Montre-Nous Le Père Et Cela Nous Suffit

Date: 60-0731 | La durée est de: 1 heure et 40 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le texte français seulement Voir le texte anglais seulement

1          Restons debout juste un moment pour la prière, alors que nous inclinons la tête.

            Très Bienveillant Saint Père, alors que nous nous approchons de Ton Trône divin de grâce, nous nous tenons dans les ombres de Ta justice. Nous voudrions Te demander, Seigneur, que, par Ta grâce, Tu daignes bien nous pardonner nos péchés et nos offenses. Nous désirons la miséricorde. Ne nous juge pas selon nos vies et nos oeuvres. Ne nous traite pas selon Ta justice, mais accorde-nous Ta miséricorde.

            Et Père, nous Te prions de faire en sorte que l’on se souvienne longtemps de cet après-midi, à cause de Ta Présence. Nous Te remercions pour ce que Tu as fait ce matin partout dans la ville, à travers la vallée et dans le monde entier. Nous Te prions, ô Dieu, de continuer à être avec nous et de nous accorder Ta grâce et Ta miséricorde jusqu’à ce que Jésus vienne. Bénis les Paroles qui vont être lues et les–les commentaires qui seront faits sur Ta Parole. Que Ton Esprit soit dans tout ce que nous faisons ou disons. Guéris les malades et les affligés.

2          Et nous n’oublions pas, Seigneur, les convalescents, ceux qui ne peuvent pas venir. Nous prions que le Saint-Esprit se tienne à côté de leur lit cet après-midi, alors que beaucoup ici dans la salle portent des fardeaux pour eux, puissent-ils être guéris.

            Quand la vie sera terminée et que nous nous tiendrons dans Ta Présence, nous nous prosternerons humblement pour Te remercier et Te rendre toute la gloire. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3          C’est un grand plaisir de venir parler à un auditoire au Nom du Seigneur Jésus, en ayant cette assurance qu’Il–Il ne nous délaissera ni ne nous abandonnera jamais; Il sera avec nous dans chaque épreuve que nous traverserons. Et juste une humble foi pour croire en Lui, pour L’accepter comme notre Sauveur, et croire en Lui pour tout ce dont nous avons besoin dans la vie...

            Je sais qu’il fait terriblement chaud cet après-midi, mais vous serez surpris de voir combien ici c’est différent de ce qui se passe au Congo belge, où les gens viendraient, et là en Afrique du Sud. Ils viennent un matin, et ils s’asseyent par terre pendant toute la journée sous ce soleil ardent et brûlant, pas juste pour un jour, mais ils attendent là deux ou trois semaines mon arrivée dans le pays. Ils traversent les jungles, transportant leurs bien-aimés sur des planches et tout. Quand un lion surgit, ils les hissent dans un arbre et ils attendent peut-être un jour ou jusqu’à ce que le lion s’en aille, ensuite ils redescendent. Peut-être ils avanceront un petit peu, ils chercheront un cours d’eau pour se désaltérer et un crocodile attrapera l’un des enfants, mais ils continueront leur marche. Voyez-vous? Ils feront un deuil de quelques heures, et ils comprendront que c’est fini, et ils iront de l’avant. Voilà les gens, ils s’en fichent de la chaleur. Ils cherchent à trouver la Vie. Voyez-vous? Ils cherchent à trouver Quelque Chose qui donne la paix et qui surpasse toute intelligence.

4          Et cet après-midi, restons aussi... vraiment loyaux dans notre esprit pendant que nous sommes assis cet après-midi. Je sais qu’il fait chaud, mais nous ne pouvons pas contrôler le temps. Il faut que nous ayons un temps chaud pour produire les fruits et ainsi de suite. Dieu sait comment tempérer le climat de Sa terre pour–pour qu’elle produise l’abondance qui nous permet de vivre. Et si nous n’avions que la pluie, et l’ombre et ainsi de suite, nous mourrions de faim. Nous sommes donc très reconnaissants d’être ici. Et je vois que les gens ont des éventails en main, si donc vous avez de l’électricité, eh bien, ce sera alors en ordre, cela va aider à avoir un petit rafraîchissement.

5          Maintenant, approchons-nous de la Parole en prenant Saint Jean, chapitre 14. Nous commençons demain soir, le Seigneur voulant, je souhaite prêcher sur une série de sujets pour édifier la foi, si possible. Dieu m’aidera. Je désire essayer d’édifier la foi pour les prochains services, la semaine prochaine. Essayez, si vous le pouvez, je sais que beaucoup d’entre vous travaillent, et c’est difficile de sortir. Je ne–je ne suis pas tenu de... désire dire ceci pour que vous veniez, juste... bien des fois ces choses sont exprimées, je ne le souhaite pas, je n’ai jamais été ici...

            Bien des fois, les gens veulent avoir de grandes foules pour avoir des offrandes. Bien des fois, ils veulent avoir de grandes foules à cause de l’effet psychologique que cela a sur les gens, qui peut... Beaucoup de gens disent: «Eh bien, je ne veux pas prêcher, à moins qu’il y ait une grande foule.»

6          Moi, j’ai prêché à de grandes foules et à de petits groupes. Cela ne change rien. Je venais de tenir un réveil dans une église de vingt personnes. C’était donc pitoyable, dans une température en dessous de zéro, et ils étaient à l’extérieur. Mais ce dont j’ai besoin, ce n’est pas l’argent; nous devons supporter les frais, c’est tout ce qui vous est demandé. Je–j’aurais souhaité pouvoir les supporter moi-même; je ne demanderais pas cela.

            Et je–je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie. Je me souviens qu’une fois, j’étais... J’étais fauché. Combien savent ce que ça veut dire?

            Mon épouse est assise ici cet après-midi; d’habitude elle devient... elle est plutôt un peu timide. Elle m’a regardé quand j’ai dit ça, mais je revenais juste de... Je travaillais. J’ai été pasteur du Tabernacle à Jeffersonville pendant dix-sept ans, et je n’avais jamais eu un seul centime comme salaire. A part cela, je plaçais l’argent que je pouvais économiser dans les offrandes, et je payais toujours mes dîmes et ainsi de suite.

7          Mais je suis entré, et nous n’avions vraiment pas assez d’argent pour continuer à tenir. Et je lui ai parlé disant: «Tu sais quoi, chérie? Je vais prélever une offrande ce soir.»

            Elle a dit: «J’aimerais certainement être là pour t’y voir.» Et ainsi, elle s’est assise au fond. Eh bien, les gens étaient disposés à donner cela. C’était à l’époque de la guerre et ainsi de suite, et... ou... juste avant la guerre. Et ainsi, elle–elle savait donc que les gens donneraient cela. Ils–ils rationneraient leurs enfants à table pour m’aider. Mais je–je–j’avais compris cela, et je ne veux jamais abuser de quoi que ce soit comme cela.

            J’étais donc jeune, je travaillais; j’étais là où je pouvais travailler, et j’étais patrouilleur, je faisais quelque trente miles [48 km] par jour à pieds, à travers les bois et ainsi de suite, c’était pénible, et je gagnais quarante-cinq cents l’heure.

8          Et alors, je–je suis allé prélever l’offrande, et je n’oublierai jamais cela, j’avais un vieil ami à moi, j’ai dit: «Les amis, je suis un peu dans le besoin ce soir.» J’ai dit: «J’ai besoin d’environ 5 dollars.» J’ai dit: «J’ai une facture qui arrive à échéance; je n’arrive pas du tout à m’en sortir.» J’ai dit: «J’ai d’autres choses.» J’ai dit... Nous n’avions pas de plateau de collecte dans l’église. J’ai dit: «Que quelqu’un veuille bien prendre mon chapeau là, nous allons tout simplement prélever une offrande.» On a eu cinq cents ou quelque chose comme ça dans l’ensemble. Mon église, c’était un auditoire de la taille de celui qu’il y a à ce rez-de-chaussée.

            Et j’ai dit... Monsieur Wisehart est allé prendre mon chapeau, et j’ai regardé et une petite femme âgée, la plus douce petite créature, une de ces mères à l’ancienne mode, qui avaient l’habitude de porter ces vieux petits tabliers à pois, lesquels avaient une poche à l’intérieur, vous connaissez ces tabliers. Avez-vous déjà vu l’un de ces tabliers?

9          Ma vieille grand-mère avait l’habitude de porter l’un de ces tabliers, et elle fumait la pipe. Elle ne voulait pas que les hommes la voient fumer, ainsi elle portait son tabac dans cette poche, et quand elle voyait des hommes venir, elle plongeait la main sous ce tablier, et elle gardait le pouce sur cette pipe, pendant qu’elle leur parlait. Et après qu’ils étaient partis, elle traversait la pièce avec cette vieille pipe.

            Je me souviens du moment avant sa mort, elle avait cent dix ans. Elle se souvenait de l’assassinat d’Abraham Lincoln. Elle n’avait vu qu’une seule voiture dans sa vie; c’est moi qui avais amené cette voiture là-bas, tout au fond dans les contrées montagneuses. Elle n’avait jamais vu un train de toute sa vie. Mais je l’ai tenue dans mes bras et j’ai prié pour elle. Elle pesait probablement cinquante livres [22,6 kg], étant toute desséchée. Et alors... Elle était la créature la plus douce. Elle était sauvée, et elle passa ses bras autour de mon cou, et la dernière chose qu’elle a dite, c’était: «Que Dieu te bénisse, mon chéri, maintenant et à toujours.» Et elle s’en est allée pour être avec le Seigneur. Et... C’était la mère de mon père.

10        Et je me souviens de cette petite femme, elle gardait son–son petit tablier... elle avait son petit tablier; elle le portait à l’église. Elle ne menait qu’une humble existence, et nous étions tous pauvres. Et elle plongea la main sous la poche, cette vielle petite poche, et elle fit sortir l’un de ces petits porte-monnaie qui se ferment au-dessus avec un bouton-pression, vous savez. Elle y plongea la main pour prendre ces pièces de cinq cents, oh! la la! Si je prenais cela, je me serais senti comme Judas qui a pris cet argent, ces trente pièces d’argent. Et je l’ai vue plonger... J’ai regardé cela, une énorme boule m’est montée à la gorge. Savez-vous comment on sent comme une boule dans la gorge? J’ai dit: «Oh! Je ne faisais que vous taquiner. Je ne parlais pas sérieusement.» J’ai dit: «Je voulais simplement voir ce que vous diriez.»

            Et voilà que le diacre était dans l’église avec le chapeau en main, il m’a regardé, il a dit: «Que dois-je faire?»

            J’ai dit: «Suspendez tout simplement mon chapeau. Oh! Je ne faisais que parler.» Voyez-vous? Je savais que si elle plaçait cette pièce de cinq ou dix cents là-dedans, je ne pouvais pas supporter cela. Je n’oublierais donc jamais... Ma chérie le sait. J’ai dit...

            Je suis allé et j’avais une vieille bicyclette que frère John Ryan... En fait, il était comme un membre de la Maison de David, il portait une longue chevelure, et il est venu là-bas en la conduisant, et il me l’a donnée. Elle n’était pas–elle n’était pas rétrograde, elle était tout simplement usée. C’était tout. Je suis donc allé au bazar me procurer une boite de peinture et je l’ai repeinte, et je l’ai exposée devant et je l’ai vendue à cinq dollars. Je n’avais plus besoin de prélever l’offrande. C’est donc la fois où j’ai failli prélever une offrande.

11        Nous ne sommes donc pas ici dans ce but-là. Nous sommes ici pour essayer de vous aider, pour essayer de faire quelque chose de sorte que–de sorte que cela... qu’il soit un peu plus facile de faire le bien ici dans le voisinage, un peu plus difficile de faire le mal, vous rendre la vie un peu plus agréable, peut-être, que Dieu vous guérisse de votre maladie et rallonge vos jours, sauve les perdus, et aide les églises. Ce sont ces gens qui me parrainent; ce sont des hommes qui croient la même chose que moi. Ils ne seraient pas assis ici s’ils ne le croyaient pas. Et pour moi, ils sont le dessus du panier. Eh bien, je–je suis sincère en disant cela, ce n’est pas pour être...

            Certains d’entre eux là ont des cheveux gris, ils sont plus âgés que moi, et ils prêchaient ici au coin de la rue avec une–une guitare et un tambourin, quand je n’étais qu’un garçon pécheur. Je me sens donc petit en me tenant devant ces hommes cet après-midi. C’est eux qui devraient être ici. Ils ont déblayé le chemin pour que je puisse y voyager; ils ont prêché que ces choses viendraient, et les voici qui arrivent. Ainsi l’un plante, l’autre arrose; et c’est Dieu qui fait croître. C’est comme cela que ce sera.

12        Et en ce glorieux matin-là, là-bas, quand la table sera dressée à travers les Cieux, quand toute vie sera terminée et que nous serons assis au souper des noces, je désire ardemment être là, frères. Oh! Je désire être là. Je–je crois que je serai là. Si je vis correctement et fais de mon mieux, Dieu m’accordera d’y arriver, pas à cause de mes oeuvres, mais par Sa grâce, je tendrai la main par-dessus la table et je serrerai la main de certains d’entre vous tous, et je dirai: «Je me souviens de vous, vous étiez à Yakima (Voyez-vous?), sur la terre.» Certainement que de petites larmes de joie couleront sur nos joues.

            Alors ce sera une chose glorieuse de voir le Roi apparaître dans toute Sa beauté et essuyer les larmes de nos yeux, en disant: «Ne pleurez pas, enfants, c’est terminé maintenant. Entrez dans les joies du Seigneur qui ont été préparées pour vous depuis la fondation du monde.»

            C’est ce que j’aimerais entendre, alors nous serons changés de cette créature que nous sommes pour devenir des immortels, nous serons rendus semblables à Son propre corps de gloire. Alors les peines des journées chaudes, et le fait de s’éventer et ainsi de suite, tout sera alors terminé. Nous entrerons dans la paix du Seigneur pour toujours. En attendant ce moment-là, travaillons, soyons à l’oeuvre et prions, attendant la Venue du Seigneur.

13        Saint Jean, chapitre 14, et commençons au verset 7, et lisons jusqu’au verset 12 inclus, c’est Jésus qui parle:

          Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant vous le connaissez, et vous l’avez vu.

          Philippe lui dit: Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit.

          Jésus lui dit: Il y a si long... que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe! Celui qui m’a vu a vu le Père; comment dis-tu: Montre-nous le Père?

          Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même; et le Père qui demeure en moi, c’est lui qui fait les oeuvres.

          Croyez-moi, je suis dans le Père, et le Père est en moi; croyez du moins à cause de ces oeuvres.

          En vérité, en vérité, je... en vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père.

            Et mon sujet pour cet après-midi c’est Montre-nous le Père, et cela nous suffit. Suffire veut dire satisfaire. Si Tu nous montres le Père, nous serons satisfaits.

14        Maintenant, je vais prendre en rapport avec ceci... Ç’a toujours été le désir du coeur humain depuis que l’être humain existe. Il désire savoir où se trouve Dieu. «Si je pouvais seulement voir Dieu!»

            Et je vais parler de quatre façons différentes de voir Dieu. Et hier soir, j’ai pris comme sujet: Monsieur... dans Saint Jean, chapitre 12, Messieurs, nous voudrions voir Jésus. Et je crois que tous ceux qui étaient ici hier soir et qui ont leur bon sens, qui connaissent quelque chose au sujet des Ecritures, L’ont vu oeuvrer parmi les gens. S’ils ne L’ont pas vu, je crois qu’il n’y a presque plus d’espoir pour vous. Voyez-vous? Si vous–si vous n’avez pas vu cela. Après que les Ecritures ont été exposées, d’une façon si solide sur toute la ligne depuis la Genèse et tout au travers des Ecritures, exactement ce qu’Il a promis pour ces derniers jours, et nous L’avons vu ici entrer dans la salle hier soir... En effet, le chrétien regarde à l’Invisible. Savez-vous cela? Toute l’armure chrétienne est invisible: l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la bénignité, la douceur, la bonté, la patience. Tous les fruits de l’Esprit sont invisibles.

15        Les gens disent: «Je veux des preuves, voir c’est croire.» Alors vous ne pourrez jamais être chrétien. Car vous devez accepter Dieu par la foi. Voyez-vous? Vous devez croire en Lui. Et hier soir, quand nous L’avons vu venir par l’Esprit, se mouvoir et confirmer, dans Son peuple, les croyants qui étaient dans la salle... On a continué, et nous L’avons vu faire exactement ce qu’Il faisait lorsqu’Il était ici sur terre, confirmant cette Ecriture qui dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Et de voir les mêmes résultats au travers des êtres humains qui sont tellement soumis à Dieu que le Saint-Esprit peut oeuvrer au travers d’eux exactement comme le Saint-Esprit a oeuvré au travers de Jésus qui a tout simplement déclaré: «Moi et le Père Nous sommes Un. Mon Père demeure en Moi. C’est Lui qui fait les oeuvres. Ce ne sont pas Mes Paroles; ce sont Ses Paroles»... Voyez-vous? Il était tellement soumis à Dieu, et Il mourut et sanctifia l’Eglise afin qu’Il puisse y vivre pour poursuivre Son oeuvre jusqu’au second avènement de Sa–Sa Venue, jusqu’à Sa Seconde Venue.

16        Maintenant, nous allons voir si nous pouvons voir Dieu. Combien aimeraient voir Dieu? Faites voir la main. Je–je sais que ç’a l’air enfantin, mais nous sommes censés être des enfants. Quand nous en arrivons à un point où nous connaissons beaucoup, alors nous ne connaissons rien de ce que nous devrions connaître, dit la Bible. Nous ne voudrions jamais avoir un grand sentiment intellectuel selon lequel nous sommes au-dessus de l’autre, ou que nous connaissons plus que quelqu’un d’autre. Soyez tout simplement ordinaire et simple. Les gens cherchent à expliquer Dieu et passent complètement par-dessus la chose. Les gens cherchent Dieu très loin là-bas, alors qu’Il se tient juste ici. Voyez-vous? C’est... Vous... simplement... vous... La simplicité de la chose confond tout simplement la grande et puissante pensée intellectuelle qui cherche à faire de Lui quelque chose de grandiose qu’Il n’est pas. Il est ici avec nous; Il est Dieu. Juste... Il–Il est une partie de vous. Il est une fibre de vous. Nous sommes chair de Sa chair, et os et Ses os. Nous sommes une partie de Lui, parce que nous sommes Ses enfants. Et Dieu demeure en nous exactement comme Il demeurait dans Son Fils, Jésus-Christ.

17        Maintenant, nous allons considérer Dieu sous quatre aspects. Maintenant, trois, c’est la confirmation, mais nous allons en ajouter un cet après-midi pour rendre cela certain. Tout le monde sait que–que deux, c’est le témoignage; trois c’est la confirmation. Je... Les Juifs ont dit à Jésus: «Nous savons que Tu es un–un démon, parce que Tu parles de Toi-même.»

            Il faut deux personnes pour constituer un témoignage. Jésus a dit: «Moi, Je suis une Personne, et le Père qui demeure en Moi c’est l’autre Personne. Si vous ne pouvez pas croire en Moi, croyez les oeuvres qu’Il accomplit en Moi.» Voyez-vous? Cela constituait donc une confirmation de deux. Mais maintenant, trois...

            Et maintenant, nous allons prendre quatre façons de voir Dieu: Premièrement, Dieu dans Son univers, Dieu dans Sa Parole, Dieu dans Son Fils, Dieu dans Son peuple.

            Dieu dans Son univers, nous allons voir si nous pouvons Le trouver dans l’univers. Dieu dans Sa Parole, nous allons voir si nous pouvons Le trouver dans la Parole. Dieu dans Son Fils, nous allons voir s’Il est dans Son Fils. Ensuite Dieu dans Son peuple, et nous allons voir s’Il est dans Son peuple. Cela fait quatre façons dont nous pouvons voir Dieu.

            L’infidèle a dit: «Montrez-Le-moi.»

18        Il y a quelque temps, je parlais à un coin; il y avait un infidèle qui parlait au coin suivant. Et il était... avait la Bible posée là, il disait: «C’est le Livre le plus sale, le plus ignoble qui ait jamais été écrit.» Et, oh! il parlait sans cesse. Il était... avait été prêtre ou avait étudié pour devenir prêtre dans un monastère. Et c’était un très grand théologien qui connaissait la Parole, et ainsi il chiquait du tabac. Et il... Je me tenais à côté d’une petite épicerie, et quand il est venu pour se procurer des épices, alors voilà que le prédicateur et l’infidèle se sont rencontrés. Alors, il a dit: «Oh! C’est vous ce prédicateur-là qui crie beaucoup par ici?»

            «Oui, monsieur, c’est moi.»

            Et il a dit: «Vous ne croyez pas à cette histoire que vous racontez?»

            J’ai dit: «J’y crois de tout mon coeur.»

19        Et je savais que pour avoir été au monastère, il était intelligent (Voyez-vous?), alors j’ai dit: «Oui, monsieur, je–j’y crois de tout mon coeur.» Je savais donc qu’il était trop intelligent pour que je puisse faire face à lui, mais je savais que j’avais un Dieu qui pouvait faire face à tout ce que le diable pouvait brandir. J’ai donc continué pour voir ce que Dieu allait dire.

            Il a dit: «Si je vous prouve que ce dont vous parlez est dénué de tout fondement, allez-vous l’accepter?»

            J’ai dit: «Je ne pense pas que vous puissiez le faire.»

            Il a dit: «Dieu n’existe pas.»

            J’ai dit: «C’est votre opinion, la mienne est différente.»

            Et il a dit: «Eh bien, écoutez, le corps humain a combien de sens?»

            Et j’ai dit: «Eh bien, il possède des sens.»

            «Quel est ton niveau d’études?»

            J’ai dit: «Le niveau qu’il faut pour savoir que Dieu existe.»

            Et–et il a dit–il a dit: «Eh bien, citez-moi les sens de l’homme.»

            Et j’ai dit: «La vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe.»

            Il a dit: «Eh bien, s’Il est un Dieu humain pour l’être humain, certainement que l’un de ces sens Le déclarerait.» Il a dit: «Eh bien, L’as-tu déjà vu? L’as-tu déjà goûté, L’as-tu déjà humé, L’as-tu déjà senti ou L’as-tu déjà entendu?»

            J’ai dit: «Je L’ai senti. Je Le sens maintenant.»

            Il a dit: «Laisse-moi Le sentir.» Ce sens qui consiste à sentir, c’est pareil (Voyez-vous?) à ce que vous faites avec vos doigts.

            Et–et j’ai dit: «Eh bien, il est possible que je puisse Le sentir et que vous, vous ne puissiez pas Le sentir.»

            Il a dit: «Oh! Non, non, vous ne pouvez pas exercer votre psychologie sur moi.»

            Et j’ai pris une épingle et je l’ai piqué. Et il a dit... J’ai d’abord pensé qu’il allait me donner une claque. Toutefois j’ai reculé pour être hors de sa portée. Et j’ai dit: «J’ai fait cela dans un but, monsieur. Excusez-moi. Mais je désire simplement faire une observation.» J’ai dit: «Avez-vous senti cela?»

            Il a dit: «Certainement.»

            Et j’ai dit: «Mais moi, je ne l’ai pas senti.»

            Il a dit: «Laissez-moi vous piquer.»

            Et j’ai dit: «Oui, vous croyez la même chose que moi, et vous aurez les mêmes résultats.» C’est juste. Il est possible que vous puissiez avoir une crampe à l’estomac et que moi je n’en sache rien, mais c’est réel pour vous. Voyez-vous? Mais cela ne le sera pas pour moi, à moins que j’aie la même crampe d’estomac, ou le même mal de tête ou quoi que cela puisse être.

20        Ainsi donc, j’ai dit: «Eh bien...» Et je–je réfléchissais, et il était... vous savez, vous avez... Maman disait souvent: «Si tu donnes assez de corde à la vache, elle s’étranglera elle-même.» C’est donc ainsi que vous... J’ai–j’ai carrément joué avec sa psychologie.

            Et j’ai dit: «Vous savez quoi? Vous êtes un homme très intelligent.»

            Il a dit: «Ma mère n’a pas élevé des idiots.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, c’est une bonne chose.» J’ai dit: «Je ne–je ne le pouvais certainement pas.» Je ne pouvais pas le dire; en effet, la Bible dit: «L’insensé dit dans son coeur qu’il n’y a point de Dieu.» Vous savez, mais je–je ne pouvais pas dire cela juste à cet instant-là, car je l’amenais juste au point où je voulais qu’il parvienne. Et j’ai dit: «Vous êtes l’un des esprits les plus brillants que j’aie jamais vus, auquel j’aie jamais parlé, un homme à l’esprit aussi brillant que vous.»

            Il a dit: «C’est juste.»

            Oh! Il était gonflé. C’est là que j’ai compris que je devais jouer sur lui quand je serais juste là. Et j’ai dit: «Vous admettez que vous avez un esprit?»

            Et il a dit: «Eh bien, certainement. Pourquoi? Vous vous comportez comme si vous aviez perdu le vôtre.»

            Et j’ai dit: «Non. Je ne pense pas que ce soit le cas.» Mais j’ai dit: «Je me demande simplement si vous avez réellement un esprit.»

            Et il a dit: «De quoi parlez-vous?»

            J’ai dit: «Il s’agit de l’esprit humain, n’est-ce pas?» Il a aussitôt compris ce que j’allais faire.

            Il a dit: «Eh bien...»

            J’ai dit: «Non, monsieur, j’ai été un gentleman. J’ai répondu à votre...» J’ai dit: «Citez-moi les sens du corps.» «Eh bien, a-t-il dit, vous les connaissez.»

            J’ai dit: «Je voudrais que vous les citiez.» J’ai dit: «Je les ai cités pour vous quand je vous ai dit que je les connaissais.»

            Il a dit: «La vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe.»

            J’ai dit: «Avez-vous déjà vu votre esprit? L’avez-vous déjà humé, l’avez-vous déjà goûté ou entendu?»

            «Non.»

            J’ai dit: «Alors vous n’avez pas d’esprit.»

            Il a dit: «Oh! Je suis certain que j’ai un esprit.»

            J’ai dit: «Moi aussi, je suis certain que j’ai un Dieu, monsieur.» J’ai dit: «Je suis tout simplement certain de cela.»

21        Ainsi toute l’armure de Dieu est invisible, mais c’est à l’invisible que regarde le chrétien. C’est comme Abraham. Il appela les choses qui n’étaient point comme si elles étaient, parce que Dieu l’avait dit. Nous allons donc regarder maintenant non pas à l’invisible cet après-midi, mais nous allons... quatre façons... Nous pourrions en prendre une douzaine, mais nous allons juste prendre ces quatre façons comme une–une confirmation que Dieu est vivant maintenant même.

            Dieu est juste ici cet après-midi, juste ici dans cette salle. Il a promis: «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je suis au milieu d’eux.»

22        Maintenant, nous allons d’abord parler de Dieu dans Son univers. Eh bien, comment le monde peut-il rester suspendu dans l’espace où il se trouve? Après tout, où en est le haut ou le bas? Qui le sait? Ceux qui sont au nord... au pôle sud pensent qu’ils sont au-dessus autant que ceux qui sont au pôle nord. Vous voyez donc, c’est juste... Ils sont dirigés comme ceci, ce qui, en fait, c’est être dirigé vers le bas. Nous pensons que nous sommes... que leurs têtes pointent vers le haut. Voyez-vous? Ils pensent que leurs têtes pointent vers le haut, alors que, pour nous, elles pointent vers le bas. Quand nos têtes sont pointées vers le haut, eh bien, pour eux, elles pointent vers le bas. La chose est donc suspendue dans le vide. Qu’est-ce qui la maintient là?

            Lancez une balle là et faites-la tourner sur elle-même aussi vite que vous voulez. Cette terre tourne à un peu plus de mille miles à l’heure [1609 km/h]. Elle a une circonférence de vingt-cinq miles [40, 23 km], elle tourne aut-... elle fait une révolution complète toutes les vingt-quatre heures. Mais elle va donc à un peu plus de mille miles à l’heure en tournant. Eh bien, faites tourner une balle sur elle-même en l’air, à la même vitesse. Voyez-vous? Elle ne fera pas un tour dans le même cycle. Elle tombera. Soit elle montera, soit elle descendra, soit elle ira de côté ou quelque chose comme cela.

            Qu’est-ce qui la maintient là? Nous savons qu’elle est là depuis six mille ans; c’est un fait établi qu’elle se tient là au même endroit. Et on peut en chronométrer le temps avec la lune et les étoiles si parfaitement que cela ne manquera pas d’une seconde. Les gens peuvent prédire vingt ans à l’avance le moment de l’éclipse du soleil, quand la lune et le soleil se croiseront.

            Tout marche en harmonie pour Dieu, toute la création de Dieu, à l’exception de l’homme. L’homme est donc Son fils qui pense connaître un peu plus que le Père. Nous cherchons donc à tout comprendre au lieu de croire simplement ce qu’Il a dit. C’est tout.

23        Il y a quelque temps, un infidèle m’a dit... On parlait de la lune et du soleil et comment il a laissé s’échapper un petit fragment.

            J’ai dit: «Comment allez-vous prouver cela?» Et j’ai dit: «La seule chose que vous puissiez faire, c’est de prouver cela par la foi.» J’ai dit: «J’aimerais vous dire maintenant que ma foi est trop faible pour cela. Je ne croirai que ce que dit la Bible. C’est la seule chose dans laquelle j’ai la foi, c’est dans ce que Dieu a dit. Il a créé les cieux et la terre, et je–je le crois ainsi. Ainsi la foi que j’ai, c’est la foi dans ce que Dieu a dit à ce sujet.»

            Et maintenant, comment cela pourrait-il donc être possible? Comment cette petite fleur pourrait-elle vivre cet après-midi, ce cep? Comment pourrait-il vivre, la plante plutôt, sans Dieu? Tous les hommes de science du monde ne pourraient fabriquer une de ces feuilles qu’elle porte. Ils peuvent fabriquer quelque chose qui ressemble à cela. Mais ils ne peuvent pas fabriquer cette feuille, parce que cette feuille a la vie en elle. Et la science ne peut jamais produire la vie.

            Une petite fleur... prenez par exemple, vous les femmes ici... Il fait froid ici dans la vallée. En faisant un tour, je vois maintenant vos jardins d’agrément. Tout à l’heure je circulais en voiture, essayant de garder ma pensée sur Dieu et priant: «Seigneur, fais quelque chose ici, dans cette vallée. Je T’en prie, aide Ton peuple. C’est une heure vraiment sombre.» Et je montais et descendais les rues, en train de prier. Et alors, je suis passé et j’ai vu de belles fleurs. Eh bien, dans peu de temps la gelée va frapper cette petite fleur. Celle-ci va pencher sa petite tête et mourir. Certaines d’entre elles seront jeunes, d’autres d’âges moyens et d’autres seront vieilles. De là tombe une petite semence noire.

            Que vous le croyiez ou pas, Dieu organise une procession funèbre pour Ses fleurs. Savez-vous cela? Certainement qu’Il le fait. Les pluies d’automne viennent et font tomber des cieux, en pleurant, d’énormes larmes, et elles ensevelissent la petite semence noire dans la terre. Et c’est tout à fait exact. Alors vient l’hiver qui fait geler la semence, qui s’ouvre en éclatant, la pulpe s’en détache, et à ce moment-là le sol est gelé à plusieurs centimètres de profondeur. La tige disparaît; le bulbe disparaît; les pétales disparaissent; la semence disparaît; la pulpe disparaît. Est-ce là la fin de cette fleur? Pas du tout. Aussitôt que le–le soleil se lève à l’est et commence à réchauffer... Eh bien, vous ne pourriez pas prendre une lampe et la braquer dessus, pour faire cela. Il faut la lumière du soleil. Laissez la lumière du soleil frapper dessus et commencer à la réchauffer, elle va revenir à la vie.

            Dieu a caché ce petit germe de vie quelque part pour qu’il puisse revenir à la vie, car c’est dans–dans la volonté de Dieu. C’est la plante de Dieu. Dieu l’a placée là dans un but, et elle ne fait pas des histoires. Elle accomplit tout simplement le dessein pour lequel Dieu l’a placée ici. Et si seulement nous faisions de même, accomplir le dessein pour lequel Dieu nous a placés ici! Je ne veux pas juste dire que nous devons élever des cochons (s’il n’y a pas de mal à cela), que nous devons faire ceci, et cela, mais Il nous a placés ici pour que nous soyons des fils et des filles de Dieu pour Le glorifier, et pour Le louer comme la petite fleur.

24        Il n’y a pas longtemps, j’ai prêché sur le sujet Regardez les Lys, et j’ai pris le lys, le pasteur lys, comment il ouvre son coeur; les abeilles en tirent leur part et les touristes qui passent par là [Frère Branham renifle comme quelqu’un qui hume l’odeur d’une fleur.–N.D.E.] hument cette belle odeur. Chacun tire sa part de monsieur lys, et il doit travailler durement jour et nuit pour produire cela. Ne croyez-vous pas que Dieu est dans Son univers? Dieu est partout.

25        Là chez moi, je vis à proximité de la rivière Ohio, et oh! j’aime vraiment l’eau. Il y avait un petit garçon qui vivait dans la ville, et il fréquentait une église, et c’était un gentil petit garçon. Et un jour, il a dit à sa mère, il a dit: «Maman, j’aimerais te poser une question.» Il a dit: «J’ai entendu le prédicateur dire que Dieu est si grand.» Et il a dit: «Eh bien, je me demande simplement si quelqu’un pourrait voir Dieu?»

            «Oh! a-t-elle dit, chéri, pose cette question à ta monitrice de l’école du dimanche.» Elle a dit: «Maman ne peut pas y répondre. Je n’en sais rien.»

            Et ainsi on a posé la question à la monitrice de l’école du dimanche, et elle a dit: «Oh! je n’en sais rien. Tu devrais poser la question au pasteur.»

            Il est donc allé poser la question au pasteur. Le pasteur a dit: «Non, fiston, nul ne peut voir Dieu. Nul ne peut voir Dieu et vivre. C’est tout simplement impossible.»

26        Le petit ami était donc déçu. Il fréquentait un vieux pêcheur qui vivait à proximité de la rivière. Et un jour, ils étaient tout près de... (Excusez-moi.) [Frère Branham tousse.–N.D.E.] l’île Six Mile, et une tempête se leva. [Frère Branham tousse et se racle la gorge.] Excusez-moi. Et une tempête se leva, et les eaux... Vous connaissez l’atmosphère qui règne après la pluie, toutes les feuilles sont nettoyées.

            Le vieux pêcheur est remonté dans la barque, et il s’est mis à descendre la rivière en tirant sa barque. Et juste comme tout rameur ou plutôt comme tout batelier sait le faire en–en harmonie avec ce tapotement des vagues sur les rames, comme cela, tandis qu’il amenait en la tirant une caisse pleine de poissons derrière. Et il y eut un... Le soleil réapparut à l’ouest, dans cette direction, et le vieux pêcheur regardait en direction de l’est, et un arc-en-ciel apparut dans les cieux. Et le petit ami était assis à la poupe de la barque, et ainsi il commença à remarquer des larmes qui se mettaient à couler sur les joues du vieux pêcheur à la barbe grise, tandis qu’il regardait cet arc-en-ciel qui s’étendait.

            Et le petit ami fut enthousiasmé et il se précipita jusqu’au milieu de la barque, et il saisit le vieux pêcheur aux genoux et tomba là à ses pieds. Il dit: «Monsieur, je vais vous poser une question. Ma monitrice d’école du dimanche, ma mère, mon pasteur, personne n’a pu y répondre. Quelqu’un peut-il voir Dieu?»

            Et le vieux pêcheur fut tellement ému qu’il ramena tout simplement les rames dans la barque, entoura le petit garçon de ses bras, et il dit: «Que Dieu bénisse ton petit coeur, chéri. Tout ce que j’ai vu durant les cinquante dernières années, c’est Dieu.» Il y avait tant de Dieu au-dedans de lui que tout ce qu’il regardait c’était Dieu.

27        C’est de cette façon que vous voyez Dieu, quand vous avez Dieu au-dedans de vous. Laissez-Le regarder au travers de vos yeux. C’est de cette façon que vous travaillerez pour Dieu, quand Dieu peut utiliser vos mains, utiliser vos pieds, utiliser vos lèvres, utiliser votre langue, utiliser vos oreilles, utiliser vos yeux. Dieu, en vous, voit Dieu à l’extérieur. Dieu est dans Son univers. Il était dans l’arc-en-ciel, et cela a réglé la question à laquelle aucun des autres n’avait pu donner de réponse.

28        Comme vous le savez tous, je suis un chasseur. Ma mère est mi-indienne, et je–et ma conversion n’a jamais ôté cela de moi. Je continue à aller dans le Colorado où je suis un guide autorisé, et... Chaque automne je vais loin dans les montagnes où j’avais l’habitude de garder le bétail pendant des années, et je reste là souvent, et j’apprends tant de choses au sujet de Dieu.

            Je me souviens lorsque j’étais assis là, avec ma jambe sur... Quand l’Association Hereford faisait paître le bétail dans la–la vallée de la rivière Troublesome, et j’observais les cow-boys pendant que nous amenions le bétail et que nous faisions monter le bétail, au printemps pour le rassembler. Et voici une chose que je... la raison pour laquelle je suis interdénominationnel.

            Le garde forestier se tenait là à la clôture amovible, et il observait ce bétail. Si vous pouvez cultiver une tonne de foin dans votre ranch, et que vous pouvez produire plusieurs tonnes de foin, vous pouvez mettre une vache dans la forêt. Je pense que vous avez toujours les mêmes lois ici. Et alors, le propriétaire du ranch se tenait là et observait ce bétail, il ne faisait pas tellement attention à la marque qu’ils portaient. La nôtre c’était les Tripod, et les autres... Le nom de ceux qui étaient au-dessus de nous, c’était les Turkey Track, et juste là en haut c’était les Grimes, le grand groupe qui avait le Bar–Diamond Bar, et plusieurs de... certains d’entre eux y plaçaient des centaines et des centaines de têtes de bétail. Mais, vous savez, ce–ce garde forestier ne faisait pas attention à ces marques. Il veillait à l’étiquette de sang à l’oreille. Vous ne pouviez pas placer une Hereford dans cette forêt sans... ou plutôt une vache dans cette forêt sans que ce soit un Hereford pur sang. Ça devait être un Hereford enregistré.

            Et je pense qu’au jour du Jugement, Dieu ne regardera pas si nous sommes membres des Assemblées ou de l’Eglise de Dieu, ou de je ne sais quelle église, la marque que je porte; Il cherchera cette étiquette de sang; le Sang de Son propre Fils. C’est ce qu’Il cherchera. Rien n’y entrera en dehors d’un chrétien né de nouveau.

29        Je chassais l’élan, cette année-là l’élan se trouvait tout en haut parce qu’il n’y avait pas eu de neige pour le forcer à descendre. Et monsieur Jefferies qui était propriétaire de l’un des ranches... nous connaissions chaque centimètre de terrain dans cette région forestière-là, sur des centaines de kilomètres, car nous... en effet, je gardais le bétail et je leur donnais du sel et ainsi de suite: je prenais le convoi de bêtes de somme et je retournais là-bas et je donnais du sel au bétail, et on le rassemblait et tout.

            Et nous sommes allés chasser, et c’est un très bon chasseur, et il avait pris la gauche pour retourner sur ce que nous appelons l’embranchement ouest; moi j’ai pris l’embranchement est. Et nous allions nous rencontrer quatre ou cinq jours après, et nous allions suspendre notre élan, ou quoi que ce soit que nous allions attraper, et ensuite nous allions rassembler nos chevaux et prendre les colis et venir ensemble pour descendre avec. J’étais tout en haut, je marchais là-haut, et il n’y avait–n’y avait pas eu grand-chose comme neige. Et–et en automne, en haut dans les montagnes, il neige, puis il pleut, et ensuite le soleil brille. Vous savez comment ça se passe, le changement de temps en octobre.

30        Et je marchais tout en haut, pratiquement à la lisière, et un–un vent du nord s’est levé, et le ciel est devenu vert un petit moment. Et oh! le vent a commencé à souffler et il a commencé à pleuvoir, et–et il tombait de la neige fondue; et je me suis mis derrière un arbre, et je me suis tenu debout derrière l’arbre, j’ai posé mon fusil au sol, c’était près d’un endroit où des arbres avaient été renversés par le vent. Et j’ai posé mon fusil là, et je pensais tout simplement: «Ô Dieu, que Tu es grand! Que Tu es merveilleux! Tu es si... Tu as créé les montagnes; Tu as fais couler les fontaines, Tu as élevé les montagnes. Seigneur, garde Tes précieuses mains sur moi.» Et pendant que je me tenais là, attendant que la pluie passe, alors le vent devint très violent. Et après que la tempête fut passée, j’ai entendu un vieil élan mâle commencer à beugler. Il s’était égaré pendant la tempête. Tout en haut sur le flanc de la colline, un coyote a hurlé; sa compagne a répondu plus loin en bas.

            Vous savez, quand David a dit: «La profondeur appelle la profondeur»... Pour moi, il y avait là-dedans quelque chose de sacré, d’entendre la vie sauvage appeler. Il y avait là cet élan. Je me suis retourné et j’ai regardé derrière, en direction de l’ouest, en direction de Washington, par ici. Et alors que le soleil se couchait, en se laissant entrevoir à travers les crevasses des montagnes, c’était comme un grand oeil qui regardait. Je me suis dit: «C’est juste, Ses yeux parcourent la terre.» Où que vous regardiez, c’était Dieu. C’est tout simplement sacré.

31        Et alors, j’ai regardé derrière dans cette direction, et il y avait un arc-en-ciel derrière dans cette direction, sur le... là où les arbres aux feuilles persistantes avaient gelé sous l’effet de la pluie, et que le soleil avait frappés et un arc-en-ciel s’était formé dans la vallée. Le loup hurlait, l’élan beuglait, et le soleil se couchait, oh! la la! je me suis tenu là à pleurer comme un bébé. J’ai regardé de nouveau, j’ai dit: «Oui, qu’y a-t-il dans l’arc-en-ciel? C’est une alliance, une promesse.» Dans Apocalypse 1, Il avait l’aspect d’une pierre de jaspe et de sardoine: c’est Benjamin et Ruben, le premier et le dernier, Celui qui était, qui est et qui vient, la Racine et le Rejeton de David, l’Etoile du matin. Tout ce qu’Il était, Ses titres, Il est là dans l’arc-en-ciel qui se tient là. Et je me suis dit: «Oh! Comme c’est magnifique! Comme c’est agréable d’être ici!»

            Et j’étais si heureux que je me suis mis à tournoyer autour de cet arbre de toutes mes forces, en criant continuellement à tue-tête, à environ trente-cinq miles [56 km.] des êtres humains. Et je criais tout simplement, et je hurlais. Je pense que si quelqu’un était venu là dans les bois, il aurait pensé qu’il y avait là-haut quelqu’un sorti d’un asile des fous. Je ne faisais que crier et hurler. Je ne me souciais de rien; j’adorais Dieu. Je passais tout simplement un bon moment. Et je m’arrêtais et disais: «C’est juste. Il est l’Alpha et l’Oméga. Le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Et je me remis à tournoyer autour de l’arbre, de toutes mes forces. Je devais simplement me défouler, vous savez, c’était juste... quelque chose bouillonnait. Et je criais simplement de toutes mes forces.

32        Et, au bout d’un moment, j’ai entendu un petit écureuil des pins. Je ne sais pas si vous, frères, vous savez ce que c’est. C’est le petit policier au veston bleu des bois. Il a sauté là sur une souche, en faisant: «Tchat, tchat, tchat, tchat, tchat, tchat.» Je me suis dit: «Oh! Pourquoi es-tu si excité petit ami? J’adore le Dieu qui t’a créé,» et je me suis remis à tournoyer encore et encore autour de l’arbre, de toutes mes forces. Et je me suis dit: «Eh bien, j’adore le Dieu même qui t’a créé. Il est mon Créateur. Je L’aime. Je suis en train d’adorer.» Et je continuais à courir autour de l’arbre. Et, au bout d’un moment, j’ai dit: «N’aimes-tu pas cela? Tu devrais toi-même aussi le faire. Tu es une créature de Dieu; tu devrais toi-même L’adorer.»

            J’ai fini par découvrir que ce n’était pas moi qu’il observait. Il inclinait sa petite tête de côté et regardait en bas vers cet endroit où les arbres avaient été renversés par le vent. Et le vent avait projeté là un vieil aigle.

33        Or, l’aigle est l’un de mes oiseaux favoris. Dieu compare donc Ses prophètes aux aigles. Il se compa-... Il dit Lui-même qu’Il est Lui-même un Aigle, l’Aigle Jéhovah. Peut-être, le Seigneur voulant, j’aimerais prêcher là-dessus une fois pour vous, Pareil à l’aigle qui éveille sa couvée. Et alors... et ainsi donc, pendant qu’il regardait de côté comme cela, il observait cet aigle-là qui était en bas. Et ce grand aigle est sorti de là d’un bond, avec ses énormes yeux gris, et je me suis dit: «Oh! C’est ce qui t’a excité. Hein?» Eh bien, je me suis mis à observer cela, et je me suis dit: «Seigneur, je sais que Tu es dans le beuglement de cet élan. Tu es dans l’appel de ce loup. Tu es dans l’arc-en-ciel. Tu es dans le coucher du soleil. Tu es en moi. Tu es tout simplement partout. Tu es dans toutes les fleurs. Tu–Tu es tout simplement partout. Eh bien, comment pourrais-Tu m’arrêter de T’adorer, pour me montrer ce vieil aigle qui se tient là? Eh bien, il n’y a rien en lui; c’est un voleur. Eh bien, qu’en est-il de lui?» J’ai dit: «Dans quel but Tu l’as fait vernir ici? Qu’est-ce que... Je vois Dieu là, mais je ne vois pas Dieu dans ce vieil aigle.»

            Eh bien, il arriva que je remarque là quelque chose; j’ai dit: «Dis donc, mon ami, sais-tu que je peux t’abattre?» Eh bien, il savait que je l’admirais; j’aime son courage. Il regardait... Je l’ai remarqué... «Pourquoi n’as-tu pas peur de moi?» Et j’ai remarqué qu’il touchait ses ailes, vous savez, ses plumes et qu’il les remuait comme cela. Voyez-vous? Juste... Je me suis dit: «Oh! Je vois. Je vois, Seigneur.» Voyez-vous? Il n’a pas peur. Il a deux ailes que Dieu lui a données. Il sait qu’avant que je puisse atteindre ce fusil, il pourrait être dans cette forêt-là, et je ne le reverrais plus. Voyez-vous? Et je me suis dit: «S’il pouvait... Si cet aigle, grâce au don des deux ailes que Dieu lui a données, ce...?... le mettre à l’abri des–des ennuis, à combien plus forte raison l’Eglise le devrait quand elle peut sentir la puissance du Saint-Esprit l’environner.» Nous devrions être en mesure de nous envoler par la foi et nous éloigner de chaque maladie, de chaque affection, et de toutes les choses du monde, si nous pouvons sentir la Présence de Dieu.»

34        Aussi longtemps que ces plumes fonctionnaient comme il faut, il savait qu’il pouvait le faire, parce qu’il avait confiance dans le don dont Dieu l’avait doté. Et pourtant nous, nous restons assis là et nous nous posons des questions et nous sommes perplexes, avec la puissance même du Saint-Esprit sur nous (et nous marchons...), se mouvant à travers la salle pour montrer qu’Il est présent.

            Oh! Vous voyez Dieu partout où vous regardez. Ne croyez-vous pas cela? Dieu est dans l’aigle; Dieu est dans l’appel du loup; Dieu est dans le coucher du soleil; Dieu est dans Son univers; Dieu est dans Ses fleurs. Eh bien, Dieu est partout, si seulement nous regardons tout autour.

35        Pour terminer cette histoire, ce vieil aigle, je l’ai observé un petit peu. Et ce vieux petit–vieux petit écureuil des pins s’était juché là et me regardait, vous savez, faisant: «Tchat, tchat», en regardant l’aigle. Et au bout d’un moment, l’aigle en a eu assez de cela. Il a donc fait un grand bond, il a battu des ailes presque deux fois, et il était parti. Eh bien, je l’ai observé, il n’a plus bougé ses... une plume après cela. Quand il est arrivé au-dessus de ces arbres verts, il a juste déployé ses ailes. Il savait comment le faire. Et quand ce vent venait en montant la montagne, chaque fois que le vent venait, «fiou» [Frère Branham fait un bruit comme celui du vent qui souffle.–N.D.E.], il se laissait simplement porter par celui-ci, il se laissait porter par celui-ci. Je me suis simplement tenu là à regarder cela. Oh! la la! Il devenait de plus en plus petit jusqu’à ce qu’il n’était plus visible. Et je me suis dit: «C’est ça. C’est ça. Seigneur.» Voyez-vous? Ce n’est pas que lorsqu’on est malade ou dans le besoin, ce n’est pas qu’il faut battre des ailes en allant vers ceci et amener votre lettre à telle église. Et si les Assemblées ne vous traitent pas correctement, vous allez vers l’Eglise de Dieu. Si l’Eglise de Dieu ne vous traite pas correctement, vous retournez chez les baptistes. Ce n’est pas ça. Il est tout simplement question de savoir déployer vos ailes de la foi dans la puissance de Dieu, et de vous élever loin de cela. Vous allez de l’avant. Et le Saint-Esprit commence à agir, vous vous laissez tout simplement porter par Lui. Il n’est pas question de battre des ailes sans cesse, en disant: «Eh bien, je vais m’en aller là-bas, vous ne me traitez pas bien. Je vais retourner là-bas. Je vais passer dans la ligne de prière de Roberts. Frère Branham arrive, je vais aller dans la sienne.» Ce n’est pas ça. Déployez votre foi dans la puissance de Dieu et partez.

36        Il a laissé ce vieux petit tamia ou cet écureuil juché là, faisant: «Tchat, tchat, tchat. Le temps des miracles est passé. La guérison divine n’existe pas. Le baptême du Saint-Esprit n’existe pas.» Il s’en est tout simplement allé loin de cela.

            Oh! la la! C’est ce que nous devons faire. Nous élever au-dessus de cela. Eloignez-vous de ces gens qui disent: «La guérison divine n’existe pas. Dieu ne tient pas Sa Parole. Jésus-Christ n’est pas le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Déployez tout simplement vos ailes dans la puissance de Dieu et éloignez-vous. C’est juste. Disparaissez de leur vue, laissez-les tranquilles. Soyez tout simplement si sourd que vous ne les entendrez même pas du tout. Eloignez-vous tout simplement de cela. Dieu est dans Son univers. Dieu agit parmi Ses créatures.

37        Prenons un vieux petit canard, quand je vais parfois dans les bois du Nord pour chasser. J’ai chassé dans le monde entier. Quand vous allez dans les bois du Nord, il y a un vieux petit canard qui est né là sur ce lac. Il n’a jamais quitté ce lac. Il y est né au printemps. Mais on ne sait pas trop comment, quand les sommets des montagnes se couvrent de neige, et que cette première petite brise froide descend la montagne, il y a un certain petit canard dans cette mare, c’est un vieux petit canard mâle. Il sort et se dresse juste au milieu de cette mare, il dresse son petit bec en l’air et fait: «Coin, coin», et chaque canard de la mare va venir auprès de lui. Oui, oui. Que va-t-il faire? Il va s’envoler de ce... Souvenez-vous, il n’a jamais quitté cette mare, mais il va s’envoler directement de cette mare et conduire–conduire chacun de ces canards tout aussi droit qu’il le peut vers la Louisiane, vers les champs de riz. S’il ne le fait pas, ils vont tous geler.

            Certainement, nous devrions avoir le sens des canards. Si Dieu peut utiliser l’instinct d’un canard pour que ce dernier conduise son peuple ou plutôt ses amis, les canetons loin d’un endroit qui va geler, la puissance du Saint-Esprit devrait certainement nous conduire à Christ, qui est notre Guérisseur, et loin du danger. Dieu a donné au canard un instinct. Il vous a donné le Saint-Esprit. Oh! Je me sens religieux en ce moment même. Oui, oui. Il nous a donné le Saint-Esprit pour échapper à ces choses. Certainement.

            Si vous prenez... allumez votre radio et qu’on annonce: «Demain, il fera froid, ou il va faire–faire chaud», et quoi qu’annonce la radio. Disons par exemple: «Il va faire... que demain il va faire chaud. Il fera chaud.» Et si vous voyez cette vieille laie aller là et prendre ces bâtons qui sont du côté nord de la colline, et les amener de l’autre côté de la colline; ne prêtez pas attention à ce que dit l’homme de la radio. Il ne sait pas de quoi il parle; cette laie est bien avisée. Si vous sortez et que vous voyiez ces lapins se mettre juste en dessous des buissons, et que cet homme dise: «Il va faire beau temps.» Ne prêtez pas attention à ce qu’il dit; ce lapin en sait plus que lui n’en saura jamais à ce sujet. Dieu lui a donné un moyen d’échapper à ces choses, et il y croit et il se prépare pour cela.

38        C’est comme Noé le fit avec l’arche, il prépara l’arche avant que la pluie ne tombe. Amen. Etes-vous prêts, cet après-midi, à vous envoler? Pouvez-vous voir Dieu? Eloignez-vous de ces maladies, de ces affections, de ces doutes, et de ces frustrations. Dieu est dans Son univers.

            Il n’y a pas longtemps, ça fait quelques années, papa et moi, nous étions en train de labourer. Et c’était un matin chaud; et nous cultivions du maïs, et papa a dit: «Eh bien, les chevaux commencent à s’ébrouer et à s’ébrouer.»

            J’ai dit: «Qu’a-t-il, papa? Y a-t-il un coyote là-bas?»

            Il a dit: «Non, non. Une tempête approche.»

            J’ai dit: «Une quoi?»

            Il a dit: «Une tempête.»

            J’ai dit: «Je ne vois de tempête nulle part.»

            Il a dit: «Billy, attends une minute.» Il a dit: «Tu ne comprends pas.» Il a dit: «Dieu a donné au cheval un instinct par lequel il sait quand une tempête arrive.» Vous tous qui avez déjà monté les chevaux, vous savez comment les éclairs ont des effets juste sur sa crinière. Il a dit: «Il a–il a un instinct pour se mettre à l’abri. C’est la raison pour laquelle il s’ébroue. Il veut aller à l’étable.»

            Et j’ai dit: «Une tempête? Oh! ai-je dit, il n’y a pas de tonnerre; il n’y a pas d’éclair; il n’y a des nuages nulle part.»

            Il a dit: «Mais observe juste pendant quelques minutes.»

            Je n’avais pas fait deux tours en labourant que la tempête est survenue là. Voyez-vous? Dieu leur a donné un instinct. Dieu est dans chaque créature, partout, si seulement vous les observez. Dieu est dans Son univers. Le croyez-vous? Certainement qu’Il y est.

39        Eh bien, il y a quelques années, je lisais un article disant qu’un infidèle parcourait le pays. Il était très intelligent, très intellectuel, au point que les ministres n’osaient même pas l’aborder. Cela fait environ cinquante ans, et il–il convertissait les gens du christianisme à l’infidélisme. Et finalement, sa santé se détériora, et il se rendit dans le Colorado pour un repos. Et un jour, pendant qu’il était au camp, il est sorti et s’est mis à contempler ces rochers. Et il a dit: «Est-ce vrai, ai-je tort? Existe-t-il un Etre qui vous a placés là?»

            Alors ces arbres se balançaient et le vent disait: «Adam, où es-tu?» Voyez-vous?

            Et finalement, cet infidèle qui était assis là sur un rondin, contemplant ces rochers, tomba sur sa face et dit: «J’ai tort. Ô Dieu, aie pitié de moi, un pécheur.»

            Il n’est pas étonnant que les Ecritures disent: «S’ils se taisent, les pierres crieront immédiatement.» Quelque chose va se passer. Si un homme regarde tout autour dans l’univers, il peut trouver Dieu. Ne croyez-vous pas que Dieu est dans Son univers? Certainement, Dieu est dans Son univers.

40        Maintenant, nous allons prendre Dieu dans Sa Parole, juste pendant une minute. Combien croient que Dieu est dans Son univers? Certainement qu’Il est dans Son univers. Nous pourrions continuer tout l’après-midi, mais nous ne voulons pas le faire. Nous voulons aborder ces deux autres points.

            Maintenant, pouvez-vous voir Dieu dans Son univers? Combien peuvent voir Dieu dans Son univers? Dans toutes ces différentes choses? Certainement que vous le pouvez. Maintenant, voyons si Dieu est dans Sa Parole.

            Dieu est dans Sa Parole, à tel point qu’il est écrit: «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.»

41        Dieu est dans Sa Parole. Nous le croyons. Il La tient. Nous pouvons le déclarer quand Dieu dit quelque chose, nous observons cette Parole s’accomplir carrément et manifester très exactement ce qu’Il a annoncé. Nous savons donc que Dieu est dans Sa Parole. Il a dit à Abraham que ce dernier allait avoir un bébé de Sara, et il a attendu pendant vingt-cinq ans; Dieu a tenu Sa Parole. Il a dit à Noé qu’il allait pleuvoir, et tout ce qu’Il a dit. Il a dit au cent vingt de monter attendre à Jérusalem jusqu’à ce que le jour de la Pentecôte arrive. Il allait envoyer la promesse du Père. Il a tenu Sa Parole. Il tient toujours Sa Parole.

            Il a dit: «Vous ferez aussi ces choses que Je fais.» Il tient Sa Parole. «Encore un peu de temps, et le monde (l’ordre du monde) ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez. Je serai avec vous, [et même] en vous, jusqu’à la fin du monde.» Il tient Sa Parole. Dieu est dans Sa Parole.

42        Tenez, comme je l’ai dit l’autre soir: «Dieu est... ‘La Parole de Dieu, a dit Jésus, est la Semence qu’un semeur est allé semer, et cette Semence a poussé’ et–et ainsi de suite.»

            Or, toute semence, si c’est le bon genre de semence, elle produira selon son espèce. Elle se reproduira. Quelques... Il y a environ trois ou quatre ans, je me trouvais dans une–une confiserie, en train de prendre une–une crème glacée en compagnie d’un vieil ami, un prédicateur méthodiste. Il est déjà dans la Gloire maintenant. Et nous étions assis là, parlant de la bonté de Dieu. C’est le même vieux ministre qui a composé ce cantique: «Nous avons laissé tomber les barrières. Nous avons laissé tomber les barrières. Nous avons fait des compromis avec le péché. Nous avons laissé tomber les barrières, les brebis sont sorties, mais comment donc les boucs sont-ils entrés?»

            Je–j’ai dit: «Eh bien, c’est simple, vous avez laissé tomber les barrières. C’est tout. Vous avez simplement commencé à faire des compromis, et c’est ainsi que les boucs sont entrés, et ils mangent toute la nourriture des brebis.» Mais les gens n’aiment pas cela; il leur faut de mauvaises herbes, de mauvaises herbes ecclésiastiques. Le bouc se nourrit–se nourrit–est satisfait avec les mauvaises herbes; mais la brebis, il lui faut la véritable nourriture.

43        Ainsi remarquez, pendant qu’il était là, la radio était allumée dans cette petite confiserie de Henryville, dans l’Indiana, où nous étions... Et le vieux docteur Spurgeon, un très grand ami à moi... Et la radio était donc allumée, et l’émission L’heure de l’agriculture passait, c’était le petit club 4-H de Louisville, dans le Kentucky, ils avaient une machine là-bas qu’ils avaient fabriquée, une machine qui pouvait reproduire un grain de maïs si parfaitement que vous ne pourriez pas le distinguer de celui qui a été cultivé dans le champ. On disait: «Prenez une poignée dans le sac de ce qui a poussé dans le champ, une poignée dans le sac de ce que la–la machine a produit, mélangez-les, et vous ne saurez plus les distinguer.» On disait: «Scindez-les, il y a la même quantité de calcium, la même quantité d’humidité, le même germe, parfaitement comme il faut, cela donnera la même farine de maïs, le même pain de maïs, les mêmes flocons de maïs, très exactement.» On disait: «Il n’y a qu’une seule manière pour vous permettre de les distinguer, c’est en les enterrant. Celui que la machine a fabriqué pourrit et ne revient jamais à la vie, mais celui que Dieu a créé revient à la vie parce qu’il a la vie en lui.»

44        Vous pouvez prendre un homme qui a l’air d’un chrétien, qui se comporte comme un chrétien, mais si cet homme n’a pas la Parole de Dieu en lui, si le germe de Vie n’est pas à l’intérieur pour le féconder, il ne ressuscitera pas à la résurrection. C’est juste. En effet, il ne peut pas ressusciter; il n’y a rien à l’intérieur pour le ressusciter; une semence.

            Eh bien, quand vous mettez une semence en terre, vous les fermiers, vous prenez votre maïs et vous allez là le semer; vous n’allez pas chaque matin déterrer cela, en vous disant: «Voyons maintenant, est-ce que ça pousse? Quelque chose est-il arrivé à cela?» Non. Puis vous remettez cela. Tard le jour suivant, vous vous dites: «Je vais voir si ça évolue bien.» Vous déterrez de nouveau cela; cela ne poussera jamais de cette façon-là. Eh bien, ce que vous faites avec une semence, vous la confiez à la terre, vous l’ensevelissez; c’est tout ce que vous pouvez faire à ce sujet. C’est à Dieu de faire le reste.

            Eh bien, c’est pareil avec la Parole de Dieu. Si vous prenez n’importe quelle promesse divine que Dieu a faite dans Sa Bible, et que vous mettiez cela dans votre coeur, et que vous l’arrosiez chaque jour avec des louanges adressées à Dieu, elle va s’accomplir, cela va pousser, si vous cessez de tripoter cela, si vous laissez simplement cela tranquille. Ne dites pas: «Je vais voir, est-ce que je peux bouger mon doigt un peu mieux aujourd’hui, est-ce que je me sens mieux, est-ce que mon mal de tête s’est un petit peu calmé?» Oh! Non! Ça ne fera jamais l’affaire, confiez tout simplement cela à Dieu, et partez, laissez cela tranquille. Voilà la semence de Dieu. Elle va croître.

45        Il y a quelque temps, j’étais à Minneapolis, dans le Minnesota, et ce matin-là j’ai reçu une lettre acerbe. Et, ce soir-là, il y avait eu une tempête de neige, et je suis retourné dans un vieux petit hôtel bon marché, et je cherche toujours à rester à un endroit. Je ne crois pas que les chrétiens devraient demander les meilleures choses qu’il y a dans le pays. Un chrétien devrait être humble. Je–je pense que c’est... même si vous en avez les moyens, je pense que vous devriez toujours être exemplaire. Mon Seigneur n’avait même pas un endroit où reposer Sa tête. Les renards avaient des tanières, et les oiseaux des nids, mais Lui n’avait pas un endroit où reposer Sa tête. Il est venu dans le monde en empruntant une mangeoire pour y naître, Il est venu au travers d’un sein emprunté, et Il s’en est allé dans un tombeau emprunté. Oh! la la! Et c’était le Dieu du Ciel, et nous aussi nous devrions faire montre d’humilité.

46        Je suis donc entré et il y avait là une lettre de vingt-deux pages provenant d’un certain doyen d’une université. Oh! Qu’est-ce qu’il m’a rabroué! Il a dit: «Monsieur Branham.» Il ne voulait pas m’appeler frère. Il a dit: «Monsieur Branham, de penser que vous vous tenez devant tant de gens comme vous le faites, et puis avec une théologie aussi pourrie, je n’ai jamais entendu cela de ma vie.» Et il a dit: «Vous vous vantiez d’être un prédicateur depuis trente et un ans.» Il a dit: «Jeune homme, moi je prêchais avant votre naissance.»

            Et je me suis dit: «Eh bien, c’est... Je respecte certainement un homme qui prêche depuis si longtemps.» Ainsi donc je me suis dit: «Bien, c’est tout à fait en ordre.»

            Alors, il a dit: «De penser que vous avez dit hier soir qu’un–qu’un... le serviteur de Dieu...» Il a dit: «J’ai roulé sur quinze miles [24 km] à travers une tempête de neige aveuglante pour entendre un serviteur de Christ, et qu’ai-je trouvé sinon un devin raffiné.» Il était venu...

            Il a dit: «Et vous avez dit: ‘Le diable ne peut pas guérir.’» Il a dit: «Un homme qui prêche à autant de monde comme vous et qui n’en sait pas plus sur la Bible que cela, et qui n’en sait pas plus que–que dire que le diable ne peut pas guérir.» Il a dit: «Je vais vous faire savoir que je vis dans une communauté ici, où il y a une femme qui a un esprit de divination.» Il a dit: «Les gens viennent consulter cette femme; elle a sur elle un grand tablier, elle les tâte partout comme ceci, et on laisse tomber de l’argent dans ce tablier.» Il a dit: «Ensuite, elle arrache quelques cheveux de sa tête, elle leur pique dans les veines et applique du sang sur ces cheveux. Elle descend à un petit ruisseau derrière sa maison, et elle y jette cela. Les gens se tiennent devant elle. Elle monte comme ceci, et si elle est contrainte de regarder derrière, eh bien, a-t-il dit, alors la maladie revient sur la personne, si elle ne se retourne pas, elle jette cela, à travers son... le sang des gens, et ses propres cheveux, dans le ruisseau...» Et il a dit: «Nous avons gardé des témoignages là-dessus.» Il a dit: «Au moins vingt ou trente pour cent de ces gens sont guéris. Et puis, vous voulez me dire que vous ne croyez pas qu’un démon puisse guérir.»

47        Eh bien, je–j’ai tout simplement pensé: «Un doyen d’une université!» Eh bien, je me suis dit: «C’est une trop belle lettre, ainsi la première chose c’est que j’ai oublié de lui répondre. Et si vous avez déjà lu une de mes lettres, je–je suis le seul à pouvoir la déchiffrer.» Ainsi donc, je–je me suis assis et j’ai fait de mon mieux, et j’ai écrit: «Mon précieux frère», comme lui m’a appelé tout simplement «Branham». Et je–j’ai écrit: «Mon précieux frère...» Et je le disais sincèrement, un homme qui prêche depuis cinquante ans mérite des égards. Eh bien, cela... tout... quand bien même il a tort, il mérite des égards.

            J’ai dit: «Mon précieux frère...» J’ai dit: «La première chose que j’aimerais dire, c’est que je vous pardonne pour ce que vous avez dit, et ma prière est que Dieu vous pardonne aussi. Souvenez-vous, les pharisiens qui avaient prêché depuis bien plus longtemps que vous, ont vu la même chose être accomplie et ils ont dit que c’était la puissance du diable, Béelzébul, et Jésus a dit que lorsque cela serait accompli par le Saint-Esprit dans ces derniers jours, un seul mot prononcé contre cela ne serait jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. Eh bien, qu’arriverait-il si, par exemple, j’ai raison? Dans ce cas-là, vos cinquante ans de prédication ne signifient rien. Vous avez condamné votre âme à l’enfer pour toujours. Vous ne serez jamais pardonné pour cela.» J’ai dit: «Je ne vous condamnerai pas, frère, comme vous avez fait cela par ignorance.» Alors, j’ai dit: «Ne laissez pas cela blesser vos sentiments.»

48        Mais j’ai dit: «Et puis, vous étiez... ne cessez de m’acculer au sujet de ma théologie, quand je dis: ‘Un démon ne peut pas guérir.’» J’ai dit: «Je vais vous citer Jésus.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Vous ne pouvez pas mélanger les Ecritures, vous devez Les garder bien claires. C’est juste. J’ai dit: «Jésus a dit: ‘Satan ne peut pas guérir’, et vous, vous avez dit: ‘Il guérit.’» Eh bien, j’ai dit: «Maintenant, si vous voulez bien m’excuser.» J’ai dit: «Je–je vais vous dire ce qu’il en est de votre sorcière qui est dans votre voisinage.» J’ai dit: «Si... Il est évident que ces gens sont guéris.» En effet, j’ai dit: «En Afrique, j’ai vu les gens aller vers des idoles et être guéris. A Las Alderaines, ils ont un monument là-bas d’une certaine femme qui est morte, dans une église catholique. Les gens y vont et regardent cette femme morte en récitant Je vous salue Marie, et ils sont guéris. Certainement, parce que les gens pensent qu’au travers de cela ils s’approchent de Dieu, et Dieu les guérit sur base de la foi. Et chaque fois qu’on a la foi, Dieu doit honorer cette exigence.» C’est juste.

            J’ai dit: «Il y a beaucoup de gens dans le pays aujourd’hui qui se disent des guérisseurs divins.» Ils disent: ‘J’ai la puissance dans mes mains. Gloire! Alléluia! Woooo! Sentez cela.’» Et les Américains se laissent prendre par cela comme je ne sais quoi, comme un clochard devant des gâteaux chauds. Et ils–et–ils–ils pensent que c’est juste. Ils sont guéris parce qu’ils sont... Il ne s’agit pas de ça. C’est votre foi dans l’oeuvre achevée de Jésus-Christ. C’est là-dessus que repose la guérison. Ne laissez jamais quelqu’un vous persuader qu’il a le pouvoir de guérir. C’est faux.

49        Jésus-Christ a déjà payé la dette. Comment pourriez-vous encore racheter cela? Il vous donne un reçu payé de la maison de prêt sur gage, où vous vous trouviez. Vous êtes racheté par le précieux Sang de Jésus. Vous n’avez pas la puissance de guérir. Ce que vous faites c’est avoir... Vous pourriez avoir un don pour manifester Dieu. Vous pourriez avoir un don pour Le manifester au travers d’un grand prédicateur, comme certains de mes frères ici qui pourraient se tenir ici et faire ce travail de loin mieux que moi, parce que c’est leur appel. Mon appel à moi c’est quelque chose d’autre. Mais chacun d’entre nous a un don pour essayer de vous déclarer que Christ vous a guéri quand Il est mort pour vous. Il a été blessé pour vos péchés, c’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéri. C’est quelque chose pour vous amener à comprendre, si vous ne pouvez pas croire la Parole; alors Il envoie des signes et des prodiges pour prouver qu’Il est le Christ ressuscité. Voyez-vous? Par conséquent, c’est là que vous obtenez votre guérison, en croyant en Lui.

50        Eh bien, ainsi donc, j’ai dit: «Mais la chose qui m’inquiète, monsieur, ce n’est pas ça; mais c’est le fait que le doyen d’une université luthérienne fonde sa doctrine sur une sensation ou une expérience plutôt que sur la Parole de Dieu.» Oui. Oh! Vous pouvez avoir toutes sortes de sensations, mais il faut que ça soit la Parole de Dieu. C’est juste. J’ai dit: «Le doyen d’une université qui prêche depuis cinquante ans et qui... base sa doctrine (ça l’a profondément touché)–qui base sa doctrine sur une–sur une sorte d’expérience qu’a eue une femme, au lieu de la baser sur la Parole de Dieu. Dieu a dit: ‘Satan ne peut pas guérir’, et ça règle la question. Quand Lui parle, c’est éternellement vrai.»

51        Peu de temps après cela, j’ai reçu une invitation pour aller chez lui. Monsieur Moore m’a accompagné, car je savais que cet homme était intelligent. Et ainsi, il... Après que nous avons pris notre dîner là, à cette grande et célèbre université... Ils avaient là des centaines d’hectares de maïs où les étudiants pouvaient travailler pour se prendre en charge. Ce jour-là, après le dîner, il a repoussé son assiette, ce doyen de l’université, et m’a parlé, disant: «Monsieur Branham, nous sommes venus ici pour vous poser quelques questions.»

            J’ai dit: «Je pourrais ne pas être en mesure d’y répondre, monsieur.» J’ai dit: «Je ne suis pas un théologien; je suis juste un frère qui prie pour les malades.»

            Et il a dit: «Bien», a-t-il dit.

            Et monsieur Moore, qui est un théologien et qui était à côté de moi, a dit: «S’il devient trop incontrôlable pour vous, touchez-moi simplement au genou, donc avec mon genou.»

            J’étais donc assis là et il a dit: «Monsieur Branham, je vois que vous... par votre passé, vous êtes un baptiste.»

            J’ai dit: «Je l’étais.»

            Et il a dit: «Que s’est-il passé, pourquoi avez-vous quitté l’Eglise baptiste?»

            J’ai dit: «Je ne l’ai jamais quittée; c’est elle qui m’a abandonné.» Voyez-vous? J’ai dit: «Elle m’a abandonné quand elle a renié le Message que je prêchais selon la Bible.»

            Et il a dit: «Un... eh bien, monsieur Branham, il y a une chose que j’aimerais vous demander.» Il a dit: «La voici.» Il a dit: «Eh bien, si c’est ce que vous avez fait, j’aimerais dire une chose, qu’est-ce qui vous a amené à vous associer aux pentecôtistes?»

            J’ai dit: «Ils croient la Parole.»

            Il a dit: «Qu’est-ce qu’ils ont?» Il a dit: «J’ai été parmi eux, et je les ai vus donner des coups de pieds dans les tables et dans les chaises.»

            Et j’ai dit: «Oh! Certainement. C’est juste.»

            «Ils ont cassé une fenêtre ou fait quelque chose comme ça.»

            J’ai dit: «Certainement.»

            Il a dit: «Qu’est-ce que c’est?»

            J’ai dit: «Le Saint-Esprit.»

            Et il a dit: «Le Saint-Esprit?»

            J’ai dit: «Certainement, s’ils ne font pas tourner la roue correctement, ils doivent faire échapper la chose par le sifflet d’une manière ou d’une autre. Ils ont beaucoup de vapeur.» J’ai dit: «Et c’est la vérité.» Si cette Eglise pentecôtiste prenait un tas de ses louanges et les mettait à l’oeuvre, cela ferait quelque chose pour le Royaume de Dieu. Dieu vous a donné le Saint-Esprit. Vous aimez crier et louer par ce Dernier, mais placez tout simplement Cela dans des dons et des prodiges, sortez dans la rue et faites entrer des pécheurs et tout comme cela. Votre église va croître et tout ira très bien. Ne faites pas sortir la chose par le sifflet; mettez-la en action et laissez... faites tourner la roue, le train de l’Evangile.

52        Et il a dit: «Eh bien,... que pensez-vous que nous avons, nous les luthériens? Pensez-vous que... Nous croyons que nous avons reçu le Saint-Esprit quand nous avons cru.»

            J’ai dit: «Paul serait en désaccord avec vous, selon Actes 19. Il a dit: ‘Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru.’ Il n’a pas dit: ‘Eh bien, prenez cela en Grec, en Hébreu ou dans la langue que vous voulez, c’est ‘depuis que vous avez cru’.»

            Eh bien, ils croient... notre Eglise baptiste enseigne qu’on reçoit le Saint-Esprit quand on croit, mais ce n’est pas juste. Paul a dit: «Vous–avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?» Et ces gens poussaient des cris, eh bien, Aquilas et Priscille tenaient de grandes réunions où toutes sortes de choses se produisaient, mais il a dit: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?»

            Ils ont dit: «Nous ne savons même pas qu’il y ait un Saint-Esprit.»

            Après que Paul les eut tous rebaptisés et qu’il leur eut imposé les mains, le Saint-Esprit vint sur eux, ils parlèrent en langues et prophétisèrent. C’est alors qu’ils avaient reçu le Saint-Esprit.

53        Il a donc dit: «Que pensez-vous que nous avons, nous les luthériens?»

            J’ai dit: «Je pense que vous êtes potentiellement dans le bon.» Il a dit... J’ai dit: «Laissez-moi vous donner une petite parabole, car je ne sais pas comment le dire très exactement.» J’ai dit: «Eh bien, que faites-vous ici? Vous sortez labourer votre champ au printemps. Vous en ôtez toutes les tiges avec le râteau, et vous plantez votre maïs. Quand vous sortez le lendemain matin, et bien vite, vous dites...» Deux petites pousses apparaissent sur le maïs, deux petites feuilles. Et j’ai dit: «Vous regardez dehors et vous voyez ces petites pousses sortir, vous dites: ‘Gloire au Seigneur! J’ai une récolte de maïs.’» J’ai dit: «Avez-vous une récolte de maïs?»

            Il a dit: «Eh bien, je ne sais pas de quoi vous parlez.»

            J’ai dit: «Potentiellement vous avez une récolte de maïs.»

            J’ai dit: «C’était vous les luthériens, la première réforme. Et ensuite, bien vite, cette tige a poussé, ces feuilles se sont développées et, bien vite, cela est passé au gland; c’était John Wesley avec la seconde réforme, la sanctification: la seconde oeuvre précise de la grâce. Ensuite, qu’est-ce que cela a produit?» J’ai dit: «Le gland a regardé en arrière vers la tige et vers la feuille et a dit: «’ Je n’ai pas besoin de vous. Nous sommes sanctifiés; vous n’êtes que des luthériens.’» J’ai dit: «Au bout d’un moment, le pollen est apparu et il est tombé dans la feuille de maïs, et ç’a poussé et il y a eu un épi, un grain de maïs dessus.» J’ai dit: «C’étaient les pentecôtistes.» J’ai dit: «Ensuite les pentecôtistes ont levé les yeux et ont dit: ‘Je n’ai besoin d’aucun d’entre vous.’» Mais j’ai dit: «Après tout, la même vie qui était dans les deux petites feuilles a formé le gland, et a formé aussi le grain.» C’est juste. J’ai dit: «Nous...» Voyez-vous?

            La Pentecôte c’est une restauration. La Pentecôte a le Saint-Esprit, mais c’est une restauration des dons. Le même Grain, le même Jésus qui est tombé en terre se reproduit, et est monté à travers la tige, et se reproduit maintenant dans la plénitude avec des grains originaux comme Celui qui était tombé en terre.» Amen.

            Il a dit: «Comment nous appelleriez-vous?»

            J’ai dit: «L’Eglise pentecôtiste c’est l’Eglise luthérienne à un stade avancé.» C’est juste. C’est tout à fait juste. C’est l’Eglise luthérienne, nazaréenne, les Pèlerins de la sainteté et tout, à un stade avancé. Ce n’est que l’église à un stade avancé. J’ai dit: «J’admettrai que nous avons beaucoup de champignons sur l’épi, mais nous y avons aussi des grains.» Gloire à Dieu! Cela–c’est l’original.

54        Dieu est dans Sa Parole, et la Parole est une Semence. Peu importe ce qui arrive, cela va pousser de toute façon. Dieu a dit qu’elle serait là, sans tache ni ride. Croyez-vous que Dieu est dans Sa Parole? Dieu considère Sa Parole, Dieu tient Sa Parole; Dieu tient la promesse de Sa Parole. Ce qu’Il fait, Il le fait. Dieu est dans Son univers. Amen? Dieu est dans Sa Parole. Croyez-vous cela?

            Maintenant, Dieu dans Son Fils; j’ai cela noté ici. Dieu dans Son Fils. Très bien. Dieu est-Il dans Son Fils? La Bible dit qu’Il L’était. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.

55        Maintenant, si vous les unitaires, les binitaires, les trinitaires, les quadrinitaires et que sais-je encore que vous êtes, si vous vous mettez tout simplement cela en tête maintenant même, vous–vous vous serrerez la main et vous direz que nous sommes des frères. Ecoutez. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même. Jésus était le Fils de Dieu, car Dieu a couvert Marie de Son ombre et a créé une Cellule de Sang dans son sein.

            Eh bien, vous avez entendu les gens dire: «Nous sommes sauvés par le sang juif.» Nous ne pouvions pas être sauvés par le sang juif. C’est tout aussi pécheur que n’importe quel autre sang.

            «Avons-nous été sauvés par le sang d’un Gentil?» Non, non. Nous n’avons même pas été sauvés par le sang d’un homme. Nous avons été sauvés par le Sang de Dieu, le Sang de Dieu. Le–le germe de vie provient de la cellule de sang, et la Cellule de Sang dans ce cas est venue de Dieu le Créateur, qui a créé la Cellule de Sang qui a produit le Fils de Dieu.

56        Quand autrefois celui qui rendait un culte prenait un agneau, et qu’il allait à l’autel pour adorer, il le posait dessus, il plaçait ses mains dessus et confessait ses péchés. On l’égorgeait en brisant la cellule de sang; l’agneau mourait. Or, l’homme s’en allait dans le même état que lorsqu’il était venu. Ses péchés étaient pardonnés, mais il s’en allait avec le même désir: s’il avait volé, abattu quelqu’un, commis adultère, ou que sais-je encore, il s’en retournait avec le même désir. Mais une fois qu’un homme place ses mains sur la tête du Fils de Dieu... Pourquoi ne s’en allait-il pas–s’en allait-il dans l’état où il serait s’il plaçait ses mains sur le Fils de Dieu? La cellule de sang de l’agneau contenait une vie animale. Et cette vie animale ne correspondait pas avec la vie humaine; par conséquent, quand cette vie revenait, c’était une vie animale qui venait sur une vie humaine, et cela ne pouvait rien faire pour lui. Mais quand la Cellule de Sang de Dieu fut brisée, l’Esprit de Dieu qui vivait dans cette Cellule retournait sous la forme du Saint-Esprit; cet homme est libre du péché. La conscience même du péché a été condamnée. Amen. Je le crois de tout mon coeur.

            «Celui qui rend le culte une fois purifié n’a plus le désir du péché.» La Bible dit: «Conscience», ce qui, en fait, veut dire «le désir». Une fois que celui qui rend le culte place ses mains sur la tête de Jésus-Christ par la foi et qu’il sent cette chair frémir (comme l’homme le sentait quand il plaçait ses mains sur l’agneau qui mourait et bêlait, un agneau innocent) et qu’il croyait de tout son coeur que le Fils de Dieu est mort à sa place, quand vous faites cette confession, le Saint-Esprit qui provient de la Cellule de Sang qui vous a sanctifié, entre dans votre vie, et vous devenez une nouvelle création en Jésus-Christ. La Vie de Dieu est en vous, et Elle vous a adopté, vous êtes un fils de Dieu. Amen. N’ayez pas peur. Amen signifie ainsi soit-il. Cela ne vous fera pas de mal.

57        Remarquez. Le Fils de Dieu, l’Esprit de Dieu, est dans l’homme. Ainsi Dieu était en Christ réconciliant le monde avec Lui-même. Dieu est un Esprit. Il n’avait point de mains jusqu’à ce qu’Il devint Jésus. Il n’avait point de pieds, de bras, de jambes et ainsi de suite, jusqu’à ce que qu’Il devint Jésus. Il manifesta... Personne n’a jamais vu le Père, mais le Fils unique L’a révélé. Lui, Dieu, habitait dans le corps de Christ. Cela devrait être frappant. Cela devrait amener l’homme à se poser des questions. Il aurait pu descendre du Ciel, directement des corridors du Ciel, avec une escorte d’anges, s’Il le voulait. Il aurait pu naître un adulte tout fait. Il pouvait descendre avec toute la pompe et la gloire du Ciel, mais Il n’a pas choisi cela. Il est venu dans une étable, Il est né sur un–un tas de fumier. Et le Petit Jéhovah pleurait dans une crèche, le Petit Jéhovah jouait comme un petit garçon, Le Petit Jéhovah travaillait durement comme un homme, Il–Il a changé de forme pour rester avec nous. Dieu devint un Homme.

            Lorsque Jésus-Christ est né, Dieu était Homme dans... sur terre, manifestant Dieu, ce qu’Il était. Il a travaillé durement et a peiné, et Il a compati aux malheurs des adolescents. Il–Il a enduré chaque tentation que nous endurons. Dieu l’a fait afin de faire de Son propre jugement justice. Il... Son jugement doit être justice. S’il n’y a point de justice, à quoi bon avoir un jugement? Et s’il y a un jugement sans peine, alors il n’y a pas encore de jugement. Il a donc pris sur Lui la peine de Son propre jugement, et Il est mort en tant qu’un pécheur, pour condamner le péché du monde, afin que nous, au travers de Sa justice, nous puissions être réconciliés et ramenés au trône de Dieu dans la communion, comme nous en avions dans le jardin d’Eden. Si ce n’est pas l’Evangile, je ne sais pas ce que c’est. C’est tout à fait juste. Le Précieux Fils de Dieu. Dieu était certainement dans Son Fils.

58        Je ne cite pas différentes confessions religieuses, je ne représente aucune d’elles; je les représente toutes. Il n’y a pas longtemps, j’étais au Robinson Auditorium, à Little Rock. Il y avait un vieil homme qui était sur des béquilles; il avait été appelé. Il vendait des crayons au coin depuis des années. C’était un nazaréen. Le jour suivant, il descendait la rue, tenant ces vieilles béquilles, en disant: «Mes vieilles amies, j’en ai fini avec.» Il témoignait. Ce soir-là, j’étais... suis monté à la chaire pour prêcher, il a dit: «Juste une minute, Monsieur Branham.»

            J’ai dit: «Oui, monsieur.» Il était en haut au balcon.

            Et il a dit: «Vous savez, quand je vous ai entendu prêcher, j’étais certain que vous étiez nazaréen.» Et il a dit: «Parce que vous prêchez la sainteté.» Et il a dit: «Ensuite, j’ai entendu quelqu’un me dire que vous étiez baptiste. Presque tous ces gens sont pentecôtistes.» Il a dit: «Je ne comprends pas cela.»

            J’ai dit: «Ô père, c’est facile.» J’ai dit: «Je suis un pentecôtiste-nazaréen-baptiste.» C’est–c’est cela. Nous sommes des représentants de Jésus-Christ, c’est ça, pas des représentants de votre dénomination, mais de votre Dieu.

59        Eh bien, cette femme était membre d’une–une église de la Science chrétienne, une femme très aimable, et elle a dit... Bien sûr, eux ils ne croient pas dans la... que Jésus était Dieu. Elle a dit: «Monsieur Branham, j’apprécie votre enseignement.» Mais elle a dit: «La seule chose qui me glace le sang, c’est le fait que vous essayez de faire de Jésus Dieu.» Elle a dit: «Vous Le vantez trop.»

            J’ai dit: «Je ne saurais pas Le vanter assez.»

            Elle a dit: «Eh bien, vous Le vantez toujours, vous Le vantez.»

            J’ai dit: «Il est... je... si j’avais dix mille langues, je ne pourrais pas Le vanter assez.» J’ai dit: «Pour ce qu’Il a fait pour moi.»

            Elle a dit: «Mais vous faites de Lui Dieu.»

            J’ai dit: «Il était Dieu. S’Il n’était pas Dieu, le monde entier est perdu.» C’est tout à fait juste.

            Elle a dit: «Si je... Vous avez dit que vous étiez fondamentaliste, que vous vous en teniez uniquement à la Bible.»

            J’ai dit: «C’est juste.»

            Elle a dit: «Si je vous prouve par la Bible qu’Il n’était pas Dieu, allez-vous l’accepter?»

            J’ai dit: «Si la Bible dit qu’Il ne L’était pas, je l’accepterai.» Elle... J’ai dit: «Mais la Bible ne le dit pas.»

            Elle a dit: «Oh! si Elle le dit aussi.»

            J’ai dit: «Où ça?»

            Elle a dit: «Très bien, dans 1–dans Saint Jean, chapitre 11, quand Jésus s’est rendu à la tombe de Lazare, la Bible dit: ‘Il pleura.’» Elle a dit: «Monsieur Branham, Il ne pouvait pas pleurer et être Dieu.»

            «Oh! ai-je dit, madame, votre argument est moins consistant qu’un bouillon à base de l’ombre d’un poulet mort de faim.» J’ai dit: «Eh bien, vous... Eh bien, ce n’est pas scripturaire.» J’ai dit: «Ecoutez donc, Il était à la fois Dieu et Homme.» J’ai dit: «Il était un Homme quand Il pleura à la tombe de Lazare, mais quand Il a redressé Ses petites épaules et qu’Il a dit: ‘Lazare, sors!’, et qu’un homme qui était mort depuis quatre jours s’est tenu debout et est revenu à la vie, il fallait plus qu’un homme. Il fallait la Divinité pour faire cela. Dieu était en Christ.»

60        Il était un Homme quand, affamé, Il descendait la colline ce soir-là, ou plutôt ce matin-là, regardant, cherchant à manger sur ce figuier et qu’Il n’en trouva point. Il était un Homme quand Il avait faim, mais quand Il a pris ces cinq petits pains et deux poissons et qu’Il a nourri cinq mille personnes, c’était plus qu’un homme. C’était Dieu vivant dans un Homme. Certainement.

            Il était un Homme quand, épuisé, Il était couché dans cette vieille petite barque là-bas ce soir-là, la vertu étant sortie de Lui à cause des visions et tout pendant la journée. Et le diable avait juré ce soir-là, probablement dix mille démons de la mer, qu’ils Le noieraient, pendant qu’Il était là dans ce vieux petit bateau, là-bas, qui était ballotté comme le bouchon d’une bouteille sur une vaste mer pendant la tempête. Il était là, flottant comme cela, et Il était couché à l’arrière du bateau, et les vagues ne L’ont même pas réveillé, Il dormait. Il était donc fatigué et épuisé. C’était un Homme quand Il dormait, mais une fois qu’Il s’est levé (Alléluia! Oh! ), Il a placé Son pied sur la cargue de la barque et Il a dit: ‘Silence! tais-toi!’ et le vent est allé dans sa caverne comme un petit bébé à son... Le vent et les vagues ont obéi; il fallait plus qu’un homme pour faire cela; il fallait Dieu. Il fallait l’inspiration; il fallait la puissance de la Divinité pour faire cela. Dieu était dans Son Fils. Croyez-vous cela?

61        Quand Il est mort sur la croix, Il a effectivement imploré miséricorde; c’était un Homme. Il implorait miséricorde à la croix, mais le matin de Pâques, quand Il est ressuscité et qu’Il a brisé le sceau de la mort et du séjour des morts et qu’Il est ressuscité de la tombe, Il était plus qu’un homme. Il faut plus qu’un homme pour ressusciter de la tombe; il faut Dieu pour faire cela. Il n’est pas étonnant que le poète ait dit: «Vivant, Il m’aima. Mourant, Il me sauva. Enseveli, Il emporta mes péchés au loin. Ressuscitant, Il me justifia gratuitement pour toujours. Un jour, Il va venir, oh! quel jour glorieux!» Oui, monsieur. En Lui habitait la plénitude de la Divinité corporellement. Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec Lui-même.

            Croyez-vous que Dieu est dans Son univers? Croyez-vous que Dieu est dans Sa Parole? Croyez-vous que Dieu était dans Son Fils? Eh bien, la chose suivante que j’ai ici, c’est Dieu dans Son peuple.

62        Maintenant, nous allons voir si nous pouvons en venir avec Lui jusqu’à Son peuple. Dieu est Esprit, et Il utilise toujours l’homme pour se manifester sur la terre. Il l’a fait dans Son Fils. Dieu était en David. Savez-vous cela? Dieu était dans Son peuple.

            David, quand il était rejeté, comme roi, il est monté au sommet de la colline, et il a regardé en arrière, pleurant en tant qu’un roi rejeté. Cinq cents ans plus tard, le Fils de David se tint sur la même colline comme un Roi rejeté et pleura sur Jérusalem. Est-ce juste? Joseph avait Christ en lui, quand il naquit comme un frère spirituel. Ses autres frères le haïssaient. Observez cette Eglise aujourd’hui. Les autres frères le haïssaient sans cause. Il était aimé de son père, haï de ses frères. Eh bien, ils le haïssaient sans cause. Il ne pouvait rien au fait qu’il était né pour avoir des visions et interpréter des songes. Mais ils le haïssaient. C’est ce qu’ils font aujourd’hui, la même chose.

63        Le diable retire son homme, mais jamais son esprit. Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. L’Esprit qui était sur Elie est venu sur Elisée, et est passé d’Elisée sur Jean-Baptiste, et il a été prédit qu’Il doit revenir dans les derniers jours. Voyez-vous? Dieu a pris l’Esprit de Son Fils et L’a envoyé sur l’Eglise. Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. Le diable retire son homme, mais jamais son esprit.

            Ces deux Esprits ont été en guerre dans la chair humaine depuis le commencement du temps. C’est juste, et Ils seront en guerre jusqu’à la fin. Si seulement vous étudiez les Ecritures et observez comment ça fonctionne, vous ne serez pas perdu, si vous L’acceptez comme votre Sauveur et comme votre Guide pour vous guider au travers des Ecritures, sous... pendant que nous naviguons sur cet océan solennel de la vie, dans notre petite barque. Laissez-Le entrer et se tenir à vos côtés et piloter votre bateau.

64        Bon, nous voyons que Dieu était en Moïse. Dieu était en Elie. Il y eut Elie, un homme qui restait là à l’écart dans la–la caverne, là-bas. La femme sunamite qu’Il avait bénie avait eu un bébé et ce bébé mourut, et Elie est venu sur la scène. Elie était un homme de Dieu. Quand il est entré, l’enfant était étendu sur son lit. Tout d’abord, Elie savait qu’il était un homme de Dieu. Il ne s’est pas vanté à ce sujet, il ne faisait pas du bruit là-dessus, mais il savait qu’il était un homme de Dieu. Ainsi, il avait marché en s’appuyant sur ce vieux bâton, et il dit à Guéhazi: «Prends ce bâton, et va le poser sur l’enfant.» Il savait que tout ce qu’il touchait était béni, parce que Dieu était en lui; s’il amenait la femme à croire la même chose...

            C’est ainsi que la femme toucha le bord du–du vêtement de Jésus. En effet, elle savait qu’Il était un Saint Homme, que Dieu habitait dans Son peuple. Et elle savait que si Dieu était en Elie, certainement qu’Il était en Jésus. Elle savait que...

            Si nous pentecôtistes, nous pouvions nous respecter les uns les autres comme cela, savoir que nous ne devrions jamais parler les uns des autres, que nous sommes des frères, que nous sommes des soeurs, il n’y aurait jamais d’ignominie parmi nous, si nous pouvions nous reconnaître les uns les autres, ce que nous sommes en tant que fils et filles de Dieu, et que Dieu habite dans Son Eglise, dans Son peuple. Certainement. Dieu est dans Son peuple. Le croyez-vous?

65        Considérez ce prophète. La femme ne croyait pas dans le bâton. Je pense que c’est de là que Paul a tiré la pratique qui consistait à appliquer des mouchoirs qui avaient touché son corps. En effet, je crois que Paul ne prêchait que ce qui se trouvait dans la Parole, il envoyait donc des mouchoirs aux gens. Dieu était en Paul, et les gens retiraient des mouchoirs qui avaient touché le corps de Paul, les plaçaient sur leur corps et les mauvais esprits les quittaient, et les maladies étaient guéries. Dieu était dans un Homme. Croyez-vous cela? Paul.

            Dieu était en Elie, et celui-ci fut appelé sur la scène quand un bébé était mort. Il ne savait pas ce qu’il fallait faire. L’enfant était mort. Il fit donc tout simplement les cent pas sur le plancher (Oh! J’aime cela), attendant que le Saint-Esprit vienne, il faisait les cent pas dans la pièce. Et au bout d’un moment, il commença à sentir l’Esprit venir sur lui. Je crois qu’il a repris un petit peu courage, vous savez, et il marchait un peu plus vite. Oh! Il sentit l’Esprit, il s’étendit sur l’enfant et celui-ci éternua à sept reprises et revint à la vie: Dieu dans Son peuple.

            Qu’est-ce qui pourrait ramener la vie après la mort, à part Dieu? Amen. Fiou! Je me sens très religieux à l’instant même. Oh! la la! Vous pensez qu’un baptiste ne crie pas, moi, je crie certainement. Oh! Dieu est dans Son peuple.

66        Il y avait un vieux pêcheur qui n’avait pas... Aujourd’hui on cherche des intellectuels, le grand gaillard qui est allé à l’université et qui connaît tous les diplômes, et qui a un doctorat en théologie, un doctorat d’Etat, toutes sortes de doctorats. Et ainsi donc, premièrement il se lève là, vous savez, et il connaît tout. Nous pensons que c’est le gars qu’il faut. Mais Dieu eut une fois un vieux petit pêcheur sous Son contrôle. Il ne savait même pas écrire son nom, il était illettré, sans instruction; mais les gens ont vu Dieu oeuvrer dans cet homme, au point qu’ils se couchaient littéralement à l’ombre de ce pêcheur et étaient guéris, tout celui sur qui son ombre passait.

            Dieu est dans Son peuple. Croyez-vous cela? Dieu est dans Son univers. Croyez-vous cela? Dieu est dans Sa Parole. Croyez-vous cela? Dieu est dans Son Fils. Croyez-vous cela? Dieu est dans Son peuple. Croyez-vous cela?

67        Ecoutez, hier soir, lorsque nous prêchions sur «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais», nous avons considéré les oeuvres qu’Il a faites, et nous avons montré en quoi cela consistait. Il a promis qu’Il serait ici. Vous direz: «Mais Dieu était vivant dans un autre âge.»

            Dieu vit à toujours. Dieu est éternel. Dieu ne peut pas mourir. Dieu... Ils ont tué le corps, Jésus, mais Dieu L’a ressuscité et Il vit éternellement. Son Esprit vit dans l’Eglise aujourd’hui. Son Esprit est ici maintenant. Son Esprit est parmi Son peuple. Il se confirme non pas par une certaine chose... Il peut confirmer qu’Il est vivant par ceci. Il peut confirmer qu’Il est vivant par le coucher du soleil. Il peut confirmer qu’Il est vivant par Sa Parole. Il peut confirmer qu’Il est vivant par Son Esprit qui est dans la salle maintenant, près des hommes et des femmes qui voudront s’abandonner à Lui. Amen. Abandonnez-vous à Lui, vous dites: «Que se passe-t-il, Frère Branham, quand vous voyez ces visions?»

            C’est tout simplement que j’ai un don qui me permet de me détendre, de mettre William Branham de côté. Le plus grand ennemi que j’ai, c’est William Branham. Il est toujours en travers de mon chemin. Il est toujours en travers du chemin de Dieu, dirai-je. Il se met toujours en travers du chemin de Dieu: Il est trop fatigué, il ne veut pas faire ceci, il ne veut pas faire cela. Si seulement je peux crucifier ce gars, Dieu peut utiliser cela. Dieu peut utiliser ce corps, utiliser ce microphone. Ce microphone est muet jusqu’à ce que je parle dedans, ou que quelqu’un parle dedans, mais il ne peut pas parler de lui-même. Comment un homme peut-il voir une vision? Comment un homme peut-il guérir une personne malade? Comment l’imposition des mains peut-elle ramener à la vie un enfant mort et ainsi de suite? Comment cela peut-il se faire? Ce n’est pas l’homme; c’est Dieu dans cet homme, juste de la même façon que Dieu est dans le coucher du soleil. Dieu est partout.

68        Il nous faut naître de Son Esprit, et reconnaître et s’attendre à Lui. Il est si près de vous. Il n’est pas seulement près de vous, vous qui êtes né de nouveau, Il est déjà en vous, essayant d’accomplir Sa volonté... Et le diable se tient là, disant: «Ne crois pas cela; ne crois pas cela; ne crois pas cela, ceci, cela. Ce–ce n’est pas pour toi; c’était pour un autre jour.»

            Oh! Dites: «Arrière de moi, Satan. Il est écrit: ‘Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.’» C’est de cette façon que Jésus a vaincu Satan; Il n’a pas utilisé Sa propre puissance. Il était Dieu manifesté dans la chair, mais Il n’a pas utilisé Sa propre puissance. Tous les dons qu’il y avait dans le Ciel, Il les avait en Lui, mais Il n’a pas utilisé cela. Il a simplement pris la Parole du Père.

            Il a dit: «Il est écrit: ‘Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu.’ Il est écrit. Il est écrit. Il est écrit. Il est écrit.» Et Il a vaincu Satan. Et la Parole de Dieu vaincra Satan n’importe où, sur n’importe quel terrain et dans n’importe quelles circonstances: la Sainte Parole de Dieu.

69        Dieu vit dans Son univers. Dieu vit dans Sa Parole. Dieu vit dans Son Fils. Dieu vit dans Son peuple. Il est Dieu partout. Si seulement vous Le laissez entrer maintenant, vous verrez Dieu vivre de nouveau cet après-midi parmi nous. Inclinons la tête.

            Car la Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, séparant moelle et jointure, Elle discerne les pensées et les intentions du coeur. La Parole de Dieu entre dans l’être humain et discerne les pensées. Jésus connaissait les pensées des gens. Si c’est juste, dites: «Amen.» Qu’était-Il? «Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair.» Et Il a dit: «Vous me condamnez parce que Je me dis le Fils de Dieu, or il est écrit dans votre loi que vous êtes des dieux.»

70        L’homme fut créé pour être un dieu. La terre est son domaine. La terre entière attend maintenant la manifestation des fils de Dieu. Considérez combien nous sommes loin en arrière. Mais, souvenez-vous, les prophètes... Il a dit: «Si vous appelez des dieux ceux à qui la Parole de Dieu venait...» Qu’était un prophète? Un interprète divin de la Parole, qui avait l’interprétation divine. Les miracles qu’il accomplissait, prédisant et annonçant d’avance les choses, étaient une confirmation pour les gens qu’Il était un prophète. C’est ce que les Juifs ont dit: «Laissez-nous Le voir prendre cette Bible. Elle dit: ‘Ce Jésus était le Christ et Il mourut et Il ressuscita, vous ferez aussi les oeuvres qu’Il a faites.’ Qu’Il accomplisse devant nous le signe du prophète; nous croirons que c’est l’Esprit.» C’était le Messie et Il travaille encore dans Son homme. C’est Son prophète. Voyez-vous? Il travaille dans cela. Comment cela peut-il être fait si ce n’est par Dieu? Dieu est la seule Personne qui peut faire cela. Voulez-vous que l’on se souvienne de vous dans la prière? Levez la main, dites: «Ô Dieu, sois miséricordieux envers moi. Je veux croire maintenant de tout mon coeur au Seigneur Jésus. Je sais que je suis une créature qui est–qui est destinée à l’Eternité.»

            Il y eut un temps où vous n’étiez rien, nulle part, mais il n’y aura jamais un temps où vous ne serez pas quelque chose ou quelque part. Si vous êtes un pécheur, prenez votre décision cet après-midi. Christ est ici pour vous aider, pour vous sauver. Voulez-vous... Je ne suis pas fameux pour ce qui est de persuader les gens à venir à l’autel. Je pense que si la Parole de Dieu ne fait pas cela... Jésus a fait cette observation, que cela ne vous blesse pas: «Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi. Mais nul ne peut venir, si Mon Père ne l’attire premièrement.» Nous jetons tout simplement le filet.

71        Si vous êtes un pécheur, voudriez-vous juste lever la main? Je ne vous appelle pas à l’autel, dites simplement: «Frère Branham, je suis un pécheur. Je vais lever mes mains vers Dieu. Que Dieu fasse de moi un vrai croyant, de sorte que je puisse Le voir comme le vieux pêcheur. Je désire Le voir dans tout Son univers, dans Sa Parole; je désire Le voir.» Levez la main, dites: «Priez pour moi, frère.» Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Levez la main. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, là tout au fond. Que Dieu vous bénisse.

            Qu’en est-il de tous... en haut au balcon, à ma droite, y en a-t-il là-haut, vous qui avez la tête ainsi que le coeur inclinés, qui ne connaissez pas le Seigneur Jésus, dites: «Frère Branham, souvenez-vous de moi dans votre prière pendant que vous priez.» Tous les chrétiens de ce côté-là, la balle est dans votre camp.

72        Maintenant, souvenez-vous de ce qu’est un chrétien. Si vous aimez le monde et les choses du monde, c’est parce que l’amour de Dieu n’est pas en vous. Nous ne pouvons pas prendre ceci à la légère. C’est une réalité; c’est une vraie naissance, un véritable passage de la mort à la Vie.

            Au balcon, à ma gauche, y a-t-il là des gens qui voudraient lever la main et dire: «Je ne suis pas un chrétien, Frère Branham, je souhaite que vous vous souveniez de moi dans la prière. Je ne lève pas ma main vers vous en tant que prédicateur; je lève ma main vers Dieu. Qu’Il soit miséricordieux envers moi.» Y en a-t-il? Très bien.

            Encore une fois en bas au rez-de-chaussée, voyons par ici. Y a-t-il quelqu’un d’autre, afin que je sois sûr de la prière que je fais. Je crois que Dieu écoute ma prière. Il m’a dit: «Si tu es sincère, et que tu amènes les gens à te croire, rien ne résistera à ta prière.»

            J’ai dit: «Les gens ne voudront pas me croire, car je suis sans instruction.»

            Il a dit: «De même que Moïse reçut deux signes pour confirmer qu’il était envoyé pour la délivrance, de même deux signes te sont donnés.» Levez la main, dites: «J’aimerais que l’on se souvienne de moi dans la prière, Frère Branham.» S’il y en a un autre au rez-de-chaussée qui n’a pas levé la main... Très bien.

73        Notre Père céleste, je Te les confie. Voilà des mains, cet après-midi, qui se sont levées. J’en ai vu deux au rez-de-chaussée. Maintenant, Seigneur, je Te prie de toucher ces gens à cette heure-ci. Les gens se sentent satisfaits du fait que Tu es avec eux. Et je Te remercie pour cela.

            Maintenant, Père, s’il y a une ombre de doute, que cela ne soit pas sur eux, qu’ils soient absolument certains, parce que ce matin-là sera un matin terrible. A la rivière, le brouillard sera épais. Je veux être certain que mon ticket est valable, et que tout a été mis en ordre maintenant, pour cette heure-là. Il se pourrait que je n’aie plus d’occasion; je n’aurais pas une occasion. Il n’y aura plus de miséricorde à ce moment-là. Il n’y aura plus de Sang sur le propitiatoire; ça sera un Trône de Jugement, et des comptes me seront demandés.

74        Ô Dieu, accorde que ces précieuses âmes dont Tu as touché les coeurs... Je Te prie de les sauver maintenant même. Puissent-ils savoir que Tu as dit dans Ta Parole: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire.»

            Et ils ont levé la main pour montrer qu’il y a un Esprit qui leur a dit de la lever. Ils ont levé leur main vers le Ciel, vers le Créateur des cieux et de la terre.

            Père divin, je Te prie d’inscrire leurs noms dans le Livre de Vie. Qu’ils soient écrits avec le Sang de Jésus dans le livre de leur péché: «Pardonné.» Jette-le dans la mer de l’oubli, ne T’en souviens plus contre eux. Et que leurs noms soient écrits à nouveau dans le Livre de Vie de l’Agneau, afin qu’en ce jour-là le Sang... le Livre soit aspergé du Sang du Seigneur Jésus, afin qu’aucun péché ne leur soit imputé. Accorde-le, Père. Je Te les confie.

75        Si je n’ai plus l’occasion de leur serrer la main dans cette vie, puissé-je avoir ce privilège ce jour-là, quand ils se tiendront là par myriades. Puissé-je les entendre crier: «Frère Branham, c’est moi qui avais levé ma main cet après-midi-là, à Yakima.» Ils seront si heureux. Tu as montré l’autre soir la vision, révélant combien ils étaient heureux, ceux qui étaient passés de cette vie à l’autre.

            Maintenant, je Te prie de les bénir. Et maintenant, cet après-midi pendant que nous appelons la ligne de prière, puisses-Tu te manifester, confirmer la Parole et être Dieu dans Son peuple pour nous aujourd’hui, comme nous voyons Dieu dans Son univers, Dieu dans Son Fils, Dieu dans Sa Parole, Dieu dans Son peuple. Accorde-le, Père, nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

76        A vous, chers amis, je pensais... J’ai enlevé cette montre. Cela fait successivement trois montres; quand je tiens le bras de quelqu’un avec cette... pour ce... la montre s’arrête, elle cesse de... Je... ne m’explique pas pourquoi... Le joaillier, juste ici dans la ville, venait de l’arranger. Il essaie de le faire. Et la tige est sortie, le cadran est tombé, les aiguilles... C’est une montre Vulcain Cricket de trois cents dollars, dotée d’une alarme, qui m’a été offerte en Suisse. Voyez-vous? Et on m’en a offert une toute neuve ici en Californie. J’ai placé ma main sur une personne comme cela afin de prier pour... Quelqu’un a-t-il déjà vu cela? Y a-t-il quelqu’un ici qui a été présent quand cela se produit? Levez la main, si vous avez déjà été là quand cela se produit. Et cette chose s’est arrêtée, elle s’est démantelée, je n’ai plus jamais été en mesure de l’utiliser jusqu’à ce jour. Trois montres successivement. Pour être sûr, je l’ai donc enlevée.

77        Maintenant, nous allons... Quelle série a-t-on appelée hier soir? Nous avions les cartes de prière série A, série A. Voulez-vous distribuer... Cent cartes ont été distribuées en une fois hier soir. Nous avons appelé de 1 à 50, je crois. Ensuite les choses sont devenues telles que personne ne montait.

            Maintenant suivez, je sais que c’est étonnant. Oui, oui. C’est glorieux. Si vous venez ici avec des péchés non confessés, vous feriez mieux d’arranger cela avant de venir (Voyez-vous?), car ça sera certainement dénoncé. Mais cet après-midi, je vais simplement prendre quelques cartes de prière et prier pour ces gens. Je vais donc prier juste pour les gens qui ont les cartes de prière.

78        Commençons cet après-midi là quelque part ailleurs dans cette tranche. Nous en avons donc quelques-uns ici, peut-être, pour le discernement ou quelque chose comme ça. Commençons ailleurs dans cette tranche de cent cartes. Voyons, hier soir nous sommes arrivés vers 15, 20 ou quelque chose comme cela, et les gens en sont arrivés au point où ils ne venaient plus, et alors je... Disons, commençons à 51. Cette carte est-elle là? 51, qui a la carte de prière 51? Levez la main. Une femme, très bien, c’est bon de commencer par elle. Venez ici, madame. 52, qui a la carte de prière 52? Nous allons les prendre toutes, mais nous... simplement. Très bien.

79        Mon fils me fait savoir que les gens n’entendent pas dans la salle. Est-ce juste? M’entendez-vous en haut au balcon? Vous n’entendez pas? M’entendez-vous par là? Eh bien, que Dieu bénisse vos coeurs, vous êtes restés assis ici tout l’après-midi et vous n’entendez même pas. Ils n’entendent rien au balcon. Vous ne... entendez-vous là au fond? Là-bas derrière, ils entendent, mais en haut au balcon, ils n’entendent pas. Oh! Que vos coeurs loyaux soient bénis. Que Dieu, mon Sauveur, exauce la requête de chacun de vous cet après-midi. Entendez-vous cela? Que Dieu exauce votre requête, quelle qu’elle soit, puisque vous êtes restés assis là tout ce temps, pendant que je parlais et que vous n’entendiez rien. Que Dieu vous le révèle d’une autre manière, que je vous dis la Vérité.

            Très bien, nous allons appeler la ligne de prière maintenant. Je vais devoir parler fort comme ceci, parce que les gens qui sont là-haut peuvent avoir des cartes de prière. J’appelle à partir de la carte de prière... Où en étais-je... Qu’était... 50... La carte de prière 52? Très bien, la carte de prière 52, qui l’a? 53? Venez directement ici, madame. Cinquan-... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

80        «Seigneur Jésus, veux-Tu bien me guérir?»

            Il dirait: «Mon enfant, Je l’ai déjà fait.»

            – Eh bien, Tu l’as déjà fait? Maintenant, attends une minute; c’est un peu diff-... J’ai entendu dire que Tu étais un Guérisseur.

            – Je suis un Guérisseur, dirait-Il.

            – Eh bien–eh bien, pourquoi ne me guéris-Tu pas?

            – Eh bien, Mon enfant, Je l’ai déjà fait. J’ai payé le prix de ta guérison il y a longtemps là-bas. Je ne pouvais jamais, jamais le faire en Mon jour, quand J’étais sur terre, ni ne peux en aucun moment maintenant faire quoi que ce soit, pour qui que ce soit, à moins que la personne ait la foi pour croire d’abord. 

            Combien savent cela? C’est ça la base. Il faut la foi. Très bien.

            Maintenant, les gens diraient: «Eh bien, comment saurais-je que Tu es le Seigneur Jésus? Veux-Tu faire quelque chose?»

            «Eh bien, oui, Je vais lever Ma main. Je vais prêcher un petit moment.»

            Mais, vous voyez, dites: «Seigneur, révèle-moi que c’est Toi.»

            Il devrait faire quelque chose comme ce qu’Il faisait quand Il était ici sur terre (Est-ce juste?), faire quelque chose pour vous le révéler. Quel était donc le signe, d’après ce que nous avons vu hier soir, par lequel Il a fait savoir aux gens qu’Il était le Messie? Comment l’a-t-Il fait? Il leur a donné le signe du Messie pour montrer qu’Il était le Prophète dont Moïse avait parlé: Il connaissait le secret de leurs coeurs. Combien savent cela? Combien témoignent que c’est ce que dit la Bible: «L’Eternel votre Dieu suscitera un prophète comme moi»? Et Jésus connaissait les pensées des gens, Il connaissait les secrets de leurs coeurs, Il les leur révélait. Et à ce propos, Il a manifesté qu’Il était le Fils de Dieu.

81        Eh bien, si Dieu est dans Son peuple, cette même Vie qui était en Jésus est ici dans l’Eglise. Et Elle est en vous qui... Cette femme qui se faufilait dans la ligne de prière n’avait pas de carte de prière, pour ainsi dire. Mais elle est restée à l’écart là dans l’assistance; elle a touché le bord de Son vêtement.

            Eh bien, aujourd’hui Jésus est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Est-ce juste? Maintenant, comment saurez-vous que vous L’avez touché. Il agira de la même façon qu’Il l’avait fait quand Il était ici sur terre.

            Maintenant, souvent vous qui êtes estropiés et ainsi de suite vous vous dites: «Il n’y a plus d’espoir pour moi.» Ôtez cela de votre esprit. Pour Dieu, vous pouvez tout autant recevoir la foi qu’eux. Votre guérison est tout aussi certaine que la leur, si vous... Votre guérison est tout aussi certaine si vous avez la foi.

82        Maintenant, quel est... Où allons-nous commencer? Juste par ici avec cette dame? Très bien. Approchez.

            Maintenant, les Américains... Maintenant, nous réalisons qu’avec cinquante personnes, je... On m’emportera de l’estrade après que dix ou quinze personnes seront passées, à cause des visions. Eh bien, je ne saurais pas supporter cela. Combien comprennent cela? Jésus, à cause d’une seule vision, la vertu L’a quitté. Et alors, quel serait l’effet d’une seule vision sur moi?

            Eh bien, voici une femme estropiée dans un fauteuil roulant. Je dirai: «Cette femme est estropiée.» Tout le monde le sait. Mais voici une femme qui semble en bonne santé. Eh bien, le miracle c’est de savoir ce qui ne va pas chez elle. Elle a l’air bien et en bonne santé. Eh bien, si quelqu’un a des doutes à ce sujet et pense qu’il a quelque chose de mieux, eh bien, voici le microphone. Montez carrément ici. Vous–vous êtes le bienvenu. Vous qui ne–ne croyez pas, montez ici et faites la même chose.

83        Vous direz: «Eh bien, Jésus a dit: ‘Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, de plus grandes.’»

            «Eh bien, direz-vous, Il a dit: ‘De plus grandes.’»

            Eh bien, laissez-nous d’abord vous voir faire les oeuvres qu’Il faisait; ensuite faites de plus grandes. Faites d’abord les oeuvres qu’Il faisait. C’est ça; ensuite–ensuite, vous ferez de plus grandes. Voyez-vous? Laissez-nous vous voir faire d’abord les choses que Lui faisait. «Il fera aussi les oeuvres que Je fais.» Ensuite de plus grandes; si vous considérez la traduction, il est dit: «Il en fera davantage.» En effet, on ne pourrait pas en faire de plus grands, car Il–Il a fait tout ce qui pouvait être fait. Mais maintenant, si cette femme... Maintenant, je vais simplement prier pour les autres qui sont dans la ligne. Mais les gens pourraient savoir que le Saint-Esprit est ici. Maintenant, je vais simplement voir si Dieu va nous donner la vision pour cette femme.

84        Maintenant, quand Il m’a dit que ces deux signes confirmeraient que j’ai été envoyé pour faire cela, Il a dit que Moïse avait deux signes; Moïse est allé là-bas et il a accompli le signe une seule fois devant Israël, et tout le monde a cru en lui et a marché pendant quarante ans. Est-ce juste? Certainement, si nous sommes les fils d’Abraham, dans nos coeurs, nous devrions avoir autant de foi.

            Maintenant, croyons. Maintenant, madame, tout d’abord je pense que nous sommes des inconnus l’un à l’autre. Si nous sommes des inconnus l’un à l’autre, voudriez-vous juste lever la main pour que les gens le voient? Maintenant, voyez-vous, nous voici, non pas derrière dans un coin sombre comme un démon, nous sommes juste ici à découvert, de la même façon que notre Seigneur s’est tenu avec la femme au puits. N’ayez jamais peur du christianisme. Accrochez votre âme à chaque promesse; elle est valable. Christ est mort pour la rendre valable.

            Maintenant, je ne voudrais nullement dire cela, si je ne sentais pas Sa Présence ici, comme l’aigle qui remuait ses ailes. Voyez-vous?

85        Maintenant, cette femme depuis qu’elle se tient ici, elle est consciente qu’elle est dans la Présence de quelque chose d’autre qu’un homme. Est-ce juste, madame? Si c’est juste, levez la main. Voyez-vous? Juste au-dessus de cette femme se tient... Si vous... vos yeux sont spirituels, vous pouvez certainement voir cela. Ne voyez-vous pas cette Lumière suspendue juste ici, juste au-dessus de la femme? Elle est en quelque sorte de couleur émeraude. Combien En ont déjà vu la photo? Elle est ici dans la réunion. Les gens la possèdent. C’est accroché à Washington, D.C. Le seul Etre surnaturel qui ait jamais–jamais été photographié et qui ait jamais été confirmé scientifiquement. Le voici. Je La regarde droit devant moi. Elle est suspendue au-dessus de la femme, parce qu’elle est une croyante. Elle est ma soeur. L’Esprit témoigne de part et d’autre.

            Maintenant, la seule chose que je dois faire, c’est juste saisir quelque chose chez elle. Que va-t-il arriver ensuite? Cela va lui dire quelque chose. Elle se tient ici soit pour des problèmes de ménage, soit pour des problèmes financiers, ou par la maladie ou quelqu’un d’autre ou quelque chose comme ça. Je ne sais pas. Je ne l’ai jamais vue de ma vie.

            Maintenant, si le Saint-Esprit révèle à la femme quelque chose pour... Eh bien, si je disais: «Oui, Jésus-Christ est ici. Je sens Sa Présence.»

            Elle aussi. Maintenant, observez comment cela se passe. C’est une sensation très douce, très humble, très paisible. N’est-ce pas, madame? Si c’est le cas, agitez la main vers l’assistance. Voyez-vous? J’observe la Lumière juste au-dessus d’elle. Maintenant, pour ma part, je sais que je parle à l’assistance, mais en fait, mon intellect, à ce qui semble, est dans un autre monde, dans une dimension, dans un autre monde.

            La femme a des ennuis; c’est dans Sa poitrine. C’est une grosseur. C’est une grosseur cancéreuse. Elle a subi une opération ou quelque chose pour cela. Et ça–ça revient, c’est une grosseur dans sa poitrine qui va finir par la tuer. Elle est couverte de l’ombre de la mort. Si c’est juste, madame, agitez la main. Maintenant, croyez-vous? Maintenant, pour que vous soyez sûre, observez cette puissance démoniaque agir effectivement sur cette femme, sur ceci, ici, pendant que je suis encore dans l’Esprit... C’est une sorte de tumeur. Est-ce juste? Il y a une autre personne assise juste ici, une femme assise juste ici qui a une tumeur. Est-ce juste, madame? Si c’est juste, levez la main. Mais à part cela vous avez aussi le diabète. C’est... Levez la main. Voyez-vous? Cet esprit de ténèbres tire ici. Ces deux démons cherchent à se saisir l’un l’autre, ils réclament de l’aide. Mais maintenant la puissance de Dieu, par-dessus tout doute ici est passé par-dessus le...?... Voyez-vous?

86        Maintenant, croyez-vous? Dieu est-Il dans Son peuple? Vous direz: «Dieu est en vous, Frère Branham?» Pas seulement en moi, Il est en elle, et en elle aussi. Voyez-vous? Le Saint-Esprit est ici, l’Infaillible. Il y a une puissance de la mort dans toutes les deux et ces deux morts cherchent à collaborer pendant que la puissance de Dieu révèle cela, mettant cela à découvert et montrant qu’Il aime ces femmes. Il veut qu’elles soient guéries. Le croyez-vous?

            Maintenant, je vous prie, je vous prie de ne pas vous déplacer. Maintenant, vous pouvez donner libre accès même à cela. Voyez-vous? Ne faites pas cela, je vous en prie, je vous en prie. Savez-vous que ces choses passent d’une personne à une autre? Soyez très respectueux...?...

            Madame, si Dieu me dit qui vous êtes, cela vous donnera-t-il beaucoup de foi pour croire? Vous vous appelez madame Moore. Continuez votre chemin, toutes deux; cela vous a quittées vous deux à l’instant même; vous êtes guéries. Continuez votre chemin et soyez en bonne santé. Disons: «Gloire au Seigneur!» Ce don opère-t-il?

87        Maintenant, combien se souviennent que lorsque j’étais ici je mettais ma main sur quelqu’un, et vous voyiez comme des–des vibrations dessus? Eh bien, si cette femme a une maladie causée par des microbes, cela marchera. S’il ne s’agit pas d’un microbe, ça ne marchera pas, parce que c’est par une vision que cela devra être vu. Je ne sais pas. Etes-vous le patient suivant? Je ne suis pas hors de moi, mais parfois tout simplement je...

            Approchez juste une minute, mademoiselle. Donnez-moi votre main juste un instant. Cette main juste ici. C’est juste, c’est une maladie causée par des microbes. Oui, oui. Elle a une infection. Eh bien, c’est une maladie de femmes, un problème gynécologique. C’est juste. Si c’est juste, levez la main. C’est tout à fait juste. Voyez-vous? Elle a une infection. Il s’agit d’un germe. Le voici sur ma main. J’aimerais vous montrer quelque chose, jeune dame. Regardez ici. Regardez ma main. Voyez-vous ces petites choses blanches qui se déplacent là sur ma main, qui causent plutôt un gonflement d’un rouge foncé? Maintenant, retirez votre main de la mienne. Maintenant, ça n’y est plus maintenant. Maintenant, remettez cette main ici sur la mienne. Ça n’y est plus maintenant. Ça n’y est plus maintenant. Maintenant, mettez cette main ici dessus. Voilà.

            Maintenant, vous êtes tout autant humaine dans cette main que vous l’êtes dans celle-ci. Et je suis tout autant un être humain que vous. Ça ne marchera pas ici; ça ne marchera pas là, parce que Dieu me l’a dit, dans la vision, pour que les gens sachent que c’est la vérité, de prendre la personne... de laisser les gens... Voyez-vous? Quand vous mettez votre main droite sur la mienne, vous témoignez que vous me croyez. Il a dit: «Si tu amènes les gens à te croire et qu’ensuite tu es sincère, rien ne résistera à la prière.»

88        Avez-vous déjà lu le livre? Combien ont lu cela dans le livre, depuis des années et des années. Maintenant, voyez, et puis je vais vous donner ma main gauche, parce que vous êtes ma soeur. Ma main droite va vers Dieu. Je crois la promesse selon laquelle Il m’a dit cela. Voyez-vous? Et puis vous dites: «Je crois.» Pourquoi? Parce que ce n’est pas tellement la sensation là dans ma main qui vous dit ce qui ne va pas. Alors vous me croyez, n’est-ce pas? Alors je lève ma main vers Dieu; je Te crois, ô Dieu. Je place ma main sur elle, je... Tu... «Je vous crois, Frère Branham.» Voilà. Voyez-vous? Ça règle la chose.

            Maintenant, placez votre main ici. Maintenant, je veux que vous remarquiez, mademoiselle, que ce n’est pas par la façon dont je tiens ma main ou une quelconque... Eh bien, la question est celle-ci: «Comment aurais-je pu savoir ce que c’était, n’eût été cela?» Mais vous voyez, il y a une sensation-là dans ma main, n’est-ce pas? De petites choses blanches se déplacent sur ma main. Maintenant, aussitôt que vous retirez votre main, cela disparaît. Et cela n’apparaîtra pas avec cette autre main. Maintenant, je la place ici, voilà que ça revient.

89        Maintenant, écoutez, mademoiselle. Je désire que vous observiez cela très attentivement. Si cela disparaît, vous êtes guérie. Mais maintenant, souvenez-vous, je ne suis pas en mesure de garder cela éloigné, parce que après que l’esprit impur est sorti d’une personne, il s’en va dans les lieux arides, et il retourne avec sept autres démons. Très bien. Si Dieu peut venir ici et vous montrer quelque chose visiblement, vous saurez sans l’ombre d’un doute que quelque chose est arrivé, et qu’il y a Quelqu’Un ici qui vous connaît (Est-ce juste?) dans l’esprit. Quelque Chose a discerné la maladie dont vous souffrez.

            Maintenant, si cela vous quitte, allez-vous croire que cela va rester éloigné? Très bien. Vous les femmes, inclinez toutes la tête juste une minute. Je désire que vous observiez ma main. Maintenant, d’abord je vais prier. Examinez votre foi, je vais vous montrer que je ne vais pas utiliser... retirer ma main.

90        Notre Père céleste, je prie pour cette fille, afin que Tu ôtes cette affliction de son corps. Tu es Dieu, mon bras repose ici à côté de Ta Bible. Tu as promis de guérir les malades; c’est Ta Parole. Nous Te croyons avec tout ce qu’il y a dans notre coeur.

            Maintenant, que cette chose la quitte, Père. Je prie au Nom de Jésus.

            Maintenant, avant que je relève ma tête, la chose n’a pas quitté. Est-ce juste, mademoiselle? Dites–dites: «Oui ou non.» C’est encore là, n’est-ce pas? Oui, ça continue à bouger. Voyez-vous? La prière seule ne fera pas cela. Il faut la foi. Voyez-vous ce que je veux dire maintenant? Maintenant, observez. Voilà de nouveau la chose. Maintenant, croyez-vous que la Bible dit: «En Mon Nom ils chasseront les démons?»Maintenant, vous devez faire attention à ce que vous faites à ce sujet. Vous devez faire attention, car, souvenez-vous, Moïse a frappé un rocher quand il ne devait pas le faire. Elie a maudit quarante-deux petits enfants et des ours les ont tués avant qu’ils ne retournent chez eux, parce qu’ils avaient dit qu’il était chauve, le taquinant à ce propos. Ce n’était pas la volonté de Dieu qu’il fasse cela. Ça ne ressemble pas au Saint-Esprit: un prophète en colère.

91        Maintenant, je voudrais que vous observiez...?... la jeune fille. Observez ma main. Soyez honnête. Voyez-vous? Maintenant, si cette main redevient comme ceci, cela est parti sans que j’aie fait quoi que ce soit. Maintenant, inclinez la tête partout, car on doit faire partir cela maintenant. Si nous chassons ce démon, il sera en colère, et nous savons qu’il voudra passer d’une personne à une autre.

92        Satan, un Ange de Dieu est venu une nuit, il y a quatorze ans, à Green’s Mill, et Il m’a dit, en tant qu’un ministre local, que j’ai été envoyé pour prier pour les malades, c’est ce qui a été dit. Tu le sais, tu es exposé. Tu peux placer l’incrédulité dans les gens. Tu peux amener les gens à douter, mais tu ne peux pas empêcher Christ de faire quelque chose, parce qu’Il t’a dépouillé de tous les droits légaux que tu avais. Quand Il est mort au Calvaire, Il a payé la dette de tout notre péché et de toute notre incrédulité. Dieu a donné à Ses serviteurs le pouvoir de te chasser. J’utilise Son Nom. Je viens au Nom de Jésus-Christ. Je te défie dans ce duel de la foi, quitte la jeune fille, sors d’elle au Nom de Jésus-Christ.

            Maintenant, avant que je ne relève la tête et que j’ouvre les yeux, la chose est partie. Est-ce juste? Maintenant, ouvrez les yeux. Quelque chose s’est passé, n’est-ce pas? Vous sentez même un changement, n’est-ce pas? Maintenant, regardez ici. Voilà. Maintenant attendez, je vais ôter ma main de vous. Maintenant, placez cette main dessus. Juste comme vous l’avez fait tout à l’heure. Vous voyez son aspect? Maintenant, placez cette main dessus comme vous l’aviez fait tout à l’heure. Vous voyez son aspect? Quelque chose est arrivé, n’est-ce pas? Vous êtes guérie. C’est ce que ça signifie. Continuez votre chemin en vous réjouissant, en disant: «Merci.»

93        Maintenant, voyons la main de cet homme juste une minute. Il a une petite prostate qui le rend nerveux quand il se réveille ou quelque chose comme cela. Et c’est juste. Vous vous réveillez la nuit. Mais ce n’est pas réellement ce que vous désirez, car je sens votre esprit se mouvoir vers quelque chose d’autre. Très bien. Pensez-vous que vous allez devenir estropié? Pensez-vous que cette arthrite va vous rendre estropié ou quelque chose comme ça? Croyez-vous que Dieu va vous rétablir maintenant? Amen. Il l’a fait. Allez, rentrez chez vous, réjouissez-vous, en criant et en disant: «Gloire au Seigneur!»

            Voyons votre cas, monsieur. Approchez une minute. Donnez-moi votre main. Oui, oui. Un trouble de l’estomac, croyez-vous que Dieu va guérir cela? Au Nom de Jésus-Christ, que le diable quitte ce garçon. Sors de lui au Nom de Jésus! Amen. Partez en croyant.

94        Très bien. Approchez. Est-ce pour le bébé? Maintenant, voyons sa petite main. Juste une minute. Comment va ce petit garçon? Bonjour, cher ami. Oui, oui. Non, ce n’est pas ça. Il ne s’agit pas d’une infection. Juste une minute. Maintenant, croyez-vous que, si Dieu peut me dire ce qui ne va pas chez l’enfant, Il va le guérir? Allez-vous accepter Jésus comme le Guérisseur de cet enfant? C’est un trouble cardiaque. C’est un coeur malade. Les médecins ne savent même pas ce qu’il faut faire à ce sujet. C’est juste. Mais Dieu sait ce qu’il faut faire à ce sujet.

            Satan, quitte cet enfant au Nom de Jésus, je condamne le diable et demande la guérison de l’enfant. Amen. Prenez-le maintenant. Croyez de tout votre coeur, il va se rétablir.

95        Approchez. Bonsoir, chéri. Crois-tu en Jésus? Voyons sa petite main. Maintenant, oui. Crois-tu que ce trouble des reins va partir, et que tu vas te rétablir et être bien portant? Croyez-vous de tout votre coeur que Christ va guérir cela?

            Seigneur Jésus, je condamne le diable qui a fait du mal à cet enfant. Qu’il quitte au Nom de Jésus-Christ. Amen. Ayez la foi, croyez maintenant. Ne doutez pas. Allez en croyant, et si vous croyez de tout votre coeur, cela va arriver.

            Maintenant, faites voir votre main. L’asthme, mais croyez-vous que Dieu peut guérir cela et vous rétablir? Allez-vous L’accepter comme votre Guérisseur? Je condamne le diable qui a fait du mal à notre soeur. Au Nom de Jésus-Christ, quitte la femme! Allez en croyant maintenant. Ne doutez pas, mais croyez de tout votre coeur.

96        Combien là-bas n’ont pas de cartes de prière mais veulent croire? Combien d’entre vous diront réellement: «Je crois.»? Ayez la foi, ne doutez pas. Croyez-vous que cette arthrite va vous quitter, l’homme assis là, qui me regarde, juste ici derrière, l’homme âgé? Si vous croyez de tout votre coeur, Dieu va vous guérir.

            Il y a un homme assis ici, juste ici, qui souffre de la hernie. Croyez-vous que Dieu va vous guérir, monsieur, vous qui êtes assis juste là, souffrant de la hernie, et qui priez? Vous qui êtes plutôt chauve, ici devant, à la cravate lacet. Oui, monsieur. Levez-vous et acceptez votre guérison alors. Avez-vous une carte de prière? Non, monsieur. Votre épouse en a une. Eh bien, si votre épouse en a une, vous, vous n’en avez pas donc. Vous pouvez rentrer à la maison avec elle et être guéri, si elle a été guérie dans la ligne. Amen. Si vous croyez de tout votre coeur. Je vous demande de croire que c’est la vérité.

            Croyez-vous tous cela? Alors ayez foi en Dieu.

97        Quelque chose s’est produit quelque part. Ce n’était pas cette personne. Croyez-vous que Dieu va vous guérir? Seigneur, au Nom de Jésus, guéris cette femme. Amen. Maintenant, allez en croyant de tout votre coeur. Si vous pouvez croire ceci et ne doutez pas, cela va arriver.

            Approchez, soeur. Maintenant, vous savez que je sais ce que vous avez comme problème. Mais si je–si je ne vous le dis pas, vous le croirez de toute façon. N’est-ce pas? Oui, oui. Mais je vais tout simplement vous le dire, votre nervosité vous a quittée. Vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante. Donc ne doutez pas....?...

            Pendant que vous étiez assis là, le trouble cardiaque est parti, continuez donc votre marche. Louez Jésus.

            Maintenant, si je ne vous dis rien, allez-vous accepter cela et croire que c’est juste? Très bien, votre mal de dos est parti; continuez votre chemin jusqu’à la maison et soyez bien portante. Et ayez–ayez foi en Dieu, croyez de tout–tout votre coeur. Seigneur Jésus, je Te prie de guérir cette femme au Nom de Jésus.

98        Approchez maintenant, en croyant de tout votre coeur. Au Nom de Jésus, que notre frère soit guéri.

            Maintenant, vous voyez, ils sont malgré tout guéris. Le croyez-vous?

            Approchez, soeur, au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie. Ayez la foi. Ne doutez pas.

            Nous voyons le pauvre frère qui est estropié. Croyez-vous que Dieu va vous guérir, monsieur? Au Nom de Jésus-Christ, que notre frère soit guéri. Ne doutez pas. Allez en croyant maintenant, vous serez guéri.

            Approchez, monsieur, au Nom de Jésus-Christ, je vous impose les mains, frère, et la Bible dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Au Nom de Jésus, soyez guéri.

99        Croyez-vous, soeur? Au Nom de Jésus-Christ, qu’ils soient guéris. Amen.

            Je n’attends pas des visions car je deviens très faible maintenant, je sens vraiment mes jambes trembler sous moi.

            Au Nom de Jésus-Christ, qu’ils soient guéris. Vous le croyez maintenant, n’est-ce pas?

            Vous allez croire? Au Nom de Jésus-Christ, qu’ils soient guéris. Amen.

            Approchez, petite dame. Allez-vous croire? Au Nom de Jésus-Christ, que ma soeur soit guérie. Au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie.

            Approchez, frère. Vous allez croire cela maintenant, n’est-ce pas? Au Nom de Jésus-Christ, que notre frère soit guéri.

            Approchez, soeur. Bien sûr, vous savez ce que... Au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie.

            Au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie.

            Au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie.

            Au Nom de Jésus-Christ, que notre soeur soit guérie.

            Au Nom de Jésus-Christ, que notre frère soit guéri. Que Dieu vous bénisse, frère.

            Au Nom de Jésus-Christ, soyez guéri.

            Approchez, soeur. Au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie.

            Au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie.

            Approchez, frère, croyez maintenant et cela va vous quitter. Au Nom de Jésus-Christ, que mon frère soit guéri.

            Au Nom de Jésus-Christ, que mon frère soit guéri.

            Approchez, frère, au Nom de Jésus-Christ, que mon frère soit guéri.

100      Doutez-vous? Est-ce que vous–est-ce que vous–est-ce que vous doutez de tout votre coeur ou est-ce que vous croyez de tout votre coeur? Croyez-vous? Maintenant, je–je n’ai pas utilisé le discernement. Je savais ce qui n’allait pas chez les gens. Vous le savez, n’est-ce pas? Tenez. Est-ce... Je tiens encore le patient par la main. Regardez ici, monsieur, j’ai tout simplement dit: «Que Dieu vous bénisse.» C’est tout ce que j’ai dit, continuez votre chemin. Est-ce juste? Vous croyez que vous êtes guéri. Y en a-t-il maintenant? Très bien. Vous aviez le cancer. C’était au bassin. Vous vous appelez monsieur Peterson. Rentrez chez vous et soyez guéri. Voyez-vous, voyez-vous? C’est cela. Croyez tout simplement cela.

            La personne assise juste là souffre de l’eczéma. Croyez-vous que Dieu va vous guérir, vous rétablir? Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir de toute façon? Très bien. Recevez votre guérison. Jésus-Christ vous guérit. Amen.

101      Croyez-vous tous de tout votre coeur? Combien croient que Dieu est dans Son univers? Que Dieu est dans Sa Parole? Que Dieu est dans Son Fils? Que Dieu est dans Son peuple?

            Maintenant, combien sentent qu’ils ont Dieu dans leur coeur? Levez la main. Très bien. Et maintenant, imposez-vous les mains les uns aux autres et priez les uns pour les autres pendant que je descends prier pour ces gens qui sont dans des fauteuils roulants.

            Frère Roy, conduisez-les dans la prière pendant que votre... Posez vos mains les uns sur les autres. Posez simplement vos mains les uns sur les autres. Croyez de tout votre coeur.

            Seigneur, viens maintenant. Tu es ici avec les gens. Dieu est dans Son peuple. Que chacun d’entre eux soit guéri. Pendant que nous sommes en train de prier, gardez vos mains les uns sur les autres. Continuez à prier. Dieu est dans Son peuple. Croyez-le pendant que je prie pour ces...

E-1 Let us remain standing just a moment for prayer, while we bow our heads.
Most gracious, and holy Father, as we approach Thy Divine throne of grace, we stand in the shadows of Thy justice. We would ask, Lord, that by Your grace that You would forgive us of our sins and trespasses. We desire mercy. Do not judge us according to our lives and our works. Do not give us justice, but give us mercy.
And Father, we pray that You'll make this a--an afternoon that'll long be remembered, because of Your Presence. Thanking You for what You've done this morning around over the city, and through out the valley, and over the world. Pray, God, that You'll continue to be with us and giving us Thy grace and mercy until Jesus comes. Bless the words that shall be read and the--the comments that'll be past upon the Word. Let Thy Spirit be in all that we do or say. Heal the sick and the afflicted.

E-2 And we would not forget, Lord, the convalescents, those who cannot come. We pray that the Holy Spirit will stand by their bed this afternoon, while many, here in the building, are packing burdens for them, may they be healed.
Life is over and we stand in Thy Presence, we'll bow humbly to thank Thee and give Thee all the praise. For we ask it in Jesus' Name. Amen. You may be seated.

E-3 It is such a delight to come and speak to an audience in the Name of the Lord Jesus, having this assurance, that He--He will never leave us nor forsake us; He will be with us in every trial that we have. And just a humble faith to believe Him, accept Him as our Saviour, and believe on Him for all that we have need of in life...
I know it's awfully hot this afternoon, but you'd be surprised how much difference it is here than it is in the Belgium Congo, where they would come, and down in South Africa. They would come of a morning, and they would lay on the grounds all day long in that hot, blistering sun, not for just a day, but wait there for two or three weeks for me to get to the nation. Come down through the jungles, packing their loved ones on boards and things. The lion would come, and they'd push them up the tree, and wait maybe a day or till the lion left, then come on down. Maybe go a little farther. Try to get a drink out of a water flowing, the crocodile would get one of the children, they'd keep moving on. See? They weep for a few hours, know that it's over and go on. That's the people; they don't mind the heat. They're trying to find life. See? They're trying to find something that gives peace, and that passes understanding.

E-4 And this afternoon, let's keep that--such a loyalty on our mind as we set this afternoon. I know it's hot, but we can't govern the weather. We've got to have hot weather to bring forth the fruit and so forth. God knows how to temper His earth to--to bring forth the abundance for us to live on. And if we had all rain, and shadows, and so forth, we would starve. So we're very thankful to be here. And I see the people has the fans in your hand, now if you're just got the electricity, why, it'll be all right then, it'll help cool a little bit.

E-5 Now, let us approach the Word by St. John, the 14th chapter. Beginning tomorrow night, the Lord willing, I wish to speak a series of subjects, building faith, if I can. God will help me. I want to try to build faith for oncoming services, this next week. Try to, if you can, I know many of you work, and it's hard to get out. I don't--don't have to--want to say this for you to come, just--many times those expressions are made, I hope not, never been here...
Many times, people wants large crowds out to get certain offerings. Many times they want large crowds out for the psychological effect it has on the people, that can... Many people say, "Well, I don't want to preach, unless there's a big crowd."

E-6 I preached to big crowds and little crowds. It makes no difference what it is. I just held a revival in a church that held twenty. So it was pitiful, down in zero weather and they was standing outside. But I don't need money; we just have to pay the expenses, that's all you're ask to do. I--I wish that I could pay them myself; I wouldn't ask for that.
And I--I never took an offering in my life. I remember one time, that I was--got in a hard place. How many knows what that means?
My wife's setting here this afternoon; she usually gets a--kinda a little shy. She looked at me when I say this, but I just come in from--I was working. I pastored a--the tabernacle at Jeffersonville for seventeen years and never had one cent of a salary. Besides I put what money I could spare in the offerings, and always paid my tithes, and so forth.

E-7 But I come in, and we just didn't have enough money to make the thing go. And I said to her; I said, "You know what, honey? I'm going to take up an offering tonight."
She said, "I want to be sure to go over and see you do that." And so, she set back. Now, the people would give it. It was the time of the war and so forth, and or--just before the war. And so she--she knew that they would give it. They'd--they'd allowance their children at the table to help me. But I--I--I realized that, and I never want to take advantage of anything like that.
So I was young, working; I was where I could work, and I had a patrol job, walking thirty some odd miles a day through the wilderness and so forth, very hard, making forty-five cents an hour.

E-8 But then I--I went over to take up the offering, and I never will forget it, an old friend of mine, I said, "Friends, I'm a little in need tonight." I said, "I need about five dollars." I said, "I got a bill that's coming due; I just can't make it." I said, "I got other things." I said--we didn't have a collection plate in the church. I said, "If somebody will get my hat there, we'll just take up a offering." Got a nickel or something together... It was a audience like the size on this floor, my church.
And I said... Mr. Wisehart went over to get my hat, and I looked and a little old woman, the sweetest little old thing, one of the old fashion mothers that used to wear these little old, spotted aprons, and had the pocket on the inside, you know, of the apron. Did you ever see one of those?

E-9 My old grandmother, she used to wear one of those, and she smoked a cane pipe. She didn't want the man to see her smoking, so she carried her tobacco in that pocket, and she'd see some of the men coming; she'd just stick her hand under that apron, and hold her thumb on that pipe, and talk to them. And after they left, she'd come across the floor with that old cane pipe.
I remember before she died; she was a hundred and ten years old. She remembered the assassination of Abraham Lincoln. Never saw but one car in her life; I brought that down there, way back in the mountain country. Never seen a train in all of her life. But I held her in my arms and prayed for her. She probably weighed fifty pounds, just dried up. And so--she was the sweetest little old thing. She'd got saved, and she put her arms around my neck, and the last thing she said, "God bless your little heart, now and forever more." And she went to be with the Lord. And--that was my father's mother.

E-10 And I remember this little woman, she kept her--her--little apron--had her little apron; she'd wear it to church. She didn't live but a little ways, and we were all poor. And she reached under the pocket, this little old pocket, and brought out one of them little pocketbooks that snaps on top, you know. Reaching down after for those nickels, oh, my. I'd took that, I'd felt like Judas that took that money, them thirty pieces of silver. And I seen her reach... I looked at that, a great, big, lump come in, you know how that feeling in your throat like a lump? I said, "Oh, I was just teasing you. I didn't mean that." I said, "I just wanted to see what you'd say."
And here the deacon was in the church, with the hat in his hand; he looked at me, and said, "What must I do?"
I said, "Just hang my hat up. Why, I was just going on." See? I knowed if she'd put that nickel or dime in there, I couldn't stand it. So I never will forget... Honey, she knows about it. I said...
I went over, and I had an old bicycle that Brother John Ryan, he was really a kinda like a House of David, long hair, and he rode it down there and he gave to me. It wasn't--it wasn't backslid, it was just wore out. That was all. So I went down to the ten cent store, and got a can of paint and painted it, and set it out front, and sold it for five dollars. I didn't have to take up the offering. So that was the closest I ever come of taking an offering.

E-11 So we are not here for that purpose. We are here to try to help you, to try to do something to make--to make it a--the neighborhood here a little easier to do right, a little harder to do wrong, make life a little pleasanter to you, maybe, that God will heal your sickness, and lengthen your days, save the lost, help the churches. These are my sponsors; they are men who believes the same thing I believe. They wouldn't be setting up here if they didn't believe it. And they're, to me, the cream of the crop. Now, I--I mean that, not to be...
Some of them there with gray hair, older than I was, and out here preaching on the corner with a--a guitar and a tambourine, when I was just a sinful boy. So I feel little to stand out in front of these man, this afternoon. They should be here. They made the road easy for me to travel over, preaching these things would come, and here they are coming. So one plants, another waters; God gets the increase. That's the way it'll be.

E-12 And on that great morning, over there, when the table's set across the canopies of the skies, when all life is over, and we set down at that wedding supper, I want to be there so bad, brethren. Oh, I want to be there. I--I believe I will. If I live right and try hard, God will let me come there, not by what I do, but by His grace, I'll reach across the table and shake hands with some of you all, and say, "I remember you, you was at Yakima. (See?) on earth. No doubt a little tear will run down our cheeks for joy.
Then the great thing, to see the King come out, in all of His beauty, and wipe the tears from our eyes, say, "Don't cry, children, it's all over now. Enter into the joys of the Lord, that's been prepared for you since the foundation of the world."
That's what I want to hear, then we'll be changed from this creature that we are, be immortal, made like unto His own glorious body. Then the toils of the hot days, and the fanning and so forth, will all be over then. We'll enter into the peace of the Lord forever. Till that time, let's labor, work, and pray, watching for the coming of the Lord.

E-13 Saint John, the 14th chapter, and let's begin at the 7th verse, and read the 12th verse inclusive, Jesus speaking:
If ye had known me, you should have known my Father also: and from henceforth ye know him, and have seen him.
Philip saith unto him, Lord, shew us the Father, and it sufficeth us.
Jesus said unto him, Have I been so long... with you, and yet has thou not known me, Philip? he that has seen me has seen the Father; and how sayest thou... Shew us the Father?
Believest thou not that I am in the Father, and the Father in me? the words that I speak unto you I speak not of myself: but the Father that dwelleth in me, he doeth the works.
Believe me that I am in the Father... the Father in me; or else believe me for the very works' sake.
Verily, verily I--verily, verily I say unto you, He that believeth on me, the works that I do he shall do also; and greater works than these shall he do; because I go unto my Father.
And my subject for the afternoon is "Show Us The Father And It Will Satisfy." "Suffices" means "to satisfy." If You'll show us the Father, it'll satisfy us.

E-14 Now, I'm going to take on this... It's been the desire of the human heart since there's every been a human. They want to know where is God. "If I could only see God."
And I'm going to speak of four different ways of seeing God. And last night, I took the subject of "Sir," in 12th chapter of Saint John, "Sirs, We Would See Jesus." And I believe all that was here last night in their right mind, knowing anything about the Scripture, saw Him working among the people. If they didn't, I believe you're almost past hopes. See? If you--if you didn't see it. After the Scripture lay, just solidly all the way from Genesis on down through the Scripture, exactly what He promised here in the last days, and here we seen Him come into the building last night... For the Christian looks at the unseen. Do you know that? The whole Christian armor is unseen: Love, joy, peace, long-suffering, goodness, meekness, gentleness, patience. All the fruits of the Spirit is unseen.

E-15 People say, "I'm from Missouri, seeing is believing." Then you could never be a Christian. 'Cause you've got to accept God by faith. See? You've got to believe Him. And last evening, when we seen Him come in by the Spirit, move along, and confirm, in His people, the believers in the building... Went along, and seen Him do just exactly what He did when He was here on earth, confirming this Scripture, "The works that I do, shall you also." And seeing the same results by human beings so submitted to God, until the Holy Spirit can work through those human beings just like the Holy Spirit worked through Jesus, Who just has confessed that, "I and My Father are One. My Father dwelleth in Me. He doeth the works. It's not My words; it's His words."... See? He was so submitted to God, and He died and sanctified a church that He might live in to continue His works until the second advent of His--His coming, He comes the second time.

E-16 Now, we're going to see if we can see God. How many would like to see God? Let's see your hands. I--I know it's juvenile like, but we're supposed to be children. When we get to know a whole lot, then we don't know nothing that we ought to know, the Bible said. We always never want to get a great intellectual feeling that we're above somebody, or know more than somebody else. Just be common and simple. People try to explain God and go plumb over the top of it. People look for God way out there, when He's standing right here. See? That's--you just--you... The simplicity of it just confuses the great, powerful, intellectual mind that tries to make him some great something that He's not. He's here with us; He's God. Just a... He--He's part of you. He's a fiber of you. We're the flesh of His flesh, and the bone of His bone. We're are a part of Him, 'cause we're His children. And God dwells in us just like He did in His Son, Christ Jesus.

E-17 Now, we're going to look at God in four ways. Now, three is the confirmation, but we're going to throw one extra in, this afternoon, to make it positive. Anyone knows that--that two is a witness; three is a confirmation. I--the Jews said to Jesus, "We know that You're a--a demon, because You speak of Yourself."
It takes two to make a witness. Jesus said, "I'm one, and the Father that dwelleth in Me is the other One. If you can't believe Me, believe the works that He's a doing in Me." See? So that made a confirmation of two. But now, three...
And now, we're going to take four ways of seeing God: first, God in His universe, God in His Word, God in His Son, God in His people.
God in His universe, we'll see if we can find Him in the universe. God in His Word, we'll see if we can find Him the Word. God in His Son, we'll see if He's in His Son. Then God in His people, and see if He's in His people. That's four ways that we can see God.
The infidel said, "Let me see Him."

E-18 Some time ago, I was speaking on a corner; there was a infidel which was speaking on the next corner. And he was--had the Bible laying there, said, "It's the dirtiest, orneriest Book ever written." And, oh, he was just going on. Was--had been a priest or studied to be a priest in a monastery. And very much of a theologian, knowed the Word, and so he was chewing tobacco. And he--I was standing by a little grocery store, and when he come in to get groceries, then here the preacher and infidel met together. So, he said, "Oh, you're that preacher that's doing a lot of hollering down here."
"Yes, sir, I am."
And he said, "You don't believe that stuff you're saying?"
I said, "With all my heart, I believe it."

E-19 And I knowed he was smart to be in a monastery (You see?), so I said, "Yes, sir, I--I believe it with all my heart." So I knowed his wits was too much me to match, but I knowed I had a God that could match anything that the devil could put out. So I just held on to see what God would say.
He said, "If I'll prove to you there's not one thing in what you're talking about, will you accept it?"
I said, "Don't believe you could do it."
He said, "There is no such a thing as God."
I said, "That's your opinion, my opinion's different."
And he said, "Well look, how many senses does a human body have?"
And I said, "Well, they got senses."
"How far did you go to school?"
I said, "Far enough to know there's a God."
And--and he said--he said, "Well, a--name the human senses."
And I said, "See, taste, feel, smell, and hearing."
He said, "Now, if He's a human God, to the human, surely one of those senses would declare Him." He said, "Now, did you ever see Him? Did you ever taste Him, smell Him, feel Him, or hear Him?"
I said, "I felt Him. I feel Him now."
He said, "Let me feel Him." That sense of feeling goes the same way (See?) with your fingers.
And a--and I said, "Well, it's possible that I could feel Him, and you could not feel Him."
He said, "Oh, no, no, you can't pull your psychology on me."
And I took a pin and stuck him. And he said--I thought he was going to slap me first. But I stepped back out of his reach. And I said, "I did that for a purpose, sir. Excuse me. But I just want to make a point." I said, "Did you feel that?"
He said, "I certainly did."
And I said, "But I didn't feel it."
He said, "Let me stick you."
And I said, "Yeah, you believe the same thing I believe, and you'll have the same results." That's right. It's possible you can have a cramp in your stomach, and I know nothing about it, but it's real to you. See? But it wouldn't be to me, unless I had the same cramp in my stomach, or a headache, or whatever it might be.

E-20 So then, I said, "Well," And I--I thinking, and he was--you know you have... Mother used to say, "If you give the cow enough rope, she'll hang herself." So that's the way you... I--I played right up to his psychology.
And I said, "You know what? You are a very smart man."
He said, "My mother never raised any fools."
And I said, "Well, that's a good thing." I said, "I certainly wouldn't--wouldn't know." I couldn't say because the Bible said, 'The fool said in his heart there's no God.' You know but I--I couldn't say that right then, 'cause I was playing him right up to the spot where I wanted him. And I said, "You have one of the most brilliant mind, I ever seen--ever talked to--a man that had a brilliant mind like you."
He said, "That's right."
Oh, he was blowed up. That's where I knowed I had to play on him when I was right there. And I said, "You'll admit you've got a mind?"
And he said, "Why, sure. Why? You act like you've lost yours."
And I said, "No. I don't think I have." But I said, "I just wonder if you really got a mind."
And he said, "What are you talking about?"
I said, "It's a human mind, isn't it?" He caught right then what I was a going to do.
He said, "Now, ju..."
I said, "No, sir, I was a gentleman. I answered your..." I said, "Name the senses of the body."
"Well," he said, "you know them.
I said, "I want you to say them." I said, "I said them for you when I told you I knew them."
He said, "See, taste, feel, smell, and hear."
I said, "Did you ever see your mind? Did you ever smell it, taste it, hear it?"
"No."
I said, "Then you haven't got a mind."
He said, "Oh, I know I've got a mind."
I said, "I know I got a God, too, sir." I said, "I just know that."

E-21 So all the armor of God is unseen, but it's the unseen that the Christian looks at. Like Abraham called things which was not as though they were, because God had said so. So we're going to look now, not to the unseen, this afternoon, but four ways that we're going... We could take a dozen, but we're just going to take those four ways for a--a confirmation that God lives right now.
God is right here this afternoon, right here in this room. He promised, "Wherever two or three are gathered in My Name, I'll be in their midst."

E-22 Now, we're going to speak first on God in His universe. Now, how could the world hold up in the space that it's in? After all, which is top or bottom of it? Who knows? The ones that down at the north--at the south pole feel just as much like they're on top as the ones at the north pole. So you see, it's just... They push this way, which is pushing down. We think we're--they're pointing up. See? They think they're pointing up, when they're pointing down to us. When we're pointing up, why we're pointing down to them. So it's hanging in air. What holds it there?
Throw a ball in there and spin it as fast as you wish too. This world's turning a little better than one thousand miles an hour. Twenty-five thousand miles around it, it turns aro--it makes a complete revolution every twenty-four hours. But, so makes a little better than a thousand miles an hour, it's turning. Well, you spin a ball into the air, equally the same speed. See? It wouldn't make one round in the same cycle. It would fall. It'd either be going up, going down, going sideways or something.
What holds it there? We know it's been here for six thousand years; we have record of, that it's standing here in the same spot. And they can time it with the moon and stars so perfectly till it won't miss a second. They can predict it twenty years ahead when the eclipse of the sun will be, when the moon and sun passes.
Everything works in harmony to God, all of God's creation, but man. So man is His son, that feels that he knows just a little bit more than Father does. So we try to figure it all out, instead of just believing what He said about it. That's all.

E-23 Sometime ago, a infidel said to me, talking about all the moon and sun, and how it flickered a little piece off.
I said, "How you going to prove that?" And I said, "The only thing you can do is prove it by faith." I said, "I want to tell you now, my faith's too weak for that. I'll just believe what the Bible said. That's the only thing I got faith in, is what God said. He made the heavens and earth, and I--I just believe it that way. So that's the faith that I have is what God said about it."
And now, then how could it ever be? How could that little flower live this afternoon, that vine? How could it live, plant rather, without God? All the scientists in the world couldn't make one of those leaves on there. They can make something that looks like it. But they couldn't make that leaf, because that leaf has got life in it, and science can never produce life.
A little flower--you take like you women here... It gets cold here in the valley. I go around and see your flower gardens now. I was riding around awhile ago, trying to keep my mind on God, and praying, "Lord, do something here in the valley. Please, help Your people. It's such a dark hour." And riding up and down the roads, a--a praying. And then I passed by and seen the lovely flowers. Now, it won't be long till frost will hit that little flower. It'll bow it's little head to death. Some of them will be young, middle-aged, and old. Out of there drops a little black seed.
Whether you believe it or not, God has a funeral procession for His flowers. Did you know that? Sure does. The fall rains comes and cries great, big tears down out of the skies, and buries that little black seed under the ground. And that's exactly right. Along comes the winter and freezes the seed, bursts open, the pulp runs out, and now, freezes several inches deep. The stalk's gone; the bulb's gone; the petal's gone; the seed's gone; the pulp's gone. Is that the end of that flower? No, sir. Just as soon as the--the sun rises in the east and begins to warm... Now you can't take a light and put on, it'd do it. It takes the sunlight. Put the sunlight on it and begin to warm it, it'll come back to life again.
God had that little germ of life hid somewhere so he could live again, because it's in--in God's will. It's God's plant. God put it here for a purpose, and it doesn't fuss or stew. It just serves the purpose that God put it here for. And if we'll just do the same, serve the purpose that God put us here for. Not to just to mean, we got to raise hogs, and that's all right. We got to do this, that, or other, but He put us here to be sons and daughters of God To glorify Him, and to praise Him like the little flower.

E-24 Preached on the subject not long ago, "Behold The Lilies," and I took the lily, pastor lily. How he opens up his heart, the bee takes his part out, and the tourists pass by [Brother Branham makes a sound like someone smelling of a flower--Ed.] that beautiful smell. Everything gets a part of Mr. Lily, and he has to toil day and night to produce that. Don't you believe God is in His universe? Everywhere, God is.

E-25 Up at my home, I live on the Ohio River, and oh, I just love water. And there was a little boy that lived down in the city, and he went to a church, and he was a fine little lad. And he said, to his mother one day; he said, "Mother, I want to ask you a question." Said, "I hear the preacher talk about God being so great." And said, "Now, I just wonder if anybody could ever see God?"
"Why," she said, "honey, you ask your Sunday school teacher." Said, "Mother couldn't answer that. I don't know nothing about it."
And so they ask the Sunday school teacher, and she said, "Oh, I wouldn't know about that. You ought to ask the pastor."
So he went and ask the pastor. The pastor said, "No, sonny, no man can see God. No man can see God and live. You just can't do it."

E-26 So the little fellow was disappointed. He associated with an old fisherman that lived on the river. And one day, they was up around close to... Pardon me. [Brother Branham coughs--Ed.] the six mile island, and there come up a storm. [Brother Branham coughs and clears his throat--Ed.] Excuse me. And there come up a storm, and the waters... You know how it gets after rain, the leaves are all washed off.
The old fisherman got back out in the boat and started down in the river pulling his boat. And just as the oarman, or any boatman knows, the--the harmony of that tip of the wave on the oars, like that, as he bringing down, just pulling a box of fish behind. And there was a--the sun come out in the west, over this a way, and was looking towards the east, the old fisherman was, and there come a rainbow across the skies. And the little fellow was setting in the stern of the boat, and so he begin to notice the old fisherman with his gray beard, tears begin to run down his cheeks as he looked at that rainbow going along.
And the little fellow got enthused and he ran up to the center of the boat, and grabbed the old fisherman by the knees and fell down there at his feet. He said, "Sir, I'm going to ask you a question. My Sunday school teacher, my mother, my pastor, no one could answer. Could anybody see God?"
And the old fisherman so overcome, he just pulled the oars in the boat, threw his arms around the little boy; he said, "God bless your little heart, honey. All I've seen for the past fifty years has been God." There's so much God on the inside of him; everything he looked at was God.

E-27 That's how you see God is when you get God inside of you. Let Him look through your eyes. That's how you'll work for God, when God can use your hands, use your feet, use your lips, use your tongue, use your ears, use your eyes. God, in you, sees God on the outside. God is in His universe. He was in the rainbow, settled the question there that none of them could settle.

E-28 I'm a hunter, as you all know. My mother's a half-indian, and I--and my conversion never taken that out of me. I still go up into Colorado where I'm a licensed guide, and--every fall, and go way high in the mountains where I used to herd cattle for years, and set there many times, learn so much about God.
I remember setting there, my leg across... Where the Hereford Association grazes the--the Troublesome River Valley, and watching the ranchers as we bring in the cattle, putting them up in the springtime to herd them. And here's one thing I--reason I'm interdenomination.
The ranger stood there at the drift fence, and he watched those cattle. If you can raise a ton of hay on your ranch, will produce as many tons of hay, you can put cow on the forest. I guess you still have the same laws here. And then, the rancher standing there watching those cattle, he never paid very much attention of what brand they had on them. Ours was the Tripod, and the others... The name above us was Turkey Track, and just above there was Grimes, the big outfit that had the bar--diamond bar, and many of--some of them put hundreds and hundreds head of cattle on there. But you know, that--that ranger never noticed them brands. He watched for the blood tag in the ear. You couldn't put a hereford on that forest without--or cow on that forest without being a thoroughbred hereford. It had to be a registered hereford.
And I think at the day of the judgment, God will not notice whether I belong to the Assemblies, or the Church of God, or what church I belong to, the brand that I wear; He will look for the blood tag; the Blood of His own Son. That's what He will--will look for. Nothing will go in there but a borned again Christian.

E-29 Hunting elk, the elk way up high this year, because there'd been no snow to run them down. And Mr. Jefferies, which was one of the owners of one of the ranches, we knowed every bit of ground throughout that forest land there for a hundred miles, 'cause we--for I herded cattle, and salted them, and so forth: take the pack trains, and go back, and salt the cattle, and round them up, and so forth.
And we'd went hunting, and he's a marvelous good hunter, and he'd took to the left to go back over on the, what we call, the West Fork; I took the East Fork. And we'd meet in four or five days, and have our elk hung up, and whatever we was going to get, and then put our horses together, and get the packs and come along, and bring them down. I was way high, walking around up there, and it'd been--been no snow to amount to anything. And--and in the fall of the year high in the mountains, it'll snow, then rain, and then sun will shine. You know how it is, at changing of the weather along October.

E-30 And I was walking way high, almost timberline, and there come up a--a northerner, and the skies turned green for a little while. And oh, it started blowing, and raining, and--and sleeting; and I got behind a tree, and just stood behind the tree, set my rifle down, there was an old blow down close. And I set my rifle down there, and I was just thinking, "Oh, God, how great Thou art. How wonderful You are. You're so--You made the mountains; You poured forth the fountain, raised up the mountain. Lord keep Your precious hands on me." And as I was standing there waiting for the rain to blow over, and then the winds got real heavy. And after the storm was over, I heard an old male elk begin to bugle. He got lost in the storm. Way up on the side of the hill, a coyote hollered; the mate answered down farther.
You know when David said, "The deep calleth to the deep." There was something about it was godly to me, hearing wild life calling. There was that elk. I turned around and looked back towards the west, towards Washington here. And where the sun was going down, setting through the crevices of the mountains, looked like a great eye looking. I thought, "That's right, His eyes run to and fro upon the earth." Everywhere you looked was God. Just godly.

E-31 And then I looked back this way, and there was a rainbow back this way, on the--where the evergreens had froze over from the rain, and formed the sun against it, and made a rainbow across the valley. The wolf a hollering, the elk a bugling, and the sun setting, oh, my, I stood there crying like a baby. I looked back, I said, "Yeah, what's in the rainbow? It's a covenant, a promise." In Revelations 1 He was looked upon as jasper and sardine stone: That's Benjamin and Reuben, the first and the last, He that was, which is, and shall come, the Root and Offspring of David, the morning Star. What all He was, His titles, there He is in the rainbow setting there. And I thought, "Oh, how beautiful. How it's good to be here."
And I got so happy, till I went around and around that tree, just as hard as I could, screaming to the top of my voice, about thirty-five miles from a human being. And I was just a screaming, and a shouting. I guess if someone would've come in the woods, they'd thought somebody got out of the insane institution up there. I was just a screaming and shouting. I didn't care; I was worshipping God. I was just having me a good time. And I'd stop and I'd say, "That's right. He's Alpha and Omega. The same yesterday, today, and forever." And around, and around, and around the tree I'd go again, just as hard as I'd go. Just--had to let off some of the steam, you know, it was just--something was boiling. And I just screamed to the top of my voice.

E-32 And after while, I heard a little pine squirrel. I don't know whether you brethren know what they are or not. He's a blue coat policeman of the woods. Jumped up on a stump there, chatter, chatter, chatter, chatter, chatter, chatter. I thought, "Oh, what you so excited about little fellow? I'm worshipping the God that created you, and around and around the tree I went again, just as hard I could. And I thought, "Well, I'm worshipping the very God that created you. He's my Creator. I love Him. I'm worshipping." And around the tree I kept going. And after while, I said, "Don't you like that? You ought to do it yourself. You're a creature of God; you ought to worship Him yourself."
Come to find out, he wasn't watching me. He'd cock his little head sideways, and look down in that blow-down. And the winds had blowed an old eagle down in there.

E-33 Now, a eagle's one of my favorite birds. So God likens His prophets to eagles. He like--He says Hisself; He's an eagle Himself, Jehovah Eagle. Maybe the Lord willing, I'd like to preach on that one time for you, "As The Eagle Stirs It's Nest." And then--so then when he was looking over the side like that, he was watching this eagle down there. And this big eagle jumped out there, his great, big, gray-looking eyes, I thought, "Oh, that's what excited you. Huh?" Well, I got to studying that, and I thought, "Lord, I know You're in that bugle of that elk. You're in the call of that wolf. You're in the rainbow. You're in the setting sun. You're in me. You're just everywhere. You're in all the flowers. You--You're just everywhere. Now, how could You ever stop me from worshipping You, to let me see that old eagle standing there? Now, there's nothing about him; he's a robber. Well, what about him.?" I said, "What did You bring him up for? What's--I see God out there, but I can't see God in that old eagle."
Well, I happen to notice there; I said, "Say, fellow, do you know I could shoot you?" Now, he knowed I was admiring him; I like his bravery. He was watching... I noticed him... "Why ain't you a scared of me?" And I noticed him taking his wings, you know, his feathers and feeling them like that. See? Just... I thought, "Oh, I see. I see, Lord." See? He's not scared. He's got two God-given wings. He knows before I could touch that rifle, he could be in that timber there, and I wouldn't see him no more. See? And I thought, "If he could... If that eagle, by God-given gift of two wings, that...?... take him away from--from troubles, how much more ought a church, when they can feel the power of the Holy Ghost around them." What ought we to do, be able to fly away by faith from every sickness, every disease, and everything of the world. If we can feel the Presence of God."

E-34 As long as them feathers was running right, he knowed he could do it, because he had confidence in the gift that God had given him. And yet, we set and wonder and plunder, with the very power of the Holy Ghost upon us, and walk--moving through the building showing that He's present.
Why, you see God anywhere you look. Don't you believe that? God's in a eagle; God's in a wolf call; God's in a sun set; God's in His universe; God's in His flowers. Why, God's everywhere, if you'll just look around.

E-35 To finish that story, that old eagle, I watched him for a little bit. And this little old--little old pine squirrel set up there looking at me, you know, chatter, chatter, looking at the eagle. And after while, the eagle got enough of it. So he just made one big jump, flopped his wings about twice, he was gone. Now, I noticed him, he never moved his--a feather after that. When he got above that green timber, he just set his wings. He knowed how to do it. And when that wind, coming up the mountain, every time the wind would come in, "Whew [Brother Branham makes a sound like the wind blowing--Ed.]" he'd just ride up on it, ride up on it. I stood and looked at it. Oh, my, he just got smaller and smaller, until he went plumb out of sight. And I thought, "That's it. That's it, Lord." See? It isn't when you're sick, or needy. It isn't flop flop to this, take your letter over to this church. And the Assemblies don't treat you right, go to the Church of God. They don't treat you right, go back to the Baptist. That isn't it. It's just knowing how to set your wings of faith into the power of God, and ride away from it. Go on. And the Holy Spirit begins to move, just ride up on it. It ain't flop, flop, flop, flop, flop, flop, "Well, I'll go over here, you don't treat me right. I'll go back over here. I'll go through Roberts prayer line. Brother Branham's coming, I'll go through his." That's not it. Set your faith in God's power and move away.

E-36 He left that little old chipmunk or squirrel setting there going, "Chatter, chatter, chatter. Days of miracles is past. No such thing as Divine Healing. No baptism of the Holy Ghost." He just rode away from it.
Oh my, that's what we want to do. Rise above it. Pull away from them people that says, "There's no such a thing as Divine Healing. God doesn't keep His Word. Jesus Christ is not the same yesterday, today, and forever." Just set your wings in the power of God and move away. That's right. Go on out of sight, leave them set alone. Just be so deaf you don't even hear them at all. Just move away from it. God is in His universe. God moves amongst His creatures.

E-37 Take a little old duck, I go up in the north woods sometimes to hunt. Hunted the world over. Go up in the north woods, there's a little old duck borned up there on that lake. He never was off that lake. He was borned there that spring. But somehow or another, when the snow caps come on the mountains, and that first little cold breeze comes down across the mountain, there's a certain little duck on that pond, he's a little old drake. He gets right out there in the middle of that pond, sticks that little honker up in the air, and go, "Honk, honk," and every duck on the pond will come to him. Yes, sir. What will he do? He will rise off of that... Remember he never was off that pond, but he will come right up off that pond and lead--lead every one of them ducks just as straight to Louisiana to the rice fields as he can go. If he doesn't, it'll all be froze over.
Surely, we ought to have duck sense. If a God can use the instinct of a duck to lead his people or his duckling friends away from a place that would freeze, surely the power of the Holy Ghost ought to lead us to Christ, Who is our Healer, and away from danger. God gave a duck instinct. He gave you the Holy Ghost. Oh, I feel religious right now. Yes, I do. Yes, He gave us the Holy Ghost to escape those things. Certainly.
You take--turn on your radio and it say, "Tomorrow, it's going to be cold weather, or going to be a--a hot weather, whatever the radio would say." We'll say for instance, it's going to be a--it's going to be warm tomorrow. It'll be warm. And you watch that old sow hog go over there and take them sticks that's on the north side of the hill, and carry it over to the other side the hill; don't you pay no attention what that radio man said. He don't know what he's talking about; that hog does. You go out and watch these rabbits get right down under the brush and let the man say, "It's going to be fair weather." Don't you pay no attention what he says; that rabbit knows more than he will ever know, about that. God's give him a way to escape the things, and he believes in it, and he makes ready for it.

E-38 Like Noah did with the ark, he prepared the ark before any rain fell. Amen. Are you ready, this afternoon, to fly away? Can you see God? Get away from these sicknesses, and diseases, and doubts, and flusterations. God's in His universe.
Not long ago, a few years ago, dad and I were plowing. And it was a hot morning; we was laying by corn, and Dad said, "Well, the horses begin to snort and snort."
I said, "What's the matter with him, daddy? Is there a coyote back there?"
He said, "No, no. It's coming up a storm."
I said, "A what?"
Said, "A storm."
I said, "I don't see any storm anywhere."
He said, "Billy, stop a minute." Said, "You don't understand." He said, "God has given a horse an instinct that when a storm is coming." You all which has ever rode a horse, know how lightning will play right over his mane. He said, "He's got--he's got a instinct to get to safety. That's the reason he's snorting. They're wanting to get to the barn."
And I said, "A storm? Why," I said, "there isn't a thunder; there isn't a lightning; there isn't a cloud anywhere."
He said, "But you just watch a few minutes."
I hadn't plowed two rounds, and here come the storm. See? God gave them instinct. God is in every creature, everywhere, if you'll just watch them. God's in His universe. You believe it? Certainly, He is.

E-39 Now, here some years ago, I was reading an article where an infidel crossed across the country. So smart, so intellectual, till ministers wouldn't even tackle him. Been about fifty years ago, and he a--he is converting people from Christianity to infidelism. And finally, he got broke down in his health, and he went to Colorado for a rest. One day he was in a camp, and he walked out, and he begin to look at those rocks. And he said, "Is it true, am I wrong? Did--did is there a Being that put you there?"
When them trees are waving back and forth, and the wind, "Adam, where art thou?" You see?
And finally, that infidel setting out there on a log, looking at those rocks, fell on his face, and said, "I'm wrong. God be merciful to me a sinner."
No wonder the Scripture said, "If they hold their peace, the rocks will immediately cry out." Something's going to happen. If a man looks around in the universe, he can find God. Don't you believe God is in His universe? Certainly, God is in His universe.

E-40 Now, we're going to take God in His Word, just for a minute. How many believes God's in His universe? Sure He's in His universe. We could go on all afternoon, but we don't want to. We want to hit these other two points.
Now, can you see God in His universe? How many can see God in His universe? In all these different things? Sure you can. Now, let's see if God's in His Word.
God is in His Word so much that, "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelt among us."

E-41 God is in His Word. We believe that. He keeps It. We can tell it when God speaks anything, we watch that Word comes right down, and manifested just exactly what He says comes to pass. So we know God is in His Word. He told Abraham, he was going to have a baby by Sarah, and he waited twenty-five years; God kept His Word. Told Noah it was going to rain, and all the things that He told. He told a hundred and twenty that, go up, wait at Jerusalem till the day of Pentecost had fully come. He was going to send a promise of the Father. He kept His Word. He always keeps His Word.
He said, "These things that I do shall you also." He keeps His Word. "A little while and the world (the world order) will see Me no more, yet you'll see Me. I'll be with you, in you, to the end of the world." He keeps His Word. God is in His Word.

E-42 Here, as I said the other night, "God is... 'The Word of God is the Seed', Jesus said, 'that a sower went forth sowing, and this Seed, It sprung up and--and so forth.'"
Now, every seed, if it's the right kind of seed, it will produce what it is. It'll reproduce itself again. Some few... About three years ago, or four, I was setting at a--at a confectionery eating a--an ice cream with an old Methodist preacher friend of mine. He's gone on to glory now. And we were setting there talking about the goodness of God. He was the same old minister that made up that song, "We let down the bars. We let down the bars. We compromised with sin. We let down the bars, the sheep got out, but how did the goats get in?"
I--I said, "Well, that's easy you let down the bars. That's all, you just begin to compromise, and that's how the goats got in, eating up all the sheep's food." And they don't like that; they have to have weeds, ecclesiastical weeds. Goats gets--gets--is satisfied with weeds, but a sheep has to have real food.

E-43 So notice, while he was there, the radio was on in the little confectionery in Henryville, Indiana, where we were... And old Doctor Spurgeon, a very fine friend of mine. And so the radio was on, and the agriculture hour was on, and the little 4H club in Louisville, Kentucky, had a machine over there that they had made a machine that could reproduce a grain of corn so perfect that you couldn't tell it from one growed in the field. Said, "You take a handful out of the sack, that's growed in the field, handful out of the sack, that the--that the machine produced, mix them together, and you'd never tell them apart again." Said, "You'd cut them open, the same amount of calcium, the same amount of moisture, the heart just right, it'd make the same corn meal, and the same corn bread, the same corn flakes, just exactly." Said, "There's only one way you could ever tell them apart; that's bury them. And the one that the machine made rots and never lives again, but the one that God made lives again, because it's got life in it."

E-44 You can take a man that looks like a Christian, acts like a Christian, but if that man hasn't got the Word of God in him, if there isn't a germ of life in there to germitize that, he will never rise in the resurrection. That's right. 'Cause he can't rise; there's nothing in there to raise him up again: a seed.
Now, when you bury a seed, you farmers, you take and go out here and plant your corn, you don't go out every morning and scratch it up, and say, "Let's see now, is it growing? Anything happen to it? No." Put it back down. Late the next day, you say, "I want to see if it's getting along all right." scratch it up again; it'll never grow like that. Well, the thing you do with a seed, you commit it to the ground, cover it up; that's all you can do about it. It's up to God to do the rest of it.
Well, that's the same way it is with the Word of God. If you'll take any Divine promise God made in His Bible, put it in your heart, and water it every day with praises of God, that's going to come to pass, it'll grow, if you don't quit fooling with it, if you'll just leave it alone. Don't say, "Let me see, can I move my finger any better today, do I feel any better, is my headache a little bit better? " Oh, no, it'll never be that, just commit it to God, and walk away, and leave it alone. That's God's seed. It'll grow.

E-45 Sometime ago, I was up at Minneapolis, Minnesota, and I got a scorching letter that morning. And it had been a snow storm that night, and I went back in a little old cheap hotel, and I always try to stay in a place. I don't believe Christians ought to ask for the best that there is in the land. A Christian ought to be humble. I--I think that's--even if you could afford it, I still think you ought to be an example. My Lord didn't even have a place to lay His head. The foxes had dens, and the birds had nests, but He didn't have a place to lay His head. Come to the world, borrowed a manger to be borned in, come through a borrowed womb, went out in a borrowed grave. My, and the God of heaven, and we ought to show some humility too.

E-46 So I went in and there was a twenty-two page letter from a certain dean of a college. Oh, if he didn't rake me over the coals. He said, "Mr. Branham." He wouldn't call me brother. He said, "Mr. Branham, the very idea of you standing before as many people as you do, and then such a rotten theology, I never heard of it in my life." And said, "You was bragging about you being preaching for thirty-one years." Said, "Young fellow, I was preaching before you was borned."
And I thought, "Well, that's--I certainly respect a man's been preaching that long." So then I said, "Well, that's all right."
So he said, "The very idea you said last night that a--that a the servant of God." Said, "I drove fifteen miles through a blinding snow storm to hear a servant of Christ, and what did I find but a polished up soothsayer." Come...
He said, "And you said, 'The devil couldn't heal.'" Said, "A man that would teach to as many people as you teach to, and knowed no more about the Bible than that, and know no more than--than a devil cannot heal." Said, "I give you to understand, that I live in a community here, where there's a woman with a familiar spirit." Said, "They come up to this woman; she got a big apron on, she feels all around over them like this, and they drop some money in this apron." Said, "Then she takes some hairs out of her head, and plucks their veins and put blood on this hair. Walk down to a little stream behind her, and throw it in. The people stands in front of her. She walks up like this, and she's compelled to look back," why said, "then the disease comes back on the people, if it doesn't she cast it off, through her--the blood of the people, and her own hair, in the stream." And said, "We kept record of that." Said, "At least twenty or thirty percent of them people are healed. And then you mean to tell me, that you don't believe a devil can heal."

E-47 Well, I--I just thought, a dean of a college. Well, I thought, "That's too nice a letter, so the first thing I forgot to answer him. And if you ever read one of my letters, I--I'm the only one about can read it." So then, and I--I set down and done the very best I could, and I said, "My precious brother," 'cause he just called me Branham. And I--I said, "My precious brother..." And I meant that, a man had been preaching for fifty years, he deserves something. Now, that--all--although if he's wrong, he deserves something.
I said, "My precious brother." I said, "The first thing I want to say, that I forgive you for what you said, and I pray that God does too. Remember, the Pharisees, that had been preaching lot longer than you had, seen that same thing done, and said it was the power of a devil, a Beelzebub, and Jesus said, 'That when it was done by the Holy Ghost in this last days, to speak one word against it would never be forgiven in this world or the world to come.' Now, for instance, what if I am right? Then your fifty years of preaching means nothing. You've damned your soul to hell forever. You'd never be forgiven for it." I said, "I won't, brother, that through ignorance you did it." Now, I said, "Don't let that hurt your feelings."

E-48 But I said, "Then you were, keep pushing me about me--my theology, saying, 'That a devil could not heal.'" I said, "I'll give you Jesus." [Blank.spot.on.tape--Ed.] You can't make the Scripture, get all bundled up, you got to keep it clear and straight. That's right. I said, "Jesus said, 'Satan cannot heal,' and you said, 'He healed.'" Now, I said, "Now, if you'll pardon me." I said, "I--I will give what, about your witch that you've got in your neighborhood." I said, "If... 'Course those people get healed." Because, I said, "In Africa, I've seen them go to idols and get healed. In Las Alderaines they got a monument there of some dead woman, in a Catholic church. They go there and look at that dead woman, say a 'Hail Mary,' and get healed. Sure, because the people think they're approaching God through that, and God heals on the basis of faith, and wherever faith's met God's got to meet that requirement." That's right.
I said, "There's many people in the country today, call themselves Divine healers." Saying, 'I've got power in my hands. Glory, Hallelujah. Woooo. Feel that.'" And the American people fall for it like I don't know what, like hot cakes to a bum. And they--and they--they think that's right. They're getting healed because they're... That ain't it. Your faith in in the finished work of Jesus Christ. There's where healing lays. Don't you never let anybody tell you they got power to heal. They haven't.

E-49 Jesus Christ has already paid the debt. How could you redeem it again? Give you a clear receipt from the pawn shop, that you was in. You're redeemed by the precious Blood of Jesus. You don't have power to heal. The thing you do is have--you might have a gift to manifest God. You might have a gift to manifest Him through a great preacher, like some of these my brethren, who could far better stand here and do this job than I could, because that's their calling. My calling is something else. But each one of us has a gift to try to tell you that Christ healed you when He died for you. He was wounded for your transgressions, with His stripes you were healed. Something to make you know, if you can't believe the Word, then He sends signs and wonders, and to prove that He is the resurrected Christ. See? Therefore, that's where you get your healing, by believing on Him.

E-50 Now, so then, I said, "But the thing, that I'm worried about Mister, is not that, but that the dean of a Lutheran College would place his doctrine upon a sensation, or on an experience instead of placing it upon the Word of God." Yeah. Oh, you can have any kind of a sensation, but it's got to be the Word of God. That's right. I said, "A dean of a college, been preaching for fifty years, and would base your doctrine (that cut him pretty hard)--base your doctrine upon a--upon some kind of an experience that a woman had, instead of basing it upon the Word of God. God said, 'Satan cannot heal,' and that settles it. When He speaks, it's eternally right."

E-51 Not long after that, I got an invitation to come to his place. Mr. Moore went with me, 'cause I knowed that man was smart. And so, he--after we had dinner out there at that great, famous college, and they had hundreds of acres of corn, where the students could work their way through. That day, after dinner, he pushed his plate back, the dean of the college said to me, said, "Mr. Branham, we come here to ask you some questions."
I said, "I may not be able to answer them, sir." I said, "I'm not a theologian; I'm just a brother, that prays for the sick."
And he said, "Well," he said.
And Mr. Moore, which is a theologian set by me, and he said, "If he gets too wild for you, just touch me on the knee. So with my knee."
So I was setting there, and he said, "Mr. Branham, I see that you--tracing your life back, you're a Baptist."
I said, "I was."
And he said, "What happened, why did you leave the Baptist Church?"
I said, "I never left it; it left me." See? I said, "It left me, when it denied the message that I was preaching in the Bible."
And he said, "A--well, Mr. Branham, there's one thing I'd like to ask you." He said, "Is this." He said, "Now, if you did that, I would like to say one thing, what made you take up with the Pentecostals?"
I said, "They believed the Word."
He said, "What have they got?" Said, "I've been around and seeing them kick over the tables, and knock over the chairs."
And I said, "Oh, sure. That's right."
"Knock out a window, or something like that."
I said, "Sure."
Said, "What is it?"
I said, "Holy Ghost."
And he said, "The Holy Ghost?"
I said, "Sure, if they won't make the wheel roll right, they've got to blow it out the whistle somewhere. They've got a lot of steam." I said, "And that's the truth." If this Pentecostal church would take a lot of it's praises, and put it to work, it would do something for the Kingdom of God. God give you the Holy Ghost. You like to shout by It, and praise by It, but just put that into gifts and wonders and go out on the street and get sinners to come in, and things like that. You're church will grow and everything will go along all right. Don't blow it out the whistle; put it into action, and let--make the wheel roll, the gospel train.

E-52 And he said, "Well, a--what do you think we, Lutherans, has got? Do you think that... We believe that we receive the Holy Ghost, when we believed?"
I said, "Paul would different with you in Acts 19. He said, 'Have you received the Holy Ghost since you believed.' He never said, 'Now, you take that through the Greek, Hebrew, or whatever you wish to, it's since you believed.'"
Now, they believe--our Baptist church taught you to receive the Holy Ghost when you believed, but it's not right. Paul said, "You--have you received the Holy Ghost since you believe." And those people were shouting, why, Aquila and Priscilla had great meetings, and everything was going on, but he said, "Have you received the Holy Ghost since you believed?"
They said, "We know not where there be any Holy Ghost."
When Paul had baptized them over, and laid hands upon them, and the Holy Ghost come on them, they spoke in tongues and prophesied. Then they had the Holy Ghost.

E-53 So he said, "What do you think we, Lutherans, has got?"
I said, "Potentially, I think you're all right." He said... I said, "Let me just give you a little parable, because I don't know just exactly." I said, "Now, what do you do here? You go out and you plow up your field in the springtime. You rake all the stalks out of it, and you plant your corn. The next morning, you go out, and the first thing you know, you say..." There's two little shoots comes up on corn, two little blades. And I say, "You look out and see them little shoots coming, you say, 'Praise the Lord. I got a corn crop.'" I said, "Have you got a corn crop?"
Said, "Well, I don't know what you're talking about."
I said, "Potentially, you have a corn crop." I said, "That was you Lutherans--first reformation. And then the first thing you know, that stalk growed on up, these leaves got big, and the first thing you know, it went into a tassel; that was John Wesley on the second reformation--sanctification: second definite work of grace. Then what did it do?" I said, "The tassel looked back down to the stalk, and to the leaf, and said, 'I have no need of you. We got sanctified; you're just Lutherans.'" I said, "After while, the pollen went forth, and fell down into the leaf of the corn, and come forth, and had a ear, a grain of corn on it." I said, "That was the Pentecostals." I said, "Then the Pentecost looked up and said, 'I have no need of either of you.'" But I said, "After all, the same life that was in the two little, blades made the tassel, and also made the grain." That's right. I said, "We..." See?
Pentecost is a restoration. Pentecost has the Holy Spirit, but a restoration of the gifts. The same Grain, the same Jesus that went into the ground is reproducing Himself, come up through the stalk, and now reproducing Himself in the fullness and the original grains like it went down." Amen.
He said, "What would you call us?"
I said, "The Pentecostal church is an advanced Lutheran church." That's right. Exactly right. It's the advanced Lutheran, and Nazarene, and Pilgrim Holiness, and all. It's just the advanced church. I said, "I'll admit we got a lot of fungus on the ear, but we've got some grains there too." Praise God. It--it's the original.

E-54 God is in His Word, and the Word is a Seed. No matter what happens it's going to grow anyhow. God said it would be there without spot or wrinkle. You believe God's in His Word? God takes His Word; God keeps His Word; God keeps His promise of His Word. What He does, He does it. God's in His universe. Amen? God's in His Word. Believe that?
Now, God in His Son, I got wrote down here. God in His Son. All right. Is God in His Son? The Bible said He was. God was in Christ, reconciling the world to Himself.

E-55 Now, if you oneness, twoness, threeness, fourness, and whatever you are, will just get this in your mind right now, you--you'd shake hands and say we're brothers. Look, God was in Christ reconciling the world to Himself. Jesus was the Son of God that God overshadowed Mary, created in the womb a Blood cell.
Now, you've heard people say, "We were saved by Jewish blood." We could not be saved by Jewish blood. It's just as sinful as any other blood.
"We were saved by the blood of Gentile?" No, sir. We wasn't even saved by human blood. We were saved by the Blood of God, God's Blood. The--the germ of life comes from the blood cell, and the Blood Cell here came from God the Creator, Who created a Blood Cell that brought forth the Son of God.

E-56 When the old worshiper took a lamb, went to the altar to worship, he laid it on there, put his hands on it, and confessed his sins. They cut its throat, broke the blood cell; the lamb died. Now, he went right away with the same condition he did when he come in. His sins were forgiven, but what he went with the same desire: If he'd stole, shot, committed adultery, whatever it was, he went back with the same desire. But if a man ever puts his hands upon the head of the Son of God... Why didn't he go--did he go away like he would if he put his hands on the Son of God? The blood cell from that lamb had animal life in it. And that animal life will not coincide with human life; therefore, when the life comes back, it was animal life to the human life, and it couldn't do nothing for him. But when God's Blood Cell was broke, the Spirit of God living in that cell, returns back in the form of the Holy Ghost; that man is free from sin. The very conscious of sin has been condemned. Amen. I believe that with all my heart.
"The worshiper once purged has no more desire of sin." The Bible says, "Conscious," which really means "desire." A worshiper once put his hands upon the head of Jesus Christ by faith, and feel that quivering flesh like the man did on the lamb, dying, crying, an innocent one, and with all your heart, believing that Son of God died in your place, and when you make that confession the Holy Spirit, from that Blood cell that sanctified you, comes into your life, and you are a new creation in Christ Jesus. The Life of God is in you, and He's adopted you, and you are a Son of God. Amen. Don't get scared. "Amen" means "so be it." That won't hurt you.

E-57 Notice. The Son of God, the Spirit of God, is in the man. So God was in Christ reconciling the world to Himself. God is a Spirit. He had no hands till He become Jesus. He had no feet, arms, legs, and so forth, till He become Jesus. He manifested... No man has seen the Father at any time, but the only Begotten has declared Him. He, God, dwelt in the body of Christ. It ought to be striking. It ought to make man wonder. He could've come down from heaven, right down the corridors of heaven, with a full Angel salute, if He wanted to. He could've been borned a full matured man. He could come down with all the pomp and glory of heaven, but He didn't choose that. He come to a stable, borned over a--a manure pile. And little Jehovah crying in a manger, little Jehovah playing as a boy, little Jehovah toiling as a man, He--He crossed His cast with us. God become human.
When Jesus Christ was borned, God was human in--on earth, manifesting God, what He was. He toiled and labored, and felt for the teen-ager. He--He went through every temptation that we go through. God did it, that He might do His own judgment justice. He--His judgment is got to be justice. If there's no justice, what good does it do to have judgment? And if there's no judgment without penalty, then it's not judgment yet. So he took the penalty of His own judgment, and died as a sinner, to condemn the sin of the world, that we, through His justice, might have reconciliation back to the throne of God in fellowship, like we did in the garden of Eden. If that's not the Gospel, I don't know it. That's exactly right. The precious Son of God. Sure God was in His Son.

E-58 Not calling any different religions, I don't represent any of them; I represent them all. Here some time ago, I was at the Robinson Auditorium in Little Rock. There was an old man that was on crutches; he'd been called out, sold pencils on the corner for years. He was a Nazarene. The next day, he was going down the street holding these old crutches, saying, "My old buddies, I'm through with them." Testifying. That night, I was--got in the pulpit to preach, and he said, "Just a minute, Mr. Branham."
I said, "Yes, sir." He was up in the balcony.
And he said, "You know, when I heard you preach, I was sure you was a Nazarene." And he said, "Because you preach holiness." And he said, "Then I hear somebody tell me you was a Baptist. Nearly all these people are Pentecostals." Said, "I don't understand that."
I said, "Oh dad, that's easy." I said, "I'm a Pentecostal, Nazarene, Baptist." That's--that's it. We are representatives of Jesus Christ, that's the thing, not your denomination, your God.

E-59 Now, this woman belonged to a--a Christian Science church, very fine lady, and she said. 'Course, they do not believe in the--Jesus being Divine. She said, "Mr. Branham, I enjoy your teaching." But said, "The only thing that makes my blood shiver is you trying to make Jesus Divine." Said, "You brag too much on Him."
I said, "I can't brag enough on Him."
She said, "Well, you're always bragging about Him, bragging about Him."
I said, He's--I--if I had ten thousand tongues, I couldn't brag about Him enough." I said, "What He's done for me."
She said, "But you make Him Divine."
I said, "He was Divine. If He wasn't Divine, the whole world's lost." That's exactly right.
She said, "If I... You said, you was a fundamentalist. You just stayed with the Bible."
I said, "That's right."
She said, "If I'll prove to you by the Bible He wasn't Divine, will you accept it?"
I said, "If the Bible said He wasn't, I would." She--I said, "But the Bible doesn't say it."
She said, "Oh, yes it does too."
I said, "Where's it at?"
She said, "All right, in first--in Saint John the 11th chapter, when Jesus was going down to the grave of Lazarus, the Bible said, 'He wept.'" Said, "Mr. Branham, He could not weep and be Divine."
"Why," I said, "lady, your argument is thinner than the broth made out of a shadow of a chicken, that starved to death." I said, "Well, you... Well, that's no Scripture." I said, "Looky here, He was both God and man." I said, "He was a man, when He wept, at the grave of Lazarus, but when He pulled His little shoulders up, and said, 'Lazarus, come forth,' and a man that had been dead four days, stood on his feet, and lived again, that took more than a man. That took Divinity to do that. God was in Christ."

E-60 He was a man coming off the hill that night hungry, looking down along--or that morning, rather, looking for food on that fig tree and found none. He was a man when He was hungry, but when He took five biscuits and two fish and fed five thousand, that was more than a man. That was God living in a man. Sure it was.
He was a man when He was tired, laying on that little old boat out there that night, virtue had gone from Him from visions and things through the day. And the devil swore that night, probably, ten thousand of them of the sea, that they'd drown Him, and there He was in that little old ship, out there, tossed about like a bottle stopper in a storm on a mighty sea. There He was floating about like that, and Him laying in the back of the ship, the waves never even woke Him up, sleeping. So He was tired and weary. He was a man when He was asleep, but when once aroused (Hallelujah. Oh... ), put His foot on the brail of the boat and said, 'Peace be still,' and the winds went to its coves like a baby to its... The winds and the waves obeyed; that took more than a man to do that; that took God. That took inspiration; that took the power of Divinity to do that. God was in His Son. Do you believe that?

E-61 When He had died on the cross, He did cry for mercy; He was a man. He was crying for mercy on the cross, but on Easter morning, when He rose up and broke the seals of death and hell and rose again out of the grave, He was more than a man. It takes more than a man to rise from the grave; it takes God to do that. No wonder the poet said, "Living, He loved me. Dying, He saved me. Buried, He carried my sins far away. Rising, He justified, freely forever. Someday He's coming, oh glorious day." Yes, sir. In Him dwelled the fullness of the Godhead bodily. God was in Christ, reconciling the world to Himself."
You believe God's in His universe? Do you believe God is in His Word? Do you believe God was in His Son? Now, the next thing I got here is God in His people.

E-62 Now, we'll see if we can bring Him to His people. God is a Spirit, and He's always used man to manifest Himself on earth. He did it in His Son. He was God was in David. Did you know that? God was in His people.
David, when he was rejected king, went up to the top of the hill, looked back weeping as a rejected king. Five hundred years later, the son of David set on the same hill as a rejected King and wept over Jerusalem. That right?
Joseph had Christ in him, when he was born a spiritual brother. His other brothers hated him. Watch that church today. The other brothers hated him without a cause. He was loved of his father, hated by his brethren. Now, they hated him without a cause. He couldn't help because he was born to see visions and interpret dreams. But they hated him. They do it today, the same thing.

E-63 The devil takes his man, but never his spirit. God takes His man, but never his Spirit. The Spirit that was upon Elijah come up on Elisha, and from Elisha to John the Baptist, and predicted to come again in the last days. See? God took the Spirit out of His Son, sent It back to the church. God takes His man but never his Spirit. The devil takes his man, but never his spirit.
Those two spirits have warred against one another in human flesh, since the beginning of time. That's right, and they'll war on to the end. If you'd just study the Scriptures and watch the way it works, you'll not be lost, if you'll accept Him as your Saviour, and as your Guide to guide you through the Scriptures under--while we're sailing over life's solemn main in your little bark. Let Him come in with you and pilot your ship.

E-64 Now, we find God was in Moses. God was in Elijah. There was Elijah, a man laying back out in the--the cave out there. The Shunammite woman that he had blessed, and she had a baby, and the baby died, and Elijah come on the scene. Elijah was a man of God. When he come in, the baby was laying on his bed. First, Elijah knew that he was a man of God. He didn't brag about it, and pop off about it, but he knew he was a man of God. So he had had've walked on this old stick, and he said, told to Gehazi, "Take that stick and go lay it on the baby." He knew that everything he touched was blessed, because God was in him, if he'd get the woman to believe the same thing...
That's the way the woman touched border of the--of Jesus' garment. Because she knowed He was a godly Man, that God dwelt in His people. And she knew if God was in Elijah, surely He was in Jesus. She knew that...
If we pentecostal people could respect one another like that, knowing that we'd never talk about one another, we'd be brothers, we'd be sisters, there'd never be no disgrace amongst us, if we could recognize one another what we are as sons and daughters of God, and God dwells in His church, in His people. Certainly it is. God's in His people. You believe that?

E-65 Look at this prophet. The woman didn't believe in the staff. I think that's where Paul got the handkerchiefs taken from his body. 'Cause I believe Paul wouldn't preach nothing but what was in the Word, so he sent the handkerchiefs to the people. God was in Paul, and the people took handkerchiefs from Paul's body, laid them on their body, and devils went out of them, and diseases was healed. God was in a man. You believe that? Paul.
God was in Elijah, called on the scene of a dead baby. He didn't know what to do. The baby was dead. So he just walked back and forth up-and-down on the floor (Oh, I like that.), waiting for the Holy Spirit to come, walking to and fro in the room. And after while, he begin to feel the Spirit coming on him. I believe he picked up a little bit, you know, walking a little faster. Oh, he felt the Spirit, laid hisself on the baby, and the baby sneezed seven times and come to life: God in His people.
What could bring life back from death, but God. Amen. Whew. I feel real religious right now. Oh, my, you think a Baptist don't shout, I sure do. Oh, God in His people.

E-66 There was an old fisherman, didn't have... Today we watch for the intellectual, the big guy that's went through college and knows all the degrees, and got the D.D.D. and Ph.D.'s, and all kinds of D.D.'s. And so then, the first thing you know, he gets up there, you know, and he knows all about it. We think that's the guy. But God got a little old fisherman, one time, under His control. He couldn't even sign his own name, illiterate, unlearned, and the people seen God working in that man, until they actually laid in the shadow of that fisherman and was healed, everyone His shadow passed over.
God's in His people. Do you believe that? God is in His universe. Do you believe that? God is in His Word. Do you believe that? God is in His Son. Do you believe that? God is in His people. Do you believe that?

E-67 Look, last night, when we was talking about, "The Works That I Do, Shall You Also," we took the works that He did, and showed what it was. He promised He would be here. You say, "But God lived in another age."
God lives forever. God's eternal. God can't die. God... They killed the body, Jesus, but God raised it up again, and He's alive forevermore. His Spirit lives in the church today. His Spirit is here now. His Spirit's among His people. He proves Hisself, not by some thing... He could prove Hisself alive by this. He could prove Hisself alive by the sunset. He could prove Hisself alive by His Word. He could prove Hisself alive by His Spirit that's in the building now by men and women who'll commit themselves to Him. Amen. You commit yourself to Him, say, "What happens, Brother Branham, when you see those visions?"
It's nothing in the world, but just having a gift to know how to relax myself, get William Branham off to the side. That's the biggest enemy I got is William Branham. He's always in my way. He's always in God's way, I'll say. He's always gets in God's way: He's too tired; he don't want to do this; he don't want to do that. If I can just crucify that guy, God can use it. God can use this body, use this microphone. It's a mute till I speak in it, or somebody speaks in it, but it can't speak itself. How could a man see a vision? How could a man heal a sick person? How could laying on of hands bring a dead baby to life or so forth? How can it ever do? It's not man; it's God in that man, just the same as God in a sunset. God's everywhere.

E-68 We want to be borned of His Spirit, and recognize, and watch for Him. He's so close to you. He's not only close to you, you borned again people, He's already in you trying to will His... And the devil standing there saying, "Don't believe it; don't believe it; don't believe it, this, that. It--it ain't for you; it's up for another day."
Oh, say, "Get thee behind me, Satan. It is written, 'The works that I do shall you also.'" That's what Jesus defeated Satan; He never used His power. He was God manifested in flesh, but He didn't use His power. All the gifts that there was in heaven, He had them in Him, but He didn't use that. He just took the Father's Word. He said, "It's written, thou shall worship the Lord thy God. It is written. It is written. It is written. It is written." And He defeated Satan. And the Word of God will defeat Satan anywhere on any grounds under any conditions: God's holy Word.

E-69 God lives in His universe. God lives in His Word. God lives in His Son. God lives in His people. He's God everywhere. If you just let Him in now, you'll see God live again this afternoon among us. Let us bow our heads.
For the Word of God is sharper, more powerful, than any two-edged sword, piercing to the sunder, and the morrow of the bone, a discerner of the thoughts and the intents of the heart. The Word of God comes into a human being and discerns the thought. Jesus perceived their thought. If that's right, say, "Amen." What was He? "In the beginning was the Word; the Word was with God; and the Word was God. And the Word was made flesh." And He said, "You condemn Me because I call Myself the Son of God, and it's written in your laws that ye are gods."

E-70 Man was made to be a god. His domain is the earth. The whole earth's awaiting now for the manifestation of the sons of God to be made manifest. Look how far behind we are. But remember, the prophets... He said, "If you call them gods, who the Word of God came to..." What was a prophet? A Divine interpreter of the Word, had the Divine interpretation. The signs of Him foretelling, and foreknowing, that was a vindicate to the people that he was a prophet.
That's what the Jew said, "Let us see Him take this Bible. It says, 'That Jesus was the Christ and died and rose again, the things that I did so will you.' Let us see Him do the sign of the prophet; we'll believe that that's the Spirit." That was the Messiah, and He's working in His man again. It's His prophet. See? He working in that. How can it be done only by God. God is the only One that can do that. Do you want to be remembered in prayer? Raise up your hands, say, "God, be merciful to me. I now want to believe with all my heart on the Lord Jesus. I know that I'm a creature that's--that's eternity bound."
There was one time when you wasn't nothing, nowhere, but there never will be a time but what you'll be something or somewhere. If you're a sinner, make your decision this afternoon. Christ is here to help you, to save you. Would you... I'm not much on persuading people at an altar. I think if the Word of God don't do it... Jesus said this remark, don't let it hurt you, "All that the Father has given Me, will come to Me. But no man can come, except My Father draws him first." We just cast forth the net.

E-71 Are you a sinner--would you like to just raise up your hands? I'm not calling you to the altar, just say, "Brother Branham, I'm a sinner. I'll raise my hands to God. God make me real, that I can see You like the old fisherman. I want to see You all over Your universe, in Your Word; I want to see You." Raise up your hands, say, "Pray for me, brother." God bless you. Someone else, raise your hand. God bless you. God bless you back in the back. God bless you.
What about the all--up in the balcony to my right, would there be some up there, with your heads bowed and your hearts too, that doesn't know the Lord Jesus, say, "Brother Branham, remember me in your prayer as you pray." All Christians on that side, I leave it with you now.

E-72 Now remember, what a Christian is. If you love the world or the things of the world, it's because of the love of God is not in you. We can't take this lightly. It's reality; it's real birth, real pass from death to Life.
Balcony to my left, would there be some there raise your hands, say, "I'm not a Christian, Brother Branham, I wish you'd remember me in prayer. I'm not holding my hand to you as a preacher; I'm holding my hand to God. Let Him be merciful to me." Is there any? All right.
Down on the bottom floor again, let's go through here. Is there another, so I'll be sure to know that I'm praying. I believe God hears my prayer. He told me, "If you'll be sincere, get the people to believe you, nothing will stand before your prayer."
I said, "They won't believe me because I'm uneducated."
He said, "As Moses was given two signs to a vindicate that he was sent down for deliverance, so are you given two signs."
Raise your hands, say, "I'd like to be remembered in prayer, Brother Branham." If there's another one on the floor that has not raised their hand... All right.

E-73 Our heavenly Father, I commit them to Thee. There is hands, this afternoon, that went up. Two on the bottom floor, that I noticed. Now, Lord, I pray that You'll touch those people at this hour. The people feel that they are satisfied that You're with them. And I thank You for that.
Now, Father, if there's one shadow of doubt, may they not stand under that, may they be absolutely sure, because that morning it's going to be a terrible morning. The fog will be heavy at the river. I want to be sure that my ticket's right, and everything's made right now, for that hour. I might not have a chance; I won't have a chance. There'll be no mercy then. The Blood will be off of the mercy seat; it'll be a judgment seat, and I'll be asked to give an answer.

E-74 God, grant that these precious souls, that You touched their hearts. I pray that You'll save them right now. Let them know this, that You said in Your Word, "No man can come to Me except My Father draws him."
And they raised their hand showing that there was a Spirit that told them to raise their hand. They raise their hands towards heaven to the Creator of heavens and earth.
Father God, I ask that You put their name on the Book of Life. May the Blood of Jesus write it across their sinful book, "Pardoned." Throw it in the sea of forgetfulness, remember it against them no more. And may their names be wrote new in the Lamb's Book of Life, that at that day, the Blood--the Book will be sprinkled with the Blood of the Lord Jesus, so there'll be no sin against them. Grant it, Father. I commit them to Thee.

E-75 If I don't get to shake their hands in this life, may I have that privilege that day when them tens of thousands stands there. May I hear them scream out, "Brother Branham, I was the one that raised my hand at Yakima that afternoon." They'll be so happy. The vision You showed the other night of how happy they were, that had passed from this life to the other.
Now, Father, I pray that You'll bless them. And now this afternoon, as we call the prayer line, may You manifest Yourself and confirm the Word, and be God in His people to us today, as we see God in His universe, God in His Son, God in His Word, God in His people. Grant it, Father, we ask in Jesus' Name. Amen.

E-76 To you dear people, I was thinking... I took that watch off. That's three straight watches; I take a hold of somebody's arm with that--for that--the watch stops, fail the--I--don't tell me why... The jeweler right here in the city, just fixed it. He's trying to. And the stem come out, the face fell off, the hands... It's a three hundred dollar Vulcain Cricket that was give me in Switzerland with the alarm on it. See? And I had a brand new one here in California that was given. I put my hand on a person like that to pray for... Did anybody ever see that? Was present when that was done? Raise up your hands, if you have been. When that taken place. And that thing stopped, come apart, I've never been able to use it to this day. Three straight watches. I took it off so I'd be sure.

E-77 Now, we're going to... What was it we was called last night? We had prayer cards A, A. Would you give out... There's a hundred out all together. We called from one to fifty, I believe, last night. Then it got so no one would come up.
Now look, I know it's startling. Yes, sir. It's great. If you come here with unconfessed sin, you'd better make it right 'fore you come (See?), because It'll certainly call it right out. But this afternoon, I'm just going to take some of them prayer cards and pray for them. And then, just pray for the people that's got the prayer cards.

E-78 Let's begin, this afternoon, somewhere else in there. So we get a couple along here, maybe, for discernment or something. Let's start somewhere else along in that hundred. Let's see, we got up to around somewhere last night fifteen or twenty or something like that, and they got so they didn't come, and then I just... Let's start, say, 51. Is that card here? 51, who has prayer card 51? Raise up your hand. A woman, all right, that's good to start with. Come right here, lady.
52, who has prayer card 52? We'll get them all, but we just... All right.

E-79 My son tells me that they can't hear in the building. Is that right? Can you hear me up in the balcony? Can't hear? Can you hear me over there? Well, bless your hearts, setting here all afternoon and can't even hear. Can't hear one thing in the balcony. Can't--can you hear in the back? Hear back there, but can't hear up in the balconies. Why, bless your loyal hearts. May God, my Saviour, grant to you your request, each one of you, this afternoon. Can you hear that? God grant your request, whatever it is, if you set there all this time, and me speaking, and couldn't hear a thing. May God in some other way reveal it to you, that I'm telling you the truth.
All right, we'll call the prayer line now. I'll have to say it out loud like this, because of the people up there may have prayer cards. I'm calling from prayer card... Where was I? What was... Fifty... Prayer card 52? All right, prayer card 52, who has it? 53? You come right here, lady. Fif... [Blank.spot.on.tape--Ed.]

E-80 "Lord Jesus, would You heal me?"
He'd say, "Child, I've already done that."
"Well, You've already done it? Now, wait a minute; that's a little diff--I heard You was a Healer."
"I am a Healer," He'd say.
"Well--well, why don't You heal me?"
"Why child, I've already done it. I paid the price of your healing back there. I can never, never in My days when I was on earth, neither can I now at any time, ever do anything for anybody except they have faith to believe it first." How many knows that? That's the basis. Got to be faith. All right.
Now, they'd say, "Well, how do I know You're the Lord Jesus? Would you do something?"
"Why, yes, I'll hold up My hand. I'll preach a little while."
But see, say, "Lord, let me know that It's You."
He would have to do something like He did when He was here on earth (Is that right?), do something to make you know. Then what was the sign we found last night, that He made them people know that He was the Messiah? How did He do it? He give them a Messiah sign to show that He was the Prophet that Moses spoke of: He knowed the secret of their hearts. How many knows that? How many witnesses that the Bible says that, "That the Lord, your God, shall raise a Prophet like me."? And Jesus perceived their thoughts, knowed the secrets of their hearts, spoke it out to them. And in that, He manifested Himself to be the Son of God.

E-81 Now, if God is in His people, that same Life that was in Jesus, is here in the church. And it's in you people that... That woman pressing through the prayer line, she didn't have a prayer card as we would say it. But she stayed back out in the audience; she touched the border of His garment.
Now, Jesus today, is a High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities. Is that right? Now, how would you know you touched Him. He'd act the same way He did when He was here.
Now, most time, you people that's crippled and so forth, you'd think, "I'm just a past hope." Get that out of your mind. No more for God--for you to receive faith than it is for them to receive faith. Your healing is just as positive as theirs would be, if you... Your healing is just as positive if you'll have the faith.

E-82 Now, which is the... Where do we begin? Right here with this lady? All right. Come here.
Now, American people... Now, we realize with fifty people, I--they'd pack me off the platform after ten or fifteen had passed by for visions. Why, I couldn't stand it. How many understands that? Jesus with one vision, virtue went from Him. And now, what would one vision do to me?
Now, here's a woman crippled in a wheelchair. I'll say, "That woman's crippled." Anybody knows that. But here's a woman looks healthy. Now, the miracle is, what's wrong with her? She looks fine and healthy, Now, if anybody's got a doubt of this, and think that you have a better way, why, here's the microphone. You come right on up here. You--you're just welcome to come. You that don't--don't believe, you walk up here and do the same thing.

E-83 You say, "Well, Jesus said, 'The works that I do, shall you also, greater.'"
"Well," you said, "He said, 'Greater.'"
Well, let's see you first do the works that He did, then do the greater. You do the first works He did. That's it; then--then you'll do the greater. See? Let's see you do the first things He did. "The works that I do shall he also." Then greater, if you'll take the translation, it says, "More than this shall he do." 'Cause he couldn't do any greater, 'cause He--He did about everything could be done. But now, if this woman... Now, I'm just going to pray for the rest of the people down the line. But the people might know that the Holy Spirit is here. Now I'm just going to see if God will give us the vision for this woman.

E-84 Now, when He told me these two signs will vindicate that you were sent to do this. Moses had two signs; He said. Moses went down there and performed the sign one time before Israel, and everyone believed Him and marched forty years. Is that right? Surely, if we're the sons of Abraham, in heart, we should have that much faith.
Now, let's believe. Now, lady, the first place, I suppose we're strangers to one another. If we are strangers to one another, would you just raise up your hand so the people will see? Now, you see, here we are, not back in some dark corner like a devil, right out here, like our Lord stood, like the woman at the well. Don't never be afraid of Christianity. Hang your soul on any promise; it's good. Christ died to make it good.
Now, I would in no wise say that, if I didn't feel His Presence here, like the eagle felt his wings. See?

E-85 Now, the woman since she's been standing here has become conscious that she's in the Presence of something besides a man. Is that right, lady? If that's right, raise your hand. See? Standing right over this woman... If you--your eyes are spiritual, surely you can see it. Don't you see that Light hanging right here, right over the woman? It's kind of a emerald. How many's seen the picture of it? It's here in the meeting. They got it. Hanging in Washington, D. C. The only supernatural Being was ever--ever photographed to be proved scientifically. Here it is. I'm looking right at it. It's hanging over the woman, 'cause she's a believer. She's my sister. The Spirit's witnessing back and forth.
Now, the only thing I have to do is just catch something from her. Then what would happen? It would tell her something. She's either standing here for domestic trouble, financial trouble, sickness, or somebody else, or something. I don't know. I never seen her in my life.
Now, if the Holy Spirit will reveal to the woman something to... Now, if I said, "Yes, Jesus Christ is here. I feel His Presence."
She does too. Now, watch how it is. It's a real sweet, humble, meek feeling. Is that right, lady? If it is, wave your hand back and forth to the audience. See? I'm watching the Light right over her. Now, for myself, I know I'm talking to an audience, but actually my intellectual, seemingly, is in another world, in a dimension, another world.
The lady has got trouble; it's on her chest. It's a growths. It's cancerous growths. She's had some operation or something for it. And it's--it's coming back, growths on her chest, that will finally kill the woman. She's shadowed with death. If that's right, lady, wave your hand. Now, do you believe? Now, being that you might know, watch devil power work, this woman actually on this here, while I'm still in the spirit... It's a tumorous sort of a thing. Is that right? Right here sets another person--woman setting right here with a tumor. Is that right, lady? If it is raise up your hand. But besides that you've got diabetes also. That's... Raise up your hand. See? That spirit of darkness pulling across here. Them two demons trying to catch one another, calling for help. But the power of God now, above every doubt in here has ride over the...?... See?

E-86 Now, do you believe? Is God in His people? You say, "God's in you, Brother Branham?" Not only me, It's in her, and in her too. See? Here's the Holy Spirit here, which is infallible. There's a power of death in both of them and them two deaths are trying to cooperate together while the power of God's revealing it, opening it up and showing that He loves them women. He wants them to be healed. Do you believe it?
Now, please, please don't move around. Now, you can provoke the very channel of it. You see? Don't do that, please, please. You know these things will go from one to another? Be real reverent...?...
Lady, if God would tell me who you are, would it give you a lot of faith to believe? You name is Mrs. Moore. Go on your road, both of you; it left both of you right then; you're healed. Go on your road and be well. Let's say, "Praise the Lord." Does that gift work?

E-87 Now, how many remembers when I was here when I put my hand on somebody, and you'd see the--the like the vibration on it? Now, if this woman has got a germ disease, it'll work. If it isn't a germ disease, it won't work, 'cause would have to be seen by a vision. I don't know. You're the next patient? I'm not beside myself, but it's just sometimes I...
Come here just a minute, young lady. Let me have your hand just a moment. This hand right here. Correctly, it is a germ disease. Yes, sir. She's got an infection. Now, it's a lady's trouble, female trouble. That's right. If that's right, raise your hand. That's exactly right. See? She's got a infection. That's a germ. Here it is on my hand. I want to show you something, young lady. Look here. Look at my hand. See those little white things bouncing over my hand there, kindy swollen, dark-red looking? Now, take your hand off of mine. Now it's not there now. Now, put this hand over here on it. It's not there now. It's not there now. Now, put this hand here on it. There it is.
Now, you're just as much human in that hand as you are in this hand. And I'm just as much human as you would be human. It won't work here; it won't there, because God told me, in the vision, so that the people would know it's truth, take the person--let them... See? When you put your right hand to me, you're pledging that you believe me. He said, "If you get the people to believe you, and then be sincere, nothing shall stand before the prayer."

E-88 Did you ever read the book? How many's read that in the books, for years and years. Now, see, then I'll give you my left hand because you're just my sister. My right one goes to God. I believe His promise that He told me that. See? Then you say, "I do believe." Why? Because it wouldn't be the sensation on my hand so much, as telling you what's wrong. Then you believe me, don't you? Then I raise my hand to God; I believe you, God. I put my hand on her, I... You... "I believe you, Brother Branham." There it is. See? That makes it.
Now, put your hand on here. Now, I want you to notice, young lady, that it isn't the way I hold my hand, or any... Well, the thing of it is, how would I know what it was? If it wasn't for that. But you see there is a sensation on my hand there, don't you? A little white things running around over my hand... Now, just as soon as you move your hand, it leaves. And it won't come by this other hand. Now, I put it on here, there it is again.

E-89 Now, look, lady. I want you to watch that real close. If that goes away, you're healed. But now remember, I will not be able to keep it away, because when the unclean spirit's gone out of a person, walks in dry places, returns back with seven other devils. All right. If God can come here and show you something, visibly, and you know beyond a shadow of a doubt that something taken place, and there's Somebody here that knows you (Is that right?) in the spirit. Something discerned a disease that you have.
Now, if that leaves, are you going to believe that it's going to stay away? All right. You women all bow your head just a minute. I want you to watch my hand. Now, first I'm going to pray. Just check your faith, and I'll show you that I won't use--lose my hand.

E-90 Our heavenly Father, I pray for this girl, that You'll remove this affliction from her body. You're God, my arm lays here by the side of Your Bible. You promised to heal the sick; that's Your Word. We believe You with all that's in our heart.
Now, let the thing leave her, Father. I pray through Jesus' Name.
Now, before I raise my head, the thing has not left. Is that right, lady? Say--say, "Yes or no." It's still on there, isn't it? Yes, still moving. See? Just prayer alone, won't do it. It's got to take faith. See what I mean now?
Now, watch. There it is again. Now, do you believe that the Bible said, "In My Name they shall cast out devils?"
Now, you have to watch what you're doing about that. You have to watch, because remember, Moses smote a rock when he wasn't supposed to. Elijah cursed forty-two little children, and bears killed them before they got back, because they said he was bald-headed, teasing him about it. It wasn't the will of God to do that. That don't sound like the Holy Spirit: a angered prophet.

E-91 Now, I want you to watch...?... girlie. You watch my hand. You be honest. See? Now, if that hand turns back like this, it's gone without me moving. Now, bow your heads everywhere, 'cause you've got to make it go now. If you make it go, it's angered, and we know it will go from one to another.

E-92 Satan, an Angel of God came fourteen years ago to a Green's Mill, one night, and told me, as a local minister, that I was sent to pray for the sick, and this is what was told. You're aware of that; you're exposed. You can have unbelief in the people. You can make people doubt, but you can't make Christ do anything, because He has stripped you of every legal right you ever had. When He died at Calvary, He paid the debt of all of our sin and unbelief. God has given His servants power to cast you out. I use His Name. I come in the Name of Jesus Christ. I challenge you in this duel of faith, leave the girl, come out of her in the Name of Jesus Christ.
Now, before I raise my head, open my eyes, the things is gone. Is that right? Now, open your eyes. Something happened, hasn't it? You even feel different, don't you? Now, look here. There it is. Now wait, I'll take my hand off of you. Now, put this hand on. Just like you did awhile ago. See how it looks? Now, put this hand on just like you did awhile ago. See how it looks? Something happened, didn't it? You're healed. That's what it is. Go on your road rejoicing, saying, "Thank You."

E-93 Now, let's see this man's hand just a minute. He has a little of prostate which makes him nervous to get up or something. But that's right. You get up at nighttime. But that's not really what you want, because I feel your spirit moving something else. All right. You think you'd ever be crippled? You think that arthritis would ever cripple you or anything? You believe God's going to make you well now? Amen. He has done it. Walk over, go home, and rejoice, and shouting, and saying, "Praise the Lord."
Let's see you, sir. Come here a minute. Let me have your hand. Yes, sir. Stomach trouble, you believe God will heal that? In the Name of Jesus Christ may the devil leave this boy. Go out of him in Jesus' Name. Amen. Go, believing.

E-94 All right. Come. For the baby? Now, let's see it's little hand. Just a minute. How he doing, little boy. Hello dere, fellow. Yes, sir. No, it isn't. It's no infection. Just a minute. Now, do you believe if God can tell me what's wrong with the baby, that God will heal it? Will you accept Jesus as the Healer of that baby? It's heart trouble. It's a bad heart. Doctors don't even know what to do about it. That's right. But God does know what to do about it.
Satan, leave the child in the Name of Jesus, I condemn the devil and ask for its healing. Amen. Take it now. Believe with all your heart, it'll get well.

E-95 Come. How do you, honey? You believe Jesus? Let's see his little hand. Now, yeah. Think the kidney trouble will leave, and you'll get all right, and be well? You believe with all your heart that Christ will heal it?
Lord Jesus, I condemn the devil that's harmed this child. May it leave in Jesus Christ's Name. Amen. Have faith, believe now. Don't doubt. Go, believing, and if you believe with all your heart, it'll take place.
Now, let's see your hand. Asthmatic condition, but do you believe that God could heal that and make it well? Will you accept Him as your Healer? I condemn the devil that's harmed our sister. In the Name of Jesus Christ leave the woman. Go, believing now. Don't doubt, but believe with all your heart.

E-96 How many out there, that doesn't have prayer cards, will believe? How many of you will actually say, "I believe." Have faith, don't doubt. You believe that arthritis will leave you, the man setting there looking at me, right back here, the elderly like man? If you believe with all your heart, God will heal you.
Here sets a man, right here, with a rupture. Do you believe God will heal you, sir, setting right there with the rupture, praying? You what's kindy bald-headed here in front, with the string tie. Yes, sir. Stand up on your feet and accept your healing then. Have you got a prayer card? No, sir. Your wife's got one. Well, if your wife's got one, you haven't got one then. You can go home with her, and be healed, if she's healed in the line. Amen. If you'll believe with all your heart. I challenge you to believe it to be the truth.
You believe it, everyone of you? Then have faith in God.

E-97 Something happened somewhere. Wasn't this person. You believe God will heal you? Lord, in the Name of Jesus heal the woman. Amen. Now, go believe with all your heart. If you can believe this, and don't doubt it, it'll take place.
Come, sister. Now, you know I know what's wrong with you. But, if I--if I don't tell you, you'd believe anyhow. Won't you? Yes, sir. But I'll just tell you, your nervousness is gone from you. You can go home and be well. So just don't doubt...?...
When you was setting there, the heart trouble left, so just keep on walking. Praise the Jesus.
Now, if I don't say one thing to you, will you accept it and believe it's all right? All right, your back trouble's gone; just go on home and be well. And have--have faith in God, believe with all--all of your heart. Lord Jesus, I pray that You'll heal the woman in Jesus' Name.

E-98 Come now, believing with all your heart. In the Name of Jesus, may our brother be healed.
Now see, they're getting healed just the same. Do you believe it?
Come sister, in the Name of Jesus Christ, may our sister be healed. Have faith. Don't doubt.
We see the poor brother's crippled up. Do you believe that God will heal you, sir? In the Name of Jesus Christ, may our brother be healed. Don't doubt. Go, believing now, you'll get well.
Come sir, in the Name of Jesus Christ, I lay my hands upon you, brother, and the Bible said, "These signs will follow them that believe." in Jesus' Name, be healed.

E-99 You believe, sister? In the Name of Jesus Christ, may they be healed. Amen.
I'm not looking for visions because I'm getting so weak now, and I just feel my legs trembling under me.
In the Name of Jesus Christ, may they be healed. You believe it now, don't you?
Going to believe? In the Name of Jesus Christ, may they be healed. Amen.
Come, little lady. You going to believe? In the Name of Jesus Christ may sister be healed. In the Name of Jesus Christ may our sister be healed.
Come, brother. You're going to believe this now, are you? In the Name of Jesus Christ may our brother be healed.
Come, sister. 'Course you know what... In the Name of Jesus Christ, may our sister be healed.
In the Name of Jesus Christ, may our sister be healed.
In the Name of Jesus Christ, may our sister be healed.
In the Name of Jesus Christ, may our sister be healed.
In the Name of Jesus Christ, may our brother be healed. God bless you, brother.
In the Name of Jesus Christ, may you be healed.
Come, sister. In the Name of Jesus Christ, may she be healed.
In the Name of Jesus Christ, may she be healed.
Come, brother, believe now and it'll leave you. In the Name of Jesus Christ, may my brother be healed.
In the Name of Jesus Christ may my brother be healed.
Come, brother, in the Name of Jesus Christ may my brother be healed.

E-100 Are you doubting? Are you--are you--are you doubting with all your heart, or are you believing with all your heart? You believe? Now, I--I never used the discernment. I knew what was wrong with the people. You're aware of that, don't you? Here. Is this--I still got the patient in my hand. Look here, sir, I just said, "God bless you." That's all I said, you go on through. Is that right? You believe you're healed, any now? All right. You had cancer. That was on the pelvis bone. Your name's Mr. Peterson. Go home, and be healed. See, see? That's it. Just believe it.
Setting right there with eczema. You believe God will heal you, make you well? Do you have a prayer card? You don't. You believe that God will make you well any how? All right. Receive your healing. Jesus Christ make you well. Amen.

E-101 You believe with all your heart, each one of you? How many believes that God is in His universe? God is in His Word? God is in His Son? God is in His people?
Now, how many feel that you got God in your heart? Raise your hand. All right. Now, put your hands on one another, and be praying for one another, while I go down and pray for these people in the wheelchair.
Brother Roy, lead them in prayer while your... Put your hands on one another. Just put your hands on one another. Believe with all your heart.
Lord Jesus, come now. You're here with the people. God's in His people. May they be healed every one of them. While we're being in prayer. Keep your hands on one another. Keep praying. God is in His people. Believe it, while I pray for these...

Up