Il N’En Était Pas Ainsi Au Commencement
1 ...? ... Merci, Frère Moore. Bonjour, frères. Je suis certainement heureux d’être de nouveau ici ce matin, et pour rien au monde je n’aurais manqué ceci, d’écouter la prophétie de notre soeur, d’avoir eu le privilège de rencontrer encore hier soir frère Kidson, un associé de longue date, un de mes premiers associés dans le milieu pentecôtiste. C’était lui qui m’avait amené ici à Shreveport la première fois, je pense, frère Kidson, il y a des années, quand j’avais tenu des services dans–dans le–l’ancien tabernacle. Je pense que c’est à cette époque-là que la mère de frère Moore avait été guérie de l’estomac; et beaucoup d’autres choses que le Seigneur avait accomplies.
2 Vous voyez, le même Message continue toujours. Nous ne falsifions pas cette ordonnance. Nous la laissons simplement telle quelle et nous la prenons telle que c’est dosé pour nous.
J’apprécie ce frère irlandais. Nous avons certainement un bon Irlandais. C’est que le... chante Il y a du Baume en Galaad, cela correspond parfaitement à ce qui s’est passé hier soir. Cette bonne petite chorale: David, frère et soeur Moore, Anna Jean et tous les autres, oh! la la! c’est merveilleux de se retrouver en communion ici avec vous.
Alors que j’étais là dans la pièce il y a quelques instants, j’ai reçu un appel téléphonique de loin, d’un homme qui était un prédicateur quelque part et que les médecins avaient abandonné, ne sachant de quoi il souffrait. Il a pris le téléphone, et il a appelé et, d’un moment à l’autre, il était reçu chez nous au bureau... On savait que nous serions ici au tabernacle en ce moment-ci. Et juste pendant que nous étions là, frère Kidson, frère Moore, moi-même et bien d’autres frères, je ne savais qui était là...
3 Mais il voulait savoir ce que le Seigneur a décidé pour lui. Allait-il mourir? Et là, dans cette pièce, le Saint-Esprit, juste au bureau il y a quelques instants, a révélé à l’homme son état et tout à son sujet, et ce qu’il était, comment il était habillé pendant qu’il se tenait là, de quoi il souffrait et Il l’a déclaré guéri. Il a failli casser le téléphone en le décrochant, en voyant comment le Seigneur l’avait guéri.
Oh! Nous sommes heureux (N’est-ce pas?) d’avoir toujours le Seigneur Dieu qui connaît toujours la fin dès le commencement. C’est une bonne chose qu’il y ait du Baume en Galaad, et il y En a beaucoup. Il y a des médecins et autres auxquels le Seigneur a pourvu pour nous. Pourquoi donc devrions-nous aller chercher autre chose, alors que Dieu a très richement pourvu à toute la joie dont nous avons besoin, et que toute la bénédiction dont nous avons besoin se trouvant dans la maison de la foi pour les enfants de Dieu?
4 Pourquoi devrions-nous nous référer, ou plutôt nous en abstenir, nous mettre à fumer et à boire pour avoir du plaisir? Ces choses ne font qu’apporter la mort. Cela... Notre joie, c’est le Seigneur. Je suis donc très heureux de m’en réjouir. Eh bien, à quelle heure congédiez-vous vos réunions? A 11 h 30’? [Frère Moore répond: «13 h 30’»–N.D.E.] Oh! Cela–cela... Je... Vous ne pourrez pas me supporter si longtemps. Je suis très heureux de voir ce groupe ici. Et je ne serai pas long.
Eh bien, ce soir à 18 h 00’, les jeunes gens distribueront les cartes de prière, et nous aurons une ligne de prière ordinaire. Ce soir, le Seigneur voulant, je vais parler de quelque chose en rapport avec la guérison divine, ou de quelque chose du genre, puisque le service de ce soir sera consacré à la guérison divine.
5 Billy et moi étions assis ce matin dans un restaurant, nous mangions en faisant des commentaires, et Billy a demandé: «Papa, peux-tu reconnaître les chrétiens aussitôt que tu les rencontres n’importe où?»
J’ai dit: «Certainement.»
Il a dit: «Tu vois cet homme qui entre là avec sa femme, a-t-il dit; ce sont des chrétiens.»
J’ai dit: «Oui.»
Et quelque temps après, quelqu’un d’autre est entré. Il a dit: «Oui, oui, celui-là.»
J’ai dit: «C’est vrai.» Alors, quelque temps après, quelqu’un d’autre est entré, j’ai dit: «Et celui-là?»
6 Il a dit: «Celui-là, oui.»
On peut toujours reconnaître un chrétien. La plupart, bien sûr, ce sont des femmes sans manucure ou je ne sais quel produit elles portent, ne portant pas cela, mais je veux dire que vous pouvez reconnaître cela autrement. Voyez? Ils sont–ils sont simplement marqués. Un chrétien créé une atmosphère. En effet, du moment qu’il est un fils ou une fille de Dieu, il est un créateur.
Je ne sais pas qui est ce petit ami qui a enseigné ce matin à l’école du dimanche, j’apprécie vraiment ce message-là. Il était très bien. J’ai aimé cela. Est-ce vous, frère? Eh bien, ici même. Bon, c’est bien. Vous devez être un ancien baptiste; en effet, je pouvais vous reconnaître par votre parler. Que vous... Nous... Cela met un peu un accent sur le passé, mais nous survivrons à cela. Voyez? Ainsi... Maintenant, les frères baptistes, nous sommes bien gentils les uns envers les autres, mais je peux...
7 Lorsqu’il a dit, en utilisant l’expression... Je l’ai notée sur un bout de papier. Je l’ai prise cela là au bureau: deux omnipotents se sont rencontrés. C’est vrai. Lorsque Dieu et un croyant se rencontrent, ce sont deux omnipotents, parce que Dieu... Un homme est une partie de Dieu. Il est un fils de Dieu. Voyez? Et combien petit qu’il soit, il se joint à tout le corps.
Et Jésus a dit dans Marc 11.22: «Si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi’ et si vous ne doutez pas dans votre coeur, mais croyez que ce que vous dites... Vous pouvez... Cela arrivera.» Voyez? Croyez que ce que vous avez dit... Et un chrétien est tellement marqué qu’il a une atmosphère autour de lui.
8 Avez-vous déjà rencontré des gens dont vous appréciez beaucoup la compagnie? Avez-vous vécu cela? Et pourquoi? Ils créent ce genre d’atmosphère par leur–leur vie, leur manière de vivre, par leurs pensées et par l’amour qu’ils ont pour vous.
Vous avez suivi mon message où j’ai parlé de le–l’opossum, vous savez, des abeilles qui cherchaient à me piquer, du taureau qui cherchait à me tuer, des animaux... Voyez? Cela–cela fera...Vous créez une atmosphère, et c’est l’atmosphère dans laquelle vous devez vous retrouver afin de prier pour les malades. Voyez? C’est pareil. C’est l’amour qui chasse les mauvais esprits. Je ne citerai pas le nom. C’est l’un de mes convertis au Seigneur. Pendant qu’il était encore un incroyant, il descendait l’autoroute Alcan à bord d’un camion, et–et là, il a vu mon nom affiché là et il a dit: «C’est du fanatisme.» Il s’est donc juste arrêté, c’était là au Canada, là loin près de Dawson Creek. Ce soir-là, il faisait très froid. Et vous de Louisiane, vous mourriez là; en effet, j’ai failli geler à mort. Maintenant, j’ai fait actionner tous les climatiseurs partout, cherchant à garder–à garder l’air frais, ce climat chaud ici. Et je... Oui, monsieur. Vous aimez cela. Très bien. Ainsi...
9 Nous sommes arrivés... il est arrivé là; et ce soir-là, les Indiens et tout... Il a donc vu le discernement du Seigneur, il ne connaissait pas les Ecritures. Il est ressorti, il a trouvé un vieux Indien là au... un vieux trappeur, et Il l’a amené. On ne pouvait pas distribuer les cartes de prière. Il a dû donc le pousser à l’estrade autant que possible et, finalement, il a amené ce vieux Indien là, et il allait... Il connaissait ce vieil Indien; il a dit: «Cet homme a des gens qui le suivent.» Il–il a parlé à haute voix comme cela.
Il a donc placé ce vieil Indien sur l’estrade. Aussitôt (qu’il est) arrivé là, le Saint-Esprit lui a dit qui il était. Il a dit: «Vous habitez tel endroit et vous êtes un trappeur. Vous avez cinq enfants, dont trois garçons et deux filles.» Il a dit: «L’un d’eux est assis là derrière, il étudie pour devenir prédicateur.» Il a dit: «Vous souffrez de la tuberculose.»
«C’est vrai.»
Et Il a dit: «L’homme qui vous a amené, c’est le petit gars assis ici, il répond au nom de tel et tel.» Il a dit: «Il est sceptique.» La chose était réglée. Et il est devenu serviteur du Seigneur.
10 Il n’y a pas longtemps, nous traversions ensemble le pays, et il m’a dit, il a dit: «Frère Branham, vous savez, ma femme ne croit pas en ceci.» Et il a dit: «Chaque soir, quand je reviens à la maison après l’église, a-t-il dit, oh! elle se met bien à m’engueuler dès que je frappe à la porte.» Et il a dit: «Je la tiens par la main (elle est petite), je la tiens et je cherche à chasser ce démon de toutes mes forces.»
Cela me rappelle votre message de ce matin, monsieur. Il a dit: «J’essaie de chasser ce démon, et je dis: ‘Démon, sors de ma femme! Démon, sors de ma femme! Chérie, tu es possédée d’un démon. Démon, sors de là!’»
«Oh! ai-je dit, c’est bien, Frère Fandler, mais vous–vous vous y prenez mal.»
Et il a dit: «Eh bien, comment vous y prenez-vous?»
11 J’ai dit: «En rentrant chez vous, achetez-lui une boîte de bonbons. Remettez-la-lui aussitôt arrivé à la porte. Entourez-la de vos bras.» J’ai dit: «C’est comme cela que vous chasserez un démon.» L’amour bannit la peur, n’est-ce pas? L’amour...
Mes amis, le monde entier se meurt faute d’amour. L’une des grandes choses qui nous font beaucoup défaut parmi nos bénédictions de la Pentecôte, c’est l’amour qui unit cela ensemble; le mortier qui fait que les dons et toutes les choses de Dieu opèrent parfaitement, c’est l’amour que nous avons l’un envers l’autre. «A ceci, tous connaîtront que vous êtes Mes disciples.»
Inclinons la tête juste un instant, avant d’aborder Sa Parole maintenant.
12 Dieu Tout-Puissant et Omnipotent, nous Te remercions ce matin par-dessus tout pour Jésus, Ton Fils, et pour Son amour pour nous. Alors que nous étions encore des pécheurs, Il est mort à notre place, pour nous réconcilier et nous ramener à la communion, à l’état des fils par Son Sang. Et nous prions ce matin que la Parole qui sera proclamée saisisse chaque coeur, le mien aussi, Seigneur. Prépare-nous pour la Venue du Seigneur, comme cette petite dame vient de prophétiser, qu’Il a déjà quitté Son Trône et qu’Il est en route. Nous le croyons vraiment, Seigneur. Rebecca a abreuvé le chameau qui allait l’amener à la rencontre de celui qu’elle aimait, bien qu’elle ne l’eût jamais vu, mais c’était l’amour à première vue. Nous Te remercions, Seigneur. Nous croyons que nous... lorsque nous Le verrons, ce sera de l’amour, sachant que c’est Lui qui est mort et nous a rachetés.
13 Alors, dans ce grand champ, quelque part entre ici et la Gloire, lorsque nous Le couronnerons Roi des rois et Seigneur des seigneurs, et que les anges se tiendront là, têtes inclinées, ne sachant pas ce que nous faisons...Ils n’ont jamais été perdus comme nous. Et lorsque nous chanterons les cantiques, qu’Il nous a rachetés, quel temps glorieux ce sera! Nous attendons impatiemment ce temps-là. Puissent nos coeurs être préparés.
Sanctifie la Parole qui sera lue, qu’Elle devienne Esprit et Vie pour nous, afin que nous puissions corriger nos vies et vivre pour Celui qui est mort pour nous. Nous demandons ceci au Nom de Jésus. Amen.
14 Retournez avec moi pour juste quelques instants... J’aimerais lire un petit passage des Ecritures ici pour voir si je peux en tirer un contexte pour les quinze ou vingt prochaines minutes, et je... Prenons Matthieu, chapitre 19, alors que nous lisons.
Lorsque Jésus eut achevé ces discours, il quitta la Galilée et alla dans le territoire de la Judée, au-delà du Jourdain.
Une grande foule le suivit, et là il guérit les malades.
Les pharisiens l’abordèrent et dirent, pour l’éprouver: Est-il permis à un homme de répudier sa femme pour un motif quelconque?
Il répondit: N’avez-vous pas lu que le créateur, au commencement, fit l’homme et la femme?
Et qu’il dit: C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair?
Ainsi ils ne sont plus–ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint.
Pourquoi donc, lui dirent-ils, Moïse a-t-il prescrit de donner à la femme une lettre de divorce et de la répudier?
Il leur répondit: C’est à cause de la dureté de votre coeur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes; au commencement, il n’en était pas ainsi.
Ce matin, j’aimerais prendre un petit sujet, ou plutôt–ou plutôt un thème, s’il nous faut l’appeler ainsi, sur le thème: Au commencement, il n’en était pas ainsi.
15 Eh bien, Jésus, en venant ici sur terre pour y effectuer Sa visite en vue de racheter ceux que Dieu avait prédestinés, Il a trouvé à l’époque des docteurs enseignant des choses qui n’étaient pas vraies.
Je me demande s’Il ne retrouverait pas certaines de ces choses se faisant aujourd’hui s’Il venait, des choses qui n’étaient pas vraies. Et Il leur a parlé... Et la raison pour laquelle j’ai choisi ce texte particulier Au commencement, il n’en était pas ainsi, c’est parce qu’il nous faut retourner au commencement pour découvrir ce qu’en est la vérité authentique. Tout ce que nous avons sur terre aujourd’hui n’est pas nouveau. Ça a commencé dans la Genèse. La Genèse est le Livre Semence.
16 Par conséquent, une fois que Dieu fait quelque chose ou prend une décision, comme je l’ai souvent dit, Il doit toujours s’en tenir à Sa décision. Combien cela devrait illuminer notre foi! Voyez? Lorsque Dieu dit quelque chose, tous les cieux et la terre passeront, mais cela ne peut pas passer. Cela devrait donc nous donner du caractère. Cela devrait nous donner la foi pour recevoir cette Parole qu’Il a prononcée et nous Y accrocher de toute notre vie, car Il ne peut pas La changer. C’est vrai.
Eh bien, au commencement, Dieu créa toute chose. D’abord, Il créa cela sous forme de semence. C’était une semence, et Il dit dans Genèse 1: «Que chaque semence se reproduise selon son espèce.» Et je me demande comme les hommes essaient toujours de pervertir ce que Dieu a créé! En effet, l’homme, dans son état déchu, pense qu’il peut faire quelque chose de mieux que ce que son Créateur avait fait au commencement. Il cherche toujours à pervertir quelque chose que Dieu a créé et en faire autre chose.
17 J’en parlais tout récemment dans un sermon sur La Religion hybride. Et la science, en travaillant dans le domaine de la science... Ceux qui parlent de l’évolution ont examiné leur propre blâme scientifique, ou plutôt leur preuve scientifique, et ils ont infirmé leur propre théorie de l’évolution. En effet, tout ce qui est hybride ne peut pas se reproduire. Par conséquent, si Dieu a créé une certaine semence, elle doit rester telle quelle. Si vous la croisez avec autre chose, elle ne peut pas se reproduire. Aussitôt que vous–que vous l’hybridez, c’en est fini d’elle. Un mulet–un mulet ne peut jamais reproduire un autre mulet, et n’imputez jamais cela à Dieu d’avoir créé le mulet. Il ne l’a jamais créé. Ça, c’est ce que l’homme a fait. C’est–c’est un... Cela me rappelle maintenant ce qu’il en est de la nature aujourd’hui, lorsque vous hybridez quelque chose, vous abîmez sa nature.
18 Lorsque vous prenez un cheval de race pure, il a un certain caractère. Il est gentil. Il redresse sa tête comme ça et vous pouvez l’appeler. Il placera sa tête sur votre épaule, hennira doucement et–et vous pouvez lui faire... vous pouvez lui faire faire un concours pratiquement comme un homme. Il peut... Il a des traits nobles et quelque chose de réel en lui.
Vous n’avez jamais vu un mulet agir ainsi. C’est juste–c’est juste une bête de somme. Tout pour lui, c’est–c’est le travail, et pas de grâce.
Cela me rappelle beaucoup de gens aujourd’hui. Vous... Ils sont tous absorbés par les oeuvres, et c’est cela. Comme le disait frère Jack ce matin au sujet des églises, elles ont l’ossature, mais pas de... C’est comme le... Vous avez un bon moteur, mais sans puissance. Vous avez une dynamo, mais ça ne tourne pas. L’essentiel dans le moteur, c’est la puissance. C’est ce dont l’église a besoin. Elle possède une ossature.
Considérez un mulet. Ce–c’est–c’est l’animal le plus stupide au monde, parce que c’est un hybride. Vous pouvez appeler un mulet, et il se tiendra simplement là, il redressera ces grandes oreilles et vous regardera.
19 Vous savez, je–j’espère que ça n’a pas l’air sacrilège, mais cela me rappelle beaucoup de gens aujourd’hui, qui ont la religion du mulet, une religion hybride: «Notre église, nous connaissons tout cela.» Vous pouvez leur parler du baptême du Saint-Esprit et leur donner la formule de Dieu, ils se tiendront simplement là, les oreilles tendues, sans jamais bouger. Un bon hybride engendre... «Si Mes brebis entendent Ma voix», elles connaissent ce qui est vrai, car elles aiment la Nourriture des brebis.
Une semence hybride, par exemple celle du maïs, vous la voyez paraître belle, parce qu’elle est hybride. L’autre jour, j’ai vu, mentionné sur une pancarte: «maïs hybride.» Eh bien, il n’est pas bon. Savez-vous ce que ça fait? Le bétail hybride donne une meilleure vache. Les poulets hybrides... Aujourd’hui, on a des poulets tellement hybrides qu’ils sont dépourvus de pattes ou d’ailes. Il n’y a que la poitrine, et la pauvre créature ne peut vivre qu’une année, puis elle meurt. C’est pratiquement un mort né.
20 Les gens doivent donc manger avec ces cellules hybrides. La science... Le Reader’s Digest a écrit un article là-dessus récemment, comme quoi dans vingt ans, si ça continue ainsi, la race humaine n’existera plus. Les hommes et les femmes sont pervertis. Les femmes ont des épaules plus larges et des hanches plus étroites. Les hommes ont des épaules étroites et des hanches plus larges. La femme ne pourra pas avoir un enfant pour s’être nourrie des cellules corrompues.
Les poulets, ces poulets que vous mangez, sont si–si ramollis et doux que les gens n’en veulent plus. Eh bien, vous êtes... Ils se tuent avec leurs propres idées, en cherchant à pervertir. Nous avons été créés pour nous nourrir de cellules des–des aliments tels que Dieu les a placés.
Et il y a aussi une église hybride. Elle est plus jolie aujourd’hui qu’autrefois avec de meilleurs membres. L’Eglise pentecôtiste a de plus beaux bâtiments, de meilleurs bancs, de meilleurs prédicateurs érudits et tout, mais ils ont hybridé cela.
21 Retournons à la véritable lumière originelle, à l’ancienne bénédiction de la Pentecôte, et à la puissance du Saint-Esprit une fois de plus dans l’église. Aujourd’hui, on attribue tout au prédicateur. Ce n’est pas seulement pour le prédicateur. Le Saint-Esprit est tout autant pour le laïc que pour le prédicateur. Ce n’est pas lui qui détient toute la religion. Ils en ont dans l’assistance; et je–je suis l’un de ceux qui croient que nous devons ramener l’Esprit de Dieu dans l’église aujourd’hui, et nous pouvons y avoir les dons de l’Esprit opérant avec onction et puissance. Mais, aujourd’hui, nous trouvons des hommes en qui... Au commencement, dans les âges de l’Eglise, que je vais enseigner la semaine prochaine dans mon tabernacle, chez nous, pour écrire un petit commentaire, comme mes propres commentaires là-dessus...
22 Remarquez bien, cela avait commencé par des oeuvres des Nicolaïtes. Peu après, c’est devenu une doctrine. Eh bien, ce qui s’est passé, c’est qu’ils ont ôté de l’assemblée tout Esprit et ils ont établi des évêques, des surveillants, des papes. Ils ont tout mis à la chaire, et la chaire est devenue intellectuelle. Vous avez là de nouveau une église hybride (voyez?), dirigée par des intellectuels. Que Dieu nous ramène à l’état où le Saint-Esprit se retrouve parmi les gens. Puisse l’onction de l’Esprit se mouvoir parmi les gens, proclamant les messages avec puissance et manifestations, même s’il nous faut nous tenir au coin de la rue ou entrer dans un poulailler, ou une étable quelque part.
Nous ne voulons pas du tout de cette religion hybride, issue du séminaire. Nous voulons celle qui vient comme un vent impétueux qui descend du Ciel et remplit toute la maison, pas juste un homme, mais toute la maison où ils sont assis ensemble. La perversion, c’est ce que l’homme avait fait à l’époque de notre Seigneur Jésus. C’est ce qu’il essaie de faire aujourd’hui: prendre l’original, le pervertir par ses propres idées, et il se ruine.
23 J’aimerais poser cette question à l’évolutionniste. Si vous ne pouvez pas faire se reproduire un maïs hybride, comment peut-on donc enseigner la théorie de l’évolution? Dieu a dit: «Que chaque semence se reproduise selon son espèce, chaque semence selon son espèce.» Et si vous croisez cette semence, c’en est fini d’elle. Elle ne peut plus aller plus loin. Elle retourne droit à l’origine.
Je suis très content de croire que Dieu a planté la Semence Saint-Esprit le jour de la Pentecôte, dont on a fait des dénominations par hybridation, mais d’ici peu, Elle va de nouveau retourner à son origine, retourner au véritable Saint-Esprit, retourner au Message évangélique, retourner de nouveau à Actes 2, retourner à la formule, retourner à Ses débuts.
Un de ces jours, un homme se lèvera, il sera contre ces choses et il martèlera là-dessus de toutes ses forces.
Remarquez. Maintenant, allons à l’origine, retournons au commencement. Jésus leur a dit: «Retournez au commencement pour découvrir ce que c’était. Au commencement, il n’en était pas ainsi.»
24 Eh bien, les gens disent: «Je suis presbytérien. Je suis méthodiste. Je suis baptiste. Je suis ceci. Je suis cela.» C’est très bien, mais retournons au commencement et voyons où cela a commencé, voyons ce que c’était au commencement. C’est comme cela que Dieu avait établi Son Eglise le jour de la Pentecôte. C’est ainsi qu’Elle doit demeurer éternellement. Si vous y ajoutez quelque chose d’autre, des dénominations et toutes ces autres choses, l’aspersion, tous ces rites et tout, vous hybridez cela, vous obtiendrez une église de belle apparence, mais sans vie en elle. Elle ne peut plus se reproduire de nouveau.
25 Le réveil qui avait éclaté du temps de Luther ne peut pas se reproduire parce qu’on l’avait hybridé. Celui du temps de Wesley, on ne peut pas le reproduire. Montrez-moi un réveil qui se soit jamais rallumé après s’être éteint. Lorsqu’on hybride l’église, elle retombe. C’est fini. Elle ne peut pas se reproduire. Elle peut faire entrer des membres, former une organisation, mais elle ne peut pas se reproduire. Ce dont nous avons besoin, c’est de quelque chose qui peut se reproduire pour donner naissance aux fils et filles de Dieu. Vous ne pouvez pas y parvenir avec un séminaire. Cela doit venir du Saint d’En haut, comme un vent impétueux, comme au commencement.
La religion hybride pervertit les choses, change les choses, des perversions humaines. Et lorsque Jésus est venu à Son époque, Il a dit: «C’est en vain que vous M’honorez, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes.» Qu’ont-ils fait? Ils ont pris des commandements de Dieu, les ont hybridés avec leurs propres idées et ils ont rapporté cela, alors qu’il était dit: «Tu ne feras point, tu feras ceci et autre», mais eux, avec leurs traditions, annulent les préceptes de Dieu pour les avoir hybridés.
26 Aujourd’hui, les gens se demandent comment ces choses se passent. Comment un homme peut-il se tenir là, regarder une assistance, pointer un homme ou une femme, révéler les péchés et les choses qu’il y a dans l’église? Qu’y a-t-il? Pourquoi toutes les églises ne font-elles pas cela? Elles sont hybrides. C’est vrai.
Il n’y a qu’une seule Eglise, et Elle n’est pas une dénomination. Vous ne pouvez pas faire de l’Eglise de Dieu une dénomination. Il n’y a qu’une seule Eglise et un seul Corps. Ce corps, c’est le Corps mystique de Jésus-Christ ici sur terre. Et nous sommes tous baptisés dans un seul Esprit pour former ce seul Corps, que nous soyons méthodistes, baptistes, ou catholiques, ou que sais-je encore. Peu importe la dénomination à laquelle un homme appartient, s’il compte sur son église pour son salut, il est perdu. Si un catholique compte sur l’Eglise catholique pour son salut, il est perdu. Si un baptiste compte sur l’Eglise baptiste pour son salut, il est perdu. Si un pentecôtiste compte sur l’Eglise pentecôtiste pour son salut, il est perdu; mais si ces hommes se confient en Dieu et en Jésus-Christ, «C’est par la foi que vous êtes sauvés, ce n’est point par les oeuvres, mais par la grâce.»
27 Jésus, à Son époque, avait aussi trouvé des docteurs qui pervertissaient des choses, et Il leur a dit qu’au–au commencement, nous trouvons la même chose aujourd’hui. Ils disent: «Oh! Oui, la Bible dit effectivement que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, mais nous ne croyons pas qu’Il accomplit toujours les miracles. Nous croyons que Jésus a dit: ‘Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais’, mais nous–nous croyons que ces choses ont cessé avec les apôtres.» Voyez-vous ce que vous faites? Vous hybridez cela. Vous pervertissez cela, en disant quelque chose que Dieu n’a pas dit.
La Bible dit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Je crois que c’est la vérité. Je ne pense pas qu’il nous faille modifier un peu ça. Dites juste ce qui est là. Si vous n’avez pas de foi pour avancer avec cela, n’arrêtez pas quelqu’un d’autre qui a la foi pour avancer.
28 J’ai toujours dit que j’aurais souhaité avoir la foi d’Hénoc pour rentrer à la Maison, en marchant avec Dieu sans connaître la mort. Mais si je n’ai pas ce genre de foi, je n’aimerais certainement pas faire obstacle à quelqu’un qui a cette foi-là. Je le laisserai continuer sa marche. Certainement, et je prierai Dieu de m’accorder la grâce et la puissance de continuer à marcher. Certainement.
Quand Jésus est venu, Il a trouvé des membres d’église qui se confiaient en leur église pour leur salut. C’est ce qu’Il–Il trouve aujourd’hui, alors qu’Il est venu sous forme du Saint-Esprit dans ces derniers jours. Il trouve des gens qui se confient en l’église pour leur salut. Qu’ont reçu les gens du temps de Jésus, lorsqu’ils sont venus, se confiant à l’église pour leur salut? Ils ont eu un tas de credos, des dogmes fabriqués de main d’homme; déformant la Parole de Dieu en un credo.
29 C’est ce que nous avons aujourd’hui. Alors que le Saint-Esprit est ici, la Personne du Saint-Esprit, faisant la cour, à la recherche de l’Epouse de Christ, qu’avons-nous? Que trouve-t-Il? Des gens qui acceptent des credos pour leur salut au lieu de retourner à l’original pour cela. Vous avez une–une livre de prières, ou un genre de manuel d’une espèce quelconque telle que «nous Untel, nous croyons telle et telle chose.»
Pourquoi adoptez-vous un manuel pour ça? La Bible de Dieu, c’est Ça le Manuel. Retournez au commencement. Vous adoptez une poignée de main au lieu du baptême. Vous adoptez l’aspersion au lieu du baptême d’eau. Vous adoptez des rites, des credos et autres, au lieu de suivre la formule telle que prescrite par Dieu. C’est pour cela que nous avons aujourd’hui une église hybride et morte, car elle ne peut plus se reproduire. Un luthérien peut reproduire un luthérien. Un baptiste peut reproduire un baptiste. Un presbytérien peut reproduire un presbytérien, mais Dieu produit un saint lorsqu’Il entre en lui, le Saint-Esprit originel, la bénédiction de la Pentecôte.
30 Ils s’attendaient à ce que l’église leur accorde le salut. Puis, ils ont fini par découvrir qu’ils ne connaissaient même pas les principes de base de leur salut lorsque Jésus est venu, parce qu’ils étaient hybrides. Ils Le regardaient, on dirait une bande de mulets: «Hum! Qui es-tu? Un Enfant illégitime», comme un vieil âne braillant quelque part, vous savez, là: «Les jours des miracles sont passés. Moïse a fait ceci et cela, mais qui est ce Gars? Il n’est membre d’aucune de nos organisations. Oh! C’est de la télépathie. C’est tout. Il est Béelzébul, un démon.»
Cette même chose s’est répétée. Ils ne connaissent pas Christ dans la puissance de Sa résurrection. Ils Le connaissent par un credo, pas dans la puissance de Sa résurrection. Christ vit dans une personne. Et s’Il venait aujourd’hui et que nous entendions les gens dire ce qu’ils font, Jésus dirait simplement: «Au commencement, il n’en était pas ainsi.»
Eh bien, quelqu’un dirait: «Seigneur, j’ai été aspergé dans la sainte église telle et telle.»
Le Seigneur dirait: «Au commencement, il n’en était pas ainsi.»
«Eh bien, j’ai serré la main au prédicateur et j’ai fait la confession.»
«Au commencement, il n’en était pas ainsi.»
31 Au commencement, ils avaient attendu jusqu’à ce que la puissance descende d’En-haut, un vent impétueux qui a changé tout le cours de leur vie et les a enflammés avec Quelque Chose qui avait évangélisé le monde.
Comment pouvons-nous y parvenir, par la lecture, l’écriture et l’arithmétique? Jésus a dit: «Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle.» Non pas apprendre la lecture, l’écriture ou l’arithmétique, «prêchez la Bonne Nouvelle.» La Bonne Nouvelle, c’est quoi? La Bonne Nouvelle, c’est la puissance et la démonstration du Saint-Esprit. Suivez les paroles suivantes: «Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»
32 Comment allez-vous enseigner à un homme à parler en langues? Comment allez-vous enseigner à un homme à chasser les démons avec puissance? Comment allez-vous enseigner à un homme à accomplir ces signes que Jésus lui a ordonné d’accomplir? Comment allez-vous enseigner à un homme à se tenir à l’estrade et... ou quelque part et prédire des événements à venir, des choses qui ont été et des choses à venir? Comment allez-vous lui enseigner? C’est impossible. C’est un don de Dieu. Dès que nous nous en éloignons, nous tombons dans une condition hybride. Nous revenons... Nous retournons simplement au commencement, chaque semence.
Je me demande. J’aimerais que la science réponde à cette question-ci. Si l’évolution existe, et ils prétendent que cela a pu se faire d’une autre façon, pourquoi ne s’élève t-il pas quelque chose de supérieur à un homme? Nous n’avons pas d’espèce plus élevée qu’un homme, parce que celui-ci est à l’image de Dieu. Rien ne peut être au-dessus de son Créateur. J’aimerais qu’ils répondent à celle-là. Ils ne peuvent pas le faire. Pourquoi? C’est l’espèce la plus élevée.
33 Pourquoi ne pouvons-nous pas produire quelque chose suivant notre éthique, notre instruction et nos grands séminaires, qui dépassera ce qu’on avait à la Pentecôte? Vous ne le pouvez pas parce que c’est ainsi que Dieu s’y prend. Rien n’apparaîtra donc qui ravira les coeurs des gens, qui accomplira ces signes. Vous ne ferez jamais entrer les gens par l’instruction. Vous ne pourrez jamais les faire entrer par l’enseignement. Ils doivent y entrer par la naissance.
Nos dénominations sont donc hybrides. Nous avons besoin du Saint-Esprit, le Corps mystique de Christ se formant sur terre. C’est ainsi que c’était au commencement. Il se reproduit et revient au commencement.
34 Après toutes ces années de dénominations, Dieu a finalement reproduit Son Eglise, en La ramenant au Saint-Esprit. Je suis très content d’En être membre. Laissez les vieilles semences et les choses charnelles mourir. Devenez une nouvelle créature en Christ Jésus. Aujourd’hui, nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Christ Jésus. Le Saint-Esprit est en train de nettoyer (Oh! j’en suis très content!), d’ôter les doutes, d’ôter les ismes, de produire pour Lui-même des fils de Dieu, non pas pour reproduire des mulets, croiser cela, mais produire des fils et des filles de Dieu qui ne regarderont pas à la Parole, les oreilles dressées, disant: «Eh bien, ma mère était presbytérienne.»
C’est très bien, mais nous avons d’abord besoin de devenir des fils et des filles de Dieu débarrassés de l’incrédulité, des credos et tout, et qu’Il nous ramène par le Saint-Esprit à l’état original des fils et des filles de Dieu. C’est exact. C’est le processus dans lequel l’Eglise se trouve aujourd’hui.
35 Alors, aujourd’hui, les gens font comme dans le passé, ils hybrident l’église aux organisations, aux credos et embrouillent les pensées des hommes, et après ils demandent: «Où est Dieu? Où est le Dieu de l’Ancien Testament? Où est le Seigneur Jésus qui a promis ces choses?» C’est à cela que Billy Graham s’est buté, il n’y a pas longtemps, face à un musulman. «Où est ce Dieu dont vous parlez? Vous avez dit qu’Il guérissait les malades. Je vais prendre trente personnes, vous aussi, vous en prenez trente, et voyons ce que nous pourrons faire à ce sujet.»
Oh! Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est de vaillants hommes, remplis du Saint-Esprit pour forcer la main là-dessus. C’est vrai. Dieu reste toujours le Dieu qui était avec Elie au mont Carmel. Il est toujours le même Dieu aujourd’hui.
36 Nous avons besoin de la religion produite par le Saint-Esprit, la puissance du Saint-Esprit. Où est Dieu? Dieu est dans Son Eglise. Dieu est dans Sa Parole. Dieu est dans Son peuple. Dieu est dans Son univers. Il est partout, mais nous ne pouvons pas L’hybrider avec quelque chose d’autre, car Il ne se mélangera avec rien. Il est Dieu, et l’unique Dieu. Vous ne pouvez pas Le mélanger avec cinq ou six différentes choses, et–et quatre ou cinq différents dieux. Il est Dieu, et l’unique Dieu. Il ne sera pas hybridé. Il est Dieu. Vous ne pouvez pas faire l’intercession des saints et dire: «Tel saint a fait telle chose et tel autre saint a fait telle chose.» Ça n’existe pas. Il n’y a qu’un seul Médiateur entre Dieu et l’homme, et c’est Jésus-Christ, l’unique Médiateur.
Qu’y a-t-il donc avec l’église? S’Il était ici sur terre (En fait, Il y est), et nous trouvons l’église aujourd’hui dans la même condition où Il l’avait trouvée, enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes. Il a dit: «Au commencement, il n’en était pas ainsi.» Eh bien, nous avons vu ce qu’il y avait au commencement.
37 Cela me rappelle un jour lorsque le... Joseph et Marie étaient à la fête et, sur leur chemin de retour, après trois jours de voyage, ils se sont aperçus que le Seigneur Jésus n’était pas là. Ils ne savaient pas où Il était. Eh bien, trois jours sans savoir où Il était, et quand ils s’en sont rendu compte, ils ont commencé à Le chercher. L’église s’en est allée pendant pratiquement deux mille ans et elle ne sait où Il est. Parlant de leurs trois jours...«Oh! se disent-ils, peut-être qu’Il est quelque part là parmi les membres de notre famille.» C’est ce que l’église pense. «Oh! Il est là quelque part. S’Il n’est pas parmi nous les baptistes, Il est parmi les méthodistes, et Il... Oh! Il est là quelque part. Il est parmi les membres de notre famille. Vous savez, dans un passé lointain, nos–nos ancêtres méthodistes avaient... et nos ancêtres luthériens...» Ne prenez pas la chose à la légère comme cela. Trouvons-Le. Où est le Dieu de la Bible? Où est le Dieu qui a fait ces promesses? Qui est-Il? Quel est Son Nom?
Pourquoi ne pouvons-nous pas accomplir les mêmes oeuvres qu’ils avaient accomplies jadis, si cela a été promis? Pourquoi, n’est-ce pas la même chose?
38 Il n’y a pas longtemps, j’étais à la chasse à l’écureuil. J’avais réglé ma carabine à cinquante yards [45,7 m]. Si je ne peux pas tirer un écureuil dans l’oeil, je le laisse partir. Si je suis à trente yards [27,4 m] de lui, je recule jusqu’à cinquante yards [45,7 m] pour être sûr de l’atteindre. Mon fusil s’était abîmé et je l’avais renvoyé à la société Winchester, un petit fusil bon marché et, en retour, ils m’ont envoyé un message, disant: «Révérend Branham, ce fusil va atteindre ce cible d’un pouce à vingt-cinq yards [22,8 m]. C’est un fusil Winchester modèle 75, c’est tout ce que vous pouvez donc en tirer.»
J’en savais mieux que ça. J’ai été dans le champ de tir officiel. A cinquante yards [45,7 m], j’ai enfoncé avec cela d’affilée huit clous de moquette attachés aux punaises et je savais qu’ils étaient en erreur. Voyez? Et j’étais là. J’avais tout fait, j’avais dévissé et resserré les vis parce qu’une vibration de cinq millième ici lui fera faire une déviation d’un pouce [2,5 cm], loin à cinquante yards [45,7 m]. J’avais recouvert cela de verre, rendu le canon flottant et fait tout ce que je savais faire. Et je–je savais qu’avec le même fusil de chasse... Gene Goad, mon ami assis ici, le sait. L’autre jour, j’avais enfoncé huit, neuf punaises, neuf cartouches dans le même trou avec ce fusil, mais la compagnie qui avait fabriqué cela a dit que le fusil–le fusil va seulement tirer sur ce groupe (c’est un groupe, vous savez), de coups de tirs d’environ un pouce [2,5 cm] à vingt-cinq yards [22,8 m] et celui-ci atteignait des punaises à cinquante yards [45,7 m].
39 J’étais assis là sous l’arbre. Frère Wood et les autres étaient là, tirant sur les écureuils, les atteignant n’importe où qu’ils voulaient: par derrière, par devant, n’importe où. Cela leur importait peu. Pourvu qu’ils atteignaient l’écureuil. Ils passaient de bons moments, et moi, j’étais assis là sous un arbre. J’ai commencé à pleurer et j’ai dit: «Seigneur, pourquoi m’as-Tu créé un peu trop nerveux? Pourquoi m’as-Tu créé ainsi? Pourquoi ne puis-je pas aller là et me contenter de chasser comme eux, mais il me faut avoir ce fusil en super forme?»
J’ai attendu là environ une demi-heure, couché face contre terre, et je me suis mis à pleurer. Le Saint-Esprit est venu vers moi et a dit: «C’est à dessin que Je t’ai créé ainsi. C’est dans un but. Lorsqu’une personne dit une chose, de l’à peu près comme cela, tu ne peux pas supporter cela si ce n’est pas bien précis. Cela doit être à point nommé, sinon, ce n’est pas ce qu’il faut.»
J’ai dit: «Je comprends, Seigneur.» Voyez?
40 Juste, une église dénominationnelle, cela ne me satisfait pas. Si les Ecritures disent une chose et que l’église enseigne une autre, cela ne marche pas. Si Jésus-Christ a vécu dans les apôtres et qu’Il a accompli des signes prouvant qu’Il était ici sur terre, cela se répétera si nous sommes sur la ligne. Nous devons être en ligne. Peu m’importe ce que dit l’église, elle tombera sur ceci ou cela et, oh! Père, Fils, Saint-Esprit et toutes ces autres sortes d’histoires et tous ces credos et autres. «Que ce soit comme ceci, ou comme cela, c’est en ordre.» Pour moi, ce n’est pas en ordre.
Si les apôtres ont atteint le but, nous le pouvons aussi si nous sommes en ligne avec la Parole de Dieu. Que notre expérience soit en ligne avec Sa Parole. Eux l’ont fait. Si eux l’ont fait, pourquoi pas nous? Si nous sommes en ligne, la même chose se fera.
Oh! l’église dit: «Tant que cela atteint l’objectif, tant que vous vous joignez à l’église, que vous serrez la main au pasteur, que vous inscrivez votre nom dans le registre et récitez tel credo, le Credo des Apôtres, qu’est-ce que ça change donc?» Ça change beaucoup.
41 Le Saint-Esprit vous met en ligne avec la Parole de Dieu. Jésus... On s’attendait à Le retrouver parmi les membres de Sa famille. C’est à cela que nous nous sommes attendus. «Oh! Il est avec... Il était avec Martin Luther. Il était avec John Wesley, John Smith, Calvin, Alexandre Campbell ou les autres. Il était avec eux.» Cela ne marchera pas. Est-Il avec nous?Alors, un jour, ils se sont mis à chercher. Savez-vous où ils L’ont trouvé? Pas parmi les membres de leur famille, pas dans leur organisation, pas dans leur dénomination, pas parmi les gens auprès de qui ils s’attendaient à Le retrouver. C’est ce que nous faisons.
42 Nous avons cherché à avoir un réveil. Billy Graham a parcouru le pays. Jack Schuler, oh! beaucoup d’autres ont cherché à avoir un réveil. Comment s’y prennent-ils? Sur base de l’intellectualisme, ils rassemblent tous les baptistes, tous les méthodistes, les presbytériens, ils les rassemblent, forment les organisations, fabriquent des leaders, les bourrent de discours, les incitent et tout, comme cela, à serrer la main, disant qu’on est en ordre. C’est–c’est bien.
Comme l’homme de couleur qui mangeait une pastèque, il en avait pris une bonne tranche. Quelqu’un lui a demandé: «Comment ça goûte, mon gars?»
Il a répondu: «C’est bon, mais il y en a encore davantage.»
43 C’est ainsi aujourd’hui. Se rassembler et se serrer la main, c’est bien. Mais il y en a encore davantage. Amen! Il y a plus que cela. Peu importe combien intellectuels nous devenons ensemble, comment nous nous y prenons, il n’y a point de vie là. Il nous faut retourner là où nous avons laissé Christ.
Marthe... ou plutôt Marie et–et Joseph sont rentrés là où ils L’avaient laissé. Où L’avaient-ils laissé? A la fête de la Pentecôte, pas dans l’Eglise luthérienne, pas dans l’Eglise méthodiste, pas à la fondation en–en Angleterre, pas chez Calvin, Knox, Finney. Ces hommes étaient bons. Nous ne L’avions point laissé au début de nos organisations. Nous L’avions laissé à la fête de la Pentecôte. C’est là que l’église doit revenir. C’est là que vous Le trouverez. Pas dans votre église, pas dans votre organisation, pas dans la religion de votre mère, pas dans la religion de votre père; vous Le trouverez à la fête de la Pentecôte.
44 Je sais que vous pensez que je suis fou. Peut-être que j’agis comme cela, mais je me sens différent. Ecoutez, frère. Rentrez à la Pentecôte. Nous sommes allés très loin maintenant. Nous avons pris la Pentecôte et nous l’avons organisée, nous l’avons organisée, nous l’avons organisée, nous l’avons organisée, nous en avons fait une dénomination; nous avons coupé les cheveux sur ceci et sur autre. Serrer les mains, c’est très bien. Ce n’est pas assez. Retournons à l’origine; retournons au commencement; retournons là où nous avons laissé cela. Amen. Ecoutez-moi. Je parle au Nom du Seigneur: Retournez au commencement.
Vous dites: «Je suis méthodiste.»
«Au commencement, il n’en était pas ainsi.»
«J’étais aspergé.»
«Au commencement, il n’en était pas ainsi.»
«Je suis baptiste.»
«Au commencement, il n’en était pas ainsi.»
«Je suis presbytérien.»
«Au commencement, il n’en était pas ainsi.»
45 Au commencement, c’était la Pentecôte, pas une organisation, mais une expérience de la Pentecôte qui a fait descendre la Semence de Dieu par le Saint-Esprit, qui a amené les hommes et les femmes à parler en langues et à tituber comme des gens ivres, l’Esprit opérant dans l’Eglise, accomplissant des signes et des prodiges. «Au commencement, il n’en était pas ainsi.»
Vous direz: «Eh bien, je suis membre de la grande et sainte église.»
Ce n’était pas ainsi au commencement.
«Je suis membre de la sainte église romaine.»
Je... «Au commencement, il n’en était pas ainsi.»
[Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... sarment... Si jamais cela porte un autre sarment, ce sera un sarment de la Pentecôte. Il portera les mêmes fruits, les mêmes miracles, les mêmes prodiges que le premier sarment. Vous direz: «Je suis luthérien.»
«Au commencement, il n’en était pas ainsi.» Vous êtes greffé et vous vivez du Nom du Seigneur Jésus alors que vous n’en portez pas le fruit. Les miracles des croyants ne vous accompagnent pas.
«Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Et ils s’en allèrent prêcher partout, le Seigneur travaillait avec eux et confirmait la Parole par les miracles qui les accompagnaient. Si nous avons autre chose que ça, «au commencement, il n’en était pas ainsi.» La manière dont ils ont reçu le Saint-Esprit au commencement, c’est de la même manière que nous Le recevons aujourd’hui.
46 Vous direz: «Eh bien, je ne–je ne sais pas. J’ai... je crois que... peut-être que j’ai reçu le Saint-Esprit quand j’ai cru.»
«Au commencement, il n’en était pas ainsi.» Ils ont cru, et puis, ils ont reçu le Saint-Esprit.
Dans Actes 19, Paul a dit à ces baptistes-là qui avaient pour prédicateur Apollos, un avocat converti, il a dit: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?»
Lorsque vous dites que vous L’avez reçu quand vous avez cru, au commencement, il n’en était pas ainsi.
Vous direz: «J’ai été aspergé et je dis...»
«Au commencement, il n’en était pas ainsi.»
«J’ai adhéré...»
«Au commencement, il n’en était pas ainsi.» On n’adhérait jamais à une église au commencement. Au commencement, ils entraient dans l’Eglise par la naissance, et si cela... C’est vrai.
47 Vous y entrez par la naissance, et si jamais ce Cep porte un autre sarment, ça sera comme un sarment... Si jamais le Cep porte un autre sarment, ça sera le même genre de sarment qui est écrit dans le Livre des Actes. Il aura la même doctrine. Il aura la même puissance. Il accomplira les mêmes miracles parce que c’est là le même genre d’Eglise qu’on avait au commencement.
Cessons de nous hybrider. Retournons à la Parole telle qu’Elle était au commencement. Aimez-vous cela? C’est ce dont je vis.
Parlons maintenant à Celui qui a écrit Cela, pendant que nous avons nos têtes inclinées.
Y a-t-il ici ce matin quelqu’un qui pense avoir été hybridé quelque part et qui aimerait que le Saint-Esprit entre ce matin par une naissance?
48 L’hybridation était une chose si horrible dans l’Ancien Testament qu’Il a dit: «Celui qui est issu d’une union illicite n’entrera pas dans l’assemblée de l’Eternel pendant dix générations.» Il n’y a rien que ce péché-là qui l’élimine, rien d’autre. Pensez-y. Dix générations, quatre cents ans avant qu’un enfant illégitime puisse donc entrer dans le Royaume de Dieu. Il n’y avait pas de sérum pour prendre soin de lui. On devait simplement épurer cela par la famille. Quatre cents ans avant qu’un enfant illégitime entre dans l’assemblée du Seigneur.
Mais aujourd’hui, depuis que le Sang de Jésus-Christ a été versé, vous avez été hybridé avec toutes sortes d’idées, le Saint-Esprit est ici ce matin pour vous ramener à l’original, vous ramener à la Pentecôte, vous ramener. Et ce matin, nous sommes assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ, laissant le Saint-Esprit [Espace vide sur la bande.–N.D.E.]...?... l’oeuvre de la circoncision.
La circoncision, c’est quoi? C’est le fait d’ôter tout ce qui est hybride, le surplus, les choses du monde, les choses de l’âge de l’église, nous ramener à la Pentecôte comme c’était au commencement.
49 Aimeriez-vous recevoir cette expérience? Voudriez-vous qu’on adresse un mot de prière afin que vous receviez Cela, et que vous retourniez au commencement, ayant la Vie même de Christ vivant en vous, produisant les signes qu’Il avait accomplis lorsqu’Il était ici sur terre? Voudriez-vous lever la main pour un mot de prière, avant que nous priions? Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Des mains partout.
Bienveillant Seigneur, nous Te remercions ce matin pour Ta Parole. Elle est tranchante. Elle est vraie. Mais Elle est une–une Epée, et une Epée affûtée, tranchante et puissante. Elle discerne les pensées et les intentions du coeur. Et nous Te remercions ce matin pour Ta Parole. Bien qu’Elle taille, Elle circoncit. C’est la raison pour laquelle Elle est l’Epée. C’est pour nous circoncire nous dépouiller de toutes les choses du monde et nous amener dans la communion avec Toi en tant que fils et filles de Dieu assis dans les lieux célestes en Christ Jésus.
50 Dieu avait ordonné cela avant la fondation du monde afin que nous soyons saints et irrépréhensibles devant Lui, vivant dans la sainteté, la pureté, confessant que nous sommes des pèlerins sur cette terre, que nous sommes des étrangers. Nous ne sommes pas d’ici. Notre héritage est d’En-haut. Nous cherchons cette Cité dont Dieu est l’Architecte et le Constructeur. Nous En entendons parler jour après jour et heure après heure, pendant que les bénédictions du Saint-Esprit se déversent sur nous pendant que nous sommes assis ensemble, enseignant et Te louant.
Nous prions maintenant pour ces mains qui se sont levées. Ô Dieu, voici l’heure où on doit être sincère. C’est l’heure où les hommes regardent sur la terre, ils ont peur à cause des choses à venir. Ils ne veulent pas de quelque chose de douteux. Ils veulent quelque chose de solide. Ils veulent quelque chose de réel. Et, Père, comme ils voient leur vie, qu’ils ont été greffés, qu’ils ne portent pas de fruits, que les signes du premier sarment ne se manifestent pas en eux, ils ont levé leurs mains pour dire: «Ô Seigneur, enlève ceci et laisse-moi pousser du véritable Sarment.»
51 Ô Dieu, ce matin, je prie que le Saint-Esprit les ramène, les débarrasse de tous leurs doutes, comme quoi Jésus ne guérit pas, que le Saint-Esprit, c’est du fanatisme avec émotion comme les gens le disent; que tous les doutes s’en aillent et que les gens reconnaissent que c’est l’Adorable Seigneur Jésus parmi nous. Il se manifeste Lui-même.
Et ouvre les yeux des gens. Ne les laisse pas vivre comme ceux du temps des–des apôtres, du temps des prophètes. Aucun prophète n’a été reconnu, à peine, avant sa mort. On n’avait pas reconnu Jésus. Beaucoup de saints après cela n’avaient pas été reconnus. Le Message est proclamé et on ne s’En aperçoit pas. Cette Eglise sera enlevée l’un de ces jours, Elle sera emportée, et alors, les gens s’écrieront: «Donnez-moi de l’Huile.» Mais il n’y En aura alors plus à acheter. Qu’ils ne manquent pas cela ce matin, Seigneur, mais qu’ils Te cherchent de tout leur coeur, dans l’humilité.
52 Maintenant, Père, je ne peux pas T’amener vers eux, ni les amener vers Toi. Je ne peux que dire ce que Tu as dit et le plan que Tu as révélé. «Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle.» Je prie, ô Dieu, que tout celui qui se retrouve ici sans le Saint-Esprit puisse retourner au commencement ce matin. Pas... Ils n’ont pas à quitter leurs églises, ils n’ont qu’à retourner au commencement et à être greffés, ou plutôt non pas y être greffés, mais entrer par la naissance. Un cep greffé, c’est de la dénomination, il ne subsistera jamais. Je prie qu’ils entrent dans l’Esprit, dans le Cep par la naissance, comme au commencement.
Je Te les recommande, Père. Je Te prie de les bénir aujourd’hui. Viens-nous en aide. Sanctifie nos pensées et nos coeurs. Et ce soir, lorsqu’on tiendra la réunion de prière pour les malades, qu’une puissance ineffable se manifeste parmi nous. Que les coeurs soient purifiés par le Saint-Esprit; que tous les doutes et tous les troubles soient ôtés. Jésus-Christ vit, et Il est maintenant avec nous. Accorde-le, Seigneur.
53 Bénis cette église. Bénis frère Jack, soeur Moore, Anna Jean, Don, et ceux qui collaborent ici. Frère Lyle, frère Brown et beaucoup d’entre eux, Père, je ne peux pas les nommer. Chaque prédicateur, frère Kidson, tous les autres prédicateurs ici, frère Bootlayer et beaucoup d’autres que–que nous ne connaissons même pas.
Ô Seigneur, enflamme nos âmes. Ô Dieu, fais que nous retournions rapidement. Nous en parlons, mais en parler ne suffira pas. Accorde-nous de retourner. «Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché.» C’est de l’incrédulité. Le péché, c’est l’incrédulité. Si nous le disons et que nous ne retournons pas, nous ne le croyons pas. Accorde-nous de retourner au commencement. Prendre le Message, Seigneur, et le répandre parmi les gens. Voir le Saint-Esprit agir une fois de plus comme au jour de la Pentecôte.
Exauce ma prière en leur faveur, Père, au Nom de Jésus, je prie. Amen. Que Dieu vous bénisse ainsi que votre pasteur.