La Foi De Marie

Date: 59-0409 | La durée est de: 1 heure et 17 minutes | La traduction: Shp
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1          ...pour un mot de prière. Ô Seigneur, nous Te sommes reconnaissant d’avoir le privilège de revenir dans la maison de Dieu. Je crois qu’il est écrit dans les Ecritures: «Je suis dans la joie quand on me dit: ‘Allons à la maison de l’Eternel!’» Et nous ne connaissons pas de plus grand privilège, que nous ayons, que celui de venir dans Ta maison pour T’adorer. Et nous prions ce soir, Père, que celle-ci soit une soirée extraordinaire à cause de la Présence du Saint-Esprit.

            Puissent les pécheurs être sauvés ce soir, tous ceux qui sont dans l’économie de Dieu. Que toutes les maladies soient guéries ce soir et que le Nom de Dieu soit glorifié. Car nous le demandons au Nom de Son bien-aimé Fils, notre Sauveur, Jésus-Christ. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

2          Il y a quelques soirées, je racontais ici, à l’intention de l’auditoire visible et des auditeurs à la radio, une histoire sur ce qui s’était passé ici à Los Angeles, l’une des scènes les plus pathétiques que j’aie jamais vue: un enfant qui se mourait de cancer dans un hôpital ici. Et je restais chez mon brave ami, frère Miner Arganbright. Et il s’est fait que pendant que je racontais l’histoire, le père de l’enfant était présent. Et je lui ai demandé d’amener ce petit enfant ce soir; il est présentement âgé d’environ sept ou huit mois. Et le petit enfant a été renvoyé de l’hôpital, il a pris son premier repas; et aujourd’hui, il est bien portant.

            La famille est donc ici ce soir pour présenter à cet auditoire visible le petit Ricky DePompa. Et ils vont le présenter en ce moment, vous pourrez voir le petit garçon qui se mourait de cancer à l’hôpital, et le Seigneur Jésus a guéri ce petit enfant, un petit de neuf mois, je pense, Ricky DePompa. Rendons gloire à Dieu pour cette grande oeuvre. Voilà le petit Ricky. Je pense que c’est un miracle du Dieu Tout-Puissant. Je sais que vous êtes tous contents.

3          Inclinons juste la tête pour rendre des actions de grâces. Seigneur, c’est un trophée de Ta grâce, le petit Ricky est vivant ce soir grâce à Ta bonté. Il est ici et nous en sommes reconnaissants. Accorde que le petit enfant devienne un grand homme qui prendra cette Epée après que son père aura eu à La déposer. Je réclame cette bénédiction pour le petit Ricky au Nom de Jésus-Christ. Amen.

4          Merci beaucoup, à vous tous, de l’avoir apporté ce soir, c’est vraiment gentil de votre part. Tous mes remerciements. A vous les auditeurs à la radio, vous auriez dû voir ce petit enfant dont la tête avait peu près deux ou trois fois la dimension de celle d’un enfant normal. Et ses petites mâchoires étaient tellement blessées et... où les médecins avaient fidèlement travaillé pour épargner la vie de ce petit enfant. Et rien ne pouvait être fait. Cela avait simplement exaspéré le démon, et la petite langue ressortait par la bouche et ça avait noirci, et son souffle était coupé au point qu’il ne pouvait pas respirer par le nez ni par la gorge. On a dû ouvrir au niveau de la gorge, ou plutôt de la poitrine, et introduire un petit sifflet pour qu’il puisse ainsi respirer, et une infirmière aspirait le mucus au travers de cela pour permettre au petit garçon de conserver le souffle. Et le voici ce soir, un enfant normal par la grâce de Dieu. Nous sommes reconnaissants au Seigneur. Eh bien, à vous qui souffrez du cancer, prenez courage, Dieu est le Guérisseur.

5          Ce soir, j’aimerais lire un passage de la Parole sacrée de Dieu dans Saint Luc, chapitre 1, versets 37 et 38. Je pense que je vais aussi lire le–le verset 36.

Voici, Elisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils en sa vieillesse,... celle qui était appelée stérile est dans son sixième mois.

Car rien n’est impossible à Dieu.

Marie dit: Je suis la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon ta parole. Et l’ange la quitta.

            Le soleil de printemps était haut levé dans les cieux de Judée alors qu’elle remontait la rue ce matin-là, portant une cruche d’eau sous le bras. Et son tendre petit esprit se souvenait de la veille, à la synagogue, où son fiancé et elle étaient assis, écoutant un–un sermon prêché par le rabbin. Et comment, dans son adresse, il avait expliqué aux gens pourquoi ils étaient établis dans ce pays-là, que cela était une promesse que Dieu avait faite à leur père Abraham des centaines d’années avant, comme quoi ils hériteraient absolument ce pays; que, comme Dieu avait fait une promesse, Il ne pouvait pas y revenir; qu’ils avaient traversé la mer Rouge à sec, et qu’avant cela, Dieu les avait arrachés des mains de l’ennemi.

6          Et Dieu aime arracher Ses enfants des mains de l’ennemi. Et Il l’a prouvé avec le petit Ricky ici. Il les a arrachés de la main de l’ennemi, par de grands miracles et de grands prodiges, et Il les a nourris dans le désert pendant quarante ans... Et ils sortirent du désert, un voyage de quarante ans, sans une personne faible parmi eux. Même leurs habits ne s’étaient pas usés. Quel grand Dieu ils avaient! Mais à la fin de son Message, il a ruiné ce dont il parlait, disant que ces jours glorieux où Jéhovah traitait avec les gens comme cela n’étaient plus indispensables. Ils s’étaient établis dans leur patrie et ils n’avaient plus tout à fait besoin de miracles. Ils avaient de bons médecins pour leurs maladies (Ce qui est certainement en ordre), et ils avaient un... ils étaient dans de meilleures conditions, ils avaient des maisons, et ils n’avaient plus besoin du Dieu des miracles, pas du tout.

            Mais d’une manière ou d’une autre, cela ne satisfaisait pas la soif et la faim de Joseph et de Marie. Voyez, ils étaient fiancés pour se marier tantôt.

7          Et comme il était de coutume, après la réunion, eh bien, Joseph l’accompagnait parfois chez elle. En effet, leur maison était juste de l’autre côté de la colline, où Joseph le charpentier construisait une petite maison spéciale. Vous savez, cette maison devait porter cette petite touche particulière, car c’était là qu’il amènerait sa petite épouse. Les portes devaient se fermer hermétiquement. Les fenêtres devaient être d’aplomb, car c’était là qu’il devait passer sa vie avec sa petite épouse.

            Et après le repas du midi, ils allaient peut-être s’asseoir sous la véranda de devant et regardaient en direction de cette petite maison, pensant au temps où ils y vivraient ensemble heureux, qu’il y aurait des roses aux fenêtres, et ainsi de suite. Alors, en ce dimanche après-midi, Joseph a dit: «Celle-ci semble être une journée étrange.»

8          Et Marie a dit: «Tu sais, depuis que j’ai entendu le rabbin dire que ce Grand Dieu qui nous a amenés ici et qui a fait de nous ce que nous sommes, Il n’a plus à accomplir des oeuvres pour nous aujourd’hui comme à l’époque, ça fait longtemps que je pense que si ce Dieu a été aussi grand à l’époque de nos pères qu’Il l’était à celle de nos grands-pères, pourquoi donc n’est-Il pas le même Grand Dieu aujourd’hui?»

            Ça, c’est absolument une bonne pensée. Et elle est retournée dans la maison et elle a dit: «Nous allons lire quelques passages des Ecritures, juste n’importe où Dieu nous conduira.» Alors, elle a pris le rouleau d’Esaïe. Et elle s’est mise à lire, disons quelque chose comme ceci, Esaïe 9.6: «Un Enfant nous est né, un Fils nous est donné.» Et de ses yeux doux et aimables, elle a jeté un regard et a demandé à son fiancé Joseph: «De qui, à ton avis, parlait le prophète?»

            «Eh bien, répondit Joseph, Marie, je crois qu’il parlait du Messie qui devait venir. Et c’est pourquoi nous gardons notre système sanguin pur et que nous ne nous mélangeons pas avec les autres nations; en effet, un jour, Dieu enverra le Messie parmi nous.»

            Elle y pensait pendant qu’elle longeait la rue très tôt, au lever du soleil. Et–et elle se rendait au puits public pour puiser la provision quotidienne d’eau. Généralement, les femmes y allaient un peu plus tard puiser de l’eau, mais Marie, d’une façon ou d’une autre, était conduite à s’y rendre tôt ce matin-là. Alors qu’elle marchait en méditant sur ces choses, elle éprouva une sensation étrange autour d’elle.

9          Et vous savez, généralement, c’est quand nous pensons à Dieu et que nous gardons notre esprit sur Lui qu’Il s’approche de nous.

            Je pense que c’est l’un des grands problèmes qu’ont les gens aujourd’hui. Nous avons trop d’autres choses à l’esprit. Même lorsque nous venons à un service de guérison, on dirait que nous pensons: «Eh bien, je n’ai pas reçu une carte de prière ce soir.» Ou peut-être: «On ne priera pas pour moi.» Nous ne serons jamais capables d’accomplir grand-chose tant que nous avons ce genre de pensées. Cet Angelus Temple a soif d’une effusion du Saint-Esprit. Non seulement lui, mais tous les Etats-Unis et tous les chrétiens attendent un réveil dans notre époque. Mais nous attendons que quelque chose arrive, et je crois que Dieu a permis que cela arrive; mais nous ne faisons que renvoyer cela à un autre moment, au point que la chose nous passera par-dessus la tête et notre temps de grâce sera fini. Soyons positifs dans nos pensées. Croyons donc que, ce soir, le réveil éclatera à Angelus Temple. Croyons que celle-ci est la soirée où Dieu accomplira abondamment au-delà de tout ce que nous pouvons faire ou penser, qu’Il fera ce soir. N’acceptez pas le non comme réponse. Lorsque vous méditez sur ces choses, c’est alors que vous créez une atmosphère autour de vous.

10        Alors qu’elle méditait là-dessus, elle leva les yeux et elle crut avoir vu une petite Lumière tremblotante. Et peut-être que la petite vierge s’est frotté les aimables yeux d’apparence angélique, regarda tout autour et se dit: «Eh bien, c’était peut-être le reflet du soleil sur quelque chose.» Elle s’est avancée et a tourné le coin, se dirigeant vers le puits public. Elle a de nouveau baissé sa petite tête et s’est enveloppée de son petit châle autour des épaules. Et elle a poursuivi son chemin, pensant à ceci: «Que signifiait ce passage d’Esaïe 9.6?» Lorsque Dieu place quelque chose sur le coeur de quelqu’un, c’est qu’Il est sur le point d’accomplir quelque chose. C’est pourquoi Il est sur le point d’accorder à Angelus Temple une effusion de l’Esprit, parce que c’est un besoin qui est dans vos coeurs.

            Puis, alors qu’elle méditait sur ces choses, elle a de nouveau relevé la tête quelque temps après; elle éprouva un sentiment très étrange. J’aime vraiment sentir la Présence du Saint-Esprit. Cela accorde simplement cette assurance bénie. Vous n’avez pas toujours à voir Cela; Il est là de toute façon.

11        Alors qu’elle s’avançait, elle a de nouveau levé la tête, et là était cette grande Lumière, devant elle, peut-être la même Colonne de Feu qui avait conduit les enfants d’Israël. Le grand Archange Gabriel sortit de cette Lumière, Gabriel, marchant, et il a dit: «Je te salue, Marie.» Cela signifie: «Arrête-toi.» «Tu es bénie d’entre les femmes.» Il est difficile de dire si les autres femmes s’étaient rendues au puits ce matin-là, peut-être qu’elles pensaient à la vaisselle qu’elles avaient à faire, ou à une tâche quelconque, ou à un service de l’église dont elles devaient se charger. Cependant, Marie méditait sur les Ecritures. Cléopas et son ami, au premier matin de Pâques, n’étaient-ils pas en train de méditer sur les Ecritures quand Jésus leur est apparu? Et quand elle vit ce grand Ange, la petite vierge fut effrayée, et elle s’arrêta. Et l’Ange s’approcha d’elle et la salua. Et Il lui donna un message. C’était un message difficile à croire pour cette enfant; en effet, elle n’était qu’une–une jeune fille. Il lui donna quelque chose à croire, qui était plus inhabituel et plus difficile à croire que n’importe quoi qu’Il ait jamais donné à qui que ce soit.

12        Six mois avant cela, Il avait rencontré Zacharie, le sacrificateur, au temple. Et celui-ci était un homme âgé; il avait lu les Ecritures et Les avait enseignées. Et comme il était vieux et que sa femme était stérile, l’Ange, le même Ange, lui avait dit qu’après les jours de son service à l’autel, agiter l’encens pour les prières du peuple, qu’à son retour à la maison, sa femme concevrait et donnerait naissance à un enfant. Ce prédicateur demanda à l’Ange: «Comment est-ce possible? Je suis vieux, et ma femme est vieille.»

            Il avait beaucoup d’exemples dans la Bible. Il y avait eu Anne, au temple, qui avait donné naissance au prophète Samuel dans sa vieillesse. Il y avait eu Sara, qui avait engendré Isaac à l’âge d’environ cent ans. Mais ici, cette petite jeune fille devait croire quelque chose qui n’était jamais arrivé: une femme donner naissance à un enfant sans avoir connu d’homme. Elle a dit: «Comment cela se fera-t-il, mon Seigneur?» L’Ange a dit: «Le Saint-Esprit te couvrira de Son ombre: et ce Saint Enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu.» Observez-la. Elle n’a pas douté de cela. Elle a dit: «Voici la servante du Seigneur; qu’il me soit fait selon Ta Parole.» Si seulement nous pouvions faire cela! C’est tout ce qui est à faire. C’est ce que Dieu aime. L’unique moyen de se mettre en ordre avec Dieu, c’est de Le prendre au Mot. C’est l’unique moyen de plaire à Dieu, c’est de recevoir Sa Parole. Ne vous confiez pas en votre intelligence. Vous allez raisonner, en disant: «Comment cela peut-il se faire? Cela ne peut pas se faire.» Lorsque vous raisonnez, vous perdez alors la victoire. Il nous faut renverser les raisonnements et croire que ce que Dieu a dit est la vérité.

13        Marie a pris Dieu au Mot, et Il a changé tout le cours de la vie naturelle pour elle.

            Et Il changera le cours de votre vie ce soir si vous Le prenez au Mot. Si vous êtes un pécheur, Il redressera votre vie tordue. Que vous soyez vil et immoral, Il vous rendra aussi pur que le lys si seulement vous Le prenez au Mot. Cette conscience souillée du péché qui vous fait regarder aux choses immorales, qui vous fait prendre le Nom du Seigneur en vain, qui fait que vous ayez un tempérament assez colérique pour affronter une scie circulaire, Il changera ce cours de la vie pour vous et fera de vous une nouvelle créature en Son Fils Christ Jésus rien qu’en Le prenant au Mot.

            Si vous souffrez du cancer ce soir, Il changera cela pour vous et vous donnera une bonne santé. Si vous souffrez de la tuberculose ou de quelque maladie que ce soit, pour laquelle les médecins ne peuvent pas accorder de l’assistance, Il changera cela pour vous si seulement vous Le prenez au Mot. Et voici Sa Parole: «Je suis l’Eternel ton Dieu qui te guérit de toutes tes maladies.» Oh! combien notre Seigneur est glorieux et merveilleux!

14        Eh bien, aussitôt que l’Ange lui a parlé de sa cousine, et qu’elle avait accepté que la volonté du Seigneur soit faite, l’unique chose dont elle était sûre qui allait arriver, c’était que le Saint-Esprit allait accomplir cela. Oh! si seulement nous pouvons faire ancrer cela dans nos coeurs! Comment un cancer peut-il être guéri alors que les médecins l’ont abandonné? Ce n’est pas à moi de chercher à comprendre ça. Il est question de recevoir la Parole du Saint-Esprit. C’est Lui qui a fait la promesse. C’est Lui qui confirme cette promesse. Il est tenu d’accomplir cette promesse.

15        Une autre chose que j’aimerais que vous remarquiez au sujet de Marie, c’est qu’elle n’a pas attendu d’être convaincue. Elle n’a pas attendu de sentir la vie, ou un signe physique montrant qu’elle allait avoir cet Enfant, avant de dire quoi que ce soit à ce sujet. Elle a simplement pris... La Parole de Dieu était assez suffisante pour elle. Et elle s’est aussitôt mise à se réjouir. Oh! Si Angelus Temple, si vous ici présents ce soir, vous savez que c’est la volonté de Dieu de se déverser ici ce soir! Vous savez que c’est la volonté de Dieu d’envoyer un réveil dans ce tabernacle ce soir. C’est Dieu qui a fait la promesse. On m’a demandé de faire encore une semaine, et j’ai accepté de faire encore une semaine, parce que... [Les gens applaudissent.–N.D.E.] Merci. En effet, j’étais...

16        Avant de quitter chez moi, j’ai un peu tiré le temps en longueur pour entreprendre une partie de pêche là où j’ai toujours voulu me rendre, là au Mexique, avec mon bon ami, frère Arganbright; il allait me payer un voyage en avion vers là. Oh! combien j’aime pêcher! Et cela m’a été présenté. On a fait des réservations, l’avion est prêt à quitter lundi. Mais j’ai senti dans mon coeur que Dieu allait accomplir quelque chose ici à Angelus Temple. Et je–je ne suis pas un fanatique.

            Quand j’ai quitté chez moi, j’ai dit à mon secrétaire du champ missionnaire, monsieur Mercier, je lui ai dit: «Je pense que je ferai une semaine de plus à Angelus Temple, car j’aimerais voir un réveil éclater de nouveau dans ce temple-là, qui répandra la puissance de Dieu, qui balayera le monde entier.» Un réveil où le peuple de Dieu se rassemblera encore, os contre os, et les nerfs de la peau... Je crois que Dieu va le faire. D’une manière ou d’une autre, je pense avoir une promesse comme quoi Il l’accomplira. Dans mon coeur, il y a Quelque Chose qui se meut, me disant que quelque chose va se produire. J’ai tout annulé pour me préparer pour cela, laissant le champ libre pour voir ce qu’il y a dans mon coeur, qui parle à ce sujet.

17        Marie n’avait pas attendu d’être convaincue. Elle n’avait pas attendu de voir un signe naturel. Si j’attendais un signe naturel pour ce pour quoi je suis conduit ce soir, je m’attendrais à ce que chaque siège ici soit occupé, alors que la salle n’est occupée qu’à environ deux tiers. Mais cela importe peu. On n’a pas à avoir une foule qui déborde. Il y avait cent vingt personnes dans la chambre haute, mais ils étaient tous dans la main de Dieu. Dieu a déclenché un réveil qui ne s’est jamais arrêté, un feu qui ne peut s’éteindre, avec ces cent vingt qui s’étaient complètement abandonnés entre Ses mains. Qu’est-ce que Dieu peut faire ici ce soir avec ces centaines entre Ses mains? Il est juste question de vous préparer, de croire et de tenir Sa promesse devant Lui.

18        Or, Marie pouvait attendre jusqu’à ce qu’elle ait un signe quelconque qu’elle deviendrait mère. Et vous pouvez attendre la fin de la réunion, que vous sentiez que vous pouvez un peu mieux bouger votre jambe estropiée, ou que vous entendez un peu mieux avec cette oreille sourde, ou que le cancer ne semble plus trop vous déranger. Ça, ce n’est pas prendre Dieu au Mot. Prendre Dieu au Mot, c’est entendre Sa Parole, L’accepter et se mettre à s’En réjouir.

19        Nous pourrions voir cinq cents personnes se précipiter ce soir vers l’autel, ce qui serait donc un bon signe que le réveil va éclater. Mais nous n’avons pas à avoir cinq cents personnes à l’autel, il nous faut juste accepter la Parole de Dieu comme Telle et commencer à nous réjouir. Quelque chose se produira. La Parole est vivifiée lorsque nous L’arrosons avec des louanges. Qu’est-ce qui fait pousser une semence? C’est l’eau. Ce qui fait pousser la Parole de Dieu, ce sont des louanges à Dieu.

20        Lorsque Jésus leur a dit d’attendre dans la chambre haute, ou plutôt dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce qu’ils soient revêtus de la puissance d’En Haut, cette Parole tomba dans leurs oreilles. Ils étaient sans cesse au temple, louant Dieu jour et nuit. Que faisaient-ils? Arroser cette promesse-là. Et tout à coup, il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux et il remplit toute la maison où ils étaient assis. La Parole était en train d’être arrosée. Elle fut vivifiée et se mit à pousser.

21        Si vous voulez un réveil, mettez-vous à arroser la Parole, la promesse. Cela me fait me sentir religieux. Si vous voulez sortir du fauteuil roulant, mettez-vous à arroser la Parole. Si vous voulez vous débarrasser de ce cancer, mettez-vous à arroser la Parole. Le petit Ricky ici présent ce soir est un témoignage que Dieu guérit le cancer. Il guérit le cancer; Il guérit toutes nos maladies. Nous avons vu cela, des milliers et des milliers de preuves infaillibles à l’appui.

22        Madame Upshaw est assise quelque part dans cette assistance ce soir, la veuve de William Upshaw. Comment ça s’est passé là à l’église de Kopp le... Je pense qu’aujourd’hui ça s’appelle le World Church. Quand frère Kopp était là, on y tenait une réunion ce soir-là, je n’avais jamais de ma vie entendu parler de William Upshaw. Il avait été sénateur, je pense, environ dix-sept ans.

23        Mais quand je me suis avancé à l’estrade, il s’est fait qu’il connaissait le vieux prédicateur baptiste qui m’avait ordonné dans l’Eglise baptiste, docteur Roy E. Davis. Docteur Davis lui avait dit de venir me voir quand je viendrais à la côte, pour me demander de prier pour lui. Et il est entré là et il était assis dans son fauteuil roulant. Tout à coup, j’ai vu une vieille grange de foin et un jeune garçon tomber, se fracturer le dos, je me suis mis à raconter juste ce que je voyais. Quelqu’un a dit: «C’est le vieux sénateur assis là, William Upshaw.»

24        Et au bout de quelques minutes, il m’a demandé s’il pensait... si je pensais qu’il se rétablirait. Et juste quelques instants après, je l’ai vu en vision marchant au-dessus des gens, s’inclinant comme il le faisait à la manière des sudistes, en guise d’hospitalité. Et en une minute, il était à l’estrade se réjouissant et louant Dieu, après être resté cloué dans un fauteuil roulant une soixantaine d’années, je pense. C’est une preuve que Dieu délivre du fauteuil roulant, après y être resté cloué, poussé çà et là pendant plus d’un demi-siècle.

25        Dieu accomplit des choses à Sa propre manière lorsque les hommes et les femmes Le prennent au Mot. Le sénateur a simplement dit que Quelque Chose l’avait frappé, qui lui avait fait savoir que c’était la vérité. Je ne le connaissais pas. Et si Dieu était à ce point proche de lui, il devait accepter cela. Et il s’est levé du fauteuil. Et ça s’est accompli. Il a vécu beaucoup d’années, témoignant et glorifiant Dieu. Il marche ce soir sur les rues pavées d’or dans un corps immortel avec des saints qui l’ont précédé.

26        L’autre jour, je parlais à sa femme, elle s’essuyait les larmes aux yeux alors qu’elle l’appelait son prince. J’ai dit: «Mais il est simplement parti au Ciel. Il n’est pas mort; il est simplement parti au Ciel, attendant là pour vous accueillir un de ces jours.» Dieu agit de façon mystérieuse lorsque nous Le prenons au Mot.

27        Marie s’est vite mise à témoigner qu’elle aurait cet Enfant. Comment L’aurait-elle? Elle n’avait point connu d’homme; pareille chose n’était jamais arrivée auparavant; mais elle avait simplement pris la Parole du Seigneur telle quelle et elle s’est mise à se réjouir. Si chaque personne ici présente ce soir, qui est liée par le péché dans sa vie, peut simplement Le prendre au Mot et se mettre à se réjouir! En effet, Jésus a dit: «Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi. Même si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la laine.» Ça ne sert à rien d’être lié; ce soir, vous pouvez être libéré du fardeau de vos péchés. Ce soir, s’il y en a ici qui sont liés par la maladie, prenez-Le simplement au Mot et mettez-vous à vous réjouir. Vous pourrez être libérés; c’est ce qu’Il a dit. Et Il ne fait acception de personne. «Que celui qui veut, vienne.»

28        Elle en était très contente, tellement contente que Dieu ait permis qu’elle... qu’un miracle authentique soit accompli sur elle. Elle était tellement contente de cela, d’avoir les nouvelles de sa cousine Elisabeth, qu’elle quitta Nazareth pour se rendre en Judée, sur les collines. La petite vierge longeait la route, gravissant la contrée montagneuse...

29        Eh bien, Elisabeth attendait famille depuis six mois. Et elle en était pas mal fatiguée. Le petit enfant qui lui avait été promis dans sa vieillesse avait six mois, et toujours sans vie. C’est tout à fait anormal, car après trois ou quatre mois, la vie se manifeste. Cependant, six mois après, il n’y avait point de vie. Et Elisabeth s’était cachée. D’une manière ou d’une autre, au fin fond de son coeur, elle croyait, malgré sa crainte que, puisque Dieu avait fait cette promesse à Zacharie, son mari, un homme juste, elle avait prié pour cet enfant, et que les signes prouvaient cela, elle tricotait de petits chaussons et elle s’apprêtait. C’est ça, préparez-vous pour cela. Oh! ce soir, ôtez votre couverture de votre corps, ayez les pieds par terre; préparez-vous; quittez le fauteuil roulant; sortez du lit; préparez-vous pour cela. Le Dieu qui a fait la promesse la tiendra si vous l’arrosez avec des louanges de «Merci, Seigneur», étant sûr de savoir ce que vous faites, car vous vous tenez sur Ses promesses.

30        Récemment, en Afrique du Sud, un homme qui n’avait jamais de sa vie porté une paire de chaussures aux pieds, était là au fin fond dans les jungles en tant qu’un... il était né là, il y a des années, de parents missionnaires... Il était né avec des pieds déformés. Lorsqu’il s’est avancé là, boitant, tenant sous le bras un carton de chaussures, quelqu’un lui a demandé: «Qu’avez-vous là?» Il a répondu: «Une paire de chaussures.» Cet homme a dit: «Vous vous attendez à faire quoi avec? Est-ce que les... ces chaussures appartiennent-elles à votre père?» Il a répondu: «Je vais les porter.» Et à la fin du service, il les a portées, parcourant ce terrain de toutes ses forces, louant Dieu. Qu’avait-il fait? Il avait pris Dieu au Mot. C’est ce qu’il avait dit, quand la question lui a été posé, il a dit: «J’ai vu les autres infirmes venir et être guéris. Et j’ai vu ceux qui étaient aveugles recouvrer la vue, et Dieu ne pouvait pas me rejeter.» C’est comme ça qu’il faut croire. «Dieu ne me rejettera pas.»

31        Marie savait que Dieu ne la rejetterait pas. Et alors, elle a gravi les montagnes, et je peux voir Elisabeth assise là dans une petite pièce d’une petite cabane en adobe. Et elle a tiré les rideaux, elle a dit: «On dirait que je dois connaître cette jeune fille qui vient là.» Elle a regardé de nouveau et elle s’est dit: «C’est ma cousine Marie. De ma vie je ne l’ai jamais vue aussi jolie que ça. Regardez combien elle a l’air heureuse.» Alors, elle est sortie de cette pièce, elle a saisi Marie par le cou, elle s’est mise à l’embrasser et à l’étreindre. Vous savez, autrefois, les gens avaient de la sympathie les uns pour les autres. Mais aujourd’hui, on ne se soucie pas, on dirait, les uns des autres. C’est comme si tout l’amour fraternel a quitté les gens. C’est une honte.

32        Je sais que ma femme n’est pas ici ce soir, mais il y a quelque temps, elle et moi, nous étions en ville, parcourant une avenue. Et une brave dame que je connaissais à New Albanie lui a dit: «Salut, là, Soeur Branham.»

            Je ne l’ai point entendue dire un mot. Et j’ai dit: «Chérie, cette dame-là t’a parlé.»

            Et elle a dit: «Je lui ai répondu.»

            J’ai–j’ai dit: «Je ne t’ai pas entendue répondre.»

            Et elle a dit: «J’ai–j’ai–j’ai souri.» Oh! la la! Je n’aime pas ce petit sourire bizarre et stupide. Je–je–j’aime une très bonne poignée de mains à l’ancienne mode. Je–j’aime ça avec émotion. Que se passe-il avec les gens ce soir? Ils sont très secs et très formalistes. C’est ça le problème de l’Eglise pentecôtiste. Vous devenez trop empesés, mes amis. C’est ça le problème de l’Eglise baptiste, de l’Eglise méthodiste, des gens en général.

33        Paul Rader qui, peut-être, avait prêché ici même dans ce tabernacle, à cette même chaire où je prêche ce soir, est déjà parti dans la Gloire. Il a raconté qu’une fois, lui et sa femme étaient assis à table et elle voulait faire quelque chose. Et, oh! lui a dit: «Ça ne vaut pas la peine de faire cela.» Et alors, d’une manière ou d’une autre, il l’a blessée. Et il s’est dit: «Eh bien, si elle est si facilement blessée, tant pis.» Il s’est donc levé, il a déposé le journal sur la table, puis il est sorti dans la rue. La femme avait l’habitude de le rencontrer à la porte et de l’embrasser en guise d’au revoir. Chaque fois qu’il arrivait à la grille, il regardait toujours en arrière et lui faisait signe de la main. Eh bien, il a dit: «Elle m’a embrassé en signe d’au revoir. Et je suis arrivé à la grille, puis j’ai regardé en arrière, a-t-il dit, elle a fait signe de la main.» Et il a dit: «Je me suis engagé dans la rue; alors, quelque chose s’est mis à me condamner, disant: ‘Et si elle mourait aujourd’hui en ton absence? Ou si quelque chose vous arrivait? Ce petit sentiment étrange, juste un problème familial...?’»

34        Il a dit: «Je me suis senti tellement condamné que je me suis retourné et je suis très vite rentré en courant, j’ai ouvert brusquement la grille et je suis entré, j’ai ouvert la porte, j’ai regardé tout autour; je n’arrivais pas à la voir. J’ai entendu sa voix; elle pleurait derrière la porte.»

            Il a dit: «Je n’ai dit mot, je me suis simplement avancé là et je l’ai regardée droit dans les yeux, je l’ai encore embrassée, je me suis retourné, et je suis ressorti par la grille; elle se tenait là, faisant encore signe de la main.»

            Il a dit: «La différence, c’était que la dernière fois, elle a fait signe de la main, avec émotion.»

35        Eh bien, c’est comme ça, mes amis. Nous ne pouvons absolument pas faire des artifices; nous aimerions que le feu de la Pentecôte et l’amour fraternel reviennent dans l’Eglise du Dieu vivant. Nous avons trop de montagnes artificielles à la Hollywood là-dessus. Il nous faut une religion à l’ancienne mode, envoyée de Dieu, au ciel bleu qui détruit le péché, depuis la chaire et qui balaye tout.

36        Prendre Dieu au Mot... Marie, oh! combien elle se réjouissait et tapotait Elisabeth dans le dos, et celle-ci faisait autant. Et je peux entendre Elisabeth dire à Marie: «Oh! chérie, je ne t’ai jamais vue si heureuse. Certainement que vous vous êtes mariés, Joseph et toi.»

            «Non.»

            «Eh bien, pourquoi es-tu si heureuse?»

            Elle a dit: «Je sais ce qui fait ta joie à toi. C’est parce que j’attends famille.» Elle a dit: «Oui, c’est une des raisons. Je savais que tu attendais famille.»

            «Eh bien, a-t-elle dit, Marie, c’est vrai.» Mais je me suis cachée pendant six mois. Et je suis un peu inquiète, Marie; en effet, j’attends famille, cependant ça fait six mois que cet enfant n’a même pas bougé. Je suis un peu découragée.» Je peux voir les beaux yeux de Marie pétiller de joie, alors qu’elle disait: «Elisabeth, j’ai quelque chose à te dire. J’attends aussi famille.»

            «Oh! Marie, ne viens-tu pas de me dire que toi et Joseph, vous n’êtes pas mariés?»

            «C’est vrai. Nous ne nous sommes pas encore mariés.»

            «Et tu attends famille?»

            «Oui, oh! je suis...»

            Elle était très étonnée. Mais Marie a dit: «Un instant, Elisabeth. L’autre matin, j’allais au puits, et le même Ange qui est apparu à Zacharie m’est apparu là-bas et m’a dit que je donnerais naissance à un Enfant sans connaître un homme. Et que je Lui donnerais le Nom de Jésus.»

            Aussitôt qu’elle a dit: «Jésus», le petit Jean a poussé des cris. Il s’est mis à tressaillir de joie. Et Elisabeth a dit: «Comment m’est-il accordé que la mère de mon Seigneur vienne auprès de moi? Car voici, aussitôt que ta salutation est parvenue à mes oreilles, mon enfant a tressailli d’allégresse dans mon sein.»

37        Et si la première fois que le Nom de Jésus-Christ a donc été cité par des lèvres d’un mortel, cela a apporté la vie à un enfant mort, que devrait-Il faire à cet Angelus Temple qui soutient être né de nouveau de l’Esprit du Dieu vivant?

            Prenez-Le au Mot; commencez à vous réjouir; commencez à croire en Lui. Dieu accomplira de grandes oeuvres pour vous si seulement vous croyez cela. Croyez en Lui; Recevez Sa Parole. C’est la chose la plus honorable que vous puissiez faire, c’est prendre Dieu au Mot. Ne doutez pas de Lui; croyez simplement en Lui de tout votre être. Croyez en Lui, et Dieu accomplira cela. Croyez-vous cela?

38        Prions. Ô Seigneur, Tu connais la faiblesse de la vie humaine. Et Tu connais la force du Nom de Jésus. En effet, Il nous a dit, quand Il était sur la terre, de croire que ce que nous disons que ça va s’accomplir, et nous pourrons obtenir ce que nous avons demandé.

            Accorde-nous la foi ce soir, Seigneur; accorde-nous la foi alors que nous réclamons un réveil, une effusion de Ton Esprit ici à Angelus Temple dans les prochains jours. Accorde-nous de Tes bénédictions ce soir, à partir de ce moment. Et puissent les hommes et les femmes assis ici, qui ont désiré ardemment et qui ont attendu le temps où ils pourraient tendre la main par la foi, dire: «Jésus, je T’abandonne maintenant toute ma vie. J’en ai marre de vivre à moitié pour Toi.» Accorde ce soir, Seigneur, qu’ils expérimentent une grande effusion du Saint-Esprit dans leur vie.

39        Accorde à ce pauvre pécheur têtu, Seigneur, étranger à Dieu, sans Dieu, sans espérance, sans miséricorde... Et au temps convenable, Christ est mort pour lui; et aujourd’hui, Il a envoyé le Saint-Esprit pour la ramener à Lui. Ce soir, accorde, Seigneur, que cette personne soit en mesure de Te recevoir comme son Sauveur personnel.

40        Eh puisse le réveil se déclencher très vite, Seigneur. Que nous soyons comme Longfellow qui a dit: «Ne soyez pas comme un troupeau muet qu’on conduit, mais soyez un héros.» Accorde, Seigneur, que chaque chrétien qui s’approche un peu plus près de Toi se saisisse de sa foi et Te la présente, en disant: «Seigneur, aide-moi à faire tout mon possible maintenant, comme Tu es proche.» Que le Grand Jésus qui a marché en Galilée, envoie le Saint-Esprit, Son Représentant, pour Le représenter dans cet âge, accorde qu’Ils L’acceptent ce soir.

41        Ô Seigneur, nous prions aussi pour les malades et les nécessiteux, pour ceux qui sont cloués sur des fauteuils, sur de petits lits et sur des civières; Tu es plus que disposé à les libérer ce soir. Que cette petite étincelle de foi, qu’ils sont maintenant en train de chercher dans leurs coeurs, s’enflamme, Seigneur, pareille à un bois d’allumage, à la promesse de Dieu. Puissent-ils se lever de leurs fauteuils et–et de leur état de malade ce soir, de maladie du coeur et d’autres maux, et qu’ils soient libérés par le Fils de Dieu, qu’un réveil à l’ancienne mode éclate à Los Angeles.

42        Que ceux qui suivent à la radio, Seigneur, qui sont malades et affligés, alors que nous apprenons de leurs nouvelles chaque jour... «Oh! comme j’aurais souhaité pouvoir être au temple», disent-ils. Va donc là, Seigneur, par ces ondes radiophoniques. Va vers ce vieux papa couché au lit, vers cette mère couchée là à l’hôpital, vers ce petit enfant, ou je ne sais qui d’autre; que la puissance du Dieu vivant entre dans leur vie, condamne leurs maladies à la lumière du Calvaire et leur redonne la santé et la force.

43        Ce pécheur qui est peut-être à l’écoute en ce moment, Seigneur, puisse-t-il abandonner sa vie maintenant même. Ce jeune garçon têtu que maman n’arrive pas à amener à l’église, mais qui, par hasard, est à l’écoute; cette fille adonnée à ce rock-and-roll d’adolescents, ô Dieu, fais-lui savoir que son petit corps sera bientôt rongé par les vers. Alors, cette âme errante se retrouvera là au milieu des démons de tourment pendant tous les âges à venir. Ô Dieu, ce soir, puisse cet enfant se tourner rapidement vers Jésus. Accorde-le, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

44        Juste avant... J’ai dit à Billy de ne pas distribuer les cartes de prière ce soir. J’avais une autre chose à l’esprit. Mon âme désire ardemment un réveil. C’est ce qui consume mon coeur. La première fois que j’étais venu à Los Angeles, j’avais entendu parler de la fondatrice de ce temple, madame McPherson, et je suis allé à l’Est, à Forest Lawn, je pense que c’est comme ça qu’on l’appelle, j’ai visité sa tombe, je me suis tenu là, j’ai incliné la tête et j’ai dit: «Ô Seigneur, merci pour la vaillante vie de cette femme.» Je ne l’avais pas connue, je n’avais jamais eu le privilège de la voir. J’ai ses bandes à la maison et j’ai lu ses livres et autres. Cette dame avait peut-être commis des fautes comme vous et moi. Nous en avons tous commis. Mais, ce soir, ce temple se tient là comme un mémorial de son amour pour Jésus-Christ.

45        Et ces nations à travers le monde sont un... sont aussi un mémorial de l’oeuvre à l’honneur de Dieu. Regardons cela en face, mes amis. C’est tout à fait vrai. Puisse cela subsister longtemps comme une station du salut des âmes pour le Royaume de Dieu jusqu’à la Venue de Jésus; c’est mon humble et simple prière.

46        Vous attendez quelque chose, vous désirez ardemment quelque chose. Chaque coeur ici désire ardemment quelque chose. Les coeurs de ceux qui sont à l’écoute à la radio, désirent ardemment quelque chose. Acceptez ma parole comme celle de votre frère. Je sais que je n’arrive pas à bien m’exprimer. D’abord, je n’ai pas d’instruction; ensuite, je suis un sudiste. Je confonds les mots. Mais n’y prêtez pas attention. N’en tenez pas compte. Considérez ce dont je parle. C’est de Jésus que je parle, Il m’a sauvé de toutes mes corruptions, de mes mauvais discours, de mon parler dépourvu d’éthique et... Eh bien, Il–Il m’a sauvé de tout cela. Et comme quelqu’un l’a dit depuis l’auditoire: «C’est assez bon.» C’est pour moi. Tant que je sais qu’Il est dans mon coeur, c’est tout ce dont je me soucie. La chose suivante, c’est Lui plaire, faire tout au mieux de ma connaissance afin de Lui plaire.

47        Maintenant, comme j’ai dit à Billy de ne pas distribuer les cartes de prière, je pensais parler ce soir sur une marche intime pour amener les gens à servir Dieu. Maintenant, le Saint-Esprit est ici, l’Ange du Seigneur. Eh bien, c’est un autre type de ligne ici ce soir, prendre une personne, les désigner juste là où je... le Saint-Esprit me conduira à parler aux gens en vue d’un discernement. Et comme j’ai entendu frère DuPlessis l’expliquer aussi il y a quelques instants, j’ai formé une ligne dans laquelle je les prenais un à un en vue du discernement, et puis, tous les autres procédés. Et on dirait que les gens ne semblent pas bien comprendre cela en Amérique. Qu’est-ce qui se passe, mes chers amis?

48        Ecoutez, si un homme entrait par la porte là ce soir, et–et il se pourrait qu’il soit un–un Russe, un Sibérien couvert d’une longue barbe, mais s’il vous donne un chèque, qu’il était un... qu’il provenait d’un service de courriers, un messager vous donne un chèque d’un million de dollars, vous vous réjouiriez du chèque tout autant que vous vous en seriez réjoui si un prince d’un pays étranger vous l’avait apporté. C’est au chèque que vous regardez. Maintenant, Christ est présent ce soir. Vous vous attendez à quelque chose là dans le futur; et je crains que cela vous passe par-dessus, juste comme ça s’est passé dans tous les âges. Permettez-moi de vous communiquer juste une pensée maintenant en rapport avec le mot que je viens de prononcer. Savez-vous que c’est ce qui s’est passé dans tous les âges? Vous, les catholiques, vous dites que saint Patrick est catholique. Il l’est autant que moi. Je suis un catholique à l’ancienne mode, comme je vous l’ai dit. Mais après sa mort, son ministère étant fini, il a alors été canonisé catholique.

49        Saint François d’Assise, le prédicateur itinérant avec une Bible sous le bras, qui... Les oiseaux poussaient des cris. Et il leur a dit: «Taisez-vous, mes jeunes soeurs, pendant que je prêche l’Evangile.» Alors, après sa mort, vous avez fait de lui un catholique. Qu’en est-il de Jeanne d’Arc? Vous tous les écoliers, vous avez entendu parler d’elle, cette dame avait des visions, elle accomplissait des miracles. Que fit l’Eglise catholique? Elle la brûla sur le bûcher en l’accusant de sorcière, de Béelzébul. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] En effet, elle était ointe de l’Esprit de Dieu et elle accomplissait des miracles. Et le monde des églises ne l’a pas reconnue jusqu’après son départ.

            Prenons garde de ne pas faire la même chose. Le Saint-Esprit est ici maintenant dans Sa plénitude, dans Sa puissance. Prenez garde de ne pas attendre jusqu’à... Tous ceux qui ne reçurent pas le Sceau de Dieu reçurent la marque de la bête. Vous savez ce qu’était la marque de la bête, c’était rejeter le Sceau de Dieu. Dans l’Ancien Testament, lorsque la trompette retentissait, et que le sacrificateur sonnait de la trompette, si un esclave ne voulait pas devenir libre, on devait le sceller, on lui perçait l’oreille avec un poinçon. Il était alors esclave le reste de sa vie. «La foi vient de ce qu’on entend.» Si vous n’écoutez pas cela et ne le recevez pas, alors vous êtes marqué de l’autre côté. Alors, vous ne pouvez pas entrer. Commençons le réveil ce soir et ouvrons nos coeurs au Saint-Esprit pendant qu’il est temps.

50        Si Jésus-Christ, le Fils de Dieu, venait dans cet auditoire maintenant pendant que vous êtes assis là, s’Il venait agir depuis cette chaire, juste comme Il avait fait aux jours de Sa chair, combien ici Le recevraient? Levez la main alors que vous êtes assis là, qui que vous soyez. Si cela peut parfaitement une fois être prouvé que c’est la vérité... Moïse avait un signe à accomplir devant le peuple, et il l’a accompli. Israël l’a suivi. Il n’avait pas à accomplir continuellement ce signe, à maintes et maintes reprises; ils se mirent à suivre, et d’autres miracles se produisirent. Jésus avait un signe à accomplir. Ceux qui étaient sincères crurent en Lui alors qu’Il pouvait discerner leurs pensées. Les autres dirent qu’Il était Béelzébul parce qu’Il avait accompli cela. Maintenant, de quel côté aimeriez-vous vous trouver ce soir s’il vous fallait faire un choix?

51        Eh bien, je suis... A vous tous, malades et affligés, afin de pouvoir ôter cela de nos mains... Je ne connais personne ici à part frère Duffield assis là, frère David duPlessis. Pour autant que je sache, ce sont les seules personnes que je vois ici que je... Ce frère par ici, son nom m’échappe, le docteur Weston, oui, frère Weston. Ce sont les seules personnes que je connais dans cet auditoire.

52        Combien dans la salle savent que je leur suis totalement inconnu? Levez la main. Levez simplement la main, je ne vous connais pas. Très bien. Eh bien. Si vous êtes souffrant, croyez en Dieu maintenant même. Voilà un défi. Et si Jésus-Christ vient... «Comment cela s’accomplit-il, Frère Branham?» J’aurais souhaité pouvoir vous le dire. Je ne sais pas. C’est simplement... je m’abandonne simplement au Saint-Esprit et c’est votre propre foi qui accomplit cela. Je n’ai rien à faire là-dedans; c’est vous qui accomplissez cela. Lorsque Dieu voulait utiliser Son don, qui était en Jésus, Il Lui avait révélé que Lazare allait mourir; Il L’a éloigné pendant quatre jours, et Il connaissait tout à ce sujet et Lui a dit ce qui arriverait. Et lorsqu’Il est revenu, Il a ressuscité Lazare d’entre les morts, Il a dit: «Je Te remercie, Père, de ce que Tu M’as déjà exaucé. Mais J’ai parlé à cause de ceux qui M’entourent», rien n’a été dit au sujet du fait qu’Il soit devenu faible.

53        Mais après qu’une petite femme avait touché Son vêtement, Il était devenu faible, à cause d’une... de la perte de sang. Voyez, là, c’était la femme utilisant le don de Dieu. Dans l’autre cas, c’était Dieu utilisant Son don.

            Maintenant, quand Dieu donne une de ces grandes visions, parfois cela prend des heures. Ma femme m’a dit que, parfois, je reste assis sans même bouger pendant un certain temps. Qu’est-ce? Il s’agit de quelque chose qui est en cours; Il me dit tout ce qui est sur le point d’arriver. Je prendrai n’importe qui à témoin. Toutes les fois que vous avez entendu cela, et il y en a des centaines et des centaines et des centaines, cela n’a failli aucune fois. Et cela ne peut pas faillir. Moi, je peux faillir, mais Cela ne peut faillir. Car c’est Dieu. Et je ne suis qu’un canal donné, un don par lequel je m’abandonne simplement au Saint-Esprit. Et lorsque le Saint-Esprit se met à agir sur vous pour une certaine chose, Il se met à se mouvoir ici, et je... Il utilise simplement ma voix et se met à parler. C’est comme ça que ça se passe; c’est tout ce que je peux dire à ce sujet. On ne peut pas expliquer cela. L’homme ne peut pas expliquer Dieu; il vous faut croire Dieu par la foi. Vous ne connaissez pas Dieu par l’instruction, pas plus que tous vos diplômes ne vous feront connaître Dieu. Jamais! On connaît Dieu par la foi, par la foi seule. Et votre foi est tout ce qui peut Le toucher.

54        Maintenant, prions. Abandonnez vos esprits. S’il vous plaît, s’Il accomplit cela, ne faillissez pas, vous qui avez levé la... Si vous êtes un pécheur, j’aimerais que vous veniez ici à l’autel. Si vous êtes un rétrograde, j’aimerais que vous veniez aussitôt que ceci sera terminé, s’Il accomplit cela. Si vous êtes un chrétien, j’aimerais que vous croissiez dans la foi chrétienne; engagez-vous à servir Dieu de tout votre coeur et que vous ne cesserez jamais de prier jusqu’à ce que le réveil commence à éclater.

55        Seigneur, je ne connais pas ces gens et Tu le sais, Seigneur. Mais je Te prie, au Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus, d’amener leurs coeurs à avoir la foi. Père, je me rends compte que peu importe combien Tu peux m’oindre, si Tu n’oins pas quelqu’un là dans l’assistance pour croire cela, rien ne pourra s’accomplir. En effet, lorsque Tu es venu dans Ta propre contrée, beaucoup de miracles n’ont pas pu être accomplis à cause de l’incrédulité des gens, ou plutôt aucun miracle n’a été accompli. Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Mais lorsque les croyants T’ont reçu, alors les signes et les miracles se sont produits. Qu’il en soit de nouveau ainsi ce soir, Seigneur.

56        Tu connais le coeur de Ton serviteur. Nous ne cherchons pas à être singulier; nous essayons seulement d’expliquer aux gens, Seigneur, que Ton désir est qu’ils se lèvent au Nom de Ton Fils, et que Ta Présence est ici pour les rétablir, les sauver de leurs péchés et les guérir de leurs maladies. Ô Seigneur Dieu, Toi qui as envoyé Ton Ange et qui as commissionné cette oeuvre, accorde qu’il en soit de nouveau ainsi. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

57        Maintenant, vous tous qui êtes dans l’assistance, soyez très respectueux. Tenez-vous tranquilles, regardez dans cette direction, croyez, et dites dans votre coeur: «Ô Seigneur Dieu, si Tu le fais juste cette fois-ci, accorde qu’encore une fois ce soit pour moi. Je sais que cet homme ne me connaît pas; il ne sait rien à mon sujet, mais permets simplement qu’il me parle. J’aimerais toucher le vêtement de Ton Fils Jésus, le Souverain Sacrificateur. Si donc je le fais, réponds par frère Branham comme Tu le fis par Ton Fils Jésus en ce jour-là, comme Il a promis que nous ferions aussi les oeuvres qu’Il avait faites. Si donc Tu peux confirmer cette promesse, Seigneur, Tu as promis cela, Tu as promis d’envoyer cela. Et puisque Tu as envoyé ce don à Ton Eglise, alors, la guérison est aussi dans l’Eglise, la promesse est mienne et Tu es en train de traiter avec moi.» Je suis convaincu que Dieu vous bénira si vous le faites.

            Soyez tout aussi respectueux que possible, tout aussi calme. Je sais que vous–vous savez dans quelle situation je me trouve maintenant. Ça doit... on doit me trouver déclarant soit la vérité, soit le mensonge maintenant même

58        Voici une petite dame, assise ici avec un mouchoir sur le nez, assise là en train de s’essuyer les–les larmes au visage. Elle souffre de nerfs, n’est-ce pas, soeur? J’aimerais vous poser une question. Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas. Eh bien, évidemment, je pense que nous n’en avons point distribuées; il n’y a pas de cartes de prière. Mais n’étiez-vous pas assise là en train de prier le Seigneur, disant: «Que ça soit moi, Seigneur»? Si c’est vrai, levez la main, madame. Maintenant, si nous sommes inconnus l’un à l’autre, levez la main, comme ceci, pour montrer que je ne connais rien à votre sujet, que je ne vous ai jamais vue de ma vie.

59        Qu’a-t-elle touché, mes amis? Dites-moi quel genre de puissance elle a touchée, qui connaît les secrets de son coeur et qui peut dire ce pour quoi elle était en train de prier, qui lui a répété sa prière. Pensez-vous que cette femme qui priait au Nom de Jésus pouvait toucher autre chose que Christ? Réveillez-vous, peuple, au fait que Jésus-Christ est ici. Ce n’est pas moi, je Le représente. Ici même se tient cet Ange. Ne voyez-vous pas cette Lumière?

60        Elle est juste au-dessus d’une petite femme assise, en train de me regarder, dans cette direction. Elle souffre de poumons. Vous vous appelez Cleo. Croyez-vous que Jésus vous a guérie de cette maladie des poumons? Vous êtes guérie, soeur. J’aimerais vous poser une question pendant que vous êtes debout: Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Levez la main pour que... Je ne vous ai jamais vue, ou plutôt nous sommes de parfaits inconnus, est-ce vrai? Mais vous priiez pour que Dieu vous touche. Afin que vous sachiez que je suis le serviteur de Dieu, vous êtes ici sans argent. Vous–vous ne pouvez pas rester plus longtemps. C’est vrai, n’est-ce pas? Et retournez donc chez vous; vous êtes guérie, votre maladie des poumons vous a quittée. Amen.

61        Croyez simplement en Lui. Tenez, juste au fond de cette rangée-ci, il y a une petite dame assise là, en train de me regarder, elle souffre de–de l’abdomen; c’est au niveau de son estomac, ici. Vous avez, on dirait, une espèce d’excroissance dans votre corps. C’est vrai, n’est-ce pas? Vous venez de Michigan. Si vous croyez de–de tout votre coeur et avec tout ce qui est en vous... Si vous croyez avec tout ce qui est en vous, vous pourrez rentrer chez vous, guérie. Croyez-vous cela, madame? Levez la main, dites: «Je l’accepte.» O.K. Rentrez donc chez vous et soyez rétablie; Jésus-Christ vous guérit.

            Je ne vous connais pas, n’est-ce pas, madame? Je ne vous ai jamais vue. Nous venons des Etats différents et tout. Si c’est vrai, levez la main, madame. C’est vrai. Mais Dieu vous connaît. Maintenant, croyez-vous, tous?

62        Qu’en est-il de vous, ceux qui sont ici devant moi, juste devant, dans cette direction? Croyez, vous qui êtes là-haut aux balcons. Ne soyez donc pas bouleversés. Venez simplement avec révérence, dites: «Seigneur Dieu, parle-moi.» Peu m’importe si vous êtes riche ou pauvre, pourvu que vous ayez une foi assez simple pour toucher le Souverain Sacrificateur...Voici–voici la Lumière suspendue au-dessus d’une femme de couleur assise ici même au bout de la rangée. Ici même. Je... Madame Jones, c’est de vous qu’il s’agit. Les gens ne saisissent pas cela, on doit pratiquement leur dire qui ils sont. Madame Jones, je ne vous connais pas, est-ce vrai? Vous souffrez de diabète. Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablira? Levez la main si c’est vrai. Très bien, rentrez chez vous et soyez guérie au Nom du Seigneur Jésus.

63        «Si tu peux croire.» Voici, je vais vous le prouver. Cela a attiré l’attention d’une femme assise à côté d’elle. Je ne sais pas si la femme m’entend ou pas, je prie Dieu de me permettre... de permettre que ma voix parvienne jusqu’à elle. Vous entendez difficilement; il s’agit de vos oreilles. C’est vrai. Vous avez une excroissance sur le revers de votre main. Vous vous appelez madame Brooks. C’est vrai. Maintenant, vous m’entendez. Rentrez chez vous et soyez guérie; Jésus-Christ vous guérit.

            Disons: «Gloire soit rendue à Dieu!» Si tu peux croire, tout est possible. Et là derrière, dans cette direction, y a-t-il quelqu’un?

64        Ici derrière au milieu de l’allée, il y a une femme en prière. Elle souffre de l’hypertension. Je la vois placer quelque chose autour de son bras. C’est cette dame qui est juste ici, en train de regarder de l’autre côté. Mademoiselle... Seigneur, aide-moi. Madame Fry. Levez-vous, madame Fry, Jésus-Christ vous guérit. Croyez-vous? Cette petite dame, la femme assise à côté d’elle, elle souffre d’une maladie qu’elle a contractée depuis longtemps. Avez-vous une carte de prière, madame? Non, bien sûr que non. Le... Très bien. Levez-vous une minute. L’Ange du Seigneur est tout près de cette femme, cette Lumière. Cette dame qui est ici même. Je vous le dis afin que vous sachiez que vous avez saisi la chose correcte. Cette dame n’est pas d’ici, elle est de l’Arizona. Vous avez connu un accident d’automobile il y a quelque temps; cela vous dérange depuis lors. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est vrai. C’est complètement fini maintenant. Vous voyez ce qu’elle fait, elle est en train de bouger son corps. Jésus-Christ la guérit. Croyez-vous maintenant? Béni soit le Nom du Seigneur. Quand vous ne voulez même pas... Vous pouvez répondre à cela, Dieu cite leurs noms et leur dit qui ils sont.

65        Combien de gens ici aimeraient avoir une marche très intime avec Dieu et aimeraient que ce même Saint-Esprit qui est ici maintenant entre dans leur vie? Voudriez-vous lever la main? Voudriez-vous vous lever, tous ceux qui aimeraient marcher avec Dieu? Le Saint-Esprit est ici.

            Combien de pécheurs et de rétrogrades y a-t-il là, qui voudraient s’avancer ici dans l’allée, afin que je vienne là prier pour eux, juste ici tout près de cette estrade? Voudriez-vous venir maintenant même? Avancez. Descendez pendant que l’orgue joue. Ne–ne–ne... Juste parce que nous avons mis les gens debout... Le service de guérison va avoir lieu juste dans un instant.

66        J’aimerais que vous qui n’êtes pas en ordre avec Dieu, et qui savez que vous ne l’êtes pas, vous veniez droit dans cette direction. Bien. Approchez-vous jusqu’ici. Approchez-vous. D’accord. Avancez, ami pécheur. Je vous offre Jésus ce soir, le même Jésus qui discerne les pensées du coeur. Pourquoi ne puis-je pas les appeler tous? Oh! la la! Regardez-les simplement venir. Voyez-vous? Mais c’est Lui qui me parle. C’est Lui qui dit: «Les pécheurs sont ici, ainsi que les rétrogrades; fais-les vite venir.»

67        Celle-ci peut être la dernière chance que vous aurez jamais. Prenez Dieu au Mot. Il vous parle maintenant. C’est maintenant le temps de votre rédemption. Venez, ami pécheur. Venez, rétrograde, rebelle, vous qui vous êtes éloigné de Dieu, revenez à la maison ce soir, le voulez-vous? Je vous offre Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui est présent maintenant, Celui-là même qui parle à votre coeur. Soyez vraiment sincères maintenant. En effet, soyez sincères en cette heure de votre vie; le Saint-Esprit parle maintenant. Venez donc.

Viens, chaque âme qui est opprimée par le péché,

Il y a de la miséricorde auprès du Seigneur,

Viens à cette fontaine remplie du Sang,

Tiré des veines d’Emmanuel,

Lorsque les pécheurs plongent dans ce flot,

Ils perdent toutes les taches de leur culpabilité.

Le voleur mourant s’est réjoui

De voir cette fontaine en son jour;

Puissé-je, là, quoique vile comme lui,

Laver tous mes péchés.

Depuis que j’ai vu par la foi ce ruisseau,

Que Tes plaies saignantes ravitaillent

(Oh! Béni soit le Seigneur, je me sens profondément oint du Saint-Esprit.),

L’Amour divin a été mon thème,

Et il le sera jusqu’à ma mort.

Et puis, dans un chant plus noble et plus doux,

Je chanterai Ta puissance qui sauve,

Lorsque ma pauvre langue balbutiante et zézayante

Sera réduite au silence dans la tombe.

68        Je ne peux pas mourir. Il m’a donné la Vie immortelle par Jésus-Christ. Peut-être, vous lirez une histoire vraie un jour, que frère Branham est mort. Mais, souvenez-vous, je ne suis pas mort. Je ne peux pas mourir. Il m’a donné la Vie. Je L’ai acceptée, et le même Saint-Esprit me rend témoignage ici même ce soir, que je dis la vérité. Le Fils de Dieu est présent maintenant même, prouvant que j’ai dit la vérité.

            Venez, ami pécheur, voici le lieu où trouver du repos. Si vous êtes découragé et fatigué de problèmes de la vie, si vous êtes embrouillé et agité à cause de la mort, venez, laissez Jésus entrer dans votre coeur pour ôter chaque péché. Vous, rétrograde, venez maintenant. Venez à l’autel. Prions

69        Bien, est-ce tout le monde là? N’y en a-t-il plus parmi vous? Ne laissez pas passer cette occasion ce soir. Celle-ci est la soirée où quelque chose doit arriver. J’ai prié toute la journée: Ô Dieu, fais quelque chose ce soir. J’ai annulé, j’ai laissé tomber toute autre chose pour venir ici faire ceci. Je sais que Quelque Chose parle à mon coeur. C’est la Parole de Dieu qui le dit; Son Saint-Esprit ici présent confirme cela et déclare que c’est la vérité. Quoi de plus pouvez-vous désirer? Quoi de plus peut-Il faire?

70        Souvenez-vous, ceci est la fin de la dispensation des Gentils. Souvenez-vous, c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’est le temps pour les Gentils de... âge se termine. Et quand l’âge des Gentils se termine, alors l’Evangile retourne aux Juifs, et tout est alors fini. Entrez très vite dans le Royaume, mes enfants. Venez, vous les méthodistes; venez, vous les baptistes; venez, vous les presbytériens; c’est tout ce que je vous demande de faire: venir à Jésus.

71        La Pentecôte n’est pas une dénomination. La Pentecôte, c’est une expérience. La Pentecôte n’est pas une dénomination; la Pentecôte appartient à tous. C’est une expérience que vous possédez. Vous ne pouvez pas organiser la Pentecôte. La Pentecôte est une expérience que Dieu accorde aux croyants. C’est pour vous, les méthodistes, les presbytériens, les baptistes, les luthériens, que sais-je encore. Je suis moi-même un baptiste, mais j’ai reçu le Saint-Esprit. Je suis un baptiste ayant le Saint-Esprit, et j’en suis content ce soir; car j’ai l’expérience de la nouvelle naissance par l’Esprit de Dieu.

72        Combien maintenant, vous qui vous êtes levés de vos sièges, aimeraient avoir une marche plus intime avec Dieu? Levez la main, vous qui avez le Saint-Esprit et qui aimeraient avoir une marche plus intime avec Dieu. Que Dieu bénisse vos coeurs. C’est ça. Oh! J’ai vu Cela frapper quelqu’un tout à l’heure aussi certain que je me tiens ici. Il est ici pour accomplir cela si seulement vous croyez en Lui. Levons donc la main, chacun de nous maintenant, pendant que nous prions pour les malades, que nous prions pour les affligés, que nous prions pour que le Saint-Esprit descende.

            Priez pour quelqu’un à côté de vous afin qu’il reçoive le Saint-Esprit. On sera en train de prier pour vous. Voyons donc cela se produire, le Saint-Esprit est ici.

            Ô Seigneur, Créateur des cieux et de la terre, envoie le Feu du Ciel et remplis cette salle et chaque coeur du baptême du Saint-Esprit. Puisse-t-Il descendre, comme un vent impétueux, inonder chaque coeur et que les gens perdent tout orgueil et leur–leur égoïsme; qu’ils se retrouvent dans les bras de Dieu et qu’ils soient remplis du Saint-Esprit.

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