Jéhovah-Jiré 3 (Abraham)
1 Restons debout juste un instant. J’ai regretté d’être un peu en retard ce soir, mais j’étais là-bas dans la salle des urgences, où on m’a un peu retenu. Avant donc de nous asseoir, j’aimerais lire une Ecriture qui se trouve ici dans Genèse, pour terminer le sujet que j’ai commencé hier soir. Dans Genèse 22, à partir du verset 7, nous lisons cela–ceci:
Alors Isaac, parlant à Abraham, son père, dit: Mon père! Et il répondit: Me voici, mon fils! Isaac reprit: Voici le feu et le bois; mais où est l’agneau pour l’holocauste?
Abraham répondit: Mon fils, Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau pour l’holocauste. Et ils marchèrent tous deux ensemble.
Et le verset 14 aussi:
Abraham donna à ce lieu le nom de Jehova Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui: A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.
Maintenant, inclinons la tête juste un instant pendant que nous nous approchons de l’Auteur de cette Parole dans la prière.
2 Très Gracieux Père, nous sommes heureux ce soir que le Dieu d’Abraham soit notre Dieu, que nous soyons Ses enfants selon la promesse par Jésus-Christ. Alors, comme Il est exactement le même, ce soir envers Ses enfants, qu’Il l’était envers le père Abraham... Car, ce qu’Il a été envers Abraham, les bénédictions n’ont pas été seulement promises à Abraham, mais aussi à ses enfants après lui. Et lorsque cette Grande et Puissante Personne est venue, ce Puissant Enfant, le Seigneur Jésus, Il a été offert pour le péché, pour nos péchés, afin que nous puissions, par Sa justice, devenir les enfants d’Abraham, c’est-à-dire les enfants de Dieu selon la promesse.
Maintenant, Père, nous Te prions ce soir de nous donner la foi qu’Abraham avait. Et alors que nous parlons de la Parole, que le Saint-Esprit confirme tout ce que Tu as écrit. Et lorsque nous partirons d’ici ce soir pour retourner à nos domiciles respectifs, après que cette ligne de prière sera terminée, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Nos coeurs ne brûlaient-ils pas au-dedans de nous, lorsqu’Il nous parlait en chemin?» Qu’Il fasse ce soir les choses qu’Il avait faites avant Sa crucifixion, afin que ceux qui sont sur ce chemin d’Emmaüs sachent ce soir qu’Il est ressuscité des morts, et en toute hâte nous irons dire aux autres: «Certainement le Seigneur est ressuscité des morts, et Il nous est apparu ici à Yakima.» Nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
3 Il y a beaucoup de gens qui déposent des mouchoirs ici au-dessus. Chaque soir j’offre effectivement une prière pour chacun d’eux. Je me souviens qu’en Afrique du Sud, un des livres, je pense qu’il a été écrit par l’aumônier Julian Stadsklev. Il a écrit le livre intitulé, je crois: Un prophète visite l’Afrique. Et les gens avaient déposé plusieurs grands sacs en toile sur l’estrade, remplis de courriers. Et le rédacteur en chef du journal Le Reporter a dit: «Frère Branham est très superstitieux.» Il a dit: «Il priait sur un linge.» Il–il n’en avait jamais entendu parler. Vous voyez? Et, évidemment, cela fait partie de l’Evangile. C’est quelque chose que Dieu a promis et qu’Il a béni. Et nous avons une–une chaîne de prières autour du monde pour ces linges. Il y a des gens qui se lèvent à minuit, d’autres à trois heures du matin, et nous voyageons tous et prions selon l’heure de l’Est. Nous envoyons à travers le monde ces linges qui viennent du Tabernacle. Les gens se lèvent et prient pour les autres, pas pour eux-mêmes, pour les autres, et d’autres prient pour eux, comme nous le faisons ici la nuit. Et, je vous assure, vous devriez entendre les témoignages qui viennent, à propos des grandes choses que le Seigneur a faites.
4 Pendant que je parlais simplement dans la salle des urgences hier soir... Il y avait une petite femme allemande; qui avait envoyé une demande récemment, et elle a reçu un tissu sur lequel on a prié, le–le petit morceau de ruban. J’avais l’habitude d’envoyer un mouchoir. Mais quand les gens sont devenus très nombreux, je ne pouvais plus faire cela; alors je me procure simplement des centaines de mètres de rubans, je m’assois et je prie sur cela, puis j’envoie cela aux malades et aux affligés. Et juste... Une petite femme allemande avait reçu les instructions, et on lui a interprété cela, c’était en allemand, qu’il faut d’abord appeler votre pasteur. Et si votre pasteur ne peut pas venir, appelez un bon chrétien de votre entourage, ou un membre de votre famille; confessez tous vos torts, si vous en avez. Faites la prière. Prenez ce petit morceau de linge et épinglez-le à votre sous-vêtement. Posez vos mains là-dessus et dites à Dieu que vous Le servirez le reste de votre vie, s’Il vous accorde d’être guéri. Et ensuite, après avoir fait cela, alors à chacune des heures où on offrait le sacrifice dans l’ancien temps, à neuf heures, à midi, à quinze heures, d’après l’heure de l’Est, c’est à ce moment-là que je prie, au même moment, et nous surveillons l’horloge; et c’est comme ça à travers le monde. Et on... Il est impossible que Dieu ne réponde pas à cela. Dans le monde entier, à la même minute. Ce sont des prières, des centaines et des centaines de gens élèvent la voix au même moment.
Et cette petite femme allemande a mis cela sur elle, puis elle a appelé ses voisins, son pasteur; elle souffrait de l’arthrite depuis vingt ans et quelques, et elle était clouée dans un fauteuil roulant. C’était un peu aigu et sensible, mais elle a dit, quand elle a mis cela là, elle a dit: «Maintenant, Monsieur le Diable, tu ne peux plus me retenir, alors va-t’en tout simplement. Me voici.» Et elle a quitté son fauteuil roulant, et elle s’est mise à marcher.
C’est aussi simple que ça. La foi, c’est tout aussi simple que ça. Et la raison pour laquelle j’ai pris ces soirées pour prêcher sur la foi, c’est parce que les gens essayent de rendre la foi compliquée. Elle–elle... Dieu ne la rend pas compliquée, c’est nous qui la rendons compliquée. Nous allons très loin là-bas, en essayant de prendre quelque chose là au loin, alors que c’est juste ici à côté de nous, c’est simple. Si vous avez assez de foi pour traverser cette salle, vous avez assez de foi pour tout ce que Dieu a promis. Si vous avez assez de foi pour lever la main, eh bien, vous–vous avez assez de foi pour n’importe quelle autre chose. La foi est simple. Appliquez-la simplement avec de l’hysope dont je vous ai parlé dans les messages. Prenez simplement le Sang et avec une foi simple, juste comme lorsque vous mangez, buvez, marchez, conduisez votre voiture, parlez, ou autre chose, c’est aussi simple que ça. Mais lorsque vous vous mettez à vous dire: «Oh! puis-je faire cela? Puis-je faire cela?», voyez-vous, alors vous–vous vous éloignez directement de la–la chose essentielle. Vous devez revenir ici à cette foi simple d’enfant, juste pour croire en Dieu. Dites: «Dieu l’a promis. C’est ce que je confesse. Christ est mort pour cela. Et cela m’appartient.» Puis, allez carrément de l’avant, croyez la chose, et ne pensez rien d’autre à ce sujet, juste... C’est très bien. C’est terminé. Et vous vous rétablirez.
5 Eh bien, je sais que c’est la vérité, parce que j’ai éprouvé cela. Mais maintenant, si dans votre coeur il y a un péché inconfessé, cela ne marchera assurément pas. Vous devez confesser votre péché. Croyez au Seigneur Jésus-Christ; recevez-Le comme votre Guérisseur, juste de la même manière que vous Le recevez comme votre Sauveur.
Les gens disent: «Est-ce que le sa-... La guérison divine dure-t-elle, Frère Branham?» Tout autant que durera la foi. Lorsque vous arrivez à un point où vous dites que vous n’êtes plus sauvé, rappelez-vous, vous perdez du terrain juste à ce moment-là. Lorsque votre confession baisse, alors votre foi aussi baisse.
Et ainsi, tout d’abord l’Epître aux Hébreux dit ceci: «Jésus-Christ est le Souverain Sacrificateur qui intercède sur base de notre confession.» Et avant que Dieu ne puisse faire quelque chose pour vous, vous devez premièrement confesser qu’Il l’a fait. Il est le Souverain Sacrificateur de notre... Evidemment, le Roi Jacques dit»professer»; et professer et confesser, c’est le même mot. Voyez-vous? Professer que la chose existe, ou confesser qu’Il existe. Voyez-vous? Professer, je professe que je suis un chrétien, ou je confesse que je suis un chrétien. C’est pareil.
Et puis, et à la femme qui toucha Son vêtement, il fut dit: «Ta foi t’a sauvée.»
6 Or, ces érudits grecs vous diraient ici que ce mot-là, en grec, c’est «sozo», ce qui veut dire très exactement aussi bien»sauvé physiquement» que «sauvé spirituellement». C’est traduit de la même façon. Donc «Sozo», ta foi t’a «sozo», sauvé. Ta foi te sauve de l’enfer. Ta foi te sauve de la mort. Ta foi t’a sauvé de la maladie. Voyez-vous? C’est «sozo», le même mot. Ainsi, la même foi que vous avez en Dieu pour votre salut, c’est la même foi que vous utilisez pour votre guérison. C’est vraiment simple; croyez cela; conformez-vous-y. Cela ne nécessite aucune sensation; cela ne nécessite rien au monde, sinon la foi ordinaire. Vous n’avez pas besoin de sentir quelque chose. Vous n’avez pas besoin de... La seule chose qu’il vous faut faire, c’est croire quelque chose, croire que Jésus est mort afin que vous soyez sauvé, et que cela vous appartient. La foi est si simple.
7 L’autre jour, il y avait un certain... je faisais un tour, et un–un certain ministre était assis sous un arbre. Le Saint-Esprit m’a dit: «Va lui parler.» Et je suis allé là, et sa femme est venue, ainsi qu’un groupe de gens qui avaient été ici; et ils n’avaient pas pu obtenir une carte de prière, et ils ignoraient qu’il y avait une salle des urgences; ils devaient rentrer. Voyez-vous la grâce de Dieu?
Et puis, eh bien, pendant que j’étais là, le Saint-Esprit est descendu et a commencé à révéler toutes sortes de choses. Et ces gens se sont mis à pleurer et tout. J’ai dit: «Vous avez amené avec vous une Indienne, où est-elle?» Et alors j’ai dit: «L’Indienne en question est une petite fille, et elle avait fait une fièvre, qui lui a paralysé le cerveau.»
Et cet homme s’est mis à pleurer. Il était un missionnaire chez les Indiens. Et il a dit... J’ai dit: «Prenez la fille; nous allons prier pour elle.» Et j’ai dit: «Son père n’a pas d’argent pour passer une autre soirée.»C’est ce qui me fait mal. Je me demande comment cela est arrivé. Je–je–je vais devoir changer ce que je fais; en effet, je n’entre pas en contact avec assez de gens par ces visions.
8 Nous, les Américains, nous avons été enseignés pendant très longtemps que nous devons nous imposer les mains les uns aux autres. Et effectivement, c’est exactement ce que je devais faire d’après mon appel. L’Ange du Seigneur m’a dit que je suis né pour prier pour les malades. C’est moi qui avais posé la question, alors Il a dit: «Avec ces signes, les gens seront amenés à croire.»
J’ai dit: «Ils ne voudront pas me croire. Je suis sans instruction, et ils ne voudront pas me croire.»
Il a dit: «Avec ceci, ils devront croire; car tu connaîtras les pensées mêmes de leurs coeurs.»
Bien des fois, j’aurais souhaité parfois avoir eu quelque chose d’autre. Car, bien souvent je me tiens là devant des gens qui me passent la main dans le dos et m’appellent frère, et je sais que c’est faux. Voyez-vous? Je me suis tenu avec... même avec des gens qui restent là et disent: «Oh! Frère Branham, j’ai le Saint-Esprit», et des choses de ce genre. Et je sais qu’il vit avec la femme d’un autre, ou avec le mari d’une autre femme... Se tenir là et devoir gober cela, alors que vous savez que c’est le contraire, cela vous fait des entailles et des blessures. Ne convoitez jamais cela; ne recherchez jamais cela. Vous ne savez pas ce qui accompagne cela. Voyez-vous?
9 Nous étions assis à une table, moi et un bon ami à moi, un ministre. Et je lui avais écrit, et c’était un brave homme. Je l’ai rencontré, et un jour, pendant que j’étais assis à une table, en train de manger, là en Louisiane, quelque chose s’est produit. J’ai regardé de l’autre côté de la table, et j’aurais souhaité n’avoir pas fait cela. Depuis lors, cela me fait mal. Si seulement je n’avais regardé! C’est la raison pour laquelle j’essaye de garder cela au loin autant que possible, pour éviter de voir cela. Je ne–je ne veux pas avoir ce sentiment-là. Je voudrais croire qu’il y a... qui m’aiment quand même. Voyez-vous? Et ne cherchez pas à avoir cela, vous ne réalisez pas contre quoi vous devez combattre, sachant... Et puis, parfois ce que quelqu’un dit et ce qu’il pense dans son coeur sont deux choses contraires. Et vous avez horreur de le savoir, parce que j’aime les gens et je veux les aimer d’un amour véritable, sans même savoir ce qu’ils pensent. Mais cela ne change rien, je–je veux quand même les aimer. Et puis, plus nous devenons simples, mieux nous sommes.
10 Je parlais des Indiens. Je me rappelle la première fois où je me suis occupé des Indiens. J’avais promis au–au Seigneur, à ce missionnaire, quand j’ai prié pour la petite fille et que je l’ai renvoyée à la maison, que si... Et j’avais dit: «Seigneur, si Tu permets que cette enfant recouvre la santé, j’irai à la réserve.»
Je me souviens que c’était à Phoenix, la première fois, c’était à San Carlos, chez les Apaches, les premiers Indiens pour lesquels j’ai prié. J’ai toujours eu pitié des Indiens. On ne les a pas très bien traités. Nous le savons. Ainsi, ce soir-là, à San Carlos, il y a bien des années de cela, les gens avaient... Nous sommes allés là, et nous avons dit: «Réservé aux Indiens.»
Et ils étaient donc dans leur réserve, et, oh! lorsque le soleil se coucha cet après-midi-là, c’était beau de voir les... tout le monde assis sur des couvertures et tout le reste, les uns debout et les autres assis. Et j’étais dans la petite mission des Assemblées de Dieu, sur le porche, un orateur et un interprète, et cette femme... Ils n’ont ni phrases, ni paragraphes, ni ponctuation; leur–leur parler est plutôt rude. Et ainsi, je...
11 Elle interprétait, j’ai donc continué et j’ai dit: «Eh bien, vous autres, j’ai pitié de vous.» J’ai dit: «Mais je suis juste un seul Américain.» J’ai dit: «Je ne pense pas que ce fût correct de vous repousser ici dans ces endroits et ainsi de suite.» J’ai dit: «Je pense que c’est l’une des plus grosses taches que porte notre drapeau.» Et j’ai dit: «A quoi ressemblerions-nous si le Japon avait gagné la guerre et nous avait repoussés dans un endroit pareil? Cela n’aurait pas été très bien. Et ainsi, vous vivez ici avec la tuberculose et tout, mourant presque de faim et tout le reste, alors qu’on envoie des millions outre-mer comme assistance, et nous voilà.» Vous voyez? Ainsi, ce que... La Bible dit que la charité bien ordonnée commence par soi-même. Et pour un Américain authentique... Rappelez-vous, nous ne sommes pas des Américains. Ce sont eux les Américains. Dieu leur a donné ce pays. Nous sommes venus les envahir, et nous le leur avons arraché de force pour les repousser quelque part dans le désert, dans la partie la plus pauvre du pays. C’est ainsi que... On leur donne une petite pension ou quelque chose, juste de quoi nourrir un enfant. Et j’ai toujours eu pitié d’eux. Ma grand-mère recevait cette pension.
12 Ainsi donc, je... là-bas, ce soir-là... L’Indien, c’est quelqu’un d’étrange. Il est comme un mulet; il ne mange pas dans une étable autre que la sienne, alors il–il se tient là et regarde tout autour pendant un moment, et on peut le voir la tête baissée. Il se tient là et vous écoute, mais vous ne pouvez pas savoir ni penser qu’il vous écoute, mais il saisit tout ce que vous dites.
Alors, quand le service... Lorsque j’ai fini de parler, j’ai dit: «Maintenant, je viens vous présenter Quelqu’Un qui vous traitera comme il faut. C’est Jésus-Christ.» J’ai dit: «Il vous aime. Et je suis ici pour Le représenter. Le gouvernement et tout le reste peuvent représenter la nation, mais moi, ai-je dit, je suis venu ici pour Le représenter. Et Il vous accordera le genre de traitement qu’il faut.»
Et alors, quand j’ai fini de dire cela, j’ai dit: «Maintenant, que tous ceux qui veulent qu’on prie pour eux...» Ce n’était pas nécessaire, on ne pouvait pas distribuer des cartes de prières, car il était impossible de les aligner. On devait simplement garder un petit espace par ici pour permettre à une personne de passer librement. Alors j’ai dit: «Maintenant, vous tous qui voulez qu’on prie pour vous, levez-vous.»
Eh bien, j’avais quitté Phoenix avec les Espagnols, et, oh! la la! c’était terrible. Ils–ils venaient dans la ligne par milliers. Et puis, j’ai dit: «Eh bien, la chose...» J’ai dit... Et j’ai regardé. Et je pensais que tout le monde allait sauter et se précipiter. Mais personne n’a sauté ni ne s’est précipité. Tout le monde est resté tranquille. J’ai dit:»Avez-vous dit ce que j’ai dit?»
Elle a dit: «Oui, monsieur.»
J’ai dit: «Répétez-le.» J’ai dit: «Que tous ceux qui veulent qu’on prie pour eux, montent les marches de ce côté et passent par ici, avec foi et en croyant en Jésus-Christ, en ce que je vous ai dit.» Et personne ne s’est donc mis debout; tout le monde est resté tout à fait tranquille. Personne du tout ne s’est mis debout. Et au bout d’un moment, le missionnaire est retourné dans la salle, et il a ramené une femme indienne. Eh bien, je me suis retourné et j’ai regardé derrière moi; en fait, je ne l’avais pas encore fait, et elles avaient toutes suspendu le long du mur ces petits bébés dans ces porte-bagages qu’elles mettent au dos, vous savez. Il y avait un groupe de femmes là à l’intérieur. Et voici venir une femme, vous savez, avec ce petit bébé. Elle m’a regardé, et j’ai dit: «Puis-je tenir votre main?» Elle avait un très gros et large poignet; et elle m’a regardé un peu, et je l’ai regardée et j’ai dit: «Eh bien, cette femme souffre de la tuberculose. Et–et aussi ses yeux sont atteints de glaucome.»
Et l’interprète a dit cela, et la femme s’est retournée et m’a regardé, disant: «Comment le savez-vous?» J’ai prié pour elle...
13 La suivante est venue. Elle avait attrapé une maladie vénérienne, une maladie impure, non pas à cause d’une vie immorale, mais à cause des conditions de vie où elle se trouvait. Mais ce n’était pas à cause d’une vie immorale. Et on a dit... Et elle m’a regardé, et tous ces Indiens se sont alors regardés les uns les autres. La suivante était une petite fille, et sa mère l’accompagnait; et alors j’ai dit: «La petite fille avait fait une fièvre, et cette fièvre l’a rendue sourde. Elle ne peut ni parler ni entendre. Elle est muette.» Et quand l’interprète a dit cela à la mère, la mère a fait un signe de tête affirmatif, oui. Et–et son père était l’un des chefs, et j’ai pris la petite fille dans mes bras, et j’ai prié pour la petite créature. Sa petite chevelure était aussi rêche qu’une crinière de cheval, vous savez. J’ai donc prié pour elle, et je l’ai déposée comme ceci. J’ai dit: «Regarde ici, ma chérie.» J’ai dit: «M’entends-tu?» J’ai tourné sa tête comme ceci, et j’ai fait [Frère Branham tape les mains.–N.D.E.] comme cela, elle a regardé tout autour. Elle... Ses petits yeux noirs se sont tournés vers moi. J’ai dit: «Elle entend, et je suis sûr qu’elle peut parler.»
Elle a commencé à faire bli-bla-bla, quelque chose comme cela. «Oh! ai-je dit, elle parlera mieux que cela.»
Et l’interprète a dit: «Son expression s’améliore maintenant.» Elle était donc prête à... très bien.
14 Puis alors, le suivant était un petit garçon qui louchait. Alors, les Indiens ont commencé à accorder leur attention. Ensuite, un autre s’est avancé; il avait la tête baissée un peu en arrière; ses grosses petites joues d’Apache pendaient, ses cheveux lui tombaient dans les yeux. Et j’ai dit: «Maintenant, le petit garçon, est-ce le garçon qui veut qu’on prie pour lui?»
Et l’interprète a dit: «La mère, oui.»
Et j’ai dit: «Eh bien, ce petit garçon louche.» Et alors cela a été dit, et la mère a pris cette main, et l’a saisi par les cheveux et a ramené sa tête en arrière, et ses petits yeux étaient fixes comme ça. Et j’ai dit: «Permettez-moi de prendre le petit garçon.» Et j’avais un morceau de chewing-gum en poche, et je le lui ai tendu et il l’a pris, et il m’a regardé plutôt d’un air farouche. Je l’ai pris dans mes bras, et je me suis dit... J’ai dit: «N’interprétez pas ceci.»
J’ai dit: «Père céleste, je Te prie de m’accorder la grâce de pouvoir amener ces authentiques Américains au...?... ai-je dit, au Saint-Esprit, quelque chose qui peut leur donner la paix, et–et les amener à la Maison dans la gloire. Que les yeux de ce petit s’ouvrent! J’ordonne à Satan de le lâcher.»
15 J’ai regardé devant moi, et j’ai vu la vision du petit garçon qui me regardait, comme ceci, et ses yeux étaient tout aussi droits. Les Indiens étaient simplement assis et regardaient. Et j’ai dit: «Maintenant, avant que je retourne le petit garçon (Et il avait posé sa tête sur mon épaule), si les yeux de cet enfant ne sont pas redressés, alors je suis un faux prophète; chassez-moi de la réserve. S’ils sont redressés, combien vont recevoir le Seigneur Jésus?» Ils ont tous levé la main. J’ai dit: «Qu’en pensez-vous, mère?» à cette femme comme cela.
Et comme réponse, elle a hurlé quelque chose à l’interprète, qui a dit: «Elle a dit: ‘Si elle a pu... si Dieu a pu guérir la mort à Durham, Il peut redresser les yeux.’» C’est une bonne philosophie. C’est... J’ai alors retourné le petit garçon; ses yeux étaient aussi droits que les miens. Oh! la la! vous parlez d’une ligne de prière, nous avons eu une ruée. Cela venait de partout. Et j’ai posé la question à l’interprète qui m’a dit: «Ils ont d’abord pensé que vous étiez un trompeur. Mais ils comprennent maintenant que c’est la vérité.»
16 Juste une chose de plus. Il y avait un certain–un certain frère Jack Moore. Combien ont connu frère Jack Moore? Vous, ministres de Shreveport, en Louisiane; il était l’un des Hommes d’Affaires du Plein Evangile. Vous le connaissez dans...?... et peut-être, certains... beaucoup d’entre vous, là-bas, connaissent frère Jack Moore de Shreveport. Oui, regardez les mains. Il était avec moi, lui ainsi que frère Brown. Et il y a une–une vieille mère indienne qui était en réalité la suivante dans la ligne pour sortir d’ici, mais il y avait un jeune Indien, d’environ dix-huit ans, un jeune homme trapu. Il a carrément foncé au milieu des autres. Et j’avais une ligne de prière tout droit jusqu’à San Carlos. Tous étaient simplement–simplement alignés là. Tout le monde voulait qu’on prie pour lui. Alors, je–je ne pouvais pas faire rentrer le jeune homme, et l’interprète ne pouvait pas le faire rentrer. La vieille femme était donc effectivement la suivante, et frère Jack a simplement saisi le jeune homme par les bras. Frère Jack est un petit homme très fort. Il l’a simplement ramassé et l’a ramené en arrière.
17 Eh bien, la suivante à venir, c’était une vieille Indienne; elle paraissait avoir environ soixante-quinze ans, elle avait des manches à balai coupés comme béquilles, et des loques recouvraient le manche qui passait au-dessus–la partie du manche qui passait au-dessus de ses bras. Et elle se tenait comme ceci dans la porte. Et je lui ai fait signe. Et elle a avancé un bâton comme cela, et elle a déplacé son pied, puis l’autre. Et j’ai simplement pris mon temps, et je l’ai attendue. Et elle s’est approchée de là où je me tenais, et je me suis dit: «Que va faire la vieille dame?» Et j’ai vu ses cheveux qui pendaient, un vieux [morceau de] cuir y était plaqué, vous savez, et ils grisonnaient. Je me suis dit: «Pauvre vieille créature, elle a probablement élevé une ribambelle d’enfants. Que c’est pitoyable! J’aurais souhaité parler sa langue.»
Et elle a levé les yeux vers moi comme cela, et ces tout petits yeux enfoncés promenaient un regard plutôt pâle, avec de très grosses rides aux joues, et les larmes coulaient à travers ces rides. Oh! j’ai eu beaucoup de compassion pour la vieille. Et elle m’a regardé comme cela, elle a un peu souri, elle a tendu le bras et a saisi une béquille et l’a mise dans l’autre main, puis elle me les a remises et elle a quitté l’estrade en marchant juste comme n’importe qui d’autre. Eh bien, je vous assure, sans prière, elle n’en a pas du tout demandé. Sa foi t’a guérie.
Eh bien, mes amis, voici la Bible de Dieu. Ça, c’est la vérité. J’ai exactement cette même Bible, cette Bible que vous–qu’on m’a offerte à Houston, au Texas, autrefois en 1947. Et j’avais alors la même Bible. Le Dieu qui a écrit la Bible sait que c’est la vérité.
18 Vers 3 h du matin, j’ai dit: «Je vais prier pour tout celui qui va venir dans la ligne.» J’ai aussitôt arrêté le discernement afin de pouvoir prier pour eux tous. Et alors, vers 3 h du matin, je les voyais donc venir, trempés jusqu’à cette hauteur. Et j’ai dit: «Oh! (à l’interprète), eh bien, pourquoi sont-ils si trempés?»
Il a dit: «Ils ont pataugé... n’attendent pas d’aller au gué qui est à dix miles [environ 16 km–N.D.T.].» Il a dit: «Ils vont dans le désert chercher leurs bien-aimés, et ils traversent la rivière avec eux en pataugeant.» Et ils les transportaient sur n’importe quoi.
19 J’ai donc regardé, et là se tenait un très grand guerrier costaud, ses lèvres étaient vraiment bleues, et il grelottait. Puis j’ai regardé; il y avait un vieil homme que lui et un autre gaillard portaient sur une–une planche. Et ils avaient une planche placée comme ceci, avec un bois placé dessus en travers, et ils avançaient comme ceci, et ils avaient posé les jambes du vieil homme sur la... les deux bâtons se croisaient comme ceci, et deux se croisaient comme ceci. Ils retenaient ses bras, et le vieil homme tremblait de suite d’une paralysie comme cela, grisonnant au possible. Et je lui ai dit, j’ai dit:»Parlez-vous anglais?»
Il a dit: «Un peu.»
J’ai dit: «N’avez-vous pas peur d’attraper la pneumonie comme cela?»
«Non, a-t-il dit, Jésus-Christ a pris soin de moi, j’ai amené mon papa.» Une foi simple...
J’ai dit: «Oh!» J’ai dit: «Croyez-vous que Dieu va guérir votre père?»
«Ouais, sinon je ne l’aurais pas amené.»
J’ai dit: «Faites-le passer.» Cela devait être son frère là derrière. Il lui ressemblait beaucoup. Et ils sont passés, et je suis allé imposer les mains au vieil homme; j’ai dit: «Dieu du Ciel, bénis ce vieil homme. Donne-lui le désir de son coeur.» Je l’ai fait passer. Le suivant est venu, je lui ai imposé les mains. Tout à coup, j’ai entendu beaucoup de bruit là-bas. Voilà que le vieil homme portait la planche sur ses propres épaules, allant là tout en saluant tout le monde d’un signe de la main comme cela. Juste une foi simple. C’est tout. Ils ne–ils ne sont pas entièrement attachés à ceci et à cela. Ils–ils croient tout simplement, c’est tout.
20 Eh bien, que Dieu nous aide ce soir à avoir la foi des Indiens (C’est juste) pour croire. Que Dieu guérisse la petite fille, ce sera un signe. Ça, c’était avant que je n’aille pour la première fois à San Carlos; je suis allé là parce que Dieu avait guéri une–une femme qui était venue dans la ligne de prière; elle était alcoolique, et la suivante à venir était une tuberculeuse. Les deux étaient des Indiennes, et elles avaient ramené le certificat médical attestant que (environ un mois plus tard, quand j’étais en Californie) que le médecin a libéré cette femme. Sa tuberculose était terminée. Et l’alcoolique n’a plus jamais pris un autre verre.
En passant, cette femme qui avait levé la main ici l’autre soir a été guérie. Etes-vous encore ici, soeur? La dame qui avait levé la main là derrière, la jeune dame? Très bien. C’est bien. D’accord. C’est bon. Comment vous sentez-vous maintenant? Comment va votre mari? Très bien? Il se porte bien maintenant? Bien. Que Dieu vous bénisse. Je vous souhaite un foyer heureux. Son mari qui était un alcoolique a été aussi guéri. Et–et simplement... ç’a été glorieux de savoir que vous faites confiance au Seigneur Dieu. Il n’y a rien de pareil. Maintenant, si Dieu fait cela pour ce foyer-là, Il fera la même chose pour votre foyer. Il va ôter la maladie, Il va ôter tout. Dieu ne fait acception de personne. Il ne demande qu’une foi simple pour croire la chose. Que Dieu vous bénisse.
21 Bon, hier soir nous avons quitté Abraham. Aimez-vous [l’histoire d’] Abraham? Une fois, au... je prêchais-... une année sur Job chez moi au Tabernacle. Et je l’ai pris au moment où il était sur le tas de cendres, et je l’ai gardé là sur le tas de cendres pendant environ six semaines. Les gens se sentaient très bien, vous savez, mais ils étaient fatigués. C’était exactement là que je faisais mon observation cruciale: Job sur le tas de cendres. C’est à ce moment-là que l’Eternel fit quelque chose pour lui. Une brave soeur ne voulait pas blesser mes sentiments, mais elle m’a écrit une lettre et elle disait: «Frère Branham, vous allez quand même retirer Job de ce tas de cendres.»
Je pense...?... pense que je vais amener Abraham jusqu’à la–la montagne. Et hier soir, j’avais l’intention d’atteindre le point culminant de la chose, mais le Saint-Esprit m’a arrêté. Je suis si content qu’Il l’ait fait, car des âmes sont venues à Christ. Et l’obéissance vaut mieux que le sacrifice.
22 Maintenant, une petite donnée de base. Et mon fils m’a parlé hier soir, disant: «Papa, le... ils sont le meilleur groupe de gens que nous ayons jamais visités. Mais, a-t-il dit, ils se montrent assurément patients.» Il a dit: «Tu les laisses sortir très tard.»
J’ai dit: «Eh bien, Billy, ai-je dit, je tire de cela autant qu’eux. Tu vois?» Je–Je dois moi aussi être chargé.
C’est exactement ce qu’a dit un frère l’autre jour là-bas, lors du petit- déjeuner. Je crois que c’est frère Hobson qui a dit: «Nous les ministres, nous avons besoin de... nous sommes toujours confrontés... lors des rencontres, quand on va à l’hôpital, on affronte l’incrédulité, et sur l’estrade, l’incrédulité, et partout ailleurs, l’incrédulité. Nous devons nous réunir, vous savez, nous asseoir en quelque sorte sous le chêne de temps en temps.»
23 J’avais l’habitude d’inviter un vieux ministre à venir prêcher quelque temps à mon église. Il s’appelait John Ryan. Ce soir, il est déjà au Ciel, et il–il prêchait pendant un moment, puis il courait vous saisir par la main. Il me serrait la main.
Un soir, j’ai dit: «Frère Ryan, pourquoi faites-vous cela?»
Il a dit: «Je charge ma batterie. Vous êtes en prière tout en étant assis là derrière. J’ai prêché durement.» Nous devons donc charger la batterie de temps en temps.
24 Nous voyons donc que Dieu a appelé Abraham. Etait-il un–un homme spécial? Non, juste un homme ordinaire. Et était-il un jeune homme prêt pour le service? Non. Il était un vieil homme de soixante-quinze ans avant que Dieu l’appelle. Vous voyez donc que Dieu ne fait acception ni d’âge, ni de capacité, ni de prestige, ni de... Dieu appelle simplement tout celui qu’Il peut appeler. Et ainsi, nous voyons donc que Dieu lui a dit de se séparer de sa famille et de son peuple, et... Mais il n’a pas fait cela, et Dieu ne l’avait jamais béni jusqu’à ce qu’il eut obéi exactement à ce que Dieu avait dit de faire.
Eh bien, ne pourrions-nous pas en faire un type pour en tirer un message ce soir, pour l’Eglise pentecôtiste? Tant que nous ne nous abandonnons pas complètement à Dieu, par l’obéissance à toute Sa Parole... Dieu ne nous donne pas le Saint-Esprit pour que nous disions: «Eh bien, je L’ai. C’est tout ce qu’il en est.» Non, non. Il vous donne le Saint-Esprit pour passer à l’action, pour la Parole, pour le service. Tant que nous n’obéissons pas, n’avons pas faim dans nos coeurs... Il y a suffisamment de pentecôtistes assis juste ici ce soir pour commencer un réveil pentecôtiste dans cette contrée-ci, qui pourrait... cela pourrait certainement faire des choses par ici, si nous entretenons bien le feu, vous savez, et faisons en sorte qu’un grand vent souffle depuis le ciel, comme un vent impétueux, quelque chose se produira.
25 Ainsi donc, hier soir, nous avons laissé Abraham, lorsqu’il était ramené à l’état d’un jeune homme. Je ne vais pas vous demander si vous croyez cela ou pas. Mais moi-même, je–je crois cela. Néanmoins, ce n’est pas ça qui fait que ce soit juste. Mais quelque chose est arrivé à Sara et à Abraham. Nous le savons, n’est-ce pas? Quelque chose est arrivé, parce qu’il était stérile, et elle n’était pas féconde. Et ils étaient âgés de cent ans; il l’était, et elle aussi. Et comment un homme pourrait-il tomber amoureux d’une vieille femme de cent ans? Je n’arrive simplement pas... Eh bien, quelqu’un a dit: «Oh! en ce temps-là, les gens vivaient plus longtemps.»
Mon frère, lisez là l’Ecriture; il est dit: «Ils étaient tous deux avancés en âge.» Ils étaient vieux. Et nous voyons que non seulement cela, mais sa force était renouvelée, et elle était redevenue une jeune belle femme; et Abraham était redevenu un jeune homme; et ils jouissaient de la vie. Et, rappelez-vous, aussitôt après leur départ, là à Guérar, Sara est devenue mère et a enfanté un fils à Abraham. N’êtes-vous pas si heureux de savoir que nous allons rajeunir? Je ne sais quoi dire ici; j’en suis tellement heureux. Je sais que je–je promets de vous laisser sortir un peu tôt, mais il y a quelque chose sur mon coeur. Il me faut vraiment le dire.
26 Eh bien, je voudrais rendre cela clair avant de le dire. Je crois que les dons et les appels sont sans repentir. Eh bien, c’est ce que la Bible déclare. Voyez-vous? Vous, vous ne faites rien. Il s’agit de quelque chose que Dieu fait. Voyez-vous? Nul... Vous–vous direz: «J’ai cherché et cherché Dieu.» Non, vous ne l’avez pas fait. C’est Dieu qui vous a cherché et cherché. Ce n’est pas vous qui avez cherché Dieu. C’est Dieu qui vous a cherché. Voyez-vous? Ce fut le cas au commencement, lorsque l’homme essayait de se cacher, et Dieu l’appelait, et Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si le Père ne l’attire premièrement. (Voyez-vous?) Tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi.»
Maintenant–maintenant, remarquez. Depuis que j’étais un tout petit garçon d’environ deux–deux ans, j’ai commencé à voir des visions. J’ai vu ma première vision dans un buisson, l’Ange du Seigneur était là-dedans comme un vent, et Il m’a dit que je vivrais près d’une ville appelée New Albany. J’avais deux ans, je vivais dans les montagnes du Kentucky, et j’ai passé ma vie à trois ou quatre miles [environ 3 ou 5 km–N.D.T.] de New Albany, dans l’Indiana, à deux cents, trois cents miles [environ 300, 500 km.]. Et alors, cela est parti de là et a continué toute ma vie, et pas une seule fois cela n’a été faux. Mais ceci, je ne crois pas que ce fût une vision.
27 Je voudrais confesser quelque chose. J’avais toujours eu un peu peur de mourir. Même lorsque je suis devenu chrétien. Ce n’est pas tellement que j’avais peur d’être perdu, mais je–je ne voulais pas devenir un–un esprit. Et j’avais toujours pensé que lorsqu’on mourait, on recevait un corps spirituel, et que je vous rencontrerais là-haut, et que je dirais: «Eh bien, voilà les gens à qui j’avais prêché à Yakima. Oh! la la! j’aurais souhaité avoir une main pour serrer la leur, mais ma main est en train de pourrir dans la tombe. Les leurs aussi.» Et à supposer que nous n’ayons pas de sens du tout. Exactement comme un petit nuage blanc, un corps spirituel, la forme d’un corps spirituel. Et je n’aime pas tout ce qui est en rapport avec les fantômes. Je n’arrive simplement pas à supporter cela. Je–je–je n’aime pas du tout cela. Je suis simplement... peux m’en éloigner immédiatement. Donc, je ne... J’ai toujours eu cela en horreur. Je disais: «J’espère que je vivrai assez longtemps pour voir la Venue de Jésus», puisque je savais que je retournerai de là et que j’aurai un corps glorifié. Mais je–je voulais connaître comme je connais maintenant. «Je peux donc rencontrer mon frère et lui serrer la main, et passer de beaux moments.» Je disais: «Si seulement je peux vivre jusqu’à la Venue de Jésus, je ne serai pas un esprit; je serai simplement changé.» Je n’aurais pas à passer par ce temps-là.
28 Et j’avais toujours eu peur de la mort à cause de cela. Il y a environ quatre semaines... Non, je m’excuse, il y a environ sept semaines, je rentrais d’une réunion, et j’étais étendu dans mon lit; et je me suis réveillé ce matin-là, et je me suis levé, j’ai en quelque sorte mis mes mains... En effet, je dors comme ça, [les mains] derrière la tête, et je m’étais appuyé contre le marchepied, ou plutôt contre la tête de lit. Et alors, j’ai dit: «Eh bien, ai-je dit à ma femme, chérie, es-tu réveillée?», mais elle dormait profondément. Et j’ai dit... je suis resté couché là pendant quelques instants, puis j’ai dit: «Eh bien, Bill, tu as cinquante ans.» Au mieux de ma connaissance, je suis né dans le Kentucky, où il n’y a pas de registres des naissances. Et savez-vous ce qui est la référence pour ma naissance, mon registre de naissance dans le Kentucky? L’année où le vent avait arraché la vieille souche là sur la colline. Et c’est tout ce que les gens savaient.
Ils disent: «Quand cet enfant est-il né?»
– Lors de la cueillette des tomates.
– A quelle cueillette de tomates?
– Quand celui-ci est-il né?
– Pendant la moisson du blé.
– A quelle moisson du blé?
Eh bien, c’était ça–c’était ça le registre des naissances dans les montagnes du Kentucky. Je ne connais donc pas mon âge, mais de toute façon, je–j’ai–j’ai à peu près cet âge-là. Ainsi donc, un... ainsi donc, lorsque... C’est ce que ma mère m’a dit, et je pense qu’elle est très proche de la vérité. Et ainsi donc, j’ai dit: «Tu as cinquante ans, et tu n’as encore rien fait pour le Seigneur. Tu ferais mieux de te dépêcher, car il se pourrait qu’il ne te reste pas beaucoup de temps.» J’ai dit: «Oh! j’espère vivre assez longtemps pour voir Sa Venue. J’ai horreur de devenir un esprit.» J’ai dit: «Je–je ne veux pas apparaître là, de telle sorte que je ne sais pas rencontrer les gens.» Et j’ai dit: «Je–j’aime le Seigneur.» Et–et juste à ce moment-là...
29 L’Esprit accomplit des oeuvres, comme je l’ai dit l’autre soir. Celles-ci, sur l’estrade, sont des visions, mais ce sont de petites visions mineures. C’est vous-mêmes qui les provoquez. Vous utilisez le don que Dieu a envoyé sur la terre, le Saint-Esprit; et le Saint-Esprit agit au moyen d’un canal. Combien savent cela? Combien savent que même lorsque vous parlez en langues, c’est le Saint-Esprit qui intercède? Voyez-vous? Vous qui avez reçu des dons, et qui avez été purifiés afin qu’Il puisse parler à travers vous. Eh bien, ensuite Il a établi dans l’église des apôtres, des prophètes, des docteurs, des pasteurs, des évangélistes, et ainsi de suite. Voyez-vous? Et Il utilise ce canal. Je pourrais m’arrêter ici et dire pour... jusque le... au matin les choses qui sont arrivées.
30 Eh bien, et ainsi, Quelque Chose a commencé alors à me parler et a dit: «Continue simplement à persévérer.»
Et j’ai dit: «Eh bien, j’ai persévéré.»
Et Cela a dit: «La récompense est au bout du chemin. La récompense est au bout du chemin.»
J’ai dit: «Je crois que le... Attends, à qui suis-je en train de parler?»
J’ai regardé tout autour, j’ai dit: «Meda? (Ma femme) Meda, es-tu réveillée?»
Elle a fait: «Hein?»
Et j’ai dit: «OK.»
Et ceci a continué, je pense, pendant une heure; j’ai pensé: «Père, était-ce Toi? Etait-ce Toi qui me parlais?» Et vous avez entendu l’histoire, sur l’opossum, les petits poissons, et les choses qui sont arrivées dans le naturel, dans ma vie et tout. C’est exactement ainsi que Cela commence à parler. Exactement comme vous entendez ma voix.
Et lorsque cet Homme s’est dirigé vers moi, la première fois qu’Il m’avait visité sous une forme humaine, ce n’était pas une vision. Il... Je sais ce qu’est une vision; l’Homme s’est tenu là et m’a parlé. Il a dit–m’a dit qu’Il était envoyé de Dieu, que je devais prier pour les malades et ce devait être... Il n’était pas une vision. Il était un Homme. Je–je ne savais pas qui Il était. Et Il a dit qu’Il était envoyé de Dieu. Et Il se tenait là, aussi près de moi que ma main est juste ici. Et je L’ai regardé, je Lui ai parlé, je Lui ai adressé des paroles, alors cette Lumière qui était suspendue au-dessus de Lui est descendue sur Lui, et L’a pris par les pieds, et Il a disparu de ma vue. Et tout ce qu’Il avait dit s’est accompli parfaitement. Juste parfaitement. Voyez-vous? Je–je sais donc que c’est la vérité.
31 Et les lumières, le monde scientifique en a pris une photo. Si je meurs ce soir, mon témoignage est vrai. L’Eglise à travers le monde le sait. Le monde scientifique le sait par le moyen de la recherche, puisqu’ils en ont pris une photo, dans une photographie, et ils ont mis cela... chez George J. Lacy, le chef du département du FBI chargé des empreintes digitales, des documents, des photos et tout. Et il a gardé cela là-bas pendant environ une semaine, et il a dit: «Je jure sur serment que ce n’est pas de la psychologie; la lumière a frappé l’objectif. La lumière était là.» Et il a dit: «L’oeil mécanique de cet appareil photo ne peut pas prendre de la psychologie.» Il a dit: «La Lumière se trouvait là.»
Beaucoup de journaux ont publié cela. Nous avons eu cela plusieurs fois en Allemagne, en Suisse, et à d’autres endroits où cela a été photographié scientifiquement, dans ce pays-là, prouvant que c’est quelque chose de surnaturel comme une Colonne de Feu qui descend. C’est ce qu’Il fait. Vous en voyez la réaction ici dans l’église. C’est exactement ce que Cela a fait lorsque Cela était sur la terre dans la chair du Fils de Dieu. Maintenant, Cela se trouve sur la terre dans la chair des fils de Dieu adoptés, unissant l’Eglise, afin que le Fils de Dieu vienne prendre une Epouse. Amen. C’est tout à fait juste.
32 Et maintenant, alors que j’étais étendu là, je L’ai entendu dire: «Continue à persévérer. La récompense est à la fin.» Et je–j’ai senti que quelque chose m’arrivait. Et j’ai entendu ce cantique être chanté, nous le chantons dans notre église:
J’aimerais entendre les cloches du port, le doux carillonnement;
Cela illuminerait ma foi et dissiperait chaque larme;
Seigneur, laisse-moi regarder au-delà du rideau du temps.
Beaucoup d’entre vous ont déjà entendu ce glorieux vieux cantique. Et cela a fait... J’ai senti que quelque chose arri-... Je pensais que je mourais, et j’ai regardé derrière, et j’étais étendu là sur le lit. Et je me suis retourné de ce côté, et c’était comme une–une colline qui descendait, juste devant moi, où que ce fût. Rappelez-vous, ma Bible est sur mon coeur, je dis la vérité. Quel bien cela me ferait-il de dire cela si ce n’était pas vrai? Quel bien ma prédication ferait-elle? Tous mes sacrifices et toutes mes souffrances, quel bien cela ferait-il, si je suis un menteur? Voyez-vous? Cela ne ferait pas le moindre bien. Je ne suis pas obligé de dire ceci. Mais je le dis afin que cela puisse vous aider, parce que c’est la vérité.
33 Où que soit cet endroit, si c’est une autre dimension, je ne peux pas vous le dire, mais j’étais quelque part où je pouvais regarder derrière. Et tout le monde m’a toujours accusé d’être un misogyne. Je–je ne déteste pas les femmes. Non, non. Ce n’est pas le cas. Je–j’aime mes soeurs, mais je n’aime pas la façon dont certaines de ces Américaines modernes s’habillent, agissent, fument, boivent et se comportent. C’est une honte pour cette nation. C’est la plus grande cinquième colonne que nous ayons jamais eue, la façon dont ces femmes modernes agissent et tout, quand elles ne peuvent même pas nourrir au sein leurs bébés; elles sont obligées de leur donner du lait de vache. Le bébé mourrait avant dix-huit mois à cause du poison de la nicotine. Oui, oui. Vous parlez d’une cinquième colonne; en voilà une. C’est ce qui brise le dos de chaque nation, la maternité, il en a toujours été ainsi.
J’aime les véritables femmes, les véritables mères. Que Dieu nous donne davantage de véritables mères à l’ancienne mode, afin que nous n’ayons pas tant de délinquance juvénile, si nous avions des mères qui restent à la maison pour s’occuper de leurs enfants, au lieu d’aller quelque part à un cocktail, pendant que ces petites gardiennes d’enfants essayent de s’en occuper quelque part. C’est juste. C’est ce qui empoisonne l’esprit des enfants. Les... Avec ça, l’Amérique est complètement pourrie, elle va de mal en pis sans cesse, et elle continuera à aller de mal en pis. Il n’y a rien... Je parle contre cela, mais cela continue, parce que les Ecritures le déclarent. Cette nation mourra dans sa jeunesse.
Maintenant, rappelez-vous, dans Apocalypse 13, lorsqu’elle apparaît, elle est toujours jeune. C’est le jeune... l’Agneau qui est monté.
34 Eh bien, j’ai été donc en quelque sorte un peu dur envers les femmes, et peut-être que ceci est plutôt fait pour me maintenir un peu. Et j’ai pu regarder, et voilà on dirait un million de femmes venaient vers moi. Elles étaient jeunes, elles semblaient avoir environ vingt ans, et chacune d’elles était... eh bien, excusez-moi, mes soeurs, pour cette observation. Mais elles étaient toutes très jeunes, avec de longs cheveux descendant jusqu’à la hanche; elles étaient en robes blanches et étaient pieds nus. Et elles accouraient vers moi, jetaient leurs bras autour de moi et s’écriaient chacune: «Mon précieux frère!»
Eh bien, j’espère que j’ai trouvé grâce à vos yeux, que vous me comprendrez. Vous écoutez votre médecin. Moi, je suis votre frère. Peu m’importe, lorsque j’étais un–lorsque j’étais un pécheur, je menais une vie loyale comme cela, parce qu’un Ange qui était venu à ma rencontre m’avait dit: «Ne fume jamais, ne bois jamais, et ne souille jamais ton corps d’aucune manière.» Il s’agissait d’une vie immorale. Dieu au Ciel sait que j’ai vécu en me conformant à cela.
Cependant tout homme qui est–qui est vigoureux et en bonne santé, autour duquel une femme jetterait ses bras... Je ne dis pas que l’homme aurait tort ou penserait quelque chose de mal, mais il éprouvera une sensation humaine. Mais à cet endroit-là, ce n’était pas le cas. C’était vraiment une soeur. Et elles... Je–j’ai regardé et j’ai dit: «Je n’arrive pas à expliquer ceci.» Il n’y avait pas d’hier ni de lendemain, c’était le présent. Elles ne se fatiguaient pas, pourtant elles pouvaient serrer la main. Elles pouvaient parler, elles avaient un corps; et elles étaient juste telles qu’elles étaient ici, seulement elles étaient jeunes.» Et j’ai dit: «Je ne comprends pas ceci.»
35 Et cette Voix qui était au-dessus de moi a dit: «C’est comme–un peu comme lorsque Jacob fut recueilli auprès de son peuple.»
Juste à ce moment-là, j’ai regardé, et des hommes venaient, oh! par groupes, comme par millions. Et ils couraient, jetaient leurs bras autour de moi et s’écriaient chacun: «Mon précieux frère!» Et, oh! la la! vous savez que j’étais marié avant, et ma femme est morte lorsque... C’est la mère de Billy. Et c’est la raison pour laquelle Billy et moi sommes attachés. Je... Elle est morte lorsqu’il avait dix-huit mois, et sa petite soeur huit mois. Celle-ci est morte avec la mère, et j’ai été à la fois le papa et la maman pour Billy. Et j’ai vu venir Hope, se frayant le chemin à travers la foule.
Et je me suis dit: «Sûrement qu’elle m’appellera son mari.» Et lorsqu’elle est arrivée près de moi, elle... je pouvais la voir (Que Dieu bénisse son coeur.) avec ses yeux noirs, une Allemande, vous savez, aux cheveux noirs, elle a jeté ses bras autour de moi, et elle a dit: «Mon bien-aimé frère.»
Je me suis dit: «Je ne comprends pas ça.»
Et cette... Il y avait là une autre femme qui était juste une jeune fille là-bas, elle m’a entouré de ses bras et a dit: «Mon précieux frère.»
Puis elle a serré cette autre femme et a dit: «Penses-y; il est finalement arrivé pour être avec nous.»
Ces hommes m’ont soulevé et m’ont placé à un petit endroit comme ceci; ils ont dit... j’ai dit: «Pourquoi ça?»
Quelqu’un a dit: «Sur la terre, tu étais un conducteur.» Et il a dit...
J’ai dit: «Je ne comprends pas.»
Et juste à ce moment-là, cette Voix a encore parlé et a dit: «Ceci, c’est lorsque tu seras recueilli auprès de ton peuple.»
J’ai dit: «Tu veux dire que quand je mourrai il en sera ainsi?»
«Oui.»
J’ai dit: «Oh! pourquoi avais-je eu peur de ça? C’est merveilleux! Oh! la la! c’est juste la perfection. Ce mot ne rend pas la chose, c’est superbe! Ce mot ne pourrait pas rendre la chose. Aucun mot du patois anglais ne pourrait rendre la chose.» Dieu sait que je le dis du fond de mon coeur; cela est arrivé.
36 Et je me retournais de temps en temps et je regardais derrière, et j’étais étendu là sur mon lit. Ce n’était pas très loin.»
Eh bien, j’ai appris, depuis que je raconte ceci, qu’il y a un homme du nom de Docteur Price qui est passé par une expérience semblable, et c’est mentionné dans un livre. Et si quelqu’un a ce livre, je voudrais vraiment le lire, car je voudrais en savoir quelque chose. Ainsi donc, c’était un homme qui priait pour les malades, il y a des années, avant mon époque.
Et ainsi, je–j’ai encore regardé, et alors la Voix a dit: «Ceci, c’est lorsque tu seras recueilli auprès de ton peuple.»
J’ai dit: «Tous ces gens sont-ils des Branham?»
Il a dit: «Non, ce sont tes convertis.»
J’ai dit: «Convertis?»
Elle a dit: «Tu vois cette femme que tu venais d’admirer, qui t’a entouré de ses bras et qui t’a dit: ‘Mon bien-aimé frère!’?»
J’ai dit: «Oui!»
Elle a dit: «Elle avait plus de quatre-vingt-dix ans lorsque tu l’as conduite à Christ.» Elle a dit: «Il n’est pas étonnant qu’elle se soit écriée: ‘Mon bien-aimé frère!’» La Voix a dit: «Elle ne vieillira plus jamais. Elle ne sera jamais triste. Elle sera éternellement ainsi.»
Je me suis dit: «Oh! si seulement je pouvais revivre cela, je crierais, je prierais, je persuaderais. Je–je ferais tout. Si je devais y pousser les gens, je ferais entrer les gens à cet endroit. Oh! la la! si seulement les gens pouvaient comprendre ce que c’est!»
37 Et j’ai continué ainsi pendant quelques instants, et juste alors, quelqu’un... lorsque j’en ai parlé il y a quelques semaines, quelqu’un a pratiquement pris cela à la légère. Je regardais. J’avais un vieux chien qui me faisait étudier, m’aidait à nourrir ma famille. J’ai fait la chasse toute ma vie; ce vieux chien attrapait des opossums, des ratons laveurs, des moufettes, et tout pour moi. Et je chassais, et ensuite je–je vendais ces peaux, et je m’achetais des habits pour l’école, et j’aidais à nourrir notre famille de dix enfants. Et alors, un policier l’a empoisonné lorsque nous avons emménagé en ville. Oh! pendant que je caressais sa tombe, j’ai dit: «Fritz, s’il existe un ciel pour les chiens, tu y seras.» Et je me souviens de mon petit cheval, Prince, comment je le montais quand j’allais à la chasse, visitant mes pièges et tout. Et il était parti. Et lorsque j’ai regardé, j’ai vu descendre la colline, voilà venir effectivement le vieux Fritz. Je peux le voir venir maintenant. Il a sauté et m’a léché la main comme cela. Voilà venir le vieux Prince; il a henni doucement et a mis sa...
38 Quelqu’un a dit: «Il n’y a pas d’animaux au Ciel.» Eh bien, c’est juste tout ce que vous savez de la Bible. Où se trouvent ces chevaux qui sont descendus et ont enlevé Elie? D’où vient ce cheval que le Fils de l’Homme chevauche en venant, un cheval de bataille blanc, teint de sang? Où le loup et l’agneau vont-ils paître ensemble? Et le boeuf et le lion manger ensemble de la paille? Où cela se fera-t-il (Voyez-vous?), s’ils ne sont pas là-bas? Bien sûr qu’ils sont là. Dieu ne perd rien. Certainement, ils seront là.
Et puis, il nous est arrivé... J’ai observé, et il m’a léché la main. Et j’ai dit: «Si je suis parti, si ceci c’est le paradis où j’attends dans la gloire, j’aimerais voir le Seigneur Jésus.»
Et cette Voix a dit: «Mais tu ne peux pas Le voir maintenant. Il est plus haut. Un jour Il reviendra.»
Et puis, j’ai commencé à reconnaître à ce moment-là des ministres et tous ceux qui se tenaient là. Après, j’ai vu qu’ils étaient mes convertis, des gens que j’avais connus dans ma vie. Ils étaient jeunes. Je ne les avais pas reconnus à ce moment-là. Vous voyez, ils étaient redevenus des jeunes gens et des jeunes femmes. «Oh! ai-je dit, voilà frère et soeur...» Je–j’étais vraiment très heureux. Je–je n’avais jamais été si heureux de ma vie. Et j’ai dit: «Si seulement j’avais su cela avant.» Et j’ai regardé tout autour, et j’ai dit: «Voulez-vous dire qu’Il viendra vers moi?»
Il a dit: «Il viendra vers toi, et Il t’interrogera sur l’Evangile que tu as prêché, parce que tu es né un conducteur.»
Et alors, j’ai dit: «Eh bien, Paul devra-t-il mêmement être jugé par Cela?»
«Assurément.»
J’ai dit: «Alors, si Paul s’en sort, moi aussi je m’en sortirai, parce que j’ai prêché la même chose que lui, sans faire de compromis sur un seul mot.»
Et tous ces gens se sont écriés: «C’est sur cela que nous nous reposons avec assurance.» Ils ont dit: «Ensuite, nous retournerons sur la terre et nous recevrons un corps glorifié, et nous vivrons ensemble pour toujours dans cet état.»
39 Voyez-vous, dans la Bible tout va par une trinité. Vous le savez. L’autre jour, j’ai dit: «Vous êtes une trinité: l’âme, le corps et l’esprit.» Vous vivez dans une trinité: la cuisine, le séjour et la chambre. Vous pouvez avoir huit ou dix pièces différentes, en dehors des chambres d’amis, mais vous ne vivez que dans trois pièces. Dieu est dans une trinité: le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
Et nous voyons que la Venue de Christ est dans une trinité. Il est venu premièrement pour racheter Son Epouse; Il vient ensuite pour recevoir Son Epouse, Il vient la prochaine fois avec Son Epouse, en tant que Roi et Reine, pour régner dans le Millénium. Vous savez cela. Tout est dans une trinité. Et nous sommes dans une trinité, nous avons un corps mortel, un corps glorifié ou plutôt je veux dire un corps céleste, et puis un corps glorifié. Trois étapes nous ramènent de nouveau à notre perfection, comme en Eden.
40 Et puis, j’ai dit: «Eh bien, je suis rassuré de cela.»
Et juste à ce moment-là, une Voix a dit: «Tous ceux que tu as aimés, et tous ceux qui t’ont aimé, Dieu te les a donnés.»
Et j’ai senti que quelque chose m’arrivait. J’ai dit: «Assurément, je n’ai pas besoin de rentrer.» Et j’ai senti cela un peu plus proche, je me suis retourné, j’ai regardé derrière vers mon corps, et je me suis vu bouger sur le lit. Quelques minutes après, j’étais de retour.
Frère, soeur, cela m’a fait quelque chose. Je comprends maintenant que si cette tente terrestre est détruite, nous en avons déjà une qui nous attend, un–un corps qui attend.
Et cela, je pense maintenant faire correspondre cela avec ce qu’Abraham et Sara avaient reçu, ce genre de corps, juste une ou deux observations, ensuite je vais en venir au point culminant de mon message. Puis, nous commencerons la ligne de prière.
41 Dieu avait montré au travers de Sara et d’Abraham ici, exactement ce qu’Il allait faire avec toute la postérité d’Abraham et de Sara. Il doit en être ainsi de toute la postérité d’Abraham. Et ici sur terre, Il les a ramenés à un jeune homme et une jeune femme. Et à ma connaissance, j’ai raconté cette histoire tout aussi fidèlement que je sais que c’est arrivé. Et je... c’était... je ne–ne... Appelons cela une vision; en effet, si je disais que c’était là une petite translation... Si c’était une vision, je n’ai jamais rien eu de semblable. Eh bien, je n’essaie pas d’imiter le grand saint Paul, car je ne... J’en ai trop vu dans ma vie, des comparaisons charnelles. Mais disons que c’était une petite translation. Je suis allé au premier ciel, et si le premier Ciel est comme cela, qu’a vu Paul lorsqu’il est allé au troisième? Oh! la la!... Il n’est pas étonnant qu’il ait dit: «Des choses que les yeux n’ont point vues, que les oreilles n’ont point entendues.»
Si c’est glorieux à ce point dans ce Ciel-ci, quand vous arrivez au troisième Ciel, qu’est-ce que ce frère a dû voir?
42 Eh bien–eh bien, immédiatement après cela, après les avoir restaurés, Dieu les renouvela. Il fit d’eux un jeune homme et une jeune femme. Il amorça un nouveau départ. Ils étaient tous deux féconds à ce moment-là. Puis, ils eurent le petit garçon qui fut appelé Isaac. Abraham le circoncit le huitième jour et organisa une fête lorsqu’ils le sevrèrent, et ainsi de suite. Et puis, nous voyons qu’Il grandit jusqu’à l’âge d’environ, voyons, environ douze ans; ce fut vraiment un beau petit Juif aux cheveux noirs bouclés, et aux petits yeux noirs. Et ce père et cette mère chérissaient certainement ce petit garçon. Et une nuit, le Seigneur réveilla Abraham et lui dit: «Abraham!»
Maintenant, permettez-moi de m’arrêter là. Il appela Abraham; mais j’aimerais dire ceci: ce n’est pas scripturaire, mais cela correspond certainement avec les Ecritures. «Abraham, Je veux montrer à ta postérité à partir d’ici, ce qui arrivera à un homme quand il aura vraiment confiance en Moi. Je sais que Je t’ai promis ce garçon il y a vingt-cinq ans, et tu n’as point douté, par incrédulité, au sujet de Ma promesse, mais tu l’as crue. Maintenant, je veux révéler aux gens de Yakima et de différents endroits où cet Evangile sera prêché, que Je tiens Ma Parole. Je vais te faire subir une double épreuve, pour–pour montrer que ceux qui acceptent Ma Parole, quoi qu’il advienne, ils doivent s’en tenir à Ma Parole. Maintenant, Je t’ai donné cet enfant; Je veux maintenant que tu amènes ce fils au sommet d’une certaine montagne que Je t’indiquerai. Je vais faire de toi, de ta postérité ici, de ce garçon une nation puissante; et Je–Je vais faire sortir aussi toutes les nations de la terre; et tu seras le père de plusieurs nations. Et maintenant, Je veux que tu prennes le seul espoir que tu as d’être le père des nations, puisque Je tiens Ma promesse, Je veux que tu l’amènes au sommet d’une montagne et que tu le tues. Détruis tout ce qui donne l’évidence que tu vas avoir cela.» Oh! j’espère que vous saisissez cela.
43 Puis, évidemment, le pauvre vieil Abraham ne voulut pas réveiller Sara pour lui en parler. Alors, il se leva de bonne heure, prit le petit garçon et les deux serviteurs, ainsi que leur petit mulet; et il coupa du bois et le mit dans un sac avec quelque chose, et ils partirent dans le désert.
Eh bien, tout... un homme ordinaire, quand je faisais des patrouilles, pendant sept ans, je devais faire en moyenne 32 miles [environ 50 km–N.D.T.] à pieds par jour dans le désert. Et nous avons des véhicules aujourd’hui. A l’époque, les hommes devaient marcher quel que soit l’endroit où ils allaient. Un homme ordinaire doit, vous savez, doit faire 22 miles [40 km] par jour. [Espace vide sur la bande–N.D.E].
44 Regardez aux choses que vous ne voyez pas avec vos yeux. Vous ne voyez pas avec vos yeux de toute façon, vous voyez avec votre coeur, et vous regardez avec vos yeux. Ainsi donc vous vous tenez dans cette porte de la foi. Considérez ce que Jésus a dit, ici. Permettez-moi de lire ici: «Parce que tu dis: ‘Je suis riche, je me suis enrichi.’» Considérez nos églises. Nous avions l’habitude de nous tenir dans l’allée. Nous avions l’habitude de nous tenir au coin avec un tambourin. Mais maintenant, nous avons des fois l’un des meilleurs bâtiments qu’il y a dans la contrée, nous avons quelques-uns des érudits les plus raffinés à la chaire. «Parce que tu dis: ‘Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien’, et tu ne sais pas que tu es pauvre, malheureux, nu, aveugle et ne le sais pas.»
Eh bien, si je voyais un pauvre dans la rue, qui ne porte même pas d’habits, et qui est aveugle, si je pouvais aller vers lui et lui en parler et dire: «Monsieur, réalisez-vous que vous êtes nu?»...
– Oh! c’est vrai ça, monsieur?
– Oui, venez ici à l’intérieur. Je vais vous donner des habits.
Mais qu’arriverait-il si cet homme était nu, misérable, pauvre, et aveugle, et qu’il ne le savait pas? C’est que c’est un délinquant. C’est qu’il souffre d’une déficience mentale. Et l’église est atteinte d’une déficience spirituelle. Les gens ne comprennent pas que Dieu est en train d’agiter chaque don devant l’église, mais les gens ne reconnaissent pas cela: ils sont aveugles, mais ne le savent pas. Pensez-y; nu, une personne nue, une personne aveugle, pauvre, misérable et malheureuse, et elle ne le sait pas. C’est pathétique. Et Jésus a dit que l’église serait dans une telle condition dans cet âge de Laodicée; et voici la chose.
«Je suis untel. Je suis membre de cette dénomination. Je suis pratiquement comme vous.»
Mais, frère, Il a dit: «Conseille-Moi... et achète un vêtement blanc.» Dans la Bible, le vêtement blanc est appelé la justice des saints. «Achète de Moi un vêtement blanc. Achète de Moi de l’or éprouvé par le feu», le feu du Calvaire. «Achète de Moi de l’or», l’huile sainte qui a été déversée par Dieu, achète ce genre d’or. Achète la justice des saints, afin que tu sois à l’abri.
45 Et maintenant suivez, et: «Achète de Moi un collyre pour tes yeux.» Oh! la la! achète de Moi un collyre qui ouvrira tes yeux à ce qui se passe autour de nous. Ô Dieu, j’aurais souhaité avoir un moyen d’amener l’église à voir cela. Achète un collyre. Le collyre est une huile lourde. Et l’huile, c’est le Saint-Esprit. «Laisse-Moi oindre tes yeux afin que tu voies que Je suis le même hier, aujourd’hui et éternellement, afin de te permettre de voir que les promesses que J’ai faites pour les derniers jours sont là. Achète de Moi un collyre.»
Nous étions des enfants élevés dans une grande pauvreté. Mon grand-père était un chasseur, un chasseur célèbre, reconnu dans toute la contrée pour la chasse. Et lorsque le temps se gâtait, il tendait des pièges. Et lorsqu’il piégeait, il attrapait des animaux à fourrure. Et il avait des chiens, il attrapait des ratons, des ratons laveurs. Je pense que vous en avez ici à Washington, des ratons laveurs. Et il attrapait ces ratons laveurs, nous en mangions la chair, et nous vendions la peau. Nous ne perdions rien.
46 Et la graisse était une panacée chez nous. On avait une tasse pleine de la graisse de raton laveur. Si l’un des enfants tombait malade, on faisait tomber quelques gouttes de térébenthine sur cela pour un gros rhume, et l’enfant avalait cela. Je ne sais pas comment nous vivions, mais c’est ce que nous faisions. Mais c’était une panacée. Si quelqu’un avait une meurtrissure, on mettait de la graisse de raton laveur là-dessus. Un mal de tête, on vous frottait la tête avec la graisse de raton laveur.
Et nous devions dormir à l’étage; c’était une petite maison à deux pièces, il y avait maman et papa, et cinq enfants que nous étions, avant que les autres ne viennent. Nous dormions à l’étage, nous les garçons. Papa et maman... il n’y avait pas du tout de plancher, c’était un plancher de terre. Une souche coupée nous servait de table. Et ainsi ils... Là dans la pièce, il y avait un–un lit sur lequel il y avait un matelas en paille, avec un oreiller en spathes. Papa utilisait une brosse à raser faite de spathes. Nous étions tout en haut dans les montagnes.
Ma grand-mère est morte à l’âge de cent dix ans, et elle n’avait jamais vu un train de sa vie. Elle n’avait vu qu’une voiture, et c’est moi qui l’avais amenée là-haut, et cela m’avait pris toute une journée pour faire quatre miles [64 km–N.D.T.], en mettant des pierres dans un ruisseau afin que je puisse la faire parvenir là-haut. Tous les voisins se tenaient dehors, ils n’avaient jamais vu pareille chose de leur vie, quand j’ai amené cette petite Chevrolet modèle 26 à travers ces montagnes. J’étais bloqué là. J’ai demandé à un homme s’il voudrait bien prendre son cheval; il labourait; il a dit: «Ma jument, si vous l’approchez de là, elle mettra cette chose en pièces. Elle n’a jamais rien vu de pareil.»
47 Nous étions donc pauvres. Et puis, nous avions... Lorsque la famille s’était en quelque sorte agrandie, on avait coupé quelques jeunes arbres et on en avait fait un escalier, un grenier; il y avait de grosses fentes dans le mur, là où la terre fissurée s’était détachée. De vieux bardeaux étaient disposés dessus pendant le clair de lune; ils se retournaient. On dormait là la nuit... Et pendant l’hiver, maman mettait sur nous une housse de matelas de plumes, et puis, elle mettait tous les vieux manteaux et tout ce que nous avions, puis un morceau de toile, pour que s’il pleuvait, nous puissions nous cacher sous cette toile comme des lapins, s’il pleuvait ou neigeait.
Et on pouvait se coucher là et compter les étoiles à tout moment. Et lorsqu’arrivait une vague de froid, si nous ne nous mettions pas sous cette toile, nous attrapions le froid aux yeux. Et il y... Maman appelait cela matière. Je ne sais pas ce que c’est, mais cela collait nos yeux. Et je devais me lever le matin, faire le feu, descendre ces deux planches ayant des bâtons en travers, et faire du feu dans un vieux poêle à bois... Et alors, maman m’appelait le matin et elle disait: «Billy!» Que Dieu bénisse son petit coeur!
Je disais: «Oui, maman.»
Elle disait: «Descends, il est 4 h. Ton père doit partir.» Et j’essayais de me lever, mon frère et moi, et nos yeux étaient pleins de matière, complètement collés; c’était causé par le froid. Je disais: «Maman, je n’arrive pas à voir.»
«Appelle ton frère Edward.»
Je disais: «Lui non plus n’arrive pas à voir, maman. Ses yeux sont collés.»
Maman allait dans la cuisine vers la petite poêle à plusieurs niveaux, posée sur des rondins. Et elle faisait du feu, et allait prendre la boîte de graisse de raton laveur, la posait sur le poêle et la chauffait. Elle montait là et massait nos yeux avec cette graisse de raton laveur. Cela était très efficace. Nous pouvions voir après qu’elle avait enduit nos yeux de la graisse de raton laveur.
48 Frère, nous avons eu beaucoup de courants d’air dans le spirituel; l’église a été frappée par beaucoup de froid. Il faudra plus que la graisse de raton laveur pour ouvrir nos yeux, il faudra le Saint-Esprit de Dieu et Son collyre pour ouvrir les yeux. Nous avons eu tant de théologie: «Les jours des miracles sont passés. La guérison divine n’existe pas; ce n’est que de la télépathie mentale. N’écoutez pas du tout cela. Ne le recevez pas dans votre ville. Ils sont ceci, cela, et le reste.» Il faudra plus que la graisse de raton laveur pour ouvrir nos yeux qui ont été frappés par ce genre de courant d’air.
Mais Dieu a une graisse qui fera cela. Oui, oui. Cela le fera. Puis, lorsqu’Il aura ouvert vos yeux, vous serez comme Guéhazi qui était avec Elisée à Dothan. Vous souvenez-vous de cette nuit-là, lorsque le vieux prophète est allé là et s’est endormi? Et l’armée syrienne était–est venue encercler toute la ville. Et Guéhazi s’est réveillé avec son serviteur, il a regardé dehors et il y avait, juste tout autour de la ville, rien que des soldats, des armes. Et là était couché le vieux prophète chauve, avec une longue barbe, il était couché là, endormi. Il l’a secoué et a dit: «Mon père, mon père, réveille-toi vite. Nous sommes encerclés. Nous sommes cernés.»
Je peux voir le vieux prophète se lever; ses yeux étaient ouverts. Il s’est levé et a regardé tout autour: «Oui, je les vois, mais ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont avec eux.» Ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que les critiqueurs.
Il a regardé tout autour, Guéhazi avait encore... avait encore besoin d’un massage aux yeux. Il a dit: «Je ne vois que les Syriens.»
49 Le vieux prophète a étendu ses mains, il a posé sa main sur lui, et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru, vous savez. Et ses yeux se sont ouverts. Il a dit: «Seigneur, que les yeux de cet homme s’ouvrent afin qu’il voie.» Et Dieu lui a ouvert les yeux, et autour de ce vieux prophète, partout sur les montagnes il y avait des chars de feu et des anges de feu. Ses yeux étaient ouverts. Si seulement nous pouvions ouvrir nos yeux cet après-midi pour voir les Anges de Dieu, le Saint-Esprit, assis tout autour, se tenant tout autour, se déplaçant dans les allées. Alléluia! Se déplaçant à travers l’auditoire; vous verriez que ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont avec eux. Ô Dieu, ouvre nos yeux. Ouvre nos coeurs. Ouvre chaque porte de nos coeurs.
Il dit: «Je me tiens là et Je frappe. Si quelqu’un entend Ma voix et ouvre, J’entrerai et Je souperai avec lui.»
50 Retournons un peu dans le passé. Il y a quelque dix-neuf cents ans... Nous allons terminer. Installons-nous dans une petite pièce, sur la rue La Droite qui conduit... conduisait vers Golgotha. Et j’entends venir quelque chose. C’est comme si on frappe à la porte: Boum, boum, boum, comme si quelqu’un frappe à la porte. Nous allons à la porte et nous ouvrons la porte. A la porte précisément il n’y a personne, mais cependant, on a frappé. C’est plutôt une vieille croix rugueuse qui descend les pavés ronds, qui est traînée sur les empreintes de pas ensanglantés du Porteur, faisant: Boum, boum, boum. Oh! cela devrait descendre tout au fond aujourd’hui, et vous devriez sentir cela. Cela se frottait contre Son épaule en faisant: boum, boum. Normalement tout homme devait ouvrir la porte à cela, à un Homme mourant, qui ne connaissait pas de péché, qui cependant fut fait péché pour nous. Il frayait une voie vers cet... en cahotant... ô Dieu, que ce coup ouvre chaque coeur ici à l’intérieur, cet après-midi. Boum, boum, pendant que cela avance...
51 Considérez-Le. Il m’est rapporté qu’Il n’avait pas un lieu où reposer Sa tête. Il a dit: «Les renards ont des tanières (Sa création, Ses oiseaux ont des nids), mais Lui, le Créateur des cieux et de la terre, n’avait pas un lieu où reposer Sa tête ni un ami pour rester à Ses côtés.» N’entendez-vous pas ce coup à la porte cet après-midi? [Frère Branham frappe trois fois sur la chaire.–N.D.E.] Il faisait cela afin que ce coup ouvre la porte de votre coeur cet après-midi, pour Lui permettre d’entrer en tant que Dieu et en tant que Sauveur, en tant que Guérisseur, en tant que Roi.
Il avait une seule robe. Il était enveloppé de langes à Sa naissance. Cela provenait de ce qui couvrait l’arrière du joug d’un boeuf–boeuf. Ils n’avaient pas d’habits à mettre sur Lui. Et maintenant, Il meurt avec un seul vêtement Lui appartenant en propre. Et pourtant, c’est Lui qui a créé tous les vêtements, qui a fait les cieux et la terre. Son vêtement était sans couture; ils ont jeté cela sur Ses épaules. Je vois qu’il y a de petites taches rouges là-dessus. Alors que j’ai constaté que ce coup s’éteint, vais-je laisser cela passer sans recevoir cela?
Ô Dieu, que la réunion ne se termine pas avant que vous ayez accepté cela, sachant qu’Il frappe à votre coeur. Il est mort afin qu’Il revienne ici sous forme du Saint-Esprit et fasse les choses qu’Il fait pour vous. Ouvrez votre coeur, croyez en Lui.
52 Je remarque alors qu’Il continue Sa marche, ces toutes petites taches rouges deviennent de plus en plus grosses au point qu’elles se confondent toutes en une grosse tache. Satan suivait là. Il a dit: «Ça ne peut pas être Lui. Ça ne peut pas être Dieu. Je L’ai interrogé un jour et j’ai dit: ‘Si Tu es le Fils de Dieu, accomplis un miracle, que je Te voie le faire.’» Ce démon répond encore à cette question, ou plutôt la pose encore: «Si Tu as la puissance de guérison, que je Te voie guérir cet homme.»
Jésus a dit: «Il est écrit.»
«Et puis, je L’ai eu par les soldats, a dit Satan; j’ai fait que mes soldats romains soient à moitié ivres. J’ai mis un chiffon autour de Sa tête, je Lui ai couvert les yeux, parce que, vous savez, Il disait qu’Il connaissait leurs pensées; Il ne devrait donc pas avoir les yeux ouverts. Et j’ai mis un chiffon autour de Sa tête, j’ai ordonné à mon soldat de le faire, et j’ai–je leur ai ordonné de prendre un bâton et de lui asséner un coup à la tête, et de dire: ‘Dis-nous qui T’a frappé, si Tu es un prophète.’ Il était un imposteur. Il n’était pas capable de nous le dire. Et puis, j’ai ordonné à ces soldats ivres de Lui cracher au visage. Et pouvait-ce être Dieu dans cette chair, allant là avec ces crachats pendant sur Son visage, et avec une couronne de moquerie sur la tête? Et je L’ai interrogé et je L’ai défié de faire quelque chose, et Il n’a point ouvert la bouche. Ça ne peut pas être Dieu.»
53 Alors, quand ils L’ont pendu à la croix, il a dit: «Très bien, toi mort, viens Le prendre. Il n’est pas Dieu.» Je vois cette abeille de la mort venir en bourdonnant tout autour. Il a dit: «Non, ce n’est pas Dieu. Dieu ne peut pas implorer miséricorde à la croix. Dieu ne ferait pas cela.»
Le souverain sacrificateur a dit: «Il a sauvé les autres, mais Il ne peut pas se sauver Lui-même.» Le plus grand compliment qu’on Lui ait jamais fait... s’Il s’était sauvé Lui-même, Il n’aurait pas pu sauver les autres. Mais Il s’est livré afin que je sois sauvé et que vous soyez sauvé.
54 Au bout d’un moment, cette abeille est descendue avec son aiguillon et L’a piqué. Tout le monde sait qu’une abeille ou tout insecte armé d’un aiguillon, une fois qu’il pique en profondeur, il ne peut plus jamais piquer, parce que cela lui arrache son aiguillon. Cette fois-là, la mort avait planté son aiguillon dans la chair qu’il ne fallait pas. Il a arraché l’aiguillon. Eh bien, la mort peut bourdonner, mais elle–elle ne peut plus piquer. L’un de ceux qui ont ouvert les portes a dit: «Ô mort, où est ton aiguillon? Ô tombe, où est ta victoire? Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.» La mort peut bourdonner et agir comme si elle allait piquer, mais elle ne peut pas piquer un coeur où toutes les portes sont ouvertes, et où le Fils de Dieu vit et règne. Ne voulez-vous pas L’inviter à entrer dans le vôtre cet après-midi?
Pendant que le cahotement de la croix continue, c’est Lui qui se tient là, disant: «Je Me tiens à la porte, dans l’âge de Laodicée, et Je frappe. Et si quelqu’un entend Ma voix et ouvre, J’entrerai et Je souperai.» Voulez-vous souper avec Lui? Voulez-vous faire de Lui votre Seigneur? Voulez-vous Le laisser diriger votre vie? Voulez-vous Le laisser vous guider et vous conduire? Si c’est contraire à vos pensées, sacrifiez vos pensées. Que la pensée de Christ soit en vous. Voulez-vous le faire, alors que nous inclinons la tête juste un instant pour un mot de prière.
55 «Je me tiens là et Je frappe.» Considérez ce qu’Il a fait pour vous. Le cahotement de la croix. «Si quelqu’un entend ma voix et ouvre, J’entrerai. Et qu’il Me fasse asseoir, et qu’il M’offre une chaise et Me mette à l’aise, qu’il ne M’attriste pas, qu’il ne dise pas: ‘Je ne veux pas de Toi dans ma vie privée. J’ai suffisamment de foi; je n’ai plus besoin de Toi pour cela.’ Ne faites pas cela. Mais faites-Moi bon accueil, installez-Moi sur une chaise, une belle chaise confortable, et dites: ‘Oui, Seigneur. Voici une petite louange de mon coeur. Voici je lève ma main, c’est juste un petit souper. Voici un petit souper que nous pourrions prendre ensemble, autour duquel nous pouvons nous asseoir et parler avec Toi.’»
Voudriez-vous faire cela? Levez la main, dites: «Frère Branham, je veux maintenant qu’Il soupe avec moi. Je veux souper avec Lui.» Que Dieu vous bénisse, madame. Quelqu’un... Y en aurait-il un autre? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu vous bénisse, soeur. Très bien.
Quelqu’un d’autre au rez-de-chaussée, avant que nous allions au balcon? Levez la main et dites: «Seigneur, entre. Je–je–je veux que Tu soupes avec moi. Je veux que Tu parles avec moi. Je–je–je veux faire de Toi le Seigneur dans mon coeur. Je T’ai senti frapper. Je–je veux que Tu viennes souper avec moi.» Levez la main, quelqu’un d’autre qui n’a pas levé la main au rez-de-chaussée, qui sent ce désir maintenant même. Pouvez-vous entendre le cahotement de cette croix? Eh bien, cela devrait faire frémir chaque muscle qui est en vous, de savoir qu’Il a fait cela pour vous. Ne voulez-vous pas juste lever la main vers lui? Pas juste lever la main... Que Dieu vous bénisse, là derrière, monsieur.
56 En haut au balcon, à ma gauche, voulez-vous lever la main? Vous qui avez la tête baissée, dites: «Soupe avec moi, Seigneur.» Que Dieu vous bénisse par ici, mon frère de couleur. Que Dieu te bénisse, jeune homme qui es assis là. Quelqu’un d’autre en haut, au balcon? Vous direz: «Cela fera-t-il quelque chose, Frère Branham?» Si vous êtes réellement sincère, vous passez de la mort à la Vie. Il va entrer carrément. Avez-vous senti la croix dans votre coeur cet après-midi, la croix qui cahote dans la rue, comme Il essaye de frapper à votre porte pour entrer et faire quelque chose de bien pour vous? Levez la main.
Au balcon à ma droite, en haut là dans l’auditoire, voulez-vous lever la main et dire: «Frère Branham, priez pour moi. Maintenant je...» Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Quelqu’un... Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu bénisse le petit qui est là. Que Dieu bénisse celui-ci. C’est juste. Quelqu’un d’autre, levez simplement la main. Que Dieu vous bénisse. Quelqu’un d’autre? Dites, si... Que Dieu vous bénisse, ici derrière, monsieur. Quelqu’un d’autre? Oui, le petit garçon qui est assis ici. Oh! des fois ce sont ces petits coeurs qui n’ont pas connu tant de déceptions et de choses du monde. Ils sont tendres.
57 Vous savez, la Bible dit dans Esaïe 10 qu’un–un enfant les conduira. Ne voulez-vous pas lever la main juste avant que nous arrêtions maintenant? Que Dieu bénisse la jeune fille. Que Dieu bénisse le petit ami là-bas. Quelqu’un d’autre? Levez la main. Dites: «Maintenant je veux... J’entends le cahotement.» Que Dieu te bénisse, mademoiselle. Que Dieu soit avec toi. C’est un acte de bravoure que de faire cela. Que Dieu soit à jamais avec toi. N’aie pas peur. C’est la plus glorieuse chose que tu aies jamais faite, chérie. L’un de ces jours, lorsque la mort viendra, tu te souviendras que tu avais fait la chose correcte. Tu te souviendras de cela avant que ce temps n’arrive. Que Dieu bénisse ton petit coeur. Quelqu’un d’autre? Levez la main. Dites: «J’entends le cahotement et le coup à ma porte, Frère Branham. Je vais ouvrir la porte et Le regarder. Et lorsque je verrai le sang là, je saurai que c’est Lui, je vais dire: ‘Entre, Seigneur. Entre et assieds-Toi, prends ce qu’il y a de meilleur dans ma maison. Je vais Te faire bon accueil. Je vais aller dire à tout le monde que Jésus s’est occupé de ma petite demeure cet après-midi, mon pauvre petit coeur. Elle ne vaut pas grand-chose, mais Il y est certainement venu, Il a frappé à la porte et je L’ai laissé entrer, Lui, la Personne la plus importante qui puisse frapper à ma porte.» Ne Le repoussez pas.
58 Avec vos têtes inclinées maintenant, pendant que nous faisons l’appel à l’autel, avec révérence et calmement. Je vais juste laisser cela cahoter pendant quelques minutes. [Quelqu’un parle en langues et un autre interprète.–N.D.E.]
Ne m’oublie pas, ô doux (Voulez-vous vous lever de votre siège et venir pour la prière maintenant?)...
... mon humble cri;
Quand Tu réponds aux autres,
Ne m’oublie pas.
Sauveur (voulez-vous venir maintenant vous tenir tout autour de l’autel?)
Ecoute mon humble cri;
Quand Tu réponds aux autres,
Ne m’oublie pas.
59 Pourquoi ne vous levez-vous pas maintenant pour venir ici autour de l’autel? Vous qui voulez laisser cette porte du coeur ouverte, Le laisser être Seigneur dans votre vie. Venez vous tenir ici pour un mot de prière, juste avant que nous commencions la ligne de prière. Voulez-vous le faire? Nous serions heureux de vous avoir ici. Les pasteurs vont vous recevoir. Vous n’avez pas besoin d’aller ailleurs. Ils ont des églises justes ici, il y en a beaucoup qui croient ce même Evangile. Et ils prendront certainement soin d’eux, de vous. Que Dieu vous bénisse, madame. C’est la façon correcte de faire la chose.
Pendant que nous chantons une fois de plus, voulez-vous venir maintenant? Que tous ceux qui ont levé la main s’approchent et se tiennent autour de l’autel pour la prière, je vous prie?
Ne m’oublie pas (Levez-vous et venez, je vous prie. Si vous venez du balcon, nous allons attendre.)
...mon humble cri;
Quand Tu réponds aux autres,
Oh! ne m’oublie pas.
Sauveur, Sauveur,
Ecoute mon humble cri;
Quand Tu réponds aux autres,
Ne m’oublie pas.
Sauveur (Que Dieu vous bénisse, jeune homme et jeune femme. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, mon frère et ma soeur.),
... mon (Ne voulez-vous pas vous lever de votre siège et descendre carrément? Que les ouvriers indépendants viennent maintenant aussi.)
Quand Tu réponds aux autres,
Ne m’oublie pas.
60 J’ai remarqué l’un de nos précieux jeunes gens de couleur. Je pense que c’est sa femme qui s’avance. Vous savez ce qui, à mon avis, lui est venu à l’esprit? Il y avait un homme de couleur qui, pendant le déroulement de cette scène, avait entendu ce cahotement. Il L’a vu tituber; c’est Simon de Cyrène. Il est allé là et a mis la croix sur son dos et a dit: «Seigneur, je–je vais T’aider à la porter jusque sur la colline.»
Il y a deux de ses enfants cet après-midi; ils ont entendu ce cahotement. En cette heure où des critiques s’élèvent contre l’Eglise, ils sont prêts à prendre la croix et à dire: «Seigneur, je vais T’aider à la porter. Peu importe ce que quelqu’un d’autre dit, je viens juste T’aider à la porter.» Il se souvient de cela. Il n’oublie rien.
Sauveur, Sauveur, Ecoute (Ne voulez-vous pas venir? Quelqu’un d’autre?) humble cri;
Quand Tu réponds aux autres,
Ne m’oublie pas.
Toi, la Fontaine de tout mon réconfort,
Plus que la vie pour moi,
Qui d’autre ai-je sur terre en dehors de Toi?
Qui d’autre au ciel en dehors de Toi?
Venez maintenant.
Sauveur (Venez prendre votre place maintenant.), ô Sauveur,
Ecoute mon humble cri;
Quand Tu réponds aux autres,
Ne m’oublie pas.
61 Inclinons la tête maintenant. Continuez avec l’orgue pendant que cette belle et douce musique joue. Vous qui vous tenez ici, jeune homme, homme âgé, femme âgée, homme blanc, jeune femme, l’homme de couleur avec sa femme, même un boiteux est debout.
Ô Dieu, où pouvons-nous aller lorsque la mort nous frappe? Auprès de personne d’autre qu’à Lui. Vous êtes venu, à cause de quelque chose; vous avez senti ce cahotement dans votre coeur. Eh bien, Il est prêt à vous faire entrer maintenant.
62 Notre Père céleste, il est écrit, je cite Ta Parole de Saint Jean 5.24, je La cite du mieux que je sais. Voici les Paroles que Tu as prononcées, conformément aux Ecritures: «Celui qui écoute Mes Paroles (en effet, elles viennent de frapper à la porte), et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Tu l’as dit, Seigneur. Je le crois. C’est à cela que mon âme s’en est tenue, juste à cela. Tu l’as promis. Chaque promesse est vraie. Tu as dit: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire.» Alors la puissance magnétique du Dieu vivant attire cet après-midi, et «Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi». Pourquoi? Parce que le Père a donné cela.
Ils ont entendu, Dieu les a attirés, et les voici. Ce serait impossible pour eux d’être mis dehors. Tu as dit: «Je lui donnerai la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour.» C’est cela Ta promesse, Père.
63 Ils se tiennent ici devant cet auditoire constitué de plusieurs centaines de personnes. Et ils confessent que Dieu leur a parlé. Et Tu as dit: «Celui qui rendra témoignage de Moi devant les hommes, Je rendrai témoignage de lui devant Mon Père et les saints anges.» Ainsi, Tu as inscrit leurs noms dans le Livre de Vie, ô Seigneur. Je Te remercie pour cela. Dès qu’ils se sont mis debout, Tu as agréé leur reconnaissance, comme ils l’ont placée sur Toi cet après-midi, Seigneur. Ils étaient des pécheurs, et ils implorent miséricorde. Reçois-les. Tu as dit que Tu le ferais. Cela confirme la chose. Ils ont été sauvés dès qu’ils se sont mis debout. Ils se tiennent ici maintenant devant l’auditoire, la tête inclinée, pour T’accepter comme leur Sauveur, pour rendre témoignage devant cet auditoire qu’ils sont sauvés.
Père, ne permets pas qu’ils s’arrêtent à ce niveau, mais puissent-ils recevoir le Saint-Esprit. L’heure est proche. Il ne faut pas qu’ils fassent autre chose si ce n’est de se mettre au travail. Donne-leur le matériel, tout ce qu’il y a entre leurs mains. Certains pourraient chanter, d’autres pourraient prêcher, d’autres pourraient témoigner. Nous ne sommes certains que de ce qu’il y a entre leurs mains.
64 Samson n’avait qu’une mâchoire de mulet, mais il a tué un millier de Philistins. Schamgar avait l’aiguillon à boeuf pendant que les Philistins venaient. Il n’avait pas eu le temps de s’entraîner pour savoir combattre. L’Esprit de Dieu est venu sur lui. Il a pris l’aiguillon à boeuf qui était dans sa main et a frappé des centaines de Philistins.
David avait une fronde. Goliath avait lancé un défi, mais Dieu était avec la fronde.
Et les voici ici cet après-midi, ô Seigneur, comme de nouvelles créatures. Puissent-ils recevoir le Saint-Esprit. Même s’ils n’ont pas d’instruction, de formation, ou que sais-je encore; envoie-les servir dans les champs missionnaires, ô Seigneur, pour Ta gloire, puisqu’ils ont accepté ce coup à la porte.
65 Et pendant que vous êtes debout, et vous qui êtes venus à l’autel, même les petits garçons et tout, si vous croyez que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, et croyez qu’Il est mort pour vous sauver, et si vous L’acceptez comme votre Sauveur, levez la main devant cet auditoire, afin que les gens voient que vous acceptez effectivement Jésus comme votre Sauveur.
C’est à vous qui êtes ici à l’autel que je m’adresse. C’est ça. Levez la main. C’est comme ça. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse.
Maintenant, pour une petite bénédiction supplémentaire, afin de vous instruire, les ministres se tiennent ici, prêts pour vous conduire dans une salle où nous pourrons vous rencontrer, dans une salle pour la prière. Tournez juste à droite, alors que je fais un autre appel. Tournez juste par ici, s’il vous plaît. Venez à droite, juste par ici. Que les ouvriers indépendants suivent ceux-là, juste maintenant, juste maintenant dans la salle. Par ici, les ministres ainsi que les ouvriers indépendants. Venez juste par ici dans la salle.
Quand Tu rép... aux autres,
66 Combien n’ont pas le Saint-Esprit et voudraient entrer pour recevoir le Saint-Esprit maintenant? La porte est ouverte. Entrez juste avec eux. C’est pour cela qu’ils y vont. Ils ont été sauvés. Ils viennent... Lorsque Dieu a parlé à leurs coeurs et qu’ils se sont levés, ils étaient les élus de Dieu. Dieu les a appelés. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire. Tous ceux que Mon Père m’a donnés viendront à Moi.» C’est juste. Ils sont donc allés dans la salle. Quelqu’un d’autre du balcon voudrait-il entrer avec eux, quelqu’un qui n’a pas le Saint-Esprit? Nous avons des instructeurs et les autres qui peuvent vous instruire et rester juste là le reste de la journée et de la nuit, si vous le voulez, jusqu’à ce que vous arriviez au baptême du Saint-Esprit.
Frère, c’est une chose essentielle. Vous devez croire cela. Vous devez avoir cela, sinon vous périrez. Entrez-y, je vous prie, pendant que nous chantons encore une fois.
Comptant seulement sur Tes mérites,
Je voudrais voir Ta face:
Guéris mon esprit brisé, affligé,
Sauve-moi par Ta grâce.
Levons les mains, tout le monde maintenant.
Sauveur, Sauveur,
Ecoute mon humble cri;
Quand Tu réponds aux autres,
Ne m’oublie pas.
67 Notre Père céleste, qu’il ne reste personne parmi nous. Au mieux de ma connaissance, je leur ai donné Ta Parole, La citant exactement telle qu’Elle est écrite, frappant à la porte, aux portes des compartiments du coeur, disant: «Que celui qui veut vienne et qu’il boive aux eaux des fontaines de la Vie, gratuitement, sans argent, sans payer. Venez et plaidons. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront blancs comme la laine.»
Et de même que Tu as regardé à travers le Sang rouge de Ton Fils, nous savons que le rouge vu à travers le rouge paraît blanc. Sans cela, c’est toujours rouge. Hors du Sang, eh bien, il n’y a pas de pardon de péché, et ils sont venus, beaucoup d’entre eux, pour accepter cela, Père. Il y en a beaucoup ici dans la salle; je ne connais pas leurs coeurs; Toi, Tu les connais. Par conséquent, lorsque je me tiendrai là, si le jour du Jugement arrive aujourd’hui ou demain, il n’y aura alors pas de sang d’un homme sur moi, parce que je T’ai offert à eux par Ta Parole, et l’Esprit dit:»Viens.»
L’Epouse dit: «Viens.»
«Que celui qui veut vienne et boive aux eaux des fontaines de la Vie, gratuitement.»
68 Ô Dieu, accorde qu’aucune âme ici ne soit perdue, mais que toutes soient présentes ce jour-là, sauvées, et sous le Sang. Derrière dans la salle, là où ces ouvriers sont au travail, ô Dieu, je Te prie de les remplir tous du Saint-Esprit. Donne-leur le désir de leurs coeurs.
Accorde-le. Qu’ils trouvent la communion fraternelle parmi les saints maintenant, qu’ils soient membres de certaines de ces bonnes églises dans leurs communautés. Bénis ceux qui cherchent le baptême du Saint-Esprit, puisse Celui-ci venir gracieusement sur chacun d’eux. Aide-nous maintenant, alors que nous appelons la ligne de prière. Guéris les malades et les affligés.
Et lorsque cette vie sera terminée, ô Père, que le dernier sermon aura été prêché, qu’un de ces jours je ferai... Ma vie devra avoir un terme ici sur terre, si Jésus tarde. Et alors, ma Bible sera fermée pour la dernière fois, le dernier cantique aura été joué, alors, puissions-nous Te rencontrer, ô Seigneur, dans la paix. Viens, ô Seigneur, maintenant, et révèle-nous que Tu es vivant, alors que nous nous attendons à Toi pour les malades. Nous le demandons au Nom du Seigneur Jésus-Christ, pour Sa gloire. Amen.
69 Maintenant, je crois que Billy a dit qu’il a distribué 100 cartes de prière. Je ne sais pas de quelle lettre il s’agit. E? Eh bien, il n’y en aura plus de toutes façons, parce que nous avons prié pour chaque... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... médicament vous guérira. S’il le fait, il–il ne sait pas de quoi il parle. La guérison, c’est la multiplication des cellules ou de la vie. Le médicament ne peut pas produire la vie. S’ils avaient laissé... le médicament produisait la vie, nous le déverserions dans une bouteille, le secouerions, et un homme en sortirait. Voyez-vous? Mais nous ne sommes pas... Nous n’avons pas cela. Si vous allez... Maintenant, vous dites: «Frère Branham, que pensez-vous des médecins?»
Je crois qu’ils sont des serviteurs de Dieu. Je crois que certains d’entre eux ne le sont pas. Mais il y a aussi certains prédicateurs qui ne sont pas des serviteurs de Dieu. Je rencontre plus de médecins que des prédicateurs qui croient dans le surnaturel.
70 J’ai visité récemment un hôpital, pour un bilan de santé avant d’aller outre-mer. J’ai parlé à tout le staff médical, et chaque membre du staff croyait à la guérison divine. Certainement. Si vous la leur présentez de façon raisonnable. L’un des médecins responsables de ce certain hôpital m’a dit, il a dit: «Eh bien, Monsieur Branham, a-t-il dit, nous renvoyons les gens qui sont morts. Pas de pouls du tout. Et, a-t-il dit, bien vite, nous réalisons que là dans la salle de chirurgie, il y a quelqu’un à côté de nous.» C’est juste.
Maintenant, écoutez, qu’arriverait-il si je me fracturais le bras, que j’allais voir un médecin et disais: «Guéris-le immédiatement, docteur, je dois terminer mon travail»?
Il dirait: «Tu as besoin d’une guérison mentale.» C’est juste. Il peut remettre en place le bras, mais c’est à Dieu de guérir. C’est à Dieu de produire le calcium et les substances qui composent cet os, et souder cet os; il n’existe aucun médicament pour le faire.
Eh bien, qu’arriverait-il si j’avais une appendicite et que le médecin devait opérer? Il ne m’a pas guéri; il a simplement ôté l’appendice. Qui va guérir l’endroit où il a fait l’ablation? Il n’existe aucun médicament pour guérir cela.
71 Quelqu’un m’a dit, il a dit: «Frère Branham...»
Une fois, j’ai fait une observation comme cela. Je l’ai faite comme ceci; j’ai dit: «Aucun médicament ne pourrait guérir ma main, si je me faisais une entaille à la main... Ecoutez, si je me faisais une entaille à la main et tombais mort, vous pourriez–vous pourriez mettre sur ma main tous les médicaments du monde, embaumer mon corps et faire que je garde l’air naturel pendant cinquante ans, cette entaille serait exactement comme elle était au moment où je suis tombé mort.» Assurément. Si les médicaments guérissent, pourquoi cela ne guérit-il pas? Eh bien, si le médicament guérit l’entaille à la main, il guérirait l’entaille à ma veste. Il guérirait cette entaille.
«Eh bien, diriez-vous, le médicament n’a été fait ni pour votre veste ni pour ceci.»
Eh bien, qu’en est-il alors de mon corps, si je suis–si je tombais mort, et que vous le suturiez, et l’embaumiez, pourquoi cela ne guérirait-il pas, si cela guérissait le corps?»
«Eh bien, diriez-vous, la vie en est sortie.»
Oh! vous y êtes. La vie! Qu’est-ce que la vie? Dites-moi ce qu’est la vie, et je vous dirai qui est Dieu. En effet, Dieu est la Vie abondante. Tout à fait exact. Cela dépend de votre attitude envers cela. Voyez-vous? Vous ne pouvez pas faire cela. Vous devez donc vous rappeler que–que Dieu est le seul Guérisseur qui existe.
72 Une fois quelqu’un m’a dit, il a dit: «Frère Branham, qu’en est-il de la pénicilline pour la pneumonie, pour les gros rhumes?»
J’ai dit: «Assurément. La pénicilline c’est comme mettre un raticide dans votre maison, après que les rats ont creusé des trous dans votre maison. Cela tue les rats, mais cela ne guérit pas les trous qu’ils ont creusés.» Tout à fait exact. La pénicilline est un poison qui tue les microbes qui sont dans le corps. Et puis, cela ne–cela ne restaure pas les cellules sanguines que les microbes ont détruites. C’est Dieu qui doit faire cela. Certainement.
Dieu est donc le seul Guérisseur qui existe. Si ce n’est pas le cas, la Bible est fausse. Dieu a dit dans Psaumes 103.3: «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» Je tiens ma...
73 Quand je–j’ai été interviewé à la Clinique Mayo, ils m’ont dit: «Nous ne...» Le vieux Jimmy Mayo, chez les vieux frères Mayo, avait une chose là dans son bureau, là où vous aviez cela. Ils m’ont amené derrière et m’ont montré, lorsque ce Donnie Martin... Combien ont lu le Reader’s Digest? Lorsque la Clinique Mayo l’avait abandonné, et tout, et il est arrivé là en Californie, depuis le Canada... Le Seigneur l’a guéri, Il l’a rétabli. Et les Mayo l’avaient abandonné, de même que John Hopkins. Ce garçon est devenu normal. Et ils... J’ai été interviewé là-dessus. Et ils ont dit: «Nous ne prétendons pas être des guérisseurs. Nous prétendons seulement assister Dieu... la nature. Dieu est le seul Guérisseur.» C’est juste.
Les médecins sont donc des serviteurs de Dieu. Je ne peux pas... Je–je–je ne peux pas guérir. Le médecin ne peut pas guérir. Eh bien, son travail consiste à ôter une grosseur, à arracher une mauvaise dent. Je n’ai pas affaire à cette grosseur. J’ai affaire à la vie qui est dans cette grosseur, l’esprit, un cancer; c’est un démon. La Bible dit: «Quand l’esprit sourd-muet est sorti de l’homme, celui-ci a pu parler et entendre.» Voyez-vous?
74 L’esprit... Si un–un homme est sourd-muet, le médecin dira que les nerfs sont morts. Eh bien, pourquoi ne sont-ils pas morts dans tout son corps? C’est exactement comme ceci: qu’arriverait-il si j’avais une bande transparente autour de ma main, empêchant la circulation? Ma main serait aussitôt engourdie, elle deviendrait inutilisable. Ainsi donc, vous ne pouvez pas voir cela. Le médecin ne travaille que sur base de deux sens, deux de ses cinq sens; ce qu’il voit, ce qu’il sent. Eh bien, si donc il ne voit pas la chose ou plutôt ne la sent pas, alors lorsque cette bande sera ôtée, la circulation reprendra à ce moment-là. Juste comme la nature...
75 L’autre soir, une dame avait là un bébé handicapé moteur dans la salle d’urgence. Et j’ai prié pour le petit ami. Je le lui ai dit, j’ai dit: «C’est comme une tige de maïs qui pousse, si rien ne la gêne, elle produira une tige de maïs bien droite et un bel épi. Si une plante grimpante s’enroule autour de cela, et qu’un obstacle se met dessus, la tige va se courber. Eh bien, c’est pareil pour un handicapé moteur ou tout autre chose. Il y a quelque chose qui a gêné cela. Eh bien, si vous pouvez ôter ce qui gène, la chose va se redresser.»
Eh bien, beaucoup disent: «Eh bien, je ne vois aucune différence maintenant.» Cela n’a rien à voir avec la chose, pas du tout. Retirez du blé l’obstacle, il ne va pas se redresser immédiatement. Donnez-lui simplement une chance. En restant au soleil chaud, à la pluie, voyez-le se redresser carrément. Vous ferez donc la même chose. Croyez simplement la chose. C’est Dieu. D’une part, toute vie, à l’exception de cette vie, c’est une vie végétale qui vient par le soleil [S-U-N–N.D.T.], mais la Vie Eternelle vient par le Fils [S-O-N] (Est-ce juste?), le Fils de Dieu.
76 Je vous dis ce que vous pouvez faire: coulez du béton d’un bout à l’autre de votre trottoir, mettez l’herbe là en dessous. Où l’herbe sera-t-elle la plus touffue au printemps suivant? Juste à la bordure du trottoir. Pourquoi? C’est cette vie qui se trouve là à l’intérieur. Vous ne pouvez pas cacher la vie. Quand ce soleil commencera à chauffer ce béton, cette petite vie va pousser et sortir carrément, sortir carrément, et elle dressera sa tête et louera Dieu. C’est juste. Vous ne pouvez pas cacher cela.
Prenez une–une plante, et mettez-la au fond d’une bouilloire, renversez la bouilloire, observez cette plante se retourner aussitôt, se redresser et louer Dieu. C’est juste. Vous ne pouvez pas cacher la vie. Et lorsque la vie se trouve dans le coeur, Dieu est dans le coeur, vous ne pouvez pas la cacher. Oh! Il est réel!
77 Maintenant, regardez cette ligne de gens, qui va droit dans le couloir et dehors. Eh bien, vous le savez très bien, je ne pourrais pas exercer le discernement sur tous ces gens. Voyez-vous? Combien savent cela? Eh bien, environ... Après quatre ou cinq personnes, je m’évanouis donc pratiquement.
Combien ici à l’intérieur, maintenant... Eh bien, vous n’avez pas de cartes de prière, mais croyez-vous de tout votre coeur que Dieu vous guérira? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... vous rétablir. Très bien, maintenant allez voir... [Espace vide sur la bande] Vous voyez, lors du premier ministère, lorsque le Seigneur m’avait dit de poser les mains sur les... les gens poseraient leurs mains sur la mienne.
78 Venez ici. [Espace vide sur la bande]...?... Oui, oui. Eh bien, comme je viens de le dire, s’il n’y avait pas de microbe, cela ne se manifesterait pas. Mais cela se manifeste effectivement. Vous souffrez de la gastrite. Croyez-vous que le Seigneur vous guérira de cela? Je veux que vous voyiez ceci. Je veux que vous regardiez ma main. Maintenant, ôtez votre main. Voyez-vous? Je mets la mienne dessus; cela n’a pas le même effet. Mais la vôtre... Eh bien, ce qui est mystérieux, c’est comment j’ai su ce qui n’allait pas en vous. Voyez-vous? C’est–c’est le Saint-Esprit. Maintenant, croyez-vous que si je prie pour vous, cela s’en ira? De tout votre coeur? Observez cela.
Notre Père céleste, qu’il soit connu que Tu es Dieu, et il est écrit dans les Ecritures: «En Mon Nom, ils chasseront les démons.» Je défie ce démon qui fait du mal à ma soeur; au Nom de Jésus-Christ, sors d’elle! Maintenant, vous regardez vous-même, madame. Maintenant, avant que je n’ouvre les yeux ou ne fasse quelque chose, et ce frère-là qui regardait aussi ma main, cela est redevenu normal, n’est-ce pas? Eh bien, il s’est passé quelque chose, n’est-ce pas? Vous êtes guérie. Croyez simplement.
79 Maintenant, cette dame. Je ne la regarde pas pour avoir une vision. Mettez votre main sur la mienne, madame. Oui, oui. Vous êtes couverte de l’ombre de la mort; c’est le cancer. En êtes-vous consciente? Eh bien, elle doit recevoir la guérison, sinon elle va mourir. Eh bien, je–je suis... je ne peux simplement pas expliquer cela. Je–je... Vous devez simplement croire cela; voilà tout. Je... Il m’est impossible de faire cela. Maintenant, madame, si je pouvais faire quelque chose pour vous aider, je serais un hypocrite si je ne le faisais pas. Mais je–je ne peux pas faire autre chose que prier. Si vous et moi, nous nous mettons d’accord, comme l’a promis Jésus dans la Bible, et que vous croyez ceci de tout votre coeur...
Comment pensez-vous que je sais que vous souffriez comme cela? Par un don. Est-ce juste? Croyez-vous que ce don vient de Dieu? Eh bien, si nous sommes d’accord maintenant, je peux faire que cela vous quitte. Vous pouvez voir cela s’en aller. Mais si un... si je–si nous mettons nos fois ensemble, et que cela s’en aille; je ne peux pas dire que cela restera. Eh bien, voyez-vous, j’ai affaire à la grosseur (voyez-vous?), eh bien, à la vie qui est là-dedans; la grosseur sera probablement encore là. Mais après quelques jours, cette grosseur enflera et augmentera de volume. Laissez cela donc tranquille. Cela n’a plus de vie. C’est comme un petit chien qui se fait écraser sur la route. Il va rétrécir pendant un moment, mais ensuite il va gonfler et doubler de volume.
80 Beaucoup de gens disent: «J’ai perdu ma guérison.» Non, c’est le signe que vous l’avez. Si cela tombe malade, c’est un morceau de chair pourrie qui se trouve là. Le coeur doit purifier le sang, cela bat donc là et c’est le début d’une infection, cela amène la fièvre et tout. Cela montre que vous avez reçu votre guérison. Beaucoup de gens disent: «Oh! je l’ai manquée; je l’ai manquée.» Voyez-vous?
Eh bien, voulez-vous croire? Maintenant, rappelez-vous, lorsque cela sort, cela va dans les lieux arides. Eh bien, si vous croyez, mettez votre main. Je veux que vous compreniez, afin que... Approchez; en effet, vous êtes dans un état critique. Je veux que vous regardiez ma main. Voyez-vous? Maintenant, elle devient un peu rouge, et de petites choses blanches circulent dessus. Eh bien, ce n’est pas là ce qui est mystérieux. Maintenant, prenez votre autre main ici et mettez-la là-dessus...?... Maintenant, cela n’a pas le même effet là-dessus, n’est-ce pas? Voyez-vous? Cela ne se fait que sur celle-ci. Mais maintenant, mettez cette main dessus. Voyez-vous? C’est ce qu’Il fait. Ça y est. Voyez-vous?
Maintenant, si nous nous mettons d’accord, pour montrer que Dieu tient Sa Parole, voici un signe physique. Je mets ma main comme ceci afin que vous voyiez que ça ne se manifeste pas. Très bien. Maintenant, voyez-en juste l’apparence.
81 A présent, je veux que tout le monde garde la tête baissée, parce qu’il s’agit de chasser un mauvais esprit. Et lorsqu’il se met en colère et qu’il est obligé de sortir, généralement je laisse le choix au malade. S’il veut croire cela, très bien. J’ai fait tout mon possible. Cette fois-ci, c’est afin que l’auditoire, cette personne, les ministres, et que sais-je encore, voient cela et sachent que c’est fait. La femme regarde là. Eh bien, que Dieu soit donc le Juge. Maintenant, soyez révérencieux. Et alors que vous regardez, observez ma main.
Seigneur, la femme observe ma main. Elle sait que c’est quelque chose de mystérieux, elle sait ce qui ne va pas en elle. Je Te prie, Père, au Nom de Christ, de ne pas retenir ceci contre elle. Mais nous voulons que les gens sachent que Tu frappes aux portes, et elle observe cette réaction physique ici. Et je Te prie, Père, de faire que cela quitte son corps. Ecoute-moi, ô Père, au Nom de Christ.
Maintenant, ce n’est pas encore parti. Eh bien, la dame est témoin; elle observe. Je sens encore cela, cela paralyse pratiquement ma main. Maintenant, soyez révérencieux, tout le monde. Je n’ai pas encore ouvert mes yeux.
Satan, la médecine t’appelle cancer, ce qui signifie crabe. Mais nous, nous te connaissons comme étant un démon, un tueur, la mort. Et la mort et la vie ne peuvent pas coexister. Je viens au Nom de Jésus-Christ apporter la vie. Sors d’elle, je te l’ordonne! Au Nom de Jésus, quitte-la! Maintenant, que la dame soit juge. Je n’ai pas encore déplacé mes mains, mais c’est parti. Est-ce juste? Maintenant, relevez la tête. Eh bien, avec ma main posée ici sur cette table, la dame est témoin. Maintenant, regardez, madame, afin que vous voyiez. C’est différent, n’est-ce pas? C’est différent, n’est-ce pas? Maintenant, prenez cette main. Voyez-vous? [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
82 Au Nom de Jésus, que le petit soit guéri. Si seulement vous croyez... [Espace vide sur la bande]...?...
C’est comme si tout l’auditoire devient tout couvert de... Pourquoi n’avez-vous pas fait cela au début? Tous ceux qui souffrent d’une maladie du sang, levez-vous là-bas, les anémiques et autres, les diabétiques ou que sais-je encore. Tenez-vous debout et croyez de tout votre coeur, partout, n’importe où, en haut, en bas, où que ce soit. Comment vais-je les appeler? Voyez-vous? Restez debout. Tenez-vous ici juste un instant.
Venez en croyant. Venez ici, juste ici. Regardez ici, soeur, qui souffrez du diabète. Et vous aussi, tenez-vous juste ici. Que tous les diabétiques se mettent debout. Vous allez voir arriver quelque chose maintenant, si vous croyez simplement. Ayez la foi. Croyez de tout votre coeur. Très bien. Croyez-vous de tout votre coeur?
Au Nom du Seigneur Jésus, que mon frère soit guéri. Amen.
83 Evidemment, vous êtes un estropié. C’est l’arthrite. Tenez-vous ici. Que tous ceux qui souffrent de l’arthrite se mettent debout. Regardez ici. Voyez-vous?
Très bien, approchez, soeur, juste ici. Regardez par ici vers moi; croyez-vous que je suis serviteur de Dieu? Je savais depuis que vous étiez assise là, vous réjouissant de ces guérisons, que vous souffriez de cet asthme, mais croyez-vous que Dieu va lui permettre de guérir de cela? Que tous ceux qui souffrent de l’asthme se mettent debout. Levez-vous. Si Dieu peut en guérir un ici, Il peut guérir ceux qui sont là-bas, n’est-ce pas? L’asthme.
Très bien, les troubles des reins. Très bien, tous ceux qui souffrent des reins, mettez-vous debout. Très bien. Croyez de tout votre coeur.
84 Approchez, soeur, regardez-moi. La gastrite. Tenez-vous juste ici. Tous ceux qui souffrent de la gastrite, levez-vous. Très bien. Regardez ici, vers moi. Oh! toute l’assistance est tourmentée par cette maladie que vous avez: la nervosité. Que tous ceux qui souffrent de nervosité se mettent debout. Que tous ceux qui souffrent de nervosité se mettent debout.
Regardez ici, comment pourrais-je parcourir cet auditoire, en appelant tous ces gens? Mais le Saint-Esprit est ici; il y en a tellement qui viennent à la fois que je ne peux pas dire où c’est.
Oh! Il frappe. [Frère Branham frappe sur la chaire.–N.D.E.] Croyez-vous cela? Voici le moment. Voici l’instant. Que tous ceux qui sont malades se mettent debout. Que tous ceux qui veulent être guéris se mettent debout et lèvent les mains.
85 Approchez, soeur, la nervosité est partie. Partez en croyant. Levez les mains. Acceptez-vous Christ comme votre Guérisseur? Si c’est le cas, agitez vos mains vers Lui.
Ô Dieu, Auteur de la Vie, Donateur de toute grâce excellente, envoie Tes bénédictions sur ce peuple que je bénis en Ton Nom.
Satan, tu as perdu la bataille. Tu es exposé. Cette assemblée sait que tu es exposé. Tu es un démon. Tu es un menteur. Tu es un bluffeur. Et nous dénonçons ton bluff dans la Présence du Saint-Esprit, en tant que serviteur de Dieu, ayant un don de guérison apporté par un Ange qui t’expose. Sors d’eux, Satan! Au Nom de Jésus-Christ.
Levez les mains et donnez-Lui gloire, et je vous assure de votre guérison, tout votre groupe, au Nom de Jésus-Christ.
E-1 Let us remain standing just a moment. I was sorry to be a little late tonight, but I was in the emergency room out there, and I was delayed a little. So before we set down, I'd like to read a Scripture here found in Genesis, to finish up the subject that I started last evening. In Genesis 22, we read it--this from the 7th verse:
And Isaac spake unto Abraham his father, and said, My father: and he said, Here am I, my son. And he said, Behold the fire and the wood: but where is the lamb for a burnt-offering?
And Abraham said, My son, God will provide himself a lamb for a burnt-offering: so they both... went together.
And the 14th verse again:
And Abraham called the name of the place Jehovah-jireh: as it is said to this day, In the mouth of the Lord shall it be seen.
Let us bow our heads now, just a moment as we approach the Author of this Word in prayer:
E-2 Most gracious, Father, we are glad tonight, that Abraham's God is our God, that we are His children by the promise through Jesus Christ. Then as He's just the same tonight to His children, as He was to father Abraham... For what He was to Abraham, the blessings do not promise only Abraham, but also his children after him. And when that great and mighty One came, that mighty Child, the Lord Jesus, He was offered for sin, for our sins, that we might, through His righteousness, become the children of Abraham, which is the children of God by promise.
Now, Father, we pray that You'll give us tonight the faith that Abraham had. And as we speak of the Word, may the Holy Spirit confirm all that you have written. And may, when we leave here tonight, after this prayer line is over, start to our different homes, may we say like those who came from Emmaus, "Did not our hearts burn within us, as He spake to us along the way?" Let Him do tonight, the things that He did before His crucifixion, that this Emmaus tonight, might know that He has raised from the dead, and quickly, we'll go telling others, "Truly, the Lord has risen from the dead, and has appeared to us here in Yakima." We ask it in Jesus Christ's Name. Amen. May be seated.
E-3 There are many are laying handkerchiefs up here. I do offer prayer for them each night. I remember in South Africa, one of the books, I believe it was written by Chaplain Julian Stadsklev. He wrote the book, I believe, "Prophet Visits Africa." And they had several big, burlap sacks across the platform, laid full of mail. And the editor of the paper, The Reporter, said, "Brother Branham is very superstitious." Said, "He was praying over a cloth." They just--they never heard of it. You see? And of course, that is part of the Gospel. That's something that God has promised that He blessed. And we have a--a chain of prayer around the world for these cloths. Some people gets up at twelve o'clock, some three o'clock in the morning, and we all travel and pray according to Eastern Standard time. We send those out from the Tabernacle around the world. People get up, praying for the others, not for themselves, for others, and others are praying for them, like we do here at night. And I tell you; you ought to see the testimonies that come in of the great things the Lord has did.
E-4 Just speaking, last night, in the emergency room, there was a little German woman, sent not long ago, and she got a prayer cloth, and on the--the little piece of ribbon. I used to send a handkerchief. But when they got too many, I couldn't do that; so I just get hundreds of yards of ribbon, set down praying over it, send it to the sick and afflicted. And just... A little German woman, she got the instructions, and they interpreted it to her what it was in Germany, how that first you call your pastor. And if your pastor can't come, some good Christian, out of the neighborhood, or some member of your family, confess all your wrongs, if you have any. Pray.
Take this little piece of cloth, and pin it on the underneath garment. Lay your hands upon it, and tell God that you'll serve Him the rest of your life, if He will let you get well. And then, when you do that, then each hour at the old sacrificial hours, at nine o'clock, twelve o'clock, and three in the afternoon, Eastern Standard time, that's when I'm praying at the same time, and we go around the clock. Like that and around the world. And you just... God can't ignore that. All over the world, at the same minute. It's prayers, hundred and hundreds of people blasting forth at one time.
And this little German woman put that upon her, and she called her neighbors, her pastor; she'd had arthritis for twenty something years in a wheelchair. It was kindy cute, and sensitive, but she said, when she put that on there, said, "Now, Mr. Devil, you cannot hold me no longer, so just get out. Here I come." And out of the wheelchair she went, and away she went walking.
Just that simple. It's just that simple, faith is. And what I've taken these nights for, to speak on faith, is because people try to make faith complicated. It--it... God doesn't make it complicated, it's us that makes it complicated. We're going way out there, trying to get something way out there, and here it is right here by us, simple. If you've got faith enough to walk across that floor, you faith enough for anything God promised. If you've got faith enough to raise up your hand, why, you--you've got faith enough for anything else. It's simple faith. Just apply it with the hyssop, that I've told you in the messages. Just take the Blood and by simple faith, just like you eat, drink, walk, drive your car, speak, or anything else, it's just that simple. But when, you go to thinking, "Oh, can I do it? Can I do it?" See? Then you're--you're going plumb away from the--the main thing. You've got to come back here to simple, child-like faith, just to believe God. Say, "God promised it. It's my profession. Christ died for it. And it's mine." And just go right ahead, and believe it, and don't think nothing else about it, just... It's all right. It's all over. And you'll get well.
E-5 Now, I know that is the truth, because I have tried it. But now, if you've got unconfessed sin in your heart, it sure won't work. You've got to confess your sin. Believe on the Lord Jesus Christ; accept Him as your Healer, just like you would as your Saviour.
They say, "Is salva... Is Divine healing lasting, Brother Branham?" Just as long as faith is lasting. When you get to a place that you say that you're not saved no more, remember, you're lost your ground right there. When your confession goes down, then your faith goes down.
And now, the first thing that Hebrews says this that Jesus Christ is the High Priest making intercessions upon our confession." And before God could do one thing for you, you have to first, confess that He has done it. He's the High Priest of our... 'Course, the King James says, "professing," and profess and confess is the same word. See? Profess that it is, or confess that He is. See? Profess, I profess I'm a Christian, or confess I'm a Christian. Makes no difference.
And then, and the woman touching His garment, it said, "Thy faith has saved thee."
E-6 Now, these Greek scholars here, would tell you, that that word there in the Greek is "Sozo," which means just exactly "like saved physically or saved spiritually." Same in translation. So "Sozo," thy faith has "sozo," saved thee. Thy faith saves thee from hell. They faith saves thee from death. Thy faith saved thee from sickness. See? It's "Sozo," the same word. So the same faith that you have in God for your salvation, is the same faith you use for your healing. Just simple; believe it; act upon it. Doesn't take any sensations; it doesn't take anything in the world, but just common faith. You don't have to feel nothing. You don't have to... Only thing you have to do is believe something, believe that Jesus died that you might be saved, and it's yours. Faith is so simple.
E-7 The other day, there was some... I was walking around, and there was a--some minister setting out under a tree. The Holy Spirit said to me, "Go talk to him." And I went over there, and his wife come out, and a group of people that had been here; and they couldn't get a prayer card, and didn't know there was an emergency room; they had to go back. See the grace of God?
And then, well, while I was there, the Holy Spirit came down, and begin to reveal all kinds of things. And them people begin weeping and going on. I said, "You brought an Indian with you, where's that at?" And so I said, "The Indian's a little girl, and she had a fever and it paralyzed her brain."
And that man begin to weep. He was a missionary to the Indians. And he said... I said, "Get the girl; we'll pray for her." And I said, "Her father hasn't got money to stay another night."
That's what hurts me. I wonder how it ever happened. I--I--I'm going have to change doing what I'm doing, because I don't get in contact with enough of the people through these visions.
E-8 The people in America, we been taught too long, we must lay hands on one another. And really, that's exactly what my calling was to do. The Angel of the Lord told me, I was born to pray for sick people. It was me that questioned, then He said, "By these signs, it would cause them to believe."
I said, "They wouldn't believe me. I'm uneducated, and they wouldn't believe me."
He said, "By this they have to believe, 'cause you'll know the very thoughts of their heart."
Many times, I wished sometimes I'd had something else. For many times I stand before people, that's put their hands on my back, and call me brother, and I know that's wrong. See? I've stood with--even with people that stay, and say, "Oh, Brother Branham, I've got the Holy Ghost," and things like that. And know living with another man's wife, or some other woman's husband... Stand and have to swallow that when you know different, cuts and hurts. Don't never covet it; don't never want it. You don't know what goes with it. See?
E-9 A good friend of mine, we was just setting at a table, a minister. And I'd wrote to him, and he was a fine man. I met him, and I was just setting at a table eating one day, and down in Louisiana, something happened. I looked across the table, and I wished I would not have done it. It's hurt me ever since. If I just wouldn't have done it. That's the reason, I try to keep it away as much as possible, to keep from seeing it. I don't--I don't want to have that feeling. I want to believe that there's... that love me anyhow. See? And you don't want to have it, and you don't realize what you have to battle against, knowing... And then, what someone says, and what someone means in their heart sometimes, is two different things. And you hate to know that, because I love people, and I want to love them with a true love, not knowing what they even think. But that don't make any difference, but I--I want to love anyhow. And then, but the more simpler we can get, the better off we'll be.
E-10 I was just speaking of Indian. I remember my first dealing with Indians. I promised the--the Lord, to this missionary, when I prayed for the little girl, and sent her home, if... And said, "Lord, if You will let that child recover, I'll go to the reservation."
I remember in Phoenix, the first time was out at San Carlos, the Apaches, first Indians I prayed for. I always felt sorry for Indians. They didn't get a very good deal. We know that. And so that night at San Carlos, back many years ago, they'd... We'd went over there, and we said, "Indian only."
And so they were out on their reservation, and oh, when the sun went down that afternoon, it was beautiful to see the--all setting on blankets, and so forth, standing and setting. And I was in the little Assembly of God mission, out on the porch, one speaker and one interpreter, and that woman... They don't have any sentences or paragraphs, or punctuations, the--the talk's kindly rough. And so, I...
E-11 She was interpreting, then I went ahead, and I said, "Now, you people, I feel sorry for you." I said, "But I'm just one American." I said, "I don't think it was right to push you off out here in these places and so forth." I said, "I think it's one of the biggest stains that ever went on the flag." And I said, "How would we like if Japan had won the war, and push us off in a place like that. It wouldn't set very good. So and you live out here with TB and everything, half starved, and everything else, and send millions over the seas for relief and there we are." See? So what... Charity begins at home, says the Bible. And to a real American... Remember, we are not Americans. They are. God gave them this country. We come in over the top of them, took it away from them by power, pushed them off out in the desert somewhere, in the poorest of land. So that's how... Give them a little pension or something another, about enough to feed one child. And I always felt sorry for them. My grandmother drawed the pension.
E-12 So then, I--out there, that night... A Indian's a strange person. He's like a mule; he won't eat out of a strange stall, so he--he set there and looked around for awhile, and you could see them head down. He will stand and listen at you, but you won't know or think he's listening at you, but he's taking in every word you're saying.
So when the service... When I got through speaking, I said, "Now, I come to introduce to you Someone, Who'll give you the right deal. That's Jesus Christ." I said, "He loves you. And I'm here to represent Him." The government and so forth, can represent the nation, but me, I said, "I've come here to represent Him. And He will give you the right kind of a deal."
And then, when I got through saying that, I said, "Now, all that want to be prayed for... No need, you couldn't give out prayer cards, 'cause there was no way of lining them up. You just have to hold a little place over here, and let one come through as he would. So I said, "Now, all of you that wants to be prayed for, stand up."
Well, I'd left down at Phoenix with the Spanish people, and oh, my, it was horrible. They--how they would come in the line, thousands of them. And then, I said, "Now, the thing..." I said... And I looked. And I thought everybody would jump up and run. But there was no body jumped up and run. Everybody set still. I said, "Did you say what I said?"
She said, "Yes, sir."
I said, "Say it again." I said, "Everybody that wants to be prayed for, come up the steps on this side, and cross this a way, with faith believing in Jesus Christ, what I've told you." And so nobody got up; everybody just set perfectly still. Nobody got up at all. And after while, the missionary went back into the room, and brought out an Indian woman. Well, I turned around and looked behind me, which I had not yet, and they had all these little babies, in this little carrier, they have on their back, you know, hanging along the wall. There was a bunch of women in there. Here come one woman coming through, you know, with this little baby. She looked at me, and I said, "Could I have a hold of your hand?" And great big, wide wrist, and she looked at me a little bit, and I looked at her, and I said, "Now, the woman is suffering with a tubercular. And--and she has glaucoma of the eye also."
And the interpreter said that, and she turned and looked at me, "How'd you know that?" Prayed for her...
E-13 The next one come through, not because of immoral living, but the way she had to live, she had a venereal disease, unclean. But not of immoral living. And told... And she looked at me, and all them Indians then, looked at one another. The next was a little girl, and the mother was with her; and so I said, "The little girl had a fever, and in the fever it made her go deaf. She can neither speak nor hear. She's a mute." And when the interpreter said that to the mother, mother nodded her head, yes. And--and her father was one of the chiefs, and I took the little girl up in my arms, and I prayed for the little thing. Her little hair was as course as a horse's mane, you know. So I prayed for her, and set her down like that. I said, "Look here, sweetheart." I said, "Do you hear me?" I turned her head like and I [Brother Branham claps his hands--Ed.] done like that, looked around. She... Them little black eyes, looked around at me. I said, "She can hear, and I'm sure she could talk."
She went blee-blah-blah, something other like that. "Oh, I said, "she'll talk better than that."
And the interpreter said, "Her talk, heap good now." So she was ready to... all right.
E-14 So then the next was a little, cross-eyed boy. Then the Indians begin to watch. Next, one come out; had his head down, kindly backward, his little, Apache fat cheeks hanging out, hair hanging down in his eyes. And I said, "Now, the little lad, is it the boy wants to be prayed for?"
And the interpreter said, "Mother, yes."
And I said, "Now, the little boy is cross-eyed." And so it said that, and the mother took that hand, and grabbed him by the nap of the head, and pulled it back, and his little eyes setting in like that. And I said, "Let me have the little lad." And I had a piece of chewing gum in my pocket, and I handed it to him, and he held it, and looked at me kindly a wild look. I picked him up in my arms, and I thought... I said, "Don't interpret this."
I said, "Heavenly Father, please give me grace that I might lead these real Americans to...?..." I said, "to the Holy Spirit, something that would give them peace, and--and take them home to glory. Let this little ones eyes be opened. I charge Satan to turn him loose."
E-15 I looked in front of me, and I saw a vision of the little boy looking right at me, this way, and his eyes just as right. The Indians just was setting, looking. And I said, "Now, before I turn the little lad (And he had his head laying on my shoulder.), if this baby's eyes isn't straight then I'm a false prophet, run me off the reservation. If it is, how many will receive the Lord Jesus?" All of them throwed up their hands. I said, "What do you think, mother?" To the woman like that.
And she blared out something back to the interpreter, said, "She said, 'If she could, if God could heal death in Durham, He could make eyes straight." That's good philosophy. That's... So I turned the little lad around; his eyes was straight as mine. Oh, my, you talk about a prayer line, we had a stampede. It was just coming everywhere. And I asked the interpreter, said, "They thought first, you were false. But they know now, that it's true."
E-16 Just one more thing. There was a--a Brother Jack Moore. How many ever knowed Brother Jack Moore? You ministers from Shreveport, Louisiana, he was one of the Christian Businessmen. You know him in...?... and perhaps, some--many of you, out there, knows Brother Jack Moore from Shreveport. Yeah, look at the hands. He was with me, he and Brother Brown. And there's a--an old Indian mother was really next in line to come out of here, but there was a little Indian boy, about eighteen, a little chunky fellow. He just pushed right in around the rest of them. And I had a prayer line plumb down to San Carlos. Just--just all lined up there. Everybody wanted to be prayed for. So I--I couldn't make the little boy get back, and the interpreter couldn't make him get back. So the old woman was really next, and Brother Jack just caught him by the arms. Brother Jack's a pretty stout little man. Just picked him up and set him back.
E-17 Well, next coming was an old Indian woman, looked to be about seventy-five years old with broom sticks cut off for crutches, and rags wrapped around a stick that went over the part went over her arms. And she was holding herself like this in the door. And I motioned to her. And she put one stick out like that, and moved her foot, then the other one. I just took my time, and waited for her. And she come up close to where I was, and I thought, "What's the old lady going to do?" And I seen her hair hanging down, old leather platted in it, you know, and turning gray. I thought, "Poor old thing, probably raised a bunch of children. How pitiful. Wished I could speak her language."
And she looked up to me like that, and them little bitty, deep set eyes, turning kindly a pale looking, great big wrinkles in the cheeks, and tears cutting their way down through them wrinkles. Oh, my heart just went out to the old thing. And she looked at me like that, kindy smiled, reached over and got one crutch and put it in the other hand, and handed them over to me, and went walking off the platform just like anybody else. Now, I tell you, just no prayer; she didn't ask for any. Her faith made her well.
Now friends, here's God's Bible. That's truth. I have this very same Bible, this Bible you--they give to me in Houston, Texas, way back in 1947. And I had this same Bible then. The God that wrote the Bible knows that's true.
E-18 About three o'clock in the morning, I said, "I'll pray for everyone that comes in the line." I stopped the discernment right then, so I could pray for them all. And so then, about three o'clock in the morning, I noticed them coming by wet, way up around in here. And I said, "Oh," the interpreter, "Why, are they so wet?"
Said, "They wade--not waiting to go down to the ford about ten miles." Said, "They go out into the desert and get their love ones, and wade across the river with them." And they was bring them in on everything.
E-19 So I looked and there was a great big, husky, warrior standing there, his lips real blue, and just shivering. And I looked; there was an old man, him and another fellow had on a--a board. And they had a board laying like this with a cross timber on it, and went up like this, and had the old man's legs laying over the pen--the two sticks across this way, and two across this way. They had his arms, and he was shaking with palsy like that, just as gray as he could be. And I said to him; I said, "Speak English?"
He said, "Little."
I said, "You afraid you'll take pneumonia like that?"
"Nope." Said, "Jesus Christ has take care of me, I brought my dad." Simple faith...
I said, "Oh," I said, "you believe God will heal your father?"
"Yep, wouldn't have brought him."
I said, "Pass him by." Must have been his brother back there. Looked a whole like him. And passed by, went by, laid my hands on the old man; I said, "God of heaven, bless the old fellow. Give him the desire of his heart." Passed him on. Next one come in, lay hands on that one. First thing, I heard a lot of noise out there. Here the old man had the board on his own shoulders going out waving everybody like that. Just simple faith. That's all. They don't--they're not all tied up with this and that. They--they just believe, that's all.
E-20 Now, may God help us tonight, to have Indian faith (That's right.) to believe. God heals the little girl, it'll be a sign. That's 'fore I went to San Carlos the first time, went over there, because God healed a--a woman come in the prayer line, which was a alcoholic, and the next one come in was a tubercular. Them two Indians, and they brought back the certificate from the doctor, that... About a month later, when I was in California, that this woman was dismissed from the doctor. Her TB was gone. And the alcoholic had never had another drink.
By the way, that woman held up her hand here, the other night, got saved. Are you still here, sister? The woman that held up her hand in the back, the young woman? All right. That's fine. All right. That's good. How you feeling now? How's your husband, all right? Going on okay now? Fine. God bless you. Happy home to you. Her husband was healed also, an alcoholic. And--and just--it's been glorious to know that you trust the Lord God. There's nothing like it. Now, if God will do that for that home, He will do the same for your home. He will take sickness out, take everything out. God's no respect of person. He only ask a simple faith to believe it. God bless you.
E-21 Now, we left Abraham, last night. Are you enjoying Abraham? One time, in the--I was preach--a year at home in my Tabernacle on Job. And I got him over as far he was on the ash heap, and I kept him on the ash heap about six weeks. The people got real nice, you know, but they was tired. That was where I was making my killing point right there: Job on the ash heap. That's when the Lord did something for him. One fine sister, she didn't want to hurt my feeling, but she wrote me a letter, and said, "Brother Branham, you ever going to get Job off that ash heap."
I think...?... think I'm going to get Abraham up to--to the mount. But last night, I was aiming to come to the climax of it, but the Holy Spirit stopped me. I'm so glad He did, 'cause souls came to Christ. And obedience is better than sacrifice.
E-22 Now, a little background. And my son told me tonight, said, "Daddy, the--they're the finest bunch of people we've ever been around." But said, "They sure show that they're long suffering." He said, "You let them out so late."
I said, "Well, Billy," I said, "I'm getting just as much out of that as they are. See?" I--I got to be charged too.
It was just like one of the brother said the other day in the breakfast there. I believe it was Brother Hobson said, "We, ministers, need to--we're always up against, meeting, going to the hospital meeting unbelief, and in the platform, unbelief, and everywhere else unbelief. We got to get together, you know, kindly set under the oak once in a while."
E-23 I used to have an old minister preach a little while at my church. His name was John Ryan. He's gone on upstairs tonight, and he-- he'd preach a little while, and then he'd run over grab you by the hand. Shake my hand.
One night I said, "Brother Ryan, what are you doing that for?"
Said,"I'm just charging the battery. You're setting back there praying. I've preached out." So we have to charge the battery ever once in a while.
E-24 So we find that God called Abraham. Was he a--a special man? No, just an ordinary man. And was he a young fellow, ready for service? No. He was a seventy-five year old man, 'fore God ever called him. So you see, God's no respect of age, or ability, or prestige, or... God just calls whoever He can call. And so, then we find that God told him to separate hisself from his kindred and his people, and... But he failed to do that, and God never blessed him until he obeyed exactly what He said do.
Now, couldn't we not type that and make a message out of it tonight, to the Pentecostal church? Until we completely surrender ourselves to God, in obedience to all of His Word... God don't give us the Holy Ghost and say, "Well, I got it. That's all there is to it." No, sir. He give you the Holy Spirit for action, for Word, for service. Until we obey, hunger in our hearts... There's enough Pentecostal people setting right in here tonight, to start a Pentecostal revival through this country here, that would--it would certainly do things around here, if we'd just get the fire burning good, you know, and get the high wind blowing from heaven, like rushing mighty wind, something would take place.
E-25 So then, we left Abraham, last night, when he had been turned back to a young man. I'm not going to ask you if you believe that or not. But I--I believe it myself. But that doesn't make it right. But something happened to Sarah and Abraham. We know that, don't we? Something happened, because he was sterile, and she was not fertile. And they were a hundred years old; he was, and she was. And how would a man fall in love with a hundred year old woman? I just can't... Now, someone said, "Oh, they lived longer in them days."
My brother, read the Scripture there, it said, "They were both well stricken in age." They were old. And we find out, that not only that, but his strength was renewed, and she become back to young, beautiful woman; and Abraham had come back to a young man; and they were enjoying life. And remember, as soon after they left, there at Gerar, Sarah became a mother, and bore Abraham a son. Aren't you so glad that we're going to turn back? I don't what to say here; I'm so happy about that. I know I'll--I'll promise to let you out a little early, but something's on my heart. I just got to say it.
E-26 Now, I want to make this clear before I say it. I believe that gifts and callings are without repentance. Now, the Bible says that. See? There's nothing you do; it's something God does. See? No man... You--you say, "I sought God, and sought God." No, You did not. God sought you, and sought you. It wasn't you seeking God. It's God seeking you. See? That was the beginning, man trying to hide, God calling, and Jesus said, "No man can come to Me, except My Father draws him first. (See?) All the Father has given Me, will come to Me."
Now--now notice. Since I was a little, bitty boy of about two--two years old, I started seeing visions. First vision I ever seen was in a bush, and the Angel of the Lord was in there like a wind, and told me that I'd live near a city called New Albany. I was two years old, living in the mountains of Kentucky, and I spent my life within three or four miles of New Albany, Indiana, two hundred, three hundred miles away. And then, started from there, on down through life, and not one time has it ever been wrong. But this, I don't believe, was a vision.
E-27 I want to confess something. I was always a little afraid of dying. Even since I've been a Christian. Not so much as I was afraid I would be lost, but I--I did not want to be a--a spirit. And I always thought if we died, we'd have a spiritual body; and I'd meet you people up there, and I'd say, "Well, that's the people I preached to down at the Yakima. Oh, my, wished I had a hand to shake them, but my hand was rotting in the grave. Theirs is too." And if we have no senses at all. Just like a little white cloud, a spiritual body, form of a body, spiritual. And I don't like anything that's spooky. I just can't stand that. I--I--I don't like that at all. I'm just--can get away from that right quick. So I don't... I always dreaded that. I said, "I hope I live to see Jesus coming, because I knowed I'd return from there, and have a glorified body. But I--I wanted to know as I know now. So I can meet my brother and shake his hand, and have a wonderful time." I said, "If I can just live till Jesus comes, I wouldn't be a spirit; I would just be changed." I wouldn't have that time to go through.
E-28 And I always feared death because of that. About four weeks ago... No, beg your pardon, about seven weeks ago, I'd come in off of a meeting, and I was laying in my bed; and I'd woke up that morning, and I raised up, kindy put my hands... Which I sleep like that, behind my head, and laid against the foot board, or the headboard of the bed. And then, I said, "Well," I said, "honey, you awake?" to my wife, and she was sleeping away. And I said... I laid there a few moments, and I said, "Well, Bill, you're fifty years old." Best I know, I was born in Kentucky where they don't have a birth records. And you know what my birth mark is, birth record in Kentucky? The year the old stump blowed away up over on the hill. And that's all they knowed.
They say, "When was that child born?"
"Tomato picking time."
"What tomato picking time? When was this one born?"
"Corn cutting time."
"What corn cutting time?"
Now, that--that was the birth record up in the mountains of Kentucky. So I don't know how old I am, but anyhow, I--I'm--I'm ever bit of that. So then, a--so then when... That's what my mother told me, and I think she'd be pretty close to right. And so then, I said, "You're fifty years old, and you haven't done nothing for the Lord yet. You'd better hurry up, 'cause there may not be too much time left." I said, "Oh, I hope I live to see Him coming. I hate to be a spirit." I said, "I--I don't want to get out there, so I can't meet people." And I said, "I--I love the Lord." And--and just then...
E-29 How the Spirit works, as I told you the other night. These on the platform are visions, but they're little minor visions. You're making them yourself. You're using God's gift that He sent to the earth, the Holy Spirit, and the Holy Spirit works through a channel. How many knows that? How many knows even when you're speaking in tongues, it's the Holy Spirit making intercession? See? To you who's been gifted, and clean so He can speak through you. Well, then He had set in the church, apostles, prophets, teachers, pastors, evangelists, and so forth. See? And He uses that channel. How I could stop here, and tell for--till the in the morning the things that's happened.
E-30 Now, and so then, something begin to talk to me, and said, "Just keep pressing on."
And I said, "Well, I've been pressing on."
It said, "The reward is at the end of the road. The reward is at the end of the road."
I said, "I believe that the... Wait, who am I talking to?"
I looked around, I said, "Meda? (My wife.) Meda, you awake?"
Said, "Huh?"
And I said, "Okay."
And this went on I think for an hour; I thought, "Father, was that You? Was that You speaking to me?" And you've heard the story, the opossum, and the little fishes, and things that's taken place down in the natural...?... in the life and things. That's just the way it starts talking. Just the same as you hear my voice.
And when the Man come walking to me, on the first time that He visited me in the human form, He was not a vision. He--I know what a vision is, the Man stood there and talked to me. He said--told me He was sent from God, that I was to pray for sick people, and needs to be. He wasn't a vision. He was a man. I--I don't know Who He was. And He said He's sent from God. And He was standing as close as my hand is right there. And I looked at Him, talked to Him, talked in words to him, then this Light was hanging over Him, went down over Him, picked Him up by the feet and He went out of my sight. And everything He said has come exactly to pass. Just exactly. See? So I--I know it's true.
E-31 And the Lights, the scientific world's taken a picture of it. If I die tonight, my testimony is the truth. The church knows it around the world. The scientific world knows it, by research that they took a picture of it, in a photograph and put it on with George J. Lacy, the head of the FBI, on fingerprint and documents, and of photographs and things. And he's kept it in there for about a week, and said, "I swear a statement that it is not psychology; the light struck the lens. The Light was there." And said, "This mechanical eye of the camera won't take psychology." Said, "The Light was there."
Paper after paper has taken it. We've had it several times in Germany, in Switzerland, and other places where they've taken it, scientifically, in that country, proving that it was a supernatural something, like a Pillar of Fire coming down. He does it. You see the reaction of it here in the church. That's just like It did when It was on earth in the flesh of the Son of God. Now, It's on earth in the flesh of the adopted sons of God, bringing the church together for the Son of God to come get a Bride. Amen. That's exactly right.
E-32 And now, laying there, I heard It say, "Keep pressing on. The reward is at the end." And I--I felt something happen to me. And I heard that song, being sang, we sing it in our church:
I'd like to hear the sweet harbor bells chime;
It would brighten my faith, and would vanish all tears;
Lord, let me look a past the curtain of time.
You've heard it, many of you, that glorious old song. And it did--I felt something was ha... I thought I was dying, and I looked back, and there I was laying on the bed. And I turned this a way, and it was like a--a hill coming down, right in front of me, everywhere it's at. Remember, my Bible on my heart, I tell the truth. What good would it do me to say that if it wasn't true? What good would my preaching do? All my sacrifice and suffering, what good would it do, if I'm a liar? See? It wouldn't do a bit of good. I don't have to say this. But I'm saying it that it might help you, because it's the truth.
E-33 Wherever that place is, whether it's another dimension. I could not tell you, but I was somewhere that I could look back. And everybody's always accused me of being a woman hater. I--I don't hate women. No, sir, I do not. I--I like my sisters, but I don't like the way some of these modern American women dress and act, and smoke, and drink, and carry on. It's a disgrace to the nation. It's the greatest fifth colonist, we ever had, is the way these modern women do and things, when they can't even raise their baby by the breast; they have to give it cow's milk. It'll die in eighteen months because of nicotine poison. Yes, sir. You talk about a fifth colonist; that's it. That's what breaks the back of every nation, is it's womanhood, always has been.
I like real women, real mothers. God gives us more real, old time mothers, that we wouldn't have as much juvenile delinquency if we had a mother stay home and take care of her kids, instead of out somewhere with a cocktail party, and these little babysitters trying to take care of it somewhere. That's right. That's what poisons the mind of the children. The--America's rotten with it to the core, getting worse all the time, and will continue to get worse. There's nothing... I'd give my voice against it, but it's going on, because the Scripture said so. It'll die in its youth, this nation.
Now remember, in Revelations 13, when it appears, it always is youthful. That's the little--the Lamb's come up.
E-34 Now, so I was kindly a little rough about women, and maybe this is kindly done to hold me down just a little. And I happened to look, coming to me, and there was look like a million women. They were young, looked to be about twenty years old, and they every one was--now, excuse me sisters, for this remark. But they every one was very young, had long hair down to their waistline, wearing white dresses, and was barefooted. And they'd run up to me, and throw their arms around me, and scream, "My precious brother."
Well now, I hope that I have found grace in your sight, that you'll understand me. You listen to your doctor. I'm your brother. I don't care, when I was a--when I was a sinner, I lived true that way, 'cause an Angel that met me, said, "Don't never smoke, drink, or defile your body in any way." That was immoral living. God in heaven knows I lived that.
But there isn't a man, that's--that's red-blooded and healthy, that a woman could throw her arms around him... I don't mean the man would be wrong or think wrong, but there'd be a human sensation. But in that place, it wasn't. It was truly a sister. And they... I--I looked, and I said, "I can't explain what it was. There was no yesterday, no tomorrow; it was now. They didn't get tired, yet they could shake hands. They could talk; they had a body; and just like they was here, only young." And I said, "I don't understand this."
E-35 And that Voice that was above me, said, "This is like--something like Jacob when he had gathered with his people."
Just then, I looked, and men was coming, oh, by the groups, just like millions of them. And they were running, throwing their arms around me, and screaming, "My precious brother." And my, you know I was married before, and my wife died when... That's Billy's mother. And that's the reason Billy and I stick together. I--She died when he was eighteen months old, and his little sister was eight months old. She died with the mother, and I've been papa and mama both to Billy. And I seen Hope coming, working her way through the crowd.
And I thought, "Surely, she'll call me her husband." And when she got close to me, she--I could see her. Bless her heart. Black eyes, German girl, you know, and black hair, she threw her arms around me, and she said, "My darling, brother."
I thought, "I don't understand this."
And this--there's another woman that just a girl there, put her arms around me, and said, "My precious brother."
And she hugged this woman, said, "Think of it; he's finally arrived with us."
These men, they picked me up and set me on upon a little place like this; they said... I said, "Why is this?"
He said, "In earth you was a leader." And said...
I said, "I don't understand it."
And just then, this Voice spoke again, and said, "This is when you gather with your people."
I said, "When I die, you mean this is what I'll be?"
"Yes."
I said, "Oh, why did I ever fear this? This is wonderful. Oh, my, just perfection. That won't reach it, superb. That wouldn't reach it. There's not word in the English dialect would reach it." God knows that I'm telling this from my heart; it happened.
E-36 And I would turn, every once in a while and look back, and there I was laying on the bed. It wasn't too far away.
Now, I've heard since I've been telling it; there's a man named Doctor Price that had a similar experience as that, and was in a book. And if anybody's got that book, I'd sure like to read it, 'cause I want to know something about it. So then, he was a man who prayed for the sick, years ago, before my day.
And then I--I looked again, and then It said, "This is when you've gather with your people."
I said, "All these are Branhams?"
He said, "No. They're your converts."
I said, "Converts?"
Said, "You see that woman, that you were just admiring, that put her arms around you, and said, 'Darling brother.'"
I said, "Yes."
Said, "She was a past ninety when you led her to Christ." Said, "No wonder she's screaming, 'My darling brother.'" Said, "She'll never be old no more. She'll never be sad. She'll be that way forever."
I thought, "Oh, if I only could live it over again, I would cry; I would pray; I would persuade. I'd--I'd do everything. If I had to push in, I'd get everybody to come into that place. Oh, my, if the people could only understand what it is."
E-37 And I went on that way for a few moments, and just then, someone, when I told this about a few weeks ago, someone kindly made a little light of it. I looked. And I had an old dog, he used to school me, help feed the family. I hunted all my life; this old dog would catch opossums, coons, skunks, and everything for me. And I'd hunt and then I would--I'd sell these hides, and I'd get school clothes, and help feed the family of ten children. And so, a policeman poisoned him, when we moved downtown. Oh, when I patted his grave, I said, "Fritz, if there's a heaven for dog's, you'll be there. And I remember my little horse, Prince, how I used to ride him on going hunting, running my traps and things. And he'd went on. And when I looked coming down across the hill, and here did come old Fritz. I can see that come now. He went up and licked me on the hand like that. Here come old Prince, nickered, and put his...
E-38 Someone said, "There's no animals in heaven." Now, that's just all you know about the Bible. Where is them horses that come down and took Elijah up? Where's that horse that the Son of God come and riding on a white charger, dipped in Blood? When's the wolf and lamb going to feed together, and the ox and the lion eat straw together? Where's that going be at? See? If there isn't there? Sure, they're there. God loses nothing. Certainly, they'll be there.
And then, we happened... I noticed, and he licked me on the hand. And I said, "If I'm gone on, if this is paradise, where I'm waiting in glory, I want to see the Lord Jesus."
And that Voice said, "But you can't see Him now. He's higher. Someday He will come back."
And then ministers, and people all standing around, I begin to recognize them then. After I seen they were my converts of people I'd knowed in life. They were young. I didn't know them then. You see, they went back to young men and women. "Oh," I said, "there's brother and sister..." I--I was just so happy. I--I never was so happy in my life. And I said, "If I'd only knowed this beforehand." And I looked around, and I said, "Do you mean that He will come to me?"
Said, "He will come to you, and He will question you on the Gospel that you preached, because you were borned a leader."
And then, and I said, "Well, will Paul have to stand the same judgment by it?"
"Sure."
I said, "Then if Paul makes it, I will too, because I preached the same thing he did, without compromising on one word."
And all them people screamed out, "We are resting assure on that." Said, "Then we'll go back to earth and receive a glorified body, and live together through forever in this condition."
E-39 See, everything in the Bible is in a trinity. You know that. I said, the other day, "You're a trinity: soul, body, and spirit." You live in a trinity: kitchen, and living room, and the bedroom. You might have eight or ten different rooms, but bedrooms and spare this, but you only live in three rooms. God, Father, Son, and Holy Ghost in a trinity.
And we find out that the coming of Christ is in a trinity. He came first to redeem His bride, comes next to receive His Bride, comes next with His Bride, as King and Queen, to reign through the millennium. You know that. Everything is in a trinity. And we're in a trinity, we have a mortal body, a glorified body, or, I mean, a celestial body, and then a glorified body. Three stages brings us back to our perfection again like in Eden.
E-40 And then, I said, "Well, I assure of that."
And just then, a Voice said, "All that you ever loved, and all that ever loved you, God has given you."
And I felt something happening to me. I said, "Surely, I don't have to go back." And I felt it a little closer, and I turned and I looked back towards my body, and I seen myself move on the bed. In a few minutes, I was back.
Brother, sister, that done something to me. I realize now, that if this earthly tabernacle be dissolved, we have one already waiting, a--a body waiting.
And that, I think now, to coincide with what Abraham and Sarah had received, that type of body, just a comment or two, then to the climax of my message... Then we'll start the prayer line.
E-41 God had showed in Sarah and Abraham here, exactly what He was going to do to all of Abraham and Sarah's seed. All the seed of Abraham should be that way. And here on earth, He brought them back to a young man and a young woman. And I told that story just exactly as close as I know how it happened. And I--it was... I don't... Don't... Let's call it a vision, 'cause if I would say, that it was a little translation there... If it was a vision, I never had anything like it. Now, I'm not trying to impersonate the great Saint Paul, 'cause I don't... I seen too much of that in my life, carnal comparisons. But say it was a little translation. I went to the first heaven, and if they it's that way in the first heaven, what did Paul see when he went to the third? My... No wonder he said, "Eyes not seen, or ears not heard."
If it's that glorious in this heaven here, when you go into the third heaven, what must that brother have seen?
E-42 Now... Now, immediately after that. After being come back, God renewed them. He made them a young man and a woman. He started anew. They were both fertile at that time. Then they bore the little boy, which was called Isaac. Abraham circumcised him the eighth day and had a feast, and when they weaned him, and so forth. And then, we find out that he grows to the age of about, let's see about, twelve years old, just a pretty, little Jewish boy with black, curly hair, and little, black eyes. And how that father and mother must have cherished that little lad. And one night, the Lord woke Abraham up and He said, "Abraham."
Now, let me just stop there. He called Abraham, but I want to say this. This isn't Scripture, but it certainly will blend with the Scriptures. "Abraham, I want to show your seed from here after, that what a man will do when he really trusts Me. I know I promised you this boy twenty-five years ago, and you didn't stagger with unbelief at My promise, but you believed it. Now, I want to make the people down in Yakima, and different places, where this Gospel will be preached, to know that I keep My Word. I'm going to give you a double trial to--to show that the people who accept My Word, no matter what comes or goes, they must hold onto My Word. Now, I give you this son; now I want you to take that son up on top of a certain mountain that I'll tell you. I'm going to make out of you, out of your seed here, a mighty nation out of this boy; and I--I'm going to make also all the nations of the earth; and you're going to be the father of many nations. And now, I want you to take the only hope that you have of ever Me keeping My Promise for you to be a father of nations, I want you to take him up on top of a mountain and kill him. Destroy everything that gives the evidence that you're going to have it." Oh, I hope you get that.
E-43 Then 'course, poor old Abraham, he didn't want to wake up Sarah and tell her about it. So he got up early, took the little boy, and the two servants, and their little mule, and he chopped the wood and put it in a sack with something, and took off into the wilderness.
Now, any--an ordinary man, when I was on patrol for seven years, I had to walk average thirty-two miles a day through the wilderness. And we got gasoline feet in these days. Then men had to walk everywhere they went. An ordinary man, ought, you know, ought to walk twenty-five miles a day. [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-44 Look to things that you don't see with your eyes. You don't see with your eye any how, you see with your heart, and you look with your eye. So then, standing in that door of faith. Look what Jesus said, here. Let me read here: "Because thou sayest I am rich, and increased in goods." Look at our churches. We used to be down on the alley. We used to be on the corner with a tambourine. But now, we've got some of the best buildings there is in the country, sometimes, some of the best polished scholars in the pulpits. "Because thou sayest, that I am rich, and increased in goods, and have need of nothing, and knowest thou not that you are poor, wretched, naked, blind, and don't know it?"
Now, if I seen a man on the street that was poor, and he didn't even have any clothes on, and he was blind, and if I could go to him, and talk to him about it, and say, "Sir, do you realize that you're naked?"...
"Oh, am I sir?"
"Yes, come in here; I'll give you some clothes." But what if that man is naked, miserable, poor, and blind, and don't know it? That's a delinquent person. That's a mental deficiency. And the church has become a spiritual deficiency. They don't realize that God is shaking every gift before the church, and they don't recognize it: blind, and don't know it. Think of it: naked, a naked person, a blind person, poor and miserable and wretched, and don't know it; that's pathetic. And Jesus said, "The church would be that way in this Laodicean age, and it's here.
"I'm so-and-so. I belong to this denomination. I'm as good as you are."
But brother, He said, "Counsel Me, and buy white raiment." White raiment in the Bible is called the righteousness of saints. "Buy of Me white raiment. Buy of Me gold tried in the fire," the fire of Calvary. "Buy of Me gold," the holy oil of God poured out, buy that kind of gold. Buy the righteousness of the saints, that thou may be hid.
E-45 And now look, and, "Buy from Me some eyesalve for your eyes." Oh, my, buy some salve from Me, that'll open your eyes to what's going on around us. Oh, God, I wished I had someway that I could get the church to see it. Buy salve. Salve is a hard oil. And oil is the Holy Spirit. "Let Me oil your eyes that you can see that I'm the same yesterday, today, and forever, let you see that the promises that I made for the last days, is here. Buy from Me salve."
We were kids, raised very poor. My grandpa was a hunter. A famous hunter, known throughout the country for hunting. And when the weathers got bad, he used to trap. And when he trapped, he used to trap fur bearing animals. And he had dogs, and he caught coons, raccoon. I guess you have them here in Washington, raccoons. And he used to take those coons, and we would eat the meat, sell the hide. We wasted nothing.
E-46 And the grease was a cure-all at our house. You'd have a cup full of coon grease. If one of the kids got sick, dropped a couple of drops of turpentine on it for a bad cold, and swallow it. I don't know how we lived, but we did it. But it was a cure- all. If somebody got a bruise, they'd put coon grease on it. A headache, they'd rub coon grease across your head.
And we had to sleep upstairs, there's a little two room house, and mother and dad, and five of us children, before the others come. We slept upstairs, the boys. Pop and mom, there's no floor in it at all, dirt floor. Had a stump cut off for a table. And then they... In the room there, they had a--a bed built out of straw tick on it, with a shuck pillow. Daddy used to have a shaving brush made out of shucks. We were way up in the mountains.
My grandmother died at a hundred and ten years old and never seen a train in her life. Only seen one car, and I brought it up there, and it taken me all day long to travel four miles, putting rocks in a creek so I could get it up there. All the neighbors standing out, never seen such a thing in their life, when I brought this little '26 Chevrolet up through those mountains. I got stuck down there; I asked the man if he'd take his horse; he was plowing, said, "My mare if you get it close to there, it'd tear that thing to pieces. She'd never seen anything like that."
E-47 So we were poor. And then we had... Cut out a couple of saplings, and had an upstairs when the family got kindy big, a loft, big cracks in the walls where the chink mud had fell out, old clapboard shingles put on in the light of the moon; they turned up. Lay there at night time... And mom would put a feather tick over the top of us in the wintertime, and then she'd put all the old coats and things we had, then a piece of canvas, where if it rained, we'd just duck under that canvas like a rabbit, if it rained or snowed.
And you could lay there and count the stars anytime. And there'd come up a cold spell, and if we didn't get under that canvas, we'd get cold in our eyes. And there... Mom called it matter. I don't know what it is, but it'd stick our eyes together. And I'd have to get up of a morning make the fire, come down these two saplings with sticks across them, and make the fire in a old chunk stove... And so then, mama would call me at morning, and she'd say, "Billy." Bless her little heart.
I'd say, "Yes, mama."
She'd say, "Come on down, it's four o'clock. Your daddy's got to leave."
And I'd try to get up, me and my brother, and our eyes would be full of matter, all stuck together; the cold done it. I'd say, "Mama, I can't see."
"Call Edward, your brother."
I'd say, "He can't see either, mama. His eyes is stuck together."
Mama'd go out to the little step stove in the kitchen, setting up on some chunks. And she would make the fire, and go over and get the coon grease can, set it on the stove and get it hot. She'd come up there and massage our eyes with that coon grease. It worked good. We was able to see after she oiled up our eyes with coon grease.
E-48 Brother, we've had a lot of spiritual drafts; a lot of coldness has struck the church. It'll take more than coon grease to open our eyes, it'll take God's Holy Spirit and His eye salve to open the eyes. We've had so much theology: "The days of miracles is passed. There is no such of a thing as Divine healing; it's only mental telepathy. Don't hear nothing about it. Don't you have them in your town. They're this, that, and the other." It'll take more than coon grease to open our eyes, that's had that kind of a draft to hit it.
But God's got grease that'll do it. Yes, sir, it'll do it. Then when He opened your eyes, you'll be like Gehazi was with Elisha was at Dothan. You remember that night that the old prophet went down there, and slept. And the Syrian army was--come over and surrounded the whole city. And Gehazi woke up with his servant, looked out and there was, just all around the city was just nothing but soldiers, arms. And there laid the old, bald-headed, long-whiskered prophet laying there asleep. He shook him and said, "My father, my father, wake up quick. We're surrounded. We've been trapped."
I can see the old prophet get up; his eyes was open. Got up and looked around, "Yeah, I see them, but there's more with us than there is with them." There's more with us than there is critics.
Looked around, Gehazi still had--needed a massage in his eyes. Said, "I don't see nothing but Syrians."
E-49 The old prophet stretched forth his hands, laid his hand upon him, and these signs will follow them that believe you know. And his eyes come open. He said, "Lord, let this man's eyes come open that he can see." And God opened up his eyes, and around that old prophet, all around over the mountains was chariots of fire, and Angels of fire. His eyes was open.
If we could only open our eyes to see this afternoon, setting around, standing around, moving up-and-down the aisles, Angels of God, the Holy Spirit. Hallelujah. Moving around through the audience, you'd see there's more with us than there is with them. God open our eyes. Open our heart. Open every door in our heart.
Say, "I stand and knock. If any man will hear My voice, and open, I'll come in and sup with him."
E-50 Let's go back a little bit. Some nineteen hundred years ago... We'll close. Let's put ourselves in a little room on the street Straight that leads--led up towards Golgotha. And I hear something coming. Sounds like a knock on the door: bump, bump, bump, like someone's knocking at the door. We go to the door and open the door. It's nobody exactly at the door, but yet, it is a knock. But it's an old rugged cross coming down the cobblestone, dragging out the bloody footprints of the Bearer: bump, bump, bump, Oh, it ought to go way down today, and you ought to feel it. On His shoulder it was rubbing: bump, bump. Look like anybody would open the door to that, a Man dying, that knowed no sin, yet was made sin for us. Making a way to that bumping... Oh God, let that bump open every heart in here, this afternoon. Bump, bump, as it goes along...
E-51 Look at Him. They tell me He had not a place to lay His head. Said, "The foxes has dens. His creation, His birds has nests, but He, the Creator of heavens and earth, had not a place to lay His head or a friend to stand by Him." Can't you feel that knocking at the door this afternoon? [Brother knocks on the pulpit three times--Ed.] He was doing that so that bump would knock your heart's door open this afternoon, to let Him in as God and as Saviour, as Healer, as King.
He had one robe. He was wrapped in swaddling cloths when He was born. That's the wrapping off the back of a ox--ox's yoke. Didn't have no clothes to put on Him. And now, He's dying with one garment to His name. Yet He made every garment, made the heavens and earth. Hasn't got a seam in it; they throwed it across His shoulders. I notice there's some little red spots on it. As I noticed that bumping fading out, am I going to let it go by without accepting it?
Oh God, may the meeting not close till you accepted it, know that He's bumping at your heart. He died that He might come back here in the form of the Holy Ghost and do the things He's been doing for you. Open up your heart, believe Him.
E-52 I notice as He goes on them little, bitty red spots gets bigger and bigger till it comes in all one great spot. Satan was walking along there. He said, "It can't be Him. That can't be God. I questioned Him one day, and said, 'If You're the Son of God perform a miracle; let me see You do it.'" That devil still answers that question--or asks it. "If You've got healing power, let me see you heal this one."
Jesus said, "It's written."
"And then I got Him by the soldiers," Satan said. "I got my Roman soldiers half drunk. I put a rag around His head, covered up His eyes, 'cause, you know, He said He could perceive their thoughts; He wouldn't have to have His eyes open then. And I put a rag around His head, had my soldier to, and I got--had them take a stick and crack Him on top of the head, and said, 'Tell us who hit You, if You're a prophet.' He was a fake. He couldn't tell us. And then, I had them drunken soldiers to spit in His face. And could that be God in that flesh, going there with the gobs of spit hanging off His face, a mock crown on His head? And I questioned Him, and challenged Him to do something, and He never opened His mouth. That can't be God."
E-53 So when they hung Him on the cross, he said, "All right death, come on, take him. He ain't God." I see that bee of death come up buzzing around. Said, "No, that ain't God. God couldn't scream on the cross for mercy. God wouldn't do that.
The high priest said, "He saved others, but Himself, He can't save." The biggest compliment they ever paid Him... If He saved Hisself, He couldn't save others. But He gave Himself that I could be saved, and that you could be saved.
E-54 After while, that bee reached down with his stinger, and stung Him. Anybody knows that a bee or any insect that has a stinger, when it once stings deep, it can never sting no more, because it pulls its stinger out. Death socked its stinger in the wrong flesh that time. He pulled the stinger out. Now, death can make a buzzing noise, but he--he can't sting no more. One of them that opened the doors said, "Death where is your sting? Grave where is your victory? But thanks be to God Who gives us the victory through our Lord Jesus Christ." Death can buzz and act like it's going to sting, but it can't sting a heart where all doors are open, and the Son of God lives and reigns in the heart. Don't you want Him in yours this afternoon?
While the bumping of the cross is going on. That's Him standing, saying, "I stand at the door, in the Laodicean age and knock. And if any man will hear My voice, and open, I'll come in and sup." Will you sup with Him? Will you make Him Lord? Will you let Him rule your life? Will you let Him guide you and direct you? If it's against your thoughts, you--you sacrifice your thoughts. Let the mind of Christ be in you. Will you do it, while we bow our heads just a moment for a word of prayer.
E-55 "I stand and knock." Look what He did for you. The bumping of the cross. "If any man hears My voice, and will open, I'll come in. And let him set Me down, and give Me a chair, and make Me feel comfortable, not misery, not let him say, 'I don't want You in my private life. I've got enough faith; I don't need You any more for that.' Don't do that. But make Me welcome; set me in a chair, a nice comfortable chair, and say, 'Yes, Lord. Here's a little praise in my heart. Here's my hand going up, just a little sup. Here's a little soup that we could sup together, set and talk it over with You.'"
Would you like to do that? Raise up your hands, say, "Brother Branham, I now want for Him to sup with me. I want to sup with Him." God bless you, lady. Some... Would there be another? God bless you, lady. God bless you, sir. God bless you, young man. God bless you, sister. All right.
Someone else on the bottom floor before we go to the balconies. Raise up you hand, and say, "Lord come in. I--I--I want You to sup with me. I want You to talk with me. I--I--I want make You, Lord in my heart. I feeled You knocking. I--I want You to sup with me." Raise up your hands, someone else that hasn't raised their hands on the bottom floor, would feel that urge just now. Can you feel the bumping of that cross? Why, it ought to make every muscle in you quiver to know that He did that for you. And you won't as much as raise your hand for Him? Not as much as raise the hand... God bless you, back there, sir.
E-56 Up in the balconies to my left, would you raise your hand. You with your heads bowed, say, "Sup with me, Lord." God bless you over here, my colored brother. God bless you, young boy, setting there. Someone else up in the balcony? Say, "Will that do anything, Brother Branham?" If you really mean it, you pass from death to Life. He will come right in. Have you felt the cross in your heart this afternoon, that bumps down the street, Him trying to knock at your door to get in to do something good for you? Raise your hand.
Balcony to my right, up in the audience there, would you raise your hand, say, "Brother Branham, pray for me. I now..." God bless you. God bless you. That's good. Someone... God bless you. Bless you. Bless the little one there. Bless this one. That's right. Someone else, just raise your hand. God bless you. Someone else? Say, if... God bless you, back here, sir. Somebody else? Yes, the little boy setting here. Oh, sometimes them little hearts that hasn't been pulled through so many disappointments and things of the world. They're tender.
E-57 You know the Bible said in Isaiah 10, a--a child shall lead them. Won't you raise your hand just before we stop now? God bless the young girl. God bless the little fellow over there. Someone else? Raise your hand. Say, "I now want... I feel the bump." God bless you, young lady. God be with you. That's a gallant thing to do. God ever be with you. Don't fear. It's the greatest thing you ever done, honey. Someday when death comes, you'll remember that you did the right thing. You'll remember that before that time happens. Bless your little heart.
Someone else? Raise your hand. Say, "I feel the bump and the knocking on my door, Brother Branham. I'm going to open the door and look at Him. And when I see the Blood there, know that It's Him, I'm going to say, 'Come in, Lord. Come on in, and set down, get the best in my home. I'll make You welcome. I'll go tell everybody that Jesus tended my little abode this afternoon, my poor, little, old heart. Not much, but He sure come to it, and knocked at the door, and I let Him in, the most important Person that could knock on my door." Don't turn Him away.
E-58 With your heads bowed now, while we're making the altar call, reverently, quietly. I'm just going to let it bump for a few minutes. [Someone speaks in tongues and another interprets--Ed.]
Pass me not, O gentle (Will you rise from your seat and come in for prayer now?)
... my humble cry;
While on others Thou art calling,
Do not pass me by.
Saviour, (Will you come now and stand around the altar?)
Hear my humble cry;
While on other Thou art calling,
Do not pass me by.
E-59 Why don't you rise now and come around the altar here. You that want to let that heart's door open, let Him be Lord in your life. Come and stand here for a word of prayer just before we start the prayer line. Won't you do it? We'd be glad to have you here. The pastors will welcome you right in. You don't have to go anywhere else. They got churches right here, plenty of them that believes this same Gospel. And they'll certainly take care of them, of you. God bless you, lady. That's the correct way to do it.
While we sing again, will you come now? Let everyone that raised their hand walk up and stand around the altar for prayer. Will you?
Pass me not, (Rise up and come, won't you? If you're coming from the balconies, we'll wait.)
... my humble cry;
While on other Thou are calling,
O, do not pass me by.
Saviour, Saviour,
Hear my humble cry;
While on others Thou art calling,
Do not pass me by.
Saviour, (God bless you, young man, and young woman. God bless you. God bless you, my brother and sister.)
... my (Won't you rise out of your seat, and come right on down? Let personal workers come at this time too.)
While on others Thou art calling,
Do not pass me by.
E-60 I noticed one of our precious colored boys. I suppose his wife come walking up. You know what I think must've come on his mind? There's was a colored man during the time of that scene heard that bumping. He watched Him stagger, Simon Cyrene. He went over and put the cross on his own back, and said, "Lord, I--I'll help You bear it on up the hill."
There's two of his children this afternoon; they heard that bumping. The hour of criticism on the church, they're ready to take up the cross, and say, "Lord, I'll help you bear it. No matter what anyone else says, I'm coming right on to help You bear it." He remembers that. He don't forget nothing.
Saviour, Saviour,
Hear (Won't you come? Someone else?) humble cry;
While on others Thou art calling,
Do not pass me by.
Thou the Stream of all my comfort,
More than life to me,
Whom have I on earth besides thee?
Whom in heaven but Thee?
Come now.
Saviour, (Come take your place now.) O Saviour,
Hear my humble cry;
While on others Thou art calling,
Do not pass me by.
E-61 Let us bow our heads now. Continue on on the organ while that lovely, sweet music is playing. To you that stands here, little boy, elderly man, and woman, a white man, and young woman, a colored man and his wife, a cripple even stands.
Oh God, where can we go to when death strikes us? No one but Him. You've come, because that something; you felt that bumping on your heart. Now, He's ready to take you in now.
E-62 Our heavenly Father, it is written, I'm quoting Your Word, quoting It the best that I know in Saint John 5:24. These are the Words that You said according to the Scriptures. "He that heareth My words (which they just have knocking at the door), and believeth on Him that sent Me, has Everlasting Life, and shall never come into the condemnation, but passed from death unto Life." You said it, Lord. I believe it. That's where my soul has stayed, right there. You promised it. Every promise is true. Said, "No man can come to Me, except My Father draws him." Then the magnetic power of the living God is drawing this afternoon, and "He that will come to Me, I will in no wise cast out." Why? Because the Father has given it.
They heard, God drawed, and here they are. It would be impossible for them to be cast out. You said, "I'll give him Eternal Life and raise him up at the last day." That's Your promise, Father.
E-63 They stand here before this audience of several hundred people. And they're making a confession that God spoke to them. And You said, "He that will witness Me before Men, him will I witness before My Father, and the holy Angels." Then You put their name on the Book of Life, Lord. I thank You for this. The moment they raised to their feet, You accepted their recognition, as they have cast it into Thee this afternoon, Lord. They were sinners, and they're crying for mercy, You receive them. You said You would. That makes it so. They were saved the minute they raised up. They're standing here before the audience with bowed heads now, to take You as their Saviour, to witness before this audience that they are saved.
Father, don't let this be the stopping point, but may they receive the Holy Ghost. The hour is close at hand. They don't need to do anything else, but go to work. Give them material, whatever's in their hand. Some might sing; some might preach; some might testify. We don't know but what's ever in their hand.
E-64 Samson, only has the jawbone of a mule, but he slayed a thousand Philistines. Shamgar had the ox goad, the Philistines was coming. He didn't have time to train to know how to fight. The Spirit of God come on him. He took the ox goad that was in his hand, and beat down hundreds of the Philistines.
David had a sling shot. Goliath had challenged, but God was with the sling shot.
And here they stand this afternoon, Lord, as new creatures. May they receive the Holy Ghost. If they have no schooling, training, or whatevermore, send them in the field of service, Lord, for Your glory, while they have accepted that knock at the door.
E-65 And while you're standing, and you that come up to the altar, even to the little boys, and all, if you believe Jesus Christ is the Son of God, and believe that He died to save you, and you accept Him as your Saviour, raise up your hand 'fore this audience that they might see that you do accept Jesus as your Saviour.
To you at the altar here, is what I'm talking about. That's it. Raise up your hands. That's the way. God bless you. God bless you.
Now, for a little farther blessing, to be instructed, the minister's standing here, ready to lead to a room, where we can meet you in a room for prayer. Just move right around to the right, while I make another call. Come right around this way, if you will. Come to the right, right this way. Let the personal workers follow these, right now, right now, to the room. This way, the minister and the personal workers. Come right this way to the room.
E-66 While on others Thou art call...
How many doesn't have the Holy Ghost, who want to go in to receive the Holy Ghost now? The door's open. Go right in with them. That's what they're going in for. They've been saved. They come... When God spoke to their heart and they raised up, they were God's election. God called them. Jesus said, "No man could come, except My Father draws him. All the Father has given Me, will come to Me." That's right. So they've gone to the room. Someone else would want to go in with them from the balcony, that doesn't have the Holy Spirit. We've got instructors and so forth that can instruct you and stay right there the rest of the day and night, if you want to, until you come through with the baptism of the Holy Spirit.
Brother, it's an essential thing. You must believe it. You must have it, or you'll perish. Go in, won't you, while we sing once more?
Trusting only in Thy merits,
Would I see Thy face;
Heal my wounded, broken spirits,
Save me by Thy grace.
Let's raise your hands, everybody now.
Saviour, Saviour,
Hear my humble cry;
While on others Thou art calling,
Do not pass me by.
E-67 Our heavenly Father, may there not be one among us that'll be left. I have given unto them the best that I know how, Thy Word, quoting it just as It is written, knocking at the door, the doors of the compartments of the heart, saying, that "Whosoever will, he may come and drink from the waters of the fountains of life freely, without money, without price. Come let us reason together: though your sins be as scarlet, they shall be white as snow, red like crimson, they'll be white like wool."
And as You looked through the red Blood of Your Son, we know that red through red looks white. And without that, it's still red. Out under the Blood, why there's no remission of sin, and they've come, many of them to accept it, Father. There are many in the building here; I know not their hearts, Thou does. That when I stand, if the day of judgment shall be today yet or tomorrow, then there'll be no man's blood upon me, because I have offered them Thee by Thy Word, and the Spirit says, "Come."
The Bride said, "Come."
"Whosoever will, come and drink from the waters of the fountains of life freely."
E-68 God, grant that there'll not be a lost soul here, but what shall be present on that day, saved and under the Blood. Back in the room, where those workers are working, God, I pray that You'll fill each one of them with the Holy Spirit. Give them the desire of their hearts.
Grant it. May they find fellowship among the saints now, belong to some of these fine churches in their communities. Bless those who are seeking the baptism of the Holy Spirit, may He come graciously upon each of them. Help us now, as we call the prayer line. Heal the sick and afflicted.
And when life is all over, Father, the last sermon is preached, that I'll do someday... My life shall have to end here on earth, if Jesus tarries. And then, my Bible's closed for the last time, the last hymn has been played, then may we meet Thee, Lord, in peace. Come, Lord, now, and show Yourself alive to us, as we wait on Thee for the sick. In the Name of the Lord Jesus we ask it, for His glory. Amen.
E-69 Now, I believe Billy said he give a hundred prayer cards. I don't know what letter it would be. E? Well, there wouldn't be no more anyhow, cause we prayed for ever... [Blank.spot.on.tape--Ed.]... medicine will heal you. If he does, he--he doesn't know what he's talking about. Healing is the multiplication of cells or life. Medicine will not produce life. If they had a let--medicine make life, we'd pour it in a bottle, shake it, and a man come out. See? But we're not... We don't have it. If you go... Now, you say, "Brother Branham, what's your thought about doctors?"
I believe they are servants of God. I believe that there is some among them that's not. But there's some among preachers that's not servants of God too. I find more believing doctors, than I do believing preachers, in the supernatural.
E-70 I visited a hospital here, not long ago, for a check up before going overseas; I talked to the whole medical staff, and every one on the staff believes in Divine healing. Certainly. If you'll present it to them sensibly. One of the head doctors at this certain hospital said to me, said, "Why, Mr. Branham," said, "we push people back that's dead. No pulse at all." And said, "The first thing you know, we realize that room of surgery, somebody's in there beside us." That's right.
Now look, what if I broke my arm, and I went to a doctor, and said, "Heal it doc, right quick, I want to finish my job."
He'd said, "You need mental healing." That's right. He can set it, but God has to heal. God has to produce the calcium and stuff that goes in that bone, and knit that bone together; there's no medicine that'll do it.
Now, what if I had a appendicitis, the doctor had to operate? He didn't heal me; he just took out the appendix. Whose going to heal the place they cut out? There's no medicine that'll heal it.
E-71 Somebody said to me, said, "Brother Branham..."
One time I made a remark like that. I made it like this; I said, "Any medicine that will heal my hand, if I cut my hand... Look, if I cut my hand, would fall down dead, you could--you could put all the medicine in the world in my hand, and embalm my body and make me look natural for fifty years, that cut would be just like it was when I fell down dead." Sure. If medicine heals, why don't it heal? Now, medicine heal the cut in my hand; it'd heal the cut in my coat. Heal a cut here.
"Why," you said, "medicine wasn't made for your coat nor this."
Well, what about my body then, if I'm--if I fall down dead, and you sew it up, and embalm my body, why don't it heal if it heals the body?"
"Why," you say, "life is gone out."
Oh, that's it. Life. What is life? Tell me what life is, and I'll tell you Who God is. For God is the abundant Life. Exactly right. It's your attitude towards it. See? You can't do it. So you must remember that--that God is the only Healer there is.
E-72 Someone said to me one time, said, "Brother Branham, what about penicillin for pneumonia, bad colds?"
I said, "Sure. Penicillin is like putting rat poison in your house, when the rats has eaten holes in your house. It kills the rats, but it don't heal up the holes where eaten." Exactly right. Penicillin is a poison in a body that kills the germs. And then it doesn't--it doesn't restore the blood cell that it tore down. God has to do that. Certainly.
So God is the only Healer there is. If it isn't, the Bible's wrong. God said in Psalms 103:3, "I'm the Lord, that heals all your diseases." I hold my...
E-73 When I--I was interviewed at Mayo's Clinic. They said to me, "We do not..." The old Jimmy Mayo in the old Mayo brothers had a thing back there in the office, where you used to have there. They took me back and showed me, when this Donnie Martin... How many read the Reader's Digest? When Mayo's had turned him down, and everything, and come out there to California, and down out of Canada... The Lord healed him, made him well. And Mayos had turned him down, and so had John Hopkins. The boy was made normal. And they... I was interviewed on that. And they said, "We do not claim to be healers. We only claim to assist God--nature. God is the only Healer." That's right.
So doctors is God's servants. I can't... I--I--I can't heal; doctor can't heal. Now, he works by taking off a growth, or pulling out a bad tooth. I don't deal with that growth. I deal with the life in that growth, the spirit, a cancer; it's a devil. The Bible said, "When the deaf and dumb spirit went out of the man, he could speak and hear." See?
E-74 Spirit... If the--if the man's deaf and can't hear, the doctor says the nerves is dead. Well, why ain't they dead all over his body? Just like this, what if there's a transparent band around my hand that cut off the circulation? Soon my hand would become dead, be useless. Well now, you can't see that. The doctor only works on two senses, two of his five senses: what he can see, what he can feel. Well now, if he can't see it or feel it, then when that band's released, then circulation starts back again. Just as nature...
E-75 A lady had a spastic baby over there, the other night, in emergency room. And I prayed for the little fellow; I told her; I said, "Like a stalk of corn coming up, if nothing bothers it, it'll produce a stalk of corn, good and straight, and a good ear. If a vine wraps around it, a clog lays over it, sticks, it'll crook. Well, that's the way spastic or anything else is. There's something hindered it. Well, if you can move the hindrance, the thing will grow straight."
Now, a lot of people say, "Well, I don't see any difference now." That don't have anything to do with it, not a thing. Pull the clod off the corn, it don't straighten up, right now. Just give it a chance. Laying in the warm sun, rain, watch it come right out straight. So will you do the same thing. You just believe it. It's God. One, all life but that life, is botany life which comes forth by the S-U-N, but Eternal Life come through the S-O-N (Is that right?), Son of God.
E-76 Tell you what you can do, pour concrete up and down your sidewalk, put the grass down there. Where's the thickest of your grass next spring? Right along the edge of the sidewalk. Why? It's that life in there. You can't hide life. When that sun begins to warm that concrete, that little life will grow right on out, right on out, and stick it's head up and praise God. That's right. You can't hide it.
You take a--a plant, and put it in the bottom of a kettle, turn the kettle up-side-down, watch that plant turn right around and come right back up and praise God. That's right. You can't hide life. And when life's in the heart, God's in the heart, you can't hide it. Oh, He's real.
E-77 Now, look at that line of people, plumb out into the hall and outside. Well now, you know good and well, I couldn't take discernment all along those people. See? How many knows that? Why, about... After four or five, I'd be almost fainted then.
How many in here, now... Well, you haven't got any prayer cards, but you believe with all your heart that God will heal? [Blank.spot.on.tape--Ed.]... get well. All right, now go and see... [Blank.spot.on.tape--Ed.] You see, the first ministry when the Lord told me to lay hands on the--they'd lay their hands on mine.
E-78 Come here. [Blank.spot.on.tape--Ed.]...?... Yes, sir. Now, as I just said, anything didn't have a germ, it wouldn't show. But it does show. You have stomach trouble. You believe the Lord will heal you of it? I want you to see this. I want you to look at my hand. Now, take your hand off. See? I put mine on it; it doesn't do like that. But yours... Now, the mysterious part, how to know what was wrong with you. See? That's--that's the Holy Spirit. Now, do you believe if I pray for you, it'll go off? With all of your heart? Watch it.
Our heavenly Father, let it be know that Thy art God, and it is written in the Scriptures, "In My Name, they shall cast out devils." I challenge this devil that's harming my sister; in the Name of Jesus Christ, come out of her. Now, you're watching yourself, lady. Now, 'fore I open my eyes or anything and brother there that was watching my hand too, it's turned back normal, hasn't it? Now, there's something happened, didn't it? You're healed. Just believe.
E-79 Now, this lady. I'm not looking to her for a vision. Put your hand on mine, lady. Yes, sir. Shadowed to death, cancer. Are you aware of that? Now, she must have healing or die. Now, I--I'm--I just can't explain it. I--I... You've just got to believe it; that's all there is to it. I... There's no way for me to do it. Now, lady, if I could do anything to help you, I'd be a hypocrite if I didn't do it. But I--I can't do no more than pray. If you and I will agree together, like Jesus promised in the Bible, and you'll believe this with all your heart...
How do you think that I know that you were suffering like that? By a gift. Is that right? Do you believe that gift comes from God? Now, if we'll agree now, I can make it leave you. You can see it go. But if a--if I--if we'll put our faith together, and then if it goes, I can't say it'll stay. Now, see I'm dealing with the growth. See? Now, life in there; the lump will probably still be there. But after a few days, that lump will swell, get bigger. Then just let it alone. Ain't got no life. It's like a little dog getting run over on the road. He will shrink for a while, but then he will swell and gets twice his size.
E-80 Lot people say, "I lost my healing." No, that's the sign you got it. It if gets sick, it's a piece of rotten meat laying there. The heart has to purify the blood stream, so it beats through there and starts an infection, takes fever and everything. That shows that you've got your healing. A lot of people say, "Oh, I missed it; I missed it." See?
Now, will you believe? Now, remember when it's gone out, it'll walk in dry places. Now, if you'll believe, put your hand. I want you to understand, so... Come up here close, 'cause you're in a serious condition. I want you to look at my hand. See? Now, it turns kindly red, and little while things running over it. Now, that's not the mysterious part. Now, you take your other hand here, and put it on there...?... Now, it doesn't do that on there, does it? See? It'll just do it on this. But now, put this hand on. See? That's what He's doing. There it goes. See?
Now, if we will agree to show that God keeps His Word, here's a physical sign. Lay my hand down like this so that you'll see it isn't moving. All right. Now, you see just the way it's looking.
E-81 Now, I want everyone to keep your head bowed, 'cause this is casting out an evil spirit. And when he's angered and has to be forced out, usually I leave it to the patient. If they want to believe it, all right. I've done all I can do. This time, so that the audience, this person, the ministers, whatevermore, would see it, and know that it's done. The woman looking there. Well then, let God be the judge. Now, be reverent. And as you watch, you watch my hand.
Lord, the woman's watching my hand. She knows it's something mysterious, knows what was wrong with her. I pray Thee, Father, in Christ's Name, that You'll not hold this against her. But we're wanting the people to know that You're knocking at doors, and she's watching this physical reaction here. And I pray, Thee, Father, that You'll make it go from her body. Hear me, Father, in Christ's Name.
Now, as yet, he hasn't gone. Now, the lady's a witness; she's watching. I still feel it, just paralyzing my arm almost. Now, be reverent, everyone. I haven't opened my eyes yet.
Satan, the medical science calls you cancer, which means the crab. But we know you as a devil, a killer, death. And death and life cannot exist together. I come in the Name of Jesus Christ, bringing life. Come out of her, I charge thee; in the Name of Jesus leave her. Now, let the lady be the judge. I've never moved my hands, but it's left. That right? Now, raise your head. Now, with my hand laying on this table here, the lady's a witness. Now, look, lady, so that you'll see. It's not like that, is it? It's not like that, is it? Now, take this hand. See? [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-82 In Jesus Name, may the little one be healed. If you'll just believe... [Blank.spot.on.tape--Ed.]...?...
It looked like the whole audience is just becoming bloomed over with... Why didn't you do this at the first place? All that suffering with a blood disease stand up on your feet out there, anemics and so forth, diabetes, or whatmore. Stand up to your feet and believe with all your heart, all around anywhere, upstairs, downstairs, wherever it is. How am I going to call them? See? Remain on your feet. Stand here just a minute.
Come, believing. Come here, right here. Look here, sister, diabetes. And you stand right here too. All the diabetics stand on your feet. You're going to see something happen now, if you'll just believe. Have faith. Believe with all your heart. All right. You believe with all your heart?
In the Name of the Lord Jesus, may my brother be healed. Amen.
E-83 Of course, you're a cripple. That's an arthritis condition. Stand here. Everybody's got arthritis stand on your feet. Look here. See?
All right, come, sister, right here. Look this way on me; you believe me to be God's servant? I've knowed since you've been setting there enjoying those healings, that you had that asthma, but do you believe that God's going to let him get over it? Everybody's that's got asthma, stand on your feet. Stand up. If God can heal one here, He can heal them out there, can't He? Asthmatic condition.
All right, kidney trouble. All right, all that's got kidney trouble stand on your feet. All right. Believe with all your heart.
E-84 Come here, sister, look at me. Stomach trouble. Stand right here, all that's got stomach trouble stand up. All right. Look here at me. Oh, the whole audience is plagued with your trouble: nervousness. Everybody's that's got nervousness, stand on your feet. Everybody's got nervousness, stand on your feet.
Look here, how could I go through that audience calling all them people? But the Holy Spirit's in here; there's just so much that's coming at one time, I can't tell where it's at.
Oh, He's knocking. [Brother Branham knocks on the pulpit--Ed.] Do you believe it? This is the moment. This is the time. Everybody's sick, stand up on your feet. Everybody that wants to be healed, stand up to your feet, and raise up your hands.
E-85 Come sister, the nervousness is gone. Go, believe. Raise up your hands. Do you accept Christ as your Healer? If you do, wave your hands to Him.
Oh God, Author of life, Giver of all good gifts, send Thy blessings upon this people, who I bless in Thy Name.
Satan, you've lost the battle. You're exposed. This company knows that you're exposed. You're a devil. You're a liar. You are a bluff. And we are calling your bluff in the Presence of the Holy Ghost, as a servant of God, with a gift of healing, ministered by a Angel, that exposes you. Come out of them, Satan. In the Name of Jesus Christ.
Raise your hands and give Him praise, and I'll assure you of your healing the entire group of you in Name of Jesus Christ.