La Reine De Séba

Date: 60-0110 | La durée est de: 2 heures et 3 minutes | La traduction: Shp
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1          Inclinons la tête maintenant juste pour un instant de prière avant d’aborder la suite du service.

            Notre Père céleste, nous sommes vraiment reconnaissants pour ce grand privilège de nous rassembler en cette bonne soirée du Sabbat pour T’adorer, Te remercier et Te louer pour tout ce que Tu as fait pour nous. En parcourant du regard le chemin de notre vie passée, nous pouvons voir beaucoup de choses que Ta bonté nous a accordées, Ta main de miséricorde au temps de la détresse, et nous T’en remercions

            Et nous Te prions, Seigneur, de recevoir nos actions de grâce ce soir. Alors que nous nous approchons de la fin de cette petite série de réunions de trois soirées, nous voulons Te remercier pour tout ce que Tu as fait pour nous, pour la gloire de Ta Présence, pour les manifestations du Saint-Esprit, pour la faim et la soif de Tes enfants. Seigneur, il est écrit que si nous demandons du pain, nous ne recevrons pas une pierre. Si nous avons demandé un poisson, nous ne recevrons pas un serpent. Tu nous as accordé ceci, que nous ayons soif du Pain de Vie. Ô Seigneur, nourris-nous de Ta bonté et de Ta miséricorde. Pardonne-nous nos péchés et nos offenses contre Toi.

2          Et nous prions, Seigneur, que ce petit rassemblement suscite une soif dans cette ville et dans les environs, qu’un réveil à l’ancienne mode éclate dans la ville, qui s’étendra dans tout le pays. Accorde-le, Seigneur. Ecoute-nous alors que nous prions, nous lisons la Parole et nous parlons du Seigneur Jésus. Nous Te prions d’ouvrir chaque coeur.

            Nous n’aimerions pas oublier les malades, les affligés et ceux qui sont dans le besoin, ce soir, Seigneur, de Ta puissance de guérison. Pour certains d’entre eux, Tes médecins bien-aimés ici sur terre, ont fait tout leur possible pour eux. Et ils sont au bout du chemin, pour ainsi dire. Mais Toi, ô Seigneur, Tu es notre soutien. Tu es un refuge, un secours qui ne manque jamais au temps de détresse. Nous avons des droits donnés par Dieu et le privilège de T’invoquer. Et nous Te prions de guérir les malades ce soir. Dans les hôpitaux, les convalescents, nous prions pour eux, que Tu les guérisses aussi, Père. Tires-en gloire pour Toi-même.

            Et lorsque nous quitterons le service ce soir, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: »Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsqu’Il nous parlait en chemin?» Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3          Il n’y a qu’un seul regret ce soir, c’est que celui-ci est le dernier service de cette petite série de réunions. Mais si c’est la volonté du Seigneur et le désir des gens, j’aimerais revenir à Tifton à un moment donné pour une série de réunions, nous pourrons alors avoir plus de temps pour rester.

            J’aimerais dire que le genre de personnes que j’ai rencontré depuis que je suis ici, c’est le plus gentil jamais rencontré de ma vie. Je ne le dis pas pour flatter. Je ne le dis que parce que c’est ce qui est sur mon coeur et c’est vrai. Des gens gentils, aimables...

            Vous savez, je sais que certains des coeurs les plus fidèles qui battent sont sous de vieilles chemises bleues, peut-être, rapiécées. Mais c’est là qu’on rencontre de véritables hommes. Je suis très content de rencontrer ce genre de personnes.

4          J’aimerais remercier chacun de vous pour votre gentillesse et votre collaboration. Il y a une chose qu’on a faite, dont je ne suis pas d’accord, mais c’était hier soir, on a prélevé une offrande pour moi. Et on a prélevé cent et quelques dollars, dix-sept... cent dix-sept dollars ou quelque chose comme cela, et on me l’a apportée. Je ne sais comment vous restituer cela. Voyez? Je–je ne viens jamais dans ce but-là. Je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie. L’argent n’est pas mon but; c’est votre âme. C’est ce que nous pouvons faire de bien.

            Ça fait trente ans que je suis dans le ministère, je suis un vieil homme. Et jamais je n’ai prélevé ma première offrande. Et s’il me fallait prélever les offrandes, je l’aurais fait, ou rançonné les gens... peut-être que je... Une fois, il m’a été remis un million cinq cent mille dollars, du coup, venant de la Mission Bell Winery de M. Arkelian, le propriétaire, parce que sa femme était guérie du cancer. J’avais refusé de regarder même au chèque ou au montant y mentionné. Qu’aurais-je à faire avec un million cinq cent mille dollars? Il n’y a qu’une seule chose que je puisse faire avec: m’en débarrasser. Et si je prenais cela, ce serait taxable; le gouvernement en prendrait la plus grande part avant que je m’en débarrasse.

5          Voyez donc, puisque nous ne voulons pas l’argent, nous voulons que vous croyiez en Dieu. Croyez la Bible et menez une vie correcte. En effet, tout ce que nous avons sur terre, nous allons le laisser et l’abandonner un de ces jours. Ce sont juste ces choses éternelles qui comptent. Ainsi...

            Mais comme ça a été donné, les cents et quelques, dix-sept dollars ou quelque chose comme cela, d’après ce que les frères m’ont dit, je vous remercie, mes précieux amis. Je vais directement affecter cela aux champs missionnaires pour nourrir les enfants affamés. On les voit étendus sur la rue, leurs petits ventres enflés, crevant de faim... faire tout mon possible pour que cela soit compté.

            Et en ce jour-là, lorsque les récompenses seront distribuées, vous verrez où cela était parti. Que Dieu vous bénisse à jamais. C’est une partie de vos subsides que vous partagez avec les autres.

6          J’aimerais remercier les prédicateurs. Je pense que c’est ici leur rangée, où qu’ils soient, pour leur précieuse collaboration dans cette petite série de réunions de trois jours, bien pratiquement inaperçus. J’en ai trois, quatre, cinq ou plus, juste de petits endroits avant de traverser les mers pour un voyage à travers le monde: en Afrique, en Asie, en Europe, et à travers le monde. Je vous remercie, mes frères, pour votre précieuse collaboration.

            Si jamais il nous faut revenir, nous viendrons premièrement vous consulter, vous tous frères, et trouver le moment où vous n’avez pas de réunions, et peut-être venir et dresser une tente en dehors de la ville ou quelque chose comme cela, de sorte que nous puissions rester longtemps, et tous ensemble, nous travaillons pour une grande cause: Le Seigneur Jésus.

            C’est l’unique moyen pour nous de pouvoir jamais... Nous entrons dans des villes; il faut qu’il y ait une–une collaboration avec toutes les églises; méthodistes, baptistes, presbytériens, pentecôtistes, nazaréennes. Vous pouvez certainement vous rassembler pour un réveil, pour le salut des âmes. Et je crois que c’est possible pour nous si seulement nous prions et le demandons au Seigneur.

7          Aussi, j’aimerais remercier le tribunal pour cet endroit-ci. Nous–nous effectuions une courte visite, étant de passage dans cette contrée, ici. Et un précieux frère nous a permis d’avoir son église, les gens se tenaient debout dans le froid. Et très vite, ils ont changé cela, et ils ont transféré cela ici. Et ce soir, j’ai vu des voitures le long de l’avenue avec les gens à l’intérieur, ils sont là tout au fond, dans les halls, ils ne pouvaient pas entrer. Ainsi donc, nous sommes reconnaissants au tribunal pour leur précieuse collaboration.

            Quelqu’un a dit aujourd’hui (je ne fais que répéter ce que quelqu’un d’autre a dit) que le juge est venu et a dit: »Si vous avez besoin de plus d’espace ou peut-être que vous aurez besoin de mon bureau, voici la clé.»

            J’ai simplement suspendu ma veste au bureau du juge. Que Dieu bénisse cet homme. Je prie que son tribunal prospère. Et qu’il rende de bons services au point qu’au jour où il se tiendra devant le Juge de la terre et que les procès jugés par son tribunal seront apportés devant lui, que le Maître, le grand Juge, dise: »Ça a été bien fait, mon bon et fidèle serviteur.»

8          Que le Seigneur vous bénisse tous. En suivant les témoignages... Hier soir, j’ai donné un témoignage d’un frère qui m’avait rencontré dans la rue avec un... il m’avait dit que sa fillette nous a arraché les yeux. Je suis venu et j’ai répété cela après lui ici hier soir sans savoir qu’il disait quelque chose à ce sujet.

            Billy parlait, je pense, d’un couple qu’il avait rencontré, qui a une école de l’Assemblée de Dieu, ici. Mon fils fréquentait Waxahachie, une école de l’Assemblée de Dieu au Texas, Waxahachie, Texas. Et ils étaient...

            Cette fille a dit que plusieurs années auparavant, la femme, la femme du jeune homme, le ministre, alors une petite fille, juste une petite fille, une toute petite enfant, on l’avait amenée à Pensacola (je pense que c’était ça), là où nous tenions une réunion. Je priais jusqu’au point où je ne pouvais plus tenir. Souvent, j’étais très épuisé. Les visions quittaient, et je... il me fallait simplement rester là, les ministres me soulevaient la main et la posaient sur les gens au passage de ceux-ci.

9          Et elle a dit qu’elle avait beaucoup d’ulcères. On pensait donc qu’elle ne pouvait plus vivre. Et sa mère l’avait amenée là, elle avait pris sa main et l’avait posée sur la mienne. Elle est passée, les ulcères ont disparu, et elle est donc en parfaite santé.

            Voyez, ce n’était pas ma main qui avait fait cela. Elle n’avait rien à faire avec la chose. C’était la foi de la maman, sa foi en Dieu. Jésus a dit: »Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres; c’est le Père qui demeure en Moi. C’est Lui qui fait les oeuvres.» Et vous ne recevez de Dieu que ce que vous attendez de Lui, en vous approchant de Lui. Approchez-vous de Lui avec révérence, avec foi, et chaque Parole est vraie.

10        Eh bien, des mouchoirs sont déposés ici, et j’aimerais prier dessus. Eh bien, beaucoup parmi vous, vous connaissez les Ecritures à ce sujet. Bien des fois, les prédicateurs oignent ces mouchoirs avec de l’huile et les envoient aux gens. C’est parfaitement en ordre. Je crois que tout ce que le Seigneur Jésus bénit, je le soutiens.

            Mais selon les Ecritures dans la Bible, Paul n’oignait pas les mouchoirs. On retirait des mouchoirs et des linges qui avaient touché son corps. Je crois que Paul était un fondamentaliste. Savez-vous là où, je pense, il a tiré cela dans les Ecritures? Quand Elisée avait envoyé, ou Elie, avait envoyé le bâton avec son serviteur Guéhazi, il a dit: »Pose-le sur l’enfant.» Elie savait que tout ce qu’il touchait était béni. Il avait donc le bâton avec lequel il marchait. Il a dit: »Va et pose-le sur l’enfant.»

            Mais la foi de la femme n’était pas dans le bâton; c’était dans le prophète. Elle n’allait donc pas quitter jusqu’à ce que le prophète ait étendu son propre corps sur l’enfant, et l’enfant est revenu à la vie. Cela dépend de là où est placée votre foi. Mais pour les mouchoirs...

11        Je me souviens en Afrique du Sud, lors du dernier voyage à Capetown. Et j’étais là. Et je pense qu’il y avait dix ou quatorze sacs pleins de mouchoirs et de lettres dans ce grand, ce que nous appelons les sacs en herbes, des sacs de toile d’emballage. Et le journaliste a dit: »Frère Branham est superstitieux. Il priait sur les mouchoirs.» Il ne connaît simplement pas les Ecritures, certainement.

            Mais nous sommes content de prier sur ces mouchoirs-ci, et si vous ne–vous n’en avez pas ici, et que vous soyez en dehors de la salle, ou quelque chose comme cela, si vous voulez que je prie sur un, écrivez-moi simplement. Je ne cherche pas à avoir votre adresse. Nous n’avons rien à vendre, pas d’émission à la radio, rien, rien du tout. C’est absolument gratuit. Tout ce que nous pouvons faire pour vous aider, pour vous rendre la vie un peu meilleure, aplanir la voie, les lieux rugueux, un peu plus. C’est le but de notre présence ici. Ecrivez-nous simplement: Jeffersonville, Indiana. Nous vous l’enverrons le plus vite possible.

12        Eh bien, si j’ai oublié quelque chose, le jeune frère qui a joué la musique et les autres, et les prédicateurs, que le Seigneur vous bénisse richement pour votre gentillesse et tout. Si j’ai oublié quelqu’un, eh bien, ce n’est pas intentionnellement. Que le Seigneur soit avec vous tous.

            Et je vais vous demander une faveur. La voici: là en Afrique et en Inde, quand nous sommes là, il y a vingt fois autant de sorciers qu’il y en a dans cette salle ce soir. Et ils sont là, cherchant à vous jeter un mauvais sort et tout. Vous feriez mieux de savoir de quoi vous parlez. Vous feriez mieux de vous rassurer qu’Il vous a envoyé.

            Mais quand les vents chauds et violents souffleront, que je serai sous de fortes pressions, pourrai-je me souvenir de Tifton, Géorgie, que les gens seront en train de prier pour moi? Le ferez-vous? Merci.

13        Bien-aimé Père céleste, je Te prie de nous aider maintenant, alors que nous effectuons ce voyage ensemble. Je ne les reverrai plus jamais, beaucoup de ceux qui sont ici ce soir. Si je reviens dans six mois, dans une foule comme celle-ci, des personnes avancées en âge, des jeunes auront peut-être été tuées dans des accidents. Quelqu’un ne sera pas là. Je ne les verrai plus avant le Jugement. Je prie, Seigneur, que personne ne manque, que tous soient là sous le Sang du Seigneur Jésus, prêts à entrer dans la Vie Eternelle avec Lui éternellement.

            Viens-nous en aide maintenant alors que nous ouvrons la Parole. Nous savons que la Parole, c’est Ta Parole. Et Elle ne peut être l’objet d’une interprétation particulière. C’est le Saint-Esprit qui a écrit la Bible. Nous prions donc que le Saint-Esprit nous donne l’interprétation des Ecritures ce soir, de sorte qu’Il plantera la semence de la Bible dans chaque coeur, et qu’à la fin de ce service chaque personne recevra ce pour quoi il était venu. Car nous le demandons au Nom du Seigneur Jésus. Amen.

14        Je suis désolé de voir les gens debout. Il n’y a pas de place où s’asseoir pour écouter. Vous seriez à l’aise et vous pourriez tirer plus du service, certainement. Mais à vous maintenant qui avez des Bibles et qui aimeraient suivre un peu la lecture de la Parole, ouvrez avec moi dans l’Evangile de saint Matthieu, chapitre 12, et nous allons–nous allons commencer au verset 38 du chapitre 12, juste pour une portion.

          Alors quelques-uns des scribes et des pharisiens prirent la parole, et dirent: Maître, nous voudrions te voir faire un miracle.

          Il leur répondit: Une génération méchante et adultère demande un miracle; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui du prophète Jonas.

          Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.

          Les hommes de Ninive se lèveront, au jour du jugement, avec cette génération et la condamneront, parce qu’ils se repentirent à la prédication de Jonas; et voici, il y a ici plus que Jonas.

          La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole.

15        Nous voyons Jésus ce soir, alors que nous abordons la scène de Son sermon et Son discours aux gens, Il était un peu dérangé au sujet des gens, à cause des villes où Il avait été, prêchant et leur montrant le signe du Messie, et de l’attitude qu’ils avaient affichée vis-à-vis de cela.

            Hier soir, nous avons parlé de ce qu’était le signe du Messie. Quel genre de signe sera-ce? Et comment les gens devaient reconnaître, et comment Il a donné ce signe aux Juifs, et ceux qui avaient reçu cela, ont reçu la Vie Eternelle... Ceux qui avaient rejeté cela étaient condamnés, une séparation éternelle de la Présence de Dieu. 16  Puis, nous avons aussi vu qu’Il était parti en Samarie. Et les Samaritains avaient reçu ce signe lorsqu’Il a parlé à la femme et lui avait dit sa condition. Et les Samaritains avaient cru au témoignage de la femme. Jésus n’avait pas accompli de miracle en Samarie. En effet, nous voyons plus tard que Philippe y était allé après la Pentecôte et il y avait guéri les malades. Jésus avait préparé le terrain pour cela.

16        Et si vous remarquez bien, c’est très étrange dans la procédure, ou plutôt l’Ecriture qui avait précédé ce passage de ce soir. Lorsqu’Il citait Esaïe, le prophète, qu’Esaïe a dit qu’il y aurait la Lumière chez les Gentils.

            C’est très remarquable, car le signe même qu’Il manifestait, était autrement... Dans la version du docteur Scofield, dans sa Bible, dans les notes au bas de la page, il prédit que ce sera dans les derniers jours, lorsque les Gentils recevront le signe du Messie. Christ, étant le Messie, ils n’avaient pas reçu cela en leur jour. Nous avons seulement eu un jour de théologie, de...

            Nous avons connu la réforme de Luther. Les protestants et les catholiques sont venus après environ six cents ans, ou trois cents ans après la mort du dernier apôtre. Ils ont manqué de voir le signe du Messie. Certainement, on était des Romains et des Anglo-Saxons. Et maintenant...

17        Mais ici, Esaïe a dit que ce serait pour les Gentils dans le dernier jour. Mais Jésus réprimandait ces gens pour avoir réfuté de comprendre les Ecritures, avec toutes leurs grandes églises et leurs grands et puissants conducteurs, des érudits, des sacrificateurs d’une certaine lignée des sacrificateurs, des hommes saints que personne ne pouvait pointer du doigt pour une immoralité dans leur vie.

            Mais cependant, là-dessus, tous avaient manqué de voir la chose réelle. Or, si la bonté et la miséricorde, si la sainteté et une vie correcte, c’est ce qui plaît à Dieu, alors Il devait agréer les pharisiens.

            Mais, vous voyez, mon précieux ami, le péché, ce n’est pas une vie immorale. Le péché, ce n’est pas boire du whisky; le péché, ce n’est pas commettre adultère. Vous faites cela parce que vous n’êtes pas un croyant. Ce sont les attributs de l’incrédulité. Vous faites cela parce que vous n’êtes pas un croyant. Mais si vous êtes un croyant, vous ne ferez pas ces choses. Il n’y a donc qu’un seul péché originel, et c’est l’incrédulité. Les Ecritures déclarent que »celui qui ne croit pas est déjà condamné.»

18        Vous ne pouvez même pas atteindre le fondement initial. Vous êtes condamné avant de commencer, si vous ne croyez pas chaque Parole de Dieu, car si le Saint-Esprit est en vous, vous êtes un croyant. Et le Saint-Esprit qui a écrit la Bible dira amen à chaque promesse. Pour tout ce que Dieu dit, Il répondra: »Amen.»

            Mais si le Saint-Esprit n’est pas en vous, vous n’êtes qu’intellectuellement formé... Et je n’ai rien contre cela... une formation intellectuelle, l’instruction scolaire, universitaire, c’est merveilleux, si vous avez le Saint-Esprit avec cela, pour soutenir ce que vous dites. Voyez? Mais comme les Ecritures le déclarent pour les derniers jours: »Ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force...»

19        Eh bien, Jésus avait rencontré ce genre de personnes, et le signe leur avait été donné. Et ils ont taxé cela d’une oeuvre d’un mauvais esprit. Ils ont dit: »Cet Homme est Béelzébul», dans le même chapitre que je viens de lire. »Cet Homme fait ceci; Il est un diseur de bonne aventure.» Béelzébul était un démon, et tout le monde sait que dire la bonne aventure, c’est du diable. Mais vous voyez, c’est un esprit. Et la Bible nous enseigne que dans les derniers jours, ces esprits seront si proches que cela séduirait si c’était possible même les élus. Mais voyez-les par les fruits qu’ils portent. Les diseurs de bonne aventure sont là dans la rue, se faisant de l’argent. Et ils devinent, et ils exercent de la télépathie et de la psychologie mentale.

            Mais la puissance de Dieu prêche l’Evangile et vous prévient de l’enfer qui est devant vous, et d’un ciel où aller, elle appelle les pécheurs à la repentance, elle guérit les malades et fait de bonnes oeuvres. C’est donc à leur fruit que vous les reconnaîtrez.

20        Mais ces hommes n’arrivaient pas à trouver quoi dire à leurs églises. L’oeuvre avait été accomplie, et–et quelque chose clochait, et ils devaient trouver quoi dire. Alors, ils ont simplement mis cela de côté et ils ont dit: »Eh bien, Il est le prince de tous les démons.» Jésus a dit: »Je vous pardonne pour cela, prononcer cette parole contre Moi, le Fils de l’homme. Mais quand le Saint-Esprit sera venu (Il les a renvoyés droit au passage des Ecritures, dans Esaïe, relatif aux Gentils dans les derniers jours), un seul mot contre cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le... ce siècle ni dans le siècle à venir.

            Il nous convient donc, à nous, dans ces derniers jours, alors que nous voyons ces spectacles étranges, d’être prudents, de situer cela dans les Ecritures. Et si c’est Dieu qui l’a dit, alors croyez cela. S’Il ne l’a pas dit, alors soyez très prudents, si ce n’est pas dans la Bible et une promesse de Dieu.

21        Eh bien, Dieu, dans toutes les générations, n’a jamais manqué de témoin. Il a toujours eu un témoin quelque part, même si des fois ça se réduisait, peut-être, jusqu’à une seule personne. Mais Dieu a toujours et aura toujours un témoin, quelqu’un sur qui Il peut mettre la main. Et Jésus était Son témoin en ce jour-là. Et Son Témoin aujourd’hui, c’est le Saint-Esprit, le Témoin de Dieu sur la terre.

            Eh bien, nous voyons qu’ils avaient rejeté Jésus. Et Jésus disait comment ils avaient rejeté les autres témoins, et Il prédisait qu’ils rejetteraient encore cela dans les jours à venir. Mais il y en aura qui Le recevront. »Etroite est la porte, resserré le chemin, et il y en a peu qui les trouvent. Mais, spacieux est le chemin qui mène à la destruction, et il y en aura beaucoup qui entreront par là.»

22        Et Il s’est référé, nous remarquons, aux hommes que Dieu avait envoyés avant Lui. Et Il a parlé, ce que nous venons de lire il y a quelque temps, de Jonas. J’ai pitié de Jonas, parce que beaucoup de gens condamnent ce prophète. Il ne mérite pas d’être condamné. Il était un prophète de l’Eternel et il a fait exactement ce que Dieu l’avait conduit à faire.

            Je lisais une fois qu’avant, il avait été envoyé à Ninive, mais il a pris le bateau vers Tarsis, il a connu des ennuis sur la mer et il a été jeté hors du bateau. On lui a lié les mains et les pieds et on l’a jeté dans la mer et un grand poisson l’a englouti... Et alors, on raconte que lorsque le grand poisson est allé au fond de la mer pour se reposer au fond... c’est ce que fait un poisson après s’être nourri. Donnez à manger à vos petits poissons rouges et observez-les: ils iront droit au fond pour se reposer.

23        Et ce grand poisson était en quête de quelque chose dans l’eau, et il–il a trouvé ce prophète qui tombait dans l’eau. Il l’a pris, et par sa grande et large gueule, il l’a englouti. Parfois, les hommes de science ne veulent pas croire cela. Mais Dieu avait préparé ce poisson. C’était une espèce différente de poisson. Dieu avait préparé celui-là pour engloutir un prédicateur. Alors, il... c’était un poisson différent.

            Et remarquez, vous savez, lorsqu’il avait les mains et les pieds liés, qu’il était dans le ventre du grand poisson, au fond de la mer avec la tempête au-dessus... Eh bien, certaines personnes regardent à leurs symptômes.

            »Mon pasteur avait prié pour moi hier soir, mais ma main ne va pas mieux.» Cela n’a rien à voir avec la chose. Si vous êtes un vrai croyant, cela... vous ne regarderez même pas à cela. C’est déjà réglé pour toujours. Dieu vous a guéri.

            Et si Abraham avait regardé le mois suivant pour voir si Sara aurait un enfant? Il n’avait jamais fait cas de cela. Il a simplement regardé ce que Dieu avait dit. Et chaque vrai croyant regarde à la promesse, pas aux symptômes qui l’entourent. Il regarde à ce que Dieu a dit.

24        Et Jonas, là dans les vomissures, dans le ventre du grand poisson, vous parlez de symptômes, il avait droit de les avoir. Qu’il regarde de ce côté-ci, c’était le ventre du grand poisson. Qu’il regarde derrière de ce côté-ci, c’était le ventre du grand poisson. Tout autour de lui, c’était le ventre du grand poisson.

            Mais qu’a-t-il dit? Il n’a cru à aucun d’eux. Il s’est retourné dans le ventre du grand poisson, et il a dit: »Eternel Dieu, je verrai encore Ton saint temple.» Pas ses symptômes, pas la condition, pas la tristesse de ce que ses espoirs étaient partis, mais il a dit: »Je verrai encore Ton temple.»

            En effet, lorsque Salomon consacrait ce temple, il a dit: »Seigneur, si Ton peuple se retrouve n’importe quand en difficulté, et qu’il tourne le regard vers ce lieu saint et prie, alors exauce des cieux.»

            Et il a cru que Dieu avait exaucé la prière de Salomon. Et Jonas, dans ces conditions... Il n’y a personne ici dans cette condition-là, aussi mauvaise que celle-là. Mais dans cette condition-là, il a refusé de regarder à ses symptômes. Et ainsi, »je tourne les regards vers le temple», un temple naturel, bâti par un homme naturel, un véritable homme, qui n’était qu’un pécheur qui, plus tard, avait rétrogradé, et il pouvait croire que Dieu avait exaucé la prière... A combien plus forte raison devrions-nous, vous et moi dans ces conditions, regarder au Ciel où Jésus est assis à la droite de Dieu, intercédant sur base de notre confession. Nous refusons de regarder aux symptômes, nous n’avons rien à faire avec.

25        Je voudrais redresser votre conception sur Jonas dans votre esprit. Les habitants de Ninive, si vous étudiez l’histoire, étaient des pêcheurs, très méchants. Ils adoraient des idoles. Dieu sait comment s’y prendre. Suivez simplement la conduite de l’Esprit.

            Jonas devait prendre cela, parce que (ce bateau-là)–parce qu’il y était conduit. Et maintenant, après trois jours et trois nuits, il est resté dans le ventre du grand poisson. Les habitants de Ninive adoraient les idoles. Et leur dieu de la mer, là où ils tiraient leurs subsides, c’était le grand poisson.

            Et ils étaient tous donc dans leurs bateaux de pêche, en train de pêcher. Voici apparaître le dieu, il a fait sortir sa langue, et le prophète est sorti, marchant sur sa langue comme sur une passerelle, avec un message de repentance, de miracles. Dieu accomplit toujours les miracles lorsqu’Il est là. Certainement, ils devaient croire cela. Le dieu a vomi le prophète. Certainement. Et ils s’étaient repentis à la prédication de Noé... de Jonas.

26        Et Jésus a dit qu’un plus grand que Jonas est ici. Il a dit: »Ces gens qui ne savaient pas distinguer la main gauche de la main droite se lèveraient au Jugement et condamneraient cette génération», parce qu’ils s’étaient repentis à la prédication de Jonas. Il n’est rien dit de pareil dans les Ecritures, qu’il le ferait, mais il l’a fait. Mais Jésus était là, il avait été prédit depuis la Genèse qu’Il viendrait en tant que Messie, et qu’Il serait un Dieu-Prophète, et ils avaient manqué de reconnaître cela. Il est dit qu’ils–qu’ils se lèveraient au jour du Jugement et condamneraient cette génération. Un autre petit passage sur Jonas avant d’aller ailleurs, un cas différent.

            Avez-vous remarqué, ils ont dit: »Seigneur, nous voudrions Te voir faire un miracle.» Maintenant, écoutez-Le. Et si quelques critiqueurs peuvent se saisir de cela, ils diront... une génération méchante et adultère demande des miracles. S’il y avait un temps où cette prophétie s’est jamais accomplie, c’est aujourd’hui. Quand avons-nous eu une génération plus méchante et adultère? Quand les tribunaux de divorce sont pleins de cas de mariage et de divorce, on se marie et on donne en mariage, Jésus avait dit que cela arriverait. Un Reno, dans le Nevada, conduisant les gens, ils avaient quatre ou cinq fois... ils quittent leurs femmes pour marier d’autres femmes et elles quittent leurs maris pour épouser d’autres hommes. Juste comme... C’est pire que les animaux. Quand y a-t-il eu une génération plus méchante et plus adultère?

27        Il a dit: »Ils demanderont un miracle, et ils le recevront.» Regardez les Ecritures. Il a dit: »Ils recevront un miracle. Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.»

            Quel genre de signe cette génération méchante et adultère recevra-t-elle? Le signe de la résurrection, Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est le signe qui leur avait été promis. Dieu tient Sa Parole. Ils reçoivent... Ils sont en train de recevoir, et ils ont reçu cela, le signe de la résurrection, le Seigneur Jésus se manifestant parmi les gens, les mêmes signes, et les mêmes prodiges qu’Il avait faits quand Il était sur terre. Ils recevront un signe.

28        Puis Il a dit: »La reine du Midi se lèvera au jour du Jugement avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre connue à l’époque pour entendre la sagesse de Salomon.»

            Eh bien, vous parlez de l’époque de Salomon! Maintenant, tout théologien, tout lecteur de la Bible sait que c’était pratiquement le millénium pour les Juifs. C’était le temps de la prospérité pour Israël, de grands prodiges, de grands miracles et autres étaient accomplis. Et ils avaient construit le temple durant le règne de Salomon, qui était le fils de David, un type du Seigneur Jésus. Et c’était tout... David avait combattu les nations au point qu’elles toutes craignaient Israël. Et pour produire cet âge d’or pour eux, Dieu a envoyé un puissant don parmi le peuple.

29        Quand Dieu envoie un don aux gens et qu’ils reconnaissent cela, c’est toujours un âge d’or. Mais lorsqu’ils refusent cela, il ne reste que le chaos pour cette génération. Maintenant, écoutez attentivement. Si Dieu a envoyé le Saint-Esprit dans cet âge comme signe, et que nous rejetons Cela, il ne reste que la destruction. Mais si nous refusons cela, nous sommes sûrs d’exploser de la terre. Les bombes atomiques sont suspendues, prêtes maintenant, et chacun a peur de tirer sur la gâchette.

            Mais un jour, ils prendront trop de vodka et appuieront sur la gâchette. Et lorsque cette–cette bombe franchira ce radar, le son... Quand elle passera par là, il y aura d’autres qui iront dans l’autre direction. Et savez-vous ce qui arrivera? Le monde ne peut pas supporter cela. L’Evangile a été prêché, et Christ est en train de se manifester aux gens, juste avant l’Enlèvement, le départ de l’Eglise. Avant que cela arrive, l’Eglise sera partie.

            Et si nous savons que cela pourrait arriver avant le matin... Et avant que cela arrive, l’Eglise sera partie. Avant qu’une goûte de pluie tombe, Noé était dans l’arche. Avant qu’un brin de feu tombât du ciel, Lot était hors de Sodome. Avant que cette bombe atomique puisse...?... les nations, l’église sera partie dans la Gloire. Ce qui arriva du temps de Noé, du temps de Lot... Voyez-vous la préparation dont nous parlions hier soir? Nous y sommes.

30        Et tout le peuple, d’un commun accord, a soutenu ce grand don que Dieu avait donné à Salomon. Tout le monde croyait cela. Et si tous nous croyions cela aujourd’hui? Personne ne s’emparerait de la nation entière; et si toutes les églises croyaient le Saint-Esprit et soutenaient le Saint-Esprit comme on avait soutenu Salomon? Et qui est le plus grand: Salomon ou le Saint-Esprit? Un plus grand que Salomon est ici. Et les gens ne veulent pas croire cela.

            On dirait que ça détruit le prestige du monde... le Saint-Esprit vous fait faire des choses que vous ne pensiez pas faire. Mais nous allons à l’école et nous devenons très instruits, et nous pensons qu’il nous faut suivre cette tendance. Le Saint-Esprit vient et travaille au travers d’un petit groupe de gens humbles.

            Et alors, quelqu’un de plus élevé essaie, ou un peu plus grand, d’un plus grand nom, se met à dire: »Oh! C’est juste un groupe ordinaire, oh! des remous.»

31        Cela me rappelle ma fillette. J’ai deux fillettes. L’une d’elles, c’est Rebecca, la plus âgée. Et l’autre, c’est Sara, une petite fille, petite de taille. Toutes les deux sont des filles à papa.

            Et il y a quelque temps, j’étais parti à une série de réunions. Et–et maman et les filles attendaient de me voir. Et je suis rentré très tard, vers trois heures. Alors, les fillettes avaient enfilé leurs petits pyjamas et étaient montées au lit. Elles attendaient papa, leurs yeux s’étaient alourdis, et elles avaient dû monter au lit. Je suis arrivé et j’étais fatigué de grandes campagnes. J’ai dormi un tout petit peu, je me suis levé tôt, et j’étais assis dans un fauteuil.

32        Peu après, là dans leur chambre à coucher, j’ai entendu un bruit: les oreillers et les couvertures s’envolaient. Vous savez ce que je veux dire. Et elles étaient juste en train de faire des histoires, car il faisait jour, elles se demandaient si papa était déjà à la maison. Et elles ont parcouru la pièce en courant, et j’étais assis au salon dans un fauteuil. Et Rebecca a des jambes plus longues que Sara. Elle pouvait donc courir plus vite qu’elle. Elle est d’environ quatre ans plus âgée.

            Et elle est venue en courant aussi rapidement que possible, et elle a sauté et s’est mise à califourchon sur mon genou, elle a placé les deux bras autour de mon cou et s’est mise à dire: »Papa, nous sommes très contentes de te voir à la maison.» Oh! Vous savez dans quel état ça met votre coeur. Et puis, derrière elle venait sa petite soeur, les pieds de son pyjama trop grands; le vieux pyjama de Becky qu’elle portait. Et vous savez, le vêtement de seconde main, comment ça se passe en famille. Et elle portait le pyjama de Becky, qui était trop grand pour elle. Elle faisait de faux pas et tombait. Becky l’a dépassée. Elle a donc sauté et s’est mise à califourchon sur ma jambe, et ses jambes étaient longues, et elle pouvait atteindre le–le pavement.

            Et elle se ballottait bien. Elle a jeté ses deux bras autour de mon cou et a dit... elle a regardé tout autour et a dit: »Sara, ma soeur, j’aimerais te dire quelque chose. J’ai tout papa, et il ne te reste rien.»

            Eh bien, c’est comme ça que certaines personnes essaient de passer... Il y a longtemps, jadis au début des âges primitifs, les églises pensaient avoir tout cela, parce qu’elles ont fait un peu plus longtemps ici sur terre.

33        Mais pauvre petite Sara, j’ai eu pitié d’elle. Elle a baissé ses petits yeux, sa petite–sa petite lèvre est retombée; ses petits yeux bruns ont commencé à verser des larmes. Elle rentrait parce que sa soeur avait pris tout papa. Et Becky a appuyé sa tête contre mon épaule, elle était juste en train de m’étreindre, parce qu’elle avait tout papa. J’ai regardé Sara, et son petit visage était abattu. Elle s’est mise à pleurer. Je lui ai cligné de l’oeil et je lui ai fait signe de mon doigt, et je lui ai tendu l’autre jambe. Et la voilà venir à toute vitesse, elle a sauté sur ma jambe.

            Ses jambes étaient trop courtes. Elle était une jeune église, vous savez. Elle n’est pas... elle est sens dessus dessous, elle s’est mise à crier et à pousser des cris, vous savez, elle ne savait pas où elle... Mais, voyez, je savais qu’elle pouvait tomber de ma jambe, j’ai donc pris mes deux bras et je l’ai tenue comme ceci parce que je craignais qu’elle tombe.

            Et je l’ai embrassée, elle est donc montée sur mon sein, elle s’est retournée vers sa soeur et elle a dit ceci, elle a dit: »Eh bien, Rebecca, ma soeur, j’aimerais te dire quelque chose.» Elle a dit: »C’est peut-être vrai, a-t-elle dit, que tu possèdes tout papa. Mais j’aimerais te faire savoir que papa me possède entièrement.»

            C’est donc ça. Ce n’est pas... J’aimerais qu’Il me possède entièrement. Que Dieu me prenne entièrement. Que je connaisse mon ABC ou pas, que je sache ou que je sois à la hauteur des autres, je n’essaie pas; abandonnez-vous seulement, et laissez Dieu vous posséder tout entier. C’est ce que nous devons faire. Dieu, possède-moi entièrement.

34        Ainsi, du temps de Salomon, Dieu avait rassemblé toute Son église comme Il l’avait fait à la Pentecôte, seulement Il avait une nation. Qu’arriverait-il ce soir si la nation entière soutenait le Saint-Esprit? Eh bien, cela serait le meilleur abri contre les bombes qu’on ait donc aujourd’hui.

            Une fois, j’avais dit avant, que j’avais un abri contre les bombes. Il n’était pas en acier; mais il était en plumes: sous Ses ailes. C’est le meilleur abri contre les bombes, que je connaisse; c’est sous Sa protection.

35        Alors, tout le monde passait par là. Les étrangers passaient par Israël, ils montaient à Jérusalem, ils entendaient parler du grand don de Dieu à l’oeuvre. Ils venaient donc et ils voyaient. Et personne ne peut donc voir le don de Dieu à l’oeuvre sans que cela le ravisse, s’il a quelque chose de Dieu en lui.

            Ces gens étaient donc éparpillés à travers le monde. Tous à travers le monde commençaient à entendre parler de Dieu en action parmi Son peuple, un grand don qu’Il avait envoyé.

            Or, ça serait pareil aujourd’hui si seulement nous Le soutenions tous. Mais ce que nous faisons, nous tirons un petit groupe ici et nous disons: »Je suis presbytérien.» »Je suis méthodiste.» »Je suis pentecôtiste.» »Je suis nazaréen.»

            Oh! la la! ... Vous essayez de soutenir... Eh bien, les dénominations sont bonnes. Chacune d’elles est bonne. Mais le problème, c’est ce que vous essayez de faire de votre dénomination. Faites de Christ votre centre. Votre dénomination est bonne, mais faites de Christ votre centre. Lorsque vous faites cela, tous les hommes qui ont la même précieuse foi sont vos frères, ceux qui croient en Dieu. Vous avez de l’espace pour Dieu. Ne mettez jamais un–un point à la fin de votre doctrine. Mettez une virgule à la fin. »Nous croyons ceci plus tout ce que le Seigneur nous révélera.» Voyez? Continuez simplement d’avancer.

36        Eh bien, c’est très bien alors. Mais lorsque vous dites: »C’est tout ce qu’il y a. Ça doit donc être comme nous le croyons», alors–alors vous êtes en erreur. Voyez? Dieu vient, fiche tout par terre, et montre que vous n’êtes pas le seul galet de la plage. Ainsi donc, c’est Dieu qui le fait. Il le fait toujours. C’est ce qu’Il avait fait aux pharisiens, en prenant un Bébé né dans une mangeoire, Il avait grandi avec une mauvaise réputation, celle d’un Enfant illégitime, et Il a déversé Sa plénitude en Lui. Il avait fait des prodiges et des miracles, que les croyants attendaient, et ils ont reconnu qu’Il était le Messie.

            Eh bien, observez juste une minute. Finalement, la nouvelle a atteint les extrémités de la terre, jusque chez la reine là à Séba, c’est là qu’elle avait atteint. Et vous savez, tout le monde passait par chez la reine. Ils n’avaient donc pas de télévision, pas de radio, pas de presse, cela se passait donc de bouche à oreille. Finalement donc, la nouvelle est parvenue à la reine, que–qu’elle était... là en Israël il y avait un grand don de Dieu. Et il était en action. Dieu avait montré un grand signe à cette génération-là.

37        La foi vient de ce qu’on entend. C’est comme cela que vous prenez connaissance. C’est lorsque vous entendez. Et tout le monde en parlait, et cela avait créé une faim dans le coeur de la petite reine. Chaque passant disait: »Oh! Vous devriez vous tenir là dans les cours pendant que Salomon, le serviteur de l’Eternel Dieu d’Israël, se tient là! Et vous n’avez jamais vu pareil discernement. C’est au-delà de tout.» Vous savez, s’il y a un brin de Dieu en vous, eh bien, cela commencera à vous donner la faim. Et finalement, elle a pris la décision de partir voir de ses propres yeux. Elle n’allait simplement pas prendre la parole de tout le monde; elle devait aller voir de ses propres yeux. C’est une bonne chose à faire: Venir, et voir.

38        Je m’imagine donc qu’elle avait acheté toutes les Bibles hébraïques qu’elle pouvait trouver. Et elle lisait là-dedans ce à quoi Jéhovah Dieu ressemblait, parce qu’elle était une païenne. Eh bien, pour aller effectuer une visite et voir si ce signe de Dieu était vrai, elle devait obtenir l’autorisation de son église. Je peux donc la voir partir à l’église et dire à son prêtre païen: »Père, j’ai appris qu’il y a un Dieu vivant en Israël, et Il a pris un de Ses serviteurs, Il est en train de se manifester au travers de cette église-là.»

            Oh! Je peux entendre ce prêtre païen dire: »Eh bien, attendez une minute, ma fille. Si quelque chose de surnaturel pouvait se produire, cela devrait se passer dans notre église (Voyez?). Cela devrait venir par nous. Ne croyez pas ce genre de choses.»

            Mais vous savez, une fois que vous commencez à rencontrer Dieu, le diable va vous mettre toutes sortes de bâtons dans les roues. C’est son devoir de le faire. Et il va vous bloquer dans chaque voie. Mais si vous êtes déterminé, Dieu frayera une voie. Suivons leur conversation, entre elle et le prêtre.

39        Supposons qu’ils se sont dit ceci. Il a dit: »Eh bien, ne t’embrouille donc pas avec du fanatisme. (Voyez?) Tu ferais mieux de faire attention à ce que tu fais, parce que j’ai appris que ces Israélites crient et braillent autour d’une Arche là. Tu ne voudras donc pas t’embrouiller avec cela, mon enfant, car, tu jouis d’un grand prestige. Tu es une reine.»

            Elle a dit: »Mais, père, il y a quelque chose qui brûle dans mon coeur. Je dois partir.»

            »Oh! a-t-Il dit, tu ferais peut-être mieux de venir confesser ton tort (ou quelque chose comme cela). Et tu sais, tu ne devras pas faire cela, parce que (Voyez?) nous–nous avons ici la–l’histoire de notre bible, notre passé, notre dieu.»

            Et je peux entendre sa réponse, quelque chose comme ceci: »Oui, ma grand-mère avait entendu cela. Ma mère avait entendu cela. J’ai entendu cela depuis ma tendre enfance. Vous avez des paroles; vous avez des écrits. Mais là-bas, ils ont un Dieu vivant. J’aimerais voir quelque chose de réel, quelque chose de vivant. Nous avons toutes sortes d’écrits, mais, j’aimerais voir Quelqu’Un qui peut écrire et puis venir accomplir cela.»

            Moi aussi. Je n’aime pas servir un Dieu qui a simplement écrit quelque chose, qui est parti et qui est mort. Je servirai avec joie ce soir un Dieu qui peut écrire, puis revenir accomplir ce qu’Il a dit qu’Il ferait. Même si on L’avait tué, la tombe ne pouvait pas Le retenir. Il est ressuscité. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

40        Et alors, oh! elle a tourné le dos au prêtre et elle est sortie. Si vous êtes déterminé à trouver Jésus, à accéder à Dieu, Dieu frayera une voie pour vous. Alors, elle s’est donc assise et s’est mise à réfléchir. C’est une longue distance jusque là. Ainsi donc, et si j’allais là-bas et que c’était vrai, et que c’est réellement ce qu’on m’a dit que ce Dieu, leur Dieu, est Dieu? Il a non seulement des écrits, mais Il confirme ces écrits. Il confirme Ses promesses. Et c’est l’Esprit de Dieu qui oeuvre. Si c’est le cas, je dois à Cela tout ce que j’ai.»

            C’est tout à fait vrai. Si Dieu est Dieu, nous Lui devons notre vie. Nous Lui devons notre tout. Nous Lui devons tout. Elle a donc dit: »Si c’est le cas, je vais soutenir cela.» Elle a donc chargé les chameaux d’or, et–et d’épices, du parfum, de beaucoup de richesses. Elle s’est dit ceci: »Si ça vient de Dieu, je vais soutenir cela. Si ça ne vient pas de Dieu, je pourrai ramener mes dons. (Et c’est bien, du bon sens.) Je vais donc m’apprêter si c’est le cas, je serai préparée.»

            Elle devait donc voyager avec tout cet or. Mesurez sur votre carte la distance entre Jérusalem et Séba. Cela prenait trois mois pour effectuer ce voyage. Pas à bord d’une Cadillac climatisée, ou à bord d’un car, ou à bord d’un avion, mais à dos de chameau. Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit qu’elle se lèverait au jour du Jugement et condamnerait cette génération. Il y en a qui ne veulent pas traverser l’avenue pour entendre cela, voir un don de Dieu. Ils vont dédaigner cela et s’en aller.

41        Mais elle était déterminée. Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit: »Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire. Et tous ceux que le Père m’a donnés viendront à Moi.» Or... Et, autre chose, comme elle avait toutes ces richesses, n’était-elle pas une... simplement une proie pour les enfants d’Ismaël qui étaient des voleurs dans le désert à cette époque-là? Ces cavaliers rapides, eh bien, ils se seraient abattus sur sa petite caravane là, et l’auraient tuée, et cela aurait été... Eh bien, ce serait... ils auraient emporté tout ce qu’elle avait, tout cet or et autres.

            Mais vous savez, il y a quelque chose à ce sujet, lorsque vous tenez à rencontrer Dieu, qui fait que rien ne se tiendra sur votre chemin. Vous allez de l’avant de toute façon; vous êtes aveugle aux dangers. Vous êtes aveugle aux critiques. Vous êtes aveugle à toute autre chose. Dieu est votre seul motif. Et vous allez Le trouver.

            Que toute personne ici, ce soir, qui cherche le baptême du Saint-Esprit soit déterminée à ce point-là. Ne faites pas cas de ce que quelqu’un d’autre dit. Vous Le verrez de toute façon. Quiconque ici est malade, ne faites pas cas de ce que quelqu’un d’autre dit. Vous serez guéri de toute façon. Observez ce qui arrive. C’est là que se trouve la chose, ami.

42        Elle était déterminée. Elle n’avait jamais pensé aux dangers. Tout ce à quoi elle pensait, c’était d’accéder à Dieu. Alors, elle avait chargé ses chameaux, et elle a pris ses princes, ses–ses gardes du corps, des gardes, des héros, pour l’accompagner. Et ils doivent avoir voyagé de nuit, trois mois durant, pour voir un don de Dieu.

            Je me demande s’il y a beaucoup de sincérité dans le monde aujourd’hui. Et Jésus a dit: »Elle se tiendra avec nous au jour du Jugement.»

            Je me demande ce qu’elle fera devant les Etats-Unis en ce jour-là. Que représentera son témoignage face aux Américains, après que nous avons eu des milliers d’années de témoignages de Dieu avec toutes les écoles, les églises et autres? Que représentera son témoignage face aux Américains qui condamnent, taxent cela du diable et s’en éloignent? Et il y a ici plus que Salomon. Le Saint-Esprit est ici. Ils ne voudraient pas traverser la rue, seulement s’en moquer. Beaucoup, des milliers, des millions d’entre eux...

43        Mais elle s’est frayé un chemin à travers le désert, sans penser aux difficultés, mais elle s’est frayé un chemin. Finalement, elle est arrivée à la cour du palais. Je peux la voir faire descendre la tente de dessus les chameaux, et dresser ses tentes et tout. Ils étaient donc dans les cours, et le jour suivant elle voulait aller assister à l’une des réunions pour voir ce que ça serait. Elle avait, finalement, après trois mois de voyage, après peut-être une année ou plus de nouvelles à ce sujet, elle est finalement arrivée. Alors, elle arriva à destination, peut-être qu’elle a dû aussi se tenir debout.

            Mais ce matin-là lorsqu’on a fait sortir Salomon, le serviteur de l’Eternel, et que les anciens s’étaient assemblés, elle s’est dite: »Bon, je ne viens pas critiquer. Je vais simplement m’asseoir, examiner de moi-même, comparer cela avec les Ecritures et avec les témoignages que j’avais entendus.»

            Après le service des chants et tout, le service commença. Eh bien, on a fait passer un homme devant Salomon. Il a juste l’air d’un homme ordinaire; c’est tout ce qu’il était. Mais, il y avait quelque chose en lui qui faisait qu’il n’était pas lui-même ce matin-là. Dieu est descendu. Et on n’avait jamais vu pareil discernement, dans chaque cas, c’était parfait.

            Elle a dit: »Un homme ne peut pas être parfait à ce point-là, absolument pas. Il doit y avoir quelque chose.»

44        De là, elle est entrée dans la tente. Et je m’imagine que durant toute la nuit, elle a relu tous ces rouleaux hébraïques. Le matin suivant, elle est rentrée. Eh bien, elle n’était jamais venue pour dire: »Bon, je vais entrer m’asseoir cinq minutes. Si je n’apprécie pas ce qu’il dit, je vais me lever et sortir.» C’est ça l’attitude des Américaines.

            Mais elle est venue rester jusqu’à ce qu’elle soit convaincue. Elle voulait examiner cela et s’y accrocher strictement. Elle était venue, préparée pour cela. Ainsi, le jour suivant, peut-être le lendemain, et pendant plusieurs jours...

            Certainement, elle n’en avait pas, mais disons qu’elle avait une carte de prière et elle attendait. Finalement, son tour arriva de se présenter devant Salomon. Eh bien, elle a dit... Voyez, elle avait observé beaucoup d’autres cas, alors elle a dit: »Je crois que ça va marcher.»

            Et quand elle est arrivée devant le don de Dieu, peu importe ce qui était en Salomon, eh bien, Salomon lui avait dit tout, dit la Bible. Il est dit que leur Dieu n’avait rien caché, mais Il a révélé tous les désirs de la femme, dans son coeur.

            Et quand elle a vu cela s’accomplir sur elle, elle s’est retournée et a dit à l’assistance–une païenne–elle a dit: »Tout ce que j’avais appris était vrai et c’est plus que ce que j’ai appris.» Elle a dit: »En vérité, Dieu est avec vous.» Elle a dit: »Heureux les hommes qui peuvent voir ces choses chaque jour. Heureux sont les gens et béni soit le Dieu que vous servez, Qui a donné ces grandes choses en guise de témoignage.»

45        Elle a cru cela. Elle avait passé un temps horrible pour arriver à cela dans son âge. C’est tout ce que Dieu avait dans son âge pour elle. Elle avait cru cela.

            Mais eux se tenaient là, observant des oeuvres plus puissantes que Salomon accomplissait. Et cependant, ils ne croyaient pas cela et ils ont taxé cela du diable. Il a dit: »Elle se lèvera au Jugement avec cette génération et la condamnera, car, elle vint des extrémités de la terre pour voir un esprit de discernement. Et il y a avec vous plus que cela.»

            Je dis ce soir, amis, même si Jésus-Christ, le Fils de Dieu s’était tenu là où Il était, Il n’était pas encore glorifié. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il n’était pas encore confirmé. A Gethsémané, Il avait une opportunité de rejeter cela. Mais Il n’était pas confirmé. Mais aujourd’hui, Il est confirmé par Dieu. Il est mort, Il a été enterré et Il est ressuscité. Et deux mille ans après, Il est toujours vivant ce soir, un signe plus grand qu’à l’époque où Il marchait sur la terre. Il y a ici plus que Salomon.

46        Oh! la la! Je crois que les gens sincères aimeraient voir quelque chose de réel. Les Paroles sont bonnes, mais cette Parole marchera-t-Elle? Si Dieu a fait une promesse de la guérison, marchera-t-elle? S’Il a fait ces promesses, marcheront-elles?

            S’Il a dit: »Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, et vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père», cela marchera-t-il? Je sais que la version King James dit: De plus grandes, mais rien ne pouvait l’être. Si vous regardez dans l’original, il est dit: Davantage. Il a arrêté le cours de la nature, Il a ressuscité les morts. Vous ne pouvez pas faire de plus grandes, mais vous pouvez en faire davantage. A l’époque, Il était dans une Personne, Son Fils, Dieu l’était, Jésus. Et maintenant, Il est dans l’Eglise universelle, à travers le monde. »Vous en ferez davantage, car Je m’en vais au Père.

47        Les gens vraiment sincères, vous les gens de la Géorgie, je crois que vous êtes honnêtes et sincères, des gens honnêtes. C’est pour cela que vous êtes ici ce soir. Ce n’est pas que je condamne l’église de quelqu’un, chacune d’elles est bonne. Nous sommes frères. Mais l’heure est venue où nous devons nous élever au-dessus de nos sentiments dénominationnels et avoir la fraternité. Nous sommes frères les uns aux autres et frères à Christ. Et c’est la raison de ces choses. Dieu envoie quelque chose de réel pour attirer à Lui les coeurs honnêtes.

            Je suis un chasseur, comme beaucoup d’entre vous le savent. Je chassais dans les forêts du nord. Je chassais avec un homme du nom de Burt Caul, l’un des meilleurs tireurs avec qui j’aie jamais chassé. Et je suis un guide dans beaucoup d’Etats, un guide autorisé.

            Ma mère est mi-Indienne. Elle vient des réserves. Sa mère aussi. Mon père est Irlandais. Juste assez de sang pour me faire désirer ardemment le plein air... J’aimerais vous prêcher à un moment sur mes expériences, comment j’ai rencontré Dieu dans la nature. Dieu est dans la nature.

48        J’allais là chasser avec lui. En effet, on n’avait jamais à s’inquiéter de ce que Burt se perde. Il–il savait où il était et c’était un bon tireur. Mais il était l’homme le plus méchant que j’aie jamais vu. Il était très cruel.

            Et une année, je suis allé là-bas. Et il avait l’habitude de tirer les petits, les petits faons, rien que pour m’indisposer. Et je lui disais: »Burt, tu ne dois pas faire cela. Ça ne sert à rien de tirer sur les petits, les petits faons. Nous avons beaucoup de temps. Chasse un cerf, un adulte.»

            »Oh! disait-il, prédicateur, tu es une poule mouillée. C’est ça le problème avec vous bande de prédicateurs.» Il disait: »Vous êtes juste des poules mouillées.»

            Je disais: »Burt.»

            Il disait: »Je pensais que tu étais un chasseur.»

            Je disais: »Je suis un chasseur, mais je ne suis pas un meurtrier.» Je disais: »Ce n’est pas bien. J’avais travaillé sept ans comme garde-chasse juste avant de venir au ministère.» Et je disais: »Je suis un partisan de la conservation de la nature, et je ne crois pas en cela.» (Bien que c’était légal de tirer sur un faon, mais pas une douzaine.)

49        Mais il–il le faisait juste pour faire le méchant, m’indisposer. Vous savez, il y a des gens comme ça dans le monde, ils vont bien se moquer de vous juste pour vous indisposer, diront quelque chose de mal à votre sujet. Ce n’est pas cette personne-là. C’est le diable dans cette personne-là. C’est tout. Cette personne aime sa femme autant que vous aimez la vôtre et tout. Elle aime manger, dormir, boire, et–et vivre en société, et tout... Mais ils le font parce que le diable exerce un contrôle sur eux.

            Ce fou de Gadara, cet homme aimait et tout, mais il était si possédé du diable que le–le diable utilisait sa langue pour parler: »Nous Te connaissons, Tu es le Saint de Dieu. Pourquoi viens-Tu nous tourmenter?» Ce n’était pas cet homme-là; c’était le diable qui utilisait sa voix.

            Et un homme peut être si rempli de Dieu, que Dieu peut aussi utiliser sa voix. Avez-vous déjà vu un fou, il faut plusieurs personnes pour le maîtriser; sa puissance est très grande, parce qu’il est très possédé du diable. Cet homme peut briser les chaînes. Si le diable peut donner à un homme une telle puissance, à combien plus forte raison Dieu peut vous donner, à vous sur les fauteuils roulants, la puissance de Son Esprit pour vous lever? Les fauteuils roulants, ou rien, ne peuvent vous retenir si réellement Dieu se saisit de vous, non pas lorsqu’un prédicateur se saisit de vous. Mais lorsque Dieu s’en empare, quelque chose se produit. Eh bien, je ne suis pas hors de moi. Je sais exactement où je me tiens. Mais je me sens simplement religieux.

            Si vraiment Dieu peut se saisir de cette église ce soir, qu’est-ce qui peut se produire? Il est ici. Son Esprit est ici. Il veut le faire. Il désire ardemment le faire. Si seulement nous Le laissons faire. »Je le peux, si tu veux.»

50        Eh bien, remarquez. Une année, je suis allé chasser avec Burt. Et nous nous sommes mis à chasser.

            Il a dit: »J’aimerais te montrer quelque chose, Billy.»

            J’ai dit: »D’accord.»

            Il plongea la main dans sa poche (et il avait des yeux semblables à ceux d’un lézard, de toute façon), et il a examiné avec ces yeux de lézard. Et il a fait retentir ce petit sifflet et cela a émis un son semblable à celui d’un petit faon réclamant sa maman.

            J’ai dit: »Burt, tu ne feras pas cela.»

            Il a dit: »Ô prédicateur, ressaisis-toi.» Il a dit: »Certainement, je vais le faire. Je vais suspendre des faons tout le long de cet espace, juste pour te les montrer.»

            J’ai dit: »Oh! Burt, tu es très méchant.» Et j’ai dit: »Pourquoi ne deviens-tu pas chrétien? Tu arrêterais cette affaire.»

            Il a dit: »Oh! Voyons, Billy.»

51        Nous sommes allés chasser ce jour-là, et il y avait environ six ou huit pouces [15 ou 20 cm] de neige, juste assez pour bien pister. C’était un peu tard dans la saison... Et–et alors, j’avais dû travailler tard, et je n’étais pas monté là, pour mes vacances.

            Et nous nous sommes dirigés vers le White Mountains [Montagnes Blanches] en sortant de l’autoroute n°2 qui vient de New Hampshire, on avait traversé le New Hampshire, en venant de Berlin, on passait... On allait à Lancaster, en empruntant l’autoroute, on en croise juste une en passant par le domaine présidentiel. Nous montions vers le Mont Washington. Et il faisait un peu froid.

            Nous avions chassé toute la matinée. Les cerfs étaient très rares, ayant été chass–ayant été chassés. Et il y avait... ces petits animaux, dès qu’un fusil détonne, ils se mettent à l’abri. Vous ne les reverrez plus jusqu’au printemps prochain. Ils s’étaient cachés. Et nous avions chassé toute la matinée et sans avoir même vu une piste.

52        Puis, nous sommes arrivés à une petite clairière, où il y avait un amoncellement de neige. Le vent avait soufflé et la neige s’était entassée, oh! trois ou quatre pieds [90 ou 120 cm] de hauteur. Et Burt s’est un peu accroupi (comme nous le disons), il a plongé la main ici dans son sein. Il était environ onze 11 heures. Nous emportions toujours une carafe thermos de chocolat chaud pour le cas où nous nous ferions mal ou que nous aurions très froid, ou–ou quelque chose comme cela, nous prenions ce chocolat chaud. Une espèce de...Le–le bonbon, une telle saveur vous réchauffe. Et peut-être un sandwich...

            Eh bien, j’ai pensé que Burt avait faim, que nous allions donc prendre un sandwich ici. Et il s’est un peu accroupi et il a introduit la main dans son sein, mais quand il l’a fait sortir, c’était ce petit sifflet. Et nous étions à une petite clairière d’environ trois ou quatre fois la dimension de cette–cette salle. Et il m’a regardé avec ses yeux de lézard. Et il s’est mis à rire.

            J’ai dit: »Burt, tu ne le feras pas.»

            Et il l’a fait retentir. Et j’étais surpris de voir que, juste de l’autre côté de cet endroit, une grosse mère biche s’est levée. Eh bien, c’est inhabituel. Oh! C’était un bel animal. Eh bien, la biche, c’est la mère. Et elle se tenait là. J’étais très proche d’elle, je pouvais voir ses grandes, grosses, jolies oreilles redressées.

            Et alors, il a encore levé ses yeux de lézard vers moi. Et il a encore fait retentir cela. Eh bien, c’est inhabituel en ce moment-là de la journée qu’un cerf se lève. Mais elle avait entendu le cri d’un petit. Il a fait retentir cela, et elle s’est avancée droit dans la clairière. Or, ils ne font jamais cela. Ils ne font jamais cela, car s’ils sont... s’ils osaient même se lever, ils resteraient à l’abri. Mais elle s’est avancée droit dans la clairière.

53        Il a levé les yeux vers moi et je me suis dit: »Oh! Burt, tu ne peux pas faire cela.» Je l’ai suivi, un bruit sec de la culasse mobile, alors que ce vieux morceau de bois encrassé recevait une–une cartouche et verrouillait cela. Et il était un tireur d’élite. Et il a braqué le fusil. Je me suis dit: »Ô miséricorde...» Elle n’a point avancé. Et elle a entendu ce bruit sec du fusil.

            Et quand elle a regardé, ces grosses oreilles se sont redressées, et ces gros yeux bruns... Elle a vu le chasseur. Eh bien, normalement, elle devait filer comme un éclair. Mais pas elle, elle était une mère. Un petit était en difficulté. Même si cela représentait la mort, son petit était en difficulté. Elle n’y pouvait rien. Elle ne faisait pas semblant. Elle n’avait pas un semblant de foi. Il y avait quelque chose en elle. Elle était née une mère, et son petit criait. La mort ou pas la mort, elle regardait le chasseur. Et j’ai vu ces bras d’acier se poser contre ce fusil.

54        Je me suis dit: »Oh! la la! Burt, comment peux-tu faire ça? Ce coeur loyal de mère est en train de battre en quête de son petit. Et la minute suivante, dès que tu appuieras sur cette gâchette comme ce réticule est pointé sur elle, tu lui feras sauter son coeur pur. J’étais proche comme ça, à trente yards [27 cm] d’elle. Je me suis dit: »Il ne restera même pas en elle un morceau de son coeur, ce coeur de mère qui bat si loyalement. Comment peux-tu faire ça, Burt?» Je ne pouvais pas regarder cela. J’ai détourné la tête. J’ai dit: »Père céleste...» dans mon... (Silencieusement.) »Ne le lui permets pas. Ne... Comment peut-il faire ça, alors qu’il voit cette mère, quelque chose en elle? Elle n’y peut rien. Elle est une mère.»

            J’ai continué à suivre, et le fusil ne détonnait point. J’ai attendu quelques secondes et le fusil ne détonnait toujours pas. Et je me suis retourné pour regarder, et le canon du fusil allait comme ceci. Il m’a regardé, il a jeté le fusil par terre et il m’a saisi par la jambe du pantalon. Et il a dit: »Prédicateur, j’en ai marre. Conduis-moi à ce Jésus dont tu me parles. Je veux Le connaître.»

55        Que s’était-il passé? Il avait fréquenté l’église toute sa vie. Il avait vu des hypocrites et tout le reste. Mais il a vu quelque chose de réel. Il a vu quelque chose qui n’était pas du fabriqué. Il a vu quelque chose de vraiment divin. Et la manifestation de la loyauté par cette vieille mère biche, comme une mère, a conduit ce chasseur au coeur cruel à Dieu là même sur cet amoncellement de neige.

            Il a vidé son fusil et a dit: »Je ne tirerai plus jamais sur un faon tant que je vivrai.» Il est maintenant diacre dans l’une des églises baptistes de New Hampshire. Qu’est-ce?

            Frère, soeur, ne voudriez-vous pas être un chrétien, autant chrétien qu’elle était une mère? Ne voudriez-vous pas témoigner votre loyauté et votre foi en Christ, quelque en soit le prix, vous tenir là avec quelque chose en vous? Vous ne le pouvez pas avant que cela soit né en vous. Si vous n’avez pas eu cette expérience, quelque chose là-dedans qui fait de vous, ce quelque chose de si réel que vous... Pas parce que vous êtes membre d’une église, parce que Christ est en vous, mais il y a quelque chose de réel.

            Aimeriez-vous avoir cela? Combien ici maintenant même, pendant que vous avez la tête levée, levez simplement la main et dites: »Frère, j’aimerais être autant chrétien dans mon coeur pour témoigner à Christ autant de loyauté que cette vieille mère biche a dû être une mère?» Levez la main. Que Dieu vous bénisse. Prions.

56        Seigneur, la reine du Midi s’est tenue au milieu des gens comme cette mère biche, elle a professé, et elle a dit: »Vraiment, ceci vient de Dieu.» Quelque chose lui était arrivé. Dieu avait parlé à son coeur. Et tu nous as rassuré qu’elle n’était pas morte, mais qu’elle se lèvera à la résurrection et condamnera ceux qui refusent de T’écouter.

            Je Te prie ce soir, Seigneur, au Nom de Ton Fils Jésus, de laisser le Saint-Esprit prendre chaque main qui a été levée ce soir et celles qui devraient être levées, et ensemble avec moi, Seigneur, créer en nous une loyauté, une authenticité, une véritable expérience de la nouvelle naissance, naître de nouveau de l’Esprit de Dieu, au point que nous pourrons faire devant le monde, les collègues du travail, et les associés, une véritable démonstration du christianisme. Accorde-le, Seigneur. Tu connais chaque coeur ici et la faim qu’il éprouve. Remplis-le, Seigneur, selon Tes richesses et Ta grâce. Je Te les confie.

57        Et maintenant, Seigneur, je Te prie d’entrer en scène ici ce soir. Viens, Seigneur, monté sur les vagues. Descends dans le tourbillon. Viens dans la Colonne de Feu, afin que les gens sachent que ces choses pour lesquelles Tu as aussi envoyé le Saint-Esprit comme témoin en ce jour-ci, comme Tu avais dit que Tu le ferais... Et que chaque personne ici soit tellement remplie de Ton Esprit qu’il n’y aura plus de personne faible parmi nous à la fin du service.

            Que ceux qui ne sont pas chrétiens le deviennent. Que ceux qui T’ont accepté comme Sauveur et qui ne sont pas encore nés de l’Esprit soient remplis du Saint-Esprit; nous prions qu’ils Le reçoivent ce soir. Et les malades et les affligés partiront avec de l’assurance reposant dans leur coeur, quelque chose qui les fera subsister dans les épreuves du diable, qui cherchera à le leur arracher. Ils peuvent encore dire: »Il est écrit: C’est par Ses meurtrissures que je suis guéri.»

58        Beaucoup ne seront pas dans la ligne de prière. Beaucoup de ceux qui veulent être guéris se tiendront là dehors. Seigneur, qu’ils sachent que Tu es à la portée de chacun. Tu es capable et Tu veux leur donner la force et la–la foi qui tiendra bon, peu importe leurs conditions ou leur aspect physique. Ils le croiront toujours et le confesseront. Et Tu accompliras cela. Et les quartiers où ils vivent verront qu’il y a quelque chose de réel, que le Saint-Esprit a agi sur eux.

            Les pécheurs, les soûlards, ceux qui ont mené une vie immorale, ceux qui ont brisé leurs voeux vis-à-vis de leurs femmes et vis-à-vis de leurs maris, de petits amis qui sont infidèles, qu’ils voient, Seigneur, qu’il faut Dieu pour faire d’un homme, ou d’une femme, ce qu’il doit être, se tenir avec courage, ce soir, Te confesser, être rempli de l’Esprit de Dieu et repartir d’ici en vaillant chrétien autant que cette vieille mère biche dont j’ai vanté les qualités de mère. Accorde-le, Père. Nous Te louerons. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

59        Je sais que vous êtes fatigués, d’être restés debout, et j’ai prêché longtemps; il est presque vingt-une heures; mais encore quelques minutes de plus maintenant. Eh bien, juste ces petits... Je ne suis pas un prédicateur. Vous le savez. Mon don, c’est quelque chose d’autre. Vous avez ici des prédicateurs instruits. Je ne suis pas instruit et mon ancienne instruction de sixième primaire ne va pas plus loin. Je–je ... Mais j’aime dire ce que je connais. J’aime partager cela avec quelqu’un d’autre. Mais mon ministère, c’est pour les malades. Et au travers des malades, nous attrapons les pécheurs.

            C’est juste comme prendre l’appât et le mettre à l’hameçon. Vous ne montrez pas l’hameçon au poisson; vous lui montrez l’appât. Il avale l’appât et se fait prendre par l’hameçon. C’est comme ça donc qu’il faut prêcher l’Evangile. Il s’agit de vous présenter–vous présenter Christ. Et par là, Il peut se saisir de vous, vous conduire, vous guider, vous faire sortir de cette rivière contaminée où vous mourez avec la sciure dans vos branchies et vous plonger dans les Eaux de la Vie Eternelle, là où vous pouvez nager librement. Il cherche à vous faire du bien.

60        Maintenant, mon... il n’y a personne au monde qui peut guérir une autre. Nous le savons. Le médecin ne peut pas le faire. Il n’y a aucun médicament qui peut le faire. Il n’y a jamais eu un médicament qui ait guéri un homme et il n’y en aura jamais, il n’y a pas un médecin jouissant de toutes ses facultés qui dirait qu’il y en a eu. S’il le dit, il–il a besoin d’une guérison mentale.

            J’ai été interviewé à la Clinique Mayo. Ils ont dit: »Nous ne nous disons pas guérisseurs, Révérend Branham. Nous soutenons assister la nature. Il y a un seul Guérisseur; c’est Dieu.» Voyez? C’est Dieu, le seul Guérisseur. Et ce que Dieu fait pour Sa guérison, Il a déjà pris des dispositions pour vous. Tout ce que vous avez à faire, c’est de recevoir cela. Regardez ici. Je crains que cela n’ait pas très bien marché.

61        Et si je démarrais ma voiture à la manivelle, ou je faisais quelque chose, et que je me fracturais le bras et que j’entrais à toute vitesse chez le médecin et que je disais: »Docteur, guéris cela. Vous êtes un guérisseur.»

            Il dirait: »Frère Branham, vous avez besoin de la guérison de votre tête.»

            Et c’est vrai. Eh bien, il peut replacer, mettre cela, mais c’est Dieu qui le guérit. Il peut arracher une dent, mais c’est Dieu qui doit guérir là où la dent a été arrachée. Il peut enlever l’appendice, mais c’est Dieu qui doit guérir.

            Quelqu’un a dit: »Qu’en est-il de la pénicilline contre le gros rhume?»

            Eh bien, la pénicilline, c’est comme vous aviez une maison infestée de rats qui ont fait des trous en rongeant dans la maison. Vous pouvez mettre une mort-aux-rats. Cela va tuer les rats, mais cela ne va pas boucher les trous. La pénicilline tue les germes, mais c’est Dieu qui doit restaurer cela, les endroits rongés par les germes. Certainement. Il n’y a de guérison qu’en Dieu.

62        Ecoutez, si je me blessais à la main avec un couteau et que je tombais raide mort ici, il n’y a aucun–aucun médicament au monde qui peut guérir ma main. Tout médicament qui guérirait ma main, une entaille à la main, guérirait une déchirure à mon veston.

            Eh bien, vous direz: »Il n’a pas été fabriqué pour le veston, Frère Branham. Il a été fabriqué pour le corps humain.»

            D’accord. Que je tombe raide mort ici, que vous m’ameniez à la morgue et que vous embaumiez mon corps avec du fluide, qui me donne un air naturel pendant cinquante ans, donnez-moi une piqûre de pénicilline chaque jour. Que les médecins viennent, qu’ils pansent et suturent cela. D’ici cinquante ans, cela aura bien exactement l’aspect que ça avait quand on s’était blessé. Eh bien, vous direz: »Certainement, la vie vous a quitté.»Alors, qui est le guérisseur, le médicament ou la vie? Dites-moi ce qu’est la vie et je vous dirai Qui est Dieu. Voyez? Voyez? Dieu est le Guérisseur.

            Eh bien, cela n’écarte pas le médicament. Le médicament fait du bien. Et un coeur heureux procure autant de bien que le médicament. Voyez? Eh bien, mais Dieu est le seul Guérisseur.

63        Ainsi, l’unique moyen pour vous de pouvoir... Si votre médecin a fait tout son possible, Dieu est ici pour vous guérir. Quand vous devenez tellement rempli de Son Esprit, de la puissance, de la foi, que vous pouvez vous élever vous-même à une foi qui vous permet de marcher sur base de quelque chose de réel, Dieu, alors, vous allez marcher, vivre et être bien portant. Il ne prendra pas l’un et laissera l’autre. Il les prendra tous.

            Or, mon ministère, c’est le ministère que le Seigneur Jésus exerçait ici sur terre quand le Père L’utilisait pour le discernement. Nous avions abordé cela hier soir. Presque vous tous, je pense, vous étiez ici hier soir.

            Eh bien, nous distribuons à nouveau des cartes de prière chaque jour, parce que nous croyons que quelqu’un et tout le monde sera guéri.

64        Eh bien, ne l’oubliez donc pas, pasteurs, beaucoup de ceux qui sont assis ici, qui n’ont pas été dans la ligne de prière dans la réunion d’hier soir, sont guéris. Je peux le déclarer.

            Mon fils a dit, et mon frère, ici, lorsque nous franchissions la porte, ils ont dit: »Tu as un peu trop traîné.»

            J’ai dit: »Je sais cela, mais je n’y pouvais rien; ces très aimables personnes étaient là, attendant, et je suis simplement resté. C’est tout.»

            Aujourd’hui, je suis simplement resté couché toute la journée, car, je sentais cela, très affectant. Ainsi, vous voyez, c’est votre–votre foi. C’est votre foi en Dieu, votre propre foi individuelle. Si je pouvais vous guérir, je le ferais certainement. Je serais content de le faire, mais je ne le peux pas. Mais avec un don divin, le premier, la foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole. Alors, quand la foi vient et que vous écoutez la Parole, si cela ne marche pas... Si c’était vous ou moi et que les gens ne nous croyaient pas sur parole, ça serait réglé. Mais pas Dieu....

            Après qu’Il eut fini avec Sa Parole, Il a donc envoyé dans l’Eglise premièrement les apôtres, les prophètes, les évangélistes, les pasteurs, et autres, dans Son Eglise pour le perfectionnement de l’Eglise. Eh bien, ces choses sont un don que Dieu place dans l’Eglise.

65        Eh bien, j’ai oublié que Billy m’avait dit avoir distribué des cartes de prière; mais je vous dis...?... B. Hum, merci. De 1 à 100? De 1 à 100? D’accord. Par où avons-nous commencé hier soir? 1? Commençons à partir de quelque part ailleurs ce soir. Commençons par 25 ce soir. B-25, la carte de prière B-25, qui? Est-ce la dame qui l’a? Venez juste ici. B-26, on a écrit B dessus et un numéro 26. Le garçon arrive, l’un des garçons, les bat toutes ensemble et les distribue à quiconque le veut. Vous voyez, vous pouvez recevoir cela, juste un numéro pour être appelé.

            Vous n’avez pas besoin d’avoir votre carte de prière. S’il y a un qui est guéri ici à l’estrade, il y en a vingt-cinq qui sont guéris là dans l’auditoire. Certainement. C’est votre foi. Combien étaient ici hier soir et ont vu cela se produire? Levez la main. Partout dans l’assistance, peu importe qui vous êtes...

66        Voyons. Où avons-nous commencé? B quoi? Vingt... 25? 26? 27, B-27? 28? 29? 30? 31? Ai-je vu 31, B-31, 31? 32? La raison pour laquelle nous faisons ceci, c’est pour que vous ne vous précipitiez pas tous au même moment. Ce n’est–ce n’est pas une arène; c’est–c’est maintenant une église. Voyez? Voyez, ça garde tout en ordre et comme il faut. Combien voient que c’est bien? C’est l’unique moyen de le faire.

            Et si je disais: »Combien ici veulent qu’on prie pour eux?» Combien le veulent? Levez la main. Eh bien, qui est le premier? Nous ne prendrons pas beaucoup. C’est une chose certaine, parce que cela me tue pratiquement. Voyez? Et il y aura pour chacun ici, il y aura quelqu’un là qui va recevoir cela. Voyez?

67        Jusqu’où êtes-vous arrivé, frère?... Que dites-vous? B-32, B-32? Oh! Vous l’avez. B-33? 34? B-34? 35? 36, ai-je vu 36? S’il vous plaît? B-36? 37? 38? 39? 39, voudriez-vous lever la main, celui qui a cela, s’il vous plaît? 40, 40? B-40. Très bien. Est-ce assez? Avez-vous encore de l’espace là? Encore de l’espace? Très bien, 41? 42? Quel numéro? 42, qui l’a? Est-ce 42 qui se lève là? B-43, la carte de prière B-43? 44? 45, 45? Il vient par ici. 46, B-46? 47? 47? Regardez et voyez. Que quelqu’un regarde cela. Je vois une dame ici qui a une... prière. Vous dites quoi? 47... Eh bien, prenons jusque 50; entassez-les là quelque part. 47, 48... Qui a 48? 49, 49? Là au fond, là au fond, très bien. On les a distribuées, c’est partout dans la salle. 49, que la dame descende. 50, qui a B-50? La carte de prière B-50, voudriez-vous... N’est-elle pas là? Désolé. Là au fond d’où ils viennent... B-50... Attendons. On a toute une foule ici dedans...

68        Ainsi donc, laissons-les aligner les gens, cela va jusque dans le couloir et sur les marches. Et maintenant, j’aimerais vous demander, quiconque... Etiez-vous debout, monsieur, pour... Très bien, avancez. Très bien.

            Maintenant, arrêtons là, juste pour un petit instant. Eh bien, combien ici n’ont pas de carte de prière et veulent que Dieu les guérisse? Levez la main. Eh bien, c’est pratiquement partout. Très bien. Jésus a dit...

            S’il y en a un ici qui n’étaient pas ici, hier soir, lorsqu’on donnait des instructions... pendant qu’on aligne les gens.

69        Jésus a dit dans les Ecritures, ou la Bible dit plutôt, pas Jésus, que lorsqu’Il est passé à côté de la multitude, eh bien, Il est allé dans une certaine contrée, et il y avait là des gens tout autour de Lui et ils Le saluaient. Et il y avait une femme qui souffrait de la perte de sang, elle s’est frayé un chemin dans la foule et a touché le bord de Son vêtement. Car elle se disait: »S’il me faut même toucher une partie de Son vêtement, je serai guérie.» Combien se souviennent de cette histoire? Et rapidement, Il a senti cela.

            Eh bien, nous avons illustré hier soir. Voici le vêtement que portait le Maître, avec un vêtement en dessous. Physiquement, Il n’avait pas senti cela, car elle avait touché ceci. Mais ce qui est à l’intérieur avait senti cela.

            Et Il a demandé: »Qui M’a touché?»

            Et Simon Pierre L’a repris, disant: »Pourquoi dis-Tu pareille chose? Tous Te touchent.»

            Il a dit: »Mais J’ai connu que J’étais devenu faible. La vertu est sortie de Moi.» Et Il a promené le regard sur l’assistance jusqu’à repérer la personne. Alors, quand Il l’a repérée, Il a dit... Il lui a parlé de sa perte de sang, que sa foi l’avait guérie. Est-ce vrai? Sa foi l’avait guérie.

70        Maintenant, la Bible déclare que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est vrai. Et à ces membres du clergé et à ceux qui sont là derrière, les Ecritures ne nous enseignent-Elles pas, le Nouveau Testament, qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? Eh bien, s’Il est le même Souverain Sacrificateur, le même hier, aujourd’hui, et éternellement... Et alors, s’Il a... s’Il est touché, Il agira de même qu’Il avait agi hier, car Il ne peut pas faire plus. Il est le même Souverain Sacrificateur.

            Souvenez-vous de ceci, ami, pendant que nous apprêtons les gens. J’aimerais vous confier ceci. Si jamais quelqu’un vous posait la question là-dessus, croyez-vous que Dieu est infini? Alors, si jamais Dieu est appelé sur la scène en cas de (une crise surgit)... et que Dieu soit donc sur la scène pour agir, la façon dont Il avait agi la première fois, c’est de même qu’Il agira toujours. S’Il ne le fait pas, c’est qu’Il avait mal agi en agissant la première fois.

            Si un pécheur L’a invoqué pour être sauvé, Il doit sauver ce pécheur s’Il avait sauvé le premier pécheur qui L’avait invoqué. C’est vrai. Si on L’a invoqué pour la maladie et qu’Il a guéri le premier homme, par la foi, Il doit guérir le prochain homme et toute autre personne qui viendra à Lui, sinon Il avait commis une erreur en guérissant la première personne, car Il est infini.

71        Or, moi, je peux dire quelque chose. Je pourrai avoir à retirer cela, parce que je ne suis qu’un homme. Vous pouvez dire quelque chose avec toute la bonne intention, mais, bien des fois vous avez eu à retirer cela. Vous êtes limité; vous n’êtes qu’un être humain. Mais, Lui, Il est Dieu. Il ne connaît pas... Il n’est pas plus intelligent aujourd’hui qu’Il–qu’Il l’était au commencement. Il est parfait du début à la fin. Il est le même. Ses décisions sont donc toujours les mêmes, parfaites. Ainsi, le Dieu que nous servons (Souvenez-vous-en donc. Gardez cela à l’esprit), le Dieu que nous servons est... a toujours été Dieu et sera toujours Dieu. Il ne peut pas changer. Et pour se manifester devant Israël, afin de montrer qu’Il était le Messie et, la dispensation des Juifs touchait à sa fin, Il a manifesté le signe du discernement comme Il l’a fait devant Philippe.

            Quand il est allé prendre Nathanaël et l’a amené, Il lui a dit: »Je savais où tu étais. Tu es un Israélite. Je t’ai vu sous l’arbre avant que tu ne viennes à la réunion.»

72        Quand on est allé prendre Simon Pierre, on l’a amené, Il lui a dit: »Ton nom est Simon. Le nom de ton père, c’est Jonas.» Oh! la la! Cela–cela l’a touché. Et quand Il a parlé à Nathanaël, Il a dit: »Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: »Rabbi (Révérend, Prédicateur, Docteur, à vrai dire ce mot signifie docteur), quand m’as-Tu connu? Tu ne m’as jamais vu de Ta vie. Comment sais-Tu que je suis un homme juste et que je suis un Hébreu?»

            Il a dit: »Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Il a dit: »Rabbi, Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.»

            C’était là en fait le vrai Juif. Ce Juif très empesé a dit qu’Il est un démon, qu’Il est un diseur de bonne aventure. C’est alors que Jésus avait dit ce dont je parlais il y a quelques instants.

73        Alors, il fallait qu’Il passât par la Samarie. Rappelez-vous, il n’y a que trois catégories de gens: ce sont les descendants de Cham, de Sem et de Japhet. Combien se souviennent que Jésus avait donné à Pierre les clés du Royaume? Nous le savons tous. Et le jour de la Pentecôte, qui avait ouvert le Royaume de Dieu? Matthieu? Marc? Luc? Jean? Pierre.

            Philippe est allé et a baptisé les Samaritains. Mais cependant, le Saint-Esprit n’était pas venu sur eux, et on a envoyé chercher celui qui avait les clés. Il est descendu, il leur a imposé les mains, il a ouvert la dispensation aux Samaritains... Il est allé chez Corneille, chez les Gentils, et il a ouvert la porte chez Corneille; et depuis lors, c’est pour tous, pour quiconque. Voyez? Les clés n’ont plus été utilisées, car le Royaume est ouvert.

74        Eh bien, quand Jésus est venu, et s’est fait connaître aux Juifs, car ils attendaient qu’un–un Dieu-Prophète se lève, qui serait le Messie... Combien comprennent cela?

            Deutéronome 18.5, lorsque Dieu a dit: »Je susciterai un Prophète du milieu de tes frères, c’est un... comme Moïse, et quiconque n’écoutera pas ce Prophète sera retranché du milieu du peuple.» Et Ils attendaient un Prophète, un Dieu-Prophète, un Homme, Emmanuel.

            Il a parlé dans Esaïe, disant que cela... »Je vous donnerai un signe éternel, une vierge concevra et donnera naissance à un Enfant, et Il sera Emmanuel.» Dieu avec nous, Dieu manifesté dans la chair.

            Voyez, tout cela, c’est Dieu condescendant, Dieu, Saint, au-dessus du péché. Le péché n’était pas encore jugé. Ainsi, pour se placer dans la loi de la rédemption, Il a dû devenir un Parent Rédempteur selon la loi de la rédemption, comme Ruth, Naomi et Boaz. Dieu s’est formé un corps, Son Fils, créé dans le sein de Marie, une cellule de Sang. Croyez-vous cela? Et Jésus est né en dehors du désir sexuel. Il est né d’une vierge. Cette cellule de Sang était formée par Jéhovah Dieu.

75        Puis, après Son baptême dans l’eau, Jean a vu l’Esprit de Dieu descendre comme une colombe et se poser sur Lui, une Voix a dit: »Celui-ci est Mon Fils bien-aimé.» L’expression correcte est la suivante: »En Qui Je prends plaisir d’habiter.»Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même. Jésus a dit: »Ce n’est pas Moi qui fais ces oeuvres; c’est Mon Père. Je... le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.»

            Et alors, Dieu était avec nous, Dieu au-dessus de nous, Dieu avec nous en Christ, Emmanuel, Dieu avec nous. Et alors, quand cette cellule de Sang fut brisée au Calvaire et que le Sang fut versé, l’Esprit... Sous l’ancienne dispensation, le péché était seulement couvert, pas pardonné, couvert, parce que le sang des boucs et des taureaux ne pouvait pas ôter le péché; il couvrait seulement cela.

            Mais lorsque la–la–la vie qui était dans l’animal qui mourait, la vie ne pouvait pas revenir et devenir esprit dans l’être humain, parce que c’était la vie animale, sans âme. Mais quand Jésus est mort, c’était l’âme de Dieu. Et quand cette cellule fut brisée, elle a sanctifié l’Eglise de sorte que le Saint-Esprit puisse vivre en nous, nous qui sommes nés par le sexe. Donc, c’est Dieu au-dessus de nous, Dieu avec nous; maintenant, c’est Dieu en nous.

            »Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus», a dit Jésus. C’est le cosmos, l’ordre mondial. »Il ne Me verra plus. Mais vous, vous Me verrez (Vous, l’Eglise, les croyants), car Je (et quiconque avec une instruction d’école primaire sait que Je est un pronom personnel), Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Jésus-Christ le même hier, aujourd’hui et éternellement.

76        Si le premier groupe de gens... Il est le Cep (Jean 15), et nous sommes les sarments. Eh bien, ce n’est pas le cep qui porte les fruits. C’est le sarment qui porte les fruits, étant alimenté par le cep. Et si le premier sarment de ce cep avait produit une Eglise qui a écrit un Livre des Actes, le deuxième sarment fera la même chose. Chaque sarment qui sort de ce cep sera alimenté par la même vie qui est dans le cep. Amen.

            J’aimerais une fois venir vous en parler. Oh! Ce n’est pas un secret, ce que Dieu peut faire, s’Il peut avoir des gens qui croiront en Lui.

            Bon, il y a... J’espère que personne ne partira d’ici ce soir déçu. Il n’y a pas de raison pour cela. Il y en a ici, ici qui peut-être souffrant du coeur et qui ne pourront vivre que peu de temps. D’autres qui souffrent du cancer ne vivront que peu de temps. Votre médecin a fait de tout son mieux. Voilà, ça évolue, deux ou trois personnes assises ici sur des fauteuils roulants. Ils peuvent peut-être mener une vie normale pendant longtemps, mais vous ne sortirez jamais de ce fauteuil roulant à moins que Dieu vous vienne en aide. Voyez? C’est vrai.

77        Mais généralement, quand vous prenez une personne dans un fauteuil roulant, elle se dit: »Bon, mon cas est désespéré.». Non, vous ne l’êtes pas. Pour Dieu, il n’est pas plus difficile de vous guérir que d’arrêter un mal de dent. Il est un Dieu infini. Vous n’avez qu’à Le laisser avoir le contrôle, et puis, placer la foi en ceci et elle se met à l’oeuvre. Vous pourrez ne rien voir arriver sur-le-champ.

            Mais vous souvenez-vous de Saint Marc 11.24? Jésus est passé à côté d’un arbre. Il ne portait pas de figues. Il a dit: »Que jamais personne ne mange de toi», et Il est parti. On n’a vu aucun changement dans cet arbre. Mais, là, sous la terre, dans les racines, il a commencé à mourir. Et dans vingt-quatre heures, lorsqu’ils repassaient par là, l’arbre avait commencé à sécher.

            C’est la même chose qui se passe avec le cancer. Quand l’Esprit de Dieu maudit cette chose-là, vous pouvez retourner chez le médecin, cela a le même aspect. Mais là au fond, c’est en train de mourir. Voyez? Là tout au fond de vous, si vous avez accepté Christ comme votre Guérisseur, peut-être que vous pouvez bouger ce doigt un peu, un tout petit peu plus. Dieu est à l’oeuvre. »Croyez que ce que vous dites arrivera et vous pouvez avoir ce que vous avez dit.» Si ce n’est pas vrai, alors Dieu n’est pas vrai. Alors, la Bible n’est pas vraie.

78        Eh bien, que fait-Il? Eh bien, Il ne donne pas à l’homme la puissance de guérir ni de sauver. Nul ne peut pardonner vos péchés. C’est déjà pardonné. Vous n’avez qu’à accepter votre pardon. Nul ne peut vous guérir, mais Dieu l’a déjà fait. Vous n’avez qu’à accepter cela; c’est tout. Et peut-être que vous avez une foi comme le grain de sénevé, juste un tout petit. Mais si vous avez une foi comme le grain de sénevé, accrochez-vous-y. Le grain de sénevé ne se mélangera pas à quelque chose d’autre. Et si vous avez une véritable foi, elle ne se mélangera pas avec l’incrédulité. Accrochez-vous-y et elle vous fera passer par le bord du trottoir et fera que vous ne vous trouverez pas dans une caverne, mais dans la lumière. Accrochez-vous-y donc. Voyez? Accrochez-vous-y.

            Comme Abraham, autrefois, vingt-cinq ans avec un témoignage parfait. Il ne douta point par incrédulité. Et tout le temps, il devenait plus vieux et, au fil des jours, cela devenait davantage impossible. Mais au lieu de faiblir davantage et dire: »Eh bien, je pense que je ne le recevrai jamais», il fut fortifié, rendant louange à Dieu.

            »Si cela n’est pas arrivé quand j’avais soixante-quinze ans, cela arrivera quand j’aurai quatre-vingts ans. Si cela n’arrive quand j’aurai quatre-vingt-cinq ans, ce sera plus glorieux que ça l’aurait été si ça m’était arrivé à soixante-quinze ans.» Il a atteint cent ans et Dieu a accompli le miracle, Il l’a ramené à un jeune homme, lui, et Sara, à une jeune femme. Et ils ont élevé les enfants, et puis après cela, quarante-cinq ans après, il eut encore sept fils. Dieu est Dieu. Oui, oui. Il les a encore ramenés à un jeune homme et à une jeune femme

79        Vous avez probablement lu mon livre là-dessus. C’est exactement ce qu’Il a fait. Pourquoi–pourquoi le–le roi de Guérar, là-bas, est tombé amoureux de Sara, une petite grand-mère de cent ans, pendant qu’il cherchait une chérie. Elle était une jolie jeune femme. Il l’avait ramenée à une jeune femme pour montrer que vous... ce qu’Il fera à toute la postérité d’Abraham.

            L’un de ces jours, maman, les rides disparaîtront de votre visage. Papa, les cheveux grisonnants tomberont. Le Dieu d’Abraham viendra. Les choses seront alors changées. Nous redeviendrons en une fraction...

            Dites-moi une chose; répondez-moi à ceci: Qu’est-ce qui fait qu’en mangeant la nourriture, la même nourriture que vous mangez aujourd’hui, quand vous aviez quinze ans, vous renouveliez votre vie. Chaque fois que vous consommiez la nourriture, vous renouveliez les cellules de sang de votre vie. Vous deveniez de plus en plus fort jusqu’à environ vingt-cinq ans. Et maintenant, peu importe la quantité que vous consommez, vous dépérissez. Expliquez-le-moi.

80        Déversez de l’eau d’une cruche dans un verre. Il est à moitié plein, plus vous en déversez, plus il diminue. C’est un rendez-vous que vous avez avec Dieu. Vous allez aussi rencontrer cela. C’est tout à fait exact. Oui, oui, mais souvenez-vous, vous croyez en Lui.

            »Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit en Moi... en Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle. Et Je le ressusciterai au dernier jour.» C’est vrai. »Et Je le ressusciterai...» Dieu va perdre... Et personne ne ressuscitera étant vieux–vieux; ils seront jeunes là pour toujours. C’est exact...?...

            Le christianisme ne repose pas sur le remplacement, la réincarnation, mais sur la résurrection. Le même qui est enterré, ressuscite, mais dans la splendeur de l’immortalité, rendu semblable à Son propre corps glorieux. Là, Il peut assujettir toute chose à Lui-même. Cela ferait crier un baptiste. Oui, ça le ferait. C’est un... Oh! C’est réel, réel, réel, c’est... Et penser que vous n’avez pas à deviner là-dessus. Le Dieu qui a fait la promesse est juste ici ce soir pour se manifester parmi nous. Il est ressuscité des morts il y a deux mille ans et Il est toujours vivant ce soir. Alors, cette Vie Eternelle qui repose en vous est autant vivante qu’Elle l’était, car Elle est toujours vivante. Et Elle vous place sous Son contrôle, »et Je vous ressusciterai au dernier jour.» Dieu est réel. Il est merveilleux, n’est-ce pas?

81        Très bien, maintenant, nous allons commencer la ligne de prière...?... Combien ici me sont inconnus, savent que je ne vous connais pas, ou que je ne connais rien à votre sujet? Levez la main. Tout au long de la ligne de prière, chacun de vous? Combien avez-vous donc là, cinquante? C’est difficile de les avoir tous. Nous–nous n’allons pas nous arrêter pour exercer le discernement sur tout le monde. Mais les gens peuvent comprendre, savoir. Voyez? Nous ferons passer autant que possible.

            Vous qui êtes là en prière, débarrassez-vous donc de toutes vos lassitudes et autres et mettez-les de côté. C’est maintenant le moment, mes amis, pour lequel vous vous êtes tenus debout et que vous avez attendu. Eh bien, je dois arrêter maintenant même, car à partir d’ici, ça ne peut pas être moi.

82        Et si Jésus se tenait ici, portant ce complet qu’Il m’a donné par l’intermédiaire de frère Palmer? Et s’Il portait ce complet, que cette femme se tenait devant Lui et qu’elle disait: »Seigneur, je suis malade. Veux-Tu me guérir?»

            Savez-vous ce que serait Sa réponse? »Mon enfant, je l’ai fait quand Je suis mort pour toi là à la croix.» Est-ce vrai?

            Eh bien, maintenant, tout ce qu’Il peut faire, ce serait accomplir un certain signe pour lui faire comprendre, lui dire quelque chose par lequel Il lui ferait savoir que c’est Lui. Est-ce vrai? Maintenant, je ne connais rien à son sujet, mais par un don, je m’abandonne à Lui, et Il parle par mes lèvres. Dieu n’a d’autres lèvres que les vôtres et les miennes. Il n’a d’autres oreilles ni d’autres yeux que les miens et les vôtres. Saviez-vous cela? Nous sommes les sarments; Il est le Cep. Ce n’est pas le cep qui porte les fruits, ce sont les sarments qui les portent. Voyez? Il est ici sous forme de l’Esprit. Il viendra physiquement un jour, dans un corps physique, mais maintenant, Il est l’Esprit dans Son Eglise.

            »En ce jour-là, vous connaîtrez que Je suis dans le Père, vous en Moi, Moi en vous et en Lui.» Ainsi de suite... Voyez? »En ce jour-là, vous saurez que c’est Moi dans Mon Père qui travaille en vous.» Voyez? Dieu en nous...

83        Eh bien, s’Il est le même qu’alors, et qu’Il donne Son dernier appel aux Gentils... Souvenez-vous, cela avait mis fin à la dispensation des Juifs. Après qu’ils eurent des années de théologie et d’enseignement, maintenant, l’Eglise a eu ces années en tant que Gentils. Maintenant, on en arrive à la fin.

            Eh bien, voici un cas ce soir, exactement celui de Saint Jean, chapitre 4: un homme et une femme qui se rencontrent, et Dieu veut montrer au pe-... aux Samaritains qu’Il est Dieu et que c’est Son Messie. Eh bien, le Messie, c’est le Saint-Esprit, pas moi. Comprenez donc cela. Je suis un homme juste comme vous. Mais le Messie est Celui qui est ici, le Surnaturel. Chacun de vous a une partie de Lui en lui. Voyez? C’est le Messie. Maintenant, par un don, cela doit venir quelque part.

84        Eh bien, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, et cette femme qui se tient ici, est dans le besoin... Je ne sais pas; son besoin peut ne pas être comme celui de cette femme-là. Je ne connais pas son besoin. Mais s’Il est le même hier, aujourd’hui, et éternellement, qu’Il veut que vous tous, vous croyiez en Lui et que vous sachiez qu’Il est le même, comme Il avait voulu que les Samaritains le sachent, Il accomplirait la même chose qu’Il avait accomplie à l’époque. Est-ce raisonnable? Est-ce... Et non seulement c’est raisonnable; c’est ce que déclarent les Ecritures qu’Il ferait.

            Bon, tenez, je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Si je l’ai vue, je ne la connaissais pas. Et je pense que c’est notre première rencontre. Vous ne me connaissez pas. Elle a dit qu’elle ne me connaissait pas. Je ne savais pas, mais elle était derrière à la réunion de vendredi soir là-bas. Certainement, je ne remarquerais point quelqu’un assis là derrière dans une réunion. Je ne sais rien à son sujet. Je ne l’ai jamais vue, et je n’ai aucune idée... Peut-être qu’elle a un problème de ménage chez elle. Peut-être qu’elle n’est même pas mariée. Elle–elle–elle peut être... Peut-être qu’elle se tient là juste comme une trompeuse. Voyez? Elle peut être là comme une–une... juste une...

85        Elle est en train de dire: »Merci, Jésus.» Cela ne veut pas dire qu’elle est une chrétienne. J’ai entendu des hypocrites dire cela. Et bien des fois, ils sortent prendre la femme de quelqu’un d’autre (Voyez?), ils se retournent et disent: »Merci, Jésus.» Certainement. Cela ne veut rien dire. Vous devez naître de l’Esprit de Dieu, avoir quelque chose ici qui fait de vous un chrétien. Certainement. Voyez?

            Elle peut être là pour quelqu’un d’autre. Qui est-elle? D’où vient-elle? Je ne sais pas. Dieu le sait; Moi, je ne sais pas. Mais maintenant, si le Saint-Esprit est ici comme je le dis qu’Il est... j’aimerais que vous suiviez ceci, mère, jeune fille, vous tous qui êtes ici. Ecoutez. Si Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts et qu’Il peut prouver qu’Il est vivant, alors chacune de Ses promesses peut certainement vous être confirmée ce soir comme c’était le cas pour eux en Galilée. Voyez? Juste comme... Mais est-Il vivant? C’est ça la chose suivante.

86        Eh bien, Jésus a dit que cette génération recevrait le signe de Jonas comme la résurrection. Maintenant, est-Il vivant? Est-ce que ce Jésus dont nous parlons... Nous savons qu’Il a été crucifié, qu’Il est mort, qu’Il a été enseveli. Les Juifs ont dit qu’on L’avait volé, mais est-Il vivant? Il a dit qu’Il le serait. Il est revenu sous la forme du Saint-Esprit, pour être avec nous et accomplir la même oeuvre, oeuvrant au travers de nous jusqu’à la fin de la consommation ou le–l’âge. Maintenant, s’Il l’est, Il agira de même. Il ne fera rien de différent. Eh bien, tout ce que je peux faire, c’est m’abandonner par un don... Et alors, voir ce qu’Il dit.

            Bon, s’Il fait cela, nous deux, la dame et moi, avec nos mains levées et la Bible déposée ici, nous ne nous sommes jamais rencontrés de la vie... Et plusieurs parmi vous là, sans doute, Dieu ira directement là dans l’assistance ce soir si vous croyez. Il dira... Faites ceci; dites: »Seigneur Jésus, j’ai un besoin dans mon coeur. Je sais que ce prédicateur ne me connaît pas.»

87        Quelqu’un me racontait l’autre... juste hier soir, il passait, il a dit qu’il avait dit: »Je sais que cet homme ne me connaissait pas. (Voyez?) Il n’avait aucun moyen de me connaître.» Certainement, je n’en ai pas.

            Mais Dieu vous connaît. Il vous connaissait avant la fondation du monde. Il vous connaissait. Il connaissait chaque–chaque puce qui serait sur la terre et combien de fois il clignerait les yeux. Il est infini. Voyez? Il connaissait la fin depuis le commencement. Eh bien, si... Il n’agirait pas différemment, Il doit agir de même.

            Vous dites: »Frère Branham, vous cherchez à gagner du temps pour quelque chose.» Oui. C’est tout à fait vrai. S’Il ne vient pas, il me faudra simplement quitter ici, car cela... Je prierai simplement pour les malades. Je suis totalement sans secours. Je dois L’attendre.

88        Combien ont vu la photo de Cela? On a des photos à Washington, D.C. Maintenant, au Nom de Jésus-Christ, je prends, par le Saint-Esprit, chaque personne assise ici présente pour le Royaume de Dieu. Obéissez à ce qu’on vous dit. A partir de maintenant, ce sera Lui. Que l’assistance sache ceci que, si je ne vous revois plus jamais avant la résurrection, l’Esprit, la Vie, la Colonne de Feu, la même qui avait conduit les enfants d’Israël, que vous voyez sur cette photo, ça produira les mêmes signes. C’était Jésus. Il était en Lui, la Colonne de Feu. Combien savent cela?

            »Avant qu’Abraham fût, JE SUIS. JE SUIS, au buisson ardent.» Puisqu’Il avait agi comme cela dans un homme, Il est ici maintenant. Cette même Colonne de Feu n’est pas à deux pieds [60 cm] de là où je me tiens maintenant. Et c’est vrai. Eh bien, ce qu’Il fait, je ne sais pas. Que Dieu vous bénisse. Des fois, cela me rend complètement inconscient, pratiquement, si j’essaie d’entrer dans toute cette ligne de prière.

            Mais si je ne vous revois plus de ce côté de la rivière, je vous verrai de l’autre côté l’un de ces jours. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu soit avec vous.

89        Notre Père céleste, nous nous remettons à Toi. Merci d’être venu. Nous savons que toute la réunion est sous Ton contrôle maintenant. Et je Te prie de prendre Ton humble serviteur, que je suis, Ton serviteur, d’utiliser mes yeux et mes lèvres, Tes serviteurs, là dans l’auditoire, leurs oreilles et leurs coeurs pour entendre et recevoir. Et au travers de nous ensemble, travaillant ensemble, nous tous, que la puissance de Dieu prenne le plein contrôle de cette assistance. Qu’il n’y ait pas un pécheur qui puisse quitter cette salle sans être sauvé. Que celui qui n’a pas le Saint-Esprit soit rempli de Ton Esprit ce soir. Que toutes les églises, les dénominations, que toute personne malade, que toute personne affligée soit guérie. Nous Te confions ceci, maintenant. Parle à partir de maintenant, Seigneur. Au Nom de Jésus. Amen.

            Soyez aussi respectueux que possible. Maintenant, je parle à la femme. Notre Seigneur avait rencontré une femme au puits, et je suis en train de faire ici la même chose qu’Il avait faite là. Il lui a parlé juste un instant; en effet, j’ai prêché. Qu’est-ce qu’Il cherchait à faire? Le Père L’avait envoyé là. Il fallait qu’Il passât par la Samarie. Il ne faisait que ce que le Père Lui montrait, Saint Jean 5.19. Il est donc allé à Samarie. Il ne savait donc pas quoi faire. Cette femme est venue. Il attendait simplement. Il s’est mis à lui parler; Il a dit: »Femme, apporte-Moi à boire.»

            Elle a dit: »Il n’est pas de coutume que vous demandiez pareille chose aux Samaritains. Tu es un Juif.» Il a dit: »Si tu connaissais Celui à qui tu parlais, c’est Toi qui M’aurais demandé à boire.»

90        La conversation s’est poursuivie jusqu’à ce qu’Il a trouvé où était son problème. C’est la même chose que j’essaie de faire maintenant par Son Esprit (Voyez?), trouver ce qui cloche ici, ce que vous faites en vous tenant ici. Soyez-en juge si c’est vrai ou pas. Voyez? Je peux... Je ne sais pas, mais s’Il me le dit, vous savez si c’est vrai ou pas. Et alors, quand Il a trouvé le problème... Son problème était une vie immorale.

            Il a dit: »Va chercher ton mari, et viens ici.»

            Elle a dit: »Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: »Tu as dit vrai. Tu en as eu cinq. Celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»

            Elle a dit: »Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons, nous les Samaritains, nous savons que quand le Messie sera venu, Il nous annoncera ces choses. Mais je ne sais pas Qui Tu es.»

            Il a dit: »Je Le suis.»

91        Eh bien, puisque vous êtes une femme des Etats-Unis, croyez-vous que le Messie fera la même chose aujourd’hui? Vous a-t-on enseigné à croire cela et croire qu’Il fera la même chose? Je le crois.

            Maintenant, vous savez qu’il se passe quelque chose, c’est l’Ange du Seigneur qui se tient entre vous et moi, en train de s’établir sur vous. Cette femme souffre de quelque chose qui cloche dans son sein. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Eh bien, vous voyez, on ne voit pas cela. Eh bien, croyez-vous? C’est Son Esprit.

            Eh bien, elle est une personne merveilleuse. Elle est une chrétienne, une véritable chrétienne. Eh bien, c’est une personne aimable avec qui traiter. Parlons à la femme juste une–une minute, et voyons ce que le Saint-Esprit dira. Puis, le suivant, nous allons juste prier pour quelques-uns afin de terminer la ligne.

92        Mettez-vous donc à prier là dans l’auditoire, commencez, chacun de vous qui a un besoin. Mettez-vous simplement à prier. Voyez? Dites: »Ô Dieu, cet homme ne me connaît pas, mais laisse-moi toucher Ton vêtement, et utilise ses lèvres pour me parler en retour, alors je serai sûr que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, qu’Il donne Son dernier signe à l’Eglise des Gentils, l’Eglise des appelés à sortir, le groupe séparé comme Abraham et son groupe.»

            Maintenant, soeur, je ne sais pas ce que j’ai dit. Voyez? Peu importe ce que c’est, c’est enregistré là sur bande. Voyez? Peu importe ce que c’était, c’était vrai, n’est-ce pas? Je n’ai aucun moyen de vous connaître. Je–je ne vous distinguerais pas de quelqu’un d’autre. Mais c’est l’unique moyen. Il y a quelque chose de surnaturel ici maintenant qui vous connaît. Voyez? Vous le savez. Vous savez cela. Pensez-vous que c’est le Seigneur Jésus? Pensez-vous que c’est Son Esprit qui parle au travers de moi (Voyez?) en tant que Son serviteur? Vous le pensez. Merci.

93        Oui, je vois. C’est une femme, la maladie, je revoie cela maintenant. C’est dans son–son sein. C’est vrai. Et elle souffre du flanc. C’est vrai. Tu souffres du coeur. Tu souffres de la gorge. C’est vrai, n’est-ce pas? Je n’ai pas deviné cela? Le Saint-Esprit est ici. Voyez, pour révéler. Non, elle sait si c’est vrai ou pas. Elle lève la main, solennellement: est-ce la vérité?

            Eh bien, vous savez qu’il y a quelque chose ici, un Esprit qui connaît cette femme, venant de la Bible, une promesse de Dieu. N’est-Il pas merveilleux? Croyez-vous en Lui maintenant? Eh bien, laissez cela s’installer donc.

            Je ne vous connais pas. Dieu vous connaît. Et si Dieu me disait qui vous êtes? Il a connu Simon Pierre. Il a connu Philippe. Pensez-vous qu’Il vous connaît Cela vous aiderait-il? Madame Taylor, retournez chez vous, vous êtes guérie de votre maladie. Jésus-Christ vous rétablit.

94        Le Lys de la vallée, l’Etoile du matin, la Rose de Sharon, le Lys de la vallée, Celui qui était, Celui qui est, et Celui qui vient, la Racine et le Rejeton de David, oh! Sa majesté, Sa miséricorde, Sa bonté, le Saint-Esprit de Dieu ici sur l’estrade.

            Pour votre bébé? Beaucoup souffrent de la même maladie. Croyez-vous que son petit coeur se rétablira et qu’il sera bien portant? Croyez-vous? Père divin, le bébé est trop petit pour avoir la foi. Qu’il soit guéri au Nom de Jésus-Christ. Amen. Ne doutez pas. Le bébé vivra. Rentrez chez vous et soyez donc reconnaissant à Dieu

            Venez, soeur. Bonsoir. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je perçois venir de quelque part que je suis en train de lire leurs pensées. Ne faites pas ça; vous dérangez la réunion. Tenez, placez votre main sur la mienne, soeur. Bon, je dis, si Dieu me montre ici votre maladie, levez la main si c’est vrai. Vous souffrez d’une maladie gynécologique, une maladie de femme. Si c’est vrai, levez la main, cette dame ici? Madame... Eh bien, est-ce ça la lecture de la pensée? Vous êtes maintenant guérie, soeur. Vous pouvez retourner chez vous. Dieu guérit...?...

95        Vous n’avez pas à monter ici, cette arthrite est partie, est guérie de...?... Le mal de dos. Maintenant, faites simplement demi-tour, allez droit chez vous, disant: »Merci, Seigneur Jésus, de m’avoir guéri.»

            »Si tu peux croire...» Croyez-vous? Ayez foi maintenant. Ne doutez pas. Très bien...

            Je ne vous connais pas. Je vous suis inconnu. Mais si Dieu me parle de vous... C’est notre première rencontre. Mais si Dieu me parle de vous, croirez-vous? Nerveux, vous souffrez d’une hernie, Révérend Orris, retournez chez vous et soyez guéri. Que Dieu soit avec vous. Votre maladie du coeur est partie. Allez donc de l’avant.

            L’arthrite va vous quitter, si vous croyez. Croirez-vous cela? Vous voulez absolument redresser votre jambe ici pendant que vous le pouvez, retournez à la maison maintenant. Croyez de tout votre coeur. Soyez guéri.

            Cette maladie dans votre rein, retournez chez vous. Ça va quitter. Vous serez guérie.

96        Croyez-vous de tout votre coeur? Bon, ce diabète qui dure, ne vous dérangera plus, si vous croyez. Retournez chez vous. Croyez-vous de tout votre coeur? Ayez simplement foi en Dieu. Croyez. Ne doutez pas. Ayez foi en Dieu

            Très bien. Croyez-vous? Croyez-vous de tout votre coeur? Voulez-vous vous tenir juste là? Croyez-vous que Dieu peut me parler de vous là debout? Je vais détourner la tête parce qu’il y a là des gens qui prient. Je cherchais à saisir où Cela était. J’aimerais vous parler juste une minute. Si Dieu me révèle votre maladie, ou l’endroit où ça se localise, ou quelque chose comme ça, croirez-vous de tout votre coeur? Vous souffrez de la nervosité? Maladie du coeur. C’est vrai. Mal à l’oeil, une grosseur sur vos iris. C’est vrai. Vous voulez être guérie. Madame...?... Rentrez chez vous et soyez guérie...?...

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