À Qui Irions-Nous?
1 Des visages rayonnants et une grande attente, on attend et... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Nous croyons que Dieu nous témoignera une grande bonté, ne le pensez-vous pas? En entrant là, Billy et moi, il y a quelques instants, j’ai entendu retentir le cantique Jésus notre Seigneur, n’est-Il pas merveilleux? J’ai dit: «Amen! Si, si.» Il est merveilleux.
Oh! A-t-Il été bon pour vous depuis que je vous ai quittés l’année passée? Oh! C’est merveilleux! Eh bien, Il a été certainement bon pour moi. Ce soir, je suis content de voir frère Rasmussen et beaucoup de mes amis ici, qui ne sont pas de cette ville. Et je suis sûr qu’au courant de la semaine, nous nous rencontrerons, et nous communierons beaucoup ensemble. Comme ce commentaire que j’avais l’habitude de passer (J’espère que ça n’a pas l’air sacrilège), je disais: «Nous devons si bien nous connaître que nous pourrons mâcher l’un le chewing-gum de l’autre.» [L’assemblée rit.–N.D.E.] C’est ça le véritable amour fraternel, n’est-ce pas? C’est vraiment ça la communion intime.
2 Eh bien, nous avons effectué quelques voyages sur mer, dans les îles, et le Seigneur a été bienveillant à notre égard là-bas. Et j’ai eu le privilège d’avoir frère David duPlessis ici, que vous connaissez tous, et nous avons certainement passé de grands moments ensemble, frère David et moi, à travers le pays. Et nous espérons que le Seigneur continuera à bénir nos ministères alors que nous continuons ensemble notre pèlerinage.
On m’a parlé de grandes choses qui se passent ici. J’ai reçu des lettres à la suite de la dernière campagne de guérison, concernant la guérison de beaucoup de gens. Je pense que c’est frère et soeur Kidd que je vois assis ici. Oh! A vous voir, vous avez une si bonne mine. Vous rappelez-vous que je vous avais dit que vous seriez ici? Très bien. C’est tout à fait vrai. C’est vrai. Très bien.
Evidemment, vous avez tous compris ce qui n’allait pas chez frère Kidd, n’est-ce pas? Non? Eh bien, il était–il était très malade. Les médecins lui donnaient juste quelques jours. Nous sommes allés un matin, ayant quitté la maison vers 2 h 00 afin d’aller prier pour lui, et–et nous ne pensions pas qu’il serait ici. Si je n’y étais pas allé à la fin de cette semaine, ça ferait environ trois jours de plus qu’il ne serait plus ici sur terre. Lorsque j’ai terminé de prier, j’ai dit: «Frère Kidd, j’aimerais te serrer la main et te rencontrer là à Chautauqua.» Nous y voici.
J’ai toujours eu de la considération pour des personnes âgées comme celles-là. Voyez? Elles prêchaient l’Evangile alors que nous étions des enfants. C’est vrai. Et cela représente quelque chose. Elles–elles ont débarrassé le chemin de toutes les souches afin que nous courions aisément sur l’autoroute. C’est vrai. C’est très bien.
3 Je sais qu’il... frère duPlessis parle et on a d’autres orateurs ici. Et je cherche Mattsson, où est-il? Je ne l’ai pas encore vu. Est-il à la con... [Quelqu’un parle depuis l’assistance, disant: «Il sera là demain matin.»–N.D.E.] Il sera là demain matin... Ça fait si longtemps que je n’ai pas vu frère Mattsson; ce sera comme un retour à la maison que de revoir frère Mattsson. Et alors, aujourd’hui, on sera très pris avec beaucoup, beaucoup de bons messages de la part du Seigneur et nous nous attendons à ce qu’il se passe de grandes choses.
Combien aimeraient avoir un service de guérison cette semaine? Voudriez-vous avoir cela? Oh! Merveilleux, c’est bien beau! D’accord. Nous verrons si le Seigneur pourvoira à cela pour nous. Nous tiendrons un service de guérison. Combien ici aimeraient recevoir le Saint-Esprit cette semaine? Faites voir la main, hein? Oh! la la! C’est merveilleux. Ça a l’air d’un réveil, n’est-ce pas, frères? C’est ça.
4 Hier soir, j’avais annoncé dans mon église, disant: «Que chaque personne ici qui n’a pas le Saint-Esprit vienne à Chautauqua. Je suis pratiquement sûr que vous allez L’avoir avant de rentrer.» Amen. Avons-nous pour eux une place où aller prier? Juste là, eh bien, c’est très bien. Vous savez, c’est juste comme les hasils qui se suivent, formant juste une ligne là tout autour, et...
Et je pense que c’était Buddy Robinson qui avait une fois dit: «Seigneur, si Tu ne me donnes pas le Saint-Esprit, à Ton retour, Tu trouveras un tas d’os gisant ici même dans ce champ.» C’est alors qu’il L’avait reçu.
Lorsque vous devenez sérieux avec Dieu, Dieu sera sérieux avec vous. Si seulement nous pouvons nous débarrasser de ces petites secousses afin que Dieu... «Peut-être qu’Il le fera, peut-être, j’espère qu’Il le fait.» Il le fera, Il l’a promis; voyez? C’est ainsi que nous aimerions croire cela.
5 Eh bien, nous n’aimerions pas vous garder trop longtemps le soir pour vous permettre de retourner frais chaque soir. Nous sommes content de voir nos frères prédicateurs et tout. Ainsi, avant d’ouvrir la Parole maintenant pour un petit message ce soir, inclinons la tête pendant que nous prions.
Ce soir, je me demande, avant de prier, alors que vous avez les têtes inclinées, s’il y a un pécheur... Combien de pécheurs ici présents aimeraient dire à Dieu au début de cette réunion: «Seigneur, sauve mon âme avant la fin de cette réunion»? Levez la main. Que Dieu vous bénisse, vous. C’est bien. Juste... Non... Gardez simplement vos têtes inclinées et levez juste la main. Que Dieu vous bénisse. Combien ici n’ont pas le Saint-Esprit et voudraient dire: «Seigneur, je Te prie de me donner le Saint-Esprit avant la fin de cette série des réunions»? Faites voir la main. Oh! la la! Il y en a beaucoup. Très bien, Dieu accordera cela, j’en suis sûr.
6 Bienveillant Père céleste, alors que nous nous approchons de Ton Trône de miséricorde et que nous nous tenons à l’ombre de Ta justice, nous inclinons humblement le coeur, aussi bien que la tête, devant Toi. Car nous nous rendons compte, Seigneur, qu’un jour nous devrions nous tenir dans Ta Présence pour rendre compte de la vie que nous avons menée sur cette terre, celle que Tu nous as donnée. Et nous savons qu’il n’y a qu’un seul moyen pour nous d’être donc réconciliés: c’est par le Sang de Ton Fils, le Seigneur Jésus. C’est pourquoi ces conventions sont tenues. C’est pourquoi nous prêchons, c’est pourquoi nous fournissons des efforts, c’est afin de voir les gens se hâter d’entrer dans le Royaume de Dieu.
Seigneur, je prie que ces pécheurs qui ont levé la main deviennent des chrétiens à la fin du service de ce soir. Que tout celui qui a levé la main reçoive le Saint-Esprit, qu’Il descende en abondance ce soir sur eux, qu’Il les remplisse de Sa bonté et de Sa miséricorde pour les conduire le reste de leur pèlerinage. Guéris les malades et les affligés, Seigneur. Qu’il y ait un réveil à l’ancien temps parmi nous, Seigneur, dans nos coeurs, qui amènera le monde extérieur à avoir soif.
7 Il est écrit: «Vous êtes le sel de la terre.» Et le sel donne soif. Ô Dieu, fais que les chrétiens ici sur place et ceux qui sont tout autour des bâtiments, où qu’ils se soient réunis, soient tellement salés que l’incroyant dira: «Seigneur, que je sois comme cet homme-là ou comme cette femme-là.» Accorde-le, Seigneur. Prends-nous à Ta charge. Nous marchons dans un monde de ténèbres, les yeux levés vers là d’où nous provient la Lumière. Accorde ces choses, Père, et que celle-ci soit l’une des plus grandes conventions que nous ayons jamais tenues. Bénis chaque orateur, chaque prédicateur et chaque chrétien, et tous ceux qui assistent aux réunions. Que ce soit un temps glorieux pour nous tous. Lorsque nous aurons terminé, que les réunions seront finies, que le réveil sera terminé, ou plutôt la convention, que nous puissions tous dire, comme ceux qui venaient d’Emmaüs, alors que nous retournerons à nos foyers: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous alors qu’Il nous parlait en chemin?» Nous le demandons au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils. Amen.
8 Evidemment, la convention, c’est pour les orateurs et les autres, et le rassemblement, mais nous avons une autre raison pour laquelle nous tenons une convention, c’est pour la bénédiction de nos âmes, la guérison des malades et le salut des âmes. Et tenons donc cette convention-ci, que chacun de nous contribue. Et malgré nos différences, du genre l’un est membre de telle dénomination, l’autre est membre de telle autre, cela ne représente rien.
Je suis un homme, j’aime une Ford, j’ai roulé jusqu’ici en Chevrolet de mon fils. Je ne m’en suis donc pas pris à lui pour avoir acheté une Chevrolet. Moi, je–j’aime la Ford. En effet, je n’ai jamais eu rien d’autre, pratiquement, à part une Ford. Ainsi, c’est ce que j’aime. Et savez-vous ce que j’ai découvert? La Chevrolet m’amène partout où la Ford m’amène. Ainsi, tant que nous continuons donc à nous diriger dans la bonne direction, c’est–c’est l’essentiel. C’est ce que je pense. Dieu veut que nous nous dirigions tous dans la bonne direction. Et cette bonne direction, c’est vers Jésus-Christ.
9 Maintenant, prenons un passage des Ecritures ce soir, dans le Livre de saint Jean, chapitre 6, et commençons par le verset 66, si vous notez les passages des Ecritures.
Dès ce moment, plusieurs de ses disciples se retirèrent, et ils n’allaient plus avec lui.
Jésus donc dit aux douze: Et vous, ne voulez-vous pas aussi vous en aller?
Simon Pierre lui répondit: Seigneur, à qui irions-nous? Tu as les paroles de la vie éternelle.
Et nous avons cru, et nous avons connu que tu es le Christ, le Saint de Dieu.
Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de la Parole. Et si je devrais intituler cela, j’aimerais parler pendant quelques instants sur ce sujet: A qui irions-nous?
10 Vous savez, l’homme n’a pas tellement changé. Il continue pratiquement à errer dans le monde, en quête du plaisir, agité, jamais satisfait, n’aboutissant jamais à de bonnes conclusions, ne trouvant jamais du repos. Il se retrouve pratiquement dans le même état qu’il était après avoir quitté Dieu dans le jardin d’Eden et qu’il fut parti se débrouiller. Il se débrouille depuis lors. Et il trouve que c’est une voie difficile à suivre. Et on dirait qu’il ne se préoccupe pas tellement, pas beaucoup, de la fin de sa vie ici.
Et si nous pouvions nous asseoir, faire l’inventaire et nous poser la question de savoir pourquoi nous sommes ici, comment nous sommes venus sur cette terre, ce qui nous a amenés ici et ce que sera notre destination éternelle...
11 Je pense que si nous tous, nous réfléchissions sérieusement là-dessus pendant cinq minutes de notre vie, nous pourrions tous parler comme Pierre. En effet, Pierre avait trouvé en Jésus-Christ quelque chose qui n’était pas dans d’autres hommes. C’est pourquoi il a posé la question: «A qui irions-nous?» Il n’a pas dit: «Où irons-nous?» «A qui irions-nous? Car Tu as les Paroles de la Vie Eternelle.» Et je me demande pourquoi Jésus était si différent des autres hommes. Qu’est-ce qu’Il... Ou qu’avait-Il que les autres hommes n’avaient pas? Il y avait en Jésus quelque chose que nul homme n’a, ou n’avait eu jusqu’en ce temps-là. Et cela Le rendait différent. Et je pense que c’est la même chose ce soir: un homme, une fois devenu chrétien, a quelque chose qui le rend différent de tous les hommes d’autres classes sociales. Peu importe combien il peut être bon, un bon citoyen, qu’il fasse un autre mille, ou qu’il soit un bon voisin, mais une fois qu’il entre en contact avec Jésus, il y a en lui Quelque Chose qui change. Il y a Quelque Chose qui le rend différent, remarquablement différent.
12 Il y a quelques jours (Je vous en parlerai plus tard dans le... dans l’un des services), quelque chose m’est arrivé. De toutes les visions que le Seigneur m’ait jamais données... Il m’est arrivé quelque chose qui m’a changé, un changement bien net. En effet, j’avais été amené quelque part où je n’avais jamais été auparavant, mais où j’espère certainement retourner un jour. Et je vais vous raconter cela dans une autre réunion.
Mais, pour parler de A qui irions-nous? Ou: A qui pourrions-nous aller? Considérons environ sept raisons que j’ai ici par écrit. La raison pour laquelle nous devrions aller à Jésus, c’est pour recevoir ce que nul autre que Lui n’a. Sept raisons... Il y en a des milliers, mais je me suis dit que peut-être nous pourrions tirer de ces sept raisons quelque chose qui nous donnera un point de départ ce soir, quelque chose qui nous donnera de l’enthousiasme, quelque chose qui nous encouragera à avoir une meilleure prise.
13 La première chose à laquelle nous pensons, comme nous quitterons ce monde (Nous en sommes sûrs), c’est que nous n’aimerions pas prendre la mauvaise direction. Nous aimerions aller au Ciel en quittant ce monde. Chaque personne aimerait faire cela. Et il n’y a qu’un seul Ciel. Nous savons tous qu’il n’y a pas quatre ou cinq cieux. Il n’y a qu’un seul Ciel, et il n’y a qu’un seul Chemin qui mène à ce Ciel-là. Et Jésus a dit: «Je suis ce Chemin-là.» C’est la raison pour laquelle nous devons aller à Jésus, parce qu’Il est le Chemin.
Eh bien, je sais qu’il y a d’autres prétendus chemins. Il y a des chemins dont les gens cherchent à dire: «Si je vis la règle d’or, ou si j’observe les dix Commandements, ou si j’arrête de manger des viandes, ou si je pose certains actes religieux...» Ce qui, en fait, est très bien, si on veut croire cela. Mais cependant, ce n’est pas le Chemin du Ciel. Jésus est le Chemin. Je ne dis pas que vous qui tenez à pratiquer ce genre de choses, vous n’irez pas au Ciel, mais il vous faudra premièrement trouver Jésus, parce que c’est Lui le Chemin, «le», l’unique Chemin.
14 Ainsi donc, telle voie paraît droite à un homme, mais son issue, c’est la voie de la mort. Il y a une voie que nous cherchons à suivre: Beaucoup sont membres des loges. Notre pasteur a enseveli sa belle-soeur l’autre jour, nous avons essayé de la dissuader que sa loge ne l’amènerait pas au Ciel. Mais comme elle était membre d’une certaine société, dans une loge... En effet, la loge est... C’est leur affaire.
Nous ne sommes pas ici pour condamner les hommes pour... des pécheurs pour avoir péché. Nous sommes ici pour condamner un homme qui est à un niveau plus élevé que ça. Nous sommes ici pour condamner le péché, pas le pécheur. L’homme ne perd pas sa vie du fait d’être un pécheur, il perd sa vie parce qu’il refuse d’accepter sa Vie. Et sa vie est en Jésus-Christ. Il est l’Unique à avoir la Vie Eternelle.
Alors, cette femme ne voulait pas renoncer à l’idée que sa loge était tout aussi bonne que n’importe quelle église ou n’importe quoi d’autre; c’était une femme qui souffrait du cancer, et le pasteur l’a ensevelie avant-hier.
15 Eh bien, il y a un chemin qui, d’après ce que pensent les gens, peut mener au Ciel, c’est le chemin qui consiste à mener une bonne vie. Mais c’est une erreur. Vous n’arrivez pas au Ciel pour avoir mené une bonne vie. Les gens sous la loi de Moïse menaient une bonne vie.
Et puis, il y a un chemin: l’église. Nous cherchons à aller au Ciel par l’église. Mais l’église, quelque bonne soit-elle... Et je pense que chaque personne devrait être membre d’une église. Mais l’église, quelque bonne soit-elle, n’est toujours pas le Chemin. L’église ne peut que vous montrer le Chemin. Mais c’est Jésus qui est ce Chemin-là. Certains ont préféré comme suit: changer cela au fait d’apprendre son catéchisme, ou dire des credos, ou suivre un code des règles. Tout cela peut donc être très bien, mais ce n’est pas le Chemin. Jésus est le Chemin. Il est l’unique Chemin. «Nul ne peut venir au Père sans passer par Moi», a dit Jésus. L’unique Chemin pour arriver au Ciel, c’est par Jésus-Christ.
16 Aujourd’hui, j’ai été surpris. Souvent, quand je demande aux gens: «Etes-vous chrétiens?», on répond: «Je suis méthodiste.» «Etes-vous chrétien?»«Je suis baptiste, ou je suis presbytérien, ou même je suis pentecôtiste, ou pèlerin de la sainteté, ou membre d’une autre église.»
Eh bien, cela peut être très bien, mais ce n’est pas là la question. La question est: «Etes-vous chrétien?» Et vous ne pouvez pas être chrétien avant d’avoir reçu Christ, Christ en vous.
17 Eh bien, beaucoup disent: «J’irai au Ciel parce que ma foi me le dit. Je suis membre d’église, et ma foi me dit que je suis en ordre.»
Eh bien, je crois aussi dans la grâce de Dieu. Mais écoutez, peu importe ce qu’est votre foi, vous ne serez pas jugé selon votre foi; vous serez jugé selon vos oeuvres. Et à votre mort, celle-ci ne change pas votre esprit; elle ne change que votre demeure. Elle change seulement votre maison. Et si vous mourez dans vos péchés, vous irez à une habitation pire que celle que vous habitez maintenant. Mais si vous mourez en Christ, vous serez avec Christ, car Il est le Chemin.
18 Il y eut une fois un homme, nous le connaissons, dans la Bible, qui alla aux noces et s’assit à table. Et lorsque le roi entra, ou plutôt l’époux, il le regarda, mais il ne portait pas l’habit des noces. Et il lui dit: «Mon ami, d’où viens-tu?» En d’autres termes, comme ceci: «Comment es-tu entré ici?»
Eh bien, beaucoup parmi vous qui avez été en Orient savent que leurs coutumes pour le mariage n’ont pas changé. C’est exactement la même chose aujourd’hui. Et dans cette remarquable parabole de notre Seigneur, le mariage est préparé, l’époux distribue des invitations. Et il signe chaque invitation pour tous les invités. Et après, il place son serviteur à la porte de la salle. Et dans une petite caisse près de la porte, il a tout un tas de robes. Il a une robe pour chaque invité. Et alors, quand une personne arrive, peut-être quelqu’un de bien habillé, tiré à quatre épingles, mais une fois arrivé à la porte, on lui fait porter une robe. Et il entre, vêtu de cette robe-là.
Puis, un autre homme arrive très bien habillé; disons, mal habillé, et il reçoit le même genre de robe que l’homme riche.
19 Peut-être qu’après arrivait un frère pauvre sans habits appropriés au mariage, ou pour assister au mariage, mais il n’avait pas à se sentir mal à l’aise, car aussitôt qu’il arrivait à la porte, on lui remettait une robe, le même genre de robe qui avait été remise au riche et à l’homme de classe moyenne, de sorte qu’ils étaient tous pareils à table.
C’est ainsi que tous les enfants de Dieu paraissent à Ses yeux. Nous sommes tous identiques si nous sommes entrés par la porte. Eh bien, cette robe représente le Saint-Esprit, qui est Christ sous forme spirituelle.
20 Eh bien, à ce moment-là, cet homme est resté bouche bée; il ne pouvait rien dire. Et il était... L’époux a ordonné qu’il soit lié et jeté dans les ténèbres du dehors. Mais il était entré là, tout bonnement, mais qu’est-ce que cela montrait? Qu’il avait... Soit qu’il avait pu entrer par la fenêtre, ou qu’il était entré par la porte de derrière, ou qu’il était entré par une autre voie que celle à laquelle il avait été pourvu. Et il fut jeté dehors.
Il y a une voie à laquelle il a été pourvu aujourd’hui; ce n’est pas celle de nos credos, ni aucune autre que Jésus-Christ. Il est la Voie. Et un homme vient à Dieu par Jésus-Christ, il reçoit le Saint-Esprit et il est vêtu de la même robe que les autres qui viennent, qu’ils soient riches ou pauvres, tous sont identiques. Personne ne peut entrer que par Lui.
Dans un autre passage, dans Saint Jean 10, Il a dit: «Je suis la Porte de la bergerie.» Si nous entrons dans une bergerie, nous devons passer par la porte. Il est cette Porte-là.
21 Cela me rappelle un homme à Louisville, il y a de cela environ deux ans. Quelque chose n’allait pas à l’une de ses oreilles. Il a été traité par un–un médecin local, et le cas a commencé à devenir critique. Il n’arrivait pas à comprendre cela; alors, ce dernier l’a envoyé auprès d’un spécialiste.
Et le spécialiste lui a dit: «Je ne sais quelle maladie est-ce.» Alors, il l’a envoyé auprès d’un spécialiste des oreilles à Saint-Louis. A son arrivée, il a appris que le vieux médecin avait pris la retraite et qu’il habitait là à New Orléans. Il a donc pris l’avion, il est allé à New Orléans. Et il a cherché jusqu’à trouver ce vieux médecin. Et il lui a dit: «Je souffre de l’oreille, et on redoute que ça soit une maladie quelconque.» Je ne sais pas ce que c’était, et si–si j’en parlais, je ne saurais pas de quoi je parle; et je doute que vous le sachiez. Quoi que ce fût, c’est une espèce de maladie d’oreille. On lui a collé un nom, un nom long et grandiose...
Et toutefois, lorsque le vieux médecin lui a examiné l’oreille, il a dit que ce... ce que c’était, et que c’était un cas avancé.
Le jeune homme a alors dit: «Docteur, voulez-vous m’opérer et essayer de me sauver la vie?» Car si ça va loin, ça atteindra le cerveau; et alors, ça sera un cas désespéré.
Eh bien, il a dit: «Jeune homme, je suis trop vieux pour pratiquer pareille intervention chirurgicale, il ne reste qu’un seul médecin dans le monde entier, à ma connaissance, qui puisse le faire.»
Le jeune homme a alors demandé: «Où puis-je le trouver?»
Il a répondu: «Il habite New York présentement, il va en Europe pour des vacances de six mois. Et si vous attendez son retour, vous serez mort. Vous ne pouvez pas attendre son retour. Vous devez mettre la main sur lui maintenant.»
Et le jeune homme devint excité. Il demanda: «Savez-vous comment je peux mettre la main sur lui? Téléphoner quelqu’un; faire quelque chose.»
22 Eh bien, pouvez-vous vous représenter ce jeune homme dire à ce médecin, après le diagnostic de son cas, qui révélait qu’il était mourant, que son cas était avancé, qu’il devait donc faire quelque chose, qu’il n’y avait qu’une seule personne à rencontrer et qui pouvait lui sauver la vie, pouvez-vous vous représenter ce jeune homme dire: «C’est un très bon discours, docteur. C’était très frappant. Je reviendrai vous entendre une autre fois, à un moment favorable»? Absolument pas, sa vie était en danger. Il n’y avait qu’un seul médecin qui pouvait l’épargner, et il tenait à savoir qui c’était.
Ce soir, si seulement nous étions aussi préoccupés de notre âme que l’était ce jeune homme de sa vie et de sa maladie d’oreille... Il n’y a qu’Un seul qui peut nous sauver, il n’y a qu’un seul Chemin, et Jésus est ce Chemin-là. Il n’y en a pas d’autre que nous connaissions en dehors de Jésus-Christ. Il est le Chemin qui mène à Dieu, Il est le Chemin vers la Vie Eternelle. Eh bien, Il est l’unique Chemin.
23 Deuxièmement, Il est la Vérité. Eh bien, beaucoup de gens... Je suis allé dans des églises, j’ai entendu des gens dire: «Nous avons la vérité. Nos credos sont vrais; ils nous ont été transmis par nos pères. Nous avons la vérité. Nous faisons telles choses.» Et les autres disent: «Nous observons tels genres de jours, nous observons tels mois; nous faisons telle chose; nous avons la vérité.»
C’est absolument faux. Jésus a dit qu’Il était la Vérité. Jésus dit dans Saint Jean 17.17: «Sanctifie-les, Père, par la Vérité. Ta Parole est la Vérité.» Et, «au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.»
Il est la Vérité. Il peut y avoir d’autres vérités, mais Jésus est cette Vérité authentique, la Vérité issue du Ciel, la Vérité éternelle de Dieu qui nous a été envoyée, l’unique Chemin et l’unique Vérité. Les autres choses peuvent être vraies, mais Jésus est cette Vérité de Dieu, la Vérité du salut de Dieu. La Vérité du plan de Dieu, c’est Jésus-Christ. Le Chemin, la Vérité...
24 Troisièmement, Il est la Lumière, l’unique Lumière. Oh! Je sais que nous avons des disciples de Russell, de Campbell, et n’importe quel genre de lumières, mais Jésus est la véritable Lumière. Il est la Lumière qui vient dans le monde afin que nous ne marchions pas dans les ténèbres, mais que nous marchions dans la Lumière. Il est cette Lumière éternelle.
Oh! Lorsque j’y pense, il n’y a en fait qu’un seul dispositif qui donne la vie. C’est le soleil, s-o-l-e-i-l. Et en hiver, lorsque les feuilles tombent des arbres...
25 Il y a quelques mois, l’automne passé, j’étais dans le Kentucky à la chasse aux écureuils avec monsieur Wood. Et il y avait là un homme qui était censé être un infidèle. Et monsieur Wood m’a dit: «Allons chasser dans sa concession, parce qu’on y trouve des creux et autres. Et il fait sec; nous pouvons parcourir ces creux.» C’était vers mi-août...
Et j’ai dit: «Est-il un incroyant?»
Il a dit: «Oui.»
J’ai dit: «Je doute fort qu’il me laisse chasser.»
Et il a dit: «Eh bien, allons le lui demander.»
Alors, je suis resté dans le véhicule. Et le... monsieur Wood est allé lui parler, et il l’a appelé par son nom. Il a dit: «Je me demande si nous pouvons chasser un peu.»
Il a dit: «Es-tu le fils de Jim Wood?» Et je pense que tous les deux, Banks et Jim, sont ici ce soir.
Et il a répondu: «Oui.»
Il a dit: «Eh bien, tu peux chasser partout dans ma concession. Ton père est un homme honnête et juste. Tu peux donc chasser partout où tu veux. J’ai cinq cents hectares de bois ici, sers-toi simplement.»
26 Et il a dit, il l’a appelé par son nom, il a dit: «J’ai amené mon pasteur avec moi, serait-ce en ordre qu’il chasse?»
Le vieil homme a enlevé son chapeau. Il chiquait un énorme tabac, il l’a craché par terre et a dit: «Wood, tu ne veux pas me dire que tu es tombé si bas qu’il te faut trimbaler un prédicateur partout où tu vas.» [L’assemblée rit.–N.D.E.]
Alors, je suis sorti du véhicule et je me suis approché. Ils étaient assis sous un pommier.
J’ai dit... Il a dit: «Voici notre pasteur.»
Et j’ai dit: «Bonjour, monsieur.»
Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je vous assure, a-t-il dit, c’est en ordre, vous pouvez aussi chasser.» Il a dit: «Je n’ai rien contre vous les prédicateurs.» «Mais, a-t-il dit, vous savez, je suis censé être un incroyant.»
Et j’ai dit: «Oh! Je ne pense pas qu’il y ait là vraiment de quoi se vanter.»
27 Et il a dit: «Non, je le sais.» Il a dit: «Il n’y en a pas, mais, a-t-il dit, je–j’ai toujours cherché à trouver quelque chose, ce quelque chose me paraissait être Dieu.» Il a dit: «Il y a environ deux ans, un prédicateur était venu ici à Acton, là sur le terrain de camping des méthodistes (juste à peu près comme celui-ci), pour trois soirées de réunion.» Et il a dit: «Une certaine vieille dame habite ici sur la colline, elle souffrait du cancer d’estomac. Ma femme et moi allions lui changer de draps, elle n’arrivait même plus à bouger, ni à se soulever pour se mettre sur le bassin hygiénique.»
Et il a dit: «Nous devions lui changer de draps, la retourner sur le drap; son état était très grave.» Il a dit: «Sa soeur a assisté à une réunion ce soir-là.» Et il a dit: «Ce prédicateur n’avait jamais été dans cette contrée auparavant, il s’est tourné et a dit à cette femme: ‘Prenez ce mouchoir que vous avez dans votre sac à main, rentrez auprès de votre soeur et (je ne sais pas ce qu’était son nom) posez cela sur elle, car AINSI DIT LE SEIGNEUR, elle sera absolument guérie.’»
Et il a dit: «Cette nuit-là, j’avais pensé qu’on avait fait venir toute l’armée du salut au sommet de la colline.» Et il a dit: «Le lendemain matin, elle était debout, en train de frire des oeufs au jambon. Et depuis lors, elle travaille.» Il a dit: «Eh bien, lorsqu’il reviendra, je vais l’écouter.»
28 Monsieur Wood m’a regardé et je lui ai fait signe de tête. Et j’ai dit: «Voulez-vous me dire que si vous voyez quelque chose de ce genre se passer, vous deviendrez alors croyant?»
Il a répondu: «Oui, oui.» Il a dit: «Oui, oui, c’est bien certain.» Et j’avais du sang des écureuils partout sur moi, j’étais sale, j’avais des moustaches longues comme ça, j’avais campé là dans le bois pendant deux semaines... Alors, j’ai demandé: «Quel est l’âge de ce pommier?»
Il a dit: «Oh! Il a environ trente ans.» Il a dit: «C’est moi qui l’ai planté là il y a environ trente ans.»
J’ai dit: «Oui, oui, et il produit des pommes chaque année?»
Il a dit: «Oui, c’est ça.»
J’ai dit: «Je me demande, monsieur, on est juste vers la première ou la deuxième semaine d’août, et toutes les feuilles tombent de cet arbre. Que se passe-t-il?»
«Oh! a-t-il dit, la sève est descendue dans les racines.»
J’ai dit: «Qu’est-ce qui a amené la sève à descendre?»
«Eh bien, a-t-il dit, si elle restait là-haut, l’hiver tuerait l’arbre. Si la sève restait là en haut de l’arbre, cela le tuerait.»
J’ai dit: «Donc, quelque chose a amené cette sève à descendre dans les racines pour se cacher afin que l’hiver ne tue pas l’arbre.»
«Oui, oui, c’est ça.»
«Eh bien, elle remonte au prochain printemps, vous produisant davantage des pommes?»
«C’est bien ça, oui.»
«Eh bien, ai-je dit, dites-moi, monsieur, si vous le pouvez, dites-moi quelle Intelligence ordonne à la sève de quitter cet arbre avant que nous ayons même un coup de froid, et de descendre se cacher dans les racines en hiver, et je vous dirai que c’est la même Intelligence qui m’avait dit de dire à cette femme là qu’elle serait guérie.»
29 Il est le même Dieu; Il opère dans toute la nature. Vous pouvez voir Dieu partout où vous regardez. Le soleil fait pousser toute la vie botanique, toute la vie des plantes.
La petite semence... Avez-vous déjà construit un trottoir en béton en hiver, poser une grosse pierre, vous faire un trottoir, couler trois ou quatre pieds [91 ou 121 cm] de béton, ou de largeur plutôt, couler cela sur la longue bande? Où trouve-t-on le plus de verdure l’année suivante? Juste au bord du béton. Pourquoi? Vous ne pouvez pas cacher la vie. Dès que ce soleil se met à briller, cette vie se manifestera. Une petite semence qui se trouve là en bas au milieu de ce trottoir se frayera une voie autour et traversera ce béton, par-dessus et autour, sous les pierres, les bâtons et tout le reste jusqu’à sortir et redresser sa petite tête pour louer Dieu. Vous ne pouvez pas cacher la vie. Cela produira la vie aussi certainement que le printemps arrive et que le soleil chaud se met à baigner la terre, toute la flore vient à la vie, si elle a la vie en soi. C’est le s-o-l-e-i-l.
Il n’y a qu’une seule chose qui peut produire la Vie Eternelle: C’est la Venue du F-i-l-s, le Fils du Dieu vivant. Rien n’est donc mort en Jésus-Christ. Vous pouvez ensevelir cela sous la mer, ou n’importe où que ça puisse être, cela apparaîtra lorsque cette Lumière se mettra à briller. Il est la Lumière. Il est l’unique vraie Lumière.
30 Le soleil, s-o-l-e-i-l, c’est l’unique vraie lumière à laquelle nous devons marcher. Ces lumières-ci sont des lumières artificielles, elles brillent dans les ténèbres. Nous n’avons pas à marcher aujourd’hui à la lumière artificielle. Nous sommes les enfants du jour, non pas les enfants de la nuit. Nous avons Christ, et Il est la Lumière éternelle. Et nous marchons en Lui, car Il est la Lumière, le Chemin, la Vérité et la Lumière. «Nul ne peut venir au Père que par Moi.» C’est pourquoi il nous faut aller à Christ. C’est pourquoi Il était différent de tous les autres. Il est l’Unique à avoir ces choses pour nous les donner. A qui donc pourrions-nous aller? Aller recevoir une quelconque lumière quelque part, une autre lumière! Vous savez, de mauvaises choses se déplacent la nuit. Les serpents, les punaises, toutes sortes d’insectes, ils volent la nuit parce qu’ils sont mauvais. Mais que le soleil brille, ils se réfugient de toutes leurs forces à des endroits obscurs. Pourquoi? Parce qu’ils sont de ténèbres, ils ne veulent pas la lumière. C’est ce que fait le monde aujourd’hui; il ne veut pas la véritable et authentique Lumière de l’Evangile. La vraie Lumière de Dieu révèle les oeuvres de l’homme.
31 Il pourrait y avoir quelqu’un d’assez insensé pour dire: «Je refuse de croire que le soleil brille.» Il se cache le visage, il descend dans le sous-sol, ferme les portes et dit: «Le soleil ne brille pas. Je n’y crois pas, vous, bande de fanatiques, continuez simplement là dehors.»
Eh bien, nous ne pouvons pas aider un tel homme; il est mentalement dérangé. Eh bien, s’il veut rester là à attendre que la nuit tombe et qu’il prenne sa petite lanterne, s’engage dehors, regarde çà et là, pensant avoir une quelconque lumière, eh bien, il peut aller de l’avant comme cela. Mais vous ne pouvez pas lui faire entendre raison.
Il ne pourra pas non plus jouir de la bénédiction du soleil. Il ne jouira jamais de ses brillants rayons forts, des rayons qui donnent la santé. Il ne pourra jamais voir la beauté de la création jusqu’à ce qu’il se place effectivement sous cela et qu’il marche à la lumière. Et Jésus est cette Lumière-là.
32 Eh bien, vous pouvez aller de l’avant et adhérer à l’église; c’est une bonne chose. Ou vous pouvez servir votre credo, c’est une bonne chose. Vous pouvez être membre des loges; vous pouvez faire ce genre de choses; je n’ai rien à dire contre cela. Mais voici ce que j’essaie de dire: Vous avez besoin de Lumière. Et la Lumière, c’est Christ. C’est Lui seul qui peut donner la Lumière.
Vous pouvez allumer cette lumière-là, elle ne pourra jamais amener à la vie des grains de maïs contenus dans cette motte de terre ici. Absolument pas. Cette lumière artificielle ne reproduira pas la vie. Il faut la lumière du soleil, les rayons solaires. Vous direz: «Où est la différence? C’est une lumière comme celle du soleil.» Cela n’a pas la puissance des rayons solaires pour reproduire la vie.
33 Ni non plus la lumière d’un quelconque credo ou de n’importe–n’importe quoi d’autre en dehors de Jésus-Christ. Il est la Lumière de Dieu. Et c’est Lui qui nous donne le Saint-Esprit. Et lorsque nous vivons en Sa Présence, cela nous fait agir différemment, paraître différents, parler différemment, être différents, parce que nous marchons dans la Lumière. Vous êtes enfants de la Lumière, vous Y vivez, vous vous Y baignez; vous vous réjouissez de Ses flots vivifiants.
C’est pourquoi il nous faut venir à Lui pour avoir cela. Vous ne trouvez pas cela par un credo. Vous ne... C’est... Votre credo, je ne condamne pas votre credo. Si vous avez votre credo et que vous avez aussi Christ, alors amen. Voyez? Mais si vous n’avez que votre credo sans Christ, vous êtes dans une condition misérable. C’est vrai. Ne cherchez pas à entrer comme cela, parce que cela ne donnera pas la Lumière. Vous marcherez en titubant toute votre vie, sans jamais comprendre pourquoi ces gens pleurent, pourquoi ils crient, pourquoi ils tapent les mains, parlent en langues, la guérison divine, les puissances de Dieu... Vous ne saurez jamais cela par une quelconque lumière artificielle. Il vous faudra entrer dans la véritable Lumière, la Lumière de Jésus-Christ, qui éclaire chaque homme qui vient. Entrez dans cette Lumière.
«Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie. Nul ne vient au Père que par Moi.»
34 Quatrièmement, j’aimerais dire qu’Il est l’unique Fondement éternel. C’est vrai. Nous avons beaucoup d’autres fondements, mais Christ est l’unique Fondement éternel. Tout le reste s’écroulera, sauf Christ.
Vous pouvez faire de vos richesses votre fondement. Vous pouvez avoir beaucoup d’argent, laisser beaucoup d’argent à vos enfants. Qu’est-ce que cela fera? A quoi aboutissent les richesses? Aux chagrins, aux déceptions, aux conflits, aux désaccords, à la déchéance, à la fusillade, au vol, au meurtre, et parfois, finalement, au suicide. L’argent... Les banques peuvent faire faillite, fermer, ou il peut vous arriver quelque chose que vous... de perdre votre argent dans le jeu de hasard; puis, vous prenez un fusil, vous vous faites sauter la cervelle. Voyez? Ce fondement-là n’est pas éternel. Votre argent n’offre pas un fondement éternel.
Vous ne pouvez pas faire de la popularité un fondement éternel. C’est ça le grand péché de l’Amérique: chercher à devenir populaire; des femmes cherchent à s’habiller de façon populaire; des hommes cherchent à agir de façon populaire. Toutes ces petites choses qui se passent, tel que ça se passe, je ne voudrais pas aborder cela la première soirée. Mais je ne disais pas que la troisième soirée...?... Nous avancerons en roue libre ce soir. Mais devenir populaire! Généralement, la popularité mène au péché et à la honte (certainement), à trois ou quatre mariages et toutes sortes d’histoires. Cela n’offre pas de fondement éternel.
35 Parfois, pour de jolies jeunes filles, leur beauté devient pour elles une malédiction. Elles–elles s’en rendent compte; quelqu’un leur en parle. Elles aimeraient devenir comme une vedette de cinéma, ou quelque chose comme cela, plutôt que de chercher à conformer leur vie à Jésus-Christ. Elles en font tout leur fondement, sans savoir qu’elles n’ont que cinq ans de vraie vie, de quinze à vingt ans; ensuite, elles commencent à mourir. Et vous fondez tous vos espoirs là-dessus, sachant que vous devez vieillir si vous vivez. Vous devez vieillir; vous devez dépérir. Et un jour, votre beau visage pourrira là dans la tombe et les insectes le rongeront. La popularité n’offre donc pas de fondement éternel: Qui vous êtes, ce que vous êtes. Cela n’offre pas de fondement réel; il n’y en a pas là.
C’est comme certaines personnes qui essayent de faire d’un bâtiment leur fondement, le matériel. Regardez l’Amérique aujourd’hui et ses grands projets de construction. L’autre soir, je suis allé là et j’ai prêché dans une église, c’est devenu pratiquement une ville, alors qu’il n’y a pas plus de dix ou quinze ans, je chassais l’écureuil dans ces bois-là. Et aujourd’hui, une grande ville a été construite là. Je suis allé là où j’avais l’habitude de chasser les lapins. Eh bien, il y a des projets de construction partout. C’est un jour de construction, et tout le monde est épris de construction.
36 Un homme, un certain homme, un homme bien que je connais, s’est simplement affolé en construisant partout. Il a beaucoup d’argent, et il ne faisait que construire de plus en plus. Il y a quelques semaines à New Mexico, sa femme et lui, tous deux ont allumé une cigarette et ça a explosé au contact avec les bribes de gaz qui échappaient de la maison.
Quel fondement avez-vous? Ces choses n’offrent aucun fondement. C’est du foin et du chaume. Et elles–elles ne peuvent pas être... offrir un fondement éternel. Il n’y a qu’un Seul et Véritable Fondement: Jésus-Christ.
37 Il y a quelques années, j’étais là à New York avec frère Berg. Nous passions à côté d’un bâtiment, et il y avait un gigantesque, un grand bâtiment. Oh! C’était beau. Et l’architecte s’était donné beaucoup de peine à le construire, et c’est de la classe. Et lorsque nous sommes arrivés près de ce bâtiment, quelle surprise! Tout était pratiquement terminé, mais il était abandonné là. Personne ne l’occupait.
Et j’ai demandé à l’homme qui m’accompagnait quel était le problème. J’ai demandé: «Qu’est-ce qui ne va pas?»
Il a dit: «Ce bâtiment n’a servi qu’à un seul but.» Il a dit: «L’entrepreneur se préoccupait tellement de ce qu’il investissait dans la construction qu’il a oublié de descendre assez en profondeur pour faire reposer cela sur une fondation solide. Alors, le bâtiment a été condamné, et il pourra s’écrouler à tout moment. Personne ne le louera; personne n’en veut. Peu importe combien il est beau, il n’est pas posé sur un fondement solide.»
Frère, soeur, puis-je dire ceci par égard pour Jésus-Christ: Peu m’importe combien régulièrement vous allez à l’église, combien vous êtes bien habillé, quel bon voisin vous êtes, si vous n’avez pas pris le temps de creuser jusqu’à atteindre ce Fondement, Jésus-Christ, et reposer vos espoirs là, sur ce Roc solide-là, le bâtiment de votre belle église, vos chorales en robe, je ne sais quoi d’autre de beau, cela s’écroulera néanmoins l’un de ces jours. Dieu condamnera cela, parce que ça ne reposait pas sur le Rocher, Jésus-Christ. Il est l’unique Fondement.
38 A Mexico City, où nous avons tenu une grande réunion et où un petit enfant était ressuscité, là dans cette grande ville où nous tenions des réunions, un des frères m’avait amené le jour suivant visiter la ville. En fait, Mexico City est une belle ville. Mais qu’ai-je trouvé en y allant, en visitant la ville? J’ai vu certaines des architectures les plus modernes jamais vues. Oh! Elles s’écroulaient toutes. Mais le problème, c’est qu’on n’avait jamais creusé jusqu’à trouver une fondation solide. Un grand pourcentage de bâtiments de Mexico City se penche soit vers l’avant, soit vers l’arrière, soit de côté. Ils n’ont jamais atteint la pierre. Peu importe la beauté du bâtiment, il n’a pas été bâti solidement sur la pierre.
Et lorsque vous entreprenez quelque chose pour Dieu, ne vous reposez pas sur un mauvais fondement. Ne vous reposez pas sur des émotions, ne vous reposez pas sur un quelconque credo, mais confiez votre vie entre les mains de ce Fondement éternel, Jésus-Christ, cette Pierre angulaire. Alors, bâtissez à partir de là, peu importe combien c’est rapide ou combien c’est lent, vous avez un Fondement solide. Reposez-vous sur Lui, car Il est l’unique Fondement qui offre la sécurité. Et vous êtes en sécurité en Jésus-Christ. Tant que vous êtes en Lui, vous êtes à l’abri de l’orage. Il est l’unique Fondement.
39 Là, c’était quatrièmement. Cinquièmement, Il est l’unique bonheur éternel, l’unique Joie éternelle, l’unique Paix éternelle. Que puis-je dire d’autre? Il est l’unique Joie éternelle, l’unique Bonheur éternel, l’unique Paix éternelle: «Je vous donne Ma paix, Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre coeur ne se trouble point.» Il est l’unique Paix et l’unique Bonheur. Oh! Vous pouvez rire comme un fou; vous pouvez éclater d’un rire hystérique en écoutant une star de cinéma débiter une plaisanterie ou quelque chose comme cela. Mais qu’est-ce? Vous ne faites que du bruit; et cela va bientôt disparaître. Tout sera fini d’ici peu. Mais une fois qu’un homme trouve la joie qu’il y a de savoir que ses péchés sont pardonnés, qu’il est mort et que sa vie est cachée en Dieu par Christ, scellée par le Saint-Esprit, il y a là une joie ineffable et pleine de gloire, par la puissance du Dieu éternel, de savoir que vous vous reposez en sécurité dans Son amour et Sa grâce. Que l’école l’observe ou pas, qu’est-ce que ça change? Si vous...
40 J’aimerais dire...?... Nous aimerions tous retrouver, frère Sullivan et moi, retrouver nos dix-huit ans. Assurément que nous le voudrions. Mais qu’arriverait-il si nous retrouvions nos dix-huit ans et qu’après nous vivions cinq cents ans? Ne deviendrions-nous pas une antiquité? Certainement qu’il serait mieux pour nous de continuer à vivre, à vieillir, à avoir de longues moustaches et autres, mais pas vivre plus de cinq cents ans. Mais nous ne pourrons pas retrouver nos dix-huit ans et être... En effet, nous pourrions... Nous ne pourrions pas suivre le train moderne de la vie. En effet, les adolescents de ce jour-ci ne sont pas comme ceux de mon époque. Et l’époque suivante, ça sera pareil.
Et si, ce soir, vous aviez une santé parfaite? Et si vous n’aviez ni peine ni douleur, et cependant, vous savez que vous êtes–vous êtes un chrétien? Cependant, dans cette vie-ci, juste dans cette seule vie, vous n’avez ni satisfaction, ni bonheur éternel à moins d’être ancré en Christ
41 Comment savez-vous ce soir... Vous direz: «Je me sens parfaitement bien, Frère Branham.» Comment savez-vous si votre mère n’est pas en train de mourir en ce moment-ci? Comment savez-vous si papa n’a pas été tué il y a juste quelques minutes? Comment savez-vous si l’enfant n’est pas mort, écrasé? Comment savez-vous ces choses? Voyez, ici, on a une paix instable. Vous n’avez pas de paix. Il n’a pas été prévu que vous ayez la paix ici. Si vous en aviez, vous vous habitueriez au monde. Dieu ne veut pas que vous vous habituiez au monde. Il veut que vous vous reposiez en Lui. Venez à Lui, alors vous aurez la paix.
Peu m’importe ce qui arrive. Si on disait que les Russes sont sur le point de tirer la gâchette en cet instant pour larguer une bombe atomique, un véritable chrétien né de nouveau aurait la paix éternelle dans son coeur. Rien, il n’y a rien qui puisse lui nuire. Que la balle soit tirée. Eh bien, la–la fumée ne se dissipera pas ici dans la rue avant que nous entrions dans la Gloire, auprès de Jésus, devenus immortels là à Son image, pour ne plus jamais tomber malades, ni éprouver de chagrin, ni non plus connaître de déception.
42 J’aimerais que vous trouviez un endroit qui pourrait servir de fondement, quelque chose qui vous amènera là auprès de Jésus-Christ. J’aimerais que vous trouviez quelque chose qui vous procurera cette grande satisfaction. Si vous le trouvez, alors venez m’en parler. J’ai fait tout ce dont j’étais capable, et j’ai essayé d’autres dont je n’ai pas été capable. Mais je n’ai jamais trouvé quelque chose, jusque là, qui ait donc atteint le niveau de ce flot vivifiant de la puissance de Dieu, quand le Saint-Esprit était venu sur moi, frère, cette nuit-là, et avait ancré mon âme dans Son salut éternel. C’est une paix comme une rivière.
Comme le vieux frère Shakarian chantait: «Paix comme une rivière», quelque chose s’était passé. Que je reste en vie ou que je meure, qu’est-ce que ça change? Nous serons dans Sa Présence, changés en un jeune homme et en une jeune femme pour vivre ainsi aux siècles des siècles, éternellement. De quoi devons-nous alors nous inquiéter? Il n’y a pas de bonheur parfait en dehors de cela. Il est...
43 Premièrement, Il est le Chemin, deuxièmement, Il est la Vérité; troisièmement, Il est la Lumière; quatrièmement, Il est l’unique et éternel Fond–Fondement; cinquièmement, Il est l’unique Bonheur éternel, l’unique Joie éternelle; sixièmement, Il est l’unique Réalisation durable. Il l’est.
Montrez-moi un endroit, ou une place où vous pouvez aller, ou quelque chose que vous pouvez faire, ou quelque chose que vous pouvez réaliser, qui subsistera éternellement en dehors de Jésus-Christ. Dites-moi si vous pouvez bâtir une maison qui durera éternellement. Dites-moi si vous pouvez vous faire une popularité qui soit éternelle. Dites-moi si vous pouvez acquérir assez de richesses qui soient éternelles. Vous ne pouvez pas faire cela; rien, en dehors de Jésus-Christ. Il est la Réalisation éternelle. Et si jamais vous avez fait beaucoup de réalisations dans votre vie, vous n’avez jamais réalisé la chose éternelle tant que vous n’avez pas trouvé Jésus-Christ et que vous ne L’avez pas reçu dans votre coeur. Il est la Réalisation éternelle.
44 Septièmement, et enfin, je peux dire ceci: Il est l’unique Enlèvement. C’est vrai. Il est l’Unique par Lequel vous pourrez être enlevé. «Dieu ramènera ceux qui sont en Christ avec Lui lorsqu’Il viendra.» C’est l’Unique Enlèvement qu’il y a, c’est en Jésus-Christ. Oh! Nous avons toutes sortes de choses. C’est comme il y a quelque temps, je parlais à un petit-déjeuner des Hommes d’Affaires. Je pense que c’était à Porto Rico. Quelqu’un s’est adressé à moi, disant: «Vous un prédicateur, que faites-vous ici parmi ces... avec ces hommes d’affaires?»
J’ai dit: «Je suis un homme d’affaires.»
Il a dit: «Quel genre d’affaires faites-vous?»
J’ai dit: «Assurance.»
Il a dit: «Quel type d’assurance vendez-vous?»
J’ai dit: «Assurance bénie, Assurance-Vie.» J’ai dit: «Si vous êtes intéressé par une police d’assurance, j’aimerais en parler avec vous.» C’est vrai, c’est ce qui m’intéresse.
45 Un jour, un ami à moi, Wilmer Snyder, un très bon copain, nous avons été des copains. Il vend l’assurance Prudence-Vie; il est venu chez moi et a dit: «Billy, j’aimerais te parler d’une police d’assurance.»
Et j’ai dit: «Oh! J’ai l’assurance.»
Il a dit: «Oh! Ah! Excuse-moi.» Il a dit: «Je ne le savais pas, Billy.» Il a dit: «Je pensais avoir entendu ta femme me dire que tu n’en avais aucune.»
«Oh! ai-je dit, j’en ai.»
Ma femme m’a regardé comme pour dire: «Que lui est-il arrivé?» Et ce... elle a dit... Elle m’a regardé, elle a dit: «Billy!»
J’ai dit: «Eh bien, assurément, chérie, j’ai l’assurance.» Je n’avais pas dit police d’assurance [Insurance en anglais], j’avais dit assurance. J’ai dit: «J’ai l’assurance.»
Et Wilmer Snyder m’a dit, il a dit: «Quelle assurance as-tu, Billy?»
J’ai dit: «Assurance bénie, Jésus est mien! Oh! Quel avant goût de la gloire divine! Je suis héritier du salut, je suis racheté par Dieu, né de Son Esprit, lavé dans Son sang.»
«Oh! a-t-il dit, Billy, c’est bien beau. J’apprécie ça.» Il a dit: «J’ai un frère prédicateur. Connais-tu Howard?»
J’ai dit: «Oui.»
Il a dit: «Mais, Billy, cela ne t’amènera pas là au cimetière.»
J’ai dit: «Je le sais, mais cela m’en fera sortir. Je ne me préoccupe pas d’y aller, je suis seulement...» Je ne suis pas du tout intéressé à y aller. Ce que je veux savoir, c’est comment en sortir. C’est ça. Christ est cette unique Assurance.
46 Oui, oui, nous payons trop à l’entrepreneur qui nous ensevelit; pensons un peu de temps en temps à l’Entrepreneur qui nous enlève, Celui-là qui nous amènera en haut l’un de ces jours, l’unique Enlèvement, l’Unique qui peut nous faire sortir de la tombe, l’Unique qui peut nous présenter devant le Père sans faute, sans tache, ni ride. Alléluia! Assurément, les baptistes crient. Oui, oui. Tout celui qui a une bonne religion crie. Il a de quoi crier.
Un vieil homme de couleur me parlait là dans la ruelle, disant: «Tu crois dans cette religion de pousser des cris, n’est-ce pas, Billy?»
J’ai répondu: «Oui, oui.»
Et je... Il a dit: «Tu sais quoi?» Le lendemain matin, il est passé, il avait environ quatre-vingt-dix ans, il a dit: «J’aimerais te dire quelque chose.»
J’ai dit: «D’accord. C’est quoi, Reb?»
Il a dit: «Eh bien, je t’assure.» Il a dit: «Prends un vieux coq, tu peux lui lier les pattes, le rattacher à une caisse comme tu veux, mais, a-t-il dit, dès que l’aurore se lève, il se retournera et poussera des cocoricos.»
J’ai dit: «C’est vrai.»
Il a dit: «Qu’est-ce qui lui fait faire cela, Billy?»
J’ai dit: «C’est un coq et il y a l’aurore.» C’est exact. C’est sa nature. Et une fois qu’un homme est né de l’Esprit de Dieu et a cette Vie Eternelle, dès que le Saint-Esprit arrive, il doit crier. Quelque chose doit se passer.
47 Croyez-vous à ce bon salut à l’ancienne mode qui touche le coeur, qui fait couler des larmes de joie et de bonheur, et la paix qui dépasse tout entendement? En effet, Il est la Rivière, et Il est le... Oh! Il est mon Tout. Je ne peux simplement pas Le louer assez, dire assez à Son sujet, ce qu’Il représente pour moi. Certainement, Il n’est pas étonnant que nous... C’est une nature en vous. Une fois qu’on est né de l’Esprit de Dieu, on a une nature qui vous pousse à crier.
C’est pourquoi, une fois, Jésus a dit à ces pharisiens... Eux Lui avaient dit: «Ces gens, ils nous donnent des frissons au dos, faites-les taire», alors qu’Il chevauchait le... ce petit de l’âne.» On Lui a demandé: «Pourquoi ne le faites-vous pas taire?» Il leur a répondu: «S’ils se taisent, ces pierres crieront aussitôt.»
48 Quelque chose devait se passer. Alléluia! Lorsque nous Le verrons descendre du Ciel, monté sur ce cheval de bataille blanc, vous parlez du bruit! Oh! Quelque chose va alors se passer, lorsque nous verrons toutes ces choses dont nous avons parlé devenir réalité. Certainement qu’Il est notre unique Espoir.
Les nations se disloquent; toutes les nations s’écroulent, toute assistance fait défaut; le monde s’écroule; la maladie fait rage; le péché surabonde; mais il y a une seule chose qui ne peut pas faillir, c’est Jésus-Christ et Sa précieuse Parole. Il est l’unique Sécurité. Il est l’unique Espérance, la Vie. Il est tout ce sur quoi nous devons compter, notre seul Enlèvement.
49 Je vais vous dire quoi faire. Si vous voulez le découvrir, commencez le matin, et allez dans ces grandes villes ici, allez à chaque pharmacie possible et achetez une bouteille d”enlèvement fabriqué par la recherche médicale. Dites-moi où vous pouvez acheter la puissance de l’Enlèvement. Il vous faudra venir à Jésus pour la recevoir. Allez chez un médecin et dites-lui que vous aimeriez subir une intervention chirurgicale la semaine prochaine. Vous aimeriez qu’on vous débarrasse de tous les péchés, qu’on vous rende si léger que vous pourriez aller dans l’Enlèvement. Voyez quel travail vous aurez à faire. Jésus est l’unique Enlèvement. Il est l’unique qui peut vous faire sortir de la tombe. «Je suis la Résurrection et la Vie», dit Dieu. «Celui qui croit en Moi vivra quand même il serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais.» Alléluia! Oh...
50 «J’étais mort, et voici, Je suis vivant aux siècles des siècles. J’ai les clés de la mort et du séjour des morts.» Il est la Fontaine de la Vie. Oh! Il est l’Eternel, l’unique Fondement, l’unique Chemin, l’unique Vérité, l’unique Lumière, l’unique Fondement, l’unique Bonheur et–éternel, l’unique Réalisation authentique, l’unique Enlèvement. Il est le Tout en tout. C’est vrai.
Nous avons dans cette Bible ces promesses bénies. Comment pouvons-nous donc... A qui pourrons-nous aller? Montrez-moi une pharmacie, montrez-moi un endroit, dites-moi à quelle loge vous pouvez adhérer, dites-moi à quelle église vous pouvez adhérer, montrez-moi n’importe quoi qui peut vous produire ces choses. Alors, à qui irions-nous? A qui irions-nous?
51 Et si notre... Et–et si nous allions, si nous voulions trouver la Vie Eternelle? Eh bien, je ne vous dis pas de ne pas aller à la pharmacie, je ne vous dis pas de ne pas aller à l’église; ça, c’est à vous de faire ces choses. Mais rassurez-vous de recevoir le... d’avoir un fondement solide. Commencez bien, recevez d’abord Jésus; ensuite, allez adhérer à une église, continuez, faites-vous baptiser, continuez, chantez dans une chorale. Continuez et faites tout ce que le Saint-Esprit vous ordonne; mais reposez-vous d’abord sur le fondement.
Si vous avez un petit arbre, un pommier, il portera des pommes si seulement vous le plantez dans le fondement qu’il faut. Si vous avez un coeur qui a faim de Dieu, si vous voulez voir la puissance de Dieu, vous voulez sentir les vibrations de Sa Vie Eternelle, vous voulez voir si le Saint-Esprit est réel ou pas, plantez simplement votre petit arbre dans Son fondement convenable et vous verrez quelque chose se mettre à l’oeuvre. Oh! Il commencera à s’abreuver des Eaux de la Vie, et ce petit arbre commencera à bourgeonner et à porter des fruits. Il commencera à croître (certainement), parce que vous l’avez bien planté. Vous devez bien commencer, avoir–avoir un bon réveil.
52 Eh bien, il y en a beaucoup ici qui cherchent le Saint-Esprit. Ce qu’il vous faut faire, c’est ne pas laisser passer cette soirée sans avoir reçu le Saint-Esprit. Si vous ne L’avez pas reçu vers l’aube, continuez simplement jusqu’à l’aube. Si vous ne l’avez donc pas reçu la nuit, continuez jusqu’à la fin de la nuit. Restez simplement là jusqu’à recevoir le Saint-Esprit.
Vous n’avez pas à attendre une minute de plus. Il est ici même maintenant, Il se déverse sur vous juste en cet instant, Il vous remplit de la puissance de Sa Vie de résurrection et vous donne l’espérance, l’espérance éternelle de cette résurrection, parce que quelque chose est arrivé.
53 Excusez-moi, mes amis de couleur. Il n’y a pas longtemps, une vieille soeur de couleur donnait un témoignage. Et on se moquait d’elle, disant: «Oh! Tu n’es rien.»
Elle a dit: «C’est peut-être vrai.» Elle a dit: «Il y a une seule chose que j’aimerais dire.» Elle a dit: «Je–je–je ne suis pas ce que je devrais être, et je ne suis pas ce que je veux être. Mais je sais certainement une seule chose, c’est que je ne suis plus ce que j’étais.» Je pense donc que c’est une bonne chose.
Peut-être que nous ne sommes pas ce que nous devrions être; peut-être que nous ne sommes pas ce que nous voudrions être. Mais il y a une seule chose que nous savons: Nous ne sommes plus ce que nous étions autrefois, non, depuis que nous avons trouvé Christ. Venez au Fondement.
Il y a une Fontaine remplie du Sang,
Tiré des veines d’Emmanuel,
Les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
54 C’est ça l’espérance de la Vie Eternelle. Ce sont toutes les promesses de Dieu ici même dans le Livre. Chacune d’elles est pour vous. Ceci est Sa Parole; Ceci est Christ; Ceci est Sa promesse.
«Que celui qui veut prenne de l’eau gratuitement, aux fontaines des Eaux de la vie.» Ça ne vous coûtera pas un sou, tout le prix est déjà payé. Vous n’aurez rien au monde à pouvoir–à pouvoir présenter comme excuse. Jésus vous a précédé, chargé de vos péchés. Il a pris vos péchés; Il a pris votre... toute votre iniquité; Il s’en est chargé, Il est allé au Calvaire. Un Innocent, le Fils de Dieu, est allé là, s’est chargé de nos péchés et a été crucifié. Dieu L’a tué à la croix à cause de vos péchés et des miens. Et comment allez-vous rendre compte devant Dieu pour la façon dont vous Le traitez? Comment allez-vous rendre compte devant Lui? Ce que... Comment un jour allez-vous rendre compte pour votre âme?
Vous direz: «Je suis allé adhérer à une église, mais je vais vous dire, je savais qu’il y avait une voie qu’on appelait la sainteté et autre. Mais je ne pensais pas que ce que ces gens faisaient était correct.» Venez faire des investigations un moment. Entrez simplement dans les Eaux.
55 Lorsque j’étais un petit garçon, nous n’avions pas beaucoup d’habits. Nous pariions entre nous pour savoir qui serait le dernier à se jeter dans l’étang d’eau. Nous courions tous vers la vieille rivière. Eh bien, je peux vous dire une chose, j’étais le premier à y entrer, car c’est moi qui avais le moins d’habits à enlever. Je portais juste une salopette avec une vieille ficelle en paille en travers, avec un clou. Oui, oui. Alors, je courais... Nous courions tous. Tous les autres devaient enlever des souliers et autres, enlever la chemise, et peut-être un singlet. Je n’avais pas de temps à perdre avec cela. Tout ce que je faisais, c’était courir de toutes mes forces, enlever ce clou et plonger directement. C’est tout, j’étais dedans.
Et ils comptaient toujours sur moi pour savoir comment était l’eau. Eh bien, si je soulevais un seul doigt, cela voulait dire que l’eau était froide: «N’y entrez pas, mes gars. Prenez votre temps», tout en tremblotant. Mais si je levais deux doigts, c’est que l’eau était bonne. Mon vieux, les habits s’envolaient de tous côtés et les enfants plongeaient.
56 Ce soir, je vous assure, vous qui n’avez jamais reçu le Saint-Esprit, j’ai mes deux doigts levés. Frères, c’est bon, l’Eau de la Parole; plongez-Y. Mettez de côté toute cette vieille justice propre, toutes les vieilles choses du passé, vos vieilles fêtes, vos vieilles amitiés (oh!) d’il y a longtemps, la vie du péché; laissez cela sur le rivage, plongez dans cette Fontaine remplie du Sang tiré des veines d’Emmanuel. Les pécheurs plongés dans ce flot perdent toutes les taches de leur culpabilité. Vous ne le regretterez jamais. Oh! Ôte tous mes péchés.
Depuis que par la foi j’ai vu ce flot,
Que Tes blessures saignantes ont alimenté,
L’amour rédempteur a été mon thème,
Et il le sera jusqu’à ma mort.
Alors, dans un chant plus noble et doux,
Je chanterai Ta puissance salvatrice,
Lorsque cette langue balbutiante et bégayante,
Se couchera dans le silence de la tombe.
57 Chaque promesse dans le Livre est vôtre. Que celui qui veut vienne. Venez, tout le monde est invité. La promesse est pour vous et pour vos enfants...?... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Voyez, c’est vraiment bon. Oui, oui. C’est pourquoi, le jour de la Pentecôte, Pierre a dit: «La promesse est pour vous, pour vos enfants, pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Aucune Ecriture ne peut être l’objet d’une interprétation particulière. Cela voulait dire: Que tout celui qui veut, vienne.
Dans le dernier Livre de la Bible, il est dit: «Que celui qui veut, vienne. Et si quelqu’un retranche ou ajoute, sa part sera retranchée du Livre de vie.» Nous n’aimerions rien retrancher de Cela ni rien ajouter à Cela, mais inviter tout le monde. Que celui qui veut, vienne.
58 Ne laissez personne vous dire que ces promesses sont pour un autre âge. Cette promesse est pour maintenant même. Cette promesse est valable maintenant. Elle est pour celui qui veut. Peut-être que vous ne savez pas, vous–vous n’avez pas encore essayé cela. Vous vous en êtes tellement rapproché, mais vous ne voulez pas savoir ce que c’était. Vous pouvez être proche à ce point-là.
Eh bien, pour ceux de Jeffersonville, je vais vous donner une invitation, spécialement à vous. Ils cherchent le Saint-Esprit là depuis quelque temps. Nous avons amené une femme... un jeune garçon en route; on a baptisé des gens la dernière soirée dans mon église. Ils étaient venus au baptistère et ils voulaient s’en servir. Un de mes jeunes gens qui est sorti a commencé un tabernacle... Je pense que frère Rudell peut être ici ce soir. Il a amené dix-neuf personnes à baptiser la dernière soirée. Et comme ces gens n’avaient jamais entendu parler du Saint-Esprit, je prêchais le samedi soir, et ils sont venus à l’autel et ont été sauvés.
59 Alors, la dernière soirée, quand on a tiré les rideaux, on a amené une femme là, et aussitôt qu’on l’avait baptisée, elle est sortie de cette eau-là en parlant en langues aussi vite que possible. Oh! Vous auriez dû entendre cela! Tout le monde a accouru là et, alors, les gens la regardaient et demandaient: «Qu’est-ce que ça veut dire?»
J’ai dit: «Si ce n’est pas ici ce qui, je garderai ici jusqu’à ce que ce qui arrive.» Eh bien, c’est ici ce qui a été dit par le prophète Joël: «Dans les derniers jours, dit Dieu, Je répandrai de Mon Esprit sur toute chair. Vos fils et vos filles prophétiseront, Je répandrai de Mon Esprit sur Mes servantes et sur Mes serviteurs. Et J’accomplirai des signes en haut dans le Ciel et en bas sur la terre.»
60 Dieu appelle, Dieu agit. Nous sommes au bout du chemin; nous sommes à la fin du temps. Le temps est à la fin. Je peux vous le prouver, frère. Cela... Quand cela arrivera-t-il? Je ne sais pas. Mais ça peut arriver avant l’aube; ça peut arriver dans une heure; ça peut arriver dans cinq minutes. Quoi que ce soit, c’est proche. Il n’y a rien d’autre qui va arriver, sinon la Venue du Seigneur Jésus. L’Eglise se rassemble, Elle se réunit, Elle se secoue. Avez-vous déjà vu une telle agitation parmi les gens? Assurément, quelque chose est sur le point d’arriver: la Venue du Seigneur. Le monde entier attend la manifestation des fils de Dieu, la nature, là, qui a été donnée à l’homme comme domaine.
Lorsque Dieu créa l’homme, tout au début, lorsqu’Il le créa, Il était appelé El, Elah, Elohim, ce qui signifie: Celui qui existe par Lui-même. Mais lorsqu’Il fut appelé Jéhovah, dans le chapitre suivant, Il savait qu’Il avait quelque chose, Il l’a donné à l’homme. Ce dernier avait la terre pour domaine, il était dieu, il était un dieu sur la terre, l’homme.
61 Jésus a dit: «N’ont-ils pas appelé... Pourquoi Me condamnez-vous? On appelle ceux à qui la Parole de Dieu vient, dans votre propre loi, ceux à qui la Parole de Dieu vient, on les appelle des dieux.» Il a dit: «Si Moi, Je me dis Fils de Dieu, et que ceux à qui la Parole vient, les prophètes, sont des dieux, dites-vous, alors, pourquoi pouvez-vous Me condamner de ce que J’ai dit que Je suis Fils de Dieu?» Assurément.
Le monde entier attend la Venue du Seigneur Jésus; lorsque les hommes reprendront le contrôle de cette terre-ci, tous les arbres et tout le reste vivront, toute la faune et tout le reste, ils attendent la manifestation des fils de Dieu. Oh! Frère, ceci...
62 On dit que la vie commence à 40. C’est un mensonge. La vie commence à l’autel. C’est là que commence la vie, la Vie Eternelle, lorsque vous venez à ce Jésus-Christ. Chaque promesse est vôtre; toutes les promesses sont vôtres. C’est à vous. Peut-être que vous n’avez pas sondé cela. Peut-être que vous n’avez pas examiné pour voir si la promesse est pour vous. Vous ne pouvez pas venir recevoir le Saint-Esprit si vous ne croyez pas réellement que vous allez Le recevoir. Eh bien, Dieu désire plus que vous Le receviez; Il le désire plus. Il veut que vous Le receviez. C’est à vous, c’est votre Propriété personnelle.
Il a envoyé Jésus mourir afin qu’Il puisse vous ramener à Lui-même, qu’Il–Il puisse avoir quelque chose qui L’adore. Lorsqu’Il était El, Elah, Elohim, Il était Seul. Mais il y avait des attributs en Lui. Ces attributs, c’était d’être un Père, d’être Dieu, d’être adoré, d’être Guérisseur, d’être Sauveur, et toutes ces choses. Vous... votre vie manifeste ces attributs. Aussitôt que vous venez à Lui, vous devenez Son Fils; vous L’adorez. C’est ce qu’Il devait vraiment être, ce pour quoi Il vous a créé. Votre dessein ici, c’est d’adorer Dieu; et vous ne pouvez pas L’adorer correctement si vous ne L’adorez pas en Esprit et en Vérité: Saint Jean 4. C’est ce que Jésus a dit à cette femme: «Le Père cherche ceux qui L’adorent en Esprit et en Vérité.»
63 Premièrement, recevez la Vérité, un bon fondement. Jésus-Christ est le seul Chemin à suivre; ce n’est pas serrer la main, adhérer à l’église; ça, c’est bien. Serrer la main, c’est bon; adhérer à l’église, c’est bien. Mais ce n’est pas ça. Venez premièrement au Fondement; reposez-vous sur Lui. Et puis, après que vous L’avez reçu, alors serrez la main au pasteur et adhérez à l’église. C’est bien, après que vous avez fait ces choses; mais commencez d’abord correctement. Prenez la bonne direction. C’est comme David avec sa fronde, il devait d’abord bien diriger cette pierre. Voyez, vous devez atteindre l’objectif; vous devez faire le réglage. Et s’il vous faut faire le réglage, réglez-le sur Jésus-Christ. Car Il est le Chemin, la Vérité, la Lumière, le Fondement. Tout cela, c’est pour vous.
64 Il y a quelque temps, une femme ici aux Etats-Unis, la pauvre vieille créature était tellement frappée de pauvreté. On se demandait quoi faire pour elle, et finalement, on a envoyé une oeuvre philanthropique voir ce qu’on pouvait faire pour elle. Et lorsqu’on est allé auprès d’elle, on a mené une enquête et on a découvert qu’elle était très pauvre, elle n’avait rien à manger, elle avait vendu tous ses meubles et elle était dans un état terrible.
Et on lui a demandé: «N’avez-vous pas d’enfants?»
Elle a dit: «Si, si, j’ai un fils.»
Eh bien, on a demandé: «Où est ce fils?»
Elle a répondu: «Il est en Inde.» Et elle a dit: «C’est un homme d’affaires en Inde.»
Eh bien, on lui a demandé: «Pourquoi ne prend-t-il pas soin de vous?»
«Oh! a-t-elle dit, je vous assure.» (Vous savez comment sont les mères.) Elle a dit: «C’est un chou.» Elle a dit: «Il m’écrit les lettres les plus aimables que vous ayez jamais lues.» Et elle a dit: «Et il–il–il m’écrit des lettres très aimables, je ne peux pas lui demander de l’aide.» Elle a dit: «Je ne peux simplement pas faire cela. Il me dit: ‘Chère mère, comment vas-tu?’ Et des choses semblables.» Elle a dit: «Je–je déteste vraiment lui en parler. Et–et aussi, je sais qu’il ferait tout pour m’aider.» Et elle a dit: «Il m’envoie aussi certaines des photos les plus jolies que j’aie jamais vues.»
Et on lui a demandé: «Il vous a envoyé quoi, des photos?»
Elle a répondu: «Oui.»
On lui a demandé: «Quel genre de photos?»
Elle a dit: «Un instant, je vais vous montrer. Je les ai classées dans ma Bible. Ça fait deux ou trois ans que je les garde.» Elle est retournée à sa Bible et s’est mise à les présenter.»
Savez-vous ce que c’était? Elle avait dix mille dollars. C’étaient les billets de banque de l’Inde, portant des photos dessus. Elle ne savait pas ce que c’était. Mais elle les a trouvés dans sa Bible. Elle était riche, mais elle ne le savait pas, elle se mourait de faim, elle crevait de faim, et–et on la mettait à la disposition de l’oeuvre philanthropique parce qu’elle ne savait pas ce qu’elle possédait.
65 Et parfois, c’est peut-être ça le cas de beaucoup de gens ce soir. Vous ne vous rendez pas compte de la joie ineffable, pleine de gloire. Vous ne connaissez pas la puissance, la Vie Eternelle. Vous ne savez pas combien vous êtes riche, jusqu’à ce que vous regardiez Ici dedans pour découvrir ces promesses, ce qui a été donné à ces apôtres, ce qui a été donné à «tout celui qui veut, qu’il vienne.» C’est vrai. Tout cela est à vous gratuitement.
Voudriez-vous recevoir cela? Voudriez-vous être rempli du Saint-Esprit, être sauvé, avoir vos péchés sous le sang, être rempli du Saint-Esprit, être baptisé de l’Esprit, avoir dans votre coeur la puissance de l’Enlèvement et monter à Sa rencontre dans les airs? Sortir de ce bâtiment ce soir avec cette assurance bénie? Si un véhicule vous écrase, qu’est-ce que cela change? Oh! la la! Ce n’est qu’un changement de cette vieille maison pour une nouvelle maison pimpant neuve. C’est juste un changement de l’état d’un vieil homme, un homme ou une femme ratatinée, en une jeune femme ou un jeune homme ou une jeune fille qui–qui ne mourra jamais.
Ce sera un endroit où il n’y a pas d’hier, de demain; tout est aujourd’hui. Vous êtes là avec Quelqu’Un qui est le même hier, aujourd’hui et éternellement, le JE SUIS, l’Eternel. Et vous êtes éternel avec Lui. Et vous y êtes pour ne plus jamais vieillir, pour ne plus jamais tomber malade, pour ne plus jamais avoir des chagrins, pour ne plus jamais avoir des déceptions. Vous y êtes. Juste ceci pour cela.
66 Maintenant, écoutez, mes amis. Si vous mourez sans l’Esprit de Vie en vous, vous ne pouvez pas aller à cet endroit-là. Ecoutez. Comme je l’ai dit au commencement, la mort ne change pas votre esprit. Elle change seulement votre demeure.
J’ai enseigné là-dessus il y a quelques soirées. Puis, je suis tombé sur le cas de Saul, lorsqu’il avait rétrogradé vis-à-vis de Dieu... L’Urim Thummim ne lui répondait plus, le prophète ne prophétisait pas non plus et ne pouvait lui répondre. Il ne pouvait même pas avoir un songe de la part de l’Eternel. Alors, il est allé auprès de la sorcière d’Endor pour invoquer l’esprit de Samuel. Et ça faisait 19 ans que Samuel était mort; je viens de consulter cela pour me rassurer. Il était mort depuis dix-neuf ans. Et lorsque la sorcière d’Endor a invoqué l’esprit de Samuel, ce dernier n’avait pas changé d’aspect. Il était toujours là, mince avec son manteau sur l’épaule. Non seulement cela, il n’avait pas changé de vie non plus; il était toujours le même Samuel et c’était toujours un prophète.
67 Oh! Vous direz: «Eh bien, c’était une espèce de fantôme. Ce–ce–ce–c’était la sorcière d’Endor.»
Eh bien, la Bible dit que c’était Samuel. Qu’en est-il de la montagne de la Transfiguration alors que Moïse était mort depuis huit cents ans et était dans une tombe non identifiée? Que dire de ça? Qu’en est-il d’Elie qui était rentré à la maison à bord d’un char cinq cents ans avant cela? Et ils se tenaient là, si réels qu’ils ont été reconnus. Et ils avaient un corps humain, ils parlaient au Fils de Dieu. Alléluia! Que Dieu bénisse votre coeur, frère.
68 Permettez-moi de vous le dire: Il vous faut avoir la Vie pour aller là. Sans la Vie, vous ne pouvez pas ressusciter. Prenez une semence et plantez-la, laissez un petit insecte entrer dans cette semence et tuer le germe qui est dans cette semence, elle ne poussera jamais. C’est tout à fait vrai. Mais si vous pouvez éloigner cet insecte de là, que cette semence ait un coeur, quelque chose à l’intérieur; elle poussera tant que l’atmosphère tout autour est bonne, sûrement.
Et c’est le cas ce soir. Si le moindre désir de votre coeur est de recevoir Dieu, de recevoir le Saint-Esprit, laissez... entrez dans la bonne atmosphère, ayez de bonnes dispositions devant Dieu, et la Vie entrera en vous aussi certainement. Et vous commencerez à vous lever dans l’Enlèvement. Oh! Je sais que ce que vous recevez ici n’est que l’ombre des ombres des ombres. Mais à votre mort, vous allez de l’ombre à l’ombre, de l’ombre à l’ombre, ça devient des gouttelettes, de l’humidité, un ruisseau, un lac, un... Oh! la la! Ça va directement dans la Présence éternelle. Alors, vous êtes là pour toujours.
69 Pouvez-vous rejeter pareille opportunité? Quelle réalisation pouvez-vous accomplir, une investigation plus grande... Quel investissement pouvez-vous réaliser qui dépasse le fait de reconnaître Jésus-Christ comme votre Sauveur? Que pouvez-vous faire de plus que recevoir le Saint-Esprit ce soir, l’Esprit même qui L’avait baptisé Lui-même, qu’Il soit sur vous? Le même Esprit qui L’a ressuscité le troisième jour avait promis de vous ressusciter au dernier jour. Amen.
Oh! N’est-Il pas merveilleux? Inclinons maintenant la tête pour un mot de prière. Que le pianiste, ou je ne sais qui, veuille... Combien ici ce soir ne Le connaissent pas comme Sauveur et disent: «Frère Branham, j’ai bâti ma maison sur une fondation juste comme celles de la ville de Mexico, ou comme celle de cet entrepreneur de New York, qui a construit ce building.» Cela n’a servi qu’à une seule chose: il est monté au sommet de ce building et a sauté de là lorsqu’il a vu qu’il avait perdu tout ce qu’il avait, parce que ce building ne reposait pas sur un fondement solide. Qu’en sera-t-il à votre mort lorsque vous découvrirez que tout ce que vous avez fait, c’était adhérer à l’église, que vous aviez inscrit votre nom dans un registre quelque part? Vous pensiez être en ordre, mais tout en vivant avec ce tempérament colérique et dans le péché. Et les choses du monde, vous continuez à les aimer.
70 Si vous aimez le monde ou les choses du monde, l’amour de Dieu n’est même pas en vous. Pourquoi–pourquoi courez-vous un risque là-dessus, ami? Réglons cela ce soir. J’aimerais que chaque pécheur ici présent vienne ici, qu’il se tienne ici un instant pour un mot de prière avant que nous continuions plus loin avec le service. Voudriez-vous venir? Que chaque pécheur qui est dans la salle, pendant que nous prions, que les chrétiens prient...
Ami pécheur, venez ici juste un instant. Venez ici, faites juste ça. Montrez que vous–vous croyez en Dieu, que vous croyez, que vous voulez faire cela, vous voulez être bâti là-dessus, vous voulez bien commencer. Venez ici même me serrer la main. Venez simplement ici. Que Dieu vous bénisse, mesdames. Que quelqu’un d’autre vienne maintenant. Venez, chaque pécheur; j’aimerais que vous veniez ici juste un instant. J’aimerais vous parler ici même à l’autel. Là à l’extérieur, où que vous soyez, venez. Que Dieu vous bénisse. [Frère Branham parle aux gens à l’autel.–N.D.E.] Soeurs, peut-être que vous avez été...?... Il se pourrait que vous ayez accompli beaucoup de grandes choses dans la vie...?...
Venez donc. Comme je l’ai dit à ces femmes, ces quatre femmes: «Il se pourrait qu’elles aient accompli beaucoup de grandes choses dans la vie. Celle-ci était la chose la plus glorieuse qu’elles aient jamais accomplie.» Vous avez alors bien commencé. Une fois dans la vie, vous avez pris la bonne direction. Il se pourrait que vous ayez fait... Il se pourrait que vous ayez fait beaucoup d’autres choses bonnes, loyales, et tout, mais cela ne durera pas. Un jour, ça disparaîtra. Les gens vous oublieront. Mais maintenant, vous venez maintenant parce que vous croyez. Et vous venez vous tenir sur le Rocher, Christ. Celle-ci est la chose la plus glorieuse que vous ayez jamais accomplie, la réalisation la plus grande que vous ayez jamais faite, lorsque vous venez accepter Jésus.
71 Que les autres pécheurs viennent; le ferez-vous? Venez vous tenir ici juste un instant, nous voulons simplement offrir un mot de prière ensemble. J’aimerais juste venir prier avec vous. Voulez-vous venir? Jeunes ou vieux, passez directement devant. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Levez-vous directement et venez. Venez, jeune fille. C’est ça. Venez simplement ici. Cela ne fera pas de mal. Venez ici et vous êtes sûr de ne pas suivre une mauvaise voie. C’est ça. Que Dieu vous bénisse, mon frère. [Frère Branham parle avec des gens à l’autel.–N.D.E.] Il se peut que vous ayez fait beaucoup de choses...?... Mon frère, il y a peut-être beaucoup de choses...?... Celui-ci est le moment le plus glorieux pour vous...?... vous tenir ici...?... pour la prière. Jeune fille, sans doute que vous avez réalisé de grandes choses dans la vie...?... Que Dieu vous bénisse.
Venez, ami pécheur. Pendant que nous attendons juste un instant, chantons doucement maintenant: Il y a une Fontaine rempli du sang. Très bien.
Il y a une Fontaine remplie du Sang
Tiré des veines d’Emmanuel,
Les pécheurs plongés dans ce flot,
(Venez à l’unique Bien durable: Jésus-Christ.)
... taches de culpabilité
Ne voudriez-vous pas venir maintenant pendant que la Fontaine est disponible, pendant que vous avez la possibilité de venir? Venez à l’unique grande Réalisation que vous pouvez accomplir dans votre vie. Venez au Chemin, à la Vérité, à la Lumière. Où pourriez-vous aller pour avoir cela? Nulle part ailleurs, sinon à Christ...
... taches de culpabilité,
Les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes les taches de leur culpabilité.
72 Je me demande maintenant, pendant que nous continuons calmement un moment: Combien ici n’ont pas reçu le Saint-Esprit et aimeraient Le recevoir? Soyez sérieux avec Dieu. Dites: «Seigneur, j’ai suivi la Voie, je T’ai accepté comme mon Sauveur. Mais je veux le baptême du Saint-Esprit. Et je sais qu’il me faut la Vie de l’Enlèvement en moi.»
«Si un homme ne naît de cette Eau et de l’Esprit, il ne peut en aucun cas entrer.» Eh bien, il y a beaucoup d’Eau ici sur le rivage, ici même sur le rivage de la rivière. Il y a beaucoup de prédicateurs. Eh bien, nous voulons le baptême du Saint-Esprit, naître de nouveau... Venez, maintenant, pendant que nous chantons le couplet suivant. Que tout celui qui veut le baptême du Saint-Esprit, je veux que vous veniez vous tenir ici même avec moi juste un instant avec ces gens qui se repentent. J’aimerais que vous veniez et que vous vous teniez debout pour le baptême du Saint-Esprit.
Le voleur mourant s’est réjoui de voir
Cette Fontaine en son jour;
Et là, puissé-je aussi, vil comme lui,
Ôter tout mon péché.
Ôter tout mon péché,
Ôter tout mon péché;
Et les pécheurs plongés dans ce flot,
Ôter tout mon péché.
73 Nous aimerions attendre pour nous rassurer que tout celui qui cherche vient. J’ai devant moi ce soir un aimable jeune frère, un prédicateur méthodiste qui est venu ici avec moi pour recevoir le baptême du Saint-Esprit. Frère Collins, j’aimerais que vous Le receviez ce soir. C’est maintenant l’heure. Amen. Son frère est l’un des remarquables méthodistes sur les champs missionnaires aujourd’hui. J’aimerais qu’il reçoive le Saint-Esprit; ainsi, il pourra aller dire à son frère quelle joie il y a, combien c’est différent après qu’on est né de nouveau. Je crois que ça aura lieu ce soir, Frère Collins; c’est maintenant l’heure, c’est maintenant le moment.
74 Y en a-t-il d’autres? Eh bien, si vous cherchez le Saint-Esprit, c’est le moment de commencer. Ne laissez pas cela vous passer par-dessus la tête, venez directement ici. C’est simple... Une petite prédication simple comme cela, vous savez ce que cela représente. Venez donc; c’est ici le lieu, le Fondement, le Chemin, la Vérité, la Lumière, l’unique Réalisation, l’unique Bonheur. Vous ne connaîtrez jamais de bonheur tant que vous n’aurez pas reçu Ceci. C’est vrai. Ces pécheurs qui se tiennent ici maintenant, confessant leurs péchés, y entreront aussi. J’aimerais qu’ils y entrent avec les autres pour recevoir le Saint-Esprit. Ils n’ont pas été baptisés. Il y a beaucoup de prédicateurs ici, beaucoup d’eaux. Ainsi, nous veillerons à ce que tout soit fait aussi correctement que nous savons comment le faire, à la manière des chrétiens, autant que nous le pouvons. Ensuite, fréquentez l’église de votre choix. Allez quelque part où on prêche l’Evangile et croyez la Parole de Dieu, croyez à la Venue de Christ. C’est votre choix.
75 Oh! la la! Ceci est ce que... D’ici quelques soirées, j’aimerais vous raconter ce qui m’était arrivé. Alors, vous vous rendrez compte pourquoi je fais ça. Lorsque j’ai vu une femme m’entourer de ses bras, elle paraissait avoir dix-huit ans environ; j’ai regardé en arrière, là où mon corps était étendu. J’ai regardé ici en haut, je la voyais, elle m’a appelé son frère. J’ai dit: «Je ne comprends pas ça.»
Il m’a été dit: «Elle avait plus de quatre-vingt-dix ans lorsqu’elle... tu l’avais conduite à Christ.» Elle avait plus de quatre-vingt-dix ans, et là, elle était redevenue jeune pour toujours. Il n’est pas étonnant qu’elle ait dit: «Mon précieux frère.» Cela m’a mis un fardeau sur le coeur.»
76 Vous êtes là ce soir, amis, cherchant l’Esprit de Dieu. Il est à la portée de vous tous. Je vais vous dire ce que nous allons faire. Nous allons offrir une prière pour l’assemblée ici même, pour vous. Ensuite, nous allons entrer dans cette petite pièce où les frères sont prêts, juste là. Nous venons là, tout notre groupe, et nous allons prier jusqu’à ce que vous receviez le Saint-Esprit. C’est tout. C’est pour cela que nous sommes ici. Est-ce vrai, frères? C’est le but de cette réunion.
Très bien, inclinons maintenant la tête. Maintenant, à vous qui avez le Saint-Esprit, vous qui cherchez le Saint-Esprit, gardez bien cela à l’esprit donc. Je vais prier pour ceux-ci qui sont venus, qui n’étaient pas chrétiens et qui veulent recevoir Christ comme leur Sauveur. J’aimerais d’abord leur parler juste un instant.
77 Dans la Parole, Jésus dit: «Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire premièrement.» Jean 5.24: «Nul ne peut venir à Moi, si... Celui qui écoute Mes Paroles, je veux dire qui croit en Celui qui M’a envoyé, a... a la Vie Eternelle. Je le ressusciterai au dernier jour. Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire.»
Quelque chose a frappé à votre coeur. Vous vous êtes levé et vous vous êtes tenu debout, vous êtes descendu dans l’allée. Quelque Chose vous a attiré. Maintenant, laissez-moi vous dire ce que les Ecritures déclarent: «Tous ceux qu’Il a connus d’avance, Il les a appelés.» C’était Dieu qui vous a appelé. «Ceux qu’Il a appelés, Il les a justifiés. Et ceux qu’Il a justifiés, Il les a glorifiés.»
78 Eh bien, vous êtes dans un état glorifié dès que vous acceptez Jésus-Christ comme votre Sauveur. Entrez donc dans cette pièce où ils vont chercher le Saint-Esprit, Dieu déversera le Saint-Esprit sur vous. Et alors, vous serez rempli de l’Esprit. Cela vous donnera la puissance pour vivre, vivre comme des chrétiens jusqu’au temps de la restauration de toutes choses quand Jésus viendra. Alors, vous serez enlevé dans la Gloire avec Lui pour vivre pendant trois ans et demi; et après, vous retournerez sur la terre pour le Millénium; et puis, vous vivrez éternellement avec Lui.
Maintenant, prions pour ces gens. Et vous donc qui allez... qui voulez recevoir le Saint-Esprit, rappelez-vous: «Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.»
Maintenant, n’y entrez pas juste en disant: «Eh bien, je–je vais essayer cela une fois de plus. Celle-ci est une convention. Nous avons encore six soirées ici.» C’est maintenant l’heure pour recevoir Cela. Entrez-y, restez-y jusqu’à ce que vous ayez reçu le Saint-Esprit. Etes-vous sérieux avec Dieu, vous qui voulez recevoir le Saint-Esprit ce soir? Levez la main si vous êtes prêts à mourir maintenant même ou à recevoir le Saint-Esprit. C’est ça.
79 Est-ce le cas pour vous les femmes qui étiez ici il y a quelques instants avec ce petit garçon, et croyez-vous que Jésus-Christ est le Fils de Dieu? Voulez-vous L’accepter comme votre Sauveur? Croyez-vous qu’Il vous a appelés à cet autel ce soir? Levez la main si vous croyez que c’est Jésus-Christ qui vous a appelés. Levez... Que Dieu vous bénisse. C’est bien. «Celui qui Me confesse devant les hommes, Je le confesserai devant le Père et les saints anges.»
80 Maintenant, nous allons offrir une prière pour l’assemblée pendant que les gens attendent. Ensuite, nous irons dans une pièce ici nous-mêmes, là où nous pouvons être seuls pour prier. Inclinons la tête, partout donc, chaque chrétien. Ceux-ci sont des gens avec qui vous passerez l’Eternité.
Je pense que beaucoup parmi vous me connaissent assez bien pour savoir que si je suis un fanatique, je l’ignore. Quelque chose s’est passé l’autre matin. Je vous raconterai cela plus tard, au courant de la semaine. Je ne suis plus le même. Et je–je sais ce que sont les visions. Des milliers de fois, elles se sont produites. Cela n’était pas une vision. J’étais allé quelque part. Et depuis lors, mon coeur brûle d’amener les gens à Christ. Oh! Eh bien, chaque–chaque geste que je voudrais faire, c’est pour amener les gens à Christ.
81 J’aimerais que chacun de vous, chrétiens, prie pour ces gens, chacun de vous, pendant que je prie.
Père céleste, les premières personnes que nous T’amenons ce soir, ce sont ces femmes et ce petit garçon. Ils se sont avancés ici à cet autel. A ma connaissance, ce sont peut-être les seuls qui ne sont pas sauvés sur place ce soir. Je crois que s’il y en avait d’autres, ils seraient aussi venus. Mais ceux-ci sont venus publiquement. Ils veulent la Vie Eternelle. Et Tu as dit: «Celui qui croit au Fils a la Vie Eternelle.» Et maintenant, ils sont venus confesser la foi qu’ils ont, qu’ils T’acceptent comme leur Sauveur personnel et ils croient que Tu leur donneras la Vie Eternelle.
Père divin, je Te prie d’accorder à chacun d’eux ce soir le pardon des péchés. Que cela soit ôté par les liens du Calvaire. Puissent-ils être pardonnés de chaque péché. Qu’ils aient la paix comme une rivière. Qu’ils reçoivent la paix que Christ seul peut donner. Que ces femmes rentrent chez elles, auprès de leurs maris et de leurs enfants, que ce petit garçon retourne auprès de son papa et de sa maman, étant une nouvelle créature, une nouvelle personne, rentrant chez lui pour vivre, pour témoigner dans les parages, être des instruments pour amener d’autres auprès de Toi. Car nous savons que nous sommes au temps de la fin et Tu lances Ton dernier appel à travers le pays.
82 Je Te prie, Père, de leur accorder ces bénédictions. Et maintenant, alors qu’ils partent avec ces autres, que nos prières s’unissent de sorte que tous ceux-ci qui vont pour recevoir le Saint-Esprit... Ô Dieu, certains parmi ces gens ici, ce frère Collins, que je connais personnellement, a faim et soif. Sa petite femme là derrière crie et implore Dieu, elle a reçu le Saint-Esprit tout récemment, il y a quelques jours, et elle veut que son cher mari reçoive le Saint-Esprit. Maintenant, Père, remplis-le ce soir. Oh! Dieu, qu’il embrase cette contrée avec l’Evangile.
Il y en a d’autres ici, des jeunes hommes, des vieillards, des gens d’âge moyen, des jeunes femmes et tout. Ô Dieu, que de ce groupe de ce soir soient suscités des prédicateurs, des évangélistes, des missionnaires et différents travailleurs, Père. Remplis-les du Saint-Esprit, Seigneur.
83 Oh! La promesse est pour vous et pour vos enfants, pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que l’Eternel notre Dieu les appellera. C’est Toi qui l’as promis, Seigneur. Et ils sont ici pour recevoir Cela. Et, Seigneur, exauce ma prière. Que personne ne sorte de cette pièce-là sans avoir reçu le Saint-Esprit. Accorde-le, Seigneur. Qu’Il descende sur eux tous. Qu’il se tienne ici une réunion qui durera nuit et jour, avec une effusion continue de Ton Esprit. Accorde-le, Seigneur. Exauce la prière de Ton serviteur. Tu as dit: «Si vous dites à cette montagne: Ôte-toi de là, et que vous ne doutez pas, mais que vous croyez que ce que vous avez dit arrive, vous pourrez le voir s’accomplir.»
Seigneur, je prie que chaque coeur qui est dans cet état ce soir reçoive le Saint-Esprit, celui qui entre dans cette pièce-là. Exauce-le, Seigneur, je Te prie. Au Nom de Jésus. Amen.
84 Maintenant, les prédicateurs ici vous conduiront. Y a-t-il quelqu’un là? Etes-vous... Cet homme ici même, cet homme ici même, déplacez-vous de ce côté-ci maintenant vers la pièce pendant que je traite avec les autres qui sont dans l’assemblée juste quelques instants. Certains prédicateurs ici qui aimeraient entrer là, il y a des gens là à instruire. Maintenant, que tout le monde entre directement là maintenant pour recevoir le Saint-Esprit.
J’aimerais que vous ici, vous les dames chrétiennes ici, vous qui venez de recevoir Christ ici même, ne voudriez-vous pas entrer là avec eux maintenant? Allez-y. Croyez frère Branham pour cette fois-ci en tant que serviteur de Dieu.
Entrez-y et dites: «Seigneur, donne-moi cette Vie Eternelle dont il parle.» Vous la recevrez. Tout le monde vous attendra; vos bien-aimés vous attendront. Entrez-y, mon chéri. Je prie Dieu de faire de toi un prédicateur, chéri, qui sauvera des âmes dans les jours à venir. C’est bien. Oh! la la!
Jésus appelle, Il appelle tendrement aujourd’hui.
Jésus appelle, Il appelle aujourd’hui,
Il appelle aujourd’hui, Il appelle aujourd’hui,
Y en a-t-il d’autres parmi vous qui aimeraient les suivre? Allez-y directement comme des croyants, allez directement là maintenant pour recevoir le Saint-Esprit. Ne voudriez-vous pas aller avec eux? Vous êtes invités.
Il appelle aujourd’hui! Oh! Il appelle aujourd’hui,
Jésus appelle, Il est...?...
85 Oh! Vous sentez-vous très bien? L’Evangile vous récure bien et vous vous sentez rafraîchis par la Présence de Dieu, n’est-ce pas? Vous vous sentez bien, n’est-ce pas?
Eh bien, combien là dans l’assistance sont malades et affligés, et aimeraient que Dieu les guérisse? Faites voir la main. Oh! Regardez simplement les mains. Un frère et une soeur assis ici. Etes-vous chrétiens, vous deux, dans ces fauteuils roulants? Trois d’entre vous, eh bien, deux d’entre vous là...
86 Oh! J’aimerais vous raconter un petit quelque chose qui s’est passé avant-hier, il y a environ trois, quatre jours. J’aimerais le dire pendant qu’ils sont–qu’ils sont là-dedans maintenant. [Frère Branham demande aux membres de l’assemblée.–N.D.E.]...?... on s’occupe bien de tout. Maintenant, ils sont là pour recevoir le Saint-Esprit.
Les prédicateurs sont invités maintenant, s’ils le veulent, à aller auprès de ces gens-là, afin de les instruire dans la bonne Voie. Vous les prédicateurs qui avez l’appel de la part de Dieu et qui aimeriez voir ces gens être conduits correctement au baptême du Saint-Esprit, nous vous invitons cordialement à collaborer avec nous en ce moment-ci. Et puis, invitez-les à votre église. Amenez-les là; baptisez-les dans votre baptistère et–et faites-les entrer dans l’église. Voyez? Nous... Ils sont à vous. On a besoin de vous là derrière, dans la pièce maintenant, chaque prédicateur de l’Evangile qui est ici. Très bien.
87 Maintenant, pendant que nous nous mettons à prier pour les malades juste pendant quelques minutes...
L’autre jour, monsieur Wood avait peint ma véranda. Et il... J’avais verrouillé la porte et je suis sorti par la porte de devant, la refermant en allant visiter les malades. A mon retour, la porte était fermée et je ne pouvais pas entrer. J’avais ma famille dans le véhicule. Eh bien, il n’y avait qu’une seule chose à faire, c’était sortir prendre le marteau et casser la fenêtre pour entrer. Je suis donc sorti, j’ai cassé la fenêtre. Et en la cassant avec le marteau, ça s’est brisé en petits débris de verre qui se sont éparpillés partout. Eh bien, ma jeune fille Rebecca, elles... Elle est allée balayer tout ça, de petits débris de verre cassée.
Et le lendemain matin, elle était assise dans la cuisine faisant la vaisselle. Elle parlait à sa soeur, Sara, qui avait cassé un verre et l’avait jeté dans une boîte et a jeté de la nourriture dessus. Et la chose suivante, vous savez, un petit chien de meute est passé là, est entré dans la poubelle et a avalé ce verre au même moment que la nourriture. Le pauvre petit chien était couché sur la pelouse, piquant vraiment des crises et se retournant. Et, oh! je n’avais jamais vu un chien souffrir tant. Je ne pouvais pas savoir à qui il appartenait.
Et monsieur May, mon voisin, a dit: «Billy, je pense que la meilleure chose que nous ayons à faire, c’est de le prendre et de lui tirer dessus.»
«Oh! ai-je dit, nous n’aimerions pas tirer sur le chien d’autrui.» Voyez? On dirait que c’était un bon chien de meute.» J’ai dit: «Je ne ferais pas ça.»
88 Et il est resté couché là environ quatre ou cinq jours, saignant et, oh! dans un état vraiment terrible. Le petit animal n’arrivait plus à se relever, il faisait juste... Je n’avais jamais vu un chien aussi malade, il ne faisait que sautiller; se tordre... comme cela.
Et–et j’ai dit: «Oh! Ne voudriez-vous pas l’amener chez un vétérinaire?»
Il a dit: «Le vétérinaire le fera dormir.»
Alors, j’ai dit: «Eh bien, ça ne sert à rien de l’amener chez un vétérinaire.»
Et le petit Joseph et moi, nous sommes allés là dans la cour, nous avons pris un bouillon de vache et autres. Le petit animal n’arrivait pas à manger cela, il était trop malade.
Eh bien, ceci est la vérité, mes amis. Je suis votre frère. Joseph a levé les yeux vers moi comme pour dire: «Papa, peux-tu l’aider?»
J’ai dit: «Joseph, tiens la main de papa. Je vais imposer la main à ce petit chien.»
Dieu est mon juge. Je me suis agenouillé et j’ai offert une prière pour ce petit chien. Il s’est relevé, il a pris son souper et il a parcouru le champ tout aussi heureux que possible.
89 Eh bien, c’est la vérité. C’était à environ quinze pieds [4,5 m] de là où la vieille mère opossum avait été guérie. C’est la vérité. Vous avez entendu cette histoire. A environ quinze pieds [4,5 m]...
Si Dieu a exaucé la prière pour un chien, à combien plus forte raison n’exaucera-t-Il pas la prière pour un être humain, Son enfant lavé dans le Sang de l’Agneau?
90 Frère Kidd qui est assis là, eh bien, vous le connaissez. Vous pouvez demander à son médecin. On lui avait donné environ trois jours à vivre. Billy a dit ce soir qu’il l’a tapoté dans le dos et lui avait dit: «Fils, je me sens bien.» C’est merveilleux.
Dieu exauce la prière. Croyez-vous cela? Combien parmi vous ici croient dans la puissance guérissante de Dieu? Faites voir la main. Très bien, regardez.
91 Vous savez, l’autre jour, j’ai reçu un mandat. Il m’avait été envoyé du Ciel. Oh! Le voici: Marc, chapitre 16: «Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création.» Par tout le monde. Jusque quand? Jusqu’à quand? A toute la création. Cela durera jusqu’à quand pour que toute création entende Cela? Ce n’était pas simplement dans l’âge apostolique, dans chaque âge. Par tout le monde, à toute la création...
«Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, celui qui ne croira pas sera condamné. Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. En Mon Nom, ils chasseront les démons, ils parleront de nouvelles langues; ils saisiront des serpents, s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.»
92 Croyez-vous cela? Nous sommes riches, mais nous ne le savons pas. Combien de croyants y a-t-il ici? Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Imposez-vous donc les mains les uns aux autres, c’est tout. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Nous ne sommes pas des guérisseurs divins, nous sommes des croyants. Amen. C’est Christ qui est le Guérisseur. L’oeuvre a déjà été accomplie. Nous n’avons qu’à nous imposer les mains les uns aux autres. Croyez-vous cela? Imposez les mains à quelqu’un à côté de vous. Maintenant, prions. Priez pour la personne à côté de vous. Ne priez pas pour vous-même, priez pour la personne à côté de vous. C’est ça. Vous y êtes.
93 Père céleste, au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, le Chemin, la Vérité, la Lumière qui a fait cette promesse qui ne peut faillir, dans la Lumière de Son Evangile, nous condamnons toute maladie, chaque démon, toute puissance du diable, nous brisons toute chaîne. Satan, sors. Tu es ordonné par Jésus-Christ, au Nom du Saint Fils de Dieu, de quitter cette assistance. Sors d’eux, Satan, et lâche ces gens, afin qu’ils soient libres, que le Saint-Esprit puisse avoir le libre passage. Amen.