Posséder Les Portes De L’Ennemi
Possédant Les Portes De L’Ennemi - VGR
1 Bonjour à tous. Je suis heureux d’être de retour au Tabernacle ce matin pour prier pour les malades aujourd’hui. Généralement, c’est... Nous essayons de venir ici de temps en temps afin de–de prier pour les gens qui viennent de différents endroits pour la prière.
Et maintenant, nous partirons très bientôt pour les réunions de la Californie et de la côte ouest. Et, bien sûr, nous sollicitons vos prières afin que le Dieu du Ciel soit miséricordieux envers nous là-bas et qu’Il nous accorde une glorieuse série de réunions.
Je ne suis rentré qu’hier, ou plutôt hier soir, tard. La journée d’hier a été l’une des... Eh bien, les journées d’avant-hier et d’hier ont été parmi les jours les plus mémorables de ma vie. Il... Je sais qu’il y a au moins deux ou trois personnes dans la salle qui ont été hier témoins de la descente du Seigneur. Et une chose merveilleuse s’est produite. Je n’ai pas le temps de vous raconter cela ce matin, mais peut-être que dimanche matin prochain, avant que nous partions, je pourrai être–avoir le temps de–de vous raconter cela pendant le message.
Si le Seigneur le veut, je viendrai au moins pour prier pour les malades dimanche matin. Nous voulons, si possible, partir vers midi pour les réunions de San Jose, à San Jose, en Californie. Et si vous connaissez des gens qui habitent là-bas sur la côte ouest, qui sont... Nous croyons que ce sera peut-être l’heure que j’ai tant attendue, le temps du changement dans mon ministère, qui doit venir. Et c’est très proche. Je croyais que ça allait s’accomplir hier. Et maintenant, je crois que cela va arriver sous peu. Et ce sera bien au-delà de tout ce que nous avons déjà vu ou entendu jusqu’à présent. Maintenant, souvenez-vous, c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR, mes amis. Et nous attendons donc cela à tout moment. Et nous sommes... Les réunions se tiendront donc sur le champ de foire. Je crois que c’est ça, n’est-ce pas, Gene? Au champ de foire à San Jose, en Californie. Et ce sera une série de réunions de dix jours, du 20 au 29, à San Jose. Eh bien, souvenez-vous de nous dans la prière. Il nous reste maintenant (si nous sortons à l’heure) environ une heure et demie; nous allons donc commencer nos réunions, au cours desquelles nous prierons pour les malades et apporterons la Parole. Et ce matin, j’ai choisi un court passage de l’Ecriture, qui se trouve à deux endroits dans la Bible, sur lequel je vais prêcher. Mais avant ma prédication, inclinons la tête juste un moment pour la prière.
2 Ô Dieu plein de grâce, nous nous approchons humblement de Ton Trône de grâce ce matin, comme des enfants indignes, mais nous venons avec une foi pure en Dieu, qui nous a été donnée par le Saint-Esprit, et par Sa Présence constante parmi nous; et avec cette promesse du Seigneur Jésus, que si nous venions humblement demander quelque chose en Son Nom, notre requête sera exaucée. Par conséquent, nous ne voulons pas considérer nos mérites, car nous n’en avons aucun, mais nous voulons considérer les mérites du Calvaire, où notre grâce nous a été accordée gratuitement par le Fils de Dieu. Et c’est à peine si nous pouvons retenir nos larmes et nos sanglots en pensant que c’est pour nous, des gens indignes, qu’Il a fait cela par Sa grâce là au Calvaire, afin que nous soyons si rapprochés de Dieu que nous aurons même des relations de parenté. Et, maintenant, nous sommes Ses fils et Ses filles.
3 Et ce matin nous venons, Seigneur, sous ce petit toit pour nous consacrer et pour le service, confesser nos péchés, et–et pour l’adoration divine. Nous croyons que Tu seras avec nous et que Tu nous donneras une vision spirituelle de Ta Venue imminente, afin que, chaque jour, nous préparions nos coeurs pour ce grand événement attendu depuis des milliers d’années. En vérité, toute la nature soupire et crie pour être affranchie. Et nos esprits au-dedans de nous, Seigneur, confessent constamment que nous sommes pèlerins et étrangers, et que ceci n’est pas notre patrie, mais que nous cherchons une cité dont l’Architecte et le Constructeur est Dieu. Nous attendons ce glorieux moment.
4 Seigneur, nous ne voudrions pas oublier, tandis que nous sommes assemblés ici pour ces réunions, de prier pour Tes enfants malades et affligés. Et nous Te demandons de traiter avec nous aujourd’hui d’une façon toute spéciale, en guérissant toutes les maladies et les maux qui se trouvent parmi nous. Et il se peut, Seigneur, que cette promesse dont je viens de parler, en rapport avec ma rencontre avec Toi là hier, juste après le lever du jour... Tu l’as déjà maintes et maintes fois confirmée. Et nous sentons que l’heure est très proche. Et puisse ce jour être le jour, Seigneur, où cela va arriver, où Tu vas changer le ministère, Seigneur, en quelque chose de plus bénéfique à Ton peuple.
5 Et maintenant, Dieu notre Père, nous ne voulons pas seulement prier pour les gens qui sont ici, mais aussi pour ceux qui, partout dans le monde, sont dans le besoin tant spirituellement que physiquement. Accorde-leur, ô Seigneur, les désirs de leurs coeurs, parce que Tes enfants ont des luttes en ces jours-ci. L’oppression de l’ennemi est si forte, mais Toi, Tu es plus fort. Car il est écrit: «Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde.» Et par ceci nous triomphons. Parle-nous à travers Ta Parole écrite. Et lorsque nous partirons ce matin, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous, lorsqu’Il nous parlait en chemin?» Nous le demandons au Nom de Jésus, qui a fait la promesse. Amen.
6 Je lis maintenant à deux endroits dans le Livre de la Genèse. L’un se trouve au chapitre 24, à partir du verset 56; il y est écrit ceci:
Il leur répondit: Ne me retardez pas, puisque l’Eternel a fait réussir mon voyage; laissez-moi partir, et que j’aille vers mon seigneur.
Alors ils répondirent: Appelons la jeune fille et consultons-la.
Ils appelèrent donc Rebecca, et lui dirent: Veux-tu aller avec cet homme? Elle répondit: J’irai.
Et ils laissèrent partir Rebecca, avec leur soe-..., leur soeur, et sa nourrice, avec le serviteur d’Abraham...
Ils bénirent Rebecca, et lui dirent: Ô notre soeur, puisses-tu devenir des milliers de myriades, et que ta postérité possède la porte de ses ennemis!
7 Et dans Genèse 22, verset 15, nous lisons:
L’ange de l’Eternel appela une seconde fois Abraham des cieux,
Et dit: Je le jure par moi-même, parole de l’Eternel! parce que tu as fait cela, et que tu n’as pas refu-... refusé ton fils, ton unique,
je te bénirai et je multiplierai ta postérité, comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est sur le bord de la mer; et ta postérité possédera la porte de ses ennemis.
Toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité, parce que tu as obéi à ma voix.
8 Puisse le Seigneur ajouter maintenant Ses bénédictions à la lecture de Ses Paroles. Maintenant j’aimerais prendre (si cela devrait être considéré comme sujet)... D’abord mon thème, ce matin, c’est Le test avant les portes promises; et mon sujet, c’est Posséder les portes de l’ennemi.
9 Dieu était en train de tester le patriarche, puisqu’Il lui avait fait une promesse. Et lorsque Dieu fait une promesse, Il veut être sûr que la personne est digne de la promesse avant d’accomplir ce qu’Il a dit ou ce qu’Il a promis. Ainsi, il avait donc été promis à Abraham qu’à travers sa postérité, le monde entier serait béni, qu’il aurait un fils, et que de ce fils sortirait une Semence qui bénirait la terre entière. Et lorsque la promesse a été faite à Abraham, il avait soixante-quinze ans, et Sara, sa femme, en avait soixante-cinq. Mais la Bible nous dit qu’Abraham ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu, mais qu’il fut fortifié, donnant gloire à Dieu. Et Dieu l’avait testé à plusieurs reprises; mais voici qu’il en était arrivé au test final avant la venue de la bénédiction.
10 Et il en est de même pour toute la Postérité d’Abraham. Dieu nous donne ce test final, juste avant d’accomplir la promesse pour nous. Et, si c’était possible, j’aimerais dire ici quelque chose de personnel, mais je m’en abstiens. Ce test final, c’est pour voir comment vous allez réagir à cela. Lorsqu’Il a soumis Abraham à ce test, Il le trouva tout aussi fidèle qu’au début. Quelle bénédiction ce serait ce matin si nous qui prenons Sa promesse de guérison y restions tout aussi fidèles que lorsque nous nous sommes tenus ici et l’avons acceptée. Peu importe ce que le médecin a dit, restez tout aussi fidèle à cela.
11 Et lorsqu’il fit ceci, qu’il ne refusa pas son fils unique, mais qu’il était sur le point d’enfoncer le couteau dans la poitrine d’Isaac pour détruire son témoignage... Il avait témoigné partout, à tous ceux qu’il connaissait, partout à travers le monde connu, qu’il allait avoir ce fils. Et alors, lorsque ce fils arriva, il lui fut demandé de retourner au point de départ en détruisant le seul espoir qu’il avait de voir s’accomplir son témoignage. Et lorsque Dieu vit qu’il était fidèle à cette foi qu’il avait en Dieu, Dieu regarda du Ciel et dit: «Je le jure par Moi-même, Je te bénirai et te multiplierai, et ta postérité possédera la porte de son ennemi.» Quelle promesse!
12 Et Rebecca, qui devait être la mère de ce remarquable fils promis et attendu, lorsqu’elle fut soumise au test final d’un inconnu qu’elle n’avait jamais vu auparavant, elle a seulement vu le Saint-Esprit à l’oeuvre. Et, alors que ses parents n’arrivaient pas à se décider pleinement si elle devait ou non partir avec cet inconnu pour devenir la femme d’un homme qu’elle n’avait jamais vu, elle fut soumise au test final. «Faisons venir la jeune fille et laissons-la parler. Nous entendrons de sa bouche si oui ou non elle ira.»
13 C’est ainsi que cela se produit pour toute la postérité de Dieu. Cela doit venir de votre bouche. Dieu veut vous entendre parler.
14 Ainsi, lorsqu’elle fut mise à l’épreuve, elle n’hésita pas un seul instant. Elle a dit: «J’irai.» J’aime cela. Non pas: «Laissez-moi me décider; laissez-moi réfléchir là-dessus.» Elle était pleinement persuadée! Voilà les gens que Dieu peut utiliser, ceux qui sont pleinement persuadés que Dieu tiendra Sa promesse. Elle a dit: «J’irai.»
15 Et les membres de sa famille furent alors tellement oints, peut-être sans même le savoir, qu’ils prophétisèrent en imposant les mains à leur soeur, à leur fille, cette ravissante jeune fille juive, tandis qu’ils la faisaient monter sur le chameau pour l’envoyer dans un pays étranger, parmi un peuple étranger. Mais il y avait Quelque Chose sur eux, ils dirent: «Que ta postérité possède la porte de son ennemi! Puisses-tu devenir des milliers de myriades!»
16 Et aujourd’hui, cette race de gens, le peuple de Dieu, est disséminée d’une mer à l’autre, sur toute la terre. Dans cette résurrection, ils seront comme les étoiles du ciel, comme ces lumières brillantes qui prennent leur position quand elles traversent le ciel. Et lorsqu’ils viendront, ils seront comme les mers sur le... ou plutôt le sable qui est sur le bord de la mer. Il y en aura des milliers de myriades.
17 «Ta postérité possédera la porte de son ennemi.» C’est la promesse de Dieu faite sous serment. La semence d’Abraham. Et puis, par Son Saint-Esprit (étant donné que la mère devait aussi être une partie du fils, du fait que les enfants participent à la chair), alors le Saint-Esprit opérant à travers ces gens a dit: «Il... Que ta postérité possède la porte de l’ennemi!» Puis Dieu jura qu’il posséderait la porte de l’ennemi. Alors dans quelle position cela place-t-il l’Eglise du Dieu vivant?
18 Nous sommes la postérité d’Abraham, car, étant morts en Christ, nous sommes–revêtons la nature de la semence d’Abraham et nous sommes héritiers avec lui, bénéficiaires de cette même promesse qui a été faite sous serment. Nous sommes la postérité d’Abraham, et héritiers de chaque promesse qui lui a été faite. Mais lorsque les tests viennent, c’est là que nous faillissons. Mais je ne crois pas que la véritable semence d’Abraham faillira, elle restera tout aussi brave et fidèle que l’était Abraham.
19 Maintenant, nous voyons que Dieu ne peut pas dire quelque chose ou–ou faire une promesse sans l’accomplir. Il doit le faire pour être Dieu. Des années plus tard, lorsque ce même peuple, le peuple promis, la semence d’Abraham, était en route vers une–une Terre promise, une porte se dressa contre lui, et c’était son propre frère, Moab, qui dit: «Tu ne traverseras pas mon pays. Je veillerai à ce que tu ne traverses pas mon pays.»
20 Il dit: «Si nos vaches broutent de ton herbe ou boivent de ton eau, nous en paierons le prix.»Mais il répliqua: «Tu ne traverseras pas ce pays.»
21 Malgré tout, la promesse de Dieu restait valable. Ils allèrent donc chercher leur prophète Balaam, et le firent descendre pour maudire le peuple. Et voici ce qu’il a dit (Ils ont essayé de lui montrer le pire côté de la semence bénie, mais Dieu lui montra son meilleur côté.), Il a dit: «Quiconque maudira Israël sera maudit, et quiconque le bénira sera béni.» Alors les barrières tombèrent, et Israël traversa les plaines. Dieu a promis qu’il posséderait la porte de son ennemi.
22 Plusieurs années plus tard, il y eut quelqu’un du nom de Daniel, qui se trouvait dans la lignée de cette semence royale, et dans la lignée des promesses, parce qu’il était la semence d’Abraham. Et Dieu l’avait choisi avant la fondation du monde pour être Son prophète. Il a mené une vie qui a fait preuve de noblesse et de loyauté si bien que, même dans un pays étranger, il a résolu: «Je ne me souillerai pas avec eux.» Voilà la véritable semence d’Abraham. Il vivait dans un pays différent, il vivait au milieu des gens différents, mais malgré tout il honora cette promesse: «Je ne me souillerai pas avec eux. Je resterai fidèle.»
23 Dieu le mit à l’épreuve comme Il l’avait fait avec son père Abraham. Et le roi dit: «Ou tu es des nôtres et tu adores comme nous, ou je te jette dans une fosse pleine de lions affamés.»
24 Comme son père Abraham, Daniel dit: «Tu peux me jeter dans la fosse aux lions, mais je ne me prosternerai devant aucune de tes statues. Je n’accepterai pas ta religion formaliste. Je resterai fidèle à Jéhovah.»
25 Et c’est alors que vint l’épreuve de force. Le roi tint sa promesse, et il prit le prophète... ou plutôt le fit emmener et jeter dans la fosse aux lions. Et lorsque les lions, l’ennemi de Daniel, se ruèrent sur le prophète, Dieu tint Sa promesse. Il posséda la porte de son ennemi. Dieu plaça un Ange là, devant ces lions, et s’empara de la porte. Dieu tient Sa promesse: «Il possédera la porte de son ennemi!» Dieu l’a dit.
26 Et puis, il y en avait trois autres là-bas, qui avaient fait le voeu de rester fidèles à la cause, et qui étaient véritablement la semence d’Abraham; et c’étaient Schadrac, Méschac et Abed Nego; et ils furent mis à l’épreuve. On leur dit: «Si vous ne vous prosternez pas lorsque vous entendrez le son de la harpe et de la trompette, si vous ne vous inclinez pas devant notre religion et n’abandonnez pas ces choses pour lesquelles vous–vous prenez position... Et vous êtes dans l’erreur de toute façon. Votre religion ne vaut pas plus que celle des autres.» N’entendons-nous pas cela tout le temps? Mais la–la religion de Jésus-Christ est différente. La puissance de Sa résurrection est différente. Nous sommes un peuple différent, un peuple particulier, un sacerdoce royal. Dieu fait la différence.
27 Mais lorsqu’ils leur dirent: «Il vous faudra vous joindre à nous... Schadrac, Méschac et Abed-Nego n’y auraient vu aucun inconvénient si ces gens-là voulaient se joindre à eux, mais eux ne pouvaient jamais se joindre à ces étrangers. Ces gens ajoutèrent donc: «Si vous ne le faites pas, il y a ici une porte qui mène à une fournaise que nous pouvons ouvrir pour vous y jeter, et alors vous regretterez de ne pas vous être joints à nous.» Ils se souvinrent de la promesse. Ils les conduisirent directement à la fournaise ardente, et lorsqu’ils ouvrirent la porte et qu’ils les jetèrent dans les flammes, leur ennemi qui aurait dû les consumer, ils en possédèrent les portes. Dieu envoya Son Fils dans ces flammes de feu, qui refroidit celles-ci, et Il s’entretenait avec eux pendant qu’ils s’y trouvaient. La promesse de Dieu restait valable. Ils possédèrent la porte de l’ennemi. Ils furent mis à l’épreuve d’abord, ils possédèrent ensuite la porte de l’ennemi.
28 N’est-ce pas Jésus qui a fait la promesse: «Si vous scandalisez un de ces petits, il vaudrait mieux pour vous qu’on suspendît à votre cou une meule de moulin, et qu’on vous jetât au fond de la mer. Ne soyez pas une occasion de chute pour ces petits qui croient en Moi. Et voici les signes qui accompagneront ceux qui croient en Moi.»
29 Il a montré la différence. Il a démontré qui croyait vraiment et qui ne croyait pas. Il y a toujours ces trois groupes de gens: il s’agit de l’incroyant, du soi-disant croyant et du croyant. Mais Dieu a une façon de démontrer qui est un croyant. Le croyant s’en tient fermement à ce que Dieu déclare être la Vérité. Oui.
30 Considérons Elie, le Thischbite. Lorsque vint l’épreuve de force, il se croyait le seul dans le pays qui continuait à vivre pour Dieu. Et le roi allait lui faire subir une épreuve; ils le persécutaient, et cette petite reine au visage fardé, du nom de Jézabel, le menaçait de mort. Quand on en arriva à l’épreuve de force, Elie posséda les portes de son ennemi et ramena toute la nation à Dieu. Dieu tient Sa promesse.
31 Il y eut Moïse qui lui aussi était dans la lignée de cette Semence royale, la semence d’Abraham. Après qu’il fut envoyé en Egypte pour délivrer les enfants d’Israël et que Dieu lui eut donné des signes et des prodiges à accomplir (frapper la terre et faire apparaître des grenouilles et des puces, des ténèbres et de la grêle, de la pluie et du feu), il accomplit tous ces miracles, et cependant, lorsqu’il les fit sortir par la main de Jéhovah, le moment vint où il rencontra la porte qui se dressait entre lui et la Terre promise. La mer Rouge était là, un obstacle sur le chemin. Ils étaient cernés par l’armée de Pharaon, les montagnes, les déserts, et la mer Rouge; mais Moïse s’avança, posséda la porte de son ennemi et traversa la mer Rouge à sec, marchant sur un chemin poussiéreux. «Tu posséderas la porte de l’ennemi.» Dieu l’a dit, et cela règle la question.
32 Une petite année–quelques années plus tard, quand survinrent les épreuves, l’église fut tout ébranlée, car il est si facile pour une congrégation de gens de l’être, lorsque quelque chose ne semble vraiment pas se passer comme prévu. C’est Dieu qui fait en sorte qu’il en soit ainsi. Dieu amène des tensions dans l’église: «Car chaque fils qui vient à Dieu doit être mis à l’épreuve, éprouvé, et testé.» Il laisse la maladie vous frapper. Il laisse des maux venir sur vous, pour vous tester et pour vous éprouver, afin de montrer au monde que vous êtes vraiment la semence d’Abraham. Il le permet par Sa propre volonté. Il permet des désastres, Il permet que vos amis se retournent contre vous. Il permet toutes ces choses et lâche le diable après vous pour vous tenter, et ce dernier fera tout sauf vous enlever la vie. Il pourrait vous jeter sur un lit d’affliction, il pourrait amener vos voisins à se retourner contre vous; il pourrait amener l’église à se retourner contre vous, il peut faire pratiquement tout. Et c’est la volonté de Dieu qu’il le fasse. Il nous est enseigné que cela est plus précieux que l’or pour nous.
33 Qu’en est-il d’Abraham, avec Isaac sur la montagne, lui à qui la promesse avait été faite? Et c’est à cause de sa loyauté, de sa connaissance, et de sa foi en Jéhovah, et rien que pour cela que Dieu abaissa Son regard et dit: «Sa semence possédera les portes. J’ai juré par Moi-même que Je ferai ces choses.» Ne pouvant jurer par un plus grand que Lui, Il jura alors par Lui-même. S’Il a donc laissé Abraham être testé jusqu’à ce point final, Il doit nous tester, vous et moi, jusqu’à ce moment final, ce moment de décision où il n’y a plus rien autour de vous et où vous devez vous tenir là tout seul. Alléluia! C’est cela.
34 Tenez-vous seul! Avancez-vous là, et dites: «Même s’Il me tue, je Lui ferai confiance.» Voilà la semence d’Abraham. Voilà Celui qui fait la promesse. Peu importe ce que les autres disent, et ce que les autres font: «Moi et ma maison, nous servirons Dieu», dit-elle. Si tous les autres disent: «Cette expérience, il n’en est rien; ce n’est qu’un tas d’exaltation». «Moi et ma maison, nous servirons Dieu!» Et ici j’aimerais me rallier à Paul pour dire: «Je sers le Dieu de nos pères, selon la voie qu’ils appellent une secte.» Même si des cancanières entrent dans l’église, même s’il y a des filous, et même si toutes sortes de faux prophètes et toutes sortes de choses entrent dans l’église parmi les gens, et dans le voisinage, et tout le reste; mais, moi et ma maison, nous servirons l’Eternel! Même si tous les gens cessent de venir, même si l’église devient froide et indifférente, moi et ma maison, nous servirons l’Eternel! Même si on prie pour quelqu’un et que ce dernier ne soit pas guéri, cela n’a rien à voir; moi et ma maison, nous servirons l’Eternel! Les tests et les épreuves.
35 Les hommes ne sont pas infaillibles, mais Dieu l’est. L’homme, si vous comptez sur lui, il commettra une erreur; peut-être pas volontairement, mais il le fera. Dieu permet qu’il le fasse, afin de pouvoir détacher votre foi de l’homme. Notre foi n’est pas dans la sagesse de l’homme, mais dans la puissance de la résurrection de Jésus-Christ. C’est là où la véritable semence d’Abraham fait reposer la promesse qu’elle a; parce qu’ils ne peuvent être la semence d’Abraham que lorsqu’ils reçoivent le Saint-Esprit. Sans le Saint-Esprit, ils ne sont pas la semence d’Abraham. Et cette même foi qui était en Abraham entre dans le croyant. Peu importe ce qui arrive, ou l’opposition, le croyant poursuit carrément sa marche.
36 Les espions revinrent en disant: «Oh! c’est–c’est une folie que d’essayer. C’est inutile d’aller plus loin, parce que ces gens-là sont de tels géants, et ils ont une grande administration, et ils–ils ont des lances et, eh bien, nous paraissons même comme des sauterelles à côté d’eux.»
37 Je ne sais pas, mais je suis porté à croire que Josué était juste un tout petit avorton, juste un petit bout d’homme. Je peux le voir sauter sur une espèce de caisse, et dire: «Hommes frères,» (s’adressant à deux millions de gens,) «nous sommes plus que capables de les vaincre!» Voyez-vous? Pourquoi? C’était là une semence d’Abraham. Dieu avait fait la promesse. C’était leur possession. Dieu avait fait la promesse. Quelle que fût l’opposition, la vraie semence d’Abraham disait: «Nous pouvons nous en emparer, parce que Dieu nous l’a donné!»
38 Voilà votre position ce matin. Voilà la position de l’Eglise du Dieu vivant. Peu m’importe ce que quiconque d’autre dit, ce que le médecin dit, ou quoi que ce soit, ce que l’incroyant dit, nous pouvons–nous sommes plus que capables de faire face à tout ce qui peut se présenter. Nous sommes la semence d’Abraham, et nous posséderons la porte de notre ennemi. Quel que soit l’ennemi, Dieu a fait la promesse. C’était à eux, c’était leur possession.
39 La guérison est votre possession; le salut est votre possession, le Saint-Esprit est votre possession. Et des milliers et des milliers de prédicateurs et les autres dans le pays aujourd’hui disent que ce n’est pas vrai. Mais la semence d’Abraham sait que cela est vrai. Ils passent carrément à l’attaque et possèdent les portes de l’ennemi. Dieu a dit qu’ils le feraient. Ils le croient, parce que c’est une promesse. «Sa semence possédera la porte de l’ennemi.» Toujours est-il que vous allez passer par des tests et des épreuves.
40 Et Josué s’est tenu là, loyal. Le petit homme a dit: «Peu m’importe combien ils sont grands, peu m’importe quelle sorte de lance ils ont, combien leurs villes sont fortifiées par de hautes murailles, et combien c’est imposant, nous avons cette promesse que la porte sera possédée par la semence des enfants de Dieu, et allons là-bas pour nous en emparer. Nous sommes plus que capables de les vaincre.» Oh! voilà la véritable semence.
41 Beaucoup d’entre eux, qui étaient issus de la semence naturelle, dirent: «Nous ne pouvons simplement pas le faire. Inutile d’essayer. Ils... Ils sont plus nombreux et de loin supérieurs à nous, nous sommes minables.» Peu imp-... il ne... ils regardaient au–à ce que l’oeil voyait, alors que Josué regardait à ce que Dieu avait dit.
42 La semence d’Abraham ne regarde à aucune chose naturelle. Ils regardent à ce que le Seigneur a dit. C’est la promesse. Que se serait-il passé si Abraham avait regardé au naturel, à une femme âgée de cent ans, de quatre-vingt-dix ans, alors que lui-même en avait cent, et au fait qu’il avait vécu avec elle depuis qu’elle était jeune fille et lui jeune homme, sans avoir de postérité? Il ne regardait pas à ces choses. Il dit qu’il considérait ces choses comme si elles n’étaient pas, car il regardait seulement à ce que Dieu avait dit. «Je te bénirai, Abraham, et Je te donnerai une postérité par Sara.» Et il a cru cela. Nous ne regardons pas à l’opposition, nous regardons à ce que Dieu a dit. Dieu l’a dit, cela règle la question.
43 Ainsi, lorsqu’ils arrivèrent au Jourdain, après que Josué eut été établi commandant en chef de l’armée, lorsqu’ils arrivèrent là, tout au bord de l’eau, ils pouvaient regarder de l’autre côté et voir Jéricho, mais devant eux, tandis que Josué avait son armée toute prête, une porte les en séparait. Et cette porte s’appelait le Jourdain. Mais la promesse de Dieu est valable pour toutes les portes. Quelle que soit la porte, la promesse de Dieu est valable. «Il possédera les portes de son ennemi.» Cela règle la question. Lorsqu’il arriva au Jourdain ce matin-là, il se peut que... je suis porté à croire que le diable avait fait en sorte que tout le ciel soit chargé de nuages orageux, qu’il y ait beaucoup d’eau boueuse qui déferle par là et que les champs soient ravagés par l’inondation. Oh! quel temps d’épreuve! Mais Josué a dit: «Préparez-vous, vous allez voir la Gloire de Dieu.» Et ils se sanctifièrent et se préparèrent; ils se sont préparés alors que tout semblait aller à l’encontre. Mais il s’agissait là de la semence d’Abraham à laquelle Dieu avait juré: «Je lui donnerai la porte.» Il vint au Jourdain; c’était sa porte, et il la posséda.
44 L’un de ces quatre matins, je devrai, moi aussi, arriver à cette dernière porte. Vous devrez arriver au Jourdain. Mais la semence d’Abraham possédera la porte, quelle qu’elle soit; elle possédera la porte de chaque ennemi.
45 Tous ces hommes étaient de grands hommes. Ils sont morts étant dans la lignée. Mais finalement, un jour, à Bethléhem de Judée, fut née la Semence royale, dont toutes les autres n’étaient que des ombres. La Semence royale naquit, non pas d’un homme, mais Il naquit par une vierge, avec dans Ses veines, la puissance pour vaincre la mort et l’enfer. Dieu avait fait une promesse. Un homme ordinaire n’aurait pas pu le faire. Mais, si Dieu fait une promesse, Il est exactement le même Dieu qu’Il était il y a quelques instants pour Abraham: Jéhovah-Jiré, le Seigneur pourvoira au moyen pour s’emparer de la porte. Comment allons-nous le faire? Josué mourut, Moïse mourut, et tous les autres moururent, mais Dieu dit: «Il possédera la porte de son ennemi.» Comment va-t-il posséder la mort? Il a une façon de faire les choses. «Il possédera la porte de son ennemi.»
46 La Semence royale naquit. Il fut tenté en toutes choses comme nous. De même que vous devez être tentés, Lui aussi l’a été. Lorsqu’Il a reçu le Saint-Esprit, le diable L’emmena vite au désert pour y être tenté pendant quarante jours et quarante nuits. Et lorsqu’Il en sortit... Et à Sa mort, ils enfoncèrent des clous dans Ses mains et Lui crachèrent au visage. Il a enduré chaque maladie. Mais, lorsqu’Il était ici sur terre, Il a prouvé qu’Il pouvait vaincre la maladie. Lorsque la belle-mère de Pierre était au lit, atteinte de paralysie, Il toucha sa main, et la fièvre la quitta. Lorsque le lépreux cria à la porte: «Impur! Impur! si Tu le veux, Tu peux me guérir.» Il a dit: «Je le veux, sois guéri.»
47 Il vainquit et s’empara de la porte de la lèpre. Il s’empara de la porte de la fièvre. Il fit que toute la nature Lui obéisse. Il était la Semence d’Abraham, la Semence royale, c’est à Lui que la promesse avait été faite, et, par Son entremise, à Abraham et à toute la semence qui l’a suivi jusqu’à la Semence royale, et à toute la semence après Lui. La promesse de Dieu est vraie. Il vainquit la maladie. Il vainquit la tentation. Lorsque l’ennemi Lui a craché au visage et L’a frappé à la joue, Il tendit l’autre. Lorsqu’ils arrachèrent la barbe de Son visage et crachèrent sur Lui, Il ne répondit pas par des injures. Il vainquit la porte de la tentation et s’en empara.
48 Et vous dites alors: «Avec mon tempérament colérique, je ne saurais pas le faire.» Vous, semence d’Abraham! Absolument. Il l’a vaincu pour vous.
49 Et quand Il fut injurié, Il ne répondit pas par l’injure. Quand Il fut tourné en dérision, Il garda le silence. Quand Il fut appelé un démon, Il garda le silence. Il avait une seule préoccupation, c’étaient les affaires du Père; et c’est à cela qu’Il était occupé. Et puis, finalement, ils L’emmenèrent à une croix. Il devait affronter la mort. Tous les autres avaient vaincu des mers, ils avaient vaincu la nature; ils avaient vaincu des lions, et ils avaient vaincu le feu. Ils avaient tout vaincu, sauf la mort. Mais ici se trouvait Quelqu’Un qui était préoccupé par cela, et ces gens avaient le pouvoir qui triomphe de la mort. Ils prirent donc Ses mains, ils L’étendirent là, et Le clouèrent à une croix. Ils Le battirent et Le meurtrirent au point qu’on pouvait compter Ses os; et eux, ils Le regardaient. Mais, à ce moment-là, après qu’ils Lui eurent fait tout ce qu’ils pouvaient, la mort Le frappa en disant: «Maintenant, je vais Te prendre comme j’ai pris Josué. Je vais Te prendre comme j’ai pris Daniel. Et je vais faire tout ceci pour Te faire mourir.»
50 Et Il mourut, à tel point que le soleil eut honte de lui-même. Il mourut, à tel point que la nature eut honte, et refusa d’opérer. Le soleil se coucha au milieu du jour, et les étoiles refusèrent de briller. Il mourut, à tel point que les éléments devinrent si noirs que vous ne pouviez pas voir votre main devant vous au milieu de la journée. J’imagine que la nature a dit: «Laissez-moi mourir avec Lui.»
51 Frère, le diable envoya ensuite Sa précieuse Ame dans les abîmes de l’enfer. Là, les portes s’ouvrirent, mais Il en sortit le troisième jour et Il vainquit cela. Amen! «Sa Semence possédera la porte de l’ennemi.» Il vainquit la mort, Il vainquit l’enfer. En ce premier matin de Pâques, Il vainquit la tombe. Et maintenant nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés.
52 Le jour de la Pentecôte, Il envoya le Saint-Esprit pour continuer, au travers des Gentils, pour faire sortir une semence de promesse, pour donner aux Gentils, à ceux qui étaient bannis, pour leur donner le baptême du Saint-Esprit, afin qu’ils aient part à la promesse. Nous avons maintenant le droit de vaincre toute maladie. Nous n’avons pas à la vaincre, elle est déjà vaincue. Nous n’avons qu’à revendiquer la promesse, et à aller nous en emparer. C’est déjà vaincu. La mort est vaincue; l’enfer est vaincu; la maladie est vaincue; la tentation est vaincue. Tous les démons sont vaincus. L’enfer est vaincu; la mort est vaincue; la tombe est vaincue. Nous nous tenons dans la porte, et nous nous en emparons. Nous n’avons pas à tirer un seul coup de feu, le prix en a déjà été payé.
53 Son ennemi... Il possédera la porte de son ennemi. Combien? Des milliers de myriades! Il possédera la porte de son ennemi, de chaque ennemi. Il est ressuscité d’entre les morts. Nous possédons cela, parce qu’Il nous l’a donné. Tout ça, c’est un don gratuit. Et en plus de tout cela, de tout ce qu’Il a fait, Il a vaincu chaque porte, Il a vaincu la maladie et s’est emparé de cette porte. Tout ce que nous avons à faire, c’est de nous avancer jusqu’à la porte et de dire: «Au Nom de Jésus-Christ le Vainqueur!» Amen!
54 Quand vient le temps de mourir, et que la mort dira: «Voyez comme je vais lui faire renier sa religion.»
55 «Au Nom de Jésus-Christ de Nazareth, recule, Jourdain!» La semence d’Abraham s’empare de la porte.
56 Oh! Paul, une semence d’Abraham, a dit, lorsqu’on était sur le point de lui trancher la tête, il a dit: «Ô mort, où est ton aiguillon? Ô tombe, où est ta victoire? Grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par Jésus-Christ!»
57 Il possédera la porte de son ennemi, Il s’en emparera. Maintenant, Il ne sera pas battu à la porte; Il la vaincra et s’en emparera. Il la possédera! Il en a le pouvoir.
58 Dans l’Eglise du Dieu vivant, ce matin, se trouve la puissance de guérir toute maladie. Dans l’Eglise du Dieu vivant se trouve la puissance de vaincre toute tentation. Entre les mains de l’Eglise du Dieu vivant, ce matin, se trouve la puissance de changer le péché, de le rejeter et de recevoir le baptême du Saint-Esprit, dans l’Eglise de Jésus-Christ. «Tout ce que vous désirez, demandez-le en Mon Nom, et cela vous sera accordé. Encore un peu de temps, et le monde (ceux qui ne sont pas... pas la Semence, mais il s’agit de la semence qui n’est pas régénérée) ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous et même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Quoi? La Semence royale. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Je confirmerai Moi-même que Je suis avec vous, car ces signes accompagneront ceux qui auront cru.» Il possédera la semence de son ennemi. Il possédera... «Sa postérité possédera la porte de son ennemi.» Quelle que soit la porte: que ce soit la maladie, les tentations, le péché, quelle que soit la porte, elle est vaincue. Et la semence d’Abraham la possède.
59 N’êtes-vous pas heureux ce matin de savoir que tel que nous nous tenons maintenant, nous sommes plus que vainqueurs, plus que vainqueurs? Oh! il n’y a pas de quoi combattre. Le combat est terminé; le coup de sifflet a retenti, le drapeau a été hissé. Et, au milieu de chaque amoncellement de péché, au milieu de chaque chambre de malades, il y a la vieille croix rugueuse plantée par le Sang de Jésus-Christ, le Vainqueur. La seule chose que nous faisons, c’est croire, c’est regarder et vivre. «Je serai avec vous, Je le confirmerai!» Les gens viennent dans les derniers jours et disent: «Oh! eh bien, cela existait autrefois.» «Mais Je serai avec vous, et les choses mêmes que J’ai faites ici sur terre, Je serai en vous, faisant les mêmes choses. Alors vous saurez. Ils Me verront. Le... Mon peuple Me verra. La semence d’Abraham Me verra. Ils Me connaîtront, ils Me reconnaîtront. Les autres M’appelleront Béelzébul, exactement comme l’avaient fait ceux d’autrefois, mais vous, vous Me connaîtrez, car Je serai avec vous. Vous Me verrez, vous verrez de vos yeux. Vous Me verrez, car Je serai avec vous, jusqu’à la fin du monde. Les choses mêmes que Je fais, celui qui croit en Moi, fera aussi les oeuvres que Je fais.» Les oeuvres du même genre!
60 Et aujourd’hui, l’Eglise du Dieu vivant a le privilège de se tenir là et de voir Jésus-Christ, le Fils du Dieu vivant, ressuscité et vainqueur, ici présent, vivant dans Son Eglise, faisant à nouveau la même chose qu’Il avait faite. Alors nous possédons la porte de chaque ennemi.
61 Si vous avez un ennemi ce matin, eh bien, mon frère, il n’y a que... si vous êtes une semence d’Abraham, après avoir entendu ceci, il n’y a pas assez de démons en enfer pour maintenir cette porte devant vous. Elle s’ouvrira. Peu m’importe ce que c’est; avancez-vous là en tant que semence promise, et dites: «Je réclame ceci comme mien. Ceci m’appartient, parce que Dieu a juré qu’Il ressusciterait Jésus, et que par Jésus je vaincrais cela. Et je viens au Nom de ce Vainqueur Jésus-Christ. Recule, je passe!» Amen. «Il possédera la porte de l’ennemi.» Alors tenez-vous là, les épaules bien droites et votre bouclier astiqué, couvert du Sang du Seigneur Jésus, et l’ennemi reconnaîtra cela.
62 Si vous avez besoin de quelque chose, parlez-Lui maintenant, alors que nous prions. Et vous qui êtes ici ce matin, pendant que vos têtes sont inclinées, si vous avez un besoin, veuillez simplement lever la main vers Jésus et exprimez-le-Lui dans votre coeur. Dans votre coeur, dites: «Seigneur, Tu connais mon besoin. Maintenant, j’ai entendu dire ce matin, et c’est la Bible: ‘Il possédera la porte de l’ennemi.’ Je viens pour posséder la porte. Peut-être que j’ai un tempérament colérique, peut-être que j’ai besoin du Saint-Esprit, ou que le péché m’a complètement lié. J’ai un besoin, mais je viens à la porte maintenant. Je vais m’en emparer ce matin, m’emparer de ma porte. Ainsi écarte-toi, je passe.»
63 Seigneur adorable, Tu as vu toutes ces mains, et Tu sais que ceci est Ta Parole, Seigneur. Je n’ai fait que La citer, montrant comment, tout au long des Saintes Ecritures, les personnages de la Bible vainquirent des royaumes, exercèrent la justice, éteignirent le feu, la puissance du feu, échappèrent au tranchant de l’épée, fermèrent la gueule des lions, et, oh, comment par-dessus tout, des femmes recouvrèrent leurs morts par la résurrection, et bien des choses–parce que Tu l’as promis. C’est Ta promesse: «Sa semence... ta semence, Abraham, possédera la porte de–de l’ennemi.» Et Tu tiens Ta promesse.
64 Maintenant, accorde-leur, ô Seigneur, le désir de leur coeur. Puissent-ils partir d’ici changés. Puissent-ils repartir convaincus qu’ils sont–qu’ils sont vainqueurs, parce que la Semence royale a vaincu pour eux. Lorsque le Roi majestueux vint, né d’une vierge, Il a vaincu chaque ennemi, même la mort. Ainsi la mort même ne peut pas effrayer la semence d’Abraham. Nous avons la promesse que nous hériterons la terre, et que nous reviendrons avec plus de gloire, dans un corps glorifié, après que le dernier ennemi aura été mis sous les pieds du tout dernier enfant de Dieu qui entrera dans le Royaume.
65 S’il y a des pécheurs parmi ceux qui ont les mains levées, Seigneur, sauve-les. Ceux qui sont en train de rétrograder, fais-leur savoir qu’ils ne sont pas tenus de demeurer rétrogrades, qu’ils peuvent posséder cette porte de la rétrogradation. Peut-être que cette personne qui a un tempérament colérique, ou une–une langue qui tient des propos vulgaires et grossiers, ou bien un coeur rempli de convoitise ou une personne qui est avide d’argent ou–ou de choses impures, fais-lui savoir qu’elle peut posséder cette porte. Peut-être qu’il s’agit d’une maladie, Seigneur, des afflictions; ils peuvent posséder cette porte, car «Il fut blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et par Ses meurtrissures nous avons été guéris». Ce matin, nous sommes vainqueurs. Accorde-le, Seigneur. Et en plus de toute cette grande oeuvre qu’Il a accomplie, Il est pourtant avec nous. C’est ce qu’Il avait promis. «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, et même en vous, jusqu’à la fin de l’âge.» Je Te prie, Père, de Te faire connaître à chacun ce matin. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
66 Croyez-vous que ceci est la Vérité? Croyez-vous solennellement que c’est la Vérité, sans l’ombre d’un doute dans votre coeur? Eh bien, souvenez-vous simplement de ceci: l’oeuvre du Saint-Esprit est tellement simple que cela confond l’esprit intellectuel. Les choses les plus simples que j’aie jamais... J’ai vu le Saint-Esprit faire ceci, je dirais des choses que, eh bien, je n’aurais jamais pensé être ainsi. Si je devais utiliser ma propre pensée, je dirais: «Eh bien, ça ne peut pas être juste.» Mais c’est toujours juste. Il fait les choses de façon si simple. Il fait les choses afin de se faire connaître à Son peuple. Dieu est avec Son peuple. Il est au milieu de Son peuple. Il les aime, et Il veut faire quelque chose pour eux et les aider, et Il veut leur faire voir, non pas ce qu’Il fera, mais ce qu’Il a déjà fait. Il l’a déjà fait, c’est à vous. Cela vous appartient. C’est un don gratuit de Dieu notre Père à Son Eglise.
67 Eh bien, combien la pensée intellectuelle sera embrouillée, comme c’était le cas à l’époque de Daniel et des enfants hébreux, et de–de tant d’autres dont nous avons parlé ce matin. Voyez-vous, le grand monde intellectuel de l’époque était tout aussi difficile à vaincre que celui de nos jours. Ç’a toujours été l’ennemi; leur manière de voir, et leur science moderne, toutes ces choses étaient tout aussi compliquées et le reste pour l’esprit des gens de l’époque qu’elles le sont pour nous aujourd’hui. Voyez-vous, c’était pareil. Mais il y a toujours eu ceux qui ont osé rester là et dire: «Dieu a raison. La Parole de Dieu est vraie.»
68 Mais vous, vous n’avez pas besoin de vaincre, parce qu’Il a déjà vaincu. Tout ce que vous avez à faire, c’est de vous avancer et de prendre... de vous tenir dans la porte et dire: «C’est à moi. Ceci m’appartient. Mon salut, Dieu me l’a donné. Si j’ai besoin du Saint-Esprit, Dieu me L’a donné. La promesse est pour moi, pour nos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur les appellera.» C’est pourquoi je me tiens simplement...
69 Ce ministère de discernement que j’exerce et le reste, cela prendra fin bientôt. Oh! il sera toujours là, mais ceci se terminera bientôt, parce qu’il y aura quelque chose de plus grand. Voyez-vous? Cela va en progressant; cela a commencé en prenant la main pour passer ensuite au discernement, et maintenant c’est sur le point de passer à un autre type de ministère. Voyez-vous? Le voyez-vous? Observez cela, et sachez que c’est véridique. Voyez-vous? Je sais que c’est la Vérité, et cela ira en devenant plus glorieux, plus élevé, et meilleur. Certainement. Certes, Il l’a promis! Et ce qu’Il promet, Il l’accomplit. Il ne peut manquer à Sa promesse. Et qu’est-ce? Sa Présence toujours vivante parmi nous, pour faire–pour vous faire savoir qu’Il s’est emparé de la porte pour vous.
70 Il était la Semence royale; personne d’autre que Lui ne pouvait s’emparer de ces portes. Tous ces gens d’autrefois étaient des ombres de Sa Venue; mais, lorsqu’Il vint, cela mit complètement fin au combat. Le combat prit fin à Gethsémané et au Calvaire. Et maintenant, nous sommes simplement vainqueurs. Voyez-vous, il n’y a aucun combat à livrer. Pour nous, le combat est terminé, nous possédons simplement cela. Nous avons le titre de propriété, une garantie écrite de Dieu, notre Père, qui leva Sa main et dit: «Je le jure par Moi-même, Sa semence possédera la porte de l’ennemi.» Et voilà, c’est déjà acquis. «Il fut blessé pour nos péchés; c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» C’est déjà accompli, c’est une oeuvre achevée, nous possédons cela. «Et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Le Roi est avec nous ce matin. Ses grandes bénédictions, le Saint-Esprit se mouvant au-dessus de nous... De pouvoir éprouver ce glorieux sentiment, en sachant que cela s’accorde parfaitement avec la–s’accorde avec la Parole de Dieu, quel merveilleux réconfort pour nous de savoir que–que Dieu est notre Père.
71 A présent, je crois... A-t-il... a-t-il distribué des cartes de prière ce matin? Je lui ai dit: si–s’il n’y a que les–les gens du Tabernacle, eh bien, tu ne distribues pas des cartes de prière, mais que s’il–s’il y a environ dix ou quinze personnes, des étrangers dans nos murs, eh bien, tu distribues des cartes de prière afin que nous puissions les faire venir devant et prier pour eux.» Combien y a-t-il d’étrangers parmi nous ce matin? Levez la main. Oh! la la! Certainement, il y en a quinze ou vingt. Très bien. Nous allons aligner ceux qui ont ces cartes de prière et les faire monter sur l’estrade. Voyez-vous, la raison pour laquelle j’ai dit cela au sujet des gens du Tabernacle, c’est puisqu’ils sont ici.
72 Ce discernement, souvenez-vous, je vous le dis, le discernement cessera bientôt. Il y aura quelque chose de loin plus glorieux et de loin meilleur; c’est déjà en route. Il y avait à ma connaissance... Voyez-vous, je suis en train de regarder deux frères qui étaient avec moi hier, quand cela est arrivé (voyez-vous?), et aussi la veille, quand c’est arrivé. Cela fait maintenant trois fois de suite que cela se produit: une confirmation que la chose est toute proche, vous voyez, juste sur le point de se produire.
73 Maintenant, Seigneur, Tu es Dieu, et nous sommes Tes serviteurs. Nous Te remercions pour Ta Parole, pour le Saint-Esprit qui a béni nos coeurs. Et maintenant nous sommes heureux d’être assis ici, et de savoir que nous sommes vainqueurs. Nous possédons déjà toutes les portes de l’ennemi. Cela nous a déjà été donné, et nous avons le passe-partout dans notre main. Le Nom de Jésus-Christ ouvrira toutes les portes de l’ennemi. Prenez cette clé, la clé du Nom de Jésus, et ouvrez chaque porte que l’ennemi a placée devant vous pour vous empêcher d’accéder aux promesses. Et, ô Dieu, ce matin, nous venons au Nom de Jésus avec cette clé, afin d’ouvrir les portes pour les malades et les affligés. Car il est écrit dans–dans Sa Parole: «En Mon Nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; et s’ils saisissent des serpents ou boivent quelque breuvage mortel, cela ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Nous savons que ces choses sont vraies. Et accorde ce matin, Seigneur, qu’ils puissent–que les gens puissent reconnaître, par la manifestation de la Parole faite chair habitant parmi nous, qu’Il a été blessé pour nos péchés, et que par Ses meurtrissures nous avons été guéris; et puissent-ils L’accepter ce matin et être guéris de toutes leurs maladies, leurs afflictions et soulagés de leurs problèmes. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
74 Teddy, voudrais-tu jouer Crois seulement doucement et lentement, s’il te plaît? Et maintenant... Quoi? Qu’on commence avec le numéro 1? Carte numéro 1. Les cartes de prière numéros 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 et 10, ou quelles que soient les cartes qui ont été distribuées. Très bien. Si vous pouvez vous lever, et venir tranquillement de ce côté-ci. (Quoi?) Ça fait environ... Voyons voir: numéro 1, numéro 2. Qui a la carte de prière numéro 1? Quoi? Numéro 2? Très bien, Monsieur. Numéro 3, numéro 4, numéro 5, numéro 6, numéro 7, numéro 8, numéro 9, numéro 10.
75 Tandis qu’ils s’avancent et prennent place debout, j’aimerais poser cette question au reste d’entre vous. Combien... Y a-t-il ici des gens du Tabernacle qui sont malades? Des gens du Tabernacle, levez la main. Il y en a environ cinq, quatre, cinq, six, sept, huit; huit ou neuf mains. Y a-t-il quelqu’un ici dans le Tabernacle, quelqu’un qui n’est pas du Tabernacle, qui est étranger parmi nous, et qui est peut-être arrivé après le service et n’a pas obtenu de carte de prière, voulez-vous lever la main? Quelqu’un qui a besoin de Dieu, qui n’est pas... qui... qui ne fréquente pas ce Tabernacle. Toute personne ici présente qui n’est pas membre du Tabernacle, qui–qui est malade, sans carte de prière, et qui désire qu’on se souvienne de lui dans la prière. Voulez-vous lever la main, chacun? Très bien. C’est bon. Très bien.
76 Maintenant, je vais vous demander d’être aussi respectueux que possible pour quelques–quelques instants; et puis nous allons tout de suite commencer. Maintenant, voyons, combien de places te reste-t-il, Billy? Très bien. Est-ce... Est-ce que tu as le numéro 10, là-bas? J’ai appelé de 1 à 10. Que les numéros 11, 12, 13, 14, 15 se lèvent à présent. Si ceux qui ont les numéros 10, 11, 12, 13, 14, 15 sont là, qu’ils se lèvent. Très bien: 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12. Il en manque encore deux; de 1 à 15. [Frère Branham compte à voix basse.–N.D.E.] 15, 16, 17, 18, 19, 20.
77 Oh! attendez un instant! Je–je lui ai dit de donner des cartes de prière seulement aux gens qui n’étaient pas du Tabernacle. C’est juste, voyez-vous, parce que ce serait, voyez-vous, le discernement. Les gens disent: «Ces gens fréquentent le Tabernacle.» Voyez-vous? Laissez-moi vous dire... Combien sont venus... combien ne sont jamais venus ici auparavant? Faites voir vos mains. Ceux qui n’ont jamais été dans mes réunions auparavant. Bon, très bien, maintenant, juste un moment, Frère Teddy.
78 Maintenant, je pourrais dire ceci. De toute façon, vous avez tous entendu parler des réunions, comment elles se déroulent, n’est-ce pas? Vous avez tous déjà assisté aux réunions? Voyez-vous, lorsque notre Seigneur Jésus était ici sur terre, Il ne prétendait pas être un Guérisseur. Il était la Semence d’Abraham, certainement, et la promesse L’accompagnait. Il a dit qu’Il ne faisait rien sans que le Père le Lui ait montré. N’est-ce pas vrai? Et Il a dit: «Je ne peux rien faire avant que le Père ne Me montre ce qu’il faut faire.» Et Il le voyait par... Non pas: «Tant que le Père ne Me le dit pas», mais «tant que le Père ne Me le montre pas». Jean 5.19. «Ce que Je vois faire au Père, le Fils le fait pareillement.»
79 Or, lorsqu’Il–Il vint, nous voyons qu’au commencement de Son ministère, après avoir revêtu la–la nature de la semence de David... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... spirituellement parlant, la... quand le Saint-Esprit vint sur Lui lors de Son baptême par Jean, et qu’Il devint le Messie oint... Maintenant, souvenez-vous, Il était le Fils de Dieu lorsqu’Il naquit. Il était le Fils de Dieu né d’une vierge. Mais Il devint le Messie lorsque le Saint-Esprit vint sur Lui; car le Messie signifie «l’Oint». Voyez-vous? Et Il est devenu l’Oint lorsque le Saint-Esprit est venu sur Lui. Vous m’avez entendu prêcher sur L’Agneau et la Colombe. Alors nous voyons qu’Il... Après Ses quarante jours de tentation, Il sortit.
80 Comment Son ministère a-t-il commencé, et comment s’est-il terminé? Nous voyons qu’au cours de Son ministère, il y eut un homme du nom d’André qui alla trouver son frère Simon, un pêcheur, et le conduisit vers Jésus. Et Jésus lui dit: «Tu t’appelles Simon. Le nom de ton père est Jonas. Désormais, tu seras appelé Pierre, ce qui signifie ‘petite pierre’.» Vous en souvenez-vous? Et cet homme fut frappé d’étonnement devant ce que Jésus lui avait dit. Eh bien, le Messie était-Il censé faire cela? Combien le savent? Dites «amen». [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Il devait être le Dieu-Prophète. Absolument. Moïse avait dit: «L’Eternel, ton Dieu, suscitera un prophète comme moi. Si quelqu’un n’écoute pas ce prophète, celui-là sera retranché du milieu du peuple.»
81 Maintenant, nous voyons ensuite que plus tard, Il était... Il vint chez les Siens. Qui étaient-ils? Les Juifs, d’après la lignée naturelle. Et ainsi les Siens ne L’ont point reçu. Alors donc, Il dut... Maintenant cela doit aller chez les nations, vous voyez, car les Siens ne L’ont pas reçu. «Mais à tous ceux qui L’ont reçu, Il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu.» Alors Il s’est donc tourné vers les nations, et cela depuis deux mille ans. Mais maintenant, remarquez les choses qu’Il a faites.
82 Puis Philippe, après avoir vu cela se produire, alla trouver Nathanaël et lui dit qui il avait trouvé, et ce que Celui-ci avait fait et qui l’avait frappé d’étonnement. Il pouvait difficilement le croire, mais quand il entra dans la Présence du Seigneur Jésus, quand il Le trouva et qu’il entra dans Sa Présence, Jésus dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»
83 Maintenant, si vous vous teniez là, pensez-vous que vous auriez été assez spirituel pour comprendre de qui il s’agissait là? Pensez-vous que vous auriez compris? Maintenant, observez. Voyez, cet Homme, un simple Etranger, Il aurait pu être un pêcheur. Il était Charpentier; voilà ce qu’Il était. Ce Charpentier se tenait là, un Homme d’âge moyen, et voici que s’avance cet homme. Il le regarde, comme l’un de ces hommes ici, et dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» Eh bien, comment savait-Il que c’était un Israélite? Ce n’est pas à la façon dont il était habillé, parce qu’ils s’habillaient tous de la même façon. «Dans lequel il n’y a point de fraude.» Comment savait-Il que c’était un–un homme dans lequel il n’y avait point de fraude?
84 Aussi cela étonna cet homme. Etant un vrai croyant, il dit: «Rabbi,» (ou frère, prédicateur, docteur) «quand m’as-Tu déjà vu?» Voyez-vous, il L’a interrogé.
85 Il répondit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
Il dit: «Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.»
86 Jésus dit: «Parce que Je t’ai dit ceci, tu crois donc; maintenant tu verras de plus grandes choses que celles-ci.»
87 Et voilà pourquoi je crois que l’Eglise du Dieu vivant verra une plus grande chose que celle-ci. Elle est maintenant sur le point d’entrer sous peu là-dedans, voyez-vous, parce qu’ils y ont cru. Ceux qui l’ont rejeté à cause des barrières dénominationnelles, je doute qu’ils arrivent une fois à croire quelque chose. Voyez-vous? Des choses... Ou vous marcherez dans la Lumière, ou vous serez aveugles. Soit la lumière aveugle, soit elle montre le chemin.
88 J’ai vu de petits oiseaux, à la Statue de la Liberté (Assure-toi bien d’aller voir cela, Frère Toms, quand tu iras, tu vois?), qui se fracassaient la tête contre cela. Et j’ai dit: «Qu’est-ce qui s’est passé?»
89 On m’a répondu: «Au lieu de suivre la lumière, pendant la tempête, vers un lieu sûr, ils ont essayé d’éteindre la lumière en la frappant, et ils se sont tués.»
90 C’est la seule chose qui arrive lorsque vous luttez contre la Lumière: vous vous tuez spirituellement. Marchez simplement dans la Lumière comme Il est Lui-même dans la Lumière, alors nous serons en communion les uns avec les autres, toutes les églises croiront et avanceront en se réjouissant des bénédictions de Dieu. Ne serait-ce pas merveilleux?
91 Regardez la femme samaritaine lorsqu’elle est arrivée. Elle était donc une Samaritaine; non pas une Juive, mais une Samaritaine. Et Jésus a dit: «Donne-Moi à boire.» Et la conversation se poursuivit. (Ceci c’est pour les nouveaux venus maintenant.) Et la conversation se poursuivit.
92 Maintenant, elle ne savait pas du tout qu’Il était le Messie. Il était simplement un–un Homme, un Juif. Remarquez ce qu’elle Lui a dit pour commencer, elle a dit: «Mais, il n’est pas de coutume pour vous, les Juifs, de parler ainsi à une femme samaritaine.» Elle a dit: «Il n’y a pas de relations entre nous.»
93 Jésus dit: «Mais si tu savais qui est Celui à qui tu parles, tu M’aurais toi-même demandé à boire; et Je t’aurais apporté–donné une eau qui n’est pas celle que tu viens puiser ici.»
94 Eh bien, elle dit: «Une petite minute.» Elle ajouta: «Nous, nous adorons sur cette montagne, et–et vous, les Juifs, vous adorez à Jérusalem.»
95 Jésus dit: «Mais l’heure vient où les–où vous n’adorerez ni à Jérusalem ni sur cette montagne, mais en Esprit; car Dieu est un Esprit, et il faut que ceux qui L’adorent L’adorent en Esprit et en Vérité.» Voyez-vous?
96 Eh bien, Il continua et poursuivit la conversation jusqu’à ce qu’Il a découvert où résidait son problème. Quel... Vous savez ce qu’était son problème? Y a-t-il quelqu’un ici qui sait ce qui n’allait pas chez la femme au puits? Elle avait trop de maris, n’est-ce pas? Ainsi Il lui dit: «Va, cherche ton mari, et viens ici.»
Elle dit: «Je n’ai pas de mari.»
Il dit: «C’est juste. Tu en as cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»
97 Elle répondit: «Seigneur!» Maintenant, observez-la. «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Si vous consultez la note de renvoi, vous verrez que, dans l’original, c’est: «Seigneur, Tu es... je vois que Tu es ce Prophète.» Vous souvenez-vous que la Bible dit constamment: «Ce Prophète»? «Es-Tu ce Prophète?» De quel prophète s’agissait-il? Celui dont Moïse avait dit qu’Il serait suscité. «Je vois que Tu es ce Prophète. Or, on nous enseigne et nous savons que lorsque le Messie sera venu, Il fera ces choses.» C’était là le signe du Messie, n’est-ce pas, de discerner ce qu’était son problème. Elle dit: «Nous savons que lorsque le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu?»
Il répondit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»
98 Elle laissa sa cruche. Elle entra dans la ville en courant, je l’imagine avec la main posée sur le coeur, disant... gardant les mains sur son coeur qui palpitait, et disant: «Venez voir un Homme qui m’a dit les choses que j’ai faites. Ne serait-ce point le Messie? Ne serait-ce pas Celui-là même dont la Bible a annoncé la Venue? C’est un Juif assis là-bas, un Homme comme les autres; Il a l’air d’un charpentier. Mais Il m’a dit que j’avais cinq maris, et vous savez tous que c’est la vérité. Ce... Ça doit être le Messie.» N’est-ce pas vrai?
99 Maintenant, Jésus a dit: «Encore un peu de temps, un court laps de temps, et le monde ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous. Et les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi. Et vous en ferez même plus que Je n’en ai fait ici, parce que Je m’en vais au Père, Je retourne à la forme de l’Esprit.» Le sacrifice est payé, la Semence royale mourut, la Semence royale ressuscita. Maintenant, l’Eglise se tient justifiée en croyant cela, et la Semence royale peut entrer dans ces gens et même faire d’eux des cohéritiers, des fils et des filles de Dieu.
100 Maintenant, à vous autres là-bas qui n’êtes pas dans la ligne de prière, je lui ai dit de ne donner des cartes qu’aux gens qui... Lorsque je l’ai appelé ce matin... il m’avait appelé, disant: «Veux-tu que j’aille distribuer des cartes, papa?»
101 J’ai dit: «S’il y a au moins dix personnes qui ne sont pas du Tabernacle.»
102 Eh bien, parfois au Tabernacle, je leur fais remettre des cartes de prière. On revient alors en disant: «Eh bien, c’étaient des gens qu’il connaît. Ils sont du Tabernacle. Il connaissait leurs maladies. Certainement.»
103 Et puis, je fais l’inverse; je dis: «Que seuls les gens qui ne sont pas du Tabernacle viennent. Bien, vous qui n’êtes pas du Tabernacle, c’est vous qui viendrez dans la ligne de prière.»
104 «Oh! nous ne les connaissions pas», disent les gens du Tabernacle. «Nous ne savons pas ce qu’ils ont comme problème. Il se peut qu’il ait menti à ce sujet, voyez-vous?»
105 Ensuite je dis: «Que personne ne vienne. Que le Saint-Esprit choisisse alors ceux qui sont ici et qui ne sont pas du Tabernacle, qui sont simplement assis là.» Encore là, vous...
106 Il n’y a aucun moyen du tout d’amener un homme à Dieu, à moins qu’il soit prédestiné à être un fils de Dieu. Il n’y a absolument aucun moyen de le faire. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire.» Et c’est la Vérité. Tout ce qu’Il faisait connaissait de l’opposition. S’Il faisait quelque chose comme ceci, c’était censé être fait comme cela; et si c’était comme cela, c’était censé être plutôt comme ceci. Voyez-vous, c’est simplement de l’incrédulité. Mais la sagesse a été justifiée par ses enfants. Donc vous... vous voyez.
107 Maintenant, tenez, voici ce que j’essaie de dire à–à cette congrégation de gens: Jésus-Christ était cette Semence royale. Ce n’est pas nous; c’est Lui. Nous n’en sommes que les héritiers, mais toutes choses nous appartiennent.
108 Qu’arriverait-il si vous aviez été là le jour où Simon s’est avancé, et que vous... personne... que ce soit la toute première chose qu’Il avait faite?Or, ce sera la première chose pour ces gens, s’Il le fait; ils n’ont encore jamais vu cela avant.
109 Mais, lorsque Simon s’est avancé, ce vieux pêcheur, pas assez instruit pour signer son nom sur un bout de papier... La Bible dit qu’il était un homme du commun et sans instruction («et» est une conjonction), à la fois du commun et sans instruction. Puis, lorsqu’il s’avança en signe de... devant Jésus, Jésus dit: «Tu t’appelles Simon.» Que croyez-vous qu’il a pensé? Qu’auriez-vous pensé si vous aviez été là? «Et le nom de ton père est Jonas. Et désormais tu seras appelé Pierre.» Qu’est-ce–qu’est-ce que vous auriez pensé? Cet Homme lisait-Il sa pensée? Eh bien, qu’auriez-vous pensé? Auriez-vous pensé que c’était là le signe du Messie?
110 Si c’est le signe du Messie pour un âge, cela doit être le signe du Messie pour le deuxième âge, le troisième âge, le quatrième âge; pour chaque âge il doit en être de même, parce que Dieu ne peut pas changer. Et combien savent que le Messie était Dieu? Certainement qu’Il L’était, l’Oint. Assurément. Il ne peut donc pas changer. Il doit demeurer le même.
111 C’est pour cela qu’Il dut manifester aux Samaritains la même chose qu’Il avait manifestée aux Juifs, parce qu’il y a trois nationalités de gens: ceux de la lignée de Cham, ceux de la lignée de Sem et ceux de la lignée de Japhet; les Juifs, les Gentils et les Samaritains.
112 Maintenant, avez-vous remarqué le Saint-Esprit? Combien savent que Pierre avait les clés du Royaume? Avez-vous remarqué qu’il l’ouvrit aux Juifs le jour de la Pentecôte? Philippe est allé prêcher aux Samaritains et les a baptisés au Nom de Jésus-Christ; mais le Saint-Esprit n’était pas encore venu sur eux. Ils durent envoyer chercher Pierre, qui leur imposa les mains, et ils reçurent le Saint-Esprit. Est-ce juste? Et, à la maison de Corneille, les–les Gentils Le reçurent. Tous y avaient eu part depuis lors. C’est simplement ouvert à tous maintenant. Ainsi, voilà! Voyez-vous? Il devait l’ouvrir. Dieu a des manières à Lui de faire les choses.
113 Maintenant, ce matin, si Celui qui a fait la promesse à la semence, et si la semence est assise ici (je veux croire que chacun de vous en fait partie), si la semence est assise ici, certainement que la semence verra la promesse. Maintenant, tous ces gens qui se tiennent debout ici ont levé la main pour montrer qu’ils n’avaient jamais assisté à ces réunions avant. Ils me sont inconnus. Je n’en connais pas un seul. Ils sont simplement venus ici et, il y a quelques minutes, Billy leur a donné une carte de prière, et voici qu’ils se tiennent ici. Vous êtes aussi nombreux dans la salle à avoir levé la main pour montrer que vous n’aviez pas de carte de prière et que vous étiez des étrangers ici. Cela n’a rien à voir. Croyez simplement que vous êtes héritiers de cette promesse. Croyez seulement que par Ses meurtrissures vous avez été guéris, et croyez-le de tout votre coeur, et observez-Le.
114 Ce don ne consiste qu’à se soumettre à Lui, c’est tout. Je ne dis rien, c’est Lui qui parle. Et, s’il s’agit de Son Esprit de prophétie, le prophète a toujours eu l’AINSI DIT LE SEIGNEUR. C’était toujours juste. Et il n’est pas question de doctrine, parce que cela–cela devra s’aligner sur la Bible, si c’est Dieu. Dieu ne peut dire quelque chose pour ensuite se rétracter là-dessus et le modifier. Cela doit rester la même chose tout le temps.
115 Maintenant, vous dans l’auditoire, croyez avec tout ce qui est en vous, croyez. Maintenant, ne vous déplacez plus; restez bien tranquillement assis maintenant, tout le monde. Aussi lentement et aussi doucement que tu le peux... Il se trouve, ce matin, que la première personne qui se tient ici est un homme. Maintenant, nous allons prendre ce passage de l’Ecriture.
116 Maintenant, voyez-vous dans quelle position je me trouve? Combien peuvent le comprendre? Ici se tiennent des hommes et des femmes que je n’ai jamais vus de ma vie. Ils n’ont même jamais assisté à une de mes réunions; et vous voyez dans quelle position ils se trouvent. Ils ne savent pas ce qui va arriver, et moi non plus, je ne sais pas ce qui va arriver. Mais Dieu l’a promis! Abraham ne savait pas ce qui allait arriver quand il sortit le couteau pour tuer Isaac, mais Dieu lui avait fait la promesse. Cela réglait le problème. Il l’avait reçu comme par une sorte de résurrection, et il savait qu’Il était capable de le ressusciter des morts. Est-ce juste? Cela règle donc la question.
117 Maintenant, ici près de moi se tient un homme que je n’ai jamais vu, et au sujet de qui je ne sais rien. Nous sommes étrangers l’un à l’autre. Nous ne nous connaissons pas. Dieu nous connaît tous deux. Maintenant, par un don divin, si je peux simplement par un don... Or ces dons sont innés, et prédestinés par Dieu avant la fondation du monde. Combien savent cela? Il n’y avait donc rien que j’ai dû faire pour obtenir ce don, Dieu en a décidé ainsi. Ce n’est pas moi qui l’ai choisi, c’est Lui qui l’a choisi. Voyez-vous? Comme les prophètes de l’Ancien Testament et d’autres personnages, ils étaient prédestinés à le faire, à faire ceci.
118 Maintenant, si cet homme est malade, je ne pourrai pas le guérir. Si cet homme a besoin de quelque chose, que je sois en mesure de l’aider ou pas, cela dépendra de la nature de son besoin. Peut-être que s’il s’agissait de quelque chose d’autre comme il... d’un petit quelque chose pour lequel je pourrais lui venir en aide, eh bien, je le ferais volontiers. Peut-être qu’il a un tempérament colérique. Peut-être qu’il n’est même pas un chrétien. Peut-être qu’il est un chrétien. Peut-être qu’il est un imposteur. Je ne sais pas. Et si c’était juste une attaque sournoise: quelqu’un qui s’est glissé ici, puis s’est avancé, en simulant quelque chose; observez alors ce qui va se passer (voyez-vous?), observez simplement–simplement ce qui va arriver. Voyez-vous? Je ne sais pas.
119 Mais, vous voyez, comme vous vous tenez ici, vous pouvez alors vous tenir avec cette pleine assurance que Dieu a fait une promesse, et que Dieu tient Sa promesse. Vous voyez? Maintenant, si Dieu tient à cet instant même Sa promesse pour les gens qui sont debout ici, combien dans l’auditoire vont s’engager de tout leur coeur à le croire, le croire de tout votre coeur? Alors, croyez simplement.
120 Maintenant, voyons voir, prenons un passage de l’Ecriture. Simon Pierre s’est rendu auprès du Seigneur Jésus. Quand il est arrivé devant le Seigneur Jésus, Celui-ci lui a dit qui il était, et–et lui a dit des choses qui concernaient sa vie. Eh bien, le même Jésus vit aujourd’hui. Il... Croyez-vous qu’Il est ressuscité des morts? Croyez-vous que cet Esprit du Messie vit effectivement dans l’Eglise aujourd’hui, comme Il l’a toujours fait? Très bien.
121 Maintenant, vous dans l’auditoire qui n’avez pas de carte de prière, regardez ici et dites: «Seigneur...» Evidemment, il n’y a pas de cartes de prière dans l’auditoire, puisque j’ai tous ceux qui les détiennent debout ici. Vous dans l’auditoire, dites: «Seigneur, touche-moi.» Voyez ce qui se produira. Voyons ce qui se produira.
122 Maintenant, monsieur, s’il existait au monde un moyen pour moi de vous aider, je le ferais. Voyez-vous, je suis simplement... Tel que nous sommes ici, nous sommes simplement des inconnus, et c’est la première fois que je–je vous rencontre. Mais j’ai la responsabilité, en tant que ministre, de dire la vérité et d’être un témoin de Jésus-Christ. Et maintenant, je ne veux pas que vous me disiez quoi que ce soit. Je veux simplement que vous me répondiez en disant si oui ou non c’est vrai, et ensuite laissez-Le agir. Et s’Il accomplit la même chose ici sur l’estrade, à travers ce corps-ci, qu’Il a accomplie à travers le... le corps de Jésus (c’est-à-dire Dieu en Christ)... Jésus a dit: «Je ne fais rien avant que le Père, qui est en Moi, Me le montre. Il Me dit quoi faire.» Ce n’était donc pas Jésus qui parlait à la femme, c’était le Père (en Lui) qui parlait à la femme. C’était... ce n’était pas Jésus qui connaissait qui était Simon Pierre; c’était le Père qui demeurait en Lui, qui connaissait qui était Simon Pierre. C’est cela, vous voyez, c’est cela.
123 Je peux tout de suite vous dire que vous êtes un chrétien, oui, monsieur, parce que vous avez un–un esprit accueillant qui vibre chaleureusement. Et il–il est un croyant; il est chrétien. Et vous souffrez de la nervosité, ce qui vous cause des ennuis gastriques. Est-ce exact? (Voyez-vous?) Eh bien, c’est exact. Comment est-ce possible? Comment pouvais-je savoir cela? Comment aurais-je bien pu savoir cela? Nous ne nous sommes jamais vus auparavant. C’est vrai, n’est-ce pas? Peut-être qu’Il vous dira autre chose vous concernant. Je vais vous dire, voici quelque chose: je vois une femme près de vous, elle est avec vous, c’est votre femme. Elle aussi a besoin d’aide. Oui, monsieur. Vous croyez que Dieu peut me dire ici ce qui ne va pas chez votre femme? Très bien, monsieur. Elle souffre du coeur, des complications. C’est juste, n’est-ce pas? Elle est également nerveuse. Oui, monsieur. Eh bien, vous n’êtes pas de cette ville; vous prenez ce chemin lorsque vous rentrez chez vous, à Cincinnati. C’est juste. Vous êtes de Cincinnati, Ohio. Votre nom est Milliken. Allez, rentrez chez vous, soyez guéri. Le Seigneur vous bénira et vous serez guéris, vous et votre femme. Que Dieu vous bénisse!
Approchez, monsieur. Croyez-vous? Ayez seulement la foi, ne doutez pas.
124 Maintenant, soyez donc très respectueux, tout le monde, soyez très respectueux et restez tranquilles. Voyez-vous, le Saint-Esprit est très timide. Combien savent cela? Le Saint-Esprit est vraiment très timide, voyez-vous. La moindre interruption Le dérange.
125 Selon les médecins, vous allez bientôt mourir d’un trouble cardiaque. C’est exact. Vous êtes venu de Chicago, Monsieur Mosley. Votre prénom est Théodore. Vous croyez en Dieu? Alors, rentrez chez vous et vivez, au Nom de Jésus-Christ, et soyez guéri. Que Dieu vous bénisse!
126 Croyez-vous en Dieu? Vous souffrez des jambes. Vous aussi, vous n’êtes pas d’ici. Vous êtes d’Owensboro, au Kentucky. Votre nom est Madame Lamb. Rentrez chez vous, et soyez guérie.
127 La dame qui est assise juste là est aussi d’Owensboro. Vous avez un abcès ici au sein, et vous êtes censée être opérée demain. Allez, croyez et vivez.
128 Croyez-vous, monsieur? Nous sommes des inconnus l’un à l’autre. Votre nom est monsieur Gilmore. C’est exact. Vous venez d’Anderson, dans l’Indiana, là où l’Eglise de Dieu a son grand mouvement. C’est juste. Vous vous tenez ici pour votre fille qui est partiellement atteinte. Elle est partiellement paralysée. Vous croyez? Alors, rentrez chez vous et retrouvez-la telle que vous le croyez. Très bien, que Dieu vous bénisse! Ayez la foi, croyez-le.
129 Vous croyez de tout votre coeur, monsieur? Vous êtes d’Indianapolis. Vous êtes un ministre de l’Evangile. C’est là votre épouse. Elle souffre aussi. Elle a un problème d’oesophage, au niveau de son oesophage. Le médecin... elle souffre du coeur et elle est un peu nerveuse. Je vois qu’elle est sourde de... Mais venez ici. Merci. Toi, esprit de surdité, au Nom de Jésus-Christ, je t’ordonne par le Dieu vivant, sors de cette femme. Bon, vous m’entendez comme il faut maintenant. Vous pouvez tous deux retourner à la maison et être guéris. Rentrez chez vous. Vous pouvez m’entendre, vous êtes guérie, vous vous porterez bien.
130 Croyez-vous de tout votre coeur? Ayez simplement foi en Dieu, croyez.
131 Oh! cette arthrite et que sais-je encore, c’est terrible. Vous croyez que Dieu va vous guérir? Alors, descendez par là et rentrez chez vous en louant Son Nom, en disant: «Merci, cher Seigneur Jésus.» La raison pour laquelle j’ai saisi cela si rapidement, c’est que cette femme-ci souffrait de la même chose, de l’arthrite. Et vous croyez que Dieu va vous guérir? Très bien, monsieur; alors, descendez simplement par là, et dites: «Merci, Seigneur Jésus.», et rentrez chez vous.
132 Très bien, soeur, retournez, repartez, et croyez que votre–que cette raideur dans vos genoux est...?... et votre maladie du coeur, et ainsi de suite... retournez chez vous, et dites: «Merci, Seigneur Jésus.», et soyez guérie. Croyez-le avec tout ce qui est en vous.
133 Croyez-vous? Qu’en est-il de certains d’entre vous, là-bas, croyez-vous?
134 La petite demoiselle aux cheveux noirs qui est assise là, et qui souffre de l’épilepsie, croyez-vous que Dieu va vous guérir? L’acceptez-vous? Très bien, si vous l’acceptez, Il le fera.
135 Voici un prédicateur assis ici. Vous désirez une marche plus intime avec Dieu, n’est-ce pas, monsieur? Vous croyez que Dieu le fera pour vous? Levez la main, et dites: «Je l’accepte.» Voilà.
136 Cette dame assise là, qui a baissé la main, a un problème spirituel auquel elle pense. C’est exact.
137 Voici une dame ici, qui se demande si elle va avoir son bébé. C’est exact. Vous avez déjà assisté à une de mes réunions. Et je vous ai promis, par Dieu, un bébé, n’est-ce pas? Très bien. Alors, rentrez chez vous et ayez ce bébé. Ne vous inquiétez plus à ce sujet.
138 Croyez-vous de tout votre coeur, vous tous? Chacun de vous croit-il? La semence d’Abraham possédera la porte, la porte de l’ennemi. Êtes-vous la semence d’Abraham, par Jésus-Christ? Levez la main si vous l’êtes. Alors, posez vos mains sur votre voisin, sur votre voisin, l’un sur l’autre. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Possédez la porte maintenant; elle est à vous. Elle vous appartient. La prière de la foi sauvera le malade, Dieu le relèvera. Très bien. Priez à votre manière, priez comme vous le faites dans votre église. Priez pour les gens qui sont avec vous. Imposez-vous simplement les mains les uns aux autres et priez.
139 Seigneur Jésus, nous venons dans ce glorieux et tout-puissant Nom de la Semence royale, de la Semence d’Abraham, qui lui fut promise sur cette montagne où Tu avais pourvu à un agneau; et Tu plaças cet agneau dans ce désert, chose mystérieuse, exactement comme Tu L’as fait avec ces écureuils hier. Je Te prie, ô Seigneur Dieu, d’envoyer la puissance, de la foi, et d’accorder que chaque semence... Je sais qu’ils le feront, Seigneur, parce que Tu as dit: «La semence d’Abraham...» Et, s’il y en a ici, qui ont prétendu être la semence, et qui ne sont pas la semence, pardonne-leur d’avoir eu cette intention ou d’avoir prétendu cela, et puisse le Saint-Esprit, en ce moment même, enflammer leur âme d’une foi vivante. Que le Saint-Esprit inonde chaque coeur et guérisse tout le monde ici présent. Ils ont posé leurs mains les uns sur les autres. La Semence royale a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru; s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Et Celui qui a fait la promesse est ici présent maintenant même, prouvant Lui-même qu’Il est ici. Voilà la semence; ils ont leurs mains posées les uns sur les autres. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Puisse le Saint-Esprit couler à flots à travers chacune de leurs mains, et pénétrer les coeurs des gens, leurs corps, et guérir toute personne qui est dans la Présence divine. Accorde-le, Seigneur. Je réprime le diable; je réprime toute incrédulité; je réprime tout esprit impur; je réprime tout imposteur; je réprime tout ce qui est contraire à la Parole de Dieu. Et que le Saint-Esprit prenne Sa place dans le coeur des gens à l’instant, par la foi. Que toute maladie et toute affection, toute affliction quittent les gens, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
140 Maintenant, semence d’Abraham, vous êtes la lignée royale; vous êtes la promesse. Par la grâce et avec l’aide de Dieu, combien d’entre vous peuvent lever la main et dire: «J’ai reçu ce que j’ai demandé»? Merci. C’est cela. C’est le but de la promesse. C’est pour cela que la promesse a été faite, afin que vous soyez héritiers de toute chose, par Jésus-Christ qui vous a sauvés. Il vous a sauvés du péché, Il vous a sauvés de la maladie, Il vous a sauvés de la mort, Il vous a sauvés de l’enfer, Il vous a sauvés de la tombe.
141 Vous direz: «Frère Branham, nous irons tous dans la tombe.» Mais la tombe ne peut nous retenir. Il y est allé aussi, mais elle n’a pas pu Le retenir. Bien sûr qu’elle ne peut pas Le retenir.
142 «Eh bien, Frère Branham, je suis tellement tenté.» Il l’a été Lui aussi. Mais Il vous a sauvé de la tentation.
143 «Ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du mal.» Il l’a fait. C’est à vous; tout vous appartient par Jésus-Christ. Il vous donne tout gratuitement. Il n’y a rien à payer, ni rien d’autre à faire. Cela vous appartient bien en ce moment même. N’en êtes-vous pas contents? N’êtes-vous pas heureux à cause de Lui? Grâces soient rendues à Dieu.
144 Maintenant, il y aura réunion ce soir; c’est–c’est pour ce soir à 19 h 30. Je vais laisser le pasteur vous en parler. Venez, venez simplement. Donc, dimanche matin prochain, si le Bienveillant Seigneur le veut, je reviendrai prier pour les malades au Tabernacle ou là où se déroulera la réunion.