C’Est Moi

Date: 60-0720 | La durée est de: 1 heure et 49 minutes | La traduction: Shp
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1          On me traite d’extrémiste, je pense donc que je le suis aussi avec mes voyages.

            Je pense que la dernière fois que j’étais ici à Lakeport, il faisait très froid. Je rencontrerai bien cela une fois, si je continue simplement à essayer. Malgré tout ceci, je suis plus que ravi de dire que je suis heureux d’être ici, à Lakeport, une fois de plus ce soir. Depuis que j’ai su que j’allais venir, eh bien, j’attendais ce moment avec beaucoup d’impatience.

            C’est une petite ville, tout au fond ici sur la montagne, mais on y trouve certains des gens les plus gentils que j’aie jamais rencontrés de ma vie, des gens vraiment bien, ce que j’appellerais carrément des gens simples. Et d’avoir communion comme cela avec de telles gens, vous vous sentez vraiment bien.

            Le... Frère Folst me disait tout à l’heure...

2          Hier soir, quand je suis arrivé, eh bien, j’étais... Au premier motel où je suis arrivé, eh bien, je me suis dit: «Voilà un endroit où il me faut rester.» Et ainsi, je suis entré, et c’était bien le cas. Et je–j’ai signé la petite carte pour attester que j’allais loger là. Et...

            Quand je me suis levé ce matin, je me suis dit: «Eh bien, je ferais mieux de descendre pour m’informer sur le tarif de cet endroit.» Quand j’étais informé du prix à payer, j’ai immédiatement changé d’endroit.

            Et frère Folst vient de me parler, disant: «Mais nous voulons que vous soyez dans les bonnes conditions.»

            J’ai dit: «Frère, avec un tel tarif, je préférerais camper sous un cèdre ici dehors.» Certainement. Je... Peu importe, même si les membres de l’église sont disposés à payer cela, ce n’est pas chrétien de–de faire de telles choses. Non, non. Je préférerais avoir un petit endroit juste–juste propre, et c’est tout ce qu’il faut, plutôt que de prendre quelque chose pour lequel la–l’église doit payer quelque chose comme cela. Non. C’est plutôt ce que je–je ne–je n’aime pas de la part des Hommes d’Affaires Chrétiens.

            J’aimerais les saluer, et dire que je suis vraiment heureux que... reconnaissant que le Seigneur m’ait accordé d’être dans les bonnes grâces de ces gens, ce qui a fait qu’ils m’invitent encore. C’est en quelque sorte une petite coïncidence, je pense. Je suis censé être en Allemagne en ce moment. Et je... A cause des difficultés, je n’ai pas pu me déplacer pour aller outre-mer, c’est ainsi que j’ai dû consacrer ce mois ainsi que le mois prochain à des réunions. Et je viens ici juste pour vous visiter, vous les merveilleuses personnes d’ici, prier pour les malades et servir pour voir si je peux amener quelqu’un à accepter notre Aimable Seigneur Jésus.

3          Je venais d’avoir une vision, ou quelque chose m’est arrivé il y a quelques semaines. Peut-être qu’un peu plus tard au cours du service, je pourrai vous en parler. Et je ne me suis jamais senti le même, et je ne me sentirai plus jamais le même à ce sujet. Je suis... J’espère que je ne me comporte pas comme un fanatique, mais je suis certain que j’ai vu le Ciel. Et je–je ne voudrais jamais manquer cela. Et je voudrais amener chaque âme que je peux à y entrer. Je–j’ai toujours... J’avais un peu peur de ce que je deviendrais entre le moment de ma mort et celui de la Venue de Jésus. J’avais toujours pensé que j’aurais un corps esprit. Je n’ai jamais aimé quelque chose d’effroyable comme cela. Je n’arrive simplement pas à supporter cela. Alors je... Cela m’avait toujours effrayé. Mais l’autre matin, chez moi, il s’est passé quelque chose. Et ma femme qui est là ainsi que mes enfants et tout... et je n’étais pas allé très loin, j’étais allé juste à une petite distance, et j’ai vu littéralement des millions à qui j’avais prêché, tous jeunes et en bonne santé, et ils ne devaient jamais mourir. Et ils m’embrassaient. Et j’ai baissé le regard, et je me suis vu étendu sur le lit, et je–je me suis dit: «Est-ce...» C’était simplement parfait. C’est simplement quelque chose que je... Quand j’ai su que je devais revenir, j’ai beaucoup regretté. J’ai dit: «Il ne me faut certainement pas partir maintenant.» Et les gens, dont je savais qu’ils étaient sauvés et qui avaient environ quatre-vingt-dix ans avant qu’ils ne soient sauvés, étaient jeunes et beaux et m’appelaient leur frère.

            Je... Si c’est le cas, je–je suis prêt à m’en aller n’importe quand. C’est un... pas de soucis. Mais alors j’ai compris ce que la Bible voulait dire lorsqu’Elle dit: «Si cette tente terrestre est détruite, nous en avons déjà une qui attend.»

            Si vous croyez que je suis Son serviteur, mes amis, c’est la vérité. Où que ce fût, je ne sais pas, si j’étais dans cette chair ou hors de cette chair. Je ne veux pas imiter le grand saint Paul. Mais où que cet endroit se trouve, que Dieu accorde que chacun de vous soit là-bas. C’est... ce n’est rien... Je n’ai jamais vu ou n’ai jamais eu de vision ou quoi que ce soit de semblable. Cela a vraiment changé ma vie.

4          Une belle jeune dame qui se tenait là m’a simplement salué et m’a appelé comme ceci: «Mon précieux frère.»

            J’ai dit: «Je ne comprends pas ça.» Une Voix a dit: «Elle avait plus de quatre-vingt-dix ans quand tu l’as conduite à Christ.» Elle a ajouté: «Elle ne vieillira plus jamais. Elle ne sera plus jamais... ne devra plus jamais mourir ni tomber malade.» La Voix a dit: «C’est la raison pour laquelle elle a dit: ‘Précieux frère.’»

            Oh! Si seulement je pouvais rester là pour toujours, simplement... Il n’y a pas d’hier ni de demain. Vous–vous êtes simplement là. Et il n’y a pas de–pas de péché, rien d’impie ne peut y arriver. Il n’y a pas du tout de péché. Et il n’y avait que l’amour parfait. Si j’essayais de dire que c’était la perfection, ça ne dirait pas la chose. Sublime, ça ne dirait pas la chose. Je ne connais vraiment pas... je n’ai... je ne connais pas un terme en anglais pour–pour exprimer ce qu’était cet endroit. Je n’ai jamais vu, ni entendu, ni imaginé quelque chose de ce genre.

5          Eh bien, c’était peut-être une vision. Je n’ai jamais eu une vision comme celle-là. Parmi les centaines de milliers de visions que j’ai eues, jamais je n’en ai eu une de semblable. En effet, je me tenais à un endroit comme ici, d’où je pouvais regarder derrière et voir mon corps étendu là sur le lit, à côté de ma femme. C’était tard à neuf heures ou dix heures, huit heures ou plutôt neuf heures du matin. Et je pouvais regarder derrière et voir cela; j’étais passé de quelque chose... et je pensais que j’étais mort, et juste à une distance de là où j’étais, je pouvais voir cela.

            En regardant à cette estrade, certains de mes amis qui sont ici, un des diacres de notre église, ou plutôt des administrateurs, frère Sothmann et les autres... Cette photo qui a été prise, elle a été prise juste ici à cette estrade, la dernière fois que j’étais ici. Combien l’ont déjà vue? Vous ne voulez pas dire... seulement quelques-uns, simplement ceux qui viennent directement de chez moi. Oh! C’est l’une des plus remarquables. Le même Ange du Seigneur, qui a été photographié à travers l’Allemagne et partout, a été photographié lorsqu’Il se tenait juste ici à cette chaire.

            Et j’ai pu voir ces fleurs-ci. Il y avait quelque chose comme ça ici devant. Et l’homme prenait la photo de ce côté-ci, et là c’était tout aussi parfait que possible, notre Seigneur.

6          Ainsi, nous sommes vraiment heureux d’être de nouveau de retour dans cette petite ville ce soir. Maintenant, je ne voudrais pas vous garder trop longtemps; en effet, je sais qu’il fait chaud là-bas. Et je ne voudrais pas vous garder longtemps jusqu’à vous épuiser. Cependant je pense que, le Seigneur voulant, peut-être ceci c’est le moment où un nouveau ministère m’attend. Et je... Peut-être... J’espère que cela va se déclencher ici. Toutefois, je vais essayer de tout mon coeur de prier pour les malades tel qu’Il me l’a dit au cours de cette série de réunions.

            Y a-t-il ici quelqu’un qui n’a jamais assisté à l’une de mes réunions auparavant? Faites voir vos mains, ceux qui n’ont jamais... Oh! la la! Il faudra que je change de texte. Il y en a tellement ici qui n’ont jamais assisté à mes–à mes réunions auparavant, qui n’y ont jamais assisté; eh bien, alors je–je ferais mieux de recourir au vieux ministère ce soir, et ensuite commencer avec le nouveau ministère demain soir.

7          Ces petits livres ci... en quelque sorte... Les jeunes gens ont reçu des instructions là-dessus, si vous pouvez vous en procurer un. Et si vous avez... Je pense qu’ils les vendent à un prix vraiment raisonnable. Ils ont été imprimés par La Voix de la Guérison, et puis ils sont... Nous les prenons et les apportons aux gens, en les achetant avec une réduction de quarante cents par livre, quarante pour cent de moins, et puis en plus de cela nous supportons la manutention. Nous payons les frais pour leur vente et leur transport, et il y a le fret et les dépenses. Nous connaissons toujours une perte sur chaque livre.

            Alors voici ce que nous disons toujours: Si quelqu’un n’a pas d’argent mais qu’il désire en obtenir un, j’ai demandé aux jeunes gens de le laisser l’avoir de toute façon, de le lui donner simplement. Si jamais vous... Si vous le recevez, et qu’en le lisant il ne vaille pas les cinquante cents que vous avez payés pour cela (J’oublie le prix exact), alors renvoyez-le, et récupérez votre argent. Ou bien, gardez-le et dites-leur que ça ne valait rien. Ainsi donc nous vous rembourserons votre argent, de toute façon. D’une certaine façon c’est simplement ... Nous n’avons rien pour vendre les... cela, pour nous enrichir. Les jeunes gens vendent les bandes, et elles sont tout aussi moins chères que possible.

            Je... Avant que je ne les laisse faire cela, j’ai fait la comparaison avec un autre évangéliste. Il recevait neuf dollars par bande, je crois, c’est ce qu’il m’a exigé pour cela. Et puis, ces jeunes gens, je pense qu’ils les vendent à deux dollars ou quelque chose comme cela, c’est sur des bandes de très bonne qualité, elles ont aussi une garantie. Si ce n’est pas bon, eh bien, vous n’avez pas à payer pour cela. Les sermons, cinq cents et quelques différents sermons que j’ai prêchés dans différents coins du pays...

            Si je ne me trompe pas, celui que je regarde, est-ce bien Jack Palmer qui vient tout du long depuis le Sud? Frère Jack, que faites-vous ici si loin? Vous n’avez pas assisté à la dernière réunion, n’est-ce pas? Oh! la la! Cet homme vient de très loin, du sud de la Géorgie. Je pense que nous devrions dire: «Gloire au Seigneur...?...» N’est-ce pas qu’il fait très chaud là en Géorgie? N’est-ce pas? Il n’y a qu’un peu plus d’humidité dans l’air, c’est tout. Eh bien, ces gens de la Californie ne s’en font pas; ils sont habitués à cela.

8          Maintenant, combien ici sont des chrétiens? Faites voir vos mains, ceux qui aiment le Seigneur. Oh! Regardez ça. Je crois que c’est cent pour cent. J’en suis très heureux.

            Eh bien, je vais lire un passage des Ecritures et parler un peu ce soir, puis je vais–je vais appeler une ligne de prière et nous allons prier pour les gens tel que nous en avons l’habitude. Puis, peut-être demain soir, nous commencerons avec l’autre ministère.

            Maintenant, si le Seigneur le veut, je voudrais prier... Si vous êtes d’accord avec moi, je vais prier pour chaque personne qui viendra ici, et qui voudra qu’on prie pour elle, voyez-vous, chaque personne. Nous ne laisserons tomber personne. Voyez-vous? Nous allons prier pour tout le monde.

            Ce que nous essayons de faire... La guérison divine ne signifie pas une grande puissance, que quelqu’un doit guérir quelqu’un d’autre, mais c’est la foi dans la résurrection de Jésus-Christ, si nous pouvons croire qu’Il n’est pas mort, mais qu’Il est vivant.

9          Et le thème de nos campagnes, c’est toujours Hébreux 13.8: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Combien parmi vous les chrétiens croient cela, qu’Il est le même hier? Je vous remercie. Cela signifie que vous êtes de vrais chrétiens, lorsque vous croyez cela.

            Bon, Il n’est pas mort, mais Il est vivant. J’ai été à travers le monde, et à tous les différents endroits, et sous toutes sortes de circonstances, devant toutes sortes de religions. Récemment j’ai été reçu par dix-sept religions différentes, et chacune d’elles niait le christianisme. Et cependant, au milieu de cinq cent mille personnes à qui je parlais à Bombay, le Seigneur Jésus-Christ et le christianisme ont triomphé de chacune d’elles et ont couvert de honte tous les sorciers guérisseurs, tous les religieux, et tout le reste. Et il n’y a pas moyen de dire combien sont venus au Seigneur Jésus. Nous ne bénéficions pas d’une collaboration entre les églises, et nous nous étions arrêtés là juste pour trois jours, et il n’y avait pas moyen de dire combien étaient sauvés.

10        Maintenant, inclinons donc simplement la tête pour nous approcher de Dieu et de la Parole. Maintenant, nous allons nous rappeler que le... Tout ce que nous faisons comme... et enseignons doit être basé sur cette Bible, attesté de la Genèse à l’Apocalypse.

            Notre Père céleste, nous sommes heureux ce soir d’être des chrétiens. Je ne sais simplement pas ce que je ferais si je n’étais pas un chrétien. Je suis si content que Tu m’aies sauvé.

            Et l’autre jour, quoi que ce soit qui m’était arrivé, j’ai vu ce grand résultat lorsque Celui qui me parlait a dit: «Ceux-ci sont tes convertis venus par ton–ton... le fruit de ton ministère,» mon coeur a bondi et je me suis dit: «Ô Dieu, si je pouvais recommencer ma vie, j’essaierais de faire deux fois plus. Je persuaderais et implorerais avec tout ce qui est en moi pour amener les gens à venir à Toi.»

            Et maintenant, Père, voici une autre opportunité ici ce soir. L’acquisition de Ton Sang se trouve ici devant moi. Et, aide-moi, ô Dieu mon Père; en tant que Ton serviteur, je ne sais que faire ni comment le faire. Je ne compte que sur Toi heure après heure pour me conduire.

            Et ils sont assis ici, pas pour être vus ce soir par ce temps de chaleur. Ils sont venus pour un–une certaine raison. Ils ont faim et soif. Ils T’aiment. Beaucoup d’entre eux sont malades et se meurent. Certains sont affligés. Puissions-nous ne pas jouer maintenant, mais puissions-nous aller tout droit à la Parole, à l’Evangile avec une profonde sincérité. Et nous prions avec tout ce qui est en nous, jeûnant et nous attendant à Toi, et sachant que Tu feras infiniment au-delà de tout ce que nous pouvons faire ou penser. Si nous pouvions simplement nous abandonner à Toi, comme l’a fait Daniel à Babylone, et prendre la résolution de ne pas nous souiller avec l’incrédulité, mais de laisser le Saint-Esprit ôter de nous toute incrédulité pour croire en Lui de tous nos coeurs!

            Nous abordons la Parole à présent. Parle-nous, ô Père, au travers de Ta Parole. Car je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

11        Je vous demanderais ce soir d’ouvrir le Livre de Matthieu; prenons le chapitre 14, si vous voulez bien, du Livre de Matthieu; j’aimerais commencer la lecture à partir du verset 22.

          Aussitôt après, il obligea les disciples à monter dans la barque et à passer avant lui de l’autre côté, pendant qu’il renverrait la foule.

          Quand il l’eut renvoyée, il monta sur la montagne pour prier à l’écart; et, comme le soir était venu, il était là seul.

          La barque, déjà au milieu de la mer, était battue par les flots; car le vent était contraire.

          A la quatrième veille de la nuit, Jésus alla vers eux, marchant sur la mer.

          Quand les disciples le virent marcher sur la mer, ils furent troublés, et dirent: C’est un fantôme! Et, dans leur frayeur, ils poussèrent des cris. Aussitôt Jésus... Jésus leur dit aussitôt: Rassurez-vous, c’est moi; n’ayez pas peur.

            Que le Seigneur ajoute Ses bénédictions à la lecture de Sa Parole.

            J’aimerais prendre comme texte, pour tirer un contexte de ce verset 27: «N’ayez pas peur, c’est Moi.» Et les mots que j’aimerais utiliser sont: C’est Moi.

12        Ç’a dû être le soir vers cette heure-ci. Le soleil se couchait quand les... chacun d’eux a pris place sur le–sur le tolet de leur barque. Et la petite mer... alors que j’étais assis cet après-midi, je me disais en regardant de l’autre côté du lac que cela devait être à peu près comme cela.

            La mer de Galilée a environ cette étendue, et peut-être un peu plus. Et le grand pêcheur, à l’aide de ses gros muscles bien bâtis, a commencé à secouer la barque alors qu’il poussait la–la poupe dans le lac.

            Et enjambant les autres apôtres, il s’est dirigé vers le–le devant de la barque, il s’est assis, peut-être à côté de son frère André. Et ses braves amis, et particulièrement pendant la communion chrétienne...

13        Il se passe quelque chose lorsque vous avez été dans un groupe de gens où se trouve Jésus; c’est vraiment difficile de quitter ces gens. Il y a quelque chose qui nous unit alors que nous sommes assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ. Quel sentiment pour les gens de se réunir dans cette communion avec le Seigneur Jésus! Et c’est la joie qu’ils avaient éprouvée ce jour-là.

            Et des milliers de gens se tenaient sur la berge, cinq mille personnes ou plus, et ils agitaient la main en signe d’au revoir. Et comme c’est le cas avec la communion, nous avons de la peine à nous quitter.

            Nous pensons souvent au vieux cantique que nous chantions à l’église, il y a des années, alors que j’étais pasteur du petit tabernacle baptiste de ma ville, Jeffersonville, dans l’Indiana. Nous chantions ce vieux cantique:

            Béni soit le lien qui unit

            Nos coeurs dans l’amour chrétien;

            La communion des âmes soeurs

            Est comme celle d’En-Haut.

            Quand nous nous séparons,

            Cela nous fait de la peine;

            Mais dans nos coeurs, nous sommes toujours unis,

            Et espérons nous revoir.

            Beaucoup d’entre vous ont entendu ce vieux cantique. C’est un vieux cantique célèbre de l’église, qui a été beaucoup aimé pendant des années.

14        Alors que les gens agitaient la main en signe d’au revoir à ceux qui étaient sur la berge, et tandis que la petite barque sur les eaux calmes flottait en prenant le large, l’obscurité a commencé à s’installer à partir de l’autre rive vers Gadara. Et les gens étaient... Les ombres ont envahi l’eau, la petite barque était presque hors de vue des disciples, ou plutôt des gens qui étaient sur la berge, comme les disciples progressaient sur le lac.

            Je crois que ç’a certainement pris un petit moment, disons peut-être quinze minutes, avant que quelqu’un ne prenne la parole, alors que la petite barque voguait et que chaque apôtre, à l’aide d’une–d’une rame intervenait juste à temps.

            Et là nous apprenons aussi une leçon. A bord de cette petite barque voguant sur l’océan solennel de la vie, dans laquelle nous voyageons, si nous donnons ensemble le coup de rame, la barque avancera beaucoup mieux.

            Si les baptistes, les presbytériens, les pentecôtistes, les assemblées de Dieu, et l’Eglise de Dieu, et tous les autres donnaient ensemble le coup de rame, la petite barque avancerait certainement en douceur.

15        Et alors qu’ils faisaient avancer la petite barque vers l’autre rivage, qui était leur destination, c’est certainement Jean le jeune–il était le plus jeune du groupe–qui a renvoyé sa chevelure hirsute de son visage et a attendu un instant tandis qu’il prenait appui sur sa rame. Les frères attendaient et se demandaient ce qu’il allait dire. Puis il s’est certainement retourné avec quelque chose comme ceci et a dit: «Mes frères, je suis plus que jamais convaincu ce soir que nous ne suivons pas une espèce de fanatique religieux. Je suis plus sûr que jamais dans toute ma vie que nous suivons le Véritable Fils de Dieu. Aujourd’hui, j’ai été plus que jamais convaincu.»

            «Petit garçon encore, j’aimais entendre ma mère lire l’histoire du Grand Jéhovah qui était un Dieu puissant, qui pouvait accomplir des miracles, amener des choses à l’existence par la Parole, et créer par Sa propre Parole. Et ma mère me disait souvent: ‘Fiston, toutes choses ont été créées par Dieu, et c’est Lui qui les a amenées à l’existence par la Parole.’»

            «Et ainsi, j’aimais entendre cette histoire de la sortie de l’Egypte de nos ancêtres, quand ils ont passé quarante ans dans le désert, et que Jéhovah les conduisait. Et quand ils avaient faim, Jéhovah faisait simplement pleuvoir du pain du ciel. Et comme petit garçon, je me disais combien j’aurais aimé que Jéhovah fasse pleuvoir alors un peu de cette nourriture des anges. En effet, il était dit: ‘C’étaient des gâteaux au miel.’ Et je serais ravi d’en avoir.»

16        «Et, vous savez, aujourd’hui, quand je L’ai vu prendre ces cinq poissons, ou plutôt ces cinq pains avec deux petits poissons et en nourrir cinq mille personnes, j’ai compris que c’était certainement Jéhovah. Je sais que personne d’autre ne peut faire cela. Et, frères, je me suis avancé tout près de ce rocher en rampant, quand j’ai vu ce petit garçon que nous... qui nous suivait là-bas ce matin, qui avait fait l’école buissonnière, lui et sa petite soeur. Et il tenait ce repas sous son bras. Et quand j’ai vu Pierre, là-bas, lui poser des questions sur ce repas, alors que tout le monde avait faim... Et cela a été remis entre les mains de notre Seigneur; je me disais que, comme nourriture, c’était juste assez pour faire le repas de ce seul petit garçon. Mais quand ça s’est trouvé entre les mains de Jésus, cela a pu nourrir cinq mille personnes, et on a ramassé plusieurs paniers pleins de morceaux.»

            Oh! Dieu peut multiplier ce que nous mettons entre Ses mains. Dans nos mains ce n’est pas grand-chose. Dans Ses mains Il multiplie cela par des milliers de fois. Si seulement nous pouvons Le laisser avoir le peu que nous possédons: notre temps, notre attention, notre foi, cela peut ne pas représenter grand-chose.

            C’est comme nos soeurs qui sont assises ici, l’une tient une béquille et l’autre est assise dans un fauteuil roulant, et il y a là un précieux homme assis en train de me regarder, dans un fauteuil roulant, muni d’une béquille. Cela pourrait ne pas être... La petite foi que vous avez peut ne pas être grand-chose, mais si seulement vous pouvez une fois vous trouver entre les mains de Christ, regardez ce qu’Il pourrait faire avec.

            Les fauteuils roulants seraient repoussés contre le mur. Les gens descendraient les rues demain, louant Dieu, remerciant Dieu. Beaucoup qui sont assis ici se mourant des troubles cardiaques, de cancer, et quoi que cela pourrait être, d’ici quelques jours, vous pourriez rentrer chez votre médecin et ce dernier dirait: «Dis donc, qu’est-il arrivé ici?» Qu’est-ce? Le peu que vous aviez, vous l’avez mis entre les mains de Christ, et Il s’est mis à multiplier cela. Le cancer a commencé à partir; le coeur a commencé à revenir à son état normal et à battre de nouveau correctement. Laissez-Le prendre cela dans Sa main.

17        Il a dit: «Quand je L’ai vu prendre ces cinq petits pains et–et deux poissons et les briser, et je suis monté sur le rocher et j’ai regardé pour voir comment Il faisait cela. Je voyais ce morceau de poisson dans Sa main. Il le brisait et le déposait par ici. Et quand Il ramenait la main, il y avait déjà un autre poisson là, pas juste un poisson dans l’eau, mais un poisson déjà mature, cuit, disponible, prêt à être mangé. Et je Le voyais briser ce petit morceau de pain en deux, et déposer cela par ici, mais quand Il ramenait la main, il y avait un autre petit morceau prêt à être brisé de nouveau.»

            Oh! Il pouvait faire pousser le pain. J’aimerais demander s’il y a ici un homme de science: «Quel genre d’atome avait-Il libéré à ce moment-là, pour faire du blé bien sûr normal? C’était le même qu’Il avait libéré lorsqu’Il avait changé l’eau en vin.»

            Il est Dieu. Il fait ce qu’Il veut. Et Il est disposé à faire toute chose et à nous donner abondamment au-delà de ce que nous pourrions même penser, si seulement nous nous laissions être libérés dans la foi en Lui. C’est là que la chose réside: avoir foi en Lui pour croire qu’Il est capable. Car tout est possible à celui qui croit, peu importe ce que c’est, c’est possible; et pas seulement possible, probable, mais cela arrivera, si seulement vous croyez la chose.

18        Bon, et Jean le jeune, le regard baisé là, a dit: «J’ai vu alors qu’Il avait fait quelque chose. Il avait fait quelque chose, exactement comme ce que Jéhovah avait fait. Et je L’ai entendu dire, frères: ‘Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres de Mon Père, et que vous ne puissiez pas Me croire, alors croyez les oeuvres.’»

            Combien cela est parfait! Combien cela s’applique à tout âge! Tant que Jésus est vivant ce soir, Il est tout autant Dieu ce soir qu’Il l’était à l’époque, très exactement. Voyez-vous? Il a dit: «Si je ne fais pas les oeuvres de Mon Père...»

            Jean le jeune doit avoir dit: «J’ai lu dans la Bible là où Jéhovah pouvait faire que le pain descende du ciel, Il pouvait créer du pain au ciel et l’envoyer sur la terre. Et, frères, ce pain a dû venir du ciel, parce que je L’ai vu le briser et le distribuer. Et je suis persuadé avec tout ce qui est dans mon coeur qu’Il est le Fils du Dieu vivant.» Oui.

            Oh! Il a certainement dit cela, alors que les larmes coulaient sur ses joues de jeune homme. Il n’a jamais oublié cela. Il n’avait jamais oublié cela même lorsqu’il était devenu un vieil homme. On devait le transporter jusqu’à l’estrade, et il prêchait juste un court sermon, disait-on, d’environ quatre heures, cet amour qu’il... le contraignait toujours. Tout ce qu’il pouvait dire à ce sujet était: «Petits enfants, aimez-vous les uns les autres»; il répétait cela continuellement: «Petits enfants, aimez-vous les uns les autres, car celui qui aime est de Dieu. Car Dieu est amour», qu’il faut le véritable amour pour créer.

19        L’amour... Que votre femme sache que vous l’aimez; elle vous aime. Cela va... Lorsque vous êtes un jeune couple et que vous trouvez grâce l’un devant l’autre, cela fait que vous vous unissiez pour un voyage de toute la vie: l’amour, et c’est l’amour phileo; c’est l’amour humain. Que fera l’amour Agapao, lorsque vous pouvez atteindre un niveau où vous pouvez montrer à Dieu que vous L’aimez et que vous avez confiance en Lui? Vous vous joindrez bien à Lui, non pas seulement pour un voyage de toute la vie, mais pour l’éternité.

            Vous êtes bien disposé à accepter Sa Parole, juste à la lettre, et à dire: «C’est juste, Seigneur. Je ne doute pas de cela», et vous continuez carrément. C’est ce qu’exige le vrai amour.

20        Et Jean le jeune, alors qu’il était assis là, les mains posées sur les rames, peut-être que quelqu’un a pris alors les rames et s’est mis à ramer. Il commençait alors à faire sombre.

            Alors cela... Après que Jean le jeune a dit son mot, c’est certainement l’apôtre Pierre, le grand pêcheur musclé qui était assis de l’autre côté de la barque, à la poupe; en effet, il avait simplement poussé la proue, et il avait sauté à la poupe de la barque et s’était assis à côté de son frère André. C’est lui qui doit s’être arrêté pour parler.

            Vous savez, nous devons tous avoir un petit témoignage de temps en temps lorsque nous nous réunissons. J’aime encore cela, pas vous? Une bonne réunion des témoignages.

21        Ainsi, c’est certainement l’apôtre Pierre qui ne pouvait pas se retenir plus longtemps. Et il a dit: «Eh bien, mes frères, je–je voudrais aussi rendre témoignage. Quand mon frère André que voici est allé rendre visite à ce soi-disant Prophète galiléen, alors qu’Il était dans Sa tournée, j’ai entendu mon sacrificateur dire au temple qu’il n’y avait rien de vrai là-dedans parce que Dieu n’avait plus de prophètes; et–et j’ai entendu toutes sortes de rumeurs sur les guérisons et ainsi de suite, mais je–je ne pouvais pas croire cela.»

            «Mais un jour, alors que nous étions en train de nettoyer nos filets, ce Type est venu à la–la berge pour prêcher, alors je me suis procuré un tronc d’arbre et je suis allé derrière, du côté de la berge, et me suis assis. Mais quand Il s’est mis à parler, Il avait quelque chose qui était différent de tous les sacrificateurs ou prédicateurs que j’avais entendus jusqu’alors.»

            Et, frère, une fois que vous restez assez tranquille et écoutez, au point que vous pouvez écouter cette douce petite Voix de Christ, Elle est différente de tout message que vous avez déjà entendu dans votre vie. Ça apporte la paix; ça apporte la satisfaction. Ça vous fait quelque chose qui remue votre être intérieur. Vous n’êtes plus jamais le même. L’homme ne peut pas rencontrer Dieu et parler avec Dieu et rester encore le même.

22        Eh bien, il a dit: «Mais lorsque... Je gardais tout cela dans mon coeur.» Il a dit: «Après que j’ai su que mon vieux père, un homme pieux, un pharisien, comme vous tous, frères, le savez... Et alors, lorsqu’il se faisait vieux, je me souviens qu’il s’asseyait après la pêche du jour sur ce lac; il s’asseyait au virage, de l’autre côté, à un endroit où nous avions l’habitude de rentrer les filets. Un jour il m’a pris dans ses bras et il m’a dit: ‘Simon, mon garçon, papa va devoir te quitter l’un de ces jours, je vais te laisser tout de mon bateau, de mon matériel de pêche et tout.’»

            De même que je regarde mon propre petit garçon Joseph, et que je pense la même chose... Un de ces jours il me faudra lui laisser la Bible, et tout ce que–ce que j’ai.

23        Et il a dit: «Alors que mon père avec une barbe grise débarrassait son front des cheveux gris en les ramenant en arrière, il a dit: ‘Simon, assieds-toi. J’aimerais t’instruire, mon fils. Pendant toutes ces années nous avons attendu, notre peuple a attendu ce Messie qui doit venir. Et nous avons maintenant fait plusieurs descriptions et... comment Il sera, quand Il viendra, descendant du ciel à bord d’un char conduit par des anges ou des chevaux ou quelque chose comme ça. Nous avons plusieurs descriptions. Mais, Simon, ce ne sera pas là le Messie que nous attendons. Quand le Messie viendra, Il viendra d’une façon différente de ce que tous nos rabbins pensent. Bon, Simon, je vais que tu lises les Ecritures, car les Ecritures disent toujours la vérité. Maintenant, voici une chose qu’il ne faut pas oublier. Quand Il viendra, Il sera rejeté. Il sera un Homme rejeté, parce que tout véritable message de Dieu est toujours rejeté; il en a toujours été ainsi et il en sera toujours ainsi. Ce sera rejeté par les gens, en–en majorité. Ils rejetteront Cela.

            «Et voici donc comment tu Le reconnaîtras. Il se lèvera peut-être beaucoup de faux messies avant ton temps, Simon. J’ai toujours pensé que je vivrais jusqu’à Le voir. Mais je me fais vieux, et je ne Le verrai peut-être pas. Mais, Simon, ne laisse jamais ceci te quitter: quand le Messie viendra, Il sera un Prophète. Il sera un Dieu-Prophète. En effet, Simon, Moïse, celui-là même dont nous suivons les instructions maintenant, a dit littéralement (en fait il était un prophète), il a dit: ‘L’Eternel votre Dieu suscitera un prophète comme moi.’ Et maintenant, rappelle-toi que quand le Messie viendra, Il sera un Prophète comme Moïse. Mais Il sera plus qu’un prophète. Il sera Dieu-Prophète. Ce sera Dieu se manifestant Lui-même dans un prophète.

            «Et quand tu vois ce grand signe, eh bien, des gens se lever et dire qu’ils sont ceci cela, ne crois pas cela, Simon. Mais quand tu verras Dieu accomplir le signe d’un prophète; en effet, ce sera le signe messianique, ce sera le signe d’un prophète, parce que Moïse a dit: ‘L’Eternel votre Dieu suscitera un Prophète comme moi, le Dispensateur de la loi, le Sacrificateur, le Roi, le Prophète. Et quiconque n’écoutera pas ce prophète sera retranché du–du milieu du peuple.»

24        «Esaïe a dit qu’Il sera rejeté, un Homme de douleur, habitué à la souffrance. On détournerait de Lui, pour ainsi dire, le visage. Eh bien, ne crois pas à cette opinion moderne à Son sujet, Simon. Mais, veille à ce signe du Messie. Il sera un Prophète.»

            «Et ce jour-là, frères, étant assis sur le tronçon...» Il a peut-être dit aux–aux apôtres, comme nous présentons le petit drame: «J’étais assis là, je regardais et j’écoutais cet Homme. Il était un–un très puissant orateur. Il ne parlait pas comme l’un des sacrificateurs en commentant la Bible, en commentant les rouleaux; Il parlait avec autorité. Et lorsqu’Il parlait, c’est comme s’Il avait une assurance parfaite que ce qu’Il disait était vrai. C’est pourquoi, je commence plutôt à L’aimer.»

            «Puis tout à coup, Il s’est retourné et m’a regardé, alors que j’étais assis sur cette souche, et Il a dit: ‘Tu t’appelles Simon, et tu es le fils de Jonas.’ Pour moi, c’était la confirmation qu’Il était Celui que Dieu allait envoyer. Il était ce Dieu Prophète. En effet, non seulement Il me connaissait moi, que mon nom était Simon, mais Il connaissait mon vieux père, cet homme pieux. Il a dit: ‘Tu t’appelles Simon, et tu es le fils de Jonas’, mon père. Par conséquent, j’ai su que mon papa m’avait instruit selon la Bible, et la Bible était alors devenue une réalité vivante, puisque voilà qu’Il m’appelait par mon nom, Lui qui ne m’avait même jamais vu de Sa vie, qui n’avait jamais entendu parler de moi, et qui ne connaissait rien de moi. Et voici qu’Il m’appelle Simon. Non seulement cela, mais Il a parlé de mon père qui est mort depuis cinquante ans, disant: «Tu es le fils de Jonas.’ Quand Il a dit cela, je suis tombé à Ses pieds, car j’ai compris que c’était le Messie.» Amen.

            Hier le Messie... Que serait le Messie aujourd’hui s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement?

25        Eh bien, c’était certainement à ce moment-là que Philippe s’est levé à son tour pour un témoignage dans la barque. Comme il faisait presque noir à ce moment-là, les ombres s’installaient, et Philippe s’est tenu debout et a dit: «Frère Nathanaël, souffrez que je rende ce témoignage. Je me suis tenu là et j’ai vu notre Seigneur dire à Simon que voici qu’il s’appelait Simon, qu’il était le Fils de Jonas. Cela m’a aussi aidé. Et j’avais un frère qui était membre d’une grande dénomination appelée les Sadducéens. Je–je suis donc allé le voir. Et ça fait un trajet de quinze miles [24,14 km] en contournant la montagne.

            «Je suis allé là un matin, de bonne heure, je me suis levé, j’ai pris mon petit-déjeuner et de toutes mes forces j’ai gravi la montagne; et je suis allé jusque de l’autre côté, et un peu tard dans la soirée je suis arrivé, ou plutôt dans l’après-midi, je suis arrivé à cet endroit où je savais que cet homme habitait. J’ai frappé à la porte, et sa femme a dit: ‘Il vient de partir visiter son–son oliveraie. Il est là quelque part au milieu des arbres. Philippe, c’est là que tu le trouveras.’ Alors je suis allé au milieu des arbres, et quand je suis arrivé là, j’ai entendu un bruit. J’ai commencé à inspecter sous le figuier, et il était là à genoux, en train de prier.»

26        Puis, c’est possible qu’il ait dit: «Te souviens-tu de cela, Frère Nathanaël?»

            «Amen. Je m’en souviens.»

            «Et j’ai attendu jusqu’à ce qu’il a fini de prier, et je lui ai dit: ‘Viens voir qui nous avons trouvé, Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.’

            «Oh! a-t-il dit, attends donc un instant. Qu’est-ce que tu racontes? Eh bien, écoute Nathanaël; je sais que tu es–tu es un brave homme, et tu es vraiment équilibré sur le plan des Ecritures. Ne sois donc pas extrémiste. Bon, qu’as-tu fait? Tu me dis que ce Prophète galiléen dont on parle, c’est le Messie?

            «Ecoute, Nathanaël, je L’ai vu, je L’ai entendu, Il a accompli le signe du Messie. Nous savons que le Messie doit être un Dieu-Prophète. Quand je L’ai vu se tenir là... Te souviens-tu de ce vieux pêcheur du nom de Simon, chez qui nous avons acheté du poisson ce jour-là au lac?»

            «Oui, je me souviens de lui.»

            «Il était si inculte qu’il ne savait même pas signer le reçu du poisson.»

            «Je me souviens de cela.»

            «Dès qu’il est entré dans la Présence de cet Homme de Jésus de Nazareth, Celui-ci lui a dit: ‘Tu t’appelles Simon, et tu es le fils de Jonas.’» Il a dit: «Maintenant, Philippe ou plutôt Nathanaël, je souhaite que tu puisses sonder les Ecritures. N’est-ce pas là le signe du Messie?»

            Et il a dit: «Oh! Certainement que le Messie sera un prophète. Nous le savons. Nous avons été enseignés là-dessus. Mais où trouverons-nous un tel Homme? Y a-t-il... D’où vient-Il?»

            «Il vient de Nazareth.»

            «Nazareth? Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?»

            Je crois qu’il lui a donné l’une des meilleures réponses qu’un homme puisse donner à un autre. Il a dit: «Viens, et vois.»

27        C’est la meilleure chose à faire. Eh bien, ne restez pas simplement à la maison pour dire: «Eh bien, le voisin a dit telle chose.» Ne faites pas cela. Venez, apportez votre Bible, et sondez les Ecritures pour voir si c’est juste ou pas. Venez voir par vous-même. Ne venez pas simplement pour une heure. Venez pour rester jusqu’à ce que vous soyez tout à fait convaincu que c’est juste. Voilà comment y aller. Vérifiez cela par les Ecritures, pour vous rassurer si c’est–si c’est vrai ou pas, quand vous êtes convaincu quant aux enseignements scripturaires de la Bible, pour savoir si c’est juste ou pas. Eh bien, c’est de cela qu’il parlait aussi. «Venez voir par vous-même, si c’est la... ou plutôt le... vraiment le Messie ou pas.»

            «Eh bien, a-t-il dit, j’irai voir.»

            «Ainsi alors qu’il... que nous avancions sur la route, je lui ai raconté les différentes choses qui étaient arrivées. Et ainsi, quand il est entré dans la Présence du Messie, de Jésus...» Peut-être que Jésus se tenait debout peut-être là comme vous l’êtes. Peut-être qu’Il était assis. Peut-être qu’Il était comme... peu importe la position qu’Il avait.

            «Quand cet homme est entré dans Sa Présence, étant un homme pieux, un homme de bien, Il a dit: ‘Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.’»

28        Bien, ceci l’a étonné. Il ne savait alors que dire. Il se demandait comment Lui savait donc qui il était. Il a dit: «Rabbi...» Le mot Rabbi signifie Maître, un maître hébreu. «Rabbi, quand m’as-Tu connu? Eh bien, Tu me dis ici que je suis un Israélite.»

            Or, ce n’était pas parce qu’il était habillé comme un Israélite; en effet, tous les Orientaux... Il pouvait bien être un Arabe, ou alors il pouvait bien être un Grec. Ils portaient tous des robes, avec des turbans, exactement comme les gens le font en Orient. Il pouvait bien appartenir à l’une de ces plusieurs différentes sortes de peuples d’alors là dans la région orientale.

            Mais il ne s’agissait pas de son habillement; il ne s’agissait pas de la couleur de sa peau. Ils étaient tous brun sombre. Et ainsi, Jésus a dit: «Tu es un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude», un témoignage direct, véritable du Messie. Voyez-vous? «Tu es un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Rabbi (en d’autres termes ‘Maître, Révérend’, dirions-nous aujourd’hui), comment m’as-Tu connu?»

            Et Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Quels yeux, à quinze miles [24,14 km] en contournant les montagnes, le jour précédent! «Quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Et il a dit: «Je suis tombé devant Lui et j’ai dit: ‘Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.’»

            Il en était convaincu. Il en était convaincu parce qu’il avait vu le signe messianique dans Sa Personne.

29        Ensuite, c’est certainement après qu’il a terminé que le brave vieil André, qui était assis à côté de l’apôtre Pierre, allait ensuite témoigner.

            C’est certainement lui qui a dit: «Eh bien, frères, permettez que je parle au nom de tous. N’étions-nous pas tous entièrement convaincus quand Il allait à Jéricho venant de Jérusalem? Et cela fait une ligne droite juste quand on descend la montagne pour aller à Jéricho. Mais ce matin-là, Il a dit: ‘Il faut que Je passe par la Samarie.’ C’est en haut sur la montagne. Pourquoi devait-Il aller... en allant à Jéricho, passer par la Samarie? Vous vous rappelez comment nous avons eu tous un sentiment étrange ce jour-là? Mais nous étions... Chacun de nous avait peur de Lui dire quoi que ce soit, parce que nous savions que Dieu était en Lui, et Dieu Le conduisait, et nous ne... Nous–nous ne voulions rien dire à ce sujet, parce que c’était Dieu qui conduisait.»

            Il a dit: «Il était... Nous sommes allés avec Lui près de la Samarie, et vous vous rappelez comment ces vieilles pierres... Et Il était si fatigué après avoir fait cette montée, et Il s’est assis au puits et nous a envoyés pour acheter de la nourriture dans la ville. Il s’est assis près du puits public. Il n’y avait rien avec lequel Lui puiser même de l’eau. Nous voulions Le rafraîchir, Lui donner à boire et Lui laver les pieds. Mais Il a dit: ‘Frères, allez acheter des vivres, et Moi, Je vais attendre ici’», un petit tableau panoramique comme cela, là où se trouvait le puits. C’est un–un puits public de la ville.

30        «Et pendant que nous étions partis... Les gens ne voulaient pas nous vendre de la nourriture, alors nous sommes revenus au puits. Et vous vous rappelez que nous avons entendu quelque chose se dérouler lorsque nous sommes revenus. Et nous nous sommes accroupis là dans la sauge, pour écouter, afin de saisir ce qui se disait. Et là se trouvait une–une belle femme, dont nous nous sommes dit qu’elle était une femme très pieuse. Elle était jolie, avec une belle chevelure, belle de figure, et elle était plutôt jeune. Et elle s’entretenait avec Lui.

            «Et nous L’avons entendu lui dire: ‘ Femme, apporte-Moi à boire.’»

            «Et elle a dit: ‘Seigneur, il n’est pas de coutume que vous les Juifs demandiez pareille chose aux Samaritains. Je suis une Samaritaine; par conséquent, nous n’avons pas de relations vous et nous (une grande ségrégation). Nous n’avons pas de relations.’»

            «Et écoutez ce qu’Il a dit: ‘Si tu savais à qui tu parlais, c’est toi qui M’aurais demandé à boire. Et Je te donnerais une eau, qui n’est pas celle que tu viens puiser ici.’»

            «Elle a dit: ‘Le puits est profond; Tu n’as rien pour puiser.’»

            «Et pendant qu’Ils poursuivaient leur conversation au sujet de l’adoration sur la montagne et ainsi de suite, alors nous avons entendu notre Seigneur dire: ‘Va, appelle ton mari, et viens ici.’»

            «Et elle s’est retournée et a dit: ‘Je n’ai point de mari.’»

31        «Puis, nous nous sommes dit: ‘Qu’est-ce? Notre Maître a-t-Il commis une erreur? Car cette femme a dit que–qu’elle n’a pas de mari? Nous L’avons vu accomplir plusieurs fois ce signe messianique. Puis voici qu’Il se tient ici avec une autre race de gens, les Samaritains. Et cependant, voilà qu’à la toute première tentative, Il a failli.’»

            «Elle a dit: ‘Je n’ai point de mari.’»

            «Et alors Il a dit: ‘C’est vrai. Tu as dit vrai; en effet, tu as eu cinq maris, et celui avec lequel tu vis maintenant n’est pas ton mari.’» Il ne commet point d’erreur.

            «Alors elle Lui a dit: ‘Seigneur, je vois que Tu es Prophète.’»

            C’est ce que la femme a compris, alors que quelques jours auparavant là-bas, quand Il avait accompli la même chose, les ecclésiastiques L’avaient traité de démon, de spirite, de Béelzébul, en disant: «Il lit la pensée des gens; c’est de la télépathie mentale ou quelque chose du genre.» Ils disaient: «C’est en tant que Béelzébul qu’Il fait ça.»

            Jésus a dit: «Si vous dites cela contre Moi, Je vous pardonnerai. Mais par contre, un jour le Saint-Esprit viendra rendre témoignage de Moi, et quand Il viendra et fera la même chose, dire un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Voilà à quel point ce serait sérieux!

32        Et elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Eh bien, écoutez cette femme. «Nous savons (nous les Samaritains), nous savons que le Messie viendra. Et quand le Messie viendra, Il fera ces choses. Il nous annoncera ces choses. Ce sera le signe du Messie, quand Il viendra. Alors, Tu dois être ce Prophète. En d’autres termes, elle avait dit la même chose que les autres avaient dite. «Quand le Messie viendra, le Messie sera un Prophète, un Dieu-Prophète. Il sera plus qu’un prophète, mais Il accomplira le signe du Messie en tant que Prophète.»

            Ils n’avaient pas eu de prophètes depuis quatre cents ans et quelques, depuis Malachie, l’un des prophètes mineurs.

            Elle a dit: «Mais quand le Messie viendra, Il sera un Prophète comme Moïse, un grand Prophète; Il connaîtra à l’avance des choses. Il annoncera les choses et Il nous dira ce que nous sommes et ce que nous avons fait. Il sera ce genre d’homme. Je sais que quand le Messie viendra, Il nous annoncera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu?»

            Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

33        Maintenant, des fois j’ai entendu... un infidèle a dit il n’y a pas longtemps: «Il n’y a pas un seul passage de l’Ecriture où Jésus ait dit qu’Il était le Christ.» Qu’en est-il de ce passage-là et des autres aussi?

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Et sur base de cela, elle a laissé tomber son–elle s’est assise, ou plutôt a laissé tomber son seau d’eau et est entrée dans la ville en courant, disant: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même?» Et la Bible dit que cette ville a cru qu’Il était le Messie à cause du témoignage de cette femme.

            Or, si c’était là le signe du Messie hier, et Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, cela devrait être le signe du Messie aujourd’hui (Est-ce juste?) s’Il est le même. Maintenant, arrêtons-nous juste un instant.

34        Bon, il y a trois races de gens sur la terre, si la Bible dit la vérité. Que Dieu me pardonne pour ce mot sacrilège «si». La Bible est la vérité. Et nous venons tous soit des enfants de Cham, soit de Sem, soit de Japhet. C’étaient là les trois fils de Noé, après le déluge du monde antédiluvien, lorsque le monde fut détruit. Nous–nous venons de ces trois personnes.

            Bon, c’étaient là les Juifs, les Gentils et les Samaritains. Avez-vous remarqué que dans Matthieu (je crois que c’est le chapitre 16), Pierre a reçu les clés du Royaume du Ciel. Et le jour de la Pentecôte, il L’a ouvert aux Juifs.

            Philippe est allé prêcher chez ces Samaritains, alors que le Saint-Esprit n’était encore tombé sur aucun d’eux, lui cependant avait le Saint-Esprit. Ils ont envoyé chercher Jean et Pierre pour qu’ils viennent leur imposer les mains et ils ont reçu le Saint-Esprit. C’est juste. Voyez-vous? Même si cet homme était rempli du Saint-Esprit, cependant c’est Pierre qui avait les clés. Et c’était des gens d’une autre nationalité, les Samaritains.

35        Et puis, chez Corneille, ils... Corneille avait eu une vision et ils... L’Ange lui avait dit d’aller chez Simon le corroyeur et de demander quelqu’un, Simon. Et il est allé lui parler des choses du Seigneur. Et comme Pierre prononçait encore ces mots, le Saint-Esprit est tombé sur eux. Mais remarquez, depuis lors, Paul, tous les autres, il leur a imposé les mains et tout, et ils ont reçu le Saint-Esprit.

            Mais il y avait une fois de plus ces trois races de gens: la postérité de Sem, la postérité de Cham, la postérité de Japhet; les Juifs, les Gentils et les Samaritains.

            Maintenant, remarquez. Quand Jésus est venu, Il a accompli ce signe, comme étant le signe messianique, devant les Juifs. Or, les Gentils, nous, les Anglo-saxons, nous n’attendions pas de Messie. Il ne vient que vers ceux qui L’attendent. Ce soir Il ne guérira que ceux qui croient qu’ils seront guéris. Il ne sauvera que ceux qui ont assez de foi pour être sauvés. Il ne remplira de l’Esprit que ceux qui attendent le Saint-Esprit. Quand Il viendra de nouveau sur la terre, Il viendra pour ceux qui attendent Sa Venue et ceux qui cherchent qu’Il vienne, et qui se sont préparés pour Sa Venue. Il viendra à Son Eglise.

36        Bien, nous, les Anglo-Saxons, les Gentils, nous n’attendions pas Sa Venue. Mais il y avait deux races qui attendaient Sa Venue. C’étaient les Juifs et les Samaritains. Et sondez les Ecritures, et vous ne verrez pas un seul passage où Jésus a accompli ce signe messianique chez un Gentil, pas une seule fois. En effet, les Gentils ne L’attendaient pas. Mais Il a dit: «Dans les derniers jours, quand le Saint-Esprit viendra, c’est ce qu’Il fera.» Les–les Gentils n’avaient pas reçu l’enseignement sur la religion de Jéhovah. Ils n’attendaient rien de tel. Ils n’ont pas appris l’enseignement biblique. Nous étions des païens, adorant des idoles: les Romains, les Grecs et les autres qui avaient des dieux, des déesses, en portant sur le dos des massues et le reste, des païens.

            Mais les Juifs et les Samaritains attendaient un Messie. Et quand le Messie est venu, Il leur a montré le signe du Dieu-Prophète, comme Il était le Messie.

            Eh bien, Il a dit: «Lorsque les derniers jours viendront...» Maintenant écoutez attentivement. Il a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera pareillement à la Venue du Fils de l’homme.» Maintenant, juste avant cela, Il avait dit: «Ce qui arriva du temps de Noé...» Eh bien, remarquez, au temps de Noé, il avait plu. Il avait dit: «Les gens mangeaient, buvaient, se mariaient, et mariaient leurs enfants.» Ça, c’était immoral; en effet, à Sodome ils allaient au-delà de cela. Vous voyez? Il a dit: «Au temps de Noé, avant le déluge, les gens buvaient, mangeaient, se mariaient, et mariaient leurs enfants.»

37        Mais alors, quand Il en est arrivé au temps de Sodome, Il n’a rien mentionné du tout là-dessus. Vous voyez? Oh! Dieu est plein de sagesse. Jésus a rendu grâces au Père de ce qu’Il avait caché ces choses aux sages et aux intelligents. Vous ne pouvez pas trouver cela en fouillant. Dieu est une révélation. Au commencement c’était une révélation. Qui avait dit à Abel qu’il devait offrir un agneau au lieu des fruits que Caïn avait offerts?

            Quand Jésus a demandé à Ses disciples: «Qui dit-on que Je suis, Moi, le Fils de l’homme?»

            Les uns ont dit: «Tu es Moïse.» Et les autres disent: «Tu es Elie, ou l’un des prophètes.»

            Il a dit: «Mais vous, qui dites-vous que Je suis?»

            Pierre a dit: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.»

            Il a dit: «Tu es heureux, Simon, fils de Jonas. Car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans le Ciel qui t’a révélé cela. Et sur ce roc, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes de l’enfer ne prévaudront point contre Elle.»

            C’est une révélation spirituelle de qui est Jésus-Christ. Sur ce roc, Dieu, donnant la révélation, non pas par l’étude d’un mot, non pas par un credo, mais par une révélation spirituelle, que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu qui vous est révélé par le Saint-Esprit.

38        La Bible dit: «Nul ne peut appeler Jésus le Christ si ce n’est par le Saint-Esprit.» Voilà à quel point cela est essentiel en ce jour. Mais nous voyons le monde épris des plaisirs comme cela fut le cas au temps de Noé.

            Considérez Reno, dans le Nevada, par ici, les gens se marient et marient leurs enfants. Ecoutez maintenant, c’est comme au temps de Noé, et au temps de Sodome. Considérez la perversion. Ces lettres, ça vient par milliers de, surtout de la Californie, ici, où la perversion, oh! la la! bat le plein, augmentant chaque année de 30 pour cent environ, la perversion. En effet, les gens sont si vulgaires et si... Oh! C’est–c’est horrible. Ce n’est même pas bienséant d’en parler ne fût-ce qu’un peu à l’estrade, combien les nations sont en train de se dégrader, et spécialement cette Amérique, notre pays, notre patrie. Oh! Elle a besoin d’une véritable et authentique secousse du réveil, sinon elle va avoir une secousse atomique. Ainsi le temps du réveil étant déjà passé, alors nous attendons la bombe atomique. Mais l’église s’en ira avant que ce temps arrive. Et si la venue d’une secousse atomique est si proche que nous apprêtons des endroits pour nous abriter, l’effondrement et des choses comme cela, qu’en est-il de la Venue du Seigneur, car elle arrivera avant que le monde ne soit détruit? Nous le savons.

39        Remarquez, Noé était dans l’arche avant qu’aucune goutte d’eau ne tombe. Lot a dû sortir de Sodome avant que le feu ne tombe. L’Eglise sortira du monde avant qu’une bombe atomique ne le fasse sauter. Absolument.

            Remarquez, maintenant observons ce que Sodome a fait, puis nous reviendrons immédiatement.

            Vous direz: «Frère Branham, vous vous éloignez de votre texte.»

            Eh bien, comme l’a dit David une fois, David duPlessis a dit: «Je ne peux pas tout le temps prêcher sur l’autoroute; en effet, beaucoup de gens à qui je prêche ne vivent pas sur les autoroutes. Je dois descendre dans les ruelles et en prendre quelques-uns, et revenir encore.» Je sors donc de mon texte, mais je voulais en prendre quelques-uns sur la ruelle maintenant.

            Bien, faites attention à ceci: «A Sodome, ce qui arriva du temps de Sodome.» Arrêtons-nous juste quelques instants ici maintenant, sur le témoignage de Philippe. Et allons un instant à Sodome.

            Remarquez, Sodome... Il y a toujours trois catégories de gens dans le monde; ce sont: les croyants, les soi-disant croyants, et les incroyants. Ce sont là les trois catégories qu’on a toujours eues.

            Et ainsi, à Sodome il y avait les Sodomites. Vous savez ce qu’était son péché? C’était terrible, c‘est exactement ce qui se passe dans le–le monde aujourd’hui. Très bien.

            Bon, et puis Abraham... Or, Lot était là à Sodome en tant que chrétien tiède, un chrétien de nom, parce qu’il est dit: «Les péchés de Sodome tourmentaient son âme juste.» Mais il ne faisait pas grand-chose à ce sujet, il laissait les gens venir dans son église, habillés comme bon leur semblait, agissant comme bon leur semblait, fumant, buvant, jouant à l’argent et faisant n’importe quoi. Tant qu’ils étaient là, confessant qu’ils étaient des croyants, voyez-vous, c’était en ordre, juste un chrétien tiède, un membre d’église tiède.

            Puis, nous remarquons qu’en dehors de Sodome, là dans le désert, Abraham était là, séparé, appelé à sortir, l’Eglise élue, élue par la prescience. Dieu l’avait appelé à sortir. Le mot même église signifie appelé à sortir et séparé.

            Israël était le peuple de Dieu jusqu’à ce qu’ils étaient appelés hors d’Egypte, et séparés des Egyptiens, et alors ils étaient l’Eglise de Dieu. Le mot église signifie appelé à sortir.

40        Les voilà! Abraham était assis là, les choses allaient mal pour lui. J’imagine que madame Lot faisait les cent pas dans son petit palais d’ivoire, là-bas à Gomorrhe, disant: «Vous savez quoi? Il y a là sur ces collines la pauvre vieille Sara, elle n’a même pas de vêtements de rechange, presque pas. Abraham se trouve là, son bétail se meurt de faim. Pourquoi ne viennent-ils pas ici se joindre à nos associations?»

            Mais, frère, ils avaient une association dans leur coeur. Ils avaient quelque chose qui faisait qu’ils attendaient la Venue du Seigneur. Un jour qu’il faisait plus chaud qu’aujourd’hui, un temps sec pour ainsi dire, Abraham était assis à l’entrée de sa tente, là où il y avait un vieux chêne.

            Et j’ai pensé à ce frère Bud, si vous êtes ici, quand je suis arrivé chez vous aujourd’hui.

            Et il était assis là près de la tente... Et les–les bergers étaient sortis, et l’eau avait complètement séché, et ils arrivaient à peine à trouver quelque chose pour leur bétail. Et aussitôt, par hasard Abraham a regardé, et voici venir trois Hommes dont les habits étaient tout couverts de poussière, juste des Hommes ordinaires. Abraham s’est dit, vous savez, que ces Hommes devaient avoir quelque chose d’un peu différent. Il les a appelés à entrer et il les a faits asseoir.

            Il a dit: «Asseyez-Vous. Permettez que j’aille chercher un peu d’eau pour Vous laver les pieds, et Vous rafraîchir, et j’irai prendre un morceau de pain afin que Vous en mangiez. Puis, Vous poursuivrez votre route.» En effet, Abraham croyait que quelque chose était sur le point d’arriver.

41        Vous savez, il y a quelque chose chez les enfants de Dieu; ils sont conduits par l’Esprit de Dieu. Vous savez, cette même petite sensation agréable dans le coeur d’Abraham montrant que quelque chose était sur le point d’arriver, c’est la même chose qui a envoyé cette dame qui est dans ce fauteuil roulant ici ce soir. C’est le même Etre qui a envoyé cet homme là-bas. C’est le Même qui a envoyé chacun de vous ici. Cette petite sensation dit qu’il y a quelque chose quelque part. Voyez-vous? Vous venez dans ce but; en effet, oh! quelqu’un pourrait dire: «Oh! Ces gens-là, c’est une bande de–de saints exaltés, ou que sais-je encore.» Vous voyez? Les gens ne comprennent pas. Mais c’est le Saint-Esprit qui vous a conduit ici. Les fils et les filles de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu.

            Maintenant, alors que ces deux, trois Hommes sont arrivés, Ils se sont assis, et Abraham est entré dans la tente en courant et a dit: «Sara, tamise un peu de farine.»

            Combien ont déjà tamisé la farine? Oh! la la! Certaines d’entre vous, femmes, assurément, beaucoup de ces... l’une avec un peu de cheveux gris...?... J’ai vu ma mère prendre ce vieux tamis qu’il y avait là comme cela, et y mettre une spatule. Des fois la farine a des grumeaux, et elle devait prendre cette spatule et la frotter de manière rotative pour faire en sorte que la... filtrer, et nous faire ces petits gâteaux de maïs pour le petit déjeuner, à prendre dans de la mélasse de sorgho. Certainement. Et cela avait ce vieux...

            Et elle a tamisé cela comme cela, vous savez. Et–et il est vite allé vers le troupeau et a attrapé un petit veau gras, qu’il a tué et apprêté. Et il a préparé la viande, puis il est sorti. Et ils... Ces trois Hommes étaient assis là. Il Leur a donné à manger. Maintenant, observez donc. Nous revenons immédiatement à Nathanaël, juste un instant avec son témoignage.

42        Bien, quand il est sorti et qu’il Leur a donné la viande, pendant que ces trois Hommes étaient assis là et mangeaient, Abraham probablement Leur parlait... Quelques instants après, il a remarqué que l’un d’Eux regardait constamment vers Sodome. Deux d’entre Eux se sont levés et sont partis vers Sodome.

            Et puis, après, Ils sont allés à Sodome. Vous rappelez-vous ce qu’était Leur message quand Ils sont allés là-bas? La repentance. «Sortez.» C’était un Billy Graham et un Oral Roberts modernes ou peu importe comment vous appellerez cela, deux grands et puissants ministres qui sont allés là à Sodome et ont prêché la repentance. Ils n’avaient pas accompli tant de miracles; ils avaient seulement aveuglé quelques personnes. Et la prédication de l’Evangile aveugle l’incroyant.

            Ainsi Il... Ils–ils n’ont jamais accompli un miracle comme celui-là. Ils ont fait des miracles, mais pas de miracles comme celui qui a été fait là en retrait, à l’autre endroit. Bien, Ils ont prêché et Ils ont appelé les gens, disant: «Repentez-vous, sinon vous périrez.» C’étaient là les Deux qui étaient partis à Sodome.

            Mais Celui qui était resté ici derrière avec Abraham, observons-Le quelques instants. L’Eglise (la version huit mille cinq cents et quelques de la Pentecôte) était assise là à la tente, le croyant. Alors cet Homme avait le dos tourné à la tente. Les femmes d’autrefois n’étaient pas comme celles d’aujourd’hui pour la plupart, vous savez, qui doivent se mêler de toutes les affaires des hommes et tout; elles restaient plutôt derrière dans la maison, ainsi elles–elles...

43        Ainsi elles... Elle était... Sara était...?... Ainsi cet Homme, après qu’Il eut fini de manger, Il a dit: «Abraham.» Observez, Il l’a appelé par son nom: «Abraham, où est ta femme?» Comment savait-Il qu’il était marié.? «Où est Sara, ta femme?» Ecoutez cela. Son nom en fait n’était pas Sara; c’était d’abord Saraï, ensuite elle a été appelée Sara parce qu’elle était une princesse. Il l’a appelée par son nom de princesse.

            «Abraham (C’est ça ton nom.), où est ta femme? (Car tu es marié.) Et elle s’appelle Sara.» Comment le savait-Il?

            Observez le signe. Maintenant, rappelez-vous; Il a dit: «Très exactement ce qui arriva à Sodome», quand le feu brûla la terre, Sodome et Gomorrhe, «arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.»

            Maintenant, suivez attentivement. Ce même signe a été donné au monde des Gentils. Voyez-vous où nous en arrivons?

            «Où est Sara ta femme?»

            Abraham répondit: «Elle est dans la tente.»

            Et la Bible dit que la tente se trouvait derrière l’Ange. Combien ont déjà lu cela, et savent que c’est la vérité? Certainement. La tente se trouvait derrière Lui.

            «Elle est dans la tente, derrière Toi.»

            Il a dit: «Abraham, il y a vingt-cinq ans (en d’autres termes) Je t’avais promis un fils. Je vais te visiter au temps de la vie de Sara (les vingt-huit jours).» Il a dit: «Je–Je vais te visiter en ce temps-là. Et tu vas avoir ce fils.»

            Et comme Sara était âgée de quatre-vingt-dix ans, et Abraham de cent ans, elle a fait [Frère Branham fait une illustration.–N.D.E.] à elle-même, elle a ri, elle a souri en elle-même à l’intérieur de la tente, derrière l’Ange, et l’Ange a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?» Amen. Maintenant, quel genre de télépathie était-ce?

44        «Abraham, tu es un homme marié. Tu as une femme. Elle s’appelle Sara. Je ne t’ai jamais vu auparavant, Je ne sais rien du tout de vous (en d’autres termes). Tu ne M’as jamais vu auparavant, mais tu es conscient qu’il se passe quelque chose.»

            Maintenant: «Où est Sara, ta femme?»

            Abraham a dit: «Elle est dans la tente, derrière Toi.»

            Et elle a fait: [Frère Branham fait une illustration.–N.D.E.]

            Il a dit: «Pourquoi a-t-elle ri?» Dans la tente derrière Lui... Cela était adressé à l’Eglise élue. Sodome n’a jamais vu cela. Sodome n’a pas fait attention à cela. Mais Abraham a attendu dans une tente où il faisait très chaud, plus chaud que dans cette salle cet après-midi, attendant que quelque chose se produise, et il a trouvé cela.

45        Jésus a dit: «Ce qui arriva ce jour-là arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.»

            L’Eglise élue verra ce même signe une fois de plus. Que sommes-nous? Pour les Gentils, qui attendent un Messie... Dieu est souverain. Si Dieu permet... A l’époque de tous les enseignements intellectuels qu’Israël avait reçus et que la Samarie avait reçus, et juste à la fin de leurs enseignements, la fin de leur jour, Il leur a donné le signe du Messie pour confirmer cela, qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il ne laissera pas l’Eglise des Gentils entrer sans accomplir la même chose pour eux. S’Il le fait, Il leur a donné quelque chose qu’Il ne nous a pas donné. Il donnerait à l’un de Ses enfants un morceau de gâteau et à l’autre un morceau de gâteau, pour refuser cela à un autre.

            Cela... Il n’est pas ce genre de Père. Non. Il leur donnera cela s’ils veulent manger cela. C’est ça. Cela dépend de l’Eglise, cela dépend donc des gens.

46        Maintenant, pendant que Philippe était assis là, il a dit: «Oui, c’est juste. Et quand nous sommes allés chercher Nathanaël, Nathanaël l’a dit, André aussi. Tous ont rendu témoignage.» Il a dit: «Oui, ce qui arriva du temps de Sodome, nous savons que ces choses dont–dont Il a parlé arriveraient.»

            Eh bien, il a dit: «Oui, mon coeur brûlait au-dedans de moi. Je suis tombé sur ma face, et quand Il m’a dit où je me trouvais et qu’Il m’a dit qui était mon père, et pendant que nous nous tenions tous là et avions vu cette Samaritaine, et qu’Il lui a dit qu’elle avait eu cinq maris et–et qu’ensuite Il lui a dit que le... Elle Lui a dit qu’elle n’avait pas de mari. Et Il lui a dit: ‘Tu en as eu cinq, et celui avec lequel tu vis maintenant n’est pas ton mari.’ Et elle s’est écriée: ‘Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que lorsque le Messie sera venu, Il nous annoncera toutes ces choses, mais Toi, qui es-Tu?’» Voyez-vous?

            Eh bien... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] On priait toute la nuit, on tenait ces petites réunions, en se tenant au coin des rues, en battant les tambourins, et la police les chassait d’un coin, on allait au coin de la rue et on recommençait... Voyez-vous?

            On cherchait donc à apporter le message. Mais nous en sommes maintenant arrivés à un point où nos prédicateurs sont des intellectuels, et, oh! ce sont des docteurs en théologie, de très hautes personnalités et tout. C’est vraiment dommage que ce soit arrivé, mais cela–cela–cela est quand même arrivé. Voyez-vous? Et nous ne sommes plus dans la rue, plus du tout. Nous sommes juste ici comme les autres églises, avec de grands bâtiments. Et on essaie de dépasser l’autre, pour recevoir plus de gens à son école du dimanche que l’autre, et tout comme cela.

            Vous savez quoi? Je pense que nous sommes tout à fait partis sans le Seigneur. Voyez-vous? Ce qui préoccupe Dieu, c’est que nous sauvions les âmes, ce n’est pas la construction des bâtiments; en fait, les bâtiments, ce n’est pas mal. Mais Il veut le salut des âmes. Jésus n’a jamais commissionné Ses disciples à construire des églises. Il ne les a jamais commissionnés à bâtir des hôpitaux. Toutes ces choses ne sont pas mal, mais Il a dit: «Prêchez la Bonne Nouvelle, et voici les signes qui accompagneront ceux qui auront cru.»

47        Mais nous nous sommes lancés pour des prodiges intellectuels: les petits-fils. Mais Dieu n’a pas de petits-fils. Vous savez, Dieu n’a que des fils et des filles, pas de petits-fils. Dieu... Mais nous, nous avons des petits-fils pentecôtistes. Parce que papa et maman étaient membres de l’Eglise pentecôtiste, nous, nous y sommes entrés. Nous sommes entrés avec eux. Ils nous y ont emmenés, ils ont inscrit nos noms dans le registre quoi qu’encore au berceau, et nous sommes devenus membres de l’Eglise pentecôtiste. Ça, ce sont des petits-fils. Ce n’est pas bon.

            Nous avons... Chaque homme qui vient à Dieu doit naître de l’Esprit de Dieu. Alors vous êtes des fils et des filles de Dieu, par une expérience, quelque chose là-dedans, qui montre que Dieu vit, et vous êtes sûr qu’Il est réel. Voilà le véritable fils et la véritable fille.

            Si vous êtes–si vous êtes un méthodiste et un fils de Dieu, amen, vous êtes un fils de Dieu méthodiste. Si vous êtes pentecôtiste et un fils de Dieu, c’est très bien; mais ne soyez pas un petit-fils méthodiste ou un petit-fils pentecôtiste. Soyez un fils et une fille par naissance, la nouvelle naissance, le surnaturel, le baptême du Saint-Esprit dans votre coeur. Alors vous êtes des fils et des filles.

48        Bien, ils voient... Satan a regardé, il les a vus dans l’enthousiasme comme cela. Il a dit: «Voilà l’occasion.» Alors il a dressé sa tête visqueuse par-dessus la colline et il s’est mis à souffler par-dessus le lac, vous savez. [Frère Branham fait un bruit de soufflement.–N.D.E.] Un vent s’est produit. Le vent empoisonné a commencé à soulever le fond de la mer et à faire tanguer la petite barque.

            Et, vous savez, quand cette froideur entre et que nous nous mettons à penser aux ministres intellectuels, disant: «Eh bien, mon pasteur a un doctorat en théologie. Mon pasteur a une–une licence ès lettres. Notre pasteur vient de tel séminaire.» Ça ne veut rien dire, rien du tout. Je préférerais que mon enfant soit aux côtés d’un homme qui ne connaît même pas son abc mais qui a trouvé Christ dans son coeur, plutôt que d’être aux côtés de celui qui possède toutes les connaissances du monde intellectuel. C’est juste.

49        Moïse possédait toutes les connaissances du monde intellectuel, mais Dieu a dû l’amener au buisson pour ôter de lui tout cela, et ensuite mettre en lui une foi venant du Feu qui était sur le buisson. Et c’est ce dont nous avons besoin ce soir, une autre visite au buisson, là où nous passons par une expérience.

            Aujourd’hui nous vivons en un jour où les infidèles cherchent à trouver une explication convaincante de tout. Jésus savait cela. Il a dit: «Je ne vous laisserai pas orphelins. Le Père enverra le Saint-Esprit en Mon Nom. Et encore un peu de temps, le monde ne Me verra pas; cependant vous, vous Me verrez, car Je (le Saint-Esprit qui parle en Lui), Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.»

            Eh bien, Dieu savait qu’à la fin du monde des gens se lèveraient, de grands érudits, de grands intellectuels, pour trouver une explication convaincante de toute la Bible. Et nul homme n’a le droit de se tenir derrière la chaire, nul homme n’a le droit de se dire chrétien avant qu’il ait été une fois là derrière le désert sur ce sable sacré, où il aura rencontré Dieu face à face. Il a fait une expérience.

            Vous pouvez prendre tous les docteurs en théologie, ces intellectuels roublards, qui ont la parole facile, pour trouver une explication–trouver une explication convaincante de tout ceci et de tout cela. Mais lorsqu’on en arrive à marcher sur ce sable sacré où vous rencontrez Dieu face à face, il n’y a pas assez de docteurs en théologie ou pas assez de démons de l’enfer pour vous ôter cette expérience. Lorsque vous avez rencontré Dieu face à face quelque part, et que vous avez senti la puissance du changement d’une nouvelle vie entrer en vous, aucun démon de l’enfer ne peut vous ôter cela. Vous êtes une nouvelle créature, et vous avez fait l’expérience dans votre coeur.

            Vous direz: «Mais un instant, un instant, quelque chose est arrivé.» Voyez-vous? Vous avez eu quelque chose.

            Je me souviens que lorsque le surveillant général est arrivé il a dit: «Billy, tu dois avoir fait un cauchemar.»

            J’ai dit: «Si tel est le cas, voici ma carte de membre. J’ai rencontré Quelqu’Un qui m’a parlé. C’était la Vie pour moi.»

            J’ai dit: «Voici...»

            «Oh! a-t-il dit, n’aie pas de tels sentiments à propos.»

            J’ai dit: «Eh bien, c’est ce que je ressens de toute façon. Je ne peux pas être complètement lié ici et servir Dieu. Je vais Le servir carrément sans lien, juste Lui et moi ensemble.»

50        Bien, remarquez alors que nous clôturons. Les vents se sont mis à souffler, le vent empoisonné. Il y a beaucoup de vents qui soufflent aujourd’hui. On dit: «Les jours des miracles sont passés. La guérison divine n’existe pas. Le Saint-Esprit était pour un autre âge, il y a de cela deux mille ans.»

            Le jour de la Pentecôte, Pierre a dit: «C’est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Cela va aussi loin que ça. C’est à autant de gens que cela peut aller, mais, voyez-vous, ils ont quelque chose avec lequel ils voudraient se comparer au monde. Nous allons aborder cela plus tard.

            Et puis, les vents ont commencé à souffler. Et tout espoir pour un réveil était perdu. Tout était simplement terminé. La petite barque... était remplie d’eau; les rames étaient brisées. Et voici qu’ils basculaient, flottaient, étant ballottés là au gré des vagues comme le bouchon d’une bouteille sur une–une mer vaste. Et ils étaient là sans espoir d’atteindre encore la rive. Et ils avaient perdu tout espoir. Mais vous savez quoi? Il ne les avait pas abandonnés. Certainement pas.

            Il a gravi la colline la plus élevée qu’Il pouvait gravir, afin de pouvoir surveiller tout du long jusque de l’autre côté de la mer. Et Il a vu quand ils avaient des ennuis. Et Le voici venir vers eux en marchant sur les eaux.

            Frère, Il a fait la même chose pour nous. Il n’a pas seulement gravi la colline la plus élevée; Il a commencé à gravir la colline du Calvaire. Il est allé au mont Calvaire et de là Il a gravi les marches d’or, jusqu’à pénétrer tout droit dans l’éternité et Il s’est assis à la droite de Dieu. Il peut voir la–la fin dès le commencement. Son oeil est sur le moineau, et je sais qu’Il veille sur moi. Il veille sur vous. Il veille sur cette petite réunion. «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je serai au milieu d’eux.» Il cherche à trouver un endroit pour se manifester, pour faire quelque chose de glorieux, pour faire quelque chose pour vous aider, pour vous montrer qu’Il est ici. Il n’est pas mort. Il est encore vivant.

51        Chaque religion... Lorsque je me suis tenu là, cet après-midi-là, devant dix-sept religions différentes, j’ai dit: «Messieurs, chacun de vos fondateurs est mort et gît dans la tombe: Bouddha, Mahomet et tous les autres. Les sikhs, les jaïns, et tous les autres, vos fondateurs sont morts et ont été ensevelis depuis des centaines d’années, mais notre Dieu n’est pas mort.»

            Ils ont dit: «Eh bien, on L’a crucifié.»

            J’ai dit: «Mais Il est ressuscité.» J’ai dit: «S’Il prouve qu’Il est vivant, allez-vous Le recevoir?»

            «Oui. Si vous démontrez qu’Il est vivant.»

            Et c’est difficile. Je ne sais pas combien de milliers L’ont reçu, quand ils ont vu qu’Il était vivant.

            Il n’y a pas longtemps, le petit article concernant monsieur Graham, comme le journal était sorti après son départ, disait, on disait que monsieur Graham avait battu en retraite et n’avait pas voulu prier pour les malades là-bas, devant ce mahométan qui avait son enfant. Et il était dit: «Eh bien, oh, qu’en est-il de Durban, en Afrique du Sud, disait-on, lorsque William Branham était là-bas, et que dix mille mahométans sont tombés à l’autel en une fois?» Quand ils ont vu un homme qui était tellement affligé, il l’était à tous égards. On lui a dit qui il était, et d’où il venait, et tout à ce sujet, et il a été guéri, il s’est mis debout...?... même pas lorsque... Il n’était même pas dans son bon sens, il est revenu dans son bon sens. Et de grosses larmes tombaient sur son ventre noir; et il était guéri là. J’ai vu dix mille mahométans en une fois, et tous ensemble, trente mille incroyants sont tombés à la croix.

52        Il ne s’agit pas de construire des églises, mais de prêcher l’Evangile. Voilà la commission. C’est ça. Les églises, c’est bien; les écoles, c’est bien. Tous les médecins, c’est bien. Les hôpitaux, c’est... Je ne critique pas cela. Mais ce n’est pas ça le message de l’Eglise. Le Message, c’est: «Prêcher l’Evangile. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, dit Marc 16.» Nous y voilà.

            Bien, quand ceci est arrivé, les vagues ont commencé à déferler dans tous les sens. Et chose déplorable, comme c’est bien le cas aujourd’hui, lorsqu’ils L’ont vu venir, marchant sur les eaux, ils ont pensé que c’était un esprit. Ils ont pensé que c’était une espèce de fantôme. Et ils ont eu peur. La seule chose qui pouvait les secourir...

            Et, mes tendres amis, si ce n’est pas là la situation de ce jour, j’ignore cela. La seule chose qui peut aider les gens, les gens en ont peur. Ils disent: «Eh bien, c’est une bande de... Ça pourrait être des saints exaltés. Ça pourrait être le groupe des pentecôtistes qui parlent en langues. Cela pourrait être, vous savez, cela pourrait être du spiritisme. Cela pourrait être le diable.» Voyez-vous? Ils ont peur de la seule chose qui peut les secourir.

            Le voilà venir en marchant. Et–et ils ont vu que c’était... Ça semble être Lui, mais, oh! ils ont crié de peur. Ils pensaient que c’était une espèce d’esprit.

            Il a dit: «N’ayez pas peur; c’est Moi; c’est Moi.»

            Maintenant, si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, alors Il fera aujourd’hui la même chose qu’Il avait faite à l’époque et Il le fera éternellement. Est-ce juste?

            Inclinons la tête pendant que nous méditons sur cette Ecriture.

53        Notre Père céleste, alors que nous arrivons maintenant à la fin de ce petit message décousu, nous croyons que le Saint-Esprit va prendre ces paroles, et–et les faire pénétrer vigoureusement dans chaque coeur selon leur besoin. Puissent-elles pénétrer très profondément.

            Et ces gens sont assis ici sous ce toit où il fait très chaud, non pas pour être vus, mais ils sont venus parce qu’ils ont faim et soif.

            Maintenant, Père, je Te prie de leur accorder les bénédictions pour lesquelles ils sont venus. Qu’il n’en reste pas un seul qui soit malade ou affligé. Qu’il n’y en ait pas un seul qui ait un quelconque doute. Que le Saint-Esprit avec la Parole de Dieu, ici, ôte de leur pensée tout doute, parce que, Père, nous L’avons annoncée exactement telle qu’Elle est écrite. C’était le Messie, c’était Son signe. C’était Celui dont Il avait fait la promesse.

            Maintenant, Père, nous attendons qu’Il fasse la même chose ce soir comme Il l’avait fait en venant... Ceux d’Emmaüs, Il a marché avec eux toute la journée. Il les aimait, et Il leur a parlé, et leur a donné les Ecritures.

            Beaucoup sont assis ici ce soir. Quatre-vingt-dix pour cent de cet auditoire ont levé la main pour la première fois. Ils savent qu’il y a Quelqu’Un qui les a aidés. Quand je leur ai encore posé la question, ils ont levé la main; c’étaient des croyants chrétiens. Ils ont cru la chose.

            Maintenant, quand Cléopas et son ami, venant d’Emmaüs, s’entretenaient avec Jésus, sans savoir qui Il était, quand Il est entré à l’intérieur ce soir-là et qu’Il a fermé la porte, Il a fait quelque chose, exactement comme Il l’avait fait avant Sa crucifixion. Alors ils ont reconnu que personne ne pouvait faire cela comme Lui. A ce moment-là, ils ont reconnu que c’était là leur même Jésus, parce qu’après Sa résurrection Il a fait exactement la même chose qu’Il avait faite avant Sa résurrection. Et ils ont compris que c’était Lui. Il a disparu rapidement de leur vue, dès qu’Il a accompli le miracle.

            Mais ils ont vite couru dire à tout le monde: «En vérité, le Seigneur est ressuscité.» Et ils ont rejoint les autres qui avaient déjà été associés à la résurrection et qui L’avaient vu après la résurrection.

54        Je Te prie, Père, alors que ces précieuses personnes franchissent ces collines, jusque dans différentes villes, et jusque dans leurs maisons, puissent-elles parler ce soir. Et sur ma route vers mon camp, que je puisse–que je puisse être capable de dire avec ceux qui sont avec moi, comme les autres en ce temps-là: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous, lorsqu’Il nous parlait en chemin?»

            Viens ce soir, Seigneur Jésus. Nous nous approchons de la fin de temps. Ce grand Etat de la Californie, une grande partie de la population des Etats-Unis vient d’ici. Les modes sont envoyées à partir d’ici. Ô Seigneur, que Ton Saint-Esprit une fois de plus vienne jusqu’ici au milieu de ces gens du lac, beaucoup d’entre eux à Los Angeles et à différents endroits, Père, afin qu’ils sachent que le signe montre que le Messie est proche. Exactement comme la–la Pierre angulaire, exactement comme la Pierre faîtière sur la pyramide, Elle doit s’ajuster aux... les autres pierres doivent s’ajuster à Elle, sinon la Pyramide ne pourra jamais être coiffée.

            Il en est de même de la Venue du Seigneur Jésus. L’Eglise doit s’ajuster si bien que Christ et Son Eglise seront Un, lorsqu’Ils viendront. Ainsi, laissez Son Esprit être si prédominant, avoir la suprématie dans nos coeurs et dans notre réunion ce soir, afin que chacun reconnaisse qu’il s’agit de Toi. Et ils n’auront pas peur. Ils sauront que c’est Toi, parce que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Nous demandons ceci au Nom de Jésus. Amen.

55        Maintenant, nous allons appeler une petite ligne de prière. Nous sommes... J’ai pratiquement vu que tout le monde ici était chrétien. Et nous aurons des appels à l’autel au fur et à mesure que nous avancerons. En effet, la guérison divine n’est pas la chose principale; la guérison divine est secondaire. Mais quatre-vingt-six pour cent du ministère de notre Seigneur Jésus consistaient en la guérison divine. C’était pour montrer aux gens qui Il était.

            Bien, combien vont accepter que ce que j’ai prêché ce soir est scripturaire? Que c’est ainsi qu’Il s’est fait connaître? Et combien savent qu’Il a promis que dans ce dernier jour Il le ferait, qu’Il viendrait de nouveau et ferait la même chose dans les derniers jours, qu’Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»?

            Et combien croient dans la prescience de Dieu, à savoir qu’Il connaît les choses à l’avance et que l’élection, c’est par prescience? Et puis, au cours des âges, Dieu a eu un Martin Luther, Il a eu un John Wesley, Il a eu des hommes tout au long des âges. Dans ce dernier jour, Il doit susciter quelque chose, une Eglise, de sorte que Son ministère sera... Avec Martin Luther, c’était la justification par la foi; John Wesley a eu lui la sanctification, la seconde oeuvre de la grâce. Les pentecôtistes, eux, ont eu la restauration des dons. Maintenant, la chose suivante, c’est la Venue du Seigneur.

            Alors, ce don du message des parlers en langues, de l’interprétation des langues, et différentes choses que nous avons eues, eh bien, cela entre carrément dedans, au point que maintenant, cela se trouve là à l’heure où l’Eglise est minoritaire; en effet, ils vont en diminuant à partir de Wesley, de Luther, et ainsi de suite. Maintenant ils sont arrivés jusqu’à la Pierre faîtière. Eh bien, croyez de tout votre coeur.

            Maintenant, combien savent que Jésus a dit ceci: «Celui qui croit en Moi, fera aussi les oeuvres que Je fais.»? C’est juste. Voici ce qu’Il a dit: «Encore un peu de temps, et le monde (ça c’est l’ordre du monde) ne Me verra plus (ça c’est l’incroyant), il ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez (ça c’est le croyant), car Je (et Je est un pronom personnel), Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde.» Combien savent qu’Il l’a dit? Voyez-vous?

56        Bon, cela fait de Lui... Alors s’Il est ici... Si Jésus est ressuscité des morts, et qu’Il est ici sous la forme du Saint-Esprit, Il est tout ce qu’Il était, en dehors du corps de chair. Combien savent cela? Combien savent que Son corps de chair est assis à la droite de Dieu le Père dans la Gloire, faisant intercession, comme Dieu ne peut pas voir nos péchés et qu’Il regarde à travers le Sang de Jésus; le rouge à travers le rouge donne le blanc; nous le savons. Et à travers le Sang rouge de Christ, nos péchés rouges deviennent blancs. «Même si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige.»

            Et Il est assis là ce soir comme Souverain Sacrificateur, faisant intercession sur base de notre confession. Croyez-vous cela? Hébreux dit... Combien savent que la Bible dit qu’Il est maintenant même un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de notre infirmité? Très bien.

            Maintenant, s’Il est le même Souverain Sacrificateur qu’Il était, alors comment saurez-vous que vous L’avez touché, s’Il n’agit pas comme Il l’a fait quand Il était ici sur terre? S’Il–s’Il n’est pas le même... Vous pourriez dire: «Eh bien, alléluia, je L’ai touché.» Ça peut être vrai. Mais s’Il est toujours le même Souverain Sacrificateur, Il doit agir de la même façon en... Comment a-t-Il réagi quand Il a été touché ici sur terre?

            Une petite femme... Une fois, Il était en route pour aller ressusciter une petite fille qui était morte. Et Il a dit: «Je ne fais rien avant que le Père Me le montre premièrement.» Combien savent cela? Saint Jean 5.19: Il passait par la piscine de Béthesda, où il y avait une grande multitude de gens, des milliers d’estropiés, de boiteux, d’aveugles, des paralytiques. Il s’est frayé une voie à travers la foule jusqu’à ce qu’Il a trouvé un homme qui était couché sur un grabat, un peu comme ce petit homme là qui est couché là sur un grabat. Et Il a dit... Il a guéri cet homme, parce que la Bible dit que Jésus savait qu’il était dans cet état depuis trente-huit ans.

57        Or, il n’était pas aveugle; il n’était pas non plus estropié; il pouvait marcher. Il a dit: «Quand je descends, quelqu’un d’autre me devance.» Voyez-vous? Il pouvait–il pouvait... Il pouvait marcher. Il n’était pas aveugle, il n’était pas estropié, et il ne–il n’était pas hydrocéphale ni rien de ce genre. Il avait une maladie chronique, quelque chose comme la tuberculose, ou la prostatite, ou quelque chose de ce genre. Il... C’était chronique. Il en souffrait depuis trente huit ans; cela n’allait pas le tuer. Mais le Père avait montré à Jésus qu’Il devait aller là, et c’est ce qu’Il a fait.

            C’était la même chose quand Il est passé par la Samarie; il fallait qu’Il passât par la Samarie, Il ne savait pas ce qu’Il allait faire. Quand Il est arrivé là, Il les a envoyés et Il s’est dit: «Père, de quoi s’agit-il?» Comme Il attendait là, aussitôt voici venir cette femme. Il s’est mis à lui parler jusqu’à ce qu’Il a saisi son esprit et lui a dit ce qu’était son problème. Eh bien, c’était là Jésus hier.

            Maintenant, tout ce que je sais est que j’étais censé aller en Allemagne, et partout en Europe, en Asie, partout dans le monde, aller directement partout dans le monde, en Australie, et en Nouvelle Zélande, puis revenir. Il s’est passé quelque chose, je ne pouvais pas y aller d’après le gouvernement des Etats-Unis; je ne pouvais pas partir. Très bien. Alors, qu’ai-je fait? J’ai dit: «Frère Borders, allez là et préparez des réunions.»

            Aussitôt il m’a dit: «Eh bien, je suis allé par ici, puis par-là, et ensuite par-là.»

            J’ai dit: «Cela ne fait aucun problème pour moi; je n’ai aucune conduite spéciale.»

            Mais c’est le Père qui m’a conduit ici. Me voici. Je ne vous connais pas, je ne sais pas qui vous êtes. Maintenant, que va-t-Il faire? S’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il agira de la même façon, montrant qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, si c’est Lui qui m’a envoyé ici. Est-ce juste?

            Il est allé seulement vers cette seule personne là-bas, mais celle-ci est allée vers toute une ville et a amené toute la ville à croire. Voyez-vous?

58        Maintenant, cette femme alors que Jésus était en route pour aller ressusciter la fille de Jaïrus qui était morte... Eh bien, pendant qu’Il se rendait là, une petite femme... elle n’avait pas pu obtenir une carte de prière pour entrer dans la ligne, pour ainsi dire. Elle ne pouvait pas parvenir jusqu’à Lui, parce qu’une grande multitude L’entourait.

            «Bonjour, Rabbi, es-Tu le Prophète galiléen? Oh! Veux-Tu me dire... Veux-Tu accomplir un miracle pendant que Tu es ici avec nous? Combien de temps vas-Tu rester ici?» Et ainsi de suite comme cela.

            Mais cette petite femme, elle, avait une perte de sang depuis plusieurs années. Et elle a dit: «C’est un Homme de Dieu. Si j’arrive à toucher le bord de Son vêtement, je serai guérie.» Vous rappelez-vous l’histoire?

            Et elle s’est faufilée à travers les gens, pour se frayer difficilement un chemin. Et elle s’est approchée un peu plus. Peut-être que quelqu’un l’a repoussée. Et quelques instants après, elle s’est approchée suffisamment, et elle a touché Son vêtement.

            Eh bien, le vêtement palestinien est ample, avec un vêtement de dessous. Ainsi, Il n’a pas senti cela. Un instant, cela est donc prouvé.

            Et elle a touché Son vêtement. Elle s’est vite retirée puis elle s’est assise comme vous ou que sais-je encore. C’est possible qu’Il soit resté debout, je ne sais pas. Mais, toutefois, Jésus s’arrêta et dit: «Qui M’a touché? Qui M’a touché?»

            Eh bien, Pierre L’a repris. En d’autres termes, il a dit: «Qu’est-ce que Tu dis là? ‘Qui M’a touché?’ Pourquoi parles-Tu–Tu–Tu comme quelqu’un qui ne sait pas de quoi il parle? Eh bien, c’est tout le monde qui Te touche.»

            Il a dit: «Oui, mais ceci est un genre de toucher différent.»

            C’est le genre de toucher qu’il nous faut. Voyez-vous? C’est ce genre qu’il nous faut.

            Il a dit: «Quelqu’un M’a touché, parce que Je me suis affaibli.» Combien savent que c’est la vérité? Eh bien, il est dit qu’une vertu était sortie de Lui. Et la vertu, c’est la force. Il a dit: «Je me suis affaibli.»

            Et Il a parcouru du regard cette assistance-là jusqu’à ce qu’Il a découvert la petite femme, et Il lui a parlé, disant qu’elle avait une perte de sang, et Il lui a dit: «Ta foi t’a sauvée.» Est-ce juste?

            Elle L’avait touché, et cela L’a amené à se retourner et à lui parler. Or, s’Il est le même ce soir, un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités, si vous croyez vraiment de tout votre coeur et que vous le touchiez par la foi... Ôtez simplement toute incrédulité, les organisations, les dénominations, et ce qu’untel a dit à ce sujet. Eloignez-vous simplement de tout cela et dites: «Non, je crois qu’Il est le Fils de Dieu. Je–je suis malade, j’ai besoin de Lui», et–et si vous arrivez simplement à Le toucher, alors il vous arrivera quelque chose, comme cela était arrivé là-bas, si vous croyez cela. Allez-vous le faire, s’Il fait cela?

59        Maintenant, nous allons... Je pense que Billy a dit qu’il a distribué environ cinquante ou cent cartes de prière.

            Nous allons... Qui a la carte de prière numéro 1? Commençons par le numéro 1, mais si nous devons avoir le discernement, nous allons... Gardez simplement votre carte, si je n’arrive pas jusqu’à votre numéro ce soir.

            Prenons–prenons quelques-uns ici afin de voir ce que le Saint-Esprit fera à cause des gens qui sont ici en premier.

            Carte de prière numéro 1. Oh! Excusez-moi. Il a... Il a distribué à partir de 50, de 50 à 100? Je pensais qu’il avait dit: «De 1 à 100.»

            Très bien, qui a donc la carte de prière numéro 50, levez la main? Numéro 50. Très bien, 50, 51, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 60, de 50 à 60; levez-vous, de 60 à 65 aussi. Très bien. Qu’ils se lèvent, et qu’ils viennent par ici, s’ils peuvent se tenir debout. Si vous ne pouvez pas vous tenir debout, alors les huissiers viendront vous prendre pour vous amener ici, sinon levez la main et nous verrons. Qu’un petit nombre se tienne debout, quel que soit le nombre, et restez là à votre place, et puis nous allons...

           

            Mais maintenant, rappelez-vous, chaque personne ayant une carte de prière, si seulement vous voulez continuer de venir. Nous ne pouvons pas prendre tout le monde à la fois, mais nous allons parvenir à vous aussi vite que possible... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Voyez-vous?

60        Combien savent que Daniel, le prophète, avait eu une vision et qu’il eut l’esprit troublé pendant plusieurs jours? Voyons combien lisent la Bible. Evidemment. Eh bien, si une seule vision a affaibli Daniel, à votre avis comment est-ce que je m’en tire jour après jour, soirée après soirée, semaine après semaine, et année après année?

            C’est parce que Jésus a dit: «Vous ferez aussi les choses que Je fais, et vous en ferez davantage.» Or, le roi Jacques dit: «de plus grandes». Mais prenez la traduction araméenne originale, et vous verrez si elle ne dit pas: «Vous en ferez davantage.» En d’autres termes, Il... A l’époque Dieu était dans un seul Homme. Maintenant, Dieu est dans le monde entier. Il est partout, dans Son Eglise.

            Eh bien, nous savons que toute la plénitude de la divinité habitait corporellement en Jésus-Christ. Combien croient cela? Il était la plénitude de la divinité corporellement.

61        Maintenant, tout l’Esprit qui était en Lui serait comme ce lac-ci, toute cette eau, disons que toute l’eau qu’il y a dans le monde. Mais maintenant, vous et moi, nous avons juste une cuillerée d’eau de ce lac. C’est ça l’Esprit que nous avons en nous. Mais les mêmes éléments chimiques qu’il y a dans tout le lac sont dans la cuillerée. Voyez-vous? La même espèce, la même nature, mais pas la même quantité. Eh bien, c’est la même chose qu’il y a ici, pas la même mesure. Mais le même Esprit. Croyez-vous cela?

            Maintenant, juste pour faire en sorte qu’ils aient tous ces gens là-bas.

            Bien, demain soir... J’aimerais dire quelque chose pendant qu’il les apprête. Combien se souviennent du début de mon ministère, alors que j’étais à la côte ouest, je tendais ma main comme cela et les gens posaient leur main dessus et–et ils voyaient la chose avec leur propre main, ceux qui avaient des maladies, n’importe quel genre de microbe. Combien s’en souviennent?

            Maintenant, vous, les mêmes qui avez levé la main, combien se souviennent que j’ai dit aux gens que l’Ange m’avait rencontré et m’avait dit: «Si tu es sincère, et que tu amènes les gens à te croire, il arrivera que tu connaîtras le secret même de leur coeur.»? Combien savent que j’avais prophétisé cela? Voyez-vous? Le même groupe vient de lever la main. Très bien. Maintenant, cela est arrivé. Il l’a fait exactement tel qu’Il avait dit.

62        Maintenant, il y a quelque chose de nouveau qui arrive. Il revient carrément aux gens une fois de plus de prier pour les malades.

            L’autre jour, c’était l’automne dernier, une des choses les plus puissantes est arrivée. Je pourrais aborder cela demain soir (avant que je commence ce ministère de la prière des malades); c’est quelque chose d’extraordinaire, je n’ai jamais rien vu de pareil dans ma vie. Et Il m’a appelé encore pour que je prie pour les malades. Si vous saisissez le message, il s’agit du discernement.

            Bon, les visions, ce n’est pas simplement quelque chose consistant à vous imposer les mains les uns aux autres. Combien savent que les dons et les appels sont sans repentir? Assurément. Ce n’est pas quelque chose dont vous pouvez vous emparer.

            Quand vous naissez dans ce monde, vous naissez avec ces dons. Combien savent cela? Assurément que vous le savez.

            Moïse ne pouvait s’empêcher d’être Moïse, n’est-ce pas? Jésus ne pouvait s’empêcher d’être Jésus. Jean-Baptiste, sept cent douze ans avant sa naissance, Esaïe le prophète l’avait vu, et a dit qu’il était la voix de celui qui criait dans le désert. Dieu a dit à Jérémie: «Avant que tu ne sois formé dans le sein de ta mère, Je te connaissais, Je t’avais consacré, et Je t’avais établi prophète des nations.» C’est juste. Voyez-vous?

63        C’est quelque chose que vous avez dès votre naissance. Or, pour moi les visions... La première chose dont je peux me souvenir... je n’avais pas encore deux ans, je pense, quand j’ai eu ma première vision. Et il y en a eu des dizaines de milliers et pas une seule n’a été fausse (Voyez-vous?), partout à travers le monde. C’est seulement une confirmation que ce que je dis est la vérité. C’est Dieu qui témoigne que c’est la vérité. Jésus revient.

            Eh bien, ne... Nous ne... Eh bien, nous savons que Jésus reviendra en un jour où le monde sera endormi et sera devenu tiède. Combien le savent? Combien savent que ceci est l’âge de l’église de Laodicée? Les gens sont simplement tièdes, simplement... Eh bien, ils vont à l’église et disent: «Je suis membre de l’église.» C’est ce qu’il en est. Mais c’est là le moment où Il reviendra. Maintenant, réveillez-vous. Que doivent faire ces choses?

            Bon, je ne dis pas qu’Il le fera. Rappelez-vous. Je ne contrôle pas les visions; ce sont les visions qui me contrôlent. Bon, il y a ici des nouveaux venus qui n’ont jamais assisté à une réunion auparavant. Et j’aimerais vous demander quelque chose, mes frères. Avant que quelque chose n’arrive, je ne sais pas si cela arrivera ou pas. Mais si cela arrive, exactement comme le dit l’Ecriture, croirez-vous en Lui, croirez-vous en Lui pour votre guérison? Levez la main et dites: «Ô Dieu (comme ceci), je–je croirai cela.» Que Dieu vous bénisse.

            Maintenant, ces gens dans... Combien tout d’abord dans cet auditoire maintenant n’ont pas de carte de prière et veulent que Dieu les guérisse? Levez la main. Vous qui n’avez pas de carte de prière, mais qui voulez que Dieu vous guérisse. Très bien. Ayez simplement la foi. C’est tout ce qu’il vous faut faire: Avoir la foi, croire. Levez les yeux et regardez ceci, dites: «Seigneur, cet homme ne me connaît pas, mais permets que j’aie assez de foi pour toucher Ton vêtement. Et alors retourne-Toi, fais que cet homme... Permets que l’Esprit... Je sais qu’il ne peut pas s’agir de son esprit à lui; en effet, il ne me connaît pas. Mais permets que Ton Saint-Esprit en lui, s’il me dit la vérité, se retourne et me dise ce qu’Il avait dit à la femme qui avait touché Son vêtement.» Voyez ce qui arrivera. Essayez simplement. N’essayez pas cela; faites-le simplement.

64        Maintenant, combien ici... Combien sont dans la ligne de prière, au sujet de qui je ne sais rien, levez la main? Vous qui savez que je ne vous connais pas, levez la main. Tous, tout le monde. Très bien. Et vous là-bas que je ne connais pas...

            Maintenant, j’ai des amis ici. Je vois assis ici frère et soeur Palmer de la Géorgie. Et puis, quelque part là au fond il y a frère Fred Sothmann et frère Norman et... de l’Arizona. Je sais qu’ils sont ici. Ils sont ici quelque part dans la réunion. Je ne les vois pas, mais ils sont là.

            Et maintenant tous ces gens sont... Et cette femme, nous ne nous connaissons pas, n’est-ce pas, madame? Nous ne nous connaissons pas? Non. Oh! Vous étiez ici à la réunion lorsque j’étais venu auparavant. Mais pour ce qui est de vous connaître, je ne vous connais pas. Très bien.

            Combien ici ne m’ont jamais vu poser la main sur les gens pour voir la réaction sur la main? Faites voir votre main. Très bien. Nous allons simplement prendre quelques personnes comme cela.

65        D’accord. Venez ici un instant. Bon, je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vu de ma vie. Autant que je le sache, je... Probablement, après que j’ai été ici, j’ai vu un million de personnes depuis lors. Mais maintenant, ici... J’aimerais que vous... Tendez votre main. Bon, si c’est quelque chose comme une affliction, comme une maladie sanguine d’origine chimique, ou une infirmité, ou l’arthrite, ou quelque chose de ce genre, ça ce n’est pas un germe. Voyez-vous? Il faudra un germe, une autre vie.

            Combien savent que nous venons d’un germe, d’une seule cellule? Certainement. Nous venons de nos pères. L’hémoglobine vient du sexe mâle. La femme donne l’ovule. Mais ce petit germe... Et votre vie... Votre corps est constitué des germes, mais à l’origine cela venait d’un seul germe de votre père. Est-ce juste? Un autre type de germe s’est alors formé autour de cela. C’est ainsi que Christ était Dieu. Quand Dieu est descendu dans une cellule, dans le sein de Marie, et qu’Il est né pour nous sauver du péché, c’est là par cette cellule de Sang brisée que le monde a été sauvé.

            Bien, s’il s’agit simplement d’une affliction, cela devrait être vu d’une autre manière. Mais voyons si c’est une maladie microbienne. Si cela va... Voyez-vous? Il devrait y avoir un germe de mort sur elle pour la tuer. Et cela devrait produire une vibration si j’ai avec moi ici l’onction du Saint-Esprit. Oui, oui, c’est certain. Vous souffrez de l’estomac. C’est juste, n’est-ce pas? Levez la main si c’est juste. Voici de quoi il s’agit. Elle a des ulcères à l’estomac. Voyez-vous bien?

            J’aimerais vous montrer quelque chose. J’aimerais que vous regardiez ici ma main. Voyez-vous comment cette main est enflée, de petites choses blanches bondissent là-dessus, et la parcourent. Vous voyez? Maintenant, posez l’autre main ici afin que vous voyiez; retournez cette main-ci. Eh bien, ça a disparu, elle est simplement normale, blanche; elle n’est pas enflée, juste une main comme celle de tout homme, n’est-ce pas? Très bien, maintenant posez l’autre main juste dessus. Maintenant, regardez-la. Voyez-vous la différence avec elle, comment elle enfle? Voyez-vous ces petites choses blanches qui la parcourent? C’est ainsi que j’ai su ce qu’il en est de vous. C’est une vibration... [Frère Branham donne une illustration.–N.D.E.] un germe. Vous voyez?

            Bon, bon, voyez-vous? Ce n’est pas là où je tiens ma main. Vous voyez cela partout où ça se trouve.

66        Bon, qui a dit qu’il n’a jamais vu cela? Etait-ce vous, Frère Borders? Avez-vous vu cela? Il y a quelqu’un qui m’a dit qu’il n’a jamais vu cela et qu’il voulait voir cela. Et... Très bien, venez ici, Frère Folst. Combien connaissent ce gentleman-ci? Levez la main. Je pense que vous le connaissez tous; il est de cette ville.

            J’aimerais que vous observiez ici, Frère Folst. Voici comment je connais cela. Maintenant, écoutez. Vous n’avez jamais–jamais vu ce ministère opérer? Très bien. Eh bien, l’autre soir... Je ne peux pas porter une montre-bracelet ici. J’avais une Longines d’une valeur de deux cents dollars, qui m’avait été offerte par le... ici, elle est tombée en morceaux à la–à la chaire. Puis l’autre soir, j’avais une Vulcain Cricket d’une valeur de trois cents dollars, qui m’avait été offerte là-bas. Et là, l’autre soir, au cours de la réunion... Combien étaient là cet après-midi-là alors que je... Ici à Klamath Falls, une Vulcain Cricket d’une valeur de trois cents dollars est tombée de mon bras. Ses aiguilles se sont détachées, la tige s’est arrachée, et elle est tombée juste en tenant la main de quelqu’un comme cela. Pourquoi? Je ne puis vous le dire. Je ne sais pas. Mais on ne peut pas garder une montre au bras.

            Maintenant, regardez. Je veux que vous regardiez ma main. Vous voyez, vous voyez? Prenez la main de cette femme. Juste la main droite ou plutôt je veux dire la main gauche: juste la même chose. Maintenant, regardez quand j’ai pris cette main ici. Il y a...?... Voyez comment elle enfle; voyez-vous ces petites choses blanches qui bondissent dessus?

            Bon, voyez-vous? Eh bien, s’agissait-il de prendre sa main droite? C’est ce qu’Il m’avait dit: «Leur main droite avec ta main gauche.» C’est elle, avec sa main droite, me promettant la foi; c’est juste. Et je l’ai tenue avec ma main gauche, gardant mon autre main levée vers Dieu. Voyez-vous? Eh bien, cela ne marche pas autrement. Bon, vous pouvez voir cela. Regardez ici, frère. Regardez ici, voyez-vous? Je pose ma main sur la sienne. Voyez-vous? Là où ça se trouve, voyez-vous, c’est exactement la même chose. Voyez-vous? Maintenant, posez simplement cette main ici. Maintenant, observez ce qui arrive aussitôt que je prends sa main. Et voilà! Voyez-vous, comment cela se déclenche. C’est exactement comme prendre une grande quantité comme cela, comme du courant dans votre main. Ces petites choses blanches... Voyez-vous? Eh bien, tenez-vous vraiment tranquille. Maintenant, cela révèle ce que c’est. Voyez-vous?

67        Eh bien, cela décèle la chose. Maintenant, cela va-t-il partir? Eh bien, soeur, vous êtes... croyez-vous maintenant? Me croyez-vous sincèrement? Très bien. Maintenant, je veux que tout le monde soit révérencieux. Et je veux que vous incliniez la tête. Maintenant, je veux que ces–ces deux hommes-ci se tiennent ici où je me trouve. Maintenant, je veux que vous remarquiez, frères. Voyez-vous? Afin que vous voyiez qu’il ne s’agit pas de la position, là où je tiens ma main, voyez-vous, qui fait que ces choses blanches sillonnent la main et la rendent ainsi. Voyez-vous?

            Maintenant, vous voyez clairement cela, n’est-ce pas, soeur? Voyez-vous très bien l’endroit dont je parle? Voyez-vous comment ça enfle et devient blanc, voyez-vous, et des toutes petites choses blanches se forment? Et vous voyez, pour vous montrer qu’il se passe quelque chose, cela reconnaît ce qui ne va pas en vous. Et c’est exactement la vérité. Voyez-vous? Maintenant, vous voyez quelque chose. Eh bien, observez–observez ici. Je pose la main sur la mienne. Voyez-vous? Voyez-vous? Et voilà ça apparaît. Voyez-vous? Dès qu’elle me touche là, cela commence.

            Maintenant, je vais... Je sais que vous êtes tous les deux des chrétiens. Bon, rappelez-vous que lorsque ces choses apparaissent... Je vais essayer de réprimander cela. Voyez-vous? Et si cela apparaît... Or, la Bible dit que quand ils... Lorsqu’un homme essaya un jour de chasser un démon, et vous savez ce qui arriva. Ainsi donc, quand il sort, il sera en liberté; il fera n’importe... il ira vers n’importe qui. Et c’est la gastrite.

            Maintenant, j’aimerais que vous qui êtes dans l’auditoire, vous gardiez la tête inclinée. Et voici ici debout trois témoins. Maintenant, je ne veux pas que vous, que vous montiez ici. Voyez-vous? Voyez-vous, des fois cela touche l’incroyant. Voyez-vous? Puis, la réaction vient de l’assemblée vers moi. Voyez-vous? Mais je–je vous connais tous, et je viendrai vers vous. Voyez-vous? Très bien.

            Maintenant, observez. Je vais simplement maintenir ma main juste ici. Voyez-vous, voyez-vous? Maintenant, observez bien. Et vous aussi, madame, observez la main.

            Maintenant, nous allons prier. Que chacun prie avec moi. Maintenant, eux vont observer. Eh bien, je ne... Jésus a dit: «En Mon Nom, ils chasseront les démons.»

            Eh bien, si cela s’arrête immédiatement, ne déplacez pas du tout ma main, si cela s’arrête et devient comme cette main-là, il n’y a aucun problème. Dans le cas contraire, alors je n’y peux rien. Maintenant, prions.

68        Père céleste, afin que Ton Nom soit glorifié, nous ne cherchons pas de miracles, mais, Seigneur, ces ministères sont en train de croître. Jésus revient bientôt. Je Te prie d’être miséricordieux envers notre soeur et de la guérir. La voici, elle est âgée, et elle n’arrive pas à manger. Et, Seigneur, c’est une chose vraiment horrible. Et la dernière fois ici, Tu as guéri une femme mourante, et qui souffrait de la même maladie, seulement c’était pire.

            Maintenant, Père, je Te prie de la bénir et de la guérir au Nom de Jésus.

            Maintenant cela... Maintenant, je n’ai pas encore ouvert les yeux, mais que les frères me le disent. Cela se trouve toujours là comme avant, est-ce juste? Cela n’a pas quitté. Cela n’a pas quitté. Maintenant, il nous faut venir avec autorité pour chasser cela. Maintenant, nous ne demandons pas au Père. Vous tous, comprenez que je ne demande pas au Père de faire un miracle; en effet, c’est une génération méchante et adultère qui cherche des miracles, mais c’est pour que vous sachiez qu’Il est toujours le Guérisseur.

            Maintenant, regardons encore. Soyons très–très... Soyez en prière, chacun de vous, voyez-vous, et soyez couvert par le Sang.

            Maintenant, Père céleste, ces hommes regardent. Cette femme regarde comme témoin. Je prie pour la femme. Sans doute qu’on a plusieurs fois prié pour elle. Mais, Dieu notre Père, s’il y a quelque chose dans sa vie qui n’est pas correcte, alors, Père, ôte cela. Voyez-vous?

            Maintenant, si quelque chose garde... ou plutôt garde cet esprit... Si Tu dois le faire partir, si cela devait revenir... en effet, nous savons qu’il ira se promener dans des lieux arides pour revenir, si c’est possible. Mais si elle voit certainement toute cette vérité et toute cette évidence, elle croira de tout son coeur. Et je Te prie d’être miséricordieux.

            Pendant que ces gens regardent, les yeux de deux hommes et d’une femme regardent tout droit ma main pendant que mes yeux sont fermés.

            Satan, toi esprit impur qui voudrais ôter une pauvre vieille femme comme celle-ci et la maltraiter méchamment, eh bien, tu es méchant. Tu n’as aucune autorité pour la garder. Elle est une chrétienne. Et je viens au Nom de Jésus-Christ m’opposer à toi. Et je viens témoigner d’un don de guérison divine pour prier pour les malades, un don que j’ai reçu par la commission d’un Ange, il y a quatorze ans, et Il m’a parlé d’autres dons qui allaient venir. Tu en es conscient. Je t’adjure par le Dieu vivant de sortir de cette femme. Quitte-la, sors d’elle, que cela ne la dérange plus, au Nom de Jésus-Christ.

69        Maintenant, frères, je n’ai pas encore déplacé ma main, mais maintenant c’est parti, n’est-ce pas? Est-ce que c’est parti, avant que j’ouvre mes yeux? Très bien, vous pouvez relever la tête.

            Bon, bon, regardez ici, chère soeur. Posez cette main ici. Voyez-vous comment elle est? Maintenant, voyez-vous comment elle est? Exactement comme... Voyez-vous? Vous voyez, très exactement. Bon, il s’est passé quelque chose, n’est-ce pas? Votre gastrite est partie. Vous êtes délivrée. Rentrez chez vous et réjouissez-vous, soyez heureuse, et remerciez le Bien-Aimé Seigneur pour votre guérison. Très bien. Que Dieu vous bénisse, soeur. Très bien.

            Croyez-vous de tout votre coeur?

            Maintenant, voyons ce qu’il en est de cette soeur-ci. Sommes-nous inconnus l’un de l’autre? Nous le sommes. Très bien. Maintenant, que tout le monde soit révérencieux. Nous allons prendre notre temps, afin que vous ayez confiance, lorsque viendra le temps pour qu’on prie pour vous. Comme ces gens dans la Bible, ce soir, eux ont eu confiance.

            Jésus a dit: «Si Je fais les oeuvres de Mon Père, alors croyez les oeuvres.» Voyez-vous?

70        Maintenant, permettez que je prenne votre main un instant. Eh bien, vous souffrez un peu d’une maladie gynécologique, mais ce n’est pas vraiment pour ça que vous êtes là. Voyez-vous? Un instant. Maintenant, cela doit venir par une vision. Oui, il s’agit du diabète, du diabète sucré. Si c’est juste, levez la main. Voyez-vous? Cela ne s’est pas manifesté ici. Elle souffre un peu d’une maladie gynécologique, mais ce n’est pas tellement pour ça, parce qu’elle ne s’en serait vraiment pas rendu compte. Mais il s’agit du diabète.

            Maintenant, voyez-vous? Il y... Cela ne s’est pas manifesté, parce que c’est chimique. Le diabète, vous voyez, c’est–c’est chimique; il s’agit de sucre dans le sang.

            Maintenant, si le Seigneur Jésus peut se tenir ici et me dire ce qui ne va pas en vous, exactement comme Il a dit à la femme au puits son...?... Est-ce le même Jésus? Croyez cela. Maintenant, prions.

            Notre Père céleste, nous venons au Nom du Seigneur Jésus demander que cette chose méchante quitte notre soeur. Puisse-t-elle s’en aller et en être libérée et être rétablie, au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Maintenant, la prière de la foi sauvera le malade. Dieu le relèvera. Partez maintenant. Que Dieu soit avec vous. [Une soeur dit: «Cela guérira aussi mes yeux?»–N.D.E.] Que dites-vous? [Cela guérira-t-il aussi mes yeux?] Oh! Assurément, c’est ce qui est à la base de cela, vous voyez? C’est juste...?... Que Dieu vous bénisse, soeur. Très bien.

71        Approchez, mademoiselle. Sommes-nous inconnus l’un de l’autre? Très bien. Maintenant, voyons votre main, cette main-ci de ce côté. Vous êtes normale. Oui, oui. Maintenant, il faudra une vision pour elle. Voyez-vous?

            En d’autres termes, mon premier ministère... Combien savent que par mon premier ministère, je ne saurais jamais ce qui ne va pas chez cette femme? Voyez-vous? En effet, il n’y a pas de vibration.

            Maintenant, voyons un instant. Croyez-vous que je suis Son prophète? Ou plutôt, croyez-vous–vous que ce que j’ai enseigné ce soir est la vérité? Je suis Son serviteur. Oui, troubles cardiaques. Eh bien, croyez-vous que Dieu peut guérir ces troubles cardiaques? Croyez-vous que–qu’Il rétablira votre coeur? Vous n’êtes qu’une jeune fille, nerveuse. Maintenant, s’Il guérit cela, allez-vous Le glorifier pour cela? Inclinons la tête juste un instant.

            Notre Père céleste, nous demandons maintenant qu’au Nom de Jésus-Christ, la puissance de Dieu vienne sur cette jeune fille, et qu’elle soit guérie alors que je lui impose les mains. Les gens [Espace vide sur la bande–N.D.E.] sont conscients, Seigneur... [Espace vide sur la bande] que notre...

72        [Espace vide sur la bande.] encore, donc c’est la première fois ici. Très bien. Maintenant, voici un homme que je n’ai jamais vu. C’est un homme. Bon, un homme du nom de Simon Pierre est allé auprès du Seigneur Jésus. Vous rappelez-vous l’histoire sur laquelle j’ai prêché ce soir? Très bien. Bon, et Jésus a enseigné... Il l’a regardé alors qu’il était assis là sur ce tronçon de bois. M’avez-vous entendu quand j’ai prêché ce soir?

            Il a dit: «Ton nom est Simon, le fils de Jonas.»

            [Espace vide sur la bande]

            Eh bien, ce Jésus vit-Il encore? L’auditoire croit-il cela? Très bien. Si ce Jésus vit et si je suis Son vrai témoin, alors je pourrai... Je m’abandonne par un don. Maintenant, si vous dites: «Guéris-moi.»

            Eh bien, Il dirait: «Je l’ai déjà fait.» Combien croient qu’Il l’a déjà fait autrefois là au Calvaire, lorsqu’Il est mort pour vous? Il a été blessé pour vous. Assurément.

            Mais maintenant, afin que vous soyez certains qu’Il est vivant ici pour confirmer Sa Parole, Il pourrait dire quelque chose comme Il l’avait dit à Pierre ou à l’un d’eux. Il vous dirait quelque chose là-dessus. Cela... Si Dieu me dit ce qu’est votre problème... Maintenant, voyons s’Il va le faire.

73        Croyez simplement que je suis serviteur de Dieu. Très bien. Il dit: «Il sait qu’Il le fera.» Assurément, il s’agit de votre nez. C’est juste. Il s’agit là de votre nez. Maintenant, si c’est juste, levez la main.

            Eh bien, quelqu’un dit: «Eh bien, j’ai saisi cela.»

            N’ayez donc pas de telles pensées. Ne faites pas cela, cela constitue une entrave pour vous. Voyez-vous? Je n’ai pas du tout deviné cela. Ce n’était pas de la divination. Voyez-vous? Non, un instant. Il semble être un très brave homme. Restez tranquille un instant. Restez tranquille, monsieur. Oui, monsieur. Il s’agit de son nez. Il a une espèce de petit quelque chose qui pousse à l’intérieur. Il a subi une opération pour cela. C’est juste. Oui, monsieur. Il a subi une opération, et c’est–c’est comme si ce truc revient. C’est une espèce de... c’est comme une grosseur ou un abcès dans le nez. C’est juste. Il semble que cela ne fait pas de bien. C’est juste, n’est-ce pas? Ça ce n’est pas deviné.

            Laissez-moi vous dire quelque chose. Je vois apparaître une femme; c’est votre femme. Elle est à la maison. Vous croyez que... Elle est en prière; elle est malade. Croyez-vous que Dieu peut me révéler son problème? Elle souffre des troubles cardiaques et de l’arthrite. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? Monsieur Boggs, vous pouvez rentrer chez vous et être en bonne santé. Jésus-Christ vous rétablit si vous croyez cela. Croyez.

74        [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Nous ne nous connaissons pas, soeur? Vous avez été dans... Mais je veux dire là dans le... Je ne... Je... Vous ne m’avez jamais vu personnellement. Je ne vous ai jamais vue. Mais si le Seigneur Jésus... Voici une femme... Si le Seigneur Jésus peut me révéler quelque chose à votre sujet, comme un homme et une femme, comme Lui et la femme au puits... C’était un Homme là-bas.

            Maintenant, comme la femme au puits, s’Il peut me révéler quelque chose à votre sujet, dont vous êtes sûre que j’ignore, la raison pour laquelle vous êtes ici... Il se peut que ça soit pour quelqu’un d’autre, il se peut que ça soit des problèmes d’argent, il se peut que ça soit un problème de ménage. Il se pourrait que vous soyez malade. Je ne sais pas, mais s’Il me le révèle, croirez-vous en Lui de tout votre coeur? Chaque femme ici présente croira-t-elle de tout son coeur? Très bien. Que le Seigneur l’accorde.

            Cette dame qui est assise juste ici et qui a des varices, croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablira? Vous étiez en prière, n’est-ce pas? Très bien. Qu’a-t-elle touché? Elle a touché le Souverain Sacrificateur, Jésus-Christ.

            J’ai vu une femme debout ici devant moi, quelque chose comme pratiquement du sang sortant de ses veines; ce n’était pas cette femme. Elle était un peu plus forte que cette femme-ci. J’ai regardé, et je me suis dit: «Où c’est?» Et j’ai regardé et j’ai vu cette Lumière. Combien ont vu la photo de cette Lumière? Très bien. Elle se tenait au-dessus de cette femme-là, tournoyant, et je l’ai vue, elle; c’était ça son problème. Voyez-vous? Certainement. Si vous pouvez croire...

            Vous qui êtes assis là avec votre mouchoir en main, et qui souffrez de ce rhume des foins, croyez-vous que Dieu va vous rétablir aussi? Très bien. Qu’avez-vous touché?

            Eh bien, ça, ce n’est pas une maladie. Je vois que vous brûlez...?... vous éternuez, et cela continue. Voyez-vous? Ayez simplement la foi; vous serez aussi rétabli. Croyez-vous en Lui de tout votre coeur?

75        Vous avez une tumeur dans le dos. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Est-ce juste? Croyez-vous que Dieu peut ôter cela? D’accord?

            Notre Père céleste, je Te prie de bénir cette femme et de la rétablir alors que je la bénis au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez partir. Que le Seigneur vous bénisse. L’Esprit est encore dans la salle.

            Vous qui êtes assise là, souffrant des hémorroïdes, pensez-vous que Dieu va vous rétablir? Vous pleuriez, priant: «Seigneur, permets qu’il touche... Permets qu’il m’appelle.» Si c’est juste, agitez la main de part et d’autre comme ceci, vous qui êtes assise là. Voyez-vous? Comment ai-je su ce pourquoi vous étiez en prière?

            Ne comprenez-vous pas que Jésus-Christ est ressuscité des morts? Qu’a-t-elle touché? Le même Souverain Sacrificateur que cette petite dame à la–la perte de sang avait touché.

            Je ne connais pas cette femme, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Mais elle est assise à vingt yards [18 m] de moi, et elle L’a touché. Il s’est retourné et a dit: «Regarde là-bas.» J’ai vu Sa Lumière là au-dessus, et j’ai vu de quoi elle souffrait. Et voilà. Cette femme va se rétablir. Elle sera en bonne santé. Si seulement vous croyez...

            Maintenant, chacun de vous. Je demande à votre foi au Nom de Christ, partout, de croire cela. Très bien.

            Vous et moi sommes inconnus l’un de l’autre? Je pense que c’est la première fois que nous nous rencontrons. Maintenant, soyez révérencieuse, juste un instant.

            Si le Seigneur Jésus me révèle quelque chose à votre sujet, dont vous êtes sûre que j’ignore, cela vous amènera-t-il à croire pour ce que vous... Cela amènera-t-il aussi l’assistance à croire?

            C’est l’arthrite. Vous souffrez de l’arthrite. Si c’est juste, levez la main. Afin que cela éloigne de vous l’idée selon laquelle c’est l’oeuvre de la divination, voyez-vous, vous avez quelque chose à l’esprit qui vous dérange très–très sérieusement. Maintenant, si le Seigneur me révèle cela, allez-vous me croire de tout votre coeur? Il s’agit de votre mari. Il n’est pas ici. Il n’est même pas dans cette ville. Il est dans une autre ville appelée Ukiah ou quelque chose de ce genre. Il souffre d’une maladie qui tue. C’est appelé la maladie de Parkinson–de Parkinson. C’est juste. Vous êtes aussi accompagnée de quelqu’un ce soir pour qui vous voulez qu’on prie. Il s’agit d’un jeune petit-fils. Il souffre des yeux. Votre nom est madame Zigler. Très bien. Vous pouvez partir, croyez de tout votre coeur et vous pourrez avoir ce que vous demandez.

76        Si vous pouvez croire... Croyez-vous maintenant de tout votre coeur? Maintenant, regardez. Afin que vous soyez sûrs. Juste... Je vais prendre cette dame. Posez simplement votre main sur la mienne, madame. Vous... Si le Seigneur me révèle votre problème, me croirez-vous? Alors vos troubles cardiaques sont terminés. Partez, en croyant, et soyez en bonne santé. Ayez foi en Dieu. Croyez de tout votre coeur.

            Suivez attentivement ça. Croyez-vous que votre arthrite va vous quitter? Très bien, très bien, continuez, poursuivez votre chemin en disant: «Merci, précieux Jésus.» Oui, madame. Croyez simplement de tout votre coeur.

            Qu’en serait-il si je ne vous disais rien, que je vous imposais simplement les mains, croirez-vous que vous seriez guéri? Au Nom de Jésus-Christ, partez et soyez en bonne santé. Amen. Ayez foi maintenant.

            Vous souffrez de la nervosité. Ne croyez-vous pas que Dieu puisse vous guérir et vous rétablir? Partez en croyant qu’Il l’a fait. Il vous rétablira.

            Croyez-vous que ce dos a été guéri lorsque vous montiez les marches? Continuez simplement votre chemin, en disant: «Merci, Seigneur», et soyez en bonne santé.

            Combien là croient de tout leur coeur? Etes-vous sûrs que Jésus est toujours vivant?

            Maintenant, êtes-vous convaincus? Etes-vous certains? Voici ma Bible sur mon coeur. Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela?

            J’ai lu dans la Bible ici qu’Il le fait... Il l’a promis. Il l’a fait hier. Il le fait aujourd’hui. Bon, pour ce qui est de la guérison, votre guérison a déjà été acquise dans le Sang. Croyez-vous cela? Il était blessé pour nos péchés. Par Ses meurtrissures, nous avons été guéris (au temps passé). Mais Il confirme Sa Parole en étant ici pour que vous sachiez qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Vous tous, croyez-vous cela de tout votre coeur?

77        Maintenant, combien de croyants y a-t-il ici? Levez la main. Maintenant si Dieu tient une Parole, Il tient toutes les Paroles. Est-ce juste?

            Maintenant, a-t-Il dit ceci: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, ceux-ci seront guéris»?

            Combien croient cela? Très bien. Alors vous êtes tous des croyants. Maintenant, imposez-vous les mains les uns aux autres. Posez les mains les uns sur les autres. C’est juste. Voilà. C’est comme ça que cela marche, que cela arrive. Ne savez-vous pas qu’Il est ici? Imposez-vous les mains les uns aux autres. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris».

            Voici les miracles qui accompagneront qui? Le croyant, le croyant. Maintenant, priez pour la personne à qui vous avez imposé les mains. Ne priez pas pour vous-même. Priez pour la personne à qui vous avez imposé les mains.

78        Notre Père céleste, nous T’apportons cette assistance, au Nom de Jésus-Christ, sur laquelle le Saint-Esprit se trouve ici maintenant, rendant témoignage, déversant Sa Présence, permettant que tout le monde sache qu’Il est ici, qu’Il n’est pas mort, qu’Il est vivant à jamais, et qu’Il est capable de secourir ceux qui viennent à Lui, de leur accorder la guérison.

            L’assistance est consciente qu’il y a un Etre surnaturel au milieu d’elle ce soir, le Saint-Esprit qui révèle le secret du coeur, pour montrer que la Venue du Seigneur Jésus est proche. Ces croyants ont posé les mains les uns sur les autres. Ils croient.

            Dieu notre Père, Tu as rendu témoignage que Tu es ici. Ecoute-moi, Seigneur. Je chasse tout esprit d’incrédulité. Que cela quitte cette salle. Que cela s’éloigne des gens, la seule chose qui peut les empêcher d’être guéris.

            Satan, tu as perdu la bataille. Tu es exposé, tu es exposé ici ce soir. Je t’adjure au Nom de Jésus, le Fils de Dieu, sors de cette assistance, sors de ces gens, alors qu’ils ont les mains posées les uns sur les autres. Je leur donne leur guérison au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu.

            Gardez vos mains les uns sur les autres. Continuez de croire, d’avoir la foi. Et pendant que la puissance de Dieu vient sur vous, tenez-vous alors debout et rendez gloire à Dieu. Très bien, Frère Folst.

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