La Reine Du Midi
1 Merci. Que Dieu vous bénisse, Frère Don. Vous pouvez vous asseoir.
C’est juste comme si je venais d’arriver ici, or, on dit que c’est hier soir. Eh bien, celle-ci est la série de réunions la plus inhabituelle que j’aie tenue depuis longtemps.
C’est vous frère Babbs, n’est-ce pas? Je vous ai reconnu aujourd’hui là où nous mangions, et quand nous avions fini, je–je promenais le regard là; je disais: «Ne sont-ce pas là mes amis d’El Dorado?» Je pense que c’est ça. El Dorado?
Et frère Jack a dit: «Assurément.» Alors, nous nous sommes mis à parler là, et puis, tout à coup, vous savez, on était parti; je n’ai pas eu à vous serrer la main. Que Dieu vous bénisse. [Le frère dit: «Frère Branham, il vous fallait de la nourriture et du repos, pas être dérangé par...?...»–N.D.E.] Oh! Merci, frère. Merci. Frère Babbs vient d’El Dorado, un baptiste... [Frère Babbs parle encore.–N.D.E.] Oui. Oui, monsieur, je le fais. [Frère Babbs parle encore.–N.D.E.] N’est-ce pas merveilleux?
2 Et je pense que vous avez deux jolies filles. Et je me rappelle que l’une d’elles s’était avancée un jour à l’estrade, elle était mariée depuis longtemps, elle n’avait pas d’enfant. Et quand elle est venue à l’estrade, le Saint-Esprit m’a fait retourner et a dit: «Vous cherchez un enfant et, AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous l’aurez.»
J’étais là juste quelques heures avant qu’il naisse, et voilà, ça y est. Elle l’a eu. Quelqu’un m’a dit qu’elle en avait trois maintenant. Merveilleux! C’est... Il donne toujours une bonne mesure, vous savez. C’est très bien. Eh bien, c’est très bien. Je suis très content pour cela. J’ai... Je crois que c’est la Bible.
Une femme qui a assez de considération pour élever un enfant dans ces jours, alors qu’on fait tout le reste, on cherche à s’en débarrasser, je... Dieu honorera cela.
3 J’ai eu une dame là au Canada qui était... Je pense qu’elle a cinquante-trois ou cinquante-quatre ans. Elle était mariée depuis l’âge de dix-huit ans; elle n’avait pas d’enfants, et un soir... C’était pendant que frère Jack était avec moi. Alors, la dame s’est avancée, c’étaient des Allemands; j’oublie son nom pour l’instant, elle a dit... Elle est venue à l’estrade; le Saint-Esprit a dit: «Vous cherchez un enfant.» Oui. Elle avait dépassé l’âge, elle avait quarante et quelques, quarante-huit, quarante-sept, quarante-huit en ce moment-là.
Elle a dit: «C’est vrai.»
J’ai dit: «Eh bien, vous embrasserez un fils; AINSI DIT LE SEIGNEUR.»
Eh bien, observez toujours cela. Voyez? AINSI DIT LE SEIGNEUR; une chose, c’est une vision; c’est ce que je vois. Donc, ce que je Le vois faire, c’est une chose que je dise ce que je vois. La chose suivante, je dis ce qu’Il va faire. Voyez-vous? Ceci est ce que moi je dis, cela est ce que Lui dit. Voyez?
4 Environ deux ou trois ans s’écoulèrent, rien n’était arrivé. Elle s’est dit: «Eh bien, il y a quelque chose qui cloche.» Et elle s’est mise à douter.
Elle a dit: «Eh bien, frère Branham n’avait simplement pas bien vu la vision.» Oh! Si.
Donc, elle a dit, après trois ou quatre ans, elle a dit: «Je sais que je ne peux pas l’avoir maintenant.» Elle était déjà dans les cinquante ans ou plus.
Et alors, elle... Je parcourais la région du nord, le Yukon, lors d’une partie de chasse, je suis passé par là et on a eu une soirée de réunion dans un petit village, sur mon passage. Quand je suis arrivé dans cette ville où elle habitait, eh bien, je... Calgary, et je... Elle est venue à... Son mari était venu à la réunion, elle n’était pas venue.
5 Et j’ai dit: «Où est la soeur?» Je n’avais pas de par-dessus, et il a donné... Il voulait me donner le sien, et je ne voulais pas le prendre. Il se tenait derrière; j’ai dit: «Où est la soeur?»
Il a dit: «Frère Branham, elle a contracté la tuberculose.»
Et j’ai dit: «Oh! la la!»
Et je me tenais là, je le regardais, et juste on dirait... Vous devez sympathiser avec les gens. Vous ne pouvez jamais aider quelqu’un si vous ne partagez pas cela avec lui. Vous–vous devez ressentir sa souffrance. Sinon, vous êtes juste... vous êtes juste à l’écart. Il vous faut éprouver de l’amour et quelque chose qui vous met en harmonie avec eux. Et cela m’avait vraiment fait mal d’apprendre qu’elle était tuberculeuse. J’ai regardé, j’ai dit: «En voici la cause: elle a douté au sujet de cet enfant.»
6 Il a dit: «Frère Branham, c’est l’exacte vérité.»
J’ai dit: «Maintenant, elle suit une espèce d’isme sur boire des jus, et des choses semblables, ne pas manger de viande et ne pas...»
Il a dit: «C’est tout à fait vrai.»
J’ai dit: «C’est ce qui lui a causé la tuberculose. Son corps est sous alimenté.» J’ai dit: «Allez lui dire que j’ai dit: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR, ne doutez pas de cela.’ Peu m’importe qu’elle ait quatre-vingt-dix ans; elle aura néanmoins cet enfant.» Voyez?
7 Et alors, il est rentré lui en parler. Elle a jeté ses jus et elle a repris à manger normalement, elle a récupéré et elle a cru cela. Et puis, j’étais avec frère Fred Sothmann, il est quelque part ici. Nous étions... Fred, quel est le nom de ces gens-là? Dobble, et nous étions... Quelle était cette ville où... là loin au bout du monde? Prince Albert, là à Prince Albert.
Cette femme si âgée, elle allait avoir cet enfant, et les médecins se demandaient ce qui allait arriver, ils ne pensaient pas qu’elle pouvait l’avoir. Alors, pour témoigner de leur fidélité, et leurs pensées, ils l’ont mise à bord d’un train, dans une ambulance, ils l’ont amenée à la réunion pour voir ce que le Seigneur dirait. Le Seigneur a parlé et a dit: «Dites-lui de retourner; elle a un garçon qui vient.»
8 Eh bien, à peine arrivée à la maison, elle a eu ce beau et gros garçon-là, et voilà, elle est là. Et fort... Elle était fort avancée dans la cinquantaine. Voyez-vous? Mais Il n’a jamais failli; quand Il dit quelque chose, ce sera exactement comme tel; absolument.
Je pensais... Est-ce que frère Welch Evans est ici? Frère Fred, est-il venu? Il n’est point venu. Je pensais il n’y a pas longtemps, juste pour vous montrer combien c’est facile, combien tendre est le Seigneur, combien–combien Il aime guérir...
Il... Nous pêchions à Floride; nous tenions une série de réunions en Géorgie, nous étions descendus en Floride pêcher pendant environ deux jours. Alors, ce monsieur Evans est un fervent chrétien, un aimable frère. Et son frère n’est pas un chrétien. Ainsi, il gérait un magasin d’appâts; et nous étions allés là dans une espèce de jungle, on devait dégager la route des serpents... des alligators, pour atteindre là où nous pouvions pêcher. Et son frère avait été mordu par un serpent à sonnette. Je ne sais pas... Je ne pense pas que vous en ayez en Louisiane; ce sont de tout petits coquins. Et ils sont très dangereux. Une fois qu’ils vous mordent, ils vous tuent. Ainsi donc... Ils sont pires que le mocassin d’eau.
9 Et alors, ce jeune homme avait été mordu par l’un là-bas; c’était bien un pêcheur, et on l’avait envoyé à un hôpital. Et pendant environ trois mois, je pense, n’est-ce pas, Frère Fred, il est resté couché à l’hôpital. Il était là, marchant à l’aide d’un immense appareil orthopédique sous le pied, et on pensait qu’il perdrait sa jambe, s’il ne perdait pas sa vie. Et c’était très grave.
Eh bien, je... le Seigneur m’avait béni, et j’avais attrapé, oh! des perches communes, de très grosses, et j’en étais très content. Et j’en avais une grosse au bout de la ligne que je n’arrivais même pas à maîtriser. Et elle faisait juste... Elle a sauté, il vous fallait la maintenir avec une canne et elle rejetait l’appât de sa bouche en se débattant. Et je lançais cette petite capsule et il l’a ravalée pour la troisième fois. Eh bien, tout le monde jetait sa canne là et courait là. Et–et j’ai dit: «Je n’arrive simplement pas à le maîtriser.»
10 Alors, je l’ai laissée se reposer un tout petit peu et j’ai encore essayé. Et je... Une autre, celle-là pesait douze, quatorze livres, [5 ou 6 kg] et celle-ci semblait en avoir dix, même onze [4,5 ou 5 kg]. Et je continuais à la retenir; j’ai dit: «Ce n’est pas elle.»
Mais quand je l’ai épuisée là, et que je l’ai ramenée vers le rivage, frère Evans là, le pantalon retroussé (il n’a peur de rien), il a alors dit: «Une minute, Frère Branham, il y a beaucoup de feuilles et tout, a-t-il dit; je vais vous la prendre.»
Et j’ai dit: «Eh bien, c’est en ordre.» J’ai dit: «Je la tirerai simplement, si elle échappe, ça nous importe peu.»
Alors, il a dit: «Je vais la prendre.»
11 Il est du coup entré, et alors, un petit serpent à sonnette était couché sous l’une de ces feuilles, il l’a mordu juste au pied. Je n’avais jamais entendu un homme crier si fort de ma vie. Et quand, d’un bond, il est sorti de l’eau, il se tenait la jambe, il est tombé sur le rivage comme cela... Oh! Cela vous paralyse simplement en un instant. Je lui ai tenu le pied et j’ai regardé: les deux trous étaient distants d’environ un pouce [2,54 cm], et le sang giclait de là. J’ai pris mon fusil, j’ai cherché le serpent à sonnette, et je l’ai vu filer dans les mauvaises herbes comme cela, et je ne pouvais même pas lui tirer dessus, et il s’en est allé.
Et je me suis dit: «Oh! la la!» Et il n’y avait personne là avec moi à ce moment-là, mais... qui pouvait m’aider; le petit Billy Paul était là. Et il me fallait le transporter sur le dos sur environ deux miles [3.218 km] dans ces jungles-là, où il n’y avait que de l’eau, ça arrivait pratiquement au niveau des genoux, et lui pèse environ, presque deux cents livres [90,7 kg]; je savais donc que ça serait difficile pour moi de le faire sortir de là.
12 Je me suis alors dit: «Que pouvons-nous faire?» Et il serrait simplement les dents, retenant son souffle [Frère Branham produit un bruit.–N.D.E.], et les larmes lui coulaient sur les joues, et il a dit: «Frère Branham, ma jambe est paralysée.» Et cela va directement à l’os, vous savez, et... Il a dit: «Ma jambe est paralysée.» Et il serrait juste les dents comme cela. Il a dit: «On dirait que ça gèle partout.»
Alors, je me suis dit: «Oh! Miséricorde, que puis-je faire?»
Et juste à ce moment-là, j’ai entendu ce passage des Ecritures: «Ils marcheront sur les têtes des serpents et des scorpions, cela ne leur fera pas de mal.» Alors, j’ai juste enlevé mon chapeau, et j’ai dit: «Eh bien, essayez de vous tenir tout aussi tranquille que possible, Frère Welch, afin que je puisse poser mes mains sur cette morsure.» Et le Père céleste sait que c’est vrai.
13 Et alors, quand j’ai posé la main sur son pied là, j’ai dit: «Père, Tu es un Secours qui ne manque jamais en temps de détresse, et Tu ne nous as jamais fait défaut. Notre frère est mordu par ce serpent, et il est écrit dans Ta Parole qu’ils marcheront sur les têtes des serpents et des scorpions, et que rien ne leur fera de mal. Et il est dit: s’ils saisissent un serpent, cela ne leur fera point de mal. Il cherchait à m’aider, et ce mauvais serpent l’a mordu. Maintenant, Tu es, Seigneur Jésus, sur ce rivage-ci où on est en train de pêcher. Si Tu ne L’étais pas, je n’irais jamais pêcher, et je sais que Tu es ici. Et je Te demande d’être miséricordieux envers nous et–et d’ôter de sa jambe le poison de ce serpent.» Et j’ai arrêté de prier, je ne l’ai plus entendu souffrir. Et quand j’ai terminé de prier, il était assis là en train de rire.
Et il a dit: «Frère Branham, je n’ai plus de douleur.» Il a dit: «Tout est fini.»
14 Alors, il s’est levé et a marché. Vers vingt-trois heures, j’avais attrapé onze perches communes, des perches communes qui pesaient en moyenne pratiquement douze livres [5 kg] la pièce. Et je–et je les ai ramenées, et les gens passaient là en prendre des photos, dans une cour de touristes là. Alors, son frère est arrivé, nous nous sommes donc mis à témoigner là-dessus. Et son frère, un pécheur, a dit... lui avait été hospitalisé. Vous voyez, c’est bien d’être un chrétien. Voyez? Ceux qui croient marcheront sur les têtes des scorpions et des serpents, rien n’a été dit au sujet des incroyants. Voyez? Mais cet homme était incroyant.
Alors, son frère a dit... Et il lui a montré les endroits où... Il a dit: «Eh bien, regarde, frère, c’est bien d’être croyant, mais pas de faire le fou.» Il a dit: «Tu ferais mieux d’aller à l’hôpital aussi vite que possible.» Il a dit: «Fais-toi injecter un sérum, car sinon, a-t-il dit, tu pourras devenir estropié le reste de ta vie, et tu pourras mourir n’importe quand.»
15 Il a dit: «Cela est arrivé ce matin à dix heures (et on avait dépassé vingt-trois heures); si le sérum que Dieu m’a administré ce matin a arrêté la douleur jusqu’à présent, cela me préservera.» C’était donc... Cela pourrait...
Ainsi, cela tient toujours bon. Il y a de cela des mois, des mois et des mois, il n’y a pas eu d’effets néfastes. Juste pour montrer qu’Il est toujours le Seigneur Dieu. C’est très merveilleux. Je sais ceci... Je prends du temps, et nous n’aimerions pas rester trop longtemps ce soir. Je vais juste parler quelques instants.
Mais j’ai juste une autre requête que j’aimerais présenter. Une chose, avant de présenter cette requête très spéciale, comme peut-être l’année prochaine je vais passer beaucoup de temps outre-mer, le Seigneur voulant. En effet, je sens que si cette année-ci passe, et que je vis jusqu’à voir l’année prochaine, j’effectuerai mon voyage très bientôt donc. Et la semaine de Noël, c’est le moment où nous prions pour toutes les requêtes pour voir où le Seigneur nous conduira. Je me tiendrai probablement devant des sorciers et tout, comme d’habitude, chaque fois que nous allons outre-mer. Puis-je vous demander de prier pour moi?
16 J’aimerais dire que celle-ci a été l’une des séries de réunions les plus extraordinaires où j’aie jamais été. Il est arrivé quelque chose de plus étrange. J’aime les gens de Shreveport; je suis votre pasteur associé, vous le savez. Mais je n’ai pas été ici depuis environ cinq ans, étant parti aussi loin que possible jour et nuit... Et depuis environ deux mois, je commençais... j’ai eu à coeur Shreveport, et je n’arrivais même pas à me reposer jour et nuit. Et il est même arrivé qu’un jour, étant assis là en train de beaucoup y penser, je me suis mis à pleurer.
Meda a dit: «Qu’y a-t-il?»
J’ai dit: «J’ai vraiment envie de voir Shreveport.»
Elle a dit: «Eh bien, qu’y a-t-il?»
Et j’ai dit: «Meda, peut-être que quelque chose ne va pas là-bas; penses-tu que nous devrions appeler?»
17 Et, oh! elle a dit: «S’il... je pense que si–si c’était le cas, ils t’auraient appelé, Bill.» Elle a dit: «Tu sais comment le Seigneur te montrait toujours quand soeur Moore se mourait. Et tu étais là en route, et comment tu es sorti, tu as prié, et différentes choses, et des choses qu’Il a accomplies?» Elle a dit: «T’a-t-Il montré quelque chose?»
J’ai dit: «Non.»
«Eh bien, a-t-elle dit, s’il était arrivé quelque chose, il t’aurait appelé.» Elle a dit: «Si tu te mets à appeler comme cela, cela pourrait les déranger, pensant que quelque chose va arriver.» Alors, elle a dit: «Pourquoi ne laisses-tu pas simplement cela de côté?»
J’ai dit: «Eh bien, je n’arrive simplement pas à arrêter de prier de toute façon; je me sens vraiment solitaire.»
Et j’ai rencontré frère Jack, il a dit: «Eh bien, nous nous sentons solitaires sans toi.» Et la chose suivante, vous savez, soeur Moore était sur sa face, pendant un long moment, priant, et Dieu lui a montré cette réunion qui va venir.
18 J’avais donc déjà pris des dispositions avec des baptistes pour le–le moment. Et quand frère Moore a dit que c’était ce moment-ci, je suis allé leur demander. C’est le pasteur, ou l’église où j’étais pasteur, à Milltown, dans l’Indiana, à l’Eglise baptiste de Milltown, ils ne veulent assurément pas renoncer à cet événement annuel lors du Thanksgiving.
Mais j’ai dit: «Frères, le Seigneur me conduit à Shreveport. Eh bien, je ne sais pas, mais je dois aller à Shreveport.»
Ils ont dit: «Eh bien, si c’est le cas, allez de l’avant, et que le Seigneur soit avec vous.»
Je suis certainement content d’avoir eu à venir. Ça a été une chose remarquable pour moi, comment le Seigneur a béni les soirées et a accompli de grandes choses.
19 Il y a une chose que je dois découvrir avant de partir, sinon je ne me sentirais pas trop satisfait. Billy, Loyce et les autres me disent constamment: «Vous n’arrivez pas à temps.» Eh bien, je–je ne sais pas pourquoi.
Pour ce soir donc, Billy dit que la raison, c’est que, disait-il, soeur Anna Jean a exécuté une chanson, a composé une chanson sur Je T’aime Jésus, ou quelque chose comme cela. Je me demande si je peux en entendre un petit choeur avant de prêcher. Aimez-vous cela? Appréciez-vous cela avec moi?
Quelle est cette chanson? [Quelqu’un dit: «Merci, Jésus.»–N.D.E.] Merci, Jésus, c’est ça. C’est ça, Merci, Jésus. J’aimerais entendre cela. Aimeriez-vous l’entendre avec moi? Je veux juste quelques instants... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Je ne crois pas... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
Maintenant, je vais écrire et annoncer à frère Outlaw qu’il ferait mieux de s’exercer là-dessus à plusieurs reprises. Laissez cela aller de l’avant, soeur Anna Jean; c’est bien. Elle est un porte-parole, une auditrice, et je ne sais pas tout, et maintenant, c’est une poétesse, une compositrice. C’est beau
20 Et je... Frère Moore me disait tout à l’heure comment il est venu, il m’a amené de très loin...?... C’est très bien. Vous savez, il faut qu’un coeur aspire à quelque chose pour rendre cela réel. Voyez? C’est ça, quand un coeur réclame.
Eh bien, je vous remercie bien pour toute votre collaboration, pour tout... tout ce que vous avez fait. Que Dieu vous bénisse. Et priez donc pour moi. Nous allons prier pour les malades dans quelques instants.
Et je–j’ai ici quelques mouchoirs, mais... sur lesquels prier. Et une dame de couleur m’a dit qu’elle avait un mouchoir ici pour un bien-aimé, et elle est assise à côté d’une dame... Vous savez, quelqu’un... J’arrive, je regarde là-dedans, on n’arrive pas à distinguer à partir d’ici si ce sont des gens de couleur ou des blancs. C’est vrai. Mais le Saint-Esprit fait passer ces gens ici devant moi, c’est pourquoi j’ai su que c’étaient des gens de couleur, de couleur.
Quelqu’un a dit: «Eh bien, comment les voyiez-vous là-dedans?»
21 J’ai dit: «Je ne les ai pas vus. Je les ai vus ici.» Voyez? C’est vrai. C’était ici. Ils étaient assis là avec foi, croyant, et Dieu a accompli le miracle. C’est tout. C’est tout ce qu’il faut, avoir simplement la foi et croire.
Et maintenant, à tout moment que je peux prier sur un mouchoir ou faire n’importe quoi pour vous, écrivez-moi simplement à Jeffersonville, je serai content de vous le renvoyer, sans frais, gratuitement. Et aussitôt que nous aurons fait sortir des livres, et je... Frère Jack m’en parlait; je n’aime pas annoncer mes propres réunions ailleurs comme ceci, mais maintenant, si vous avez des bien-aimés qui sont tout près de Jeffersonville, la semaine prochaine, à partir du dimanche prochain, au tabernacle, je... Le matin du dimanche prochain, je prendrai le premier chapitre de l’Apocalypse pour poser le fondement, le dévoilement de l’Apocalypse.
22 Eh bien, le mot Révélation en grec veut dire ôter un–un habit d’une statue, la–la dévoiler. Voyez? Et c’est le dévoilement de Jésus-Christ durant les Sept Âges de l’Eglise. Et j’écris un petit commentaire là-dessus. Je ne peux pas l’écrire, évidemment, mais je dois simplement le proclamer sous l’inspiration, tel que je le reçois, et ensuite, évidemment, on enregistre cela sur bandes magnétiques. Et puis, de là, ça passe à la sténographie, et de la sténographie à l’impression.
Ainsi donc, nous aurons des bandes, et aussi nous aurons–aurons–aurons cela sous forme de livre très bientôt, le Seigneur voulant. Et puis, peut-être, la prochaine fois quand je viendrai ici, nous en aurons.
Si donc vous êtes par là, quelques-uns de vos bien-aimés, dites-leur d’y faire un saut. Eh bien, nous–nous essayons d’avoir assez de place pour recevoir des gens, car je venais de l’annoncer là même, mais nous avons déjà appris, j’oublie de combien d’Etats avoisinants, voyez, que les gens viendront; ils ont déjà fait des réservations pour rester la semaine comme cela.
23 Le lundi soir, ça sera sur l’Eglise d’Ephèse, et ensuite, Smyrne, Sardes, ainsi de suite, Thyatire, jusqu’au dimanche matin en huit, je parlerai sur l’Eglise de Laodicée. Et, entre-temps, il y aura une porte ouverte placée entre l’Age de l’Eglise de Philadelphie et l’Age de l’Eglise de Laodicée. Et c’est la porte dont nous aimerions parler au... à ce service-là.
Maintenant, que le Seigneur accorde Sa bénédiction, et soyez en prière pour moi. Maintenant, avant que nous abordions la glorieuse Parole, la Parole de Dieu, l’infaillible Parole... Ma foi repose solennellement sur cette Parole. Quand cette Parole dit donc cela, je–je crois simplement Cela. Je–je n’ose pas Y ajouter quoi que ce soit, ni En retrancher quoi que ce soit.
Et ce matin, je–j’aurais peut-être à m’excuser auprès de ces... certaines de ces braves personnes ici au sujet de certains commentaires discourtois sur les mulets, qu’ils sont illégitimes. Mais je–je n’avais pas l’intention d’être discourtois ou sacrilège, mais je cherchais simplement à me faire comprendre. Vous comprenez, n’est-ce pas?
24 N’importe quoi, un mulet... Oh! la la! C’est ce que l’homme a fait. Voyez? Il ne peut pas–il ne peut pas se reproduire. Il–il ne peut pas aller plus loin. Il–il ne sait pas qui est son papa et qui est sa maman, il est juste–il est juste–il est juste sans espoir; c’est tout–c’est tout. Il–il ne peut jamais se reproduire, il est donc juste... Mais vous savez, si quelque chose, il n’a pas... Il attendra toute sa vie pour vous donner une ruade juste avant de mourir, et vous tuer, s’il le peut. Il le fera assurément. Il–il attendra simplement toute sa vie, en retrait, attendant simplement. «Eh bien, je vous aurai un jour derrière moi.» Et c’est comme ça avec beaucoup de gens dans l’église. C’est vrai.
«Oh! Je vais vous tapoter dans le dos jusqu’à ce que j’aie l’occasion de vous égorger.» Voyez?
Mais, vous savez, j’aime un cheval, pas vous? Oh! Surtout un cheval pur-sang, un qui–qui connaît ses–ses ancêtres, qui ils sont, d’où ils sont venus, de quel papa, de quelle maman, de quel grand-papa, de quel arrière grand-papa, de quel arrière-arrière-grand-papa, sur toute la ligne. Il connaît sa lignée. Vous pouvez lui faire confiance.
25 C’est pareil avec le–avec le chrétien. C’est un... j’aime un chrétien pur-sang, un chrétien né du Saint-Esprit, pas d’un quelconque credo, mais celui qui sait de quel sang il provient. Il est authentique, pur-sang, de la Pentecôte d’un bout à l’autre, né du Saint-Esprit, son expérience remonte à la Pentecôte. J’aime ça, un chrétien pur-sang. Il sait d’où il vient. Il sait qui est son papa, qui est sa maman, Qui est son Sauveur, Qui est son Dieu. Amen. Un vrai chrétien pur-sang, j’aime ça.
Ainsi donc, c’est ça la différence. Un mulet, il ne le sait pas; il dresse simplement ses oreilles, et il ne peut rien apprendre, il ne sait rien, et c’est une créature, évidemment.
Eh bien, aimez-vous la Parole du Seigneur? Oh! la la! C’est merveilleux.
26 Maintenant, je vais parler ce soir sur la guérison divine, le Seigneur voulant, un peu sur cette ligne-là. Mais prenons maintenant Matthieu, chapitre 12, pour un court passage; et ensuite tirons-en un contexte, le Seigneur voulant. Matthieu, chapitre 12, et maintenant commençons la lecture au verset 38 de Matthieu, chapitre 12. A vous qui notez les passages des Ecritures, comme le font souvent les gens dans des réunions, ils notent les passages des Ecritures et–et les retiennent donc, on dirait; quand ils reçoivent les bandes, ils les ré-auditionnent et tout.
Alors quelques-uns des scribes et des pharisiens prirent la parole, et dirent: Maître, nous voudrions te voir faire un miracle.
Il leur répondit: Une génération méchante et adultère demande un miracle; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui du prophète Jonas.
Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.
Les hommes de Ninive se lèveront, au jour du jugement, avec cette génération et la condamneront, parce qu’ils se repentirent à la prédication de Jonas; et voici, il y a ici plus que Jonas.
La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.
Inclinons maintenant la tête, pendant que nous parlons à l’Auteur.
27 Bienveillant Seigneur, ces Paroles ont été transcrites par le scribe Matthieu. C’est Ta propre Parole. Et nous savons que Ta Parole est Vie. Elle est une condamnation pour l’incroyant, et la Vie pour le croyant.
Nous prions, Seigneur, s’il y a des incroyants, qu’ils deviennent des croyants ce soir. S’il y a des malades, qu’ils soient guéris. S’il y en a qui sont mécontents, qu’ils soient heureux. Ceux qui sont sans joie, que la joie coule de leurs puits, que l’amour de Dieu plâtre ce puits une fois de plus et qu’une pluie de Dieu s’y déverse. Accorde-le, Seigneur. Pardonne-nous nos offenses comme nous avons pardonné à ceux qui nous ont offensés. Et nous Te demandons, Seigneur, de nous recevoir comme Tes serviteurs.
Et nous Te prions de nous accorder un grand apogée pendant ces quelques jours de conférence et de réunions ici. Combien nous Te remercions pour ce qui a été déjà fait.
28 Et maintenant, nous demandons qu’il n’y reste aucune personne faible parmi nous, faible spirituellement, ou faible physiquement. Que la puissance qui a ressuscité Jésus-Christ de la tombe entre dans chaque coeur ce soir, délivre du péché et de l’incrédulité, délivre de la maladie et de l’affliction. Et puissions-nous mettre chaque petite chose de côté, regarder droit au Calvaire maintenant, et recevoir les bénédictions de Dieu.
Je crois que cette réunion a été ordonnée de Toi. Et je crois qu’il se produira dans cette réunion des choses que nous ne comprendrons cependant pas, mais dans les jours à venir, nous verrons que cette réunion a été tenue grâce à la multiple sagesse de Dieu. Les missionnaires qui partiront d’ici, sois avec eux, Seigneur. Les appels ont été lancés aux gens; de grands signes et de grands prodiges du Seigneur ressuscité ont été accomplis. Les esprits qui étaient dans le passé sur des hommes que Tu avais utilisés se sont manifestés parmi nous, surtout le Saint-Esprit.
29 Père, nous Te prions de bénir frère Moore, soeur Moore, et tous ceux qui sont associés à ce tabernacle. Guide-les et dirige-les. Chaque ministre, chaque missionnaire, ou ceux qui sont dans cette salle ce soir, ou qui ont été présents ici, puissent-ils recevoir quelque chose qui les inspirera d’aller vite de l’avant, car l’heure approche.
Alors, il arrivera un temps où il n’y aura plus de travail que nous pourrons faire, bientôt cela nous sera empêché, comme nous voyons les fruits diminuer et la vigne être émondée. Je Te prie, Père, d’accorder ces bénédictions par Jésus-Christ notre Seigneur; nous le demandons en Son Nom. Amen.
J’aimerais utiliser cinq mots [The Queen Of The South] comme sujet: La Reine du Midi.
Quelqu’un pourrait dire: «Eh bien, n’est-ce pas un sujet plutôt court pour votre service de clôture?»
Oui, c’est un sujet un peu court; c’est vrai, mais il est tiré de la Bible, c’est ce qui le rend valable. Voyez, ce n’est pas sa taille qui compte, c’est sa qualité. Pas la quantité, la qualité.
30 Comme je l’ai souvent dit, un petit ami à moi fouillait une fois dans un grenier et il est tombé sur une vieille malle, il a trouvé un petit timbre postal, et il pensait obtenir en échange de cela une petite pièce d’argent pour acheter de la crème glacée. Il l’a amené chez un philatéliste, et ce dernier lui a remis un dollar. Cela était satisfaisant pour le petit garçon; ainsi donc, le philatéliste l’a vendu à des centaines de dollars. Et aujourd’hui, je pense qu’il vaut des centaines, plusieurs centaines de dollars: un petit timbre jauni. Eh bien, le papier ne vaut rien, mais c’est ce qu’il y a sur le papier qui compte.
31 Eh bien, la Reine du Midi, ça fait juste cinq mots [en anglais], et ce n’est pas le papier sur lequel cela est écrit qui compte, c’est l’importance du mot écrit sur le papier. La Bible complète m’a été donnée par frère Kidd il y a plusieurs années. Et la Bible coûterait environ vingt-cinq dollars, une Bible Scofield. Mais c’est... Celle-ci produira soit la Vie, soit la mort. Et il y a là le pardon pour chaque homme qui L’écoutera. Et c’est une condamnation pour ceux qui ne L’écoutent pas.
Une fois, le grand Abraham Lincoln avait reçu un appel contre un acte. Un homme avait été condamné à mort, il devait être exécuté par un peloton d’exécution pour une désertion de l’armée ou quelque chose comme cela. Il avait, ce qu’on appelait «pris la poudre d’escampette», ou il avait commis un délit militaire, et il était condamné à mort. Et cet homme était tout nerveux, il avait peur, il était cependant condamné à mort par des généraux cruels, ou quelque chose comme cela; il devait mourir.
32 Un bon ami à lui s’est précipité chez monsieur Lincoln. Et alors que celui-ci quittait son attelage pour entrer dans son bureau, il lui a dit: «Cet homme est un homme de bien; il est même un chrétien. Et il–il... Monsieur Lincoln, vous êtes un chrétien, et il va mourir. Il va mourir demain matin devant un peloton d’exécution. Monsieur, en tant que chrétien, vous connaissez la situation de cet homme. Il n’avait pas l’intention de transgresser des lois; il avait eu peur quand il s’est trouvé dans la bataille. Vous êtes l’unique personne qui peut lui sauver la vie.»
Monsieur Lincoln a arraché un bout de papier et a écrit dessus: «Gracié. Abraham Lincoln», il a envoyé cela.
Et alors, arrivé dans les cellules de la prison où son ami attendait, il a dit: «Oh! Grâces soient rendues à Dieu! Tu es gracié. Monsieur Lincoln t’a gracié.»
33 Alors, il a regardé çà et là, il a regardé le papier, il a dit: «Pourquoi te moques-tu de moi maintenant, alors que je suis sur le point de mourir sous le feu du peloton d’exécution?» Il a dit: «Ce n’est pas Abraham Lincoln.» Il a dit: «Ce n’est pas sa–sa signature. Si j’avais reçu une grâce de la part d’Abraham Lincoln, a-t-il dit, cela devrait, eh bien, cela devrait être écrit, scellé et tout.» Il a dit: «Non, ce n’est pas sur le genre correct de papier.» Il a dit: «Je–je ne recevrai pas cela.»
Le lendemain matin, cet homme mourut conformément à la sentence de mort. Or voici, cet homme avait une grâce d’Abraham Lincoln disant de ne pas le fusiller et puis, il a été fusillé. Cela a fait l’objet d’un procès devant les cours fédérales, et voici leur décision: Une grâce n’est grâce que si elle est acceptée comme grâce.
C’est comme avec la Parole de Dieu. C’est la guérison pour ceux qui peuvent la recevoir comme guérison, mais elle n’est pas la guérison pour ceux qui ne peuvent pas la recevoir comme guérison. C’est le pardon du péché pour ceux qui croient qu’ils sont pardonnés du péché, mais cela ne fera aucun bien à ceux qui ne reçoivent pas cela comme tel.
34 La promesse du Saint-Esprit est une assurance pour vous, que vous recevrez Cela, si vous acceptez cela comme tel. Cela dépend de votre attitude vis-à-vis de la Parole. La Parole est le... Ce n’est pas le papier. C’est juste un Livre, mais c’est–c’est Christ rendu manifeste sur du papier. C’est ce que cela est. Dieu... «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu, et la Parole a été faite chair, Elle a habité parmi nous.» Voyez? Et Ses Paroles sont Esprit et Vie.
Nous recevons Sa Parole juste comme si c’était Lui-même. Quand je vois Sa promesse envers moi, c’est Christ; je L’embrasse. Il ne peut pas mentir. Pour–pour moi, c’est l’exacte vérité. Voyez? Je peux ne pas savoir comment m’emparer de Cela, mais c’est la Vérité, et je m’Y accroche bien, parce que C’est Christ pour moi.
35 Dans notre passage des Ecritures de ce soir, nous trouvons Jésus reprochant et réprimandant un groupe de gens qui avaient refusé de croire qu’Il était le Messie. Malgré qu’Il ait accompli plusieurs signes messianiques parmi les gens, ceux-ci L’avaient taxé, juste deux versets plus haut, de Béelzébul... Et Il a dit: «Si vous Me taxez de mauvais nom, Je vais vous pardonner. Vous Me voyez faire...»
Permettez-moi d’interpréter ceci de sorte que vous saisissiez ce que je veux dire. «Vous Me taxez... Après que Je vous ai montré les oeuvres de Dieu, vous Me taxez de Béelzébul.» Eh bien, Béelzébul, c’est comme un diseur de bonne aventure, un démon. «Vous Me taxez de Béelzébul; Je vous pardonnerai pour cela.» Voyez? «Mais un jour, le Saint-Esprit viendra faire la même chose, et vous parlez en mal contre Cela, cela ne vous sera jamais pardonné ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir.» Voilà la gravité de ce que nous connaissons aujourd’hui.
Oh! ...?... Et Il les a réprimandés parce qu’ils ne L’avaient pas reçu, après qu’Il eut accompli les oeuvres de Dieu et qu’Il eut montré qu’Il était le Messie. Eh bien, s’Il a prononcé ces Paroles-là, Elles sont absolument la Vérité.
36 Alors, en ce jour dans lequel nous vivons, où le Saint-Esprit est venu et a accompli les mêmes oeuvres à plusieurs reprises, voyez-vous où nous nous tenons ce soir? C’est–c’est une chose horrible de penser que les gens aujourd’hui taxeront encore l’oeuvre de Dieu du diable. Et Jésus le leur reprochait.
Eh bien, si nous retournons un peu dans la Bible, nous verrons que Dieu, dans tous les âges, en tout temps, a eu des dons dans Son église. Il n’y a jamais eu un temps, mais que Dieu... Quand Il entre dans Son Eglise, des choses surnaturelles s’accomplissent.
Je sais que je parle à des historiens. Frère Moore lui-même en est un bon autant que je sache. Et chaque fois que l’église a eu un réveil, il y a toujours eu le signe du surnaturel dans la réunion. Dieu guérit les malades, parle en langues, accomplit d’autres miracles et signes, chaque fois qu’on a donc eu un réveil. Et même avant la Venue de Christ, chaque fois que Dieu envoyait un surnaturel, ou un mouvement parmi les gens, il y avait parmi eux des signes du surnaturel.
37 Ainsi, vous voyez, nous sommes évangéliques. Nous croyons, nous croyons absolument que Dieu habite dans Son Eglise et dans Son peuple. Nous croyons cela. Il manifeste le signe de joie et de puissance du Roi dans le camp. Ainsi, au cours des âges, on a eu toutes sortes de signes. Il a parlé de certains d’entre eux ici. L’un d’eux, Il a dit: «Ce qui arriva du temps de Jonas», il l’a appelé Jonas.
Or, beaucoup de gens condamnent le pauvre Jonas. Jonas était un prophète. Mais j’ai toujours eu pitié de lui, car beaucoup aujourd’hui le condamnent et disent qu’il était en dehors de la volonté du Seigneur. Je vais donc prendre position pour Jonas et dire qu’il n’était pas en dehors de la volonté du Seigneur. Je... Suivez et voyez donc; nous allons prendre sa vie pendant quelques instants et l’examiner.
38 Jonas était en route vers–vers Ninive, évidemment. Et la Bible déclare que les pas du juste sont ordonnés de l’Eternel. Donc, Jonas ne pouvait pas avoir fait quelque chose, étant un prophète, sans la conduite de Dieu.
J’ai déjà fait moi-même des choses, et vous aussi. Vous pensiez que c’était vraiment insensé par rapport à ce que vous pensiez être correct, mais vous découvrirez finalement que c’était tout à fait bien. Voyez? C’est ce que Dieu fait toujours, car c’est Lui qui conduit les justes. Vous, suivez simplement la conduite de l’Esprit.
Et Jonas eut des ennuis sur la mer, et nous connaissons la suite de l’histoire. On lui a lié les mains et les pieds, on l’a jeté par-dessus le navire; et un poisson passait, il l’a pris, comme nous l’appelons un grand poisson. Et il est descendu au fond de la mer, après avoir mangé Jonas, ou plutôt après l’avoir englouti. Il est descendu au fond de la mer, et alors, il...
39 C’est une histoire qui confond toujours la science, car la science dit que la gorge du grand poisson n’est pas assez grande pour faire passer un homme. Mais si vous remarquez bien, la Bible dit que celui-là avait été préparé par Dieu. C’était un genre spécial de–de poisson. Dieu... Il est Jéhovah-Jiré; Il peut se pourvoir de tout ce qu’Il veut faire, car Il est Dieu. Abraham L’a appelé Jéhovah-Jiré, car Il a créé le sacrifice par la Parole. Il est toujours Jéhovah-Jiré; Il peut pourvoir à ce qu’Il veut. Alors, Il avait préparé ce poisson.
Une fois, une petite fille était heureuse, alors qu’elle revenait de l’église avec sa Bible, elle allait de l’avant; un incroyant l’a rencontrée et a dit: «De quoi es-tu si heureuse?»
Elle a dit: «Je viens d’être sauvée; Jésus est dans mon coeur.»
Il a dit: «Non-sens.» Il a dit: «Que tiens-tu là, une Bible?»
Elle a dit: «Oui.»
Il a dit: «Je pense que tu crois cette histoire de la baleine et de Jonas.»
Elle a dit: «Oh! Oui, je la crois, chaque mot. Ce que Dieu dit est la Vérité.»
Il a dit: «Eh bien, comment vas-tu le prouver autrement que par la foi?»
Elle a dit: «Quand j’arriverai au Ciel, je demanderai à Jonas.» C’est bien.
Il a dit: «Et si alors Jonas n’est pas là?»
Elle a dit: «Alors, c’est toi qui le lui demanderas.» Ça en est une bonne, n’est-ce pas? «C’est toi qui le lui demanderas.» D’accord.
40 Dieu a toujours la réponse, si seulement vous ouvrez la bouche quand Il l’ouvre. Dieu avait préparé un poisson spécial pour Jonas, et il l’a englouti. Je crois cela, chaque mot de cela.
Et il est descendu dans la mer. Et un poisson, après s’être nourri... Nourrissez votre petit poisson rouge, vous le verrez descendre directement au fond, reposer ses petites nageoires au fond de l’aquarium. En avez-vous déjà nourris? Remplissez son petit ventre, il va directement se reposer au fond de l’aquarium. C’est ce que fait un poisson. Après être sorti se nourrir, il retourne directement dans son repaire et se repose.
Eh bien, ce grand poisson avait englouti ce prophète, il est descendu au fond de la mer se reposer. Et Jonas était là, se vautrant dans les vomissures, là au fond de la mer. J’ai toujours pensé... Les gens disent: «Eh bien, mon bras ne va pas mieux, et mon–mon pied ne va pas mieux; je ne me sens pas mieux.»
Vous ne vous sentirez jamais mieux en regardant cela; vous regardez vos symptômes. Tant que vous regardez vos symptômes, vous ne verrez que vos symptômes. Ça dépend de ce que vous regardez.
41 Eh bien, considérez Jonas. Eh bien, il était dans cette situation critique. Il n’y a personne ici, dans ce tabernacle, qui soit dans une situation aussi mauvaise ce soir. Lui était dans le ventre d’un grand poisson. S’il regardait de ce côté-ci, il y avait le ventre du grand poisson; partout où il regardait, il y avait le ventre du grand poisson. Et il a dit: «Ce sont des vanités mensongères. Je verrai encore une fois ton saint temple.»
En effet, il savait que quand Salomon consacrait ce temple-là, eh bien, il avait prié, disant: «Seigneur, si Ton peuple se retrouve quelque part en difficulté, qu’il tourne le regard vers ce saint temple et prie, alors exauce du haut des cieux.» Et il croyait que la prière de Salomon était exaucée.
Alors, Dieu a fait que ce poisson malade fasse demi-tour et fasse débarquer Jonas. Or, si Jonas, dans ces circonstances-là, a pu regarder un temple construit par un homme, Salomon, qui plus tard rétrograda, un temple terrestre, et une prière offerte par un homme ordinaire, et si Dieu a pu accomplir un tel miracle pour lui, à combien plus forte raison le fera-t-Il pour vous et moi quand nous refuserons de regarder notre état. Je verrai encore le saint Temple où Jésus est assis à la droite de la Majesté divine au Ciel, intercédant sur base de notre confession. Amen.
Comment pouvons-nous regarder un symptôme? Je regarde Jésus. Non pas ce à quoi–non pas ce à quoi ceci ressemble, mais ce que Cela a dit. Regardez le Calvaire; regardez le prix qui a été payé. Quelqu’un est venu et il a dit: «Je suis trop vil, Frère Branham, Dieu ne m’a jamais sauvé.» Ne considérez pas combien vous êtes mauvais; considérez combien Lui est bon. Ne regardez jamais à vous-même; regardez à Lui. Le sacrificateur ne voyait jamais celui pour qui le sacrifice était offert.
42 Comme frère Bosworth avait l’habitude de dire au sujet de son petit mulet, il disait: «Un mulet qui naissait avec des oreilles rabattues, une queue pointue, des jambes arquées, et des yeux louches, disait-il, eh bien, s’il pouvait parler, il dirait: ‘Eh bien, quand ils sortiront, ils vont m’asséner un coup à la tête, car... ils ne vont pas me nourrir; je ne mérite pas d’être nourri.»
Mais si sa maman était bien instruite, elle dirait: «Fils, tu n’as pas à t’inquiéter; tu as le droit d’aînesse. Il y aura un agneau sans défaut qui va mourir pour toi afin que toi, tu vives.» C’est tout à fait vrai.
Le sacrificateur ne voyait jamais le mulet. Il n’examinait pas le mulet; il examinait l’agneau. Pas question de défaut sur le mulet, le défaut, s’il n’y en avait aucun sur l’agneau. Alors, si vous ne pouvez pas trouver de défaut en Lui, pourquoi alors vous inquiéter? Ce n’est pas vous; c’est Lui. Dieu ne vous regarde pas; Il Le regarde, Lui. Voyez-vous cela? Voyez-vous cela, soeur? Voyez-vous cela, frère assis ici? Voyez-vous cela?
Ce n’est pas vous qu’Il regarde; Il regarde Christ. C’est le Sacrifice. Il regarde le Sacrifice.
43 Alors, Jonas, pour continuer avec lui, nous voyons que les gens de Ninive étaient très mauvais. J’ai appris qu’ils étaient des idolâtres, et qu’ils adoraient des animaux. Et le dieu de la mer était le grand poisson; et leur occupation, c’était la pêche.
Alors, comme tous les hommes se livraient à leur travail ce matin-là, cette ville de la dimension de Saint Louis, à peu près, ils étaient allés à la mer avec leurs barques. Voici venir le dieu de la mer, accostant, il a tiré sa langue en guise de passerelle, et un prophète est sorti de sa bouche, en marchant. Il n’est pas étonnant qu’ils se soient repentis. Voyez? Oui. Assurément. Ils se sont repentis parce que leur dieu avait fait sortir un prophète par un signe surnaturel. Amen. Il n’est pas étonnant qu’il ait dit qu’ils condamneront cette génération, les gens du temps de Noé... du temps de Jonas.
44 Je vais lâcher un peu ceci pendant que nous continuons, si ça sera bien pour vous. Suivez. Il a dit: «Et les gens de Ninive se lèveront avec cette génération et la condamneront, car ils s’étaient repentis à la prédication de Jonas. Et il y a ici plus que Jonas.»
Eh bien, observez quand on Lui a demandé, Il a dit: «Il arrivera...»
Ils ont dit: «Montre-nous un miracle», après plusieurs choses qu’Il avait faites. Voyez-vous ce démon? Juste comme il a dit: «Accomplis un miracle ici et change ces pierres en pain.» On Lui a mis un lambeau sur le visage, on L’a frappé à la tête et on a dit: «Dis-nous qui T’a frappé. Nous croirons cela. Tu es un Prophète; dis-nous qui T’a frappé.»
Ce même démon fera la même chose... «Guéris celui-ci ici; laisse-moi Te voir le guérir.» Voyez cela, c’est ce même démon qui vit dans les religieux. «Laisse-moi Te voir accomplir un miracle. Je ne vais pas... Le vieil homme Untel vend des crayons là au coin, il est estropié. Laisse-moi te voir, toi le guérisseur divin, le guérir.» Souvenez-vous bien, c’est le diable. Voyez?
45 Nous ne faisons pas le clown pour eux. Dieu ne l’a jamais fait. Jonas ne l’a jamais fait. Personne d’autre ne le fait. Eux donc... laissez-les tranquilles. Ce sont des aveugles conduisant les aveugles. Ne leur dites donc absolument rien; continuez simplement à avancer. Nous en avons beaucoup qui croient cela plutôt que de perdre le temps avec des incroyants.
Mais observez, Jésus a dit: «Une génération méchante et adultère demande un miracle; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui de Jonas. Car de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, le Fils de l’Homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.»
46 Remarquez. Maintenant, saisissez cela. Quel genre de génération? Une méchante, mauvaise, adultère génér... Il parle de cette génération-ci, ou de n’importe quelle génération qui dirait: «Accomplis un miracle pour moi; montre...» C’est ce qu’ils Lui disaient.
Eh bien, ces gars d’aujourd’hui, qui ne croient pas à la guérison divine, et qui ne croient pas aux miracles, demandent: «Laisse-moi Te voir guérir celui-ci; laisse-moi Te voir guérir celui-là.» La Bible dit qu’ils auront un signe. Quel genre de signe sera-ce? Le signe de la résurrection. Alléluia! Nous l’avons. Amen. Il est ici maintenant.
Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts, et Il est vivant après deux mille ans, se manifestant parmi nous. Une génération méchante, adultère, mauvaise, une génération adultère, c’est ce qu’est cette génération-ci. Comme Sodome, nous sommes retournés à cela une fois de plus. Il a dit: «Cette génération demandera un signe, ils auront un signe. Le signe sera la résurrection.» Saisissez-vous cela?
Et maintenant, ils taxent cela pour faire... se tenant loin de Dieu, ils disent: «C’est du diable. C’est une lecture des pensées. C’est de la télépathie», ou quelque chose comme cela, sans savoir que c’est la résurrection de Jésus-Christ parmi Son peuple. Gloire! Oh! Ce qui arriva du temps de Jonas (Voyez?), plusieurs...
47 Maintenant, nous en arrivons à Salomon. Du temps de Salomon, tout lecteur de la Bible sait que c’était l’âge d’or d’Israël. C’était la meilleure époque qu’ils aient jamais connue. C’était leur millénium amateur. Tout prospérait sous Salomon. Pourquoi? Quand Dieu donne un don à un peuple, ou à une nation, ou à un peuple, et que ces gens reconnaissent ce don-là, c’est un âge d’or pour eux. S’ils le rejettent, c’est le chaos pour eux. C’est pourquoi Il continuait à dire: «Il y a ici plus que Salomon.» Et ils avaient rejeté cela.
Eh bien, prenons Salomon pour quelques instants. Il a été donné à Salomon un don de discernement, et tout Israël avait soutenu cela. Tout le monde croyait cela. Eh bien, il avait un don de discernement, il pouvait exercer le discernement sur les gens. Et tout le monde était d’un seul coeur et de commun accord autour du grand don de Dieu. «Gloire à Dieu, Grand Jéhovah!» Ils chantaient des cantiques; ils avaient construit le temple; ils avaient accompli de grandes réalisations, car ils étaient heureux. Dieu avait placé un don de discernement dans un homme, Salomon. Et ils en étaient tous contents.
48 Oh! Si ce soir l’Amérique pouvait se rassembler autour du Don de Dieu, ça serait un âge d’or; il y aurait un millénium pour nous ici. Et si nous nous rassemblons autour du Don de Dieu, cela... C’est le Saint-Esprit, évidemment. Toute l’Amérique se rassemblerait autour du Don que Dieu nous a envoyé, le Saint-Esprit, ça serait un temps où on briserait chaque mur de séparation entre méthodistes, baptistes, presbytériens, luthériens, pentecôtistes, et nous aurions un âge d’or. Et la puissance de Dieu balayerait cette nation d’une mer à une mer brillante. Chaque nation sous les cieux aurait peur de nous.
C’est la meilleure protection que nous avons: la protection de Dieu. Nous n’avons pas à fabriquer des bombes atomiques, à faire la course avec la Russie, la course des missiles. Revenez simplement à Dieu. Acceptez le don qu’Il nous a donné. Mais ils ne le feront pas. Eh bien, vous ne pouvez même pas amener beaucoup de frères pentecôtistes à faire cela, ne parlons même pas de méthodistes, des baptistes, des presbytériens, des catholiques, des luthériens et autres. On n’arrive même pas à amener beaucoup à croire cela; ils ne se rassemblent pas autour de cela. Que reste-t-il alors? Le chaos. Dieu envoie cela; c’est à vous de le recevoir.
49 Eh bien, quand le... ce don-là a été reçu, tous d’un commun accord... Eh bien, tout celui qui passait par-là, on lui parlait: «Oh! Avant votre départ, vous devez monter. Vous avez entendu parler de notre Dieu; notre Dieu, c’est Jéhovah, le Grand Jéhovah qui a créé les cieux et la terre. Oh! Avant de quitter notre pays, il vous faut rester assez longtemps pour assister à l’une de ces réunions. Oh! Vous–vous serez surpris de voir la grande puissance de Dieu venir sur un homme, de voir comment il exerce le discernement entre le vrai et le faux dans les affaires des gens. Eh bien, vous devriez voir cela; c’est merveilleux.»
Eh bien, les gens passaient et voyaient cela. Et, oh! eh bien, leur coeur était tout enflammé et emporté. Personne ne parlait pour dire: «Oh! Je ne crois pas ça. Non, non. Ce n’est pas de Dieu.» Tout le monde était d’un seul coeur, autour de cela...
50 Si les gens sur qui est invoqué le Nom de Jésus-Christ, si les gens qui sont appelés l’église chrétienne, juste eux seuls, s’assemblaient, priaient et acceptaient le don que Dieu nous a envoyé, il n’y aurait pas un seul mot insensé au sujet de la chose. Eh bien, il y aurait une merveilleuse effusion du Saint-Esprit. Les nations en entendraient parler, ce serait à la une, aux nouvelles télévisées, cela parcourrait le monde. Si seulement nous pouvions recevoir cela, mais ils ne le feront pas. Que reste-t-il alors? Une bombe atomique nous attend–c’est tout–, pour les incroyants. Jésus nous attend. Grâces soient rendues au Seigneur, il y a une issue... «A tous ceux qui L’ont reçu, Il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, ceux qui ont cru en Son Nom.»
51 Bon, Salomon, nous voyons donc que les gens parlaient, et partout. Alors, les nouvelles... A l’époque, ils n’avaient pas de télévisions ni de journaux. Le... C’était de bouche à oreille. Et chaque fois que les gens passaient dans une autre nation, ils amenaient des nouvelles: «Oh! Dieu, le Grand Jéhovah Dieu des–des Juifs, eh bien, ces gens sont d’un commun accord. Ils ont construit un grand temple le... Vous n’avez jamais vu pareille beauté; vous n’avez jamais vu pareille unité; vous n’avez jamais vu pareille puissance. Et Dieu a visité un homme là, ils ont fait de lui leur roi.» (Nous ne pouvons même pas faire de quelqu’un comme cela un pasteur.) On disait: «Nous faisons de lui un roi et, oh! quelle grande puissance Dieu utilise, cet homme, Salomon là-bas! Dieu fait une chose glorieuse.
52 Eh bien, les nouvelles continuaient à se répandre jusqu’à ce qu’un jour, elles sont parvenues là loin à Séba. Eh bien, c’est loin là-bas. Et des caravanes passaient, vous savez, et–et ils pouvaient... Comme on entrait à chaque passage d’un voyageur, évidemment on entrait voir les chefs des nations. Et cette petite nation avait une reine à la tête, appelée la reine de Séba, on parle d’elle comme de la reine du Midi, car c’était au sud de la Palestine. La reine du Midi, dit-on, est venue des extrémités de la terre. C’étaient les extrémités du monde connu de l’époque. Elle venait de loin, de l’autre côté du désert de Sahara. Mesurez-en la distance sur votre carte, c’est très loin là.
Alors... Finalement, les nouvelles lui sont parvenues. Et tout celui qui venait de la Palestine disait: «Dites donc, nous venons de la Palestine. Vous devriez voir l’unité parmi ces gens. Leur Dieu a oint un homme. Et cet homme opère des signes du Dieu vivant, un signe qu’un homme ne peut pas opérer. Leur Dieu doit être un Dieu réel.» Vous savez, la foi vient de ce que... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?...
«Mais vous devriez voir le glorieux Esprit sur lui. Je n’ai jamais vu pareil discernement. Oh! C’est infaillible, c’est l’exacte vérité à chaque coup. Vous devriez voir cela. Je n’ai jamais vu pareille chose.» Elle a commencé à avoir faim, elle a commencé à avoir soif.
Oh! J’aime ça: Avoir soif. Oh! Quand vous avez soif, il y a quelque chose à ce sujet. Vous ne pouvez pas parler de l’eau à un homme sans qu’il ait soif; mais quand il a soif, il va boire quelque part; il a soif.
53 Il y a quelque temps, je lisais dans Psaume 63; David dit: «Car Ta bonté vaut mieux que la vie pour moi, je louerai Ton Nom.» Je me suis dit: «Que voulait dire David?» La vie, c’est la chose la plus glorieuse qu’il y a, il doit donc y avoir diverses interprétations de la vie.
Eh bien, certaines personnes pensent que la vie consiste à boire, à faire des beuveries et à aller çà et là. Mais ce genre de vie cause du chagrin. Finalement, cela–cela... il n’y a pas... Ce n’est pas le genre de vie dont parlait David.
Eh bien, parfois, ce genre de vie vous amènera à prendre un pistolet et à vous faire sauter la cervelle, à sauter d’un pont pour se suicider. Les gens pensent que parce que... «Oh! Si seulement je pouvais gagner un million de dollars, cela serait vraiment la vie.» Non, c’est la mort.
54 Il y a quelque temps, j’étais avec frère Sothmann dans une grande église, une arène là au Canada, dans une certaine grande ville. Et tout allait bien jusqu’à l’arrivée des Américains. Et ils arrivèrent là à une espèce de loge. Et cette nuit-là, quand je suis entré dans l’ascenseur, je rentrais chez moi après la réunion, il y avait assez de bouteilles de whisky là pour faire un casier ou deux de whisky. Et j’ai dit au jeune garçon qui me faisait monter, j’ai dit: «C’est quoi ça?»
Il a dit: «Ça vient de l’autre côté de la frontière par ici.» Il a dit: «Une espèce de–d’association qui célèbre... une loge qui célèbre son jubilé ici.» Il a dit: «C’est horrible.» Il a dit: «Est-ce vous frère Branham?»
J’ai dit: «Oui.» Et j’ai dit: «Ça me fait vraiment honte d’être Américain.»
Il a dit: «Eh bien, on célèbre aussi cela ici.»
Alors, je suis monté et je suis sorti de l’ascenseur. Et alors, j’ai entendu quelque chose à l’autre bout de la salle, un long couloir de ce grand hôtel. J’ai jeté un coup d’oeil là, voici deux femmes qui passaient là, d’environ vingt-cinq, trente ans, juste en sous-vêtements, et des hommes leur couraient après comme cela. Elles tenaient une bouteille de whisky en main, et toutes les deux portaient des alliances, et leurs maris faisaient peut-être le baby-sitter à la maison. Oh! Elles se tapaient juste un petit plaisir innocent. Il n’est pas étonnant que nous soyons condamnés. Peut-être que c’étaient des membres d’une école de dimanche quelque part, ou une monitrice de l’école du dimanche.
55 Alors, elles passaient, et ces gars, très ivres, rampaient sur leurs genoux, cherchaient à les saisir, tirant ce peu d’habit qu’elles portaient. Et elles sont passées là, et ils se sont éloignés d’elles, ils... Alors, je me suis mis à l’écart, dans un petit couloir, à l’ombre. Et l’une d’elles a pris ce whisky, elle a avalé une bonne gorgée comme cela et l’a donné à l’autre; elle a soulevé son petit jupon et a dit: «Youpi, c’est ça la vie.»
Je me suis tenu là un petit moment, je me suis avancé, j’ai dit: «Excusez-moi. C’est la mort.»
Elle a dit: «Prenez une gorgée.»
Je les ai saisies par la main, et j’ai dit: «Regardez ça, ces alliances. N’avez-vous pas honte de vous-mêmes? Même si vous n’étiez que des citoyennes américaines, c’est une disgrâce pour notre pays, et pour notre drapeau, et pour nos aïeux qui ont fondé cette nation. Je suis aussi Américain. Je suis prédicateur de l’Evangile.» Et elles ont commencé à sauter, à tirer, à sauter et à grogner, me cognant, et tout le reste, elles se sont dégagées, et elles ont filé dans le couloir.
56 Ce n’est pas ça la vie, c’est la mort. Qu’est-ce qui fait... Qu’est-ce qui amène une belle jeune femme à désirer faire pareille chose? Qu’est-ce qui peut amener un homme, peut-être avec une femme à la maison faisant aussi le baby-sitter, à se retrouver là à courir après une femme, la femme d’un autre homme? Pourquoi boivent-ils? Qu’est-ce qui amène les gens à commettre un péché? C’est parce qu’ils ont soif. C’est vrai.
Quand Dieu a créé le coeur humain, Il a prévu un petit endroit là à l’intérieur pour Lui-même. Il vous a créé de manière à avoir soif, non pas avoir soif de cela, mais avoir soif de Lui. Comment un homme ou une femme, citoyen de n’importe quel pays, ose-t-il étancher cette sainte soif avec les choses du monde? La raison pour laquelle ils font cela, c’est que... vous n’avez pas besoin d’un autre verre, vous n’avez pas besoin d’une cigarette, vous les fumeurs. Vous n’avez pas besoin d’un autre verre, vous qui buvez. Vous n’avez pas besoin d’une autre fête; il vous faut Dieu, c’est ce qu’il vous faut, la soif pour la justice.
Dieu a créé ce lieu-là et Il a fait que vous ayez soif; c’est une partie de vous. Il a créé ce petit lieu dans votre coeur pour Lui servir de trône et pour satisfaire votre soif.
57 Cela ne vous servira à rien; cela vous transformera en toxicomane, ou–ou quelque chose d’autre. Et vous ne serez jamais satisfait, et cela ne sera jamais satisfait jusqu’à ce que vous trouviez la chose pour laquelle cela a été fait. Vous hybridez de nouveau quelque chose en cherchant à donner là quelque chose que Dieu a fait pour Lui-même. Et c’est ce qui amène quelqu’un à avoir soif.
Cette petite reine, combien c’était différent! Elle a eu soif parce que son petit coeur humble cherchait Dieu. Alors, peu après, il y a eu tellement de gens qui passaient qu’elle s’est dit: «Eh bien, j’irai découvrir de moi-même.»
Eh bien, voilà une bonne idée. Elle peut enseigner aux femmes américaines comment vivre. Voyez, des Américaines resteront à la maison et: «Bah! Eh bien, docteur Untel a dit que ce n’était pas vrai.» Elles resteront à la maison.
58 Ce que le docteur Untel avait dit importait peu à cette femme. Elle avait soif de découvrir d’elle-même. Elle était déterminée à partir. Elle a eu beaucoup de choses à affronter. Rappelez-vous, c’était une païenne. Elle devait aller demander à son prêtre païen si elle pouvait partir.
Effectuons un voyage avec elle. Je l’entends aller là et dire: «Saint révérend père, est-ce possible que vous me donniez l’autorisation, moi reine? J’ai appris qu’il y a un grand réveil en cours par ici, dans la nation voisine, que Dieu, leur Dieu est descendu et qu’Il a oint les gens au point qu’ils sont tous d’un commun accord. Il a placé Son Esprit sur un homme; il exerce de grands discernements. Oh! Saint père, voudriez-vous m’autoriser à quitter notre église afin que je puisse aller?»
59 «Eh bien, ma fille, tu ne dois pas oublier qui tu es. Tu jouis d’un grand prestige. Ta maman a fréquenté cette église-ci; ton papa a fréquenté cette église-ci; ton grand-père et ta grand-mère, ainsi que leur grand-père et leur grand-mère ont fréquenté cette église-ci. Eh bien, cette histoire-là n’existe pas; ne te laisse pas emballer dans une espèce de ce fanatisme-là.»
Vous savez, les gens meurent, mais les esprits ne meurent pas. Ils sont donc toujours vivants, ils affichent les mêmes attitudes.
«Ainsi donc, ne t’accroche pas à cette bande-là. Ils doivent être des saints exaltés là-bas. Ne les écoute pas. Eh bien, si quelque chose comme cela se passe, ça devrait se passer dans notre église.» Voyez? «Ça devrait se passer chez nous», dirait-il. «C’est ce qui devrait se passer.» Voyez-vous?
60 Ainsi donc, la chose suivante, elle a dit: «Mais, écoutez, monsieur...» Suivons ce qu’elle a dit: «Mais écoutez, monsieur, tout ce que j’ai entendu mon arrière-grand-mère, ma mère et les autres dire, c’est qu’on a tout un tas de credos et autres que vous récitez ici, contemplant une espèce d’idole. Nous n’avons jamais vu une action jusque-là. Je n’ai jamais vu autre chose qu’un groupe de gens vivant comme le monde venir ici, réciter des credos et rentrer et je n’ai vu aucun signe surnaturel d’une quelconque vie dans une idole ou dans une église. On me dit qu’ils ont la preuve que Dieu vit avec eux. Je vais de toute façon.» Amen. J’aime ça.
Que Dieu traite avec un coeur, il n’y a pas assez de prêtres au monde pour l’en empêcher, pas assez de fanatiques pour l’en éloigner. Il va aller de toute façon; Dieu se met à traiter avec le coeur humain.
Je peux la voir se retourner, sortir de l’église. Eh bien, ne l’oubliez pas, c’était une femme pour commencer, une petite dame qui devait aller... Eh bien, rappelez-vous, elle a dit ceci aussi, elle a dit: «Eh bien, j’y vais pour voir ce qu’il en est. La première chose que j’aimerais faire, c’est m’acheter beaucoup de rouleaux de Juifs pour voir quel genre de Dieu Jéhovah est.» C’est une bonne idée. «Sondez les Ecritures pour cela, Elles rendent témoignage de qui Je suis.» D’accord.
61 Alors, elle a sondé les rouleaux, elle a vu tout ce qu’il y avait dans les rouleaux concernant ce que Jéhovah était, ce qu’était Sa nature, ce qu’Il avait fait. C’est une bonne chose pour chaque lecteur de la Bible. Quand vous venez à une réunion, et que vous ne pouvez pas comprendre cela, voyez si c’est conforme aux Ecritures. Si ce n’est pas scripturaire, jetez cette histoire. Si c’est scripturaire, recevez cela. C’est vrai. Ce que... Faites ce que Jésus a dit.
Elle a donc acheté les rouleaux, et elle les a complètement lus. Elle a dit: «Eh bien, je sais que les rouleaux en parlent; Il est ce genre de... les prophètes disent tous qu’Il est ce genre de Dieu, Il est le Dieu de ce type-là. J’y vais donc, et je vais amener beaucoup d’argent avec moi. Si c’est la vérité, je soutiendrai cela. Si ce n’est pas la vérité, alors, je ne vais pas soutenir cela. Je ramènerai mon argent.»
Cela serait une bonne leçon pour beaucoup d’Américains. Si–si seulement le peuple américain supportait ce qui est bien, ce qui s’avère être Dieu, mais ils supportent tout le reste sauf pratiquement cela. Je pense qu’il doit en être ainsi.
62 Or, rappelez-vous, elle a fait seller ses chameaux, elle a pris quelques servantes avec elle, ainsi que les eunuques du temple. Elle a entrepris son voyage.
Eh bien, rappelez-vous, elle n’avait pas juste à traverser la rue. Elle avait des centaines de kilomètres à parcourir à travers le désert du Sahara; pas dans une Cadillac climatisée, mais à dos d’un chameau. Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit: «Elle se lèvera au jour du Jugement et condamnera cette génération-ci.»
Certaines personnes ne veulent pas traverser la rue pour assister à l’une des réunions. Elle est venue des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon. Et voici, il y a ici un plus grand que Salomon. Le Dieu de Salomon est avec nous, assurément, faisant la même chose qu’Il avait faite au jour de Salomon. Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit qu’elle se lèverait au Jugement et condamnerait cette génération.
Et autre chose, elle avait beaucoup d’argent, de myrrhe et d’encens. Oh! Cela, c’était... Il n’y a pas moyen de compter le prix, cela valait des dizaines de milliers de dollars. Eh bien, elle avait à traverser le désert. Les enfants d’Ismaël étaient là dans le désert. Et c’étaient des voleurs.
63 Mais, vous savez, il y a là quelque chose. Quand votre coeur commence à avoir soif de Dieu, vous ne connaissez pas la peur. Vous continuez simplement à avancer malgré tout; vous ne pensez pas à ce sujet, ce que maman va dire, ce que papa va dire, ce qu’untel va dire, ce que mon patron va dire, vous ne faites qu’avancer. Lorsque vous commencez à avoir faim et soif de Dieu, quelque chose commence à se passer. Vous poursuivez cela malgré tout.
Elle a entrepris la traversée du désert. Peut-être qu’elle devait voyager la nuit comme il faisait très chaud la journée. Ces rayons directs de ce–ce soleil là-bas, dans ce désert de Sahara, vous brûleraient pratiquement la peau.
Et... Vous savez combien de temps ça prend pour traverser... à une caravane pour traverser ce désert-là? Quatre-vingt-dix jours, trois mois. Mais il y avait quelque chose qui l’attirait, qui l’attirait.
64 Ô Dieu! Ouf! Heureux ceux qui ont faim et soif, car ils seront rassasiés: avoir faim et soif. Oh! Avant d’avoir soif, on ne peut pas vous en parler, mais dès que vous commencez à avoir soif, vous êtes alors prêt.
Elle était... avait... Elle ne pensait pas aux enfants d’Ismaël; Dieu protégerait contre cela. Si ce Dieu était Dieu, Il la protégerait. Elle était en route le jour...?... sortir en courant... La journée, elle se couchait en dessous, avec ses petites servantes, et lisait ces rouleaux. Et elle s’est dit: «Est-ce que ce grand ciel, c’est Jéhovah qui l’a créé? Est-ce Lui qui a créé cela? Je vais le découvrir. On dit qu’il y a un signe là; je vais voir si c’est vrai.»
65 Finalement, elle arriva aux portails du palais. Et quand, finalement, elle est arrivée aux portails du palais, elle n’était point allée pour dire: «Je vais entrer et m’asseoir, et si ce gars-là dit une chose contre notre théologie, de notre église, je vais directement me lever, sortir de la salle en tapant du pied.» Non, ça, c’est l’attitude américaine. Vous voyez? Mais pas la sienne. Elle était venue s’asseoir là jusqu’à ce qu’elle fût pleinement convaincue, en comparant cela avec les Ecritures. Elle a dressé ses tentes et tout, elle s’est apprêtée pour la réunion.
Et je peux m’imaginer le lendemain matin, elle a porté de ses meilleurs habits, et elle et ses–ses servantes, et elles se sont présentées à la porte. Toute la chorale a chanté de glorieuses chansons, les trompettes ont retenti, le sacrifice a été offert, tous les préliminaires étaient terminés et Salomon est monté à l’estrade.
66 Elle a dit: «Oh! Le voilà. Ça doit être lui le gars que Dieu a oint. Eh bien, si ce Dieu... Eh bien, que je voie maintenant. Que je voie. Je repasserai tous ces prophètes maintenant, je verrai si c’est vrai.»
La chose suivante, vous savez, on a fait monter le premier cas, elle a vu que l’esprit de discernement de Salomon était parfait. Elle a observé cela jour après jour, pas une faille nulle part. Son petit coeur s’est mis à battre. Peu après, comme il commençait à battre fortement, finalement, sa carte de prière a été appelée et elle est montée.
Et quand elle est montée là, elle s’est tenue devant Salomon; elle avait un secret dans son coeur. Et Salomon, dit la Bible, lui a tout dit; il n’y eut rien de caché. Dieu avait tout révélé à Salomon, ce qu’elle voulait savoir. Est-ce vrai? C’est cela l’esprit du discernement. Assurément.
67 Il lui a tout révélé, et quand sa carte de prière a été appelée, elle s’est levée, et Salomon lui a tout révélé par l’Esprit de Dieu, elle s’est tournée vers l’assistance, elle a dit: «Tout ce que j’avais entendu est la vérité. Et c’est plus vrai que ce que j’avais entendu. C’est plus glorieux que je le pensais.» Pourquoi? Elle se tenait dans la Présence de Jéhovah. Alléluia! Oh!
Je souhaiterais pouvoir apporter cela tel que je le vois. Oh! la la! Savez-vous que quand le Saint-Esprit descend, la puissance de Dieu frappe un lieu, Jéhovah est présent, ce même Jéhovah?
68 Comment pouvons-nous rester tranquilles? Que devons-nous faire? Vous voyez, vous pensez: «Oh! Si j’avais vécu jadis, alors...» Vous auriez eu le même sentiment que maintenant. C’est plus glorieux maintenant que jadis, car là, c’était sur un seul homme; ici, c’est sur tout le peuple qui Le recevra. C’était pour un seul homme, Salomon. Maintenant, c’est pour quiconque le veut, qu’il vienne. Amen.
Un plus grand que Salomon est ici, accomplissant le signe de Sa résurrection. Il a été fait chair, Il est mort pour ôter votre péché, Il est ressuscité le troisième jour, Il est revenu sous forme du Saint-Esprit, et les oeuvres qu’Il avait accomplies, Il les accomplit en plein parmi les gens; le même hier, aujourd’hui et éternellement. Alléluia! Je dis: Alléluia! Cela veut dire gloire à notre Dieu. Oh! Oui. Il est ici.
Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit: «Elle se lèvera au jour du Jugement et condamnera cette génér...» A part cela, regardez ce qu’elle a dit à Shreveport, et à beaucoup de ces endroits, les églises pentecôtistes.
«Non seulement cela, mais heureux ceux qui sont avec vous, qui se tiennent là et vous servent. Heureux sont-ils, car ceux-ci disent... ils voient ces choses arriver jour après jour. Heureux sont-ils. Heureux les hommes qui sont avec vous, qui se tiennent à vos côtés, pour voir ce don opérer jour après jour.
69 Jésus a dit qu’elle se lèverait au Jugement et condamnerait cette génération (C’est vrai), et condamnerait cette génération; à combien plus forte raison condamnerait-elle celle-ci plus que celle-là; en effet, considérez la grande lumière que nous avons eue depuis ce jour-là: la mort, l’ensevelissement, la résurrection, le Saint-Esprit Lui-même avec nous. Voyez-vous ce que je veux dire? C’est trop ordinaire. C’est ce que–c’est ce que le Saint-Esprit est devenu pour les pentecôtistes; c’est trop ordinaire.
Une fois, un vieil homme qui vivait à l’intérieur était en route vers le rivage. Il avait écrit des livres, et il avait souvent écrit sur la mer, comment elle était belle. Un jour, il était en route vers là, il descendait au rivage, et il a rencontré un vieux loup de mer qui revenait de la mer. Et ce dernier lui a demandé: «Où allez-vous, mon bon homme?»
Il a dit: «Oh! Je m’en vais à la mer. Je ne l’ai jamais vue de ma vie.» Et il a dit: «J’aimerais voir ces grosses vagues blanches étincelantes, alors qu’elles s’élancent violemment. J’aimerais flairer l’air salé. J’aimerais entendre le cri de la mouette de mer.»
Et le vieux loup de mer s’est tenu là, il a regardé, il a un peu mâché le bout de sa pipe, il a dit: «Je suis né là-dessus. Je suis là depuis cinquante ans. Je ne vois rien d’émouvant là», et il s’en est allé. C’est ça. Il était tellement habitué à cela que cela ne l’émouvait plus.
70 C’est ça le problème de l’église aujourd’hui. Vous en avez tellement vu que cela ne vous ravit plus. Le Saint-Esprit est si bon qu’Il vous visite de temps en temps, de temps en temps, et nous oublions cela.
A Louisville, dans le Kentucky, il y a quelques semaines, une mère portait un petit enfant. Et elle, elle marchait là et secouait de petits jouets, vous savez, disant: «Vois-tu, chéri? Vois-tu, chéri?» Elle prenait ensuite autre chose. «Vois-tu, chéri? Vois-tu, chéri?» Le petit enfant gardait le regard fixe.
Et peu après, cela–cela a un peu dérangé les gens dans le magasin. Finalement, elle a pris une petite sonnette qu’elle a fait retentir. Elle a dit: «Regarde, chéri; regarde, regarde, regarde, regarde. Chéri de maman, regarde.» Et le petit enfant avait le regard bien fixe; elle s’est alors écroulée sur le comptoir.
71 Les gens sont allés l’aider. Ils ont demandé: «Qu’y a-t-il?»
Elle a dit: «Mon petit garçon ici, il n’y a pas longtemps, a-t-elle dit, il a juste commencé à avoir le regard fixe, dans le vide.» Et elle a dit: «Je l’ai amené chez le médecin il y a quelque temps, et ce dernier a dit qu’il allait mieux, mais il ne va pas mieux.» Elle a dit: «Rien n’arrive à l’attirer.» Elle a dit: «Les choses qui devraient attirer l’attention d’un petit garçon de son âge, ça ne l’attire pas; il reste simplement assis, le regard dans le vide.»
Combien cela est vrai de l’église aujourd’hui. Dieu a secoué devant l’église chaque sorte de don qu’Il peut, et ils restent tranquillement assis, le regard dans le vide, attendant autre chose. Alléluia! C’est vrai. Dieu va se fatiguer de secouer des dons devant vous d’ici peu. Nous restons assis, paralysés.
On voit Oral Roberts, et les autres, guérir les malades, et de grands signes et de grands prodiges du Messie ressuscité, et les gens restent assis et disent: «Eh bien, je ne sais pas.» Voyez?
72 Ça ne les attire plus. Quelque chose est arrivé à leur esprit. On dirait simplement qu’ils sont mentalement dérangés ou spirituellement dérangés. Et leur caractère, vous pouvez leur parler de la sainteté et de la manière de vivre, ils n’y accordent plus d’attention, c’est comme si vous n’aviez même pas dit cela. Cela ne... Ils ne se rendent pas compte qu’un fils et une fille de Dieu devraient agir comme un fils et une fille de Dieu. Ils devraient se rendre compte de leur position, ne pas se disputer, ne pas se battre, ne pas se mettre dans ses états, ne pas faire des histoires, ne pas avoir de la rancune.
73 Il y a quelque temps, ici dans le sud, on vendait des gens de couleur comme des esclaves. On les vendait dans des parkings juste comme on vendrait des véhicules, des véhicules d’occasion, et on obtenait un acte de vente avec eux... Cela n’a jamais été correct.
Alors, quand... Un jour, un négociant est passé par là, il voulait acheter quelques esclaves dans une plantation. Et on vendait des hommes costauds pour les croiser avec des femmes costaudes et avoir des esclaves plus costauds, qui pouvaient tirer leurs charrettes, les charrues et autres, et accomplir leur travail. Alors, un jour, un négociant est passé par-là et a demandé: «Combien d’esclaves avez-vous?»
On lui a répondu: «J’en ai cent ou deux cents.» On lui a dit: «Regardez-les.»
Il les a tous observés; ils étaient loin de leur patrie, on devait les fouetter et tout pour les amener à obéir, car ils étaient tristes. Ils savaient qu’ils ne retourneraient plus jamais chez eux; ils auraient à mourir ici dans un pays étranger et ils ne retourneraient plus jamais chez eux.
74 Mais on a remarqué un jeune homme, on n’avait pas à le fouetter. Dites donc, il avait la poitrine bombée, le menton relevé. Il était toujours à la tâche. Ce négociant-là a dit: «J’aimerais acheter cet esclave là.»
Il lui a dit: «Mais celui-là n’est pas à vendre.»
Il a dit: «Pourquoi n’est-il pas à vendre?» Il a demandé: «Est-ce lui le chef des autres?»
Il lui a dit: «Non, c’est un esclave.»
Il a demandé: «Le nourrissez-vous différemment des autres?»
Il lui a répondu: «Ils mangent tous ensemble à la cuisine.»
Il a dit: «Qu’est-ce qui le rend si différent des autres esclaves?»
Alors, le propriétaire a dit: «Je me l’étais demandé pendant longtemps, mais un jour, j’ai découvert. Là dans sa patrie, d’où il vient en Afrique, son père est un roi d’une tribu. Et quand bien même il est un étranger, loin de sa patrie, il se conduit toujours comme un fils du roi.»
75 Hum! Pourquoi devrions-nous nous conduire nous-mêmes comme des lâches? Nous sommes fils et filles de Dieu. Nous sommes étrangers; nous sommes pèlerins et étrangers ici, mais nous reculons devant la Parole de Dieu. C’est son... Nous sommes fils et filles du Roi.
Ne mentez pas, ne volez pas, ne buvez pas, ne fumez pas, n’ayez pas de comportement bizarre comme cela; les femmes ne devraient pas se couper les cheveux et agir comme les femmes de la rue, habillées de cette espèce d’habits. Nous sommes fils et filles de Dieu: les fils du Roi et les filles du Roi. Ceci n’est pas notre pays. Nous mourons un jour dans ce pays, mais nous sommes en route vers la Maison. Conduisons-nous en fils et filles de Dieu. C’est vrai.
Et la reine du Midi se lèvera au jour du Jugement et condamnera cette génération, car elle est venue des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon. Et il y a ici plus que Salomon.
76 Inclinons juste un instant la tête.
Je suis l’enfant du Roi,
Je suis l’enfant du Roi!
Avec Jésus, mon Sauveur,
Je suis l’enfant du Roi.
Mon Père est riche en maisons et en terre,
Il a la richesse du monde entre Ses mains!
Des rubis et des diamants, de l’argent et de l’or,
Ses coffres en regorgent,
Il a des richesses ineffables.
Je suis l’enfant du Roi,
L’enfant du Roi!
Avec Jésus, mon Sauveur,
Je suis l’enfant du Roi.
77 [Frère Branham fredonne.–N.D.E.] Si vous n’êtes pas un enfant du Roi et que vous aimeriez le devenir ce soir, en venant rejoindre les rangs du Corps mystique de Christ, et Le recevoir comme Sauveur personnel, être rempli de l’Esprit, voudriez-vous lever la main pour dire: «Priez pour moi, Frère Branham»?
Je n’ai pas le temps de faire l’appel à l’autel ici; j’aimerais seulement savoir si vous voulez que je prie pour vous. Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse, partout dans la salle. Que Dieu vous bénisse. Beaucoup de mains, une ou deux douzaines ont été levées. Encore une fois maintenant, pendant que le Saint-Esprit enfonce cela profondément dans leur coeur...
Je suis l’enfant du Roi,
Un enfant du Roi!
Avec Jésus, mon Sauveur,
Je suis un enfant du Roi.
78 Père divin, c’est Toi qui as dit que la reine du Midi se lèvera, et dans ce dernier passage, qu’elle condamnera la génération, ainsi que Jonas, des générations méchantes qui cherchent le signe. Nous en avons aujourd’hui, Père. Ils ne veulent absolument pas croire cela tel que Tu l’as écrit. Ils disent: «Laissez-moi vous voir faire quelque chose. Montrez-moi un miracle; montrez-moi ceci.» Ils ne se rendent pas compte que cet esprit qui est en eux a été dans des gens au cours des âges.
Ils avaient dit à notre Seigneur: «Montre-nous un signe; nous demandons un signe.»
Il a dit: «Toute cette génération méchante recevra un signe, le signe de la résurrection.» Nous sommes très contents ce soir.
Et ce signe-là, dont Il a parlé au sujet de Jonas, la chose même pour laquelle ils ont dit qu’Il était Béelzébul, car Il pouvait discerner les pensées de leur coeur, le même chapitre dit qu’Il connaissait les pensées de leur coeur... Et ils ont dit qu’Il était un démon. Il leur a dit que la reine du Midi était venue de loin, de Séba, pour entendre la–la sagesse de Salomon, et il y avait là plus que Salomon.
79 Et maintenant, aujourd’hui, ce même Seigneur Jésus ressuscité est au milieu de nous sous forme du Saint-Esprit, avec nous ici, agissant en nous, accomplissant les mêmes oeuvres. Et la génération méchante, la génération adultère, qui se marie, donne en mariage, des tribunaux de divorce, la perversion, la perversion sexuelle, toutes sortes de mal... «Montre-nous un miracle.» C’est ce que vous faites: La résurrection. Mais ils ne croiront pas cela, Père.
Maintenant, ceux-ci ici présents... Et comme je l’ai dit concernant le–l’esclave de couleur, qu’il n’avait pas à être fouetté. Non, peu importe combien difficile c’était pour lui, il savait néanmoins qu’il était un–un fils du roi. Il gardait haut le moral des autres de par son propre comportement.
Et, Père, accorde-nous, en tant que chrétiens, ceux qui sont forts en Christ, d’agir en enfants de Dieu, de parler en enfants de Dieu, d’être positifs sur la Parole de Dieu, sachant ce que le Saint-Esprit a fait pour nous.
80 Beaucoup de mains ont été levées pour montrer qu’ils voulaient Le recevoir comme Sauveur personnel et devenir Ses enfants. Ô Dieu, je prie que quelque part dans cette ligne de prière, ou quelque part dans la réunion, que Tu accomplisses ce signe de la résurrection que Tu as promis par Jonas. Et qu’en cette heure-là, ou à ce moment-là, que la puissance de Dieu les scelle du Saint-Esprit dans leur coeur et fasse d’eux des fils et des filles de Dieu, que leur caractère soit changé, leurs désirs, leurs objectifs, leurs motifs, tout dans leur vie soit changé. Accorde-le, Seigneur.
Nous nous attendons davantage à Toi; le service est à Toi. C’est en Ton Nom. Et nous nous attendons à voir ce que Tu feras. Sauve ces gens, Seigneur; ne les laisse pas quitter cette salle ce soir sans salut. Accorde-le, Seigneur.
81 Qu’ils soient tous remplis du Saint-Esprit. Et que ceci soit l’apogée de leur vie maintenant même, qu’ils quittent cette salle ce soir, que beaucoup d’autres qui n’avaient pas levé la main se réjouissent et disent: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous? Et nous savons que Jésus est ressuscité d’entre les morts, car nous L’avons vu guérir les malades, faire exactement ce qu’Il avait dit qu’Il ferait dans les derniers jours. Nous Le recevons humblement.» Accorde-le, Père. Nous prions au Nom de Jésus. Amen.
Avec Jésus, notre Sauveur,
Oh! Nous sommes enfants du Roi.
(Pouvez-vous lever les mains et chanter cela avec moi une fois?)
Je suis un enfant du Roi,
Un enfant du Roi!
Avec Jésus, mon Sauveur,
Je suis un enfant du Roi.
N’êtes-vous pas heureux?
Le Grand Médecin est ici maintenant
Le compatissant Jésus;
Il console...
Oh! Écoute la voix... Jésus.
Le plus doux son du chant des séraphins,
Le plus Doux Nom... mort...
Le plus doux chant jamais chanté,
C’est Jésus, l’Adorable Jésus.
N’est-Il pas merveilleux? Eh bien, avec révérence, tout le monde. Et maintenant, la musique, s’il vous plaît, continuellement cela, soeur Anna Jean.
82 Je pense que Paul m’a dit... Je pense que tu as distribué cinquante cartes, n’est-ce pas, Bill? La carte de prière B, il a repris les anciennes et il a donné les nouvelles afin que je ne sois pas embrouillé.
Maintenant, cinquante cartes de prière... Eh bien, ce soir, nous n’allons pas commencer... nous allons simplement prier pour les malades. Nous croyons que dans cette ligne de prière... J’aimerais prier pour eux tous. J’aimerais prier pour tout le monde. Ainsi donc, maintenant, nous allons faire venir ces gens ici.
La carte de prière... Dès que j’appelle votre numéro, voudriez-vous vous lever afin que si c’est quelqu’un qu’il nous faut aider, eh bien, nous puissions le mettre dans la ligne? La carte de prière numéro 1, qui l’a? Es-tu sûr d’être dans le bon? La carte de prière numéro 1? C’est quelle lettre? B numéro 1, avez-vous cela, madame? Descendez droit ici. Trouvez-vous un fauteuil et asseyez-vous là; Billy...?...
83 Numéro 2, qui a la carte de prière 2? Voudriez-vous lever la main? La dame ici. Numéro 3? Que quelqu’un m’aide; frère Palmer, si vous pouvez surveiller leur main. Levez la main si possible, quand j’appelle votre numéro. Numéro 3? Cet homme ici. Numéro 4, numéro 5? Venez juste là, occupez simplement votre place. Numéro 6, numéro 7, numéro 8, 9, 10.
Généralement, si nous allons tenir une ligne de discernement, j’essaie toujours d’aller au-delà, de commencer à 20 ou 30, ou quelque part comme cela. Mais comme ceci, ça ne change rien, car nous allons–nous allons prier jusqu’au bout de la ligne. En effet, je vais essayer de prier pour eux tous. 10, 11?
Aidez-moi maintenant, carte de prière 11, 11, qui l’a? 12, regardez là; 12, 13–13, 14, 15–15? D’accord. 16,17, quelqu’un doit l’avoir reçue et être rentré chez lui. Que dites-vous? Dans cette direction-ci? D’accord, nous commencerons ici même alors. Avancez cela juste... Hein?... Oh! Oui, 17, d’accord, ici même. Qui a 17? Personne, je me rappelle l’avoir appelée, 18,19, 20, 21? Tenez-vous juste ici même jusqu’à ce qu’il soit prêt pour vous. Venez ici. 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30? Je n’ai pas vu 30, la carte de prière 30, 30? La voyez-vous? Tout le monde parle anglais ici, je suppose, français ou anglais.
84 Est-ce que quelqu’un sait s’il y a quelqu’un qui parle français ou quelque chose comme cela? 30–30, oh! l’avez-vous? Oh! Je n’avais pas vu, excusez-moi; 31, 32, 31–31, 32, c’est ça, 33? C’est ça, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 39, 40. C’est ça; alignez-vous juste ici. Voyez? Venez par ici, tout le monde maintenant, en passant par là. Voyez? ...?... Vous quittez... D’accord. 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46? Je n’ai pas vu cela, pas vous? 46, oui. 46, 47–47, 48? D’accord. 49, 50–50, ai-je vu cela? 50–50... Est-ce que... C’était eux tous, n’est-ce pas? D’accord. D’accord.
Maintenant, pendant qu’ils se mettent en ligne au fur et à mesure qu’on appelle leurs–leurs noms, qu’ils se mettent en ligne, que quelqu’un veuille les aider là à mettre les gens en ligne. C’est une longue ligne de prière; nous allons bien prendre notre temps pour prier pour tout le monde. Maintenant–maintenant, soyez vraiment respectueux, tout le monde, pendant qu’on forme les lignes de prière.
85 Maintenant, voici ce que j’aimerais vous dire. Eh bien, combien savent qu’aucun homme ne peut vous guérir? Combien savent que la guérison est... la guérison divine est une oeuvre achevée par Dieu au Calvaire? Voyez? Et elle est accordée à quiconque pourra venir l’accepter par la foi; vous croyez cela. Est-ce vrai? C’est par la foi que vous croyez cela.
Eh bien, il y a des gens qui ont des dons; comme un très bon prédicateur, il peut rendre... prendre cette Parole de Dieu et La présenter là comme cela, un bon théologien, et il peut... C’est le don de guérison. Ils peuvent vous amener à voir cela dans la Parole. Eh bien, moi, je ne peux pas le faire, car je–je ne suis pas un fameux prédicateur. Ainsi donc, je–je ne peux pas faire cela comme ça.
86 Dieu a vu mon ignorance là-dessus, aussi m’a-t-Il donné un autre moyen pour vous faire voir cela. Il m’a donné un don pour manifester la résurrection de Son Fils Jésus; grâce à cela, vous pouvez croire. C’est un bon moyen, n’est-ce pas? Croire au Fils de Dieu. N’est-ce pas vrai? Et quand vous faites cela, alors vous–vous–vous serez guéri. Eh bien, s’Il peut prouver qu’Il est ici... Combien comprennent cela maintenant? Voyons.
Je m’attends vraiment à ce qu’il arrive quelque chose dans cette ligne de prière ce soir. Je ne sais pas pourquoi. Je–je me sens très bien, je–je sens que quelque chose arrivera.
Oui, les estropiés ou n’importe quoi, faites-les simplement asseoir tout au long ici, comme ceux qui sont sur les fauteuils et autres. Je vais–je vais descendre prier pour eux. Assurément.
87 J’aimerais déposer ceci ici. J’aime premièrement sentir l’onction de l’Esprit avant de prier pour ces tissus et autres.
Maintenant, j’aimerais que vous soyez très respectueux. Et juste... Maintenant, je ne... Quand je dis respectueux... voyez, quand le Saint-Esprit parle. Eh bien, tous ces gens dans cette ligne de prière me sont inconnus. Je ne–je ne vois personne là que je connais. Est-ce frère Babbs là? Oui, frère Babbs est là derrière. Je le connais.
Je pense... Vous voyez quelqu’un là que je connais. Une dame secoue la tête là pour montrer que je la connaissais, alors je... Est-ce que je vous connais, vous là, madame? Je... Oh! J’avais prié pour vous. Je veux dire... Eh bien, je sais ça; je ne sais rien qui cloche en vous. Je n’ai aucune idée pour savoir ce qui ne va pas chez vous, assurément. Mais Dieu le sait effectivement, n’est-ce pas? C’est donc ce que nous pensons.
88 Maintenant, dans l’assistance... Je pense que toutes les cartes de prière sont ici dans la ligne. Vous dans l’assistance qui n’avez pas de carte de prière et qui croyez cependant que Dieu vous guérira et vous rétablira... Combien croient cela?
Maintenant, que Dieu l’accorde. Maintenant, ne soyons pas pressés; que tout le monde soit respectueux. Maintenant, pour cette ligne de prière, ça prendrait environ vingt minutes pour terminer la ligne de prière. Et alors, quand nous le ferons, je ne voudrais pas juste les faire passer pour leur imposer la main; j’aimerais prier pour eux. Je–je–je–je crois que c’est comme ça, si je... Dieu me laissera le faire. Mais je voudrais que vous sachiez maintenant que, sans aucun discernement, le Saint-Esprit est néanmoins ici.
89 Il n’y a pas longtemps, dans une certaine réunion, il y avait un homme qui ne croyait pas dans mon enseignement sur la Bible. Il assista à une réunion, un certain homme, il ne savait pas que moi, je savais cela; en effet, il n’avait pas non plus déclaré cela, et j’avais vu cela en vision dans ma chambre d’hôtel. Je ne vois pas comment certaines personnes arrivent à faire cela, venir et dire ces choses, alors qu’on sait qu’on est mieux avisé que ça. Voyez? Il a donc dit: «Eh bien, frère Branham est un prophète du Seigneur, a-t-il dit, mais ne suivez pas son enseignement, car il est en erreur.»
Le même Saint-Esprit qui a prêché au service de ce soir, le même Saint-Esprit qui prêche toutes ces choses, c’est le même Saint-Esprit qui discerne les pensées du coeur. Certainement.
90 Quel est le signe d’identification d’un prophète? C’est un interprète divin de la Parole divine. C’est exact. La Parole du Seigneur venait au prophète. C’est à lui qu’Elle venait, pas au théologien, au prophète. Savez-vous ce que prophète veut dire? Prenez le dictionnaire et consultez, voyez ce que cela veut dire: Un interprète de la Parole divine.
Et alors, venir dire pareille chose... Voyez comment... Les gens deviennent si ecclésiastiques qu’ils ne connaissent plus Dieu. C’est ça. C’est ce qui nous rend si mulet... Oui, oui. C’est juste... Il vous faut retourner à ce niveau de la véritable et authentique foi du Saint-Esprit.
Oui, j’ai vu un homme que je connais, ce frère baptiste assis ici, frère Daulton. J’aimerais dire quelque chose. Je m’attends, Frère Daulton, à ce que vous voyiez pourquoi je le donne en exemple là. Combien ont entendu l’histoire des écureuils et autres? Vous l’avez tous entendue par ici, je pense, et tout.
91 Un nouveau ministère prend forme dans ma vie. C’est pourquoi j’ai fait venir ceux-ci ici ce soir, pour l’essayer. J’ai vu cela arriver environ trois ou quatre fois. La première fois que cela était donc arrivé sur un être mortel...
La deuxième fois que cela était arrivé, c’était sur ce frère baptiste assis ici. Il se tient là à l’église; ses enfants adolescents étaient insouciants au possible. Et il était... Nous priions pour ses enfants; tout à coup, ce même Jéhovah-Jiré est intervenu. J’ai dit: «Je te donne tes enfants au Nom de Jésus-Christ.»
Je pense que chacun d’eux est sauvé maintenant. Chacun d’eux est sauvé, eux tous sont sauvés, chacun d’eux. Le frère est assis là même, il vient de Willow Shade, ou de Somerset, n’est-ce pas, Kentuc... Somerset, dans le Kentucky. Quelqu’un ici présent... Est-ce que certains parmi vous les baptistes aimeraient voir un prédicateur baptiste ayant le Saint-Esprit? Levez-vous juste une minute, Frère Daulton. Voilà un prédicateur baptiste du Kentucky ayant le Saint-Esprit. C’est merveilleux, n’est-ce pas? Assurément. Très bien.
92 Maintenant, soyons vraiment respectueux. Frère Brown, êtes-vous... ou certains parmi vous, de ce côté de l’estrade. Maintenant, vous qui n’avez pas de cartes de prière, soyez vraiment respectueux, soyez très calme maintenant, tout le monde.
Maintenant, si le Seigneur fait quelque chose et que vous voulez Le louer, c’est en ordre, mais (voyez?), gardez simplement votre place. Continuez à attendre; restez dans l’expectative. Vous là dans l’assistance maintenant, sans carte de prière, peut-être que le Saint-Esprit dirait: «Retourne-toi...»
Combien n’ont jamais assisté à l’une de ces réunions auparavant? Faites voir la main, ceux qui n’ont jamais été dans... Eh bien, oh! la la! je pense que c’est... Comprenez-vous cependant la réunion? Mon ministère, c’est...Vous qui n’avez jamais été dans une réunion, mais cependant vous comprenez cela, levez la main. Eh bien, c’est–c’est en ordre donc, vous–vous n’avez pas... Vous comprenez.
93 Voyez, ce n’est pas moi. Mais Jésus, le Fils de Dieu, est le Souverain Sacrificateur de notre profession, confession, c’est la même chose, Il est à la droite de la Majesté divine, assis là, intercédant sur base de notre confession. Est-ce vrai?
Premièrement, nous devons confesser qu’Il a fait cela, alors Il se met à intercéder. Et Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par quoi? Le sentiment de nos infirmités. Donc, si nous pouvons Le toucher avec nos infirmités, et qu’Il est le même Souverain Sacrificateur hier, aujourd’hui et éternellement, n’agirait-Il pas de même? Est-ce vrai? Alors, comment a-t-Il agi quand une femme L’avait touché? Il s’est retourné, lui a parlé de sa perte de sang, Il lui a dit que sa foi l’avait sauvée. Est-ce vrai?
94 Combien là dans l’assistance pensent avoir... ceux qui sont malades, pensent avoir assez de foi pour Le toucher? Faites voir les mains, partout, que vous êtes malade. Que Dieu vous bénisse.
Je–je crois... Allons... Très bien, prenons juste un, afin que nous laissions venir cette onction. S’il n’y a qu’une seule personne, vous tous, vous ne direz rien, vous irez simplement de l’avant. Est-ce vrai? J’aimerais premièrement trouver l’onction, afin que les gens sachent...
Cette femme ici, je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre; n’est-ce pas, madame? Nous ne nous connaissons pas l’un et l’autre. D’accord. Voici une dame qui m’est inconnue. Nous sommes nés à des kilomètres de distance, avec un décalage d’âge, et celle-ci est notre première rencontre dans la vie, à ce que je sache. Elle dit qu’elle est une inconnue, et Dieu sait que je ne la connais pas. Il y a quelque chose pour lequel cette femme est ici, peut-être, un problème au foyer, peut-être un problème d’argent; ça peut être la maladie, ça peut être pour quelqu’un d’autre; je ne sais pas.
95 Mais ceci est un signe, comme Saint Jean 4, pour rendre cela scripturaire pour vous, une femme et un homme qui se rencontrent pour la première fois sur terre. Jésus a parlé à la femme quelques minutes pour découvrir, pour saisir son esprit. Combien savent cela? Il s’est mis à lui parler de la ségrégation. Elle a dit: «Ce n’est pas correct pour Toi de me demander à moi une Samaritaine; nous n’avons pas de relations entre nous.»
Mais quand Il a découvert son problème, Il a dit: «Va chercher ton mari et viens ici.» Et Il lui a parlé. Elle a dit: «Je... Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Maintenant, nous savons que quand le Messie sera venu, Celui qu’on appelle Christ, quand Il... Nous savons qu’Il viendra, quand Il viendra, ce sera là Son signe.» Combien savent cela, que la Bible l’enseigne? Eh bien, si c’était là le signe du Messie hier, et qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, cela ne serait-il pas le même signe aujourd’hui? Nous voici, deux ensemble, nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant.
96 Eh bien, s’Il lui disait ce qui a été... Eh bien, elle saura si c’est vrai ou pas, ce qui cloche chez elle, ou ce pour quoi elle est ici. Quelque chose que je ne connais pas, quoi que ce soit, elle saura alors si c’est vrai ou pas. Donc assurément, elle reconnaîtra cela. Tout le monde devra reconnaître que cela vient d’une puissance spirituelle. Est-ce vrai? En effet, il n’y a aucun moyen pour moi de connaître cette femme; je ne l’ai jamais vue; elle ne me connaît pas. Et nous nous tenons ici... Et vous là dans l’assistance, je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît, et Il a promis de faire ceci.
Il ne fait pas ceci parce qu’Il–Il veut juste vous faire voir Sa bonté; Il le fait pour accomplir Sa Parole. Jésus guérissait les malades, non pas parce qu’Il était tenu de le faire, mais parce qu’Il voulait accomplir la Parole. C’est exact. C’est pourquoi Il le faisait, afin que s’accomplisse ce qui avait été dit par le prophète. Ceci, c’est afin que s’accomplisse ce qui a été dit par Jésus, qu’Il le ferait dans ces derniers jours.
97 Oh! On dirait que nous devrions faire écrouler de joie ce bâtiment. Voyez? Mais nous faisons toujours retentir de petites cloches et on a le regard fixe. Voyez-vous?
Oh! Gloire! Juste ce... Quand cela arrive, vous le sentez. C’est juste quelque chose, je ne sais pas. Vous direz: «Vous ne sentez pas cela.» Vous pensez donc que je ne le sens pas. Je le sens assurément.
Très bien, soeur, juste un mot avec vous, juste pour vous parler une minute. Un de ces jours, nous irons à la rencontre de Dieu. Nous serons obligés de rendre compte de tout ce que nous ayons jamais fait dans la vie. Si le Seigneur Dieu me révèle quelque chose pour lequel vous êtes ici, l’une ou l’autre chose dans votre vie, eh bien, vous saurez si c’est vrai ou pas, n’est-ce pas? Et alors, s’Il le fait, croirez-vous donc.... Vous savez que je ne peux pas faire cela, car je ne vous connais pas. S’Il le fait, croirez-vous alors que c’est Sa puissance, Son Esprit qui fait cela? Assurément, c’est bien.
98 Je fais cela simplement pour–pour–pour saisir son esprit. C’est exact. Nous sommes ici, deux êtres humains, c’est la première rencontre; vous êtes un esprit et je suis un esprit. Le Saint-Esprit est ici, cherchant à découvrir le problème.
Oui, oui. Je vois ce qui cloche chez cette femme. Elle souffre d’un cancer. Et ce cancer est sur votre main; vous l’avez couvert pour m’empêcher de le voir, mais Lui le sait. C’est vrai. D’accord, madame. Vous souffrez de l’hypertension, et des complications. Est-ce vrai? Levez la main. C’est vrai. Maintenant, croyez-vous? Alors, je condamne tous ces maux au Nom de Jésus-Christ, pour la gloire de Dieu. Amen. Rentrez chez vous bien portante maintenant. Jésus-Christ vous rétablit.
99 Je suis inconnu à cette femme. Nous sommes probablement nés à des kilomètres de distance, et avec un décalage d’âge. Elle est de loin moins âgée que moi. Et ceci est notre première rencontre... Oh! Attendez, je n’allais pas exercer ce discernement là, mais j’allais tout simplement continuer, mais... Oh! J’ai commencé, je ferais tout aussi mieux d’aller de l’avant avec le... D’accord.
Maintenant, madame, si je peux, par le Saint-Esprit, vous dire quelque chose à votre sujet, quelque chose que vous savez que moi, je ne sais pas, accepterez-vous donc que je suis Son serviteur et croirez-vous que cet Esprit est Christ, le Fils de Dieu? Croirez-vous cela?
Ce n’est pas en fait pour vous. C’est pour quelqu’un d’autre. C’est une femme avancée en âge; c’est votre mère. Elle a une tumeur. Et je vous vois regarder une vitrine à un endroit; j’ai vu cela auparavant. Cela paraît... C’est en Arkansas, à Fort Smith. Votre mère a assisté à mes réunions quelque part; elle a été guérie auparavant. C’est vrai.
100 Votre mari souffre des yeux, n’est-ce pas? Il est assis ici. Il va se rétablir maintenant même. Vous êtes madame Medcalf. Eh bien, rentrez donc, croyez au Seigneur Jésus-Christ, et soyez guérie.
Que certains parmi vous là dans l’assistance, sans carte de prière, là, croient de tout leur coeur.
La dame avancée en âge, vous n’avez pas une carte de prière; évidemment, vous n’en avez pas. Si... Je ne peux pas vous guérir, maman. C’est votre fille. Vous croyez que Dieu me révélera ce qui cloche chez vous? Accepterez-vous cela? C’est la maladie du coeur. C’est vrai. Si c’est vrai, levez la main. Soyez guérie au Nom de Jésus; rentrez chez vous et recevez cela. Ayez foi en Dieu. Ne doutez pas; croyez toutes ces choses.
101 Cet homme assis là dans l’assistance souffre d’une fistule. Croyez-vous que Jésus-Christ vous rétablira? Si vous pouvez accepter cela, c’est en ordre, monsieur, levez la main, en chemise blanche. Vous êtes un peu surpris d’avoir une si grande foi, n’est-ce pas?
La dame assise là derrière, en petit chapeau, a des maux de tête; n’est-ce pas, soeur? La migraine. Ayez foi en Dieu, Dieu vous guérira.
Maintenant, vous voyez, vous n’avez pas à être ici. Il vous faut avoir foi en Dieu. N’est-ce pas vrai? Ayez foi en Dieu; c’est tout. Croyez-vous de tout votre coeur? Ne doutez pas; croyez; ayez foi–ayez foi en Dieu.
102 Je ne connais pas cet homme; il m’est inconnu. Est-ce vrai, monsieur? Si Dieu me révèle vos difficultés, croirez-vous que je suis Son serviteur et croirez-vous que Christ est le Fils de Dieu? Vous croirez? Vous souffrez de l’asthme, des troubles asthmatiques. Voici une autre chose qui cloche, une chose énorme qui ne marche pas chez vous, c’est que vous n’êtes pas chrétien. Vous avez besoin de Christ comme votre Sauveur, car vous êtes couvert de l’ombre des ténèbres. Acceptez-vous Jésus comme votre Sauveur? L’acceptez-vous comme votre Sauveur personnel maintenant? Et Il vous guérira et vous rétablira. Le recevrez-vous? Levez la main vers Lui, dites: «Seigneur, je crois en Toi.»
103 Si vous le faites maintenant même, et de tout votre coeur, Il vous guérira de votre asthme. C’est à vous de décider. Venez ici, et tenez-vous là, réfléchissez-y juste une minute. Croyez cela. L’acceptez-vous? Alors, je vous déclare guéri au Nom de Jésus-Christ. Allez, faites-vous baptiser au Nom de Jésus-Christ en invoquant le Nom du Seigneur.
Croyez-vous? Croyez-vous qu’Il vous a guéri de cette nervosité? D’accord, allez de l’avant, soyez guéri.
Venez. Croyez-vous qu’Il vous guérira de ce diabète? Allez et soyez guéri; soyez rétabli.
Croyez-vous que votre arthrite partira, et que Dieu vous rétablira? Allez et soyez guéri au Nom du Seigneur.
Croyez-vous que Dieu guérira ce cancer-là? Allez, soyez guéri au Nom du Seigneur.
Croyez-vous qu’Il guérira ce cancer-là et vous rétablira? Allez, croyez au Nom du Seigneur et soyez rétabli.
104 «Si tu peux croire...» Croyez-vous de tout votre coeur, tout le monde? Croyez-vous, tout le monde? Et si je ne vous dis rien, que je vous impose simplement les mains, allez-vous vous rétablir par l’imp-... Au Nom de Jésus-Christ, allez et soyez guéri. Amen. Croyez.
Croyez-vous de tout votre coeur? Voyez, vous êtes déjà guéri, quand cet homme là derrière a été guéri de l’affection du rectum, on dirait, de la fistule. Allez, croyez, monsieur Allen, soyez rétabli au Nom de Jésus-Christ.
Venez. Vous souffrez de l’estomac, ou vous en souffriez. Allez manger. Jésus-Christ a... Croyez-vous maintenant? Tout le monde a la foi; croyez de tout votre coeur.
Au Nom du Seigneur Jésus, allez, soyez rétabli. Vous avez dit que vous me connaissiez, vous là dans l’assistance; c’est pourquoi je n’ai rien dit. Vous pouvez vous en aller; allez en ayant foi.
Père, ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ, que notre frère soit guéri. Amen. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui...»
105 Dieu guérira ton affection de rein, chéri, et tu te rétabliras. Au Nom de Jésus, va, croyant de tout ton coeur.
Regarde ici, chéri. Ton coeur va se rétablir maintenant même, et tu seras bien portant. Cela t’aide? D’accord, va et sois bien portant au Nom de Jésus. Je bénis ce tissu au Nom de Jésus-Christ. Amen. Aie foi.
Vous croyez, soeur? Je prie pour ma soeur, au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit rétablie pour la gloire de Dieu. Amen.
Venez, vous avez besoin du sang: l’anémie. Croyez-vous que Dieu vous donnera le... Au Nom de Jésus-Christ, que vous receviez cela. Amen. Ayez foi en Dieu.
Croyez-vous, monsieur? Au Nom de Jésus-Christ, que le Dieu du Ciel vous rétablisse. Amen. Ayez foi maintenant; ne doutez pas.
106 Frère Babbs, venez ici. Vous êtes mon frère depuis plusieurs jours. Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, envoie Tes bénédictions sur mon loyal ami que voici, rétablis-le par le Nom de Jésus-Christ, je le bénis. Toi qui as pu placer le fruit dans le sein de sa fille et qui lui as donné de beaux enfants, tu peux aussi placer la guérison dans son corps. Accorde-le, au Nom de Jésus. Amen. Rentrez et soyez guéri, mon frère. Que Dieu vous bénisse.
Soeur Moore, évidemment, je vous connais aussi. Ô Eternel et Dieu juste, Créateur des cieux et de la terre, accorde Tes bénédictions à ma soeur que voici. Elle se plaît à Ton service. Bientôt, Seigneur, je crois qu’elle et frère Jack auront complètement fini avec Ton service. Je demande maintenant que la faiblesse et autres quittent son corps et qu’elle soit bien portante au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur Moore. Allez en croyant maintenant. Je crois certainement cela.
Si tu peux croire, tout est possible. Croyez-vous cela? Vous êtes nerveux, n’est-ce pas? Pensez-vous que son oreille se rétablira, que vous serez bien portant? D’accord, allez en croyant.
107 Ô Dieu, au Nom du Seigneur Jésus, je Te prie de bénir notre soeur. Guéris-la, je prie au Nom de Jésus avec cette très puissante église assise ici sous l’onction du Saint-Esprit, voyant les signes que Salomon avait accomplis. Et il y a ici plus grand que Salomon: le Seigneur Jésus Lui-même sous forme du Saint-Esprit. Que ces gens ne doutent jamais; je prie au Nom de Christ. Amen. Croyez maintenant.
Madame, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, j’impose les mains à cet enfant, et je réprimande ce démon, le... au Nom de Jésus, qu’il sorte, et que celui-ci soit rétabli. Amen. Ayez foi maintenant, croyez.
Ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ, je réprimande le démon qui a fait ceci à ma soeur que voici. Qu’elle soit guérie au Nom de Jésus. Amen.
Venez, soeur. Père divin, avec Ton onction ici sur nous, et en tant qu’église rachetée de Dieu, nous offrons cette prière de la foi pour notre soeur, ordonnant que ce démon la quitte au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Eternel Dieu, Jéhovah, viens dans la puissance de Ta résurrection et guéris notre soeur que voici, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
108 Ô Eternel Dieu, débarrasse cette pauvre petite femme de la nervosité, et laisse-la aller bien portante, au Nom de Jésus. Amen. La raison pour laquelle j’ai dit cela, c’est que cela vous a quittée là même. Voyez? Allez en croyant maintenant, et tout ira bien.
Adorable Père, avec les mains posées sur cette femme, avec l’onction du Saint-Esprit ici, je Te prie de la guérir au Nom de Jésus. Amen. Croyez maintenant de tout votre coeur.
Ô Grand Dieu Jéhovah, je prie pour ma soeur, avec cette puissante église, au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit guérie. Amen.
Seigneur, avec mes mains posées sur les siennes, je présente cette requête et j’offre cette prière en sa faveur, au Nom de Jésus-Christ, qu’il soit guéri. Amen.
Eternel Dieu, Auteur de la Vie Eternelle, Donateur de tout don excellent, envoie Tes bénédictions sur notre soeur au Nom de Jésus-Christ. Amen.
109 Père, au Nom de Jésus-Christ, je Te prie de guérir cette femme et de la rétablir complètement par la résurrection de Christ. Amen.
Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, guéris cette petite fille et rétablis-la complètement pour Ta gloire. Amen.
Eternel Dieu juste, nous nous attendons à voir Ta puissante main; agis, ô Dieu, et guéris notre soeur au Nom de Jésus.
Eternel Dieu, Auteur de la Vie, bénis mon frère que je bénis au Nom de Jésus pour sa guérison. Amen.
Jéhovah-Jiré, le Guérisseur, viens et sois miséricordieux envers cette petite femme gravement malade. Qu’elle soit guérie au Nom de Jésus. Amen. Ne vous inquiétez pas maintenant.
110 Jéhovah Dieu, au Nom de Jésus-Christ, guéris ma soeur que voici, pour qui je prie. La prière de la foi sauvera le malade. La Bible déclare: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades et les malades seront guéris.» Tu l’as promis, ô Dieu; je le crois, et je sais que nous sommes oints maintenant du Saint-Esprit. Amen.
Eternel Dieu, bénis ma soeur Schrader. Je Te prie de lui accorder la force comme elle n’en a jamais eue auparavant. Qu’elle parte d’ici ce soir avec puissance et dans l’Esprit du Saint-Esprit, qu’elle Te serve tous les jours de sa vie. Tire gloire d’elle, Seigneur, mais elle doit avoir la force. Fortifie-la, Seigneur, et cette nervosité qui provoque le mal sur elle, je condamne cela au Nom de Jésus-Christ.
Soeur Schrader, au Nom du Seigneur, il n’y a rien qui cloche chez vous, à part vos nerfs. Je dis cela au Nom de Jésus. Vous n’avez aucune trace de tuberculose ni rien. Ce sont vos nerfs et cela vous déprime. Je réprimande cette chose, qu’elle s’en aille, et soyez bien portante. Ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ, je Te prie de la guérir, au Nom de Jésus. Amen.
111 Eternel Dieu, j’impose les mains à mon frère que voici. Au Nom de Jésus-Christ, je réclame sa guérison. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère.
Seigneur Dieu, le Dieu des armées, je Te prie d’aider cette pauvre petite femme faible, de lui donner la force et de la guérir au Nom de Jésus. Amen. Allez, étant heureuse, soeur.
Au Nom de Jésus-Christ, j’impose les mains à cet homme, et guéris-le au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Ô Dieu, au Nom du Seigneur Jésus, je Te prie de guérir notre soeur et de la rétablir pour la gloire de Dieu. Amen.
112 Père céleste, j’impose les mains à ma soeur et guéris-la au Nom de Jésus-Christ. Qu’elle s’en aille, bien portante. Amen.
Dieu bien-aimé, j’impose les mains à ce petit garçon et je réclame sa guérison. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il s’en aille, bien portant.
Dieu du Ciel, j’impose les mains à ma soeur et je demande cela au Nom de Jésus-Christ, que sa foi ne puisse pas défaillir, qu’elle soit guérie au Nom de Jésus. Amen.
Ô Dieu, cette petite mère avec la tête inclinée, je Te prie de la guérir. J’offre cette prière de la foi, de tout mon coeur, pour elle. Au Nom de Jésus, qu’elle s’en aille guérie.
Ô Dieu éternel et adorable, je pose mes mains sur les siennes au Nom de Jésus-Christ et je réclame sa guérison. Amen.
113 Ô Dieu éternel et adorable, j’impose les mains à ma soeur et je réclame sa guérison au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Père éternel et adorable, Toi qui as ramené Jésus d’entre les morts, j’impose les mains à mon frère et je réclame sa guérison au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Une dame qui ne pouvait pas se lever? Une des cartes? Où est-elle? Celle qui ne pouvait pas se lever... portant une espèce de manteau rouge? C’est cette dame assise ici même. D’accord, je vais venir vous imposer les mains si vous croyez. Ceux-ci aussi. Avez-vous une carte? Ici même? Oui. N’en avez-vous pas une? L’affection de rein vous a quittée de toute façon, croyez simplement donc de tout votre coeur.
114 Hein! Etrange, l’affection de rein aussi. Voyez-vous ce démon qui cherche à s’intercaler entre ces deux femmes là donc? L’un a avisé l’autre. Aussitôt que je vous ai mentionnée, cela est allé directement vers cette femme-là, et ça fait des va-et-vient, et j’ai vu ce rayon noir menant là, et j’ai vu ce qu’était sa maladie. Revenez directement, vous souffrez de la même chose. Franchement, vous n’avez que la moitié d’un rein. Celui de gauche est détruit, celui de droite reste seulement à moitié. C’est vrai. Aimeriez-vous retourner au sud, à partir d’ici, bien portante? Vous le voulez. Le voulez-vous? D’accord. Madame Dobbs, vous pouvez rentrer chez vous, guérie, alors, si vous croyez de tout votre coeur.
Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, j’impose les mains à mon frère, réclamant sa guérison par Jésus notre Seigneur.
Ô Dieu éternel et juste, je pose les mains sur la tête de ma soeur, et je réclame sa guérison au Nom de Jésus-Christ.
Ô Dieu miséricordieux et Tout-Puissant...