La Réaction À Une Action
1 Je n’en suis pas digne, je suis cependant certainement reconnaissant d’être de nouveau ici ce soir dans ce grand et vieil Etat d’Ohio, pour la préparation en cours en vue d’une autre campagne. Je garde encore les souvenirs de la dernière campagne à Middletown. Mais ce soir, en venant ici, je ne pensais pas retrouver le chemin. Je–j’ai continué simplement–simplement à avancer. Et, cette semaine, nous nous attendons à une grande effusion spirituelle de la bénédiction de Dieu sur nous, pendant que nous attendons humblement Sa Venue. Ainsi donc, nous avons six soirées, dès ce lundi jusqu’au samedi. Et nous prenions un petit repos cette fois-ci, l’équipe et moi. Frère Sullivan m’avait envoyé chercher afin de venir ici. Et alors, nous l’avons téléphoné, nous lui avons dit que nous aimerions revenir rencontrer encore certains de ces braves frères. Et Dieu nous a accordé ce grand privilège. Les jeunes gens m’accompagnent, Léo et Gene. Ils vont exposer des livres, des bandes cassettes et autres, comme c’est leur activité, s’occuper des clients qui veulent des livres, des bandes et autres.
2 Et puis, nous avons pensé tenir quelques services de guérison, ou de prière pour les malades, prier pour eux. Et, le Seigneur voulant, demain soir, nous commencerons nos services de prière pour les malades. Généralement, il nous faut distribuer des cartes de prière pour garder un peu les gens en ligne et en ordre. Et puis, je–je voulais aussi savoir si cela plaisait aux gens. J’aime toujours venir dans la réunion et sentir tout d’abord ce que le Saint-Esprit voudrait que nous disions ou fassions et, ensuite, nous pouvons faire des annonces. Et ce, je suis monté à l’estrade tout à l’heure, il y a quelques instants, accompagné de Léo et des autres ; j’ai juste regardé là et j’ai vu ces... un petit garçon ici, et ceux-là, dans des fauteuils roulants. J’ai promené le regard, et j’ai eu l’impression que Dieu voudrait que nous priions pour les malades.
3 Et ils... Demain après-midi, vers... (A quelle heure commencez-vous d’habitude? A dix-neuf heures trente?) Eh bien, disons vers dix-huit heures ou dix-huit heures trente... Disons vers dix-huit heures trente. De toute façon, les jeunes gens distribueront les cartes de prière demain soir. Et nous commencerons la prière pour les malades. Et, le Seigneur voulant, nous aurons six soirées, ou plutôt cinq soirées pour cela, et nous pourrons terminer tout le groupe, à prier pour tous ceux qui viennent et qui aimeraient qu’on prie pour eux ; nous prierons pour eux. Ainsi donc, nous prendrons simplement nos cartes et nous passerons au fur et à mesure que nous sommes appelés. Et nous espérons que cela ne sera pas seulement juste la... comme nous appelons cela là dans le Kentucky, une longue réunion, mais une série de réunions de réveil à l’ancienne mode, juste sur ces terrains de camping ici où, à ma connaissance, plusieurs ont loué des maisons. Et je pense qu’il serait mieux que les réunions de prière continuent toute la journée ici, juste partout. Car vous ne pouvez rien obtenir de la part de Dieu si vous ne vous approchez pas de Lui. Vous savez, il est écrit dans les Ecritures: «Approchez-vous de Dieu et Il s’approchera de vous.» Et si nous sommes ici maintenant dans l’unique but de nous approcher de Dieu, faisons-le de tout notre être, approchons-nous de Dieu.
4 Et j’aimerais dire ceci: Dieu n’exaucera jamais votre prière tant que vous cachez l’iniquité dans votre coeur. Il ne le fera pas. Dieu pourra... La Bible dit là dans, je pense, dans 1 Jean 3: «Si notre coeur ne nous condamne pas, nous avons alors de l’assurance devant Dieu», c’est-à-dire si nous n’avons aucune condamnation dans notre coeur. Je viens de vivre une expérience du genre il y a quelques jours. Et je ferais tout aussi mieux de m’arrêter ici pour vous en parler, car nous ne voulons jamais être pressés. Eh bien, c’est là l’une des grandes causes de la ruine de notre héritage américain aujourd’hui, c’est que nous essayons de dépasser tout le monde. On dirait que nous essayons de dépasser Dieu par manque de patience. «Ceux qui se confient en l’Eternel renouvellent leur force.»
5 J’étais soumis à des interrogatoires chez moi, et... On m’avait convoqué pour apporter des preuves sur certains faits dans un... en vue d’un procès. Et ils m’avaient tellement examiné à maintes, maintes, maintes reprises que j’en avais vraiment marre, que je–je... On dirait que le monde entier était un cataplasme tirant sur ma tête. Je suis rentré chez moi ce matin-là et ma femme m’a demandé: «Eh bien, comment vas-tu?»
J’ai dit: «Chérie, ces affaires peuvent rendre quelqu’un fou.»
Et alors, aussitôt que je m’étais assis pour prendre le dîner, le téléphone a sonné. Nous avons un répondeur, mais ça, c’était le téléphone privé de la résidence du pasteur. Et aussitôt qu’il avait sonné, ma femme est allée, elle a répondu. Elle a posé la main sur le téléphone, elle a dit: «Billy, c’est encore ces magistrats.»
«Oh! ai-je dit, chérie, je–je ne peux plus supporter cela un après-midi de plus.» Ça faisait donc environ six ou sept jours passés là-dessus. J’ai dit: «Je ne peux simplement pas supporter cela.» Et je me suis levé de la table et je suis sorti par la porte. J’ai dit: «Dites-leur que je ne suis pas ici dedans présentement», et je suis allé derrière la maison. Je me suis très mal senti. Puis, je suis retourné. Et mon–mon épouse est de loin meilleure comme femme que moi, je ne le suis comme homme. Alors, lorsqu’elle s’est approchée de la porte, le regard fixé sur moi, elle a demandé: «Billy est-ce que c’était tout à fait vrai?»
J’ai dit: «Assurément.» Je savais déjà que ça ne l’était pas. Mais je voulais lui faire penser que mon histoire collerait, aussi ai-je dit: «Oui, je n’étais pas ici dedans en ce moment-là.»
Elle a dit: «Mais vous étiez ici dedans quand ils ont appelé.»
J’ai dit: «Oh! C’est vrai.»
6 Puis, je suis sorti. Il y avait quelqu’un qui attendait, un homme avec un enfant malade. Je suis allé jusque là afin de prier pour cet enfant-là. Oh! la la! Je–je–j’ai éprouvé un très mauvais sentiment. Donc, lorsque je me suis agenouillé là afin de prier pour l’enfant, Quelque Chose m’a dit: «Eh bien, toi un menteur! Et tu veux dire que tu vas imposer les mains à cet enfant? Cet homme a parcouru environ quatre cents miles [640 km] afin que tu pries pour cet enfant malade, cependant–cependant tu venais de dire un mensonge et tu as fait mentir ta femme.» Notre coeur nous condamne donc. Voyez-vous? C’était faux.
J’ai alors dit à cet homme, j’ai dit: «Monsieur, veuillez bien rester sur place, je vais prier pour votre enfant, mais je ne suis pas digne de prier pour lui, ai-je dit, parce que j’ai quelque chose à arranger avant de prier pour lui.» J’ai dit: «J’ai fait quelque chose de mal, et–et mon coeur me condamne. Et il me faut d’abord aller arranger cela.»
7 Et je suis allé au cabinet du magistrat, j’ai frappé à sa porte, et il est venu à la porte et a dit: «Je pensais que vous étiez absent.»
J’ai dit: «J’étais juste passé derrière la maison pendant que vous m’appeliez.» Et j’ai dit: «Monsieur, je vais vous raconter ce que j’ai fait.» Et je le lui ai expliqué. J’ai dit: «Vous m’avez tous mis dans un pétrin tel que, ai-je dit, je–je–je ne savais simplement pas. Vous m’avez posé des questions, du genre: ‘Ont-ils fait ceci?’ Ou: ‘Avez-vous vu ceci?’» Et j’ai dit: «Je–je vous ai dit tout ce que je savais, à maintes, maintes, maintes reprises.» Mais j’ai dit... Je lui ai dit que j’étais allé prier pour un enfant malade, et ce qui est arrivé. Et il a dit... il a marché... Il s’est levé de son... du siège et il est passé derrière son bureau. Il m’a regardé droit dans les yeux, il a mis sa main sur mon épaule, il a tendu une main et a saisi mon autre main, il a dit: «Frère Branham, j’ai toujours eu confiance en vous, mais maintenant, j’en ai plus que jamais.»
8 Ça m’a réconforté. Puis, je suis monté dans ma voiture et je suis allé à ma vieille petite cave où je vais prier. Et je me suis dit: «Eh bien, si on a commis une faute, on va d’abord la confesser ; ensuite, on rentre auprès de Dieu.» Je suis donc allé à ma petite cave, et j’ai prié tout l’après-midi. Et j’ai dit au Seigneur que je regrettais d’avoir fait cela. Je–je n’étais plus digne de prier pour Son peuple. Et je ne pouvais pas avoir la foi tant que je savais que j’avais menti. Et j’ai dit: «Pardonne-moi, Seigneur, je–je vais... Et accorde-moi la grâce, et je–je ne ferai plus cela.» J’ai prié pratiquement jusqu’au coucher du soleil. C’était là loin dans le désert. Et une–une rivière coule à trois ou quatre pâtés de maisons, de là jusque dans une–dans une vallée. Puis, je suis sorti ; le feuillage était alors pesant sur les arbres. Et je me suis tenu sur une très grosse pierre, après être sorti de la cave pour... toujours... Celle-ci donne à l’est. D’habitude, je sors après avoir prié une ou deux journées, ou plutôt une ou deux heures, je me tiens sur ce rocher, je lève les mains et je loue le Seigneur. En effet, un jour, je l’espère, quand bien même je serai dans la tombe, lorsqu’Il viendra, je ressusciterai, et je Le verrai venir de l’est.
9 Et je me suis tenu sur cet énorme rocher et j’ai levé les mains pour louer Dieu. Et je... Après avoir fini de Le louer, j’ai baissé les mains, j’ai dit: «Seigneur, un jour, Moïse se tenait dans le creux du rocher, et Tu es passé à côté de lui.» J’ai dit: «Si Tu pardonnes mon péché, et que Tu–Tu vas me donner encore une chance, passe encore une fois seulement, Seigneur, que je sache que Tu m’as pardonné, et que mon iniquité est complètement ôtée ; j’irai alors prier encore pour les malades.» Vous pourriez ne pas vouloir croire cela, mais à la barre du Jugement, vous et moi devrons confesser cela de nouveau ; vous saurez que c’était vrai. Il y avait... c’était tout aussi calme qu’ici, il ne soufflait de vent nulle part ; et juste à côté de moi, un petit tourbillon a traversé les buissons, et il est passé, longeant ici la paroi de la cave, près de moi, il est allé dans les bois. J’ai pleuré comme un enfant, les deux mains en l’air. Si notre coeur ne nous condamne pas, alors nous avons de l’assurance devant Dieu. Mais Dieu ne nous exaucera pas si nous cachons quelque chose dans le coeur. Confessons donc tous nos péchés et tous nos manquements, et croyons que Dieu déversera Son Esprit dans une mesure telle qu’il y aura une grande effusion spirituelle dans cette série de réunions ici sur ce vieux terrain de camping, quoi que ce soit, que les malades seront guéris et que les pécheurs seront sauvés. Je prierai pour vous, et vous, priez pour moi, et Dieu nous bénira tous ensemble.
10 Et maintenant, ce soir, j’ai dû me dépêcher pour arriver ici. Nous avons quitté un peu plus tard que prévu. Ainsi donc, j’ai choisi un passage des Ecritures dans le Livre de 1 Rois, chapitre 17, verset 14. Je le lirai. Et s’il me faut prendre un sujet, j’aimerais l’intituler: La Réaction à une action. Comment réagir à une action qu’on a subie.
Car ainsi parle l’Eternel, le Dieu d’Israël: la farine qui est dans le pot ne manquera point et l’huile qui est dans la cruche ne diminuera point, jusqu’au jour où l’Eternel fera tomber de la pluie sur la face du sol.
11 Ça devait être par une matinée chaude et assommante. Ça faisait environ trois ans qu’il n’était tombé aucune pluie, même pas la rosée n’était tombée du ciel ; le sol était desséché, on n’avait pas cultivé. Et c’était un temps horrible, la faim et la mort rôdaient dans les rues ; les gens étaient frappés de pauvreté, il n’y avait pas d’eau. C’était la conséquence du péché et de la déchéance morale. C’est juste comme ce que nous connaissons aujourd’hui dans notre âge: des problèmes avec la jeunesse, des problèmes de divorce, et tous les crimes qui se commettent dans notre pays ; c’est une conséquence de notre déchéance morale.
12 Il n’y avait pas de pluie, et elle devait avoir prié toute la nuit durant. Jézabel et son groupe moderne avaient vraiment fait de la religion une affaire de l’Etat et ils avaient entraîné toute la nation dans l’idolâtrie. C’était lors du règne d’Achab, le roi le plus méchant qu’Israël ait jamais connu ; en effet, il n’était qu’un croyant frontalier. Et la personne la plus méchante qui existe, c’est l’homme ou la femme qui professe le christianisme, mais qui en a juste assez pour se rendre malade, pour pouvoir dire: «J’aimerais faire cela, mais ma religion ne me permettra pas de le faire. Je ne dois pas le faire.» C’est la personne la plus misérable à laquelle je puisse penser. Si c’est tout ce que nous avons eu, nous devrions l’enterrer et aller chercher quelque chose de meilleur.
13 Achab avait cédé à sa femme idolâtre et cela avait plongé tout Israël dans l’idolâtrie. Et vous direz: «Alors, Frère Branham, vous avez comparé cela à aujourd’hui, à notre nation.» Oui, oui. Toute notre nation est complètement envahie par l’idolâtrie. Nous n’adorons peut-être pas les animaux en bois et autres, une idolâtrie comme nous aimerions nous l’imaginer, mais l’idolâtrie ne consiste pas seulement en cela. Parfois, nous faisons de nos véhicules de nos vêtements et des choses que nous faisons des idoles. Tout ce qui s’interpose entre Dieu et vous, c’est une idole. Parfois, nous faisons de nos églises des idoles. Nous ne devrions jamais faire cela. C’est Dieu seul que nous devrions adorer. Toute la nation était évidemment gouvernée par les lois et les statuts de son roi. Et le roi disait que tout cela était en ordre, c’était le modernisme. Et tous voulaient être modernes, tout comme nous aujourd’hui.
14 Nous voulons être modernes. Vous pouvez allumer votre télévision, et vous verrez une femme fumer une cigarette, disant: «Soyez moderne, fumez telle et telle cigarette.» Un autre spot publicitaire, c’est boire la bière, et on dit: «Soyez moderne, buvez telle et telle boisson.»
Eh bien, nous ne voulons pas être modernes ; nous voulons être des chrétiens. Nous ne cherchons pas à nous adapter à la tendance moderne, mais plutôt à rentrer aux anciennes lignes de démarcation de la Parole de Dieu en tant que chrétiens, et vivre comme sont censés vivre des hommes et des femmes, suivant l’ordre du Dieu Tout-Puissant. Jésus a dit: «Il est écrit: L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.» Il nous faut vivre de la Parole.
15 Mais aujourd’hui, nous voulons devenir modernes comme eux jadis. Et le gouvernement avait approuvé cela. De même, le gouvernement approuve cela aujourd’hui. Eh bien, il y a quelques années, vingt-cinq ans, cinquante ans, si les femmes marchaient alors dans les rues habillées comme elles le sont aujourd’hui, on les aurait mises en prison. Mais le gouvernement approuve cela, et nous voulons devenir modernes. Je dirai ceci avec tout le respect pour notre gouvernement et notre pays: C’est une oeuvre du diable. C’est le diable à l’oeuvre. Je crois uniquement à la Vérité de l’Evangile, de la Bible, à l’ancienne mode.
Mais, autrefois, c’était immoral pour les gens de boire. Et aujourd’hui, vous trouvez de tout petits adolescents ivres. Autrefois, jouer à la carte était une mauvaise chose pour les chrétiens. Et aujourd’hui, des millions de soi-disant chrétiens se divertissent dans leurs églises en jouant à la carte, faisant cadeau de petites voitures et tout, le jeu d’arnaque. Tout cela n’est que de la simple loterie. Et c’est une chose mauvaise. Et la déchéance a atteint toutes les nations ; de l’Eglise du Dieu vivant, n’en parlons même pas. Mais le roi disait à leur époque que c’était en ordre. Ils avaient donc détruit les autels de Dieu et avaient érigé les autels de Baal.
16 Et aujourd’hui, nous avons détruit les bannières à l’ancienne mode de la sainteté et de la justice, et nous avons érigé la tendance moderne de la dénomination. Nous sommes membres de tel–tel grand ordre. Nous nous disons chrétiens parce que nous sommes membres de tel ordre.
Ce n’est pas ça le christianisme ; le christianisme, c’est l’expérience de la nouvelle naissance avec Dieu, être rempli du Saint-Esprit et être purifié de la vie du péché, mener une vie pure et sainte devant Dieu et devant les hommes. Cela ôte l’aiguillon de la mort. La mort devient alors une victoire.
17 Je parlais avec ma femme ce matin, je lui disais, je disais... Nous parlions de la mort. Je disais: «Depuis que je suis sauvé, il y a de cela trente ans, j’étais un jeune homme ; depuis lors, on dirait que je suis dans un cauchemar.»
Elle a dit: «Que veux-tu dire?»
J’ai dit: «Quelque chose s’est passé en moi, dans cette vie, qui me fait savoir qu’il y a un Pays quelque part, et je me secoue pour me réveiller.» Un jour, la mort me réveillera dans Sa Présence. Avez-vous déjà fait un cauchemar où vous étiez... dont vous vouliez sortir, et vous vous secouez et vous sursautez? Vous voulez vous réveiller, car vous savez qu’il y a une réalité quelque part qui dépasse de loin ce cauchemar. C’est pareil pour chaque chrétien né de nouveau, et ça a toujours été ainsi. Abraham, Isaac et les autres déclaraient être des pèlerins et des étrangers. Ils cherchaient une Cité à venir. Ils avaient renié...
18 Il y a quelques semaines, nous allions à une épicerie, et nous avons vu une femme en robe. C’était la chose la plus rare que nous ayons vue depuis longtemps. Alors, nous... Meda m’a dit, elle a dit: «Bill, que se passe-t-il?»
J’ai dit: «Chérie, voici ce qu’il y a: Nous ne voulons pas nous conformer au monde.»
Elle a dit: «Eh bien...»
J’ai reçu des lettres venant des gens qui disaient: «Vous allez ruiner votre ministère en faisant des remarques que vous faites.»
J’ai dit: «Si la prédication de la Vérité ruine un ministère, alors il devra être ruiné.» C’est vrai.
Elle a dit: «Eh bien, qu’est-ce qui rend les chrétiens différents?»
J’ai dit: «Lorsque j’étais en Suède, ou en Finlande, les femmes lavent les hommes dans les bassins publics. C’étaient des infirmières, disait-on. Ça, c’est leur coutume. Quand j’étais à Paris, toutes les toilettes étaient réservées et aux hommes et aux femmes, ensemble. C’est la coutume à Paris. Ils ne trouvent rien de mal à cela. J’en ai parlé au docteur Munion et... là à... pendant notre séjour au YMCA. Et on voulait que j’aille prendre un de ces saunas, ce que je pensais être bon, mais pas avec les femmes là-bas.
Et alors, il a dit: «Mais, Frère Branham, a-t-il dit, celles-là sont des laveuses.»
J’ai dit: «Mais ce n’est pas correct.»
Il a dit: «Qu’en est-il alors de vos médecins qui consultent vos femmes là en Amérique?» Voyez? Vous y êtes donc. Voyez-vous? C’est du pareil au même, c’est tout. Mais il est question de la nation à laquelle vous appartenez et de la coutume. Quand un homme, ou une femme, est né de nouveau de l’Esprit de Dieu, ils naissent d’un lieu saint, et ceci n’est pas leur demeure ; ils cherchent une Cité à venir, dont Dieu est l’Architecte et le Constructeur. Votre esprit vient d’En Haut.
Elle a dit: «Ne sommes-nous donc pas Américains?»
J’ai dit: «Nous le sommes tant que nous sommes dans la chair.»
19 Mais une fois nés de nouveau, nous sommes du Ciel et de Dieu, et nous sommes citoyens du Royaume de Dieu. Et le Saint-Esprit qui demeure là, qui entre en vous vous fera agir, regarder et penser comme Il fait dans ce Pays-là où nous allons.
L’idolâtrie avait certainement pris le dessus. Tous les prédicateurs subissaient cette très forte pression, a dit le prophète ; ils avaient cédé. Car c’était là l’exigence du peuple. Le peuple exigeait cela, et les–les prédicateurs y avaient cédé. C’est ce qui se passe aujourd’hui. Beaucoup de bons prédicateurs cèdent à la pression, car l’assemblée réclame cela. Ils quitteront carrément son église. Bien des fois, la grande dénomination, s’ils surprenaient un de leurs prédicateurs prêchant contre, par exemple, fumer et des choses semblables, ils l’excommunieraient. Et les prédicateurs se voient obligés de céder à cette pression.
Mais il y en avait un à l’époque qui n’avait pas cédé à la pression. On le haïssait. Mais il était assis sur une montagne. C’est Dieu qui lui avait dit d’y montrer ; Il le nourrissait par les corbeaux et lui donnait de l’eau à boire. Il ne voulait toutefois pas courber l’échine devant leur tendance moderne. Il croyait toujours que Dieu était le même Saint Dieu qui avait créé les cieux et la terre. Je suis très content qu’Il en ait–qu’Il en ait encore aujourd’hui qui croient la même chose. Peu importe ce que dit le monde, ils ne courberont toujours pas l’échine devant la tendance moderne de la religion moderne ; pas question d’Evangile social pour ces hommes-là. Ils croient que Dieu est toujours Saint. Ils croient qu’Il exige la sainteté et qu’Il exige la nouvelle naissance ; Il exige une séparation d’avec le péché.
Oh! Je sais qu’elle le haïssait, mais Dieu l’aimait. Et Dieu était sur le point de faire descendre Son prophète de la montagne vers la vallée.
20 Et elle devait être une bonne femme, sinon Dieu ne l’aurait jamais choisie pour accueillir Son prophète. Cependant, elle était veuve, et elle devait être jeune ; elle avait un jeune fils. Et elle était une personne correcte, sinon Dieu ne l’aurait jamais choisie.
Mais comme elle commençait à dépérir, des années après la mort de son mari, la farine ayant commencé à se vider dans le pot! Et, naturellement, comme le ferait une mère, elle se privait elle-même afin de pouvoir nourrir son petit garçon. Finalement, elle a commencé à constater que les habits du petit garçon s’usaient. Ses propres coudes ressortaient peut-être aux manches.
Soir après soir, elle pouvait lui donner, peut-être, un petit gâteau de maïs, puis, elle le mettait au lit. Et peut-être que soir après soir, le petit garçon se réveillait et disait: «Maman, j’ai faim. Ne peux-tu pas me préparer un petit rien à manger?» Peut-être que le lendemain, elle manquait de gâteau elle-même et donner cela à son fils. La mort frappait à la porte, il n’y aurait plus eu de farine après avoir consommé cela, il n’y aurait plus eu d’huile à mélanger avec cela, la mort s’approchait de plus en plus, au fur et à mesure que le pot se vidait. Finalement, peut-être qu’ils prenaient deux gâteaux par semaine. Puis, cela s’est réduit à juste un seul gâteau.
21 N’est-ce pas étrange la façon dont Dieu fait les choses? Il nous laissera atteindre le dernier–le dernier mile. Vous savez, Il–Il aime faire cela. Il l’a fait avec les enfants hébreux. Il savait en qui Il pouvait faire confiance, aussi a-t-Il laissé cela... ces jeunes gens marcher jusque dans la fournaise ardente, jusqu’à sentir pratiquement l’odeur du feu, et Il n’avait point agi. Mais Il agira au temps marqué. Il agira, mais Il attend Son temps à Lui. Il voulait voir quel genre de réaction ils auraient. Il savait qu’ils prendraient position.
Et comme Il sait que vous prendrez position... Il laissera Satan vous amener au dernier mile. Mais, souvenez-vous, Il est toujours là. Il veut voir si vous êtes vraiment sincère dans ce dont vous parlez. «Oh! je crois que Dieu est le Guérisseur. Oui, je le crois certainement.» Et le lendemain, vous éprouvez toujours vos douleurs. «Eh bien, peut-être que je n’ai point reçu cela.» Certainement que vous l’avez reçu, Il veut seulement voir votre réaction par rapport à votre déclaration. Vous dites: «Oh! Gloire à Dieu, je crois au baptême du Saint-Esprit.» A la première petite tentation qui survient, vous vous emportez comme une scie circulaire. Il cherche à voir votre réaction à votre action. Il cherche à vous tester. «Chaque fils qui vient à Dieu doit d’abord être éprouvé, testé.» Chaque enfant qui vient à Lui, Il le fait passer par un test pour voir sa réaction.
22 N’importe qui, un chimiste, n’importe qui d’autre, procédera toujours par un test. De grands tuyaux... A l’époque, je travaillais dans une entreprise pétrolière. On testait ces tuyaux en mettant un bouchon au bout et une vanne à l’autre extrémité. Et je ne me souviens plus pour le moment combien de centaines de livres de pression on faisait passer par ces tuyaux pour voir s’il y avait un petit trou fait par le sable qui exploserait. Et s’ils–s’ils ne pouvaient pas supporter le test, ils étaient alors jetés dans un tas de ferraille.
Et lorsque vous êtes soumis à un test, lorsque vous êtes sur le point d’être utilisé par Dieu pour un témoignage... Comme la dame ici dans le fauteuil roulant, cet homme, le petit garçon, certains d’entre vous là dans l’assistance, vous êtes peut-être des chrétiens et vous vous demandez pourquoi vous êtes soumis à ce test. Dieu est sur le point de se servir de votre témoignage, mais Il veut voir votre réaction. Alors, Il vous met sous pression. Si vous explosez, eh bien, alors, Il ne peut rien faire avec vous. Mais si vous tenez bon, si vous supportez le test...
23 Cette petite femme, je peux me la représenter le dernier soir, alors qu’elle savait qu’il y avait juste assez dans ce pot, une poignée de farine, et une cuillerée d’huile pour un petit gâteau, pour elle et son fils, et après, ils devaient mourir, elle et lui. Il n’y en avait plus de disponible nulle part.
Et je peux me la représenter, toute la nuit durant, s’avancer, tapoter les maigres petites mains décharnées de son fils et regarder sa chemisette de nuit en lambeaux. Et elle l’entendait dans son sommeil se retourner et dire: «Maman, j’ai faim.» Mais il n’y avait rien à lui donner. N’est-ce pas étrange, qu’après avoir fait tout ce que nous savons faire... Et après qu’elle ait prié, puis–puis elle voyait venir la fin... C’est le cas de certains d’entre vous ici qui souffrez du cancer. Vous voyez les choses en arriver vraiment à la fin, et vous vous demandez pourquoi. Elle s’est examinée et a dit: «Seigneur, y a-t-il quelque chose que j’ai omis?»
24 C’est Dieu qui éprouve. Comme Job, on l’accusait d’être un pécheur en secret. Cependant, Job était un juste. Il n’y avait aucun homme comme lui sur la terre. Dieu avait néanmoins permis que le diable lui ôte tout ce qu’il avait. Et quand on l’accusait d’être un pécheur en secret, lui savait qu’il était juste devant Dieu. Il savait qu’il n’avait commis aucun péché. Mais Dieu permet ces choses pour voir ce que vous ferez.
Vous voyez, Dieu et Satan se lançaient un–un défi. Satan disait: «Je le ferai Te maudire en face.»
Dieu disait: «Tu ne le peux pas.»
Et le test a dû venir. Votre test arrive, et mon test arrive. Et nous subissons tous ces tests. La Bible dit que si nous ne pouvons pas supporter cela, c’est la preuve que nous sommes des enfants illégitimes: notre témoignage n’était pas vrai. Nous ne sommes pas de véritables enfants de Dieu, mais nous devenons des enfants illégitimes ; nous ne sommes pas des enfants de Dieu. Nous prétendons simplement l’être.
25 Lorsqu’on se moque de vous, après que vous avez reçu le Saint-Esprit, et que vous les rejoignez dans le monde, cela montre que vous ne L’avez jamais reçu. Lorsque vous témoignez de votre guérison, reconnaissant que Dieu a fait quelque chose pour vous, et que vos voisins disent: «Vous êtes fou ; votre état ne s’est pas amélioré», et que vous dites: «Eh bien, peut-être que non», cela montre que, pour commencer, vous n’étiez pas digne de votre guérison. Maintenez votre témoignage. Ne cédez pas, accrochez-vous-y.
Job a dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant, et qu’Il se lèvera le dernier sur la terre. Quand les vers de mon corps auront détruit celui-ci, je verrai néanmoins Dieu personnellement.» Les éclairs ont brillé ; les tonnerres ont grondé. Il a tenu bon jusqu’à la fin.
26 Cette petite femme avait fait tout son possible ; et pourtant, Dieu gardait silence. Mais quand la véritable foi saisit la vision, elle peut garder silence et rester calme, car elle sait que ça va arriver. N’oubliez pas cela. La foi se reposera avec une parfaite assurance. Peu importe ce que représentent les tempêtes, peu importe l’opposition apparente, la foi se repose avec assurance. La foi peut se fonder sur un rocher, regarder dans une tombe, ou dans les eaux, là où votre charmante petite chérie est enterrée, et la foi peut regarder par-delà la mer à Celui qui a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie», la foi se repose avec assurance.
27 Nous parlons de la foi ; nous parlons de la foi ; mais des fois, je me demande si nous savons de quoi nous parlons. Je me demande s’il ne s’agit pas de l’espérance plutôt que de la foi. La foi ne chancelle pas. Peu importe l’opposition apparente, la foi subsiste là même. Elle ne chancelle jamais. Lorsque Moïse fut placé dans le–le jonc, dans une petite caisse enduite de bitume et larguée dans la mer, là où les crocodiles s’étaient engraissés des enfants, sa mère Jokébed, avec une foi sûre et certaine, a déposé le bel enfant de Dieu sur l’eau, elle le lança en plein dans la gueule de la mort, sachant que Dieu était capable de le ressusciter. Amen. Avec ça, je me sens religieux. Elle était sûre que Dieu prendrait soin de lui. Même s’il n’avait pas de nom, Dieu pouvait lui en donner un. Elle lança le petit enfant le plus doux qu’il y ait jamais eu, pratiquement, au monde, là dans la gueule de la mort, sachant qu’elle suivait les instructions du Dieu Tout-Puissant. Et la foi peut demeurer sûre et certaine que Dieu fera quelque chose à ce sujet, car elle savait qu’il était né un libérateur.
28 Et si vous êtes convaincu que vous êtes né de l’Esprit de Dieu, que vous avez le Saint-Esprit et que les promesses de Dieu sont vôtres, peu m’importe ce que le diable fait, vous pouvez toujours être sûr et certain. La foi est inébranlable ; la foi ne peut pas reposer sur le sable mouvant de la théologie humaine, mais elle tient solennellement ferme sur l’inébranlable Rocher des âges ; elle demeure là avec assurance. Advienne que pourra, ma foi tient bon. Peu importe à quel point je tombe malade, peu importe l’opposition apparente, ma foi est ancrée derrière le voile et rien ne peut m’ébranler.
Eh bien, vous ne pouvez pas bluffer là-dessus, il vous faut l’avoir. Vous ne pouvez pas bluffer là-dessus. Satan sait quand vous faites du bluff, et il sait aussi quand vous l’avez. Si votre coeur ne vous condamne pas et que vous êtes un chrétien, vous avez droit à chaque promesse que Dieu a faite dans Son Livre. C’est à vous. Peu importent les conséquences et les résultats, ne regardez pas à cela ; regardez à la foi que Dieu vous a donnée envers la promesse. Elle subsiste donc là ; rien ne l’ébranlera.
29 Comme elle a dû se sentir: «J’ai satisfait à chaque exigence de Jéhovah. J’ai satisfait à tout ce que Dieu m’a ordonné.» Et le pot a été réduit à une petite poignée de farine ; et la cruche ne contenait qu’une ou deux cuillerées d’huile, assez pour faire le mélange avec.» Mais Dieu était là, les anges aussi, sur chaque colonne de lit, observant pour voir sa réaction. Si vous êtes convaincu que c’est Dieu, que vous avez satisfait à chaque exigence de Dieu pour vous, vous avez satisfait à chaque Ecriture que vous connaissez: Vous L’aimez, vous avez été baptisé, vous avez été rempli de l’Esprit, et vous avez de l’assurance dans votre coeur que Dieu accomplira cela, alors accrochez-vous-y. Dieu vous tirera d’affaire. Il ne faillira jamais. Accrochez-vous-y.
30 Oh! Combien cela a paru à cette femme chrétienne... Achab était peut-être là dans son palais avec Jézabel, ayant beaucoup de vivres... Nous nous demandons pourquoi les méchants prospèrent. Une fois, David avait posé cette question, mais la Parole lui rétorqua: «Observe sa fin.» La prospérité n’est pas le signe que Dieu est avec vous. Si c’est le cas, notre nation est bénie, les gens sont tous des chrétiens ; c’était pareil à l’époque ; en ce temps-là, c’était le contraire de la prospérité. Cette pauvre petite femme, alors qu’elle regardait ce petit enfant toute la nuit durant, ne pouvait pas dormir ; d’abord, elle était tellement affamée qu’elle n’arrivait pas à dormir. Et elle savait qu’une poignée de farine la séparait de la mort. Que ferait-elle? Elle ne pouvait plus supporter cela. Elle était faible. Elle marchait, elle titubait en marchant. Le petit enfant réclamait une bouchée de pain... Et pourtant, c’était une chrétienne, une croyante en Jéhovah, comme nous le dirions aujourd’hui, une chrétienne. Elle était fidèle, ça s’était confirmé par le choix que Dieu avait fait d’elle par préférence à toutes les autres femmes... Il l’avait choisie. Cependant, elle avait fait tout son possible.
31 Vers l’aube, les oiseaux n’avaient même pas gazouillé ; ils crevaient tous de faim et ça en était fini d’eux. Le jour commençait à se lever dans la pièce. Je peux la voir assise dans un vieux fauteuil à bascule, se tordant les mains, les larmes lui coulant sur les joues pendant qu’elle regardait. Le petit enfant avait passé une nuit agitée: «Maman, ne peux-tu pas me trouver juste un petit morceau de pain? Papa était un brave homme. Dieu l’a retiré. Qu’est-ce qui se passe, maman?» Mais la femme se tenait là. Elle savait qu’elle avait satisfait aux exigences de Dieu. Elle avait une petite poignée de farine. Elle est allée prendre cette petite poignée de farine là dans la–la casserole, elle y a versé de l’huile, elle s’est mise à pétrir cela.
32 Eh bien, la farine, c’était Christ. Christ est l’offrande de farine. Tout membre du clergé sait cela. Lorsque la farine était moulue en vue–en vue de l’offrande de farine, elle devait être moulue avec une certaine meule, et chaque petite meule devait moudre la farine exactement de la même manière. Pourquoi? Parce que Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ce qu’Il était à l’époque, Il l’est ce soir. Ce qu’Il est ce soir, Il le sera toujours. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
Maintenant, l’huile représente l’Esprit. Et le... Nous le savons de par les Ecritures. C’est pourquoi nous oignons d’huile.
33 Une fois, lorsqu’Elie est allé là à l’école des prophètes et qu’il a envoyé certains hommes de cette école des prophètes, ces derniers ne savaient pas distinguer les coloquintes sauvages des pois. Et l’un d’eux cueillit des coloquintes sauvages, plein son vêtement, et les jeta dans le pot. Et un autre s’écria: «La mort est dans le pot.» Et Elie répondit: «Ne vous agitez pas.» Il alla prendre une poignée de farine, la jeta dans le pot et dit: «Mangez.» Pourquoi? Lorsque Christ est placé dans la mort, la vie prend la place de la mort. Peu importe à quel point vous vous êtes éloigné, vous êtes enfoncé, vous êtes immoral, vous êtes dégradé, vous êtes pécheur, lorsque Christ entre dans le coeur, la mort disparaît, et la vie entre au même endroit. La mort dans le pot devient vie dans le pot. Si le cancer, si la tuberculose vous a rongé, que le médecin vous a abandonné et que rien d’autre ne peut être fait, laissez qu’une poignée de Christ entre en vous. Laissez Jésus le même hier, pas une poignée de religion, là, une poignée de Christ, le Saint-Esprit, entrer dans votre coeur avec une foi authentique, et la mort s’enfuira ; et la Vie prendra place. L’offrande de farine...
34 Et l’huile, c’est l’Esprit. Eh bien, qu’est-ce? Christ est la Parole. «Au commencement était la Parole ; la Parole était avec Dieu ; et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et a habité parmi nous.»
Et l’Esprit... Jésus dit à la femme au puits, Il dit: «L’heure vient, Dieu cherche des gens qui L’adoreront en Esprit et en Vérité.» C’est la Parole avec l’Esprit. Certains ont la Parole, d’autres ont l’Esprit. Mais lorsque vous mettez l’Esprit et la Vérité ensemble, quelque chose doit se produire.
35 Et c’était juste une petite quantité, une toute petite, mais c’était tout ce dont elle avait besoin. Ô Dieu, laisse ceci pénétrer profondément dans le coeur des gens. Il ne vous reste peut-être que votre dernière poignée. J’ai entendu les gens dire: «Je n’ai pas une grande foi, Frère Branham.» Mais ce que vous avez, si c’est une véritable foi, mélangez cela avec la Parole de Dieu. Observez ce que cela fera. Vous direz: «Eh bien, Frère Branham, j’ai consulté tous les médecins, j’ai été à la clinique. Oh! J’ai adhéré à l’église à cause de mes péchés, et j’ai fait ceci.» Peu m’importe tout ce que vous avez fait, votre petite foi... Vous avez assez de foi pour vous retrouver ici ce soir ; alors, mélangez cela avec la Parole, soyez prêt.
36 Elle avait mélangé cela. C’était tout ce qui la séparait de la mort. Peut-être que tout ce qui vous reste ce soir, qui vous sépare de la mort, c’est ce peu d’esprit que vous pouvez trouver dans votre coeur pour croire cela. Mélanger cela avec la Parole éternelle de Dieu.
Quand elle a fait cela, je peux la voir tirer le petit rideau en lambeaux et jeter un coup d’oeil à l’intérieur. Le petit garçon se tenait le petit ventre: «Maman, maman, es-tu prête à préparer le petit gâteau?» Elle a dit: «Oui, chéri. Attends juste quelques minutes. Maman est en train de mélanger cela.» «Maman, divise cela en deux, et prends-en une moitié.» «Oh! Chéri, nous allons nous en occuper.» Elle avait le... Qu’était-ce donc? La Parole et l’Esprit mélangés ensemble.
37 Et elle est sortie dans la cour pour prendre... Avez-vous remarqué, les Ecritures disent: «Deux morceaux de bois.» Que représentent les deux morceaux de bois? La croix. Généralement, de bons chasseurs ou les bûcherons savent que vous... Le moyen d’entretenir un feu, c’est d’allumer le feu à l’intersection de deux bois, les croiser et allumer le feu là. Pendant toute la nuit, vous pouvez continuer à y pousser les bouts au fur et mesure que le feu brûle. Et en plein au milieu de la croix est suspendu le Sacrifice de Dieu. Elle est allée dans la cour ramasser les deux morceaux de bois. Elle a levé les yeux, le vent était chaud et brûlant, il n’y avait pas de feuilles dans les arbres, pas d’herbes dans la cour. Il n’y avait que deux morceaux bois qui restaient du vieil arbre d’autrefois. Elle les a ramassés pour aller faire le feu.
38 Qu’est-ce? Lorsque le sacrifice de soi... Lorsque vous avez mélangé la Parole et l’Esprit, ou plutôt l’Esprit et la Parole, et que vous êtes alors prêt à vous sacrifier à la croix et prêt à dire: «Que je vive ou que je meure, Seigneur, j’ai tout fait au mieux de ma connaissance, et je suis au bout de la miséricorde... Le sacrifice de ma propre croyance... je n’y penserai plus ; je ne raisonnerai plus. Je rejette les raisonnements. Je vais simplement croire cela, Seigneur, car c’est Ta Farine et Ton Huile, Ton Esprit, Ta Parole, Ta Vérité. Je me jette moi-même comme sacrifice sur la croix.» C’est ce que ça représentait. Elle a ramassé les deux morceaux de bois pour aller offrir le sacrifice. Lorsque tout cela est terminé... «Dieu est un secours qui ne manque jamais dans la détresse. Ceux qui se confient en l’Eternel renouvellent leur force. Ils prennent l’envol comme un aigle ; ils courent et ne se lassent pas ; ils marchent et ne se fatiguent point.» Enseigne-moi, Seigneur ; enseigne-moi, Seigneur, à attendre.
39 Ceux qui attendent ne se lassent pas. Si vous avez la Parole, l’Esprit et le sacrifice de votre propre foi, et que vous déposez cela sur la croix, quelque chose doit se passer. Elle rentrait déjà. Et à ce moment-là, elle a entendu une voix. Et quand elle s’est retournée pour regarder, il y avait un aimable vieil homme chauve, du genre gentleman, au portail, debout, avec de longues moustaches flottant. Il a dit: «Va me chercher, je te prie, un peu d’eau.» Peut-être, de ses lèvres, elle était sur le point de dire: «J’en ai juste une petite quantité.» L’eau était rare. Toutes les sources avaient tari. Qu’était-ce? Dieu travaille de part et d’autre. Dieu avait montré à Elie une vision: «Va dans la ville, car j’ai ordonné, pas aux corbeaux cette fois-ci de te nourrir, mais j’ai ordonné à une veuve de te nourrir» ; et Il l’a conduit chez la plus pauvre des pauvres. «J’ai ordonné à une veuve de te nourrir.» Elle n’avait même pas assez de farine dans le pot pour elle et pour son fils afin de survivre en ce jour-là. Mais: «J’ai ordonné. J’ai décrété cela.» Béni soit le Nom du Seigneur! Lorsque Dieu décrète quelque chose, cela doit arriver. La chose sera là ; Dieu y pourvoira. «J’ai ordonné à une veuve de prendre soin de toi là, de te nourrir.»
40 Dieu lui avait donné une vision. Je peux le voir descendre la rue. Le Seigneur doit lui avoir dit ceci: «Il y aura une vieille femme, vieille à la voir, mais elle est jeune. Elle a des épaules voûtées ; elle est... Elle porte des habits en lambeaux au niveau des épaules ; des manches dévoilent les bras. Elle est là dehors dans la cour tenant en mains deux morceaux de bois. Et, Elie, tu sais ce que cela représente, ce qui arrivera d’ici huit cents ans.» Et, alors qu’il marchait, il a vu cette femme. Il s’est appuyé contre la petite clôture et a dit: «Va me chercher un peu d’eau.» Et elle s’est retournée pour dire quelque chose, et elle s’est dit: «C’est un aimable vieil homme. Son langage est un peu différent de celui des hommes ordinaires.» Il y a quelque chose, chez les enfants de Dieu, qui fait qu’ils se reconnaissent l’un l’autre ; c’est quelque chose qui a toujours existé. Ils se reconnaissent l’un l’autre. «Mes brebis connaissent Ma Voix», a dit Jésus. Et alors, elle a regardé, et elle a entendu. Elle l’a regardé, elle s’est dit: «Ce vieil homme a absolument quelque chose de divin.»
Il a dit: «Va me chercher un peu d’eau à boire.» Elle a approuvé de la tête ; elle voulait le faire, et elle s’en allait déjà. Quoi? Alors, elle a de nouveau entendu cette voix dire. «Apporte-moi dans ta main un petit gâteau, que je mange, un morceau de pain.» Et elle a dit: «J’en ai juste assez pour moi et pour mon petit garçon qui meurt de faim. Et voici, je ramasse deux morceaux de bois. Je viens de mélanger cela, de l’apprêter. Et maintenant, j’ai trouvé ces deux morceaux de bois pour allumer un feu afin de préparer le gâteau. Lui et moi, nous mangerons, après quoi nous mourrons.»
41 Alors, elle a entendu... Elle se retournait déjà, et elle a entendu une voix dire: «Mais apporte-m’en un d’abord.» Quelle leçon tirons-nous ici? Cherchez premièrement le Royaume de Dieu. «Comment satisferai-je à ça?» Je ne peux pas vous le dire, mais mettez Dieu en premier. «Cherchez premièrement le Royaume de Dieu et la justice de Dieu, toutes ces autres choses seront données par-dessus.» «Mais apporte-m’en un d’abord.» Remarquez, elle n’avait pas à aller prendre son dernier sou ; elle devait aller prendre son dernier morceau de pain. Elle n’avait pas à aller pour ceci, ou pour cela, ou peut-être changer de médecins et ainsi de suite, une petite chose insignifiante, mais elle devait aller prendre l’unique chose qui la séparait de la mort, elle et son fils. «Apporte-moi d’abord un petit gâteau dans ta main.» Je peux la voir approuver de la tête, obéissante. C’est ce que Dieu exige. Vous mélangez la Parole et l’Esprit ensemble, le sacrifice de soi, l’obéissance. Quand le prophète de Dieu dit une certaine chose, faites-la! Accrochez-vous-y. Elle a incliné la tête, disant: «Oui, oui.» Elle a poursuivi son chemin. Alors, elle a entendu la chose la plus douce qu’elle ait jamais entendue, cette Parole toute suffisante que nous tous nous cherchons à écouter. En effet, de l’autre côté de ce portail a retenti la voix de ce prophète-là, disant: «Car AINSI PARLE L’ETERNEL...» Amen. C’est ce que nous cherchons à entendre. «AINSI PARLE L’ETERNEL, le pot ne se videra pas, ni la cruche ne se videra pas jusqu’au jour où Dieu enverra la pluie sur la terre.» Voilà la chose. Amen.
42 Oh! Des fois, il fait sombre. Bien des fois, nous pensons qu’il fait sombre. Vous devriez nous suivre dans les champs missionnaires là loin, si vous voulez voir ce que représente l’obscurité. Nous ne voyons pas l’obscurité en Amérique. Nous avons l’abondance. Il fait sombre. Mais je sais qu’il paraît faire sombre, à notre propre façon, selon nos critères. Nous pensons, en voyant des gens malades et mourants, que c’est de l’obscurité... Marchez un peu avec moi là dans les rues de Calcutta. Observez-les venir là avec de grandes corbeilles et ramasser les morts par centaines, et les placer sur la tête (sans même savoir qui ils sont), s’avancer vers une salamandre et les jeter là. Ici au moins, lorsque quelqu’un meurt, on tient pour lui un service funèbre. Il y a un Jean 14 pour lui. Mais ces gens-là n’ont pas de Jean 14 ; il n’y a pas de notice nécrologique pour eux. On les dépose simplement là et on les incinère, on les enlève de la rue. Des mères mourantes, avec leurs petits bébés là, les ventres bedonnants comme cela, la maman si faible qu’elle ne peut même pas quitter la rue, mendiant un sou afin de sauver son enfant. Et puis, regardez ce que nous jetons dans la poubelle chaque dimanche. Et alors, nous pensons connaître des moments difficiles. Oh! Ça peut paraître dur. C’est dur. Mais, mon ami...
43 Une fois, un Allemand avait peint un tableau intitulé: Les Nuages. C’est un tableau célèbre comme celui qu’on a là en Californie, là au–au cimetière, là à Forest Lawn. C’est tellement immense qu’on a dû construire un bâtiment pour l’abriter ; peut-être un bâtiment d’un demi-million de dollars ou plus pour y placer ce tableau. C’est l’un des plus grands tableaux du monde. L’Allemagne en a un, intitulé Les nuages. Et en regardant de loin, en vous y approchant, cela a l’air horrible. C’est morne. Oh! Les nuages se recouvrent. Et on dirait que c’est la chose la plus horrible à voir: Des nuages qui se forment par une journée lassante et morne, mais une fois plus proche de ce tableau, vous découvrez que ce sont les ailes d’anges qui se recouvrent pendant qu’ils se réjouissent dans les cieux.
44 Nous pensons passer des moments difficiles. Et parfois, les épreuves surviennent. Je pense à cette femme dans le fauteuil roulant et à ces enfants. Vous là dans l’assistance qui souffrez du coeur, vous serez peut-être morts dans une semaine, rongés par le cancer ; peut-être que cela paraît très sombre, mais si seulement nous continuons à nous approcher de Dieu pour découvrir Son dessein, ce sont les anges de Dieu prêts à se réjouir de la victoire que Dieu veut accorder. Parfois, c’est masqué. Peut-être qu’il y a des pécheurs assis ici qui pensent: «Que ferais-je si je mourais ce soir? Et si celle-ci était la dernière soirée que je passe sur terre? Alors quoi?» Cela peut paraître sombre, on dirait peut-être que vous allez mourir. Peut-être que vous êtes ici pour qu’on prie pour–pour votre maladie, mais vous êtes encore un pécheur. Mettez-vous d’abord en ordre avec Dieu. Vous direz: «Pourquoi ai-je attrapé ceci? J’ai des enfants à la maison.» Comment savez-vous si ce sont peut-être des ailes d’anges qui se recouvrent, cherchant à vous approcher de Dieu pour que vous deveniez une véritable mère ou un véritable père pour ces enfants? Voyez-vous?
45 Il paraît faire sombre comme c’était le cas pour la petite femme. Mais si seulement vous recevez maintenant la promesse de Dieu, qui dit: «Que celui qui veut vienne boire les Eaux de la Vie, à la Fontaine de la Vie, gratuitement...» Buvez de l’Eau gratuitement. C’est pour celui qui veut. Cela a peut-être été mis sur vous. Vous avez peut-être fait quelque chose de mal. Peut-être que vous vous sentez condamné dans votre coeur, vous les chrétiens donc, en rapport avec ce que j’ai dit il y a quelques instants, à cause de quelque chose, l’iniquité, qui est dans votre coeur. Peut-être que cela est arrivé dans le but de vous approcher davantage de Dieu. Cela m’est arrivé. Ma vie a changé depuis que j’ai compris cela. Je pensais mener bien une bonne vie. Mais j’ai découvert qu’une fois que Dieu ôte Sa main, Satan m’a eu. Nous sommes des mortels. Et cela n’était qu’une bénédiction cachée. Cela fait que je L’apprécie plus maintenant, de savoir qu’Il est aimable et qu’Il est disposé à nous ramener.
Si c’est cela votre cette condition ce soir, et que vous ne connaissez pas Dieu, que vous êtes condamné dans votre coeur, cela paraît très sombre pour vous à cause de la maladie et tout, sondez maintenant votre coeur une minute pendant que nous prions, et voyez s’il y a là-dedans quelque chose qui vous condamne, qui vous empêche d’être guéri, ou qui vous empêche d’aller au Ciel. S’il y en a, approchons-nous donc de l’autel et voyons si ce ne sont pas les ailes des anges qui se recouvrent. Il ne s’agit pas d’un tableau sombre ; c’est Dieu qui vous approche de Lui. Il vous aime et Il a besoin de vous.
46 Prions, alors que nous avons nos têtes inclinées. Juste avant de prier, puissé-je demander s’il y a... Combien ici dans cette assistance ce soir aimeraient lever la main pour dire: «Frère Branham, souvenez-vous de moi ce soir dans la prière. Moi aussi, j’aimerais m’approcher de Dieu»? Regardez vos mains (Oh! la la!), partout dans la salle. «J’aimerais m’approcher de Dieu. J’ai besoin de Dieu. J’ai besoin de Toi. Oh! J’ai besoin de Toi. J’ai besoin de Toi à chaque heure. Bénis-moi maintenant, mon Sauveur, je viens à Toi.» Avez-vous fait tout ce que vous savez faire? Si vous avez fait... si vous avez satisfait à toutes les exigences, que vous vous êtes repenti de vos péchés, que vous avez été baptisé, que vous–vous avez fait tout ce que vous savez faire, et que néanmoins Dieu semble ne pas répondre, là, je vous demanderai de tenir bon. Continuez simplement à vous y accrocher ; Dieu est assis sur le Trône. Il sait tout à votre sujet. Si vous êtes condamné dans votre coeur, vous pensez peut-être à quelque chose que vous avez fait mais que vous n’auriez pas dû faire, une petite iniquité, une petite chose que vous avez faite, que vous n’auriez pas dû faire, alors je vous demanderai de vous en repentir.
47 Et, ami pécheur, si vous n’avez jamais accepté Christ comme votre Sauveur, et que vous ne Le connaissez pas comme votre Sauveur, et si vous êtes ici ce soir, permettez-moi de vous inviter à venir. Pendant que nous chantons, après la prière, j’aimerais que vous veniez ici à l’autel et que vous vous teniez ici ; et que vous m’accordiez de prier pour vous. Seigneur, je ne connais pas les coeurs de ces gens ; Toi, Tu les connais. Mais AINSI DIT LE SEIGNEUR, il y a une Fontaine ouverte dans la Maison de Dieu contre l’impureté et contre le péché, une Fontaine où les pécheurs peuvent plonger et perdre toutes les taches de leur culpabilité. Nous reviendrons demain soir, Seigneur, prier pour les malades. Il peut y en avoir plusieurs ici ce soir qui sont rassemblés pour cette heure. Nous souhaiterions commencer maintenant même à nous approcher de Toi. Nous voulons que nos coeurs soient aspergés, non pas de la cendre de génisse, mais du Sang de Jésus qui ôte nos péchés. Nous ne voudrions pas que notre conscience porte la marque de la flétrissure, nous aimerions venir auprès du Dieu vivant. Nous nous repentons de nos péchés et de notre iniquité. Il y a sans doute des pécheurs ici présents ce soir, Père, qui ne Te connaissent pas, qui ne seront peut-être pas ici demain soir. Peut-être qu’ils seront partis. Nous prions, Seigneur, que celui-ci soit un message d’avertissement, grâce auquel ils reconnaîtront que Dieu les a amenés ici dans un but: C’est afin qu’Il puisse les amener à Lui.
48 Exauce-nous, Seigneur. Nous ne pouvons que prononcer la Parole. Maintenant, puisse l’Esprit mélanger l’Huile avec la Parole, et puisse le sacrifice... Il y a peut-être ici des chrétiens qui ont commis des fautes, qui disent: «J’ai honte de me lever et d’aller à cet autel.» Mais puissent-ils regarder à la croix et voir l’opprobre qu’Il a portée: Il était déshabillé, Il était nu, on L’a frappé, on L’a pendu à la croix, et Il était suspendu entre les cieux et la terre. Puissent-ils se sacrifier eux-mêmes ce soir, sacrifier leur propre orgueil et leurs propres pensées devant leurs membres, pour se mettre en ordre avec leur Dieu. Qu’ils avancent, qu’ils se tiennent debout et demandent à Dieu de leur pardonner... Débarrasse leurs coeurs de toute iniquité, purifie-les de toutes pensées de souillure, de tout mal, de tout tempérament colérique, de la cigarette, de la boisson, de toutes les habitudes qu’ils ont contractées ; purifie-les, Seigneur. Ôte la racine d’amertume afin que nous puissions nous tenir demain soir comme un grand groupe de gens uni, attendant que le Saint-Esprit se déverse ici, qu’Il fasse voir les aveugles, qu’Il fasse entendre les sourds et qu’Il fasse marcher les estropiés. Que le pécheur se repente de ses péchés, à lui ou à elle, qu’il s’avance ce soir et confesse cela afin que, demain, il puisse être amené à cette petite rivière ou quelque part ici pour être baptisé. Accorde-le, Père. Exauce la prière de Ton serviteur.
49 Maintenant, je demande à tous ceux qui voudraient qu’on se souvienne d’eux, qui ont l’iniquité dans leur coeur... Je vais d’abord demander, pendant que vous êtes en prière (tout le monde en prière), s’il y en a ici qui ne sont pas encore devenus chrétiens et qui aimeraient le devenir maintenant, qui sont prêts à abandonner cela maintenant même, qui n’ont qu’une petite portion de la Parole mélangée ce soir, avec un peu d’Esprit qui est venu sur vous, disant: «Enfant, si tu meurs sans Moi...» Oh! Le diable dira: «Vous ne pouvez pas mener une Vie chrétienne. (Voyez-vous?) Eh bien, vous–vous...» Ce–ce tout petit sentiment qu’il vous faut vaincre, voudriez-vous vous lever ce soir et dire: «Priez pour moi, Frère Branham»? Tenez-vous simplement debout. Dites: «Je vais me tenir debout pour témoigner que je suis un pécheur, et j’implore effectivement la miséricorde de Dieu.» Voudriez-vous vous lever pendant que nous attendons, n’importe où dans la salle? N’ayez pas honte. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Restez bien debout juste un instant, s’il vous plaît. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Y en a-t-il d’autres? Que Dieu vous bénisse, monsieur. C’est bien. C’est... Restez debout juste un instant. Que Dieu vous bénisse là derrière, jeune dame. Y a-t-il quelqu’un d’autre? Que Dieu vous bénisse, jeune dame. C’est bien, levez-vous simplement, partout dans la salle. Dites: «Frère Branham, souvenez-vous de moi dans la prière, s’il vous plaît. Je suis un pécheur. Je ne connais pas Dieu, mais Quelque Chose me parle au coeur. Je viens de recevoir assez de Parole ce soir et une portion de l’Esprit est entrée en moi. Ça peut être le fond du pot, mais je m’avance maintenant. Je m’avance ici pour confesser, dire que j’ai tort, et que Dieu soit miséricordieux envers moi. J’aimerais à un moment me réveiller de ce cauchemar vers une Vie Eternelle et pleine de gloire.» Y en a-t-il d’autres qui aimeraient s’avancer juste en ce moment-ci, qui aimeraient lever la... Sortez simplement de votre siège et dites: «Moi, pécheur, je veux maintenant me lever en guise de témoignage.»
50 Je demande maintenant si le... s’il y en a parmi les chrétiens qui sentent une petite condamnation, un peu d’amertume, pendant que ceux-ci sont debout, qui aimeraient qu’on se souvienne d’eux dans la prière ; je vous demande, à vous les chrétiens qui portez l’iniquité... N’ayez pas honte, Dieu le sait. C’est Lui qui parle à votre coeur. Voudriez-vous vous lever pour dire: «Ô Dieu, je n’ai pas honte. J’ai honte d’avoir fait cela.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... «Je vais me lever pour Te demander de me pardonner. Je veux être guéri. Je veux recevoir le Saint-Esprit au cours de cette série de réunions. Je veux... une bénédiction de Ta part, et je sens que mon coeur me condamne, que j’ai tort. J’ai mal agi. J’ai pris quelque chose. J’ai dit quelque chose. Je–j’ai conçu l’iniquité ; je vais me lever à cause de cela.» Levez-vous maintenant. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Tout autour du bâtiment. C’est bien. Levez-vous, pour dire: «J’ai quelque chose de faux que j’aimerais confesser.» Vous n’avez pas à nous confesser cela, confessez-le à Dieu. Levez-vous. Vous autres qui sentez qu’il y a dans votre coeur quelque chose qui vous prive des bénédictions de Dieu, quelque chose qui... Cette petite chose pourrait–pourrait faire obstacle à toute cette série des réunions. Cela pourrait empêcher cette femme dans le fauteuil roulant d’être guérie. Cela pourrait aider ce petit garçon ici, assis ici, estropié, à marcher.
51 Eh bien, je me demande, pendant que vous êtes debout, si vous voudriez... Je sais que vous êtes sincère. Je le sais. Et j’aimerais prier pour vous personnellement. Il ne m’arrive pas très souvent de faire cela, comme tout se fait au cours du service de guérison. J’aimerais que vous vous avanciez ici, que vous descendiez ici, de ce côté de l’autel, et que vous vous teniez ici juste un instant. Permettez-moi de prier pour vous, s’il vous plaît. Passez donc directement là. Avancez donc directement. C’est ça. Vous tous qui êtes debout, avancez donc, vous tous qui êtes debout. Tout celui qui a fait quelque chose de faux, qui a conçu l’iniquité dans son coeur, ou qui a un péché non confessé, qu’il s’avance ici. Voici venir un jeune garçon estropié, il avance son fauteuil ici. Je prie, ô Dieu, de toute mon âme, de tout mon coeur et de tout mon corps, que cet homme soit guéri de cette maladie.
Venez, avancez ici. C’est ça. Chantons, nous autres, maintenant que nous... qu’ils viennent.
J’ai besoin de Toi à chaque heure,
Très Bienveillant Seigneur ;
Il n’y a pas de voix aussi tendre que la Tienne.
Qui puisse donner la paix.
(Ne voudriez-vous pas vous lever maintenant, vous qui ne vous êtes point levé? Venez.)
...besoin de Toi, ô j’ai besoin de Toi,
J’ai besoin de Toi à chaque heure!
Oh! bénis-moi maintenant, mon Sauveur,
Je viens à Toi!
Maintenant, inclinons la tête pendant que nous fredonnons cela. [Frère Branham fredonne.–N.D.E.]
52 Ami pénitent, j’aimerais que vous veniez maintenant, de tout votre être. Vous avez amené cela à la croix. Je suis... En tant que Son serviteur, je vais vous dire que, AINSI DIT LE SEIGNEUR, celui qui confessera ses péchés obtiendra miséricorde ; celui qui cache son péché, qui couvre son péché ne prospérera pas. Celui qui implorera la miséricorde obtiendra miséricorde. Quelque Chose vous a parlé, et vous êtes venu. C’était le Saint-Esprit. Eh bien, j’aimerais que vous Lui demandiez juste comme... Je crois que vous avez déjà été pardonné, assurément. Pécheurs, vos péchés sont expiés. En effet, lorsque vous vous êtes levés, vous avez témoigné ; vous avez pris position pour Jésus ; Il prendra position pour vous. «Si vous témoignez de Moi devant les hommes, Je témoignerai de vous devant le Père et les saints anges.» Ces Paroles ne peuvent pas faillir. Ce sont des Paroles de Dieu. Jésus prend position pour vous maintenant dans la Présence du Père. Vos péchés sont sous le Sang.
53 Maintenant, pendant que nous prions ensemble, j’aimerais que tous les chrétiens qui sont dans l’esprit de prière prient maintenant avec nous.
Seigneur béni, ici se tient ce soir un groupe de gens qui reconnaissent avoir tort. Certains d’entre eux ne T’avaient jamais accepté comme leur Sauveur avant ce soir. Mais ils sont debout, car ils–ils veulent T’accepter. Ils veulent que Tu sois miséricordieux envers eux. Et maintenant, selon Ta Parole, Tu as dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement.» Dieu a donc donné à Christ ces âmes ce soir comme offrande d’amour. «Personne ne peut les arracher de Ma main, car personne n’est aussi grand que Mon Père.» Maintenant, ils sont à Toi. «Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Seigneur, ils étaient à Toi quand Tu leur parlais ; ils étaient à Toi avant la fondation du monde. Et ce soir, le filet de l’Evangile les a attirés vers Toi. Ils sont à Toi. Prends soin d’eux, ô Seigneur. Nous les confions entre Tes mains ; tendrement, Seigneur, sois miséricordieux.
54 Et voici ici certains de Tes enfants qui ont conçu l’iniquité dans leurs coeurs, ou qui ont fait quelque chose, ont dit quelque chose de mal. Et peut-être qu’en écoutant mon témoignage ce soir, que j’avais fait quelque chose de mal et j’ai dû aller arranger cela, ils sont aussi venus, Seigneur. Que le Dieu qui est passé dans ce petit tourbillon passe sur chaque coeur ici ce soir, chasse leur iniquité, les lave dans le Sang de l’Agneau, renouvelle leur foi et leur esprit pour la glorieuse communion avec le Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur. Ils sont à Toi. Ils se repentent, confessant tout devant cette assemblée des gens, qu’ils ont été en erreur, et ils veulent se mettre en ordre. Et Tu as dit: «Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi.» Nous savons que Tu es ici, Seigneur, et Tu le feras.
Maintenant, pendant que nous attendons et qu’ils ont leurs têtes inclinées, je me demande combien ici n’ont pas encore reçu le Saint-Esprit et aimeraient qu’on se souvienne d’eux dans la prière afin de recevoir le Saint-Esprit. Levez la main. Que Dieu vous bénisse. Il y a un autel, je pense, à droite. Il y a un autel préparé ici même. Je demande à ceux qui sont debout ici maintenant, certains d’entre vous, là, avec le garçon dans le fauteuil roulant, avancez droit à cet autel, juste ici à ma droite. Nous allons vous rencontrer là dans juste quelques instants. Allez droit par ce chemin.
55 Je vais vous demander, à vous qui n’avez pas reçu le baptême du Saint-Esprit et qui aimeriez recevoir le Saint-Esprit, c’est maintenant le moment de L’adorer. Vous êtes ici sur les terrains de camping ; vous êtes ici au moment de Le recevoir. Vous savez que personne n’ira dans l’enlèvement sans le Saint-Esprit. Il y aura des vierges endormies qui ne vont pas... Les autres morts ne revinrent point à la vie avant mille ans. C’est ça. Passez directement dans cette direction, mes amis. C’est ça, papa. Vous tous, venez ici. Prenez... Jeune homme, poussez le garçon là dans le fauteuil, s’il vous plaît, juste par ici. Passez directement par ici, vous tous, s’il vous plaît, passez par ici maintenant. Juste pour vous rencontrer ici, dire un petit mot de remerciement à Dieu pour ce qu’Il a fait pour vous... Passez par ici.
56 Maintenant, vous qui voulez le baptême du Saint-Esprit, voudriez-vous aussi venir? Venez par ici. Levez-vous, pour dire: «Je–je suis–je suis sérieux, Frère Branham. Je suis sérieux avec Dieu. J’ai reçu une petite portion de la Parole dans mon coeur ce soir, et une petite portion de l’Esprit me dit que si je mélange cette promesse de Dieu avec l’Esprit qui me dit que je peux recevoir le Saint-Esprit ce soir, je viens recevoir Cela.» Y a-t-il assez d’Esprit en vous pour vous dire que Dieu l’accomplira pour vous ce soir? S’il y en a, levez la main, si vous croyez avoir assez de courage, assez de conviction de la part du Saint-Esprit, l’Esprit, qui vous dit que vous pouvez recevoir le baptême ce soir. S’il y en a, avancez ici et offrons un mot de prière, puis passez par ici afin que nous puissions vous imposer les mains et prier. Ne voulez-vous pas venir? Si vous le voulez vraiment, venez maintenant. C’est bien. «Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.» C’est ce que dit la Bible. Dieu ne peut pas manquer à Ses Paroles. Que faites-vous maintenant? Vous faites des préparatifs. Depuis quand avez-vous cherché le Saint-Esprit? Depuis longtemps. Ça fait longtemps que vous avez cherché le Saint-Esprit. Et maintenant, Il est ici ce soir. Qu’est-il arrivé? Peut-être que vous étiez là, presque sur le point d’abandonner. Mais qu’est-il arrivé?
57 J’aimerais que certains prédicateurs qui collaborent, s’ils le veulent, aillent là auprès de ces gens pour leur apprendre comment–comment prier et rendre grâces à Dieu. Quelques prédicateurs ici présents qui connaissent Dieu et certains d’entre vous frères ici qui connaissez Dieu, allez-y ; quatre, cinq d’entre vous, allez-y, certains d’entre vous, tenez-vous juste ici avec ces gens. Nous allons prier pour eux.
Combien parmi vous ici dans la salle sont des prédicateurs de l’Evangile? Levez la main, des prédicateurs de l’Evangile. Nous ne demandons pas de quelle dénomination vous êtes membres, nous avons besoin de vous ici. Venez ici, vous tous les prédicateurs. Nous avons besoin de vous ici. Voici le moment. Vous tous, les Elie, venez ici. Voici des gens qui ont mélangé l’huile avec la farine ensemble. Ils sont ici pour recevoir. Ils sont ici pour obtenir Cela. Allons montrer que nous avons l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.
58 Croyez-vous que le Saint-Esprit est pour vous aujourd’hui? Qu’a dit Pierre le jour de la Pentecôte lorsque les gens demandèrent: «Hommes frères, que pouvons-nous faire?» Il a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit, car la promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Est-ce vrai? Vous y êtes donc. Qu’a-t-on fait au temps biblique? On leur a imposé les mains.
Maintenant, nous allons prier pour ces gens. Vous tous les prédicateurs, tenez-vous près et priez. Puis, nous allons les amener là à l’autel, et là, ils recevront le Saint-Esprit, eux tous. Croyez-vous cela? On a six soirées pour cette série de réunions. Ne vous relevez pas de vos genoux avant que le Saint-Esprit vous ait baptisé ; alors, un réveil éclatera ici. Ne... Soyez vraiment sérieux. Nous venons pour être donc sincères. C’est ce que nous allons faire. Dieu l’a promis, et le diable ne va pas nous le dérober. Nous allons rester ici jusqu’à ce que cela ait lieu. C’est vrai.
59 Maintenant, inclinons la tête. Vous tous les chrétiens, priez maintenant pour ces gens-ci qui cherchent le Saint-Esprit ; vous les prédicateurs, de part et d’autre.
Père, ceux-ci ont déjà confessé être chrétiens. Mais ils ont lu dans la Bible que seuls ceux qui avaient de l’huile dans les lampes étaient entrés au Souper des Noces. Et ils viennent ce soir pour recevoir de l’Huile. Ils ont vu, par exemple, il y a quelques minutes, qu’on avait déjà la farine dans le pot, et que l’Esprit a été mélangé à cela. Ils sont venus se sacrifier eux-mêmes, pour sentir les feux chauds et brûlants du baptême du Saint-Esprit, qui enflammeront la croix du Christ dans leurs coeurs et qui les rempliront de la puissance, de la gloire et du baptême du Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur.
60 Les prédicateurs oints de Dieu se tiennent à côté d’eux. Nous sommes ici, Seigneur, pour offrir une prière de la foi. Nous voulons voir un grand réveil éclater dans cette communauté et dans les environs, qui fera de chaque église une flamme qui brûle.
Et nous sommes venus à Toi ce soir, Seigneur notre Dieu. Nous croyons que Tu ne nous rejetteras pas. Que tout le monde ici, à partir de ce petit garçon et de cette petite fille, jusqu’au plus âgé, reçoive le Saint-Esprit. Et comme Christ l’a dit jadis, en tant que Ses serviteurs, nous disons maintenant: «Recevez le Saint-Esprit.» Souffle sur eux, Seigneur, l’Esprit de Vie. Puissent-ils aller maintenant recevoir le Saint-Esprit.
61 Maintenant, prenez la droite. Vous tous qui cherchez le Saint-Esprit, allez directement de ce côté. Les prédicateurs vont vous accompagner là et y rester jusqu’à ce que le Saint-Esprit vienne. J’aimerais traiter avec le reste de l’assemblée juste un instant. Il n’y aura pas de prière pour les malades, souvenez-vous-en donc. Si nous allons commencer les choses correctement, nous allons bien procéder. En retour, il y aura quelque chose qui cloche, nous voulons cela correct. Amen.
62 Allez directement par ici, par là. Prédicateurs, vous qui donnez des instructions, accompagnez-les maintenant, vous qui ne... déterminés de ne pas vous relever de vos genoux, même si cela va d’ici au samedi soir. «Jusqu’à quand vais-je attendre?» Jusqu’à ce que vous soyez revêtus. «Jusqu’à quand?» Jusqu’à ce que vous receviez Cela. Combien de travailleurs indépendants y a-t-il dans la salle, ceux qui travaillent...? Femmes ou hommes, levez la main, ceux qui aimeraient accompagner ces gens. Que Dieu vous bénisse, soeur Rosella. D’accord, voudriez-vous les accompagner? Y a-t-il quelqu’un d’autre ici, un brave travailleur indépendant qui aimerait être là présent pendant que le Saint-Esprit remplit quelqu’un? Voudriez-vous le faire? N’importe qui parmi vous les femmes et les hommes. Vous, femmes, allez vers les femmes ; vous les hommes, allez à côté des hommes. Tenez-vous là. Soyez sincères. Pourchassez le diable, vainquez-le. C’est une personne vaincue. Croyez-vous cela? Il n’est qu’un grand bluffeur. Il n’a pas de droits légaux sur nous. Nous sommes des enfants libres, nés de l’Esprit de Dieu. Nous avons droit à ceci: l’héritage de Dieu, et nous le croyons.
63 Y en a-t-il un autre ici qui est un pécheur et qui ne s’est point avancé? Voudriez-vous lever la main pour dire: «Frère Branham, souvenez-vous de moi. Je n’avais même pas le courage d’aller. Mais priez pour moi, que Dieu place en moi une conviction telle que je viendrai la fois prochaine. Priez que Dieu épargne ma vie des accidents et de tout ce soir, que je sois capable de revenir ici demain soir.» Levez la main. Tout celui qui a conçu l’iniquité dans son coeur, qui ne s’est pas avancé, levez la main. Soyez sincère à ce sujet. Levez la main pour dire: «Priez pour moi, Frère Branham.» Combien sont malades et affligés? Levez la main pour dire: «Je viens. Je veux qu’on prie pour moi. J’aimerais être en ordre.»
Très bien. Confessez tous vos manquements maintenant. Vous avez, d’ici demain apr-... demain soir, vers cette heure. Dieu accomplira plus de guérisons ici, je crois, qu’Il n’en a jamais accomplies dans ce pays. Je le crois. Amen. Que le Seigneur vous bénisse.
Très bien. Levons-nous maintenant alors que nous chantons
J’ai besoin de Toi à chaque heure.
Plus...
Dieu bien-aimé, au Nom de Jésus, je Te prie pour ces mouchoirs, que Tu leur accordes, ô Seigneur, la grande puissance, et que Tu guérisses les... ceux à qui ils appartiennent, Père. Je prie au Nom de Jésus. Amen.
Très bien, Frère Sullivan, venez ici. Voudriez-vous maintenant congédier votre assemblée?
Oh! J’ai besoin de Toi,
...?... Que le Seigneur vous bénisse maintenant...?...