Le Don Enveloppé De Dieu

Date: 60-1225 | La durée est de: 1 heure et 58 minutes | La traduction: Shp
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1          C’est toujours bon de venir à la maison du Seigneur, mais on dirait que c’est de loin mieux en ces jours de Noël, de Nouvel An et de fêtes. On dirait qu’il y a une petite bénédiction spéciale en réserve pour nous.

            Et comme nous... C’est vraiment dommage que nous ne puissions pas éprouver tout le temps ce sentiment que nous éprouvons à la Noël, des gens qui vous font signe de la main pour vous saluer et qui vous disent : «Que le Seigneur vous bénisse.» C’est bien. C’est l’unique chose que j’aime à la Noël.

            Eh bien, l’autre soir, j’entendais parler du réveillon, je pense, pour le soir du samedi prochain. Le Seigneur voulant, je tâcherai d’être alors ici au réveillon et de passer mon temps, le Seigneur voulant, à les aider en parlant un peu d’un sujet, le soir du prochain samedi.

            Et le dimanche matin, évidemment, on aura l’habituelle école du dimanche et, le dimanche soir, il y aura un service d’évangélisation. Eh bien... Oui. La communion, le lavage des pieds, le prochain dimanche soir. C’est ça. Une bonne façon de bien commencer une nouvelle année : prendre la communion et avoir le lavage des pieds.

2          Maintenant, j’aimerais annoncer une réunion, je demande que ce soit une réunion restreinte, fermée, on dirait, exclusivement pour les pasteurs, les pasteurs associés du tabernacle, les administrateurs et les diacres de ce tabernacle. Je pense que c’est bien pour nous de nous rassembler de temps en temps et de voir un peu comment le Seigneur nous conduit; et souvent, il y a de petites choses qui surgissent, comme des passages des Ecritures que vous pourriez trouver difficiles, et si nous ne... Nous aimerions le même... parler le même langage partout. Alors, nous aimerions nous rassembler.

3          Et j’aimerais que vous les pasteurs, les associés, évidemment, ce sera frère Neville, frère Don Ruddell ici, un de nos associés, frère Graham Snelling d’Utica, frère Stricker ici, notre missionnaire, et les–les frères qui sont des pasteurs, les frères... d’autres frères qui sont ici, frère Parnell.

            Et vous savez qui sont nos associés ici : Frère Junior Jackson de New Albany. Et aussi, les–les diacres et les administrateurs... Je vais vous dire ce que je souhaiterais que vous fassiez. La semaine prochaine, trouvez-vous un bout de papier et écrivez-y les pensées ou les... je voudrais dire les passages des Ecritures, ou une tâche que vous devez assumer, sur laquelle vous pouvez ne pas avoir des renseignements.

            Par exemple, un administrateur pourrait dire : «Quelle est exactement ma tâche dans tel cas?» «Quelle est ma tâche en tant que diacre, dans tel cas?» Un pasteur pourrait dire : «Dans tel passage de la Parole ici, je vois que les choses sont censées être comme ceci, mais–mais je–je vois que ce n’est pas ce que nous enseignons.» Indiquez ces passages des Ecritures en rapport avec cela et tout, puis envoyez tout cela à frère Wood, si vous le voulez, comme c’est lui mon voisin.

            Et aussitôt que vous aurez écrit cela, le plus vite possible, j’apprécierais cela; alors, je pourrais chercher cela dans les Ecritures, et nous n’aurons pas juste... Ça ne sera donc pas une réunion publique; c’est juste pour les pasteurs et... de ce tabernacle, les diacres et les administrateurs du tabernacle. Et cela aura lieu très bientôt, aussitôt que nous pourrons les recevoir. Puis, nous annoncerons cela pour un soir où il n’y aura pas–il n’y aura pas de réunion; et alors, nous–nous nous en occuperons donc.

4          Je pense que ça sera une bonne chose, Frère Neville...?... frères, vous tous les pasteurs, et les autres, que nous puissions nous rassembler. De la sorte, nous pourrons parler le même langage partout (voyez-vous?); nous savons... Et puis, ça sera aussi enregistré. Nos questions et nos réponses seront enregistrées et tout le monde pourra se procurer une bande afin de savoir, en rejouant la bande, ce qu’il en est au cas où telle question surgirait; ça pourra profiter à l’église.

            Ou quelqu’un pourrait dire : «Eh bien, ce...» Nous retournerons voir ce que nous... ce qu’il y a sur la bande, ce qui y est dit. Nous avons déjà des bandes de ce genre. Et aussi, nous avons de nouveaux administrateurs, je pense, cette année, et–et quelques nouveaux diacres et tout, nous aimerions les voir être instruits là-dessus.

5          Et ce jeune frère est l’un de nos frères d’ici à Sellersburg, frère Willard Crase, assurément, envoyez-lui un message là-dessus, s’il vous plaît, comme il est jeune dans le Seigneur. Et–et que ces jeunes gens, je pense, puissent être établis, vous voyez ce que je deviens, qu’ils sachent donc comment tenir ferme. Et de petites questions surgissent à leur esprit. Au lieu de courir des risques... rassemblons-nous et–et voyons ce qu’il en est. Alors, quand nous aurons des réunions, nos grandes réunions d’ensemble, nos églises ensemble, comme nous l’avions fait cette dernière période, alors nous–nous saurons exactement quoi prendre, quoi dire et quoi faire. Nous aimerions parler tous le même langage, ainsi nous nous comprendrons.

            Eh bien, autre chose que j’aimerais dire, comme l’a si bien souligné frère Neville, nous vous souhaitons le meilleur au... à la Noël, en ce temps de–de communion, pendant ces jours de fêtes et autres.

6          Et puis, j’aimerais prendre ce temps pour dire à tout un chacun parmi vous combien je vous suis reconnaissant pour vos cartes de Noël, les cadeaux de Noël et des choses que nous avons reçus chez nous. Je vous remercie certainement de tout mon coeur. Cela nous a certainement fait du bien ce matin lorsque... J’ai un petit garçon, encore assez petit pour désirer, on dirait, un arbre de Noël; alors, nous l’avons placé dans une salle. Et ce matin, en passant, en dessous de cela, j’ai trouvé plusieurs cadeaux de la part de mon église ici et de mes amis de divers endroits, qui avaient été réceptionnés et déposés sous cet arbre. Et je n’ai pas de mots pour vous exprimer ce que je... combien j’apprécie chacun de ces cadeaux. Et ma prière, c’est que le Dieu du Ciel vous bénisse richement. Et maintenant...

7          Et nous, vous savez comment ça se passe, nous ne pouvons pas vous les rendre, car je ne pourrais pas trouver autant d’argent, vous savez. Je–je gagne cent dollars par semaine, j’ai une grande famille et environ dix millions d’amis; il serait certainement un peu difficile d’aller auprès d’eux. Mais nous–nous vous sommes reconnaissants, et aussi pour vos voeux. Je suis sûr que vous comprenez.

            Maintenant, n’oubliez pas cette–cette prochaine soirée de Nouvel An. Oh! Je me rappelle le premier réveillon que j’aie jamais eu ici dans ce tabernacle! Je ne pense pas qu’il y ait ici quelqu’un qui s’en souvient. Mais c’était en cette soirée-là que le Seigneur avait beaucoup débarrassé votre pasteur de l’empèsement. Et nous nous attendons donc impatiemment à un grand moment.

            Et maintenant, juste avant que nous priions, j’aimerais lire le passage des Ecritures pour la leçon de ce soir.

8          Je délibérais un peu moi-même aujourd’hui, je–j’avais annoncé que je parlerais ce soir, une fois arrivé ici, sur : Nous avons vu Son étoile en Orient et nous sommes venus pour L’adorer. Ça m’a semblé un peu familier. Et notre cher ami, frère Sothmann ici, le–l’un des administrateurs de l’église, je lui demandais, il a dit : «J’ai une bande là-dessus, Frère Branham. Vous avez prêché cela quelque part.» Et notre précieux ami, le frère Léo Mercier ici, le jeune homme qui s’occupe des bandes, a dit : «Oui, environ cinq fois.» Alors, j’ai–j’ai un peu changé cela. Et au lieu de prêcher sur Nous avons vu Son étoile en Orient, j’aimerais parler ce soir du Don enveloppé de Dieu.

9          Et maintenant, je vais lire dans l’Evangile selon Saint Matthieu, au–au chapitre 2, un passage des Ecritures, Saint Matthieu, chapitre 2 :

          Jésus étant né à Bethléhem en Judée, au temps du roi Hérode, voici des mages d’Orient arrivèrent à Jérusalem, et dirent : Où est le roi des Juifs qui vient de naître? Car nous avons vu son étoile en Orient, et nous sommes venus pour l’adorer.

          Le roi Hérode, ayant appris cela, fut troublé, et tout Jérusalem avec lui.

          Il assembla tous les principaux sacrificateurs et les scribes du peuple, et il s’informa auprès d’eux où devait naître le Christ.

          Ils lui dirent : A Bethléhem en Judée; car voici ce qui a été écrit par le prophète : Et toi, Bethléhem, terre de Juda, tu n’es certes pas la moindre entre les principales villes de Juda, car de toi sortira un chef qui paîtra Israël, mon peuple.

          Alors Hérode fit appeler en secret les mages, et s’enquit soigneusement auprès d’eux depuis combien de temps l’étoile brillait.

          Puis, il les envoya à Bethléhem, en disant : Allez, et prenez des informations exactes sur le petit enfant; quand vous l’aurez trouvé, faites-le-moi savoir, afin que j’aille aussi moi-même l’adorer.

          Après avoir entendu le roi, ils partirent. Et voici, l’étoile qu’ils avaient vue en Orient marchait devant eux jusqu’à ce qu’étant arrivée au-dessus du lieu où était le petit enfant, elle s’arrêta.

          Quand ils aperçurent l’étoile, ils furent saisis d’une très grande joie.

          Ils entrèrent dans la maison, virent le petit enfant avec Marie, sa mère, se prosternèrent et l’adorèrent; ils ouvrirent ensuite leurs trésors, et lui offrirent en présent de l’or, de l’encens et de la myrrhe.

          Puis, divinement avertis en songe de ne pas retourner vers Hérode, ils regagnèrent leur pays par un autre chemin.

10        Maintenant, j’aimerais tirer de là un sujet pour ce soir, ou plutôt, pas de là, mais de la même histoire qui est dans Saint Luc 2.7.

          Et elle enfanta son fils premier-né. Elle l’emmaillota, et le coucha dans une crèche, parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans l’hôtellerie.

11        Inclinons maintenant la tête pour un mot de prière. Saint et Bienveillant Dieu, Toi qui nous as donné le plus grand Don que ce monde ait jamais connu, le Seigneur Jésus-Christ, nous venons humblement à Toi ce soir avec des actions de grâces, T’exprimant du plus profond de notre être de profondes adorations pour ce merveilleux Don. Nous n’avons rien à donner en retour. Et ce que Tu as demandé, c’est vraiment insignifiant, c’est juste : «Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, J’ôterai vos fardeaux et vos péchés, et Je vous libérerai.» Oh! Quel échange! Personne ne le pouvait à part Toi, notre Dieu. Et nous Te remercions de ce que Tu l’as fait pour nous.

            Et nous sommes Tes témoins en cette heure-ci. Que Tu ôtes nos fardeaux et nos péchés, et que Tu nous donnes, à la place, la joie et la paix. Combien nous Te sommes reconnaissants, Seigneur, de cette expérience chrétienne intérieure, la Noël dans notre coeur! Nous en sommes très contents.

            Nous sommes si heureux de savoir que nous vivons dans le dernier jour, où nous voyons les signes apparaître une fois de plus comme en ce jour-là, à Sa Venue. Nous humilions nos coeurs dans Ta Présence. Oh! Grand et Majestueux, que Ton Esprit règne de façon suprême dans notre coeur, dans nos vies, et fortifie-nous, de l’intérieur vers l’extérieur, afin que nous devenions Tes serviteurs en cette glorieuse et sombre heure que le monde affronte présentement.

            Nous présentons ce passage de Ta Parole, Seigneur, dans ce seul but que de ce passage, le Saint-Esprit puisse dégager un contexte qui pourrait suffire ce soir comme message de Noël pour Ton peuple qui attend. Et nous nous attendons à Toi. Seigneur, circoncis les lèvres qui vont parler et les oreilles qui vont écouter. Et donne la puissance, place la Vie dans les Paroles qui vont être proclamées, afin qu’Elles nous accordent une meilleure connaissance du Seigneur Jésus. Car nous le demandons en Son Nom. Amen.

12        J’ai noté plusieurs passages des Ecritures et tout ici auxquels je vais me référer J’ai été surpris hier d’apprendre cela, c’est dans un journal, qu’il y a ce que le monde commercial qualifie de «Noël exceptionnelle». Il y est dit qu’on dépense beaucoup plus d’argent en cette période qu’on en a dépensé il y a beaucoup, beaucoup d’années depuis plusieurs années. Et des foules s’étaient rassemblées à Jérusalem, qu’il y avait une petite trêve entre les Arabes et les Juifs, qu’ils ont un peu laissé tomber leurs sentiments pour permettre aux–aux pèlerins d’entrer aussi dans la ville en ce temps de–de Noël. Je me suis souvent demandé pourquoi cette ville a été donc choisie, Bethléhem.

            Pendant que ces gens chantaient il y a quelques instants, le–le petit homme, sa femme et ses enfants là, j’ai été frappé de voir comment cette petite fille gardait le rythme avec une espèce de harpe à cordes qu’elle jouait, et comment ce petit homme était juste–juste un enfant, simplement, mais cependant, il gardait le rythme juste avec le... en jouant de cette harpe. Je pense que ça s’appelle une harpe. De temps en temps, je...

13        Quand on pense à Bethléhem, et... Comment est-il arrivé qu’elle ait été choisie comme le lieu de naissance du Roi des rois? Et, vous savez, Bethléhem est une petite ville, une très petite ville. Je me suis souvent demandé pourquoi Dieu n’a pas choisi une ville plus religieuse pour cela, pour ce grand événement, telle que Siloé. Siloé était la première demeure de la tente, là où l’arche avait été placée après la traversée du Jourdain. Ou Guilgal, une autre grande ville religieuse; ou Sion, sur la montagne, une autre grande ville religieuse; ou même la prestigieuse capitale, Jérusalem, avec tous ses sages et ses saints de tout le temps. Pourquoi Dieu n’a-t-Il pas choisi Jérusalem?

14        Pourquoi a-t-Il choisi Bethléhem? On dirait qu’Il aurait pu, peut-être, choisi un lieu, l’une de ces grandes villes de refuge, qui aurait servi de lieu de protection pour Son Fils en cas de trouble. Les villes de refuge comme Ramoth en Galaad, c’était un grand lieu de refuge qui avait été construit, pour que les gens puissent courir se réfugier dans ces tours. Kadès était une autre grande ville de refuge; Hébron, une autre grande ville de refuge.

            Pourquoi Dieu a-t-Il choisi la petite Bethléhem, et pourquoi n’a-t-Il donc pas choisi ces villes plus grandes...?... Elles jouissaient d’une réputation plus grande et elles avaient un passé plus spirituel. Mais, vous savez, Dieu a une façon de faire les choses, Sa propre façon de s’y prendre. Je suis si content qu’Il le fasse ainsi. Voyez? Parfois, Il prend des choses qui n’ont pas un passé spirituel, ou qui n’ont pas du tout de passé.

15        Et c’est pourquoi Il est Dieu; Il peut prendre un rien et en faire quelque chose. Et donc, c’est ce qui fait de Lui Dieu. C’est ce qui fait que nous L’aimons. C’est ce qui fait que nous les pauvres gens, nous L’apprécions; c’est parce que, même si nous sommes pauvres, sans arrière-plan, cependant, Dieu peut faire de grandes choses avec nous, si jamais Il nous a sous Son contrôle.

16        Evidemment, c’est Josué qui avait fait traverser les enfants d’Israël et avait divisé le pays. Et c’est à la tribu de Juda qu’il a été donné cette portion où se trouve Bethléhem, c’est un coin tout au nord, dans la province de Juda, une petite bande qui s’étend comme une petite péninsule. Et à cet endroit-là, cette province, cette grande province, c’est dans cette partie du nord qu’on cultive du blé, c’était là le grenier du blé, on y cultivait beaucoup de blé et d’orge.

17        Et c’est l’un des fils de Caleb qui avait établi et fondé cette ville. Salmon était son nom, c’était l’un des fils de Caleb. Si vous voulez consulter cela, je saute beaucoup de ces passages des Ecritures, mais je vois certains frères prendre note. Dans 1 Chroniques 2.15, vous trouverez aussi cela dans Matthieu 1.5, là où ils... il a établi et fondé cette grande ville, qui était une petite ville. Mais ce qui la rend grande, ce sont les grands événements qui s’y sont accomplis.

18        Comme je l’ai toujours dit, il n’existe pas de grande église, c’est le Grand Dieu qui est dans l’Eglise. Il n’existe pas de grande sainte montagne, c’est le Grand Saint-Esprit qui était sur la montagne. Il n’existe pas de saint homme, c’est le Saint-Esprit dans l’homme.

            Voyez, c’était comme ça avec cette ville. Elle était petite de dimension, elle était plus dans la vallée, et elle n’était pas belle à voir; elle comptait peu d’habitants, et c’est le cas jusqu’aujourd’hui. Mais c’est parce que Dieu avait choisi cela pour faire quelque chose. C’est ce que j’aime : quelque chose que Dieu choisit. Peu importe comment cela paraît aux yeux des gens, tant que Dieu choisit cela, c’est ça.

19        Rahab la prostituée, nous sommes habitués à cela, c’était une–une jeune fille abandonnée dans la rue par un père et une mère païens, ils l’avaient renvoyée dans la rue parce qu’elle était belle, pour leur ramener les revenus de la prostitution... Et pourtant, au fin fond de cette jeune fille immorale, renvoyée dans la rue, elle avait entendu dire qu’il y avait un Dieu qui exauçait la prière.

            Et à la toute première occasion qu’elle a eue d’accepter ce Dieu-là, ou de faire quelque chose pour Lui, elle l’a fait. Et Dieu a épargné sa vie, Il a sauvé son père, sa mère et sa famille. Elle tomba amoureuse d’un général de l’armée d’Israël, nous rapporte l’histoire, et épousa ce général. Et ils se sont merveilleusement fait la cour. Et finalement, ils se sont établis et ont habité Bethléhem.

20        Et avec ce général, elle a donné au monde un–un fils, le fils de–de–de... Je ne me souviens pas sur-le-champ du nom du général. J’essayais... je pensais avoir noté son nom ici, mais je ne l’ai pas. J’ai le nom de son fils, mais c’était le fils que Rahab avait enfanté à ce général. Son nom était Salmon. Pas Salomon de... qui a construit le temple, le fils de David, mais un autre, Salmon. Et ce Salmon a enfanté un fils dont le nom était Boaz. Et Boaz... Oh! Nous connaissons cette merveilleuse histoire de Boaz et Ruth.

21        Eh bien, vous voyez, cette prostituée était une Gentille, et c’était une arrière grand-mère de notre Seigneur Jésus. Et aussi, quand–quand Boaz, son petit-fils, est venu et a épousé Ruth, la Moabite, il a aussi épousé une Gentille. Ce qui fait que Jésus est en partie Gentil, du point de vue terrestre. Alors, quand ils ont eu leur enfant, son nom, c’était Obed. Et Obed a eu un fils du nom d’Isaï. Isaï eut un fils du nom de David. Et tout cela s’est passé dans la petite Bethléhem. Qu’est-ce? La lignée du Seigneur Jésus, Ses origines qui échappaient aux grands hommes spirituels, ou aux soi-disant hommes spirituels.

22        Et c’était au même endroit que Samuel le prophète oignit David comme roi d’Israël, là même à Bethléhem. Et par David est venu le Grand Fils : «Toi, Fils de David» (le Fils qui naquit dans une petite étable, une crèche, près du flanc de la colline, à l’ouest de la ville). C’était sur cette colline-là que les anges de Dieu ont chanté leur première Noël.

23        Le mot Bethléhem, analysons-le. Beth signifie maison. El signifie Dieu. E–l–h–a–m, veut dire pain : la Maison de Pain de Dieu. Combien c’est donc approprié que le Pain de Vie soit sorti de Bethléhem : la Maison de Pain de Dieu. Oh! C’est une belle histoire.

24        Ça devait être peu après la tombée de la nuit, le soleil s’était couché. Les étoiles avaient probablement apparu, il n’y avait pas de lumière depuis environ deux heures lorsque le petit âne posa ses petites pattes fatiguées sur la partie arrière de la colline, à l’ouest de Bethléhem, alors qu’il veillait à l’endroit où il posait ses petits sabots, parce que sa cargaison était précieuse. Et Joseph le conduisait doucement, alors que le petit trio entreprenait la montée de la colline, où il avait marché toute la journée durant, il venait de Nazareth. Elle allait devenir mère à tout moment, le moment d’accoucher était dépassé, peut-être.

25        Mais tout est ordonné par avance de Dieu, et cela concourt au bien de ceux qui L’aiment. C’était ordonné de Dieu qu’il y ait un roi sans coeur à cette époque-là, Hérode, un roi avide de sang. Dieu le savait. Dieu connaissait le problème de taxes, que ce gouvernement méchant n’avait pas pitié de la pauvre mère qui était sur le point d’être délivrée de son premier enfant dans quelques jours, mais qu’il a ordonné que tous regagnent leurs lieux de naissance et paient leurs tributs : «Quel que soit l’état dans lequel elle se trouvait, elle devait aller de toute façon.» Dieu savait tout cela. Dieu connaissait tout d’avance. Et Il–Il connaît toutes choses (Voyez?) et Il fait concourir toutes choses au bien. Le petit trio n’en faisait pas un problème, alors qu’il gravissait la colline.

            Finalement, après beaucoup de gémissements, le petit âne... Je peux les voir alors qu’ils s’arrêtent au sommet de la colline qu’ils ont atteint, en venant de l’occident, de Nazareth, et ils arrivent. Et après avoir atteint le sommet de la colline, pour regarder en bas, dans la vallée où était la petite Bethléhem... Beaucoup de torches étaient allumées. Beaucoup de gens venus de partout en Galilée s’étaient rassemblés, pour venir à leur lieu de naissance, à Bethléhem, et pour payer en province la taxe au gouvernement romain.

            Quelles que soient leurs conditions, on les voyait flâner le long du chemin : les malades, les nécessiteux, les gens cloués au lit, les lépreux, les gens rongés par le cancer, les–les–les–les pauvres, les estropiés, les infirmes et les aveugles. Tous étaient venus, parce que c’était un ordre du gouvernement. Hérode était derrière cela, et ça devait être accompli.

26        Et pendant que notre petite équipe faisait escale au sommet de la colline, il devait y avoir une grosse pierre là, je peux voir Joseph la soulever tendrement dans ses bras, l’aider à descendre du petit mulet et–et la faire asseoir sur le côté de la pierre. Et le petit mulet poussa un soupir. Et comme Joseph faisait quelques pas en avant, il a regardé la petite Bethléhem en bas, il a vu des rues bondées, des torches allumées dans les rues, il a entendu des hurlements, des cris de gens étendus dans des cours de maisons, sur des terrains et tout, en dehors des portails de la ville. Ça a dû être une scène!

27        Joseph doit avoir dit quelque chose comme ceci : «Marie, ma chérie, penses-y donc, juste de l’autre côté de la ville vers le côté septentrional, Ruth la Moabite avait autrefois glané dans le champ de Boaz, là. Là, juste après ça, là sur la montagne, David avait terrassé un lion à l’aide de sa fronde, il lui avait arraché la brebis de la gueule. Ça doit être là que Josué s’était tenu avec son épée flamboyante, le guerrier sans peur de notre peuple, celui qui avait partagé le pays et qui avait donné cet héritage à la tribu de Juda, dont nous sommes des descendants. Et divers événements, il doit lui avoir relaté ce qui était arrivé.

            Et alors, il n’entendait aucun son derrière lui; il doit s’être retourné pour regarder, voir si elle était toujours assise sur la pierre. Et alors, il a vu son joli visage tourné vers les cieux, il n’a plus eu à interroger davantage; en effet ses yeux reflétaient la lumière de l’Etoile. Il a compris qu’elle regardait quelque chose.

            Puis, elle l’a regardé et a dit : «Joseph, as-tu remarqué l’Etoile qui est suspendue là?»

            Il a regardé et, surpris, il a dit : «Je ne L’avais pas remarquée avant, chérie.»

            «Eh bien, Elle nous suit depuis le coucher du soleil. Je L’ai observée. Elle doit signifier quelque chose, parce que j’éprouve le sentiment le plus merveilleux.»

28        Vous savez, Dieu fait parfois des choses comme cela pour Son peuple, Il montre une Lumière, ou un moyen par lequel nous pouvons savoir qu’Il est tout près, et qu’Il est sur la scène. Et peu importe ce que le monde a à dire ou à faire, Il est toujours là, et tout va bien marcher. Il ne fait que confirmer Cela par le Saint-Esprit, afin que nous puissions croire Cela.

            Et Joseph peut avoir dit quelque chose comme ceci : «Marie, sais-tu quoi? Je n’ai jamais été si heureux de toute ma vie, d’avoir été forcé par le gouvernement romain; mais cependant, je n’ai jamais été aussi heureux que maintenant même, et je ne sais pourquoi. On dirait qu’il y a ce soir quelque chose de sacré dans cette petite ville où nous nous promenions lorsque nous étions des jeunes garçons et des jeunes filles, dans notre adolescence, et à l’âge de la scolarité.

            Là loin à l’est, à plusieurs centaines de kilomètres de là, des mages étaient déjà en route. Ils avaient vu Son Etoile, et ils venaient pour adorer le petit Colis de Dieu, qu’Il avait envoyé au monde.

29        Dans peu de temps, le monde allait recevoir le plus glorieux Don jamais reçu, un petit Colis emballé, un petit. Le tout premier Colis de Noël qui ait jamais été emballé dans le monde entier, c’est Dieu qui L’a emballé.

30        Et j’aimerais éclaircir ma pensée en disant ceci : La plus grande Chose qui ait jamais été emballée dans la chair humaine était emballée là-dedans, Dieu Lui-même emballé dans ce colis de Noël et envoyé au monde.

31        Pourquoi avaient-ils refusé Cela? Pourquoi ne pouvaient-ils pas voir Cela? Pourquoi avaient-ils rejeté Cela? Pourquoi ne voulaient-ils pas de Cela? Pour la même raison qu’ils n’En veulent pas ce soir. Ça ne leur avait pas été donné tel qu’ils étaient habitués à recevoir des cadeaux. C’est pourquoi Cela est encore rejeté ce soir, parce que Cela n’est pas donné aux gens, tels qu’ils sont habitués à recevoir des cadeaux.

            Mais Dieu a emballé Son propre Colis. Il avait le droit de le faire; c’est Lui qui Le donne. Il a le droit de L’emballer comme Il veut. Comment ça se présente? Ça, ça ne change rien. Il a le droit de le faire, parce que c’est Lui qui offre le–le Cadeau.

            Autre chose, la raison en était que, comme jadis, il n’était pas de coutume pour eux de recevoir Cela tel que C’était emballé. Ils attendaient quelque chose, l’arrivée d’un Cadeau qui viendrait sur des chars, avec une cohorte d’anges conduisant des chevaux de feu. Mais lorsque Cela est venu sous la forme d’un petit Enfant né dans une mangeoire, c’est à peine s’ils savaient le passage des Ecritures qui disait : «Je donnerai à ce monde un super Signe.»

32        Un jour, ils ont demandé un signe. Il a dit : «Je vous le donnerai. Ce sera le super signe. Ce sera un signe qui subsistera tous les âges. Une vierge concevra et elle enfantera un Enfant, un Fils, et on L’appellera Emmanuel. C’est le super Signe. C’est le Don que Je vais donner.» Mais Cela n’est pas venu tel qu’ils L’attendaient; alors, ils L’ont rejeté.

33        C’est pareil aujourd’hui, mon frère. Le Don de Dieu n’est pas venu tel que les gens L’attendaient, et alors ils L’ont rejeté. Ils n’En veulent pas. Ils veulent que Cela soit enveloppé dans une espèce d’emballage de leur choix. Ils veulent le clinquant là-dessus. Ils veulent quelque chose de fleuri, quelque chose de parfumé, quelque chose d’étincelant, quelque chose de classique. Mais Dieu n’envoie pas tout le temps Cela comme ça. Il L’envoie dans la puissance, tel qu’Il veut L’envoyer.

34        Autre chose, Cela a été porté par des pauvres. Marie et Marthe, ou Marthe plutôt, ou... Marie et Joseph étaient des gens très pauvres. C’étaient des paysans. Et comme Cela avait été porté par des paysans, ils n’En voulaient pas.

35        C’est pareil aujourd’hui. Lorsque ce grand Don à l’Eglise, le Saint-Esprit, descend sur des gens pauvres et humbles, les riches n’En veulent pas. Ils ne veulent pas s’humilier. Ils veulent Cela avec classe, mais ils n’en veulent pas tel que Dieu L’envoie. Beaucoup de gens veulent recevoir le Saint-Esprit, mais–mais ils veulent L’avoir à leur manière. Mais, oh! je suis très content de ce que vous ne puissiez pas L’avoir ainsi. Vous devez faire cela tel que Dieu vous L’envoie, vous humilier pour recevoir Cela.

36        Ce n’était pas enveloppé dans de belles petites toiles de lin. C’était emmailloté. On m’a dit que l’habit même dont Jésus était emmailloté, Christ, c’était celui qu’on avait retiré du joug d’un veau, il pendait là dans l’étable. Il était emmailloté... Le linge qui était le–le... là où on mettait le... un morceau de tissu autour du joug du veau pour lui éviter des ampoules dues au frottement pendant qu’on les tirait. Ils– ils n’avaient pas d’habits pour Lui. Et ils...

37        Oh! Quand j’y pense, cela me brise pratiquement le coeur : pas d’habits pour Emmanuel, le Créateur des cieux et de la terre. Pas d’habits à porter pour Lui, Il a dû être emmailloté dans des lambeaux retirés de la nuque d’un veau. Oh! Quel super Signe!

38        Pour les gens cela devait être très attrayant. Le petit Jéhovah pleurant comme un Bébé, Dieu fait chair dans un Colis. Le Dieu qui couvre tout l’espace et tout le temps, Celui qui était avant la fondation du monde, avant l’étoile, la molécule, était enveloppé dans un petit Colis et couché dans une crèche, dans une étable, là où il y avait des fumiers des chevaux et des brebis et autres, dans l’étable, dans cette petite crèche, sur de la paille ou du foin. Jéhovah était couché là, pleurant comme un Enfant. Pouvez-vous vous représenter cela?

39        Eh bien, le riche ne voulait rien de pareil. Cela polluerait ses pensées, quelque chose de si humble. Et Il avait été enfanté par une jeune fille, une petite jeune fille paysanne considérée dans les parages comme une–une fanatique, et par un charpentier qui connaissait à peine son ABC. Et comment pouvaient-ils enfanter quelque chose qui pourrait séduire ou apaiser les yeux des célébrités? Comment pouvaient-ils donc produire quelque chose qui contenterait ou qui satisferait les riches et des gens prétentieux ou des dénominations de leur époque? Ils ont été carrément rejetés.

40        Non seulement à l’époque, mais même en ces jours, ils rejettent carrément Cela. Cela ne vient pas enveloppé tel qu’ils le veulent. Ils veulent s’En débarrasser, disant : «Il n’y a rien là.» Ainsi, les riches et les dénominations refusent ce Don-là. Ils n’ont rien à faire avec. Pourquoi?

41        Pourquoi avaient-ils fait pareille chose? Ce n’est pas enveloppé dans des credos habituels. C’est pourquoi aujourd’hui ils ne veulent pas du Don de Dieu. Les Etats-Unis ici ne veulent pas de Dieu. Ces églises ne veulent pas de Dieu. Ils veulent Père Noël. Ils veulent quelque chose d’éclatant, avec des couleurs rouges, et–et–et–des choses brillantes et luisantes. Ils ont rejeté la Vérité de l’Evangile avec puissance et la résurrection de Jésus-Christ. Cela ne sera pas enveloppé dans leurs credos. Vous ne pouvez pas envelopper Christ dans un credo.

42        Ce matin, je suivais, pendant que j’allais tôt chez ma mère, j’avais allumé la radio, et une–une église citait ou disait le... ce qu’on appelle le Credo des Apôtres. Cela n’existe pas. L’unique credo que les apôtres aient jamais connu, c’est ce qui se trouve dans Actes 2.38 : «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit.» C’est l’unique credo que j’aie jamais vu dans la Bible, qu’ils aient utilisé donc.

43        Cet autre-là, c’est un credo fait par les hommes. Et vous ne pouvez pas envelopper Christ dans un credo presbytérien, ni dans un credo baptiste, ni dans un credo catholique, ni dans un credo pentecôtiste. L’unique chose dans laquelle Christ sera enveloppé, c’est votre coeur, pas votre credo. Il veut votre coeur. Il a là une tour de contrôle, et Il veut travailler avec vous, vous donner la Vie Eternelle. Il ne recevra pas cela; et vous ne pouvez pas L’envelopper dans des credos. On ne le pouvait pas jadis, on ne le peut pas aujourd’hui, vous ne pourrez jamais le faire. Ils ne pouvaient donc pas recevoir Cela parce qu’ils avaient plus d’estime pour leurs credos que pour ce Don.

44        C’est pareil aujourd’hui. Les gens ne peuvent pas accepter le parler en langues dans leurs églises; ils ruineraient leur credo. Ils ne peuvent pas accepter la guérison divine, le baptême du Saint-Esprit, et de grandes doctrines évangéliques de la Bible, des vérités apostoliques. Pourquoi? C’est parce que leur credo condamne Cela. Oh! Combien c’est insensé de prendre le papier, le colis dans lequel cela est emballé, et de jeter le Cadeau! C’est comme un débile mental qui a réceptionné un paquet, l’a accepté, mais a jeté le cadeau.

45        C’est ça l’église, c’est ce que font les gens aujourd’hui, ils oublient que le Don de Dieu est la Vie Eternelle par Jésus-Christ. Il est rejeté aujourd’hui autant qu’autrefois. Ce soir de Noël, Il est rejeté autant qu’Il l’a été la première nuit de Noël. Ils ne peuvent pas recevoir Cela, parce que Cela ne se conforme pas à leurs credos. C’est la même chose que nous avons eue tout au long des âges.

46        Il n’est pas étonnant qu’il n’y ait pas eu de place pour Lui dans l’hôtellerie. Non, Il n’était pas enveloppé correctement. Il n’était pas enveloppé dans du papier classique. C’était enveloppé comme un Cadeau, comme un Cadeau de la part de Dieu, envoyé par Dieu, un Dieu dont ils ne connaissaient rien. Ils prétendaient Le connaître. Et ils prétendaient Le chercher. Mais Il n’était pas venu tel qu’ils pensaient qu’Il viendrait, selon leurs credos, et ils ne pouvaient pas recevoir le Don de Dieu. Il était enveloppé différemment. Il était enveloppé comme un enfant. Il est né dans une crèche. Il est venu par des gens pauvres. Il venait d’une bande des fanatiques. Comment donc pouvaient-ils recevoir pareille chose? Il n’est pas étonnant qu’il n’y ait pas eu de place pour Lui dans l’hôtellerie.

47        Il n’y a pas de place pour lui aujourd’hui, non plus, dans les églises. On Le chasse. On ne croit pas en Lui. Ils diront : «Loin de nous pareille histoire. C’est du fanatisme. Nous n’avons rien à faire avec Cela. C’est contraire aux doctrines de nos pères, aux doctrines de cette église, aux doctrines de nos credos, de nos pères.» Donc, Christ est rejeté aujourd’hui tout autant qu’autrefois.

48        Il n’y a pas de place ce soir dans nos bonnes églises, nos grandes églises, nos belles églises. Il n’y a pas de place dans nos clubs religieux aujourd’hui pour des réunions du Saint-Esprit. Ils n’en veulent pas. Cela–cela les rabaisse aux yeux des gens de haute société dans le pays.

49        Cela les rabaisse à l’idée qu’ils auront à s’humilier en s’agenouillant à l’autel, pleurer, attendre là jusqu’à être remplis de la puissance d’En haut, se relever avec une nouvelle vie; faire que les femmes laissent pousser leurs cheveux, agissent comme les femmes devraient agir; amener les hommes à abandonner la cigarette, la boisson et à traiter correctement leurs familles. C’est trop pour eux, ils s’accrochent donc aux credos de l’église plutôt qu’à recevoir le Don de Dieu, le Cadeau de Noël de la part de Dieu.

            Ils préféreraient avoir un credo plutôt que le Don. Ils préféreraient avoir le papier plutôt que le Don. Ils veulent le papier assurément, quelque chose de tout brillant, et il y a beaucoup d’histoire qu’ils peuvent faire là-dessus. Mais le véritable Don qui est à l’intérieur, ils n’En veulent pas.

50        Voyez, Il était donc enveloppé dans des habits sales, Il était emmailloté. Il est aujourd’hui enveloppé dans la même chose, qu’on taxe de saint exalté, de fanatisme, de bande d’hérétiques. Cela est emmailloté, et le monde n’En veut pas. Oh! Je suis si content de soulever cet habit et de voir ce qui est caché là derrière : la Vie Eternelle, Dieu fait chair et habitant parmi nous.

51        Non, ils ne voulaient pas de Lui. Cela perturbait leurs clubs religieux. Le recevoir aujourd’hui les perturbe. Oh! Si quelqu’un se lève dans l’église et se met à crier et à louer Dieu, ou si quelqu’un dit amen, comme ce groupe de prédicateurs ici ou quelque chose comme cela, ou dans une assistance, l’huissier le conduira immédiatement vers la porte. Si votre nom était inscrit dans le registre, on l’enlèverait très vite. Voyez, Dieu n’a pas de–de possibilité.

52        Si le président élu, Kennedy, visitait cette ville ici, les drapeaux flotteraient, et le–les guirlandes flotteraient, et les–et les tapis seraient déployés, et–et il y aurait un accueil jamais vu. Tout ça, c’est bien si on veut le faire. Il est le président élu des Etats-Unis. Mais s’il venait, on–on ferait tout cela, on lui réserverait l’accueil le plus chaleureux, et on penserait qu’il s’est humilié en venant dans une petite ville comme Jeffersonville, dans l’Indiana, alors que New York et de grandes villes le réclament partout, pour un moment, pour parler avec lui.

            S’il venait à Jeffersonville, dans une pauvre ville comme la nôtre, oh, comme on mettrait ce qu’on appelle «le chien»! On ferait tout, on arrangerait les routes, et–et tout pour qu’il voie qu’il a été bien accueilli. C’est bien si on est politicien; c’est en ordre.

53        Mais Jésus peut venir dans la puissance de Sa résurrection, Il peut venir par le Saint-Esprit, Il peut accomplir des signes et des prodiges, et chaque journal critiquera Cela. Les gens taxeront Cela de saint exalté. Ils diront : «Ces gens sont fous.» Il n’est pas étonnant que nos noms soient inscrits sur une bombe atomique. Nous avons rejeté la miséricorde, il ne nous reste que le jugement. Oh! Ils ne recevront pas Cela. Ils ne l’ont pas reçu à l’époque, ils ne le recevront pas aujourd’hui.

            Pourquoi n’ont-ils pas reçu cela? J’aimerais bien poser la question : Pourquoi n’ont-ils pas accordé... n’ont-ils pas reçu le Don de Dieu à la Noël? Pourquoi n’ont-ils pas fait cela? Pourquoi ne font-ils pas cela? Si c’est juste un Don qu’ils pouvaient regarder et qui conviendrait à leur société, Il serait en ordre. Si notre...

            Si cette religion du Saint-Esprit arrangeait les gens de la haute classe aujourd’hui, ils recevraient Cela. Mais pourquoi ne reçoivent-ils donc pas Cela? C’est parce qu’ils ont plus de considération pour leur haute classe que pour Christ. C’est vrai. Vous direz : «Vous parlez très durement à Son sujet.» Je prends position pour Lui. Il est mon Seigneur. J’ai un... Je–je–je suis Son serviteur. J’ai le droit de crier contre cette méchante chose. C’est vrai. Et les chrétiens croient cela, ils savent cela, ils acceptent cela et ils savent que c’est la vérité.

            Pourquoi n’ont-ils pas reçu ce Colis emballé? C’est parce qu’ils connaissaient Ce qu’il y avait à l’intérieur, et ils n’En ont pas voulu.

54        C’est pourquoi les églises et les gens aujourd’hui, les gouvernements et les pays ne recevront pas le Cadeau de Noël de la part de Dieu, c’est parce qu’ils savent Ce qu’il y a à l’intérieur. Ils n’En veulent pas. Cela ferait agir les femmes différemment. Cela ferait agir les hommes différemment. Vous aurez à porter le nom de fanatique. Vous aurez à suivre le chemin avec les quelques méprisés du Seigneur. Vous aurez à purifier votre vie. Vous aurez à cesser vos mesquineries. Vous aurez à cesser de faire le mal, d’escroquer, de voler, de mentir, de commettre adultère. Vous aurez à arrêter ces choses. Alors, les gens n’En veulent pas. Même s’ils savent que c’est vrai, mais ils n’En veulent pas. Ça leur apporte trop de Vérité. Cela dévoile leur péché; par conséquent, ils n’En veulent pas, ils ne veulent rien à avoir à faire avec Cela. «Tenez-vous loin de Cela.»

            C’était comme ça à l’époque. Ils savaient Ce qui était emballé à l’intérieur. Alors, ils ont dit : «Ôtez ça.» Ils n’En veulent pas. C’est pareil aujourd’hui, ils n’ont jamais voulu de Cela. Ils ne veulent pas du Saint-Esprit aujourd’hui, parce qu’ils savent Ce qui est emballé à l’intérieur.

55        Ils peuvent voir quelqu’un recevoir le Saint-Esprit. Ils se tiennent là et voient telle femme, peut-être aussi vile que possible, au point même que les chiens auront du mal à la regarder, voir cette femme se relever de l’autel une nouvelle personne et voir cette femme purifier sa vie, sortir et agir comme une dame. Voir celle qui court à des parties de bridge, qui fume quatre ou cinq paquets de cigarettes par jour, qui plane aux bars, un pilier de bistrot régulier; ils savent que s’ils acceptent donc ce Don de Dieu, celui qui est emballé dans le Colis appelé Jésus-Christ, Cela ruinera tout leur loisir mondain, car Il ne supportera pas cela. Cela leur fait quelque chose; Cela change des gens. Les gens ne veulent pas être changés. Ils diraient plutôt : «Laissez-moi tranquille.»

56        Cela me rappelle cet homme possédé de démons auprès de qui Jésus était allé à Gadara, il y avait là un homme qui avait deux mille démons, et ces derniers ont dit : «Qu’avons–qu’avons-nous avec Toi? Pourquoi viens-Tu ici? Quitte notre territoire; nous ne voulons pas de Toi ici.» Ils voulaient rester tranquilles. Les gens se sentent mieux chez eux avec les démons qu’en compagnie de Jésus, aussi avaient-ils dit : «Quitte notre territoire, nous ne voulons pas de Toi ici.»

57        Le pauvre vieux Légion, il était le seul parmi eux à–à avoir besoin du secours. Il vient toujours auprès de ceux qui ont besoin de Lui. Il vient auprès de ceux qui ont besoin de Lui. Il était donc le seul à être aidé. Je me suis souvent dit que quand j’arriverai au Ciel, j’aimerais voir l’impact–l’impact de son témoignage sur les éleveurs de cochons à Gadara. Puisque cela leur avait coûté un troupeau de cochons, ils ne voulaient pas du réveil.

            Si cela va coûter quelque chose aux gens, alors, ils ne veulent rien avoir à faire avec. C’est comme ça aujourd’hui. Si cela va vous coûter vos jeux d’arnaque, les grands moments, vos cigares, vos sales plaisanteries, toute la souillure et tout du monde... La raison pour laquelle ils ne veulent pas de Cela, C’est que ça leur coûte quelque chose, votre grande réputation de haute classe, avec beaucoup de clinquants.

            Mais Cela vous donnera un nom qui sera inscrit dans le Livre de Vie de l’Agneau, qui ne s’efface point. Vous devez donc faire votre choix, vous avez le libre arbitre. Oh! Recevez le Cadeau de Noël de la part de Dieu. Voilà ma–ma prière pour vous.

58        Oui, ils n’En veulent pas, parce que Cela leur fait quelque chose. Ou est-ce que le gouvernement... le gouvernement ne voulait pas de Lui. Hérode ne voulait pas de Lui. Absolument pas. Pourquoi? Il changerait son programme. Le gouvernement ne veut pas de Lui aujourd’hui. Nous sommes censés être une nation chrétienne.

59        Eh bien, les Nations Unies ne veulent pas de Lui. Elles recevront toute autre conception au monde, sauf les Siennes, mais jamais offrir la prière. Il n’y a pas de prière à leurs sessions. Ils y entrent tout bonnement, et les loups s’entredéchirent, selon une vieille expression de la rue. Ils ne veulent pas de Christ. Il aurait à changer leur programme; c’est pourquoi ils ne veulent pas de Lui. Ils n’ont pas voulu de Lui à l’époque, ils ne veulent pas de Lui aujourd’hui.

60        Les églises ne voulaient pas de Lui, parce qu’Il n’acceptait pas leur credo. Il leur disait ce qu’ils étaient... Il disait : «Vous, race de vipères, vous murailles blanchies. Il les traitait de tous les noms possibles. Il a dit du vieux Hérode, Il a dit : «Allez dire à ce renard.» Qu’y a-t-il de plus sale qu’un renard? Qu’y a-t-il de plus puant et de plus vil qu’un drôle de sale renard? Jésus a dit : «C’est ce qu’il est.» Alors, Il–Il–Il a appelé le chat par son nom. Il–Il–Il déclarait faux ce qui était faux, et vrai ce qui était vrai. Ils n’ont donc pas voulu de cela.

61        Aujourd’hui, les églises ne veulent pas d’un pasteur rempli du Saint-Esprit qui va vraiment réprimander, vous dire ce qui est vrai et ce qui est faux. Ils n’en veulent pas. Ils le chasseraient très vite. Le conseil des diacres se rassemblerait, le renverrait et prendrait un autre qui parlera de leurs credos.

62        Frère, je ne connais pas d’autre credo que Christ, d’autre loi que l’amour, d’autre livre que la Bible. C’est ce dont nous avons besoin. C’est ce dont les églises ont besoin.

63        Mais les–les–les gens n’En veulent pas. Ils ont donc tellement enveloppé l’église dans ces dénominations qu’ils peuvent tenir un conseil des administrateurs ou des diacres, faire ballotter un bon pasteur dans tous les sens, à leur gré. Mais ils ne peuvent pas faire ballotter Dieu; ça, c’est sûr. Dieu reste Dieu. Ils ne L’accueilleront pas. Ils accueilleront leurs–leurs amis, leurs politiciens et autres, mais ils n’accueilleront pas Christ.

64        Ils préféreraient avoir Père Noël n’importe quand. Le monde est conquis par cela; Père Noël l’a conquis. Eh bien, vous savez, les petits enfants ne savent même plus ce que représente la Noël. Ils ne savent pas ce que représente Pâques; c’est un–un petit lapin de Pâques, une espèce de lapin ou de petit poulet colorié en jaune ou quelque chose comme cela. Qu’est-ce que Dieu... la résurrection a à faire avec un poulet, l’oiseau le plus sale qui existe? Quoi de plus sale qu’un poulet? Et c’est ce qu’ils-ils mettent là à la place de Christ. Quoi de plus mythique que Père Noël? Cela n’a jamais existé. C’est un mensonge qu’on raconte aux enfants; vous répondrez de cela au jour de Jugement. Oui.

            Il n’est pas étonnant que les gens ne sachent quoi faire. Ils sont... Ils–ils ne veulent absolument pas de la Chose réelle. Ils prendront tout ce qui est artificiel, mais ils ne veulent pas la Chose réelle. Ils ne veulent pas des dons de Dieu. Oh! la la! Certainement. Ils ne veulent pas de Jésus. Ça, c’est une chose.

65        J’ai noté ici une raison pour laquelle ils ne voulaient pas de Lui, c’est parce qu’en entrant dans leur temple, Il avait remarqué leur souillure dans le temple, Il avait renversé les tables et Il avait chassé les changeurs d’argent. Il avait purifié cela.

66        Et si jamais on laissait le Saint-Esprit entrer dans l’une de ces grandes églises ici, Il purifierait cela. C’est pourquoi ils ne peuvent pas accepter Cela. Voyez-vous? Cela leur ferait cesser de jouer à l’argent, cela leur ferait arrêter des fêtes de rock-and-roll, publier leur photo dans des journaux comme des beatniks, comme l’a fait le prédicateur méthodiste ici à Howard Parc, Clarksville.

67        Il y a un frère assis ici présentement, c’est à peine s’il ne lui a pas peigné les cheveux vers le bas. Un homme, un serviteur de Dieu publie sa photo dans un journal, dans une fête de beatnik, lors d’un événement dans l’église... Si John Wesley savait cela, il se retournerait dans sa tombe. Pourquoi? Ils ont rejeté le Christ que John Wesley connaissait (C’est vrai) et ils ont accepté les beatniks. Ils ont une religion de beatnik. Ils ont des enfants beatnik, des papas beatnik, des mamans beatnik, des présidents beatnik, et ça ne fait que rouler et cela continue donc sans cesse. Oh! Quelle disgrâce!

68        Pourquoi? Ils refusent ce qui est réel. Dieu a dit qu’Il les livrerait à une forte illusion pour croire un mensonge et être condamnés par cela. Dieu a dit qu’Il le ferait. Vous refusez ce qui est correct, vous aurez à recevoir ce qui est faux. Il n’y a pas d’autre voie. Vous refusez d’aller à droite, vous devez aller à gauche, prendre toute autre voie, sauf la droite; vous ne pouvez donc pas suivre la bonne voie et la mauvaise au même moment.

69        Comme ils ont refusé le Saint-Esprit, ils ont refusé Christ, ils ont refusé le plan de Dieu, ils ont refusé le messager, ils ont tout refusé, c’est pourquoi ils sont restés dans leur péché. Il ne leur reste alors que le jugement.

            Frère Ben, c’est vrai. C’est tout à fait vrai. C’est ce qu’ils ont. Ils ont refusé Christ; ils ont refusé Son programme; ils ont rejeté Son Esprit. Dieu a essayé depuis cinquante ans que le Saint-Esprit est en train de descendre en Amérique, ils ont rejeté cela pendant cinquante ans. Et ce soir, c’est plus obscur et plus sombre que jamais auparavant.

70        Et même ceux sur qui Il est descendu au commencement, leurs enfants ont formé des organisations et ils en ont fait une dénomination, ils se sont tellement organisés qu’en définitive ils rejettent le Dieu même que leurs pères avaient reçu. Ils se disent pentecôtistes.

71        Oh! Non. L’on ne change pas une truite en cheval pour qu’elle vive dans une grange. Absolument pas, pas plus qu’on ne peut rendre chrétien un membre d’église pentecôtiste, baptiste, presbytérienne ou autre chrétien. Il reste toujours un pécheur jusqu’à ce qu’il soit converti. Et une fois converti, il est né de nouveau de l’Esprit de Dieu et il est changé, il a accepté Christ, et le Saint-Esprit est entré et a fait de lui une nouvelle créature, une nouvelle création.

            Alors... Ils avaient alors refusé Cela jadis; ils refusent Cela aujourd’hui. Il a renversé les tables d’argent. Il a renversé leur conseil d’administrateurs, leur–leur conseil de pasteurs. Ils-ils ne voulaient pas, Il... Ils tiendront un conseil, pas de problème. Oh! Quel changement il y aurait s’Il entrait dans les églises aujourd’hui!

72        Mais Il ne peut pas y entrer. L’autre soir, nous L’avons trouvé dans l’âge de l’Eglise, chassé par Sa propre église, se tenant à la porte, frappant, cherchant à y retourner. Un Père miséricordieux, après avoir été chassé par Son propre peuple, cherche à retourner une fois de plus dans Son église. Il a dit : «Je suis Celui qui marche au milieu de sept chandeliers d’or.»

73        Et au dernier âge de l’Eglise, Il était dehors. Il avait été mis dehors. Où? Dans cet âge de Laodicée. Il se tient là une fois de plus, cherchant à entrer de nouveau par Sa propre porte, dans Sa propre Eglise. Quelle scène pathétique! C’est l’un des tableaux les plus pathétiques que la Bible peint, dans Apocalypse chapitre 2, 3 plutôt. Comment se fait-il que Christ soit chassé...

74        Il y a une autre scène pathétique. Je pense à certaines Paroles les plus pathétiques que Jésus ait donc prononcées, c’est quand Il a dit : «Père, Je me sanctifie Moi-même, afin qu’eux aussi soient sanctifiés.» En d’autres termes, Il avait un droit, en tant qu’Homme. Il avait le droit d’avoir un foyer; Il avait le droit d’avoir une famille.

75        C’était un Homme au même titre que vous et moi; Il était autant humain, dans Sa nature humaine, que nous. Il avait droit à cela. Mais Il formait douze hommes qui allaient apporter l’Evangile au monde entier; aussi s’était-Il sanctifié pour eux : «Je me sanctifie Moi-même pour eux» : un Don de Dieu, se gardant sanctifié. Oh! Les dons de Dieu, vous qui prétendez avoir reçu Son Esprit, gardez-vous sanctifiés (Oui, oui.) «Eloignez-vous des choses du monde, soyez sanctifiés.» Oh!

            Qui connaissait ce Colis qui était dans l’emballage? Y avait-il quelqu’un qui a découvert Ce qui était là-dedans? Je suis si content qu’il y en ait eu. Qui connaissait cela? C’était une Chose cachée, une Pierre rejetée, mais il y a eu quelqu’un qui avait découvert ce qui était là à l’intérieur. Je suis si content.

            J’aime sonder des choses. Pas vous? J’aime déterrer des pépites, les polir, voir ce que... ce qui est à l’intérieur, placer cela sur le compteur Geiger.

76        Il a été aussi placé sur le Geiger au Calvaire. Ça a donné cent pour cent pour Lui. Assurément Il était le plus grand Or qu’on ait jamais trouvé, le Diamant le plus cher qui ait jamais existé, jamais... La–la Bible dit : «Le Royaume des Cieux est semblable à un homme qui achète des diamants. Et quand il a trouvé ce grand Diamant, il a vendu tous ses autres biens, juste pour acquérir Celui-là, pour L’acheter.» Il est le Diamant du plus grand carat qui ait jamais été retiré de la poussière de la terre, le plus glorieux Or qu’on ait jamais trouvé dans la poussière de la terre. Il est le Bijou, le Bijou du Ciel, le gros Diamant.

77        Quand on trouve un gros diamant en Afrique du Sud... J’ai été dans des mines de gros diamants à Kimberley. On prend ces diamants, et puis, après les avoir fait sortir bruts de la terre, on les taille ensuite. Et la raison pour laquelle on les taille, on retranche des morceaux, c’est afin qu’il y ait l’éclat de lumière; que cela donne des éclats, leurs carats; ça vous montre le carat qu’il y a dans ce diamant. S’il n’y a pas beaucoup de feu et d’éclats, ce n’est pas tellement un diamant. Mais quand il y a... C’est un verre. Mais si c’est un véritable diamant, un diamant de beaucoup de carats, ça a un éclat et ça montre diverses couleurs.

78        C’est ce qu’Il était; Il était un Diamant. «Et Il a été blessé pour nos péchés, Il a été brisé pour nos iniquités. Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous avons été guéris.» Oh! Ces rayons de l’amour de Dieu et la Lumière qui émane de Lui, la puissance de la guérison, l’amour, la résurrection.

79        Dieu L’a blessé, Il L’a brisé, Il L’a taillé, Il L’a percé avec une épée romaine, et un–et un–un fouet romain, au point que Ses flancs furent déchirés et que le sang coula de Son dos, et sur toute Sa tête, sur Sa barbe, et tomba sur Ses pieds. Mais que faisait-Il? Il donnait l’éclat de l’amour. Il a embrassé la croix; plutôt qu’un doux oreiller des plumes, une crèche de paille; plutôt qu’une petite robe rose, Il fut emmailloté.

            Oh! Frère, pouvez-vous voir ce que sont les profondeurs de l’amour? L’autre soir, je parlais à certaines personnes chez moi. Personne ne pouvait donc concevoir la profondeur de l’amour de Dieu. Cela : «Oh! L’amour de Dieu, combien riche et pur!», ce dernier couplet, ou plutôt le premier couplet, je pense, a été retrouvé sur le mur d’un asile de fous.

            Si nous remplissons l’océan d’encre,

            Et que les cieux étaient transformés en parchemin;

            Et que chaque tige sur terre était une plume,

            Et que tout homme était écrivain de profession;

            Décrire l’amour du Dieu du Ciel,

            Dessécherait l’océan;

            Ni le rouleau ne contiendrait le tout,

            Même s’il était étendu d’un bout à l’autre du ciel.

80        Pensez aux tiges qu’il y a sur la terre, en faire des plumes; et pensez aux milliards des gens qui deviendraient des écrivains par profession. Décrire cinq petites lettres, a-m-o-u-r, je vais plutôt dire quatre petites lettres, l-o-v-e, l’amour de Dieu, cela dessécherait les océans; alors que les quatre cinquième de la terre sont occupés par l’eau. Quand je me suis tenu là, au Mont Palomar, et que j’ai regardé à travers le télescope, je pouvais voir à cent vingt millions d’années lumière; ni le rouleau ne contiendrait le tout, même s’il était étendu d’un bout à l’autre. L’amour de Dieu.

81        Comment Dieu s’est déployé et est devenu un Cadeau de Noël et a été déposé sur de la paille. La toute première chose à sa disposition pour poser Sa petite tête, c’était de la paille et des linges sales. Il fut emmailloté. La dernière chose qu’Il avait eue, c’était une couronne d’épines, avec un sale lambeau placé sur Ses yeux, et on L’a frappé à la tête, et on a dit : «Si Tu es un Prophète, dis-nous qui T’a frappé.» Et puis, on L’a cloué à une croix. L’amour s’est élancé.

            Alors que Ses propres enfants réclamaient Son Sang, Il s’est écrié : «Père, pardonne-leur, ils ne savent même pas ce qu’ils font.» C’est l’amour.

82        L’Eglise ne veut pas de Cela. Ils veulent des credos. Nous avons besoin de l’amour. L’Eglise se meurt par des credos. Elle ne peut vivre que par l’amour, parce que l’amour est la Vie Eternelle. L’amour conquiert tout. L’amour est la force la plus puissante qui existe. Non, ils n’ont pas voulu de Lui, parce qu’ils savaient ce qui était dans ce Don.

83        Mais cela fut révélé à certains parmi eux, ce que–ce que ce Don était, ce qui était à l’intérieur. Certains ont regardé à l’intérieur. Je pense que les premiers à regarder dans ce Colis de Noël, vous savez qui c’était? Je pense que c’étaient les anges. Les anges ont su cela. Cela leur avait été révélé. Ils ont su cela; en effet, ils étaient sortis sur le flanc de la colline.

84        Peut-être que la petite Marie était assise là, fatiguée, couverte de poussière. Un pauvre petit berger passa par là, puant comme une brebis; il a vu cette petite mère assise là cette nuit-là, quelque chose de brillant. Juste comme des gens peuvent pressentir aujourd’hui qu’il y a quelque chose qui est sur le point d’arriver; des moments extraordinaires, les gens ne savent où aller. Peut-être un drôle de jeune homme berger est passé par là et a vu cette petite mère. Quelque chose l’a frappé, il a dit : «J’ai un peu d’eau fraîche ici dans ce flacon, voudriez–voudriez-vous boire un peu?» Et la petite famille l’a remercié, et la petite dame enceinte a pris de l’eau à boire.

85        C’était peut-être l’un de ces petits bergers qui étaient sur la colline cette nuit-là, alors que là en bas dans l’étable, il y avait un petit Enfant en train de pleurer... Oh! Et le monde, il n’y avait pas de place pour Lui; personne ne voulait de Lui. Mais au même moment, un berger sur la colline, les anges étaient descendus et s’étaient mis à chanter la première Noël : «C’est qu’aujourd’hui dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ.» Cela leur avait été révélé.

86        C’est l’unique moyen pour quiconque au monde de jamais savoir ce qui se trouve dans ce Colis-là, cela doit lui être révélé. Vous ne rejetterez pas Cela en disant que c’est du–c’est du fanatisme; mais une fois que vous recevez la révélation, vous chercherez Cela, vous vous ouvrirez. Et Dieu entrera et soupera avec vous, et vous avec Lui, lorsque vous êtes prêt à ouvrir la porte et à Le laisser entrer. Ce petit Colis frappe à votre coeur, le plus grand Cadeau de Noël qui ait jamais été offert, le Premier et le plus grand Colis, ce petit Colis frappe au coeur d’un homme : «J’entrerai et Je souperai.»

87        Vous ne reconnaîtrez jamais Cela avant que Cela vous soit révélé. Une fois que Cela vous est révélé, alors vous vous mettrez à Le chercher. Lorsque vous voyez que c’est la Vie, et que c’est l’unique moyen pour avoir la Vie, lorsque vous voyez que votre église est sèche et morte, lorsque vous voyez que votre–votre poignée de main avec un pasteur, ou le fait que vous avez été aspergé d’une poignée de sel, cela n’a rien à faire avec la chose, alors vous vous mettez à chercher.

88        Lorsque vous serez couché sur le lit, mourant, et que le médecin dira : «Il ne vous reste rien, vous allez mourir dans quelques minutes», vous aimeriez alors regarder dans ce Colis. Regardez-Y ce soir. Evidemment, Il vous aura alors été arraché. La Bible dit : «Si vous Me rejetez quand vous êtes en bonne santé, comme vous l’êtes maintenant, Je rirai bien de vous quand vous serez dans le malheur.» Vous feriez donc mieux de chercher ce Colis ce soir.

89        Qu’en est-il de tout cela? Des Lumières, des Lumières sacrées venant du Ciel, Elles ont été photographiées, de grands signes, le discernement, les puissances, le parler en langues, l’interprétation, l’annonce des événements à venir, la puissance de l’Evangile, la guérison des malades, ôter les cancers et guérir les gens, les yeux des aveugles sont ouverts, toutes sortes de choses, qu’en est-il de tout cela?

            «Eh bien, c’est une bande de saints exaltés.» Faites attention, c’est emmailloté. C’est possible.

90        Ce fut aussi le cas pour Balaam. Comment a-t-il pensé que Dieu ne maudirait pas un peuple comme Israël? Mais il avait manqué de voir; il regardait ce qui emmaillotait au lieu de voir le Rocher frappé et le serpent d’airain qui allaient devant eux, faisant l’expiation.

91        C’est pareil aujourd’hui. Au lieu de voir la puissance du Saint-Esprit qu’accomplit Son signe de Messie, des prodiges parmi les gens comme Il l’a promis qu’Il le ferait dans les derniers jours, comme Il l’avait dit : «Ce qui arriva du temps de Lot arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme»... Quand Il commencera à accomplir ces signes et ces prodiges parmi les gens, à se manifester vivant, qu’est-ce qui se passe parmi les pauvres, les humbles, les gens pauvres? Ils taxeront cela de fanatisme et le rejetteront. Vous feriez mieux d’examiner avant qu’il ne soit trop tard pour vous. Oui.

            Ces bergers puants auraient été difficilement acceptés à côté des gens. Ils étaient couchés là, dormant avec ces brebis et sur–sur les mêmes grabats qu’elles, et au même endroit plutôt, et–et ils s’en occupaient tellement qu’ils... que leur odeur pouvait bien passer pour celle des brebis.

92        Tout le monde sait qu’un berger qui paît les brebis se couche juste à la porte avec des brebis, il se couche en plein milieu d’elles. Jésus a dit : «Je suis la Porte de la bergerie.» Je m’étais souvent demandé comment c’était, jusqu’à ce que j’étais parti dans la Terre sainte–sainte, ou plutôt en Orient; alors, j’ai découvert que le berger fait entrer les brebis, puis se couche à la porte. Les brebis ne peuvent pas sortir sans le traverser. Le loup ne peut pas entrer sans le traverser. Il est la porte.

93        Je suis content que Jésus soit couché à la porte de notre coeur. Nous ne pouvons pas sortir, ni faire quoi que ce soit sans qu’Il le sache, ou rien ne peut entrer sans qu’Il le sache; ainsi Il fera concourir toutes choses pour le bien de ceux qui L’aiment. Cela devrait nous amener à crier, à pousser des cris, à louer Dieu et à dire : «Grâces soient rendues à Dieu pour un Sauveur, un–un–un Berger qui se couchera à la porte de notre coeur et qui nous avertira chaque fois que quelque chose arrive, pour que nous soyons prêts pour cela.» Oui.

94        Là, de l’autre côté du pays, il y avait des humbles hommes sages, on les appelait des mages, des contemplateurs des étoiles. Lorsque j’étais à l’Est, il n’y a pas longtemps, ils s’assoient toujours de la même façon. Ce sont des gens très pauvres. Ils marchent à trois. Ils s’assoient en pleine route. Billy et moi... Là en Inde, c’est de là qu’ils venaient, de l’Inde.

95        Eh bien, ils avaient dit : «Nous avons vu Son étoile en Orient.» Ils étaient à l’est, quand ils ont vu l’étoile. Jérusalem est à l’ouest, la Palestine était à l’ouest de–de l’Inde. Ils avaient donc vu Son étoile pendant qu’ils étaient à l’est et ils étaient venus pour L’adorer.

96        Alors, ces mages ne s’asseyaient jamais par terre, ils s’accroupissaient, et ils s’asseyaient là toute la journée. La nuit, ils avaient une longue tour, ils montaient là et restaient à cette tour. Ils allumaient les feux, ils parlaient des pays, de la chute des royaumes et les... la chute des empires. Et ils–ils adoraient le seul vrai Dieu. C’est vrai. Ce sont–ce sont des croyants; ce sont des musulmans. En réalité, ils sont les descendants de Médo-Perses, de l’époque de Daniel. Et ils sont... Ils...

97        Et dans Actes 10.35, Pierre a dit qu’il reconnaissait que Dieu ne faisait acception de personne ni d’aucune nation, mais Il... tous, dans chaque nation qui Le craignaient. Et quiconque craindra Dieu... Considérez ces mages-là, ils avaient vu le Don Etoile de Dieu, ils avaient reconnu Cela, avant les sacrificateurs dans le temple à Jérusalem, les hommes religieux. Amen.

98        Les mages. Je peux les voir assis là autour de ce feu sacré une nuit. (Avons-nous encore un peu de temps? Oui.) Ils étaient assis autour de ce feu sacré, causant, puis ils se sont levés. Oh! Ils contemplaient les astres; ils les connaissaient tous; chaque déplacement, ils savaient ça. Alors, une nuit, pendant qu’ils étaient assis là, peut-être en train de chanter des cantiques, ils sont montés sur cette immense structure et ils étudiaient. Ils connaissaient chaque étoile, sa position, son nom, car ils étudiaient des astres.

99        Et il n’est pas étonnant qu’un Etranger parmi ces astres les ait secoués. «Eh bien, se sont-ils posé la question, quel est ce nouvel Astre là? Oh! la la! Il y a quelque chose de neuf qui est arrivé, c’est surnaturel.» Cela... A quoi cela se rapportait-il? Ils se sont référés aux Ecritures.

100      Eh bien, ils connaissaient les Ecritures; en effet, c’était Daniel leur chef. Vous savez cela. Au chapitre 2 de Daniel, il nous est dit qu’il avait été fait leur chef, donc il les enseignait. Sans doute qu’une nuit, alors qu’ils étaient assis là, lisant les Ecritures sur... Et Daniel avait dit, alors qu’il observait tous ces royaumes jusqu’à ce qu’ils étaient devenus ce qui était chacun, les Médo-Perses, ainsi de suite jusqu’à Rome. Et puis, finalement, il a vu une Pierre se détacher de la montagne sans le secours d’aucune main. Et ils ont dit : «Ceci doit être le moment.»

101      Alors, ils se sont rappelé que ce qui était arrivé jadis, avant ce temps-là, autrefois lors du pèlerinage d’Israël, lorsqu’ils s’étaient avancés et avaient entendu Balaam dire, ayant vu Israël, dire : «Une étoile sortira de Jacob.» Amen. Ça doit être au moment où ils pensaient à ces choses qu’un nouveau Visiteur est apparu.

102      Généralement, c’est quand vous gardez votre esprit sur Christ qu’Il vient vers vous. C’est logique. Généralement, c’est au moment où on pense à Lui qu’Il apparaît. Vous savez, lorsque vous pensez à vous mettre en ordre et à faire un bien, c’est alors qu’Il vient vers vous pour vous aider.

103      Et ça doit être vers ce moment-là, et ils–ils doivent avoir levé les yeux et avoir vu ce nouveau Visiteur. Il a commencé à les conduire vers l’occident. Ils se sont très vite engagés sur la route vers l’occident, traversant le fleuve Tigre, passant par le désert, parcourant des montagnes, des terrains boueux. Oh! la la! Sur tout le parcours, ils savaient qu’il se passait quelque chose, il y avait quelque chose de surnaturel.

104      Et où ont-ils abouti? Ils ont dit : «Assurément, si ceci est la prophétie de Daniel, cette grande ville de Jérusalem, la capitale de... les religieux de cette nation-là seront prêts à recevoir leur Roi. Ils reconnaîtront tout à ce sujet, une fois que nous serons arrivés là. Nous ne comprenons pas nous-mêmes, car nous ne sommes que des mages pauvres, des pauvres simples. Mais nous attendions quelque chose, nous avons vu quelque chose d’un peu surnaturel apparaître parmi nous.» Oh! la la! Ils étaient prêts. Alléluia! Ils sont partis, des hommes humbles, pour trouver l’Etoile Messagère de Dieu. Ils suivaient l’Etoile Messagère de Dieu jusqu’à ce qu’ils sont arrivés à la Lumière parfaite. Oh!

105      Apocalypse 20, ou plutôt Apocalypse 1.20 dit que les Etoiles de ces églises... Ce que nous devrions faire aujourd’hui, c’est trouver la Lumière de cette Etoile (Amen!) qui reflète Sa gloire, qui reflète Sa puissance, qui reflète Sa Divinité, et suivre cela jusqu’à trouver cette Lumière parfaite. «Continue à conduire vers l’ouest, avance toujours, guide-nous jusqu’à cette Lumière parfaite.» Oh! Continuez simplement d’avancer, quoi que ça coûte, sur des montagnes, dans des jungles, partout.

106      Et finalement, ils arrivèrent à Jérusalem. Et aussitôt arrivés dans cette immense église dénominationnelle, l’Etoile les quitta. C’est étrange, ils se disaient : «Ça doit être ici.» Ils ont donc parcouru des villes, disant, criant dans chaque ruelle, parcourant les rues : «Où est le Roi des Juifs qui vient de naître?» Nous avons vu Son étoile en Orient, et nous sommes venus pour L’adorer. Où est-Il?»

107      C’était étrange, ils n’avaient pas de réponse, en plein milieu de leurs cercles mêmes. Oh! la la! Je pourrais pratiquement parler en langues maintenant. Ils n’avaient pas de réponse. Ils n’avaient pas de réponse en ce temps-là, ils n’en ont pas aujourd’hui. Ils ne savent pas. Les mages n’ont pas trouvé Jésus dans leur cercle religieux, ils L’ont trouvé en dehors de leur cercle religieux.

            Et les mages aujourd’hui, les sages de coeur, on ne trouve pas cela dans ces grandes dénominations. Elles n’en savent rien. Elles n’ont pas de réponse. «C’est quoi, toute cette guérison divine qui se passe en ce jour-ci? demandent-ils. C’est quoi, toutes ces langues, les interprétations, les prophéties, et le–le signe du Messie? Oh! C’est du non-sens. Il n’y a rien à cela. Ne... Il n’y a rien à cela.»

            Voyez, ils n’ont pas de réponse. Ils n’en avaient pas alors, ils n’en ont pas aujourd’hui. Mais Cela a effectivement fait une seule chose; cela les a amenés à sonder. Je pense que notre frère duPlessis a ressorti cela tout à l’heure.

108      Elles sont retournées, les vierges endormies, elles sont retournées acheter de l’Huile; mais c’est à ce moment qu’Il est venu, pendant qu’elles étaient parties acheter de l’Huile. A quel point sommes-nous donc proches maintenant que nous voyons ces grandes églises revenir dire : «Eh bien, peut-être que nous avions abandonné quelque chose. Nous ferions mieux de retrouver cela»? Elles ne le recevront jamais. Souvenez-vous bien. Elles ne recevront jamais, jamais cela. Ils sont morts. Et ils sont morts et morts, et c’est tout. Ils ne viendront jamais à la vie. Souvenez-vous-en bien. Je parle au Nom du Seigneur, et cela est sur bande. Oui, oui. Ils ne viendront jamais, jamais à la Vie. Ça en est fait d’eux.

109      C’est pourquoi je ne m’intéresse pas à leurs programmes. Je ne m’intéresse qu’à une seule chose : marteler de toutes mes forces pour quiconque veut, pas ressusciter une dénomination, mais ramener Jésus-Christ. Oui, oui. Jamais dans une dénomination. Elle est contre Dieu, elle l’a toujours été, elle le sera toujours, elle met Dieu dehors, elle rejette tout ce qui est pieux. Cela va... ne viendra jamais à la Vie. Cette Noël-ci n’est donc pas différente de la première Noël; c’est la même chose, ces mages parcourent la ville : «Où est-Il? Où est-Il?» Oh! la la!

110      Laissez-moi m’arrêter ici juste un instant. J’ai un film. Je ne l’ai pas ici présentement, un docteur l’a pris, docteur Dilley, une–une–une femme docteur qui a été guérie dans une de mes réunions. C’est elle qui détient présentement le film intitulé Minuit moins trois. Et quand nous avons reçu... Ces Juifs rentrent là dans leur pays maintenant même, en Palestine. Cela avait été annoncé par le Seigneur qu’ils le feraient avant Sa Seconde Venue, qu’ils le feraient.

111      L’autre jour, un frère ici allait en Israël; il a posé la question : «Puis-je y aller?» Ils l’ont rejeté. Israël viendra comme une nation, pas comme un individu. «Une nation naîtra.» Il viendra comme une nation.

112      Mais, regardez, ces pauvres Juifs, là loin en Iran et ailleurs. Vous avez lu cela dans le magazine Life, ne voulaient pas y retourner à bord de ces avions. Ils n’en avaient jamais vu un. Ils labouraient avec de vieilles houes en bois et autres. Ils disaient... Eh bien, un rabbin s’est avancé et a dit : «Un instant. Notre prophète ne nous a-t-il pas dit que lorsque nous retournerons dans notre patrie, nous y irons sur les ailes d’un aigle?» Oh! la la!

113      Ils se sont avancés et sont entrés à bord des avions de TWA et ont décollé. Le prophète ne savait pas qu’ils retourneraient par des moteurs. Ils avaient bien l’air de gros aigles, et ils montaient loin dans l’air comme un aigle; aussi le prophète a-t-il dit : «Lorsque vous retournerez...»

114      Il y a de cela deux mille cinq cents ans, ô Dieu, deux mille cinq cents ans alors qu’ils étaient captifs de Romains, ils étaient dispersés aux quatre vents de la terre, Il a dit : «Ils... Je ne les oublierai pas. Je les ramènerai. Mais Je vais aveugler leurs yeux afin que les Gentils... que Je puisse tirer de là un peuple pour la gloire de Mon Nom, qui porte Mon Nom. Et lorsque ce jour sera passé, Je les rassemblerai. Et lorsqu’ils reviendront dans leur patrie, ils viendront sur ce genre d’appareils.»

115      Et Esaïe les avait vus se lever, traverser, et il a dit : «Sur les ailes des aigles.»

116      Ce vieux rabbin s’est tenu là et a dit : «Notre prophète n’a-t-il pas dit que nous retournerons dans notre patrie, au temps de la fin, sur les ailes d’un aigle?» Ils sont montés à bord.

117      Et lorsqu’ils en descendaient, portant les vieillards, les aveugles et les estropiés sur leurs épaules, les faisant descendre, on les a interviewés. J’ai cela sur bande. On leur a demandé : «Etes-vous revenus dans votre patrie pour y mourir, ici dans votre patrie?»

            Ils ont répondu : «Non, nous sommes venus voir le Messie.»

118      Oh! Frère, qu’y a-t-il? Et leur église n’a pas de réponse. Qu’y a-t-il? Nous sommes au temps de la fin, frère, où les Lumières du soir brillent, la puissance du Saint-Esprit est revenue dans l’Eglise, exactement comme au commencement.

119      Le prophète a dit : «Vers le soir, la Lumière paraîtra.» L’église ne sait pas pourquoi ils se rassemblent là. Ils n’ont pas de réponse. La bombe atomique a la réponse pour eux là, cependant. Assurément. Mais nous sommes au temps du soir, il est plus tard que nous le pensons. Assurément.

120      Ces mages ont parcouru la rue, ils n’ont pas eu de réponse. Qu’arriva-t-il? Qu’arriva-t-il? Finalement, nous voyons qu’ils ont commencé à suivre Cela. Lorsque Cela passait au-dessus, ils ne pouvaient pas La trouver. Ils ne pouvaient pas trouver de réponse dans la ville chez les religieux. Non, ils n’en trouvent pas non plus aujourd’hui. Eux qui? Jérusalem, ils ne savaient rien au sujet du–du signe surnaturel. «De quel genre de signe surnaturel parlez-vous?»

            «Oh! Nous avons vu une Etoile lorsque nous étions là à l’est. Nous L’avons suivie.

            «Où est-Elle? Je ne La vois pas? Oh! Nous n’En savons rien.»

            C’était le parfait accomplissement des Ecritures, mais ils n’ont pas eu de réponse dans leurs clubs religieux. Ils n’en ont pas aujourd’hui. «C’est quoi ce parler en langues? C’est quoi cette bande de gens qui se lèvent, qui guérissent les malades, qui accomplissent toutes sortes de miracles et tout, qui crient, qui poussent des cris, et toutes sortes de choses?» «On dirait que ça s’est fait jadis dans la Bible.» «Ah! Du non-sens, il n’y a rien là.»

121      Ils ne savent rien du surnaturel. Pourquoi? Ça vient. Ils ne veulent pas suivre l’Etoile de la Lumière, l’Etoile de la Lumière, la Boussole de Dieu jusque vers cette Lumière parfaite. Oh! Elle conduit vers l’Ouest, avançant toujours. Guide-nous vers cette Lumière parfaite, ô Etoile de Bethléhem!

            Nous avons vu Son Etoile ici à l’ouest. Quel genre d’Etoile? L’Etoile de Son Eglise, le Saint-Esprit agissant dans un être humain. Nous avons vu Son Etoile et nous sommes venus pour L’adorer. Amen. C’est ce qui se passe, des hommes sages, des femmes sages, humbles de coeur, nous avons vu Son Etoile et nous sommes venus pour L’adorer.

            Oh! Ils ne savaient rien de choses surnaturelles; ils ne connaissaient rien de Lumières et autres; ils–ils n’En savent rien. Cela les avait ébranlés, assurément. C’est pareil aujourd’hui. Ils ne savaient rien à ce sujet cependant, les clubs religieux. Ils n’en savent rien aujourd’hui non plus.

122      Remarquez, j’aime ceci. Oh! C’est ce qu’il y a de beau! Tant qu’ils étaient dans la sphère de dénomination, l’Etoile ne leur était jamais apparue. Elle est allée aux portails de Jérusalem et Elle est restée à l’écart, frère; Elle est restée à l’écart tant qu’ils parcouraient la sphère de ces dénominations.

            «Où est-Il?» Assurément, vous les pasteurs, vous devriez savoir quelque chose. Qu’en est-il de tout cela, vous les rabbins et vous les sacrificateurs? Et vous, vous les méthodistes, les baptistes, les presbytériens, les catholiques, vous les vieilles églises comme cela, assurément que vous avez une réponse à cela. «Où est-Il?» Oh! la la!

            Voyez, ils n’En savaient rien. Et ceux qui étaient là-dedans restaient dans les ténèbres jusqu’à ce qu’ils En étaient sortis. Et aussitôt qu’ils étaient sortis de la ville, l’Etoile était de nouveau là. Gloire!

123      «Sortez du milieu d’elle, Mon peuple, dit le Seigneur.» «Sortez de Babylone, de la confusion. Sortez de vos credos et de vos choses prétentieuses, Je vous recevrai», dit l’Eternel. «Ne touchez pas à ce qui est impur», à leurs fêtes de beatnik dans l’église, aux jeux d’arnaque, et à toutes autres sortes de sottises et de danses.

124      Il n’y a pas longtemps, ma mère m’a fait venir et elle a dit : «Billy, viens un instant ici.» Je pense qu’elle est assise quelque part ici dans l’église ce soir.

            Je suis allé. J’ai dit : «Qu’y a-t-il?» On m’avait fait venir là. Il y avait ici une grande église méthodiste, ici dans l’Indiana, qui avait organisé une fête de rock-and-roll à l’intérieur.

125      Et on interviewait le pasteur. Il disait : «Ça fait longtemps que l’Eglise méthodiste a oublié le bel art du rock-and-roll.» Ils sont possédés du diable, ils ne connaissent rien au sujet de Dieu, ils ne connaissent pas Dieu, pas plus qu’un Hottentot ne connaît au sujet du chevalier égyptien, ils... Pas plus qu’un lapin ne connaît au sujet de raquettes de neige... Et lorsque vous en arrivez à ne connaître que de la théologie, un credo fait de mains d’homme...

126      Lorsque la puissance du Saint-Esprit entrera, vous accepterez la promesse de Dieu. Vous accepterez le Don de Dieu, le Saint-Esprit; alors, voyez combien de rock-and-roll vous pouvez avoir dans une église. Retournez à l’Evangile que John Wesley avait prêché, et voyez combien vous pouvez avoir là-dedans; ils se sont écartés. Retournez à John Smith, pour les baptistes; retournez à Martin Luther. Mais qu’est-ce? Ils ne savent rien du surnaturel aujourd’hui. Et c’est vrai.

127      L’Eglise méthodiste ne connaît rien au sujet de la guérison divine. Quand John était là, prêchant la guérison divine, des gens de la haute église d’Angleterre sont venus et se sont moqués de lui, ils ont lâché après lui un renard et une meute de chiens. Il a pointé son doigt en face de cet homme et a dit : «Le soleil ne se couchera pas trois fois au-dessus de ta tête que tu m’aies appelé prier pour toi.» Cet homme est mort ce soir-là, appelant John pour venir prier pour lui. Pourquoi l’Eglise méthodiste ne retourne-t-elle pas à cela une fois de plus? Pourquoi? C’est parce qu’elle est morte. C’est vrai.

128      Vous avez peur de regarder dans ce Colis, parce qu’Il dévoilera vos péchés. Je vous invite, vous les méthodistes, à regarder dans le Colis une fois de plus. Je vous invite, vous les baptistes, à regarder une fois de plus au Colis. Et vous les presbytériens et tous, vous les pentecôtistes, les catholiques et tous, regardez au Cadeau de Noël de Dieu. Regardez au Cadeau. Jetez le carton et prenez le Cadeau. Oui, oui.

            Eloignez-vous de guirlandes de Père Noël. Retournez au Don de Dieu. Retournez au Saint-Esprit. Oh! Je sais qu’Il révélera beaucoup de choses, mais c’est ce dont vous avez besoin : d’un nettoyage, d’un récurage. Je sais que c’est vraiment difficile, amis, mais il nous faut l’avoir. C’est la Parole de Dieu. Oui, oui, c’est bon pour vous. C’est vrai.

            Oh! Oui. Ils–ils ont reconnu que quelque chose clochait lorsqu’ils sont arrivés dans cette ville-là et que la Lumière avait disparu. Aussitôt qu’ils avaient adhéré à telle dénomination, la Lumière avait disparu. «Qu’y a-t-il?»

            Ils se sont mis à crier : «Où est-Il? Où est-Il? Assurément que je Le trouverai ici; celle-ci étant une vieille dénomination; elle est ici depuis longtemps. C’est la capitale des dénominations, c’est la cité de Vatican; eh bien, assurément, je devrais, je devrais Le trouver ici.

            Où est-Il? Où est-Il, ce Christ qu’on dit être le même hier, aujourd’hui et éternellement? Où est-Il, Celui qu’on dit être la Lumière du temps du soir? Où est Celui qui a dit : «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais»? «Où est-Il? Où est-Il?» Et la Lumière était restée dehors.

            Lorsqu’ils sont sortis de cette histoire, qu’ils sont sortis de la ville, la Lumière est réapparue.

            Vers le soir, la Lumière paraîtra,

            Vous trouverez certainement le sentier de la Gloire

            La Lumière aujourd’hui est par l’eau;

            Enseveli dans le précieux Nom de Jésus.

            Jeunes et vieux, repentez-vous de tous vos péchés,

            Le Saint-Esprit entrera sûrement;

            Les lumières du soir ont brillé,

            C'est un fait que Christ et Dieu sont un.

129      Oui, frère. Oui, oui. Repentez-vous de tous vos péchés, le Saint-Esprit, le Don de Dieu entrera sûrement. Il est à la porte [Frère Branham frappe.–N.D.E.], disant : «Laissez-moi entrer. Si vous Me laissez entrer, Je souperai avec vous; Je vous révélerai ces choses; J’accomplirai pour vous le surnaturel; Je guérirai vos maladies. Je–Je prendrai soin de toutes ces choses pour vous, si seulement vous Me laissez entrer [Frère Branham arrête de frapper]. Le Colis de Dieu, enveloppé aujourd’hui sous forme du Saint-Esprit.

130      Il était alors emmailloté et appelé le Fils de Dieu. Le Colis de Dieu a été simplement pris, mis dans une autre enveloppe et renvoyé. Amen. Il était enveloppé dans le Fils de Dieu en ce temps-là, Il est enveloppé dans les fils de Dieu aujourd’hui, appelés l’Eglise. C’est vrai. Le Colis de Dieu enveloppé pour les gens, et ils refusent Cela aujourd’hui tout comme ils avaient refusé Cela jadis : «S’ils ont traité le Maître de la maison de Béelzébul, de diseur de bonne aventure, parce qu’Il pouvait discerner les pensées, de quel nom peuvent-ils vous traiter?» Oui. Ils ont traité le Maître de la maison... Oh! la la! Voyons.

131      Oui, les mages, ils avaient reçu Cela. C’étaient des pauvres gens humbles, qui avaient vu une Lumière étrange. Autre chose que j’aimerais aborder ici même, quand ils ont vu cette Lumière, ils étaient donc joyeux. La Bible dit : «Ils se sont réjouis d’une très grande joie.» Oh! Je m’imagine qu’ils ont un peu crié. Ne vous l’imaginez-vous pas! Je me l’imagine tout simplement. Alors, quand ils ont vu qu’ils avaient fait si longtemps dans cette vieille organisation, cherchant à trouver quelque chose qui n’y était pas, ils sont alors sortis par la porte, ils ont vu cette Lumière du Saint-Esprit une fois de plus briller là, l’Etoile de gloire descendant devant eux; ils étaient très contents, ils débordaient de joie.

            Oh! Que fait une personne qui déborde de joie? Que faites-vous au jeu de balle lorsque vous débordez de joie? Oh! Vous criez : «Hurrah–Hurrah. Bimity-bam, il a marqué un but. Ah–ah. Oh! Oh! Oh!» Voyez? Et quand vous débordez de joie, vous criez : «Gloire! Alléluia! Gloire au Seigneur!» C’est vrai. Débordant de joie.

            «Voilà l’Etoile. Conduis-nous. Oh! Eloigne-nous de ces organisations et conduis-nous vers cette Lumière parfaite, nous conduisant vers l’Ouest, avançant toujours, et guide-nous vers cette Lumière parfaite.» Continue simplement d’avancer. «L’Etoile servait de guide vers la Lumière. Finalement, Elle s’est arrêtée au-dessus de l’Enfant. Quand ils... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] dans quelques minutes. Très bien. Très bien.

132      Il s’est révélé aux pauvres pêcheurs, Il fut révélé, ce Colis, ce qui était à l’intérieur fut révélé aux pauvres pêcheurs, aux gens sans instruction, aux incultes. Il s’est révélé aux hommes qui ne pouvaient même pas écrire leurs propres noms. Ils ne pouvaient pas être des diacres, ou–ou l’une ou l’autre chose dans l’église. Ils ne pouvaient pas être cela. Ils étaient tellement illettrés. Oh! la la! Ils étaient terribles, Il s’est donc révélé à eux. A ceux qui n’étaient pas désirés, à ceux qui étaient rejetés, Il s’est donc révélé à ceux-là. A ceux qui n’étaient pas aimés, Il s’est montré aimable à ceux qui n’étaient pas aimés. Aux malades, ceux qui avaient besoin de la guérison, ceux qui étaient disposés à regarder dans ce Colis pour voir ce qu’il En était, Il s’est révélé à eux. Et les affamés, Il les a nourris des pains et des poissons.

            Oh! Nous pouvons rester... J’ai beaucoup de notes là-dessus, mais il nous faut sauter. Voyez? Il s’est révélé à tous ces gens-là, eux qui n’étaient pas aimables, alors que personne ne voulait d’eux, alors qu’on les taxait de fanatiques. Il s’est révélé à eux. «Je suis si heureux de dire que je suis l’un d’entre eux.» A ceux qui n’étaient pas aimables, les indésirables, les malades, les nécessiteux, et les affamés, Il s’est révélé. Oui.

133      Je pensais à un autre affamé. Un jour, il y eut un homme au coeur affamé du nom de Paul, Saul à l’époque; il était en route vers Damas, affamé, et il ne savait que faire. Il voulait faire quelque chose pour Dieu. Une Lumière brilla autour de lui, disant : «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?» Il s’est révélé à Paul qui avait un coeur affamé; à une femme de mauvaise réputation, au condamné Barabbas. Il s’est révélé (C’est vrai.) à un homme au coeur affamé, à une femme de mauvaise réputation, à tous ceux qui étaient rejetés.

134      Je pense à cette femme de mauvaise réputation. Juste un instant, pour elle; s’il vous plaît, supportez-moi juste un instant. Simon, le pharisien, dans la Bible, oh! il voulait–il voulait aussi connaître ce Don, mais il voulait Le connaître dans un intérêt égoïste, pour des motifs égoïstes, étant un pharisien. Qu’a-t-il donc fait? Il a organisé une grande fête, il espérait pouvoir tirer un divertissement. La Bible, le récit de l’Evangile, nous le présente. Regardez bien ça un instant maintenant avant que nous terminions.

135      Il est dit là : «Il avait invité Jésus.» En effet, je ne pense pas que ce pharisien aimait réellement Jésus, car il n’avait rien en commun avec Lui. C’était un pharisien raide, et il–il haïssait Jésus, alors il s’est dit qu’il Le ferait venir là et tirerait un peu gloire de Lui, voir si réellement Il était un Prophète ou pas. Il a donc envoyé Le chercher.

            Le coursier est venu, il avait couru, probablement qu’il était couvert de poussière et tout, il s’est avancé là, il s’est tenu à côté de Jésus. Probablement que Jésus était en train de guérir les gens, le service continuait et Il était fatigué. Finalement, peut-être que c’était Pierre qui a dit : «Vous ne pouvez pas Le voir aujourd’hui.»

136      Il a dit : «Mais, monsieur, mon maître, le rabbin Simon est pasteur d’une grande église ici en Judée. Eh bien, vous... Il–il–il a invité votre Maître à venir le voir. Oh! Oh! Oh! Quelle–quelle grande réputation ce sera pour Lui! Voyez? Vous devriez le voir.»

            «Eh bien, a-t-il dit, je vais vous amener et on verra ce qu’Il dira.» Et alors, Il a repoussé la foule. Le soleil se couchait, Jésus était fatigué et épuisé, et voici venir ce petit coursier. Et lui, au lieu de...

            Dans la Présence de Christ! Oh! Je me suis souvent demandé ce qui n’allait pas avec ce coursier. Qu’est-ce qui n’allait pas avec lui? Il s’est tenu là près de Jésus, il avait toujours un message de la part du pharisien : «Mon maître veut que Tu viennes le voir. Tu sais quoi, il a organisé une fête par là, il veut que Tu viennes, que Tu sois un invité d’honneur.»

            Oh! J’aurais souhaité être porteur d’un tel message et me retrouver si près de Lui. Pas vous? Je ne me serais jamais soucié de ce que ce pharisien avait dit. Je me prosternerais à Ses pieds et dirais : «Ô! Seigneur Jésus, aie pitié de moi, pécheur.» Je pense que c’est ce que je dirais. Pas vous? Comment il s’est tenu là si près de Jésus, et cependant, il a rejeté l’occasion qu’il avait de demander pardon pour son péché. Et étant si près de lui... Non, il était trop préoccupé. C’était un serviteur, il devait demander pour le pharisien.

137      Et Jésus, pauvre Jésus, pourtant fatigué et épuisé, savait qu’il était méprisé et haï de lui, Il a secoué la tête : «J’y serai.» S’Il dit qu’Il y sera, Il y sera. Ne vous en faites pas; Il y sera. Rien ne L’arrêtera.

138      Alors, quand ils sont arrivés là, ce jour-là, ils avaient tué leurs veaux gras, ils avaient fait sortir tous les vins nouveaux et tout. Et alors, il n’était pas permis aux pauvres de s’approcher de là où ils étaient. Oh! Lorsqu’on rôtit cette vache dehors, des viandes, quelle arôme! Et ces pauvres gens se tenaient là dehors, avec de l’eau dans la bouche. Ils ne pouvaient pas entrer. Absolument pas. Oui, c’était exclusivement pour les célébrités. Et alors, pendant qu’ils se tenaient là dehors... Et il avait tous ces raisins et autres, tout au–au moment même où ça bourgeonnait, où il y avait des raisins pleins, et cette bonne odeur des raisins, vous savez, lorsqu’ils deviennent doux et tout. Il avait ces vins nouveaux et tout.

139      Et je me suis souvent demandé comment Jésus était donc entré là inaperçu. Vous savez, eh bien, en Orient, quand on vous invite chez quelqu’un, vous savez, ce sont des gens hospitaliers. Eh bien, les gens de l’époque, lorsqu’ils marchaient, ils portaient des sandales. Et alors, vous entendez parler de lavage des pieds. C’est ce que nous faisons ici en commémoration. C’était un ordre.

140      Quand quelqu’un vous invitait chez lui, il se passait quelque chose comme ceci. On vous saluait à la porte, et ensuite, on avait le travailleur le plus vil de tous. Certains conduisaient les chars; d’autres faisaient la cuisine, d’autres étaient des chefs, vous savez; et d’autres, des maîtres d’hôtel et... Mais le travailleur le moins payé parmi tous les domestiques, c’était le laquais laveur des pieds. Il était juste un laquais.

141      Et pensez-y, mon Seigneur s’est fait laquais laveur des pieds. Et alors, nous pensons être quelque chose; nous pensons être quelqu’un. Regardez-Le laver les pieds des disciples, les pêcheurs, les pieds sales des pêcheurs, les bergers et autres, Il a lavé leurs pieds.

            Et ici, ce laquais laveur des pieds, une fois que vous arriviez à la porte, il–il vous lavait les pieds, à cause de la poussière et autres qui s’attachaient aux jambes, là où on marchait, vous savez, dans des routes poussiéreuses où les chevaux et les animaux étaient passés, vous savez, et cela vous couvrait de puanteur. Et puis, ce soleil, vous savez, vous brûlait tout le cou. Et ce soleil de la Palestine, avec des rayons directs, il fait vraiment chaud.

            Et alors, quand on arrive à la porte, on se déchausse, on vous lave les pieds. Et ensuite, on vous enlève–on enlève les sandales, on les nettoie, on les expose. On vous donne une paire de pantoufles, comme de petites... que portent des femmes aujourd’hui, comme pantoufles de chambre à coucher, vous savez, quelque chose de ce genre, on vous les enfile. Et puis, on vous lave les pieds. Et puis, ce laquais avait une serviette sur l’épaule.

142      Et alors, ce qu’il faisait, c’est qu’il vous enlevait la poussière du visage et prenait un peu d’huile de nard. Oh! Ça coûtait cher, c’est ce que les riches utilisaient. La reine de Séba en avait apporté, elle avait donné cela à Salomon. C’était fabriqué à base des pommes de l’Orient, comme une fleur, une petite fleur de pomme, on la trouve là; c’est très cher.

            Et on prenait ce nard, on vous l’appliquait sur tout le visage (c’est comme de l’huile); en effet, leurs cous étaient brûlés et tout. On prenait une serviette, on essuyait tout cela, et ensuite, vous étiez–vous étiez rafraîchis.

            Eh bien, là, c’était la première chose, le laquais laveur des pieds prenait cela et les arrangeait comme ça. Evidemment, on ne pouvait pas avoir envie d’entrer chez autrui, là où il y avait ces très grands tapis de Perse, et autres choses semblables, dégageant une odeur comme si on était dans une étable, et–et le–et le soleil et les ampoules sur tout le visage. On était rafraîchi.

143      Alors, quand ils entraient, ils se rencontraient. Et alors, chaque fois, pour accueillir un invité, si on vous réservait un accueil chaleureux, ils se serraient la main comme ceci, Frère N.D.E. On vous serrait la main comme ceci et ensuite, ils plaçaient leurs... Levez-vous juste un instant, je vais vous montrer quelque chose. Ils plaçaient les bras autour de vous [Frère Branham illustre.–N.D.E.] comme ceci, ensuite il vous serrait la main [Frère Branham illustre.–N.D.E.] C’est comme cela qu’ils procédaient. Là, c’était un accueil chaleureux.

144      Vous étiez alors un frère. Vous vous sentiez à l’aise. Vos pieds étaient lavés, vous–vous étiez tout oint. Et puis, la chose suivante qu’on faisait, ils se baisaient la nuque. Et c’était pour eux un bon accueil. La dernière chose pour vous souhaiter la bienvenue, c’était un baiser. Vous souvenez-vous de Judas embrassant Jésus pour Lui souhaiter la bienvenue? Il lui a dit : «Pourquoi fais-tu cela, ami?» Voyez, Il connaissait son coeur.

145      C’est ainsi qu’ils se souhaitaient la bienvenue. On n’aurait pas envie d’entrer tout couvert de poussière et dégageant une drôle d’odeur sur tout le visage, les jambes et tout. Et ce drôle de vêtements pendant bas ramassait de la poussière pendant qu’on marchait. On n’aurait pas envie de faire cela, d’entrer comme ça. Mais une fois tout rafraîchi, et alors, quand votre hôte s’avance... Vous êtes un invité d’honneur, et alors, lorsque vous vous avancez, on vous accueille, on vous donne le baiser au cou, eh bien, vous êtes alors un frère. «Entrez. Allez au réfrigérateur, prenez un sandwich, n’importe quoi.» Vous étiez–vous étiez alors le bienvenu; vous étiez bien accueilli.

146      Mais comment Jésus est-Il donc entré là sans que tout cela ait été fait pour Lui? Voyez, Il était assis là dans un coin avec des pieds sales, mal accueilli. Probablement que le pharisien parlait d’autres choses, vous savez, il n’a point vu Jésus entrer.

             C’est ça le problème des églises aujourd’hui, de beaucoup de nos églises des pharisiens. La puissance de Dieu se manifeste et ils ne s’en aperçoivent pas. Voyez? Il est disposé à faire quelque chose, mais on ne Lui souhaite pas la bienvenue.

            Et Il était là, peut-être débitant des plaisanteries, passant de bons moments avec le pasteur rabbin Untel, rabbin Untel là. Ils n’ont pas aperçu Jésus. Il doit s’être faufilé et s’être assis quelque part dans un coin.

            Je peux Le voir là avec Ses pieds sales, Son cou couvert d’ampoules : On ne L’avait pas embrassé pour Lui souhaiter la bienvenue.

147      Oh! Cela ne vous donne-t-il pas un sentiment drôle, Jésus avec des pieds sales? Là-bas, on L’appelle Jesu, Jesu. Il disait : «Jesu avec des pieds sales, assis dans un coin.» Ô Dieu, comment est-ce donc possible? Personne ne faisait cas de Lui. Mais une petite prostituée (Oh! la la!), une femme de mauvaise réputation.

148      Il s’est fait qu’elle passait par là, peut-être qu’elle–peut-être qu’elle était... Il n’y avait personne dans la ville, tout le monde était allé à cette fête-là, toutes les célébrités, alors son affaire à elle ne tournait pas. Elle a donc su de quoi il s’agissait là chez ce pharisien. Elle y est donc allée, probablement qu’elle a regardé dans la fissure de la clôture, elle a regardé çà et là. Oh! la la! Il lui est arrivé de regarder dans un coin, elle L’a vu assis là, la tête inclinée, les pieds sales, le cou couvert d’ampoules, non accueilli; personne ne faisait cas de Lui.

149      Mais cela lui a été révélé à elle. Oh! Je peux la voir se frotter les yeux, et dire : «Est-ce Lui? C’est le même Homme qui avait épargné autrefois une femme de mon genre, lorsqu’elle avait été chassée de cette église-là et qu’on allait la lapider et Il avait dit : ‘Femme, où sont tes accusateurs?’» Ça doit être Lui. Voyez, la foi vient de ce que l’on entend, et il fut révélé à cette femme que c’était Lui.

            Elle a dit : «Mais regardez, Il n’a pas été accueilli. Il a les pieds sales. Que puis-je faire à ce sujet? Je suis une femme, et–et s’il m’arrive d’entrer là et de dire quelque chose, eh bien, ils–ils me jetteraient dehors par l’une de ces portes. Je... Et je suis une–je suis une femme de mauvaise réputation, et Il–Il saurait que j’ai une mauvaise réputation. Il saurait que je suis une mauvaise femme, Que–que puis-je donc faire à ce sujet?» Je peux la voir tourner, tournoyer et dire : «Oh! Il me faut faire quelque chose. Il n’a pas été accueilli. Mais quelque chose me révèle que c’est l’unique moyen pour moi d’avoir donc la Vie Eternelle.»

            Vous y êtes. Ô frère! «J’aimerais voir ce qu’il y a dans ce Colis. Je sais qu’il y a Quelque Chose là-dedans qui pardonnera mes péchés. Et quand bien même je suis une prostituée, quand bien même je suis mauvaise, j’aimerais regarder dans ce Colis de Noël; je sais qu’il y a là Quelque Chose pour moi.»

            Il y a Quelque Chose pour tout le monde. Et c’est vrai, ami pécheur. Il y a Quelque Chose pour ceux qui jouent aux jeux d’argent. Il y a Quelque Chose pour le menteur. Il y a Quelque Chose pour tout le monde. Et il y a Quelque Chose pour vous dans ce Colis de Noël. Ne mettez pas cela de côté. Oh! Un pharisien, le débile insensé a pris les guirlandes et a jeté le cadeau. Quelle chose pitoyable! Il vient là.

            Il était assis là. Et cette pauvre petite femme, peut-être qu’elle est allée chez elle, elle a escaladé l’escalier grinçant là, elle a mis la main dans son bas, l’une ou l’autre chose, elle a pris son argent. Elle a dit : «Oh! Que puis-je faire? Eh bien, un instant. Je ferais mieux de remettre cela, parce qu’Il saura que je–je suis une femme de mauvaise réputation. C’est mon unique espoir; c’est tout ce que je peux faire. Je ne suis pas invitée à cette fête-là, mais cependant, je dois aller auprès de Lui.»

            Oh! Je souhaiterais que les gens voient cela ce soir. Il est question d’aller auprès de Lui ou de périr. Qu’est-ce que ça change, qu’on vous taxe de saint exalté, ou qu’on vous jette dehors, ou je ne sais quoi d’autre, ça change quoi? Allez auprès de Lui. Allez auprès de Lui; c’est votre unique espoir.

            Elle s’est agenouillée, elle a pris ce... Et je peux voir l’un de ces Juifs-là, qui racontait que les affaires avaient mal tourné, il était assis là derrière, comptant son argent, tout le monde étant parti à la fête, et tout. Cette femme entra : «Eh bien, que cherchez-vous par ici?» Elle a déversé la monnaie romaine sur le comptoir, environ trente pièces. «Heuh! Heuh! Que voulez-vous, madame?»

            Voyez, cela avait changé les choses. Il avait vu ce qu’elle était; mais lorsqu’il a vu qu’elle avait de l’argent, c’était différent. Voyez? C’est ça le monde aujourd’hui; si vous avez de l’argent, vous êtes une grosse patate; si vous n’en avez pas, vous êtes–vous êtes un rien. Oh! C’est différent! «Que voulez-vous?»

            «Je–je veux le meilleur, je veux le meilleur nard que vous avez. Ceci est tout mon avoir. Laissez-moi compter cela. Trente pièces de cela pour vous.»

            «Oh! Oui, c’est le prix de cette bouteille ici même, la plus précieuse.»

            «C’est ce que je veux.»

            «Voulez-vous me dire que vous voulez acheter ce parfum?»

            «C’est ce que je veux. Je veux toute cette bouteille.» C’est tout ce qu’elle avait. C’est ce qu’il vous faut faire, frères. Ça vous coûte chaque péché que vous avez. Ça vous coûte tout. Mais soyez disposé à donner ça.

            Alors, elle se faufile le long du mur, et je peux la voir regarder à l’intérieur. Et je Le vois assis là, toujours non touché. Le pasteur pharisien raconte toujours là ses sales plaisanteries et tout, là avec les autres, faisant des histoires, parlant d’un grand événement, quelque part, sans savoir, passant inaperçu à notre–à notre précieux Seigneur. Elle a dit : «Comment puis-je entrer?» Je la vois alors se faufiler très facilement, arriver là où Il était comme ça. Elle a levé les yeux vers Lui. Je peux voir les larmes lui couler sur le visage, lever ses gros yeux bruns vers Jésus, comme ça. Et elle secoua cette bouteille, fit sortir le parfum, déversa cela sur Ses pieds. Elle n’allait pas laisser Jésus avec des pieds sales.

            Vous direz : «Moi, non plus?» Pourquoi ne faites-vous pas quelque chose à ce sujet alors? Il a la pire réputation du pays aujourd’hui : «Saint exalté, fanatique religieux.» Pourquoi ne faites-vous pas quelque chose à ce sujet? Levez-vous et dites : «Je suivrais la voie avec les quelques méprisés du Seigneur. Je suis prêt à recevoir ce Colis.»

150      Elle a déversé le parfum sur Ses pieds. Toute la pièce fut embrasée par cela. Ça coûtait cher. Il n’y a rien de trop bon pour Jésus. Donnez-Lui le meilleur que vous avez. Donnez-Lui tout ce que vous avez : Votre vie, votre âme, votre être, votre temps, tout ce que vous avez, donnez-le-Lui.

            Alors, il lui est arrivé de regarder. Elle se tenait là. Oh! la la! Elle a déversé ce parfum sur Son... sur Sa tête. Puis, elle est descendue à Ses pieds et s’est mise ... Oh! Elle–elle a pris Ses pieds, elle a regardé, ils étaient sales. Elle n’avait rien qu’elle... Elle s’est mise à penser à ses péchés, elle a dit : «Assurément, Il–Il va–Il va me condamner.» Alors, lorsqu’elle a déversé ce parfum sur Son cou, elle a frotté cela, alors elle s’est agenouillée là et s’est emparée de Ses pieds. Elle s’est prosternée.

            Elle s’est mise à pleurer : «Oh! Moi, une si grande pécheresse, me tenir devant cet Homme. Une si grande pécheresse.» Elle a levé les yeux, ses gros beaux yeux. Elle s’est dit : «Il–Il–Il va me chasser de cette pièce.» Mais Jésus n’avait point bougé; Il est simplement resté assis à la regarder. Oh! J’aime ça. Il est simplement resté assis à la regarder. «Oh! Il connaît mon coeur, je peux Le sentir maintenant même, en train de lire la pensée de mon coeur. Il sait que je ne suis pas bonne. Je le sais, Seigneur, mais je ne peux pas supporter de Te voir avec des pieds sales. Je ne peux simplement pas supporter ça. Tu es mon unique Espoir. Je ne peux pas supporter cela.»

            Quelle belle eau pour Ses pieds. Oh! Des larmes de repentance. Oh! Oh! Ce vieux pharisien ne pouvait pas pourvoir à pareille chose. Des eaux de larmes coulant de Ses joues...

151      Et elle s’est mise à frotter cela et [Frère Branham produit le son d’un baiser.–N.D.E.] a baisé Ses pieds. Oh! C’était Son Seigneur; baiser Ses pieds. Elle n’avait pas–elle n’avait pas de serviette avec laquelle les sécher. Je pense donc que ses cheveux bouclés (elle les avait défaits au sommet de la tête), doivent être tombés; en effet, de ses cheveux, elle s’est mise à–à essuyer Ses pieds. Elle donnait des baisers à Ses pieds, pour dire : «Seigneur, Tu sais. Seigneur, Tu sais. Je–je suis une pécheresse. Je–je déteste être ici devant Toi comme ceci, mais je ne peux pas supporter de Te voir avec des pieds sales.» Oh! la la! Jésus avec des pieds sales, non accueilli, pas un baiser sur le cou. Elle Lui baisait même les pieds : «Seigneur [Le son de baiser], Seigneur, Seigneur, je–je suis–je suis une pécheresse. [Le son de baiser] Seigneur, Tu sais qui je suis.»

            Et en ce temps-là, le vieux pharisien s’est retourné : «Hum! Il a dit : «Regardez-moi donc ça. Regardez-moi ça. C’est le genre des gens qui sont appelés du Saint-Esprit.» Voyez? Ils n’ont pas changé. «Regardez ce qui se passe. Regardez à quel genre de personne ils s’associent. Vous parlez du Saint-Esprit, de la guérison divine, qu’est-ce?»  «Le rebut de la ville.»

152      Assurément, c’est à ceux-là que Cela est révélé. Elle savait ce qui était dans ce Colis; elle connaissait l’unique temps, et tout le temps qu’elle ait jamais eu n’importe où. Elle ne pouvait pas aller chez les pharisiens; on la chasserait de l’église, pas de son rang social 

            Mais Il y avait une catégorie de pécheurs, j’en suis si content. Il y a un Lieu où un pécheur peut venir. Il y a du Baume en Galaad, qui pansera la plaie. Elle avait trouvé Cela. Elle voulait connaître ce Cadeau, et elle baisait Ses pieds.

            Et le vieux pharisien a dit : «Ah! Ah! Venez ici, mes gars. Ah! Hum! Voilà votre prophète. Voyez? S’Il était un Prophète d’un genre quelconque, Il saurait quel genre de femme Lui lave les pieds. Regardez là. Vous parlez du fanatisme, cela discrédite ma maison.»

            Jésus n’a point dit mot, Il se tenait juste là et observait cette femme. Alors, peu après... Il savait ce que pensait le pharisien, alors Il s’est relevé.

153      Cette femme-là, je peux la voir : «Oh! Oh! Voici–voici mon tour. Il–Il–Il–Il–Il me condamnera. Il–Il–Il me chassera de cette maison. Je Le vois se lever, on dirait ça. Il se sent bien maintenant; Ses pieds ont été lavés avec des larmes. Ô Dieu, reçois les miennes! Ses pieds baignés dans les larmes de repentance, d’un coeur sincère. Même si elle était aussi immorale qu’elle l’était, c’était l’unique occasion pour elle de se retrouver à cette Fontaine où elle pouvait être lavée.

            Elle était assise là, regardant Jésus au visage. Je peux la voir, des larmes lui coulant au visage, comme ça, tacheté partout. Ses cheveux bouclés, tout défaits, couverts de larmes et de saletés provenant des pieds de Jésus. Elle se tenait là, se demandant : «Que va-t-il arriver? Il va me chasser. Il va demander à ces gens de me mettre en prison pour être entrée ici.» Elle s’est tenue là comme ça.

154      Il a dit : «Simon, j’ai à te dire. Tu m’as invité chez toi. Et à Mon arrivée, Tu ne m’as point donné de l’eau pour Me laver les pieds. Je me serais lavé les pieds Moi-même, mais tu ne M’as même pas donné de l’eau.» Ô Dieu. «Tu ne m’as point donné de l’huile pour m’oindre le cou, alors que ça brûlait. Tu n’as pas fait cela, Simon. Tu ne m’as même pas donné un baiser et tu ne M’as pas souhaité la bienvenue.»

155      «Mais cette femme, elle a lavé Mes pieds avec ses larmes, elle M’a baisé les pieds, elle n’a cessé de faire cela depuis qu’elle est entrée ici. J’ai peu de choses contre toi, Simon. Mais son...  (Qu’Il soit un Prophète ou pas), Je lui dis à elle que ses nombreux péchés lui sont pardonnés.» Ô Dieu!

            Qu’était-ce? Elle découvrit ce qui était dans l’emballage du Don. Elle découvrit qu’il y avait l’amour. Elle découvrit qu’il y avait le pardon. Elle avait vu Cela. Oh! Elle avait vu ce précieux Don de Dieu opérer en elle. Oh! Comme elle doit s’être sentie en voyant ce Don de Dieu être étendu à elle! Ses péchés avaient été pardonnés.

156      Quel sentiment Barabbas a dû éprouver ce jour-là! Vous connaissez Barabbas, son histoire. Barabbas était un hors-la-loi qui avait été attrapé, avait été mis dans des galères, qui allait mourir le lendemain matin. C’était un voleur. C’était un hors-la-loi. C’était un meurtrier. C’était un criminel. Toute la nuit durant, il avait arpenté la prison, se tirant les cheveux, car le lendemain il allait être crucifié; c’était la peine capitale. Il allait mourir. Que des cauchemars il avait fait cette nuit-là! Il ne pouvait pas se reposer.

157      Et le lendemain matin, il n’a pas pris le petit-déjeuner ni rien, il savait que son sang allait couler comme parmi les loups. Et tout d’un coup, il entendit des chaînes cliqueter [Frère Branham produit le bruit de pas.–N.D.E.], les pas lourds des soldats. Quatre ou cinq venaient, ou peut-être un bataillon de soldats romains, avec des lances brillantes, s’avançant. Le grand geôlier tourna les clés et dit : «Barabbas, sors.»

            «Oh! Ne me tuez pas! Ayez pitié.»

            Barabbas, tout va bien. Tu es libre.»

            «Je suis quoi?»

            «Tu es libre.»

            «Comment suis-je devenu libre?»

            Quelqu’un lui pointa cette direction-là. Qu’est-ce que cela devait représenter pour Barabbas en voyant ce Don prendre sa place dans la mort? Il a éprouvé le même sentiment. Le Don de Dieu a pris ma place dans la mort. Comment ce voleur mourant sur la croix, cloué là :

                 Le voleur mourant s’est réjoui de voir

                 Cette Fontaine en son jour;

                 Puissé-je, vil comme lui,

                 Laver tous mes péchés. (Oui?)

                 Depuis que, par la foi, j’ai vu ce flot (qui m’a été révélé)

                 Alimenté par Tes plaies saignantes,

                 L’amour rédempteur a été mon thème,

                 Et il le sera jusqu’à ma mort. (C’est vrai. Oh!)

158      Pour terminer, je peux dire ceci. Aujourd’hui, la Noël représente un carton des chameaux, un carton de vice-roi, une bouteille de quatre roses, ou de Seags enveloppés sur un papier de père Noël. Mais ils refusent toujours le Cadeau de Dieu. Ils refusent toujours Son Cadeau de Noël. Ils n’En veulent pas.

            Moi, j’En veux. Je suis content d’avoir reçu Cela. Emmanuel, Dieu fait chair et habitant parmi nous, rejeté et condamné au cours des âges, et Sa miséricorde s’étend aujourd’hui à chaque coeur qui veut Le recevoir. Inclinons la tête juste un instant.

             Je me demande ce soir, dans cette salle en ce temps de Noël, en commémoration de pratiquement deux mille ans, quand Dieu avait donné le premier Cadeau de Noël, je me demande ce soir si vous aimeriez regarder à l’intérieur de ce Colis pour voir, pécheur, s’il n’y a pas là-dedans Quelqu’Un qui vous aime, Quelqu’Un qui est mort pour vous, Quelqu’Un qui a livré Sa Vie pour vous? Etes-vous disposé ce soir à enlever ce dans quoi Il est emmailloté, cet habit sale qui fait qu’on Le taxe de fanatique et de saint exalté, vous envelopper là-dedans, suivre la voie avec les quelques méprisés du Seigneur?

159      Si vous êtes dans la salle ce soir et que vous aimeriez qu’on se souvienne de vous dans la prière, voudriez-vous juste lever la main pour dire : «En ce soir de Noël, j’aimerais recevoir ce Cadeau de Noël de la part de Dieu, le véritable Cadeau de Noël de la part de Dieu»? Que Dieu vous bénisse, madame. Que Dieu vous bénisse, jeune fille. Que Dieu vous bénisse, soeur. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse, jeune dame, là. Y en aurait-il d’autres qui aimeraient qu’on se souvienne d’eux dans la prière. Seigneur... Que Dieu vous bénisse, mon frère.

160      Quelqu’un d’autre : «Seigneur, je suivrais la voie. Je n’aimerais jamais Te voir avec des pieds sales, moi non plus. Je ne supporterais jamais... Je me joindrais à eux. J’entrerai directement dans le Royaume de Dieu. Je vais–je vais être l’un de ces méprisés. Reste avec moi, Seigneur. Viens avec moi chez moi ce soir. J’ôterai toute saleté de Ton Nom. Toi, ôte mes péchés, Seigneur; laisse-moi mener la Vie. Non pas tel que je vis maintenant, j’ai sali Ton... Je–je Te salis chaque jour, Te surchargeant. Laisse-moi aller ce soir, Seigneur, avec des larmes de repentance. Je viens maintenant humblement à Tes pieds, à la croix, pour Te recevoir comme Sauveur.» Y en a-t-il un autre avant que nous priions? Levez simplement la main. Très bien.

161      Précieux Seigneur, je T’apporte ce soir, on dirait, quelques femmes, ce soir, Seigneur, qui ont levé la main. Peut-être qu’elles aussi peuvent regarder en bas... Certaines sont des jeunes filles, juste des adolescentes, qui ont levé la main, elles–elles sont sincères là-dessus, Seigneur. Elles–elles ne... elles ne veulent pas être condamnées avec le monde. Elles veulent Te recevoir maintenant en ce temps de Noël, regarder dans le Colis de Dieu, recevoir la Vie Eternelle. Accorde-le, Seigneur, maintenant même, accorde-leur le pardon de leurs péchés, que Tu ouvres pour eux la Fontaine dans la maison de David, disponible pour le péché, et l’impureté, les pécheurs qui plongent là dans ce flot perdent toutes les taches de leur culpabilité. Accorde-le, Seigneur. Rentre avec eux chez eux, et reste avec eux ce soir, Seigneur. Rends leur vie telle qu’elle devrait être, Seigneur. Accorde-le.

162      Guéris les malades et les affligés parmi nous. Tu es le Secours de ceux qui sont sans secours. Tu es, Seigneur, Celui qui peut agir là où les autres ne le peuvent pas. Tu es la Grâce qui demeure. Tu es le Don de Dieu. Et nous croyons humblement en Toi, Seigneur. Nous suivons l’Etoile du jour, nous suivons la Lumière jusqu’à ce qu’Elle nous conduise à cette Lumière parfaite, le Don de Dieu, la Vie Eternelle, par le baptême de l’Esprit. Accorde-le, Seigneur. Je Te les confie maintenant. Au Nom de Jésus-Christ, prends leurs âmes ce soir et lave-les dans le flot cramoisi du Calvaire. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

                 ... Seigneur, reste avec moi.

                 [Frère Branham fredonne.–N.D.E.]... ceux qui assistent manquent de me consoler.

                 Dans la vie, dans la mort, Seigneur, reste avec moi.

            L’aimez-vous de tout votre coeur? Encore une fois, pour les anciens : «Je L’aime, je L’aime parce qu’Il m’aima le premier.»

                 Je L’aime (tout le monde maintenant.) Je L’aime

                 Parce qu’Il (levons les mains vers Lui maintenant.) m’aima,

                 Et acquit mon salut,

                 Sur le bois du Calvaire.

            Maintenant, j’aimerais que vous serriez la main à quelqu’un devant, derrière, à vos côtés, là. [Frère Branham serre la main.–N.D.E.]

                 Je L’aime, je L’aime

                 Parce qu’Il m’aima la premier,

                 Et acquit mon salut,

                 Sur le... Calvaire

            Que tous ceux qui ont reçu le Don de Dieu à la Noël lèvent maintenant la main.

                 Je L’aime, je L’aime,

                 Parce qu’Il m’aima le premier,

                 Et acquit mon salut,

                 Sur le bois du Calvaire.

            Ne L’aimez-vous pas? N’est-Il pas merveilleux? Très bien, pendant que nous sommes debout maintenant.

                 Prends le Nom de Jésus avec toi,

                 Enfant de chagrin et de tristesse;

                 Il te procurera joie et réconfort,

                 Prends-Le partout où tu vas.

                 Précieux Nom, oh! Nom si doux! Oh...

                 Espoir de la terre et joie du Ciel;

                 Précieux Nom (précieux Nom), oh! Nom si doux!

                 Espoir de la terre et joie du Ciel!

            Doucement maintenant.

                 Prends le Nom de Jésus avec toi,

                 Comme bouclier contre tout piège,

                 Quand les tentations...

            (Que faites-vous quand les tentations vous entourent?)

            Fredonne simplement ce Nom dans la prière.

                 Précieux Nom (précieux Nom)... Ô Nom si doux!

                 Espoir de la terre et joie du Ciel;

                 Précieux Nom (précieux Nom), Ô Nom si doux!

                 Espoir de la terre et joie du Ciel!

            Nous nous prosternons au Nom de Jésus

            (Inclinons la tête maintenant et chantons.)

                 Nous nous prosternons à Ses pieds,

                 Nous Le couronnerons Roi des rois au Ciel,

                 Quand notre pèlerinage sera terminé

                 Précieux Nom, ô Nom si doux!

                 Espoir de la terre et joie du Ciel

                 Précieux Nom, ô Nom si doux,

                 Espoir de la terre et joie du Ciel!

            Murmure simplement ce Nom dans la prière.

                 Précieux Nom (précieux Nom)... Ô Nom si doux!

                 Espoir de la terre et joie du Ciel;

                 Précieux Nom (précieux Nom), Ô Nom si doux!

                 Espoir de la terre et joie du Ciel!

            Nous nous prosternons au Nom de Jésus

            (Inclinons la tête maintenant et chantons.)

                 Nous nous prosternons à Ses pieds,

                 Nous Le couronnerons Roi des rois au Ciel,

                 Quand notre pèlerinage sera terminé

                 Précieux Nom, ô Nom si doux!

                 Espoir de la terre et joie du Ciel

                 Précieux Nom, ô Nom si doux,

                 Espoir de la terre et joie du Ciel!

1a It's always good to come to the house of the Lord, but much better seem like in these Christmas, and New Years, and the holy days. Seems like it has a special little blessing left for us.
And as we... It's just too bad we can't have this Christmas feeling all the time, people waving at you and saying, "The Lord bless you." That's good. I like that one thing about Christmas.
Now, I was hearing the "Watch Party" the other night, I believe, for next Saturday night. The Lord willing, I'll try to be here then at the "Watch Party," and put in my time, if the Lord willing, to help them speak a little on some subject for next Saturday night.
And Sunday morning, of course, is the regular Sunday school and Sunday night is a evangelistic service. Now... Yeah. Communion, foot washing, next Sunday night. That's right. A good way to start the new year out right: take communion and have the feet washing.

1b Now, I want to make a announcement that I'm asking that this is the little closed meeting like, just to the pastors and the associate pastors of the Tabernacle, trustees and deacons of this Tabernacle. I think it's good for us to get together once in a while and kind of find out the way the Lord is leading us and many times there is little things come up like the Scriptures that you would find that would be hard. and if we don't... We want the same, speak the same thing everywhere. And we want to get together, and I want you pastors and associates, 'course Brother Neville, that would be, and Brother Don Ruddell up here, one of our associates, and Brother Graham Snelling at Utica. Brother Stricker here, our missionary. And the--the brethren that's the pastors, brother--the--the different ones here, Brother Parnell. And you know who the associates are here. Brother Junior Jackson from down in New Albany. And then the--the deacons and the trustees...
I tell you what I wish you to do. This coming week, get you a little slip of paper, and write out in there the--the thoughts or the... I would say, to the Scriptures, or some duty that you have to attend, that you might not know.

2 Like a trustee would say, "Just what is my duty if this case arises?" "What is my duty, as a deacon, if this case arises?" And the pastor might say, "In this Word here, I see where it was supposed to be so-and-so, and--and I--I don't understand It just the way we teach It." And place that down in the Scripture, and so forth, then hand them all in to Brother Wood, if you will, 'cause he lives next door to me. And as soon as you get yours wrote out, and as quick as you can, I'll appreciate it, so I can be looking it up in the Scriptures, and we'll have just not... It isn't a public meeting now; it's just for the pastors, and--of this Tabernacle, and the deacons, and trustees of the Tabernacle. And that'll come right away, just as soon as we can get them in. Then we'll announce a night where there's no--no meetings going on here, and then we'll--we'll take care of that then.

3 I think it'd be a good thing, Brother Neville...?... brethren, all you pastors, and so forth, that we might come together. That way we can speak the same thing everywhere (You see?); we know... And then that will be taped also. Our questions and our answers will be taped and each one may have a tape, so that you might know to play back in case of anything--any question coming up that it might be a benefit to the church. Or someone would say, "Well, this..." We'll go back and see what we--is on the tape, it said. We have tapes of that nature, already. And now, we got new trustees, I think, this year, and--and some new deacons, and so forth, and we like to get them in--instructed on that.

4 And this little brother, that's one of our brethren from up here at Sellersburg, Brother Willard Crase, sure, give him a message of it, if you will, because he's just young in the Lord. And--and if these young fellows, I think, can get established, you see what I is, just know how to hold on. And little questions come up in their mind. Instead of running off on some limb, let's come together and--and see what it's all about. Then when we are in meetings, our great joint meetings when the churches join together, like we've been in this last session, then we--we would know then just what to take and what to say, just what to do. We all want to speak the same language, so we'll understand.

5 Now, another thing I would like to say. As Brother Neville has so well said, that we wish you the best in the--these yule tidings in this time of--of fellowship around these holy days, and so forth.
And then I want to take this time to express to each and every one of you, how grateful I am to you for your Christmas cards and gifts, and things that was received at our house. I certainly thank you with all my heart. It certainly did us good this morning when... I got a little boy, small enough yet to kind of want a Christmas tree, and we had it in the room. And this morning, go under there, I found several gifts from my church here, and my friends from around different places, that had come in, laying under the tree. And I don't have words to express to you what I, how I appreciate every one of them. And may the God of heaven bless you richly is my prayer. And now...
And us, you know how that it would be, we cannot send back gifts, because I just wouldn't make that much money, you know. I--I make a hundred dollars a week, and I got a big family, and about ten million friends, and it would sure be kind of hard to go around them. But we--we are grateful to you and your thoughts. And I'm sure you understand.

8 Now, don't forget this--this coming New Year's night. Oh, I remember the first watchparty I ever had here in this Tabernacle. I don't guess there's anyone here remembers it. But that was one night the Lord had took plenty of starch out of your pastor. So we're looking forward for a great time then.
And now, just before we pray, I would like to read the Scripture lesson tonight.
And I have been kind of debating with myself today. I--I announced that I was going to speak on tonight, if I got here, "We Have Seen His Star In The East And Have Come To Worship Him." That kindly sound familiar to me. And our good friend, Brother Sothmann here, the--one of the trustees of the church, I was asking him. And he said, "I have the tape of it, Brother Branham. You preached it somewhere." And our precious friend, Brother Leo Mercier here, the tape boy, said, "Yes, about five times." So I--I changed it just a little bit. And instead of preaching on "We Have Seen His Star in The East," I want to speak on the subject tonight of "God's Wrapped Gift."

11 And now, I'm going to read from St. Matthew's Gospel the--the 2nd chapter for a Scripture reading, the 2nd chapter of St. Matthew.
Now when Jesus was born in Bethlehem of Judaea in the days of Herod the king, behold, there came wise men from the east to Jerusalem,
Saying, Where is he that's born King of the Jews? for we have seen his star in the east, and are come to worship him.
When Herod the king... heard these things, he was troubled, and all Jerusalem with him.
And when he had gathered all the chief priests and the scribes of the people together, he demanded... them where Christ should be born.
And they said unto him, In Bethlehem of Judaea: for thus it is written by the prophets,
And thou Bethlehem, in the land of Judaea, art thou not the least among the princes of Juda: for out of thee shall come a Governor, that shall rule my people Israel.
Then Herod, when he had privately called the wise men, enquired of them diligently what time the star appeared.
And he sent them to Bethlehem, and said, Go and search diligently for the young child; and when ye have found him, bring word again, bring me word again, that I may come and worship him also.
When they had heard the king, they departed; and, lo, the star, which they saw in the east, went before them, till it came and stood over where the young child was.
When they saw the star, they rejoiced with exceeding great joy.
And when they were come into the house, they saw the young child with Mary his mother, and fell down, and worshipped him:... when they had opened their treasures, and presented unto him gifts; of gold,... frankincense, and myrrh.
And being warned of God in a dream that they should not return to Herod, they departed in their own country another way.

12 Now I want to take a text out of there tonight, or not from there, but out of the same story in St. Luke 2:7.
And she brought firth--brought forth her firstborn son, and wrapped him in swaddling cloth, and laid him in the manger; because there was no room for them in the inn.

13 Let us bow our heads now for a word of prayer. Holy and gracious God, Who gave us the greatest Gift that this world has ever known of, the Lord Jesus Christ, we humbly come to Thee tonight in thanksgiving, and expressing from our innermost being the deep adorations of our heart to Thee for this marvelous Gift. We have nothing to give in return. And it was very little that You asked, just, "Come unto Me, all ye that labor and are heavy laden, and I'll take your burdens and your sins and set you free." Oh, what an exchange. No one could do that but Thee, our Father. And we thank Thee that Thou has did that for us. And we are Thy witnesses in this hour, that You take our burdens and sins, and give us joy and peace, instead. How thankful we are for, Lord, this inner Christian experience, Christmas in our hearts. We are so glad for this. So happy to know that we're living at the end day when we see the signs coming again like it was in that day, of His approach. We humble our hearts in Thy Presence. O great noble One, let Thy Spirit reign supremely in our heart in our lives, and strengthen us from the inside out, that we might be servants of Thine in this great and dark hour that the world is now facing.
We present this reading of Thy Word, Lord, to be for this one purpose, that out of this, the Holy Spirit might bring together a context that would be sufficient tonight as a Christmas message to Thy people that are waiting. And we are waiting on Thee. Lord, circumcise the lips that will speak and the ears that will hear. And empower and put Life in the words that goes forth, that it might bring us to a better knowledge of the Lord Jesus. For we ask it in His Name. Amen.

16 Writing down many Scriptures here to refer to, and so forth, I was amazed yesterday as I heard that, picked up the paper, and where there is a, what the commercial world calls, "a bumper Christmas," where that there was more money spent this time than ever been spent in many, many years, since way back many years ago. And that the crowds had gathered into Jerusalem, and how that there was a little peace time between the Arabs and the Jews, that they kind of let down their feeling to let the--the pilgrims come into the city again on this season of--of Christmas. I've often wondered why this city was ever chosen, Bethlehem.

18 As those folks sang just a few moments ago, the--the little fellow and his wife, and children in there. I was amazed, watching the little girl, how she was keeping the time with this, some sort of a string harp that she was playing, and how that little fellow was just--just a baby, merely, but yet was keeping the time just with the--or pick on this harp. I suppose it was called a harp. Now, and then I...

19 Thinking of Bethlehem, and why did it happen to be that it was chosen to be the birthplace of the King of kings? And, you know, Bethlehem is a small place, very small town. I've often wondered why God didn't choose a more religious place for it, for this great event, such as Shiloh. Shiloh was the first place the tent--the ark was set after it crossed Jordan. Or Gilgal, another great religious city; or Zion, on the mountain, another great religious city; or even the proud capital of Jerusalem, with all of its sages and saints through the age. Why didn't God choose Jerusalem?

20 Why would He choose Bethlehem? Maybe it looked like He might've chose some place, one of the great cities of refuge, that would've protected His Son in case that some trouble come up. The refuge places like Ramoth-gilead, that was a great refuge that was built, for the people could run into these towers. Kadesh was another great city of refuge; Hebron, another great city of refuge.
Why God picked on little Bethlehem, and then did not choose these greater cities...?... They had greater names, and more of a spiritual background.
But, you know, God has a way of doing things, just His Own way about things. I'm so glad He does. See? Sometimes He takes things that doesn't have a spiritual background, or doesn't have any background at all. And that's why He is God; He can take something that's nothing, and make something out of it. And then that's what makes Him God. That's what makes us love Him. That's what makes us poor people appreciate Him, because that even though we, poor, with no background, yet God can do great things with us if He ever gets us under His control.

23 Joshua, of course, was the one who taken the children of Israel over and divided up the ground. And this tribe of Judah was given this portion where Bethlehem is, which is in the upper northern corner of the province of Judah, a little strip that kind of runs out like a little peninsula. And in this place, this province, this great province, it's the northern wheat country, where the wheat belt was, where they raised lots of wheat and barley.

24 And one of Caleb's sons established and founded this city. Salmon was his name, he was one of Caleb's sons. If you want to look that up, I'm skipping over a lot of these Scriptures, but I see some of the brethren are putting them down. In I Chronicles 2, 15, also you find it in Matthew 1:5, and where they--he established and founded this great city, which was a small city. But it's great because of the great things that happened at this city.
As I've always said, it isn't the great church; it's the great God in the church. It isn't the great, holy mountain; it's the great Holy Spirit that was on the mountain. It isn't the holy man; it's the Holy Ghost in the man.
See, that's the way this city was. It was small in stature, and more in the valley, and it wasn't too much to look upon; it's population was small, and is yet today. But it was because God chose it to do something. That's what I like: something that God chooses. No matter what it looks like to people, just as long as God chose it.

27 Rahab the harlot, that we're all familiar with, she being a--a young girl that was turned on the street by a heathen father and mother, that put her on the street because she was beautiful, and was to bring an income to them on prostitution... And yet, down in this immoral girl that was turned on the street, she had heard that there was a God Who answered prayer. And the first opportunity that she got to accept that God, or do something for Him, she did it. And God spared her life, and saved her father and mother, and her family. She fell in love with a general in the army of Israel, we find in history, and married this general. And their courtship was wonderful. And finally they settled down and lived at Bethlehem.

28 And through this general she brought to the world a--a son, the son of--of--of... I can't think of the general's name just now. I was trying to. I thought I had his name down here, but I don't. I have her son's name, but it was Rahab's son to this general. His name was Salmon. Not the Solomon of the... built the temple, the son of David, but another Salmon. And this Salmon brought forth a son whose name was Boaz. And Boaz, oh, we are all acquainted with that wonderful story of Boaz and Ruth.

29 Now, you see, this harlot was a Gentile, and she was an ancient grandmother to our Lord Jesus. And also when--when Boaz, her grandson, come forth and married Ruth the Moabite, he also married into a Gentile. Which made Jesus also part Gentile, earthly speaking. Then when they brought their child forth, his name was Obed. And Obed had a son, and his name was Jesse. And Jesse had a son whose name was David. All this taken place in little Bethlehem. What is it? The lineage of the Lord Jesus, His background that the great spiritual men were overlooking, or the so-called spiritual men.

30 And it was on this same grounds that Samuel the prophet anointed David to be king over Israel, right here at Bethlehem. And through David came forth the great Son, "Thou Son of David," the Son that was borned in a little stable manger over by the side of the hill, on the west side of the city. It was there on that hill where the Angels of God sang their first Noel.
The word "Bethlehem," let's break it down. "B-e-t-h" means "house." "E-l" means "God." "E-l-h-a-m" means "bread.": "the house of God's Bread." How fitting it was then for the Bread of Life to come out of Bethlehem, "House of God's Bread." Oh, it's a beautiful story.

32 It must've been just a little after dark, and the sun had gone down. The stars probably had been out, and the light was about two hours gone as the little donkey was placing his little, tired feet up along the backside of the hill west of Bethlehem, as he watched where he placed his little hoofs, because his cargo was precious. And Joseph was leading him gently along, as the little trio started up the hill, or been traveling all day long, coming from down to Nazareth. And she was expecting to be mother at any time, way past due, maybe.

33 But all things are foreordained of God, that works together for good to them that love Him. It was ordained of God that there should be a heartless king in that day, the bloodthirsty Herod. God knew about that. God knew about the taxes, and how this brutal government did not have no thoughts of the mercy on that poor mother that was just about to be ready to deliver her firstborn Son just in a few days. But he commanded that they all should come to their native birthplace and pay taxes, "No matter what condition she's in, she's got to come, anyhow." God knew all about that. He foreknew all things. And He--He knows all things (See?) and He makes everything work together for good.

34 The little trio was making no fuss about it, as they come up the hill. Finally, after much groaning, the little donkey... I can see them as they'd stop at the top of the hill, where they come up from the west side, from Nazareth, coming over. And after they topped the hill, to look down into the valley where little Bethlehem laid... Many torches was burning. Many people had gathered from all over Galilee to come into their birthplace there at Bethlehem, and through the province to be taxed of the Roman government. No matter what conditions, they'd stroll along the road, the sick and the needy, and the bedridden, the leper, the cancered, the--the--the--the poor, the lame, the halt, the blind. All had to come, because it was a government order. And Herod was behind it, and it must be done.

35 And as our little party stops at the top of the hill, there must've been a large rock laying there. And I can see Joseph pick her up tenderly in his arms, and help her off the little mule, and--and set her up on the side of the rock. And the little mule sighed for his breath. And as Joseph then walked a few steps forward, looked down into little Bethlehem, and seen the streets crowded, and the roaring, the torches a-burning in the streets, and the yells of the people, and they was laying in the yards and in the courts, and all outside the city gates. Must've been some sight.

36 Joseph must've said something like this, "Mary, dear, just think, just beyond the city on the north side, that's where Ruth the Moabite gleaned yonder in the fields of Boaz. Yonder, just beyond that, up over the mountain yonder, is where David with his slingshot took the lion to the ground, and pulled the sheep from his mouth. Must've been there, that where Joshua stood here with his gleaming sword, the fearless warrior of our people, and divided the lands, and give this inheritance to the tribe of Judah, to which we are--we are lineage to." And, at different things, of how that he must've been explaining to her what taken place.

37 And then to hear no sound from behind him, he must've turned to look, to see if she was still setting on the rock. And when he turned, and he seen her pretty face turned towards the skies, he didn't have to ask anymore, because the reflection of the Star was looking back through her eyes. He knew she was looking at something.
And she looked at him, and said, "Joseph, have you noticed the Star hanging yonder?"
And when he looked in a surprise, say, "I hadn't noticed It before, dear."
"Well, it's been following us ever since the sun went down. I've watched it. It must mean something, because I have the most wonderful feeling."
You know, God does things like that sometimes for His people, shows us a Light, or some way that we can know that He's near and He's on the scene. And no matter what the world has to say or do, He's still there, and everything will be all right. He just witnesses it back by the Holy Spirit, that we can feel It.

42 And Joseph might've said something like this. "Mary, you know what? I've never been so happy in all my life when I've been drove around by the Roman government; but yet I have never been so happy as I am right now, and I don't know why. It seems like there's a sacredness over the little city tonight, where we roamed when we were boys and girls, back in our teenage and school age."

43 Way into the East, and many hundreds of miles away from there, the Magi was already on their road. They'd seen His Star, and was coming to worship God's little Gift Package that He was sending to the world.
Just a little while from then, and the world was going to receive its greatest Gift that it ever received, a little Package wrapped up, a little, first little Christmas Package that was ever wrapped in all the world, God wrapped It up.
I want to break in on my thought, and say this. The greatest thing was ever wrapped in human flesh was wrapped in It, God Himself wrapped His Ownself in a Christmas Package and sent it to the world.
Why did they refuse It? Why couldn't they see It? Why did they turn It down? Why is it they didn't want It? The same reason they don't want It tonight. It wasn't handed to them in the custom that they were used to gifts being handed. That's the reason It's rejected yet tonight, is because It's not handed to the people in the custom that they have been used to receiving gifts.
But God wrapped His Own Package. He's got a right to do it; He's the One that's a-giving It. He has a right to wrap It any way He wants to wrap It. Doesn't make any difference how it is, He's got a right to do it, because He's the One that's giving the--the Gift.

47 Another thing, the reason of it was, as it was then, so as it wasn't customary for them to receive It the way It was wrapped. They was expecting something, a gift coming, that would come down on chariots, with a Angel escort driving fiery horses. But when It come as a little Baby being born in a manger, little did they ever know the Scripture said, "I'll give this world a super sign."
They asked for a sign one day. He said, "I'll give it to you. It will be the super sign. It'll be a sign that'll last through all ages. A virgin shall conceive and shall bear a Child, a Son, and they shall call His Name Emmanuel. That's the super sign. That's the Gift that I'm going to give." But It didn't come the way they was expecting It, and they turned It down.

49 So is it tonight, my brother. God's Gift hasn't come the way people wanted It to come, and so they turned It down. They don't want It. They want It wrapped in the kind of a goods that they want to wrap It in. They want the tinsel on It. They want something flowerly, something that's perfumed, something that's glittering, something that's classic. But God don't send It all the time like that. He sends It in the power, the way He wants to send It.

50 Another thing, It was brought by the poor. Mary and Martha, or Martha, rather, or... Mary and Joseph was very poor people. They were peasants. And because It was brought by the poor, they didn't want It.
So is it today. When this great Gift of the Church, the Holy Spirit, falls upon the poor and humble, the rich don't want It. They don't want to humble themselves. They want It with class, but they don't want It the way God sends It. Many people wants to receive the Holy Ghost, but--but they want to get It the way they want It. But, oh, I'm so glad that you can't do it that way. You have to do it the way God sends It to you, and humble ourselves to receive It.

52 It wasn't wrapped in fine linens. It was wrapped in swaddling cloth. Which I'm taught that the very thing that Jesus was wrapped in, the Christ, was the stuff off the back of a yoke of an ox, that was hanging in the stable. He was wrapped in... The swaddling cloth was the--the--where they put the--a rag around the ox's yoke to keep it from rubbing a blister on him when he was pulling. They--they had no clothes for Him. And they... Oh, when I think of that, it nearly breaks my heart: no clothes for Emmanuel, the Creator of heavens and earth. And no clothes for Him to put on, and had to be wrapped in the rag that an ox had worked his neck through. Oh, what a super sign.

53 It ought to be real attractive to the people. Little Jehovah crying like a baby, God made flesh in a Package. God, Who covers all space and time, was before there was a world, or a star, or a molecule, wrapped Himself in a little Package and was laid in a manger in a stable, where the manures of the cattle and sheep, and things up over that stable, and in this little manger, on straw or hay. Jehovah was laying there, crying like a baby. Can you imagine it?

54 Why, the rich didn't want nothing like that. That would pollute their own thoughts, anything so humble. And would be brought by a girl, a little peasant girl that was considered in her neighborhood, a--a fanatic, and by a carpenter who probably knowed his abc's. And how could they ever bring forth anything that could tantalize or appease the eyes of the celebrity? How could they ever produce something that would please or satisfy the rich and high-minded people, or the denominations of their days? They were turned down flat.

55 Not only in that day, but in this day also, they turn It down flat. It don't come wrapped the way they want It. They want to--to discard It, say, "There's nothing to It." So the rich and the denominations refuse that Gift. They had nothing to do with It. Why? Why would they do a thing like that? It wasn't wrapped in the custom of their creeds. That's the reason why today that they don't want the Gift of God. This United States don't want God. These churches don't want God. They want Santa Claus. They want something with tinsel and red colors, and--and--and--and bright, shiny things. They refused the Truth of the Gospel of the power and the resurrection of Christ Jesus. It won't wrap with their creeds. You can't wrap Christ in a creed.

56 I was listening this morning, as I was going down to mama's early, turned on the radio, and a--a church was quoting or saying the--what is called the Apostles' Creed. There is no such a thing. The only creed the apostles ever knowed to had is found in Acts 2:38, "Repent, every one of you, and be baptized in the Name of Jesus Christ, for the remission of your sin, you shall receive the gift of the Holy Ghost." That's the only creed I ever seen in the Bible they ever used.
This other one is a manmade creed. And you cannot wrap Christ in a Presbyterian creed, or in a Baptist creed, or a Catholic creed, or a Pentecostal creed. The only one thing that Christ will be wrapped in, and that's your heart, not your creed. He wants your heart. He's got a control tower there that He likes to work with you, bring you to Eternal Life. He just won't accept; and you cannot wrap Him in creeds. You can't then, you can't now, you never will be able to do it.

59 So they could not receive It because they thought more of their creeds than they did of the Gift. That's the way it is today. People can't accept speaking with tongues in their church; it would ruin their creed. They can't accept Divine healing, the baptism of the Holy Ghost, and such great evangelical doctrines of the Bible, apostolic truths. Why? Because their creed condemns It. Oh, how foolish to take the paper the Package is wrapped in, and throw the Gift away. Like the moron, he took the box and accepted it, and throwed the gift away. That's the way the church is, and people do today, they forget that the Gift of God is Eternal Life through Jesus Christ. He's rejected as much today as He was then. This Christmas night, He's just as much rejected as He was the first Christmas night. They cannot do it, because it disagrees with their creeds. All down through the ages we've had the same thing.

61 No wonder there was no room for Him in the inn. No, wasn't wrapped right; It wasn't wrapped, the classical paper around It. It was wrapped as a Gift, as a Gift from God, sent from God, a God that they didn't know nothing about. They claimed they did. And they claimed they was looking for Him. But He did not come in the way that they thought He was coming, according to their creeds, and they could not receive God's Gift. He was wrapped different. He was wrapped up like a baby. He was borned in a manger. He come from poor people. He come from a bunch of fanatics, so how could they receive something like that? No wonder there was no room for Him in the inn.
There's no room for Him yet, in the churches. They oust Him. They don't believe in It. They'll say, "Away with such a thing. It's fanaticism. We want nothing to do with It. It's against our fathers' doctrines, the doctrines of this church, the doctrines of our creeds of our forefathers." Therefore, Christ is just as rejected today as He was back there. There's no room tonight in our good churches, our big churches, our fine churches. There's no room in our religious circles today for a Holy Ghost meeting. They don't want It. It--it belittles them in the sight of the classes of the country. It belittles them to think that they'd humble themselves to come down to an altar to cry and to tarry there until they're filled with power from on high, to rise up from there with newness of Life; to let women let their hair grow out, and act like women ought to; to make men throw away their cigarettes, and to quit their drinking, and treat their families right. It's too much for them, so they hold onto the creed of their church instead of receiving God's Gift, God's Christmas Gift.

63 They'd rather have a creed than they would the Gift. They'd rather have the paper than the Gift. They want the paper, sure, something that's all tinsel, and a lot of fuss they can do about it. But the real Gift that's on the inside of it, they don't want It.
See, He was wrapped then in a dirty cloth, a swaddling cloth. And He's wrapped today in the same thing, which they call holy-roller, fanaticism, a bunch of heretics. It's wrapped up in swaddling cloth, and the world don't want It. Oh, I'm so glad to raise that cloth off and look what's laying underneath it: Eternal Life, God made flesh and dwelt among us.

65 No, they didn't want Him. It interfered with their religious circles. To receive It today, It interferes with them. Oh, if somebody would raise up in the church, and start shouting or praising God, or somebody say, "Amen," like this group of ministers here or something, or in the audience, quickly an usher would lead them to the door. And if you had your name on the book, it'd be quickly taken off. See, God don't have a--a chance.

67 If the President-elect Kennedy would visit this city here, the flags would--would fly, and the--the tinsel would fly, and the--and the carpets would be rolled out, and--and such a welcome you--you never seen. Which that's all right if they want to do that. He's the elect-President in the United States, but if he'd come, they--they'd do all of that, and they'd give him the greatest welcome, and think that he humbled himself to come to such a small city as Jeffersonville, Indiana, when New York and the big cities are calling for him everywhere just for a moment of time, to speak with him. If he'd come to Jeffersonville, to a poor city like ours, how they would put on, what we call "the dog." And they'd do everything and--and dress up the streets and--and do everything to make him welcome. That's all right, if you're a politician; that's all right.

68 But Jesus can come in the form of the resurrection of His power, can come in the Holy Ghost, and can show signs and wonders, and every newspaper will criticize It. The people will call It holy-rollers. They'll say, "The people's crazy." No wonder we're got an atomic bomb with our name wrote on it. Spurned mercy, there's nothing left but judgment. Oh, they will not receive It. They wouldn't then; they won't now.
Why didn't they do it? Just want to ask, why didn't they give and ac--accept God's Christmas Gift? Why didn't do it--they do it? If it's just a gift that they could've looked at, and It would fit in their society, It would've been all right. If our...

70 If this Holy Ghost religion would fit in people's society today, they'd take It. But why don't they take It then? Because they think more of their society than they do of Christ. That is true.
You say, "You're speaking awful hard about Him."
I'm taking up for Him. He's my Lord. I have a... I--I--I'm His servant; I have a right to scream out against that wicked thing. That's right. And Christians believe that, and know that, and accept that, and know it's the Truth.

72 Why was the reason they didn't receive this wrapped Package? They knowed what was on the inside of It, and they didn't want It. That's the reason the churches and people today, and the governments and the lands will not receive God's Christmas Present, is because they know what's in It. They don't want It. It'll make women act different. It'll make men act different. You'll have to bear the name of a fanatic. You'll have to take the way with the Lord's despised few. You'll have to clean up your life. You'll have to quit your meanness. You'll have to stop doing wrong, cheating, stealing, lying, committing adultery. You'll have to stop these things. And the people don't want It. Although they may know It's right, but they don't want It. It brings too much Truth to them. It uncovers their sin, so therefore, they don't want It, don't want nothing to do with It. "Keep away from It."

74 That's the way it was in that day. They knowed what was wrapped in It, so they said, "Away with it." They don't want it. It's the same thing today, never wanted It. And they don't want the Holy Ghost today, is because they know what's wrapped in It. They can watch a--a person receive the Holy Ghost. They stand out there and see that that woman, maybe a--as low as she could be, till even the dogs will hardly look at her; see that woman come up from that altar a new person, to see that woman clean her life up, get out and act like a lady. See one that runs to bridge parties, smoke four or five packs of cigarettes a day, hang around the saloons, a regular barfly; and they know if they ever accept this Gift of God, that's wrapped in the Package called Jesus Christ, It'll spoil every bit of their worldly fun, 'cause He won't stand for that. It does something to them; It changes people. People don't want to be changed. They'd rather, "Let me alone."

76 It reminds me of that demon-possessed man, that Jesus went over into Gadara, and there was a man over there had two thousand devils in him, and they said, "What have... What have we to do with thee? Why do you come here? Leave our lands; we don't want you here." They wanted to be left alone. The people felt better at home with the devils, than they did with Jesus, so they said, "Go on out of our land; we don't want You over here."
Poor old Legion, he was the only one of them that--that wanted help. He always comes to those who wants Him. He comes to those who needs Him. So he was the only one was helped. I've often thought, when I get to heaven, I want to see how much--how much weight his testimony give on hog raisers over in Gadara. If it was going to cost them a herd of hogs, they didn't want no revival.

78 If it's going to cost people anything, they don't want nothing to do with It. That's the way it is today. If It's going to cost you your bunco parties, big times, your cigars, your dirty jokes, all the filth and things of the world... The reason they don't want It, It'll cost them something, your big society name with a lot of glitter on it.
But It'll give you a name written in the Lamb's Book of Life, that fadeth not away. So you must take your choice; you're a free moral agent. Oh, receive God's Christmas Gift is my--my prayer for you.

80 Yes, they don't want It, because It does something to them. Or did the government, the government didn't want Him. Herod didn't want Him. No, sir. Because why? He was going to change his program. And the government don't want Him today. We're supposed to be a Christian nation.
Why, the U.N. don't want Him. They'll take every other idea in the world besides His, but never offer prayer. There's no prayer at them sessions. They just go in there and "dog eat dog," as the old expression is from the street. They don't want Christ. He'd have to change their program; therefore, they don't want Him. They didn't want Him then; they don't want Him now.

83 The churches didn't want Him, because He disagreed with their creed. He told them that they were, said, "You generation of vipers, you whited walls." He called them everything that could be taught of. Told old Herod, said, "Go tell that fox." And what's dirtier than a fox? What's more stinking and lowdown than a dirty old fox? Jesus said, "That's what he is." So He--He--He called black "black," and white "white." He--He--He called wrong "wrong," and right "right." So they didn't want that.
The churches today don't want a pastor filled with the Holy Ghost that'll really boil out, and tell you what's right and wrong. They don't want it. They'd fire him, right quick. Deacon board get together and turn him away, get another one will talk about their creeds.
Brother, I know no creed but Christ, no law but love, and no book but the Bible. That's what we need. That's what the churches need.

86 But the--the--the people don't want It. So they got the church so wrapped up in these denominations till they can take a trustee board or a deacon board and turn a good pastor any way they want to. But they can't turn God, that's one thing sure, God's going to remain God. They won't welcome Him. They welcome their--their friends and their politicians, and so forth, but they won't welcome Christ.
They'd rather have Santa Claus anytime. The world's took over; Santa Claus has took over. Well, you know, little children don't even know no more what Christmas means.

88 They don't know what Easter means; it's a--it's an Easter bunny, some kind of a rabbit or a little yellow-colored chicken, or something. What's God, the resurrection, got to do with a chicken, the dirtiest bird there is? What's any more filthier than a chicken? And they--they put it in there to take the place of Christ.
What's any more of a myth than Santa Claus? Never was such a thing. Telling children lies, you'll be responsible for it at the day of the judgment. Yes.
No wonder people don't know what to do. They're... They--they just don't want the real thing. They'll take anything artificial, but they don't want the real thing. They don't want the gifts of God. Oh, my. Certainly. They don't want Jesus; that's one thing.

91 I got wrote down here one reason they didn't want Him, is because that when He went into their temple, and He found their filth in the temple, He turned over the tables and run the money-changers out. He cleaned it up.
And if they would ever let the Holy Ghost get into one of these big churches around here, He'd clean it up. So they can't accept It. You see? It'd make them quit gambling, make them stop them rock-and-roll parties, putting their picture in the paper, as beatniks, like a Methodist preacher did down here in Howard Park, Clarksville. Got a brother setting here now, if he didn't comb his hair down for him. Any man, servant of God, put his picture in the paper, have a beatnik party of a thing in the church... If John Wesley knowed that, he'd turn over in his grave. Why? They turned down the Christ that John Wesley knowed (That's right.) and accepted a beatnik. They got a beatnik religion. They got beatnik children, beatnik papa, beatnik mama, beatnik President, and just a-rolling on, and so just keeps on going. Oh, what a disgrace. Why? They refuse the real.

94 God said He'd give them over to strong delusions to believe a lie and be damned by it. God said He would do it. You refuse right, you have to take wrong. There's no other way. You refuse to go right, you have to go left, go some other way beside right; so you can't go right and wrong at the same time. When they refused the Holy Ghost, they refused Christ, they refused God's program, they refused the messenger, they refused everything; so therefore, they're left in their sin. There's nothing left then but judgment. Brother Ben, that's right. Just that's exactly right. They have. They've refused Christ; they've refused His program; they refused His Spirit. He's tried for fifty years, that the Holy Ghost has been falling in America; they've refused It for fifty years. And tonight it's blacker and darker than it ever was.

95 And even upon those It fell on in the beginning, their children has organized and denominated it, and wound it into organizations, till they're refusing the very God that their fathers received. They claim they're Pentecostals. Oh. No, doesn't make a sow a horse to live in a barn. No, indeedy, no more than it does to make a Christian out of a man belonging to a Pentecostal church, Baptist, Presbyterian, anything else. He's still a sinner until he's converted. And when he's converted, he's borned again of the Spirit of God and changed over; and he's accepted Christ, and the Holy Ghost has come in and made him a new creature, a new creation.

96 Then... They refused It then; they refuse It now. He'd turn over their money tables. He'd turn over their trustee board, their--their pastor board. They--they wouldn't, He'd... They'd get a board, all right. Oh, what a difference there'd be if He come into the churches today. But He can't get in.
We found Him the other night in this church age, ousted out by His Own church, standing at the door, knocking, trying to get back in again. A merciful Father, after being kicked out by His Own people trying to get back in His church again. He said, "I'm the One that walks in the midst of the seven golden candle sticks." And on the last church age, here He was on the outside. They kicked Him out. Whereabouts? In this Laodicean age. Standing again, trying to get back in again at His Own door, to His Own church. What a pathetic thing. That's one of the most pathetic pictures that the Bible paints is that 2nd chapter of--Revelations the 3rd, rather. How that it is the Christ, ousted...

98 There's another pathetic thing. I think one of the most pathetic Words that Jesus ever said, was when He said, "Father, I sanctify Myself, that they might be sanctified." In other words, He had a right; He was a man. He had a right to a home; He had a right to a family. He was man, as much man as you are or I am, as much human in His manhood as we were. He had a right to it. But He was training twelve men that was going to take the Gospel to all the world, so He sanctified Himself for their sake. "I sanctify Myself for their sake": a Gift of God, keeping Hisself sanctified.
Oh, gifts of God, you people who claim that you've received His Spirit, keep yourself sanctified (Yes, sir.); keep away from the things of the world; be sanctified. Oh.

100 Who did know what was in this Gift Package? Was there anybody ever found out what was in It? I'm so glad that there was. Who knowed it? It was a hidden Thing, a rejected Stone, but there was somebody found out what was in it. I'm so glad.
I like to search out things. Don't you? I like to dig up nuggets and polish them over, see what--what's in them, put them before the Geiger.

102 He was put before the Geiger too on Calvary. He was a hundred percent. Sure, He was, the greatest Gold that they had ever found, the most expensive Diamond that was ever, ever... The--the Bible said that, "The Kingdom of heaven is like a man that buys diamonds. And when he found this great One, he sold all his other ones, and just to get It, to buy It." He's the greatest carated Diamond that was ever brought out of the dust of the earth, the greatest Gold that was ever brought from the dirt. He's a Jewel, the Jewel of heaven, a big Diamond.

103 When a big diamond's found in South Africa... I've been through the--the big diamond mines at Kimberley. And they take those diamonds, and then when they get them out of the dust, raw, then they chip them. And the reason they chip them, cut them, is to reflect light; put lights off of that, the carat of that, showing you what carat there is in that diamond. If it doesn't have a lot of fire and sparkle, it's not much diamond. But when it's got... It's glass. But when it's a real diamond, a real carated diamond, it'll reflect and show different colors.

104 That's what He was; He was a Diamond. "And He was wounded for our transgressions; He was bruised for our iniquity. The chastisement of our peace was upon Him, and with His stripes we were healed." Oh, them rays of God's love and Light reflects from Him healing power, love, resurrection. God wounded Him, and bruised Him, and chopped Him, and cut Him by a Roman sword, and a--and a--a Roman whip, until His sides was riven, and the Blood running out of His back, and was over His head, and down through His beard, and off of His feet. But what was He doing? He was reflecting love. He embraced the cross; instead of a soft, feathered pillow; a manger of straw. Instead of a little, pink gown to wear; a swaddling cloth.

105 Oh, brother, can you see what the depths of love is? I was speaking to some people in my home the other night. No one could ever tamper with how deep God's love is. That, "Oh, love of God, how rich, how pure!" That last verse, or the first verse, I believe it is, was found on the wall of an insane institution.
If we with ink the ocean fill,
And were the skies of parchment made;
Every stalk on earth a quill,
And every man a scribe by trade;
To write the love of God above
Would drain the ocean dry;
Or could the scroll contain the whole,
Though stretched from sky to sky.

106 Think of the stalks that's been on the earth, making quills, and the billions of men, scribes by trade. To write five little letters, l-o-v-e, I mean four little letters, "love," the love of God, would drain the oceans dry; when, four-fifths of the earth's in water. When I stood yonder, Mount Palomar, and looked through that glass, could see a hundred and twenty million years of light space; or could the scroll contain the whole, though stretched from sky to sky.

107 The love of God, how God unfolded Himself and come a Christmas Package, was laid on straw. The first thing He had was to press against His little head was straw and a dirty piece of swaddling cloth wrapped around Him. The last thing He had was a thorn crown with a dirty rag wrapped over His eyes, and hit on the head, saying, "If you're a prophet, tell us who hit you," and then tacked to a cross. Love reaching out, when His Own children crying for His Blood, He screamed, "Father, forgive them, they don't even know what they're doing." That's love.
The church don't want That. They want creed. We need love. The church is dying by creeds. It can only live by love, because love is Eternal Life. Love overcomes all things. Love's the most powerful force there is. No, they didn't want Him, because they knowed what was in the Gift.

109 But some of them had it revealed to them, what--what this Gift was, what was in It. Some of them looked into It. I believe the first ones to look into that Christmas Package, you know who it was? I believe it was Angels. The Angels knew it. It was revealed to them. They knew it, because they come out on the hillside.
Perhaps, the little Mary setting up there, tired, dusty, a poor old shepherd boy come by, stinking like sheep, seen that little mother setting there in that night, gleaming something. Just like people today can see that there's something fixing to happen; tremendous times, people don't know which way to turn. Maybe an old shepherd boy came by and seen that little mother. Something struck him; he said, "I have some cool water here in this flask, would--would you want just a drink?" And the little family thanked him; the little to-be-mother taken the drink of water.

111 And maybe that was one of the little shepherds a-laying on the hill that night, when down in the stable, where a little Baby was crying... Oh, and the world, there was no room for Him; nobody wanted Him. But in that same time, a shepherd out on the hill, the Angels came down and begin to sing the first Noel, "Today in the city of David is born to you Christ the Saviour." It was revealed.
That's the only way anybody in the world will ever know what's in that Package; It has to be revealed to you. You'll turn It down and say it's a--it's a fanaticism; but when you get the revelation, you'll seek for it, you'll open up. And God will come in and sup with you, and you with Him, when you're ready to open the door and let Him in. That little Package knocking at your heart, the greatest Christmas Gift was ever given, the first One and the greatest One, that little Package knocking at the heart of a man, "I'll come in and sup." You'll never know It until It's revealed to you. When It's revealed to you, then you'll go to hunting for It.

113 When you see that It's Life, and the only way of Life, when you see that your church is dry and dead, when you see that your--your handshake with a pastor, or you sprinkle out of a salt-shake, has nothing to do with It, then you'll go to investigating.
When you're laying on the bed, dying, and the doctor says, "There's nothing left for you, you'll be dead in a few minutes," you'll want to look into that Package then. Look into It tonight. 'Course It'll be turned from you then. The Bible said, "If you reject Me in your days of health, like you are now; when the calamity comes, I'll only laugh at you," so you'd better investigate the Package tonight.

115 What's all This about? Lights, sacred Lights coming from heaven, having pictures taken, great signs, discernment, powers, speaking with tongues, interpretation, telling things that's forecoming, power of the Gospel, healing the sick, taking the cancers and healing them, blind eyes opened, all these kinds of things, what's it all about?
"Well, it's a bunch of holy-rollers." Be careful, that's swaddling cloth. It may be.
So did Balaam. How did he think that God wouldn't curse a people like Israel? But he failed to see. He looked at the swaddling cloth instead of seeing the smitten Rock and the brass serpent that was going before them to make an atonement.

118 So is it today. Instead of seeing the power of the Holy Ghost doing His signs of the Messiah, and the wonders among the people as He promised He would do in the last days; as He said, "As it was in the days of Lot, so will it be in the coming of the Son of man."... When He begins to do those signs and wonders amongst the people, showing Himself alive, what is it amongst poor and humble, the poor people? They going call it fanaticism, cast it out. Better investigate 'fore it gets too far on you. Yes.

119 These stinking shepherds, the people would hardly have them around. They laid out here and slept with those sheep, and on--on the same pallets they did, and on the same ground, rather, and--and tended to them, till they--you could smell them just like the sheep coming.
Anyone knows that a shepherd that herds sheep, lays right down in the door with the sheep, lays right down among them. Jesus said, "I'm the Door to the sheepfold." I often wondered how that was, till I was in the holy--Holy Land, or the orients, rather, and found out that how the shepherd puts the sheep on the inside, then lays down in the door. The sheep can't get out without crossing over him. The wolf can't come in without crossing over him. He is the door.

121 I'm glad that Jesus laid down in the door of our heart. We can't go out, or do anything, without Him knowing it, or nothing can come in without Him knowing it; so He'll make everything work together for good to them that love Him. It ought to make us cry, and shout, and praise God, and say, "Thank God for a Saviour, a--a--a Shepherd that'll lay at the door of our heart, and warn us when anything's coming up, be ready for it." Yes.

122 Way across the country was some humble wise men, they was called Magi, "stargazers." When I was in the east, not long ago, they still set the same way. They're a very poor type of people. They go in threes. They set right in the street. Billy and I, there in India in back in there is where they come from, India. Now, they said, "We have seen His Star in the east." They was in the east when they saw the Star. Jerusalem's west, so Palestine was west of--of India. So they saw His Star while they were in the east, and come to worship Him.

123 Now, these Magi, they never set down flat; they just hunker down, and they set there through the daytime. At nighttime they got a big tower, and they go up there and stay at this tower. And they burn fires, and talk about the countries, the fall of kingdoms, and the--and the diminishing of empires. And they--they'd worship one true God. That's right. They are--they are believers; they're Mohammedan. Really they sprung from the Medes-o-Persians way back in the days of Daniel. And they are... They...
And Peter said in Acts 10:35, that he perceived that God was no respecter of person or nation, but He... all in every nation that would fear Him. And any man who'll fear God... Look at those Magi over there, seeing the Star Gift of God, and recognized It, before the priests in the temple at Jerusalem, among the religious people. Amen.

125 The Magi, I can see them setting around that sacred fire one night. (Have we got just a little time? Yeah.) Setting around that sacred fire, talking, then they'd go up. Oh, they studied the heavenly bodies; they were well acquainted with all of them; every move, they knowed about it. So one night while they were setting there, maybe singing hymns, and they'd go up on this great thing and study. They knowed every star, where it stayed, knowed it by name, 'cause they studied the heavenly bodies. And no wonder that a Stranger amongst that heavenly body stirred them. "Well," they wondered, "what's this new Fellow up here?" Oh, my. "There's something new that's happened, It's supernatural." That... What did it call to? Back to the Scripture.

126 Now, they knowed of the Scriptures, 'cause Daniel was their chief. You know that. Second chapter of Daniel tells us that he was made chief over them, so he taught them. No doubt, one night they was setting there, reading in the Scriptures about... "And Daniel said, as he beheld all these kingdoms, till finally they become into what they was, each, the Medes-o-Persians and on down till it come into Rome. And then finally he saw a Stone cut out of a mountain, without hands." And they said, "It must be about that time." Then they remembered the rehearsal of--of way back in before that time, way back in the days of the journey of Israel, when they come up and heard Balaam say, when he seen Israel, he said, "There'll rise a Star out of Jacob." Amen. It must've been about that time when they was thinking about those things, that the new Visitor appeared.

127 It's usually when you keep your mind on Christ that He comes to you. It's reasonably, usually at times when you're thinking about Him when He appears. You know, when you're thinking about getting right and doing something right, that's when He comes to you to help you.
And it must've been about that time, and they--they must've looked up and seen this new Visitor. It begin to lead them towards the west. Quickly they started with going westward, leading down across the Tigris river, down through the desert, over through the mountains, down through the sloshes, oh, my. All along they knew that something was happening; there was a supernatural thing had taken place.

129 And where did they come to? They said, "Surely, if this is Daniel's prophecy, that great city of Jerusalem, the capital of the religious people of that nation will all be ready to receive their King. They'll know what it's all about, when we get there. We don't understand, ourself, 'cause we just Magi, poor, humble people. But we've been looking for something, and we see something rise up among us that's a little supernatural." Oh, my. They were ready. Hallelujah. They went out, humble men, to find God's Star Messenger. They was going to follow God's Star Messenger till they come to the perfect Light.

130 Oh, Revelations 20, or Revelation 1:20, said that the Stars of these churches... What we ought to do today is find that Star Light (Amen.) that's reflecting His glory, that's reflecting His power, that's reflecting His Deity, and follow that till we find that perfect Light. "Keep westward leading, still proceeding; guide us to that perfect Light." Oh, just keep moving, no matter what the price is; over the mountains, down through the jungles, everywhere else.

131 And finally they arrived at Jerusalem. And as soon as they got to this great big denominational church, the Star left them. Strange, they thought, "It must be here." So up-and-down the cities they went, saying, screaming in every alley, down through the streets, "Where is He, He that's born King of the Jews? We've seen His Star in the east, and we've come to worship Him. Where is He?"
Strange, they didn't have the answer, right in their own circles. Oh, my, I could almost speak with tongues now. They didn't have the answer. They didn't have the answer then; they haven't got it now. They don't know. The wise men didn't find Jesus in the circle of their religion; he found it outside of the circle of their religion. And the wise men today, the wise in heart, don't find it in these big denominations. They don't know nothing about it. They haven't got the answer. "What's all this Divine healing going on this day? What's all this about tongues and interpretations and prophecies, and the--the Messiah sign? Oh, that's nonsense. There's nothing to that. Don't... There's nothing to that." See, they don't have the answer. They didn't have it then; they haven't got it now.

133 But It did do one thing; it started them to searching. I think our Brother duPlessis kind of taken up on that right now. They gone back, the sleeping virgins, gone back to buy some Oil; but that's when He come, while they were gone after It. So how close are we now, when we see these great churches going back, say, "Well, maybe we've left off something. We better find it"? They'll never get it. Just remember that. They'll never, never get it. They're dead. And they'll dead and dead, and that's all. They'll never come to life. Just remember. I speak in the Name of the Lord, and this is on tape. Yes, sir. They'll never, never come to life. They're done, so that's the reason I'm not interested in them programs. I'm interested in one thing: blasting just as hard as I can to whosoever will, not resurrect a denomination, but bring back a Jesus Christ. Yes, sir. Never in a denomination; it's against God, always has been, always will be, binds God outside, and rejects everything there is that's godly. It'll--never will come to life. So it's no different this Christmas than it was that first Christmas; it's the same thing, them Magi's going up-and-down the city, "Where is He? Where is He?" Oh, my.

135 Let me just stop here for a minute. I got a film. I haven't got it here now, some doctor's got it, Doctor Dilley, a--a--a woman doctor was healed in my meeting. And she's got the tape now, called "Three Minutes Till Midnight." And when we got... Them Jews coming into their nation over there now, right now in Palestine, which was spoke of by the Lord that they'd do it, before His second coming, that they would do it.
A brother here the other day, going to Israel, asked the question, "Can I go over there?" And they refused him. Israel will come as a nation, not an individual. "A nation will be born." It'll come as a nation.

137 But, look, those poor Jews way down there in Iran and different places... You've read it in "Life" magazine. They didn't want to get on them airplanes. They'd never seen in one. They was plowing with old wooden plows and things. They said... Why, the rabbi stepped out there and said, "Wait a minute. Did not our prophet tell us, that when we went back to the homeland, we'd go on the wings of an eagle?" Oh, my. And they come and got in the TWA airplanes, raised up.
The prophet didn't know that they were run by motors. They just looked like big eagles, and they went way in the air like an eagle, so the prophet said, "When you come back..." That was twenty-five hundred years ago. O God, twenty-five hundred years ago when they were took captive by the Romans, and scattered to the winds of the world, He said, "They... I won't forget them. I'll bring them back again. But I'm going to blind their eyes so, the Gentiles, I can take a people out of there for My Name's sake, put My Name on them. And when that day is over, I'll gather them again. And when they return to their homes, they'll come on these kind of things." And Isaiah seen them rise up and come across, and he said, "On the wings of eagles."

139 That old rabbi stood out there, and said that, "our prophet said that we'd go home in the end time on the wings of an eagle." They climbed aboard.
And when they got off down there, packing the old ones, blind and crippled over their shoulders, walking them off, they had an interview with them. I got it right on tape. Said, "Did you come home to the homeland to die here in the homeland?"
Said, "No, we come to see the Messiah."
Oh, brother, what's the matter? And their church hasn't got the answer. What's the matter? We're at the end time, brother, when the evening Lights are shining, the power of the Holy Ghost is back in the Church again, just the same as it was at the beginning. The prophet said, "It shall be Light in the evening time." The church don't know why they're gathering there. They haven't got the answer. The atomic bomb's got the answer for them over there, though. It sure has. But we're in the evening time, the later hours than what we think. Sure.

142 These Magis, up-and-down the street, they didn't have the answer. What happened? What happened? Finally, we find out that they started following This. When It got over there, they couldn't find It. They couldn't find no answer in the city in their religious realms. No, neither do they now. They what? Jerusalem, they didn't know nothing about no--no supernatural sign. "What kind of a supernatural sign you talking about?"
"Oh, we seen a Star when we was back in the east. We followed it."
"Where's it at? I don't see it. Oh, we don't know nothing about that." It was exactly fulfilling the Scripture.

145 But they didn't have the answer in their religious circles. They haven't got it today. "What's this speaking in tongues? What's this bunch of people that rising up, healing the sick, and doing all these miracles and things, and shouting, crying, and all these kinds of things?" Sounds like they did in the Bible back there. "Ah, nonsense, there's nothing to it."
They don't know nothing about the supernatural. Why? Here it comes. They won't follow the Star of Light, the Light Star, God's compass to that perfect Light. Oh, "Westward leading, still proceeding, guide us to that perfect Light, O Star of Bethlehem."
We seen His Star here in the west. Just what kind of a Star? His church Star, the Holy Spirit moving in human being. We have seen His Star, and we've come to worship Him. Amen. That's what it is, wise men, wise women, humble in heart, we have seen His Star and we've come to worship Him.

147 Oh, they didn't know nothing about the supernatural things; they didn't know nothing about Lights and things; they--they know nothing about It. It stirred them, sure. It's the same today. They didn't know nothing about It, though, the religious circles didn't. Neither do they know anything about It today. Notice, I like this, oh, this is what's fine.

148 As--as long as they was in them denominational realms, the Star never did appear to them. It went out at the gates of Jerusalem, and stayed out (Brother.), stayed out, as long as they walked through those denominational realms. "Where is He? Surely you pastors ought to know something about It. What's This all about, you rabbis and you priests? And you, you Methodists, Baptists, Presbyterian, Catholics, and you old churches like that, surely you got an answer for it. Where is He?" Oh, my. See, they knowed nothing about it. And them that were in there, stayed in the darkness till they come out of it. And as soon as they got out of the city, there stood the Star again. Glory.

149 "Come out of her, My people," said the Lord. "Come out of Babylon, confusion. Come out of your creeds and your self-styled things. I will receive you," saith the Lord. "Touch not their unclean things," their beatnik parties in church, and bunco, and all other kind of stuff, and dances.

150 Here not long ago, my mother called me, said, "Bill, come down here a little bit." I think she is setting here in church somewhere tonight. I went down. I said, "What's the matter?" They called me down there. And here was a big Methodist church up here in Indiana, had a rock-and-roll party in it. And they interviewed the pastor; he said, "Too long has the Methodist church forgot the beautiful art of rock-and-roll." Devil-possessed, don't know nothing about God; they know no more about God than a Hottentot would know about an Egyptian knight, they just... No more than a rabbit would about snowshoes... When you come to a place where the only think you know is just theology, some manmade creed...

151 When the power of the Holy Ghost comes in, you accept God's promise [Another possible transcription: prophet - Ed]. You accept God's Gift of the Holy Ghost, and see how much rock-and-roll you can have in a church. You go back to the Gospel that John Wesley preached, and see how much you can have in it; got away from the beaten path. Go back to John Smith of the Baptists; go back to Martin Luther. But what is it? They know nothing about the supernatural today. And that's right. The Methodist church knows nothing about Divine healing.
When John was standing there preaching Divine healing, some of the high church of England come up and made fun of him, turned a fox loose, and a bunch of hounds. He pointed his finger in his face and said, "The sun will not set on your head three times till you call for me to pray for you." He died that evening, calling for John to come pray for him.

153 Why don't the Methodist church get that back in it again? Why? Because it's dead. That's right. You're scared to look into that Package, 'cause It'll reveal your sins. I call you Methodists to look back in the Package again. I call you Baptists to look back to the Package again. And you Presbyterians and all, you Pentecostals, Catholics and all, look back to God's Christmas Gift. Look back to the Present. Throw away the box, and take the Present. Yes, sir. Get away from the tinsel of Santa Claus. Get back to the Gift of God. Get back to the Holy Spirit. Oh, I know It'll reveal a lot of things, but that's what you need: a cleaning up, scouring out. I know that's awful hard folks, but we got to have it. It's God's Word. Yes, sir, it's good for you. That's right. Oh, yes.

154 They--they knew that there was something wrong when they hit that city, and the Light went out. As soon as they joined this denomination, the Light went out. "What's the matter?" They begin to scream, "Where is He? Where is He? Surely I'll find Him here; this is an old denomination; it's been here a long time. It's the capital of denominations, it's the Vatican City; why, sure, I ought to, I ought to find Him here. Where is He? Where is He, that Christ that said He was the same yesterday, today, and forever? Where is He, the One that said there'll be light in the evening time? Where is He that said, 'The works that I do shall you do also'? Where is He? Where is He?" and the light just stayed out. When they struck out of that thing, walked outside of the city, there the Light appeared again.
It'll be Light in the evening time,
The path of glory you will surely find;
In that water way, is the Light today,
Buried in the precious Name of Jesus.
Young and old, repent of all your sin,
The Holy Ghost will surely enter in;
The evening Lights have come,
It is a fact that God and Christ are one.

155 Yes, brother. Yes, sir. Repent of all your sins, the Holy Ghost, God's Gift, will surely enter in. He's at the door, [Brother Branham knocks--Ed.] saying, "Let Me in. If you'll let Me in, I'll sup with you; I'll reveal these things to you; I'll show you the supernatural; I'll heal your sickness. I'll--I'll take care of all these things for you, if you'll just let Me in." [Brother Branham stops knocking]

156 God's Gift Package, wrapped up in the form today of Holy Ghost. He was wrapped up then, He called the Son of God. God's Gift Package was just taken up and rewrapped again and sent back. Amen. He was wrapped up in the Son of God then; It's wrapped up in sons of God today, called the Church. That's right. God's Gift Package wrapped to the people, and they refuse It today just as they refused then. "If they called the Master of the house Beelzebub, a fortuneteller, because He could discern the thoughts, how much more will they do you?" Yeah, "They called the Master of the house..." Oh, my. Let's find out.
Yeah, the Magi, they received It. They were poor and humble, and they had seen a strange Light.

158 Another thing I want to hit right here. And when they seen this Light, was they ever happy. The Bible said, "They rejoiced with exceeding great joy." Oh, I'd imagine they shouted a little bit. Don't you imagine so? I just imagine so. Then when they seen they'd been in that old organization so long back there, trying to find something, wasn't nothing there, when they got outside the gate, they seen that Holy Ghost Light again shining yonder, that Star of glory pulling down before them, they got so happy, they had exceeding great joy.
Oh, what does a person do when they get so overjoyed? What do you do at the ball game when they get overjoyed? Oh, you holler, "Hurrah-hurrah. Bimity-bam, he hit a home run. Ha-ha. Ho-ho-ho." See?

160 And when you get the "exceeding great joy," you holler, "Glory. Hallelujah. Praise the Lord." That's right. Exceeding great joy. "There's the Star. Lead us. Oh, take us away from these organizations, and lead us to that perfect Light. Westward leading, still proceeding, guide us to Thy perfect Light." Just keep on; the Star was the guide to the Light. Finally, It stayed over the Child.
When they... [Blank.spot.on.tape--Ed.] In just a few minutes. All right. All right.

162 He revealed Hisself to poor fishermen. He was revealed, that Package, what was on the inside of it was revealed to the poor fishermen, to the unlearned, uneducated. He revealed Himself to men who couldn't write their own name. They couldn't be a deacon, or--or something another in the church. They couldn't be that. They were so unlearned, oh, my, they were terrible, so He revealed Himself to them. To the unwanted, those who were cast-outs, He revealed Himself to them. To the unloved, He was lovable to those who were unloved. To the sick, they needed healing, they was willing to look into the Package to see what about It, He revealed Himself to them. And to the hungry, He fed with loaves and fishes. Oh, we could stay... I've got a lot of stuff wrote down on that, but we have to skip that. See? Revealed Himself to all those people, the unlovable, when no one wanted them, called them fanatics, He revealed Himself to them. "I'm so glad that I can say I'm one of them." Unlovable, unwanted, sick and needy, hungry; He revealed Himself. Yes.

163 I was thinking of another hungry person. One day there was a hungry-hearted man named Paul, Saul then, was on his road down to Damascus, hungering, and he didn't know what to do. He wanted to do something for God. A Light shined around him, "Saul, Saul, why persecutest thou Me?" He revealed Hisself to hungry-hearted Paul, to an ill-famed woman, to a condemned Barabbas. He revealed Hisself (That's right.) to a hungry-hearted man, to an ill-famed woman, to all these that were cast-out. I think of that unfamed woman. Just a moment for her, please bear with me just a minute.

165 Simon, the Pharisee in the Bible, oh, he wanted--he wanted to know this Gift too, but he wanted to know It for his own selfish will, his own selfish motives, a Pharisee. So what did he do? He had a big feast, and he thought he could make some fun. The Bible, Gospel story, gives it to us. Look at it just a minute now before we close. There he said, "He would have Jesus to come." Because I don't think that Pharisee really loved Jesus, 'cause he had nothing in common. He was an old stiff Pharisee, and he--he hated Jesus, so he thought he'd get Him over there and play a few pranks on Him, see if He really was a prophet, or not.

166 So they sent and asked Him to come. The courier come, and run, and probably dusty and everything, walked up out there, and stood by the side of Jesus. Probably been healing the people, and going on, and He was tired. Finally, maybe it was Peter that said, "You can't see Him today."
He said, "But, mister, my master is Rabbi Simon; he's the pastor of the big church down here in Judaea. Why, you... He--he--he's invited your Master to come and see him. Oh, oh, oh, what a--what a big name that'll be for Him. See? You should see him."
"Well," he said, "I'll take you up and see what He says."
And so he pushed through the crowd. And the sun was about going down, Jesus tired and weary, and here come this little courier up. And he, instead of...
In the Presence of Christ... Oh, I've often wondered what was the matter with that courier? What was wrong with him? Standing that close to Jesus, and still had a message from the Pharisee, "My master wants You to come and see him. You know what, he's having a party down here. He wants You to come, be an honored guest."

170 Oh, I wished I could've took that message, been that close to Him. Don't you? I'd have never thought about what that Pharisee said. I'd have fell down at His feet, and said, "O Lord Jesus, have mercy on me, a sinner." I believe I'd have said that. Don't you? How he stood that close to Jesus, and yet refused the opportunity to ask forgiveness of his sin. And that close to Him... No, he had too much on his mind. He was a servant; he had to ask for the Pharisee.
And Jesus, poor Jesus, yet tired and weary, and knowed that He was despised and hated of him, He nodded His head, "I'll be there." When He says He'll be there, He'll be there. Don't you worry; He'll be there. Nothing will stop Him.

172 So when they got down there, that day they had killed all their fatted calves, and brought out all the new wine and everything. And now, the poor people wasn't allowed to come around where they were at. Oh, when they roast that beef on the outside, and stuff, what an odor. And them poor people standing out there, and just their mouth watering. They couldn't come in. No, sir. Yeah, that was just for the celebrity only. And so then standing on the outside... And he had all of his grapes and things, all in the--the very time of bloom, or the fulness of the grapes; and that beautiful smell of grapes, you know, when they're sweet, and everything. He had his new wines and everything.

173 And I often wondered how Jesus ever got in there without being noticed. You know, well, when anybody in the orients ever invites you to come to their house, you know they are great people for hospitality. Now, people in them days, when they walked, they had on sandals. And when they did, you hear about washing feet.
That's what we do here in commemoration. That was an order. When somebody asked you to come to their house, it'd be something like this. They'd greet you at the door, and then they had what they the lowest job of all the people. Some of them drove the chariots; some of them cooked; and some of them was chefs, you know; and some of them butlers, and... But the lowest paid man of all of the household was a foot-wash flunky. He was just a flunky.
And think, my Lord was a foot-wash flunky. And then we think something; we think we're somebody. Look at Him washing the disciples' feet, fishermen, dirty fishermen, sheepherders, and so forth, washed their feet.

177 And here that foot-wash flunky, when you come to the door, they'd--they'd wash your feet, because the dust and things got on your legs, and--and where you walked, you know, down the dusty roads where the horses and animals had been, you know, and it made a stink all over you. And then that sun, you know, was all over your neck. And that Palestine sun, direct rays of it, is really hot. And so when they come to the door, they'd set their foot out, they'd wash their feet. And then put--put their sandals up; clean them off, and set them up. And put them on a little pair of slippers, like little--women wear today for bedroom slippers, you know, something like that, put them on. And then to wash their feet.

178 And then they'd have a towel over his shoulder. And then what he would do, he'd wipe the dust from his face and take some oil of spikenard. Oh, it was expensive stuff the rich people use. The Queen of the South brought some of it up and give it to Solomon, made out of an apple up in the orients, like a flower, the little flower apple, and it's got from there: very expensive.
And they would take that spikenard, and they'd put it all over their face (oil like that), 'cause their necks was burning and things, take a towel and wipe it all off like that, and then they were--they were refreshed.

180 Now, that's the first thing, the foot-wash flunky got them and fixed them up like that. 'Course they wouldn't feel like coming into a man's house, where them great big Persian-made rugs, and so forth like that, smelling like where they'd been in a stable, and--and the--and the sun and blisters all over their face. They were refreshed.
Then when they come in, they met one another. And when they did, always to welcome a guest, if you were welcome, they shook their hand like this, Brother Ed. They'd shake your hand like this, and then they'd put their... Stand up, just a minute, I'll show you something. They put their arms around him [Brother Branham illustrates--Ed.] like that, then shake his hand. [Brother Branham illustrates--Ed.] That's the way they did it.
That was a welcome. Then you was a brother. You felt fine. Your feet was washed. You--you was anointed all over.

183 And then the next thing he did, they'd kiss one another on the neck. And that made them welcome. That last thing was that welcome kiss.
Remember Judas giving Jesus that welcome kiss? Said, "Why'd you do that, friend?" See, He knowed his heart.
So they made one another welcome. You didn't feel like coming in with dust all over you, and that old stink all over your face, and legs, and things. That old garment hanged down, pick up that dust as you walked, when you was walking. They didn't feel like doing, going in. But when you was all refreshed, and then when he come up, and your guest... You was a guest of honor, and then when you come up and welcomes you, and give you a kiss on the neck, why, you was a brother then. "Come on in." Go to refrigerator, get you a sandwich, anything. You was--you was welcomed then; you was welcomed in.

186 But how did Jesus ever get in here without all that being done to Him? See, He was setting over in the corner with dirty feet, unwelcomed. Probably the Pharisee was talking about something else, you know; he never noticed Jesus come in.
That's what's the matter in the churches today, too many of our Pharisee churches. The power of God come in and they don't notice It. See? He'd be willing to do something, but He's never made welcome.
And there he was over there, maybe telling some jokes, and having a big time with Pastor Rabbi So-and-so and Rabbi So-and-so over there. They didn't notice Jesus. And He must've slipped in and set down somewhere over in a corner.
I can see Him there with His dirty feet, blistered neck, no kiss of welcome. Oh, don't it make you feel funny, Jesus with dirty feet? They call Him, over there, "Jesu, Jesu." Said, "Jesu with dirty feet, setting in the corner." O God, how could it ever be? Nobody paid any attention to Him.

190 But a little prostitute (Oh, my.) an ill-famed woman, she happened to pass by, maybe she--maybe she was... There's nobody in town, everybody had gone to this feast, all the celebrities, so her business was poor. So she found out what's all this up here at this, up here at the Pharisee's house about. So she went up there, and probably looked through the crack in the fence, looking around. Oh, my. She happened to look over in a corner; she seen Him setting over there with His head down, dirty feet, blistered neck, unwelcomed, nobody paying any attention to Him.

191 But it was revealed to her. Oh, I can see her rub her eyes, and say, "Is that Him? That's that same Man that spared a woman just like me one time, when she was drug out by that church, and was going to stone her to death, and He said, 'Woman, where is thy accusers?' That must be Him." See, faith cometh by hearing, and it was revealed to her that that was Him.
She said, "But look, He's unwelcomed. He's got dirty feet. What can I do about it? I'm a woman, and--and if I happen to go in there and say something, why, they'd--they'd throw me out through one of them bars. I... And I'm a--I'm a woman of ill fame, and He--He'd know I was ill-famed. He'd know I was a bad woman, so what--what can I do about it?"

193 I can see her turn, and walk around, and say, "Oh, I got to do something. He's unwelcomed. But Something reveals to me that that's the only way that I'll ever have Life." There you are. Oh, brother. "I want to see what's in that Package. I know there's Something in there that'll forgive my sins. And though I am a prostitute, though I am evil, I want to look in that Christmas Package; I know there's Something in there for me."
There's Something for everybody. And that's right, sinner friend. There's Something for the gambler. There's Something for the liar. There's Something for every person. And there's Something in this Christmas Package for you. Don't cast It aside; how a Pharisee, the foolish moron took the tinsel and throwed away the Gift. What a pitiful thing.

195 Here he comes. He was setting over there. And this poor little woman, maybe she goes down at the house where she lives, goes up the old squeaky steps up there, and reaches in her stocking, or something another, and gets her money. She said, "Oh, what can I do? Now, wait a minute. I better put this back, because He'll know that I--I'm a woman of ill fame. But it's my only hope; it's the only thing I can do. I'm not invited to that feast, but yet I've got to get to Him."
Oh, I wish people could see that tonight. Get to Him or perish. What difference does it make, you're called holy-roller, or throwed out, or what other difference? Get to Him. Get to Him; that's your only hope.

197 She went down, and took this. And I can see one of those Jewish fellows down there, saying business been bad, setting back there, counting his money, everybody gone to the feast and everything. This woman walked in, "Well, what are you doing in here?" She poured out this Roman denarii on the counter, about thirty pieces of it. "Ah-ha, what do you want, lady?" See, that made it difference. He seen what she was; but when he seen she had some money, that's different. See? That's the world today; if you got money, you're a big shot; if you haven't, you're--you're nothing. "Oh, that's different. What do you want?"
"I--I want the best, the best spikenard that you got. This is all I got. Let me count it. Thirty pieces of it for you."
"Oh, yes, that'll buy this bottle right here, the finest."
"I want it."
"You mean you want to buy oil?"
"I want it. I want that whole bottle." That's all she had.
That's what you have to do, brethren. It costs every sin you got. It costs everything. But be willing to give it.

200 So she slips up to the fence, and I can see her looking in there. She sees Him setting there, still untouched. The Pharisee pastor over there still telling his dirty jokes and things, over there with the rest of them, carrying on, talking about some big thing somewhere, not knowing, unnoticed to our--to our precious Lord. She said, "How can I get in?" So now I see her slip in real easy, get up to where He is like that. And she looked up at Him. I can see her with the tears running down her face, and her big brown eyes looking up at Him like that. And she whacked the bottle, broke out the ointment, poured it on His feet. She wasn't going to let Jesus set with dirty feet.
You say, "I wouldn't either." Why don't you do something about it then? He's got the worst name there is in the country today, "holy-roller, religious fanatic." Why don't you do something about it? Rise and say, "I'll take the way with the Lord's despised few. I'm ready to receive that Package."

202 She poured the oil upon His feet. The whole room lit up with it. It was costly. There's nothing too good for Jesus. Give Him your best. Give Him everything you got: your life, your soul, your being, your time, all that you have, give to Him.
And she happened to look. She was standing there. Oh, my. She poured this oil on His--on His head. Then reached down to His feet, and begin... Oh, she--she picked up His feet, and looked, they were dirty. She had nothing that she... She got to thinking about her sins, and she said, "Surely, He--He'll--He'll condemn me." So when she had put the oil upon His neck, and rubbed it, then she got down there and she got ahold of His feet.
And she fell down, and she started crying, "Oh, I'm such a sinner, to stand before this Man. I'm such a sinner." And she looked up, and her big, pretty eyes. She thought, "He--He--He'll about kick me out of this room." But He never moved; He just set and looked at her. Oh, I like that. He just set and looked at her. "Oh, He knows my heart, I can feel Him right now reading right down in my mind. He knows I'm no good. I know it, Lord, but I can't stand to see You with the dirty feet. I just can't stand it. You're my only hope. I can't stand it."
What beautiful water for His feet. Oh, tears of repentance. Oh, oh. Old Pharisee couldn't furnish nothing like that. Waters, tears running down her cheeks...

206 And she begin to rub them, and [Brother Branham makes kissing sounds--Ed.] kissing His feet. Oh, It was her Lord; kissing His feet. She had no--she had no towel to dry it with. So I guess her curls, she had done up on top of her head must've fell down, because she took her hair and begin to--to wipe His feet with it. And kissing His feet, saying, "Lord, You know. Lord, You know I--I'm a sinner. I--I hate to be here before You like this, but I can't stand to see You with dirty feet." Oh, my. Jesus with dirty feet, unwelcomed, not a kiss on the neck. She was even kissing His feet, "Lord [kissing sounds], O Lord, O Lord, I--I'm--I'm a sinner. [kissing sounds] You know I am, Lord."

207 And, about that time, old Pharisee turned around. "Humph." Said, "Now look over there. Look over there. That's the kind of company that has that called the Holy Ghost." See? They haven't changed. "Look what it is. Look what kind of a people he associates with. You talk about that Holy Ghost, and Divine healing, what is it? The trash of the town."
Sure, that's who It's revealed to. She knowed what was in that Package; she knowed the only time, and any time she'd ever get anywhere. She couldn't go down to Pharisee; He'd kick her out of the church; not in her rank of society. But there was a Society for the sinner; I'm so glad of that. There is a Place where a sinner can come. There is a Balm in Gilead, will make the wounded whole. She'd found It. She wanted to know that Gift, and she was kissing His feet.

209 And old Pharisee said, "Ah-ah. Come here, boys. Ah. Humph. There's your Prophet. See? If He was any kind of a prophet, he'd know what type of woman that is washing his feet. Look at there. Talk about fanaticism, it disgraces my house."
Jesus never said a word, just stood and watched the woman. So after while... He know what their Pharisee was thinking, so He raised up.
That woman, I can see her, "Oh, oh, here--here's my time. He--He--He--He--He'll condemn me. He'll--He'll--He'll throw me out of this house." I see Him stand up, look like that. He feels pretty good now; His feet bathed with tears. O God, take mine. His feet bathed with tears of repentance, a true heart. Though immoral as she was; it's the only time she was ever at a fountain she could be washed clean. There she's setting there, looking in His face. I can see her with the tears streaming down her face like that, and stained all over. Her curls all dropped down, and full of tears and dirt from His feet. She was standing there, wondering, "What's going to happen. He'll throw me out. He'll have them put me in jail for coming in here."

212 He stood up like that; He said, "Simon, I got a Word to say to you. You invited Me to your house. And when I come in, you never give Me any water for my feet; I'd have washed My own, but you never give Me no water." O God. "You never give Me no oil to anoint My neck with, when it was burning. You didn't do that, Simon. Neither did you kiss Me and make Me welcome. But this woman, she has washed My feet with her tears, and she's kissed My feet, and she hasn't ceased doing it since she's come in here. I've got a few things against you, Simon. But her..." (Whether He's a Prophet, or not,) "I say unto her, her many sins are forgiven." O God.

213 What was it? She found what was in that Gift Package. She found there was love. She found there was forgiveness. She had seen That. Oh, how she seen that precious Gift of God work on her. How it must've made her feel when she seen that God's Gift was extended to her. Her sins were forgiven.

214 How Barabbas must have felt that day. You know Barabbas, the story. Barabbas was that outlaw that was caught, and was put down in the galleys, was going to die the next morning. He was a thief. He was an outlaw. He was a murderer. He was a criminal. And all night long he walked up-and-down that jail, pulling his hair, for the next morning he went to a cross, capital punishment. He'd die. How nightmares passed over him that night. How he couldn't rest.
And the next morning, no breakfast or nothing, know that his blood would be strung out like among wolves. And all at once he hears the chains rattling, [Brother Branham makes marching sounds with his feet--Ed.] tramping of the soldiers. Here comes four or five, or maybe a battalion of Roman soldiers, spears a-glittering, walked up there. The big jailer turned the keys, and said, "Walk out, Barabbas."
"Oh, don't kill me. Have mercy."
"Barabbas, there's nothing wrong. You're free."
"I'm what?"
"You're free."
"How'd I come free?"
Somebody pointed up that way. What it must've meant to Barabbas, when he seen the Gift took his place in death. I felt the same way. God's Gift took my place in death. How that dying thief on the cross, nailed up there.
The dying thief rejoiced to see
That Fountain in his day;
There may I, though vile as he,
Wash all my sins away. (Yes.)
Ever since by faith I saw that Stream, (That revealed to me),
Thy flowing wounds supplied,
Redeeming love has been my theme,
And shall be till I die. (That's right. Oh.)

217 Closing, might say this. Today Christmas means a carton of Camels, a carton of Viceroy, a bottle of Four Roses, or Seagram, wrapped up in a pretty Santa Claus paper. But they still refuse God's Christmas Gift. They still refuse His Christmas Gift. They don't want It.
I want It. I'm glad I received It. O Emmanuel, God made flesh and dwelled among us, rejected and condemned all down through the ages, and His mercy extends today to every heart that will receive Him. Let us bow our heads just a moment.

219 I wonder tonight in this building on this Christmas time, in commemoration of nearly two thousand years ago when God gave the first Christmas Gift. I wonder tonight if you'd like to look on the inside of that Package and see, sinner, that there isn't Somebody in there Who loves you, Somebody Who died for you, Somebody gave Their life for you? Would you be willing tonight to take the swaddling's cloth off of Him, that dirty cloth that they call Him fanatic and holy-roller, wrap yourself in it, and take the way with the Lord's despised few?
If you're in the building tonight, like to be remembered in prayer, would you just raise your hand, and say, "On this Christmas night, I want to receive the Christmas Gift of God, God's true Christmas Gift"? God bless you, lady. God bless you, girlie. God bless you, sister. God bless you. God bless you, young lady there. Would there be some more who'd like to be remembered in prayer Lord... God bless you, my brother.

221 Someone else, "Lord, I'll take the way. I'll never see You set with dirty feet either. I'll never stand... I'll join up with them. I'll come right into the Kingdom of God. I'll--I'll be one of them that's despised. Abide with me, Lord. Come, go home with me tonight. I'll wash away all the dirt from Your Name. You wash away my sins, Lord, let me live the Life. Not the way I'm doing now; I've dirtied Your... I--I'm dirtying You every day, putting more upon You. Let me go tonight, Lord, and with my tears of repentance, I now come humbly at the foot of the cross to receive You as my Saviour." Is there another one before we pray? Just raise your hand. All right.

222 Precious Lord, we bring to Thee tonight, it seemed like it was quite a few women tonight, Lord, that raised their hands. Maybe they too can look down... Some of them are young girls, just at teenage, that raised their hands, they--they mean that, Lord. They--they don't--they don't want to be condemned with the world. They want to receive You now at this Christmas time to look into God's Package and receive Eternal Life. Grant it, Lord, just now, that You'll open to them the forgiveness of their sins, that You'll open to them a Fountain in the house of David, that's open for sin and uncleanliness, where sinners plunge beneath the flood, lose all their guilty stain. Grant it, Lord. Go home with them and abide with them tonight, Lord. Make life, for them, what it should be, Lord. Grant it.
Heal the sick and the afflicted among us. You are the Help of the helpless. You are He, Lord, Who can do where others cannot do. You are the abiding Grace. You are the Gift of God. And we humbly believe You, Lord. We follow the Day Star, we follow the Light until It leads us to that perfect Light, the Gift of God, Eternal Life, by the baptism of the Spirit. Grant it, Lord. I commit them to Thee now. In the Name of Jesus Christ, take their souls tonight and wash it in the crimson Blood of Calvary. For we ask it in Jesus' Name. Amen.

224 ... Lord, abide with me.
[Brother Branham hums--Ed.]... helpers fail to comfort me,
In life, in death, O Lord, abide with me.
Do you love Him with all your heart? Once more, for old time's sake, "I love Him, I love Him because He first loved me."
I love Him, (Everybody now.) I love Him
Because He (Let's raise up our hands to Him now.) loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
Now, I want you to shake hands with somebody in front and back, and your side now. [Brother Branham shakes hands--Ed.]
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's...
All that's received the Christmas Gift of God, raise your hands now.
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.

227 Don't you love Him? Isn't He wonderful? All right, while we stand now.
Take the Name of Jesus with you,
Child of sorrow and of woe;
It will joy and comfort give you,
Take It everywhere you go.
Precious Name, O how sweet! Oh how...
Hope of earth and joy of heaven;
Precious Name, (Precious Name) O how sweet!
Hope of earth and joy of heaven!
Slowly now.
Take the Name of Jesus with you,
As a shield from every snare,
When temptations... (What do you do when temptations gather?)
Just breathe that Holy Name in prayer.
Precious Name, (Precious Name)... (O how sweet!)
Hope of earth and joy of heaven;
Precious Name, (Precious Name) O how sweet!
Hope of earth and joy of heaven!
At the Name of Jesus bowing (Let's bow our heads now and sing.)
Falling prostrate at His feet,
King of Kings in heaven we'll crown Him,
When our journey is complete.
Precious Name, O how sweet!
Hope of earth and joy of heaven;
Precious Name, O how sweet!
Hope of earth and joy of heaven!

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