Le Faire Sortir De L’Histoire
1 Merci, Frère Neville. Bonsoir les amis. C’est vraiment un... Je considère ceci comme un grand privilège, d’être ici au Tabernacle ce soir, afin de commencer de nouveau une série de réunions pour cinq soirées. Cela fait un bon bout de temps depuis que j’ai tenu un réveil ici au Tabernacle. Nous n’avons jamais annoncé dans les journaux ni par un quelconque autre moyen; nous savions donc que nous n’aurions pas assez d’espace pour faire asseoir les gens, parce que la salle est petite et nous n’avons pas de très bons sièges. Mais nous ferons vraiment notre possible pour accueillir les gens.
2 Nous allions louer le gymnase de l’école secondaire ici, et nous aurions pu annoncer cela, mais ils sont... C’est la période des cours maintenant, et c’est plutôt difficile de l’obtenir. Et je vais partir bientôt, je pense, pour le champ missionnaire et ainsi de suite outre-mer. Et j’ai simplement voulu que nous puissions nous rassembler pour avoir une petite communion avec tous les amis, avant que nous ne retournions outre-mer. Vous savez, nous nous rencontrons de temps en temps, et une fois nous allons nous rencontrer pour la dernière fois. Ainsi, il nous–il nous faut rester le plus proche possible du Seigneur et de Sa Parole. Et alors que nous voyons Sa Parole se dévoiler jour après jour, jour après jour... J’ai pensé que ce serait agréable de tenir une petite série de réunions ici, et de prier ensuite pour les malades.
3 Et il y a quelque temps, il m’a été dit dans une vision que le Seigneur me donna il y a quelques années, je pense, ou peut-être un peu plus... Je l’ai écrite dans un livre à la maison; c’est en rapport avec le changement de ministère. Et beaucoup d’entre vous qui êtes assis ici, je ne voudrais pas dire beaucoup de choses; mais vous souvenez-vous du temps où nous avons construit ce tabernacle au début? Vous vous souvenez de la vision que j’avais eue le matin où nous avions posé la pierre angulaire là-bas, lorsqu’Il a dit: «Ceci n’est pas ton tabernacle.» Mais Il me plaça sous les cieux et dit... me dit qu’il se produirait beaucoup de différentes choses.
Si vous pouvez vous souvenir, vous avez vu cela s’accomplir très exactement comme c’était annoncé. Voyez? Et il en a toujours été ainsi, par conséquent, j’ai l’assurance que ce qu’Il dit, c’est Dieu, et cela doit être vrai.
4 Et puis, il y a quelque temps, j’étais dans une vision, et j’ai vu une–une grande tente. Oh! c’était énorme et gigantesque. Et j’étais juste en train de prêcher, et beaucoup de gens se trouvaient à l’autel et, les mains levées, ils pleuraient tendrement, calmement et doucement. Un porte-parole, un homme gentil et sympathique, se présenta à l’estrade et dit: «Maintenant, ils vont former la ligne de prière pendant que frère Branham s’apprête.» Et je me tenais par là... Evidemment, la ligne de prière se trouvait à ma gauche. Et j’ai vu une foule de gens qui semblaient couvrir une distance d’un pâté de maisons ou plus, se tenant dans la ligne.
5 Il y avait une petite construction, une construction en bois à l’intérieur de cette tente. Et une femme se tenait là, ou plutôt, un homme qui écrivait les noms. Et les gens entraient avec des béquilles, sur des civières, et sortaient de l’autre côté, marchant. Eh bien, je me posais des questions sur tout ce qui se passait là à l’intérieur. Et alors, cet Ange du Seigneur dont vous voyez la photo ici me quitta et alla se mettre juste au-dessus de cette petite construction, se tint là, et ensuite, descendit. Et une voix se fit entendre et dit: «Je te rencontrerai là-dedans.»
Eh bien, maintenant, j’ai attendu ce moment-là. J’ai été absent pendant quelque temps, afin de me reposer à cause du surmenage. Je suis revenu et le week-end passé nous avons tenu un petit... en quelque sorte sur la doctrine de l’église pendant trois soirées ici. C’était le soir du samedi passé, le dimanche matin et le dimanche soir, avant cette réunion-ci; cela a en quelque sorte secoué cette église; ainsi nous pouvons aller de l’avant avec cette série de réunions qui est en vue maintenant. Et puis, immédiatement après ce dimanche soir, ce sera pour moi la soirée d’adieu au Tabernacle pour quelque temps, à ce que je sache.
6 Et maintenant, j’espère et je crois en Dieu que peut-être au courant de cette semaine, je pourrai utiliser cette petite pièce par ici comme salle de prière, pour y faire entrer les malades et les infirmes, et je verrai s’Il va me rencontrer pour commencer encore un nouveau ministère au Tabernacle. J’aimerais sûrement voir cela s’accomplir. J’ignore ce que c’est, mes amis. Je n’ai aucune idée de ce que ce sera, mais Lui qui écoute maintenant, je crois que ce sera quelque chose de plus pour aider Ses pauvres enfants malades qui souffrent en ce jour. Je Lui ai promis que je serai fidèle et loyal, et que j’essaierai d’être plus loyal que je ne l’ai été avec les autres dons qu’Il a donnés. Et si cela arrive, ce sera tout aussi réel que les autres l’ont été.
Eh bien, les autres dons sont toujours aussi efficaces qu’ils l’étaient. Voyez-vous? Mais, j’attends que quelque chose de nouveau se produise maintenant. Et j’espère que cela se produira ici.
7 Eh bien, je me suis dit que peut-être ce soir je prêcherais pour voir comment je me sentirais. Et une autre chose que je voulais faire, je voulais savoir, lorsque nous entrerons pour la première fois, si je peux y faire entrer ma femme et la laisser être là avec moi, lorsque cela descendra la première fois afin de voir si ça se passera ainsi. Sinon, quand nous prendrons les femmes, nous allons les faire entrer deux à la fois; deux femmes vont entrer à la fois. Donc, je ne dis pas que cela marchera de l’une ou de l’autre manière. C’est afin que vous le sachiez, parce que cela avait déjà été annoncé que nous attendions que quelque chose de neuf arrive, et nous y voilà.
Mais maintenant, je ne dis pas qu’Il m’a dit que cela se produirait. Lorsque j’ai vu cela dans la vision, c’était dans une tente. Mais, bien sûr, cela pourrait arriver n’importe où, n’importe quand. Nous attendons donc cela.
8 Eh bien, nous allons essayer de vous laisser sortir de bonne heure.... Le service des chants prendra une demi-heure, on aura ensuite la prédication, et puis, l’appel à l’autel et ainsi de suite pendant une heure environ, ce qui fait une heure et demie, afin que les gens qui sont debout n’aient pas de crampes et qu’ils puissent revenir demain soir.
Eh bien, juste avant que nous ouvrions cette vieille Parole bénie, nous voulons vous rassurer que nous n’allons jamais rien dire en dehors de ce qui se trouve là-dedans, parce que c’est ça le fondement. Et avant que nous le fassions, inclinons la tête un instant pour un mot de prière.
9 Dieu bien-aimé, alors que nous nous tenons ce soir dans Ta Présence et réalisons que, dans nos corps frêles, nous ne sommes que poussière de la terre, et que Tu nous as amenés dans ce monde comme des êtres vivants pour T’honorer et Te glorifier; nous réalisons que nos vies et notre destinée se trouvent dans Tes mains bénies. Et nous nous recommandons par la foi entre Tes mains, espérant que notre destinée éternelle nous sera accordée, pour vivre avec Toi éternellement dans un monde meilleur, où nous n’aurons plus à prier pour les malades et les nécessiteux. Et il n’y aura jamais une larme qui coulera sur une joue. Il n’y aura jamais de faibles vieillards qui s’avanceraient, mais là, là-bas, nous serons éternellement jeunes, et la gloire de Dieu sera sur nous. Et nous n’aurons pas besoin de guérison; car nous serons éternellement guéris, lorsque cette créature que nous sommes maintenant sera changée et transformée en un corps semblable à Son propre corps glorieux. Alors, nous Le verrons tel qu’Il est. En attendant que cette heure bénie arrive pour chacun de nous, nous voulons conjuguer chaque effort dont nous sommes capables, afin de glorifier Ton grand Nom, avec cette foi que Tu nous as donnée.
10 Alors, à la veille de ce petit rassemblement ici dans ce petit endroit mémorable, en commémoration du premier réveil que nous avons tenu ici, et de glorieuses et puissantes oeuvres que Tu as opérées pour nous par Ta grande main puissante... Un réveil est parti d’ici, a balayé chaque nation; et ce soir partout dans le monde les feux du réveil brûlent sur les collines; et les hommes et les femmes sont guéris de leurs maladies et de leurs maux et commencent à connaître le Véritable Dieu vivant. Ô Seigneur Dieu, répands Ton Esprit sur nous ce soir en abondance, Seigneur.
Et si cela Te plaît, Seigneur, si cela est dans Ton plan divin, nous Te demandons, ô Dieu, de laisser ce nouveau don commencer à opérer dans cette salle, afin que ceux qui étaient restés derrière nous qui étions dans les champs de missions, et qui ont été des combattants dans la prière, puissent voir pour la première fois la glorieuse main de Jéhovah agissant dans cette nouvelle phase (Accorde-le, Seigneur.), et qu’ils soient parmi les bénéficiaires des fruits.
11 Nous demandons humblement que cela soit accordé ici, sachant que cela s’accomplira quelque part, parce que nous sentons que c’est dans Ta grande providence que d’agir ainsi. Maintenant, bénis-nous, Seigneur, et alors que nous ouvrons les pages du Livre, Ta Sainte Parole bénie, que nos esprits soient ouverts afin de La recevoir, Seigneur. Et lorsque les services seront terminés ce soir, et que nous retournerons dans nos maisons respectives, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous ce soir, lorsqu’Il nous parlait en chemin?» Car nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen.
12 Ce soir, j’ai choisi comme passage de l’Ecriture juste quelques versets; si vous voulez ouvrir cela, dans le Livre des Rois, 1 Rois, 1 Rois, chapitre 18. Et je voudrais commencer à lire à partir du verset 17. Et je désire alors prendre comme sujet: Le faire sortir de l’histoire.
Maintenant, vous qui prenez des notes, je peux le reprendre: Le faire sortir de l’histoire. Maintenant, le verset 17 du chapitre 18 de 1 Rois:
A peine Achab aperçut-il Elie qu’il lui dit: Est-ce toi, qui jettes le trouble en Israël?
Elie répondit: je ne trouble point Israël; c’est toi, au contraire, et la maison de ton père, puisque vous avez abandonné les commandements de l’Eternel et que Tu es allé après les Baals.
Fais maintenant rassembler tout Israël auprès de moi, à la montage du Carmel, et aussi les quatre cent cinquante prophètes de Baal et les quatre cents prophètes d’Astarté qui mangent à la table de Jézabel.
Achab envoya des messagers vers tous les enfants d’Israël, et il rassembla les prophètes à la montagne du Carmel.
Alors Elie s’approcha de tout le peuple, et dit: Jusques à quand clocherez-vous des deux côtés? Si l’Eternel est Dieu, allez après lui; si c’est Baal, allez après lui! Le peuple ne lui répondit rien.
13 Ce soir, nous nous tenons sur le rivage et nous voyons deux grandes scènes qui se produisent et se déroulent. Et voici ces deux grandes scènes: L’une c’est la fin de l’histoire, et l’autre c’est la fin des temps.
Et bien des grands hommes, tout au long des âges, ont désiré voir cette heure dont nous nous approchons maintenant. Et alors que nous vivons en ce temps du glorieux coucher du soleil naturel et à l’aube de la Lumière éternelle... Je sens vraiment que nous vivons dans l’un des âges les plus glorieux qu’il ait jamais été donné à l’homme de vivre, parce que c’est la fin du temps et la fusion avec l’éternité. L’histoire nous relate seulement ce que nous avons lu, au sujet de ce qui a existé. Et ce qui arrivera dans le futur se trouve dans la main de Dieu.
Et nous trouvons qu’aujourd’hui il n’y a pas beaucoup de faits historiques qui sont écrits, parce que je ne pense pas qu’on s’en servira. Ces deux grands événements entrent dans une eau peu profonde. Par exemple, le... Comment nous gérons la crise nationale... et la sécurité nationale entre dans une eau peu profonde.
14 Je voyage à travers le monde, et il semble que ce n’est pas seulement notre nation, mais aucune nation ne sait exactement quoi faire. Il semble qu’il y a des agitations partout.
Lorsque je me rends en Afrique, ils redoutent tous qu’un soulèvement se produise parmi les gens et que le communisme envahisse le pays.
Lorsque je me rends en Suisse, c’est la même chose. Et toutes les autres nations que j’ai visitées, il semble que partout il n’y a aucune assurance de paix.
15 Eh bien, savez-vous que notre Seigneur avait prédit qu’il arriverait un temps pareil, qu’il y aura de l’agitation parmi les nations qui ne sauront que faire, l’angoisse parmi les nations. Et nous avons essayé tout ce qui est apparemment, humainement possible pour faire que cela dure juste un peu plus longtemps. Mais je crois que nous sommes simplement à bout. Je ne crois pas qu’il y ait quelque chose d’autre que nous puissions faire à ce propos. Nous sommes juste au bout du rouleau.
Pendant un temps nous avons essayé d’établir des rois, et cela n’a pas marché. Ensuite, on a essayé la démocratie, ça ne marche pas. Et nous avons essayé... On a essayé les dictateurs, et cela ne marche pas. Et chacun semble devenir un peu plus piètre chaque fois.
Et maintenant, nous nous tenons à un moment crucial, où tout peut arriver. Tout peut se terminer dans cinq minutes; et chaque nation pourrait être réduite en poussière. Et si nous nous trouvons en cette heure-là, où devrait être l’Eglise? Une grande crise...
16 Puis, nous avons aussi une crise dans la vie de famille. Il semble que la vie de famille entre dans une eau peu profonde. Autrefois, au foyer, le père, le chef de la maison, s’asseyait le matin et s’entretenait avec sa famille, et tous prenaient la vieille Bible de la famille et lisaient juste un peu et–et ils s’assemblaient tous autour de la table et priaient. On ne voit plus cela. Et à la fin de la journée, après que maman avait fait la vaisselle, ils se rassemblaient à l’intérieur, lisaient quelque chose de plus dans la Bible et priaient avant d’aller au lit.
C’était vraiment rare de trouver de la délinquance juvénile en ce temps-là. Tous les garçons se rendaient au champ pour travailler, et les filles aidaient maman à faire la vaisselle et la lessive au ruisseau. Mais aujourd’hui, nous appuyons juste sur un petit bouton et toutes les assiettes sont lavées, et maman prend la voiture et s’en va à une partie des cartes, ou bien elle est sortie et est en train de déambuler dans les rues et... Et le–le travail est fait par un tracteur. Et nous n’avons qu’une bande de gens fainéants et oisifs. Et la vie de famille est tellement négligée que la Bible a été mise au rancard, au point qu’il leur faut une heure de fouille pour en trouver une dans bien des maisons en Amérique.
17 Ils se rendent à l’église le dimanche matin pour faire leur religion pendant à peu près vingt minutes. Si le pasteur prend à peu près trente minutes, il est convoqué par le comité. Qu’est-ce? La vie de famille tombe en décadence.
Autrefois, le père et la mère s’aimaient, se respectaient et se chérissaient mutuellement. Et lorsque la maman vieillissait, qu’elle était grisonnante, couverte de rides et que tout son pauvre vieux petit visage était couvert de rides, avec ses lunettes suspendues sur son nez, papa l’aimait simplement, juste comme lorsqu’elle était jeune et jolie.
Mais aujourd’hui... Je n’ai pas l’intention de critiquer, mais lorsque la femme vieillit un peu, il l’échange contre un nouveau modèle. Il semble que c’est la tendance, comme on change de voiture ou n’importe quoi d’autre. Il semble que ce véritable amour familial n’existe plus tellement. Quelque chose est arrivé. La vie de famille tombe en décadence. Nous n’avons pas les vieux foyers américains comme nous en avions autrefois, il y a bien des années.
Autre chose que j’aimerais dire, c’est qu’il y a une autre chose qui est en train de disparaître. C’est l’amitié. Il semble que nous n’avons plus d’amis comme ceux que nous avions autrefois. Et les amis que nous avons ne sont pas aussi fidèles que ceux d’autrefois. Autrefois... Je peux me rappeler que lorsque quelqu’un tombait malade dans le voisinage, tout le monde se rendait auprès de lui, et on l’assistait dans ses tâches, et on prêtait main-forte dans tout ce qui pouvait se faire. On passait toute la nuit avec lui. Et comme je l’ai souvent dit, il est vrai que nous ignorons que le voisin est mort jusqu’à ce que nous le lisions dans le journal. L’amitié...
18 Le papa a une clé de la maison, et maman a la sienne et ils sortent tous deux pour revenir au milieu de la nuit; et les enfants, ni papa ni maman ne sait où ils se trouvent. Et les tout petits sont avec la baby-sitter. Et c’est de cette manière qu’ils mènent leur vie.
Savez-vous que la Bible prédit toutes ces choses? Alors qu’en est-il donc? Cela signifie que nous nous tenons dans une position, en train d’observer ces choses tomber en décadence.
19 Considérons la vie de l’église. C’est là que tout commence. La vie de l’église tombe en décadence. Les gens prennent l’église aujourd’hui presque pour une idole, comme un mât totémique. Ils vont s’asseoir à l’église pendant cinq minutes, puis ils disent: «J’ai fait ma religion»; vous payez votre petite contribution, ou je ne sais quoi, pour payer le pasteur, et s’ils n’atteignent pas le montant, ils organisent un petit souper, ils complètent cela pour le pasteur. Et s’il n’est pas satisfait, il s’en va là où on va lui donner un meilleur salaire. Il semble que le pasteur ne reçoit plus un appel divin. On dirait que cela devient simplement un gagne-pain pour le pasteur, de sorte qu’il va là où les gens lui offrent plus d’argent. Il ne devrait pas en être ainsi.
Il faut qu’un homme soit appelé de Dieu pour une communauté. Et s’il doit se coucher là comme Elie, au sommet de la montagne, au torrent de Kérith, et attendre que les corbeaux le nourrissent, il devrait y rester jusqu’à ce que sa mission divine soit accomplie. Peu importe qu’il gagne un sou ou non, ça doit premièrement être l’appel de Dieu.
Mais il semble que cela s’est transformé en un appel pour l’argent, ou bien pour un plus grand poste, ou quelque chose du genre, ou pour devenir une personne plus populaire dans une plus grande église, ou quelque chose de semblable. Et ensuite, l’église dans leur... ils ont relâché. Ils commencent à arriver au bout du rouleau. Observez simplement cela se dérouler.
20 Eh bien, je n’ai pas encore cinquante ans, et je me souviens lorsque je me rendais à l’église baptiste, et dans les églises méthodistes, je les observais lorsqu’ils tenaient un réveil à l’ancienne mode, lorsqu’ils criaient et louaient le Seigneur, faisant des va-et-vient dans les allés et persuadant les pécheurs à venir à l’autel. On ne voit plus jamais cela nulle part.
Ils avaient coutume de tenir des réunions de prière à l’ancienne mode au cours du réveil. Et s’il y avait un pécheur dans le voisinage, garçon ou fille, les vieilles mamans et les vieux papas priaient avec ferveur jusqu’à ce qu’ils amenaient ces enfants à être convaincus pour prier. Et ceux-ci se dirigeaient à l’autel, et là, ils venaient à Christ. Mais on ne voit plus cela. Il semble que cela entre dans une eau peu profonde. Les choses ne semblent pas être comme elles devraient être.
Et puis, autrefois, la plupart des églises pouvaient... Il y a bien des années, lorsqu’on tenait un réveil dans une église, toutes les autres collaboraient. Et elles participaient et apportaient leur assistance, et elles y envoyaient leurs membres, fermaient leurs églises et tenaient un réveil. On ne voit plus cela. Eh bien, qu’est-il arrivé au juste? Et qu’allez-vous faire à ce sujet? Cela accomplit simplement la Parole du Dieu vivant.
21 Et cela indique deux choses: L’une, c’est la fin du temps; et l’autre, c’est la Venue du Seigneur Jésus. Car le Saint-Esprit a clairement parlé et a dit que dans les derniers jours les églises seraient emportées, enflées d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, déloyales, calomniatrices, intempérantes et ennemies des gens de bien. Si donc la Bible a prédit que ces choses arriveraient, comment pouvons-nous nous attendre à ce que autre chose que cela arrive? «Ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force.»
Parcourez cette nation aujourd’hui, notre nation, et trouvez une poignée de croyants qui croient, je veux dire de véritables croyants qui croient que Jésus-Christ vit réellement. Vous voyez, ils prennent l’église juste pour une idole. Nous étions en train de voir cela ces–ces quelques derniers jours dans notre enseignement. Nous nous en prenons à l’Eglise catholique, à leurs idoles et à la façon dont ils s’inclinent devant cela, lorsqu’ils passent devant l’église. Et les protestants sont tout aussi mauvais, juste pareils, ils vont à l’église de temps à autres. Et peut-être certains d’entre eux y vont juste une fois l’an, et c’est à la Pâques.
22 J’ai entendu un ministre ici, il n’y a pas longtemps dans la ville, qui a fait cette remarque, il a dit: «Le matin de Pâques, je souhaite à tous mes fidèles un joyeux Noël.» Il a dit: «Je ne les reverrai plus jusqu’à la Noël ou à la prochaine Pâques. Un ‘joyeux Noël’».
Et pendant que nous nous tenons ici, observant ces choses se dérouler, et chacun de nous les mortels, nous savons que quelque chose doit arriver; les choses ne vont simplement pas continuer comme cela. Personne n’a le temps de s’arrêter ne serait-ce que pour cinq minutes. Ils se bousculent, filent, se précipitent pour se retrouver bloqués dans un embouteillage sur la rue.
Lorsque les enfants venaient sur l’autoroute cet après-midi, je venais–ou plutôt, c’était à midi–je venais de New Albany. Et voilà qu’une dame dévalait la route, parmi ces enfants, roulant presqu’à... dans une zone où la vitesse est limitée à vingt miles [32 km–N.D.T.]; elle roulait à peu près à soixante [96,5 km] ou à soixante-dix miles à l’heure [112,6 km], roulant à tombeau ouvert. Et où allait-elle? Quelques minutes après, j’ai dit à la personne qui était avec moi: «Qu’en pensez-vous?» Deux autres voitures sont passées à vive allure, comme des bolides, juste au milieu de ces enfants. Sur notre avenue où nous habitons, le matin, cela ressemble à une piste de course. Il leur faut se précipiter en rentrant chez eux pour faire la vaisselle, ou écouter Arthur Godfrey, ou autre chose. Où allez-vous? Qu’est-ce qui ne va pas? La chose entière connaît un dérèglement, parce que les hommes et les femmes sont devenus des amoureux de ce monde présent. La chose glorieuse devrait être, serait de rentrer à la maison pour lire la Bible et de... le temps de prier.
23 Je pense à Suzanne, la mère de John Wesley. Elle était mère de dix-sept enfants. Et elle passait, je pense que c’était à peu près deux ou trois heures chaque jour dans la prière; et elle devait élever et prendre soin de dix-sept enfants. Cela a produit l’un des plus grands prédicateurs du monde et l’un des plus grands compositeurs des cantiques de ce temps-là, Charles et John, parce qu’elle passait son temps à servir Dieu et non pas perdre son temps dans les choses du monde.
Et lorsque nous voyons le fondement de notre nation, le fondement de nos foyers, le fondement de notre église en train de s’écrouler, alors mes frères, que pouvons-nous faire?
Je voudrais donc dire ceci: oh! si j’avais une voix qui me permettrait de faire entendre cela au monde, il ne nous reste qu’un seul solide fondement et c’est la Sainte Parole de Dieu bénie, la Bible. «Car tous les cieux et la terre passeront, mais la Parole ne passera jamais. Et sur ce roc, dit Dieu, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle.»
24 Alors quel privilège béni pour nous tous de tendre la main et de prendre la bonne vieille Bible de Dieu, d’en tourner les pages, et de savoir que nous lisons directement la Vérité, et de voir que ces choses se sont produites dans les jours passés, car cela parle d’un Dieu de l’histoire. Et le seul moyen pour nous d’être–d’être à la hauteur de ces choses ou de–de nous mettre au diapason, c’est de faire sortir de l’histoire ce Dieu de l’histoire. Car, pendant tout le temps qui précéda la destruction du monde antédiluvien, avant la Venue de Christ, et au cours de différents événements, Il ne manque jamais de répondre lorsqu’on L’invoque. Il est toujours à l’heure.
25 Je pense maintenant au temps où une nation se trouvait en captivité. C’était Israël. Et ils étaient là en Egypte, et ils étaient traités durement et avec rigueur pour servir les Egyptiens. Il semblait que tout le monde s’était refroidi. Savez-vous qu’Israël a passé en Egypte le double du temps que les Etats-Unis ont fait en tant que nation? Nous n’avons pas plus de cent cinquante ou cent soixante-dix ans, à peu près cela. Et ils ont passé quatre cent vingt ans dans l’esclavage ou là en Egypte.
Mais il vint un temps où tout espoir semblait être perdu; cependant il y avait un homme et une femme qui semblaient avoir foi en un Dieu historique, qui avait parlé à Abraham en temps de crise, et ils croyaient que s’ils L’invoquaient, Il répondrait. Et c’était Ham–Amram et Jokébed, la femme d’Ham–Amram, le père et la mère de Moïse.
26 Et comme je prêchais ici, il y a quelque temps, j’ai donné une petite illustration montrant comment Amram rentrait chez lui le soir et il disait: «Jokébed, je suis très fatigué.» Et les marques toutes fraîches sur son dos, laissées par le fouet du maître de corvée...
Et elle s’asseyait patiemment peut-être et nettoyait les–les endroits contusionnés; elle pleurait et disait: «Oh! Amram, n’y a-t-il rien qui puisse être fait?»
Eh bien, nous pouvons l’entendre dire: «Oh! chérie, si tu avais été avec moi aujourd’hui, et si tu voyais comment on battait ces jeunes gens qui essayaient de tirer ces charges... Mais ils étaient impitoyables. Ils les ont traités comme des animaux, et ce sont nos jeunes gens d’Israël... N’y a-t-il rien qui puisse être fait?»
C’est ce que je me demande maintenant. De voir nos adolescents, qui seront les hommes et les femmes de demain, nos adolescents d’aujourd’hui, les cheveux descendant jusqu’au cou, les pantalons baissés en dessous des hanches, avec un pistolet accroché sur le côté et une cigarette au coin de la bouche. Qu’est-ce que cela va devenir? C’est toujours l’esclavage, sous la domination du diable.
27 «N’y a-t-il rien qui puisse être fait?» Et Amram, ou peut-être le seul qui montait un petit escalier jusqu’à l’étage, peu importe combien il était fatigué, et là, chaque soir, il invoquait le Dieu d’Abraham, Celui dont il avait appris qu’Il était venu vers Abraham, vers Job, vers Isaac et vers Jacob en temps de détresse. Et sûrement, s’Il était Dieu en leur jour, Il devait être Dieu en ce jour-là. Et s’Il était Dieu aux jours de Moïse, Il est Dieu aujourd’hui. Il demande simplement qu’on Le fasse sortir de l’histoire et qu’on L’appelle à entrer en action, en scène.
Et je peux voir Amram, soir après soir, peu importe combien il était fatigué... Cela prouvait sa foi en ce Dieu-là. Mais aujourd’hui, si les gens n’obtiennent pas tout ce qu’ils demandent la première fois qu’ils ont prié, ils semblent penser qu’Il est mort.
Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, ce sont des hommes et des femmes qui sont vaillants, des hommes et des femmes qui sont décidés à tenir ferme jusqu’à ce qu’ils voient un Dieu qui vit réellement entrer en action, des gens qui n’accepteront pas une réponse négative. Ils sont décidés à s’accrocher à Cela.
28 S’ils sont malades et que le médecin a dit qu’ils ne peuvent pas se rétablir, cependant quelque chose en eux leur dit qu’ils vont se rétablir, et ils tiennent bon quoi qu’il advienne.
Avez-vous adhéré aux églises dénominationnelles du monde au point que vous avez épuisé toute votre force, à force d’aller d’un endroit à un autre, sans toutefois trouver de soulagement? Il y a toujours un Dieu qui répond à la prière et sauve du péché.
29 Et comme nous voyons Amram pendant ces nuits fatigantes, le dos saignant, montant de nouveau les marches de l’escalier, priant jusqu’à deux heures ou trois heures du matin, on dirait qu’il s’adressait au vent; mais là au fond de son coeur de Juif brûlait une foi qu’aucun vent de doute ne pouvait jamais éteindre. C’est le genre d’hommes et de femmes que nous voulons voir se lever sur la scène aujourd’hui. S’Il ne répond pas ce soir, Il répondra demain soir. S’il ne répond pas cette année, Il répondra l’année prochaine, car Il est un Dieu–pas «un» Dieu–mais «le» Dieu.
Et nous voyons soir après soir, comme Amram montait les marches de l’escalier, et Jokébed s’approchait de lui et disait: «Amram, chéri, tu as été ici en haut prier toute la nuit. Pourquoi ne dis-tu simplement pas à certains de ces jeunes gens là où tu travailles de prier pendant un moment?»
«Eh bien, chérie, qu’en serait-il s’ils ne le faisaient pas? Quelqu’un doit le faire. Quelqu’un doit prier jusqu’au bout.»
Voilà le sentiment que devrait avoir chaque chrétien ce soir, il n’est pas question d’attendre quelqu’un d’autre, mais prenons le devant nous-mêmes et allons jusqu’au bout.
30 Si nous croyons que la Bible est un Livre de l’histoire, c’est aussi un Livre prophétique qui annonce que ce même Dieu-là se lèvera dans les derniers jours. C’est le moment pour Lui d’entrer en scène. C’est ce qu’Amram savait, que Moïse avait prophétisé ou–non pas Moïse, excusez-moi–Abraham avait reçu une promesse de la part de ce Dieu de l’histoire qui n’avait répondu à aucune prière durant quatre cents ans, d’après tout ce que nous avons comme récit. Mais Il avait fait une promesse selon laquelle Il allait les faire sortir.
Et il semble que nous avons eu un Dieu qui est resté silencieux pendant longtemps. Mais l’heure est venue où Il doit se lever et entrer en scène.
Un soir, alors qu’Amram avait prié, peut-être pendant plusieurs années, et ses cheveux grisonnaient alors, et il n’y avait aucune délivrance, par contre la situation allait en empirant, un soir il s’est carrément mis au travail. C’est de cette manière que nous devons y aller. Nous mettre carrément au travail. Il a dit: «Ô Dieu, Tu as promis ceci, et nous avons attendu cela, et nous avons vu les signes toute l’année et le temps est proche. Il est temps que Tu fasses quelque chose à ce sujet.»
Pendant qu’il était vraiment plongé dans la prière, priant de tout son coeur, il regarda, et voici qu’un ange se tenait dans un coin. Il se frotta les yeux et regarda de nouveau. Un ange se tenait là, avec son épée nue. Il a dit: «La délivrance arrive. Et tu auras un fils, c’est lui qui va les délivrer.» Voyez-vous? Dieu répond toujours à la prière, n’est-ce pas? Si vraiment nous tenons ferme.
31 Lorsque Moïse conduisait les enfants d’Israël en toute sécurité dans le désert, et qu’il arriva à la mer Rouge, les montagnes se trouvaient d’un côté, le désert de l’autre, et l’armée de pharaon de ce côté, et la mer Rouge devant eux: ils étaient pris au piège dans un petit filet. Il semblait que même la nature criait. Qu’allait-il arriver? C’en était fini d’eux, l’armée de pharaon qui comptait des dizaines de milliers de soldats allait les écraser. Et le peuple a commencé à murmurer et à se plaindre. «Oh! ç’aurait été mieux si nous étions restés là où nous étions.»
Mais parmi ces gens un homme avait la flamme de la foi de Dieu brûlant dans son coeur, et il croyait qu’un Dieu de l’histoire pouvait entrer en scène devant n’importe quelle difficulté. Moïse s’est tenu là, les deux mains levées vers Dieu et a prié, jusqu’à ce qu’un Dieu de l’histoire est entré en scène pour être un Dieu du présent. Et Il fraya une voie, et Israël passa à travers les eaux, marchant sur le sec.
32 Oh! peu de temps après cela, Josué conduisit le même groupe, ou plutôt leurs enfants au Jourdain. Et c’était au mois d’avril, au moment où tous les cours d’eau étaient en crue, et que le Jourdain était devenu cinq fois plus large. En principe, tout bon chef militaire les aurait conduits là pendant une autre saison. Et c’était à ce moment même où il n’y avait aucune possibilité de traverser le Jourdain que Josué s’est toutefois souvenu qu’il y avait un Dieu de l’histoire qui, quarante ans plus tôt, avait ouvert la mer Rouge. Et il invoqua ce Dieu-là, et ce Dieu-là descendit avec une grande puissance et devint un Dieu au moment des crises de l’heure, et ouvrit le Jourdain et les fit traverser.
33 Plusieurs années plus tard, là où nous avons lu notre passage biblique de ce soir, ou notre sujet, quand Elie a vu la malédiction de la nation et qu’il se trouvait sur la montagne... Et depuis quatre cents ans, aucune prière n’avait été exaucée en Israël. Cependant Elie savait qu’il y avait un Dieu de l’histoire qui pouvait entrer en scène. Et il défia le monde incrédule de se tenir dans la Présence de ce Dieu et de voir quel Dieu allait répondre par le feu. Et le Dieu qui a pu protéger les enfants hébreux de la fournaise ardente, fit descendre le feu et consuma le sacrifice.
C’était peu de temps après cela lorsqu’un homme du nom de Lazare mourut, et il y avait un Dieu qui était toujours vivant, qui amena Enoch à la maison sans même qu’il ait vu la mort, et enleva Elie dans un char de feu. Il fut appelé sur la scène à l’heure sombre de la mort, et Il agit exactement comme Il le faisait chaque fois. Bien qu’Il était un Dieu de l’histoire, Il fut cependant tiré de l’histoire et amené au moment des crises de l’heure.
C’était là, près de la porte de Jéricho, qu’un aveugle s’asseyait, au bord du chemin, en train de crier. Tout espoir était perdu, aucun médecin ne pouvait l’aider, il avait dépensé tout son argent. Il ne lui restait plus rien, sauf s’asseoir là et rêver pendant quelques jours jusqu’à ce que la mort allait lui accorder une douce délivrance. Et un jour, descendant la route, un Dieu de l’histoire entra en scène au moment des crises de l’heure. Dieu ouvrit les yeux de l’aveugle.
34 C’était dans la maison de Jaïrus que les médecins, ayant échoué, avaient condamné une petite fille à la–à être–à mourir; la mort était entrée, avait fait sa victime, et avait emporté l’unique enfant de la maison, une fillette de douze ans, et on l’avait étendue sur un divan.
Lorsqu’un petit prédicateur au coeur brisé, qui avait dû abandonner sa dénomination et tous ses amis, se souvint qu’il y avait un Dieu de l’histoire qui ressuscitait les morts, il partit Le chercher. «Cherchez et vous trouverez, frappez et on vous ouvrira; demandez et on vous donnera.» Il est toujours le même Dieu.
35 Lorsque ce Dieu, demeurait dans un Corps appelé Jésus, le Fils de Dieu, lorsqu’Il fut appelé sur scène, lorsqu’on Le fit sortir de l’histoire, le Dieu qui pouvait ressusciter les morts dans l’Ancien Testament, qui avait ramené à la vie un enfant mort au travers d’un prophète, ce Dieu ne peut mourir. Il est Dieu pour l’éternité.
Cette enfant était étendu là sur le lit, allongée, et le petit Jaïrus, sachant que l’enfant de la Sunamite lui avait été ramené, il a dit: «Ce Dieu de l’histoire, s’Il peut être appelé à entrer en action, Il est Le même Dieu aujourd’hui.» Et après avoir cherché, il avait entendu parler d’un–d’un Homme qui déclarait avoir la puissance, et c’était Jésus de Nazareth, Celui qu’ils haïssaient tous. Mais Il l’appela sur la scène, car Il était le plus proche représentant de Dieu qu’Il pouvait trouver en ce jour-là, le Dieu de... un Dieu vivant. Et lorsqu’Il fut appelé sur la scène, le Dieu historique fut invoqué, et Il a agi de la même manière qu’Il l’avait fait, lorsqu’Il parla à Elie au sujet de cet enfant qui était mort.
36 Laissez-moi dire quelque chose de plus, mon frère ou ma soeur, en ce jour-ci, alors que la crise, le cancer et toutes sortes de maladies rongent le monde, le même Dieu de l’histoire qui purifia les lépreux, guérit les malades, et ressuscita les morts, est le même Dieu aujourd’hui. Il attend impatiemment que Son peuple L’appelle sur la scène pour qu’Il entre en action.
Celui qui pardonne un coeur d’avoir commis adultère sept fois en un jour, Celui qui peut purifier le pécheur le plus vil et le rendre blanc comme un lys, ce même Dieu de l’histoire vit aujourd’hui afin de purifier chaque coeur noirci par le péché et l’incrédulité.
37 Un jour, un homme avait un garçon qui souffrait de l’épilepsie; et il l’amena à l’église. Et les disciples sautillaient autour de lui et criaient à tue-tête pendant un instant, et ils n’arrivaient pas à faire quelque chose, mais il y avait toujours un Dieu de l’histoire qui était vivant. L’homme était décidé à trouver ce Dieu-là. L’ayant vu descendre la montagne, il courut jusqu’à Lui et dit: «Seigneur, aie pitié de moi. Un démon s’est emparé de mon enfant, il souffre cruellement et tombe dans le feu.»
Jésus a dit: «Je le peux, si tu crois.» Si tu crois quoi? Si tu crois que le Dieu de l’histoire est encore vivant aujourd’hui. Il fut appelé sur la scène, et l’épilepsie quitta l’enfant.
Ce même Dieu vit aujourd’hui. Après que les églises ont failli, après que la politique a failli, après que tout autre chose a failli, et que l’homme a failli, et que tout a failli, Dieu ne peut faillir. Il est le Dieu de cette vieille Bible à la couverture noire. Sa promesse est tout aussi vraie qu’elle l’a toujours été, et il est temps que Son peuple L’invoque, qu’ils Le fassent sortir de l’histoire, car il est écrit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.»
38 Il est un Dieu de l’histoire. Il est un Dieu du temps présent. «Et dans les derniers jours, a-t-Il dit, Je répandrai Mon Esprit sur toute chair. Et les miracles et les prodiges accompagneront ceux qui auront cru. Car en Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; s’ils saisissent un serpent ou s’ils prennent un breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal; et s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.»
C’était un Dieu de l’histoire qui fit la promesse; et aujourd’hui, nous sommes le peuple de Son pâturage. Nous sommes les brebis de Sa bergerie, et Il attend que nous puissions nous lever et L’appeler à entrer en action. Appelez-Le sur la scène. Observez-Le entrer pour nous mettre en action. Observez-Le accomplir des oeuvres suprêmes. Observez-Le accomplir des choses qui amèneront les hommes à se poser des questions et à se gratter la tête et qu’ils ne comprennent pas. Il est le Dieu de l’histoire et un Dieu du jour présent. Il attend d’être appelé hors de l’histoire.
39 «Ne restons pas là à Le regarder. A quoi nous sert un Dieu historique, s’Il ne reste qu’un Dieu historique?» A quoi aurait servi un Dieu historique à Amram et à Jokébed? A quoi aurait servi un Dieu historique à Moïse? A quoi aurait servi un Dieu historique à Lazare? A quoi aurait servi un Dieu historique à l’aveugle Bartimée à la porte? Et à quoi vous servira un Dieu historique ce soir, s’Il n’est pas le même aujourd’hui?
Il est le même aujourd’hui. Il pardonne tous nos péchés et guérit toutes nos maladies. Le Dieu historique, appelé hors de l’histoire, rayonnera dans ce dernier jour. Quoi? Lorsque le temps arrive à la fin, lorsque la politique arrive à la fin, lorsque la vie arrive à la fin, lorsque tout arrive à la fin, Jésus vient, toujours vivant. Lorsque tout arrive au point de l’anéantissement, Il continue à rayonner, le Lys de la vallée, l’Etoile brillante du matin. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Invoquez simplement le Dieu de l’histoire et observez-Le devenir le Dieu du présent, Il est sorti de l’histoire afin de rayonner tout comme Il a fait autrefois. Il agira de la même façon. Il fera la même chose. Il pardonnera de la même façon. Il guérira de la même façon. Sa compassion est la même. Sa volonté est la même. Et Sa puissance est la même. Il est le même. Il attend notre...
40 Vous ne pouvez L’appeler par vos lèvres. Il ne vient pas du fait que vous L’invoquez par vos lèvres. Il vient par la foi. Lorsque votre foi, non pas votre longue prière, votre ardent désir, mais Il vient par cette faible petite foi qui se trouve là, tout au fond de votre âme, qui tient bon et dit: «Cette petite douleur qui a été... qui m’a amené dans ce tabernacle ce soir, peut de nouveau illuminer mon âme, peut faire que je parte d’ici plein de ferveur et chantant comme les oiseaux du ciel. Pourquoi? Il est un Dieu de l’histoire et un Dieu du jour présent. Il attend d’être appelé. Invoquez l’Eternel. Il vous entendra.
Parlez-Lui dans les cantiques. Adressez-Lui des prières et croyez en Lui. Il répondra. Et je dis ces paroles, alors qu’on termine: c’est la raison de cette réunion ce soir, c’est la raison pour laquelle nous avons commencé cette série de réunions. Je crois que le Dieu qui m’a dit, il y a vingt-sept ans, lorsque nous avons posé la pierre angulaire là-bas, que je prêcherai l’Evangile dans le monde entier... Il a accompli cela. Alors que les gens se moquaient de moi et disaient: «Où iras-tu, Billy, avec ton instruction de 7e primaire?»
J’ai dit: «Je vais au Nom du Seigneur Jésus.»
41 Lorsque j’ai prêché mon sermon avant de partir, il y a onze ans, du haut de cette chaire, Mlle Gurdy qui était assise là a chanté ce Crois seulement, et de grands géants se tenaient là-bas comme... J’avais prêché sur David et Goliath. Il y avait les hommes de science et les gens de grande renommée qui condamnaient la guérison divine et la tournaient en dérision, et tout le monde me disait: «Jeune homme, tu vas craquer là-bas. On va te jeter en prison. On te fera ceci ou cela...» Mais le Dieu de l’histoire est venu sur scène là-bas, et m’a dit de le faire. Et je l’ai fait par Sa grâce et Sa miséricorde.
Ce même Dieu, qui était de l’histoire il y a dix ans, est de nouveau monté sur scène; tout aussi sûr qu’Il a accompli cela, Il accomplira ceci. Il est le Dieu de l’histoire, et Il est le Dieu du présent. Il ne sommeille ni ne dort. Il ne peut mourir, car Il n’a ni commencement ni fin.
42 Et dans votre cas, ce soir, ami pécheur, ce petit chatouillement que vous ressentez au coeur, qui vous dit qu’Il est le même, qui vous dit qu’Il peut vous libérer de tout fardeau, de tout crime, et de tout péché que vous avez commis contre Lui... Dans quoi pouvez-vous placer votre espoir? Ce n’est même pas dans votre propre foyer, ni dans votre femme, ni dans votre famille, dans votre mère ou votre père. Mon espoir n’est fondé sur rien d’autre que le Sang de Jésus et Sa Justice. Lorsque tout cède autour de mon âme, Alors Il est tout mon espoir et mon appui. Sur Christ, ce Roc solide nous nous tenons. Tout autre terrain n’est que sable mouvant.
Eglise, mon ami, peu importe ce que c’est, tout cela prendra fin, mais Lui, Il vit éternellement. Et puisqu’Il vit, nous vivons avec Lui.
43 Que donnerez-vous en échange? Que pouvez-vous donner? Et si Dieu vous appelait ce soir à répondre en jugement? Que feriez-vous à ce sujet? Vous placez vos espoirs dans la nation? Elle se disloque, comme toutes les autres. Vous placez vos espoirs dans une certaine élection qui vient? Ces hommes, je n’ai rien contre eux, mais ce sont des personnes immorales, et elles vont mourir. Ne placez vos espoirs dans aucune chose qui ne peut pas du tout tenir, si ce n’est dans le Dieu de l’histoire qui a promis qu’Il ressusciterait.
Et un jour béni, on pourrait vous emmener là-bas et on déversera de la terre sur vous, l’entrepreneur des pompes funèbres [En anglais «undertaker»–N.D.T.], mais celui qui ressuscite [En anglais «Uptaker»] viendra un de ces jours. L’entrepreneur des pompes funèbres vous fera descendre dans la tombe, mais celui qui ressuscite vous en fera sortir, très certainement, car ceux qui sont morts en Christ, Dieu les ramènera avec Lui lorsqu’Il viendra. Parce que maintenant Il est un Dieu de l’histoire pour beaucoup, mais Il sera un Dieu du présent lorsque vous L’accepterez comme votre Sauveur, et Il deviendra réel dans votre coeur. Quelque chose en vous vous dira... Vous pourriez ne pas avoir des émotions; vous pourriez ne pas pleurer, vous pourriez ne pas parler en langues; vous pourriez ne pas courir; vous pourriez ne pas crier, mais quelque chose va se produire, de sorte que vous saurez–que vous saurez que quelque chose s’est produit. Votre vie s’accordera carrément avec cela tant que vous vivrez.
Et lorsque cette dernière heure viendra et que vous quitterez ce monde, vous ne craindrez aucun mal. «Car Tu es avec moi. Ta houlette et Ton bâton me rassurent.» Après que le médecin vous aura abandonné, et qu’il sera parti, et que vos veines commenceront à se refroidir...
44 C’est comme M. Vaught, l’autre soir (notre remarquable ancien maire de la ville) qui était allé écouter M. Nixon parler... il est mort là sur place. Un homme bien portant, en bonne santé, à ce que je sache.
Lorsque j’effectue un déplacement et que je reviens à la maison, ma femme me dit: «Billy, sais-tu que telle personne est morte?»
L’autre jour, ma fillette était assise à l’école par ici avec une petite fille le jeudi, et le dimanche celle-ci a été enterrée. Elle avait contracté la pneumonie et cela avait atteint son coeur ou quelque chose comme ça et elle... l’a tuée. Elle est morte.
Une amie à moi, Mme Williams qui habite par ici, la femme de Buff Williams... Je le connaissais depuis des années. Zella Brakeman, qui habite ici, si elle est dans la salle quelque part, il s’agit de sa soeur. Ils habitaient juste ici, la porte d’à côté pendant des années, lorsque nous habitions de l’autre côté de la rue. Elle s’en est allée. Elle était un peu nerveuse; mais lorsque je suis rentré, elle était partie. Voyez-vous ce que c’est? Quelquefois, c’est... Vous allez rencontrer cela. Et tout l’argent que vous pouvez amasser, tous les amis que vous pouvez multiplier (Tout ça, c’est très bien), mais tout cela, mettez cela au second rang. Croyez que le Dieu de l’histoire est le Dieu du présent, qu’Il est juste le même; voyez ce qu’Il va faire pour vous.
A vous qui êtes malades et dans le besoin, vous que le médecin a abandonné et pour qui on ne peut plus rien faire, souvenez-vous, le Dieu de l’histoire est le même Dieu aujourd’hui. Maintenant, prions juste un instant alors que nous inclinons la tête.
45 S’il y a ici des gens dans cet état ce soir, je ne sais pas. S’il y a ici ce soir des gens qui savent, concernant le salut de votre âme, que si ce Dieu qui a promis qu’Il viendrait en un instant, en un clin d’oeil, au moment où vous n’y pensez pas, si ce Dieu n’est pas avec vous, et que vous vous imaginiez simplement que vous L’avez, souvenez-vous: «Telle voie paraît droite à un homme, mais son issue, c’est la voie de la mort.» Si vous n’êtes pas certain que–que vous êtes sauvé ce soir, et que vous irez avec Lui s’Il venait, voudriez-vous simplement lever la main vers Lui; et en faisant cela dites–dites: «Aie pitié de moi, ô Dieu.» Merci. Que Dieu vous bénisse. Beaucoup de mains se sont levées.
Y aurait-il quelqu’un d’autre avant que nous terminions, et faisions la prière? Que Dieu vous bénisse, jeune femme. N’ayez pas honte. Eh bien, sûrement... A quoi sert-il de prêcher un Dieu de l’histoire, s’Il n’est pas le même aujourd’hui? Mon frère, ma soeur, je dis ceci: J’ai lu au sujet d’un Dieu de l’histoire une fois. J’ai lu à Son sujet dans des livres, j’ai lu à Son sujet dans la Bible; mais un jour, je L’ai rencontré.
46 Je L’ai rencontré. Il est venu vers moi. Il m’a dit de ne pas boire, de ne pas fumer et–et de ne pas me souiller, et qu’Il avait quelque chose que je devais faire lorsque je serais un peu plus grand. Je n’étais qu’un petit garçon. Il–Il a confirmé cela. Il l’a confirmé. Voici Sa photo accrochée juste ici maintenant, que la science a prise. Voyez? Le monde le sait. Dieu a confirmé cela parmi vous. Il connaît chaque pensée de votre coeur. Il s’est confirmé; Il est le même Dieu aujourd’hui. Il n’est pas un Dieu de l’histoire. Ne soyez simplement pas... Ne laissez pas le monde vous bourrer frauduleusement de souillures et de choses du monde. Croyez-en Lui maintenant même. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Voulez-vous lever la main, ceux qui ne l’ont pas fait, voulez-vous lever la main et dire: «Ô Dieu, je n’en suis pas sûr, mais je veux en être sûr. Laisse-moi...» Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Quelque part... Que Dieu vous bénisse, soeur là derrière. Que Dieu vous bénisse, frère. Quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse là-bas, frère. C’est ça.
Vous direz: «Frère Bill, cela signifie-t-il quelque chose pour moi de lever ma main?» Allez-y, levez une fois la main et vous verrez. Frère, soeur, toutes les fois que vous faites quelque chose de bien, vous vous sentez bien pour cela. Soyez sincère. Maintenant ne mentez pas à Dieu. Ce n’est pas d’ailleurs à Dieu que vous mentez; Il sait; vous vous mentez à vous-même. Vous savez, le mensonge est une chose si horrible qu’on pourra même vous traîner à la cour fédérale, à la cour pénale, et ils vont placer un détecteur de mensonge sur votre bras, et vous tenterez de votre mieux de dire la chose, de faire passer cela pour la vérité, mais vos nerfs prouveront que vous dites un mensonge. Pourquoi? Vous n’avez pas été fait pour mentir. Et si un détecteur de mensonge le sait, que dire de Dieu?
47 Bien, vous direz: «Eh bien, frère, je suis baptiste, je suis presbytérien, je suis méthodiste...» C’est très bien. Mais je vous pose une question. Avez-vous déjà rencontré ce Dieu de l’histoire? S’est-Il tenu dans le buisson ardent devant vous, et savez-vous qu’Il a parlé à votre âme, et êtes-vous sûr que vos péchés ont été effacés? Si ce n’est pas le cas, ne prenez pas de risques, en vous basant juste sur le fait que vous avez adhéré à une église, ou que vous vous êtes rendu là et vous vous êtes senti un peu bien à ce sujet. Vous devez Le connaître. Entendre parler de Lui, recevoir Ses bénédictions, ce n’est pas ça la vie, mais Le connaître Lui c’est ça la Vie, Le connaître, Le connaître personnellement (Le: pronom personnel), Le connaître. Il ne s’agit pas de connaître Son Livre, ni d’en être un bon étudiant, ni un bon membre, ni un homme de bien ou une femme de bien. Ça ne fait pas l’affaire. La loi avait produit cela, mais Le connaître Lui; L’avez-vous rencontré? Est-ce que ce Dieu qui parla à Moïse dans un buisson ardent, est venu au devant de vous? L’avez-vous entendu vous parler, jusqu’au point où vous êtes sûr que c’était Lui? S’Il ne l’a jamais fait, levez simplement la main, dites: «Ô Dieu, parle-moi maintenant. Est-ce Toi qui chuchotes dans mon coeur? Je–je désire Te connaître.»
Que Dieu vous bénisse, jeune dame. Que Dieu vous bénisse là derrière, c’est bon. C’est juste. Quelqu’un qui n’a pas levé la main. C’est bien. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse, vous jeune dame par ici. C’est bon. Que Dieu vous bénisse, vous la petite dame par ici.
48 Maintenant très doucement, avec vos têtes inclinées, chantons doucement.
Un matin doré, Jésus viendra;
Un matin doré, toutes les batailles seront remportées;
Nous crierons victoire, nous traverserons le ciel;
Un matin doré pour moi, pour toi.
[Frère Branham fredonne la mélodie.–N.D.E.] Maintenant, vous qui avez levé la main, si vous désirez que je prie pour vous, et croyez que Dieu va m’exaucer, si vous voulez avancer ici à l’autel... Je me tiens ici, et je vais prier un peu avec vous. L’autel est ouvert. Que Dieu vous bénisse, frère. Que Dieu vous bénisse. Et que Dieu vous bénisse, soeur. Levez-vous immédiatement et venez, si vous croyez que Dieu va accorder son assistance et entendre ma prière pour vous aider à venir jusqu’à Lui, à Le connaître. Maintenant, avancez carrément, ne voulez-vous pas le faire? Un matin, Jésus viendra (Comment savons-nous si ce ne sera pas le matin?)...batailles...
Cette bataille que vous livrez maintenant même, ne voulez-vous pas qu’elle soit remportée maintenant même, mon ami... Qu’elle soit remportée maintenant même, alors vous pourrez crier...
Un matin doré pour moi, pour toi.
Un matin doré, Jésus viendra
Levez-vous simplement, c’est ça. Avancez-vous carrément jusqu’ici autour...
Les batailles seront remportées.
Nous crierons victoire, nous traverserons le ciel
Un...
Ne voulez-vous pas venir maintenant, alors que nous attendons. Nous allons vous assister ici dans la prière, la prière de la foi. Cela nous fait beaucoup de bien. Ne voulez-vous pas venir? Je vous invite à venir accepter le Dieu du temps présent, non pas juste un–un Dieu qui–qui consiste à se rendre à l’église et à dire: «Bien, j’ai adhéré à l’église.» Ce Dieu-là n’agira pas. Un dieu méthodiste, un dieu baptême, un dieu presbytérien, un dieu pentecôtiste n’agira pas. Acceptez le Dieu de cette Bible. Un dieu pentecôtiste ira directement dans le monde. Un dieu méthodiste, ou un dieu baptiste ou tout autre dieu dénominationnel... Mais le Dieu de cette Bible vous rendra semblable à Jésus. Il le fera sûrement. Son Esprit habitera en vous, et toute votre vie sera changée. Ce tempérament colérique, cette malice, cet esprit qui ne pardonne pas, cette chose-là rongera votre âme comme un cancer et celle-ci sera perdue pour l’éternité. Je suis juste en train de lancer un filet maintenant. Cela dépend de vous. Entrez-y, je vous prie. Approchez carrément ici, près de l’autel. Beaucoup d’entre vous ont levé la main là derrière. Ces gens vont vous laisser vous tenir près de leurs sièges. Que le Seigneur vous bénisse, jeune homme.
49 Maintenant, alors qu’elle joue doucement la musique, plusieurs personnes se tiennent ici près de l’autel, sept âmes se sont avancées pour se tenir autour de l’autel. Savez-vous que sept est le nombre parfait de Dieu? La perfection. Le Saint-Esprit vient de descendre sur une personne qui se tient ici maintenant même. C’est ce que j’appelle le Saint-Esprit, frère.
Maintenant, Il est ici pour chacun de vous. Soyez simplement humble dans votre coeur. Qu’en serait-il si ceci était la dernière fois que vous alliez vous tenir près d’un autel, si ceci était la dernière prière que vous alliez dire maintenant même? Et si Jésus venait? Il se pourrait qu’Il frappe à votre porte avant le lever du jour, vous savez. Vous devez partir un jour. Et s’Il est le Dieu de tout; Il est le Dieu de l’histoire, et Il est le Dieu d’aujourd’hui. Il vous a parlé. Vous vous êtes levé ici devant Lui, pour Le rencontrer. Vous vous êtes avancé pour le rencontrer; Il viendra à votre rencontre. Il se tient juste ici maintenant. Confessez simplement dans votre coeur tout ce que vous avez fait de mal. Dites: «Ô Dieu, aie pitié de moi, un pécheur. J’ai fait ce qui est mal; et je–je confesse maintenant de tout mon coeur que j’ai tort. Je veux que tu sois miséricordieux envers moi et que Tu pardonnes mes péchés. Je–je Te servirai le reste de mes jours. Et que ce petit feu qui brûle dans mon coeur, cette petite foi qui m’a fait avancer jusqu’ici à cet autel ce soir, que cela puisse s’ancrer au plus profond de mon âme. Que cela s’ancre ici maintenant même, et que quelque chose en moi brûle et dise simplement: ‘Oui, Jésus, Tu vis et je T’aime.’ Et je vais Te voir sur scène dans les quelques prochaines heures, accomplissant des oeuvres, de grandes oeuvres. Je suis tellement heureux que je me sois avancé lorsque Tu as parlé à mon coeur. Je vais Te voir ôter le cancer des gens, guérir les malades et les nécessiteux, les entendre, à leur retour, témoigner de ce que Dieu a fait pour eux, un Dieu de l’histoire qui est sorti de l’histoire et qui est le même aujourd’hui, venir sur scène, parce qu’Il vient cette fois-ci afin de rester: à Sa Seconde Venue.» Prions maintenant. Que chacun prie avec moi.
50 Dieu bien-aimé, j’amène devant Toi maintenant même ces sept âmes. La première soirée a produit sept astres errants. Tu as dit dans Ta précieuse Parole: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement. Et Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi, mais Je lui donnerai la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour.» Seigneur, c’est Ta promesse. Et par une émotion, un acte de conviction, ces sept précieuses âmes errantes se sont avancées ce soir, parce qu’elles croient que le Dieu qui était... qui a parlé aux prophètes, le Dieu qui parla à l’aveugle, vit encore aujourd’hui. Et elles se sont avancées pour Le rencontrer.
Ce même Dieu qui fit la promesse et qui rencontra le lépreux sur son propre terrain, Lui qui rencontra la femme qui avait la perte de sang sur le rivage, Lui qui rencontra la mort à la tombe de Lazare et la fit reculer, est le même Dieu ce soir, qui se tient ici, afin de rencontrer cette mort spirituelle, et la faire reculer, en disant: «Retire tes mains de ces gens qui sont venus Me confesser après que Mon Esprit leur a fait la cour. Je leur donnerai la Vie Eternelle, et nul ne peut les ôter de Ma main. Je les ressusciterai au dernier jour.»
51 Nous Te remercions pour eux, Père. Et nous prions qu’ils restent fidèles dans Tes mains jusqu’à ce que la mort les libère, lorsqu’ils entreront dans les joies du Seigneur en ce glorieux jour, lorsque le souper des noces sera installé dans les cieux, et que le Roi sortira et dira: «Te souviens-tu du premier jour du mois d’octobre 1958, dans ce petit tabernacle en béton, tu t’étais avancé à l’autel et M’avais accepté comme Ton Sauveur? Je t’avais parlé. Tu étais alors un pécheur, mais maintenant Je t’ai sauvé. Et maintenant tu M’appartiens et tu as la Vie Eternelle. Maintenant, entre dans les joies que J’avais préparées pour toi dès [avant] la fondation du monde.» Accorde-le, Seigneur. Ils sont à Toi maintenant. Nous les recommandons à Toi, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
52 Maintenant, pendant que vous avez la tête inclinée, l’assistance, je vais demander à chacun de vous qui êtes ici à l’autel... Sentez-vous au fond de votre coeur maintenant, au plus profond de votre âme, que cette petite flamme de la foi qui vous a dit de vous avancer ici à l’autel, afin d’accomplir ce geste que vous avez accompli maintenant, après avoir levé la main et vous être avancé, sentez-vous que cette petite flamme a commencé à brûler et à devenir une véritable foi vivante dans votre coeur, et vous croyez maintenant que Jésus a pardonné vos péchés et que vous allez Lui appartenir désormais? Si c’est le cas, je vous demanderai de lever la main droite vers Lui, vous qui êtes près de l’autel, levez votre main droite, si vous sentez que Jésus a pardonné tous vos péchés. Celui qui est près...
Eh bien, il y a deux, trois mains qui ne se sont pas levées. Maintenant, continuez de prier chacun...
E-1 Thank you, Brother Neville. Good evening friends. It's indeed a... I deem this a great privilege to be here at the Tabernacle tonight, to start again, a five night series of meetings. It's been some time since I had a revival here at the Tabernacle. We never announced it in the papers or anything, just so we knew we wouldn't have enough room to seat the people, because it's small, and our seating's very poorly. But we'll do just all we can to accommodate.
E-2 We were going to get the high school gym here, and we could've advertised it, but they're--it's in time of school now, and it's kinda hard to get a hold of. And I will be leaving pretty soon, I suppose, for my missions and so forth across the seas. And I just wanted to come together to have a little fellowship with all the folks, before we went over again. You know, we meet time after time, and one time we're going to meet for the last time. So we--we want to keep right up as close as we can with the Lord and with His Word. And as we see His Word unveiling Itself, day by day, day by day... I thought it would be nice if we had a little meeting here, and then we would pray for the sick.
E-3 And it's been told me, some time ago by a vision, that the Lord gave me, some year ago, I suppose, or maybe a little more... I have it wrote out in a book at home, of a changing of a ministry. And many of you people setting here, I wouldn't say many, but remember, when we first built this Tabernacle? You remember the vision that come the morning we laid the cornerstone there, when He said, "This is not your tabernacle. But He set me under the skies," and said... told me that different things would take place.
If you know, you watched that come to pass, just exactly as it was told. See? And it always has been that way; so therefore, I rest assuredly that what He says, it's God, and it has to be true.
E-4 And then some time ago I was in a vision, and I saw a--a large tent. Oh, it was a mammoth, big affair. And I'd just been speaking, and many souls were at the altar, and were just kindly weeping with their hands up, quietly, and softly. A nice gentle spoken man came out to the platform and said, "Now, they will form the prayer line, while Brother Branham's making ready." And I was standing that way... Of course the prayer line would been to my left. And I noticed a crowd of people, that seemed to cover a city block or more, that was standing in line.
E-5 There was a little building, wooden building, inside of this tent. And there was a woman, standing there or man one, taking names. And people were going in on crutches, and stretchers, and coming out the other side, walking. Well, I wondered what all had taken place in there. And then that Angel of the Lord, Who's picture you see here, It went from me, and went right over that little building, and stood there, and then went down. And a voice spoke and said, "I'll meet you in that place."
Well, now, I've looked forward for that time. I've been off some time now, resting because of overwork. I come back, and the last weekend we had a little, kind of a church doctrine, for three nights here. That's last Saturday night, Sunday morning, and Sunday night, prior to this meeting, kinda get this church shook in condition, so we could go ahead with this meeting, coming on now. And then, immediately after this Sunday night, will be my farewell night to the Tabernacle for some time, as far as I know.
E-6 And now, and I'm hoping and trusting to God, that some time during this week, that I want to use this little room over here for a prayer room, and to take the sick and afflicted in, and see if He will meet me and start at the Tabernacle again on a new ministry. I would sure love to see it done. I do not know what it is, my friend. I do not have any idea what it will be, but He Who listens now, I trust that it'll be something more to help His poor, sick, suffering children of this day. I promised Him that I'll be faithful, and loyal, and try to be more loyal than I was with the other gifts that He has given. And if it shall come to pass, it'll be just as real as the others has been.
Now, them other gifts are still just as firm as they were. See? But I'm looking forward for something new to happen, now. And I hope it takes place here.
E-7 Now, I thought maybe tonight, we would speak and see how I felt. And another thing I wanted to do, I wanted to try to find out when we go in the first time, if I could send my wife in there, and let her be with me, when it comes down the first time to see if it'll be that way. If not, then in bringing women through, we'll bring them two at a time, two women at a time coming through. So I'm not saying that it'll work either way. It's so that you would know, because it's already been said that we were looking for something new to take place, and we are.
But now, I don't say that He told me it would take place. Where I've seen in the vision, was in a tent. But, 'course it might take place anywhere, anytime. So we're looking forward to it.
E-8 Now, we're going to try to let you out early--the song service, a half-hour, and the preaching service, then the altar service, and so forth, about one hour, which make an hour-and-a-half, so that the people standing won't be cramped up, and come back tomorrow night.
Now, just before we open this blessed old Word, and we'll assure you we will never say nothing outside of what's in That, 'cause that's the foundation. And before we do, let us just bow our heads a moment for a word of prayer.
E-9 Dear God, as we stand tonight in Thy presence, and realizing our frail frame, that we're just the dust of the earth, and Thou hast brought us forth as living beings to honor and glorify Thee, and we realize that our lives and our destination lays in Your blessed hands. And we have committed ourselves, by faith, into Your hands, hoping that our eternal destination will be given to us to live with Thee forever in a better world, where we will never have prayer for the sick and the needy. And there will never be a tear fall from a cheek. There'll never be a feeble, rank old person ever come up, but we'll be young there forever, and the glory of God will be upon us. And we'll need no healing, for we'll be eternally healed forever, when this creature that we now are, will be changed and made into a body like His own glorious body. Then we shall see Him as He is. Until that blessed hour arrives for each of us to come, we wish to put forth every effort that we know how, to glorify Thy great Name, with such faith as Thou hast given us.
E-10 So on the eve of this little gathering together here in this little memorial place, in commemorations of the first revival we held here, and the great, mighty works that Thou did show us by Thy great powerful hand. From here has swept forth a revival to every nation, and around the world tonight, revival fires are burning on the hills, and men and women are being healed of their sickness and diseases, and are coming to be acquainted with the true and living God. Oh, Lord God, pour out Your Spirit upon us tonight, Lord, in great measures.
And if it so pleases Thee, Lord, if it's in Thy divine program, we would ask, oh God, that in this building You would start this new gift to operating, that these, ones who has stayed behind from the field and has been the prayer warriors, they might see for the first time, the great hand of Jehovah, moving in this new way (Grant it, Lord.), and be partakers of the fruits.
E-11 We only ask humbly, that it shall be granted here, knowing that it will be somewhere, because we feel that it's in Your great providence to do so. Now, bless us, Lord, and as we turn back the pages of the Book, Your blessed Holy Word, may our spirits be open to receive it, Lord. And when the services is closed tonight, and we start to our different homes, may we say like those coming from Emmaus, "Did not our hearts burn within us, tonight, as He talked to us along the way," for we ask it in His Name and for His glory. Amen.
E-12 Tonight, I have chosen for just a Scripture reading, a few verses, if you wish to turn to it, to the book of Kings, I Kings and the 18th chapter of I Kings. And I want to start reading from the 17th verse. And I wish to take then for a text: "Lifting Him Up Out of History." Now, you that's putting it down, I might quote it again: "Lifting Him Up Out of History." Now, the 17th verse of the 18th chapter of I Kings.
And it came to pass when Ahab saw Elijah, that Ahab said unto him, Art thou he that troubleth Israel?
And he answered, I have not troubled Israel; but thou, and thy father's house, in that ye have forsaken the commandments of the Lord, and that thou hast followed Baalim.
Now therefore send, and gather to me all Israel unto mount Carmel, and the prophets of Baalim four hundred and fifty, and the prophets of the groves four hundred, which eat at Jezebel's table.
So Ahab sent unto all the children of Israel, and gathered the prophets together unto mount Carmel.
And Elijah came unto all the people, and said, How long halt ye between two opinions? If the Lord be God, follow him: but if Baal, then follow him. And the people answered him not a word.
E-13 We are standing, tonight, upon the brim and watching come to pass and unfold two great scenes. And those two great scenes are these: one of them is the ending of history, and the other one is the ending of time.
And many great men, down through the ages has longed to see this hour that we're now approaching. And as we live in this glorious setting of mortal sun and the breaking of the Eternal Light... I do feel that we're living in one of the grandest ages that ever man has been permitted to live, because it's the closing out of time and the blending in of eternity. History only tells us what we have read, of what has been. And what's in the future lays in the hand of God.
And we find out today, that there's not too much history being written, because I don't think it'll ever be used. Both of these great events are running into shallow water. For instance, the... How we're running out the national crisis, and the national security is running into shallow water.
E-14 Traveling around over the world, it seems like, not only our nation, but there is no nation knows just what to do. Seems like there is a turmoil everywhere.
I go into Africa; they're all afraid of an up-rise among the people, and Communism sweeping the land.
I go into Switzerland: the same way. And all the other nations in which I have visit, they seem to be that there is an unsettled peace everywhere.
E-15 Now, you know our Lord predicted such a time to come, that there'd be unrest among the nations, perplexed of times, distress between the nations. And we have tried everything that's seemingly, humanly possible to make it last just a little longer. But I believe that we're just running out. I don't believe that there's anything else that we can do about it. We're just at the end of it.
We tried for a while on having kings and they wouldn't work. Then they tried democracy; it doesn't work. And we're tried... they've tried dictators and it doesn't work. And each one seems to get just a little bit shallower each time.
And now, we stand at the great moment when anything could happen. It could be over in five minutes time, that every nation would be laid to powder. And if we're at that time, where ought the church to be? A great crisis...
E-16 Then also, we have a home life crisis. It seems like the home life is running out into shallow water. It used to be in a home, that father, the head of the house, would set down of a morning, and he would speak with his family, and they would all take out the old family Bible, and read just a little bit, and--and all gather around the table, and have prayer. You don't see that no more. And when the day was done and Ma had the dishes washed, they'd all gather in, and read some more of the Bible, and pray before going to bed.
Juvenile delinquency certainly was a--a hard thing to find in them days. The boys all went to the fields to work, and the girls helped mom with the washing down at the creek. But today, we just push a little button and the dishes are all done, and Ma's in the car and gone to the card party, or out; she's ratting around over the streets and... And the--the work's done by a tractor. And we just don't have nothing but just a bunch of lazy, idle people. And home life is so neglected, till the Bible is laid back, till they'd have to hunt for a hour to find One in many homes in America.
E-17 They go to church on Sunday morning for their religion for about twenty minutes. Since the pastor takes about thirty minutes, he's called on the board. What is it? Home life is running out.
It used to be that father and mother loved, and honored, and cherished one another. And when she was old, and gray, and wrinkled up, and her poor little old face all drawed up and her glasses hanging down over her nose, Pop loved her just as well as he did when she was young and pretty.
But today... I don't mean to be critical, but when she gets a little old, he just swaps her for a new model. It seems to be that way, like swapping cars or something. Seems like that that real family love don't exist much more. Just something has happened. Home life is running out. We don't have the old American home as we used to have it, long years ago.
There's another thing that I would like to say; that is, another thing running out, is friendship is running out. It don't seem like that we have the friends that we used to have. And the friends that we have are not loyal friends like they used to be. It used to be... I can remember, when someone got sick in the neighborhood, that everybody come around, and they helped them with all their work, and lended a hand to anything could be done. Set up with them all night at a time. And as I've often said, it's truth, that we hardly know the neighbor's dead until we see it in the paper. Friendship...
E-18 Papa has a key to the house, and mama has a key, and they're both out and gone half the night; and the children, they don't know where they are. And the little ones are with the babysitter. And that's the way life is lived.
Do you know, the Bible predicts all these things. So what is it, then? It's that we're standing in a position, watching these things run out.
E-19 Let's take church life. There is where it all begins. Church life is running out. The people just take the church today, almost for an idol, like a totem pole. Go set in church five minutes and "I've done my religion,"; pay in your little contribution, whatever it is to pay the pastor, and they don't make that up, they have a little supper, and make it up to the pastor. And if he ain't satisfied, he hauls off to somewhere that'll give him a better wage. Seems like the pastor is not divinely called anymore. Just seems like it's begin to be a meal ticket to the pastor, that the people, wherever offers him the most money, there he goes. It shouldn't be that way.
It should be that a man was called of God to a community. And if he had to lay there like Elijah did, on top of the mountain at the brook Cherith, and expect the crows to feed him, he ought to stay till his divine mission is fulfilled. No matter if he gets a penny or not, it should be the call of God, first.
But it's seemingly it's changed to the call of money, or a bigger position, and something on that order, or to become a more popular person in a bigger church, or something like that. And then, the church in their... they have let down. They begin to run out. Just watch it unfold.
E-20 Now, I'm yet under fifty years old, and I can remember of going to the Baptist church, and the Methodist churches, and watching them in an old fashion revival when they would shout, and praise the Lord, and walk up-and-down the aisles, and persuade sinners to the altar. You never see that at nowhere no more. They used to have old fashion prayer meetings during the time of a revival. And a sinner in the neighborhood, a boy or girl, and them old mammies and daddies would pray so hard, till they'd pray conviction on those children. And they'd make their way down to the altar, and there come to Christ. But you don't see that no more. It seems like it's running in shallow waters. It just don't seem like it ought to be that way.
And then it used to be that most any of the churches would... Many years ago, when they would have a revival in one church, all the other churches would cooperate. And they would come in and help, and send their members over, and close up churches, and have a revival. You don't see it no more. Now, just what's happened? And what you going to do about it? It's just fulfilling the Word of the living God.
E-21 And it points two posts: one if them, the running out of time, and another one, the coming of the Lord Jesus. For the Holy Spirit definitely spoke and said in the last days the churches would be heady, high-minded, lovers of pleasure more than lovers of God, truce breakers, false accusers, incontinent, and despisers of those that were good. So if the Bible has predicted such things to be, how can we expect anything else but that to happen? "Having a form of godliness and denying the power thereof."
Go through this nation today, our nation, and find a little handful of believers that believe, I mean, real believers that believe that Jesus Christ really lives. See, they got the church just to an idol. We've been through that la--the last few days in our teaching. We throw it onto the Catholic church, their idols and bowing to it as they pass by the church. And the Protestants are just as bad--just so they go there once in a while. And maybe some of them just go once a year, and that's on Easter.
E-22 I heard a minister here, not long ago, in the city, that made this remark; he said, "I told all my people on Easter morning, 'A merry Christmas,'" said, "I won't see them no more till Christmas or next Easter. 'A merry Christmas.'"
And as we stand here, watching these things unfold, and each of us mortals--and know that something has to happen, it just can't go on like this. Every person doesn't have time to stop five minutes. They're just on a push, and a run, and a hurry, and a jam through the street.
When the children was coming up the highway this afternoon, I was coming--or noon it was--I was coming from New Albany. And here come a lady down through the road, among those children in about... in a twenty mile zone, about sixty or seventy miles an hour, just hard as she could split. And where's she going? In a few minutes I said, "What do you think about that?" to the person that was with me. Here come two more cars racing, like hot-rodding, right up among those children. Through our lane there, where we live, at morning, it's like a race track. Have to hurry home to wash the dishes, or listen to Arthur Godfrey, or something. Where are you going? What's the matter? What's got the thing all upset, is because men and women have become lovers of this present world. The great thing ought to be, would be, come home to read the Bible and to--time to pray.
E-23 I think about John Wesley's mother, Susanna. She was a mother of seventeen children. And she had time to spend, I think it was either, two or three hours every day in prayer, and raise, and mother seventeen children--which brought forth one of the world's greatest preachers and one of the greatest song writers of the day, Charles and John--because she took time to serve God and not dally in the things of the world.
And when we seen our foundation of our nation, the foundation of our homes, the foundation of our church, sinking, then brethren, what can we do?
Then I want to say this: oh, if I had a voice that I could echo it to the world, we have a solid foundation left, and that's God's blessed, holy Word, the Bible. "For all heavens and earth will pass away, but God's Word shall never pass away. And upon this rock..." God said, "I'll build My church, and the gates of hell cannot prevail against it."
E-24 So what a blessed privilege it is to all of us to reach over and get God's good old Bible, and turn the pages back, and know that we're reading directly Truth, and to see that these times happened in days gone by, for it speaks of a historical God. And the only way that we're ever going to be--to cope with these ways or to--to fall in line, is to call up out of history that historical God. For through all days in the antediluvian destruction, before the coming of Christ, and at different events, He never fails when He called on. He's always right.
E-25 I'm thinking of the time now, that when a nation was in captivity. It was Israel. And they were down in Egypt and was made hard and rigor to serve the Egyptians. It seemed like that everybody had just grown cold. Did you know Israel was in Egypt twice as long as the United States has been a nation? We're not over about a hundred and fifty or seventy years old, something like that. And they were four hundred and twenty years in bondage--or down in Egypt.
But it come a time, when seemed like that all hopes was gone, but there was one man and woman who seemed to have faith in a historical God, that spoke to Abraham in the time of crises, and they believed the could call on Him, and He'd answer. And that was Ham--Amram, and Jochebed, the wife of Ham--Amram--the mother and father of Moses.
E-26 And as here, some time ago I was preaching, and gave a little illustration, of how that Amram would come home at night, and he'd say, "Jochebed, I am so tired." And the fresh lashes on his back from a--a task master's whip...
And she would set down, patiently, perhaps, and wash out the--the places, and weep, and say, "Oh, Amram, isn't there something that can be done? "
Now, we could hear him say, "Oh dear, if you'd have been with me today and seen them beat them young boys, trying to pull those loads. But they were heartless. They treated them like they were animals, and that's our young man of Israel... Isn't there something can be done?"
That's what I wonder now. To see our young teen-age boys, that will be the men and women of tomorrow, our teens today, hair down in their neck, and britches pulled down over their hips, with a pistol stuck in their side, and a cigarette in the side of their mouth. What will it be? It's still slavery under the devil.
E-27 "Isn't there something that can be done?" And Amram, perhaps one of the only ones of the nation would climb up a little stair step, regardless of how tired he was, and there each night he'd call on the God of Abraham, One that he'd learned, that come to Abraham, and come to Job, and come to Isaac, and come to Jacob in hours of distress. And surely if He was God in their day, He'd be God in that day. And if He was God in Moses' day, He's God today. He just needs to be called up out of history, and called on the scene of action.
And I can see Amram, night after night, no matter how tired... That proved his faith in that God. But today, the people, if they don't get everything they ask for the first time they pray, they seem to think that He's dead.
What we need is men and women today of gallant spirit. Men and women who are determined to hold on, till they see a God that really lived, come into action, that will not take "No." for an answer. They're determined to stay with it.
E-28 If they are sick, and the doctor has said they can't get well, yet something within them tells them they're going to be well, hold on no matter what takes place.
Have you joined the churches of the denominational world until you have sapped all your strength from walking from place to place, and you still can't find relief? There's still a God that answers prayer and saves from sin.
E-29 And as we can see Amram, on those wearying nights, back bleeding, climbing up the steps again, until two and three o'clock in the morning, praying, and seem like you just talking to the wind; but down in his Jewish heart there burned a faith, that no winds of doubt could ever blow out. That's the kind of men and women we need to rise on the scene today. If He doesn't answer tonight, He will tomorrow night. If He doesn't answer this year, He will next year, for He's a God--not "a" God--but "the" God.
And we see night after night, as Amram climbed the steps, and Jochebed would come up to him and say, "Amram, dear, you've been up here praying all night. Why don't you just tell some of the boys where you're working, and let them pray awhile."
"Well, honey, what if they don't do it? Somebody's got to do it. Somebody's got to pray through."
That's they way every Christian ought to feel tonight, not waiting for somebody else, but take the front ourselves and go through.
E-30 If we'd believe the Bible to be a history, it's also a prophetic book that tells that that same God shall rise in the last days. And it's time for Him to come on scene. That's what Amram knowed, that Moses had prophesied, or--not Moses, pardon me--Abraham had been given a promise by this God of history Who hadn't answered a prayer in four hundred years, as far as we have record. But He made a promise that He would bring them out.
And it's seemingly, we've had a silent God for a long time. But the hour has come where He's going to rise on the scene.
One night when Amram would prayed, maybe for several years, and his hair, now, was turning gray, and no deliverance, but just getting worse, one night he got right down to business.
That's how we have to do it. Get right down to business. He said, "God, You promised this, and we've looked forward to it, and we seen the signs all year, and the time is at hand. It's time for You to do something about it."
While he was in deep concentrated prayer, praying with all of his heart, he looked, standing in the corner. He rubbed his eyes and looked again. There stood an angel with a sword drawn. He said, "Deliverance is coming. And you're going to bring a son into the world, and he's going to be the one to deliver them." See? God always answers prayer, doesn't He? if we just hold on.
E-31 Moses, when he had led the children of Israel safely into the wilderness, and he came to the Red Sea, and the mountains on one side, and the desert's on the other, and Pharaoh's army, this a-way, and the Red Sea in ahead of them, and they were trapped in a little net. Seemed like that even nature would cry out. What's going to happen? They're finished; Pharaoh's army, by the tens of thousands to ride them down. But what did the people begin to murmur and complain. "Oh, it'd been better if we'd stayed back in our place where we were at."
But there was one among those people, who had the flame of God's faith burning in his heart, who believed that a historical God could rise on the scene in any kind of a difficult. Moses stood with his hands up to God and prayed, until a God of history rose on the scene to be a God in present day. And He opened up the way, and Israel went through the waters on dry land.
E-32 Oh, it was not long after that until Joshua had led the same group, or their children, to the Jordan. And it was in the month of April, when the whole streams were swelling, and the Jordan was five times it's size. Looked like any good military leader would've brought them there different from that. And it was at that very time, when there wasn't a possibility to cross it, but Joshua'd remember, there was a God of history, forty years before, that opened the Red Sea. And He called on that God, and that God came down in great power, and become a God in present crises, and opened the Jordan, and crossed them over.
E-33 Was many years later, when our text reading, tonight, or subject reading, when Elijah had seen the curse of that nation and was up on the mountain... And for hundreds of years there had been no prayer answered in Israel. Yet, Elijah knew that there was a God of history that could come on the scene. And he challenged the unbelieving world to stand in the presence of this God and see which one would answer by fire. And the God, Who could protect the Hebrew children from the fiery furnace, brought down fire and consumed the sacrifice.
It was also not long after that, when a man had died by the name of Lazarus. And there was a God that still lived, that could take Enoch home without even seeing death, and take Elijah up on a chariot of fire, and He was called on the scene in the dark hour of death, and He acted just the way He would at any time. Yet He was a God of history, but was raised up from history to a present crises.
It was down by the Jericho gate, where a blind man set by the road crying. All hopes was gone; no doctors could do him any good; his money was spent. There was nothing left for him, but to set there and dream for a few days, till death would be a sweet relief. And one day, coming down the road, a God of history come on the scene in a present crises. God opened the eyes of the blind.
E-34 It was in Jairus' house, where the doctors had failed, and turned a little girl back to the--to be--to die. And death had come in, and taken it's bitter toll, and had taken the only child of the home, the little girl of twelve, and stretched her out on a couch.
When a broken hearted, little preacher had to forsake his denomination and all of his friends, but he remembered that there was a God of history Who could raise the dead, and he went to find Him. "Seek and ye shall find; knock and it'll be opened unto you; ask and it shall be given unto you." He's still the same God.
E-35 When this God, dwelling in a body called Jesus, the Son of God, when He was called on the scene, called up out of history, the God Who could raise the dead in the Old Testament, bring life back to a dead baby through a prophet, that God cannot die. He's God for eternity.
That baby laying down on the bed, stretched out, and little Jairus, knowing that the Shunammite got her baby back, he said, "That God of history, if He could ever be called into action, He's the same God today." And searching through--he'd heard of some mon--Man that claimed to have the power, and that was Jesus of Nazareth, Who they all hated. But he called Him on the scene, for He was the closest representative he could find of God of today--the God of a living God. And when He was called on the scene, and the historical God was called up, He acted the same way He did, when He spoke to Elijah on that dead baby.
E-36 Let me more say today, my brother or sister, in this present day, when crises, and when cancer is eating the world up, and diseases of all kind, the same historical God that cleansed the leper, healed the sick, and raised the dead, is the same God today. He's waiting anxiously for His people to call Him on the scene of action.
One Who could forgive a heart for committing adultery seven times in a day, He Who could cleanse the vilest sinner and make them white as a lily, that same God of history lives today to clean every blackened heart of sin and unbelief.
E-37 There was a man had a boy with epilepsy, one day, and he took him to the church. And the disciples danced, and hollered around him for awhile, and could do no good, but there was still a God of history that lived. He was determined to find Him. Seeing them coming off the mountain, he run to Him and said, "Lord, have mercy on me. A devil's took my child, and he pines away and falls into the fire."
Jesus said, "I can, if you believe." If you believe what? If you believe, that the God of history still lives today. And He was called on the scene, and the epilepsy left the child.
That same God lives today. When the churches has failed, when politics has failed, when everything else has failed, and man has failed, and everything's failed, God can't fail. He's the God of this old black-backed Bible. His promise is just as true as they ever was, and it's time that His people called on Him, raise Him up from history, for it is written, "Jesus Christ, the same yesterday, today, and forever."
E-38 He's a historical God. And He's a present-time God. And in the last days He said, "I'll pour out of My Spirit upon all flesh. And signs and wonders shall follow them that believe. For in My Name they shall cast out devils. They shall speak with new tongues. If they take up serpents or drink deadly things, it would not harm them. And if they lay their hands on the sick, they shall recover."
That was a historical God that give the promise, and we're the people today, of His pastor. We're the sheep of His fold, and He's waiting on us to stand and call Him on the action. Call Him on the scene. Watch Him go in to move us. Watch Him do the supreme. Watch Him do the thing that man will wonder and scratch their heads and not understand it. He's the historical God and a present day God. He's waiting to be called out of history.
E-39 "Let's not look at Him. What good does a historical God do us if He's only a historical God?" What good would a historical God done Amram and Jochebed? What good would a historical God done to Moses? What good would a historical God done to Lazarus? What good would a historical done--God done to blind Bartimaeus at the gate? And what good would a historical God do you tonight, if He isn't the same today?
He is the same today. He forgives all of our sins and heals all of our diseases. The historical God, called up out of history, He will shine in this last day. What? When time is ending, when politics is ending, when life is ending, when everything's coming to the end, Jesus comes to the life. When everything's met it's doom, He's still shines, the Lily of the valley, the bright and morning Star. He is the same yesterday, today, and forever. Just call on a historical God and watch Him become a present God, raised up out of history to shine just as He did then. He will act the same. He will do the same. He will forgive the same. He will heal the same. His compassions is the same. His willingness is the same. And His power is the same. He's the same. He's waiting for our...
E-40 You can't call Him with your lips. He doesn't come by lip service. He comes by faith. When your faith, not your long prayer, your burning out, but He comes with that little dim faith that's way down in your soul, that can take a hold and say, "That little pain that's been... that brought me to this Tabernacle tonight, can light my soul afresh, can send me away from here a-burning and singing just like the birds in the air. Why? He's a historical God and a present day God. He's waiting to be called on. Call upon the Lord. He will hear you.
Speak to Him in songs. Pray to Him and believe Him. He will answer. And these words I say, in closing, that's the reason this meeting tonight, that's the reason this meeting is started. I believe that the God, that told me twenty-seven years ago, when we put this foundation stone in yonder, that I'd preach the Gospel around the world... He brought it to pass. When they laughed and said, "Where you going, Billy, with your seventh grade education?"
I said, "I'm going in the Name of the Lord Jesus."
E-41 When I preached my sermon, before leaving, eleven years ago, across this pulpit, Miss Gurdy setting there, sang that, "Only Believe," and the great giants stood yonder, like... I preached on David and Goliath. There was science, and the great known world to condemn Divine healing, and put it to shame, and everyone tell me, "Boy, you'll crack up out there. They'll throw you in jail. They'll do this, that, or the other..." But the God of history had come on the scene, yonder, and told me to do it. And I did it, by His grace and His mercy.
That same God that was history of ten years ago, has raised on the scene again; just as sure as He brought that to pass, He shall bring this to pass. He's the God of history, and He's God of present day. He never slumbers or sleeps. He cannot die, for He had no beginning or no end.
E-42 And in your case, tonight, sinner friend, that little tickling feeling around your heart, that tells you that He is the same, that tells you that He can free you from every burden, and every crime, and every sin that you've committed against Him... What can you put your hopes in? Not even in your own home, not in your wife, not in you family, mother or father. "My hopes is built on nothing less than Jesus blood with Righteousness. When all around my soul gives way, then He's all my hope and stay. On Christ that solid rock we stand. All other grounds is sinking sand."
Church, friend, whatever it is, they're all coming to an end but He lives forever. And because He lives we live with Him.
E-43 What would you give in exchange? What could you give? What if God called you tonight to answer at the judgment? What would you do about it? You put your hopes in the nation; it's breaking, like all others. Put your hopes in a certain election that's coming on--them man, I have nothing against them, but they're immorally, and going to leave. You can't put your hopes in nothing at all that's going to hold, but the God of history Who promised He'd rise.
And some blessed day, they may take to yonder and pour the dirt on top of you, the undertaker, but the Up-taker will come around one of these days. The undertaker will take you down, but the Up-taker will take you up, just as sure, for those who are dead in Christ will God bring with Him when He comes. For He's a God of history now to many, but He will be a God of present day when you accept Him as your Saviour, and find Him real to your heart. There'll be something in you that tells you... You might not be emotional; you might not cry; you might not speak with tongues; you might not run; you might not shout, but something will happen, that you'll know--that you'll know that something's taken place. Your life will tally right with that, as long as you live.
And when the last hour comes and you leave this world, you won't fear no evil, "For Thou art with me. Thy rod and Thy staff, they'll comfort me." When the doctor has turned you down, and walked away, and the cold veins has come up...
E-44 Like Mr. Vaught, here the other night, our notable ex-mayor here of the city, went to hear Mr. Nixon speak--died, right on the scene. Good, healthy man, as far as I know.
I'll go away from home and come back; my wife said, "Billy, did you know so-and-so died?"
The other day, my little girl was setting in school up here with a little girl on Thursday, and on Sunday they buried her. Took pneumonia, and it went to her heart or something and she... killed her. She was dead.
A friend of mine, Mrs. Williams, over here, Buff Williams' wife... I knowed him for years. Zella Brakeman, here, if she's in the building somewhere's, it's her sister. They lived right here next door for years, when we lived across the street. Went away. She'd been a little nervous; but she was gone when I come back. See what it is? Sometime it's... You're going to meet it. And all the money you can accumulate, all the friends you can accumulate (Them's all right), but all those, let that be secondarily. Believe a God of history, that He's a present day God just the same; see what He will do for you.
To you that's sick and needy, the doctor has turned you down and can do no more for you, remember, the God of history is the same God today. Let us pray, just a moment now, as we bow our heads.
E-45 If there is those in here tonight, I know not. If there are those in here tonight, who knows for the salvation of your soul, that if that God Who promised that He'd come in a moment, in the twinkling of an eye, when you think not, if you're without Him, you just imagine you have Him... Remember, "there is a way that seemeth right, but the end thereof is the ways of death." If you're not positive that--that you are saved tonight, and He should come you'd go with Him, would you just do so much as to raise your hand to Him and by doing, say--say, "Be merciful to me, God."? Thank you. God bless you. Many hands went up.
Would there be another before we close, would just... and have the prayer... God bless you, young woman. Just don't be ashamed. Now, surely... What good does it do to preach a God of history, if He isn't the same today? And brother, sister, I say this; I read of a God of history one time. I read of Him in books; I read of Him in the Bible; but one day I met Him.
E-46 I met Him. He come to me. He told me not to drink, not to smoke and--and defile myself, and He had something for me to do when I got a little older. I just a little boy. He--He proved that. He did it. Here's His picture hanging right here now, where science has took it. See? The world knows it. He's proved it among you. He knows every thought in your heart. He's proved Hisself; He's the same God today. He's not a God of history. Don't be just... let the world smuggle you down with the smut and stuff of the world. Believe Him right now.
[Blank.spot.on.tape--Ed.]
Would you raise your hand, some that hasn't, would raise your hand, say, "God, I'm not sure about it, but I want to be sure. Let me..." God bless you, young man. Somewhere... God bless you back there, sister. God bless you, brother. Someone else? God bless you, sister. God bless you over there, brother. That's right.
You say, "Brother Bill, would it mean anything to me to hold up my hand?" You go, hold up your hand once and find out. Always, brother, sister, when you do anything right, you feel good about it. Be honest. Now don't lie to God. You're not lying to God; He knows; you're lying to yourself. You will lie such a horrible thing, till even they can take you in the federal courts, and criminal courts, and put a lie detector on your arm, and you can try your best to tell that thing, make it sound like the truth, but your nerves will prove that you're telling a lie. Why? You wasn't made to lie. And if a lie detector knows, what about God?
E-47 Well, you say, "Well, brother, I'm a Baptist, I'm Presbyterian, I'm Methodist..." That's all right. But I'm asking you one thing: have you ever met this God of history. Has He stood in the burning bush before you, and you know that He spoke back to your soul, and you know your sins are gone? If that isn't so, don't you take no chance, just on joining church, or went up there and felt a little good about it. You got to know Him. Not to hear of Him, not to have His blessings is Life, but to know Him is Life-- to know Him, personally know Him, Him, personal pronoun, know Him. Not know His Book, not be a good student, not be a good member, or a good men, or a good woman, that don't do it. The law did that, but to know Him--have you met Him? Is that God Who spoke to Moses in the burning bush, come before you? Have you heard Him speak to you, till you know it was Him? If He hasn't, just raise your hand, say, "God, speak to me now. Is that You humming around my heart? I--I want to know You."
God bless you, young lady. God bless you back there; that's good. That's right. Someone who hasn't, that's right. God bless you, sister. God bless you, young lady, here. That's good. God bless you, little lady over here.
E-48 Now, real quietly, with your heads bowed, softly humming;
Some golden daybreak Jesus will come
Some golden daybreak, battles all won.
We'll shout the victory, break through the blue
Some golden daybreak for me, for you.
[Brother Branham hums the tune--Ed.] Now, you that raised your hands, if you so desire my prayers for you, and believe that God would hear me, you want to walk up here to the altar... Let me stand here and pray with you a little. Altar's open. God bless you, brother. God bless you. And God bless you, sister. Stand right up and come, if you believe God will help and hear prayer for me to help you come through to Him, to know Him. Walk right up now, won't you?
Some golden daybreak Jesus will come; (How do we know it won't be in the morning?)
Battles...
That battle you're fighting, right now, won't you let it be won right now, buddy... Let it won right now, so you can shout the...
Some golden daybreak, for me, for you.
Some golden daybreak Jesus will come;
Just get right up, that's right. Make your way right up around...
Battles are won;
We'll shout the victory, break through the blue;
Some...
Won't you come now, while we're waiting. We'll help you here in prayer, the prayer of faith. Does a lot for us. Won't you come. I'm persuading you to come accept the God of present time, not just a--a God that--that you go to a church and say, "Well, I joined the church." That God won't work. A Methodist God, a Baptist God, a Presbyterian God, a Pentecostal God, they won't work. Get the God of this Bible. A Pentecostal God will go right out in the world. A Methodist God, or a Baptist God, or any other denominational God... But the God of this Bible will make you like Jesus. He sure will. His Spirit will dwell in you, and all your life will be changed. That temper, that malice, that unforgiving spirit, that thing, it'll canker your soul in a lost eternity. I'm just swinging forth a net now. It's up to you. Follow it in, won't you. Move right out around the altar here. Many of you raised your hands back there. The people will let you up around their seats. Lord bless you, young man.
E-49 Now, while she's softly playing the music, here stands several around the altar--seven souls, that's come forward to stand around the altar. Do you know seven is the perfect number to God? Perfection. Holy Spirit's just come down on a person standing here, just now. That's what I call the Holy Spirit, brother.
Now, He's here, to each one of you. Just be humble in your hearts. What if this is the last time you was ever going to stand around an altar, this was the last prayer you was ever going to say, right now? Jesus was going to come. He might knock at your door before morning, you know. You got to go some day. And if He's a God of all; He's a God of history, and He's a God of today. He spoke to you. You've raised up here before Him, to meet Him. You've come forward to meet Him; He will meet you. He's standing right here, now. Just in your heart confess all that you've done that's wrong. Say, "God, be merciful to me a sinner. I've done wrong, and I--I now confess with all my heart that I'm wrong. I want you to be merciful to me and forgive me of my sins. I--I'll serve You the rest of my days. And let this little fire, that's burning in my heart, little faith that made me come up here at this altar tonight, let it just catch way down deep in my soul. Let it catch right here now, and something burn out that just tells me, 'Yes, You live; Jesus, and I love you.' And I'm going to see You on the scene in the next few hours, doing things, great things. I'm so glad that I come forward when You spoke to my heart. I'm going to see You make cancers to leave the people, heal the sick and the needy, hear them return back, testifying what God has did for them--a God of history Who's raised up out of history and is the same today, coming on the scene, because He's coming this time to stay: His second coming." Let us pray now. You pray with me, each one of you.
E-50 Dear God, I bring before Thee, just now, these seven. The first night produced seven wandering stars. You said in Your precious Word, "No man can come to me except My Father draws him first. And he that comes to Me I will in no wise cast out, but will give eternal Life, and will raise him up at the last day." Lord, that's Your promise. And by an emotion, an action of conviction, these seven, precious, wandering souls has stepped forward tonight, because they believe that the God that was--spoke to the prophets, the God that spoke to the blind man, He lives yet today. And they step forward to meet Him.
That same God Who made the promise and met the leper on his own grounds, Who met the woman with the blood issue at the river bank, Who met death at the grave of Lazarus and turned him around, is the same God tonight, Who stands here to meet this spiritual death, and turn him around, and say, "Take your hands from these, who have come to confess Me upon the wooing of My Spirit. I'll give unto them eternal Life, and no man can take them from Me. I'll raise them up at the last day."
E-51 We thank You for them, Father. And we pray that they will remain faithful in Your hands, until death shall set them free, when they shall enter into the joys of the Lord on that great day, when the wedding supper is being set across the skies, that when the King comes out and says, "You remember that first day of October 1958, at that little concrete tabernacle, you walked up and took Me as your Saviour. I spoke to you. You were a sinner then, but now I saved you. And now you're mine, and you have eternal Life. Now, enter into the joys that I've prepared for you from the foundation of the world." Grant it, Lord. They are Yours now. We commit them to Thee, in Jesus Christ's Name, amen.
E-52 Now, with your heads bowed, the audience, I'm going to ask each of you here at the altar, do you feel down in your heart now, from the very depths of your soul, that the little flame of faith that told you to come forward to the altar here, to do this act, that you have now done, after raising your hand and walking forward, do you feel that that little flame has begin to burn towards a real living faith in your heart, and you now believe that Jesus has forgive your sins and you're going to be His from now on? If you do, would you raise your right hand to Him, the ones around the altar, raise up your right hand, if you feel like that Jesus has forgive all your sins. One around...
Now, there's two, three hands not up. Now, just keep a-praying everyone...