Pareil À L’Aigle Qui Éveille Sa Couvée
1 [Frère Sullivan lit Deutéronome 32.1-12.–N.D.E]
Merci, Frère Sullivan. Vous pouvez vous asseoir. Merci beaucoup pour cette bonne invitation à revenir encore communier avec vous ici.
J’aimerais dire que je n’ai jamais tenu une réunion, à aucun moment de ma vie, où je me suis réjoui plus que cette fois-ci. Ce... Je ne savais pas que vous aviez cette si belle et merveilleuse assemblée ici dans l’Ohio comme ceci. Et je suis très content d’être ici parmi vous. Et j’aimerais certainement remercier mon bon ami, frère Sullivan, que j’ai appris à aimer en tant qu’un gentleman chrétien. J’aime un homme qui est juste un homme.
Ma femme et moi, nous étions aujourd’hui dans un petit restaurant prenant un repas quand il est entré. Et après notre départ, elle a dit: «Frère Sullivan paraît être bien une personne réelle.»
J’ai dit: «C’est ce que j’ai découvert en lui, juste une personne réelle.»
2 Que Dieu vous bénisse, Frère Sullivan, ainsi que votre petite église. Et le... Vous membres de cette église ici présents, vous êtes heureux d’avoir un pasteur comme frère Sullivan. Et à vous les frères ici, je n’ai point eu l’occasion de rencontrer beaucoup d’entre vous qui collaborent ici à la réunion. Tout le monde connaît son pasteur, ainsi que ces gens ici présents. Votre pasteur s’est présenté ici parce qu’il croit dans ce genre de ministère. Soyez donc reconnaissants pour votre pasteur. Et vous devriez toujours être à votre poste du devoir. Ayez une position claire et nette pour Jésus.
3 Et j’aimerais aussi remercier cet organisateur, j’ignore quel titre on lui colle, qui nous a permis d’avoir ce terrain de Chautauqua. Ça a été une série de bonnes réunions. Nous nous sommes rassemblés ici où il fait frais ; or, dans une salle, il aurait fait très chaud. Mais nous avons eu le privilège de nous asseoir sous cette voûte ici. Ainsi donc, nous sommes très reconnaissants à cet homme.
Et tous les frères et soeurs, mes amis venus de chez nous à Jeffersonville, de Louisiane et des alentours, me disent qu’on peut prendre le meilleur repas par ici pour environ quatre-vingt-dix cents, environ un tiers de ce que vous avez payé pour une chambre d’hôtel ; on en trouve ici, de bonnes conditions. Ils ont leur patrimoine et leur piscine là loin derrière, de sorte que cela ne dérange pas le service d’évangélisation. C’est un lieu parfait pour ce genre de réunions. Nous remercions Dieu de ce qu’il y a toujours des portes ouvertes comme celle-ci en Amérique. Et celle-ci en est une. Puisse-t-elle subsister jusqu’à la Venue de Jésus, avec les mêmes principes.
4 Et maintenant, au nom de ma femme, de toute mon équipe et au mien propre, nous apprécions votre précieuse collaboration, et pour l’argent que vous avez donné, de sorte qu’il a été possible de payer toutes les dettes. Tout est en ordre, ça a été réglé hier soir. Et on m’a dit qu’on a prélevé une offrande d’amour ce soir. J’en suis reconnaissant. Je ne suis point venu pour cela. Mais je place cela dans les oeuvres missionnaires à l’étranger.
Je gagne un salaire pour le travail que je fais dans mon église. Je reçois de mon église soixante-seize dollars par semaine, déduction faite de tout. Cent dollars, c’est ce qui m’est accordé, cinq mille deux cents par an. Et les réunions, ce à quoi servent les offrandes d’amour, c’est affecté aux missions à l’étranger pour aider les païens, là où mon coeur... Et quand j’en accumule assez pour me permettre d’aller outre-mer prêcher, je sais que j’aurai à répondre au jour du Jugement pour l’argent que les gens me donnent. Autrefois, je pouvais donner cela à beaucoup de bonnes associations: La Croix Rouge, et toutes les autres, et The Red Feather [La Plume rouge], beaucoup de sociétés missionnaires. Mais je sais que j’aurai à répondre pour cela... Et je ne suis membre d’aucune dénomination, non pas parce que je ne crois pas en elles, j’y crois, mais parce que je ne leur appartiens pas, c’est que je peux me tenir au milieu d’elles toutes et dire que nous sommes des frères.
5 Mon ministère est un ministère qui essaie d’unir le Corps de Christ, non pas unir les dénominations en une seule, mais unir les frères et les soeurs comme un seul groupe de gens, un dans l’objectif, un dans le coeur, un dans l’unité, pour voir la Venue du Seigneur Jésus. Je crois que ce soir le plus grand besoin en matière de guérison divine que nous connaissons... Et regardez ces civières, ces brancards et autres. Je ne vois ici ce soir personne de ceux qui étaient ici hier soir. Chaque civière, chaque brancard et tout ont été vidés hier soir. Les aveugles ont recouvré la vue. Les boiteux, les estropiés, les malades d’arthrite et autres, ils se sont levés et sont partis, rétablis. Qu’il en soit de même ce soir pour vous, mes chers amis assis ici. C’est ma sincère prière.
Il y a quelques instants, alors que je me tenais là serrant la main à quelques-uns de mes amis, une fillette boitillant derrière le rideau m’a rappelé une autre en Finlande. Elle avait souffert de la polio. Elle portait une armure orthopédique aux jambes, et elle marchait à l’aide des béquilles. Elle est passée près et elle a levé les yeux, les larmes embuaient ses petits yeux. Je l’ai étreinte dans mes bras. Et aussi certainement que je me tiens à cette chaire, cette enfant marchera sans ces béquilles, ou sans assistance. Vous voyez, c’est son attitude et son approche. Voyez? Vous... C’est votre attitude qui compte.
6 Il vous–vous faut venir avec un bon genre d’approche vers Dieu. Si vous venez avec égoïsme, si vous venez suivant une approche autre qu’une bonne attitude mentale envers Dieu, ou envers n’importe quel don divin, vous n’en tirerez jamais profit. Il vous faut venir en vous abandonnant complètement à Dieu. Considérez la femme syro phénicienne, quand... Jésus lui a dit: «Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants pour vous nourrir, vous les petits chiens.» Qu’auriez-vous dit s’Il vous avait traité de petit chien? Vous auriez dit: «J’irai adhérer à une autre église.» Mais pas elle. Elle savait à Qui elle parlait. Elle a dit: «Seigneur, c’est vrai. Tu as parfaitement raison en cela. Mais les petits chiens sont disposés à manger les miettes qui tombent sous la table du Maître.»Cela L’avait saisi. C’était ça la chose. C’est ce qu’Il attend vous voir faire. Humiliez-vous à tel point que, peu importe comment Dieu vous envoie cela... Que vous soyez guéri instantanément, que vous soyez guérie graduellement, que vous soyez–que vous soyez renvoyé pour... comme Abraham avait attendu vingt-cinq ans la promesse. Mais plutôt que de faiblir, il devint de plus en plus fort tout le temps, rendant gloire à Dieu. Du moment que vous savez que Dieu a promis cela, et que vous acceptez cela pour vous-même, cela doit s’accomplir.
7 Souvenez-vous donc, alors que je suis enregistré sur bande... Je dis ceci de tout mon coeur que, si les gens affichent une bonne attitude mentale envers chaque promesse divine que Dieu a faite, cela amènera celle-ci à s’accomplir. Si vous pouvez afficher une bonne attitude envers ce que Dieu a dit, cela l’amènera à s’accomplir. J’ai vu le cancer sarcome quitter les gens par cette même chose. Eh bien, peut-être que vous ne pouvez pas être en mesure de recevoir assez pour... juste pour vous délivrer du coup. Mais je pourrais dire ce soir, juste pour terminer, j’aimerais vous parler un instant et dire ceci: Si vous ne pouvez pas recevoir assez de foi pour–pour être guéri instantanément, alors suivez le procédé de l’enfant adopté. Avez-vous déjà entendu parler de l’adoption d’un enfant?
8 Eh bien, si vous prenez une jeune femme, elle va peut-être se marier et–et... elle et son mari. Elle a peur de ne pas avoir un enfant. Elle en veut un. Elle a tellement peur de ne pas en avoir qu’elle n’en aura pas. En effet, juste comme Job a dit: «Ce que je crains le plus, c’est ce qui m’arrive.» Voyez? Mais prenez cette même femme... Eh bien, s’il y a des médecins, probablement qu’il y en a assis ici, des infirmières. Prenez cette même femme et laissez-la adopter un enfant, alors elle en aura un elle-même. Voyez? Cela la détend.
Eh bien, si vous n’avez pas assez de foi pour recevoir cela maintenant même comme un miracle, alors affichez l’attitude d’un enfant adopté: «Seigneur, c’est à moi, parce que Tu l’as promis. Je partirai d’ici ce soir en Te louant autant que si j’étais guéri.» Observez ce qui arrive ; vous recevrez cela. Ça doit arriver ; Dieu l’a promis.
Donc, Il est le Dieu infini. Et si vous pouvez sentir simplement la moindre petite touche de foi qui vous dit que vous serez guéri, croyez cela. Et continuez à rendre grâce à Dieu pour cela.
9 Et puis, rappelez-vous, ils n’avaient pas reçu le Saint-Esprit le jour de la Pentecôte. Mais ils avaient passé dix jours là-haut, rendant grâces au Seigneur et Le louant pour la promesse du Saint-Esprit. Et, tout à coup, il vint un bruit comme celui d’un vent impétueux. Donc, croyez cela de tout votre coeur. Souvenez-vous-en donc.
Le petit garçon dans le fauteuil roulant, le petit garçon de couleur... C’est un beau petit garçon assis ici en train de me regarder, couché sur un oreiller, le petit garçon blanc assis là. Ce jeune homme couché ici sur un brancard, à vous qui êtes là dans l’assistance mourant de maladie du coeur, vous ne pourrez pas survivre cette nuit si Dieu ne vous vient pas en aide, la tuberculose, rongé par le cancer, quelque soit votre situation, si le médecin vous a abandonné, ne perdez pas courage. Dieu est toujours sur le Trône. Vous pouvez croire cela et accepter cela... Je n’ai jamais vu Cela faillir. J’ai cinquante ans, dont trente de ministère, j’ai prié pour des millions de gens. Jamais je n’ai vu Cela faillir. Quand un coeur sincère s’approche de Dieu, croit de tout son être, ayant la foi qu’Il le fera, Il le fera.
10 Merci pour votre gentillesse, pour les offrandes, pour tout ce que vous avez fait et le... Je ne sais comment le dire davantage ; que Dieu vous bénisse. Et pour moi, c’est le mot le plus important qui existe. Si Dieu me bénit, tout le reste ira bien, tant que Dieu me bénit.
Maintenant, nous devons quitter dans quelques instants pour Jeffersonville. Demain, il y aura des réunions au tabernacle. Je ne pense pas que je serai là. Et pour vous, mon... Nous avons beaucoup de gens de Jeffersonville ici. Je ne pense pas que je serai là. Mais le dimanche prochain, le Seigneur voulant, j’y serai.
11 Ainsi donc, vous... Aussitôt que je le pourrai, je partirai pour outre-mer: Sidney, en Australie, en Nouvelle-Zélande, Siam, en Afrique. J’aimerais rencontrer mon bon ami, frère Thoms ici, qui vous a parlé cet après-midi. Merci pour votre gentillesse à son égard, et pour votre soutien. J’aime le jeune Tommy ici, c’est mon frère. Et j’ai l’intention de passer avec lui le prochain printemps en Afrique du Sud. Je me demande si vous aimeriez me faire une faveur: Si vous allez prier pour moi, c’est la chose la plus importante à faire que je connaisse, c’est prier pour moi. Et quand je suis en Afrique, ailleurs, et pendant un ministère comme celui-ci, les sorciers n’hésitent pas à le défier, ces saints hommes en Inde et ailleurs. Mais je n’ai jamais vu un temps où Dieu ait manqué de renverser l’ennemi. Je compterai toujours sur vos prières dans mes déplacements. Priez donc pour moi. Je prierai pour vous.
Et si jamais je ne vous rencontrais de ce côté-ci de la rivière, ce que j’espère faire, mais sinon, j’aimerais prendre un rendez-vous avec vous aussitôt que nous aurons traversé, mille ans avec chacun de vous. Nous nous assoirons à côté de l’arbre toujours vert, et là nous parlerons de Chautauqua ici dans l’Ohio. Que Dieu vous bénisse entre-temps.
12 Maintenant, Frère Sullivan, je voulais qu’il fasse quelque chose dans mes réunions, et je lui ai fait lire un passage des Ecritures ce soir, ou un chapitre, une grande partie de cela. Et j’aimerais parler ce soir, juste pendant un court instant, sur le sujet de... qui se trouve dans Deutéronome 32.11. Je voulais prendre la première partie de ce verset 11 que frère Sullivan venait de lire:
Pareil à l’aigle qui éveille sa couvée.
Maintenant, inclinons la tête juste un instant pour la prière. Combien aimeraient qu’on se souvienne d’eux dans la prière ce soir? Levez simplement la main pour dire: «Ô Dieu, souviens-Toi de moi.» Il connaît votre coeur. Merci.
13 Bienveillant Seigneur, nous venons humblement maintenant au Nom du Seigneur Jésus, sachant que nous n’avons aucun autre nom, aucune justice que nous pouvons T’offrir. Mais nous venons humblement, croyant que Tu nous exauceras, car Tu nous as dit: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Donc, Seigneur, c’est à ça que nos motifs et nos objectifs sont aussi connectés. Et sonde nos coeurs, vois s’il y a un mal quelconque, ou un préjugé, ou de n’importe quelle manière...
Uniquement pour la gloire de Dieu, nous Te demandons de déverser Ton Esprit sur nous, Seigneur, ce soir, dans la mesure la plus profonde où Tu aies jamais déversé Cela sur nous. Il y a des malades et des affligés qui sont aussi ici dans une grande expectative. Peut-être que c’est leur première soirée à passer ici, et ils n’ont jamais vu des malades être guéris quand ils ont la foi de croire. Peut-être qu’ils n’ont jamais vu la promesse du Seigneur Jésus être rendue manifeste. Mais, ô Dieu, accorde ce soir que leurs coeurs soient ravis au-delà de toute mesure, que le Saint-Esprit s’empare d’eux, qu’Il leur donne la foi divine et qu’Il ancre en eux la foi qui ne recevra pas non comme réponse, mais qu’ils soient délivrés de leurs maladies et afflictions, chacun d’eux.
14 Seigneur, nous n’oublierons pas de prier pour ces braves ministres de l’Evangile: frère Sullivan et tous les autres qui ont pris fidèlement position dans cette réunion. Nous Te prions de faire prospérer leur ministère, Seigneur. Qu’ils puissent monter demain à leur chaire avec une–une onction fraîche. Puissent-ils prêcher l’Evangile comme jamais auparavant. Que le coeur de chaque membre soit chargé de la puissance de la foi. Que de grands signes et de grands prodiges accompagnent leur ministère, que cela annonce la Venue proche du Seigneur Jésus.
Nous n’aimerions pas oublier ceux qui sont cloués au lit dans des maisons de convalescence et dans des hôpitaux, qui ne peuvent pas venir à la réunion. Seigneur Dieu de miséricorde, Tu as toujours des anges à Tes ordres, Tu peux les envoyer à leurs chevets. Et nous Te prions, ô Dieu, de le faire, de guérir les malades et les affligés.
15 Sauve tous les perdus, Seigneur ; remplis du Saint-Esprit ceux qui ne sont pas encore remplis. Et nous prions pour chaque dénomination et pour chaque église dans le pays. Qu’arrive ce temps où nos coeurs seront unis comme un seul pour la Venue du Seigneur Jésus. Sois près de nous maintenant ; bénis Ta Parole alors qu’Elle a été lue. Et que ce soir s’accomplissent les Ecritures qui disent: «Ma Parole ne retourne pas sans effet, sans avoir exécuté ce pour quoi Elle a été envoyée.» Accorde-le, Seigneur, car nous le demandons au Nom de Jésus, Ton Fils. Amen.
16 Maintenant, pendant quelques instants, aussitôt que nous vous aurons parlé juste un peu sur la Parole, je souhaiterais que chaque pécheur ce soir soit prêt et qu’il ait la foi d’accepter Jésus comme son Sauveur.
Eh bien, l’autre soir, quelques jeunes gens m’ont demandé... J’ai parlé une fois sur ce sujet, dans le Kentucky, et je pense une fois à mon tabernacle: Pareil à l’aigle qui éveille sa couvée, voltige sur ses petits. Nous savons tous que cela se rapporte à Jacob, ce que le frère venait de lire dans les Saintes Ecritures. Et quand j’ai lu cela une fois, je me suis mis à réfléchir: «Pourquoi Dieu identifie-t-Il Son héritage aux aigles?» Mais Il avait une raison de le faire. Et vous savez, Lui-même, Il s’est identifié aussi à un aigle. Il est Jéhovah Aigle.
17 Alors, je me suis mis à étudier l’aigle, comme ma première Bible était la nature. J’étais un petit garçon, mes parents n’étaient pas chrétiens. Et l’unique Bible que j’aie jamais eue, c’était observer la nature, les animaux, la vie, comment une fleur tombe à terre, et ressuscite au printemps. Comment cette sève dans l’arbre descend dans les racines en septembre, avant que toute neige ou... Il y a–il y a une grande Intelligence qui fait descendre cette sève sous terre. Si elle ne descendait pas, elle gèlerait dans l’arbre et mourrait.
Et qu’est-ce qui dirige l’arbre, qui lui fait conserver la sève dans les racines là où il fait chaud, et puis la fait remonter au printemps et lui fait produire encore des fruits et autres? C’est au-delà de toute ombre de doute ; il doit y avoir quelque chose qui fait cela. Et ce n’est pas quelque chose qui se fait naturellement ; en effet, il y a une Intelligence.
18 Et les arbres sont différents les uns des autres. J’ai observé la vie des oiseaux, la vie des animaux, j’ai vu comment ils vivent et comment Dieu prenait soin d’eux. Puis, je me suis mis à étudier l’aigle. Et j’ai appris qu’il y a quarante différentes espèces d’aigles. Beaucoup d’entre eux... Le mot aigle veut dire qui déchire avec le bec. Et quand j’ai appris qu’il y avait quarante différentes espèces d’aigles... Et l’aigle n’est pas un vautour. Il tue sa nourriture. Il se nourrit de sa propre proie.
19 Et puis, j’ai aussi vu qu’un aigle est un oiseau qui s’élève haut. Il n’y a pas d’oiseau sur terre qui puisse suivre un aigle. Il monte très haut... Si le faucon osait le suivre, il se désintégrerait dans l’air. Il n’a pas d’yeux comparables à ceux de l’aigle. Ainsi donc, l’aigle peut voler très haut, de telle manière que si un autre oiseau essayait de le suivre, il mourrait avant de l’avoir suivi à mi-chemin. Et puis, pour voler si haut, il doit être un oiseau d’une constitution spéciale. Sa naissance et tout à son sujet, ça doit être quelque chose de spécial pour supporter cette altitude.
Et c’est ce qu’est l’Eglise. L’homme né de nouveau de l’Esprit de Dieu est une personne d’une constitution spéciale de naissance. Il faut une naissance spéciale pour supporter cela, supporter les sphères, la gloire, la puissance dans laquelle Dieu fait entrer Ses enfants.
20 Et puis, sa vue est très perçante. S’il montait très haut et qu’il ne voyait pas, une fois arrivé là-haut, l’altitude à laquelle il serait ne lui aurait servi à rien. Mais il voit plus loin que tout autre oiseau. C’est pourquoi Dieu a identifié Ses prophètes aux aigles. Plus haut vous allez, plus loin vous voyez. Et le prophète s’élève dans une sphère pour aller si haut qu’il voit des événements à venir ; ensuite, il redescend et avertit le peuple.
Puis, en plus, l’aigle est aussi équipé de deux ailes très solides. Et les plumes, vous ne pouvez pas les arracher avec des tenailles. Oh! Elles doivent être très solides, sinon une fois à cette altitude-là avec ces orages, elles se détacheraient et il tomberait. Il a donc deux ailes. Et je vais comparer ces deux ailes au Nouveau et à l’Ancien Testaments que Jéhovah Aigle déploie devant nous.
21 Et aussi, cet aigle renouvelle sa jeunesse. Eh bien, quand un aigle devient très vieux, quelque chose lui arrive. Et alors, il redevient comme un jeune aigle. Oh! Je les ai observés dans les montagnes et ils m’émerveillaient, comment il renouvelle sa jeunesse très souvent. Et je disais que c’était là le réveil.
Je me rappelle le premier réveil de pentecôtistes auquel j’aie jamais participé. J’étais un jeune prédicateur baptiste. Et j’étais à Mishawaka, dans l’Indiana. Et on tenait une convention. Et je pense que les dénominations étaient appelées P.A. de W et P.A. de J.C. Vous pourriez, certains parmi vous les pentecôtistes, pourriez vous en souvenir.
22 Je descendais la rue. Je suis entré suivre ce réveil. Je me suis dit... Et alors, on a dit: «Que tous les prédicateurs viennent à l’estrade.» Il y en avait environ trois cents parmi nous là. Et ce jour-là, j’avais suivi de braves jeunes prédicateurs qui prêchaient sur la Venue du Seigneur Jésus, tout sur ce qu’Il avait fait sur la terre. Et c’était des érudits, des gentlemans, des hommes remplis de l’Esprit. Evidemment, les manières de leur église n’étaient pas très bonnes. Ils criaient, poussaient des cris et faisaient des histoires. Je ne comprenais pas cela.
Mais après, ce soir-là, après que tous nous étions passés à l’estrade, il a été dit: «Pour ce soir, nous avons choisi l’ancien Untel», un vieil homme de couleur. Et le pauvre vieil homme estropié est monté là à l’estrade. Je ne sais pas s’il était estropié. Mais il portait un long manteau de prédicateurs, le manteau avec un col en velours à l’ancienne mode et... Je pense que nous appelions cela manteau à queue de pigeon, un manteau à marteau à panne fendue qui descend très bas. Et il était... il avait juste une petite couronne de cheveux blancs autour de son cou. Et le pauvre vieil homme a sorti quelque chose comme cela à l’estrade. Il a choisi son texte dans, je pense, Job 7 ; il y est écrit quelque chose comme ceci: «Où étais-tu quand Je fondais la terre, alors que les étoiles du matin éclataient ensemble en chants d’allégresse et que les fils de Dieu poussaient des cris de joie?»
23 Et moi, j’avais environ vingt-trois ans, le plus jeune prédicateur sur l’estrade. Je me suis dit: «Qu’ont-ils à aligner un vieil homme comme celui-là là-bas devant environ mille cinq cents personnes alors qu’on a tous ces braves jeunes érudits?» Mais il est passé à quelque chose de différent de ce que les jeunes gens prêchaient. Il a prêché sur ce qui s’était passé au Ciel, alors que cette journée-là, eux avaient prêché sur ce qui s’était passé sur la terre.
Il a prêché environ dix minutes. Puis, il s’est mis à Le faire descendre dans tous les cieux, venant pour la deuxième fois, descendant sur l’arc-en-ciel horizontal. Et vers ce moment-là, quelque chose a frappé le vieux gentleman, il a sauté en l’air, il a claqué ses talons ensemble, et il s’est écrié: «Youpi!» Il a dit: «Gloire à Dieu!» Et il avait autant d’espace qu’il y en a ici. Il a parcouru cette estrade-là comme un jeune homme, il a dit: «Vous n’avez pas assez d’espace ici pour que j’y prêche.»
J’ai dit: «Si c’est ce que cela fait à un vieil homme comme lui, qu’est-ce que ça me ferait? Je veux ce qu’il a.» Cela renouvelle votre jeunesse. L’aigle renouvelle très souvent sa jeunesse. Et c’est un oiseau spécial à tous égards. C’est ainsi que Dieu l’a créé. Et j’ai beaucoup d’estime pour lui.
24 Et il y a de cela environ cinq ans, j’étais dans votre belle ville ici, à Cincinnati. J’avais amené mes fillettes au zoo. Et ma femme avait pris l’aînée des filles, et elle l’avait amenée d’un côté voir une espèce de petit singe, qui était dans le pa-... une cage. Je n’aimais pas l’odeur de cet endroit-là. Alors, je lui ai dit que Sara et moi allions descendre au bas de la colline. Et j’ai entendu quelque chose rebondir et cogner. Je me suis avancé là avec la petite Sara, âgée d’environ trois ou quatre ans. Je la tenais par la main. Elle a dit: «Oh! Papa, c’est un oiseau immense.» Et l’aigle est le plus grand de la famille des oiseaux. Parfois, la grand-mère aigle, qui est plus large que le père, ses ailes déployées mesurent 14 pieds [4 m] d’un bout à l’autre.
25 Et quelqu’un avait capturé ce gros aigle, il l’avait enfermé dans une cage. Et ce pauvre oiseau, je ne me suis jamais senti si désolé. Si je pouvais le racheter, je l’aurai racheté. Et il n’avait plus de plumes sur le visage ni sur la tête. Les bouts de ses ailes étaient tout rabattus, et il saignait. Et ce gros oiseau était étendu par terre. Il s’est relevé, il a marché à reculons jusqu’à l’autre côté de la cage, il a couru, il a levé ces grandes ailes et il s’est jeté contre ces barres, seulement pour cogner sa tête et ses ailes. Il est retombé par terre, il a retourné la tête et il a repris de plus belle... Et le voilà revenir, il s’est lancé vers le haut, il cognait la tête et les ailes en volant au point que le sang jaillissait. Il retombait par terre, étendu là. Alors, j’ai regardé ses yeux las, alors qu’il les roulait, regardant vers le ciel. Je me suis dit: «Que c’est pitoyable! C’est un oiseau céleste. Il a la constitution, il a été créé, il est né et il a été conçu pour voler dans le ciel. Mais il est enfermé dans une cage. Un trappeur très intelligent l’a enfermé dans la cage, il l’a attrapé.» Je me suis dit: «C’est la scène la plus pitoyable que j’aie jamais vue. Je peux–je peux prendre mon salaire de semaines, racheter ce pauvre oiseau et le libérer, parce qu’il n’a pas été créé pour une cage. Il a été créé pour être libre dans les airs.» Je me suis dit que c’était horrible.
26 Puis, j’ai changé de pensée, pendant que je me tenais là et que je regardais des fils et des filles de Dieu, nés pour être des fils et des filles de Dieu, marcher en habits immoraux, fumer la cigarette et boire. C’est plus pitoyable de voir un fils de Dieu, né pour être un fils ou une fille de Dieu, rendu esclave du monde, que de voir un aigle dans une cage.
Le monde a enfermé des gens dans des cages. Les barrières dénominationnelles les empêchent d’atteindre le but pour lequel Dieu les a placés sur terre: être des fils et des filles de Dieu. Et c’est une vue pitoyable, que de voir un être humain sans secours, apparemment lié par le péché, se faisant seulement sauter la cervelle en allant d’un débit de boisson à un autre, de lieu en lieu, de loisir en loisir, et cherchant à trouver satisfaction, alors que Dieu est l’unique à détenir la satisfaction qui peut le satisfaire.
Dieu a créé l’homme pour qu’il ait soif de Lui. Là... La raison pour laquelle l’homme a en lui quelque chose qui l’amène à avoir soif, c’est que Dieu a placé cette soif en lui. Mais vous ne pouvez pas satisfaire cela avec les choses du monde. Vous ne serez jamais satisfait avant que Dieu occupe cette place-là.
27 Dieu a comparé Ses aigles, ou plutôt Son héritage à Ses aigles. Considérons ce que fait l’aigle. Une autre chose que fait l’aigle ... Et quand il construit son nid, il le construit très haut. Je les ai observés alors qu’ils atteignaient le point le plus haut possible pour construire leur nid.
C’est comparable à l’Eglise du Dieu vivant. Elle a de très hautes ambitions, les pensées les plus nobles, les choses les plus saintes, loin de la chose terrestre. C’est là que l’Eglise prend position, sur le sommet le plus élevé où elle peut se tenir: C’est au Calvaire, la Croix du Seigneur Jésus.
28 L’aigle construit son nid là-haut. Comme c’est différent de son frère dénominationnel, le poulet. Le poulet construit son nid n’importe où. Pourtant, vous ne direz pas qu’il n’est pas un oiseau ; il l’est. Mais il ne sait rien des choses célestes ; il n’a jamais été là-haut. Il n’en sait rien.
Il y a des hommes et des femmes qui professent être chrétiens, qui vont çà et là en grattant dans la basse-cour, d’un lieu froid, formaliste et indifférent. Ils ne savent pas ce que c’est être élevé par l’Esprit de Dieu par le baptême du Saint-Esprit. Cela le tuerait. Il n’en a pas la constitution. Il ne peut pas recevoir cela. Il doit naître de nouveau du Saint-Esprit ; cela change toute sa constitution, cela fait de lui une nouvelle créature en Jésus-Christ. Vous êtes changé de la créature que vous êtes, une fois né de nouveau de l’Esprit de Dieu.
29 Autre chose, le poulet ne s’intéresse pas à sa couvée. Il construit son nid par terre. Les rats, les souris, les belettes, les serpents peuvent les avoir. C’est ce que fait une prédication flottante: laisser les gens aller au rock-and-roll, porter... des femmes porter des habits immoraux, des diacres fumer la cigarette. Cela fait entrer les rats et les souris de l’enfer qui s’emparent de leurs âmes et les condamnent. Un prédicateur, ou une dénomination, ou une église, qui oserait édifier une assemblée sur autre chose que le Roc solide de la Parole de Dieu, vous êtes en erreur et vos membres périront, et vous périrez avec eux.
30 Mais l’aigle va voir différemment de cela. Il monte très haut, de sorte que si un rat essayait de monter là, il se casserait le cou. J’aime ça. Dieu fait monter ses enfants si haut, au-dessus des choses du monde, que les rats ne peuvent pas y accéder. C’est un oiseau différent. Il a une constitution différente. Il protège ses petits.
Et un vrai pasteur du Dieu vivant ne se tiendra jamais tranquille à la chaire sans prêcher la Vérité de Dieu sans mélange. Et s’il doit faire fuir tous les poulets, il se tiendra sur la Parole sans mélange, pas sur le rocher de Gibraltar, mais sur le Rocher des âges. Il y a alors la foi. La foi ne peut pas reposer sur le sable mouvant de la théologie humaine. Mais la foi trouve son appui éternel sur l’immuable et inébranlable Rocher des âges, elle peut se tenir là pendant que les vagues frappent en bas. La tombe est ouverte, et elle voit de l’autre côté de la mer Celui qui a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie», dit Dieu. Tenez-vous là. Remarquez, le poulet est différent. Ses habitudes sont différentes. Son régime alimentaire est différent.
31 Cet aigle aussi, avant de construire son nid, il se trouve premièrement un lieu où le construire. Et puis, lorsqu’il se met à le construire, il apporte des morceaux de bois très lourds. En effet, il entre parfois dans la fissure du rocher. Et généralement, l’aigle recherche une fissure.
Et la vraie Eglise du Dieu vivant entrera dans la fissure du flanc de Jésus, le Rocher des âges: «Sur ce roc Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle», ou aucun rat du monde n’y touchera, les chenapans et autres du monde qui entrent et sortent. Dieu sanctifie Son peuple, les remplit du Saint-Esprit et les place là-haut. Vous êtes différents.
32 Et alors, l’aigle, quand il rassemble tous ces gros morceaux de bois... Oh! C’est un architecte. Vous devriez en voir un construire son nid. Comment il en prend les bouts et les enfonce dans de petites fissures. Et puis, une fois cela fait, il sort prendre de longues ronces, de très grosses épines, et il les entrelace dans ce nid-là, de telle sorte que ces morceaux de bois ne bougent pas. Mais évidemment, c’est alors plein d’épines. Ensuite, il sort et prend les peaux des lapins, qu’il a dévorés ; les lapins. Il prend la peau de l’agneau après l’avoir mangé. Il amène cela là-haut et, à l’aide de son bec, il l’étale, il rend le nid très agréable.
C’est ce que Dieu fait pour Son peuple. Vous vous rappelez lorsque vous êtes venu pour la première fois au Dieu vivant. Je me rappelle la nuit où j’ai reçu Christ comme mon Sauveur personnel. C’était très doux ; je pensais marcher en l’air. J’ai été converti dans une vieille remise à charbon. Et quand je suis rentré, je ne savais rien au sujet de crier et de louer le Seigneur. Alors, je me sentais si bien que je–je ne touchais même pas la planche de cette remise à la maison. J’ai pris un recueil des cantiques et je me suis mis à le regarder, et puis... et ma Bible, je me suis mis à lire.
Et maman a demandé: «Qu’est-ce qui t’agite tant?»
J’ai dit: «Rien.»
33 Je suis sorti derrière la maison, il y avait une voie ferrée qui passait par-dessus le talus. Je suis descendu sur le chemin de fer, et je pensais qu’il était temps pour moi d’aller au ciel. J’ai sauté aussi haut que je possible, je criais à tue-tête. Je me sentais très bien.
Je vous assure, une fois que vous êtes né dans la maison du Dieu vivant, il y a quelque chose de confortable là. Dieu rend cela ainsi. Il rend cela agréable pour Ses aiglons une fois qu’ils sont nés. Je suis si content d’être l’un d’eux. Et puis, après la naissance de ces petits, ils ont un petit lit confortable où rester, et tout est bien, ça se passe bien. Ensuite, la chose suivante, vous savez, la mère aigle fait un constat. Après, elle voit quelques plumes pousser sur ses aigles, ou ses aiglons, elle constate, elle est déterminée à ne pas les laisser être terrestres. Vous savez, Dieu constate cela aussi, Il ne veut pas du tout que vous le soyez, simplement cloués aux choses du monde. Elle fait un constat qu’elle ne va pas laisser ses aiglons devenir comme des poulets. Je suis content que Dieu fasse de même. Il ne veut pas que vous soyez des poulets, des charognards ; Il veut que vous soyez un aigle.
34 Ainsi donc, elle les inspecte très bien jusqu’à ce qu’elle se dise que–qu’ils ont assez de plumes. Alors là, elle–elle entre dans le nid et, à l’aide de son gros bec, elle retire la peau de lapin et la peau de mouton, elle les jette dehors. Et alors, chaque fois que ces aiglons cherchent à s’asseoir ou à marcher, ce sont des épines et des ronces. Que se passe-t-il? Elle ne veut pas qu’ils s’accommodent au nid.
C’est ce que Dieu fait pour Son Eglise. Il vous envoie des épreuves et des tribulations: «Chaque fils qui vient à Dieu doit être éprouvé et châtié par Dieu.» Il ne veut pas que vous vous accommodiez à ce monde. Peut-être qu’Il vous jette sur un lit de maladie. Peut-être qu’Il vous laisse attraper une maladie du coeur, une épine.
35 Où que vous vous tourniez, il y a une épine. Le petit oiseau ne peut simplement pas supporter cela. Et parfois, ils sont tous en rogne. Car, chaque fois qu’ils se mettent à s’accroupir, une épine les pique.
Oh! Tout celui qui a déjà eu une expérience de la naissance en tant qu’un aigle, vous-même, comme un des aiglons de Jéhovah, vous savez de quoi je parle: des épreuves et de la tentation. Le Dieu Tout-Puissant a amené Son propre Fils dans le désert et Il a lâché le diable sur Lui. Assurément. Chaque fils qui vient à Dieu doit être éprouvé et châtié par Dieu. Des épreuves et des tribulations, faire une banqueroute, tout va mal, faire faillite, perdre... Vos amis vous quittent, une épine ici, et une épine là. Souvenez-vous donc, Dieu vous soumet à un test. Dieu va faire quelque chose pour vous.
Je me rappelle que mon propre père me disait: «Emballe tes habits et pars d’ici avec cette espèce de religion.» Je l’ai fait. Mais, oh! je ne l’ai jamais regretté.
36 Après, je me rappelle aussi ces petits oiseaux après qu’ils furent piqués. Et puis, la vieille mère les regarde, ils sont tous de mauvaise humeur, ils sont tous piqués aux pieds... Peut-être comme certains parmi vous ce soir, des malades et des affligés, tout piqués. Pauvres petits oiseaux, ils gazouillent, ils courent çà et là. Elle monte sur le nid et se met à crier sur eux, les rassemblant tous à un endroit, de commun accord. Vous voyez, elle veut qu’ils connaissent son langage. Dieu fait de même. Il veut que vous appreniez Son langage. Alors, il va les amener dans un vol solitaire, leur premier.
Alors, la vieille mère aigle, elle se lève là. Elle se pose sur le nid et lâche un cri. Eux crient en retour jusqu’à ce qu’ils arrivent à parler son langage. J’aime ça. Alors, une fois qu’elle les a tous rassemblés là, elle déploie ces immenses ailes. Oh! Ils la regardent et disent: «Maman, on ne savait point que tu étais si grande.»
37 Etes-vous déjà tombé malade au point que le médecin déclare que vous ne pouvez plus vivre, ou vous pensez que ça en est fini de vous, et vous avez déjà vu l’Ancien et le Nouveau Testaments déployés devant vous: «Que Tu es grand! Que Tu es grand.» Vous n’avez jamais su combien Il est grand jusqu’à ce que vous leviez vers Lui vos petits yeux malades, Jéhovah Aigle se tenant là: «Je suis le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Jéhovah Aigle, que Tu es grand. Ensuite, ils se mettent à regarder. Et pendant qu’ils observent cette grande mère...
Avez-vous déjà levé les yeux une fois vers les étoiles? Je me demande comment chacune d’elles garde sa place. Avez-vous déjà pensé à Celui qui contrôle ce monde, comment celui-ci subsiste dans son orbite? Comment la science peut-elle prédire à la minute près, vingt ans à l’avance, que la lune et le soleil connaîtront une éclipse? Que Tu es grand! Que Tu es grand! Avez-vous déjà vu combien... Pourquoi Il–Il peut... Il peut se servir du soleil et tirer beaucoup plus d’eau en cinq minutes, avec moins de bruit, que nous, nous ne pouvons en tirer un galon dans un sceau à l’aide d’une pompe. Il est Dieu. Il est grand. Et nous levons les yeux vers Lui pour voir combien Il est grand.
38 C’est ce qu’Il essaie de faire quand Il souffle sur cet Ancien Testament et ce Nouveau Testament devant vous: «Regardez-Moi, que Je suis grand!»
Cette vieille mère aigle va çà et là. Je l’ai souvent observée à travers mes jumelles. Elle se tient là avec ces grandes ailes de 14 pieds [4 m] d’envergure. Les aiglons se disent les uns aux autres: «Notre mère est un oiseau immense.» Comme une église... Comme un homme qui a Dieu, qui a accepté Christ comme son Sauveur personnel, et qui se met à lever les yeux vers le haut pour voir combien Dieu est grand, combien Il... combien Il est grand. Alors, cette vieille aigle décide que ces petits ont assez de plumes pour voler. Mais ils peuvent avoir certaines plumes tendres. Et s’ils ont quelques plumes tendres, et qu’elle les amène dans un vol, ils se casseront le cou. Alors, elle les rassemble tous d’un commun accord à un seul endroit, tous parlant son langage. Et alors, elle se pose là avec ces immenses ailes et se met à éventer, elle voltige sur ses petits. Que fait-elle? Elle les enseigne. Ils sont nés dans une fissure, mais il y a un vent impétueux qui descend des ailes de la mère.
39 Du Nouveau et de l’Ancien Testaments, le même Dieu qui a toujours été Dieu... Il est le Dieu d’Abraham. Il est le Dieu de Moïse. Il est le Dieu de Jacob. Il est le Dieu des apôtres. Il est Dieu sur la terrasse ; Il est Dieu dans la cellule. Il est à jamais Dieu. Il se tient là, avec ce vent impétueux, le même Dieu qui avait sorti les enfants hébreux de la fournaise ardente, qui avait conduit Moïse dans le désert. Ce même Dieu produit une puissance par ces ailes qui vous dépouillent de chaque plume tendre. Le problème qui fait que l’Eglise ne peut pas prendre l’envol aujourd’hui, c’est qu’il y a trop de plumes tendres, trop de choses–trop de choses du monde. Eh bien, ils enlèvent toutes ces plumes tendres, vous n’avez plus de plumes.
40 La vieille mère aigle se tient là, elle les imprègne. Oh! Ils parlent tous son langage, ils lui répondent par des cris. Et elle les évente avec le Nouveau et l’Ancien Testaments, se présentant et leur montrant que c’est le même Dieu, le même, la même puissance, le même Jéhovah. Il tient... Il traite chacun de Ses aiglons de la même façon.
Une mère aigle ne change pas de procédé. Elle forme ses aiglons de la même façon. Eh bien, elle dit: «Enfants, vous n’avez jamais fait un vol comme celui-ci, mais je ne crains pas de vous le faire faire maintenant, parce que vous êtes des aigles.» Alors, elle a dit: «Sautez sur mes ailes.» Et elle se retourne, étend ses immenses ailes. Chaque aiglon saute sur ses ailes, place ses pattes là, une patte ici, et se sert de son petit bec pour saisir.
C’est ainsi que vous venez à Christ, accroché à la croix avec votre âme, votre corps et votre esprit. Vous allez effectuer un vol. C’est ainsi que vous vous emparez d’une promesse de Dieu. Si Dieu a été Guérisseur dans l’Ancien Testament, Il est Guérisseur dans le Nouveau Testament ; Il est Guérisseur aujourd’hui. Emparez-vous de Cela, âme, corps et esprit, car vous allez effectuer un vol. J’espère que nous le ferons ce soir.
41 Tenez ferme, vous ne pouvez pas enlever ces plumes. Voyez, elle a une raison pour cela. Chaque aiglon, il est alors heureux. Il sait qu’il est un aigle ; il est né un aigle. Et il voit qu’il est comme elle. Alors, il enfonce son petit bec, et il tient ferme. «D’accord, maman, allons.» Cette vieille mère aigle marche jusqu’au bout de ce nid et, à l’aide de ses grandes ailes, elle les soulève. Elle sort ses aiglons du nid, en les tenant sur ses ailes. Alors, elle monte, monte, monte, monte, jusqu’à ce qu’elle ne soit plus pratiquement visible, elle va tellement loin dans les airs que c’est à peine qu’on peut voir la terre. Je les ai observés avec mes jumelles jusqu’à ce qu’ils paraissaient comme de petits points. Et savez-vous ce qu’elle fait, une fois arrivée là-haut avec ses petits? Elle se dégage d’eux tous d’une secousse. Ils sont des aigles ; ils peuvent endurer cela. Si ce sont des poulets, ça en est fini d’eux. Si ce sont des aigles, ils sont créés pour ça.
Quand on se dégage de vous, après qu’on a prié pour vous, et que la prière de la foi a été offerte, ou que vous avez accepté Christ comme votre Guérisseur, peu m’importe qui vous dit autre chose, si vous êtes un aigle, vous vous accrocherez aux promesses de Dieu. Advienne que pourra, il n’y a pas de secousse ni rien d’autre qui puisse vous en détacher.
Il peut y avoir cinquante médecins se tenant là et qui vous disent que vous allez mourir ; vous ne le croirez pas. Vous êtes un aigle ; vous connaissez la promesse.
42 Et aussitôt qu’elle se dégage d’eux, elle dit: «D’accord, enfants, à vous maintenant. Or, vous n’avez jamais volé auparavant. Vous n’avez jamais eu une expérience de séminaire. Vous n’en avez pas besoin. Battez simplement vos petites ailes et passez un bon moment.» C’est ce que j’aime. Oh! la la! Battez vos petites ailes, passez un bon moment. Ils n’ont pas peur ; ils sont des aigles. Ils n’ont pas peur du fanatisme. Pourquoi? La vieille mère se met d’un côté et elle voltige tout en les surveillant. Ils passent simplement un bon moment, parce qu’ils se reposent dans la présence permanente de la mère et dans son habilité. Si l’un d’eux va de travers, sort de la ligne, elle le repêche sur ses grandes ailes et le ramène dans la grâce. Amen. C’est vrai. Ne vous en faites pas ; ne vous souciez pas du fanatisme. C’est quelque chose qui est dans votre coeur, soufflant sur vous: «Dieu est toujours présent.» «Je ne vous abandonnerai ni ne vous délaisserai. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Il vous ramènera à la puissance et à la grâce de Dieu. Il a deux grandes ailes pleines de cela ici.
43 Elle s’en va et les observe. Et si l’un va de travers, un tout petit peu hors de la ligne, elle plonge directement sur lui, avec ses grandes ailes, ses pattes. Elle le ramène et le remet à sa place. Eh bien, ils montent très haut, et elle peut voler si vite qu’ils ne peuvent ... Eh bien, elle peut voler cent fois plus vite qu’ils ne peuvent tomber. Elle place ces grandes ailes, et elle descend directement les prendre. Elle le place là-haut et revient vers les autres.
Nous ne devrions jamais condamner un frère qui va de travers. Souvenez-vous-en donc, Maman le récupérera. C’est tout ce qu’il y a. S’il est un aigle, il doit revenir.
Elle le ramène directement et le place dans le groupe. Continuez simplement à battre vos ailes. Les petits batteurs continuent simplement, vous savez, ils connaissent un réveil de la Pentecôte là dans le ciel, là où il n’y a pas de rats, de souris, de lézards, de grenouilles, rien qui puisse leur nuire.
Oh! J’aime me lever au-dessus des ombres. Donne-moi... Place mes pieds sur le plateau plus haut. Lève-moi au-dessus des ombres où le véritable... où on trouve les Paroles de Dieu. Dans le Royaume plein de gloire....Oh! C’est là que je veux que Dieu m’amène. Fais-moi sortir de ce tremblement terrestre pour aller là. Laisse-moi monter là où nous serons au-dessus des ombres, là dans les cieux bleus, tout en sachant que Son oeil veille sur nous.
44 Or, les poulets n’en savent rien. Il ne sait quoi faire. Je peux voir ces aiglons là-haut battant les ailes, et un tas de petits poulets par terre en train de gratter dans un tas d’engrais, lever les yeux comme cela et dire [Frère Branham illustre.–N.D.E.]: «Quel fanatisme!» Voyez?
Pouvez-vous vous représenter cela? Eh bien, il ne sait pas ce que les autres font. Il ne peut pas monter là-haut. Il ne peut détacher ses pattes de la terre.
C’est parfois ainsi avec les gens ; vous êtes tellement cloué à la terre qu’on se fonde sur la parole de l’homme plutôt que sur la Parole de Dieu. Dieu l’a dit! C’est réglé. Les aigles croient cela. Je ne sais rien au sujet des poulets. Mais les aigles croient que chaque Parole que Dieu a prononcée est la vérité. Ils s’Y accrochent. Si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, le Seigneur dit cela, ils disent amen à cela. Si Jésus dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais», ils disent amen à cela. Ils croient cela. Dieu les éprouve par cela.
45 J’ai une fois entendu une histoire d’un fermier qui allait faire couver une poule. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Eh bien, je pense que vous tous, vous savez ce qu’il faut pour faire éclore les oeufs. Et il lui manquait un oeuf pour en avoir assez. Il a placé un oeuf d’aigle sous la poule. C’est à peu près la moyenne, un par couvée.
Mais, d’une façon ou d’une autre, lorsque ce petit oiseau a été éclos, il était étranger dans un pays étrange. C’est comme ça quand certains de ces endroits font éclore un aigle de temps à autre. Il ne savait que faire. Il ne... il n’arrivait pas à comprendre leur langage. La poule sortait là et grattait dans la basse-cour, criait: «Cluck, cluck, cluck, cluck, cluck, cluck. Les jours des miracles sont passés. La guérison divine n’existe pas. Toute cette affaire du Saint-Esprit, c’est du fanatisme.»
Il n’arrivait pas à comprendre cela. Il était un peu isolé. Il regardait çà et là, se disait: «Est-ce ici ma place? Eh bien, je ne lève pas les yeux là loin en haut, parce que c’était là autrefois, mais nous sommes ici en bas maintenant.» Voyez? Mais il n’arrivait pas à comprendre cela. Il levait les yeux et ça lui paraissait très beau. Pourquoi? C’était sa nature. Il était un aigle pour commencer. Il n’était pas à l’aise. Avez-vous déjà vu l’un d’eux comme cela? Il était l’un d’eux.
46 Ainsi donc, la chose suivante, vous savez, les gloussements de la poule, il n’arrivait pas à comprendre cela, les poulets, leur régime alimentaire et la façon dont ils se nourrissaient. Eh bien, il n’arrivait pas à comprendre cela. Cela remuait son petit estomac, de voir comment ils se nourrissaient. Parfois, ça arrive, un vrai chrétien dans une vieille église formaliste. Le régime alimentaire, les jeux d’arnaque, le jeu de cartes, le souper de bienfaisance pour le prédicateur, Dieu n’approuve pas cela.
Ainsi donc, la chose suivante, vous savez, un jour, pendant qu’il était là en train de courir seul, regardant çà et là, ses petites ailes repliées, il ne savait que faire. Et tous les petits poussins se nourrissaient suivant leur régime alimentaire. Lui n’arrivait pas à comprendre cela. Mais une vieille mère aigle est passée par là dans les cieux à sa recherche. Elle a survolé.
Je suis si content qu’Il m’ait aussi trouvé un jour. Je ne L’ai jamais trouvé ; c’est Lui qui m’a trouvé. Je savais qu’il y avait quelque chose quelque part. Il y avait quelque chose dans mon coeur quand on me disait que les visions et autres étaient du diable, que la guérison divine, ce n’était qu’une maladie mentale. Il y avait quelque chose au fin fond qui me disait le contraire. Je savais que c’était faux.
47 La vieille mère aigle a survolé, elle a regardé en bas, elle a vu son petit. Et elle a lâché un cri. Et quand elle a lâché le cri, lui a compris ce langage-là. Il a crié: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Cet aiglon a dit: «Cela sonne bon.» Elle est revenue ; elle a dit: «Fils, tu n’es pas un poulet, tu es à moi.» Je suis si content. Alléluia! «Tu es mon enfant. Tu n’es pas du nombre de ces poussins.» Elle a regardé de nouveau: «Est-ce que je me trompe, peut-être? Je vais l’éprouver.» Dieu éprouve toujours Ses enfants par la Parole. Elle a de nouveau crié, disant: «Si tu es un aigle et que tu crois...»
«Comment vais-je sortir d’ici, maman?»
«Tout ce que tu as à faire, c’est sauter et te mettre à battre tes petites ailes ; et elles te porteront.» Sautez, courez vers l’autel et battez un peu cette petite foi que vous avez. Voyez ce que cela vous fera. Si vous êtes ici malade, mourant, courez simplement vers le Calvaire. Utilisez cette foi que vous avez. Voyez-vous ce qui arrive?
48 Il a fait un bond (Voyez-vous?), parce qu’il était un aigle. Eh bien, s’il était un poussin, il dirait: «Tu ne m’as jamais rattaché à cette bande de saints exaltés. Tu ne m’introduiras jamais dans ce fanatisme-là. Oh! Non.» Mais il était un aigle, il se souciait de la Parole. Tout homme chrétien, quand la Bible dit quelque chose, dira amen à Cela, parce que le Saint-Esprit qui lui a donné naissance est Celui qui a écrit la Parole.
Il se met à battre ses petites ailes, il saute de toutes ses forces. Peu lui importe que cela ait l’air de saints exaltés aux yeux des poussins ou pas. Il obéit à la Parole qui lui a été annoncée. Et il a fait un bond, il s’est mis à battre ses petites ailes. Et il a détaché ses pattes de la terre: il s’est très bien senti. Alors, il a atteint le poteau de la basse-cour, en plein milieu de l’organisation pentecôtiste qui enfermait les poussins. Et on dit: «Ne vous associez pas à cette bande-là.» Nous les avons.
49 Et sa mère est revenue. Elle a dit: «Fils, il te faudra sauter plus haut que ça, sinon je ne te récupérerais jamais.»
C’est ce qui se passe, frère. Il vous faut sauter dans les bras de Dieu. Il vous faut détacher vos pieds. Il vous faut quitter la véranda dénominationnelle. Il vous faut ouvrir vos bras à tout homme et à toute femme qui confessent que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Certainement, aimez-les; brisez vos barrières ; ne les enfermez pas. Les aigles peuvent voler au-dessus d’une clôture.
Elle l’a récupéré. Oh! Combien c’était beau d’effectuer–d’effectuer seul son premier vol dans l’air, parce qu’il était un aigle!
50 Sans doute qu’il y a ici ce soir des aigles qui n’ont jamais pris seul leur premier envol. Vous ne savez pas ce que c’est d’être rempli du Saint-Esprit. Peut-être que vous ne savez pas ce que c’est d’avoir les cloches de joie de Dieu qui retentissent dans votre coeur. Peut-être que vous regardez et vous voyez la puissance de Dieu se mouvoir, comme l’aveugle qui se tenait là hier soir pour recouvrer sa vue ; voir l’Ange du Seigneur qui a été promis dans la Bible, comme nous l’avons prêché cette semaine, montrant qu’Il accomplissait les mêmes choses, juste avant la Venue du Seigneur Jésus, qu’Il avait accomplies du temps de Sodome. Comment un Homme était venu, un Etre humain, Il en avait l’apparence, habillé comme un homme, Ses habits couverts de poussière ; il est dit que C’était un Etranger, Il s’est assis avec Abraham, l’Eglise élue. Eh bien, il y avait un Billy Graham moderne, et les autres, Jack Shuler, ils sont descendus, ils ont aveuglé les gens par la prédication de l’Evangile à Sodome, à l’église tiède, pour les faire sortir.
Mais un Ange est allé auprès des Elus et Il est resté là avec Abraham et son groupe. Observez ce qu’Il a fait. Il a dit: «Abraham, où est ta femme Sara?» Comment avait-Il su qu’il avait une femme? Comment avait-Il su que son nom était Sara?
Il a dit: «Elle est dans la tente derrière Toi.»
Et Sara, dans la tente, a ri en elle-même. Et l’Ange a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?»
Un aigle saisira cela très vite. Un aigle saura que nous sommes au dernier jour. Jésus a dit: «Ce qui arriva là à Sodome et Gomorrhe arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.»
51 Ami, ça a été un message rude. Je n’avais pas l’intention d’être discourtois, mais je voulais vous le faire pénétrer, que les hommes nés de l’Esprit de Dieu croient les choses de Dieu. Et Dieu cherche aujourd’hui à rassembler un peuple, afin que nous ne soyons pas liés par des règlements et autres, que nous puissions communier ensemble, méthodistes, baptistes, presbytériens, luthériens, pentecôtistes, nazaréens, pèlerins de la sainteté, dans une seule immense Eglise rachetée.
Arriverons-nous auprès du Seigneur Jésus? Nous nous apprêtons à nous envoler sans retour jusqu’à la fin de la période de tribulation, alors nous reviendrons pour le Millénium. C’est un long vol ; c’est jusque dans la Gloire. Jéhovah Aigle vient. Nous sentons la puissance. Nous voyons l’ombre. Nous entendons Son langage alors qu’il est parlé parmi Son peuple. «Mes brebis connaissent Ma voix, elles ne suivront pas un étranger.» Si vous êtes ici ce soir, et que vous n’avez jamais eu l’expérience de naître un aigle, puissiez-vous Le recevoir maintenant alors que nous prions, avec nos têtes inclinées.
52 Combien, à la fin de cette série de réunions, savent en eux qu’ils ne sont pas chrétiens? Quand bien même vous êtes membre d’église, vous pouvez bien être un membre statutaire d’une église célèbre, chose contre laquelle je n’ai rien à dire. C’est tout à fait en ordre. Mais quant à avoir la foi de se lever d’une civière, la foi d’accepter votre guérison quand le docteur a fait tout ce qu’il pouvait pour vous, ne pas douter, ou courir un risque, mais regarder droit et dire: «Ô Dieu, c’est Toi, et je crois en Toi. Je suis prêt pour mon vol.» Homme, femme, si vous n’avez pas eu cette expérience avec Dieu, que vous savez qu’Il tient Sa Parole...
S’Il vous projette en plein air, vous êtes un aigle. Il veille sur vous. Il veille pour accomplir Sa Parole. Il aime voir ce que vous ferez à ce sujet. N’ayez pas peur ; Il vous récupérera. Il vous reprendra. Il vous relèvera, Il vous ramènera dans Son Royaume. Si vous n’êtes pas un chrétien ce soir, et que vous aimeriez qu’on se souvienne de vous dans cette prière finale, alors que le service touche à la fin, voudriez-vous lever la main, pendant que vous avez vos têtes inclinées, et dire: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham, dans notre prière»? Que le Seigneur vous bénisse, vous, vous. Oh! dans la salle, l’allée centrale. A ma droite maintenant. Combien là? Regardez vos mains. Que Dieu vous bénisse. Beaucoup lèvent les mains: «Souviens-Toi de moi, ô Dieu. Je ne suis pas un chrétien. Je suis peut-être membre d’église, mais... Je suis peut-être membre de l’Eglise pentecôtiste. Je suis peut-être membre chez les pèlerins de la sainteté, chez les baptistes ou chez les presbytériens. Je ne suis pas chrétien. J’y vais juste parce que c’est une église. Aie pitié de moi, ô Dieu ; je lève la main, j’implore la grâce qui pardonne.» Quelques centaines, cent cinquante mains ont été levées maintenant. Y en a-t-il un autre qui dirait: «Souviens-Toi, ô Seigneur, ce soir. Je n’ai pas de foi. Je ne...»?
53 Et c’est ça le péché. C’est ça le péché. Quand un–quand un homme, ou une femme, doute de la Parole de Dieu, c’est ça le péché. «Celui qui ne croit pas est déjà condamné.» Est-ce vrai? «Celui qui condamne... qui ne croit pas est déjà condamné.» Croyez-vous cela? Qu’est-ce que donc le péché? L’incrédulité. Si vous avez de l’incrédulité dans votre coeur, priez maintenant. Seigneur, nous nous approchons de la fin de cette partie du service ce soir. Nous Te remercions, pour nous avoir donné beaucoup de choses à regarder: la nature, la Parole, cette vie-là... la vie des oiseaux, la vie de l’aigle, la vie de l’arbre. Et le plus grand exemple que nous ayons, c’est la Vie de Christ, qui a été reproduite en nous par le Saint-Esprit.
54 Quand Il était sur terre, Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi.» Et Il s’en est allé. Et quand les gens allaient vers Lui, comme Simon Pierre, Il lui a dit son nom et le nom de son père. Pierre a reconnu que c’était le Messie. Quand Philippe a trouvé Nathanaël et qu’il lui a dit qu’il avait trouvé le Messie, il ne pouvait pas croire cela. Mais quand Il l’a vu venir, Il a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?» Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Il a dit: «Tu es le Christ, Tu es le–le Roi d’Israël, le Fils du Dieu vivant.» Il a reconnu que Tu étais le Messie.
55 Une pauvre prostituée à la porte, elle était allée puiser de l’eau un matin alors que Jésus était assis au puits, là en Samarie, un peuple rejeté. Et quand Jésus lui a parlé et lui a révélé sa condition, qu’elle avait eu cinq maris, elle Lui a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que quand le Messie viendra, Il nous annoncera ces choses.»
Il lui a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Elle est entrée dans la ville en courant, disant: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie? Nous L’avons entendu dire: «Je ne fais rien de Moi-même. Mais ce que Je vois faire au Père, le Fils le fait aussi pareillement», promettant que ces choses arriveraient à la fin de l’âge des Gentils comme c’était du temps de Sodome. Et nous les voyons se répéter juste sous nos yeux. Nous entendons les journaux, ou plutôt nous les lisons. Nous suivons la radio et la télévision sur les discours de la Russie et du monde athée, les communistes, et les grandes prétentions. Et nous voyons les gens qui savent cela commettre des suicides, cherchant à noyer cela dans la boisson, ou l’étouffer par des railleries, ou des plaisanteries de Hollywood. Ô Dieu, il nous faut faire affronter la réalité. La fin est ici. C’est le temps de la fin.
56 Que personne de ceux qui sont ici ce soir, qui ont levé la main, n’ait à Te rencontrer avec le péché dans sa vie. Puisses-Tu leur pardonner maintenant même toutes leurs offenses. Donne-leur Ton Esprit, ô Seigneur ; puissent-ils vivre éternellement. Car il est écrit dans Ta Parole: «Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit en Celui qui M’a envoyé a la Vie éternelle, il ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Qu’il en soit ainsi pour chacun de ces gens, Seigneur.
Puissé-je avoir le privilège, de l’autre côté, de leur serrer la main. Ils diront: «C’était à Chautauqua, ce soir-là, que j’avais accepté Jésus comme mon Sauveur», quand la vie sera tout terminée pour nous. Remplis du Saint-Esprit ceux qui ne L’ont jamais reçu. Donne la foi aux malades pour la guérison. Et puissions-nous être capables de nous humilier, de nous soumettre à Toi, afin que Tu viennes accomplir Ta promesse que Tu as faite dans Saint Jean 14.12: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Accorde-le, Seigneur. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
57 Maintenant, à vous qui avez levé les mains, je pense que vous étiez profondément sincères là-dessus. Et je vais vous demander, au Nom du Seigneur Jésus, aussitôt après que j’aurai fait passer la ligne de prière... Il y a beaucoup de malades ici. Et je–je dois faire vite passer la ligne de prière. Mais vous n’avez pas à monter ici. Si vous L’avez réellement accepté en levant la main, Il vous a reçu. Votre nom a été inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau.
Ne vous reposez pas jusqu’à ce que vous sentiez ce vent passer à travers les ailes de l’Aigle, comme c’était le jour de la Pentecôte. Car Dieu ne fait acception de personnes. Je sais qu’il y a un tas de fanatismes qui se fait sous le nom de la Pentecôte, mais ce n’est pas la vraie Pentecôte. Non, ce sont des imitations. Mais il existe le véritable Saint-Esprit. Pourquoi acceptez-vous un substitut alors que les cieux sont pleins de la chose réelle? Voyez? Eh bien, ne faites pas ça. Dieu vous donnera le Saint-Esprit.
Eh bien, le jour de la Pentecôte, Pierre a dit: «La promesse est pour vous, pour vos enfants et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu en appellera.» C’est exact.
58 Eh bien, j’aimerais que vous, aussitôt après le service de guérison, la prière pour les malades, j’aimerais que vous veniez ici et que vous vous teniez à l’autel, quand nous ferons l’appel à l’autel et que nous offrirons des actions de grâces à Dieu, que les gens ici voient que vous avez accepté Jésus comme votre Sauveur. Car Il a dit: «Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et les saints anges.» Que le Seigneur vous bénisse.
Maintenant, nous allons former une ligne de prière. Juste avant de le faire, je pourrais dire ceci: Il se fait tard pour nous, pas... un peu tard, pas trop tard, nous ne sommes jamais en retard. Pierre, je pense, prêcha l’Evangile du Saint-Esprit toute la nuit. Un homme tomba et se tua. Il posa son corps sur lui, et la vie revint. Je crois en Dieu.
59 Eh bien, quant à... S’il y a ici des étrangers qui n’ont jamais été dans des réunions auparavant, je ne confesse pas être un guérisseur. Et tout homme qui confesse être un guérisseur, il est un guérisseur, d’accord (voyez?), mais pas de la part de Dieu, car il n’y a de guérison que la guérison divine. Il n’y a aucun médicament qui guérisse. Je n’ai jamais entendu un vrai médecin me dire qu’il y en ait. Les frères Mayo, quand j’étais interviewé... Vous avez lu le miracle de Donny Morton, et–et ce numéro de Reader’s Digest, le miracle de Donny Morton. J’ai été appelé. Et ils ont dit: «Nous ne confessons pas être des guérisseurs. Nous confessons simplement assister la nature. Il n’y a qu’un seul Guérisseur, et c’est Dieu. Nous ne pouvons pas régénérer des tissus. Mais nous pouvons assainir l’endroit pendant que Dieu forme les tissus.» Ce sont des médecins, de vrais médecins. Voyez? Un médecin peut replacer un os, mais il ne peut pas guérir cela. C’est Dieu qui le doit.
60 Quelqu’un m’a dit une fois: «Qu’en est-il de la pénicilline qui tue le germe de la grippe?»
J’ai dit: «Avez-vous déjà eu une maison infestée? Avez-vous déjà placé la mort-aux-rats? Ont-ils fait des trous dans votre maison? La mort-aux-rats tue les rats, mais elle ne remblaye pas les trous. C’est ce que fait la pénicilline. Elle tue le germe, mais elle ne guérit pas, car Dieu est le seul Guérisseur qui existe. Psaume 103.3: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» Les médecins prennent leur propre médicament et meurent. C’est Dieu qui est le Guérisseur. Donc, la guérison, pour Dieu, quand Jésus mourait au Calvaire: «Il a été blessé pour nos transgressions, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Est-ce exact?
Vous dites donc: «J’ai été sauvé il y a cinq minutes, Frère Branham.» Non, vous ne l’avez pas été, soeur, frère. Vous avez été sauvé il y a mille neuf cents ans ; vous avez simplement accepté cela il y a cinq minutes. Voyez? C’est vrai.
61 Votre guérison... ces jeunes gens sur les civières et les brancards, et–et ces petits enfants dans des armures orthopédiques, et–et vous qui souffrez du coeur, et–et des maladies, vous avez été guéris il y a mille neuf cents ans. Tout ce qu’il vous faut, c’est la foi pour accepter cela. Et si vous étiez un pécheur, Dieu n’est pas descendu vous sauver il y a juste quelques minutes. C’était quand vous êtes venu, et vous avez été sauvé en croyant, en acceptant ce qu’Il a fait pour vous. Eh bien, personne ne peut guérir. C’est Dieu qui est le Guérisseur, et cela a déjà été fait. C’est juste pour confirmer votre foi en Lui. Cela s’appelle la guérison par la foi, votre guérison.
Eh bien, Dieu est bon... Il envoie Sa Parole. Si vous ne voulez pas croire Sa Parole, Il place ensuite dans l’Eglise cinq différents offices: premièrement les apôtres, les prophètes, les docteurs, les pasteurs, les évangélistes. Ils sont pour le perfectionnement de l’Eglise. Et dans chaque corps local, Il place neuf dons spirituels, dans le corps local. Ce sont des dons qui vont d’une personne à l’autre. Mais ceux-là sont ordonnés et prédestinés par Dieu. Les dons et les appels sont sans repentir. Savez-vous cela? Assurément, ils les sont. Eh bien, Dieu les place donc dans l’Eglise.
62 Eh bien, Jésus a promis que... Les prophètes avaient promis qu’il y aurait un jour qui ne serait ni jour ni nuit, il serait brumeux, mais ils ont dit: «Vers le soir, la Lumière paraîtra.» Combien ont déjà lu cela dans les Ecritures? Assurément.
Qu’est-il arrivé? Sur le plan géographique, le soleil se lève à l’est et se couche à l’ouest. Et le Saint-Esprit, le Fils de Dieu, Sa bonté est descendue premièrement sur les Orientaux. C’est le lever du soleil. Eh bien, un jour est passé, qui n’était pas sombre ; c’était brumeux. Nous avons eu assez de connaissance de la Parole pour... en Dieu pour être sauvé, adhérer à l’église, ainsi de suite. Mais il est dit: «Vers le soir, la Lumière paraîtra», sur les Occidentaux, juste comme elle était apparue sur les Orientaux. Le même Fils qui s’était levé à l’est se couche l’ouest.
63 Nous sommes à la fin de l’âge des Gentils. Là, c’étaient les Orientaux. Ici, ce sont les Occidentaux. Et le même Saint-Esprit qui était dans un Homme appelé Jésus-Christ et qui avait accompli des miracles, a été promis au coucher du soleil, qu’Il reviendrait et ferait les mêmes choses qu’Il avait faites quand Il était ici avec les Orientaux.
Eh bien, tout le monde sait que c’est la vérité. Ce qui arriva du temps de Sodome et Gomorrhe arrivera de même. Qu’avait-Il fait? Il n’avait point guéri les gens. Il ne prétendait pas être un Guérisseur. Il a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais ces oeuvres ; c’est Mon Père qui demeure en Moi.» Il a dit: «Le... Moi seul... le Fils ne peut rien faire de Lui-même.» Saint Jean 5.19: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Ainsi donc, si Jésus est ressuscité d’entre les morts, et s’Il tient Sa promesse d’accomplir Ses oeuvres...
64 Eh bien, s’Il se tenait ici ce soir, portant ce costume qu’Il m’a donné, et que vous vous approchiez de Lui, et que vous disiez: «Seigneur, je suis malade. Voudras-Tu me guérir?» Il dirait: «Mon enfant, Je l’ai fait en mourant pour toi au Calvaire. Car J’ai été blessé pour tes péchés, et c’est par Mes meurtrissures que tu as été guéri.» Eh bien, Il pourrait peut-être... Il pourrait accomplir des signes pour vous montrer qu’Il est le Messie. Et si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il donnera le même signe du Messie qu’Il avait donné à l’orient, Il le donnera à l’occident, car Il a promis de le faire. Comment les gens avaient-ils reconnu qu’Il était le Messie? Quand Pierre a été amené devant Lui par André, son frère, Jésus ne l’avait jamais vu auparavant. Il a dit: «Tu es Simon, le fils de Jonas.» Et ce pêcheur ignorant, qui ne pouvait même pas signer de son propre nom, est devenu le chef de l’Eglise pour avoir cru cela.
65 Philippe est très vite parti chercher Nathanaël. Et quand Nathanaël a été trouvé, il lui a dit qu’on avait trouvé le Messie. «Eh bien, a-t-il dit, peut-il venir quelque chose de bon de–de cette bizarre petite contrée appelée ville de Nazareth?»Il a dit: «Viens, et vois.» C’est la meilleure chose à faire. Et quand il lui a raconté ce qu’il avait fait à Pierre, il lui en a parlé, il a dit: «Connais-tu...» Par exemple, peut-être, leur conversation s’était poursuivie comme ceci: «Nous savons que Moïse nous a promis...» Eh bien, c’est Israël. «Moïse nous a promis que quand le Messie sera venu, Il sera Dieu-Prophète.» Combien savent que c’est vrai? «Le Seigneur ton Dieu te suscitera un prophète comme moi.» Combien savent qu’il parle du Messie? Il sera Dieu-Prophète. Et il a dit: «Cet Homme satisfait à ces conditions.» Il s’est donc avancé là où il était. Et aussitôt qu’il est entré dans l’assemblée, dans la ligne de prière, ou où que ce fût, Jésus était en train de prier... Philippe, dit-on, avait parcouru quinze miles [24 km] en contournant la montagne pour le trouver: trente miles [48 km]. Il est revenu avec lui le lendemain, il l’a amené à la réunion où Jésus tenait les services de guérison. Et quand il s’est présenté devant Jésus, Jésus a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»Il a dit: «Rabbi, (ou Révérend, Docteur, tous les titres que vous voulez.) quand m’as-Tu connu? Tu ne m’avais jamais vu.»Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Sur-le-champ, il s’est prosterné face contre terre et a dit: «Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.»
66 La femme, cette femme samaritaine... aussitôt que Jésus lui avait dit qu’elle vivait dans le péché et lui avait dit comment... le secret de son coeur... aussitôt que Jésus avait dit à la femme samaritaine...
Or, les Juifs attendaient le Messie. Les Samaritains aussi. Mais nous les Gentils, nous portions des morceaux de bois sur le dos et nous adorions des idoles à l’époque. Nous n’attendions pas le Messie. Il n’avait jamais manifesté cela. Il a dit: «N’allez pas vers les païens. Leur temps viendra plus tard. Mais allez plutôt vers les brebis perdues de la maison d’Israël.»
Ceux-là L’attendaient donc, ces Samaritains... Ainsi, Il est allé. Et cette femme se tenait là, Il lui a dit: «Apporte-Moi à boire.»
Elle a dit: «Eh bien, ce n’est pas la coutume. Nous connaissons ici la ségrégation et tout.» Et quand Jésus est allé en profondeur, Il a découvert son problème, Il a dit: «Va, appelle ton mari et viens ici.»
Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»
Il a dit: «Tu as dit vrai. Car tu en as eus cinq.»
Elle a dit: «Seigneur...»
67 Ecoutez. Eh bien, les Juifs... Quand Il a fait cela, ils ont dit qu’Il était un diseur de bonne aventure, Béelzébul. Jésus a dit: «Je vous pardonnerai pour cela. Mais un jour, le Saint-Esprit viendra, alors dire un seul mot contre Cela (c’est ce jour-ci), ce ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Combien savent que c’est l’Ecriture? Alors, si vous ne croyez pas cela, ne dites rien. Tenez-vous simplement tranquille et allez de l’avant. Voyez? En effet, Jésus a dit: «Ça sera impardonnable.» C’est exactement ce qu’Il faisait. Il a dit qu’Il avait un... Taxer d’un mauvais esprit l’Esprit de Dieu qui discernait les maladies des gens, l’Esprit de Dieu, blasphémer, taxer Cela d’un mauvais esprit, l’Esprit de Dieu. Ils n’avaient pas de discernement spirituel pour savoir que c’était l’Esprit de Dieu.
Il a dit: «Eh bien, vous pouvez discerner l’aspect du ciel. Si vous M’avez connu, vous auriez connu Mon jour.» Ils savaient qu’Il devait être le Dieu-Prophète, mais ils n’arrivaient pas à comprendre cela. Leurs yeux étaient éblouis et obscurcis, ils n’arrivaient simplement pas à comprendre cela. Ils disaient avoir des yeux, mais ils ne voyaient pas ; des oreilles et ils n’entendaient pas. C’est pareil aujourd’hui parmi les Gentils. Mais écoutez. Secouez votre entendement.
68 Nous Le voyons donc promettre à Son départ: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez même davantage, car Je m’en vais au Père.» Eh bien, combien croient que Dieu est un Dieu infini? Assurément que vous croyez. Donc, si jamais Dieu prend la décision de faire quelque chose d’une façon, Il doit toujours s’en tenir à cela, sinon Il avait commis une faute. Je peux faire n’importe quoi. Je commets une faute. Je suis limité. Mais Dieu est infini. Il ne peut pas dire: «J’étais en erreur. Je vais essayer encore.» Ce que Dieu fait la première fois, c’est parfait. Et s’Il s’est manifesté comme Messie et qu’Il a dit que c’était le... du Messie... Et tous ceux qui avaient cru que c’était le Messie à partir de la manifestation de ce signe-là, ils sont dans la Gloire aujourd’hui.
69 Or, Il ne peut pas laisser les Gentils entrer dans le Royaume sans s’être premièrement manifesté devant eux comme le Messie à la fin de leur âge, comme Il l’avait fait à la fin de l’âge des autres. Il l’a promis: «Ce qui arriva du temps de Sodome», ce que nous avons examiné le soir arrivera à la Venue du Fils de l’homme.
Ça y est, amis, non parce que nous sommes ici (Je ne veux pas que vous pensiez que j’essaie de vanter les gens du Plein Evangile. Absolument pas.), juste parce que mes plumes ont la même couleur que les leurs ; ce n’est pas ça. Il y a de la place pour nous tous. Au troisième–au troisième puits que Jacob avait creusé, il a dit: «Il y a de la place pour tous.» Méthodiste, baptiste, presbytérien, celui qui veut, qu’il vienne. Les membres de l’Eglise baptiste, d’où je suis issu, ont reçu le baptême du Saint-Esprit, les presbytériens. Les membres de ma famille étaient catholiques ; beaucoup d’entre eux viennent et reçoivent le Saint-Esprit. C’est pour quiconque: que celui qui veut. Si vous êtes un aigle, que vous leviez les yeux et que vous les voyiez s’élever dans les bénédictions de Dieu, vous êtes prêt pour cela. Emparez-vous-en simplement. Accrochez-vous-y. C’est Dieu.
70 Eh bien, l’heure est arrivée. La Colonne de Feu nous est encore apparue. Vous En avez des photos. Elle se trouve à Washington D.C., protégée par le droit d’auteur. Si je meurs, si jamais je ne vous revoyais tous, mon témoignage est véridique. Les hommes de science le savent. L’Eglise le sait. J’ai été à travers le monde ; cela est connu. Elle est prête pour le jugement. Il n’y a qu’une voie par laquelle le jugement peut venir, c’est quand on rejette la miséricorde. Quand vous rejetez la miséricorde, il ne reste que le jugement. Nos nations ont rejeté la miséricorde.
Billy Graham a prêché l’Evangile à travers le monde. Jack Schuler, Oral Roberts et, oh! beaucoup d’autres... des signes et des prodiges, il y a eu des prédicateurs. Il y a des dons de guérison, de prophétie et tout. Ils boivent, ils jouent au jeu d’argent, ils rient, se moquent, commettent adultère, vivent dans le péché. Il ne reste qu’une seule chose, c’est la bombe à hydrogène. Et elle se dirige vers ici. Rappelez-vous, je vous le dis au Nom du Seigneur. C’est donc... Le jugement est sur cette nation. Elle a rejeté Dieu pour sa dernière fois. Il n’y a plus d’espoir. Il y a quelques retardataires qui viendront recevoir le Saint-Esprit. Mais le temps du jugement pour l’Amérique est proche. Notez cela dans votre Livre et voyez si cela s’accomplit.
71 D’accord. Maintenant, nous pouvons prier pour les gens. Dieu peut appeler. Or, la Bible déclare qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Est-ce vrai? S’Il est le même, Il doit être le même en essence, le même quant à la puissance. L’unique chose, c’est Son corps qui est placé à la droite de Dieu. Nous croyons tous cela.
Il est assis à la droite de Dieu, sur le Trône de Dieu. Ce n’est pas Son Trône. Il revient régner sur Son Trône ; c’est le trône de David ; Il doit occuper Son Trône. Il est assis sur le Trône de Dieu, attendant que le dernier ennemi devienne Son marchepied. Il reviendra un jour prendre de précieuses âmes avec Lui pour les revêtir de l’immortalité, vivre dans un corps glorifié, vivre dans le Millénium, et alors être à jamais avec Lui.
72 Ecoutez, nous sommes au temps de la fin. Le jugement est proche. La miséricorde est offerte ce soir. C’est la dernière soirée de la série des réunions. Vous m’avez invité à revenir ; j’espère que c’est la volonté de Dieu. C’est ma volonté. Si c’est Sa volonté, je serai content de le faire, revenir vous aider vous tous les ministres.
Peu m’importe l’église ou la dénomination dont vous êtes membre. L’unique chose pour laquelle je suis... Je ne suis pas contre la dénomination ; je suis contre le péché qui s’infiltre dans la dénomination ; et vous laissez faire. Non seulement cela, je suis contre le péché dans chaque individu, le péché dans la nation. Je suis juste contre le péché, parce que la Parole de Dieu s’oppose à cela. Et je dois rester fidèle à cette Parole. C’est vrai. Même si je dois rester seul, il me faut y rester fidèle. Ce sont mes sincères convictions, que la Parole de Dieu est vraie, et que tout le reste en dehors de Cela est un mensonge. C’est la Parole de Dieu.
Dieu a fait cette promesse. Il m’est apparu par un Ange. Vous avez lu mon livre, et cela a été aussi confirmé par des millions et des millions et des millions à travers le monde. C’est vrai.
73 Eh bien, nous allons former la ligne de prière, prier pour les malades, voir ce que le Saint-Esprit dira. Eh bien, il y en aura ici sans cartes de prière. Combien de malades y a-t-il ici sans cartes de prière? Levez la main. D’accord.
Ces fauteuils roulants et autres, je fais passer ma main là, avec une carte de prière, vous n’en avez pas besoin. Ces... Vous êtes... Je suis un peu long, mais supportez-moi juste–juste quelques minutes de plus. Ecoutez, vous devez vivre ce que vous faites. Si jamais je revenais, ce ne sera pas pour quatre ou cinq soirées, nous allons séjourner deux semaines. Eh bien, nous pourrons alors enseigner et voir ce que... Vous foncez aveuglement et vous ne comprenez pas, et quelqu’un vous en dissuade quelques soirées après, disant: «Il n’y a rien à cela.» Vous rentrez carrément.
Quand l’esprit impur sort d’un homme, il va dans les lieux arides. Il revient avec sept autres esprits plus mauvais que lui, voyez. S’ils ne comprennent pas cela, cela rend leur condition pire.
74 Eh bien, combien de lecteurs de la Bible ici présents savent que l’Epître aux Hébreux déclare que Jésus-Christ est maintenant même le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? Est-ce vrai? Le peut-Il? Peut-Il être touché? Dites amen. Il peut être touché. Est-il donc le même Jésus qui avait marché sur la terre? S’Il est le même Jésus, et que Son Saint-Esprit est ici sur terre pour accomplir l’oeuvre, achever l’oeuvre, comme l’a dit Daniel... Avant Sa Venue... Cela va... Si la Vie qui était en Jésus est dans l’Eglise, Elle fera la même chose. S’Il est donc le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités, Il aura à agir de la même façon qu’Il avait agi lorsqu’Il avait été touché quand Il était sur terre. Croyez-vous cela?
Eh bien, écoutez attentivement, vous... Je vois que vous avez levé la main pour montrer que vous n’avez pas de carte de prière. Une fois, il y eut une femme, nous dirons qu’elle n’avait pas de carte de prière. Elle ne pouvait absolument pas entrer, elle souffrait d’une perte de sang. Et c’est pour vous tous dans l’assistance, partout, qui n’avez pas de carte de prière. Elle croyait qu’Il était le Fils de Dieu, même si on Le taxait de fou. Savez-vous qu’Il... que Jésus dit... Christ a été taxé de fou? Que tous les apôtres ont été taxés de fous? On disait: «Vous êtes toqués.» Le mot toqué veut dire fou. Agrippa a dit à Paul qui prêchait ce même Evangile, il a dit: «Tu es toqué.» Il a dit: «Je... Selon la voie qu’ils appellent hérésie, je sers le Dieu de nos pères. Selon la voie qu’ils appellent hérésie. (Voyez?), je sers Dieu.» Je suis content de pouvoir m’associer à Paul ce soir, je fais la même chose.
75 Maintenant, quand Jésus... Cette femme avait touché... Elle s’est faufilée dans de la foule, elle a touché le vêtement externe (en fait, il y avait aussi un vêtement en dessous), mais le vêtement externe, le bord de Son vêtement, car elle se disait dans son coeur... Il n’y avait pas d’Ecriture pour soutenir cela... Vous, vous avez maintenant une Ecriture pour soutenir cela, mais elle n’avait pas d’Ecriture. Elle a dit: «Si je touche le bord de Son vêtement, je serai guérie.» Combien se souviennent de l’histoire? Eh bien, certainement. Elle a dit: «Je crois cet Homme. Il y a quelque chose en Lui, je crois qu’Il est sincère et honnête. Eh bien, je crois qu’Il est le Messie.»
Elle s’est donc faufilée dans la foule, elle a touché Son vêtement, elle est retournée dans la foule. Et tout le monde Lui serrait la main et Le tapotait sur l’épaule. Et Il s’est arrêté (Je vous parle, à vous qui n’avez pas de carte de prière), Il s’est arrêté et Il a promené le regard et a dit: «Qui M’a touché?»
Eh bien, ça s’était tellement aggravé que même Pierre l’a repris. En d’autres termes, il a peut-être dit ceci: «Que veux-Tu dire après tout? Qui T’a touché? Eh bien, tout le monde Te touche. Pourquoi dis-Tu: ‘Qui M’a touché?’ Comment pouvons-nous le savoir? Tout le monde Te touche.»
Il a dit: «Mais J’ai connu qu’une force était sortie de Moi.» C’est de ce genre de toucher que nous parlons. Non pas inscrire votre nom dans le registre de l’église ; beaucoup adhèrent aux églises, beaucoup lèvent leurs mains: «Je crois en Toi, Seigneur.»
Mais Il veut que quelqu’un Le touche, et que Lui le sente. La vertu, c’est-à-dire la force. Pensez-y donc, une seule petite vision a tiré de Lui la force, le Fils de Dieu. Daniel a eu une vision et il a eu mal à la tête pendant plusieurs jours. C’est ce que déclare la Bible. Ça ne pouvait se faire qu’une fois si Jésus n’avait pas dit... Or, la version King James dit: «Vous ferez de plus grandes...» mais la bonne traduction, c’est: «Vous ferez davantage», voyez, davantage. En effet, vous ne pouvez pas faire de plus grandes ; Il avait ressuscité les morts, Il avait arrêté le cours de la nature, Il avait tout fait, voyez. Ça ne peut donc pas être de plus grandes, mais ça peut être davantage de cela, car Il ne devait pas être en un seul endroit. Son Esprit peut être partout à travers le monde, dans toute l’Eglise. Il peut faire davantage.
Eh bien, quand cette petite femme L’eut toucha, elle rentra s’asseoir. Nous dirons qu’elle s’est assise, peut-être qu’elle s’était tenue debout. Mais alors, Jésus a dit: «Qui M’a touché? Qui M’a touché?» Et Il a promené le regard, l’Esprit de Dieu était en Lui, Celui qui avait été touché. Elle ne L’avait pas touché de telle manière qu’Il sente cela, elle avait touché l’Esprit de Dieu qui était en Lui. Alors, Il s’est retourné, Il a promené le regard sur l’assistance jusqu’à la repérer. Il lui a dit que sa foi l’avait sauvée de la perte du sang ; est-ce vrai? Eh bien alors, si Jésus est toujours le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités, ne réagirait-Il pas de même s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement? C’est simplement l’Ecriture.
Eh bien, si vous n’avez pas eu de carte de prière, ne vous découragez pas. Restez calmes, puis levez les yeux dans cette direction-ci. Eh bien, ne cherchez pas à me toucher, je suis votre frère, et il n’y a rien en moi. Je suis le plus petit de tous. Je suis né hors saison.
Vous les pentecôtistes, vous avez prêché que ceci viendrait. Vos pentecôtistes de l’époque l’avaient fait. Vous avez attendu la venue de ceci et c’est vous qui avez préparé le terrain. Mais parce que je suis venu de... de chez les baptistes, c’est pour vous difficile à recevoir. Et vous pensez que ça devrait sortir de votre Eglise pentecôtiste. Mais Dieu fait ce qu’Il veut, ce n’est l’affaire de personne. C’est vrai. Il veut simplement que vous sachiez que l’organisation pentecôtiste n’est pas l’unique du groupe, c’est vrai. Il fait ce qu’Il veut. Il est Dieu. Je vous aime, pentecôtistes, c’est vous qui vous êtes rassemblés autour de cela. C’est vous qui m’avez aidé. C’est vous qui m’avez parrainé. C’est vous qui me...?... Je vous aime. Je ne vous ferais du mal pour rien ; mais quand je vous vois faire quelque chose de mal, il est de mon devoir, par amour, de vous dire que vous êtes en erreur. Quand vous vous mettez à...?... mettre des barrières, briser la communion les uns avec les autres. Si un frère est en erreur, vous ne le gagnerez jamais à Christ en l’enfonçant davantage. Relevez-le.
Quand un aiglon tombe, la mère n’a pas... car il allait de travers, elle descendait le relever et elle le ramenait. Si vous êtes un aigle, vous ferez de même tout... vis-à-vis d’un enfant de Dieu déchu, même s’il est en erreur. S’il allait de travers, qu’il sortait des Ecritures, qu’il allait de travers, allez vers lui. C’est ça la chose à faire. Alors, Dieu... «Tous sauront que vous êtes Mes disciples, quand vous avez de l’amour les uns pour les autres.» Le monde en a tellement soif, ami. Et Dieu est amour, et tant que nous ne pourrons pas avoir l’amour fraternel, nous n’irons jamais plus loin avec Dieu. Nous avons besoin d’un réveil de l’amour parmi les enfants de Dieu.
Eh bien, regardez, et ne... Mettez simplement de côté tout petit doute, tout préjugé ce soir. Regardez droit vers le ciel et dites: «Seigneur Dieu, cet homme est un homme. Je sais que c’est juste–que c’est juste un petit homme, vieux et chauve debout là. Mais une chose est qu’il a prêché la Bible. Il m’a parlé d’une promesse, il a défié ma foi là-dessus. Maintenant, Tu connais ma condition, pourquoi je suis couché ici, ou assis ici, ou debout ici. Je me meurs. J’ai besoin de Ton secours. Confirme-moi cela, Seigneur. Laisse-moi toucher Ton vêtement, envoie Ton Esprit sur lui et agis comme Tu avais agi quand cette femme avait touché Ton vêtement. Eh bien, je ne peux pas tendre ma main et Te toucher, mais je peux me servir de ma foi et Te toucher.» Il n’avait jamais touché sa main à elle, Il avait senti sa foi. Ce même Souverain Sacrificateur sentira votre foi ; croyez-vous cela? Que le Seigneur vous bénisse. Maintenant, soyez vraiment respectueux, soyez tranquilles, ne vous déplacez pas, nous ferons venir... Où est le jeune homme? Où est... Com–combien de cartes a-t-on distribuées? C, de 1 à 100 ; alignez les gens.
Eh bien, si quelqu’un se demande pourquoi nous distribuons des cartes de prière... Combien ici n’ont pas de carte de prière, ou ont une carte de prière, sont malades, n’importe où dans la salle? Levez la main. Vous voulez que Dieu vous guérisse, levez la main, là-haut, chacun de vous. Deux à trois... deux mille ou plus. Eh bien, qui va être le premier? Voyez, c’est là qu’on doit distribuer des cartes de prière. Parfois, nous ne commençons pas par 1, nous commençons par 50, ou 20, ou 30, ou n’importe où, mais généralement nous essayons de prier pour tous ceux qui ont des cartes de prière. Et combien savent qu’il y a plus de gens qui sont guéris là dans l’assistance, sans cartes de prière, qu’il y en a dans la ligne de prière avec des cartes de prière, ceux qui ont été dans mes réunions auparavant? Eh bien, c’est un rapport de 50 contre 1, voyez, c’est votre foi. Très bien. 1, 2, 3, 4... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... pendant qu’on forme la ligne de prière.
76 Comme les lépreux à la porte, ils ont dit: «Pourquoi restons-nous ici jusqu’à mourir? Eh bien, ont-ils dit, si nous entrons dans la ville...» Combien connaissent cette histoire? La Samarie était assiégée par les Syriens. Et ils avaient tellement faim, ils crevaient de faim, qu’ils mangeaient les écorces d’arbre, l’herbe du champ, et ils faisaient bouillir les uns les enfants des autres et les mangeaient. Vous en souvenez-vous? Et ces lépreux ne pouvaient pas entrer dans la ville, ils étaient lépreux. Ils pensaient que c’était contagieux ; ainsi donc, ils restaient à la porte. Et ils ont dit: «Pourquoi restons-nous ici jusqu’à mourir?» Maintenant, écoutez attentivement: «Si nous entrons dans la ville, nous n’y trouverons rien à manger, on y meurt. Si nous restons ici, nous mourrons. Et si nous allons chez les Syriens et qu’ils nous tuent, quoi alors? Nous allons mourir de toute façon en restant assis ici, et s’ils nous épargnent, eh bien, nous serons en vie.» Combien se rappellent l’histoire? Vous tous, assurément.
Eh bien, ils ont dû courir le risque, vous connaissez l’histoire, mais cette foi-là, ils se sont dirigés vers les Syriens, Dieu a fait retentir un fort grondement... dans le désert et les Syriens ont pris fuite, abandonnant leurs tentes et leurs vivres. Ils ont trouvé beaucoup de nourriture. Et non seulement cela a sauvé leur propre vie, mais ils ont sauvé la vie de la ville, des gens. Combien le savent? Eh bien, regardez, ils ont eu à courir le risque. Vous, vous n’avez pas à courir ce risque-là.
Mais si vous restez assis là où vous êtes... Votre maladie, si vos médecins vous abandonnent, vous mourrez, et c’est tout. Vous ne pouvez pas perdre en vous confiant à Dieu. On ne vous demande pas d’aller au camp d’un ennemi, mais vous êtes invité à la maison de Dieu, Il vous attend. Il n’y a pas de perte.
Très bien. 20 à 50 maintenant. Qu’ils se mettent debout et alignez-les afin que... Il n’y a qu’un seul moyen pour vous de pouvoir perdre, c’est de rester tranquille et de ne pas agir sur base de cela. Combien disent que c’est vrai? Dites amen. Y a-t-il une seule chose que Dieu ne puisse pas faire? Oui, il n’y a qu’une seule chose que Dieu ne peut pas faire. Savez-vous donc cela? Il ne peut pas faillir. C’est l’unique chose qu’Il ne peut pas faire. Il ne peut pas faillir. Il doit vaincre chaque fois, parce qu’Il est Dieu: «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point.» Est-ce vrai? Croyez donc.
Et vous qui avez donc des cartes, voyez, on les aligne, ceux-là. Vous qui êtes sans cartes maintenant, j’aimerais que vous regardiez dans cette direction, que vous m’accordiez toute votre attention.
Maintenant, combien savent, cette semaine dans des réunions, dans les Ecritures et par vos lectures, que Dieu a promis de faire ceci dans le dernier jour? Oh! Oui, Il l’a promis, et ce sera le dernier jour.
Eh bien, vous voyez, je pense que cette science... Un célèbre homme de science est venu l’autre jour, non pas l’autre jour, ça fait quelque temps. Avez-vous déjà entendu parler d’un détecteur de mensonge qu’on met sur les criminels? Cet homme était un critiqueur et un incroyant. Il était à Chicago, dans l’Illinois, à l’église de frère Mattsson Boze. C’était un homme de science, et il m’a rencontré, plus tard il est venu chez moi. Il était frappé par cette Lumière-là. Combien En ont la photo et ont déjà vu Cela? Levez la main.
Eh bien, pour moi, c’est la même Lumière qui était avec les enfants d’Israël. Combien savent que Jésus-Christ est cette Lumière-là? Quand Jésus était sur la terre, Il a dit: «Je viens de Dieu, et Je vais à Dieu.» Et tout étudiant de la Bible sait que l’Ange de l’alliance était la Lumière qui suivait Moïse, ou plutôt que Moïse suivait dans le désert. Est-ce vrai? Regardez, quand Il était sur terre, Il a dit: «Avant qu’Abraham fût, Je suis. Je suis le Pain de Vie qui est descendu du Ciel d’auprès de Dieu. Vos pères ont mangé le pain, la manne dans le désert et ils sont morts. Je suis le Pain de Vie qui est descendu du Ciel d’auprès de Dieu. Je suis le Rocher qui était dans le désert.»
Ils ont dit: «Toi un Homme de pas plus de cinquante ans, et Tu dis avoir vu Abraham? Eh bien, nous savons que Tu es toqué, et que Tu as un démon.»
Il a dit: «Avant qu’Abraham fût, Je suis.» Est-ce vrai?
Quand Il était sur terre, regardez ce qu’Il a fait quand Il était dans un corps de chair. La Parole a dit qu’Il l’a fait. Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus.» En effet, Il s’en allait. «Mais vous, vous Me verrez (vous, c’est l’Eglise), vous Me verrez, car Je (Je est un pronom personnel) Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»
Eh bien, puis après Sa résurrection–résurrection, Son ascension au Ciel auprès du Père, Il revint sur la terre auprès de Ses disciples, quarante jours et quarante nuits, et Il a été repris. Il a rencontré Paul quelques mois après cela sur le chemin de Damas, et ce dernier fut terrassé. Et quand Paul leva les yeux, qu’y avait-il là? Une Colonne de Feu. Est-ce vrai? Et une Voix se fit entendre de Cela, disant: «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»
Il a dit: «Seigneur, qui es-Tu, que je persécute?»
Il a dit: «Je suis Jésus.» Le même Dieu qui était dans le désert avec les enfants d’Israël, qui habitait dans un corps qu’Il avait Lui-même créé, qui tabernaclait dans une chair, et qui, par ce corps sanctifié, avait donné ce Sang-là, qui n’était pas venu par un désir sexuel, qui avait donné cette Vie-là. Ce Sang qui avait été versé au Calvaire sanctifie note vie afin que le même Saint-Esprit habite dans l’Eglise pour continuer l’oeuvre de Christ: Parfait.
77 Or, les derniers jours sont arrivés. Il est ici, Il s’est fait prendre une photo. Quand George J. Lacy, le responsable du département des empreintes digitales et des documents douteux du F.B.I, s’est tenu devant des gens à Houston, là au laboratoire Shell, il a dit: «J’ai été moi-même un critiqueur de monsieur Branham. Je disais que c’était de la psychologie.» Il a dit: «Mais la psychologie... L’oeil mécanique de l’appareil photo ne prendrait pas de la psychologie. Cette Colonne de Feu se tenait là ; et Cela a frappé l’objectif.» C’est le responsable du département des empreintes digitales et des documents douteux du F.B.I. Elle est accrochée là à Washington, protégée par le droit d’auteur, comme l’unique Etre surnaturel jamais photographié. Eh bien, nous En avons la photo, n’est-ce pas? Vous avez le droit de demander au studio Douglas ou autres à ce sujet, eux qui L’avaient photographiée. George J. Lacy. Regardez dans mon livre ; son nom s’y trouve; la place et tout. Demandez-lui. Vous voyez Cela. Cela descend. Cela fait la même chose. Cela agit et se manifeste.
Eh bien, si c’est ce même Christ, opérant à travers un pécheur sauvé par la grâce, Cela opérera à travers vous, un pécheur sauvé par la grâce, et cela rendra le même témoignage qu’autrefois, quand Cela était dans le pur Fils de Dieu, car «vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Est-ce vrai? Voilà l’Ecriture, ami. Je ne ferai rien que l’Ecriture ne dit pas être vrai.
78 Maintenant, soyez respectueux. Vous... Toutes les cinquante sont-elles en ligne? D’accord, monsieur. Maintenant, j’ai un groupe ici pour lequel prier. Et je–j’espère que Dieu fera quelque chose pour ces gens, car je–je sais qu’ils sont dans le besoin. Maintenant, vous qui n’avez pas de cartes de prière et qui êtes malades, j’aimerais que vous leviez les mains. C’est pratiquement partout. Maintenant, regardez dans cette direction, mettez-vous à prier comme la femme au puits. Eh bien, pour commencer, nous ne pouvons pas faire passer chacun de ces gens par le discernement, vous le savez.
79 Ceci... Etes-vous celui pour qui on doit prier? Vous êtes... vous–vous–vous êtes ici, vous êtes le patient, vous avez eu une carte de prière. Vous avez eu une carte de prière, vous êtes monté ici. D’accord. Maintenant, je ne vous connais pas, Dieu vous connaît certainement. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, en ce qui nous concerne. Si c’est vrai, faites-le savoir à l’assistance en levant simplement les mains ensemble. Voici un homme ; lui et moi, nous ne nous sommes jamais rencontrés. Il est moins âgé que moi.
Je ne le connais pas, je ne l’ai jamais rencontré de ma vie. C’est un homme. Nous voici pour notre première rencontre. Et c’est exactement ce qui est arrivé du temps biblique, quand Pierre s’était présenté devant le Seigneur Jésus, n’est-ce pas? Ou quand Philippe a été trouvé par Nathanaël...
Eh bien, si le Saint-Esprit... Si Jésus-Christ est ici, tout ce qu’il y a dans votre coeur, comme la femme au puits ou les autres, tout ce qu’il y a dans votre coeur, je ne sais pas. Mais si Dieu révèle cela, me dit quelque chose au–au sujet duquel vous savez que je ne sais rien, croirez-vous que C’était le Seigneur Jésus qui a permis cela? Croirez-vous?
Combien dans l’assistance croiraient cela? Tenez, maintenant, c’est la confrontation. Si j’ai dit la vérité–si j’ai dit la vérité au sujet de Jésus-Christ, Il est tenu de confirmer cette Parole. Absolument. Sinon, Il ne fera rien à ce sujet. Christ ne perdra pas le temps avec une erreur. Vous le savez. Il ne bénira pas une erreur. Mais Il va... Il est tenu de soutenir la Vérité. Je dis qu’Il n’est pas mort ; Il est vivant. Et Il est vivant ici même ce soir. Voyez? Maintenant, je suis un homme. Je dois me tenir devant Lui comme vous.
80 Eh bien, si je–si je venais ici vous imposer les mains et dire: «Alléluia! Gloire à Dieu! Vous allez vous rétablir. Gloire au Seigneur!» C’est vrai. Voyez? La Bible déclare: «La prière de la foi sauvera les malades», et je peux avoir la foi pour croire cela. Vous avez le droit de croire cela. Mais alors, si le Saint-Esprit vient et remonte plus loin et vous dit quelque chose dont vous savez que moi, je ne sais rien, vous saurez si c’est la vérité ou pas. Alors, s’Il sait ce que vous avez été, Il saura certainement ce qui arrivera. Est-ce vrai?
Maintenant, soyez respectueux. J’aimerais que vous adoriez le Seigneur. Mais quand... Si au moins j’ai un... et de temps à autre... Où que ce soit donc dans quelques minutes, afin que je puisse terminer avec l’auditoire. Mais combien promettront, par la grâce de Dieu, qu’ils croiront si Dieu agit? Justement cet homme et moi, avec moi et mon... nos mains levées, montrant que nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant dans la vie, uniquement ici même. Maintenant, que le Seigneur l’accorde.
81 Maintenant, j’aimerais juste que vous me répondiez. Eh bien, vous savez qu’il y a quelque chose qui se passe, un véritable sentiment sacré. Si c’est vrai, levez la main.
Maintenant, l’assistance, je ne sais pas si vous voyez ou pas. Cet homme... Entre lui et moi se tient cette Lumière-là dont vous avez la photo, Elle se tient là maintenant. Je vois cet homme disparaître de devant moi. Il devient ici un enfant. C’est exact. Quelqu’un d’autre. C’est un enfant ; c’est un bébé d’environ trois mois, juste un tout petit enfant. Et vous êtes... Cet enfant souffre du coeur. C’est vrai. Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez d’Indiana, Anderson, dans l’Indiana. Rentrez chez vous, trouvez votre enfant bien portant, au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Croyez-vous...?... Ayez simplement foi. Ne doutez pas. Croyez. Croyez en Dieu. Maintenant, croyez-vous tous? D’accord.
82 Eh bien, si je ne vous dis pas un seul mot par le discernement, vous croirez, n’est-ce pas? Allez donc, et votre arthrite ne vous dérangera plus.
Frère Kidd, je vous connais. C’est pourquoi je n’exercerai pas ce discernement. Je vais prier pour vous. Dieu bien-aimé, je sais que ce précieux vieux frère prédicateur prêchait avant ma naissance. Je prie pour lui. Il est un précieux homme. Je T’ai vu le relever lors d’un entretien au téléphone quand nous avons prié pour lui, alors qu’il gisait dans un hôpital suite à une crise cardiaque, Tu l’as guéri. Il est ici, tendant vers quatre-vingts ans. Je Te prie de le bénir. Et sa précieuse petite femme aussi, qui a travaillé dans des mines de charbon de ses propres mains pour envoyer son mari dans les champs missionnaires prêcher la Parole. Nous les aimons. Un petit couple plus doux, que je connais. Je Te prie, Père, de prolonger leurs jours. Et quand je leur parle, elle pleure et dit: «Frère Branham, je suis trop vieille, et je ne sais que faire. Je vois que le besoin est très grand.» Aide-la, Seigneur. Bénis-les. Et que les bénédictions de Dieu reposent sur eux. Cette maladie qui se développe sur ses yeux à lui, je prie, ô Dieu, que cela soit guéri. Je Te prie, ô Dieu, de guérir notre soeur, c’est... que cette maladie d’estomac dans son corps lui soit ôtée. Que tous les maux quittent par Jésus-Christ. Amen. Qu’Il vous bénisse, Frère Kidd. Qu’Il vous bénisse, soeur Kidd. Non, non, c’est... Qu’est-ce, soeur Kidd? Elle a été guérie pendant qu’elle se tenait ici à l’estrade. Elle a tendu sa main, elle a dit que c’est parti ; le cancer avait quitté. Ainsi, gloire à Dieu! Voyez, c’est ce qui est censé... Cela s’est effectivement fait.
83 Croyez-vous que le Seigneur vous guérira? Vous avez été horriblement nerveux, n’est-ce pas? Votre estomac est tout agité. C’est vrai. Voyez? Mais aimeriez-vous aller manger? Allez simplement de l’avant et mangez. Croyez de tout votre coeur. Allez manger ; Jésus vous guérit. Maintenant, croyez-vous de tout votre coeur? Si Jésus me révèle votre maladie, croirez-vous de tout votre coeur? D’accord. Votre mal de dos vous a quitté. Vous pouvez donc continuer votre chemin et être guéri. Croyez-vous de tout votre coeur? Tout? D’accord, votre maladie du coeur, cela vous quitte. Vous pouvez poursuivre votre chemin en vous réjouissant et étant heureux. Croyez-vous? Vous souffriez aussi de dos. Poursuivez donc votre chemin et soyez heureux ; dites: «Merci, Seigneur Jésus.»Vous avez un problème. C’est l’homme, qui se lève... Mais à part cela, vous êtes nerveux, la maladie du coeur. Continuez donc simplement votre chemin en vous réjouissant. Jésus-Christ vous rétablit.
84 Si je ne vous dis aucun mot, et que je prie pour vous, croirez-vous que Dieu vous guérira? Venez ici. J’impose sur cet homme les mains avec l’onction du Saint-Esprit et la commission de Jésus-Christ. Qu’il soit guéri pour le Royaume de Dieu. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Amen. Que Dieu vous bénisse. Croyez-vous, soeur, de tout votre coeur? Frère, non, vous avez une... de prière. La dame assise juste ici derrière en train de prier pour un–un enfant qui souffre de nerfs, une dépression nerveuse. Vous êtes vous-même nerveuse. Vous êtes assise là en train de prier pour cela. Si c’est vrai, levez la main. D’accord, rentrez chez vous. Vous avez reçu votre désir. Voyez?
Qu’a-t-elle touché? Elle ne m’a point touché, elle a touché le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Venez. Au Nom du Seigneur Jésus, puissiez-vous être guéri. Accorde-le.
Si je ne vous dis rien, croirez-vous que vous serez de toute façon guérie? Mais votre maladie de femme vous a quittée, vous pouvez continuer votre chemin. Croyez-vous? Combien là dans l’assistance croient de tout leur coeur? Si vous croyez, vous pouvez recevoir ce que vous demandez. Croyez-vous que Dieu vous connaît, madame? Si Dieu me dit à votre sujet quelque chose que vous savez que je ne connais pas... Je ne vous connais pas. Je pense que vous ne me connaissez pas plus que par le nom ; est-ce vrai? Si le Seigneur Jésus me révèle Sa Présence... Vous croyez que vous êtes dans Sa Présence. C’est ce que vous ressentez? Vous êtes une très bonne personne, parce que votre esprit éprouve un très bon sentiment, voyez. Vous souffrez des reins. Vous êtes aussi dérangée par une maladie de nerfs ; c’est vrai, n’est-ce pas? Vous n’êtes pas d’ici. Vous venez de Lebanon, dans l’Ohio. Et c’est vrai. Vous croyez que je suis Son prophète maintenant, de tout votre coeur. Croyez-vous que Dieu sait qui vous êtes? S’Il a su qui était Pierre, Il saura qui vous êtes. Est-ce vrai? D’accord, madame Alexander, vous pouvez rentrer chez vous, guérie. Jésus-Christ vous guérit.
Ayez foi. Ne doutez pas. Croyez de tout...
85 Vous aimeriez adorer Dieu. Maintenant, levez les mains et adorez Dieu si vous avez envie de Lui rendre des actions de grâces. Seigneur, nous Te rendons des actions de grâces pour Ta bonté. Que les gens comprennent effectivement, Seigneur, que c’est... Tu es présent ici, faisant exactement ce que Tu avais promis de faire. Qu’il en soit ainsi, Seigneur. Nous prions, au Nom de Jésus, amen.
Venez maintenant, soeur. Croyez. Seigneur Jésus, je Te prie de la guérir et de la rétablir. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur.
Venez donc, si je ne dis rien, croirez-vous que le Saint-Esprit est ici? Croyez-vous que je crois en Lui? Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Les visions m’affaiblissent beaucoup, je dois veiller, sinon j’en ressors d’ici peu. Que Dieu vous bénisse, allez et soyez donc guéri.
Venez, frère, croyez-vous? Au Nom de Jésus-Christ, que vous soyez guéri. Amen. Venez, mon frère, au Nom de Jésus-Christ, que vous soyez guéri. Amen. Venez, frère. Vous assis là, frappé par la victoire, allez donc et soyez en bonne santé, au Nom de Jésus-Christ.
Venez, mon frère. Au Nom de Jésus-Christ, allez et soyez en bonne santé. Amen. Croyez-vous en Lui, soeur? Au Nom de Jésus-Christ, allez et soyez en bonne santé. Au Nom de Jésus-Christ, allez et soyez guéri.
Juste un instant, cette dame assise juste ici derrière, là loin derrière, en train de regarder droit vers moi, en train de prier, vous souffrez du coeur, des maux de tête. Allez, Jésus-Christ vous guérit maintenant. Vous pouvez aller et être guérie. Que Dieu vous bénisse. Je dois vous connaître, votre visage me semble familier. Je ne peux pas dire maintenant exactement qui vous êtes. Mais je vous connais de toute façon. Mais je ne sais rien à votre sujet. Mais vous vous tenez ici avec un désir, à cause d’une grosseur dont vous avez été débarrassée une... sur le talon, le pied. Allez, croyez cela. Vous recevrez cela au Nom du Seigneur Jésus. Croyez-vous? Ayez foi maintenant. Ne doutez pas. Croyez simplement. Bonsoir. Croyez-vous que ce que vous voyez vient de Dieu? Maintenant, quelque chose se passe dans l’assistance. Vous croyez. Ce–c’est bien. Ça doit régler la question. Je vous suis inconnu. Vous m’êtes inconnu. Mais Dieu nous connaît tous deux. S’Il révèle votre problème...
86 Voici la scène, juste comme celle de Jésus autrefois. Il est allé, Il s’est assis à côté d’un puits et une femme samaritaine était arrivée là. Et Il lui a parlé, Il lui a dit ce qui était dans son coeur. Elle a cru en Lui, et elle a dit que c’était le signe du Messie. Est-ce vrai? Un homme et une femme qui se rencontraient pour la première fois. Voici encore un homme et une femme qui se rencontrent pour la première fois. Je lève mes mains, je n’ai jamais vu cette femme à ce que je sache, elle a dit qu’elle ne m’a jamais vu. Mais Il est Dieu et Il connaît. Maintenant, ce que je fais, c’est simplement m’abandonner au Saint-Esprit, sans chercher à utiliser mes propres paroles. Je m’abandonne simplement au Saint-Esprit, et Il me révèle. Soyez-en juge. Vous êtes extrêmement nerveuse. C’est pour cela que vous voulez la prière. Vous avez un bien-aimé pour qui vous priez, il est à l’hôpital. C’est votre mari. Il est paralysé au dos. C’est vrai. De Dayton... C’est vrai. Vous vous appelez Opal Williams. Retournez chez vous et recevez ce que vous demandez. Prenez cela, posez-le sur lui au Nom du Seigneur Jésus-Christ.
Croyez-vous? Ayez foi en Dieu. Levez la main et dites: «Merci, Seigneur Jésus.» Adorons-Le simplement.
Venez, mon frère, au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri.
Au Nom de Jésus-Christ, que ma soeur soit guérie, Seigneur.
Venez, bien-aimé frère, au Nom du Seigneur Jésus, soyez guéri. Que Dieu vous bénisse, frère.
Venez avec le petit garçon, vous voulez aussi la prière, ou est-ce juste pour le jeune garçon? Seigneur, je Te prie de le guérir et de le rétablir, qu’il soit complètement guéri au Nom de Jésus. Amen. Ne doutez pas, mettez-vous à croire. Maintenant, soyez conscient de la Présence de Dieu. Au Nom du Seigneur Jésus, soyez guéri. Accorde-le, Seigneur.
87 Ô Seigneur, alors que cette jeune femme vient au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie, qu’elle passe à l’ombre de la croix. Ayez foi.
Croyez-vous que vous pouvez manger maintenant? Votre ulcère est partie ; allez prendre votre souper. Amen. Le...?... temps de gens de couleur, ils ont juste une foi si simple. Ce sont des croyants fervents, ils ont eu un temps difficile. Tenez, voici une autre femme de couleur. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Je ne vous connais pas. Vous ne me connaissez pas. Eh bien, voici un beau tableau. A l’époque de notre Seigneur, Saint Jean, chapitre 4... Si la Bible est toujours vivante, que Dieu prouve que Cela vit. Je suis Anglo-Saxon. Vous êtes une Ethiopienne par nature, par naissance, par la couleur de la race.
Jésus était un Juif, elle était une Samaritaine. Et elle a dit: «Nous connaissons une ségrégation. Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous disiez pareille chose aux Samaritains.» Mais Jésus lui a fait savoir très vite que Dieu était le Dieu de toutes les nations. C’est la contrée dans laquelle nous vivons qui change notre teint, cela n’a rien à faire avec notre âme. Nous pouvons subir une transfusion sanguine l’un de l’autre, et davantage. Nous sommes tous des créatures de Dieu. Nous avons grandi dans différentes parties du monde, nous sommes les uns, jaunes ; les autres, bruns ; les autres, blancs ; les autres, noirs. Cela n’a rien à faire avec la chose. Nous descendons tous d’un seul arbre, Adam, les créatures de Dieu.
88 Maintenant, ça sera une scène parfaite de la Bible. C’est notre première rencontre. Si Dieu me révèle... Dans votre coeur, soyez-en juge solennel. Si Dieu révèle ce pour quoi vous êtes ici, ou quelque chose dont vous savez que je ne sais rien, croirez-vous solennellement cela et ferez-vous comme cette femme qui est allée dire à son peuple: «Certes, le Saint-Esprit est ici, accomplissant l’oeuvre du Seigneur Jésus-Christ, car je L’ai vu opérer parmi les gens» ; comme cette femme qui était allée dire: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait, ne serait-ce point le Messie même?» Voyez, c’était le signe du Messie. Pourriez-vous faire de même?
Est-ce que tous les gens de couleur ici, ou tous les autres feront de même, croiront en Lui de tout leur coeur? Maintenant, par ma Bible, je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Je ne sais rien à son sujet. Eh bien, je pense que c’est notre première rencontre face à face dans la vie. Si c’est vrai, juste afin que les gens voient?
Eh bien, si Dieu est Dieu, et que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il tient donc Sa Parole. Sinon alors, Il n’est pas Dieu ; Il n’est pas ressuscité d’entre les morts. S’Il est ressuscité d’entre les morts, Il l’est donc pour chacun de vous, chacun de vous. Voici de nouveau un parfait tableau de la Bible. Que Dieu l’accorde, alors que je ne connais pas.
89 Eh bien, je n’aurai pas à vous regarder. Cela n’a rien à faire avec la chose. Mais Jésus a parlé à la femme juste un instant. Eh bien, si Dieu me révèle votre problème, croirez-vous donc? En effet, vous savez que je ne sais pas. Vous êtes nerveuse ; c’est ça votre problème principal, c’est ce qui est à la base de la maladie d’estomac. C’est vrai. C’est tout à fait vrai. Maintenant, croyez-vous?
Vous direz: «Frère Branham, peut-être que vous avez deviné cela.» Voyons ce qu’Il dirait davantage.
Oui, il y a autre chose qui cloche chez vous. C’est une nodosité sur votre jambe gauche. Croyez-vous? Pensez-vous que cela a été deviné? Elle est une bonne personne, avec un bon esprit. L’Ange du Seigneur se tient juste entre cette femme et moi. Au jour du Jugement, vous le découvrirez. Cet Ange que vous voyez sur la photo n’est pas à deux pieds [60 cm] de là où je me tiens maintenant même. Regardez encore ici, soeur. Vous avez un ami pour qui vous voulez qu’on prie, il est paralysé. Croyez-vous donc? Allez et recevez ce que vous avez demandé, soeur. Croyez de tout votre coeur.
90 Vous tous, croyez-vous de tout votre coeur? Que Dieu vous bénisse, soeur. Pendant que vous vous tenez là, vous croyez que cette arthrite vous a quittée...?... D’accord, venez. Le petit garçon, croyez-vous de tout votre coeur, monsieur? Seigneur, alors que j’impose mes mains, je Te prie au Nom de Christ d’accorder sa guérison. Amen. Ne doutez pas, frère, croyez donc maintenant. Venez donc.
Je continue à percevoir quelqu’un qui pense que je suis en train de lire les pensées de quelqu’un. Frère, si vous n’êtes pas mieux avisé que cela, que Dieu soit miséricordieux envers vous. Tenez, est-ce le pa-... Tenez, placez votre main sur la mienne, monsieur. Si Dieu me révèle pendant que je regarde dans cette direction-ci, sans lire vos pensées... vous allez lever votre main si je vous dis la vérité. Et alors, rentrez chez vous et vous ne souffrirez plus de l’asthme, la toux s’arrêtera. Si c’est vrai, levez la main. Allez de l’avant, frère. Que Dieu vous bénisse. Venez, soeur bien-aimée. Seigneur, je Te prie de la guérir et de la rétablir au Nom de Jésus.
Juste un instant, voici une dame de couleur qui continue à paraître devant moi.
Une femme, depuis qu’on a prié pour cette femme de couleur, apparaît ici. L’attraction vient de ce... Oui, assise juste ici en bas, souffrant de diabète ; croyez-vous que le Seigneur Jésus vous guérit? Levez... Vous étiez en train de prier, n’est-ce pas, madame? Si c’est vrai, levez la main afin qu’on voie? D’accord. Rentrez chez vous, rétablie. Jésus-Christ vous guérit. Oui, oui.
91 Voyez-vous la puissance du Saint-Esprit après la guérison de cette petite fille? Cela passe juste par ici et s’accumule. Frère, lorsque nous nous retrouvons en un seul lieu, d’un commun d’accord, quelque chose se produit. Absolument, voyez, si vous arrêtez de douter et que vous laissez simplement le Saint-Esprit s’y prendre à Sa façon.
Venez, soeur, au Nom de Jésus, soyez guérie, soeur. Je vous impose les mains avec l’onction du Saint-Esprit. Soyez guérie au Nom de Jésus. Venez, mon frère ; au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri, frère.
Venez, soeur ; mettez-vous à vous réjouir et louez Dieu, au Nom de Jésus, soyez guérie.
Venez. Au Nom de Jésus, soyez guérie, soeur.
Venez, soeur ; et je crois, si seulement vous croyez en Lui maintenant, au Nom de Jésus-Christ, soyez guérie. Amen.
Au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri. Venez, venez, frère, amenez votre enfant. Croyez-vous maintenant? Au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri. Venez, soeur...?... Nom de Jésus-Christ, soyez guéri. Oh! Comment peut-on supporter cette pression? Le Saint-Esprit est simplement en train de se frayer la voie, on dirait. Donc, je... on dirait que l’assistance devient laiteuse là. Cet homme assis là, cherchant le baptême du Saint-Esprit, assis là derrière. Croyez de tout votre coeur, monsieur, et vous le recevrez. Venez, soeur. Au Nom de Jésus-Christ, soyez guérie. Au Nom de Jésus-Christ, que cet appareil orthopédique soit enlevé de cet enfant et qu’il soit en mesure de marcher, au Nom de Jésus. Ne doutez pas...?...Au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri. Venez, soeur ; au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri.
Au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri. Au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri...?...La dame là souffrant de dos. Jésus-Christ vous guérit. Partez maintenant. Ne doutez pas. Venez. Au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri. Croyez-vous? Si Dieu me révèle votre problème, croirez-vous cela? Cet homme sur la civière, croyez-vous, monsieur? Ce brancard d’ambulance, vous êtes apparu devant cet homme tout à l’heure. Vous êtes un prédicateur. Vous souffrez de l’asthme. Révérend Dalton, puissiez-vous rentrer chez vous, guéri. Jésus-Christ vous guérit. Croyez-vous que Dieu vous guérira? Qu’Il vous débarrassera de ce cancer de la mort? Acceptez-vous cela de tout votre coeur? Si vous acceptez... Vous mourrez là. Vous pouvez vivre si seulement vous vous confiez en Dieu. Si vous croyez cela, et que vous croyez qu’Il vous guérira, prenez ce que vous avez reçu et rentrez chez vous, et soyez guéri, au Nom de Jésus-Christ.
92 Combien ici présents croient que Jésus-Christ est ici? Combien de croyants y a-t-il ici? Levez la main.
Jeune homme couché ici sur ce brancard, croyez-vous?
Combien croient? Combien aimeraient croire? Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Croyez-vous cela? Imposez-vous donc les mains les uns aux autres. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Levez-vous simplement, tout le monde. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Ça y est. C’est ça. Maintenant, priez pour la personne à qui vous avez imposé les mains.
Maintenant, Jésus, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, je condamne le diable. Sors, Satan. Tu es vaincu. Quitte ces gens, pars, au Nom de Jésus-Christ.