayez jamais faite. Que Dieu te bénisse, ici, chère soeur. Oui, vous êtes juste au tournant de votre vie maintenant. Que Dieu vous bénisse, là derrière, papa, vous qui avez les mains levées. Il vous voit. Certainement, Il vous voit. «Je prends courageusement position pour Jésus maintenant, à l’heure de ma mort...» Que Dieu vous bénisse vous là derrière au fond, frère Il voit votre main. Certainement et votre nom s’inscrit dans le Livre et il n’y a pas assez de saleté en enfer pour le recouvrir. C’est juste. Il est écrit avec le Sang de Jésus-Christ. «Celui qui entend Mes Paroles et croit à Celui qui M’a envoyé, a (au présent) la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Ayez foi en Dieu.
55 Très bien, vous qui avez levé vos mains, apprêtez-vous pour la prière. Maintenant, acceptez Jésus. Immédiatement après le service de guérison, je veux vous voir ici en haut, rendant grâces à Dieu. Si vous l’avez réellement fait de tout votre coeur, lorsque vous avez levé votre main, je vous assure par la Promesse de Dieu que votre nom avait été inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau et Jésus prend position pour vous. Si vous êtes sincère, «Celui qui écoute Ma Parole, et croit en Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle (qu’est-ce que la Vie Eternelle? La Vie Eternelle, c’est le Saint-Esprit) et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.»
Dieu notre Père, Tu as vu leurs mains. Avant qu’une seule chose soit accomplie, ces gens, sur la seule base de la Parole, beaucoup parmi eux sont venus et ont levé leurs mains. Ils T’ont accepté comme leur Sauveur. Merci pour eux, Père, ils sont les trophées du message, bien que haché et prêché par une personne nerveuse, mais cependant Dieu l’a pris et l’a planté dans les coeurs des... deux ou trois cents personnes ont levé les mains.
56 Ô Dieu Eternel, je prie que Tes bénédictions reposent sur eux. Puissent-ils avoir la Vie Eternelle maintenant même. Remplis-les du Saint-Esprit. Ne les repousse jamais, Seigneur, et je sais que Tu ne le feras pas. Tu as dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement. Tous ceux qui viennent auront la Vie Eternelle, et je les ressusciterai au dernier jour.» Et ils sont donnés à Jésus comme des dons d’amour du Père. «Qui peut les ravir de ma main? Personne.»
Je Te prie ô Père, maintenant, que Tu les gardes par Ta grâce jusqu’à ce grand jour, qui peut être demain, où ils devront se tenir dans la Présence de Dieu. Peu importe ce qu’ils ont fait: ils peuvent être tellement dévoués; ils peuvent être tellement fidèles; ils peuvent s’habiller d’une manière tellement décente, avoir une bonne conduite et adhérer à chaque église, et cependant être perdus. Nous n’apportons rien dans nos mains. Il n’y a rien que nous puissions faire pour mériter quoi que ce soit. Nous faisons simplement confiance en Ta grâce. Et quand nous faisons cela, alors notre vie est changée et elle porte les fruits de Christ.
Accorde-le, Seigneur; je Te les présente maintenant, garde-les, Père, je Te prie. Et si jamais je n’ai plus l’occasion de leur serrer la main sur cette terre, puis-je avoir le privilège de le faire en ce jour-là, lorsque nous traverserons le fleuve. Car je le demande au Nom de Jésus. Amen.
57 Je m’excuse de vous avoir retenus si longtemps. Je viens à peine de commencer et je ne sais pas... Vous êtes des gens si agréables. Voici une chose que j’aimerais dire: vous les gens du Sud, vous avez vraiment quelque chose. J’ai visité vos villes, de petits endroits, je suis entré dans vos magasins, vos stations service, j’ai serré la main des gens, je n’ai jamais rencontré de meilleurs gens. C’est juste, des gens merveilleux, cette bonne vieille poignée de main des gens du Sud et un petit «venez tous nous voir». C’est tout aussi américain que du jambon fumé au bois de noyer et avec de la mélasse de sorgho. C’est... c’est ce que j’aime vraiment. Certains des meilleurs coeurs qui aient jamais battu sont sous une chemise bleue quelque part, dans un champ de coton ici dehors. Vous savez cela. Que Dieu vous bénisse, c’est ma prière.
58 Maintenant, je ne suis pas venu ici comme un séducteur, je préférerais rester chez moi ce soir. Je préférerais rester dans mon petit tabernacle là-bas et leur parler, ou quelque part sur le rivage en train de pêcher. Je préférerais être n’importe où plutôt que de rester ici et être un hypocrite ou un séducteur. Quel bien cela me ferait-il de conjuguer tous mes efforts et de me tenir ici complètement fatigué, au point que je peux à peine voir? Quel bien cela me ferait-il de me tenir ici et être un séducteur? «Retirez-vous de moi, ouvriers d’iniquité, je ne vous ai jamais connus», cela pourrait être mon sort. Dieu le sait. Je ne viens pas pour l’argent. Il ne s’agit pas de la popularité; j’évite cela. Qu’est-ce? C’est parce que... Dieu, je L’aime. Il m’a donné un Message à vous apporter, et je le fais de mon mieux pour autant que je sache. Recevez cela; c’est pour vous. Certainement, recevez cela d’un coeur sincère, Dieu le révèlera.
59 Maintenant, il est presque impossible de former une ligne de prière jusqu’ici, juste pour dire... Ce n’est pas juste que je dise: «Je vais faire entrer ce groupe-ci dans la ligne de prière; je vais faire entrer ces cinq premiers rangs», cela ne serait pas juste. Cela ne serait pas juste de dire: «Je vais prendre ces cinq premiers rangs qui sont devant.» Cela ne serait pas juste, ce serait laisser tomber les autres. Nous devons distribuer les cartes de prière pour garder les gens alignés.
Je suppose qu’il y a sept cents personnes ici ce soir, et peut-être, parmi les sept cents personnes, je dirais qu’il y en a au moins cinq cents qui veulent qu’on prie pour elles. Aimerez-vous voir cela? Tous ceux qui sont ici, qui veulent qu’on adresse une prière à Dieu en leur faveur, levez les mains. Je vous montrerai. Tout le monde, soyez honnêtes. Voilà. Je dirais qu’il y en a six cent quatre-vingt-quinze, qui veulent qu’on prie pour eux. Or je ne peux pas les prendre tous, et qui va être le premier?
60 Maintenant, on avait l’habitude, quand on allait aux réunions, de... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Frère Boswell m’a dit... [Espace vide sur la bande]... Pendant qu’on est là. Eh bien, ceux qui étaient là le premier jour, ils y entraient. Si vous n’y étiez pas... Si vous étiez venu le deuxième jour, avec un cas urgent ou quoi que ce soit, vous ne l’auriez pas reçue. Vous n’aurez reçu aucune carte de prière. Ce n’était pas juste.
Alors nous avons donc dit, la chose suivante que nous ferions, c’est de distribuer des cartes de prière chaque jour–distribuer chaque jour une nouvelle série de cartes de prière. Celles qui restaient le jour précédent, nous les annulions. Toute personne qui avait reçu une carte de prière devrait simplement jeter sa vieille carte et en prendre une nouvelle. C’est en ordre. Et nous allons les distribuer comme cela. Puis, ç’en était arrivé au point où si vous n’aviez pas... si quelqu’un recevait un numéro au-delà de 20 ou 25, il disait: «Je ne veux pas de ce numéro.» Ils jetaient cela. «Cela ne sera jamais appelé, parce que vous n’appelez pas au-delà de 20 ou 25.»
Quelquefois je n’arrive même pas au numéro 2 ou 3. Et les gens disaient: «Cela ne sera jamais appelé. Non!»
61 Alors, on ne pouvait donc pas faire cela. Alors, j’ai dit: «Eh bien, je vais vous dire ce qu’on va faire. Nous distribuerons les cartes de prière chaque jour, de la même manière, parce que c’est juste, et je prendrai un petit enfant de la rangée de devant et je le laisserai les compter, et là où il commence à compter, on commencera par là.» C’est incroyable, maman mettait son enfant là-haut, il s’arrêtait juste sur son numéro. Nous avons toujours à faire à des êtres humains, ça ne marchait pas. Ainsi donc, nous avons adopté une nouvelle procédure, nous envoyons les cartes de prière chaque jour. Les garçons... J’en ai trois qui peuvent les distribuer, les trois–les deux jeunes gens qui font les bandes Gene, Léo et Billy. Pas les prédicateurs, parce que s’ils le faisaient, cela susciterait de mauvais sentiments, s’ils n’en donnent pas à leurs amis dans le ministère. Ce sont deux garçons qui sont dans la réunion.
Ils se présentent devant les gens et mélangent toutes les cartes, chacune d’elles. Ils en donnent à tous ceux qui en veulent; ce garçon ne sait pas où commencera la ligne. L’homme qui recevra une carte de prière ne sait pas même quel numéro cela portera lorsqu’on les distribuera. Alors, comme ça, le soir, je ne sais pas par où cela commencera. Personne n’en sait quelque chose. Quand nous venons, je commence au numéro que le Seigneur met dans ma pensée, c’est là que je commence.
62 Or, j’ai été critiqué, les gens disent: «Oral Roberts prie pour cinq cents personnes, alors que toi tu pries pour trois.»
C’est juste. Mais Dieu fait... Oral Roberts fait ce que Dieu lui dit de faire, et je fais ce que Dieu me dit de faire. Voyez-vous? Je ne suis pas Oral Roberts, et Oral Roberts n’est pas moi. Nous sommes deux serviteurs de Christ ayant deux ministères différents.
Mais quant à ma façon... Voyez-vous, l’imposition des mains... (supportez-moi prédicateurs), c’est une tradition juive, cela ne fut jamais donné aux Nations. Considérez Jaïrus qui a dit: «Viens imposer les mains à mon enfant, et elle vivra.» C’était un Juif. Le centurion Romain a dit: «Je ne suis pas digne que tu viennes sous mon toit, dis seulement une parole.» Voilà les Nations.
Jésus se retourna et dit: «Je n’ai pas vu une telle foi en Israël.» Mais on nous a enseigné ces traditions, «imposer les mains aux malades, imposer les mains aux malades». Frère Roberts se tient là et impose les mains aux malades, il impose les mains aux malades. Un grand pourcentage d’entre eux reviennent carrément dans ma ligne de prière et veulent savoir ce qui cloche. Voyez-vous? Vous y êtes. Un travail lent...
63 J’aimerais vous demander une chose. Si vous alliez dans le cabinet d’un médecin et que vous disiez: «Docteur, j’ai un mal de tête persistant.» S’Il vous donne une aspirine et vous renvoie chez vous, ce ne serait pas un médecin. Il veut simplement que vous sortiez de son cabinet. Un vrai médecin va diagnostiquer le cas, jusqu’à ce qu’il ait trouvé la cause de ces maux de tête. Puis lorsque... vous ne pouvez pas déterminer le remède avant d’avoir découvert la cause sur laquelle le remède agira. Est-ce juste? C’est pour ça que je vais lentement, je veille. Qu’arriverait-il si Dieu a placé une malédiction sur quelqu’un? et que je vienne avec un don pour l’enlever. Voyez? pas... qu’en est-il... Savez-vous que vous pouvez vous attirer des ennuis avec les dons? C’est pour cela que les messages prophétiques et les gens prophétiques sont très bizarres et stricts. Regardez Moïse. Croyez-vous que Moïse était un prophète? Dieu lui faisait confiance. Il lui a dit: «Va là-bas et parle au rocher, ne le frappe pas. Parle au rocher» Parle-lui. Et Moïse est allé là-bas, il s’est mis en colère et a frappé le rocher. Il a fait sortir de l’eau, que cela ait été la volonté de Dieu ou pas. Est-ce juste? Et cela brisa les Ecritures. Un seul passage dans les Ecritures...?... Je trouve, où Christ devait être frappé deux fois. L’eau en est sortie, mais Dieu traitait avec Moïse. Est-ce juste?
Combien se souviennent d’Elisée? C’était un jeune homme, il était devenu chauve encore jeune; et lorsqu’il est passé par là, les gens n’ont pas cru en lui. Les gens ne croyaient pas que Elie était monté. Alors, ils se sont mis à le taquiner en disant: «Vieux chauve, vieux chauve, pourquoi n’es-tu pas monté?» Il y avait ces enfants qui lui couraient après. Et Elisée s’est retourné, ce prophète, et il a placé une malédiction sur ces enfants au Nom de l’Eternel. Et avant qu’ils arrivent chez eux, deux ourses tuèrent quarante-deux petits enfants innocents. Or, ce n’est pas la nature du Saint-Esprit. Vous savez cela. Voyez-vous? Mais c’était un prophète en colère. Vous devez faire attention à ce que vous faites. Cela...
64 Pentecôtistes, laissez-moi vous dire ceci avec amour: «C’est pour cette raison que vous n’arrivez nulle part. Voyez-vous? Vous avez des dons.» C’est pareil pour vous les baptistes. Les dons qui sont dans l’Eglise. Dieu a donné la puissance à l’Eglise, mais Il ne l’a jamais retirée de l’Eglise. Je peux vous montrer où Il l’a donnée à l’Eglise. Vous, montrez-moi où Il l’a retirée. Vous avez la puissance, mais vous ne savez pas comment l’utiliser. Vous n’êtes pas assez respectueux. C’est pour cette raison que vous parlez tous en langues, vous utilisez cela de n’importe quelle manière. Cha-... chaque... Lorsque certains parlent en langues, d’autres font ceci, et... juste comme une Babylone. Ne faites pas cela. Mettez ces choses à leurs places. Mettez-y tous vos dons, vous êtes des docteurs, vous êtes des apôtres. Mettez chaque chose à sa place, et puis opérez dans la décence et dans l’ordre. Vous trouverez que Dieu est un Dieu d’ordre, et puis, Il élèvera la chose à ce moment-là.
C’est ce qui a amené les gens à vous craindre, la manière dont vous avez fait opérer le–ce que Dieu vous a donné. Voyez? Respectez ces dons. N’en faites pas un petit quelque chose de douteux. Testez-les. S’ils sont de Dieu, s’ils sont prouvés être de Dieu, à ce moment-là ils sont de Dieu. S’ils ne le sont pas, éloignez cette chose de vous. Ne les désirez pas. Pourquoi recevoir un substitut, quand les cieux pentecôtistes sont remplis du véritable. Voilà le problème...
65 Vous savez, j’aimerais amener une grande tente et l’installer ici pendant quelque temps, parmi vous, bonnes gens, et rester tout simplement pour avoir un après-midi d’enseignement parmi les prédicateurs et autres, et permettre aux églises de s’établir, vous savez, cela... Je crois que le Saint-Esprit nous aidera à le faire. Que Dieu vous bénisse, je n’étais pas censé m’arrêter là-dessus, mais de toute façon... dans notre petite église, si un homme pense qu’il peut parler en langues, si quelqu’un pense qu’il peut le faire, et si quelqu’un a un don, si ces dons n’ont pas d’interprète, il ne leur est pas permis de parler dans l’assemblée. Voyez si ce n’est pas l’Ecriture. Ils avaient un endroit pour se rencontrer; tous ceux qui avaient des dons, ils se rencontraient, des heures avant que l’église ne vienne. J’étais dans le bureau, et lorsqu’ils étaient entrés dans l’église, si l’un d’eux parlait en langues, il fallait attendre pour qu’un autre donne l’interprétation. Cela ne devait pas être des répétitions de l’Ecriture; Dieu a dit: «Ne faites pas de vaines répétitions, comme le font les païens.» Il a déjà noté cela. Cela doit être un message direct adressé à quelqu’un.
Ensuite avant que cela soit reçu, alors deux ou trois témoins devaient–au moins trois–deux ou trois devaient attester que cela venait de Dieu, sinon cela n’était pas reçu. S’ils disaient: «Ça vient de Dieu», on notait cela. Ils signaient cela de leur nom. «AINSI DIT LE SEIGNEUR: demain à quatorze heures, va dire à frère Dupont de s’éloigner de la voie ferrée, il va y avoir un déraillement là-bas, sa maison sera détruite dans le déraillement.» Ils écrivaient cela. Ils pensaient que cela venait de Dieu, très bien.
66 Puis après un instant, il se peut que l’Esprit de prophétie vienne parmi eux. Cela n’était pas dans la salle principale, là où sont assis les pécheurs et tout; c’était dans leur propre salle où les dons opèrent. Alors, vous savez, la première chose qui arrive, une prophétie vient sur quelqu’un.
Or, il y a une grande différence entre le don de prophétie et un prophète. Le don de prophétie peut être sur quelqu’un ce soir, pour ne plus jamais revenir sur cette personne, et être sur quelqu’un d’autre le soir suivant. Ce sont ces neuf dons spirituels qui opèrent dans le Corps, mais un prophète est né prophète. Tout au long de leur vie c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Un don de prophétie doit être jugé. Mais vous n’avez jamais vu quelqu’un se tenir devant Esaïe ou Jérémie pour le juger. Non. Mais la Bible dit: «Si un prophétise, que deux ou trois jugent si c’est juste ou pas.» Voyez-vous, Satan peut se glisser là-dedans.
67 Et ensuite, il y avait ceux qui discernent, ayant l’esprit de discernement, ils disaient donc: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, ce soir il y aura une femme venant d’un certain endroit; elle aura un foulard vert sur sa tête; on va la faire entrer; elle vient de l’Ohio, et elle voudra que frère Branham lui impose les mains, mais premièrement, avant de faire cela, dis-lui de dire à cette dame, que lorsqu’elle était trésorière d’une certaine église, elle avait détourné de l’argent; c’est la raison pour laquelle elle est paralysée. Qu’elle mette cela en ordre. Dieu la guérira.»
Celui qui discernait se levait et disait: «Cela venait de Dieu.»
L’autre disait: «Cela venait de Dieu.»
Très bien, on écrit ce message. Lorsque cela est déposé sur la chaire, une petite clochette sonne dans mon bureau, je sors, je vois ici ces prophéties; je la donne aux gens exactement comme cela a été écrit par celui qui a le discernement. C’est juste. Il n’y a aucune erreur. Les voilà.
68 Alors, s’ils... ce soir-là, on fait entrer une femme, elle est sur un fauteuil roulant, une civière ou que sais-je, on l’amène ici, elle porte un foulard vert, toute l’assemblée observe cela. La voilà. Je dis: «Madame, vous avez détourné l’argent du trésor lorsque vous étiez jeune.»
«C’est juste, Frère Branham, c’est juste. Que Dieu me pardonne, je vais mettre les choses en ordre.»
«Tenez-vous debout, Jésus-Christ vous guérit.» Voilà.
«Frère Dupont, déménagez, demain à quatorze heures, ça va arriver.» Très bien, il déménage, la chose arrive. C’est bien, on remercie le Seigneur et on avance. Mais, qu’en sera-t-il si la chose n’arrive pas? Alors, il y a un mauvais esprit parmi eux. Ils ne doivent plus faire cela jusqu’à ce que cet esprit soit chassé par la prière. Ils... j’ai dit: «Vous n’avez pas besoin d’avoir ce genre d’esprit sur vous. Vous n’avez pas besoin de sottises. Vous n’avez pas besoin d’une supercherie, vous avez besoin du véritable Saint-Esprit, sinon ne faites rien passer du tout.»
Vous y êtes. Mettez votre église dans ce type d’ordre, voyez où s’élève la Pentecôte. Voyez-vous? c’est... c’est de cette manière que Paul l’a fait. C’est de cette manière que cela a été fait dans les Ecritures. Mais pas pendant que quelqu’un parle, une personne se lève et parle en langues, elle fait un appel à l’autel, une autre parle en langues, il n’y a aucune interprétation à... Bien, c’est... Ce n’est pas étonnant que ça soit Babylone. Vous avez quelque chose de réel, et le monde extérieur a faim de cela, mais pas de la façon dont vous le leur donnez. C’est juste. Ils veulent trouver Dieu.
69 Moi-même, je suis baptiste, je traite avec des baptistes, des presbytériens; ils viennent s’asseoir dans mon bureau par douzaine. Ils en veulent, mais ça dépend de la manière dont vous présentez la chose. Vous devez revenir à la Bible. Faites cela comme Dieu le dit, alors le monde entier aura un ardent désir d’être comme vous. Amen. Ne vous fâchez pas contre moi. Je suis votre frère; je vous aime. C’est la Parole de Dieu. Faites cela et vous verrez ce qui arrive. Il n’y aura aucune erreur; Dieu est juste là, pour confirmer que ce qu’Il dit est la Vérité.
70 Maintenant, il y a cent cartes de prière. Où sont les garçons? Combien... quelles sont les cartes qu’ils ont distribuées aujourd’hui? Oh! je m’excuse, je... que dites-vous? La série I–I... 1 à 100? Par où avons-nous commencé? Nous avons appelé à partir de... Par où avons-nous commencé l’autre soir? Un? Commençons avec un autre numéro ce soir. C’est la série de cartes de prière, la lettre «I», commençons à partir de 50. Qui a la carte I-50? Levez la main. Peut-être c’est... êtes-vous sûr d’en avoir distribué cent? Peut-être on commencera par un autre numéro alors. Très bien. Nous commençons à partir de... Oh! je m’excuse, je m’excuse, très bien–très bien. La carte de prière I-50, venez. I-51, levez la main, si vous le voulez bien. I-51, où êtes-vous? Carte de prière I-51. Regardez... Que quelqu’un regarde... est-ce que ces... Il y a deux personnes ici dans des fauteuils roulants. Avez-vous des cartes? Très bien. L’un ou l’autre, pouvez-vous utiliser vos mains tous les deux? Très bien. C’est bien. Voyez-vous, ça pourrait être quelqu’un qui est sourd, qui n’entend pas. Jetez un coup d’oeil sur la carte de votre voisin. Carte I-51. Je m’excuse, je... bien, c’est bien, ça pourrait être une personne sourde. Très bien. Quelque... venez ici. I-52, levez la main. Voyez, nous... ce n’est pas une arène. 52? Merci, soeur. 53? Venez jusqu’ici, madame. 53? Qui a I-53, levez la main, très bien, madame. I-54? 54, levez la main s’il vous plaît, 55? Venez carrément à ma droite. 55? Qui a... est... êtes-vous le 55, la dame ici? 55. 56? Qui a le I-56? Très bien, madame. 57? I-57? Levez la main, rapidement. 57? 58, levez la main vite, s’il vous plaît. 59? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
71 «Qui m’a touché?» Est-ce que quelqu’un a déjà lu cette histoire? Très bien.
«Qui m’a touché?»
Et Pierre L’a repris; il a dit: «Ne dis pas, qui T’a touché, parce que, Seigneur, c’est tout le monde qui Te touche.»
Il a dit: «Mais Je sens qu’une vertu est sortie de Moi.» Il était devenu faible. Combien savent que la vertu signifie la force? Certainement. La force. «Je me suis affaibli.» Il a regardé autour de Lui avant de trouver la femme en question, Il lui a dit quel était son problème et l’a déclarée guérie, Il lui a dit que sa foi l’avait guérie. Est-ce juste? Eh bien, est-ce que la Bible dit que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement? (Hébreux 13.8). Les Ecritures ne disent-Elles pas qu’Il est maintenant même un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? Celui dont je vous ai parlé qui est sur Son Trône, non pas dans le temple de Salomon, mais dans la maison de Dieu, assis à la droite de Dieu, Son corps physique, intercédant sur base de notre confession, un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. La Bible ne dit-Elle pas cela dans le Livre des Hébreux? Que dites-vous, prédicateurs? Est-ce juste? Alors, s’Il est le même Souverain Sacrificateur, Il doit agir de la même manière si on Le touche, est-ce juste? Alors, comment agira-t-Il? Il dira les mêmes choses.
72 Maintenant si vous pouvez garder vos places, soyez respectueux, ne vous déplacez pas, soyez simplement respectueux, et restez tranquilles, regardez simplement à Dieu, et dites: «Seigneur, j’ai lu la Bible et depuis la réunion de lundi soir, j’ai sondé cette chose. J’ai vu que c’est exactement la Vérité.» Combien savent que c’est la Vérité? Combien lisent la Bible et disent que c’est la Vérité?
Jésus a promis cela en ce jour, Il déverserait de nouveau Son Esprit en ce jour et le prophète a dit: «Comme le soleil a brillé en Orient, il y aura un jour qui ne sera ni jour ni nuit, mais au temps du soir la Lumière paraîtra.» Comme nous avons parcouru ces Ecritures et montré comment Jésus s’est présenté Lui-même comme cela au terme de l’âge des Juifs et a laissé de côté les Gentils. Eux n’attendaient pas Sa Venue. Mais aujourd’hui nous attendons qu’Il vienne. N’est-ce pas? Très bien. Alors, s’il y a... Dieu est appelé sur la scène pour agir, et selon Sa manière d’agir, s’Il prend une décision pour la première fois, et s’Il est infini et parfait, Il devra agir de la même façon chaque fois qu’Il est appelé sur scène, sinon Il avait commis une erreur la première fois, est-ce juste?
Alors, à la fin de l’âge des nations, si nous parvenons à entrer dans la Gloire simplement sur base de nos credos et de nos dénominations, tandis que les Israélites... les Juifs, il ne leur a pas été permis de le faire et qu’ils ont dû accepter le Signe de Celui qu’ils ont traité de diseur de bonne aventure pour les condamner, et si les Nations entrent sans cela, alors Il est un Dieu injuste, qui agit d’une manière avec un peuple et d’une autre manière avec un autre peuple. Vous voyez? Il ne peut pas le faire. Il doit être Dieu, Il doit agir de même dans tous les cas. Alors, s’Il le fait, combien L’aimeront et Le recevront? Très bien.
73 L’Esprit de Dieu est sur moi, en tant que Son humble serviteur pour servir au Nom de Son Fils, Jésus. L’Ange du Seigneur que vous voyez sur la photo est ici sur cette estrade, AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et je prends l’esprit de chaque personne qui est ici sous mon contrôle, pour la gloire de Dieu. Faites ce qu’on vous dit de faire. Vous verrez la gloire de Dieu. Soyez respectueux. Très bien. Franck, ce... est-ce que c’est l’homme? Très bien. Sachant qu’il n’y a aucune personne ici que je connaisse, en dehors du docteur Vayle que je vois; tous ceux qui sont ici me sont inconnus. Mais regardez à Christ maintenant. Voyez si cet Ange du Seigneur, cette Colonne de Feu, qui est là au fond, si ce n’est pas le même Esprit qui était sur Jésus-Christ, cela produira Sa Vie ce soir. Si cela produit une vie autre que la Sienne, alors ce n’est pas Lui. S’il le fait, on reconnaît chaque arbre aux fruits qu’il porte. Alors, le monde scientifique reconnaît cela et l’Eglise reconnaît cela. Qu’allez-vous en faire?
Dans la Bible il y avait un homme du nom de Philippe qui est allé trouver son ami Nathanaël, et l’a amené à la réunion pour la première fois, Jésus n’avait jamais rencontré Nathanaël, et Il lui a dit: «Tu es un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»
Il a dit: «Quand m’as-Tu connu, Rabbi?» Et Jésus lui a dit où il se trouvait, ou quelque chose qu’il avait sur le coeur avant la réunion, et il Le reconnut comme étant le Christ.
74 Voulez-vous faire la même chose, jeune homme? Je ne vous connais pas. Sommes-nous inconnus l’un de l’autre? [Le jeune homme dit: «Vous m’avez juste parlé ce matin en allant déjeuner.–N.D.E.] Je vous ai parlé ce matin quand on allait au déjeuner, tout ce que j’ai dit c’était: «Comment allez-vous? ou quelque chose de ce genre.» C’était la seule rencontre que nous ayons jamais eue. J’ignore complètement le motif de votre présence là, monsieur. Vous êtes seulement un jeune homme; c’est tout ce que je sais. Dieu le sait. Je ne me suis pas entretenu avec vous, je ne vous ai pas dit quoi que ce soit ni posé des questions, et vous ne m’avez non plus rien raconté. Est-ce juste?
Si le Seigneur me révèle votre problème, maintenant, si je disais: «Vous êtes malade, je vais vous imposer les mains, vous allez être guéri.» Vous pourriez croire cela. Mais alors, qu’en serait-il si le Seigneur remontait dans votre vie, et disait quelque chose que vous savez que je ne connais pas du tout, alors vous–ce serait un miracle. N’importe qui sait qu’un miracle, c’est quelque chose qu’on ne peut pas expliquer. Cela serait alors un plus grand miracle que le fait pour mon frère assis ici de se lever de son fauteuil roulant et de marcher ce soir, ou s’il a persisté... un plus grand miracle. S’il fait cela, alors qu’est-ce qui le fait? Maintenant, me voici. Comprenez-vous où je me tiens, vous les chrétiens? Quelqu’un voudrait-il monter ici et prendre ma place? Vous y êtes le bienvenu. Tenez votre ligne de prière, vous êtes le bienvenu. Toute personne qui est dans la ligne de prière qui sait que je ne la connais pas, levez la main vous tous dans la ligne de prière. Vous voyez, c’est tout le monde. Toute personne ici qui sait que je ne la connais pas, levez la main.
Alors (voyez!) il n’y a aucune erreur; cela doit être Dieu maintenant, sinon je vous ai raconté un mensonge. Mais si vous prenez position pour Lui, Il prendra position pour vous, si vous êtes appelé à le faire.
75 Me voici maintenant, ma main levée vers Dieu. Nous ne croyons pas dans le fait de jurer, mais nous avons tous les deux levé la main, pour montrer que nous ne nous sommes jamais rencontrés dans la vie, c’est juste un homme qui est monté sur l’estrade. Si le Seigneur Dieu me révèle le motif de votre présence ici... Si vous êtes malade, je ne pourrais pas vous guérir, parce que je n’ai pas de puissance pour vous guérir. Mais si le Seigneur Dieu me révèle pourquoi vous êtes ici, votre problème, comme Il le fit avec la femme au puits, ou quelque chose comme ça, croirez-vous qu’Il vous aime et aimerait vous donner ce que vous désirez? Très bien. C’est bon. Le reste de l’auditoire le croit-il, alors que vous me voyez avec ce garçon, debout devant la Bible de Dieu avec nos mains levées pour dire que je ne l’ai jamais rencontré auparavant, à part le fait qu’il m’a dit: «Enchanté de vous voir ce matin», et je lui ai répondu: «Enchanté.»?
Alors quelque chose doit se produire. Maintenant, Le voici. Dieu doit parler, sinon je suis un menteur; et s’il ne parle pas, alors Sa Parole est fausse, parce qu’Il a promis de le faire. Il a dit: «Je suis le Cep; vous êtes les sarments. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»
Maintenant, à vous qui êtes là dans l’auditoire, et qui n’avez pas de cartes de prière, priez; dites: «Seigneur, qu’il se tourne vers moi, comme il l’a fait là-bas. Il se peut que je sois un peu sceptique, Seigneur, mais, pardonne-moi et fais qu’il me parle. Je sais qu’il ne me connaît pas; cela ôterait tous les doutes de mon coeur.» Voyez s’Il ne le fait pas.
76 Comme je l’ai dit, je ne vous ai jamais vu. Nous sommes nés probablement à des années d’intervalle, à des kilomètres de distance, l’un et l’autre, et c’est la première fois que nous tenons une conversation. Mais si le Dieu du Ciel qui vous a nourri toute votre vie, qui vous connaît et me connaît, s’Il me disait ce qu’est votre problème, croiriez-vous que je suis Son prophète, ou plutôt Son serviteur?
Si l’auditoire entend encore ma voix, ce jeune homme se tient à quelques mètres de moi, mais entre moi et lui se tient cette Lumière. Et le jeune homme est conscient que quelque chose se passe. En fait, je vois un... Il ne se tient pas ici pour lui-même; je vois un enfant apparaître. C’est une petite fille; elle a la polio, et elle se tient... que Dieu te bénisse, fiston. Puisse le Seigneur Dieu t’accorder ta requête, c’est ma prière. Amen. Que Dieu soit avec toi, fiston. Est-ce que vous croyez? Qu’est-ce que c’est? La reine du Midi vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, au travers d’un don, et voici... il y a plus que... Ce n’est pas moi, un plus grand que Salomon est ici, le Saint-Esprit, le même Saint-Esprit. Le Saint-Esprit qui était sur Christ, opérant dans Son Eglise. Si ce jeune homme n’avait jamais cru, ça ne serait jamais arrivé.
77 Cette femme-ci, je ne vous connais pas, madame. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. C’est la première fois que nous nous rencontrons, n’est-ce pas? Si c’est le cas, voulez-vous juste lever votre main? Très bien. Prenez Jean 4, maintenant à titre d’exemple, voyez si Jésus vit aujourd’hui, s’Il est ressuscité des morts. Un homme et une femme se rencontrent pour la première fois dans la vie, une Samaritaine et un Juif. Jésus était assis au puits; la femme s’avance pour puiser de l’eau. Il lui demande à boire; elle dit: «C’est contraire à la coutume, nous pratiquons la ségrégation.»
Et Jésus a continué à lui parler jusqu’à ce qu’Il a décelé son problème; et Il lui dit où était son problème. Combien ont déjà lu l’histoire? Et Il lui a dit son problème, Il a dit: «Va, cherche ton mari, et viens ici.»
Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»
–C’est juste, tu en as eu cinq.
Et elle a dit: «Seigneur...» Elle ne L’a jamais traité de démon. Elle ne L’a jamais traité de diseur de bonne aventure, comme l’ont fait les prédicateurs. Elle a dit: «Seigneur, je vois que tu es Prophète.» Elle en savait plus sur Dieu que les prédicateurs, même si elle était une prostituée. Elle dit: «Je vois que tu es Prophète. Nous savons que le Messie doit venir, ça sera le signe du Messie. Le Messie nous dira tout.» Est-ce ce que dit la Bible? Dites: «Amen», si c’est ce qu’Elle dit. [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Certainement. Alors si c’était le signe du Messie en ce temps-là, s’Il est ressuscité des morts et s’Il est vivant, c’est le signe du Messie ce soir, car Il est Le même hier, aujourd’hui et éternellement.
78 Maintenant, voici la femme, nous n’avons pas le même âge, c’est la première fois que nous nous rencontrons. Je ne vous ai jamais rencontrée de ma vie; je ne sais rien à votre sujet. Et si Dieu me révèle le secret de votre coeur, alors cela doit venir par une puissance; c’est à vous de... Si vous dites que c’est le diable, alors vous recevrez sa récompense, si vous dites que c’est Dieu, vous recevrez Sa récompense. Je ne vous connais pas, Dieu vous connaît. Je ne suis qu’un homme.
Cette dame, si l’auditoire entend encore ma voix, elle semble s’éloigner de moi; elle est très consciente que quelque chose se passe. Et la femme souffre d’un mal à ses pieds. Elle a un problème aux pieds. C’est juste. Si c’est juste, levez la main. Comment ai-je su cela? Diriez-vous que j’ai deviné? Laissez-moi vous montrer. Que Dieu l’accorde, s’Il le veut. Soyez respectueux. C’est une femme de bien; permettez-moi de lui parler un peu plus longtemps, si nous devons un peu interrompre la ligne de prière, j’aimerais lui parler, pour que vous voyiez. Je ne sais pas ce que je vous ai dit. Quoi que ce soit, c’était la vérité, parce que ce n’était pas moi qui parlais, c’était Quelque Chose d’autre. Je suis juste comme ce microphone, un muet; si quelque chose ne parle pas au travers, ça ne peut pas parler. Je ne pourrais rien dire de mal de vous, ou à votre égard, sans le savoir, à moins que Quelque Chose n’ait parlé à travers moi. Il doit en être ainsi.
Croyez-vous que c’était Dieu? Vous croyez? Merci. «Vous verrez des choses plus grandes que celles-ci», c’est ce qu’a dit Jésus à Nathanaël. Oui, je vois la femme qui revient. Il s’agit de ses pieds, et elle... et ils lui font mal–mal. Et elle a subi une, deux, trois opérations à ces pieds. C’est exact. Et à propos, vous êtes infirmière, pour commencer, c’est juste. Vous devez vous tenir debout. C’est vrai. Croyez-vous que je suis le prophète de Dieu? Je vais vous dire une autre chose; vous êtes membre d’une église; vous allez à l’église, et votre église, vous êtes baptiste; C’est «AINSI DIT LE SEIGNEUR». Si c’est juste, levez la main. Rentrez chez vous et portez-vous bien. Votre foi vous guérit. Amen.
79 Croyez-vous? Ayez foi en Dieu. Nous ne nous connaissons pas, je suppose, madame. C’est la première fois que nous nous rencontrons. Si le Seigneur Dieu... Maintenant, quelque chose s’est passé, juste une minute. Je vois en esprit une ombre sombre passer, et ce n’est pas cette femme.
Maintenant, quelqu’un L’a touché. Dans le coin par ici, l’épilepsie, vous souffrez de l’épilepsie, n’est-ce pas, madame? Tombez... vous tombez évanouie. C’était cet esprit sombre. Ne vous inquiétez pas. Est-ce que vous croyez Dieu de tout votre coeur? Rentrez chez vous, et cela vous quittera. Ayez foi en Dieu. J’aimerai observer juste une minute. Madame, aviez-vous une carte de prière? Vous n’aviez pas une carte de prière. Vous n’aviez pas de carte de prière. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Je ne vous ai jamais connue, vous n’avez jamais reçu une carte de prière? Très bien, mais votre foi... Vous avez touché une Chose, qu’avez-vous touché? Votre foi a touché le Souverain Sacrificateur; Il s’est retourné. Le diable s’est énervé; c’est ce qui s’est passé. Rejetez-le simplement, quand ça recommence, refusez-le, éloignez-vous, vous serez guérie.
80 Vous Madame, croyez-vous que je suis Son serviteur? Si Dieu me révèle le motif de votre présence ici, croirez-vous de tout votre coeur? Vous souffrez, une chose... quelque chose qu’on place autour de votre bras. Un docteur qui pompe... c’est l’hypertension. C’est juste. Je vous vois dans le cabinet d’un médecin. Il est en train de pomper le sang, et il dit, c’est l’hypertension, c’est trop élevé pour votre âge. C’est juste. C’est un homme assez corpulent. C’est exact. Eh bien, vous savez, je ne pouvais pas savoir cela, je n’étais pas là avec vous. Mais je viens d’y être il y a quelques instants; Dieu connaît tout ce que vous avez fait. Maintenant est-ce que vous croyez? Un instant, cette femme aussi a quelque chose qui ne va pas, parce que, je le vois faire quelque chose d’autre. Oui, il est en train de vous examiner, vous souffrez du coeur. C’est la vérité. Vous avez aussi la maladie de la peau, et cette maladie de la peau est étrange, ça se trouve sous votre bras. C’est juste. Et vous souffrez d’un mal de tête. Croyez-vous que Dieu connaît qui vous êtes? Mademoiselle Pearl. C’est l’exacte vérité. Rentrez chez vous. Jésus-Christ vous guérit. Amen. Vous savez à quel moment cela se produit. Ayez simplement foi en Dieu.
81 Chère soeur, je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais Dieu vous connaît. Si Dieu me révèle le motif de votre présence ici, allez-vous croire que je suis Son serviteur et accepter cela? Si vous êtes ici, afin que je prie pour vous, c’est pour vos yeux. Maintenant quelqu’un dira: «Evidemment, elle porte des lunettes, c’est à cause de ça qu’il l’a dit.» Non, ce n’est pas à cause de cela. Voyons. Vous souffrez aussi des nerfs, une nervosité grave. C’est juste. Vous souffrez des yeux et des nerfs. Mademoiselle Matthews, vous pouvez rentrer chez vous et être guérie. Jésus-Christ vous guérit. Cela a enlevé tout le doute, n’est-ce pas? Amen. Ayez foi en Dieu; ne doutez pas. Maintenant, je... vois, je deviens très faible, l’auditoire commence à s’effacer de ma vue, à ce qu’il me semble. Maintenant croyez simplement. Ayez la foi. Maintenant, le... Jésus est ici sur l’estrade, c’est Lui qui opère de cette façon, Il est exactement le même Jésus là dans l’auditoire. Croyez-vous cela?
82 La dame assise là avec cette maladie de la peau, une maladie de la peau. Croyez-vous que le Seigneur vous guérira? Oui. Très bien, vous pouvez avoir votre guérison.
La dame à côté d’elle a un... Une autre en face de vous, la deuxième, elle a aussi une maladie de la peau, c’est juste. Alors, si vous croyez que je suis un prophète de Dieu, imposez la main sur la femme au milieu de vous; elle a le diabète. Imposez-lui la main, et vous serez toutes guéries. Est-ce que vous croyez? Qu’ont-elles touché? Elles ont touché le Souverain Sacrificateur, pas moi. Je ne connais pas ces femmes, je ne les ai jamais vues de ma vie. Ayez foi en Dieu. Vous voyez! Croyez seulement.
83 Qui que ce soit qu’Il a appelé, où qu’il soit... Vous dites: «Comment ça se fait, Frère Branham?»
J’observe simplement cette Lumière-là, où Elle se dirige. Et la Lumière s’arrête sur quelqu’un et ça éclate et je vois une vision, je vois ce qui se produit. Jésus a dit: «Je ne fais rien jusqu’à ce que le Père Me le montre premièrement, ce qu’il faut faire.» Est-ce juste? Dans Saint Jean... Il voyait dans une vision quoi faire, sinon Il a dit quelque chose de faux. «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, sinon ce qu’Il voit faire au Père.» Alors on L’a traité de diseur de bonne aventure, l’Esprit de Dieu! Qu’est-ce qu’un diseur de bonne aventure? Un esprit perverti, le diable. Les diseurs de bonne aventure ne prêchent pas l’Evangile, et n’appellent pas les gens à la repentance, et ne prient pas pour les malades et ainsi de suite. C’est votre foi en Dieu. Il est un Dieu vivant. Soyez simplement respectueux.
84 Quelqu’un, s’il vous plaît. Je continue de voir une jeune femme en vous, mais je ne sais pas où elle est. Cela continue de s’éloigner. Soyez respectueux maintenant. Là derrière au fond, je ne peux pas vous dire combien... où ça se trouve. C’est un homme, il est assis juste ici, la Lumière est juste au-dessus de lui, il a une–une maladie de la vésicule biliaire. Il prie pour cela. Tout au fond là-bas. Il prie aussi pour son beau-père qui est infirme. Est-ce que vous croyez, monsieur? Levez vos mains si vous croyez. Si c’est la vérité, agitez vos mains comme ceci. Vous n’avez pas de carte de prière? Non. Très bien. Rentrez chez vous et trouvez-le comme vous l’avez cru, au Nom du Seigneur Jésus. Qu’a-t-il touché? Qu’a-t-il fait? Demandez-lui. Il priait et Dieu l’a exaucé. Si c’est vrai, monsieur, agitez votre main. L’homme qui est là au fond, qui vient d’être guéri, agitez la main si c’est vrai, si vous étiez en train de prier.
Vous voyez! Peu importe où vous êtes. Ayez foi en Dieu.
Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous êtes consciente, soeur, que quelque chose se passe. Le fait de vous tenir en présence d’un homme ne vous donnerait pas ce genre de sensations, parce que vous êtes chrétienne, et ce Saint-Esprit est si proche de vous, Il fait que tout votre visage et votre être s’illuminent pour moi. Il se déplace. Voyez-vous, je suis le serviteur de Dieu. Vous êtes la servante de Dieu. Et Dieu m’a donné un don pour vous exprimer Son amour ou l’oeuvre achevée qu’Il a accomplie pour vous. Vous voyez? Vous êtes un chrétien, je veux dire une chrétienne née de nouveau. Très bien. Vous souffrez d’une nervosité extrême. Vous devenez mentalement nerveuse, et vos pires moments viennent le soir. Vous devenez vraiment faible et vous restez assis. Vous avez horreur de voir le soleil descendre et faire des raies dans le ciel; Je vous vois en train de vous cacher le visage pour ne pas voir cela. Et le... Satan vous a dit que vous allez perdre la raison à cause de cela. C’est un menteur. Vous êtes en Présence de Christ. Voici autre chose, si vous croyez que je suis le prophète de Dieu, que vous connaissez–ou Son serviteur... cette appellation achoppe les gens; je ne suis pas Son prophète; je ne suis qu’un homme. Vous voyez? Mais vous aussi, vous souffrez de la pyorrhée de gencives. C’est «AINSI DIT LE SEIGNEUR». Et vous voulez aussi que je prie, ce pourquoi on vient juste de prier, concernant votre excès de poids. C’est juste. Et vous avez une grande requête sur le coeur, une requête loyale, vous voulez devenir mère, et porter un bébé dans vos bras. C’est «AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Partez et recevez-le; Je vous bénis, ma soeur, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen.
85 Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas.
Je ne vous connais pas, madame. Dieu vous connaît, mais croyez-vous que je suis Son serviteur? Juste une minute. Vous avez une maladie des femmes et une maladie des reins. Vous étiez assise là en train de prier pendant les quelques dernières minutes. C’est la femme que j’ai vue il y a un moment, et vous devez vous faire opérer pour cela, mais vous avez refusé de vous faire opérer, parce que vous avez prié avant de venir à la réunion, et vous avez dit: «Seigneur Dieu, laisse-moi entrer dans cette ligne de prière et je serai guérie.» Si c’est juste, levez la main vers Dieu. Très bien. Rentrez chez vous et soyez guérie, votre foi vous a guérie.
Croyez-vous que je suis Son serviteur? Je ne vous connais pas. Dieu vous connaît, mais s’Il me révèle le motif de votre présence ci, votre problème, allez-vous l’accepter? C’est partout dans la salle, que chacun soit vraiment respectueux. Ayez la foi, ne doutez pas. La voilà. La petite femme assise ici au bout, elle souffre d’une nervosité, elle priait en son coeur: «Ô Dieu, fais qu’il m’appelle.» C’est juste, madame, avec votre mouchoir en l’air, si c’est pour cela que vous priiez, agitez votre main comme ceci. Il a exaucé votre prière. La petite dame au col blanc, «AINSI DIT LE SEIGNEUR», rentrez chez vous, votre foi vous a guérie. Je demande à votre foi de croire cela, où que vous soyez.
86 Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre; c’est un enfant. C’est votre petit-fils et votre petit-fils n’est pas ici, il est dans un autre Etat, la Géorgie. Et il a une sorte d’éruption; cet enfant, et il a un problème de muscles. C’est une maladie de la peau et des muscles. C’est juste. Et tenez, afin qu’elle sache que je suis le prophète de Dieu; vous envisagez d’aller dans le champ de mission tout de suite. C’est «AINSI DIT LE SEIGNEUR». Partez, et que Dieu aille avec vous, et croyez de tout votre coeur, et recevez ce que vous avez demandé. Le croyez-vous? Venez et croyez maintenant.
87 Ce mal du dos vous a quittée alors que vous étiez assise là, pendant que vous étiez assise là, soeur; continuez simplement votre chemin. Et les reins et tout, continuez simplement votre chemin... la nervosité... Vous êtes guérie de toute façon. Partez en croyant Dieu. Votre maladie du coeur vous a quitté pendant que vous vous teniez ici. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant, dites: «Merci, Seigneur.» Vous êtes déjà guéri. Très bien.
Approchez, madame; vous êtes nerveuse. Suite à cela, vous avez contracté une maladie d’estomac, une affection peptique. Vous n’arrivez pas à bien manger. Vous avez des aigreurs dans l’estomac et cet acide monte jusqu’à vos dents...?... C’est juste. Je vous vois quitter la table à reculons. Le café vous rend malade, ou toute chose semblable, qui contient de l’acide. Rentrez chez vous et mangez. Jésus-Christ vous guérit. Croyez de tout votre coeur.
88 Venez juste une minute. Quelque chose s’est passé. Soyez–soyez respectueux. Qu’en pensez-vous, monsieur? Est-ce que vous croyez? Cet homme assis là, vous étiez profondément en prière au sujet de quelque chose, et vous croyiez. Je ne vous connais pas; pour autant que je sache, je ne vous ai jamais vu de ma vie, mais Dieu vous connaît. Si Dieu me disait pourquoi vous priez, croirez-vous que je suis Son prophète, ou plutôt Son serviteur? Vous avez des varices. Vous voulez que Dieu les guérisse. Si c’est juste, tenez-vous debout. Maintenant, voulez-vous faire quelque chose pour moi, en tant que frère, voulez-vous m’écouter comme un prophète de Dieu? Arrêtez de fumer; Dieu vous guérira. Voulez-vous le faire? Levez la main; promettez-moi que vous le ferez. Alors asseyez-vous. Partez et soyez guéri.
Votre maladie du coeur vous a quitté pendant que vous vous teniez ici. Partez, continuez votre chemin, et réjouissez-vous et dites: «Merci, Seigneur.»
89 Regardez cet auditoire-ci, j’aimerais vous montrer, la majeure partie de cet auditoire souffre de la même chose que vous, la nervosité. Vous vous découragez, vous n’arrivez pas à vous retenir. C’est juste. Dieu est réel, n’est-ce pas? Regardez ici. Tout celui qui est nerveux, qui est dérangé par la nervosité, tenez-vous debout juste une minute. Partout dans la salle. Comment allez-vous les appeler tous alors que chacun d’eux y croit? Regardez simplement là. Tenez-vous debout juste une minute. Tenez-vous debout juste une minute. J’aimerais vous montrer quelque chose de la part de Dieu. Je vous vois vous efforçant de descendre quelque chose, c’est un escalier. Vous descendez de côté, c’est l’arthrite. C’est juste. Tous ceux qui souffrent de l’arthrite, tenez-vous debout.
Vous avez une maladie gynécologique; vous l’avez eue depuis longtemps. C’est un ovaire, un abcès; vous avez un épanchement de celui-ci. Il y en a beaucoup là-bas dans l’auditoire. Regardez. Chaque femme qui souffre d’une maladie gynécologique, tenez-vous debout. Tenez-vous carrément ici, juste une minute.
La nervosité, vous êtes sur le point de faire une crise de nerfs. Tenez-vous carrément ici juste une minute, les personnes nerveuses sont déjà debout.
Oh! miséricorde, il y a ici une ombre noire, c’est le cancer. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Vous le savez, c’est juste, mère. Levez-vous. Tous ceux qui souffrent du cancer, tenez-vous debout, partout dans la salle. Maintenant on est en train de me toucher au dos; je sais que cela veut dire que je suis sur le point de tomber. Vous voyez? Alors juste une minute.
90 Dieu connaît chacun de vous. J’ai été aussi sincère avec vous que je peux l’être. Ai-je trouvé grâce à vos yeux? Croyez-vous que je dis la vérité, que Dieu confirme cela comme étant la vérité? Si un homme dit quelque chose, cela peut être une chose, mais si Dieu ne dit pas que c’est la vérité, ce n’est pas la vérité. Mais s’Il dit que c’est la vérité, alors croyez Dieu. Est-ce juste?
Maintenant, faites ce que je vous dis de faire. Faites simplement comme je vous le dis. Si chaque personne malade ici... Voyez-vous? Ecoutez, je ne peux pas appeler tous ceux-ci; ils sont tellement nombreux. Chacun de vous croit. Et écoutez, chacun de vous est guéri, si vous allez le croire maintenant même. La guérison, c’est quelque chose que Jésus a accompli pour vous, il y a dix-neuf cents ans. Qu’en est-il de vous dans le fauteuil roulant, qui souffrez de la polio et tout, et vous êtes infirme? Ne–ne–ne pensez pas que vous n’êtes pas–que vous ne pouvez plus être guéri. Ayez la foi maintenant même. Je ne peux pas vous guérir, mais votre vie, vous ne pourrez pas la cacher. Croyez en Dieu maintenant même, chacun de vous et tenez-vous debout, croyez en Dieu, acceptez votre guérison, et Dieu rétablira chacun de vous. Si vous le croyez, levez-vous, acceptez cela, levez vos mains, dites: «Merci, Seigneur, pour ma guérison.»
Le voici, le Saint-Esprit se meut au-dessus de l’auditoire. Au Nom de Jésus-Christ, je demande au diable de sortir de la salle, et chaque personne qui est dans la Présence de Dieu peut être complètement guérie par les meurtrissures, et la puissance du Seigneur Jésus.