Soyez Certain De Dieu
1 Tout est possible, crois seulement.
Restons debout alors que nous inclinons la tête pour la prière. Ô Dieu puissant, Toi qui as ramené Jésus d’entre les morts, nous nous approchons de Toi cet après-midi en Son Nom, sachant ceci que Tu nous as donné la promesse selon laquelle Tu écouterais. «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé, écoutez-Le.» Et nous venons en Son Nom pour implorer la miséricorde, et pour demander la guérison et le salut pour ceux qui ont faim et soif de cela, ainsi que le pardon de nos offenses. Et nous prions que Ton Esprit amène un grand nombre à venir à Toi cet après-midi, aussi bien dans cet auditoire visible que là où on suit par la radio.
Nous Te remercions, ô Père céleste, pour les réunions de ce matin partout dans le monde, et nous Te prions de bénir chaque réunion, chaque prédicateur ainsi que chaque église aujourd’hui, qui prêche l’Evangile. Viens, Seigneur Jésus, et reçois-nous auprès de Toi. Et pendant que nous attendons Ta Venue, aide-nous à être des serviteurs fidèles. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
2 J’étais en train de savourer une communion ce matin avec les arméniens de cette–de cette ville, dans leur église. Et à ma grande surprise, il y avait là une dame qui pouvait interpréter les langues que... Hier soir, je parlais ici et j’étais... le Saint-Esprit parlait plutôt, et Il appelait les gens là dans la réunion, et leur révélait leurs différentes afflictions ainsi que leurs maladies. Et parfois, je n’arrivais pas à leur faire comprendre de qui il s’agissait exactement; et puis, le Saint-Esprit citait leurs noms, comme vous L’avez vu le faire.
Et puis, ce matin, on me disait... En fait, pour moi, les visions sont juste comme une transe. Et on me parlait d’une femme que j’avais appelée là derrière dans... quelque part dans l’auditoire, et à qui j’avais dit qu’elle est en proie à une affliction. Mais elle était... elle ne pouvait pas me comprendre parce qu’elle ne–elle venait d’un–d’un autre pays; c’était une Finlandaise. Et alors, le Saint-Esprit, pour montrer qu’Il ne fait acception de personne, a parlé ici et a cité son nom, et lui a dit de bénir Dieu. Il a parlé dans une langue que je ne connaissais pas, et il a appelé la femme, et a dit qui elle était, et quelque chose qui était sur le point de... en rapport avec les bénédictions du Seigneur qui étaient sur elle, une certaine chose, en langue finlandaise. Je ne connais même pas l’anglais, ne parlons pas du finlandais. Ainsi, cela montre que Dieu parle toutes les langues et que tous les êtres humains Lui appartiennent. Comme c’est merveilleux!
3 Il fait des choses infiniment au-delà de toute mesure. Je n’aimerais pas prendre trop de temps, mais juste pendant que j’ai ceci à l’esprit, je me souviens de ce qui s’était passé, il y a quelque temps, au Colisée Sam Houston, à–là à Houston, au Texas. Et nous essayions de... Nous avions une si grande foule qui débordait, au point que nous essayions de nous occuper d’une partie de gens qui étaient au Colisée puis une autre de ceux qui étaient chez Raymond Richey. Eh bien, je suis sûr que l'Angelus Temple sait qui est Raymond Richey. C’était un ami personnel du fondateur de cette église.
4 Je priais ici pour les gens dans une ligne de prière, puis je me rendais au Colisée et priais. Et un soir, pendant que mon frère me ramenait de la ligne de prière, j’ai entendu une petite fille espagnole pleurer. Et elle aurait été la suivante dans la ligne, suivant le numéro des cartes de prière que j’appelais. Et elle n’était qu’une enfant de quinze ans, à peu près cet âge-là. Eh bien, mon frère a commencé à me presser d’avancer et c’était lui qui était supposé m’amener. Mais, d’une manière ou d’une autre, Quelque Chose m’a dit: «Regarde cette enfant.» J’ai dit: «Oh! amenez-la ici.» Et on l’a amenée là, et elle a remis sa carte de prière à l’homme, et ainsi elle est venue. Et j’ai commencé à lui parler, et–et elle se tenait juste là. Je pensais qu’elle était peut-être sourde-muette. Mais, je me suis rendu compte qu’elle ne parlait pas l’anglais. Elle ne comprenait pas un seul mot de l’anglais. Ainsi, j’ai demandé s’il y avait un interprète. Et ils sont allés chercher un homme qu’ils ont amené là pour l’interprétation.
5 Eh bien, je lui ai posé quelques questions, et elle a commencé à me répondre par le truchement de l’interprète. Et alors, tout d’un coup, une vision est apparue. Et j’ai dit: «Je vois devant moi une fillette avec de petites tresses qui lui tombent dans le dos. Elle est assise près d’une vieille cheminée, elle mange du maïs jaune d’un épi pris d’une marmite qui est suspendue au-dessus de la cheminée. Et elle en a trop mangé, elle tombe gravement malade. Et sa mère l’amène au lit, et elle a attrapé l’épilepsie.» Et puis, la vision a disparu.
Et la petite fille s’est tournée vers l’interprète et a dit en espagnol: «Je pensais qu’il ne parlait pas l’espagnol.»
Et l’interprète a dit: «Vous avez parlé en anglais, n’est-ce pas, Frère Branham?» J’ai dit: «Si.»
Il a dit: «Eh bien, elle a dit que vous avez parlé l’espagnol.»
J’ai dit: «Arrêtez les enregistreurs sur toute la rangée.» Et ils les ont arrêtés, et nous avons rejoué cela; et mot pour mot, c’était de l’anglais. Et alors, nous avons demandé à la fille de répéter ce que je disais. Et pendant toute la durée de la vision, elle entendait chaque mot de l’anglais.
«Eh bien, entendons–comment les entendons-nous dans notre propre langue à chacun, dans notre langue maternelle?» Dieu est toujours Dieu. Eh bien, lorsque j’ai commencé à prononcer les mots par moi-même, elle ne comprenait pas du tout cela. Mais le Saint-Esprit, alors que je parlais l’anglais, était en train d’interpréter cela pour elle en espagnol. Dieu est un Dieu bon, comme le dit Oral Roberts. Certainement; c’est vrai.
6 Et si nous pouvions seulement saisir cela cet après-midi, Sa bonté envers cette petite femme finlandaise (ou peu importe ce qu’elle était) hier soir, afin qu’elle soit sûre que sa foi était reconnue! Il l’a appelée dans sa propre langue. C’est merveilleux. Eh bien, outre-mer, bien des fois, nous voyons cela arriver dans les pays étrangers. En fait, je me tiens debout là, je parle, et le Saint-Esprit se retourne directement et utilise ma langue et appelle les gens par leurs noms, et tout (exactement comme Il le fait ici) dans leur propre langue maternelle. C’est ce que moi, j’appelle la Pentecôte. Je–je–je crois cela, c’est le Saint-Esprit.
7 Eh bien, ces quelques dernières soirées nous n’avons pas distribué les cartes de prière pour une ligne de prière. Ainsi, je crois que ce serait en ordre ce soir de tenir une ligne de prière, de prier pour les malades. Toute la semaine prochaine, à partir de mardi soir, nous comptons le faire toute la semaine prochaine. Ainsi, venez chaque soir; venez étant en prière, et amenez quelqu’un avec vous. Les jeunes gens distribueront les cartes de prière dans environ trente-cinq minutes, aussitôt que la réunion sera terminée ici. Et vous qui avez besoin d’une carte de prière, restez simplement. Eh bien, ils vont apporter ici les cartes de prière et vont les distribuer à tous ceux qui en ont besoin. Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à tout ce que nous faisons, car nous le faisons en Son Nom.
8 A présent, passons à notre sujet et à notre leçon pour quelques instants. Frère David a lu les Ecritures; en effet, je venais de rencontrer un vieil ami qui est assis ici cet après-midi. Il y a environ deux ans, j’étais là à la Rivière du Non-Retour avec mes braves amis, les hommes d’affaires chrétiens. Je suis un... j’aime faire la chasse. Et ils avaient cette année-là un nouveau guide, et j’étais en quelque sorte tombé amoureux de cet homme, un jeune homme qui... et il... Je l’ai apprécié. Il semblait avoir quelque chose qui faisait qu’il était plus qu’un cowboy. Et j’ai rencontré sa femme; elle était une serveuse au restaurant où nous mangions, à l’embranchement nord, près de la rivière Salmon, dans l’Idaho.
9 Et sur notre chemin du retour, il s’est fait que Dieu a permis que ce jeune homme devienne mon copain, pour qu’il chasse avec moi. Et, je me souviens qu’un matin, j’ai bien tiré sur mon élan, loin de l’autre côté des vallées, et–et je l’ai abattu sans qu’il ait vraiment à souffrir. Et ce jeune homme m’aidait à le dépouiller. Et je l’observais, et je lui ai dit: «Jim, es-tu un chrétien?» Et je pense qu’il a dit qu’il était membre d’une certaine église ou d’un groupe. Mais il y avait quelque chose chez lui qui semblait sincère. Cette nuit-là, lorsque nous sommes rentrés et que nous nous sommes mis à table, je continuais à l’observer. Pendant qu’il était couché sur son sac de camp, endormi, je suis passé poser ma main sur lui, et j’ai demandé à Dieu de le sauver.
Et aujourd’hui, lui et sa charmante petite épouse, nous nous sommes rencontrés là au fond; tous deux sont des croyants pentecôtistes qui ont reçu le Saint-Esprit, ils sont assis ici en ce moment. La prière change les choses, Frère Gillespie. Oh! Il est vraiment réel; si nous prions simplement, et qu’ensuite nous croyons que nous recevons ce que nous demandons.
Voilà donc pourquoi j’ai demandé à frère duPlessis de lire la Parole pour moi, je devais vraiment saluer Jim et sa femme. Dieu leur a donné un joli petit bébé depuis lors; nous sommes heureux.
10 Bon, frère David lisait dans le Livre des Rois, au sujet d’Elie, ce grand prophète. Et ç’a dû être un matin terrible, sec et chaud. Il n’avait pas plu depuis trois ans et six mois. Le temps était si sec et si chaud que le monde était sur le point de s’embraser. Le peuple mourait de faim dans les rues, il y avait des cris partout. Tout ceci était arrivé à cause de la déchéance morale de la nation. Israël était aimé de Dieu. Mais lorsqu’ils sont sortis de la volonté de Dieu, l’ennemi a eu de l’emprise sur eux.
Dieu aime Son Eglise. Mais lorsque nous sortons de la volonté de Dieu, l’ennemi aura de l’emprise sur l’église. Et Achab, qui était roi d’Israël à cette époque, était, à mon avis, le roi le plus méchant qu’Israël eût jamais connu, parce qu’il avait épousé une femme idolâtre, Jézabel. Elle était une pécheresse et une personne impie. Et plutôt que d’être un homme qui est maître de sa propre maison, il s’est laissé être mené par elle. Et par cela, ils ont plongé la nation dans une déchéance morale. Ils étaient allés après... avaient entraîné la nation dans l’idolâtrie, parce qu’ils étaient allés après les idoles de Jézabel.
11 C’est quelque chose de pareil à ce qu’on a aujourd’hui. Tout le peuple était d’avis que c’était en ordre qu’ils fassent cela, parce que le gouvernement, le roi et la reine approuvaient la chose. Et ils étaient les gens les plus populaires de cette nation. Et du fait que le roi et la reine avaient fait cela, le peuple pensait que c’était en ordre. Eh bien, c’est à peu près l’image de notre pays aujourd’hui. Bien des gens s’imitent simplement les uns les autres. Et ils pensent que du fait que le gouvernement a accordé la licence aux vendeurs des boissons alcoolisées pour vendre le whisky, que cela n’est pas mal de se soûler. C’est faux.
Et bien des fois, de bonnes femmes pensent que parce que les compagnies de cigarettes étalent ces images sur ces affiches publicitaires: des femmes fumant la cigarette, des vedettes de cinéma et beaucoup d’autres personnes du genre, ainsi que des femmes populaires qui fument, elles pensent que cela est correct. C’est ce qui a causé la déchéance morale de cette nation. La colonne vertébrale de toute nation, c’est la maternité. Brisez la maternité, et vous avez brisé la colonne vertébrale de la nation. Et lorsque... J’ai des statistiques qui montrent cela, et je pense qu’il y a environ 80 pour cent de mères qui fument la cigarette, et qui doivent élever leurs bébés au biberon. En effet, elles ont beaucoup de nicotine dans leur sang, cela tuera le bébé avant que ce dernier n’atteigne dix-huit mois.
12 Vous parlez d’un sabotage, c’est l’un des plus grands sabotages que la nation connaisse. Et en dépit de tous les avertissements que les médecins lancent, avec des slogans tels que «cancer par cargaisons», et tous ces autres avertissements, les gens veulent s’imiter les uns les autres. Parce qu’une certaine femme stupide, une actrice d’un certain genre, fait la publicité de la cigarette, et–et qu’elle renvoie cela par les narines et se donne des airs... Pourtant cela n’a pas de place, ou plutôt une dame n’a rien à voir avec une telle chose. C’est faux.
13 Et je passais dans l’une de vos rues ici il y a quelques jours, et j’ai vu un bar qui portait cette inscription: «Tables pour dames». Je n’ai pas l’intention d’être rude, et je n’aimerais pas blesser qui que ce soit. Mais les dames ne vont pas dans de tels endroits. Ces gens n’ont jamais reçu une seule dame là-dedans. [L’auditoire applaudit.–N.D.E.] Je m’imagine qu’ils n’ont jamais reçu là une dame comme cliente et qu’ils n’en recevront jamais, parce que ce n’est pas un endroit pour les dames. Mais parfois, de braves gens voient ces choses et–ils voient des gens qui ont la tête en l’air (comme nous les appelons) se rendre dans de tels endroits, ils pensent que c’est pour eux la chose à faire. «Crains Dieu et observe Ses commandements; car c’est là ce que doit tout homme.»
14 Et vous voyez, le–le roi disait que cela était correct, parce que sa femme pensait que c’était correct. Et ils avaient amené une déchéance morale. Et puis, ils pensaient que, parce qu’ils étaient prospères, qu’il n’y avait pas de guerres ni rien d’autre, cela était un signe que Dieu était avec eux. La prospérité n’est pas toujours le signe que Dieu est avec vous. Bien des fois cela est trompeur. La pluie tombe sur les justes et sur les injustes. Mais c’est à leurs fruits qu’on les connaît.
Ainsi, cette nation était vraiment corrompue, et Dieu avait envoyé des jugements sur elle. Tous les prédicateurs avaient fléchi sous ce lourd fardeau, parce que les membres de l’église les avaient forcés à faire des choses.
J’ai pitié d’un prédicateur qui n’a pas assez de Dieu en lui et qui laisse son assemblée lui imposer des choses, et le faire sortir du chemin pour le faire entrer dans une telle ornière! Je crois que nous avons besoin de prédicateurs qui sont des hommes, qui ont la crainte de Dieu, qui sont des serviteurs envoyés de Dieu, et qui n’ont pas peur d’appeler les choses par leur nom. L’Evangile a été trop manipulé aujourd’hui avec des gants d’enfants. Nous avons besoin que soient apportées de nouveau au peuple des prédications à l’ancienne mode, comme celles de Billy Sunday, et de Jean-Baptiste, ainsi que des messages à l’ancienne mode, parlant du soufre et du feu de l’enfer. Je sais que cela n’est pas populaire. Ainsi, lorsqu’ils se sont éloignés de la chose, vous voyez dans quelle condition la nation s’est retrouvée. C’est donc ce qu’il–il faut, frère.
15 Et tous les pasteurs avaient cédé, ainsi ils avaient laissé le–ils avaient eu un évangile social, sans doute. Ainsi, il y avait toutefois une personne qui n’avait pas cédé. Il y avait un vieux petit prophète dans le pays en ce temps-là. Il ne s’était incliné devant aucune de leurs idoles, car il savait que Jéhovah était un Dieu saint, et qu’Il exigeait la sainteté, la pureté et la décence. En effet, Il savait que Jéhovah ne pouvait pas changer. Et si, pour faire sortir les enfants d’Israël, Jéhovah avait dû les purifier et les sanctifier... Et quand ils marchaient contrairement à Ses commandements, Il faisait tomber le jugement sur eux. Il savait que Jéhovah était le même hier, aujourd’hui et éternellement. Par conséquent, Il ne voulait pas céder. Oh! Jézabel le haïssait, et tout son entourage le haïssait. Mais Dieu l’aimait et l’honorait, parce qu’il n’avait jamais abandonné la Parole de Dieu. Il s’en était tenu à Elle.
Que Dieu nous donne encore des Elies dans ce cruel et mauvais jour de corruption où nous vivons, qui n’ont pas peur de prêcher ce qui est la vérité, ce que la Bible dit: «Sans la sainteté, nul ne verra le Seigneur.» Vous devez être purifiés de vos péchés par le Sang du Seigneur Jésus.
16 Or, il y avait une certaine femme dans le pays; et personne parmi eux ne connaissait l’autre. Mais certainement qu’elle était une femme honorable. Elle devait être le genre de femme qui correspondait au genre d’homme qu’était Elie, parce que Dieu avait choisi cette femme d’entre toutes les femmes qu’il y avait en Israël, pour prendre soin de Son prophète. Et Il n’aurait jamais choisi une femme immorale pour prendre soin de Son prophète. Et cette femme était une veuve. La sécheresse sévissait dans le pays. Et après la mort de son mari, elle avait commencé... Elle avait un petit enfant à élever. Et elle luttait pour essayer de faire vivre ce petit gamin. Et finalement, le pain a commencé à manquer. Et un jour, ils en sont arrivés au point où, lorsqu’elle est entrée pour regarder son petit enfant, et elle a vu ses petites manches qui étaient retroussées, déchirées. Elle s’est peut-être observée dans un miroir et a remarqué que, du fait qu’elle quittait la table en laissant quelque chose pour l’enfant, alors ses propres pommettes étaient ressorties, et ses bras étaient devenus petits et frêles. Elle ne se faisait pas des soucis pour elle-même; mais le petit garçon... Elle essayait... elle ne voulait pas le voir mourir.
17 Ainsi finalement, un jour elle est allée vers le pot de farine, il n’y restait qu’une seule poignée de farine. Elle est allée vers la cruche pour voir la quantité d’huile qui y était, et il y avait juste une bonne cuillerée. C’est ce qui la séparait de la mort. Je suppose que cette nuit-là, il y eut une réunion de prière qui a duré toute la nuit. N’est-ce pas étrange, la manière dont Dieu nous laisse arriver carrément au bout du rouleau? Sans doute qu’elle a vérifié toutes choses. Elle a dit: «Seigneur Dieu (quelque chose comme ceci), je T’ai servi. J’ai fait tout ce que je pouvais. J’ai rempli Tes exigences. Et voici que je n’ai qu’une seule poignée de farine et une seule cuillerée d’huile qui nous séparent de la mort, mon enfant et moi.» Elle a dû prier toute la nuit.
Et lorsque le petit enfant se réveillait, il se retournait et disait: «Maman, veux-tu retourner à l’armoire pour voir s’il reste ne fût-ce qu’un petit bout de ce pain?» Elle retournait, elle pleurait un peu, et ensuite, elle revenait et lui donnait un peu d’eau à boire. Car elle savait qu’elle pouvait–elle n’avait que ce petit bout, et cela devait peut-être servir le jour suivant. Et le petit garçon ne pouvait peut-être pas bien dormir à cause de la faim.
18 Je suis passé par ces moments-là. Sans doute qu’il y a bien des gens ici qui sont passés par ces moments-là. J’ai vu ma mère quitter la table un matin, s’asseoir à l’écart dans la maison, et pleurer, quand elle–ce que nous avions à table était du pain rassis. Et elle versait du café et du sucre dessus pour nous les enfants, et elle retournait en chambre et pleurait. Elle disait: «Je n’ai pas faim», alors qu’elle avait faim, et nous essayions d’aller à l’école comme cela.
19 Et la femme, comme elle a vu ces–cette heure cruciale approcher, sans doute qu’elle a vérifié tout et elle a dit: «Seigneur, j’ai fait tout ce que je pouvais.» Lorsque vous avez fait tout ce que vous pouvez, et que vous avez rempli toutes les exigences requises par Dieu, c’est là que la foi s’accroche. C’est là que la foi entre en action. Si vous avez rempli toutes les exigences requises par Dieu, alors parfois Dieu teste votre foi, pour voir quelle sorte de réaction vous aurez vis-à-vis de votre action. Oh! Il est un spécialiste en cela. Cela permet simplement... cela prouve simplement si réellement vous croyez ce que vous pensez croire. Vous savez qu’Il fait cela bien des fois.
20 Un certain matin, quelques enfants hébreux allaient être brûlés. Et ils savaient qu’ils avaient accompli la volonté de Dieu. Et ils ont dit: «Nous n’avons pas peur des ordres du roi. Notre Dieu est capable de nous délivrer de cette fournaise ardente. Néanmoins, [même s’Il ne le fait pas], nous ne nous prosternerons pas devant sa statue.» Eh bien, Dieu a voulu leur donner un test pour voir ce que serait leur réaction vis-à-vis de leur action. Il les a carrément laissés aller droit jusque dans la fournaise ardente avant d’agir. Mais, lorsque toutes les exigences de Dieu ont été remplies, et que vous êtes certain de Dieu, que Dieu fera la chose, alors, tenez-vous tranquille, et Dieu fera la chose.
Si vous avez été dans ces réunions et que vous avez vu le Seigneur Dieu agir là dans l’auditoire, guérissant les malades et les infirmes, et que cependant, vous semblez toujours avoir votre maladie... Et lorsque je demande que les gens s’imposent les mains les uns aux autres, et que vous avez mis en ordre vos fautes devant Lui, si vous L’avez accepté et que vous avez été baptisé dans la foi chrétienne, votre coeur étant pur devant Lui, alors parfois, lorsque Dieu tarde à répondre, Il veut simplement voir ce que sera votre réaction. Rassurez-vous que vous croyez que c’est Dieu et alors, accrochez-vous à cela. Ne bougez pas.
21 Si on a prié pour vous, et que les croyants vous ont imposé les mains, la Bible dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» C’est une exigence de Dieu, et Dieu exige que vous croyiez Sa Parole.
Job, une fois Dieu a laissé le diable tester Job. Lorsque Job sortait, il offrait un holocauste pour ses enfants; ceux-ci offraient un festin, ainsi Job savait en son temps ce qu’étaient les adolescents, de quoi ils étaient faits, cet esprit turbulent. Et ainsi, Job a dit: «Peut-être que mes enfants ont péché! Je vais offrir un holocauste pour eux de toute façon.» Et lorsqu’il s’en tenait strictement à cette offrande... C’est ce que Dieu exigeait, un holocauste. C’est tout ce qu’Il exigeait: confesser et offrir un holocauste. Et Job savait qu’il avait fait cela. Et puis, le diable a été lâché sur lui. Et il a commencé par tuer ses enfants et détruire ses biens. Et certains membres de son église sont venus vers lui et ont dit: «Tu as péché en secret. Tu as dans ton coeur quelque chose que tu n’as pas confessé, Job.»
Mais Job savait qu’il n’avait pas fait cela. Il était sûr qu’il avait rempli les exigences de Dieu et qu’il s’en était tenu strictement à cela. C’est cela. Il savait qu’il avait confessé ses péchés, il avait demandé à Dieu de l’éprouver, de le sonder et de voir s’il y avait en lui quelque chose de faux. Vous voyez? Dieu attendait simplement de voir ce que Job ferait, parce que Satan avait dit: «Je l’amènerai à Te maudire en face.»
Mais Dieu avait dit: «Il n’y a personne comme lui sur la terre; il ne le fera pas.» Dieu avait confiance en lui.
22 Et peut-être si votre guérison a tardé un petit peu, Dieu a confiance en vous, que vous tiendrez ferme. Si vous croyez que les miracles et les prodiges que le Saint-Esprit a promis s’accomplissent ici, alors acceptez cela et accrochez-vous à cela, l’exigence de Dieu. «Je suis l’Eternel qui guéris toutes tes maladies.»
23 Lorsque vous recevez le Saint-Esprit, que vous naissez de nouveau et que le diable commence à vous tenter, disant: «Oh! tu portes les mêmes vêtements, tu as la même apparence que tu avais avant.» Mais vous êtes sûr que quelque chose s’est produit au-dedans de vous; Dieu a changé votre vie. Peu importe ce que le diable dit, éloignez-vous-en tout simplement, parce que vous êtes sûr que c’est Dieu. Amen. «Amen» signifie «ainsi soit-il».
24 Je suis sûr que le Saint-Esprit est ici en ce moment. J’en suis sûr. Et je sais que ce que nous demandons, nous le recevrons. Il se pourrait que cela ne vienne pas tout de suite, mais cela doit venir. La promesse de Dieu est vraie. Quand nous Lui demandons quelque chose, nous ne doutons pas; nous croyons que ce que nous demandons nous le recevons, parce que nous avons rempli les exigences de Dieu, nous Lui avons donné notre vie et nous Lui avons abandonné notre volonté. Nos vies, notre âme, tout ce que nous sommes, nous l’avons abandonné à Dieu. Alors, notre coeur ne nous condamne pas; nous pouvons obtenir ce que nous demandons. «Si vous demeurez en Moi et que Ma Parole demeure en vous, demandez ce que vous voulez, et cela vous sera accordé.» C’est Sa promesse. Soyez sûr que vous connaissez Dieu, et soyez sûr que c’est Sa promesse.
Quelqu’un m’a dit, ou plutôt, bien des fois on m’a posé cette question: «N’avez-vous pas peur, Frère Branham, que lorsque vous allez là-bas la nuit, que peut-être cet Ange du Seigneur puisse parfois vous abandonner?»
J’ai dit: «Je suis sûr qu’Il ne le fera pas. Parce qu’Il m’a promis qu’Il ne le ferait pas. Et j’ai foi en Dieu pour croire qu’Il remplira cette exigence.»
25 Ce soir-là, à Portland, lorsque ce maniaque s’est précipité vers l’estrade pour me tuer... Vous avez lu cette histoire. Vous ferez mieux d’en être sûr alors. Mais j’étais sûr que je n’essayais pas de parler de moi-même, lorsque cet homme m’a qualifié de faux jeton, qu’il m’a craché au visage et a dit: «Ce soir, je vais te cogner et te projeter jusque-là dans cet auditoire.» Je me suis simplement tenu tranquille. Il pesait deux cent cinquante livres [125 kg–N.D.T.] ou plus, et moi, je pesais cent vingt-huit livres [64 kg]; je devais lever les yeux pour le regarder; il avait des bras énormes de géant, les dents bien serrées, et ses yeux, oh! le poing ramené en arrière, il courait vers moi. Et l’Esprit de Dieu a dit: «Puisque tu as défié l’Esprit de Dieu, ce soir, tu tomberas sur mes pieds.» Ça, c’était Dieu, ce n’était pas moi.
Ainsi il a dit: «Je vais te montrer sur les pieds de qui je vais tomber.» Et il a ramené son poing en arrière pour me frapper.
Et alors, j’ai dit: «Satan, sors de cet homme!» Et il est tombé et m’a coincé les pieds contre le plancher de sorte que le policier a dû le rouler pour l’ôter de mes pieds.
26 Soyez simplement sûr que c’est Dieu, et puis accrochez-vous à cela. Tenez-vous-en à cela. Lorsque Dieu dit quelque chose, Il est obligé de tenir Sa Parole. Soyez certain que c’est Dieu. Acceptez la Parole de Dieu. Si Dieu vous chuchote à votre coeur, disant: «Je suis l’Eternel qui te guéris», tenez-vous-en à cela. C’est la promesse de Dieu. Dieu a fait la promesse qu’Il donnerait le Saint-Esprit; tenez-vous-en à cela jusqu’à ce que le Saint-Esprit vienne.
27 Je lisais un livre du vieil oncle Bubdy Robinson, il y a quelque temps. Et il labourait pour planter du maïs, dit-il, avec son vieux mulet, Alec. Et il était fâché contre Alec ce matin-là, parce que celui-ci piétinait les maïs. Et il l’a mordu aux oreilles, et la bête s’est enfuie et l’a regardé. Et il a dit: «Alec, j’ai honte de t’avoir mordu.» Il a dit: «Dites donc! moi qui prêche la sanctification, j’ai un–les dents remplies de poils de mulet.» Il a dit: «Quelle honte!» Il a eu donc honte de lui-même. Et il s’est agenouillé dans la rangée de maïs et a dit: «Seigneur, si Tu ne me donnes pas le Saint-Esprit, à Ton retour, tu trouveras un tas d’ossements gisant ici.» Alors, il L’a reçu. Soyez certain que c’est Dieu, puis, tenez-vous-en à la chose.
28 Elle était certaine qu’elle avait marché droitement devant Dieu. Et Dieu l’a confirmé en invitant Son prophète à aller vivre chez elle. Voyez-vous? Dieu confirme les choses. Ainsi, le matin se levait; les oiseaux commençaient à chanter alors que l’aube pointait. Elle a regardé le petit garçon une fois de plus, et l’a tapoté. Elle s’est agenouillée et a dit: «Seigneur Dieu, il va se lever dans quelques minutes. Je vais préparer tout ce qui me reste, et je vais le lui donner. Et ensuite, je le porterai dans mes bras, et nous mourrons ensemble.» Ainsi, elle est allée prendre la poignée de farine.
Eh bien, la farine, c’était une offrande de farine, ce qui signifie «Christ, la Parole». Et lorsqu’on moulait l’offrande de farine au temps de la Bible, on utilisait une certaine meule qui pulvérisait toutes les particules de la farine et les rendait parfaitement identiques. Il n’y avait pas de différence entre ces particules. Eh bien, voilà de quoi cela est le type: Identique signifie que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Lorsque Dieu a fait sortir de Lui la Vie en Le moulant au Calvaire, Il l’a donnée à l’Eglise, afin qu’Il soit le même hier, aujourd’hui et éternellement.
29 Ensuite, elle va là et prend de l’huile. L’huile représente l’Esprit. C’est... nous... C’est pourquoi nous faisons l’onction d’huile, cela représente l’Esprit. Et elle a mis l’Esp-... l’huile et la farine ensemble et a commencé à préparer cela. Et lorsque le Saint-Esprit et la Parole se mettent ensemble, quelque chose va avoir lieu. Elle était au bout du rouleau. Ainsi, elle a pris la Parole et l’Esprit et a commencé à Les mélanger. Maintenant, c’est prêt pour la cuisson. Elle sort dans la cour pour ramasser deux morceaux de bois. Avez-vous remarqué que la Bible dit «deux morceaux de bois»?
Eh bien, autrefois... Jimmy, je pense que nous-mêmes nous l’avons fait bien des fois. Vous prenez deux morceaux de bois, vous les croisez et vous mettez le feu juste par le milieu. Et au fur et à mesure que les morceaux de bois brûlent, vous les ramenez dans le feu, quand vous campez dehors la nuit. Cela permet que le feu continue à brûler toute la nuit, en les ramenant là-dedans; le feu était au milieu. Si vous remarquez bien, les deux morceaux de bois représentaient la croix: le sacrifice de soi.
30 Maintenant, elle a mélangé la Parole et le–l’Esprit et elle était prête à mettre cela au feu. Elle va ramasser ces morceaux de bois. Et peut-être qu’elle venait de trouver le dernier morceau qu’elle avait dans sa main et, en retournant dans la maison, elle a regardé au portail. Voilà qu’un vieil homme doux, peut-être, chauve et à la barbe pendante, se tenait là, appuyé contre le portail. Il a dit: «Veux-tu m’apporter juste un petit verre d’eau?»
Elle l’a regardé, et elle s’est dit: «Eh bien, je n’ai qu’environ un–un demi-gallon [1,89 litre–N.D.T.] dans la maison. Mais le pauvre vieil homme paraît très assoiffé. Je vais volontiers partager avec lui.» Et peut-être qu’elle a dit: «Oui, gentil monsieur. Je vais vous apporter un peu d’eau, car les sources ont tari et tout.» Toutes les eaux avaient tari. Et elle est entrée pour prendre l’eau, et il savait...
31 Vous voyez. Dieu répond aux deux bouts de la ligne. Environ deux heures avant cela, le ruisseau avait tari au sommet de la montagne où Elie était. Dieu a dit: «Elie, descends dans la ville et continue de marcher jusqu’à ce que tu trouves une femme portant deux morceaux de bois dans la main. C’est elle qui va te nourrir.» Dieu fait des choses réelles. «Je t’ai envoyé là, et elle va te nourrir. Elle n’a rien dans la maison, mais Moi, Je vais te nourrir.»
Et il a descendu la rue jusqu’à ce qu’il a vu cette femme qui portait ces deux morceaux de bois, et c’était certainement elle. Ainsi, il a dû attirer l’attention de la femme. Il a dit: «Veux-tu m’apporter un peu d’eau?»
Et elle a dit: «Volontiers.»
Et comme elle s’est retournée pour partir, il a dit: «Apporte-moi aussi un petit morceau de pain dans ta main.» Elie, ayant déjà vu cette vision, connaissait déjà ce qu’était la situation.
Et elle a dit: «Le Seigneur est vivant...» Elie savait qu’elle était donc une chrétienne, une croyante. «Le Seigneur est vivant, je n’avais qu’une poignée de farine et une cuillerée d’huile, que j’ai déjà préparées; j’ai arrangé cela, j’ai apprêté cela. Et j’amène ces deux morceaux de bois pour cuire un petit gâteau pour mon fils et pour moi. Et nous allons manger cela, après quoi nous allons mourir.»
32 Voyez, eh bien, voici une grande leçon qui s’en dégage. Mais Elie a dit: «Cuis-en un pour moi d’abord.» Oh! qu’est-ce là? Quelle leçon apprenons-nous? «Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et Sa justice.»
«Cuis-en un pour moi d’abord.»
Et elle a regardé. Elle a dit: «Je me demande qui est cette personne? Il semble y avoir quelque chose de différent chez cet homme.»
Et il a dit: «Fais m’en un d’abord et apporte-le.»
Et elle est aussitôt entrée dans la maison pour faire ce qu’Elie a demandé. Alors, elle a entendu cette Parole de consolation qui console toujours: «Car AINSI DIT L’ETERNEL, le pot ne se videra point et la cruche ne sera point sèche, jusqu’au jour où Dieu enverra la pluie sur la terre.»
33 Qu’était-ce? Ce moment très sombre et crucial était venu, mais Dieu était toujours sur la scène. Si vous êtes sûr que c’est Dieu, si vous vous êtes repenti de vos péchés, si vous avez rempli les exigences de Dieu, alors soyez sûr que Dieu tiendra Sa promesse. Fiou! si les hommes et les femmes pouvaient seulement comprendre cela! Dieu est tenu à Sa promesse. Et si vous avez rempli Ses exigences, si vous avez confessé vos péchés, vous avez arrangé vos torts et fait tout ce que Dieu a exigé, alors accrochez-vous à Dieu. Vous verrez certainement la lumière du jour; Il est obligé d’accomplir cela. Soyez simplement certain que c’est Dieu, et Il prendra soin du reste de la chose, si vous êtes sûr que c’est Dieu.
34 Il y a quelque temps, j’étais dans une petite ville de l’Arkansas. Ça fait environ quinze ans, pas exactement quinze ans, je dirais douze ans. Ils ont une ségrégation terrible dans l’Arkansas. Et j’étais allé dans une petite église, et le policier m’aidait pour me faire entrer et me faire sortir. Et je sortais de l’église, et j’ai entendu quelqu’un dire: «Pitié! pitié!»
Je me suis dit: «D’où cela vient-il?»
J’ai regardé à ma gauche. Il y avait là, debout d’un côté, un–un Noir, se tenant à l’écart, loin des Blancs. Il tenait son vieux petit bonnet dans sa main, il hurlait: «Pitié! pitié!»
Et quelque chose m’a frappé [et j’ai pensé]: «Cet homme veut me parler.»
Et j’ai dit au policier, j’ai dit: «Je voudrais aller là pour voir cet homme.»
«Oh! a-t-il dit, Monsieur Branham, vous ne pouvez pas le faire; vous déclencheriez des troubles ici dans l’Arkansas.» Il a dit: «Vous ne pouvez pas le faire.» Il a dit: «Nous ne pouvons tout simplement pas vous laisser le faire.»
J’ai dit: «Mais le Saint-Esprit me dit d’aller.»
Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, vous allez déclencher une émeute raciale.» Il a dit: «Tous ces Blancs sont ici pour qu’on prie pour eux, et si vous allez là-bas vers cet homme de couleur...»
J’ai dit: «Le genre de loi que vous avez, je n’y peux rien. Il y a une loi que moi je suis; et cette loi, c’est la loi de l’Esprit.» Et il a dit: «Allez vers cet homme.»
35 Et je me suis simplement détaché de lui, et je suis allé là. Et j’ai entendu sa femme dire: «Prends courage, chéri, le pasteur vient.»
Et je suis arrivé là; j’ai dit: «Bonjour.»
Il avait ses mains tendues comme ceci. Il a dit: «Est-ce vous...?» Je ne dis pas ceci pour manquer d’égard à mes amis de couleur, que ça soit ici ou que ça soit là où l’on suit par la radio. Mais il avait vraiment un accent du Sud. Et il a dit: «Est-ce vous le pasteur Branham?» [Frère Branham imite le parler de cet homme de couleur dans toute la conversation qui suit.»–N.D.T.]
Et j’ai dit: «Oui, monsieur. C’est moi.»
Il a mis ses mains sur mon visage. Il a dit: «Vous êtes plus jeune que je ne le pensais», il était aveugle. Et il a dit: «Est-ce que vous pouvez m’accorder une minute, j’aimerais vous dire quelque chose?»
J’ai dit: «Oui, frère. J’ai autant de temps que vous aimeriez me parler.»
36 Il a dit: «Je suis chrétien depuis que j’étais un petit garçon. Et ma vieille mère, a-t-il dit, est partie depuis des années...» Et il a dit: «Je suis maintenant aveugle depuis plusieurs années. J’ai attrapé des cataractes dans les yeux. Le médecin a dit qu’il ne pouvait pas les enlever. Les cataractes avaient déjà recouvert le nerf optique, et le médecin ne pouvait pas les enlever.» Et il a dit: «Je n’ai jamais entendu parler de vous de ma vie, Pasteur Branham. Mais, a-t-il dit, hier soir, vers 21 h, je suis allé au lit, a-t-il dit, j’ai fait un rêve où j’ai vu ma vieille mère venir à mon chevet. Et elle m’a dit: ‘Chéri, lève-toi, mets tes vêtements et va dans une ville appelée Moahart. Et demande à frère Branham de prier pour toi, tu vas recouvrer la vue.’» Il a dit: «Croyez-vous cela, Frère Branham?»
J’ai dit: «Je le crois de tout mon coeur.»
Il a dit: «Ma vieille mère ne m’a jamais dit un mensonge de sa vie. Et je me suis levé et j’ai porté mes vêtements. Et ma femme m’a aidé à arriver à l’arrêt du bus. Et nous nous sommes rendus à l’auditorium, et on nous a dit que vous étiez ici. Et nous sommes venus ici, et nous nous sommes tenus ici.» Et il pleuvait à verse.
37 Je l’ai regardé. J’ai mis mes bras autour de lui, et j’ai dit: «Seigneur Dieu, je ne sais pas, mais d’une manière ou d’une autre, il est certain. Et je suis certain que c’est Toi qui as laissé sa vieille mère venir vers lui dans un songe pour lui dire qu’il allait recouvrer la vue. Et il est très sûr qu’il va recouvrer la vue, Seigneur Dieu, qu’il en soit ainsi maintenant.» Et à peine avais-je dit cela que l’homme commença à battre les paupières.
Il a dit: «Merci, Seigneur!»
Et j’ai dit: «Est-ce que vous voyez, oncle?»
Et il a dit: «Certainement, je vois.» Il a dit: «Je savais que j’allais voir.»
Et sa femme a dit: «Chéri, vois-tu réellement?»
Il a dit: «Certainement.»
«Vois-tu cette voiture rouge qui est stationnée là?»
Il a dit: «Certainement que je la vois.»
Une grande clameur s’est élevée de toute part, et les gens glorifiaient Dieu. Qu’était-ce? Il était certain que Dieu lui avait parlé dans ce songe. Et si Dieu est certain par un songe, combien plus Il est certain par Sa Parole! Soyez certain. Accrochez-vous à cela. Dieu accomplira la chose. Prions.
38 Seigneur, lorsque je pense à beaucoup de ces expériences... Aujourd’hui, je ne sais pas où se trouve cet homme; Toi, Tu le sais. Peut-être que je n’aurai plus jamais le privilège de le regarder encore sur terre. Mais sans doute, l’un de ces jours, là de l’autre côté de la rivière, après que tous deux nous aurons gravi l’escalier doré pour entrer dans Ton Royaume, je le verrai là. En effet, il était certain; il ne pouvait pas lire Ta Parole, mais Tu lui as parlé par un songe et par le truchement de sa véridique mère. Et il était certain que sa mère ne mentirait pas. Et comme Tu lui as envoyé ce songe de sa mère, il avait une forte certitude qu’il allait recouvrer la vue. Je crois, Père, que c’est la raison pour laquelle Tu lui as donné ce songe. Il a quitté son lit; il est entré en action; il a mis sa foi en action; et tu as confirmé sa foi en lui rendant la vue.
Il y en a beaucoup qui sont assis ici, Seigneur, aujourd’hui. Plusieurs qui suivent par la radio ont lu la Parole et ont entendu les promesses, mais ils n’ont jamais été sûrs de cela. Ô Dieu, fais qu’ils soient certains aujourd’hui que si Dieu a dit quelque chose, Il est donc obligé de tenir cette Parole. Et parfois, Il laisse l’opposition venir juste pour voir ce que nous ferons. Que chaque personne maintenant, ceux qui sont ici et ceux qui sont dans l’auditoire invisible, qu’ils s’emparent de Ta Parole, Ta promesse, qu’ils confessent leurs péchés et leur incrédulité et qu’ils s’accrochent à cette promesse jusqu’à ce que le jour apparaisse pour eux. Accorde-le, Seigneur. Puissent-ils tous être sûrs et certains que Tu tiendras Ta promesse. Car nous le demandons au Nom de Jésus et à cause de Lui. Amen.
39 Que Dieu vous bénisse. Combien sont certains que Dieu tient Sa promesse? Autrefois, nous chantions un vieux cantique là dans l’Eglise baptiste: «Sa promesse est vraie; Il ne vous abandonnera pas, Dieu est toujours sur le Trône.» Avez-vous déjà chanté cela? Faites voir la main, vous tous qui connaissez ce cantique. Donnez-nous un accord, soeur.
Dieu est toujours sur le Trône,
Et Il se souvient toujours des Siens;
Sa promesse est vraie,
Il ne vous oubliera pas,
Dieu est toujours sur le Trône.
Frère Duffield, voudriez-vous m’aider à conduire ce cantique? Ça va, chantons cela.
Dieu est toujours sur Son Trône,
Il n’abandonne jamais les Siens;
Sa promesse est vraie,
Il ne vous oubliera pas,
Dieu est toujours sur le Trône.
Combien croient cela? Levez la main. Tenons-nous debout pendant que nous chantons cela maintenant, tous ensemble ; levez vos mains vers Dieu pendant que nous chantons cela. Très bien, encore.
Dieu est toujours sur le Trône,
Il n’abandonne jamais les Siens;
Sa promesse est vraie,
Il ne vous oubliera pas,
Dieu est toujours sur le Trône.
40 Maintenant, retournez-vous, et serrez la main à quelqu’un qui est à côté de vous. Chantons encore cela maintenant alors que nous–alors que nous–alors que nous nous serrons la main. Vous tous les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les luthériens et les pentecôtistes, réconciliez-vous les uns avec les autres ; mâchez chacun le chewing-gum de l’autre ; et communiez simplement ; passez réellement de bons moments ensemble. Très bien, soeur. Chantons cela une fois de plus, tout le monde. Nous ne sommes plus à l’antenne, je pense. [Frère Branham s’entretient avec frère Duffield.–N.D.E.]
Dieu est toujours sur (Croyez-vous cela? Levez donc la main.)...
Il n’abandonne jamais les Siens;
Sa promesse est vraie,
Il ne vous oubliera pas,
Dieu est toujours sur le Trône.
41 Que tous ceux qui croient cela disent amen. [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Maintenant, nous ne sommes plus à l’antenne, vous pouvez donc crier «Amen» très fort. Amen.
Dieu est toujours sur le Trône,
Il n’abandonne jamais les Siens;
Quoique les épreuves nous tourmentent,
Et que les fardeaux nous oppriment,
Il ne nous laissera jamais seuls. Amen.
Il est le Dieu éternel, d’éternité en éternité, il est toujours Dieu. Lorsque ce vieux monde où le péché s’est tellement accumulé au point qu’il porte un bandeau autour de lui à cause des maux de tête, ce monde qui titube comme un homme ivre qui rentre chez lui la nuit... L’un de ces jours, le péché ira jusqu’au-delà des étoiles et de la lune, et ce monde éclatera et volera pour entrer dans l’éternité. Mais Dieu sera toujours sur le Trône. Amen. Amen. Je me sens pentecôtiste juste en ce moment. Amen. Le salut à l’ancienne mode, la puissance de Dieu, le Saint-Esprit... Dieu est toujours bon. Très bien, frère Duffield.