Abraham
1 Que le Seigneur bénisse chacun de vous. Bonsoir, mes amis. C’est un privilège d’être de nouveau ce soir à l’église pour–pour parler de la Parole, la Parole éternelle du Dieu Eternel du Ciel. Je suis un peu fatigué; nous avons eu–nous avons eu ce matin au petit-déjeuner deux services de communion des Hommes d’Affaires Chrétiens. Le Seigneur nous a accordé une grande bénédiction.
Quelque chose s’est passée dans ma propre vie; je ne l’oublierai jamais. Ainsi donc, je suis très reconnaissant au Seigneur pour la confirmation de–de ce que j’essaie de faire pour Lui; le Seigneur l’a confirmé être... que c’était Sa volonté. Et–et vous savez ce que l’on ressent lorsqu’on... quelque chose arrive comme cela: on se sent très bien.
Eh bien, je vous ai retenus jusqu’un peu tard; j’en suis désolé. Et–et je ne fais que me dépêcher... Ce matin, je pensais très bien m’y prendre, et j’ai dit: «Il est onze heures moins vingt-cinq», alors que l’horloge s’était arrêtée pendant une heure, d’après ce qu’a dit frère Dean. Je pense donc que c’est comme ça que ça se passe, vous savez, le temps nous fait simplement défaut. Il y a beaucoup à dire et très peu de temps pour le dire.
2 Demain matin, je pense, à 11 h ou 11 h 30, après qu’on aura congédié l’église, il me faudra revenir ici pour un petit message à l’Eglise, le Seigneur voulant. Ce sera après que le pasteur et tous auront fini avec leurs activités du matin et l’école du dimanche.
Et puis, demain soir, il y aura... nous allons prier pour les malades. Là, c’est au cas où assez de gens viendraient pour qu’on le fasse. Voyez? Il nous faut en avoir assez pour faire passer la ligne de prière, si nous allons prier pour les malades. Tenez, l’autre jour, le jeune homme a dit que lorsqu’il distribuait les cartes de prière, après en avoir distribuées environ vingt, il a dit que c’était terminé, il n’y avait plus de gens. Il ne pouvait plus en distribuer davantage, il n’y avait pas beaucoup de gens. C’est ce que nous connaissons dans une petite église, vous savez, lorsque nous tenons des réunions dans une église. Voyez, vous entrez dans une très grande assistance...
Ainsi donc, demain soir, si vous avez des bien-aimés qui aimeraient qu’on prie pour eux... Eh bien, nous projetons, Dieu voulant, de prier pour les malades demain soir. Soyez ici à 18 h, avant le début de toutes les activités de l’église, prenez une carte de prière et–et soyez prêt pour la prière de demain soir. Nous ne savons pas exactement comment, mais nous tâcherons peut-être de prier pour ceux qui seront dans la ligne ou quoi que ce soit que le Seigneur nous conduira à faire. Et puis, le soir suivant, le soir du dimanche prochain, c’est encore la prière pour les malades, nous... si le Seigneur y pourvoit et si c’est Sa volonté.
3 Et puis, le mercredi, il y aura... le mercredi après-midi, je dois parler à Old Pisgah Home. Frère Smith, je pense, Smith, je pense que c’est ça son nom, un très bon frère... J’ai fait l’oeuvre missionnaire avec lui outre-mer, et c’est vraiment un merveilleux homme. Et je pense qu’ils ont un genre de rassemblement là, je dois donc y parler l’après-midi du mercredi prochain, et puis, revenir ici pour les services du mercredi soir.
Et puis, le lundi prochain, nous cherchons à voir si nous pouvons dans l’entre-temps aller un jour chez frère Espinosa, à San Bernardino, avant d’aller à Bakersfield, ou près de Bakersfield là où... Comment ça s’appelle, Frère Gene? Visalia. Je pense qu’ils ont obtenu un auditorium, et ils ont organisé cela entre Fresno et Baker; ainsi, ils pourront recevoir les foules de deux côtés. En effet, il y a là les gens de deux villes qui aimeraient venir, et ils ont simplement organisé cela là au milieu, à Visalia. Soyez donc en prière.
4 Et puis, de là, nous irons directement à Ohio, retournant dans la contrée enneigée. Et nous y bénéficierons de la collaboration des assemblées et des indépendants, tous ensemble, à Ohio, dans un auditorium. Et puis, à... quel est le nom de cette ville, Gene? Ohio? Middletown, dans l’Ohio; c’est un centre de basket. Et ensuite, de là, nous irons à, je pense, c’est à Monroe, en Virginie, ou quelque part là où il y a environ dix-sept pouces [43 cm] de neige ce soir. Et après, nous reviendrons de là pour aller à Bloomington, en Illinois, la semaine prochaine. Et puis, de là, pour les dix derniers jours, huit ou dix jours, nous irons à Chicago au Lane Tech, là où nous allons si souvent. C’est parrainé par les Hommes d’Affaires Chrétiens du Plein Evangile.
Et je passerai un jour chez moi et puis, j’irai au nord de la Colombie-Britannique, là où il y a une couche de neige très épaisse. Ainsi donc, je serai donc là, à Grande Prairie; et je pense qu’après, on ira à Dawson Creek; et puis, à Fort Saint John. Ça sera la dernière escale avant d’atteindre Anchorage, en Alaska, à mille cinq cents miles [2.414 km], là dans la jungle. Ensuite, le Seigneur voulant, je reviendrai, et de là, j’irai outre-mer. Et puis, j’espère revenir ici dans mon pays natal, à un moment donné, au printemps prochain, le Seigneur voulant, au début du printemps, en octobre, en novembre, si le Seigneur tarde; sinon, s’Il me reprend avant ce temps-là, je vous rencontrerai de l’autre côté. S’Il tarde, je serai avec vous, et nous irons Le voir (Voyez?), nous monterons à Sa rencontre dans les airs. Eh bien, cela peut arriver n’importe quand; nous ne le savons pas; nous ne pouvons pas le savoir. Mais...
5 Et nous sommes... des missionnaires. Je parlais à certains ce matin, ils me demandaient ce que je pensais... Que pensez-vous de la situation qui prévaut ici en Amérique? C’est juste comme tous les autres, les missionnaires et les autres, nous croyons que le–le réveil se trouve dans les autres pays aujourd’hui, chez les gens là-bas. Il y a bien à peu près... Vous savez, il y a beaucoup de poissons dans le lac, et lorsque le dernier aura été attrapé, ça sera tout. Dieu n’aura pas un corps monstre, Il n’aura pas une main à six doigts. Voyez? Il arrivera que lorsque ce corps sera complet, ça sera tout. Voyez? Peu importe combien vous prêcherez ou ce qu’on fera, personne d’autre ne viendra.
C’est pratiquement ce qui se passe dans notre patrie, amis. C’est une heure terrible, celle dans laquelle nous vivons. Vous ne vous en rendez pas compte. Demandez à un autre évangéliste, ne me croyez pas juste sur parole. Ou regardez partout à travers le pays, montrez où vous trouvez de grandes foules venir à Christ. Eh bien, vous pouvez aller à Bombay, en Inde, et–et siffloter cinq minutes sur le Seigneur ou dire quatre ou cinq mots, et il y aura cinq mille personnes pleurant pour être sauvées. C’est vrai. Et alors, ici, nous allons de lieu en lieu, poussant, forçant, poussant, forçant. Et cela ne fait... Tout ce que les Américains peuvent faire, c’est parrainer le programme pour là-bas. Ils ont de l’argent ici. Là-bas, ils n’ont rien et ils ne peuvent pas payer pour cela, mais ils sont certainement disposés et ils veulent entendre Cela. On est à l’estrade, des dizaines de milliers font signe de la main, juste... si vous prêchez encore cinq minutes sur Jésus, juste prononcer quelques paroles...
6 Je disais cela, je vois une Indienne assise ici devant moi ce soir. Venez-vous–venez-vous de l’Inde? Oh! du sud de l’Inde. Eh bien, il y aura une grande opportunité, le Seigneur voulant, en octobre prochain, je serai à Calcutta et à–à Bombay et là, peut-être en Thaïlande. Et c’est ce que nous espérons. Le Seigneur avait vraiment béni ces réunions. Vous avez peut-être été aux réunions de Bombay lorsque j’étais là, est-ce vrai? Vous aviez raté cela. Je pense que vous en avez entendu parler. [Un homme dit quelque chose d’imperceptible.–N.D.E.] Pardon? [Il répète cela.] Est-ce vrai? Eh bien, c’était merveilleux. Il y a eu une grande réunion là. Dieu a certainement béni votre peuple.
Et je n’oublierai jamais cette réunion, cette nuit-là à Bombay, tant que je serai vivant. Ils–ils... Quand j’ai fait la connaissance de l’évêque de l’Eglise méthodiste et de beaucoup de conducteurs, ils ne voulaient pas que j’aille sous le parrainage que j’avais. Et ils... J’avais déjà pris l’argent de ces pauvres hommes et femmes pour y aller, et j’allais sûrement prêcher pendant que j’étais là de toute façon. Si l’organisateur avait embrouillé l’itinéraire ou le parrainage... Mais, oh! la la! jamais de ma vie je n’avais vu autant de gens venir dans une réunion. Le maire de la ville était là.
7 Et c’est alors que l’aveugle avait recouvré la vue pendant qu’il se tenait là. J’avais alors lancé un défi à tous les musulmans et à eux tous: «Venez faire recouvrer la vue à cet homme et je vous croirai», voyez. «Que le Dieu...» C’était un adorateur du soleil. Eh bien, il avait les yeux crevés, il adorait la création plutôt que le Créateur. J’ai dit... J’ai été là au temple des jaïns, vous savez, et les–et les–les bouddhistes, eux tous là, ils ... sept ou huit différentes religions, et eux tous étaient contre Jésus-Christ, et ils ne croyaient pas cela.
Alors, ce soir-là, lorsque ce grand défi a été lancé, eux tous étaient assis là, j’ai dit: «Maintenant, voici un homme aveugle depuis vingt ans, et vous pensez que je lis ses pensées.» Vous connaissez de saints hommes, vous savez, les autres, les adorateurs. Et j’ai dit: «Vous pensez que c’est de la télépathie, que je lis ses pensées, en lui disant son nom.» Je n’arrivais même pas à le prononcer, il fallait l’épeler. Voyez? Et alors, j’ai dit: «C’était vrai.» Et cet homme avait une femme et deux enfants. Un garçon de huit ans, et un autre de dix ans ou quelque chose comme cela.
J’ai dit: «Eh bien, vous pensiez que c’était de la télépathie mentale. Or, si c’est de la télépathie mentale, venez donc ici. Je ne sais rien sur la télépathie. Si c’en est une, c’est que vous en êtes experts. Je ne sais rien sur la psychologie. Venez ici et faites recouvrer la vue à cet homme, et je vous suivrai.» J’ai dit: «L’islam est très considérable, et ce Coran est vrai.» J’ai dit: «Alors, que le prêtre musulman vienne ici faire recouvrer la vue à cet homme et je me ferai musulman.» Voyez?
J’ai dit: «Eh bien, je vous défie tous, au Nom de Jésus-Christ, de venir faire recouvrer la vue à cet homme.» Je n’aurais jamais dit cela si je n’avais pas eu une vision montrant que cet homme allait recouvrer la vue. Mais je connaissais la situation. C’était le groupe le plus silencieux qu’on ait jamais entendu. Des milliers... Eh bien, il m’avait fallu deux heures pour me frayer un passage à bord d’un véhicule afin d’arriver là.
8 Et alors, cet homme se tenait là, et j’ai dit: «Il a dit qu’il servirait le Dieu qui lui fera recouvrer la vue.» J’ai dit: «C’est un très grand défi à l’islam, au bouddhisme, aux jaïns, aux sikhs, ou à quoi que ce soit; ça y est.» Alors, personne ne bougea. J’ai dit: «Pourquoi êtes-vous très silencieux?» J’ai dit: «Savez-vous pourquoi ils ne viennent pas? C’est parce qu’ils ne peuvent pas lui faire recouvrer la vue. Et moi non plus, je ne le peux. Mais le Dieu du Ciel, qui a ressuscité Son Fils Jésus-Christ et dont je suis le témoin, le peut.» Voyez? J’ai dit: «J’ai eu une vision montrant que cet homme recouvrerait la vue.» Et j’ai dit: «S’il ne recouvre pas la vue, alors je suis un faux prophète. Chassez-moi de l’Inde. Si c’est... s’il recouvre la vue, combien alors parmi vous recevront Christ comme leur Sauveur personnel et oublieront leur prophète mahométan et tous les autres?» A perte de vue, il y avait des masses de mains, des milliers et des milliers. Ça y était. C’est ça.
Je lui ai fait signe. Je lui ai parlé... J’ai dit à l’interprète: «N’interprétez pas ça.» J’ai dit: «Père céleste, c’est de nouveau le–le mont Carmel.» J’ai dit: «Tu ne permettras pas que Ta Parole soit vaincue. En effet, Tu m’as montré que cet homme recouvrerait la vue.» J’ai dit: «Que le Dieu qui m’a montré la vision montrant les yeux de cet homme ouverts les ouvre.» Et cet homme a lâché un cri, et il voyait aussi bien que moi. Et il s’en est allé. Il a couru vers le maire de la ville.
9 J’ai dû quitter l’estrade. Je n’avais pas de souliers en partant de là ni de poches à mes habits. Ces gens avaient formé de fortes ceintures. Je–je pense des gardes ou quelque chose comme cela, tenant de longs bâtons, vous savez, tenaient les gens à distance comme cela. Et ces gens leur marchaient sur les pieds, leur passaient sous les jambes, juste pour me toucher, ils rampaient par-dessus leurs dos. J’ai dû quitter la ville sans avoir même ... Je ne pouvais pas sortir de la ville à cause de la protection qu’il fallait avoir.
Et cet homme a témoigné devant le gouverneur ou le... ce que cela... le président, je pense, là. Et le maire de la ville en était témoin. J’ai son nom, je l’ai dans une de mes poches donc, je pense, là au–au motel, dans l’une des poches de mon manteau.
Et ils m’ont réinvité là, à quoi? A New Delhi? New Delhi? New Delhi, je pense, là où on a un amphithéâtre qui peut contenir un million de personnes. J’espère donc retourner. Il est toujours Dieu. Amen. Il ne change jamais. L’heure vient.
10 Et comme je le disais ce matin dans mon sermon, si jamais un homme allait dans ces pays et voyait les besoins de ces gens, nous aurons alors honte de nous-mêmes. On a là des hommes qui prêchent l’Evangile, que nos petites églises ici supportent autant que possible certains de ces hommes qui prêchent l’Evangile pieds nus. C’est vrai. Des missionnaires qui prêchent l’Evangile pieds nus, et peut-être avec un petit plat de curry... environ deux fois la semaine, parcourant des jungles partout, cherchant à prêcher l’Evangile. Et nous, nous construisons des bâtiments de six millions de dollars et... comme si nous resterions ici pour toujours, et nous prêchons que la Venue du Seigneur est proche! Ça ne fait pas sens pour moi. Je–je–je–je ne voudrais pas m’emballer sur ce point-là; nous sommes sur un autre sujet.
Eh bien, hier soir... Avant d’aborder la Parole, approchons-nous de l’Auteur dans la prière. Inclinons la tête.
11 Notre Père céleste, nous nous sommes de nouveau rassemblés ce soir au Nom du Seigneur Jésus-Christ, notre Aimable Sauveur, Ton Fils. Nous nous sommes rassemblés en Son Nom, car Il a promis que si deux ou trois se réunissaient en Son Nom et demandaient quelque chose, ils le recevraient. Maintenant, Père, nous dépassons ce nombre-là, mais cela montre simplement que Tu es disposé à rencontrer l’Eglise peu importe combien Elle est en minorité; Tu rencontres toujours Ton peuple. Et ce soir, nous Te prions de venir nous bénir.
12 Demain, dimanche, des milliers de chaires seront ouvertes à travers le monde, demain. Ô Dieu, certaines le sont déjà dans d’autres pays; on est déjà dimanche matin dans d’autres pays. Nous Te prions, Père, d’oindre Tes serviteurs partout. Oins Tes missionnaires partout où ils sont. Tes serviteurs qui prient pour les malades, ô Dieu, puissent-ils être tellement oints que de grands signes et des prodiges s’accompliront partout par chaque homme de chaque église, dans chaque aspect du christianisme. Seigneur, qu’il vienne un temps où Dieu déversera Son Esprit de telle manière que les critiqueurs reculeront et que l’Eglise du Dieu Vivant sera rassemblée comme une poule rassemble sa couvée. Accorde-le, Père.
Nous prions pour cette église qui nous a ouvert ses portes pour entrer. Nous Te prions de bénir demain les pasteurs, les moniteurs de l’école du dimanche, la chorale, toutes ses activités, ses laïques, ses diacres, ses administrateurs et que sais-je encore. Et que le matin, lorsqu’ils se rassembleront pour la classe de l’école du dimanche, il y ait de grands signes et de grands prodiges qui s’accomplissent. Que le Saint-Esprit descende dans la salle et qu’un réveil éclate, sous la puissance de Dieu, se répandant partout dans la salle. Que cela soit dans la ville un exemple de ce que Dieu peut faire lorsque Son peuple se rassemble et s’unit pour prier.
13 En ayant ce soir ce frère indien, sa femme et les petits enfants, je suis si reconnaissant, Seigneur, de ce que–qu’ils sont ici parmi nous ce soir. Et cela nous montre bien, Seigneur, que c’est vrai, ce qui est écrit dans le Livre, que Dieu ne fait acception de personne. Et dans toutes les nations, Tu–Tu–Tu honores ceux qui T’adorent et Te craignent. Nous en sommes si reconnaissants, de ce que Tu es le Père Universel de nous tous, un Père éternel. Et nous Te prions, Seigneur, de nous envoyer Tes bénédictions éternelles ce soir.
Pardonne-nous nos péchés comme nous pardonnons à ceux qui ont péché contre nous. Qu’il n’y ait aucune racine d’amertume dans nos coeurs, nulle part. Que le Saint-Esprit purifie nos vies et notre conscience de telle manière que la Parole que nous sommes sur le point d’apporter soit proclamée étant ointe par l’Esprit. Puisse cela... Circoncis les lèvres qui parlent et les oreilles qui entendent, afin que la Parole ne tombe pas dans une terre superficielle, ni sur une terre rocailleuse où Elle va être emportée par les–par les oiseaux du ciel; mais qu’Elle tombe dans une bonne terre de foi riche et qu’Elle produise au centuple. Accorde-le, Seigneur. Nous Te confions tout cela, ainsi que nous-mêmes avec cela, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
14 Je me réjouissais moi-même de ces messages sur Abraham, ce que j’en tire. C’est...?... Appréciez-vous cela? Abraham. Et en abordant cela, je ne sais pas ce que vous allez dire; en effet, le Saint-Esprit ne fait que conduire d’une chose à l’autre. Et nous apprécions certainement cela. Nous... dernier... Avant-hier soir, nous avons laissé Abraham là où il avait été appelé de Dieu. Hier soir, nous l’avons vu se séparer de... l’obéissance totale. Nous voyons qu’on ne peut pas être béni et que Dieu ne peut rien faire pour vous avant que vous Lui obéissiez totalement.
15 Eh bien, il y a juste une petite instruction que je peux donner aux malades. Vous pouvez venir ici, on peut prier pour vous; vous pouvez demander aux anges de vous imposer les mains, cela ne vous fera rien à moins de croire premièrement cela, de l’accepter et de le confesser, car Il est le Souverain Sacrificateur de notre confession. Il nous faut premièrement confesser cela avant qu’Il puisse témoigner cela devant Dieu. Car Il est le Souverain Sacrificateur, là, qui intercède sur base de notre confession de ce qu’Il a fait pour nous.
Qu’est-ce donc la guérison divine? Cela veut-il donc dire qu’il nous faut attendre jusque demain soir pour être guéri? Absolument pas. Dois-je venir à l’église? Absolument pas. Aussitôt que vous croyez en Dieu et que vous acceptez cela comme votre propriété personnelle, c’est terminé en ce moment-là même. C’est vrai. «Quand ai-je été guéri, Frère Branham? J’ai été sauvé la semaine passée; j’ai été sauvé avant-hier soir, il y a dix ans.» Vous avez été sauvé il y a mille neuf cents ans lorsque Jésus mourut pour vous au Calvaire. Et chaque bénédiction de la rédemption que Dieu a pour vous... Jésus a dit à la croix: «Tout est accompli.» Le prix a été payé pour tout.
C’est juste comme si vous étiez dans un magasin de prêt sur gages et que Dieu venait vous en faire sortir. Oh! quelle belle leçon là-dessus! Nous pourrions aborder cela la semaine prochaine, avec Ruth et Naomi, le parent rédempteur. C’est une belle leçon. Beaucoup... Toute la Bible est magnifique, et tout cela, parce que c’est la Parole de Dieu.
Maintenant, lorsque vous arrivez à accepter votre guérison ou votre salut, que vous soyez en train de marcher dans la rue, que vous soyez... où que vous soyez, au moment où vous acceptez cela, c’est alors que vous faites demi-tour.
16 Il y a environ un an, je tondais la pelouse dans ma cour, et–et j’essayais... Parfois, je dois enfiler ma salopette et faire quelques tours en tondant; alors, quelqu’un arrive, et il vous faut aller prier pour lui. Je sors par la porte de derrière, je me change et je reviens. Et j’étais à court d’essence. Et alors, je me suis avancé sous la véranda, j’ai vu un vieux camion délabré s’arrêter devant la maison, un gentleman est venu, remontant la rue là, la petite route qui mène à la maison. Et il a dit: «Je cherche frère Branham.»
J’ai dit: «C’est moi frère Branham.» Il a regardé cette salopette et tout, il a dit: «Oui, monsieur.»
J’ai dit: «C’est vrai.»
Et alors, il a dit: «Eh bien, Frère Branham, je tenais vraiment à vous voir un moment; je pense que vous êtes occupé.»
J’ai dit: «Je ne serai jamais trop occupé pour parler du Seigneur.» Et il a dit: «Eh bien...»
J’ai dit: «Ne voudriez-vous pas entré?»
Il a dit: «Non, je vais juste m’asseoir ici sous la véranda.»
17 Il a dit: «Frère Branham...» Il m’a dit d’où il venait, il a dit: «Je suis né et–et j’ai été dédié, ou consacré, je ne sais pas comment on appelle cela, comme luthérien.» Il a dit: «Je pense que lorsque j’étais un petit garçon, c’était alors la dernière fois pour moi d’aller à l’église, à ma connaissance, à moins que ma mère m’y ait amené une autre fois sans que je le sache.» Il a dit: «Je suis marié», un très bon homme d’affaires. Il a dit: «J’avais beaucoup de biens, beaucoup... J’avais une bonne affaire de véhicules, et je faisais beaucoup d’argent.» Il a dit: «Un jour, ma femme est allée chez les pentecôtistes.» Je vais le dire tel qu’il l’avait dit; il a dit: «Elle est allée là chez les pentecôtistes et elle a eu des esprits.» Et il a dit: «Elle, a-t-il dit, elle menait une–une bonne vie.» Et il a dit: «Elle est venue me voir et a cherché à m’amener à avoir ces esprit. Et j’ai dit: ‘Non’, a-t-il dit, et j’ai dit: ‘Chérie si tu veux y aller, ai-je dit, vas-y de toute façon.’» Il a dit: «Eh bien, souviens-toi, si tu changes de vie...» Il a dit: «Nous–nous avions un mode de vie ordinaire à l’américaine, avec le cocktail, des danses, on s’enivrait, et tout le reste.» Et il a dit: «J’étais content de la voir mettre les choses en ordre.» Il a dit: «Elle a fait cela, et elle était devenue une personne différente.» Il a dit: «Je me suis dit: ‘Eh bien, si–si c’est ça qu’elle fait, j’en suis–j’en suis très content.’» Et il lui a dit: «Eh bien, tu as le chéquier, chaque fois que ta petite église a besoin d’argent, ton nom sur le chèque est aussi valable que le mien. Vas-y, remplis-le.» Et il a dit: «Mais, quant à moi, je–je ne suis pas croyant.» Il a dit: «Si tu veux te faire croyante, vas-y.»
18 Et il a dit: «Eh bien, ça fait environ un an qu’elle était dans cette petite église.» Il a dit: «Ils tenaient une convention à Tennessee.» Je suppose donc que c’était l’Eglise de Dieu de la prophétie; c’est là qu’ils–qu’ils tiennent leurs conventions, là. Et alors, il a dit: «Elle y est allée.» Il a dit: «Je vendais une voiture dans un... là dans le... dans un parking, a-t-il dit, à certaines dames.» Et il a dit: «Je portais mon manteau, c’était en été.» Il a dit: «Je suis passé là devant elles pour faire mes ventes.» Et il a dit: «A mon retour, il m’est arrivé de penser: Ai-je donné à cette femme le double du jeu de clés? J’ai introduit la main dans ma poche et, a-t-il dit, j’avais là un petit morceau de papier carré portant un point d’interrogation, et au verso, il était écrit: ‘Où passerez-vous l’éternité?’» Eh bien, il a dit: «J’ai regardé, je me suis dit: ‘Eh bien, je me demande qui a mis ça dans ma poche.’ Et je l’ai simplement jeté dans une poubelle.» Il a dit: «Quelque Chose m’a dit: ‘Mais cela doit être réglé.’» Il a dit: «J’ai tendu la main, je l’ai ramassé et, a-t-il dit, je me suis mis à trembler et je me suis dit: ‘C’est vrai. J’ai dépassé quarante ans. Je devrais donc trouver où j’irai la passer.’» Et il a dit–il a dit: «Oh! regardez donc ça, vous vous embrouillez simplement.» Alors, il a de nouveau jeté cela, cherchant à s’en détourner; il a allumé le ventilateur et tout. Il a dit... Il a encore regardé cela. Cela continuait à retentir dans son coeur: «Où passerez-vous l’éternité?» Il a ramassé cela pour la troisième fois. Et il a dit que cela l’avait rendu tellement nerveux qu’il ne pouvait même pas... Il est rentré chez lui.
19 Il a dit qu’il avait entendu dire que le célèbre évangéliste Billy Graham tenait une réunion dans un Etat non loin de chez lui. Il a dit qu’il est allé à cette réunion-là, s’attendant à en parler avec monsieur Graham. Et il a dit: «Monsieur Graham a apporté un message remarquable ce soir-là. Et il a dit: ‘Que tous ceux qui veulent voir... recevoir Jésus-Christ se mettent debout et lèvent la main.’» Il a dit: «Je me suis levé et j’ai levé la main.» Il a dit: «On m’a fait entrer dans une pièce et on m’a dit: ‘Avez-vous cru qu’Il est le Fils de Dieu?’ Et j’ai dit: ‘Oui, je crois.’ Et ils m’ont dit que, sur base de ma foi, j’étais devenu un chrétien, et ils m’ont dit: ‘Tout est terminé maintenant.’»
Il a dit: «Frère Branham, mais tout n’était pas terminé.» Il a dit: «Je suis parti de là; et après, je suis allé à un autre endroit, auprès des gens appelés les méthodistes libres.» Il a dit: «Ils m’ont dit que je devais être sanctifié, devenir joyeux, crier, et alors, tout serait terminé.» Il a dit: «Ils sont restés avec moi.» Il a dit: «Je suis devenu joyeux, sanctifié, j’ai crié et c’était...» Mais il a dit: «Ils m’ont dit: ‘Tout est fini.’» Et il a dit: «Ce n’était pas le cas.» Il a dit: «Alors, je suis allé auprès d’un célèbre frère pentecôtiste qui parcourait le pays, l’un des plus grands groupes pentecôtistes.» Il a dit: «Ce frère a dit: ‘Avez-vous déjà parlé en langues?’» «Non.» «Ce frère a dit: ‘Alors, vous n’avez pas reçu le Saint-Esprit.’ Il a dit: ‘Alors, rentrez dans l’autre tente et recevez le Saint-Esprit.’»
Il a dit: «Ils étaient très gentils envers moi, ils ont travaillé avec moi, et tout.» Il a dit: «Je suis resté là, certains d’entre eux étaient restés là avec moi, jusque tard la nuit.» Il a dit: «Finalement, la puissance est descendue sur moi et j’ai parlé en langues.» Et il a dit: «Je suis sorti de là, a-t-il dit. Je suis allé voir l’évangéliste le lendemain, et il a dit: ‘Tout est fini.’» Et il a dit: «Frère Branham, tout n’était pas fini.»
20 Et il a dit: «Alors, je–je suis allé de là chez les... De là, a-t-il dit, je–je suis allé à La voix de la Guérison.» Et il a dit: «Arrivé à La voix de la Guérison, a-t-il dit, j’ai vu tous les frères là, et ils m’ont dit que j’avais franchi la ligne de démarcation dans ma vie et, a-t-il dit, il n’y avait pas de place pour moi. Ils ont dit: ‘Le seul qui vous redressera, ont-ils dit, c’est frère Branham, allez le voir, c’est un prophète.’» Eh bien, c’est faux, mais... «Il a dit: ‘Ce–c’est un prophète; il pourra regarder et voir là où vous avez franchi la ligne de démarcation et, peut-être, vous reviendrez faire quelque chose. Il y a quelque chose que vous n’avez pas fait ou... vous feriez mieux d’aller le voir’» Il a dit: «Frère Branham, me voici.»
Et j’ai dit: «Eh bien, frère, ai-je dit, je ne suis pas prophète» J’ai dit: «Mais le Seigneur me permet d’avoir le discernement des choses pour aider les gens, un petit don simple.» J’ai dit: «Mais je–je ne me dis pas prophète.» J’ai dit: «Mais–mais vous n’avez pas besoin d’un prophète pour ça. Vous avez juste besoin de vous mettre en ordre. C’est tout. Vous ne...»
21 J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question.» J’ai dit: «Ce que Billy Graham vous avait dit était la vérité.» Et j’ai dit: «Ce que les méthodistes vous avaient dit était la vérité. Et ce que les pentecôtistes vous avaient dit était la vérité. Mais ce n’était pas toute la vérité.» Voyez? J’ai dit: «C’était la vérité, mais pas toute la vérité.» J’ai dit: «Je crois dans le fait d’accepter Christ comme Sauveur personnel; je crois ça. Je crois dans la sanctification, et–et dans la purification de la vie, et dans le fait de devenir joyeux et de pousser des cris; je crois ça. Je crois dans le parler en langues et le baptême de l’Esprit, et je crois dans tout ça. Mais, ai-je dit, ce n’est pas exactement ce dont nous parlons.»
22 J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question.» J’ai dit: «Rappelez-vous donc, vous avez dit que pendant quarante ans de votre vie, vous n’avez rien fait.»
Il a dit: «Frère Branham, j’ai vendu chaque véhicule que j’avais et j’ai donné cela aux prédicateurs et aux évangélistes. J’ai fait tout ce que je savais faire, j’ai arrangé ce que j’avais fait dans ma vie.»
J’ai dit: «Ce n’était pas nécessaire; vous n’aviez pas à faire cela.» Voyez? J’ai dit: «Dieu ne vous a jamais exigé de faire cela.» J’ai dit: «Vous ne pouvez pas payer le prix pour entrer. Ce n’est pas ça la chose.» Mais j’ai dit: «C’est Sa grâce qui vous fait entrer.»
Il a dit: «Eh bien, que dois-je faire?» J’ai dit: «Rien, il n’y a rien que vous puissiez faire.» J’ai dit: «Vous m’avez dit que pendant les premiers quarante ans de votre vie, vous ne vous occupiez pas de Dieu. Mais vous avez ramassé un petit morceau de papier où il était écrit: ‘Où passerez-vous l’Eternité?’ Et quelque chose vous a dit: ‘Cette question doit être réglée.’ Vous ne pouviez pas y échapper. Eh bien, vous descendiez la route dans cette direction-ci et, tout d’un coup, vous avez fait demi-tour vers cette autre direction. Vous ne vous occupiez pas de Dieu, vous avez commencé à Le chercher.» J’ai dit: «Là où vous avez fait demi-tour, c’est exactement là que vous avez changé, là même.»
Il a dit: «Donc, j’avais cela tout le temps.»
J’ai dit: «Certainement.»
Il a dit: «Eh bien, gloire à Dieu!» (Voyez?)
23 Ce n’est pas sur base d’une quelconque sensation, mais avez-vous cru cela? Voyez? C’est là que vous avez eu–vous avez eu... Voyez, peu importe combien de sensations de sanctification... On éprouve une sensation quand on est sanctifié. On éprouve une sensation quand on reçoit le baptême du Saint-Esprit. Mais lorsque vous recevez Christ comme votre Sauveur, cela vous fait faire demi-tour. Aucun homme... Dans Saint Jean 5.24, Jésus dit (Pensez à une poignée et deux douzaines d’oeufs, voyez?), 5.24: «Celui qui écoute Ma Parole et qui croit à Celui qui M’a envoyé a (temps présent) la Vie Eternelle, et ne viendra point en Jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Vous y êtes. Voyez? Là même, vous avez fait demi-tour. C’est une partie du Saint-Esprit. La sanctification est une autre partie du Saint-Esprit. Puis, lorsque vous En êtes tellement rempli que vous ne pouvez rien faire d’autre, comme frère Roe l’a dit, Il vous donne alors une autre langue. Et alors, en essayant... Il vous remplit tout simplement. Il faut le Saint-Esprit... «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire premièrement. Tous ceux que le Père m’a donnés viendront à Moi.» Vous y êtes. Aussitôt que vous avez donc le moindre tintement dans votre coeur pour venir à Christ, faites-le aussitôt, car c’est la chose la plus glorieuse qui vous soit jamais arrivée, que Dieu vous invite au Souper des Noces de Son Fils. Je n’en connais pas de plus grand.
24 Maintenant, votre récit, Abraham, nous l’avions laissé hier soir après qu’il eut connu une grande épreuve. Sara avait décidé de donner Agar comme femme à Abraham, et celle-ci avait enfan... elle avait donné naissance à un enfant du nom d’Ismaël; et Abraham savait néanmoins que ce n’était pas cela la chose; il est donc allé devant Dieu. Ce qui était arrivé était dans le plan de Dieu, mais Dieu lui avait promis un enfant par Sara. Et alors, il avait cent ans, et Sara, quatre-vingt-dix.
Il est allé devant Dieu, et Dieu lui est apparu, Il est venu vers lui sous le Nom du Dieu Tout-Puissant. Le mot hébreu pour cela, c’est El-Shaddaï, le Tout-Puissant. Et nous avons vu, en décomposant ce mot-là, que Shad, en hébreu, veut dire sein. Shaddaï signifie le Dieu porteur des seins. Un Dieu qui a des seins pour déverser Sa propre force dans Ses enfants croyants. Lorsqu’ils sont malades, lorsqu’ils sont faibles, lorsqu’ils ont l’esprit abattu, Dieu déverse Sa force en eux lorsqu’ils s’emparent de Sa «promesse sein» et qu’ils se mettent à se ressourcer à ces promesses.
25 Le Puissant qui a des seins. Oh! Je pense que c’est le plus beau tableau. Voyez, quelle consolation pour un vieil homme de cent ans, de se tenir toujours sur la promesse de Dieu! Eh bien, la Bible dit: «Ils étaient fort avancés en âge, ils étaient fort avancés en années.» Un vieil homme qui tenait ferme à la promesse de Dieu... Et Il lui a dit: «Je suis le Porteur des seins, tu n’es pas plus qu’un petit enfant qui s’agite.» Le sein de Sara était desséché depuis quarante ans; elle connaissait la ménopause depuis quarante ans, cinquante ans avant cela, ce n’était peut-être pas arrivé. Elle était là, toutes ses veines avaient séché, et elle était stérile. Et–et lui, en tant–en tant qu’homme, il était pratiquement mort: il n’était plus virile. Et il était là, un vieil homme, et sa femme, très vieille. Et Dieu lui dit: «Mais c’est Moi la Mère. (Amen!) C’est Moi la Mère, prends simplement... continue simplement à tenir ferme à Ma promesse et continue à absorber. Je suis capable de faire quelque chose pour toi.» Oh! j’aime ça.
26 Et pour lui montrer ce qu’Il allait faire, Il a changé son nom, au chapitre 17. Il a changé le nom de Sara. C’est vrai. Faites attention à ces noms, ils signifient quelque chose. Pourquoi changea-t-Il le nom de Jacob en Israël? Pourquoi changea-t-Il le nom de Saul en Paul? Pourquoi fit-Il toutes ces choses? Après qu’Il eut vaincu et qu’Il fut entré dans la Gloire, il est dit que Son Nom a été changé. Dans Apocalypse, une promesse a été donnée à ceux qui vaincront, qu’Il leur ferait savoir Son nouveau Nom. C’est vrai. Chaque fois qu’on vainc, on reçoit un nouveau nom.
Abraham, quand il eut finalement vaincu, son nom d’Abram a été changé, il lui a été dit: «On ne t’appellera plus Abram, mais tu seras appelé Abraham.» Il lui a donné une partie de Son Nom, Il a collé Son Nom à cela: Elo-him. H-i-m et H-a-m, Elohim. En d’autres termes: «C’est Moi le Père de toutes choses.» Voyez? Je fais de toi le père des nations; J’ai donc changé en te donnant une partie de Mon Nom, père des nations, H-a-m. Voyez? Elo-him, Abraham...
C’est une bonne expression; y avez-vous déjà réfléchi? Aujourd’hui un grand évangéliste porte le nom de Graham, G-r-a-h-a-m, Billy Graham. Pensez-y, comment Dieu dans Sa miséricorde, comment Il sait d’avance, et les choses qu’Il fait. Maintenant, remarquez ce qu’Il a fait là, Il a changé Saraï en Sara, le nom de Saraï, Saraï, en Sara. Faites attention là, Sara veut dire princesse. Et lui était le père des nations. Oh! c’est beau, n’est-ce pas? Pour ce vieil homme et cette vieille femme, âgés de cent ans à ce moment-là, la promesse est sur le point de s’accomplir.
27 Maintenant, nous voyons qu’après cela, Abraham a eu... Il s’est séparé, il est allé prendre son frère Lot, il l’a ramené. Et alors, après l’avoir arraché de l’ennemi qui voulait le tuer, il l’a ramené, pensant peut-être qu’il sortirait peut-être alors et se séparerait de toutes les choses du monde. Plutôt que cela, il est retourné carrément à Sodome comme un cochon à son bourbier et un chien à ses vomissures. Ils retournent directement à cela.
C’est là-dessus que je cogne fortement. Recevez... Peu importe combien je cogne dessus, ça se fera de toute façon. Mais au jour du Jugement, lorsque cet enregistrement qui a été pris au Ciel, ne l’oubliez pas, cela se fera entendre contre vous. C’est vrai. L’église pentecôtiste devient froide et formaliste, elle s’enfonce très profondément dans une organisation: «Et tant que nous sommes membres de telle église, c’est tout ce qui importe.» Vous devez naître de nouveau. Vous devez avoir l’Esprit. Vous devez avoir les oeuvres, les signes, les prodiges et autres comme Dieu l’a promis. Et c’est là-dessus que je vois l’église se refroidir. Peu importe combien je prêche contre cela. Je peux me lever et dire aux femmes de ne pas porter des shorts, de ne pas se couper les cheveux, mais elles le feront malgré tout. Je peux dire aux églises pentecôtistes qu’investir de l’argent dans ces grandes activités, et suivre la mode, former des organisations, se détacher des autres, juste comme les autres églises avaient fait, celles qui étaient tombées avant elles... elles vont de toute façon le faire. Dieu a dit qu’elles le feraient.
28 Mais ce que j’essaie de faire, c’est secouer, arracher et tirer de là. Aujourd’hui, à la réunion, pendant que je prêchais, le Saint-Esprit est descendu sur un petit garçon, il est venu là et a parlé en français, alors qu’il ne connaissait aucun mot français. Et un homme qui était là... il n’y avait pas d’interprétation. Deux d’entre eux (l’un est un interprète aux Nations Unies), il a parlé à haute voix, et le Saint-Esprit a parlé, confirmant que le Saint-Esprit m’avait envoyé accomplir cette oeuvre-ci en y restant loyal et en y restant attaché, peu importe les circonstances. Ils liront cela un... Voyez, cela se manifeste en plein parmi les pentecôtistes. Oui, oui. Frère, faites attention. Fuyez au Rocher. Allez à la Maison de refuge. «Le Nom de l’Eternel est une tour forte; le juste s’Y réfugie et se trouve en sûreté.» Les grandes murailles de Babylone s’écroulent.
29 C’est comme là en Inde, lorsqu’on a connu le tremblement de terre, je pense, juste l’année où j’étais arrivé, il y a de cela six ans. J’avais pris un journal, un journal en anglais, et il y était écrit: «Je pense que le–le tremblement de terre est terminé.» En Inde, on n’a pas de belles clôtures et tout comme vous en avez tous ici. Ils ramassent des pierres et en font des clôtures. Les animaux se tiennent là tout autour à l’ombre du soir. Les petits oiseaux y entrent et construisent leurs nids.
Un jour, ils ont vu tous les petits oiseaux s’envoler, partir. Et tout le bétail ne voulait pas venir se tenir tout autour des murs et autres. Ils sont allés en plein milieu du champ et se sont penchés les uns contre les autres sous le soleil. On se demandait pourquoi. Après, un grand tremblement de terre a secoué la ville, il a écroulé les murs. Qu’est-il arrivé? Tous les petits oiseaux, s’ils s’étaient retrouvés là dans ces petites fissures, auraient été tués. Si les animaux s’étaient tenus là sous ces clôtures en grosses pierres et sous ces murs, cela serait tombé sur eux et ça les aurait tués. Qu’était-ce? Dieu leur a fait savoir, par l’instinct, que le tremblement de terre était imminent; ils ont fui pour s’abriter. Si Dieu... Le même Dieu qui les avait fait entrer dans l’arche leur a dit de fuir loin des murs. Il est le même Dieu.
30 Eh bien alors, si Dieu peut utiliser une vache, un cheval, une brebis, un oiseau, à partir de son instinct, à fuir la colère à venir, vous feriez mieux de vous éloigner de ces grands et vieux murs de Babylone et fuir auprès de Jésus-Christ, car ils vont s’écrouler et tomber l’un de ces jours. Rappelez-vous, il y eut une Pierre qui se détacha de la montagne sans le secours d’aucune main, Elle roula sur Babylone et mit tout en pièces sur son passage. Et le royaume de ce monde s’écroulera bien certainement. Tout royaume institué par l’homme doit s’écrouler, afin que le Royaume de Dieu puisse avoir un droit de passage. Toutes les organisations formées par les hommes s’écrouleront et seront réduites en poussière, afin que la puissance du Saint-Esprit prenne l’Eglise et L’enlève dans les lieux célestes. C’est vrai. Oui, oui. Ils... Tout a son objectif, mais nous sommes au temps, frère, où Dieu appelle Son peuple à sortir. La Pierre qui se détacha de la montagne sans le secours d’aucune main est en train de rouler, écrasant Babylone, roulant simplement dessus. Eloignez-vous de grands murs, amis. Entrez en Jésus-Christ. C’est l’unique Lieu sûr de refuge que je connaisse.
31 Nous voyons là qu’Abraham, ayant trouvé ce que Dieu voulait qu’il fasse, Dieu l’a béni et a changé son nom; Il a changé le nom de Sara, Il leur a donné une–une–une promesse sûre que cela s’accomplirait. Puis, nous le trouvons, je pense que c’est au chapitre 18, nous le trouvons assis dehors dans le champ, quelque part dans le désert, à un endroit aride.
Oh! la la! Je ne sais pas pourquoi cela continue à bouillonner en moi. Je... Pardonnez-moi. Non, ne me pardonnez pas. Eh bien, ce–ce serait mauvais. Pourquoi est-ce, frères? J’étais là il n’y a pas longtemps et je suis allé auprès d’un groupe important de braves hommes pentecôtistes. Et j’ai dit: «Vous donnez de mauvais témoignages. Vous parlez tout le temps de combien Dieu vous bénit, de grands biens que vous avez, du nombre de Cadillacs que vous possédez, et tout comme cela. C’est de loin différent des premiers pentecôtistes. Ils ont vendu tout ce qu’ils avaient, ils ont donné cela aux pauvres et sont allés prêcher l’Evangile. Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond quelque part.» C’est tout à fait vrai. Un homme s’est levé là et a dit: «Frère Branham, c’était la plus grosse erreur que ces gens aient jamais commise.» Nous étions à la Jamaïque. S’il y a ici quelqu’un, frère Bonamore, je pense, s’en est souvenu. Je ne sais pas si frère... Oui, il était avec moi, il était là ce soir-là.
J’ai dit: «Voulez-vous me dire que vous pensez que Dieu commet une erreur? Dieu ne commet pas d’erreur. Un homme qui est conduit par Dieu, Il est conduit par Dieu à faire cela.»
32 Il a dit: «Alors, quand il y a eu la persécution, ils ont manqué des maisons où aller. Je pense que vous pensez que c’était une erreur.»
J’ai dit: «Honte à vous. Vous n’en savez pas plus, ayant passé tout ce temps dans la Pentecôte, vous ne connaissez pas Dieu plus que ça. C’est exactement ce que Dieu devait faire. Ils n’ont pas eu où retourner; ils sont allés partout répandre le Message, dans tout le pays. Dieu sait ce qu’Il fait.» Il les a laissés être conduits, assurément. Dieu ne commet pas d’erreurs. C’est vous et moi qui commettons des erreurs. Dieu n’en commet pas. Lorsque vous vous sentez conduit par l’Esprit, avancez, avancez, continuez simplement d’avancer.
33 Ici, Abraham n’était pas à Sodome pour voir combien il pouvait obtenir. Il était là dans les champs par obéissance à Dieu. Probablement que Sara n’avait pas les nouvelles robes que madame Lot portait et ne suivait pas toutes les modes. Cependant, il est dit qu’il n’y avait pas dans ce pays une femme aussi belle qu’elle. Elle était une mère, et elle aimait aussi son mari au point qu’elle ne se moulait pas dans des robes pour sortir dans la rue, et faire des histoires comme les mesdames Lot modernes le font, et des choses semblables. Elle appelait son propre mari seigneur. Et la Bible dit: «Vous êtes ses filles, tant que vous obéissez à la Parole.» C’est vrai.
Elle était là. Nous les voyons là. C’était un temps difficile, les troupeaux dépérissaient. Tout semblait être... Mais Abraham est demeuré dans la promesse. Amen. C’est là que nous commettons notre erreur, frère. Ce ne sont pas nos organisations qui commettent l’erreur. C’est nous qui sommes dans des organisations qui commettons l’erreur. Voyez? C’est en ordre tant que vous... si vous demeurez dans la promesse. Mais lorsque vous entrez dans ces choses, vous commencez à devenir empesé, vous voulez agir comme le reste du monde. C’est pourquoi Dieu s’en éloigne.
Je regarde en face l’un des plus grands historiens des Etats-Unis. Et je vais vous dire... Frère Paul Boyd est assis là même. Et je vais vous dire une chose: Montrez-moi un seul extrait de l’histoire où une église est devenue une organisation sans qu’elle soit tombée pour ne jamais se relever. Trouvez cela: Cela n’est jamais arrivé, et cela n’arrivera jamais. Ce n’est pas la volonté de Dieu. Nous aborderons cela la semaine prochaine.
34 Remarquez, mais maintenant... alors que nous continuons avec Abraham. Abraham habitait le pays, il habitait là même où Dieu lui a dit d’habiter. Et tant qu’il restait là, Dieu était avec lui. Lorsqu’il a quitté ce pays, une malédiction est venue sur lui. Aussitôt que vous quittez la promesse de Dieu, soyez alors prêt à avoir des ennuis. C’est tout à fait vrai.
Eh bien, nous trouvons qu’un jour, il était assis là. Présentons cela sous forme d’une saynète afin que ces petits enfants le saisissent. Eh bien, je vois Abraham assis un matin à la porte de la tente. Il y avait un grand chêne là devant sa maison. On dit que ce chêne existe toujours. On l’a conservé, dit-on. Eh bien, là où il avait dressé sa tente, là au désert... Lot était là en bas. Oh! la la! Je pense que si cela pouvait exister en ce temps-là, il aurait eu un gros cigare, étant devenu le maire de la ville, vous savez. Et madame Lot et ses filles, toutes allaient aux expositions de mode, elles regardaient la télévision, et–et elles imitaient les styles de l’époque. Mais Sara restait fidèle; Abraham restait fidèle; ils s’accrochaient à Dieu et restaient là.
35 Qu’est-il donc arrivé? Un jour, pendant qu’Abraham était assis là, vers onze heures, je m’imagine, il a vu venir là trois Hommes dont les habits étaient tout couverts de poussière, marchant.
Vous savez, il y a quelque chose à ce sujet, vous pouvez passer juste à côté de la bénédiction de Dieu sans vous en rendre compte si vous n’avez pas bien prié. Je pense à cela: il avait bien prié.
Il y avait une petite femme irlandaise venue d’Irlande il n’y a pas longtemps. On raconte qu’elle était à bord d’un navire et elle était... Vers, oh! quand ils s’approchaient de New York, un grand typhon a balayé l’océan, et le navire ne faisait que lancer le message SOS, et il tanguait de lieu en lieu. Les orchestres jouaient, ils dansaient tous les rock-and-roll tant qu’ils le pouvaient et tout comme ça. Ils ont commencé... l’orchestre s’est mis à jouer... Le capitaine a dit: «Que tout le monde prie, que tout le monde prie à la manière de son église.» Alors, les orchestres se sont mis à jouer Mon Dieu plus près de Toi. Et tous s’y sont mis.
36 Une petite femme Irlandaise s’est mise à parcourir la pièce. Le capitaine a dit: «Si seulement nous pouvons résister à cet orage pendant trente minutes, nous accosterons au port et nous jetterons l’ancre.» Il a dit: «Mais si nous ne pouvons pas y résister pendant trente minutes, a-t-il dit, nous nous retrouvons au fond de la mer.» Cette petite femme irlandaise a dit: «Gloire à Dieu! Alléluia!» Alors, le capitaine s’est approché et lui a dit: «Madame, avez-vous compris ce que j’ai dit?» Il a dit...
Elle a dit: «Monsieur, je vous ai bien compris.»
Il a dit: «J’ai dit que dans trente minutes, nous pourrons nous retrouver au fond de la mer, si nous ne pouvons pas résister à cet orage pendant trente minutes.»
Elle a dit: «J’ai compris ce que vous avez dit.» Elle a dit: «Alléluia! Gloire à Dieu!» Il a dit: «Pourquoi ne priez-vous pas?» Elle a dit: «J’avais déjà bien prié. Je n’ai plus à prier.» Elle a dit: «J’avais bien prié pour commencer.»
«Eh bien, a-t-il dit, pourquoi dites-vous alléluia comme cela sachant que vous pourrez vous retrouver au fond de la mer?»
Elle a dit: «Monsieur, je viens de l’Irlande pour aller voir ma fille qui habite New York.» Elle a dit: «J’ai une fille dans la Gloire et une autre à New York. Si nous coulons, je verrai celle qui est là-haut. Si nous accostons, je verrai l’autre qui est là. Je verrai l’une d’elles dans trente minutes.» C’est ça. Avoir bien prié... Amen. C’est ainsi qu’il faut être: Avoir bien prié. Etre prêt pour cela. Elle allait rencontrer l’une d’elles dans trente minutes. Elle savait que soit cela... ça lui était égal, que ça soit là-haut ou là en bas, cela avait... elle allait voir l’une d’elles dans trente minutes. Eh bien, c’est bien beau. C’est ainsi que l’Eglise devrait être tout le temps: avoir bien prié.
37 Abraham avait bien prié et il était assis là. Lot ne savait peut-être pas, là en bas, ce qui se passait là dans le désert. Mais lorsqu’Abraham a regardé, il y avait quelque chose au sujet de cet Homme qui s’avançait là devant, Abraham a reconnu que c’était un peu étrange. Oh! la la! Un Homme d’apparence étrange. Il a accouru, et si vous remarquez bien, la toute première chose qu’il a dite: «Mon...» Pas «Mes seigneurs.» Je suis certainement en désaccord avec ce frère Juif qui a fait ce commentaire l’autre soir à Shreveport. Pas «Mes seigneurs», mais «Mon Seigneur.» S-e-i-g-n-e-u-r, un. Mon (majuscule) S-e-i-g-n-e-u-r, ne voudriez-vous pas entrer?» Or, faites tous attention au traducteur là, c’était Elohim, c’est ainsi qu’Abraham L’avait appelé. Ap-... Il L’a fait entrer. Il a dit: «Ne voudriez-Vous pas entrer Vous asseoir. Je Vous apporterai un peu d’eau, je Vous laverai les pieds. J’apporterai un morceau de pain.» Il a dit: «Puis, Vous... satisfaire Votre–Votre désir, puis, Vous pourrez aller là où Vous allez.» Je peux bien me le représenter aller discrètement et dire: «Sara, Sara, shh. Quelqu’Un est là dehors; apprête très vite la farine ou la farine de maïs...»
38 Combien ont déjà vu un tamis? Y a-t-il des femmes... Eh bien, de quelle partie du Kentucky êtes-vous? Je voyais ma mère avec ce vieux tamis aller au tonneau de farine, et elle avait un petit instrument rond semblable à une caisse à fromage avec un treillis métallique au fond, elle l’enfonçait comme ça, elle avait un vieux coin là; elle frottait la pâte quand la farine, se mouillait. Avez-vous déjà vu cela se faire?
L’autre jour, vous savez, j’avais acheté à ma femme un moulin à café, un du genre qu’on utilise pour moudre soi-même. Eh bien, je n’ai pas moulu avec un seul depuis que j’étais un petit garçon. Je... il me revenait de nettoyer le verre de lampe, vous savez, sur lequel on trouve le motif d’une grosse lune et d’un hibou, sur la lampe de la cheminée, vous en souvenez-vous? Il me fallait faire passer les mains là en bas et nettoyer cela...
39 Et je vois Abraham courir là et dire: «Dis donc, prends... pétris un peu de–de–de farine et prépare cela; prépare des gâteaux au four.» Il est allé demander à un serviteur de prendre un veau et de l’apprêter. Il est sorti et il a nourri ces Hommes. Eh bien, ils passaient pour des Etrangers venus d’un autre pays. Et ils étaient de passage. Et alors, je m’imagine bien Abraham prendre peut-être un chasse-mouche et se tenir là, vous savez, après le sombre et le... Combien savent ce qu’est un chasse-mouches? Eh bien, je sais que ces gens viennent du Kentucky. Certainement. Je me rappelle que lorsqu’il y avait de la visite, nous les faisions asseoir là dehors, je prenais ce vieux chasse-mouche, et je devais éventer; mon pauvre vieux bras se cassait pratiquement comme cela pendant que je chassais des mouches et que maman préparait. On devait donc se tenir là tout près de ce réchaud, nous essuyant la sueur et... à l’aide d’un chasse-mouches, vous savez, procédant comme cela pour empêcher les mouches d’accéder là où nous mangions. Nous avons été élevés dans la pauvreté. Et alors, il a pris du beurre et de la crème qu’il a déversés dans le récipient à lait, ou pas le récipient à lait, mais dans un petit endroit, ça montait jusqu’à couvrir la cruche, vous savez, le lait devient... la crème atteint à peu près cette épaisseur. Je me faufilais souvent pour en prendre une tasse, alors qu’elle essayait de garder cela. Oh! qu’est-ce que c’était bon!
40 Eh bien, nous voyons qu’Abraham a apporté cette nourriture là dehors et l’a déposé devant ces Hommes, et ceux-ci s’en sont servis. Abraham tenait vraiment à savoir le but de Leur voyage, car il savait que l’Un d’eux là, le Principal, c’était Dieu. Il savait que c’était Dieu; Il L’avait appelé Elohim. Et alors, qu’est-ce que cela représentait?
Nous voyons que deux d’entre eux se sont levés et sont allés à Sodome. Ils sont allés là prêcher et faire sortir ceux qui pouvaient être appelés à sortir. Et nous voyons que lorsqu’ils sont allés là, ils se sont mis à prêcher, ils n’ont pas accompli beaucoup de miracles. Ils les ont juste aveuglés. C’était... La prédication de l’Evangile les a aveuglés. Mais il y avait...
41 Eh bien, rappelez-vous, il y a chaque fois trois catégories au Jugement. Nous voyons l’Epouse revenir avec Christ. Dans Daniel, il est dit que dix mille milliers vinrent avec l’Ancien des jours. Le Jugement fut établi. Et les Livres furent ouverts, et un autre Livre fut ouvert, c’était le Livre de Vie. Voyez, la vierge endormie venait pour le jugement. Et un livre des impies fut ouvert, et Il sépara les brebis d’avec les boucs, mais l’Eglise enlevée revient avec Lui. Jésus vient trois fois. Il est venu la première fois pour racheter Son Epouse. Il vient la deuxième fois pour L’enlever. Il viendra une troisième fois avec Elle: racheter Son Epouse, recevoir Son Epouse, et revenir avec Son Epouse comme Roi et Reine sur la terre, et s’asseoir sur le trône de David, Son père.
42 Et maintenant, nous savons qu’il y a tout le temps trois catégories de gens. Nous voyons cela aujourd’hui. Il y a eu les luthériens, les méthodistes et les pentecôtistes. Il y a le pécheur, l’impie, la vierge endormie et la vierge sage. Toujours! Eh bien, nous voyons qu’il y avait les sodomites, il y avait Lot, l’église tiède; et il y avait Abraham qui s’était séparé d’eux et qui vivait à l’écart. Eh bien, le mot même église veut dire séparation. Israël était le peuple de Dieu avant son entrée dans le désert, avant d’être sorti; il devint par la suite l’Eglise de Dieu. Eglise veut dire appelé hors de, mis à part. Et Abraham était l’Eglise élue. Lot était la vierge endormie ou l’église formaliste. Et puis, il y avait les pécheurs, les sodomites.
43 Suivez donc, les sodomites et les formalistes là, Lot, dans sa condition formaliste... Or, il était un homme de bien, sans doute. Il est dit: «Les péchés de la ville tourmentaient son âme de juste.» Mais il y avait une Eglise élue, appelée, prédestinée par Dieu, Abraham, appelé à soixante-quinze ans; il lui avait été donné une promesse, pour que ça se confirme à l’épreuve. Attendez que nous avancions un peu plus loin ici, là où Il a confirmé cela. Très bien. Il lui avait parlé de l’enfant qu’il aurait. Et Abraham ne douta point de la promesse de Dieu par incrédulité. Peu importe combien de dollars de plus se trouvaient là, combien il pouvait devenir riche à Sodome et ce qu’il pouvait faire, il s’est accroché à Dieu, il a gardé la promesse. C’est l’Eglise élue. Il y en a chez les méthodistes, d’autres chez les baptistes, d’autres chez les pentecôtistes. L’Eglise élue sera formée de tous les groupes. C’est vrai. C’est celle-là qui entend la voix.
44 Quand Jésus était venu, le Seigneur Jésus-Christ, pourquoi ne L’ont-ils pas reconnu? Ils ne L’avaient jamais reconnu jusqu’à ce que ce fût trop tard. Ils n’avaient jamais reconnu Elie comme étant le prophète de Dieu. Eh bien, ils envoyaient leurs enfants le taquiner, le taxer de chauve parce qu’il était devenu chauve encore jeune homme. Ils n’ont rien su. Ils ne croyaient pas qu’il était un prophète. Certainement qu’ils ne le croyaient pas. Ils ne croient jamais cela. Jésus n’a-t-Il pas dit: «Vous, murailles blanchies, vous–vous ornez les tombeaux des prophètes et c’est vous qui les y avez mis»?
Considérez Jérémie, Esaïe, n’importe quel prophète. Ils n’ont pas été reconnus avant que tout fût consommé. Et quand Jean est venu, ils n’ont pas su ce que... Jésus Lui-même a dit: «C’est l’Elie qui avait été annoncé.» Et ils lui ont fait tout ce qu’ils voulaient, et même les disciples ne savaient pas que c’était... Jean était cet Elie. Et quand Jésus est venu, ils n’ont pas su qu’Il était Jésus; ils ne L’ont pas reconnu comme le Christ. Mais ceux qui étaient ordonnés à la Vie Eternelle («Mes brebis entendent Ma voix») avaient reconnu cela.
45 Venons-en à saint Patrick. Vous les catholiques, vous dites qu’il était catholique, je souhaiterais que vous me montriez l’histoire là-dessus. Il n’était pas catholique; il avait protesté contre l’évêque de Rome. C’est tout à fait vrai. Son école est là en Irlande du Nord. Il ne croyait pas dans le contrôle par un homme. Il croyait dans le contrôle par le Saint-Esprit. Oui, oui. Il croyait aussi au baptême du Saint-Esprit, au parler en langues, et–et à la puissance du Saint-Esprit. Saint A... Saint... (Qu’est-ce que je cherchais à dire?) Colomba a fait de même. Saint Martin de même; Irénée, de même. Eux tous croyaient dans la puissance de Dieu, dans la guérison divine, et la puissance du Saint-Esprit. Eux tous, ces saints de l’époque primitive...
Après, ils ont eu un groupe d’évêques empesés qui tenaient à former une organisation; ils ont organisé l’église, ils ont fait un conglomérat de péchés mêlé à des superstitions d’église et ils ont formé leur organisation. De là est issue l’organisation mère. D’elle sont issues toutes les autres; lisez Apocalypse 17 et voyez si ce n’est pas vrai. «La mère prostituée et ses filles étaient des prostituées.» Qu’est-ce qu’une prostituée, sinon une débauchée? C’est la même chose. Qu’est-ce que cela fait? Commettre la fornication spirituelle contre le vrai Père, le vrai Mari, adopter des doctrines et des credos élaborés par des hommes, recevoir les gens, devenir formaliste, et les introduire dans une drôle d’adoration formaliste. Nous adorons Dieu en Esprit et en Vérité; ce sont ceux-là que Dieu cherche. Oui. Assurément.
46 Eh bien, nous voyons qu’Abraham, Abraham était resté là; il était élu, une église appelée à sortir. Et, rappelez-vous, l’Homme qui était dans la chair humaine, cet Homme mangea de la viande de veau. Il but du lait de vache. Il but du pain et il prit du beur... mangea du pain et y mit du beurre, il but du lait de vache. Et Abraham L’appela Dieu. Regardez, prenez... Voyez les traducteurs, parcourez cela, voyez si c’est vrai: Elohim, Dieu.
Maintenant, j’aimerais vous faire remarquer que cela représentait quelque chose, quelque chose que nous aimerions vous faire voir assurément.
Maintenant, remarquez, nous voyons donc que, lorsque les deux hommes étaient descendus, les prédicateurs étaient allés prêcher, deux anges étaient descendus prêcher à Sodome... Ils n’ont point accompli cela, cette chose-là, ce signe-là; en effet, ils sont descendus là et ont accompli leur signe, montrant qu’ils sont allés les faire sortir. Mais ce n’était pas le même signe que l’Eglise élue avait reçu. L’Eglise élue avait reçu un autre signe. Et alors, remarquez ce que l’église avait reçu là, Celui qui était resté derrière avec l’Eglise élue. Vous souvenez-vous quand Il parlait? Il a dit: «Abraham...» Il l’a appelé par son nom nouveau que Dieu venait de lui donner. «Abraham, où est Sara (S-a-r-a, son nom nouveau à elle)?» Eh bien, c’était Lui qui les leur avait donnés. Oui.
47 Quelqu’un disait (j’ai souvent fait ce commentaire), il disait: «Frère Branham, vous ne croyez pas que cet homme était Dieu?» J’ai dit: «La Bible dit que c’était Dieu.» Voyez? C’est Lui. Il est le Créateur. Il peut faire tout ce qu’Il veut. Il a juste pris un peu de pétrole, un peu de lumière cosmique, un peu de calcium, de la potasse et [Frère Branham souffle.–N.D.E.] Il a soufflé là-dedans; Il est entré dans un corps et Il est descendu. C’est exactement ce qu’Il a fait. Il a fait de même pour les anges, là. Il peut faire la même chose. D’où sommes-nous venus? Qui a créé la terre? Où a-t-Il trouvé la matière pour former la terre? Montrez-moi où Il est allé prendre cela. La terre même sur laquelle nous sommes assis, c’est la Parole de Dieu rendue manifeste. Cette chaire, c’est la Parole de Dieu. Ceci est la Parole de Dieu rendue manifeste. Dieu a prononcé cela, Il est le Créateur. Il a créé cela à partir des choses qui... qui n’étaient pas ici pour faire cela. Il a créé cela. Il avait un objectif, Il peut créer. Il peut faire tout ce qu’Il veut; Il est Dieu.
48 Abraham L’a appelé Dieu. C’est ce qu’Il était. Abraham a dû le savoir, il parlait à Dieu, il Lui a parlé toute sa vie. Je pense qu’il a dû savoir qui Il était. Assurément. Il lui a dit: «Moi, Je vais accomplir cette promesse que Je t’avais faite.» Qui était Celui qui lui avait parlé jadis? «C’est Moi», a-t-Il dit. Et remarquez donc quand Il a dit: «Abraham, où est ta femme Sara?» Abraham, non pas Abram, Abraham... Et Dieu, dans le chapitre précédent, venait de lui donner ce nom d’Abraham. A l’époque, il n’y avait pas de journaux ni de télévisions et autres. Abraham était là seul, dehors, lui, sa femme, sa–sa famille, ses serviteurs. Et alors, Dieu lui était apparu, Il avait changé son nom, et l’Ange l’a appelé Abraham. Dieu avait changé le nom de Saraï en Sara, et Il l’a appelée Sara. «Où est ta femme Sara?» Comment avait-Il su qu’il était même marié? Comment avait-Il su, Lui un Etranger, que son nom était Abraham? Comment avait-Il su que son nom avait changé d’Abram en Abraham? Comment avait-Il su que le nom de Sara avait été changé en Sara? Et comment... ou plutôt de Saraï en Sara? Comment avait-Il su ces choses?
49 Et Abraham a dit: «Elle est dans la tente derrière Toi, là derrière.»
Il a dit: «Je reviendrai vers toi, Abraham.» En d’autres termes: «Je t’ai promis de te donner cet enfant, et tu as cru Ma Parole, maintenant, au temps fixé, Je reviendrai vers toi et tu auras cet enfant.»
Et Sara, qui avait une oreille tendue là derrière, a dit en elle-même, là; elle a dit en elle-même, eh bien, rappelez-vous, au fond de son coeur: «Comment éprouverais-je des désirs, moi, une vieille femme de quatre-vingt-dix ans, une grand-mère, une arrière–arrière–arrière-grand-mère? Et mon mari aussi, vieux, mon seigneur, là dehors, est vieux, il a cent ans; et me voici à quatre-vingt-dix ans, et je redeviendrais donc comme une jeune femme?» Elle s’est dit: «C’est drôle.» Et elle a ri.
Alors, l’Ange a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?» Et non seulement cela, mais Il a dit, Il a répété à Abraham les paroles, ce que Sara pensait dans son coeur. Il a dit: «Comment serait-ce possible?» Amen! Vous y êtes. Il était assis là le dos tourné à la tente... Alors, Sara eut vraiment peur. Elle avait compris ce qu’elle avait fait. «Pourquoi Sara a-t-elle ri, disant en elle-même: ‘Comment pourrais-je encore avoir le désir avec mon mari une fois de plus?» Mais Ses Paroles ont été confirmées, Il était Dieu.
50 Eh bien, qu’était-ce? Eh bien, Jésus s’est référé à cette même chose. Il a dit: «Ce qui arriva du temps de Lot arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Eh bien, remarquez, pourquoi n’allez-vous pas là toucher ces grands centres névralgiques? Cela n’a pas été envoyé à ces centres névralgiques, c’est à l’Eglise élue; c’est à Elle que c’est envoyé. Les autres ne croiront jamais ça. Je sais qu’il y en a ici ce soir alors que j’exerçais ce discernement l’autre soir, et je le sens maintenant même; il y en a beaucoup ici présents qui ne croient pas cela. Ne me dites pas le contraire; je peux citer votre nom. C’est vrai. Ne me dites pas le contraire. C’est vrai. C’est vrai. Je connais votre maladie. Dieu peut me dire ici même votre maladie, certainement. Et je sens cela. Pourquoi cherchez-vous à faire l’hypocrite à ce sujet? Ne voudriez-vous pas être ce que vous êtes en réalité? D’une part, vous avez peur. Je ne vous blâme pas. Un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné. Mais j’aimerais vous faire savoir que les Ecritures ne sont pas mystiques comme certains parmi vous, prédicateurs, le pensent. Ce n’est pas de la télépathie. Que Dieu ait pitié de votre âme pécheresse. Vous n’avez pas besoin d’une chaire; vous avez besoin d’un autel. C’est vrai. Mettez-vous en ordre avec Dieu. Rappelez-vous, un mot contre cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir. Eh bien, vous direz: «Ce n’est pas moi.» Ne me dites pas qui vous êtes; je sais. Voyez? Oui, oui. Ainsi donc, écoutez, je ne fais que vous avertir. Rappelez-vous, Dieu a promis que cela arriverait. Amen.
51 Remarquez, Il a dit... Suivez, qu’était-ce? Dieu dans la chair humaine. Dieu s’identifiera encore dans la chair humaine juste avant la Venue du Fils de l’homme. Quelle chair? Votre chair, ma chair. Dieu, descendant du Ciel, Dieu désirant ardemment la communion... Comment les gens... On dirait qu’il y a tellement de théologies mentales à ce sujet que vous manquez d’avoir le discernement de l’Esprit.
C’est comme un gars qui cherchait à me parler l’autre jour de trois dieux: Père, Fils et Saint-Esprit. Le Père, c’est la dispensation du Père; ce n’étaient pas trois dieux, mais trois offices de ce même Dieu: La dispensation du Père, la dispensation du Fils, la dispensation du Saint-Esprit; le même Dieu dans chacune. Ça ne vous demande pas un conseil de Nicée pour ça. C’est Dieu, le même Dieu tout le temps, un seul Dieu. Il était dans la dispensation du Père; c’est pourquoi Matthieu a dit: «Baptisez-les au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.» Pas trois dieux, un seul Dieu dans trois offices: Père, Fils et Saint-Esprit, trois attributs. Certainement.
52 Il était dans la Colonne de Feu comme Dieu, Jéhovah. Il... Personne ne pouvait Le toucher. Le péché était très loin de Lui; Il ne pouvait pas s’en approcher. Ensuite, Il est venu couvrir une vierge de Son ombre, Il a créé une cellule de Sang dans son sein. L’Enfant est né, Jésus, un corps saint, qui n’était ni Gentil ni Juif, c’était le Sang même de Dieu. Et puis, le Glorieux Saint-Esprit est descendu du Ciel, l’Esprit de Dieu sous forme d’une colombe, descendant et venant sur Lui: «Celui-ci est Mon Fils bien-aimé (voici la traduction correcte) en qui Je me plais de demeurer. Mon Père demeure en moi.» Demandez à tout bon traducteur des Ecritures et voyez si ce n’est pas ça en hébreu. Certainement: «En qui Je me plais de demeurer.» Jésus a dit: «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même. Ce n’est pas Moi qui agis, mais c’est Mon Père. Il demeure en Moi, Emmanuel.» Ce n’était pas un autre Dieu là, un autre ici, un autre par ici; ça, c’est du paganisme. Un seul Dieu, dans trois offices. Dieu, le Père Tout-Puissant, est descendu et a habité dans Son Fils Jésus-Christ. Celui-ci avait donné Sa Vie pour retrouver la communion avec Son peuple, cherchant à revenir.
Personne ne pouvait payer le prix, tous étaient des pécheurs. Et Son propre Fils a été fait péché pour nous afin d’ôter nos péchés. Et cela a permis au même Père divin de venir sous forme du Saint-Esprit, de demeurer–demeurer en nous et de travailler au travers de nous comme Il avait travaillé au travers de Son Fils qui avait été créé. Amen. Voilà votre vérité.
53 Vous avez ici un côté de la route, qui dit: «Dieu est un comme votre doigt est un. Il ne peut pas être Son propre Père.» Il y en a d’autres par là qui disent: «Il y a trois différents dieux.» Eh bien, s’Il y a trois différents dieux, alors Dieu le Saint-Esprit, Dieu le Père, ce sont deux personnes distinctes, alors que la vierge avait conçu du Saint-Esprit. Lequel était Son Père? Il a eu un seul Père, le Saint-Esprit et Dieu, c’est le même Esprit. C’est exact.
Donc, sur ce point... Oh! ce n’est pas mystérieux! S’Il avait... si–si un homme était... s’Il avait deux pères, Il serait donc un Enfant illégitime, bien sûr, spirituellement parlant. Voyez, tout est embrouillé; ça ne fait pas sens. Tout ce qu’il y a, ce que l’homme a cherché à comprendre avec sa tête plutôt que de laisser son coeur aller auprès de Dieu; et Dieu lui révélerait ces choses si seulement on Le laissait faire. Oui, oui. Il ne peut pas être Son propre Père; Jésus ne pouvait pas être le seul Jésus, un seul Dieu, tout comme ça. Il a été créé par Dieu le Père. Exact. Et Dieu le Père habitait en Lui afin qu’Il utilise Son sang pour la sanctification et la purification de Son Eglise par le même Esprit, pour vivre dans Son Eglise, accomplir les oeuvres et les signes, et accomplir l’Ecriture qu’Il avait promise: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme dans les derniers jours.»
54 [Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... C’est ça, apprendre ce que quelqu’un d’autre... Qu’a dit Jésus à Pierre? «Tu es heureux, Simon, fils de Jonas. Tu n’as jamais appris cela dans un séminaire. Ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans le Ciel qui te l’a révélé, et sur cette pierre, Je bâtirai Mon Eglise; et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle.» C’est pourquoi Il lui a donné les clés. Il avait la révélation. C’est la vérité révélée.
Oh! le... ces–ces petites choses sur lesquelles ils se battent et se séparent, cela montre que ce n’est pas de Dieu, sinon ils ne se sépareraient pas comme ça. Pourquoi ne vous rassemblez-vous pas comme des frères et des soeurs, laissant la puissance de Dieu agir parmi vous? Cela fera tout marcher. C’est Dieu, le Tuteur de l’Eglise, le Saint-Esprit. Exact. Vous n’avez pas à consacrer toute votre vie à chercher à apprendre quelque chose comme cela. La meilleure chose à savoir, c’est que vous êtes sauvé et appelé... vous vous mettez à marcher avec Dieu. Ce qu’Il veut que vous sachiez, Il vous le révélera.
55 Le Dieu Tout-Puissant a été fait chair en commémoration de ce que... Jésus a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, en vous, jusqu’à la fin du siècle», jusqu’à la fin du monde, Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Il est ici. C’est Christ oeuvrant en vous et en moi et dans le reste d’entre nous, cherchant à apporter Sa Parole pour confirmer et accomplir Sa Parole. Pourquoi Jésus a-t-Il guéri les malades dans Matthieu 12, Matthieu 8, je pense? Il a dit: «C’est afin que soit accompli ce qui avait été dit par le prophète.» La Parole de Dieu doit s’accomplir. L’heure est arrivée.
De télépathie, qualifient-ils cela. C’est comme ça qu’ils taxaient cela à l’époque: du diable. Il leur a dit: «C’est un péché impardonnable que de dire pareille chose de l’Esprit de Dieu à l’oeuvre.» J’aimerais que vous y réfléchissiez avant de prendre vos décisions. Il y a un nouveau ministère que Dieu a confirmé, et nous savons que c’est la vérité de Dieu. Mais d’une façon ou d’une autre, il ne marchera pas ici en–en Amérique. Ça marche ailleurs. Eh bien, il sera plus grand que ce que nous avons ici. Mais, vous voyez, nous–nous avons dépassé notre jour de grâce par nos péchés; c’est tout ce qu’il en est. J’avais prédit cela en 1956, et c’est ainsi depuis lors; ça tombe constamment. Voyez? Mais Dieu fera sortir l’Eglise élue. Il est–Il est tenu de le faire; Il a dit qu’Il le ferait.
56 Eh bien, considérez cet Ange avec Son dos tourné; Il a dit à Sara ses pensées. Si ce n’est pas là la Parole de Dieu, je ne sais pas ça. Dans Hébreux 4, la Bible dit: «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants; et Elle discerne même les pensées du coeur et de l’esprit.» Exact. Elle discerne; c’est la Parole de Dieu. Si la Parole de Dieu est en vous, et que vous La laissez... En effet, Il est la Parole: «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu; et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.» Voyez-vous cela? Donc, cette même Parole, Christ, la promesse, le Saint-Esprit, vous appelez cela la troisième Personne de la trinité; c’est bien, c’est ce qu’Il est, Christ, le Saint-Esprit en vous. Il était autrefois dans la Colonne de Feu. Ensuite, Il a été fait chair. Maintenant, Il est venu dans votre chair. Que fait-Il? Dieu condescendant, cherchant à s’approcher de Son peuple afin d’être aimé et adoré. Et dans l’âge de Laodicée, nous L’avons mis dehors. Il frappe, cherchant à rentrer: «Tous ceux que J’aime, Je les réprimande et les châtie, qu’ils se repentent», a-t-Il dit. Nous y sommes. C’est Dieu, c’est Dieu notre Père sous forme du Saint-Esprit, cherchant à rentrer dans nos vies pour nous contrôler. Il doit avoir une Eglise pour faire... Comme je l’ai dit hier soir, cette Pierre de faîte vient. Elle doit venir là, parfaite. Et l’Eglise doit atteindre la perfection. Vous direz: «La perfection?» C’est ce qu’Il a dit: «Soyez parfaits, comme votre Père céleste est parfait.» Dieu... Prenons-en connaissance. Prenons–prenons un petit exemple ici une minute. Remarquez ça. Eh bien, comme je le disais ce matin, si une vigne a la vie de vigne en elle, elle produira des raisins.
57 Eh bien, cette Colonne de Feu qui accompagnait les enfants dans le désert, tout le monde sait que c’était Dieu. Nous savons que c’était Dieu. Il a dit à Abra... Il a dit à Moïse: «Je suis le JE SUIS. Et J’ai vu la souffrance de Mon peuple, J’ai entendu les cris que lui font pousser ses oppresseurs et Je suis descendu pour le délivrer.» Eh bien, c’était la Colonne de Feu dans ce buisson. (Croyez-vous cela? L’Ange de l’alliance.) Eh bien, c’était une... Elle avait conduit au mont Sinaï et avait écrit les commandements. Même si un animal touchait la montagne, il devait être tué. Qu’était-ce? C’est parce qu’Il n’y avait pas de sacrifice expiatoire, un animal.
58 Voyez, lorsque l’Ancien Testament... lorsqu’on offrait un sacrifice pour les péchés, on prenait un petit agneau, on posait les mains sur lui, on confessait les péchés, on lui tranchait le cou. Et pendant que ce petit animal mourait, gigotait, bêlait, eh bien, le sang couvrait les mains de l’adorateur. Et puis, ce dernier sentait la mort envahir ce petit animal alors qu’il se raidissait et mourait, et il savait que cet animal mourait à sa place. Mais la Bible dit que l’adorateur repartait avec le même désir qu’il avait en venant. En effet, voyez, lorsque cette cellule de sang était brisée, l’esprit de cet animal ne pouvait pas revenir et s’accorder à l’esprit humain. L’animal n’a pas d’âme. Donc, il ne pouvait pas revenir. C’est pourquoi l’adorateur repartait avec la même conscience. Mais une fois qu’un homme, par la foi, vient poser ses mains sur la tête de Jésus-Christ et sent Sa souffrance pour ses péchés, et que cette cellule de Sang a été brisée au Calvaire, non seulement la vie de l’être humain revient, mais la Vie de Dieu revient de cela et fait de vous un fils et une fille de Dieu.
59 Observez lorsque cette Colonne de Feu a été faite chair et qu’Elle a habité parmi nous. Comment L’avons-nous vu l’autre soir? Qu’avait-Il fait? Comment L’a-t-on reconnu? Par le discernement des pensées du coeur. Ils savaient que c’était ce Prophète dont Moïse avait parlé. Il affirmait L’être. Ils ont reconnu que c’était ça; c’est ce qu’Il était. Eh bien, Il est redevenu Cela; le saviez-vous? «Oh! non, Frère Branham.» Oh! si, c’est ce qu’Il est redevenu.
Il a dit, lorsqu’Il était ici sur terre, Il a dit: «Je viens de Dieu et Je retourne à Dieu.» Est-ce vrai? Et après Sa mort, Son ensevelissement, Sa résurrection et son ascension... Un jour, Saul de Tarse était en route vers Damas pour mettre en prison les gens qui L’adoraient. Et, tout d’un coup, une grande Lumière a jailli devant lui, et il est tombé par terre. Et cette grande Lumière était si brillante qu’Elle avait rendu Saul aveugle était devenu aveugle pour un temps.
Il a dit: «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»
Il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»
Il a dit: «Je suis Jésus.» Il était redevenu la Colonne de Feu.
60 Et nous En avons une photo avec nous, l’Eglise pentecôtiste. Alléluia! Eh bien, est-ce le même Esprit? Est-ce la même Colonne de Feu? George J. Lacy, le responsable du département du FBI pour les empreintes digitales et les documents douteux, vous... il y a là son document écrit qui dit: «La lumière a frappé l’objectif.» Il a dit: «Ce n’est pas de la psychologie là. En effet, l’oeil mécanique de l’appareil photo ne prendra pas de la psychologie.» Cela a frappé l’objectif.
On En a pris une autre ici à un autre endroit; on En a pris en Suisse et en Allemagne. Ils voulaient savoir si leurs appareils prendraient Cela. Un gros appareil photo allemand était installé là. J’étais là, j’ai dit: «Certainement, si Dieu le permet.» Et je me suis avancé donc là, je parlais et j’ai dit: «Eh bien, Cela vient.» Et cet Allemand se tenait là; il a pivoté son appareil photo; il a pris Cela. Et alors, cela montrait le Saint-Esprit en train de descendre; cela Le montrait quand Il... ça montrait un homme qui était là avec le col retourné, celui à qui j’avais dit par l’Esprit: «Tu es là comme un prêtre, mais tu n’es pas un prêtre. Tu n’es même pas Allemand.» J’ai dit: «Tu es Italien, tu es un leader de vingt mille communistes. Et tu as fui le parti politique et tu gères un petit orphelinat dans les montagnes. Tu n’as pas pris ton petit-déjeuner à cause de la gastrite. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR.» J’ai dit: «Prends ton petit-déjeuner, Jésus-Christ te guérit.» Il s’est assis et s’est mis à manger aussi vite que possible en pleurant. Alors, on a pris la photo du Saint-Esprit quand Il descendait, quand Il remontait, quand Il oignait, et quand Il partait, en pleine journée, là. Qu’est-ce? Ce n’est pas de la psychologie. Etes-vous si éloigné de Dieu, mon frère? Ce n’est pas de la psychologie, l’appareil photo en sait plus que vous.
61 Eh bien, est-ce le Saint-Esprit? Eh bien, s’Il accomplit les oeuvres de Jésus-Christ, c’est le même Esprit qui était sur Lui. Vous pouvez donc vous rassurer que vous qui croyez en Dieu et qui croyez que vous avez le Saint-Esprit, que c’est le même Saint-Esprit, parce qu’Il accomplit la même oeuvre qu’Il avait accomplie lorsqu’Il était sur le véritable Fils de Dieu. Lorsqu’Il vient sur les fils et les filles adoptés, Il fait la même chose qu’autrefois.
Si je vous disais que j’ai l’esprit de John Dillinger, vous vous attendriez à ce que j’aie deux grosses armes, si j’avais son esprit. Si j’avais l’esprit d’un artiste, vous vous attendriez à ce que je peigne des tableaux représentant des vagues là, que je saisisse ces belles vagues et que je les peigne. Si j’avais l’esprit d’un artiste, je le ferais. Si j’avais l’esprit de mécanicien, j’écouterais le bruit de votre véhicule et vous dirais ce qui cloche. Si je vous dis que j’ai l’Esprit de Christ, alors je ferai les oeuvres de Christ. Si vous ne pouvez pas me croire, eh bien, croyez les oeuvres. Croyez que c’est Dieu qui a envoyé Cela. Parce que je n’adhère pas aux organisations et autres et que vous ne voulez pas croire cela à cause de ça, alors croyez les oeuvres mêmes et soyez sauvé. C’est vrai.
Je sais que c’est dur; je ne sais pas pourquoi je le dis. Mais cela doit être dit quelque part. Ça doit être la vérité. Ça doit se faire savoir. Au jour du Jugement, je vous rencontrerai là au Nom du Seigneur Jésus. Il confirmera toujours que c’est la Vérité, et que c’est dans Sa Bible: «Les cieux et la terre passeront, Ma Parole ne passera point.» Amen. Revenez à Dieu. C’est ça l’appel. Revenez à Dieu une fois de plus.
62 Abraham L’appela Elohim. Il avait le dos tourné. Je vous montre ce que Dieu avait fait jadis. En effet, Abraham avait reconnu que c’était Dieu dans la chair humaine qui habitait là même avec lui, qui lui parlait. Jésus a dit, en d’autres termes Il a dit... Savez-vous ce que l’Ange du Seigneur avait fait là à Sodome? Regardez ce que les Sodomites faisaient. Ils achetaient, ils construisaient. Oh! la la! Des entrepreneurs partout dans le pays, des bâtiments. Avez-vous déjà connu pareil temps? Je ne peux même plus aller chasser le lapin, chez nous, le... il y a partout des projets de construction là où il y avait des fermes. Je ne sais pas ce que nous ferons pour manger. Voyez? Construire, construire. C’est exactement ce que Jésus avait dit qu’il arriverait. Avait-Il dit cela? Ils se mariaient, donnaient en mariage comme du temps de Noé. Regardez Reno, à Nevada, regardez ici.
63 Cette nation serait de loin meilleure si elle avait–si elle avait un... Je ferais mieux de ne pas le dire. Très bien. Mais de toute façon, il serait mieux d’avoir trois ou quatre femmes plutôt que... Je préférais me tenir devant Dieu marié avec trois ou cinq femmes à mes côtés, plutôt que de m’y tenir avec une seule femme alors que j’avais couru avec celle d’un autre homme. Oui, oui. J’aurais plus de chance devant Dieu. Vous ne pouvez pas forcer des pécheurs à accomplir des devoirs chrétiens et faire cela; ils ne le peuvent pas sans être nés de nouveau. C’est vrai. Nous sommes loin d’être une nation chrétienne. Comment pouvons-nous ouvrir chaque débit de boisson qu’il y a au coin et faire tourner des choses comme nous les faisons, puis nous dire chrétiens? Ce n’est pas chrétien, pas plus qu’un cochon n’en sait au sujet d’une selle de dame. Eh bien, vous ne pouvez pas appeler cela le christianisme. Nous ne sommes pas une nation chrétienne, absolument pas. Il y a des chrétiens dans cette nation, mais celle-ci n’est pas une nation chrétienne. Je remercie Dieu pour des chrétiens qui sont ici. «Ceux qui me disent: Seigneur, Seigneur, n’entreront pas tous, mais celui-là qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux.» C’est celui-là qui entrera.
64 A quoi sert-il d’être à mi-chemin? A quoi sert-il d’avoir une église tiède? Soyez soit très chaud, soit très froid. Ne vous dites pas pentecôtiste si vous ne vivez pas la Pentecôte. Ne sautez pas plus haut que votre vie. C’est vrai. C’est une honte; cela jette la disgrâce sur les autres. Ce ne sont pas des débits de boisson qui blessent les incroyants, ce sont ces gens qui prétendent avoir quelque chose, mais qui agissent comme le monde. C’est ça la pierre d’achoppement. Une église qui est censée être enflammée pour Dieu, qui va çà et là, taxant l’Esprit même de Dieu qui vient, disant que c’est–c’est mystique, c’est de la télépathie, c’est tout ceci, cela et autre, parce que nous ne sommes pas membres de leur organisation. Honte à vous! Que Dieu aie pitié de vos âmes pécheresses! Vous ferez face à cela au jour du Jugement, et peut-être avant d’arriver au Jugement; c’est vrai. En effet, Dieu l’a promis. Oh! nous sommes en un temps terrible, amis. Oh! le monde s’enfonce, la nation se meure.
Les nations se disloquent, Israël se réveille,
Les signes que les prophètes prédirent;
Les jours des Gentils sont comptés,
Encombrés d’horreur,
Retournez, ô dispersés, vers les vôtres.
Le jour de la rédemption est proche,
Les coeurs des hommes défaillent de peur;
Soyez remplis de l’Esprit de Dieu,
Que vos lampes soient nettes et claires,
Redressez-vous, votre rédemption est proche.
Oh! en quel jour nous vivons! Et si Paul vivait en ce jour-ci? Et si saint Pierre vivait en ce jour-ci et qu’il voyait la Pentecôte dans cette condition? Il vous secouerait; certainement qu’il le ferait, parce qu’il avait le Saint-Esprit. Il le ferait certainement.
65 Remarquez donc, j’aimerais vous montrer ce que Dieu avait promis à ces vainqueurs, ce que Dieu avait fait pour ces vainqueurs. J’ai encore quinze minutes pour vous laisser sortir à temps. Voyons ce que Dieu avait fait. Là même, lorsqu’Abraham L’avait reconnu et avait dit: «Oui, c’est Dieu», il L’avait appelé Elohim, «Mon Seigneur», pas «mes seigneurs», «Mon Seigneur.» «Mon Seigneur», a-t-il dit. En majuscule: S-e-i-g-n-e-u-r. Remarquez comment il L’a appelé. Et lorsqu’il L’a reconnu, qu’il a su ce que c’était, qu’il a imploré la miséricorde pour tel nombre de gens et pour tel nombre de gens, il est allé finalement de cinquante à dix. Dieu ne pouvait toujours pas les trouver à–à Sodome, sinon Il aurait épargné la ville. Mais Il ne pouvait même pas les trouver dans toute l’église là-bas. Il ne pouvait pas y avoir cinq ni dix personnes honnêtes. Finalement, Il en a fait sortir trois; ils étaient quatre, l’une s’était retournée et avait regardé en arrière, la femme de lot. Elle ne voulait pas abandonner ses jolies choses de Hollywood et cette belle ville, vous savez. Et–et elle est devenue une colonne de sel.
66 Ne regardez pas en arrière. «Quiconque met la main à la charrue et regarde en arrière n’est même pas digne de labourer.» C’est ce qui se passe dans cette église, frère. Vous mettez vos mains à la charrue, et vous vous dites pentecôtistes, remplis du Saint-Esprit; cessez de regarder le monde, d’agir comme le monde, de vous raffiner comme le monde et toute cette espèce de sottise, d’avoir des choses mondaines et de rester à la maison pour regarder la télévision au lieu de venir à la réunion de prière. Quand les pécheurs viennent à l’autel, personne ne vient. On n’est plus intéressé
Permettez-moi de vous donner un petit avertissement. Ezéchiel, chapitre 9, la Bible dit qu’on a dit à celui qui marquait avec le–avec le Saint-Esprit: «Passe au milieu de la ville, fais une marque sur le front des hommes qui soupirent et gémissent à cause de toutes les abominations qui s’y sont commises.» Combien ont déjà lu cela? Assurément. Marquez seulement ceux-là. Comptez le nombre au bout de doigts et levez-les à mon intention: combien, dans cette salle, peut-on marquer, qui soupirent et gémissent jour et nuit à cause des abominations qui se commettent dans cette ville-ci? Je ne vois aucun doigt. «Mettez le sceau uniquement sur ceux qui soupirent et gémissent à cause des abominations qui se commettent dans la ville.» Beaucoup parmi eux ont même peur de prêcher contre cela. Beaucoup parmi eux ont peur. Que Dieu nous donne des hommes qui ont une colonne vertébrale plutôt qu’un bréchet. Oui, oui. Qu’Il nous donne un autre Jean Baptiste. Qu’Il nous l’envoie, qu’Il l’oigne du Saint-Esprit, quelqu’un qui ne ménagera pas, mais qui restera fidèle à la Parole. Et s’il reste fidèle à la Parole, il n’a pas peur. Dieu confirmera Sa Parole.
J’ai connu toutes sortes de difficultés, où les démons et tout le reste surgissaient. J’ai vu des gens être frappés de cécité, être terrassés, et tout le reste. N’ayez pas peur; restez là même fidèle à la Parole et observez ce que Dieu fait. Rassurez-vous seulement d’être en ordre avec Dieu. Restez fidèle à cette Parole et voyez ce qui arrive.
67 Si frère Arganbright est tout près, il peut vous raconter l’histoire. Je pensais à ce qui était arrivé: Quinze sorciers d’un côté et quinze de l’autre en train d’invoquer pour que l’orage éclate et fasse s’envoler la tente en Suisse, ou plutôt en France... en Allemagne, je pense. Ils allaient faire s’envoler la tente. Ils nous ont dit qu’ils le feraient. Et ils étaient assis là, ils ont coupé des plumes et se sont mis à faire des incantations: «Père, Fils et Saint-Esprit...?... Père, Fils et Saint-Esprit, trois mots élevés», disaient-ils. Tout comme cela, et l’orage a éclaté. Frère Arganbright peut vous raconter la même chose; cette tente montait et descendait au-dessus des dizaines de milliers de gens. J’ai dit: «Frère Arganbright, prie.» J’ai dit: «Frère Louster, n’interprète pas ça.» J’ai dit: «Père céleste, j’ai atterri de cet avion ici au Nom de Jésus-Christ, parce que Tu m’as envoyé ici. Tu as promis de prendre soin de moi. Que puis-je faire dans pareil cas? Je réprimande cet orage au Nom de Jésus-Christ.» Et en une seule seconde, cet orage s’est dispersé juste au-dessus de la tente et s’est retiré. Les tonnerres se sont mis à se retirer, comme cela. Et des milliers de gens ont accouru à l’autel pour être sauvés. Et les sorciers ont été vaincus.
68 Un homme était assis là dans une réunion, cherchant à me jeter l’un de ces sorts, me faire aboyer comme un chien pour faire parade là; il ne savait pas. Il était assis là, et je continuais à sentir cet esprit drôle. Je me suis dit: «Je déteste en faire mention parce qu’il est ami à quelqu’un. Jésus a dit: ‘Laissez croître ensemble l’un et l’autre; vous arracherez le blé lorsque vous arracherez l’ivraie.’» Je continuais à parler, et lui aussi continuait. Peu après, le Saint-Esprit a continué à me parler, je me suis retourné, j’ai dit: «Toi séducteur, pourquoi es-tu venu dans la réunion et dans une réunion de Dieu pour chercher à séduire quelqu’un?» Et il continuait à regarder tout autour comme si je parlais à... J’ai dit: «C’est à toi que je m’adresse.» Je l’ai appelé par son nom. J’ai dit: «Parce que tu as fait ça à l’Esprit de Dieu, tu sortiras d’ici transporté par quelqu’un.» Et il est toujours paralysé. Il m’a écrit une lettre, disant: «Que dois-je faire?»
J’ai dit: «Repentez-vous.»
Il a dit: «Venez me débarrasser de cette histoire.»
J’ai dit: «Je n’ai rie... Jamais je n’ai rien eu à faire avec ça pour que ça vienne sur vous. Vous vous êtes attiré cela. La Bible dit: ‘Il vaudrait de loin mieux qu’on suspendît à ton cou une meule de moulin et qu’on te jetât au fond de la mer, plutôt que de scandaliser un oint de Dieu.’» C’est vrai. Nous avons perdu la crainte de Dieu, le respect pour les chrétiens. Oh! combien nous devrions revenir à Dieu!
69 Regardez ce que Dieu a montré à Abraham ici parce qu’Il avait cru la Parole. Suivez ce qui est arrivé. Qu’a-t-Il fait à Sara? Vous savez ce qu’Il a fait à Sara et à Abraham, montrant ce qu’Il fera à toute la postérité de Sara et d’Abraham, la postérité d’Abraham, ce qu’Il fera. Savez-vous ce qu’Il a fait? Observez ce qu’ils avaient fait aussitôt après cela. Ils ont effectué un long voyage depuis là où ils campaient, à Sodome, jusqu’à Guérar, au pays des Philistins, environ trois cents miles [482,80 km]. C’est une bonne distance pour un vieil homme de cent ans et une vieille grand-mère drapée d’un petit châle sur l’épaule, parcourant comme cela trois cents miles [482,80 km] à pied. Ce n’était pas ça. Il les avait ramenés à un jeune homme et à une jeune femme. Je peux vous le prouver. C’est ce qu’Il avait fait. Et c’est une promesse pour toute sa postérité qui recevra Sa Parole et s’y accrochera comme ça. Il avait ramené Sara à une jeune femme afin d’avoir cet enfant-là!
70 Eh bien, j’aimerais dire quelque chose. Eh bien, vous écoutez votre médecin; moi, je suis votre frère. Eh bien, écoutez, si elle était si vieille, Dieu devait lui fortifier le coeur, sinon elle ne serait pas entrée en travail: une vieille femme de quatre-vingt-dix ans. C’est vrai. Il aurait dû retaper son coeur. Les veines lactaires de ses seins étaient desséchées. Ils n’avaient pas... Les femmes ne fumaient pas à l’époque, elles devaient donc élever leurs enfants aux seins (voyez?), et elles ne leur donnaient pas de lait de vache. Ainsi, elles–elles–elles devaient les nourrir aux seins. Et les veines lactaires étaient desséchées. Considérez donc quelle condition c’était! Il aurait dû la rafistoler. Dieu ne rafistole pas; Il crée quelque chose de nouveau. Je peux voir Sara redevenir une belle femme d’environ vingt-cinq ans. Je peux voir Abraham âgé d’environ vingt-cinq ou trente ans. Un matin, je peux entendre Sara dire, en se réveillant, dire: «Chéri, sais-tu que cette bosse a disparu de tes épaules?» Je peux entendre Abraham dire: «Chérie, tes yeux sont redevenus beau et brun comme autrefois. Et tes cheveux ont retrouvé leur couleur.» Oh! la la! Oui.
71 Eh bien, vous direz: «Eh bien, Frère Branham, un instant, un instant.» Voyez? Pour le croyant, la Bible est une histoire d’amour. Eh bien, quand je vais outre-mer et que madame Branham m’écrit une lettre, disant: «Cher Billy, je suis assise ici ce soir; je dois mettre les enfants au lit. Je viens de terminer de prier pour toi. Je sais que Dieu te bénit.» Voyez, ça, c’est ce qu’elle dit, mais moi, je lis juste entre les lignes. Je l’aime. Voyez? Je sais de quoi elle parle. Elle ne me dira pas tout à ce sujet, mais évidemment, je sais cela de toute façon, de par ses écrits.
Donc, c’est ainsi que vous lisez la Bible: entre les lignes. Dieu doit... c’est pourquoi Il a caché cela aux sages et aux intelligents, à ceux qui disent: «J’ai un doctorat en philosophie, j’ai un D.D.D.» Savez-vous ce que signifie D.D.? Un chien mort [Dead dog]. Je vous assure donc, frère, ce que... nous n’en avons pas besoin aujourd’hui. Aujourd’hui, nous avons besoin, non pas d’une quelconque théologie, mais de la genoulogie; c’est ce dont nous avons besoin. Oui. Eh bien, la Bible appelle cela un chien muet, c’est tout aussi mauvais que ça. Voyez-vous? Elle dit que c’étaient des chiens muets, des D.D. [Dumb dog].
Remarquez donc, il était là: «J’ai ceci et j’ai cela.» Eh bien, c’est en ordre. J’aime avoir Jésus. Ils savaient que Pierre et Jean étaient des gens du peuple sans instruction, et ils les reconnurent pour avoir été avec Jésus. Aucun d’eux ne pouvait signer son propre nom ni rien, mais ils les reconnurent pour avoir été avec Jésus; c’est ce qu’il nous faut faire: «Reconnaître qu’on a été avec Jésus.»
72 Eh bien, lorsque vous lisez la Bible, Dieu l’a cachée aux sages et aux intelligents et Il L’a révélé aux enfants qui veulent apprendre. Lorsque vous vous mettez donc à lire ceci ici, voyez donc ce qui arrive, pour vous montrer ce qu’Il a fait. Pour commencer... Eh bien, vous direz: «Oh! Frère Branham, ils étaient juste...» Non, la Bible dit qu’ils étaient fort avancés en âge (C’est vrai), eh bien, fort avancés en âge.
Maintenant, mon frère légaliste, je n’aimerais pas vous coincer très fort, mais j’aimerais que vous sachiez que je–je peux toujours vous coincer juste un peu avec la Parole. Voyez? Je ne cherche pas à vous blesser, mais j’aimerais que vous voyiez ce qui est arrivé.
Il va à Guérar. Et lorsqu’il est arrivé là... Je vais me ranger de votre côté là-dessus. Voici venir une petite grand-mère, âgée pratiquement de cent ans, portant un petit bonnet anti-poussière et un petit châle, vous savez, se déplaçant lourdement et maladroitement. Et, vous savez, Abimélec, là à Guérar, était roi et il cherchait une femme. Et malgré toutes ces belles femmes philistines, en voyant cette petite grand-mère, il a dit: «C’est celle-là que j’attendais.»
Oh! Abraham a dit: «Maintenant, témoigne-moi de la bonté; dis que tu es ma soeur.» En fait, elle l’était. Il a dit: «Dis que tu es ma soeur.» En effet, vous voyez, à l’époque... Je pourrais en faire mention ici si un prédicateur veut à un moment prêcher là-dessus, il pourra parcourir cela dans la Bible. Rappelez-vous, les hommes avaient autant de femmes qu’ils pouvaient en avoir. Mais aucune femme ne pouvait vivre avec deux maris en vie au même moment. David en a eu cinq cents, mais aucune d’elles n’avait un autre mari. Je ferais mieux de m’arrêter maintenant même. Voyez? Très bien. Si seulement ils connaissaient la vérité là-dessus, cela déchirerait ces églises. C’est vrai.
73 Eh bien, remarquez ce qui est arrivé. Si seulement vous en arrivez à laisser Dieu vous révéler certaines choses par l’Esprit... Remarquez donc. Eh bien, il a dit: «Eh bien, ils me tueront et te laisseront en vie.» En effet, tant qu’il était marié à elle... Il a dit: «Dis que tu es ma soeur et cela me tirera d’affaires.»
Eh bien, Abraham est allé là avec la petite Sara, cette petite grand-mère, vous savez, passant là, et Abimélec a dit: «Oh! voilà une beauté! C’est celle-là que je veux.» Une grand-mère!
Non, ça a l’air insensé, n’est-ce pas? Voyez? Ce n’était pas ça. Elle était une belle femme. Assurément, elle était redevenue jeune. Oh! Ne vous en faites pas, mère, cela s’accomplira un jour. Observez, papa, soyez simplement la postérité d’Abraham. Ayez ce genre de foi-là; c’est ce qu’il faut. «En étant morts en Christ, nous devenons la postérité d’Abraham.» Mais il vous faut être mort en Christ, revêtir Christ, le Saint-Esprit en vous (c’est la Postérité d’Abraham), et Il vous ressuscitera. La vieillesse ne représente rien.
74 J’ai demandé à un homme de science il n’y a pas longtemps, j’ai dit: «Je vous en prie, dites-moi quelque chose. Est-ce vrai que chaque fois que je mange... Je suis constitué de la poussière de la terre, et chaque fois que je prends de la nourriture, je renouvelle donc ma vie?»
Il a dit: «C’est vrai. Cela forme les vaisseaux sanguins et–et le sang, et vous avez un sang nouveau à partir de votre nourriture.» Et il a dit: «Cela renouvelle la vie.»
J’ai dit: «Vous savez, lorsque j’avais seize ans, je prenais la même nourriture qu’aujourd’hui.» J’ai dit: «Chaque fois que je mangeais, je devenais plus fort et plus gros. Maintenant, peu importe combien je mange, aujourd’hui je deviens plus vieux et plus faible. Si je renouvelle ma vie, où est... qu’arrive-t-il à cela? Dites-moi, si je plaçais ici une cruche d’eau et un verre d’eau, et que je me mettais à déverser de l’eau de cette grande cruche dans ce verre, celui-ci commencera à se remplir, il sera à moitié plein, et plus vite je déverse, ça continuera à diminuer tout le temps. Prouvez-le-moi scientifiquement.» Ça ne peut pas se faire. Je peux le prouver par la Bible. C’est un rendez-vous. C’est vrai.
75 C’est vrai. Dieu a fixé un rendez-vous. Lorsqu’Il vous avait vus, vous et la maman au bon âge, lorsque vous étiez jeunes, mariés et heureux, vous en souvenez-vous, papa? Avant la venue des enfants, la toute première chose, vous savez, elle était la plus jolie que vous ayez jamais vue. Oh! la la! Vous vous disiez bien que c’était une beauté. Et comme elle vous appréciait, vous tenant là, les épaules droites. Et peu après, vous avez regardé et dit: «Maman, il y a des rides autour de ces beaux yeux.»
«Oui, papa, ça grisonne aussi ici au-dessus petit à petit.» Qu’y a-t-il? Voyez, la mort s’installe. Elle va vous coincer un jour. Mais, écoutez, à la résurrection, il n’y aura pas de trace de mort. Nous serons nouveaux. Alléluia! Il me reste environ quatre ou cinq cheveux sur la tête, et je les peignais il y a quelques jours, ou il y a quelque temps, je les peignais. Et ma femme a dit: «Billy, tu sais quoi? Tu deviens pratiquement chauve, chéri.»
J’ai dit: «Mais je n’en ai perdu aucun.»
Elle a dit: «Je t’en prie, dis-moi où ils sont.»
J’ai dit: «Un instant, chérie, viens ici.» J’ai dit: «Toi, dis-moi... où ils étaient avant que je les aie. Ils doivent provenir de quelque part. Dis-moi où ils étaient avant que je les aie, je te dirai où ils m’attendent.» Alléluia! Mon Dieu est le Dieu d’Abraham. Amen. Chaque cheveu de votre tête est compté. Toutes les rides disparaîtront; la vieillesse disparaîtra. Oh! Gloire à Dieu! Et nous deviendrons de nouvelles créations pour toujours, à pleine fleur de la jeunesse avec bonheur. Amen. C’est ça notre Dieu.
76 Oh! Je serai un... peut-être une poignée de poussière. Mais un jour, Il m’appellera, Il fera [Frère Branham produit le bruit d’un souffle.–N.D.E.] «Viens, Billy.»
Je dirai: «Me voici, Seigneur. Me voici, Père.» Oui, oui. Il ne viendra jamais dire: «Eh bien, monsieur Charles Branham, toi et Ella, donnez une fois de plus naissance à William, car il était l’un de Mes serviteurs.» Non, non, Il prononcera simplement la Parole et je Lui répondrai. Amen. Alléluia! Alléluia veut dire gloire à Dieu.» Et je pense qu’Il mérite toute louange.
77 Il n’y a pas longtemps quelqu’un m’a dit, elle a dit... c’était une femme membre d’une autre église dénominationnelle, elle a dit: «Frère Branham, j’ai trouvé une seule chose qui cloche dans votre ministère.»
J’ai dit: «C’est quoi?»
Elle a dit: «Vous vantez trop Jésus.»
J’ai dit: «Je quoi?»
Elle a dit: «Vous vantez trop, vous faites de Lui Dieu.»
J’ai dit: «Il était Dieu.»
Elle a dit: «Oh! Il était un prophète.»
J’ai dit: «Il était plus qu’un prophète; Il était le Dieu des prophètes.» C’est vrai.
«Oh!», a-t-elle dit... Vous savez de quelle religion je parle. Je n’aimerais pas vous blesser; c’était une femme de la Science chrétienne. Voyez? En effet, beaucoup parmi eux viennent à mes réunions, et ils sont guéris; c’est en ordre.
78 Elle a dit: «Eh bien, Il était–Il était un Homme de bien; je pense qu’Il était un Prophète.»
J’ai dit: «Soit Il était Dieu, soit Il était le plus grand séducteur que le monde ait jamais eu.» Il était Dieu Lui-même.
Et elle a dit: «Je vais vous le prouver par votre propre Bible. Vous dites que vous êtes un fondamentaliste. Je vais vous prouver par votre propre Bible qu’Il n’était qu’un Homme.»
J’ai dit: «Prouvez-le.»
Elle a dit: «Dans Saint Jean, chapitre 11, lorsque Jésus se rendit à la tombe de Lazare, la Bible dit qu’Il pleura. C’est la preuve qu’Il était un être humain comme vous.»
J’ai dit: «Est-ce là votre passage des Ecritures?»
Elle a dit: «Oui.»
J’ai dit: «Soeur, c’est plus mince qu’un bouillon fait à base de l’ombre d’une poule qui a crevé de faim.» J’ai dit: «Cela ne tiendra jamais.»
Elle a dit: «Que voulez-vous dire par là?»
J’ai dit: «Il pleura comme un homme, c’est vrai, en allant à la tombe. Mais lorsqu’Il redressa Ses petites épaules affaissées, qu’Il les ramassa et dit: ‘Lazare, sors’, et qu’un homme mort depuis quatre jours s’est remis debout et a vécu une fois de plus, là, c’était plus qu’un homme.» Oui, oui. C’était Dieu. «Je suis la Résurrection et la Vie», dit Dieu. Pas un homme, pas un prophète, mais Dieu. C’est ce qu’Il était. «Je suis la Résurrection et la Vie, dit Dieu. Celui qui croit en Moi vivra, quand même il serait mort. Celui qui vit et croit en Moi ne mourra jamais.» Il a demandé: «Crois-tu cela?» Elle a répondu: «Oui, Seigneur, je le crois.» C’est ça, quelque chose doit arriver. Pas un homme, Dieu...
79 Eh bien, suivons Abraham. Alors, Sara... Abimélec a dit: «Vous savez, il y a là une belle Juive.» Il a demandé: «Est-ce là ton mari?»
«Non, c’est mon frère.»
Abraham a dit: «C’est vrai, c’est-ce–c’est ma soeur.» C’était en fait ça, elle était sa demi-soeur.
«Eh bien, a-t-il donc dit, eh bien, je vais l’amener au palais, et je... elle deviendra ma femme, et je vous donnerai beaucoup de biens.» Voyez?
«Très bien.» Il l’a donc amenée là. Pouvez-vous vous représenter un homme faire pareille chose? Il est donc allé là...
80 Voyez-vous pourquoi–pourquoi–pourquoi il avait fait cela? Pourquoi avait-il fait des compromis? Il était en dehors de la promesse. Il était allé à Guérar. C’est pourquoi, vous les femmes, vous vous coupez les cheveux, vous vous maquillez; et vous les hommes, vous fumez la cigarette, et–et vous faites un tas d’histoires comme vous le faites; vous sortez de la promesse et vous restez néanmoins des diacres, des membres et autres. Comme les baptistes, les presbytériens, les méthodistes, les pentecôtistes et autres; vous sortez simplement de la promesse, c’est tout. Le diable vous a poussés et il... Restez ici à votre place, et priez jusqu’au bout. C’est vrai. Vous laissez le diable vous parler, vous l’écoutez...
81 Eh bien, il était assis là, comme une espèce de petit lâche. Il était assis là... Que Dieu me pardonne de parler ainsi de Son prophète, mais je cherche à me faire comprendre ici. Eh bien, nous voyons le vieux Abimélec aller là, et je m’imagine que cette nuit-là, après avoir pris son bain et porté son pyjama, il a offert ses prières, il a tendu ses orteils comme ça, en disant: «Oh! J’ai finalement trouvé celle que je voulais.» Il s’est couché sur le lit, en se disant: «Demain, je vais épouser cette jolie Juive.» Il l’avait tout ornée avec des boucles d’oreille et toutes sortes de choses, vous savez. «Oh! qu’elle est belle! Demain, je vais l’épouser.» Et pendant qu’il était couché là sur le lit, le Seigneur lui a dit: «Tu es pratiquement un homme mort.» Ce bon frère de la sainteté... Mais Il a dit: «Tu es pratiquement un homme mort.» Il a dit: «Cette femme est une femme d’autrui.»
Eh bien, il a dit: «Seigneur, Tu connais l’intégrité de mon coeur. Ne m’a-t-elle pas dit cela?»
«Oui, Je le sais.»
«Ne m’a-t-il pas dit cela?»
«Oui, Je le sais. C’est pourquoi Je t’ai empêché de pécher contre Moi. Eh bien, son mari est Mon prophète.» Amen. Eh bien, si vous voulez voir la grâce, regardez ça. Il était assis là, mentant au sujet de sa femme... «Mais son mari est Mon prophète. Je n’exaucerai pas tes prières. Mais ramène-la, qu’il prie pour toi, et alors Je t’exaucerai.» Oh! Alléluia! Ô frère, pouvez-vous voir cela?
La postérité d’Abraham est ancrée en Jésus: «Son mari est Mon prophète.» Vous y êtes. «Ramène lui sa femme, donne-lui une offrande, qu’il prie pour toi.» En effet, Dieu avait fermé tout le sein. C’est vrai. Cette nation serait morte sur-le-champ et n’aurait plus existé. Mais il était disposé, c’était un homme de bien. Il est allé rendre sa femme, il l’a restituée, et Dieu l’a béni et a béni Abraham. Après, Abraham a regagné sa patrie, il est revenu là où l’Ange l’avait rencontré et avait accompli un signe alors qu’Il avait le dos tourné. Ce même Dieu vit ce soir.
82 Je n’aurai pas le temps d’expliquer cet autre; je le ferai demain à l’école du dimanche, ce dernier petit commentaire-ci. J’ai le–j’ai le chapitre 21, 20, la dernière partie des chapitres 20 et 21, avec cependant quelques passages des Ecritures que j’aimerais utiliser. Maintenant, je prendrai cela demain à l’école du dimanche, comment Il l’a amené là et comment Il est devenu Jéhovah-Jiré.
83 Ô frère, l’Ange du Seigneur est–est ici ce soir. Il est Jéhovah Dieu dans votre chair. Il est Jéhovah Dieu dans ma chair. Ce même Dieu ne meurt jamais. Il est tout aussi réel. Le problème, c’est que les gens ne Le reconnaissent pas. Ils ne re... Et lorsqu’Il vient effectivement, ils disent: «Eh bien, très bien, je suppose. Ça parait très bien, oui, oui. Je pense que c’est en ordre.» Ô Frère, si chaque Parole de cette Bible n’est pas vraie, Elle n’est pas la Parole de Dieu. Ce n’est pas la Parole de Dieu si ce n’est pas vrai. Mais si c’est vrai, alors c’est... Si–si le... Si Dieu confirme Sa Parole, alors c’est vrai. Amen. Dieu tient Sa Parole; ne croyez-vous pas cela?
Il est ici. Il est ici. Je le dis au Nom du Seigneur. Pensez-vous qu’Il est ici? Maintenant, Il peut utiliser ma chair tout comme Il a pu en créer une. En effet, c’est Lui qui m’a créé après tout. Il peut utiliser votre chair. C’est Lui qui vous a créé et qui vous a fait, ne le pensez-vous pas? Maintenant, si seulement vous ouvrez votre coeur et que vous vous mettez hors du chemin, Il entrera et pourra vous utiliser. Il est le même Dieu; Il donne les mêmes signes. Amen. Le croyez-vous? Regardez à Lui. Permettez-moi de vous tourner le dos; priez pour quelque chose qui ne marche pas. Oh! C’est un défi! Oui, oui.
84 Il y a un homme ici devant moi; il se tient juste... Laissez-moi voir donc, où est-il? Il est assis là, derrière, il porte une cravate défaite ici par-devant, et un costume clair, il a un peu de cheveux sur la tête, il souffre du coeur. Cet homme en costume gris assis ici en train de me regarder, vous étiez en train de prier, disant: «Seigneur, permets qu’il me touche.» C’est vrai? Levez la main si c’est vrai. C’est ce même Ange qui est venu me dire ce qu’il disait dans son coeur; eh bien, n’est-Il donc pas le même Dieu? Votre maladie du coeur est terminée, frère; rentrez chez vous, rétabli. Amen. Il est possible que vous n’ayez pas une carte de prière, n’est-ce pas? Vous n’en avez pas. Vous n’en avez pas besoin.
Voyez-vous ce que je veux dire? Le... Voyez, il revient à lui-même. J’ai regardé tout autour, je l’ai vu se tenir là derrière, avec cette chevelure fine; j’ai regardé et je me suis dit: «Où est-il?» J’ai regardé là derrière, et il était là; il est assis là. Cet homme juste... Je ne l’ai jamais vu de ma vie. Si nous sommes inconnus, levez la main, monsieur. Est-ce que chaque mot qui a été dit est vrai? Est-ce ce que vous pensiez, ce que vous faisiez? Vous y êtes.
85 Qu’a-t-Il donc dit? Lorsque le... cet Homme qui était assis là, Dieu dans Sa chair, la chair de cet Homme, Il a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri dans son coeur, disant que cela ne peut pas s’accomplir?» Alors, ce même Ange vient ici et dit: «Pourquoi... vous avez dit que cela s’accomplira, qu’Il me touche.» Amen. Oh! Pourquoi être si grossier? Amen. Ayez simplement foi. Ne voyez-vous pas, amis? Ne pouvez-vous pas vous réveiller, pentecôtistes? Ne voudriez-vous pas vous mordre la conscience? Ne voudriez-vous pas vous pincer l’âme? Amen.
Maintenant, ça commence partout. Oh! Jéhovah-Jiré, le Seigneur peut se pourvoir d’un sacrifice. Amen. Ayez foi. Que pensez-vous, frère? Je pense que vous pourrez penser que je suis rude. Je ne le suis pas. Je suis votre frère. Je suis votre frère. C’est vrai, frère. Je vous aime. Je sais que je suis ici dans une–une église dénominationnelle, l’Assemblée de Dieu, l’un de mes grands sponsors, mes frères. Mais ce que je déteste, c’est de les voir devenir froids et se refroidir. Je ne suis pas contre cette organisation. Je ne suis pas contre les frères unitaires là, ni contre les méthodistes, ni contre les baptistes, je dis la même chose partout. Mais voici ce que je cherche à dire: secouez-vous, frère. Détournez votre regard de ces choses...
86 Tenez, une minute, une femme est apparue ici devant moi, quelqu’un en train de prier: une neuvrite, des yeux... Cette femme porte une robe rouge. Elle est assise ici même. Croyez-vous qu’Il vous guérira? Mademoiselle Curry, si vous croyez donc de tout votre coeur, Dieu vous rétablira. Si c’est vrai, levez la main. Très bien, vous y êtes.
Je vous demande de croire cela. Qu’est-ce? Le même Seigneur Dieu Tout-Puissant. Il est ici, demeurant dans la chair humaine. Alléluia! Alléluia! Oh! la la! Son Esprit est partout dans la salle. Où est cette femme à qui Cela a parlé? Où est-elle? Est-ce... était-ce vous, madame? La dame à qui Cela a parlé tout à l’heure, où était-ce? Oh! Ici, cette dame-ci, oui. Très bien. Acceptez-vous votre guérison maintenant? Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie, Je ne sais rien à votre sujet. Mais ces choses sont vraies, n’est-ce pas? Vous y êtes. Très bien. C’est en ordre. Voyez, je ne l’ai jamais vue; voilà mes mains devant Dieu. Voyez ce qu’Il fait. Oh! frère, soeur, si seulement vous vous débarrassiez de cette coquille et que vous en sortiez. Sortez, exposez-vous devant Dieu et dites: «Seigneur Dieu, je n’apporte rien dans mes bras, je m’accroche simplement à Ta croix.» C’est ça.
87 Je Le louerai, je Le louerai,
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Rendez-Lui gloire, vous tous,
Car Son Sang a ôté chaque tache.
Je Le louerai, je Le louerai,
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Rendez-Lui gloire, vous tous,
Car Son Sang a ôté chaque tache.
Je L’aime, Je...
(Oh! la la! Adorez-Le. Le sermon tranchant est terminé maintenant. Adorons-Le.)
... Il m’aima le premier
(Ne L’aimez-vous pas? N’est-il pas merveilleux?)
... Acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
Je Le louerai (Ne vous sentez-vous pas tout récuré maintenant?)
... Je Le louerai.
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Maintenant, rendez-Lui gloire, vous tous,
Car Son sang a ôté chaque tache.
88 Oh! Cela ne vous fait-il pas quelque chose? Cet Esprit tranchant a parcouru la salle découpant, circoncisant. Que signifie le mot «circoncire»? Ôter le surplus de chair. L’église a trop de surplus de chair. L’épée de Dieu ôte cela. Alors, lorsque nous le faisons, nous nous sentons tout circoncis et purs. Paul a dit: «Je L’adore, je L’adore en Esprit.»
Je Le louerai, je Le louerai,
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Rendez-Lui gloire, vous tous,
Car Son sang a ôté chaque tache.
89 Oh! n’est-Il pas merveilleux? Y a-t-il ici un pécheur qui sait que Dieu a fait une promesse, que Dieu tient Sa Promesse? Dieu parle ici, et si un homme prêche la Parole, Dieu confirme Sa Parole. Eh bien, vous n’avez pas à deviner cela; Il est vivant, Il est ici maintenant. Avez-vous besoin de Lui comme Sauveur? Venez à l’autel si c’est le cas, pendant que nous chantons encore: «Je Le louerai, louez l’Agneau immolé pour les pécheurs.» Très bien. Voudriez-vous venir à l’autel?
Je Le louerai, je Le louerai,
Louez l’Agneau immolé pour les pécheurs;
Rendez-Lui gloire, vous tous,
Car Son sang a ôté chaque tache.
90 Oh! Merveilleux! Que serait-il arrivé si cet appel à l’autel avait été fait comme cela en Inde? Vous auriez eu à reculer, on vous aurait marché dessus. Des milliers environ auraient afflué à l’autel. Ils L’aiment. Lorsqu’ils voient Dieu, pas le matériel, pas un Dieu qui est un Dieu historique, le Dieu qui est le Dieu au temps présent. Un Dieu de l’histoire se manifeste, et je prêcherai la semaine prochaine sur: «Le Dieu de l’histoire entrant en scène.» Voyez s’Il est le Dieu historique, ou s’Il n’est pas le même Dieu aujourd’hui. Amen. Je L’aime, pas vous?
Ma foi regarde à Toi, Toi,
Agneau du Calvaire,
Sauveur divin;
Maintenant, écoute-moi quand que je prie,
Ôte tous mes péchés,
O laisse-moi dès ce jour
Etre tout à toi!
Pendant que je parcours ce sombre labyrinthe, de ma vie
Et que des tourments m’environnent, Sois mon Guide,
Change les ténèbres en jour,
Essuie les larmes de tristesse,
Ne me laisse jamais m’égarer,
Loin de Toi.
91 N’y a-t-il personne d’autre qui voudrait se frayer la voie vers l’autel pendant que ceux-ci sont ici, des âmes pénitentes en train de pleurer?
Ma foi regarde à Toi,
Toi, Agneau de... (Viens, ami pécheur, tu ne seras jamais si proche.)
Sauveur divin
(Qu’en est-il de vous chrétiens tièdes? Pourquoi ne venez-vous pas aussi prier?)
Maintenant, écoute-moi pendant que je prie,
Ôte tous mes péchés,
Ne me laisse jamais m’égarer
Loin de Toi.
92 Ne voudriez-vous pas venir? Venez doucement, humblement à la Croix. Que Dieu vous bénisse, vous qui venez. Allez directement là et passez donc à l’autel. Ayons un petit moment de prière. Pourquoi pas ceux qui sentent que leur esprit est un peu humide? Venez, soeur bien-aimée; je vous vois venir là-haut au balcon. Venez «tel que je suis, sans autre plaidoirie que Ton Sang versé pour moi. Car je crois Ta promesse. Ô Agneau de Dieu, je viens!» C’est ça. Maintenant, la froideur va être brisée.
Tel que je suis, sans autre plaidoirie,
Que Ton sang versé pour moi,
Car je promets...
Je viens à Toi, Ô Agneau de Dieu, je viens! Je viens!
Tel que je suis, sans rien attendre,
Pour débarrasser mon âme de toute tache noire,
Je viens à Toi, dont le Sang peut ôter chaque tache,
Ô Agneau de Dieu, je viens! Je viens!
Maintenant, que chacun de vous incline la tête, lève les mains vers Dieu et se mette à prier. Priez vous-même. Agenouillez-vous et mettez-vous à prier. C’est ça.