Montre-Nous Le Père Et Cela Nous Suffit

Date: 60-0731 | La durée est de: 1 heure et 40 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          Restons debout juste un moment pour la prière, alors que nous inclinons la tête.

            Très Bienveillant Saint Père, alors que nous nous approchons de Ton Trône divin de grâce, nous nous tenons dans les ombres de Ta justice. Nous voudrions Te demander, Seigneur, que, par Ta grâce, Tu daignes bien nous pardonner nos péchés et nos offenses. Nous désirons la miséricorde. Ne nous juge pas selon nos vies et nos oeuvres. Ne nous traite pas selon Ta justice, mais accorde-nous Ta miséricorde.

            Et Père, nous Te prions de faire en sorte que l’on se souvienne longtemps de cet après-midi, à cause de Ta Présence. Nous Te remercions pour ce que Tu as fait ce matin partout dans la ville, à travers la vallée et dans le monde entier. Nous Te prions, ô Dieu, de continuer à être avec nous et de nous accorder Ta grâce et Ta miséricorde jusqu’à ce que Jésus vienne. Bénis les Paroles qui vont être lues et les–les commentaires qui seront faits sur Ta Parole. Que Ton Esprit soit dans tout ce que nous faisons ou disons. Guéris les malades et les affligés.

2          Et nous n’oublions pas, Seigneur, les convalescents, ceux qui ne peuvent pas venir. Nous prions que le Saint-Esprit se tienne à côté de leur lit cet après-midi, alors que beaucoup ici dans la salle portent des fardeaux pour eux, puissent-ils être guéris.

            Quand la vie sera terminée et que nous nous tiendrons dans Ta Présence, nous nous prosternerons humblement pour Te remercier et Te rendre toute la gloire. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3          C’est un grand plaisir de venir parler à un auditoire au Nom du Seigneur Jésus, en ayant cette assurance qu’Il–Il ne nous délaissera ni ne nous abandonnera jamais; Il sera avec nous dans chaque épreuve que nous traverserons. Et juste une humble foi pour croire en Lui, pour L’accepter comme notre Sauveur, et croire en Lui pour tout ce dont nous avons besoin dans la vie...

            Je sais qu’il fait terriblement chaud cet après-midi, mais vous serez surpris de voir combien ici c’est différent de ce qui se passe au Congo belge, où les gens viendraient, et là en Afrique du Sud. Ils viennent un matin, et ils s’asseyent par terre pendant toute la journée sous ce soleil ardent et brûlant, pas juste pour un jour, mais ils attendent là deux ou trois semaines mon arrivée dans le pays. Ils traversent les jungles, transportant leurs bien-aimés sur des planches et tout. Quand un lion surgit, ils les hissent dans un arbre et ils attendent peut-être un jour ou jusqu’à ce que le lion s’en aille, ensuite ils redescendent. Peut-être ils avanceront un petit peu, ils chercheront un cours d’eau pour se désaltérer et un crocodile attrapera l’un des enfants, mais ils continueront leur marche. Voyez-vous? Ils feront un deuil de quelques heures, et ils comprendront que c’est fini, et ils iront de l’avant. Voilà les gens, ils s’en fichent de la chaleur. Ils cherchent à trouver la Vie. Voyez-vous? Ils cherchent à trouver Quelque Chose qui donne la paix et qui surpasse toute intelligence.

4          Et cet après-midi, restons aussi... vraiment loyaux dans notre esprit pendant que nous sommes assis cet après-midi. Je sais qu’il fait chaud, mais nous ne pouvons pas contrôler le temps. Il faut que nous ayons un temps chaud pour produire les fruits et ainsi de suite. Dieu sait comment tempérer le climat de Sa terre pour–pour qu’elle produise l’abondance qui nous permet de vivre. Et si nous n’avions que la pluie, et l’ombre et ainsi de suite, nous mourrions de faim. Nous sommes donc très reconnaissants d’être ici. Et je vois que les gens ont des éventails en main, si donc vous avez de l’électricité, eh bien, ce sera alors en ordre, cela va aider à avoir un petit rafraîchissement.

5          Maintenant, approchons-nous de la Parole en prenant Saint Jean, chapitre 14. Nous commençons demain soir, le Seigneur voulant, je souhaite prêcher sur une série de sujets pour édifier la foi, si possible. Dieu m’aidera. Je désire essayer d’édifier la foi pour les prochains services, la semaine prochaine. Essayez, si vous le pouvez, je sais que beaucoup d’entre vous travaillent, et c’est difficile de sortir. Je ne–je ne suis pas tenu de... désire dire ceci pour que vous veniez, juste... bien des fois ces choses sont exprimées, je ne le souhaite pas, je n’ai jamais été ici...

            Bien des fois, les gens veulent avoir de grandes foules pour avoir des offrandes. Bien des fois, ils veulent avoir de grandes foules à cause de l’effet psychologique que cela a sur les gens, qui peut... Beaucoup de gens disent: «Eh bien, je ne veux pas prêcher, à moins qu’il y ait une grande foule.»

6          Moi, j’ai prêché à de grandes foules et à de petits groupes. Cela ne change rien. Je venais de tenir un réveil dans une église de vingt personnes. C’était donc pitoyable, dans une température en dessous de zéro, et ils étaient à l’extérieur. Mais ce dont j’ai besoin, ce n’est pas l’argent; nous devons supporter les frais, c’est tout ce qui vous est demandé. Je–j’aurais souhaité pouvoir les supporter moi-même; je ne demanderais pas cela.

            Et je–je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie. Je me souviens qu’une fois, j’étais... J’étais fauché. Combien savent ce que ça veut dire?

            Mon épouse est assise ici cet après-midi; d’habitude elle devient... elle est plutôt un peu timide. Elle m’a regardé quand j’ai dit ça, mais je revenais juste de... Je travaillais. J’ai été pasteur du Tabernacle à Jeffersonville pendant dix-sept ans, et je n’avais jamais eu un seul centime comme salaire. A part cela, je plaçais l’argent que je pouvais économiser dans les offrandes, et je payais toujours mes dîmes et ainsi de suite.

7          Mais je suis entré, et nous n’avions vraiment pas assez d’argent pour continuer à tenir. Et je lui ai parlé disant: «Tu sais quoi, chérie? Je vais prélever une offrande ce soir.»

            Elle a dit: «J’aimerais certainement être là pour t’y voir.» Et ainsi, elle s’est assise au fond. Eh bien, les gens étaient disposés à donner cela. C’était à l’époque de la guerre et ainsi de suite, et... ou... juste avant la guerre. Et ainsi, elle–elle savait donc que les gens donneraient cela. Ils–ils rationneraient leurs enfants à table pour m’aider. Mais je–je–j’avais compris cela, et je ne veux jamais abuser de quoi que ce soit comme cela.

            J’étais donc jeune, je travaillais; j’étais là où je pouvais travailler, et j’étais patrouilleur, je faisais quelque trente miles [48 km] par jour à pieds, à travers les bois et ainsi de suite, c’était pénible, et je gagnais quarante-cinq cents l’heure.

8          Et alors, je–je suis allé prélever l’offrande, et je n’oublierai jamais cela, j’avais un vieil ami à moi, j’ai dit: «Les amis, je suis un peu dans le besoin ce soir.» J’ai dit: «J’ai besoin d’environ 5 dollars.» J’ai dit: «J’ai une facture qui arrive à échéance; je n’arrive pas du tout à m’en sortir.» J’ai dit: «J’ai d’autres choses.» J’ai dit... Nous n’avions pas de plateau de collecte dans l’église. J’ai dit: «Que quelqu’un veuille bien prendre mon chapeau là, nous allons tout simplement prélever une offrande.» On a eu cinq cents ou quelque chose comme ça dans l’ensemble. Mon église, c’était un auditoire de la taille de celui qu’il y a à ce rez-de-chaussée.

            Et j’ai dit... Monsieur Wisehart est allé prendre mon chapeau, et j’ai regardé et une petite femme âgée, la plus douce petite créature, une de ces mères à l’ancienne mode, qui avaient l’habitude de porter ces vieux petits tabliers à pois, lesquels avaient une poche à l’intérieur, vous connaissez ces tabliers. Avez-vous déjà vu l’un de ces tabliers?

9          Ma vieille grand-mère avait l’habitude de porter l’un de ces tabliers, et elle fumait la pipe. Elle ne voulait pas que les hommes la voient fumer, ainsi elle portait son tabac dans cette poche, et quand elle voyait des hommes venir, elle plongeait la main sous ce tablier, et elle gardait le pouce sur cette pipe, pendant qu’elle leur parlait. Et après qu’ils étaient partis, elle traversait la pièce avec cette vieille pipe.

            Je me souviens du moment avant sa mort, elle avait cent dix ans. Elle se souvenait de l’assassinat d’Abraham Lincoln. Elle n’avait vu qu’une seule voiture dans sa vie; c’est moi qui avais amené cette voiture là-bas, tout au fond dans les contrées montagneuses. Elle n’avait jamais vu un train de toute sa vie. Mais je l’ai tenue dans mes bras et j’ai prié pour elle. Elle pesait probablement cinquante livres [22,6 kg], étant toute desséchée. Et alors... Elle était la créature la plus douce. Elle était sauvée, et elle passa ses bras autour de mon cou, et la dernière chose qu’elle a dite, c’était: «Que Dieu te bénisse, mon chéri, maintenant et à toujours.» Et elle s’en est allée pour être avec le Seigneur. Et... C’était la mère de mon père.

10        Et je me souviens de cette petite femme, elle gardait son–son petit tablier... elle avait son petit tablier; elle le portait à l’église. Elle ne menait qu’une humble existence, et nous étions tous pauvres. Et elle plongea la main sous la poche, cette vielle petite poche, et elle fit sortir l’un de ces petits porte-monnaie qui se ferment au-dessus avec un bouton-pression, vous savez. Elle y plongea la main pour prendre ces pièces de cinq cents, oh! la la! Si je prenais cela, je me serais senti comme Judas qui a pris cet argent, ces trente pièces d’argent. Et je l’ai vue plonger... J’ai regardé cela, une énorme boule m’est montée à la gorge. Savez-vous comment on sent comme une boule dans la gorge? J’ai dit: «Oh! Je ne faisais que vous taquiner. Je ne parlais pas sérieusement.» J’ai dit: «Je voulais simplement voir ce que vous diriez.»

            Et voilà que le diacre était dans l’église avec le chapeau en main, il m’a regardé, il a dit: «Que dois-je faire?»

            J’ai dit: «Suspendez tout simplement mon chapeau. Oh! Je ne faisais que parler.» Voyez-vous? Je savais que si elle plaçait cette pièce de cinq ou dix cents là-dedans, je ne pouvais pas supporter cela. Je n’oublierais donc jamais... Ma chérie le sait. J’ai dit...

            Je suis allé et j’avais une vieille bicyclette que frère John Ryan... En fait, il était comme un membre de la Maison de David, il portait une longue chevelure, et il est venu là-bas en la conduisant, et il me l’a donnée. Elle n’était pas–elle n’était pas rétrograde, elle était tout simplement usée. C’était tout. Je suis donc allé au bazar me procurer une boite de peinture et je l’ai repeinte, et je l’ai exposée devant et je l’ai vendue à cinq dollars. Je n’avais plus besoin de prélever l’offrande. C’est donc la fois où j’ai failli prélever une offrande.

11        Nous ne sommes donc pas ici dans ce but-là. Nous sommes ici pour essayer de vous aider, pour essayer de faire quelque chose de sorte que–de sorte que cela... qu’il soit un peu plus facile de faire le bien ici dans le voisinage, un peu plus difficile de faire le mal, vous rendre la vie un peu plus agréable, peut-être, que Dieu vous guérisse de votre maladie et rallonge vos jours, sauve les perdus, et aide les églises. Ce sont ces gens qui me parrainent; ce sont des hommes qui croient la même chose que moi. Ils ne seraient pas assis ici s’ils ne le croyaient pas. Et pour moi, ils sont le dessus du panier. Eh bien, je–je suis sincère en disant cela, ce n’est pas pour être...

            Certains d’entre eux là ont des cheveux gris, ils sont plus âgés que moi, et ils prêchaient ici au coin de la rue avec une–une guitare et un tambourin, quand je n’étais qu’un garçon pécheur. Je me sens donc petit en me tenant devant ces hommes cet après-midi. C’est eux qui devraient être ici. Ils ont déblayé le chemin pour que je puisse y voyager; ils ont prêché que ces choses viendraient, et les voici qui arrivent. Ainsi l’un plante, l’autre arrose; et c’est Dieu qui fait croître. C’est comme cela que ce sera.

12        Et en ce glorieux matin-là, là-bas, quand la table sera dressée à travers les Cieux, quand toute vie sera terminée et que nous serons assis au souper des noces, je désire ardemment être là, frères. Oh! Je désire être là. Je–je crois que je serai là. Si je vis correctement et fais de mon mieux, Dieu m’accordera d’y arriver, pas à cause de mes oeuvres, mais par Sa grâce, je tendrai la main par-dessus la table et je serrerai la main de certains d’entre vous tous, et je dirai: «Je me souviens de vous, vous étiez à Yakima (Voyez-vous?), sur la terre.» Certainement que de petites larmes de joie couleront sur nos joues.

            Alors ce sera une chose glorieuse de voir le Roi apparaître dans toute Sa beauté et essuyer les larmes de nos yeux, en disant: «Ne pleurez pas, enfants, c’est terminé maintenant. Entrez dans les joies du Seigneur qui ont été préparées pour vous depuis la fondation du monde.»

            C’est ce que j’aimerais entendre, alors nous serons changés de cette créature que nous sommes pour devenir des immortels, nous serons rendus semblables à Son propre corps de gloire. Alors les peines des journées chaudes, et le fait de s’éventer et ainsi de suite, tout sera alors terminé. Nous entrerons dans la paix du Seigneur pour toujours. En attendant ce moment-là, travaillons, soyons à l’oeuvre et prions, attendant la Venue du Seigneur.

13        Saint Jean, chapitre 14, et commençons au verset 7, et lisons jusqu’au verset 12 inclus, c’est Jésus qui parle:

          Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez, et vous l’avez vu.

          Philippe lui dit: Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit.

          Jésus lui dit: Il y a si long... que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe! Celui qui m’a vu a vu le Père; comment dis-tu: Montre-nous le Père?

          Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même; et le Père qui demeure en moi, c’est lui qui fait les oeuvres.

          Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi; croyez du moins à cause de ces oeuvres.

          En vérité, en vérité, je... en vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père.

            Et mon sujet pour cet après-midi c’est Montre-nous le Père, et cela nous suffit. Suffire veut dire satisfaire. Si Tu nous montres le Père, nous serons satisfaits.

14        Maintenant, je vais prendre en rapport avec ceci... Ç’a toujours été le désir du coeur humain depuis que l’être humain existe. Il désire savoir où se trouve Dieu. «Si je pouvais seulement voir Dieu!»

            Et je vais parler de quatre façons différentes de voir Dieu. Et hier soir, j’ai pris comme sujet: Monsieur... dans Saint Jean, chapitre 12, Messieurs, nous voudrions voir Jésus. Et je crois que tous ceux qui étaient ici hier soir et qui ont leur bon sens, qui connaissent quelque chose au sujet des Ecritures, L’ont vu oeuvrer parmi les gens. S’ils ne L’ont pas vu, je crois qu’il n’y a presque plus d’espoir pour vous. Voyez-vous? Si vous–si vous n’avez pas vu cela. Après que les Ecritures ont été exposées, d’une façon si solide sur toute la ligne depuis la Genèse et tout au travers des Ecritures, exactement ce qu’Il a promis pour ces derniers jours, et nous L’avons vu ici entrer dans la salle hier soir... En effet, le chrétien regarde à l’Invisible. Savez-vous cela? Toute l’armure chrétienne est invisible: l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la bénignité, la douceur, la bonté, la patience. Tous les fruits de l’Esprit sont invisibles.

15        Les gens disent: «Je veux des preuves, voir c’est croire.» Alors vous ne pourrez jamais être chrétien. Car vous devez accepter Dieu par la foi. Voyez-vous? Vous devez croire en Lui. Et hier soir, quand nous L’avons vu venir par l’Esprit, se mouvoir et confirmer, dans Son peuple, les croyants qui étaient dans la salle... On a continué, et nous L’avons vu faire exactement ce qu’Il faisait lorsqu’Il était ici sur terre, confirmant cette Ecriture qui dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Et de voir les mêmes résultats au travers des êtres humains qui sont tellement soumis à Dieu que le Saint-Esprit peut oeuvrer au travers d’eux exactement comme le Saint-Esprit a oeuvré au travers de Jésus qui a tout simplement déclaré: «Moi et le Père Nous sommes Un. Mon Père demeure en Moi. C’est Lui qui fait les oeuvres. Ce ne sont pas Mes Paroles; ce sont Ses Paroles»... Voyez-vous? Il était tellement soumis à Dieu, et Il mourut et sanctifia l’Eglise afin qu’Il puisse y vivre pour poursuivre Son oeuvre jusqu’au second avènement de Sa–Sa Venue, jusqu’à Sa Seconde Venue.

16        Maintenant, nous allons voir si nous pouvons voir Dieu. Combien aimeraient voir Dieu? Faites voir la main. Je–je sais que ç’a l’air enfantin, mais nous sommes censés être des enfants. Quand nous en arrivons à un point où nous connaissons beaucoup, alors nous ne connaissons rien de ce que nous devrions connaître, dit la Bible. Nous ne voudrions jamais avoir un grand sentiment intellectuel selon lequel nous sommes au-dessus de l’autre, ou que nous connaissons plus que quelqu’un d’autre. Soyez tout simplement ordinaire et simple. Les gens cherchent à expliquer Dieu et passent complètement par-dessus la chose. Les gens cherchent Dieu très loin là-bas, alors qu’Il se tient juste ici. Voyez-vous? C’est... Vous... simplement... vous... La simplicité de la chose confond tout simplement la grande et puissante pensée intellectuelle qui cherche à faire de Lui quelque chose de grandiose qu’Il n’est pas. Il est ici avec nous; Il est Dieu. Juste... Il–Il est une partie de vous. Il est une fibre de vous. Nous sommes chair de Sa chair, et os et Ses os. Nous sommes une partie de Lui, parce que nous sommes Ses enfants. Et Dieu demeure en nous exactement comme Il demeurait dans Son Fils, Jésus-Christ.

17        Maintenant, nous allons considérer Dieu sous quatre aspects. Maintenant, trois, c’est la confirmation, mais nous allons en ajouter un cet après-midi pour rendre cela certain. Tout le monde sait que–que deux, c’est le témoignage; trois c’est la confirmation. Je... Les Juifs ont dit à Jésus: «Nous savons que Tu es un–un démon, parce que Tu parles de Toi-même.»

            Il faut deux personnes pour constituer un témoignage. Jésus a dit: «Moi, Je suis une Personne, et le Père qui demeure en Moi c’est l’autre Personne. Si vous ne pouvez pas croire en Moi, croyez les oeuvres qu’Il accomplit en Moi.» Voyez-vous? Cela constituait donc une confirmation de deux. Mais maintenant, trois...

            Et maintenant, nous allons prendre quatre façons de voir Dieu: Premièrement, Dieu dans Son univers, Dieu dans Sa Parole, Dieu dans Son Fils, Dieu dans Son peuple.

            Dieu dans Son univers, nous allons voir si nous pouvons Le trouver dans l’univers. Dieu dans Sa Parole, nous allons voir si nous pouvons Le trouver dans la Parole. Dieu dans Son Fils, nous allons voir s’Il est dans Son Fils. Ensuite Dieu dans Son peuple, et nous allons voir s’Il est dans Son peuple. Cela fait quatre façons dont nous pouvons voir Dieu.

            L’infidèle a dit: «Montrez-Le-moi.»

18        Il y a quelque temps, je parlais à un coin; il y avait un infidèle qui parlait au coin suivant. Et il était... avait la Bible posée là, il disait: «C’est le Livre le plus sale, le plus ignoble qui ait jamais été écrit.» Et, oh! il parlait sans cesse. Il était... avait été prêtre ou avait étudié pour devenir prêtre dans un monastère. Et c’était un très grand théologien qui connaissait la Parole, et ainsi il chiquait du tabac. Et il... Je me tenais à côté d’une petite épicerie, et quand il est venu pour se procurer des épices, alors voilà que le prédicateur et l’infidèle se sont rencontrés. Alors, il a dit: «Oh! C’est vous ce prédicateur-là qui crie beaucoup par ici?»

            «Oui, monsieur, c’est moi.»

            Et il a dit: «Vous ne croyez pas à cette histoire que vous racontez?»

            J’ai dit: «J’y crois de tout mon coeur.»

19        Et je savais que pour avoir été au monastère, il était intelligent (Voyez-vous?), alors j’ai dit: «Oui, monsieur, je–j’y crois de tout mon coeur.» Je savais donc qu’il était trop intelligent pour que je puisse faire face à lui, mais je savais que j’avais un Dieu qui pouvait faire face à tout ce que le diable pouvait brandir. J’ai donc continué pour voir ce que Dieu allait dire.

            Il a dit: «Si je vous prouve que ce dont vous parlez est dénué de tout fondement, allez-vous l’accepter?»

            J’ai dit: «Je ne pense pas que vous puissiez le faire.»

            Il a dit: «Dieu n’existe pas.»

            J’ai dit: «C’est votre opinion, la mienne est différente.»

            Et il a dit: «Eh bien, écoutez, le corps humain a combien de sens?»

            Et j’ai dit: «Eh bien, il possède des sens.»

            «Quel est ton niveau d’études?»

            J’ai dit: «Le niveau qu’il faut pour savoir que Dieu existe.»

            Et–et il a dit–il a dit: «Eh bien, citez-moi les sens de l’homme.»

            Et j’ai dit: «La vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe.»

            Il a dit: «Eh bien, s’Il est un Dieu humain pour l’être humain, certainement que l’un de ces sens Le déclarerait.» Il a dit: «Eh bien, L’as-tu déjà vu? L’as-tu déjà goûté, L’as-tu déjà humé, L’as-tu déjà senti ou L’as-tu déjà entendu?»

            J’ai dit: «Je L’ai senti. Je Le sens maintenant.»

            Il a dit: «Laisse-moi Le sentir.» Ce sens qui consiste à sentir, c’est pareil (Voyez-vous?) à ce que vous faites avec vos doigts.

            Et–et j’ai dit: «Eh bien, il est possible que je puisse Le sentir et que vous, vous ne puissiez pas Le sentir.»

            Il a dit: «Oh! Non, non, vous ne pouvez pas exercer votre psychologie sur moi.»

            Et j’ai pris une épingle et je l’ai piqué. Et il a dit... J’ai d’abord pensé qu’il allait me donner une claque. Toutefois j’ai reculé pour être hors de sa portée. Et j’ai dit: «J’ai fait cela dans un but, monsieur. Excusez-moi. Mais je désire simplement faire une observation.» J’ai dit: «Avez-vous senti cela?»

            Il a dit: «Certainement.»

            Et j’ai dit: «Mais moi, je ne l’ai pas senti.»

            Il a dit: «Laissez-moi vous piquer.»

            Et j’ai dit: «Oui, vous croyez la même chose que moi, et vous aurez les mêmes résultats.» C’est juste. Il est possible que vous puissiez avoir une crampe à l’estomac et que moi je n’en sache rien, mais c’est réel pour vous. Voyez-vous? Mais cela ne le sera pas pour moi, à moins que j’aie la même crampe d’estomac, ou le même mal de tête ou quoi que cela puisse être.

20        Ainsi donc, j’ai dit: «Eh bien...» Et je–je réfléchissais, et il était... vous savez, vous avez... Maman disait souvent: «Si tu donnes assez de corde à la vache, elle s’étranglera elle-même.» C’est donc ainsi que vous... J’ai–j’ai carrément joué avec sa psychologie.

            Et j’ai dit: «Vous savez quoi? Vous êtes un homme très intelligent.»

            Il a dit: «Ma mère n’a pas élevé des idiots.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, c’est une bonne chose.» J’ai dit: «Je ne–je ne le pouvais certainement pas.» Je ne pouvais pas le dire; en effet, la Bible dit: «L’insensé dit dans son coeur qu’il n’y a point de Dieu.» Vous savez, mais je–je ne pouvais pas dire cela juste à cet instant-là, car je l’amenais juste au point où je voulais qu’il parvienne. Et j’ai dit: «Vous êtes l’un des esprits les plus brillants que j’aie jamais vus, auquel j’aie jamais parlé, un homme à l’esprit aussi brillant que vous.»

            Il a dit: «C’est juste.»

            Oh! Il était gonflé. C’est là que j’ai compris que je devais jouer sur lui quand je serais juste là. Et j’ai dit: «Vous admettez que vous avez un esprit?»

            Et il a dit: «Eh bien, certainement. Pourquoi? Vous vous comportez comme si vous aviez perdu le vôtre.»

            Et j’ai dit: «Non. Je ne pense pas que ce soit le cas.» Mais j’ai dit: «Je me demande simplement si vous avez réellement un esprit.»

            Et il a dit: «De quoi parlez-vous?»

            J’ai dit: «Il s’agit de l’esprit humain, n’est-ce pas?» Il a aussitôt compris ce que j’allais faire.

            Il a dit: «Eh bien...»

            J’ai dit: «Non, monsieur, j’ai été un gentleman. J’ai répondu à votre...» J’ai dit: «Citez-moi les sens du corps.» «Eh bien, a-t-il dit, vous les connaissez.»

            J’ai dit: «Je voudrais que vous les citiez.» J’ai dit: «Je les ai cités pour vous quand je vous ai dit que je les connaissais.»

            Il a dit: «La vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe.»

            J’ai dit: «Avez-vous déjà vu votre esprit? L’avez-vous déjà humé, l’avez-vous déjà goûté ou entendu?»

            «Non.»

            J’ai dit: «Alors vous n’avez pas d’esprit.»

            Il a dit: «Oh! Je suis certain que j’ai un esprit.»

            J’ai dit: «Moi aussi, je suis certain que j’ai un Dieu, monsieur.» J’ai dit: «Je suis tout simplement certain de cela.»

21        Ainsi toute l’armure de Dieu est invisible, mais c’est à l’invisible que regarde le chrétien. C’est comme Abraham. Il appela les choses qui n’étaient point comme si elles étaient, parce que Dieu l’avait dit. Nous allons donc regarder maintenant non pas à l’invisible cet après-midi, mais nous allons... quatre façons... Nous pourrions en prendre une douzaine, mais nous allons juste prendre ces quatre façons comme une–une confirmation que Dieu est vivant maintenant même.

            Dieu est juste ici cet après-midi, juste ici dans cette salle. Il a promis: «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je suis au milieu d’eux.»

22        Maintenant, nous allons d’abord parler de Dieu dans Son univers. Eh bien, comment le monde peut-il rester suspendu dans l’espace où il se trouve? Après tout, où en est le haut ou le bas? Qui le sait? Ceux qui sont au nord... au pôle sud pensent qu’ils sont au-dessus autant que ceux qui sont au pôle nord. Vous voyez donc, c’est juste... Ils sont dirigés comme ceci, ce qui, en fait, c’est être dirigé vers le bas. Nous pensons que nous sommes... que leurs têtes pointent vers le haut. Voyez-vous? Ils pensent que leurs têtes pointent vers le haut, alors que, pour nous, elles pointent vers le bas. Quand nos têtes sont pointées vers le haut, eh bien, pour eux, elles pointent vers le bas. La chose est donc suspendue dans le vide. Qu’est-ce qui la maintient là?

            Lancez une balle là et faites-la tourner sur elle-même aussi vite que vous voulez. Cette terre tourne à un peu plus de mille miles à l’heure [1609 km/h]. Elle a une circonférence de vingt-cinq miles [40, 23 km], elle tourne aut-... elle fait une révolution complète toutes les vingt-quatre heures. Mais elle va donc à un peu plus de mille miles à l’heure en tournant. Eh bien, faites tourner une balle sur elle-même en l’air, à la même vitesse. Voyez-vous? Elle ne fera pas un tour dans le même cycle. Elle tombera. Soit elle montera, soit elle descendra, soit elle ira de côté ou quelque chose comme cela.

            Qu’est-ce qui la maintient là? Nous savons qu’elle est là depuis six mille ans; c’est un fait établi qu’elle se tient là au même endroit. Et on peut en chronométrer le temps avec la lune et les étoiles si parfaitement que cela ne manquera pas d’une seconde. Les gens peuvent prédire vingt ans à l’avance le moment de l’éclipse du soleil, quand la lune et le soleil se croiseront.

            Tout marche en harmonie pour Dieu, toute la création de Dieu, à l’exception de l’homme. L’homme est donc Son fils qui pense connaître un peu plus que le Père. Nous cherchons donc à tout comprendre au lieu de croire simplement ce qu’Il a dit. C’est tout.

23        Il y a quelque temps, un infidèle m’a dit... On parlait de la lune et du soleil et comment il a laissé s’échapper un petit fragment.

            J’ai dit: «Comment allez-vous prouver cela?» Et j’ai dit: «La seule chose que vous puissiez faire, c’est de prouver cela par la foi.» J’ai dit: «J’aimerais vous dire maintenant que ma foi est trop faible pour cela. Je ne croirai que ce que dit la Bible. C’est la seule chose dans laquelle j’ai la foi, c’est dans ce que Dieu a dit. Il a créé les cieux et la terre, et je–je le crois ainsi. Ainsi la foi que j’ai, c’est la foi dans ce que Dieu a dit à ce sujet.»

            Et maintenant, comment cela pourrait-il donc être possible? Comment cette petite fleur pourrait-elle vivre cet après-midi, ce cep? Comment pourrait-il vivre, la plante plutôt, sans Dieu? Tous les hommes de science du monde ne pourraient fabriquer une de ces feuilles qu’elle porte. Ils peuvent fabriquer quelque chose qui ressemble à cela. Mais ils ne peuvent pas fabriquer cette feuille, parce que cette feuille a la vie en elle. Et la science ne peut jamais produire la vie.

            Une petite fleur... prenez par exemple, vous les femmes ici... Il fait froid ici dans la vallée. En faisant un tour, je vois maintenant vos jardins d’agrément. Tout à l’heure je circulais en voiture, essayant de garder ma pensée sur Dieu et priant: «Seigneur, fais quelque chose ici, dans cette vallée. Je T’en prie, aide Ton peuple. C’est une heure vraiment sombre.» Et je montais et descendais les rues, en train de prier. Et alors, je suis passé et j’ai vu de belles fleurs. Eh bien, dans peu de temps la gelée va frapper cette petite fleur. Celle-ci va pencher sa petite tête et mourir. Certaines d’entre elles seront jeunes, d’autres d’âges moyens et d’autres seront vieilles. De là tombe une petite semence noire.

            Que vous le croyiez ou pas, Dieu organise une procession funèbre pour Ses fleurs. Savez-vous cela? Certainement qu’Il le fait. Les pluies d’automne viennent et font tomber des cieux, en pleurant, d’énormes larmes, et elles ensevelissent la petite semence noire dans la terre. Et c’est tout à fait exact. Alors vient l’hiver qui fait geler la semence, qui s’ouvre en éclatant, la pulpe s’en détache, et à ce moment-là le sol est gelé à plusieurs centimètres de profondeur. La tige disparaît; le bulbe disparaît; les pétales disparaissent; la semence disparaît; la pulpe disparaît. Est-ce là la fin de cette fleur? Pas du tout. Aussitôt que le–le soleil se lève à l’est et commence à réchauffer... Eh bien, vous ne pourriez pas prendre une lampe et la braquer dessus, pour faire cela. Il faut la lumière du soleil. Laissez la lumière du soleil frapper dessus et commencer à la réchauffer, elle va revenir à la vie.

            Dieu a caché ce petit germe de vie quelque part pour qu’il puisse revenir à la vie, car c’est dans–dans la volonté de Dieu. C’est la plante de Dieu. Dieu l’a placée là dans un but, et elle ne fait pas des histoires. Elle accomplit tout simplement le dessein pour lequel Dieu l’a placée ici. Et si seulement nous faisions de même, accomplir le dessein pour lequel Dieu nous a placés ici! Je ne veux pas juste dire que nous devons élever des cochons (s’il n’y a pas de mal à cela), que nous devons faire ceci, et cela, mais Il nous a placés ici pour que nous soyons des fils et des filles de Dieu pour Le glorifier, et pour Le louer comme la petite fleur.

24        Il n’y a pas longtemps, j’ai prêché sur le sujet Regardez les Lys, et j’ai pris le lys, le pasteur lys, comment il ouvre son coeur; les abeilles en tirent leur part et les touristes qui passent par là [Frère Branham renifle comme quelqu’un qui hume l’odeur d’une fleur.–N.D.E.] hument cette belle odeur. Chacun tire sa part de monsieur lys, et il doit travailler durement jour et nuit pour produire cela. Ne croyez-vous pas que Dieu est dans Son univers? Dieu est partout.

25        Là chez moi, je vis à proximité de la rivière Ohio, et oh! j’aime vraiment l’eau. Il y avait un petit garçon qui vivait dans la ville, et il fréquentait une église, et c’était un gentil petit garçon. Et un jour, il a dit à sa mère, il a dit: «Maman, j’aimerais te poser une question.» Il a dit: «J’ai entendu le prédicateur dire que Dieu est si grand.» Et il a dit: «Eh bien, je me demande simplement si quelqu’un pourrait voir Dieu?»

            «Oh! a-t-elle dit, chéri, pose cette question à ta monitrice de l’école du dimanche.» Elle a dit: «Maman ne peut pas y répondre. Je n’en sais rien.»

            Et ainsi on a posé la question à la monitrice de l’école du dimanche, et elle a dit: «Oh! je n’en sais rien. Tu devrais poser la question au pasteur.»

            Il est donc allé poser la question au pasteur. Le pasteur a dit: «Non, fiston, nul ne peut voir Dieu. Nul ne peut voir Dieu et vivre. C’est tout simplement impossible.»

26        Le petit ami était donc déçu. Il fréquentait un vieux pêcheur qui vivait à proximité de la rivière. Et un jour, ils étaient tout près de... (Excusez-moi.) [Frère Branham tousse.–N.D.E.] l’île Six Mile, et une tempête se leva. [Frère Branham tousse et se racle la gorge.] Excusez-moi. Et une tempête se leva, et les eaux... Vous connaissez l’atmosphère qui règne après la pluie, toutes les feuilles sont nettoyées.

            Le vieux pêcheur est remonté dans la barque, et il s’est mis à descendre la rivière en tirant sa barque. Et juste comme tout rameur ou plutôt comme tout batelier sait le faire en–en harmonie avec ce tapotement des vagues sur les rames, comme cela, tandis qu’il amenait en la tirant une caisse pleine de poissons derrière. Et il y eut un... Le soleil réapparut à l’ouest, dans cette direction, et le vieux pêcheur regardait en direction de l’est, et un arc-en-ciel apparut dans les cieux. Et le petit ami était assis à la poupe de la barque, et ainsi il commença à remarquer des larmes qui se mettaient à couler sur les joues du vieux pêcheur à la barbe grise, tandis qu’il regardait cet arc-en-ciel qui s’étendait.

            Et le petit ami fut enthousiasmé et il se précipita jusqu’au milieu de la barque, et il saisit le vieux pêcheur aux genoux et tomba là à ses pieds. Il dit: «Monsieur, je vais vous poser une question. Ma monitrice d’école du dimanche, ma mère, mon pasteur, personne n’a pu y répondre. Quelqu’un peut-il voir Dieu?»

            Et le vieux pêcheur fut tellement ému qu’il ramena tout simplement les rames dans la barque, entoura le petit garçon de ses bras, et il dit: «Que Dieu bénisse ton petit coeur, chéri. Tout ce que j’ai vu durant les cinquante dernières années, c’est Dieu.» Il y avait tant de Dieu au-dedans de lui que tout ce qu’il regardait c’était Dieu.

27        C’est de cette façon que vous voyez Dieu, quand vous avez Dieu au-dedans de vous. Laissez-Le regarder au travers de vos yeux. C’est de cette façon que vous travaillerez pour Dieu, quand Dieu peut utiliser vos mains, utiliser vos pieds, utiliser vos lèvres, utiliser votre langue, utiliser vos oreilles, utiliser vos yeux. Dieu, en vous, voit Dieu à l’extérieur. Dieu est dans Son univers. Il était dans l’arc-en-ciel, et cela a réglé la question à laquelle aucun des autres n’avait pu donner de réponse.

28        Comme vous le savez tous, je suis un chasseur. Ma mère est mi-indienne, et je–et ma conversion n’a jamais ôté cela de moi. Je continue à aller dans le Colorado où je suis un guide autorisé, et... Chaque automne je vais loin dans les montagnes où j’avais l’habitude de garder le bétail pendant des années, et je reste là souvent, et j’apprends tant de choses au sujet de Dieu.

            Je me souviens lorsque j’étais assis là, avec ma jambe sur... Quand l’Association Hereford faisait paître le bétail dans la–la vallée de la rivière Troublesome, et j’observais les cow-boys pendant que nous amenions le bétail et que nous faisions monter le bétail, au printemps pour le rassembler. Et voici une chose que je... la raison pour laquelle je suis interdénominationnel.

            Le garde forestier se tenait là à la clôture amovible, et il observait ce bétail. Si vous pouvez cultiver une tonne de foin dans votre ranch, et que vous pouvez produire plusieurs tonnes de foin, vous pouvez mettre une vache dans la forêt. Je pense que vous avez toujours les mêmes lois ici. Et alors, le propriétaire du ranch se tenait là et observait ce bétail, il ne faisait pas tellement attention à la marque qu’ils portaient. La nôtre c’était les Tripod, et les autres... Le nom de ceux qui étaient au-dessus de nous, c’était les Turkey Track, et juste là en haut c’était les Grimes, le grand groupe qui avait le Bar–Diamond Bar, et plusieurs de... certains d’entre eux y plaçaient des centaines et des centaines de têtes de bétail. Mais, vous savez, ce–ce garde forestier ne faisait pas attention à ces marques. Il veillait à l’étiquette de sang à l’oreille. Vous ne pouviez pas placer une Hereford dans cette forêt sans... ou plutôt une vache dans cette forêt sans que ce soit un Hereford pur sang. Ça devait être un Hereford enregistré.

            Et je pense qu’au jour du Jugement, Dieu ne regardera pas si nous sommes membres des Assemblées ou de l’Eglise de Dieu, ou de je ne sais quelle église, la marque que je porte; Il cherchera cette étiquette de sang; le Sang de Son propre Fils. C’est ce qu’Il cherchera. Rien n’y entrera en dehors d’un chrétien né de nouveau.

29        Je chassais l’élan, cette année-là l’élan se trouvait tout en haut parce qu’il n’y avait pas eu de neige pour le forcer à descendre. Et monsieur Jefferies qui était propriétaire de l’un des ranches... nous connaissions chaque centimètre de terrain dans cette région forestière-là, sur des centaines de kilomètres, car nous... en effet, je gardais le bétail et je leur donnais du sel et ainsi de suite: je prenais le convoi de bêtes de somme et je retournais là-bas et je donnais du sel au bétail, et on le rassemblait et tout.

            Et nous sommes allés chasser, et c’est un très bon chasseur, et il avait pris la gauche pour retourner sur ce que nous appelons l’embranchement ouest; moi j’ai pris l’embranchement est. Et nous allions nous rencontrer quatre ou cinq jours après, et nous allions suspendre notre élan, ou quoi que ce soit que nous allions attraper, et ensuite nous allions rassembler nos chevaux et prendre les colis et venir ensemble pour descendre avec. J’étais tout en haut, je marchais là-haut, et il n’y avait–n’y avait pas eu grand-chose comme neige. Et–et en automne, en haut dans les montagnes, il neige, puis il pleut, et ensuite le soleil brille. Vous savez comment ça se passe, le changement de temps en octobre.

30        Et je marchais tout en haut, pratiquement à la lisière, et un–un vent du nord s’est levé, et le ciel est devenu vert un petit moment. Et oh! le vent a commencé à souffler et il a commencé à pleuvoir, et–et il tombait de la neige fondue; et je me suis mis derrière un arbre, et je me suis tenu debout derrière l’arbre, j’ai posé mon fusil au sol, c’était près d’un endroit où des arbres avaient été renversés par le vent. Et j’ai posé mon fusil là, et je pensais tout simplement: «Ô Dieu, que Tu es grand! Que Tu es merveilleux! Tu es si... Tu as créé les montagnes; Tu as fais couler les fontaines, Tu as élevé les montagnes. Seigneur, garde Tes précieuses mains sur moi.» Et pendant que je me tenais là, attendant que la pluie passe, alors le vent devint très violent. Et après que la tempête fut passée, j’ai entendu un vieil élan mâle commencer à beugler. Il s’était égaré pendant la tempête. Tout en haut sur le flanc de la colline, un coyote a hurlé; sa compagne a répondu plus loin en bas.

            Vous savez, quand David a dit: «La profondeur appelle la profondeur»... Pour moi, il y avait là-dedans quelque chose de sacré, d’entendre la vie sauvage appeler. Il y avait là cet élan. Je me suis retourné et j’ai regardé derrière, en direction de l’ouest, en direction de Washington, par ici. Et alors que le soleil se couchait, en se laissant entrevoir à travers les crevasses des montagnes, c’était comme un grand oeil qui regardait. Je me suis dit: «C’est juste, Ses yeux parcourent la terre.» Où que vous regardiez, c’était Dieu. C’est tout simplement sacré.

31        Et alors, j’ai regardé derrière dans cette direction, et il y avait un arc-en-ciel derrière dans cette direction, sur le... là où les arbres aux feuilles persistantes avaient gelé sous l’effet de la pluie, et que le soleil avait frappés et un arc-en-ciel s’était formé dans la vallée. Le loup hurlait, l’élan beuglait, et le soleil se couchait, oh! la la! je me suis tenu là à pleurer comme un bébé. J’ai regardé de nouveau, j’ai dit: «Oui, qu’y a-t-il dans l’arc-en-ciel? C’est une alliance, une promesse.» Dans Apocalypse 1, Il avait l’aspect d’une pierre de jaspe et de sardoine: c’est Benjamin et Ruben, le premier et le dernier, Celui qui était, qui est et qui vient, la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile du matin. Tout ce qu’Il était, Ses titres, Il est là dans l’arc-en-ciel qui se tient là. Et je me suis dit: «Oh! Comme c’est magnifique! Comme c’est agréable d’être ici!»

            Et j’étais si heureux que je me suis mis à tournoyer autour de cet arbre de toutes mes forces, en criant continuellement à tue-tête, à environ trente-cinq miles [56 km.] des êtres humains. Et je criais tout simplement, et je hurlais. Je pense que si quelqu’un était venu là dans les bois, il aurait pensé qu’il y avait là-haut quelqu’un sorti d’un asile des fous. Je ne faisais que crier et hurler. Je ne me souciais de rien; j’adorais Dieu. Je passais tout simplement un bon moment. Et je m’arrêtais et disais: «C’est juste. Il est l’Alpha et l’Oméga. Le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Et je me remis à tournoyer autour de l’arbre, de toutes mes forces. Je devais simplement me défouler, vous savez, c’était juste... quelque chose bouillonnait. Et je criais simplement de toutes mes forces.

32        Et, au bout d’un moment, j’ai entendu un petit écureuil des pins. Je ne sais pas si vous, frères, vous savez ce que c’est. C’est le petit policier au veston bleu des bois. Il a sauté là sur une souche, en faisant: «Tchat, tchat, tchat, tchat, tchat, tchat.» Je me suis dit: «Oh! Pourquoi es-tu si excité petit ami? J’adore le Dieu qui t’a créé,» et je me suis remis à tournoyer encore et encore autour de l’arbre, de toutes mes forces. Et je me suis dit: «Eh bien, j’adore le Dieu même qui t’a créé. Il est mon Créateur. Je L’aime. Je suis en train d’adorer.» Et je continuais à courir autour de l’arbre. Et, au bout d’un moment, j’ai dit: «N’aimes-tu pas cela? Tu devrais toi-même aussi le faire. Tu es une créature de Dieu; tu devrais toi-même L’adorer.»

            J’ai fini par découvrir que ce n’était pas moi qu’il observait. Il inclinait sa petite tête de côté et regardait en bas vers cet endroit où les arbres avaient été renversés par le vent. Et le vent avait projeté là un vieil aigle.

33        Or, l’aigle est l’un de mes oiseaux favoris. Dieu compare donc Ses prophètes aux aigles. Il se compa-... Il dit Lui-même qu’Il est Lui-même un Aigle, l’Aigle Jéhovah. Peut-être, le Seigneur voulant, j’aimerais prêcher là-dessus une fois pour vous, Pareil à l’aigle qui éveille sa couvée. Et alors... et ainsi donc, pendant qu’il regardait de côté comme cela, il observait cet aigle-là qui était en bas. Et ce grand aigle est sorti de là d’un bond, avec ses énormes yeux gris, et je me suis dit: «Oh! C’est ce qui t’a excité. Hein?» Eh bien, je me suis mis à observer cela, et je me suis dit: «Seigneur, je sais que Tu es dans le beuglement de cet élan. Tu es dans l’appel de ce loup. Tu es dans l’arc-en-ciel. Tu es dans le coucher du soleil. Tu es en moi. Tu es tout simplement partout. Tu es dans toutes les fleurs. Tu–Tu es tout simplement partout. Eh bien, comment pourrais-Tu m’arrêter de T’adorer, pour me montrer ce vieil aigle qui se tient là? Eh bien, il n’y a rien en lui; c’est un voleur. Eh bien, qu’en est-il de lui?» J’ai dit: «Dans quel but Tu l’as fait vernir ici? Qu’est-ce que... Je vois Dieu là, mais je ne vois pas Dieu dans ce vieil aigle.»

            Eh bien, il arriva que je remarque là quelque chose; j’ai dit: «Dis donc, mon ami, sais-tu que je peux t’abattre?» Eh bien, il savait que je l’admirais; j’aime son courage. Il regardait... Je l’ai remarqué... «Pourquoi n’as-tu pas peur de moi?» Et j’ai remarqué qu’il touchait ses ailes, vous savez, ses plumes et qu’il les remuait comme cela. Voyez-vous? Juste... Je me suis dit: «Oh! Je vois. Je vois, Seigneur.» Voyez-vous? Il n’a pas peur. Il a deux ailes que Dieu lui a données. Il sait qu’avant que je puisse atteindre ce fusil, il pourrait être dans cette forêt-là, et je ne le reverrais plus. Voyez-vous? Et je me suis dit: «S’il pouvait... Si cet aigle, grâce au don des deux ailes que Dieu lui a données, ce...?... le mettre à l’abri des–des ennuis, à combien plus forte raison l’Eglise le devrait quand elle peut sentir la puissance du Saint-Esprit l’environner.» Nous devrions être en mesure de nous envoler par la foi et nous éloigner de chaque maladie, de chaque affection, et de toutes les choses du monde, si nous pouvons sentir la Présence de Dieu.»

34        Aussi longtemps que ces plumes fonctionnaient comme il faut, il savait qu’il pouvait le faire, parce qu’il avait confiance dans le don dont Dieu l’avait doté. Et pourtant nous, nous restons assis là et nous nous posons des questions et nous sommes perplexes, avec la puissance même du Saint-Esprit sur nous (et nous marchons...), se mouvant à travers la salle pour montrer qu’Il est présent.

            Oh! Vous voyez Dieu partout où vous regardez. Ne croyez-vous pas cela? Dieu est dans l’aigle; Dieu est dans l’appel du loup; Dieu est dans le coucher du soleil; Dieu est dans Son univers; Dieu est dans Ses fleurs. Eh bien, Dieu est partout, si seulement nous regardons tout autour.

35        Pour terminer cette histoire, ce vieil aigle, je l’ai observé un petit peu. Et ce vieux petit–vieux petit écureuil des pins s’était juché là et me regardait, vous savez, faisant: «Tchat, tchat», en regardant l’aigle. Et au bout d’un moment, l’aigle en a eu assez de cela. Il a donc fait un grand bond, il a battu des ailes presque deux fois, et il était parti. Eh bien, je l’ai observé, il n’a plus bougé ses... une plume après cela. Quand il est arrivé au-dessus de ces arbres verts, il a juste déployé ses ailes. Il savait comment le faire. Et quand ce vent venait en montant la montagne, chaque fois que le vent venait, «fiou» [Frère Branham fait un bruit comme celui du vent qui souffle.–N.D.E.], il se laissait simplement porter par celui-ci, il se laissait porter par celui-ci. Je me suis simplement tenu là à regarder cela. Oh! la la! Il devenait de plus en plus petit jusqu’à ce qu’il n’était plus visible. Et je me suis dit: «C’est ça. C’est ça. Seigneur.» Voyez-vous? Ce n’est pas que lorsqu’on est malade ou dans le besoin, ce n’est pas qu’il faut battre des ailes en allant vers ceci et amener votre lettre à telle église. Et si les Assemblées ne vous traitent pas correctement, vous allez vers l’Eglise de Dieu. Si l’Eglise de Dieu ne vous traite pas correctement, vous retournez chez les baptistes. Ce n’est pas ça. Il est tout simplement question de savoir déployer vos ailes de la foi dans la puissance de Dieu, et de vous élever loin de cela. Vous allez de l’avant. Et le Saint-Esprit commence à agir, vous vous laissez tout simplement porter par Lui. Il n’est pas question de battre des ailes sans cesse, en disant: «Eh bien, je vais m’en aller là-bas, vous ne me traitez pas bien. Je vais retourner là-bas. Je vais passer dans la ligne de prière de Roberts. Frère Branham arrive, je vais aller dans la sienne.» Ce n’est pas ça. Déployez votre foi dans la puissance de Dieu et partez.

36        Il a laissé ce vieux petit tamia ou cet écureuil juché là, faisant: «Tchat, tchat, tchat. Le temps des miracles est passé. La guérison divine n’existe pas. Le baptême du Saint-Esprit n’existe pas.» Il s’en est tout simplement allé loin de cela.

            Oh! la la! C’est ce que nous devons faire. Nous élever au-dessus de cela. Eloignez-vous de ces gens qui disent: «La guérison divine n’existe pas. Dieu ne tient pas Sa Parole. Jésus-Christ n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Déployez tout simplement vos ailes dans la puissance de Dieu et éloignez-vous. C’est juste. Disparaissez de leur vue, laissez-les tranquilles. Soyez tout simplement si sourd que vous ne les entendrez même pas du tout. Eloignez-vous tout simplement de cela. Dieu est dans Son univers. Dieu agit parmi Ses créatures.

37        Prenons un vieux petit canard, quand je vais parfois dans les bois du Nord pour chasser. J’ai chassé dans le monde entier. Quand vous allez dans les bois du Nord, il y a un vieux petit canard qui est né là sur ce lac. Il n’a jamais quitté ce lac. Il y est né au printemps. Mais on ne sait pas trop comment, quand les sommets des montagnes se couvrent de neige, et que cette première petite brise froide descend la montagne, il y a un certain petit canard dans cette mare, c’est un vieux petit canard mâle. Il sort et se dresse juste au milieu de cette mare, il dresse son petit bec en l’air et fait: «Coin, coin», et chaque canard de la mare va venir auprès de lui. Oui, oui. Que va-t-il faire? Il va s’envoler de ce... Souvenez-vous, il n’a jamais quitté cette mare, mais il va s’envoler directement de cette mare et conduire–conduire chacun de ces canards tout aussi droit qu’il le peut vers la Louisiane, vers les champs de riz. S’il ne le fait pas, ils vont tous geler.

            Certainement, nous devrions avoir le sens des canards. Si Dieu peut utiliser l’instinct d’un canard pour que ce dernier conduise son peuple ou plutôt ses amis, les canetons loin d’un endroit qui va geler, la puissance du Saint-Esprit devrait certainement nous conduire à Christ, qui est notre Guérisseur, et loin du danger. Dieu a donné au canard un instinct. Il vous a donné le Saint-Esprit. Oh! Je me sens religieux en ce moment même. Oui, oui. Il nous a donné le Saint-Esprit pour échapper à ces choses. Certainement.

            Si vous prenez... allumez votre radio et qu’on annonce: «Demain, il fera froid, ou il va faire–faire chaud», et quoi qu’annonce la radio. Disons par exemple: «Il va faire... que demain il va faire chaud. Il fera chaud.» Et si vous voyez cette vieille laie aller là et prendre ces bâtons qui sont du côté nord de la colline, et les amener de l’autre côté de la colline; ne prêtez pas attention à ce que dit l’homme de la radio. Il ne sait pas de quoi il parle; cette laie est bien avisée. Si vous sortez et que vous voyiez ces lapins se mettre juste en dessous des buissons, et que cet homme dise: «Il va faire beau temps.» Ne prêtez pas attention à ce qu’il dit; ce lapin en sait plus que lui n’en saura jamais à ce sujet. Dieu lui a donné un moyen d’échapper à ces choses, et il y croit et il se prépare pour cela.

38        C’est comme Noé le fit avec l’arche, il prépara l’arche avant que la pluie ne tombe. Amen. Etes-vous prêts, cet après-midi, à vous envoler? Pouvez-vous voir Dieu? Eloignez-vous de ces maladies, de ces affections, de ces doutes, et de ces frustrations. Dieu est dans Son univers.

            Il n’y a pas longtemps, ça fait quelques années, papa et moi, nous étions en train de labourer. Et c’était un matin chaud; et nous cultivions du maïs, et papa a dit: «Eh bien, les chevaux commencent à s’ébrouer et à s’ébrouer.»

            J’ai dit: «Qu’a-t-il, papa? Y a-t-il un coyote là-bas?»

            Il a dit: «Non, non. Une tempête approche.»

            J’ai dit: «Une quoi?»

            Il a dit: «Une tempête.»

            J’ai dit: «Je ne vois de tempête nulle part.»

            Il a dit: «Billy, attends une minute.» Il a dit: «Tu ne comprends pas.» Il a dit: «Dieu a donné au cheval un instinct par lequel il sait quand une tempête arrive.» Vous tous qui avez déjà monté les chevaux, vous savez comment les éclairs ont des effets juste sur sa crinière. Il a dit: «Il a–il a un instinct pour se mettre à l’abri. C’est la raison pour laquelle il s’ébroue. Il veut aller à l’étable.»

            Et j’ai dit: «Une tempête? Oh! ai-je dit, il n’y a pas de tonnerre; il n’y a pas d’éclair; il n’y a des nuages nulle part.»

            Il a dit: «Mais observe juste pendant quelques minutes.»

            Je n’avais pas fait deux tours en labourant que la tempête est survenue là. Voyez-vous? Dieu leur a donné un instinct. Dieu est dans chaque créature, partout, si seulement vous les observez. Dieu est dans Son univers. Le croyez-vous? Certainement qu’Il y est.

39        Eh bien, il y a quelques années, je lisais un article disant qu’un infidèle parcourait le pays. Il était très intelligent, très intellectuel, au point que les ministres n’osaient même pas l’aborder. Cela fait environ cinquante ans, et il–il convertissait les gens du christianisme à l’infidélisme. Et finalement, sa santé se détériora, et il se rendit dans le Colorado pour un repos. Et un jour, pendant qu’il était au camp, il est sorti et s’est mis à contempler ces rochers. Et il a dit: «Est-ce vrai, ai-je tort? Existe-t-il un Etre qui vous a placés là?»

            Alors ces arbres se balançaient et le vent disait: «Adam, où es-tu?» Voyez-vous?

            Et finalement, cet infidèle qui était assis là sur un rondin, contemplant ces rochers, tomba sur sa face et dit: «J’ai tort. Ô Dieu, aie pitié de moi, un pécheur.»

            Il n’est pas étonnant que les Ecritures disent: «S’ils se taisent, les pierres crieront immédiatement.» Quelque chose va se passer. Si un homme regarde tout autour dans l’univers, il peut trouver Dieu. Ne croyez-vous pas que Dieu est dans Son univers? Certainement, Dieu est dans Son univers.

40        Maintenant, nous allons prendre Dieu dans Sa Parole, juste pendant une minute. Combien croient que Dieu est dans Son univers? Certainement qu’Il est dans Son univers. Nous pourrions continuer tout l’après-midi, mais nous ne voulons pas le faire. Nous voulons aborder ces deux autres points.

            Maintenant, pouvez-vous voir Dieu dans Son univers? Combien peuvent voir Dieu dans Son univers? Dans toutes ces différentes choses? Certainement que vous le pouvez. Maintenant, voyons si Dieu est dans Sa Parole.

            Dieu est dans Sa Parole, à tel point qu’il est écrit: «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.»

41        Dieu est dans Sa Parole. Nous le croyons. Il La tient. Nous pouvons le déclarer quand Dieu dit quelque chose, nous observons cette Parole s’accomplir carrément et manifester très exactement ce qu’Il a annoncé. Nous savons donc que Dieu est dans Sa Parole. Il a dit à Abraham que ce dernier allait avoir un bébé de Sara, et il a attendu pendant vingt-cinq ans; Dieu a tenu Sa Parole. Il a dit à Noé qu’il allait pleuvoir, et tout ce qu’Il a dit. Il a dit au cent vingt de monter attendre à Jérusalem jusqu’à ce que le jour de la Pentecôte arrive. Il allait envoyer la promesse du Père. Il a tenu Sa Parole. Il tient toujours Sa Parole.

            Il a dit: «Vous ferez aussi ces choses que Je fais.» Il tient Sa Parole. «Encore un peu de temps, et le monde (l’ordre du monde) ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez. Je serai avec vous, [et même] en vous, jusqu’à la fin du monde.» Il tient Sa Parole. Dieu est dans Sa Parole.

42        Tenez, comme je l’ai dit l’autre soir: «Dieu est... ‘La Parole de Dieu, a dit Jésus, est la Semence qu’un semeur est allé semer, et cette Semence a poussé’ et–et ainsi de suite.»

            Or, toute semence, si c’est le bon genre de semence, elle produira selon son espèce. Elle se reproduira. Quelques... Il y a environ trois ou quatre ans, je me trouvais dans une–une confiserie, en train de prendre une–une crème glacée en compagnie d’un vieil ami, un prédicateur méthodiste. Il est déjà dans la Gloire maintenant. Et nous étions assis là, parlant de la bonté de Dieu. C’est le même vieux ministre qui a composé ce cantique: «Nous avons laissé tomber les barrières. Nous avons laissé tomber les barrières. Nous avons fait des compromis avec le péché. Nous avons laissé tomber les barrières, les brebis sont sorties, mais comment donc les boucs sont-ils entrés?»

            Je–j’ai dit: «Eh bien, c’est simple, vous avez laissé tomber les barrières. C’est tout. Vous avez simplement commencé à faire des compromis, et c’est ainsi que les boucs sont entrés, et ils mangent toute la nourriture des brebis.» Mais les gens n’aiment pas cela; il leur faut de mauvaises herbes, de mauvaises herbes ecclésiastiques. Le bouc se nourrit–se nourrit–est satisfait avec les mauvaises herbes; mais la brebis, il lui faut la véritable nourriture.

43        Ainsi remarquez, pendant qu’il était là, la radio était allumée dans cette petite confiserie de Henryville, dans l’Indiana, où nous étions... Et le vieux docteur Spurgeon, un très grand ami à moi... Et la radio était donc allumée, et l’émission L’heure de l’agriculture passait, c’était le petit club 4-H de Louisville, dans le Kentucky, ils avaient une machine là-bas qu’ils avaient fabriquée, une machine qui pouvait reproduire un grain de maïs si parfaitement que vous ne pourriez pas le distinguer de celui qui a été cultivé dans le champ. On disait: «Prenez une poignée dans le sac de ce qui a poussé dans le champ, une poignée dans le sac de ce que la–la machine a produit, mélangez-les, et vous ne saurez plus les distinguer.» On disait: «Scindez-les, il y a la même quantité de calcium, la même quantité d’humidité, le même germe, parfaitement comme il faut, cela donnera la même farine de maïs, le même pain de maïs, les mêmes flocons de maïs, très exactement.» On disait: «Il n’y a qu’une seule manière pour vous permettre de les distinguer, c’est en les enterrant. Celui que la machine a fabriqué pourrit et ne revient jamais à la vie, mais celui que Dieu a créé revient à la vie parce qu’il a la vie en lui.»

44        Vous pouvez prendre un homme qui a l’air d’un chrétien, qui se comporte comme un chrétien, mais si cet homme n’a pas la Parole de Dieu en lui, si le germe de Vie n’est pas à l’intérieur pour le féconder, il ne ressuscitera pas à la résurrection. C’est juste. En effet, il ne peut pas ressusciter; il n’y a rien à l’intérieur pour le ressusciter; une semence.

            Eh bien, quand vous mettez une semence en terre, vous les fermiers, vous prenez votre maïs et vous allez là le semer; vous n’allez pas chaque matin déterrer cela, en vous disant: «Voyons maintenant, est-ce que ça pousse? Quelque chose est-il arrivé à cela?» Non. Puis vous remettez cela. Tard le jour suivant, vous vous dites: «Je vais voir si ça évolue bien.» Vous déterrez de nouveau cela; cela ne poussera jamais de cette façon-là. Eh bien, ce que vous faites avec une semence, vous la confiez à la terre, vous l’ensevelissez; c’est tout ce que vous pouvez faire à ce sujet. C’est à Dieu de faire le reste.

            Eh bien, c’est pareil avec la Parole de Dieu. Si vous prenez n’importe quelle promesse divine que Dieu a faite dans Sa Bible, et que vous mettiez cela dans votre coeur, et que vous l’arrosiez chaque jour avec des louanges adressées à Dieu, elle va s’accomplir, cela va pousser, si vous cessez de tripoter cela, si vous laissez simplement cela tranquille. Ne dites pas: «Je vais voir, est-ce que je peux bouger mon doigt un peu mieux aujourd’hui, est-ce que je me sens mieux, est-ce que mon mal de tête s’est un petit peu calmé?» Oh! Non! Ça ne fera jamais l’affaire, confiez tout simplement cela à Dieu, et partez, laissez cela tranquille. Voilà la semence de Dieu. Elle va croître.

45        Il y a quelque temps, j’étais à Minneapolis, dans le Minnesota, et ce matin-là j’ai reçu une lettre acerbe. Et, ce soir-là, il y avait eu une tempête de neige, et je suis retourné dans un vieux petit hôtel bon marché, et je cherche toujours à rester à un endroit. Je ne crois pas que les chrétiens devraient demander les meilleures choses qu’il y a dans le pays. Un chrétien devrait être humble. Je–je pense que c’est... même si vous en avez les moyens, je pense que vous devriez toujours être exemplaire. Mon Seigneur n’avait même pas un endroit où reposer Sa tête. Les renards avaient des tanières, et les oiseaux des nids, mais Lui n’avait pas un endroit où reposer Sa tête. Il est venu dans le monde en empruntant une mangeoire pour y naître, Il est venu au travers d’un sein emprunté, et Il s’en est allé dans un tombeau emprunté. Oh! la la! Et c’était le Dieu du Ciel, et nous aussi nous devrions faire montre d’humilité.

46        Je suis donc entré et il y avait là une lettre de vingt-deux pages provenant d’un certain doyen d’une université. Oh! Qu’est-ce qu’il m’a rabroué! Il a dit: «Monsieur Branham.» Il ne voulait pas m’appeler frère. Il a dit: «Monsieur Branham, de penser que vous vous tenez devant tant de gens comme vous le faites, et puis avec une théologie aussi pourrie, je n’ai jamais entendu cela de ma vie.» Et il a dit: «Vous vous vantiez d’être un prédicateur depuis trente et un ans.» Il a dit: «Jeune homme, moi je prêchais avant votre naissance.»

            Et je me suis dit: «Eh bien, c’est... Je respecte certainement un homme qui prêche depuis si longtemps.» Ainsi donc je me suis dit: «Bien, c’est tout à fait en ordre.»

            Alors, il a dit: «De penser que vous avez dit hier soir qu’un–qu’un... le serviteur de Dieu...» Il a dit: «J’ai roulé sur quinze miles [24 km] à travers une tempête de neige aveuglante pour entendre un serviteur de Christ, et qu’ai-je trouvé sinon un devin raffiné.» Il était venu...

            Il a dit: «Et vous avez dit: ‘Le diable ne peut pas guérir.’» Il a dit: «Un homme qui prêche à autant de monde comme vous et qui n’en sait pas plus sur la Bible que cela, et qui n’en sait pas plus que–que dire que le diable ne peut pas guérir.» Il a dit: «Je vais vous faire savoir que je vis dans une communauté ici, où il y a une femme qui a un esprit de divination.» Il a dit: «Les gens viennent consulter cette femme; elle a sur elle un grand tablier, elle les tâte partout comme ceci, et on laisse tomber de l’argent dans ce tablier.» Il a dit: «Ensuite, elle arrache quelques cheveux de sa tête, elle leur pique dans les veines et applique du sang sur ces cheveux. Elle descend à un petit ruisseau derrière sa maison, et elle y jette cela. Les gens se tiennent devant elle. Elle monte comme ceci, et si elle est contrainte de regarder derrière, eh bien, a-t-il dit, alors la maladie revient sur la personne, si elle ne se retourne pas, elle jette cela, à travers son... le sang des gens, et ses propres cheveux, dans le ruisseau...» Et il a dit: «Nous avons gardé des témoignages là-dessus.» Il a dit: «Au moins vingt ou trente pour cent de ces gens sont guéris. Et puis, vous voulez me dire que vous ne croyez pas qu’un démon puisse guérir.»

47        Eh bien, je–j’ai tout simplement pensé: «Un doyen d’une université!» Eh bien, je me suis dit: «C’est une trop belle lettre, ainsi la première chose c’est que j’ai oublié de lui répondre. Et si vous avez déjà lu une de mes lettres, je–je suis le seul à pouvoir la déchiffrer.» Ainsi donc, je–je me suis assis et j’ai fait de mon mieux, et j’ai écrit: «Mon précieux frère», comme lui m’a appelé tout simplement «Branham». Et je–j’ai écrit: «Mon précieux frère...» Et je le disais sincèrement, un homme qui prêche depuis cinquante ans mérite des égards. Eh bien, cela... tout... quand bien même il a tort, il mérite des égards.

            J’ai dit: «Mon précieux frère...» J’ai dit: «La première chose que j’aimerais dire, c’est que je vous pardonne pour ce que vous avez dit, et ma prière est que Dieu vous pardonne aussi. Souvenez-vous, les pharisiens qui avaient prêché depuis bien plus longtemps que vous, ont vu la même chose être accomplie et ils ont dit que c’était la puissance du diable, Béelzébul, et Jésus a dit que lorsque cela serait accompli par le Saint-Esprit dans ces derniers jours, un seul mot prononcé contre cela ne serait jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. Eh bien, qu’arriverait-il si, par exemple, j’ai raison? Dans ce cas-là, vos cinquante ans de prédication ne signifient rien. Vous avez condamné votre âme à l’enfer pour toujours. Vous ne serez jamais pardonné pour cela.» J’ai dit: «Je ne vous condamnerai pas, frère, comme vous avez fait cela par ignorance.» Alors, j’ai dit: «Ne laissez pas cela blesser vos sentiments.»

48        Mais j’ai dit: «Et puis, vous étiez... ne cessez de m’acculer au sujet de ma théologie, quand je dis: ‘Un démon ne peut pas guérir.’» J’ai dit: «Je vais vous citer Jésus.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Vous ne pouvez pas mélanger les Ecritures, vous devez Les garder bien claires. C’est juste. J’ai dit: «Jésus a dit: ‘Satan ne peut pas guérir’, et vous, vous avez dit: ‘Il guérit.’» Eh bien, j’ai dit: «Maintenant, si vous voulez bien m’excuser.» J’ai dit: «Je–je vais vous dire ce qu’il en est de votre sorcière qui est dans votre voisinage.» J’ai dit: «Si... Il est évident que ces gens sont guéris.» En effet, j’ai dit: «En Afrique, j’ai vu les gens aller vers des idoles et être guéris. A Las Alderaines, ils ont un monument là-bas d’une certaine femme qui est morte, dans une église catholique. Les gens y vont et regardent cette femme morte en récitant Je vous salue Marie, et ils sont guéris. Certainement, parce que les gens pensent qu’au travers de cela ils s’approchent de Dieu, et Dieu les guérit sur base de la foi. Et chaque fois qu’on a la foi, Dieu doit honorer cette exigence.» C’est juste.

            J’ai dit: «Il y a beaucoup de gens dans le pays aujourd’hui qui se disent des guérisseurs divins.» Ils disent: ‘J’ai la puissance dans mes mains. Gloire! Alléluia! Woooo! Sentez cela.’» Et les Américains se laissent prendre par cela comme je ne sais quoi, comme un clochard devant des gâteaux chauds. Et ils–et–ils–ils pensent que c’est juste. Ils sont guéris parce qu’ils sont... Il ne s’agit pas de ça. C’est votre foi dans l’oeuvre achevée de Jésus-Christ. C’est là-dessus que repose la guérison. Ne laissez jamais quelqu’un vous persuader qu’il a le pouvoir de guérir. C’est faux.

49        Jésus-Christ a déjà payé la dette. Comment pourriez-vous encore racheter cela? Il vous donne un reçu payé de la maison de prêt sur gage, où vous vous trouviez. Vous êtes racheté par le précieux Sang de Jésus. Vous n’avez pas la puissance de guérir. Ce que vous faites c’est avoir... Vous pourriez avoir un don pour manifester Dieu. Vous pourriez avoir un don pour Le manifester au travers d’un grand prédicateur, comme certains de mes frères ici qui pourraient se tenir ici et faire ce travail de loin mieux que moi, parce que c’est leur appel. Mon appel à moi c’est quelque chose d’autre. Mais chacun d’entre nous a un don pour essayer de vous déclarer que Christ vous a guéri quand Il est mort pour vous. Il a été blessé pour vos péchés, c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéri. C’est quelque chose pour vous amener à comprendre, si vous ne pouvez pas croire la Parole; alors Il envoie des signes et des prodiges pour prouver qu’Il est le Christ ressuscité. Voyez-vous? Par conséquent, c’est là que vous obtenez votre guérison, en croyant en Lui.

50        Eh bien, ainsi donc, j’ai dit: «Mais la chose qui m’inquiète, monsieur, ce n’est pas ça; mais c’est le fait que le doyen d’une université luthérienne fonde sa doctrine sur une sensation ou une expérience plutôt que sur la Parole de Dieu.» Oui. Oh! Vous pouvez avoir toutes sortes de sensations, mais il faut que ça soit la Parole de Dieu. C’est juste. J’ai dit: «Le doyen d’une université qui prêche depuis cinquante ans et qui... base sa doctrine (ça l’a profondément touché)–qui base sa doctrine sur une–sur une sorte d’expérience qu’a eue une femme, au lieu de la baser sur la Parole de Dieu. Dieu a dit: ‘Satan ne peut pas guérir’, et ça règle la question. Quand Lui parle, c’est éternellement vrai.»

51        Peu de temps après cela, j’ai reçu une invitation pour aller chez lui. Monsieur Moore m’a accompagné, car je savais que cet homme était intelligent. Et ainsi, il... Après que nous avons pris notre dîner là, à cette grande et célèbre université... Ils avaient là des centaines d’hectares de maïs où les étudiants pouvaient travailler pour se prendre en charge. Ce jour-là, après le dîner, il a repoussé son assiette, ce doyen de l’université, et m’a parlé, disant: «Monsieur Branham, nous sommes venus ici pour vous poser quelques questions.»

            J’ai dit: «Je pourrais ne pas être en mesure d’y répondre, monsieur.» J’ai dit: «Je ne suis pas un théologien; je suis juste un frère qui prie pour les malades.»

            Et il a dit: «Bien», a-t-il dit.

            Et monsieur Moore, qui est un théologien et qui était à côté de moi, a dit: «S’il devient trop incontrôlable pour vous, touchez-moi simplement au genou, donc avec mon genou.»

            J’étais donc assis là et il a dit: «Monsieur Branham, je vois que vous... par votre passé, vous êtes un baptiste.»

            J’ai dit: «Je l’étais.»

            Et il a dit: «Que s’est-il passé, pourquoi avez-vous quitté l’Eglise baptiste?»

            J’ai dit: «Je ne l’ai jamais quittée; c’est elle qui m’a abandonné.» Voyez-vous? J’ai dit: «Elle m’a abandonné quand elle a renié le Message que je prêchais selon la Bible.»

            Et il a dit: «Un... eh bien, monsieur Branham, il y a une chose que j’aimerais vous demander.» Il a dit: «La voici.» Il a dit: «Eh bien, si c’est ce que vous avez fait, j’aimerais dire une chose, qu’est-ce qui vous a amené à vous associer aux pentecôtistes?»

            J’ai dit: «Ils croient la Parole.»

            Il a dit: «Qu’est-ce qu’ils ont?» Il a dit: «J’ai été parmi eux, et je les ai vus donner des coups de pieds dans les tables et dans les chaises.»

            Et j’ai dit: «Oh! Certainement. C’est juste.»

            «Ils ont cassé une fenêtre ou fait quelque chose comme ça.»

            J’ai dit: «Certainement.»

            Il a dit: «Qu’est-ce que c’est?»

            J’ai dit: «Le Saint-Esprit.»

            Et il a dit: «Le Saint-Esprit?»

            J’ai dit: «Certainement, s’ils ne font pas tourner la roue correctement, ils doivent faire échapper la chose par le sifflet d’une manière ou d’une autre. Ils ont beaucoup de vapeur.» J’ai dit: «Et c’est la vérité.» Si cette Eglise pentecôtiste prenait un tas de ses louanges et les mettait à l’oeuvre, cela ferait quelque chose pour le Royaume de Dieu. Dieu vous a donné le Saint-Esprit. Vous aimez crier et louer par ce Dernier, mais placez tout simplement Cela dans des dons et des prodiges, sortez dans la rue et faites entrer des pécheurs et tout comme cela. Votre église va croître et tout ira très bien. Ne faites pas sortir la chose par le sifflet; mettez-la en action et laissez... faites tourner la roue, le train de l’Evangile.

52        Et il a dit: «Eh bien,... que pensez-vous que nous avons, nous les luthériens? Pensez-vous que... Nous croyons que nous avons reçu le Saint-Esprit quand nous avons cru.»

            J’ai dit: «Paul serait en désaccord avec vous, selon Actes 19. Il a dit: ‘Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru.’ Il n’a pas dit: ‘Eh bien, prenez cela en Grec, en Hébreu ou dans la langue que vous voulez, c’est ‘depuis que vous avez cru’.»

            Eh bien, ils croient... notre Eglise baptiste enseigne qu’on reçoit le Saint-Esprit quand on croit, mais ce n’est pas juste. Paul a dit: «Vous–avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?» Et ces gens poussaient des cris, eh bien, Aquilas et Priscille tenaient de grandes réunions où toutes sortes de choses se produisaient, mais il a dit: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?»

            Ils ont dit: «Nous ne savons même pas qu’il y ait un Saint-Esprit.»

            Après que Paul les eut tous rebaptisés et qu’il leur eut imposé les mains, le Saint-Esprit vint sur eux, ils parlèrent en langues et prophétisèrent. C’est alors qu’ils avaient reçu le Saint-Esprit.

53        Il a donc dit: «Que pensez-vous que nous avons, nous les luthériens?»

            J’ai dit: «Je pense que vous êtes potentiellement dans le bon.» Il a dit... J’ai dit: «Laissez-moi vous donner une petite parabole, car je ne sais pas comment le dire très exactement.» J’ai dit: «Eh bien, que faites-vous ici? Vous sortez labourer votre champ au printemps. Vous en ôtez toutes les tiges avec le râteau, et vous plantez votre maïs. Quand vous sortez le lendemain matin, et bien vite, vous dites...» Deux petites pousses apparaissent sur le maïs, deux petites feuilles. Et j’ai dit: «Vous regardez dehors et vous voyez ces petites pousses sortir, vous dites: ‘Gloire au Seigneur! J’ai une récolte de maïs.’» J’ai dit: «Avez-vous une récolte de maïs?»

            Il a dit: «Eh bien, je ne sais pas de quoi vous parlez.»

            J’ai dit: «Potentiellement vous avez une récolte de maïs.»

            J’ai dit: «C’était vous les luthériens, la première réforme. Et ensuite, bien vite, cette tige a poussé, ces feuilles se sont développées et, bien vite, cela est passé au gland; c’était John Wesley avec la seconde réforme, la sanctification: la seconde oeuvre précise de la grâce. Ensuite, qu’est-ce que cela a produit?» J’ai dit: «Le gland a regardé en arrière vers la tige et vers la feuille et a dit: «’ Je n’ai pas besoin de vous. Nous sommes sanctifiés; vous n’êtes que des luthériens.’» J’ai dit: «Au bout d’un moment, le pollen est apparu et il est tombé dans la feuille de maïs, et ç’a poussé et il y a eu un épi, un grain de maïs dessus.» J’ai dit: «C’étaient les pentecôtistes.» J’ai dit: «Ensuite les pentecôtistes ont levé les yeux et ont dit: ‘Je n’ai besoin d’aucun d’entre vous.’» Mais j’ai dit: «Après tout, la même vie qui était dans les deux petites feuilles a formé le gland, et a formé aussi le grain.» C’est juste. J’ai dit: «Nous...» Voyez-vous?

            La Pentecôte c’est une restauration. La Pentecôte a le Saint-Esprit, mais c’est une restauration des dons. Le même Grain, le même Jésus qui est tombé en terre se reproduit, et est monté à travers la tige, et se reproduit maintenant dans la plénitude avec des grains originaux comme Celui qui était tombé en terre.» Amen.

            Il a dit: «Comment nous appelleriez-vous?»

            J’ai dit: «L’Eglise pentecôtiste c’est l’Eglise luthérienne à un stade avancé.» C’est juste. C’est tout à fait juste. C’est l’Eglise luthérienne, nazaréenne, les Pèlerins de la sainteté et tout, à un stade avancé. Ce n’est que l’église à un stade avancé. J’ai dit: «J’admettrai que nous avons beaucoup de champignons sur l’épi, mais nous y avons aussi des grains.» Gloire à Dieu! Cela–c’est l’original.

54        Dieu est dans Sa Parole, et la Parole est une Semence. Peu importe ce qui arrive, cela va pousser de toute façon. Dieu a dit qu’elle serait là, sans tache ni ride. Croyez-vous que Dieu est dans Sa Parole? Dieu considère Sa Parole, Dieu tient Sa Parole; Dieu tient la promesse de Sa Parole. Ce qu’Il fait, Il le fait. Dieu est dans Son univers. Amen? Dieu est dans Sa Parole. Croyez-vous cela?

            Maintenant, Dieu dans Son Fils; j’ai cela noté ici. Dieu dans Son Fils. Très bien. Dieu est-Il dans Son Fils? La Bible dit qu’Il L’était. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.

55        Maintenant, si vous les unitaires, les binitaires, les trinitaires, les quadrinitaires et que sais-je encore que vous êtes, si vous vous mettez tout simplement cela en tête maintenant même, vous–vous vous serrerez la main et vous direz que nous sommes des frères. Ecoutez. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Jésus était le Fils de Dieu, car Dieu a couvert Marie de Son ombre et a créé une Cellule de Sang dans son sein.

            Eh bien, vous avez entendu les gens dire: «Nous sommes sauvés par le sang juif.» Nous ne pouvions pas être sauvés par le sang juif. C’est tout aussi pécheur que n’importe quel autre sang.

            «Avons-nous été sauvés par le sang d’un Gentil?» Non, non. Nous n’avons même pas été sauvés par le sang d’un homme. Nous avons été sauvés par le Sang de Dieu, le Sang de Dieu. Le–le germe de vie provient de la cellule de sang, et la Cellule de Sang dans ce cas est venue de Dieu le Créateur, qui a créé la Cellule de Sang qui a produit le Fils de Dieu.

56        Quand autrefois celui qui rendait un culte prenait un agneau, et qu’il allait à l’autel pour adorer, il le posait dessus, il plaçait ses mains dessus et confessait ses péchés. On l’égorgeait en brisant la cellule de sang; l’agneau mourait. Or, l’homme s’en allait dans le même état que lorsqu’il était venu. Ses péchés étaient pardonnés, mais il s’en allait avec le même désir: s’il avait volé, abattu quelqu’un, commis adultère, ou que sais-je encore, il s’en retournait avec le même désir. Mais une fois qu’un homme place ses mains sur la tête du Fils de Dieu... Pourquoi ne s’en allait-il pas–s’en allait-il dans l’état où il serait s’il plaçait ses mains sur le Fils de Dieu? La cellule de sang de l’agneau contenait une vie animale. Et cette vie animale ne correspondait pas avec la vie humaine; par conséquent, quand cette vie revenait, c’était une vie animale qui venait sur une vie humaine, et cela ne pouvait rien faire pour lui. Mais quand la Cellule de Sang de Dieu fut brisée, l’Esprit de Dieu qui vivait dans cette Cellule retournait sous la forme du Saint-Esprit; cet homme est libre du péché. La conscience même du péché a été condamnée. Amen. Je le crois de tout mon coeur.

            «Celui qui rend le culte une fois purifié n’a plus le désir du péché.» La Bible dit: «Conscience», ce qui, en fait, veut dire «le désir». Une fois que celui qui rend le culte place ses mains sur la tête de Jésus-Christ par la foi et qu’il sent cette chair frémir (comme l’homme le sentait quand il plaçait ses mains sur l’agneau qui mourait et bêlait, un agneau innocent) et qu’il croyait de tout son coeur que le Fils de Dieu est mort à sa place, quand vous faites cette confession, le Saint-Esprit qui provient de la Cellule de Sang qui vous a sanctifié, entre dans votre vie, et vous devenez une nouvelle création en Jésus-Christ. La Vie de Dieu est en vous, et Elle vous a adopté, vous êtes un fils de Dieu. Amen. N’ayez pas peur. Amen signifie ainsi soit-il. Cela ne vous fera pas de mal.

57        Remarquez. Le Fils de Dieu, l’Esprit de Dieu, est dans l’homme. Ainsi Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même. Dieu est un Esprit. Il n’avait point de mains jusqu’à ce qu’Il devint Jésus. Il n’avait point de pieds, de bras, de jambes et ainsi de suite, jusqu’à ce que qu’Il devint Jésus. Il manifesta... Personne n’a jamais vu le Père, mais le Fils unique L’a révélé. Lui, Dieu, habitait dans le corps de Christ. Cela devrait être frappant. Cela devrait amener l’homme à se poser des questions. Il aurait pu descendre du Ciel, directement des corridors du Ciel, avec une escorte d’anges, s’Il le voulait. Il aurait pu naître un adulte tout fait. Il pouvait descendre avec toute la pompe et la gloire du Ciel, mais Il n’a pas choisi cela. Il est venu dans une étable, Il est né sur un–un tas de fumier. Et le Petit Jéhovah pleurait dans une crèche, le Petit Jéhovah jouait comme un petit garçon, Le Petit Jéhovah travaillait durement comme un homme, Il–Il a changé de forme pour rester avec nous. Dieu devint un Homme.

            Lorsque Jésus-Christ est né, Dieu était Homme dans... sur terre, manifestant Dieu, ce qu’Il était. Il a travaillé durement et a peiné, et Il a compati aux malheurs des adolescents. Il–Il a enduré chaque tentation que nous endurons. Dieu l’a fait afin de faire de Son propre jugement justice. Il... Son jugement doit être justice. S’il n’y a point de justice, à quoi bon avoir un jugement? Et s’il y a un jugement sans peine, alors il n’y a pas encore de jugement. Il a donc pris sur Lui la peine de Son propre jugement, et Il est mort en tant qu’un pécheur, pour condamner le péché du monde, afin que nous, au travers de Sa justice, nous puissions être réconciliés et ramenés au trône de Dieu dans la communion, comme nous en avions dans le jardin d’Eden. Si ce n’est pas l’Evangile, je ne sais pas ce que c’est. C’est tout à fait juste. Le Précieux Fils de Dieu. Dieu était certainement dans Son Fils.

58        Je ne cite pas différentes confessions religieuses, je ne représente aucune d’elles; je les représente toutes. Il n’y a pas longtemps, j’étais au Robinson Auditorium, à Little Rock. Il y avait un vieil homme qui était sur des béquilles; il avait été appelé. Il vendait des crayons au coin depuis des années. C’était un nazaréen. Le jour suivant, il descendait la rue, tenant ces vieilles béquilles, en disant: «Mes vieilles amies, j’en ai fini avec.» Il témoignait. Ce soir-là, j’étais... suis monté à la chaire pour prêcher, il a dit: «Juste une minute, Monsieur Branham.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.» Il était en haut au balcon.

            Et il a dit: «Vous savez, quand je vous ai entendu prêcher, j’étais certain que vous étiez nazaréen.» Et il a dit: «Parce que vous prêchez la sainteté.» Et il a dit: «Ensuite, j’ai entendu quelqu’un me dire que vous étiez baptiste. Presque tous ces gens sont pentecôtistes.» Il a dit: «Je ne comprends pas cela.»

            J’ai dit: «Ô père, c’est facile.» J’ai dit: «Je suis un pentecôtiste-nazaréen-baptiste.» C’est–c’est cela. Nous sommes des représentants de Jésus-Christ, c’est ça, pas des représentants de votre dénomination, mais de votre Dieu.

59        Eh bien, cette femme était membre d’une–une église de la Science chrétienne, une femme très aimable, et elle a dit... Bien sûr, eux ils ne croient pas dans la... que Jésus était Dieu. Elle a dit: «Monsieur Branham, j’apprécie votre enseignement.» Mais elle a dit: «La seule chose qui me glace le sang, c’est le fait que vous essayez de faire de Jésus Dieu.» Elle a dit: «Vous Le vantez trop.»

            J’ai dit: «Je ne saurais pas Le vanter assez.»

            Elle a dit: «Eh bien, vous Le vantez toujours, vous Le vantez.»

            J’ai dit: «Il est... je... si j’avais dix mille langues, je ne pourrais pas Le vanter assez.» J’ai dit: «Pour ce qu’Il a fait pour moi.»

            Elle a dit: «Mais vous faites de Lui Dieu.»

            J’ai dit: «Il était Dieu. S’Il n’était pas Dieu, le monde entier est perdu.» C’est tout à fait juste.

            Elle a dit: «Si je... Vous avez dit que vous étiez fondamentaliste, que vous vous en teniez uniquement à la Bible.»

            J’ai dit: «C’est juste.»

            Elle a dit: «Si je vous prouve par la Bible qu’Il n’était pas Dieu, allez-vous l’accepter?»

            J’ai dit: «Si la Bible dit qu’Il ne L’était pas, je l’accepterai.» Elle... J’ai dit: «Mais la Bible ne le dit pas.»

            Elle a dit: «Oh! si Elle le dit aussi.»

            J’ai dit: «Où ça?»

            Elle a dit: «Très bien, dans 1–dans Saint Jean, chapitre 11, quand Jésus s’est rendu à la tombe de Lazare, la Bible dit: ‘Il pleura.’» Elle a dit: «Monsieur Branham, Il ne pouvait pas pleurer et être Dieu.»

            «Oh! ai-je dit, madame, votre argument est moins consistant qu’un bouillon à base de l’ombre d’un poulet mort de faim.» J’ai dit: «Eh bien, vous... Eh bien, ce n’est pas scripturaire.» J’ai dit: «Ecoutez donc, Il était à la fois Dieu et Homme.» J’ai dit: «Il était un Homme quand Il pleura à la tombe de Lazare, mais quand Il a redressé Ses petites épaules et qu’Il a dit: ‘Lazare, sors!’, et qu’un homme qui était mort depuis quatre jours s’est tenu debout et est revenu à la vie, il fallait plus qu’un homme. Il fallait la Divinité pour faire cela. Dieu était en Christ.»

60        Il était un Homme quand, affamé, Il descendait la colline ce soir-là, ou plutôt ce matin-là, regardant, cherchant à manger sur ce figuier et qu’Il n’en trouva point. Il était un Homme quand Il avait faim, mais quand Il a pris ces cinq petits pains et deux poissons et qu’Il a nourri cinq mille personnes, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu vivant dans un Homme. Certainement.

            Il était un Homme quand, épuisé, Il était couché dans cette vieille petite barque là-bas ce soir-là, la vertu étant sortie de Lui à cause des visions et tout pendant la journée. Et le diable avait juré ce soir-là, probablement dix mille démons de la mer, qu’ils Le noieraient, pendant qu’Il était là dans ce vieux petit bateau, là-bas, qui était ballotté comme le bouchon d’une bouteille sur une vaste mer pendant la tempête. Il était là, flottant comme cela, et Il était couché à l’arrière du bateau, et les vagues ne L’ont même pas réveillé, Il dormait. Il était donc fatigué et épuisé. C’était un Homme quand Il dormait, mais une fois qu’Il s’est levé (Alléluia! Oh! ), Il a placé Son pied sur la cargue de la barque et Il a dit: ‘Silence! tais-toi!’ et le vent est allé dans sa caverne comme un petit bébé à son... Le vent et les vagues ont obéi; il fallait plus qu’un homme pour faire cela; il fallait Dieu. Il fallait l’inspiration; il fallait la puissance de la Divinité pour faire cela. Dieu était dans Son Fils. Croyez-vous cela?

61        Quand Il est mort sur la croix, Il a effectivement imploré miséricorde; c’était un Homme. Il implorait miséricorde à la croix, mais le matin de Pâques, quand Il est ressuscité et qu’Il a brisé le sceau de la mort et du séjour des morts et qu’Il est ressuscité de la tombe, Il était plus qu’un homme. Il faut plus qu’un homme pour ressusciter de la tombe; il faut Dieu pour faire cela. Il n’est pas étonnant que le poète ait dit: «Vivant, Il m’aima. Mourant, Il me sauva. Enseveli, Il emporta mes péchés au loin. Ressuscitant, Il me justifia gratuitement pour toujours. Un jour, Il va venir, oh! quel jour glorieux!» Oui, monsieur. En Lui habitait la plénitude de la Divinité corporellement. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.

            Croyez-vous que Dieu est dans Son univers? Croyez-vous que Dieu est dans Sa Parole? Croyez-vous que Dieu était dans Son Fils? Eh bien, la chose suivante que j’ai ici, c’est Dieu dans Son peuple.

62        Maintenant, nous allons voir si nous pouvons en venir avec Lui jusqu’à Son peuple. Dieu est Esprit, et Il utilise toujours l’homme pour se manifester sur la terre. Il l’a fait dans Son Fils. Dieu était en David. Savez-vous cela? Dieu était dans Son peuple.

            David, quand il était rejeté, comme roi, il est monté au sommet de la colline, et il a regardé en arrière, pleurant en tant qu’un roi rejeté. Cinq cents ans plus tard, le Fils de David se tint sur la même colline comme un Roi rejeté et pleura sur Jérusalem. Est-ce juste? Joseph avait Christ en lui, quand il naquit comme un frère spirituel. Ses autres frères le haïssaient. Observez cette Eglise aujourd’hui. Les autres frères le haïssaient sans cause. Il était aimé de son père, haï de ses frères. Eh bien, ils le haïssaient sans cause. Il ne pouvait rien au fait qu’il était né pour avoir des visions et interpréter des songes. Mais ils le haïssaient. C’est ce qu’ils font aujourd’hui, la même chose.

63        Le diable retire son homme, mais jamais son esprit. Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. L’Esprit qui était sur Elie est venu sur Elisée, et est passé d’Elisée sur Jean-Baptiste, et il a été prédit qu’Il doit revenir dans les derniers jours. Voyez-vous? Dieu a pris l’Esprit de Son Fils et L’a envoyé sur l’Eglise. Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. Le diable retire son homme, mais jamais son esprit.

            Ces deux Esprits ont été en guerre dans la chair humaine depuis le commencement du temps. C’est juste, et Ils seront en guerre jusqu’à la fin. Si seulement vous étudiez les Ecritures et observez comment ça fonctionne, vous ne serez pas perdu, si vous L’acceptez comme votre Sauveur et comme votre Guide pour vous guider au travers des Ecritures, sous... pendant que nous naviguons sur cet océan solennel de la vie, dans notre petite barque. Laissez-Le entrer et se tenir à vos côtés et piloter votre bateau.

64        Bon, nous voyons que Dieu était en Moïse. Dieu était en Elie. Il y eut Elie, un homme qui restait là à l’écart dans la–la caverne, là-bas. La femme sunamite qu’Il avait bénie avait eu un bébé et ce bébé mourut, et Elie est venu sur la scène. Elie était un homme de Dieu. Quand il est entré, l’enfant était étendu sur son lit. Tout d’abord, Elie savait qu’il était un homme de Dieu. Il ne s’est pas vanté à ce sujet, il ne faisait pas du bruit là-dessus, mais il savait qu’il était un homme de Dieu. Ainsi, il avait marché en s’appuyant sur ce vieux bâton, et il dit à Guéhazi: «Prends ce bâton, et va le poser sur l’enfant.» Il savait que tout ce qu’il touchait était béni, parce que Dieu était en lui; s’il amenait la femme à croire la même chose...

            C’est ainsi que la femme toucha le bord du–du vêtement de Jésus. En effet, elle savait qu’Il était un Saint Homme, que Dieu habitait dans Son peuple. Et elle savait que si Dieu était en Elie, certainement qu’Il était en Jésus. Elle savait que...

            Si nous pentecôtistes, nous pouvions nous respecter les uns les autres comme cela, savoir que nous ne devrions jamais parler les uns des autres, que nous sommes des frères, que nous sommes des soeurs, il n’y aurait jamais d’ignominie parmi nous, si nous pouvions nous reconnaître les uns les autres, ce que nous sommes en tant que fils et filles de Dieu, et que Dieu habite dans Son Eglise, dans Son peuple. Certainement. Dieu est dans Son peuple. Le croyez-vous?

65        Considérez ce prophète. La femme ne croyait pas dans le bâton. Je pense que c’est de là que Paul a tiré la pratique qui consistait à appliquer des mouchoirs qui avaient touché son corps. En effet, je crois que Paul ne prêchait que ce qui se trouvait dans la Parole, il envoyait donc des mouchoirs aux gens. Dieu était en Paul, et les gens retiraient des mouchoirs qui avaient touché le corps de Paul, les plaçaient sur leur corps et les mauvais esprits les quittaient, et les maladies étaient guéries. Dieu était dans un Homme. Croyez-vous cela? Paul.

            Dieu était en Elie, et celui-ci fut appelé sur la scène quand un bébé était mort. Il ne savait pas ce qu’il fallait faire. L’enfant était mort. Il fit donc tout simplement les cent pas sur le plancher (Oh! J’aime cela), attendant que le Saint-Esprit vienne, il faisait les cent pas dans la pièce. Et au bout d’un moment, il commença à sentir l’Esprit venir sur lui. Je crois qu’il a repris un petit peu courage, vous savez, et il marchait un peu plus vite. Oh! Il sentit l’Esprit, il s’étendit sur l’enfant et celui-ci éternua à sept reprises et revint à la vie: Dieu dans Son peuple.

            Qu’est-ce qui pourrait ramener la vie après la mort, à part Dieu? Amen. Fiou! Je me sens très religieux à l’instant même. Oh! la la! Vous pensez qu’un baptiste ne crie pas, moi, je crie certainement. Oh! Dieu est dans Son peuple.

66        Il y avait un vieux pêcheur qui n’avait pas... Aujourd’hui on cherche des intellectuels, le grand gaillard qui est allé à l’université et qui connaît tous les diplômes, et qui a un doctorat en théologie, un doctorat d’Etat, toutes sortes de doctorats. Et ainsi donc, premièrement il se lève là, vous savez, et il connaît tout. Nous pensons que c’est le gars qu’il faut. Mais Dieu eut une fois un vieux petit pêcheur sous Son contrôle. Il ne savait même pas écrire son nom, il était illettré, sans instruction; mais les gens ont vu Dieu oeuvrer dans cet homme, au point qu’ils se couchaient littéralement à l’ombre de ce pêcheur et étaient guéris, tout celui sur qui son ombre passait.

            Dieu est dans Son peuple. Croyez-vous cela? Dieu est dans Son univers. Croyez-vous cela? Dieu est dans Sa Parole. Croyez-vous cela? Dieu est dans Son Fils. Croyez-vous cela? Dieu est dans Son peuple. Croyez-vous cela?

67        Ecoutez, hier soir, lorsque nous prêchions sur «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais», nous avons considéré les oeuvres qu’Il a faites, et nous avons montré en quoi cela consistait. Il a promis qu’Il serait ici. Vous direz: «Mais Dieu était vivant dans un autre âge.»

            Dieu vit à toujours. Dieu est éternel. Dieu ne peut pas mourir. Dieu... Ils ont tué le corps, Jésus, mais Dieu L’a ressuscité et Il vit éternellement. Son Esprit vit dans l’Eglise aujourd’hui. Son Esprit est ici maintenant. Son Esprit est parmi Son peuple. Il se confirme non pas par une certaine chose... Il peut confirmer qu’Il est vivant par ceci. Il peut confirmer qu’Il est vivant par le coucher du soleil. Il peut confirmer qu’Il est vivant par Sa Parole. Il peut confirmer qu’Il est vivant par Son Esprit qui est dans la salle maintenant, près des hommes et des femmes qui voudront s’abandonner à Lui. Amen. Abandonnez-vous à Lui, vous dites: «Que se passe-t-il, Frère Branham, quand vous voyez ces visions?»

            C’est tout simplement que j’ai un don qui me permet de me détendre, de mettre William Branham de côté. Le plus grand ennemi que j’ai, c’est William Branham. Il est toujours en travers de mon chemin. Il est toujours en travers du chemin de Dieu, dirai-je. Il se met toujours en travers du chemin de Dieu: Il est trop fatigué, il ne veut pas faire ceci, il ne veut pas faire cela. Si seulement je peux crucifier ce gars, Dieu peut utiliser cela. Dieu peut utiliser ce corps, utiliser ce microphone. Ce microphone est muet jusqu’à ce que je parle dedans, ou que quelqu’un parle dedans, mais il ne peut pas parler de lui-même. Comment un homme peut-il voir une vision? Comment un homme peut-il guérir une personne malade? Comment l’imposition des mains peut-elle ramener à la vie un enfant mort et ainsi de suite? Comment cela peut-il se faire? Ce n’est pas l’homme; c’est Dieu dans cet homme, juste de la même façon que Dieu est dans le coucher du soleil. Dieu est partout.

68        Il nous faut naître de Son Esprit, et reconnaître et s’attendre à Lui. Il est si près de vous. Il n’est pas seulement près de vous, vous qui êtes né de nouveau, Il est déjà en vous, essayant d’accomplir Sa volonté... Et le diable se tient là, disant: «Ne crois pas cela; ne crois pas cela; ne crois pas cela, ceci, cela. Ce–ce n’est pas pour toi; c’était pour un autre jour.»

            Oh! Dites: «Arrière de moi, Satan. Il est écrit: ‘Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.’» C’est de cette façon que Jésus a vaincu Satan; Il n’a pas utilisé Sa propre puissance. Il était Dieu manifesté dans la chair, mais Il n’a pas utilisé Sa propre puissance. Tous les dons qu’il y avait dans le Ciel, Il les avait en Lui, mais Il n’a pas utilisé cela. Il a simplement pris la Parole du Père.

            Il a dit: «Il est écrit: ‘Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu.’ Il est écrit. Il est écrit. Il est écrit. Il est écrit.» Et Il a vaincu Satan. Et la Parole de Dieu vaincra Satan n’importe où, sur n’importe quel terrain et dans n’importe quelles circonstances: la Sainte Parole de Dieu.

69        Dieu vit dans Son univers. Dieu vit dans Sa Parole. Dieu vit dans Son Fils. Dieu vit dans Son peuple. Il est Dieu partout. Si seulement vous Le laissez entrer maintenant, vous verrez Dieu vivre de nouveau cet après-midi parmi nous. Inclinons la tête.

            Car la Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, séparant moelle et jointure, Elle discerne les pensées et les intentions du coeur. La Parole de Dieu entre dans l’être humain et discerne les pensées. Jésus connaissait les pensées des gens. Si c’est juste, dites: «Amen.» Qu’était-Il? «Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair.» Et Il a dit: «Vous me condamnez parce que Je me dis le Fils de Dieu, or il est écrit dans votre loi que vous êtes des dieux.»

70        L’homme fut créé pour être un dieu. La terre est son domaine. La terre entière attend maintenant la manifestation des fils de Dieu. Considérez combien nous sommes loin en arrière. Mais, souvenez-vous, les prophètes... Il a dit: «Si vous appelez des dieux ceux à qui la Parole de Dieu venait...» Qu’était un prophète? Un interprète divin de la Parole, qui avait l’interprétation divine. Les miracles qu’il accomplissait, prédisant et annonçant d’avance les choses, étaient une confirmation pour les gens qu’Il était un prophète. C’est ce que les Juifs ont dit: «Laissez-nous Le voir prendre cette Bible. Elle dit: ‘Ce Jésus était le Christ et Il mourut et Il ressuscita, vous ferez aussi les oeuvres qu’Il a faites.’ Qu’Il accomplisse devant nous le signe du prophète; nous croirons que c’est l’Esprit.» C’était le Messie et Il travaille encore dans Son homme. C’est Son prophète. Voyez-vous? Il travaille dans cela. Comment cela peut-il être fait si ce n’est par Dieu? Dieu est la seule Personne qui peut faire cela. Voulez-vous que l’on se souvienne de vous dans la prière? Levez la main, dites: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. Je veux croire maintenant de tout mon coeur au Seigneur Jésus. Je sais que je suis une créature qui est–qui est destinée à l’Eternité.»

            Il y eut un temps où vous n’étiez rien, nulle part, mais il n’y aura jamais un temps où vous ne serez pas quelque chose ou quelque part. Si vous êtes un pécheur, prenez votre décision cet après-midi. Christ est ici pour vous aider, pour vous sauver. Voulez-vous... Je ne suis pas fameux pour ce qui est de persuader les gens à venir à l’autel. Je pense que si la Parole de Dieu ne fait pas cela... Jésus a fait cette observation, que cela ne vous blesse pas: «Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi. Mais nul ne peut venir, si Mon Père ne l’attire premièrement.» Nous jetons tout simplement le filet.

71        Si vous êtes un pécheur, voudriez-vous juste lever la main? Je ne vous appelle pas à l’autel, dites simplement: «Frère Branham, je suis un pécheur. Je vais lever mes mains vers Dieu. Que Dieu fasse de moi un vrai croyant, de sorte que je puisse Le voir comme le vieux pêcheur. Je désire Le voir dans tout Son univers, dans Sa Parole; je désire Le voir.» Levez la main, dites: «Priez pour moi, frère.» Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Levez la main. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, là tout au fond. Que Dieu vous bénisse.

            Qu’en est-il de tous... en haut au balcon, à ma droite, y en a-t-il là-haut, vous qui avez la tête ainsi que le coeur inclinés, qui ne connaissez pas le Seigneur Jésus, dites: «Frère Branham, souvenez-vous de moi dans votre prière pendant que vous priez.» Tous les chrétiens de ce côté-là, la balle est dans votre camp.

72        Maintenant, souvenez-vous de ce qu’est un chrétien. Si vous aimez le monde et les choses du monde, c’est parce que l’amour de Dieu n’est pas en vous. Nous ne pouvons pas prendre ceci à la légère. C’est une réalité; c’est une vraie naissance, un véritable passage de la mort à la Vie.

            Au balcon, à ma gauche, y a-t-il là des gens qui voudraient lever la main et dire: «Je ne suis pas un chrétien, Frère Branham, je souhaite que vous vous souveniez de moi dans la prière. Je ne lève pas ma main vers vous en tant que prédicateur; je lève ma main vers Dieu. Qu’Il soit miséricordieux envers moi.» Y en a-t-il? Très bien.

            Encore une fois en bas au rez-de-chaussée, voyons par ici. Y a-t-il quelqu’un d’autre, afin que je sois sûr de la prière que je fais. Je crois que Dieu écoute ma prière. Il m’a dit: «Si tu es sincère, et que tu amènes les gens à te croire, rien ne résistera à ta prière.»

            J’ai dit: «Les gens ne voudront pas me croire, car je suis sans instruction.»

            Il a dit: «De même que Moïse reçut deux signes pour confirmer qu’il était envoyé pour la délivrance, de même deux signes te sont donnés.» Levez la main, dites: «J’aimerais que l’on se souvienne de moi dans la prière, Frère Branham.» S’il y en a un autre au rez-de-chaussée qui n’a pas levé la main... Très bien.

73        Notre Père céleste, je Te les confie. Voilà des mains, cet après-midi, qui se sont levées. J’en ai vu deux au rez-de-chaussée. Maintenant, Seigneur, je Te prie de toucher ces gens à cette heure-ci. Les gens se sentent satisfaits du fait que Tu es avec eux. Et je Te remercie pour cela.

            Maintenant, Père, s’il y a une ombre de doute, que cela ne soit pas sur eux, qu’ils soient absolument certains, parce que ce matin-là sera un matin terrible. A la rivière, le brouillard sera épais. Je veux être certain que mon ticket est valable, et que tout a été mis en ordre maintenant, pour cette heure-là. Il se pourrait que je n’aie plus d’occasion; je n’aurais pas une occasion. Il n’y aura plus de miséricorde à ce moment-là. Il n’y aura plus de Sang sur le propitiatoire; ça sera un Trône de Jugement, et des comptes me seront demandés.

74        Ô Dieu, accorde que ces précieuses âmes dont Tu as touché les coeurs... Je Te prie de les sauver maintenant même. Puissent-ils savoir que Tu as dit dans Ta Parole: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire.»

            Et ils ont levé la main pour montrer qu’il y a un Esprit qui leur a dit de la lever. Ils ont levé leur main vers le Ciel, vers le Créateur des cieux et de la terre.

            Père divin, je Te prie d’inscrire leurs noms dans le Livre de Vie. Qu’ils soient écrits avec le Sang de Jésus dans le livre de leur péché: «Pardonné.» Jette-le dans la mer de l’oubli, ne T’en souviens plus contre eux. Et que leurs noms soient écrits à nouveau dans le Livre de Vie de l’Agneau, afin qu’en ce jour-là le Sang... le Livre soit aspergé du Sang du Seigneur Jésus, afin qu’aucun péché ne leur soit imputé. Accorde-le, Père. Je Te les confie.

75        Si je n’ai plus l’occasion de leur serrer la main dans cette vie, puissé-je avoir ce privilège ce jour-là, quand ils se tiendront là par myriades. Puissé-je les entendre crier: «Frère Branham, c’est moi qui avais levé ma main cet après-midi-là, à Yakima.» Ils seront si heureux. Tu as montré l’autre soir la vision, révélant combien ils étaient heureux, ceux qui étaient passés de cette vie à l’autre.

            Maintenant, je Te prie de les bénir. Et maintenant, cet après-midi pendant que nous appelons la ligne de prière, puisses-Tu te manifester, confirmer la Parole et être Dieu dans Son peuple pour nous aujourd’hui, comme nous voyons Dieu dans Son univers, Dieu dans Son Fils, Dieu dans Sa Parole, Dieu dans Son peuple. Accorde-le, Père, nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

76        A vous, chers amis, je pensais... J’ai enlevé cette montre. Cela fait successivement trois montres; quand je tiens le bras de quelqu’un avec cette... pour ce... la montre s’arrête, elle cesse de... Je... ne m’explique pas pourquoi... Le joaillier, juste ici dans la ville, venait de l’arranger. Il essaie de le faire. Et la tige est sortie, le cadran est tombé, les aiguilles... C’est une montre Vulcain Cricket de trois cents dollars, dotée d’une alarme, qui m’a été offerte en Suisse. Voyez-vous? Et on m’en a offert une toute neuve ici en Californie. J’ai placé ma main sur une personne comme cela afin de prier pour... Quelqu’un a-t-il déjà vu cela? Y a-t-il quelqu’un ici qui a été présent quand cela se produit? Levez la main, si vous avez déjà été là quand cela se produit. Et cette chose s’est arrêtée, elle s’est démantelée, je n’ai plus jamais été en mesure de l’utiliser jusqu’à ce jour. Trois montres successivement. Pour être sûr, je l’ai donc enlevée.

77        Maintenant, nous allons... Quelle série a-t-on appelée hier soir? Nous avions les cartes de prière série A, série A. Voulez-vous distribuer... Cent cartes ont été distribuées en une fois hier soir. Nous avons appelé de 1 à 50, je crois. Ensuite les choses sont devenues telles que personne ne montait.

            Maintenant suivez, je sais que c’est étonnant. Oui, oui. C’est glorieux. Si vous venez ici avec des péchés non confessés, vous feriez mieux d’arranger cela avant de venir (Voyez-vous?), car ça sera certainement dénoncé. Mais cet après-midi, je vais simplement prendre quelques cartes de prière et prier pour ces gens. Je vais donc prier juste pour les gens qui ont les cartes de prière.

78        Commençons cet après-midi là quelque part ailleurs dans cette tranche. Nous en avons donc quelques-uns ici, peut-être, pour le discernement ou quelque chose comme ça. Commençons ailleurs dans cette tranche de cent cartes. Voyons, hier soir nous sommes arrivés vers 15, 20 ou quelque chose comme cela, et les gens en sont arrivés au point où ils ne venaient plus, et alors je... Disons, commençons à 51. Cette carte est-elle là? 51, qui a la carte de prière 51? Levez la main. Une femme, très bien, c’est bon de commencer par elle. Venez ici, madame. 52, qui a la carte de prière 52? Nous allons les prendre toutes, mais nous... simplement. Très bien.

79        Mon fils me fait savoir que les gens n’entendent pas dans la salle. Est-ce juste? M’entendez-vous en haut au balcon? Vous n’entendez pas? M’entendez-vous par là? Eh bien, que Dieu bénisse vos coeurs, vous êtes restés assis ici tout l’après-midi et vous n’entendez même pas. Ils n’entendent rien au balcon. Vous ne... entendez-vous là au fond? Là-bas derrière, ils entendent, mais en haut au balcon, ils n’entendent pas. Oh! Que vos coeurs loyaux soient bénis. Que Dieu, mon Sauveur, exauce la requête de chacun de vous cet après-midi. Entendez-vous cela? Que Dieu exauce votre requête, quelle qu’elle soit, puisque vous êtes restés assis là tout ce temps, pendant que je parlais et que vous n’entendiez rien. Que Dieu vous le révèle d’une autre manière, que je vous dis la Vérité.

            Très bien, nous allons appeler la ligne de prière maintenant. Je vais devoir parler fort comme ceci, parce que les gens qui sont là-haut peuvent avoir des cartes de prière. J’appelle à partir de la carte de prière... Où en étais-je... Qu’était... 50... La carte de prière 52? Très bien, la carte de prière 52, qui l’a? 53? Venez directement ici, madame. Cinquan-... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

80        «Seigneur Jésus, veux-Tu bien me guérir?»

            Il dirait: «Mon enfant, Je l’ai déjà fait.»

            – Eh bien, Tu l’as déjà fait? Maintenant, attends une minute; c’est un peu diff-... J’ai entendu dire que Tu étais un Guérisseur.

            – Je suis un Guérisseur, dirait-Il.

            – Eh bien–eh bien, pourquoi ne me guéris-Tu pas?

            – Eh bien, Mon enfant, Je l’ai déjà fait. J’ai payé le prix de ta guérison il y a longtemps là-bas. Je ne pouvais jamais, jamais le faire en Mon jour, quand J’étais sur terre, ni ne peux en aucun moment maintenant faire quoi que ce soit, pour qui que ce soit, à moins que la personne ait la foi pour croire d’abord. 

            Combien savent cela? C’est ça la base. Il faut la foi. Très bien.

            Maintenant, les gens diraient: «Eh bien, comment saurais-je que Tu es le Seigneur Jésus? Veux-Tu faire quelque chose?»

            «Eh bien, oui, Je vais lever Ma main. Je vais prêcher un petit moment.»

            Mais, vous voyez, dites: «Seigneur, révèle-moi que c’est Toi.»

            Il devrait faire quelque chose comme ce qu’Il faisait quand Il était ici sur terre (Est-ce juste?), faire quelque chose pour vous le révéler. Quel était donc le signe, d’après ce que nous avons vu hier soir, par lequel Il a fait savoir aux gens qu’Il était le Messie? Comment l’a-t-Il fait? Il leur a donné le signe du Messie pour montrer qu’Il était le Prophète dont Moïse avait parlé: Il connaissait le secret de leurs coeurs. Combien savent cela? Combien témoignent que c’est ce que dit la Bible: «L’Eternel votre Dieu suscitera un prophète comme moi»? Et Jésus connaissait les pensées des gens, Il connaissait les secrets de leurs coeurs, Il les leur révélait. Et à ce propos, Il a manifesté qu’Il était le Fils de Dieu.

81        Eh bien, si Dieu est dans Son peuple, cette même Vie qui était en Jésus est ici dans l’Eglise. Et Elle est en vous qui... Cette femme qui se faufilait dans la ligne de prière n’avait pas de carte de prière, pour ainsi dire. Mais elle est restée à l’écart là dans l’assistance; elle a touché le bord de Son vêtement.

            Eh bien, aujourd’hui Jésus est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Est-ce juste? Maintenant, comment saurez-vous que vous L’avez touché. Il agira de la même façon qu’Il l’avait fait quand Il était ici sur terre.

            Maintenant, souvent vous qui êtes estropiés et ainsi de suite vous vous dites: «Il n’y a plus d’espoir pour moi.» Ôtez cela de votre esprit. Pour Dieu, vous pouvez tout autant recevoir la foi qu’eux. Votre guérison est tout aussi certaine que la leur, si vous... Votre guérison est tout aussi certaine si vous avez la foi.

82        Maintenant, quel est... Où allons-nous commencer? Juste par ici avec cette dame? Très bien. Approchez.

            Maintenant, les Américains... Maintenant, nous réalisons qu’avec cinquante personnes, je... On m’emportera de l’estrade après que dix ou quinze personnes seront passées, à cause des visions. Eh bien, je ne saurais pas supporter cela. Combien comprennent cela? Jésus, à cause d’une seule vision, la vertu L’a quitté. Et alors, quel serait l’effet d’une seule vision sur moi?

            Eh bien, voici une femme estropiée dans un fauteuil roulant. Je dirai: «Cette femme est estropiée.» Tout le monde le sait. Mais voici une femme qui semble en bonne santé. Eh bien, le miracle c’est de savoir ce qui ne va pas chez elle. Elle a l’air bien et en bonne santé. Eh bien, si quelqu’un a des doutes à ce sujet et pense qu’il a quelque chose de mieux, eh bien, voici le microphone. Montez carrément ici. Vous–vous êtes le bienvenu. Vous qui ne–ne croyez pas, montez ici et faites la même chose.

83        Vous direz: «Eh bien, Jésus a dit: ‘Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, de plus grandes.’»

            «Eh bien, direz-vous, Il a dit: ‘De plus grandes.’»

            Eh bien, laissez-nous d’abord vous voir faire les oeuvres qu’Il faisait; ensuite faites de plus grandes. Faites d’abord les oeuvres qu’Il faisait. C’est ça; ensuite–ensuite, vous ferez de plus grandes. Voyez-vous? Laissez-nous vous voir faire d’abord les choses que Lui faisait. «Il fera aussi les oeuvres que Je fais.» Ensuite de plus grandes; si vous considérez la traduction, il est dit: «Il en fera davantage.» En effet, on ne pourrait pas en faire de plus grands, car Il–Il a fait tout ce qui pouvait être fait. Mais maintenant, si cette femme... Maintenant, je vais simplement prier pour les autres qui sont dans la ligne. Mais les gens pourraient savoir que le Saint-Esprit est ici. Maintenant, je vais simplement voir si Dieu va nous donner la vision pour cette femme.

84        Maintenant, quand Il m’a dit que ces deux signes confirmeraient que j’ai été envoyé pour faire cela, Il a dit que Moïse avait deux signes; Moïse est allé là-bas et il a accompli le signe une seule fois devant Israël, et tout le monde a cru en lui et a marché pendant quarante ans. Est-ce juste? Certainement, si nous sommes les fils d’Abraham, dans nos coeurs, nous devrions avoir autant de foi.

            Maintenant, croyons. Maintenant, madame, tout d’abord je pense que nous sommes des inconnus l’un à l’autre. Si nous sommes des inconnus l’un à l’autre, voudriez-vous juste lever la main pour que les gens le voient? Maintenant, voyez-vous, nous voici, non pas derrière dans un coin sombre comme un démon, nous sommes juste ici à découvert, de la même façon que notre Seigneur s’est tenu avec la femme au puits. N’ayez jamais peur du christianisme. Accrochez votre âme à chaque promesse; elle est valable. Christ est mort pour la rendre valable.

            Maintenant, je ne voudrais nullement dire cela, si je ne sentais pas Sa Présence ici, comme l’aigle qui remuait ses ailes. Voyez-vous?

85        Maintenant, cette femme depuis qu’elle se tient ici, elle est consciente qu’elle est dans la Présence de quelque chose d’autre qu’un homme. Est-ce juste, madame? Si c’est juste, levez la main. Voyez-vous? Juste au-dessus de cette femme se tient... Si vous... vos yeux sont spirituels, vous pouvez certainement voir cela. Ne voyez-vous pas cette Lumière suspendue juste ici, juste au-dessus de la femme? Elle est en quelque sorte de couleur émeraude. Combien En ont déjà vu la photo? Elle est ici dans la réunion. Les gens la possèdent. C’est accroché à Washington, D.C. Le seul Etre surnaturel qui ait jamais–jamais été photographié et qui ait jamais été confirmé scientifiquement. Le voici. Je La regarde droit devant moi. Elle est suspendue au-dessus de la femme, parce qu’elle est une croyante. Elle est ma soeur. L’Esprit témoigne de part et d’autre.

            Maintenant, la seule chose que je dois faire, c’est juste saisir quelque chose chez elle. Que va-t-il arriver ensuite? Cela va lui dire quelque chose. Elle se tient ici soit pour des problèmes de ménage, soit pour des problèmes financiers, ou par la maladie ou quelqu’un d’autre ou quelque chose comme ça. Je ne sais pas. Je ne l’ai jamais vue de ma vie.

            Maintenant, si le Saint-Esprit révèle à la femme quelque chose pour... Eh bien, si je disais: «Oui, Jésus-Christ est ici. Je sens Sa Présence.»

            Elle aussi. Maintenant, observez comment cela se passe. C’est une sensation très douce, très humble, très paisible. N’est-ce pas, madame? Si c’est le cas, agitez la main vers l’assistance. Voyez-vous? J’observe la Lumière juste au-dessus d’elle. Maintenant, pour ma part, je sais que je parle à l’assistance, mais en fait, mon intellect, à ce qui semble, est dans un autre monde, dans une dimension, dans un autre monde.

            La femme a des ennuis; c’est dans Sa poitrine. C’est une grosseur. C’est une grosseur cancéreuse. Elle a subi une opération ou quelque chose pour cela. Et ça–ça revient, c’est une grosseur dans sa poitrine qui va finir par la tuer. Elle est couverte de l’ombre de la mort. Si c’est juste, madame, agitez la main. Maintenant, croyez-vous? Maintenant, pour que vous soyez sûre, observez cette puissance démoniaque agir effectivement sur cette femme, sur ceci, ici, pendant que je suis encore dans l’Esprit... C’est une sorte de tumeur. Est-ce juste? Il y a une autre personne assise juste ici, une femme assise juste ici qui a une tumeur. Est-ce juste, madame? Si c’est juste, levez la main. Mais à part cela vous avez aussi le diabète. C’est... Levez la main. Voyez-vous? Cet esprit de ténèbres tire ici. Ces deux démons cherchent à se saisir l’un l’autre, ils réclament de l’aide. Mais maintenant la puissance de Dieu, par-dessus tout doute ici est passé par-dessus le...?... Voyez-vous?

86        Maintenant, croyez-vous? Dieu est-Il dans Son peuple? Vous direz: «Dieu est en vous, Frère Branham?» Pas seulement en moi, Il est en elle, et en elle aussi. Voyez-vous? Le Saint-Esprit est ici, l’Infaillible. Il y a une puissance de la mort dans toutes les deux et ces deux morts cherchent à collaborer pendant que la puissance de Dieu révèle cela, mettant cela à découvert et montrant qu’Il aime ces femmes. Il veut qu’elles soient guéries. Le croyez-vous?

            Maintenant, je vous prie, je vous prie de ne pas vous déplacer. Maintenant, vous pouvez donner libre accès même à cela. Voyez-vous? Ne faites pas cela, je vous en prie, je vous en prie. Savez-vous que ces choses passent d’une personne à une autre? Soyez très respectueux...?...

            Madame, si Dieu me dit qui vous êtes, cela vous donnera-t-il beaucoup de foi pour croire? Vous vous appelez madame Moore. Continuez votre chemin, toutes deux; cela vous a quittées vous deux à l’instant même; vous êtes guéries. Continuez votre chemin et soyez en bonne santé. Disons: «Gloire au Seigneur!» Ce don opère-t-il?

87        Maintenant, combien se souviennent que lorsque j’étais ici je mettais ma main sur quelqu’un, et vous voyiez comme des–des vibrations dessus? Eh bien, si cette femme a une maladie causée par des microbes, cela marchera. S’il ne s’agit pas d’un microbe, ça ne marchera pas, parce que c’est par une vision que cela devra être vu. Je ne sais pas. Etes-vous le patient suivant? Je ne suis pas hors de moi, mais parfois tout simplement je...

            Approchez juste une minute, mademoiselle. Donnez-moi votre main juste un instant. Cette main juste ici. C’est juste, c’est une maladie causée par des microbes. Oui, oui. Elle a une infection. Eh bien, c’est une maladie de femmes, un problème gynécologique. C’est juste. Si c’est juste, levez la main. C’est tout à fait juste. Voyez-vous? Elle a une infection. Il s’agit d’un germe. Le voici sur ma main. J’aimerais vous montrer quelque chose, jeune dame. Regardez ici. Regardez ma main. Voyez-vous ces petites choses blanches qui se déplacent là sur ma main, qui causent plutôt un gonflement d’un rouge foncé? Maintenant, retirez votre main de la mienne. Maintenant, ça n’y est plus maintenant. Maintenant, remettez cette main ici sur la mienne. Ça n’y est plus maintenant. Ça n’y est plus maintenant. Maintenant, mettez cette main ici dessus. Voilà.

            Maintenant, vous êtes tout autant humaine dans cette main que vous l’êtes dans celle-ci. Et je suis tout autant un être humain que vous. Ça ne marchera pas ici; ça ne marchera pas là, parce que Dieu me l’a dit, dans la vision, pour que les gens sachent que c’est la vérité, de prendre la personne... de laisser les gens... Voyez-vous? Quand vous mettez votre main droite sur la mienne, vous témoignez que vous me croyez. Il a dit: «Si tu amènes les gens à te croire et qu’ensuite tu es sincère, rien ne résistera à la prière.»

88        Avez-vous déjà lu le livre? Combien ont lu cela dans le livre, depuis des années et des années. Maintenant, voyez, et puis je vais vous donner ma main gauche, parce que vous êtes ma soeur. Ma main droite va vers Dieu. Je crois la promesse selon laquelle Il m’a dit cela. Voyez-vous? Et puis vous dites: «Je crois.» Pourquoi? Parce que ce n’est pas tellement la sensation là dans ma main qui vous dit ce qui ne va pas. Alors vous me croyez, n’est-ce pas? Alors je lève ma main vers Dieu; je Te crois, ô Dieu. Je place ma main sur elle, je... Tu... «Je vous crois, Frère Branham.» Voilà. Voyez-vous? Ça règle la chose.

            Maintenant, placez votre main ici. Maintenant, je veux que vous remarquiez, mademoiselle, que ce n’est pas par la façon dont je tiens ma main ou une quelconque... Eh bien, la question est celle-ci: «Comment aurais-je pu savoir ce que c’était, n’eût été cela?» Mais vous voyez, il y a une sensation-là dans ma main, n’est-ce pas? De petites choses blanches se déplacent sur ma main. Maintenant, aussitôt que vous retirez votre main, cela disparaît. Et cela n’apparaîtra pas avec cette autre main. Maintenant, je la place ici, voilà que ça revient.

89        Maintenant, écoutez, mademoiselle. Je désire que vous observiez cela très attentivement. Si cela disparaît, vous êtes guérie. Mais maintenant, souvenez-vous, je ne suis pas en mesure de garder cela éloigné, parce que après que l’esprit impur est sorti d’une personne, il s’en va dans les lieux arides, et il retourne avec sept autres démons. Très bien. Si Dieu peut venir ici et vous montrer quelque chose visiblement, vous saurez sans l’ombre d’un doute que quelque chose est arrivé, et qu’il y a Quelqu’Un ici qui vous connaît (Est-ce juste?) dans l’esprit. Quelque Chose a discerné la maladie dont vous souffrez.

            Maintenant, si cela vous quitte, allez-vous croire que cela va rester éloigné? Très bien. Vous les femmes, inclinez toutes la tête juste une minute. Je désire que vous observiez ma main. Maintenant, d’abord je vais prier. Examinez votre foi, je vais vous montrer que je ne vais pas utiliser... retirer ma main.

90        Notre Père céleste, je prie pour cette fille, afin que Tu ôtes cette affliction de son corps. Tu es Dieu, mon bras repose ici à côté de Ta Bible. Tu as promis de guérir les malades; c’est Ta Parole. Nous Te croyons avec tout ce qu’il y a dans notre coeur.

            Maintenant, que cette chose la quitte, Père. Je prie au Nom de Jésus.

            Maintenant, avant que je relève ma tête, la chose n’a pas quitté. Est-ce juste, mademoiselle? Dites–dites: «Oui ou non.» C’est encore là, n’est-ce pas? Oui, ça continue à bouger. Voyez-vous? La prière seule ne fera pas cela. Il faut la foi. Voyez-vous ce que je veux dire maintenant? Maintenant, observez. Voilà de nouveau la chose. Maintenant, croyez-vous que la Bible dit: «En Mon Nom ils chasseront les démons?»Maintenant, vous devez faire attention à ce que vous faites à ce sujet. Vous devez faire attention, car, souvenez-vous, Moïse a frappé un rocher quand il ne devait pas le faire. Elie a maudit quarante-deux petits enfants et des ours les ont tués avant qu’ils ne retournent chez eux, parce qu’ils avaient dit qu’il était chauve, le taquinant à ce propos. Ce n’était pas la volonté de Dieu qu’il fasse cela. Ça ne ressemble pas au Saint-Esprit: un prophète en colère.

91        Maintenant, je voudrais que vous observiez...?... la jeune fille. Observez ma main. Soyez honnête. Voyez-vous? Maintenant, si cette main redevient comme ceci, cela est parti sans que j’aie fait quoi que ce soit. Maintenant, inclinez la tête partout, car on doit faire partir cela maintenant. Si nous chassons ce démon, il sera en colère, et nous savons qu’il voudra passer d’une personne à une autre.

92        Satan, un Ange de Dieu est venu une nuit, il y a quatorze ans, à Green’s Mill, et Il m’a dit, en tant qu’un ministre local, que j’ai été envoyé pour prier pour les malades, c’est ce qui a été dit. Tu le sais, tu es exposé. Tu peux placer l’incrédulité dans les gens. Tu peux amener les gens à douter, mais tu ne peux pas empêcher Christ de faire quelque chose, parce qu’Il t’a dépouillé de tous les droits légaux que tu avais. Quand Il est mort au Calvaire, Il a payé la dette de tout notre péché et de toute notre incrédulité. Dieu a donné à Ses serviteurs le pouvoir de te chasser. J’utilise Son Nom. Je viens au Nom de Jésus-Christ. Je te défie dans ce duel de la foi, quitte la jeune fille, sors d’elle au Nom de Jésus-Christ.

            Maintenant, avant que je ne relève la tête et que j’ouvre les yeux, la chose est partie. Est-ce juste? Maintenant, ouvrez les yeux. Quelque chose s’est passé, n’est-ce pas? Vous sentez même un changement, n’est-ce pas? Maintenant, regardez ici. Voilà. Maintenant attendez, je vais ôter ma main de vous. Maintenant, placez cette main dessus. Juste comme vous l’avez fait tout à l’heure. Vous voyez son aspect? Maintenant, placez cette main dessus comme vous l’aviez fait tout à l’heure. Vous voyez son aspect? Quelque chose est arrivé, n’est-ce pas? Vous êtes guérie. C’est ce que ça signifie. Continuez votre chemin en vous réjouissant, en disant: «Merci.»

93        Maintenant, voyons la main de cet homme juste une minute. Il a une petite prostate qui le rend nerveux quand il se réveille ou quelque chose comme cela. Et c’est juste. Vous vous réveillez la nuit. Mais ce n’est pas réellement ce que vous désirez, car je sens votre esprit se mouvoir vers quelque chose d’autre. Très bien. Pensez-vous que vous allez devenir estropié? Pensez-vous que cette arthrite va vous rendre estropié ou quelque chose comme ça? Croyez-vous que Dieu va vous rétablir maintenant? Amen. Il l’a fait. Allez, rentrez chez vous, réjouissez-vous, en criant et en disant: «Gloire au Seigneur!»

            Voyons votre cas, monsieur. Approchez une minute. Donnez-moi votre main. Oui, oui. Un trouble de l’estomac, croyez-vous que Dieu va guérir cela? Au Nom de Jésus-Christ, que le diable quitte ce garçon. Sors de lui au Nom de Jésus! Amen. Partez en croyant.

94        Très bien. Approchez. Est-ce pour le bébé? Maintenant, voyons sa petite main. Juste une minute. Comment va ce petit garçon? Bonjour, cher ami. Oui, oui. Non, ce n’est pas ça. Il ne s’agit pas d’une infection. Juste une minute. Maintenant, croyez-vous que, si Dieu peut me dire ce qui ne va pas chez l’enfant, Il va le guérir? Allez-vous accepter Jésus comme le Guérisseur de cet enfant? C’est un trouble cardiaque. C’est un coeur malade. Les médecins ne savent même pas ce qu’il faut faire à ce sujet. C’est juste. Mais Dieu sait ce qu’il faut faire à ce sujet.

            Satan, quitte cet enfant au Nom de Jésus, je condamne le diable et demande la guérison de l’enfant. Amen. Prenez-le maintenant. Croyez de tout votre coeur, il va se rétablir.

95        Approchez. Bonsoir, chéri. Crois-tu en Jésus? Voyons sa petite main. Maintenant, oui. Crois-tu que ce trouble des reins va partir, et que tu vas te rétablir et être bien portant? Croyez-vous de tout votre coeur que Christ va guérir cela?

            Seigneur Jésus, je condamne le diable qui a fait du mal à cet enfant. Qu’il quitte au Nom de Jésus-Christ. Amen. Ayez la foi, croyez maintenant. Ne doutez pas. Allez en croyant, et si vous croyez de tout votre coeur, cela va arriver.

            Maintenant, faites voir votre main. L’asthme, mais croyez-vous que Dieu peut guérir cela et vous rétablir? Allez-vous L’accepter comme votre Guérisseur? Je condamne le diable qui a fait du mal à notre soeur. Au Nom de Jésus-Christ, quitte la femme! Allez en croyant maintenant. Ne doutez pas, mais croyez de tout votre coeur.

96        Combien là-bas n’ont pas de cartes de prière mais veulent croire? Combien d’entre vous diront réellement: «Je crois.»? Ayez la foi, ne doutez pas. Croyez-vous que cette arthrite va vous quitter, l’homme assis là, qui me regarde, juste ici derrière, l’homme âgé? Si vous croyez de tout votre coeur, Dieu va vous guérir.

            Il y a un homme assis ici, juste ici, qui souffre de la hernie. Croyez-vous que Dieu va vous guérir, monsieur, vous qui êtes assis juste là, souffrant de la hernie, et qui priez? Vous qui êtes plutôt chauve, ici devant, à la cravate lacet. Oui, monsieur. Levez-vous et acceptez votre guérison alors. Avez-vous une carte de prière? Non, monsieur. Votre épouse en a une. Eh bien, si votre épouse en a une, vous, vous n’en avez pas donc. Vous pouvez rentrer à la maison avec elle et être guéri, si elle a été guérie dans la ligne. Amen. Si vous croyez de tout votre coeur. Je vous demande de croire que c’est la vérité.

            Croyez-vous tous cela? Alors ayez foi en Dieu.

97        Quelque chose s’est produit quelque part. Ce n’était pas cette personne. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Seigneur, au Nom de Jésus, guéris cette femme. Amen. Maintenant, allez en croyant de tout votre coeur. Si vous pouvez croire ceci et ne doutez pas, cela va arriver.

            Approchez, soeur. Maintenant, vous savez que je sais ce que vous avez comme problème. Mais si je–si je ne vous le dis pas, vous le croirez de toute façon. N’est-ce pas? Oui, oui. Mais je vais tout simplement vous le dire, votre nervosité vous a quittée. Vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante. Donc ne doutez pas....?...

            Pendant que vous étiez assis là, le trouble cardiaque est parti, continuez donc votre marche. Louez Jésus.

            Maintenant, si je ne vous dis rien, allez-vous accepter cela et croire que c’est juste? Très bien, votre mal de dos est parti; continuez votre chemin jusqu’à la maison et soyez bien portante. Et ayez–ayez foi en Dieu, croyez de tout–tout votre coeur. Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette femme au Nom de Jésus.

98        Approchez maintenant, en croyant de tout votre coeur. Au Nom de Jésus, que notre frère soit guéri.

            Maintenant, vous voyez, ils sont malgré tout guéris. Le croyez-vous?

            Approchez, soeur, au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie. Ayez la foi. Ne doutez pas.

            Nous voyons le pauvre frère qui est estropié. Croyez-vous que Dieu va vous guérir, monsieur? Au Nom de Jésus-Christ, que notre frère soit guéri. Ne doutez pas. Allez en croyant maintenant, vous serez guéri.

            Approchez, monsieur, au Nom de Jésus-Christ, je vous impose les mains, frère, et la Bible dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Au Nom de Jésus, soyez guéri.

99        Croyez-vous, soeur? Au Nom de Jésus-Christ, qu’ils soient guéris. Amen.

            Je n’attends pas des visions car je deviens très faible maintenant, je sens vraiment mes jambes trembler sous moi.

            Au Nom de Jésus-Christ, qu’ils soient guéris. Vous le croyez maintenant, n’est-ce pas?

            Vous allez croire? Au Nom de Jésus-Christ, qu’ils soient guéris. Amen.

            Approchez, petite dame. Allez-vous croire? Au Nom de Jésus-Christ, que ma soeur soit guérie. Au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie.

            Approchez, frère. Vous allez croire cela maintenant, n’est-ce pas? Au Nom de Jésus-Christ, que notre frère soit guéri.

            Approchez, soeur. Bien sûr, vous savez ce que... Au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie.

            Au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie.

            Au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie.

            Au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie.

            Au Nom de Jésus-Christ, que notre frère soit guéri. Que Dieu vous bénisse, frère.

            Au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri.

            Approchez, soeur. Au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie.

            Au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie.

            Approchez, frère, croyez maintenant et cela va vous quitter. Au Nom de Jésus-Christ, que mon frère soit guéri.

            Au Nom de Jésus-Christ, que mon frère soit guéri.

            Approchez, frère, au Nom de Jésus-Christ, que mon frère soit guéri.

100      Doutez-vous? Est-ce que vous–est-ce que vous–est-ce que vous doutez de tout votre coeur ou est-ce que vous croyez de tout votre coeur? Croyez-vous? Maintenant, je–je n’ai pas utilisé le discernement. Je savais ce qui n’allait pas chez les gens. Vous le savez, n’est-ce pas? Tenez. Est-ce... Je tiens encore le patient par la main. Regardez ici, monsieur, j’ai tout simplement dit: «Que Dieu vous bénisse.» C’est tout ce que j’ai dit, continuez votre chemin. Est-ce juste? Vous croyez que vous êtes guéri. Y en a-t-il maintenant? Très bien. Vous aviez le cancer. C’était au bassin. Vous vous appelez monsieur Peterson. Rentrez chez vous et soyez guéri. Voyez-vous, voyez-vous? C’est cela. Croyez tout simplement cela.

            La personne assise juste là souffre de l’eczéma. Croyez-vous que Dieu va vous guérir, vous rétablir? Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir de toute façon? Très bien. Recevez votre guérison. Jésus-Christ vous guérit. Amen.

101      Croyez-vous tous de tout votre coeur? Combien croient que Dieu est dans Son univers? Que Dieu est dans Sa Parole? Que Dieu est dans Son Fils? Que Dieu est dans Son peuple?

            Maintenant, combien sentent qu’ils ont Dieu dans leur coeur? Levez la main. Très bien. Et maintenant, imposez-vous les mains les uns aux autres et priez les uns pour les autres pendant que je descends prier pour ces gens qui sont dans des fauteuils roulants.

            Frère Roy, conduisez-les dans la prière pendant que votre... Posez vos mains les uns sur les autres. Posez simplement vos mains les uns sur les autres. Croyez de tout votre coeur.

            Seigneur, viens maintenant. Tu es ici avec les gens. Dieu est dans Son peuple. Que chacun d’entre eux soit guéri. Pendant que nous sommes en train de prier, gardez vos mains les uns sur les autres. Continuez à prier. Dieu est dans Son peuple. Croyez-le pendant que je prie pour ces...

Up