Et Ta Postérité Possédera La Porte De Ses Ennemis
1 Restons debout et inclinons simplement la tête pour un mot de prière. Notre Bienveillant Père céleste, nous nous approchons de nouveau de Toi, en demandant le pardon de nos péchés et de nos offenses, et en Te priant d’avoir pitié de nous, ô Père. Nous Te prions, Seigneur, de pardonner toutes nos transgressions, et de nous conduire dans les sentiers de la Lumière et de la Vie. Et, Seigneur, rends-nous tellement salés que les autres avec qui nous entrerons en contact éprouveront le désir d’être chrétiens. Nous savons que le sel a une saveur quand on entre en contact avec. Et, Père, nous Te prions de nous donner la force du sel, et puissions-nous tellement désirer entrer en contact avec le monde extérieur, qui se meurt, que cela pourra être une saveur pour eux.
Nous avons appris que nous sommes des lettres écrites, lues de tous les hommes. Et, Père, alors que nous professons avoir cette glorieuse expérience de la Pentecôte, nous prions que nos vies soient tellement ainsi qu’elles seront si salées pour le monde, que les gens auront l’ardent désir d’être aussi comme cela. Donne-nous de Ton Saint-Esprit, Seigneur, afin que nous puissions montrer au monde que notre foi dans notre Sauveur est confirmée, à savoir qu’Il n’est pas mort, mais qu’Il est vivant parmi nous jour après jour, nous guidant, nous conduisant, nous nourrissant, pendant que nous marchons près des eaux paisibles et à l’ombre de verts pâturages.
Nous Te prions de nous bénir ce soir par la Parole. Guéris les malades et les affligés; sauve les perdus. Tires-en gloire pour Ton grand Nom, car nous le demandons en Ton Nom, Jésus-Christ. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
2 Nous sommes vraiment... considérons ceci comme un grand privilège d’être de retour ce soir ici à l’église, afin de prêcher de nouveau la Parole aux gens. Et ça aura été un glorieux jour aujourd’hui. Je suis si heureux de rencontrer des chrétiens, de rencontrer des gens véritablement nés de nouveau. J’espère que vous ne pensez pas que, en déclarant et en disant ces choses, je pense que la Californie renferme tous les pécheurs. Ils sont partout dans le monde. Et maintenant, j’ai...
Hier soir, alors que je m’approchais de... Je m’étais rendu au centre-ville les après-midi, et j’ai remarqué certaines personnes, la manière dont elles se comportaient, juste comme si elles étaient dans d’autres parties du monde.
Et lorsque je suis entré hier soir, une très jolie petite fille a reculé là depuis l’estrade, depuis la chorale, je pense que c’était cela, et elle a reculé là. C’était une Canadienne, une très jolie petite demoiselle, propre, et c’était une vraie, juste une vraie demoiselle. J’espère que ma Rebecca sera comme cela lorsqu’elle atteindra son âge. Une fille canadienne... Alors ce soir, lorsque je suis arrivé, une petite dame se tenait là dehors à côté du mur, elle se tenait là dehors, lorsque mon fils, ma belle-fille et moi-même sommes arrivés, de l’Arkansas; elle attendait là dehors dans le froid, juste pour me serrer la main. Elle a dit qu’elle se souvenait lorsque j’étais à Hot Springs, il y a de cela bien des années, la famille Humbard. Et de voir simplement des gens comme cela, cela fait que la vie vaille la peine d’être vécue.
3 Vous savez, nous vivons pour servir, et pour faire ce que nous pouvons pour ces gens, et pour essayer d’aider d’autres personnes qui, peut-être, ne connaissent pas la joie de vivre cette vie. Certaines personnes pensent que lorsque vous devenez un chrétien, cela ôte–cela ôte simplement toute la joie de vivre. C’est juste le contraire. Je–j’ai vécu les deux vies.
Voici trente et un ans que je prêche, et j’ai... Je n’échangerai pas cette vie même s’il n’y avait pas de Ciel où aller à la fin de cette vie, même s’il n’y avait pas de Jésus à voir. J’ai plus de joie de vivre de cette manière un seul jour que je–j’en aurais en vivant pendant dix ans d’une autre manière, s’il n’y avait rien après cette vie. Mais... Cela vient réellement de mon coeur, en tant que votre frère et serviteur de Dieu. Il y a une telle paix et une telle satisfaction de savoir que lorsque vous allez vous coucher, même si vous ne vous réveillez jamais, cela ne change rien. Voyez? Vous êtes–vous êtes–vous êtes sauvé, cette–cette ancre tient bon derrière le voile là quelque part, quelque chose qui nous dit que le bonheur se trouve juste de l’autre côté.
4 Billy m’a dit hier soir, quand je quittais, il a dit: «Papa, penses-tu que tu pourrais arriver un jour à terminer à 21 heures?»
J’ai dit: «Un jour, je l’espère.» Mais je... Vous êtes un peuple si gentil auquel parler. Et vous... Il n’y a pas moyen d’arrêter.
Et il a dit: «Bien, d’abord, tu avais parlé environ trente minutes avant de commencer ton sermon.»
J’ai dit: «Eh bien, Billy, je vais... je ne le ferai pas ce soir. Je vais–je vais entrer immédiatement dans le sermon, afin que je puisse laisser les gens sortir.»
5 Nous avons une–encore une semaine pleine. Et puis, nous devons ensuite partir d’ici pour aller jusqu’à Visalia et, de là, nous partirons directement jusque dans l’Ohio, de nouveau dans la neige, et en Virginie où je pense qu’ils ont maintenant là-bas dix-sept pouces [43 cm] de neiges. Ensuite, nous retournerons dans l’Illinois, à Bloomington, jusqu’à Chicago. Et ensuite, nous irons jusqu’au nord de la Colombie-Britannique, où il neige abondamment. Et ensuite, j’espère, le Seigneur voulant, peut-être cet été, retourner outre-mer, car c’est là que mon coeur se trouve. C’est vrai. Vous le feriez aussi.
Vous penserez: «Eh bien, vous ne nous aimez pas.» Si, je vous aime. Mais vous êtes déjà ancrés en Christ, et ces gens là-bas ont tellement faim et soif. Et maintenant, si je travaillais pour vous, et que je pouvais cueillir... je cueillais des fraises. D’un côté de la route par ici, je peux cueillir cinquante gallons par jour. Et de ce côté de la route, je peux cueillir deux quarts d’un gallon par jour. Eh bien, dans quel champ devrais-je travailler? Certainement, vous comprenez ce que je veux dire.
6 Mais il y a une chose sur le fait de tenir des réunions ici. Les Américains ont de l’argent, et ce sont eux qui doivent parrainer. Ces gens là-bas n’arrivent même pas à manger, sinon ce que... Et c’est vraiment terrible. Vous ne comprendrez jamais ce que c’est. Cela ne touchera jamais votre coeur jusqu’à ce que vous vous teniez dans la rue une fois, en train de prêcher, et que vous voyiez une petite mère avec son petit bébé au ventre ballonné à ce point-ci, mourant de faim, et essayant de vous tendre son bébé. Elle sait qu’elle va aussi mourir de faim. Eh bien, et si vous prenez celui-là? Il y en a un autre ici, un autre ici, un autre ici, et il y en a tout simplement partout. Voyez-vous? Et c’est pitoyable.
Et quand vous revenez ici, de penser que nous jetons à la poubelle ce qui suffirait pour nourrir ces gens-là! Et il y a simplement quelque chose... Quelque part, les systèmes économiques du monde ne sont pas correctement équilibrés. Ce n’est simplement pas correct. Et nous n’y pouvons rien. Vous pouvez remarquer cela, mais (voyez?), je ne suis qu’un seul Américain. Et c’est... juste un seul chrétien. Et nous pouvons revenir et vous le raconter. Et ce soir, il est vrai que beaucoup de missionnaires prennent un ou deux repas par semaine, n’ont pas de chaussures aux pieds, avec un seul pantalon usé ou quelque chose dont ils s’enveloppent, allant dans les jungles prêcher l’Evangile, cet Evangile que nous prêchons juste ici. Et ce n’est simplement pas correct, cela ne semble simplement pas correct, pourtant, ils ne se plaignent pas. Ils vont carrément de l’avant, et ils le font de toute façon. Et cela vous brise pratiquement le coeur de voir cela. J’ai dit: «Ce gars-là...» «C’est un missionnaire.»Lorsque nous étions à Durban, en Afrique du Sud, c’est là que, je pense, j’ai eu le plus grand appel à l’autel que le Seigneur m’ait jamais donné. Nous avons enregistré trente mille convertis pour un seul appel à l’autel. Pensez-y simplement. Trente mille pures indigènes ont reçu Christ comme leur Sauveur personnel lorsqu’ils ont vu cela se produire, juste ce que vous avez vu ici hier soir. Ils ont faim et soif. Et lorsqu’ils voient quelque chose de réel... Mais, vous voyez, nous ici en Amérique, nous avons tout simplement toutes sortes d’évangélistes. Si l’un d’eux ne nous plaît pas, nous le laissons tout simplement tomber, nous en cherchons un autre. Et, vous savez, nous en avons une telle variété. Et–et bien vite, eh bien, cela devient tellement ordinaire pour nous que nous oublions cela. Ces gens là-bas ont vraiment soif de Dieu.
7 J’ai vu de petits garçons noirs qui se tenaient comme cela, de petits enfants, qui n’avaient jamais su ce qu’était un costume. Ils n’avaient jamais su... Bien, nous avions quelques crèmes glacées faites à la maison, et l’un d’eux s’est avancé. Et j’ai mis cela dans sa main. Il a laissé tomber cela et a poussé un cri. J’ai demandé à monsieur ou plutôt à l’homme qui se tenait à mes côtés: «Qu’est-ce qu’il a dit?»
Il a dit: «Chef, ça m’a brûlé.»
C’était froid, vous savez. Il n’avait jamais touché quelque chose de froid. Voyez-vous? Il a dit: «Ça m’a brûlé.» On les voyait là-bas, lorsqu’ils allaient chercher de l’eau à boire, et les crocodiles les dévoraient. Et on les voyait venir deux mois à l’avance, lorsqu’ils ont appris que j’allais venir là prier pour leurs malades. Ils venaient, transportant leurs bien-aimés sur des civières artisanales, des planches, et tout ce qu’ils pouvaient avoir. Et lorsqu’ils... un lion venait, ils les faisaient monter sur un arbre quelque part jusqu’à ce que le lion soit parti, ensuite, ils les faisaient descendre. Quel sacrifice! A travers les jungles. Et ensuite, de les voir étendus sur une distance d’au moins quatre ou cinq pâtés de maisons, au point que vous ne pouvez même pas voir jusqu’où ils s’étendaient, ils étaient couchés là, juste...
8 Et lorsqu’ils ont vu un seul homme être guéri sur l’estrade... Je me suis retourné, et par le truchement de quinze différents interprètes ... On était simplement obligé de noter ce qu’on avait dit à la fin. Mais, lorsque je leur ai demandé si les missionnaires leur avaient dit qui était ce Grand Jésus, la réponse était «oui»; cependant, ils leur avaient aussi dit que les jours des miracles étaient passés.
J’ai dit: «Eh bien, qu’était-Il autrefois alors? Ce qu’Il était autrefois, Il reste le même s’Il est vivant.» Vous voyez? Et lorsqu’ils ont vu la preuve qu’Il était le même, j’ai juste fait une prière, une prière d’ensemble, et le docteur F.F. Bosworth (Quelqu’un a-t-il déjà entendu parler de lui? Presque tout le monde. L’un des plus grands saints que j’aie jamais rencontrés dans ma vie.) estima qu’entre vingt-cinq et trente mille miracles spontanés se sont produits en une fois.
9 Le lendemain matin, monsieur Sydney Smith, le maire de–de–de Durban, m’a téléphoné et a dit: «Regardez depuis votre chambre d’hôtel par la fenêtre qui donne sur le rivage.»
J’ai dit: «De quoi s’agit-il?»
J’ai dit: «Je vais voir si je peux arriver là à temps. C’est en train de passer.» Bien, j’étais assis là. Je me suis demandé, qu’est-ce que le maire voulait dire? Et ce soir-là même, une femme était morte là-bas ce jour-là, une de ses amis. J’ai prié pour elle, elle était revenue à la vie. Les journaux avaient publié cela en grands titres. Et je me suis approché...
Vous voyez, lorsque les gens s’humilient réellement, oublient tout le reste et croient simplement au Seigneur, n’importe quoi se produit. Et puis... Mais vous devez croire cela. C’est tout. Juste... Non, il ne s’agit simplement pas de forcer cela, mais de le croire simplement (voyez-vous?), juste comme...
10 Et ainsi, il m’a appelé. Et j’ai entendu quelque chose faire un bruit, et je suis descendu dans la rue. Eh bien, ils avaient–ils avaient des guerres tribales entre eux. Mais, lorsque je me suis avancé sur l’estrade... Il y avait, je crois, quinze différentes tribus là, toutes se trouvaient là avec leurs sorciers, les chefs et autres. Et ils étaient tous d’un commun accord, environ deux cent mille personnes, et ils chantaient chacun dans sa langue maternelle, tous à l’unisson, Tout est possible, crois seulement.
Frère Bosworth a dit qu’il avait entraîné des orchestres symphoniques, et qu’il était allé jouer au Madison Square Garden avec un orchestre qui avait cent et quelques instruments, et il a dit que jamais... Il a dit que certains d’entre eux jouaient une octave plus haut et une octave plus bas, des voix exercées. Mais il a dit que ces gens faisaient tous un. Et ils ne savent pas distinguer leur main droite de leur main gauche, c’était simplement une musique parfaite. Je peux le voir encore, alors qu’il ôtait ses lunettes, et il s’est mis à essuyer ses yeux. Il a dit: «Frère Branham, ceci est mon couronnement, d’entendre cela.»
J’ai dit: «Ça, c’est le Saint-Esprit. C’est la seule chose qui puisse les faire chanter.»
11 Et le lendemain, lorsque je suis allé à la fenêtre et que j’ai regardé dehors, j’ai cru que mon coeur allait bondir et sortir de moi. J’ai regardé. Sept de ces grands camions d’Afrique descendaient la rue. Ils sont à peu près longs comme d’ici jusqu’au... oh! presque la largeur de cette salle. Ils ont quatre ou six roues. Et ils étaient chargés autant que possible de vieilles planches, de morceaux de bois, et d’objets que ces gens avaient utilisés la veille pour marcher. Et ceux qui avaient marché avec cela suivaient derrière, sur une distance de plusieurs pâtés de maisons. Six de ces gra-... Sept de ces grands camions pleins, comme cela, ils descendaient la rue, ces gens qui étaient infirmes la veille, et les mains en l’air, ils chantaient: Tout est possible, crois seulement. Je vous assure. Vous comprenez pourquoi... ce que je veux dire? C’est juste... cela... Votre coeur saigne simplement pour retourner auprès d’eux, vous voyez, il bondit tout simplement pour voir ce que vous pourriez faire pour eux.
Et j’ai un journal, l’un des journaux de Durban, qui dit que l’une des tribus, la tribu Songhaï... J’ai oublié combien de gens ils avaient ramenés les semaines qui ont suivi. Et ils étaient... Et lorsqu’ils sont rentrés, ils en avaient fini avec le péché, ils ont restitué des armes à feu, des montres, et ce qu’ils avaient volé au... ils vivent dans les quartiers des Noirs, vous savez, lorsqu’ils allaient en ville, ils volaient.
12 Maintenant, excusez-moi, mes soeurs, pour cette façon rude de m’exprimer, et ne pensez pas que j’essaie de rendre quelque chose–d’insister fort là-dessus. Mais, j’aimerais juste vous poser une question. C’est supposé que nous vivons dans un pays civilisé. Et ce baptême du Saint-Esprit dont nous parlons... Et j’ai vu des gens recevoir le baptême du Saint-Esprit, des gens qui ne savaient pas distinguer leur main droite de leur main gauche. Et vous savez ce qu’ils font lorsqu’ils reçoivent le Saint-Esprit? Ils agissent juste comme vous lorsque vous Le recevez; ils font la même chose. Et ils ne savent pas distinguer leur main droite de leur main gauche. Et il y avait des femmes qui se tenaient là sur ce champ de course, sans vêtements, pas plus que lorsqu’elles étaient nées. Et elles se tenaient là, des jeunes comme celles qui étaient avancées en âge, toutes pareillement. Et je leur ai demandé, j’ai dit: «Maintenant, j’aimerais que vous... voudriez-vous recevoir ce Jésus qui a fait que cet homme qui était complètement infirme puisse se tenir droit et marcher, alors qu’il lui a été dit...» Et j’ai dit: «Je... alors que vos sorciers pensaient que j’étais en train de lire sa pensée.» J’ai dit: «Maintenant, cela prouve que c’est le Dieu du Ciel qui l’a guéri.» J’ai dit: «Combien voudraient Le recevoir comme leur Sauveur personnel?» Et ils ont levé la main par milliers.
13 Frère Baxter et les autres ont dit: «Je crois qu’ils doivent avoir compris qu’il s’agit de la guérison physique.»
J’ai dit: «Répétez-le par le truchement des interprètes.» J’ai dit: Je ne parle pas de la guérison physique. Je parle de recevoir Christ, Quelqu’un qui vous aime. Et je comprends que vous n’avez pas la belle part ici, juste comme nos Indiens là-bas en Amérique, terre où Dieu les avait placés. Mais, ai-je dit, vous–vous faites l’objet d’une injustice. Mais il y en a Un qui vous fera justice. C’est le Seigneur Jésus, et il vous faut Le recevoir comme votre Sauveur personnel, et vous pourrez retourner chez vous au Ciel.» Et j’ai dit: «Levez la main. Que ceux qui ont amené des idoles les brisent par terre.» Et ils ont brisé leurs idoles, et ils ont levé leurs mains. Trente mille purs païens. J’ai dit: «Alors que vous avez les mains levées, recevez Jésus pour le baptême du Saint-Esprit.» Et alors, ces gens... Certaines femmes se tenaient là, nues, avec juste un petit morceau d’étoffe... Savez-vous ce qu’elles ont fait pour s’éloigner de là? Elles ont croisé leurs bras pour s’éloigner.
14 Eh bien, ce qui me semble étrange est qu’une femme qui ne sait pas distinguer sa main droite de sa main gauche, aussitôt que Christ est venu dans son coeur, elle s’est rendu compte qu’elle était nue, et elle a cherché à se cacher; tandis que nous qui sommes supposés être une nation chrétienne, nous enlevons continuellement les habits. Pouvez-vous me l’expliquer? Je–j’aimerais juste vous poser cette question. Je... Et toutes... Je ne le dis pas pour plaisanter. Ceci n’est pas un endroit où plaisanter. Ceci c’est la chaire, la chaire de Dieu. Voyez-vous? N’est-ce pas vrai? Cela... Pouvez-vous comprendre cela? Un indigène qui ne connaît rien au sujet de Dieu, et aussitôt que Christ vient dans leur coeur, elles se rendent compte qu’elles sont nues. Et nous qui sommes supposés être des chrétiens, constamment, chaque année, dans la mesure où la loi se garde de vous chasser de la rue, vous les enlevez chaque année. Il y a quelque chose qui cloche quelque part. Peut-être que c’est... Peut-être que c’est moi. Peut-être que c’est moi qui ai tort. Je ne sais pas. Si j’ai tort, alors la Parole a tort. J’aime m’en tenir à la Parole.
15 Bon, pardonne-moi, Billy. J’ai fait encore la même chose. Je crois que j’avais demandé à frère Borders de lire quelques... J’ai quelques annonces ici, mais j’aimerais les prendre un peu plus tard, parce qu’il fait tard. Et je vais essayer de vous laisser sortir à 21 heures, si je le peux.
Maintenant, pour la lecture j’aimerais prendre une Ecriture dans Genèse, chapitre 22, les dix derniers mots du verset 17:
Et ta postérité possédera la porte de ses ennemis. [And thy seed shall possess the gate of his enemies. Version anglaise–N.D.T.]
16 Eh bien, nous étions en train d’étudier Abraham, comment Dieu était avec Abraham, et ce qu’Il a fait pour lui. Hier soir, le samedi, nous avons laissé Abraham, vous savez, là où Dieu les avait changés, lui et Sara, en un jeune homme et une jeune femme. Aimez-vous cela? Le croyez-vous? Ils sont rentrés, et elle a eu l’enfant. Et nous avons prouvé par les Ecritures que Sara était redevenue une jeune femme, car il y avait un jeune roi là-bas, Abimélec, qui était tombé amoureux d’elle. Et j’ai reçu une petite note sur cela, qui dit: «Frère Branham, ils vivaient simplement un peu plus longtemps en ce temps-là.» Quelqu’un n’est pas vraiment d’accord. Bien sûr, ce n’est pas un problème. Mais, j’aimerais bien vous faire comprendre cela, mon frère.
Remarquez, les Ecritures disent: «Et ils étaient tous deux avancés en âge.» Vous voyez? Ils étaient âgés. Et alors, Il les a ramenés à un jeune homme et à une jeune femme pour montrer ce qu’Il fera de toute la postérité d’Abraham. Maintenant, nous voyons ces glorieuses promesses qu’Il a faites.
17 Et puis, nous voyons qu’Abraham était stérile. Sara était peut... peut-être stérile. Peut-être que c’était Sara qui était stérile. Mais après... Le corps d’Abraham, comme le dit la Bible dans Romains, chapitre 4, était usé, et nous voyons que quarante ans après, lorsque sa femme mourut, il s’est remarié et il a eu sept autres fils, sans compter les filles, après cela. Alors vous voyez, cela... Vous... entre les lignes, vous savez, Dieu a simplement fait quelque chose pour eux. C’est vrai. Il les a simplement changés et les a ramenés à un jeune couple.
Je suis si heureux d’avoir cette occasion, et de pouvoir apporter aux gens l’un des plus glorieux trésors qu’il y a au monde, de leur dire que nous sommes héritiers de cette promesse avec Abraham. Nous sommes enfants d’Abraham. Comment les sommes-nous? En adhérant à une église? Non. En étant morts en Christ, en recevant le Saint-Esprit. Alors, nous sommes la postérité d’Abraham, et nous sommes héritiers avec lui en vertu de la promesse. Ne manquez pas de saisir cela, mes amis chrétiens. Tenez-vous-en à cela.
18 Si je fais entendre un petit sifflement pendant que je parle... Vous savez tous que j’étais un boxeur. Je faisais de la boxe. Et j’ai participé à trois championnats d’Etat. Je n’ai perdu qu’un seul combat dans ma vie. Et j’ai souri à un type une fois, lorsqu’il–il m’a donné un coup qui m’a manqué, et il m’a frappé en plein sur la bouche. Et cela m’a fait perdre deux dents là, et cela a cassé le coin de l’une d’elles. Et juste l’autre jour, j’en ai perdu le plombage. Alors, je–je sifflote un petit peu de temps en temps. Je pensais une fois combien c’était désagréable. Et je me souviens de madame Graham, la femme du célèbre évangéliste Billy Graham, elle a dit que le–l’un des glorieux moments de sa vie qui... Il lui manque une dent devant, vous savez, et il porte un dentier. Et il a perdu cette dent, et il était temps pour lui de passer à l’antenne. Et il a dit qu’il sifflotait terriblement, et simplement il–et il devait se tenir tout près du micro. Elle a dit: «Oh! Billy était vraiment en train de faire une prière», et le portier, tout le monde cherchait partout, les grooms essayaient de retrouver cette dent, où elle se trouvait. On a finalement trouvé qu’elle était tombée de la poche de son pantalon, et elle se trouvait dans sa chaussure. Quelqu’un l’a trouvée dans l’une de ses chaussures. Et–et elle a raconté cela en parlant de lui lorsqu’elle était à Louisville. Et voici donc ce qu’il faisait, il prenait une serviette après avoir pris un bain, et il la mettait au-dessus de la porte comme cela, et cela faisait une grande raie sale. Et elle était trop courte pour atteindre cette raie et ôter cela, vous savez. Nous avons donc tous nos défauts, vous voyez, tous, même les meilleurs.
19 Donc, nous voyons alors qu’Abraham et Sara avaient reçu ce petit enfant. A l’âge d’environ douze ans, il fut pris... Dieu demanda à Abraham, ou... d’amener son propre fils sur la montagne et de l’offrir en sacrifice, de lui ôter la vie. Et Abraham ne douta pas de Dieu, parce qu’il savait que s’il–que s’il avait obéi à Dieu comme il l’avait fait, qu’il avait attendu pendant vingt-cinq ans, de sorte qu’il l’avait reçu comme venant des morts, alors, qu’en est-il de cela? Etaient-ils avancés en âge ou non? Puisqu’il l’avait reçu comme venant des morts, il savait qu’il était pleinement persuadé que Dieu était capable de le ressusciter des morts. Voyez-vous? En effet, il était pratiquement mort, sa vie au-dedans de lui, en tant que mâle, était morte; Sara, le sein de Sara était mort et elle était simplement... Elle l’a simplement reçu comme venant des morts. Alors, il était certain que Dieu était capable de ressusciter, puisqu’Il avait gardé Sa promesse.
Alors, nous voyons que, lorsqu’on arrive à la pleine obéissance, quand donc il était sur le point d’ôter la vie à son propre fils, l’Ange du Seigneur l’appela des cieux et retint sa main. Et il y avait un bélier derrière lui. Et il prit le bélier qui était retenu dans les herbes ou les plantes rampantes par ses–par ses cornes, et il offrit le bélier à la place de son propre fils. Et nous en avons parlé. D’où venait ce bélier?
Or, Abraham se trouvait à deux journées de marche, et alors il leva les yeux et vit la montagne au loin. Il était à au moins soixante-quinze ou cent miles [120,7 ou 160,9 km] de la civilisation, en haut sur le sommet de la montagne, là où il n’y a ni verdure ni eau. Et il roula les pierres, et prépara l’autel, et il n’y avait pas de bélier là. Et si un bélier se trouvait là-haut, les bêtes sauvages l’auraient tué depuis longtemps, s’il s’aventurait là comme cela. Et c’est la raison pour laquelle il a appelé cet endroit Jéhovah Jiré, l’Eternel se pourvoira d’un sacrifice. Je crois que Dieu a parlé et ce bélier est venu à l’existence. Et nous voyons que ce n’était pas une vision. Une vision ne saigne pas. Il tua le bélier, et le sang coula du bélier, et il l’offrit à la place de son propre fils. Savez-vous qui était ce bélier? Le Seigneur Jésus-Christ. C’est exact. Cela... Au figuré, c’était Lui.
20 Alors Dieu était tellement content de cette pleine obéissance. Dieu a éprouvé Son patriarche. Il a éprouvé Son serviteur. Et tout fils qui vient à Dieu doit être quoi? Testé. Châtié. C’est là que beaucoup tombent, parce que nous n’arrivons pas à supporter cette épreuve. Quelqu’un peut venir à l’autel pendant le réveil. Et observez peu après, les dures épreuves commencent à venir. Jésus a clairement enseigné cela, Il a dit: «Un semeur sortit pour semer la semence. Une partie tomba le long du chemin, une autre partie tomba sur le sol pierreux, et parmi les ronces et les épines, et une autre tomba dans la bonne terre.» Et Il a dit que c’est de cette manière que la Parole est allée, qu’elle sort. Certains entendent la Parole, ils sortent. Les oiseaux viennent et mangent cela. Voyez-vous, ils ne–ils n’en font rien de bon. D’autres s’avancent le même soir. Oh! ils veulent accomplir de grandes choses. Mais dès que les épreuves surviennent, cela les étouffe. Une partie sur le parcours tombe dans la bonne terre, et cela produit au centuple.
21 Puissions-nous être ce centuple. Allons très loin, vendons tout ce qui est du monde, regardons à Christ et croyons en Lui de tout notre coeur. C’est comme cela que ces choses se produisent. C’est comme cela que les visions viennent. C’est comme cela que la puissance que le... de Dieu se meut au milieu de nous, c’est lorsque nous sommes... Quand il n’y a aucune racine d’amertume, quand tout a été purifié, et que le Saint-Esprit peut agir à travers nous, alors, nous devenons un canal. Qu’arriverait-il s’il y avait un court-circuit dans ce haut-parleur ce soir? Vous ne seriez pas en mesure de m’entendre. Ce serait plein de parasites. Vous ne comprendriez pas ce que je suis en train de dire. Eh bien, c’est exactement comme nous. C’est–c’est muet, jusqu’à ce que quelque chose produise un bruit dedans. Cela ne peut pas parler de soi-même. Et c’est pareil avec nous. Nous ne savons rien au sujet des cieux. Il faut cependant que le Saint-Esprit descende et utilise nos yeux pour produire des visions, nos lèvres pour parler et prophétiser, et–et–et prononcer les paroles, et observez les choses s’accomplir.
«Demandez ce que vous voudrez en Mon Nom, cela vous sera accordé.» Vous voyez? «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. En vérité, en vérité, Je vous le dis, si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne doutez point en votre coeur, mais croyez que ce que vous avez dit arrivera; vous le verrez s’accomplir.» Saint Marc 11, 22 et 23. Donc, nous savons que ces choses sont vraies.
22 Maintenant, nous voyons qu’Abraham avait d’abord été éprouvé. Et après qu’il eut enduré les épreuves... Et que dit la Bible que nous sommes si nous n’arrivons pas à supporter le châtiment de Dieu? Nous devenons alors des enfants illégitimes, de prétendus enfants, mais pas de véritables enfants de Dieu.
Les enfants de Dieu connaissent exactement là où ils se tiennent. Ils connaissent là où ils ont placé leur espérance, leur foi, leur confiance. Rien ne peut les secouer et les bouger de là. «Tous ceux que le Père M’a donnés viendront.» C’est juste. Et alors... «Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à Moi. Celui qui écoute Mes paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Voilà l’Ecriture. Vous voyez? Saint Jean 5.24. Ils croient cela. Ils ont accepté cela. Quelque chose leur est arrivé. Ils sont devenus de nouvelles créatures. Ils ont une nouvelle nature. Ils sont–ils sont un nouvel être, ils sont alors une nouvelle créature.
Le mot grec signifie «nouvelle création». Il s’agit d’une nouvelle création. Vous avez été recréés à partir de ce que vous étiez [pour être] à l’image d’un fils de Dieu et d’une fille de Dieu. C’est tout simplement une vie si merv-... C’est le plus glorieux miracle qui se soit jamais produit, lorsqu’un pécheur devient un chrétien.
23 Par exemple, voici un arbre épineux qui pousse. C’est–c’est une vie, cet arbre épineux. Et il est couvert d’épines, il porte de drôles de feuilles. Alors, vous voyez, il faut quelque chose d’autre en dehors de toute oeuvre humaine pour changer cet arbre épineux, et en faire disparaître ces épines, pour qu’elles puissent juste se déplier et devenir de très jolies feuilles lisses, et pour qu’il porte des oranges.
Alors, vous voyez, qu’est-ce qu’il faudrait faire? Vous devez transférer la vie d’un oranger dans cet arbre épineux, et ensuite, il va réellement produire des oranges, parce que la vie qui se trouve à l’intérieur est celle de l’oranger. Evidemment, vous ne pourrez pas le faire de façon naturelle. Cela ne–cela ne changera pas de cette manière.
Et, c’est ce que nous sommes. Par exemple, nous sommes maintenant un–un blé, un grain de blé dans le grenier de Dieu, alors que nous étions un grateron. Et Dieu nous a changés d’un grateron en un grain de blé. Cela rend les fruits différents, en changeant votre esprit, vos idées personnelles. C’est le plus grand miracle qui soit jamais arrivé, lorsqu’un homme ou une femme est née de nouveau de l’Esprit de Dieu, et devient une nouvelle création en Jésus-Christ.
24 Bien, nous voyons donc que Dieu a dit à Abraham: «Parce que tu as fait ceci...» Et Il fit passer le patriarche par cette grande épreuve, Il a dit: «Ta postérité possédera les portes de l’ennemi», de ses ennemis, les ennemis, c’est au pluriel. «Ils posséderont les portes de l’ennemi.» Eh bien, il s’agit de sa postérité. Maintenant, en parlant de la postérité, de qui parle-t-Il? La postérité, c’est l’Eglise.
Comment entrons-nous dans l’Eglise? Ce n’est pas en y adhérant, mais en y naissant. Vous voyez, je–je crois que nous avons notre organisation, nos dénominations, et il n’y a pas de mal dans toutes ces choses. Mais cela ne nous fait pas entrer dans l’Eglise. Nous pouvons adhérer à chacune d’elles, et pourtant ne pas être dans l’Eglise. Vous ne–vous n’adhérez pas à l’Eglise, vous naissez dans l’Eglise. Vous devenez la famille de Dieu. Eh bien, je suis dans la famille Branham depuis cinquante et un ans, on ne m’a jamais demandé d’adhérer à cette famille, parce que j’étais un Branham à ma naissance. Je suis né dans cette famille. Je–je suis un Branham de naissance.
C’est comme cela que vous devenez un chrétien, par la naissance. Lorsque vous naissez de nouveau, vous devenez une nouvelle créature, une nouvelle création en Jésus-Christ, et toutes les choses anciennes sont passées et toutes choses sont devenues nouvelles. Quel merveilleux... J’aimerais poser une question à l’église. Quel plus grand trésor pourriez-vous trouver sur terre ce soir? Que pouvez-vous trouver ce soir que vous échangeriez contre cette espérance? Eh bien, rien ne pourrait y être comparé de quelque manière que ce soit, cette glorieuse espérance.
25 Maintenant, souvenez-vous, Ta postérité possédera les portes de son ennemi. La postérité possédera. Eh bien, maintenant Il parle de la postérité d’Abraham. Et comment devenons-nous la postérité d’Abraham? En étant morts en Christ, Galates 3. Nous, lorsque nous mourons en Christ, nous devenons la postérité d’Abraham. Vous voyez? Nous–nous sommes morts aux choses du monde, et nous devenons une nouvelle créature en Christ Jésus. Alors, le Saint-Esprit qui était en Christ se trouve en nous. Et cela fait de nous la postérité d’Abraham, et cela nous donne la foi d’Abraham. Vous voyez? C’est pour cette raison que les gens disent: «Oh! je ne croirai pas à la guérison divine.»
Je parlais à un certain ministre. Je n’ai rien contre cet homme, il a le droit d’avoir ses idées. Il est un Américain comme nous. Et il a dit: «Frère Branham, cela m’importe peu que vous accomplissiez dix mille miracles. C’est toujours... Je ne crois pas à la guérison.»
J’ai dit: «Certainement pas. Ce–ce n’était pas pour les incrédules, c’était seulement pour ceux qui croient.» Voyez-vous? C’est vrai. Ce–ce n’est pas pour les incrédules. Cela n’était destiné qu’aux croyants. Voilà tout. Le Saint-Esprit est pour ceux qui croient. La guérison divine est pour ceux qui croient. Pas pour les incrédules; elle est pour les croyants.
26 Eh bien, vous savez, les gens... Jésus est venu juste au moment où les gens prêchaient contre cela, et tout le reste, mais Il a bonnement continué à guérir malgré tout. Et peu importe combien les autres disaient que le Saint-Esprit n’existait pas, les gens ont tout simplement continué à recevoir Cela malgré tout. Voyez-vous? Ils pouvaient ne pas être en mesure de l’expliquer. Ils ne peuvent pas expliquer combien de molécules il y a dans un pouce... ou combien de kilomètres nous séparent de la lune; mais ils savent qu’ils ont reçu quelque chose, et ils s’en réjouissent.
Et ceci n’est pas une plaisanterie, mais l’histoire a été racontée récemment dans l’une des réunions des Hommes d’Affaires Chrétiens. Une vieille soeur de couleur voulait donner un témoignage. Elle l’a dit un peu à la manière des gens du Sud.
Elle a dit: «Je veux donner mon témoignage.» Elle a dit: «Je ne suis pas ce que je veux être. Et je ne suis pas ce que je devrais être. Mais cependant, je ne suis plus ce que j’étais.» Je pense donc que c’est de cette façon que l’Eglise pourrait le dire ce soir. Il se pourrait que nous ne soyons pas ce que nous voulons être. Et il se pourrait que nous ne soyons pas ce que nous voulons être, mais... et ce que nous devrions être. Mais, nous savons qu’il s’est passé quelque chose, nous ne sommes plus ce que nous étions. Je le sais, parce que vous êtes passés de la mort à la Vie. Quelque chose s’est passé et nous le savons. Quelque chose s’est passé dans nos vies. Cela fait de nous la postérité d’Abraham, parce que nous sommes en Christ.
27 Maintenant, sa postérité... Eh bien, parlant de la postérité, Jésus a dit ceci, qu’il vaudrait de loin mieux qu’on vous suspendît au cou une meule de moulin et qu’on vous jetât au fond de la mer plutôt que de scandaliser cette postérité d’Abraham. «Le plus petit de ceux qui croient en Moi, ce serait un...» Et Dieu dit à Abraham: «Je bénirai quiconque te bénira, et je maudirai quiconque te maudira.»
Eh bien, un peu plus tard, au courant de cette semaine, je vais prendre Le Sceau de Dieu et La Marque de la bête, et dit... prendre deux soirées là-dessus. Je veux que vous soyez sûrs de comprendre cela, si vous le pouvez. Vous écoutez tant le hit-parade et tout. Mais, regardez comment c’est simple lorsque la Bible révèle cela, combien c’est facile de voir cela?...?... Le pour et le contre de la chose.
28 Maintenant, si vous remarquez, Il a dit qu’Il bénirait celui qu’Abraham... celui qui bénirait Abraham et sa postérité serait béni, et qu’Il maudirait celui qui maudirait Abraham. Maintenant, observez simplement cela chez les Juifs, voyez ce qui s’est passé. Observez cela parmi les chrétiens, voyez ce qui s’est passé. C’est toujours ainsi. Alors, vous voyez, il possédera la porte de l’ennemi.
Faisons un recul dans le passé et voyons quelques personnes qui faisaient partie de la postérité d’Abraham sous l’alliance juive, puis, ramenons cela chez les Gentils lorsque nous avons été greffés de l’âge juif à l’âge des Gentils, pour qu’Il prenne un peuple qui portât Son Nom.
Alors, prenons quelques hommes qui étaient la postérité d’Abraham, et voyons s’ils avaient possédé la porte de l’ennemi.
29 Prenons par exemple... Eh bien, parlons un moment du... le moment où les enfants d’Israël ont été emmenés captifs à Babylone. D’abord, il y eut un moment où ils devaient passer par une épreuve. Il y a toujours des épreuves. Il fait toujours plus sombre avant le lever du jour, dans–dans le naturel. Et vous aurez toujours des épreuves avant d’avoir la victoire. S’il n’y a pas de guerre, alors il n’y a pas de victoire.
Et alors, les enfants hébreux là-bas avaient été amenés à un point où le roi avait promulgué un–un édit selon lequel toute personne qui ne s’inclinerait pas devant cette statue serait jetée dans le feu d’une fournaise, ou plutôt dans une fournaise de feu. Et puis, lorsqu’ils...?... résolus dans leurs coeurs qu’ils n’allaient pas se souiller. Ils voulaient vivre plus près de Dieu. Eh bien, les trois enfants hébreux, Schadrac, Méschac et Abed-Nego, étaient la postérité d’Abraham. Ils avaient la promesse de Dieu selon laquelle sa postérité posséderait la porte de l’ennemi.
30 Maintenant, je peux m’imaginer que lorsqu’une épreuve survient... Quelle est la première chose qui sert de refuge à un enfant de Dieu lorsqu’une épreuve survient? L’arme la plus puissante qui ait jamais été placée dans les mains de l’humanité, c’est la prière. Elle change même toutes choses. Cela a même fait changer d’avis à Dieu une fois.
Dieu avait dit à son prophète de monter dire au roi qu’il allait mourir. Et le roi tourna son visage contre le mur, et dit: «Ô Eternel, souviens-Toi de moi. J’ai marché devant Toi avec intégrité de coeur. J’ai besoin de quinze ans de plus.» Et Dieu épargna sa vie quinze ans de plus. La prière change les choses.
Ensuite, nous remarquons donc que, lorsque ces enfants hébreux sont allés à une réunion de prière cette nuit-là, ils ont dit: «Qu’allons-nous faire?» Il devait y avoir une–une réunion, et une décision devait être prise. Nul doute qu’ils ont prié toute la nuit. Et leur décision était unanime, parce qu’ils avaient décidé qu’ils ne pouvaient renier Dieu au moment de l’épreuve. Ne serait-ce pas une bonne chose pour l’Eglise tout entière aujourd’hui?
Lorsque la décision est prise à propos de: «Devrais-je retourner aux choses du monde? Ferais-je comme les autres?»... Chaque chrétien se retrouve devant cette décision. Elle est devant vous chaque jour. Comment allons-nous le faire? Vous devez prendre votre décision.
31 Et ils ont pris leur décision, sans tenir compte de ce qui se passait, ils n’allaient pas s’éloigner de Dieu, c’est vrai, parce qu’ils avaient la promesse de Dieu selon laquelle ils étaient la postérité d’Abraham, et ils connaissaient leur position, et ils savaient où ils se tenaient. Et ils l’ont signifié au roi et ont dit: «Maintenant...»
Les autres ont dit: «Nous allons vous jeter dans cette fournaise ardente si vous ne vous prosternez pas devant ce dieu.»
Et ils ont dit: «Ô roi, vis éternellement. Notre Dieu est capable de nous délivrer de cette fournaise ardente. Il est capable de le faire. S’Il ne le fait pas, nous n’allons néanmoins pas nous prosterner devant cette statue. Nous avons pris notre décision. Nous avons pris le chemin avec le petit nombre des méprisés qui suivent le Seigneur, et nous allons rester fidèles à cela.» Oh! la la! c’est ce dont l’Eglise a besoin.
32 Or, vous devez prendre la même initiative lorsqu’il est question de la guérison divine. Lorsqu’il est question de quoi que ce soit que Dieu a promis, prenez l’initiative et tenez-vous là. Dieu a fait la promesse. Il est tenu d’accomplir Sa promesse. Aussi longtemps que vous êtes la postérité d’Abraham, Il doit répondre. Alors, n’ayez aucun doute dans votre esprit. Gardez ces doutes loin de vous. Tenez-vous tout droit sur la Croix maintenant. Regardez droit à Celui qui a fait la promesse. Je ne L’ai jamais vu faillir, et je n’ai jamais lu qu’Il a failli. Et vous ne lirez jamais cela parce qu’Il ne peut faillir, Il est Dieu. Il a fait la promesse. Il l’a faite tout au début ici dans la Genèse. C’est le chapitre semence. «Et ta postérité possédera la porte des ennemis.» Pas «un ennemi», «des ennemis», chacun d’eux, tous.
33 Eh bien, cet ennemi, c’était la fournaise ardente. Ainsi, je peux me représenter ce matin-là... Illustrons cela par un drame juste un petit peu. Cela réjouit vraiment mon coeur lorsque je vais... Vous savez, après qu’ils ont pris leur décision... Je crois que Dieu écoute, mais Dieu n’est pas toujours tenu de répondre immédiatement à la prière. Vous voyez? Dieu répond en Son temps. Si vous Lui avez demandé et croyez en Lui, alors Il répondra en Son temps.
Ainsi, j’ima-... imagine qu’il y avait dans la Gloire ... Lorsqu’ils priaient, je peux voir les Anges debout autour du Trône sur lequel Dieu est assis, disant: «Ils sont en prière, ils sont sous pression.»
«Oui, mais, ils vont rester fidèles. J’ai confiance en eux. Ils sont la postérité de Mon serviteur Abraham. C’est pourquoi ils vont rester fidèles.»
34 Bien, le lendemain matin, le roi a peut-être dit: «Avez-vous accepté maintenant de vous prosterner devant mon dieu?»
Ils ont dit: «Non, nous n’allons pas nous prosterner.»
«Bien, nous...»
Cela enflamma son indignation, il fit chauffer la fournaise sept fois plus que d’ordinaire. Et il prit quelques hommes robustes et forts. Ils s’avancèrent pour les jeter dans la fournaise. Et comme ils s’approchaient, il paraissait que l’heure sombre avait sonné.
C’est cela l’impression qu’ont les chrétiens, lorsque quelqu’un... La jeune fille, lorsqu’elle est persuadée par un garçon qu’elle aime vraiment de fumer sa première cigarette, lorsqu’elle est forcée peut-être de prendre un–un verre pour la première fois, de prendre son premier cocktail à la réception offerte par son patron; ou l’homme qui a une femme et une famille chez lui, lorsqu’une femme immorale essaie de lui faire les yeux doux... Vous avez ces barrières à la porte. Mais, si vous allez simplement... Vous avez l’impression que Dieu vous a abandonné. Continuez simplement à marcher fermement. Regardez à Lui. Continuez simplement à avancer.
35 Et ils se sont avancés directement. Et, vous savez, c’est nous qui devenons nerveux. Qu’en serait-il si vous acceptez votre guérison soir après soir? Eh bien, vous vous dites: «Oh! demain... Je–je suis–je continue de tousser. Ma main est toujours infirme.» Cela n’a rien à voir avec la chose. Lorsque réellement et sincèrement vous avez accepté du fond de votre coeur que c’est une oeuvre achevée que Christ a accomplie pour vous, c’est terminé. C’en est fait de cela. Oui, oui. Accrochez-vous-y tout simplement.
Maintenant, ils continuaient d’avancer. Je peux imaginer Schadrac jeter un coup d’oeil à Méschac et dire: «Etes-vous sûr que nous avons suffisamment prié?»
«Oui.» Ils ont carrément continué d’avancer, la fournaise devenait de plus en plus chaude, au point que la peau de leur visage s’en allait presque. La Bible dit même que les hommes qui les ont jetés dedans, la chaleur intense de cette fournaise les a tués. Ça semblait être l’heure la plus sombre. Ils se sont avancés jusqu’au bord de la fournaise.
Mais, vous savez, cela... parfois, Dieu laisse les choses en arriver là afin de vous éprouver. Vous ne pouvez jamais... Abraham n’a jamais possédé la porte de l’ennemi avant qu’il fût premièrement éprouvé. Et vous ne posséderez jamais la porte de l’ennemi avant que vous ne passiez par des épreuves. «Certains par les eaux, d’autres par les flots, d’autres par de dures épreuves, mais tous par le Sang. Dieu conduit Ses enfants.» Voyez-vous, vous devez premièrement être éprouvé. Oh! les enfants illégitimes tombent donc lors des épreuves; mais le véritable enfant de Dieu reste fidèle. Il sait où se trouve sa possession. Il sait là où il se tient. Il sait ce qui lui est arrivé. Il sait qu’il est passé de la mort à la Vie. Et il sait que Dieu répond à la prière.
36 Bon, nous les voyons qui montent. Ils n’étaient plus qu’à un pas de la fournaise ardente. Ils semblaient totalement vaincus. Cela peut être ... J’ai vu des cas de cancer où la personne était pratiquement arrivée à son dernier souffle. Récemment, un frère qui était couché suite à l’arthrite avait ses mains étendues comme ceci. Le Saint-Esprit lui a parlé, Il a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, tu es guéri.» Il est rentré chez lui et son état a empiré. Il a dit: «Je ne peux pas m’empêcher. Cet homme ne me connaissait pas. Il ne m’a jamais vu de sa vie.» Il habitait Phoenix. Il a dit: «Il ne m’a jamais vu de sa vie. Comment a-t-il pu me dire qui je suis? J’ai compris par sa façon de parler qu’il n’est pas un éducateur. Je sais qu’il y avait quelque chose de surnaturel. Et je... Quelque chose s’est produit.» On ne pouvait même pas enlever le coussin. Lorsqu’on a enlevé le coussin de ses mains, il a dit: «Oh! madame, madame, fais attention.» Oh! il criait tout simplement.
Et elle a dit: «Chéri, ne crains-tu pas d’amener l’opprobre sur la religion même que nous croyons?»Il a dit: «Je ne le peux pas. Je le crois dans mon coeur, que cela arrivera.» Et son état devint si critique. Il était couché sur le dos, et sa fillette essayait de lui mettre un chiffon humide sur le visage. Il sentit qu’il allait s’évanouir. Et il leva les yeux, et il a dit qu’il vit Christ apparaître devant lui sur la Croix. Et il a dit... Lorsqu’il courba la tête pour mourir... Il pensa que son souffle s’en allait, il n’arrivait plus à respirer. L’arthrite s’était répandue dans tout son corps. Et lorsqu’il courba la tête pour mourir, il vit Christ incliner la Sienne là. Tout d’un coup, il fit un grand bond, quitta le fauteuil et se mit à marcher partout dans la pièce...?... Pourquoi? Il posséda la porte lorsqu’Il se rendit à la Croix. Mais, vous devez premièrement posséder. Vous devez passer l’épreuve.
37 Les enfants hébreux en étaient arrivés à ce point-là. Parfois nous pensons qu’il fait vraiment sombre. Mais, souvenez-vous, c’est à l’heure la plus sombre que Jésus vient. C’étaient Marie et Marthe, les petites soeurs de Lazare, une famille chrétienne qui avait quitté leur synagogue pour croire au Seigneur Jésus, et c’était l’heure la plus sombre pour eux. Ils étaient sortis de leur église. Ils ne pouvaient plus y retourner. Tout celui qui confessait être disciple de Jésus était excommunié de l’église parce qu’Il était [considéré comme] un–un extrémiste, quelqu’un qui allait partout et déchirait leurs églises. Et ils ne voulaient pas de cela, alors, ils ont dit: «Quiconque essayera de Le suivre, eh bien, nous allons l’exclure de notre communion.» Ils étaient donc exclus de la communion. Et ils ne pouvaient plus retourner à l’église. Ils allaient–étaient devenus des hérétiques.
Et puis, l’Homme même pour Lequel ils étaient sortis, le Seigneur Jésus... l’Homme même pour Lequel ils étaient sortis, elles L’avaient envoyé chercher, afin de venir prier pour leur frère, quand il était étendu mourant d’hémorragie. Et elles... Il refusa de venir. Elles L’ont envoyé chercher une deuxième fois, et Il refusa de venir. Oh! combien l’heure était donc sombre! Finalement, minuit vint, sonna, et le jeune homme mourut. On le mit dans la tombe. Il y était depuis quatre jours. La corruption s’était déjà installée dans son corps. Les vers étaient en lui. Les bestioles de la terre grouillaient dans sa chair. L’heure la plus sombre qu’elles eussent jamais vue. C’est en cette heure-là que Jésus vint, juste en cette heure sombre.
38 Oh! une femme qui... a dit il n’y a pas longtemps, elle a dit: «Frère Branham...» Je parlais de la résurrection de Lazare.
Elle a dit: «Vous ne voulez pas dire... Vous vantez trop Jésus, disant qu’Il était divin.»
J’ai dit: «Oui, Il était divin.»
Elle a dit: «Bien, je vous prouverai par votre Bible qu’Il ne L’était pas.»
J’ai dit: «Allez-y.»
Et elle a dit: «Bien, au chapitre 11 de Saint Jean, il est dit qu’Il s’est rendu à la tombe de Lazare, qu’Il pleura.»
J’ai dit: «Cela n’a–cela n’a rien à faire avec la chose. Il était à la fois Homme et Dieu.» J’ai dit: «Il était vraiment un Homme, lorsqu’Il pleurait. Mais lorsqu’Il s’est tenu près de la tombe d’un homme qui était mort depuis quatre jours et dont le nez s’était déjà affaissé, et dont le corps était rongé par les bestioles, et qu’Il a dit: ‘Lazare, sors!’ Il fallait que ça soit plus qu’un homme.» Oui, oui.
39 Il était un Homme lorsqu’Il descendit de la montagne cette nuit-là, cherchant quelque chose à manger sur cet olivier, et Il n’y trouva rien. Il était un Homme lorsqu’Il avait faim. Mais lorsqu’Il prit cinq petits pains et deux morceaux de poissons et nourrit cinq mille personnes, c’était plus qu’un homme. Oui, monsieur. C’était Dieu dans cet Homme. Oui, monsieur.
Il était un Homme lorsqu’Il était couché là au fond de ce petit bateau ce soir-là. Quarante mille démons de la mer avaient juré de Le noyer, ce vieux petit bateau était ballotté comme un bouchon de bouteille. Le diable a dit: «Nous L’avons eu maintenant. Il dort. Nous allons Le noyer.» Il était un Homme, fatigué et épuisé, couché là à l’arrière de ce bateau-là, avec un oreiller, Il était endormi. Mais, frères, une fois qu’Il s’est réveillé, oh! la la! Il a placé Son pied sur la proue du navire, Il a levé les yeux et a dit: «Silence! Tais-toi!», et le vent et les vagues Lui ont obéi. C’était plus qu’un homme. C’était Dieu dans cet Homme.
C’était un Homme qui implorait miséricorde sur la Croix. C’est vrai. «Mon Dieu, pourquoi M’as-Tu abandonné?» Il mourut implorant miséricorde. C’est vrai. Mais au matin du troisième jour, lorsqu’Il brisa le sceau de la mort et ressuscita le troisième jour, Il monta en haut, Il était plus qu’un homme. Toute personne qui a réalisé quelque chose croyait cela. C’est vrai. Les poètes, les auteurs, les prophètes, que sais-je encore, croient cela.
40 Maintenant, les enfants hébreux passaient par leur épreuve. Ils étaient juste arrivés au dernier moment, ils étaient sur le point d’entrer dans la fournaise. Vous savez quoi? Parfois, nous regardons ce qui se passe ici sur terre, mais il y a quelque chose qui se passe au Ciel au même moment. Nous pouvons ne pas être en mesure de le voir, mais cela se déroule de toute façon. [Frère Branham tousse.–N.D.E.] Excusez-moi. Tournons maintenant notre caméra vers le Ciel. Je peux voir Jésus assis sur le Trône, le jour était sur le point de poindre. La fumée de la fournaise montait jusqu’aux cieux. Je Le vois assis là-bas regardant en bas pour voir ce qu’ils sont en train de faire. C’est ce qu’Il fait pour vous et moi lorsque nous passons par les épreuves. Il avait promis que la postérité d’Abraham posséderait la porte de l’ennemi. Je le crois.
41 Je Le vois qui observe. Tout d’un coup, un Ange puissant s’avance à Sa droite, il se tient au garde-à-vous; il met sa main sur son épée, c’est Gabriel. Il dit: «Père, as-Tu regardé là en bas? C’est la postérité d’Abraham. Ils sont–ils croient en Toi. Ils ont prié toute la nuit. Et ils vont droit à la mort. Laisse-moi descendre là-bas. Je vais changer la scène.» Je crois qu’Il aurait pu le faire. C’est vrai.
Il a dit: «C’est vrai, Gabriel. Tu es un brave Ange. Tiens-toi simplement là.»
Voici un autre qui s’avance. Son nom est Absinthe. Il est le–Il est l’Ange qui contrôle toutes les eaux. Je peux le voir se tenir au garde-à-vous, et il dit: «Père, as-Tu regardé en bas, à Babylone?»
«Oui, je les ai observés toute la nuit.» Oh! Son oeil est sur le passereau, et je sais qu’Il m’observe. «Je les ai observés toute la nuit.»
«Ils sont sur le point de brûler trois hommes là-bas ce matin, des descendants d’Abraham qui T’ont cru sur Parole, et qui se sont tenus vaillamment là-dessus. Tu te rappelles, une fois Tu m’as dit de lâcher toutes les eaux. J’ai le contrôle. Laisse-moi descendre. J’effacerai Babylone de la carte.» Il aurait pu le faire.
Je peux L’entendre dire: «C’est vrai, Absinthe. Tu es un Ange extraordinaire. Tu–tu as fait exactement tout ce que Je t’ai dit depuis que tu as créé–Je t’ai créé. Tu l’as fait, toi aussi Gabriel. Mais, vous savez, Je vais descendre Moi-même. Ça, c’est Mon travail.» Oh! la la!
42 Juste au moment où les autres allaient faire leur dernier pas, je peux Le voir qui se lève. Sa robe sacerdotale tombe autour de Lui là où Il est assis ce soir, elle est maculée de sang, Il fait l’intercession sur base de notre confession, car Il est mort pour accomplir tout ce que nous demandons. Où est notre foi en Lui?
Le voilà debout, Il fait un signe comme ceci, et voici venir un grand nuage blanc tout près de Lui. Il monte dessus, Il appelle le vent de l’est, du nord, du sud, et de l’ouest pour les monter comme des chevaux. Il tend la main et prend un éclair qui zigzague, et Il le fait claquer dans les cieux. Avant même que les autres ne puissent y entrer, Il était dans la four-... la fournaise ardente avec eux. Il s’est tenu là avec une grande palme provenant de quelque part là, près de l’Arbre de Vie, et Il éloignait d’eux les flammes de feu en les éventant comme cela. Il a dit: «Je voudrais juste en parler avec vous les enfants. Je sais que vous êtes la postérité d’Abraham. J’ai fait la promesse, et Me voici pour l’accomplir», Il tenait les flammes de feu loin d’eux. Oh! oui. Ils ouvrirent la porte. Le roi a demandé: «Combien d’hommes avez-vous mis là-dedans?»
Ils ont dit: «Trois.»
Il a dit: «Il y en a Un de plus là-dedans, et Il ressemble au Fils de Dieu.» Il était le Fils de Dieu. Pourquoi? Ils... après qu’ils ont été éprouvés, ils ont possédé la porte de l’ennemi. Amen.
43 Daniel fut amené à la même chose après qu’il a été mis à l’épreuve pour voir s’il allait prier ou non. Il tira le rideau, s’agenouilla et pria tout simplement comme il l’avait toujours fait. Oui, monsieur. Il pria tout simplement comme il l’avait toujours fait. Et que se passa-t-il? Il fut mis à l’épreuve. Ils ont dit: «Nous allons te jeter en pâture aux lions», et on les avait affamés pendant des semaines. Il a dit: «Mon Dieu est capable de me délivrer de ces lions.» Après qu’il eut été mis à l’épreuve, que se passa-t-il? Il posséda la porte de l’ennemi. Pourquoi? Il était fidèle à Dieu.
Moïse, après avoir été fidèle à Dieu, est passé par des épreuves, et il a amené les enfants d’Israël directement sur le sentier du devoir. Toute la nature s’opposait à cela. Il y avait des montagnes et le désert d’un côté, et l’armée de pharaon qui les poursuivait, et la mer Rouge qui leur barrait la route. Eh bien, ils étaient pris au piège. A ce qu’il paraissait, Dieu était un piètre général en les amenant tout droit dans ce coin-là et pour les laisser périr.
44 Dieu aime faire cela. Dieu aime montrer Sa main puissante. Oui, Il aime le faire. Il aime manifester Sa puissance. Il attend ce soir de pouvoir manifester cela en vous; de prendre ce pécheur et lui faire faire demi-tour, de prendre cette femme de mauvaise réputation et la changer en une sainte femme pieuse, de prendre cette fille qui a pris le mauvais chemin, ce garçon qui a pris le mauvais chemin, les ramener à l’endroit qu’il faut et en faire des fils et des filles de Dieu. Il est prêt à prendre cet homme qui se meurt du cancer, cet homme qui souffre du coeur, celui qui est aveugle, celui qui est affligé, s’il peut simplement placer sa foi là-dedans, cela le détournera de la mort et l’amènera à la Vie, il va commencer à rendre témoignage. Il attend de faire cela. Il vous amène carrément dans un piège pour voir ce que vous allez faire. Il les a amenés directement dans ce piège-là. Il semblait que la nature elle-même se cachait la face. Oui.
Un écrivain a dit une fois que lorsqu’ils sont arrivés à cet endroit-là, les enfants d’Israël se demandaient ce que Moïse allait faire. Il avait un seul ordre: «Allez de l’avant.» Si vous êtes dans la ligne du devoir, peu importe ce qui fait obstacle... les plus glorieuses expériences que j’aie jamais faites, c’est quand je me retrouve en face de quelque chose que je ne peux pas passer par-dessus, ou passer par-dessous; et je me tiens simplement là et observe Dieu frayer une voie à travers cela. Voilà comment s’y prendre. Avancez simplement. Continuez d’avancer. Plaquez votre nez contre cela. Continuez simplement d’avancer. Continuez simplement à aller. Dieu frayera une voie.
45 A ce vieil homme de couleur là-bas dans le Sud, qui portait une Bible, quelqu’un a demandé: «Pourquoi portes-tu cette Bible, Moïse? Tu ne sais pas lire.»
Il a dit: «Je la crois.»
L’autre a demandé: «Eh bien, comment–comment sais-tu qu’elle est vraie.»
Il a dit: «Eh bien, c’est... je la crois de la couverture à la couverture, la couverture aussi.» Il a dit: «Il est écrit dessus La Sainte Bible.»
L’autre a dit: «Je pense que tu crois tout ce qui est à l’intérieur.»
Il a dit: «Oui, monsieur.»
«Je pense que tout ce que Dieu te dirait de faire, tu le feras.»
Il a dit: «Je le ferai.»
L’autre a dit: «Et s’Il te disait de sauter et de traverser ce mur, ce mur de pierres? Comment vas-tu le traverser?»
Il a dit: «S’Il me dit de sauter, je sauterai. Il y fera un trou lorsque j’y arriverai.»
C’est donc vrai. C’est donc la chose que vous devez faire, c’est de prendre Dieu au Mot, de croire la chose, et de sauter de toute façon. Si vous savez que vous pouvez expliquer cela, comprendre cela, alors, ce n’est plus la foi. Votre foi c’est ce que vous croyez qu’Il a fait pour vous. «La foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.» Vous ne voyez pas cela. Vous ne pouvez pas le comprendre. Il est impossible de comprendre Dieu. Vous devez simplement croire en Lui et continuer à marcher. C’est ce qu’Il a dit. C’est de cette manière que je me tiens à la chaire pour les visions. C’est ce que... Il me dit d’aller faire certaines choses qui semblent humainement impossibles, et vous savez tous cela. C’est humainement impossible, mais Il a dit de le faire. Allez-y tout simplement. Il est le seul qui prend soin de cela. Et Il le fera. Oui. Comme Tu es grand.
46 Lorsque Moïse fut pris au piège à cet endroit-ci, eh bien, il était juste dans la ligne du devoir, juste dans la ligne du devoir. Dieu l’avait conduit droit à cet endroit-là. Qu’allait-il faire? La mer Rouge, c’était tout à fait un piège qui avait été tendu. Mais Moïse a simplement continué d’avancer. Je pense qu’un écrivain a dit que Dieu a regardé en bas au travers de cette Colonne de Feu avec des yeux courroucés, Il a regardé cette mer Rouge qui essayait de barrer la route à Ses enfants qui étaient dans la ligne du devoir. Et il a dit que la mer eut peur, elle se retira et fraya tout simplement un chemin pour eux.
Eh bien, s’Il a pu regarder à travers une Colonne de Feu et faire cela, qu’est-ce que cela ferait s’Il regardait au travers du Sang de Son propre Fils? Il y avait quelqu’un qui confessait, qui se tenait là avec une promesse selon laquelle Dieu avait juré d’en prendre soin, et Il jura qu’Il allait–que la postérité d’Abraham posséderait les portes de l’ennemi. Certainement. Il est obligé de le faire à cause du Sang de Son propre Fils qui est sur le propitiatoire ce soir. Oh! si nous pouvions nous éloigner de ces idées terre à terre, et regarder au-delà, et voir celui qui a fait la promesse, le Dieu même de la création. Oui.
47 Josué aussi, après qu’il a été mis à l’épreuve à Kadès, il est revenu etquatre-vingt-dix pour cent de ministres ont dit: «Nous ne pouvons pas nous en emparer.»
Josué a dit: «Nous sommes plus que capables de nous en emparer», lui et Caleb. Et il était... les seules deux personnes qui traversèrent sur les deux millions et demi de gens. Que fit-Il? Il descendit au Jourdain qui l’empêchait d’accéder à la Terre promise. Mais il posséda la porte de l’ennemi. Pourquoi? Parce qu’il avait pris Dieu au Mot. Il avait été éprouvé, et il a cru en cela. Il savait que Dieu tient Sa Parole. Alors il posséda la porte de l’ennemi.
Je pourrais continuer et continuer là-dessus, mais j’ai dépassé le temps. Tous ces grands guerriers, chacun d’eux, ils ont accompli des choses glorieuses, il–il–de glorieux miracles, et ils erraient partout, vêtus de peau de brebis, dans le désert, et ils étaient dénués de tout, et certains ont été sciés, et toutes sortes de sorts. C’est comme Hébreux 11 le dit, tous ces grands guerriers sont morts. Chacun d’eux est mort.
48 Mais un jour, un jour glorieux, cette Semence royale d’Abraham vint, née d’une vierge. Oui. Lorsqu’Il marchait sur la terre, Il était la véritable Semence d’Abraham. Il marchait sur la terre, Il posséda la porte de la maladie pour les gens. Il posséda la porte de l’affliction. Tous... Au jardin de Gethsémané, dans la cour ce matin-là, Il posséda les portes de la tentation. Sur la montagne de la transfiguration, là Il prouva qui Il était. Lorsque le diable L’amena sur une autre montagne, Il posséda l’autorité sur l’ennemi pour montrer qu’Il pouvait le faire. «Si Tu es le Fils de Dieu, change ces pierres en pains.» Il n’avait pas besoin de le faire. Il a dit: «Il est écrit, l’homme ne vivra pas de pain seulement.» Il prit la Parole de Dieu, étant une véritable Semence d’Abraham, et posséda chaque bénédiction que Dieu avait promise. Oui, oui.
Il se tint là, quand Il fut tenté, Il dit: «Je pourrais demander à Mon Père immédiatement, et Il M’enverrait vingt légions d’anges.» Que ferait une seule légion d’anges? Vingt légions d’anges. Ils pouvaient changer les choses s’Il le voulait. C’est juste. Mais Il devait être tenté de toutes les manières comme nous. Il se tenait là, des poignées de barbes arrachées de Son visage, avec sur Sa face du sang et des crachats de moquerie des soldats ivres. Ils ont mis un chiffon autour de Sa tête comme ceci, et ils L’ont frappé à la tête avec un bâton, ils ont dit: «Maintenant, Tu as dit que Tu étais un prophète, Tu peux lire la pensée des gens. Dis-nous qui T’a frappé. Dis-nous qui T’a frappé.» Il aurait pu le faire. Mais dans ce cas, Il aurait écouté le diable. Il posséda la porte de l’ennemi. Il endura la tentation. Ô Dieu, quel Homme! C’est juste.
49 Puis, lorsqu’Il mourut à la croix, le séjour des morts a pris Sa précieuse âme. La Bible dit que Son âme est descendue au séjour des morts. C’est tout à fait exact. Le séjour des morts a capturé Son âme et l’a amenée là-bas. Mais, frère, en ce troisième jour Il posséda les portes de la mort, du séjour des morts, de la tombe et Il ressuscita le troisième jour, et vainquit tout cela. Il vainquit la maladie, la mort, le séjour des morts, la tombe et toutes choses. Je crois qu’Il dégagea complètement la porte de ses charnières en la secouant et les fit sortir, Il s’éleva en haut, Il monta en haut. Et ce soir, vous êtes plus que vainqueurs. Sa postérité possédera les portes de l’ennemi. Oui, monsieur. Il posséda chaque porte. Il conquit chaque maladie. Il conquit chaque péché, Il conquit chaque tentation. Il conquit la mort, Il conquit le séjour des morts, Il conquit la tombe. Il posséda la porte de toutes ces choses. Et en Lui, nous sommes plus que vainqueurs, alléluia! parce qu’Il a conquis cela pour nous. Oh! nous ne saurons jamais ce qu’était cette véritable Postérité d’Abraham, ce que Cela représentait réellement pour nous.
50 Le diable a douté de Lui. Le diable... Il y eut une fois où, comme on le dit, il avait de la poudre dans les yeux. Lorsqu’il L’amena sur la montagne, comme je le disais il y a quelques instants, il a dit: «Cela se pourrait-il? Cet homme n’est qu’un prophète. Pourrait-Il être le Fils de Dieu?» Il a dit: «Si Tu es le Fils de Dieu», cela montrait qu’il doutait. «Si Tu es le Fils de Dieu, ordonne à ces pierres de se changer en pains. Car Tu as faim. Tu as jeûné pendant quarante jours. Mange.»
Jésus a dit: «Il est écrit: L’homme ne vivra pas de pain seulement.» Il L’a amené sur le faîte du Temple, il a dit: «Jette-Toi en bas; car il est écrit: Il donnera des ordres à Ses Anges à Ton sujet, et ils Te porteront, de peur que Ton pied ne heurte contre une pierre.»
Il a dit: «Oui. Et il est aussi écrit...» Pour toute chose, Il l’affrontait avec la Parole de Dieu, parce qu’Il était la véritable Postérité d’Abraham.
51 Il posséda chaque porte de la tentation. Oh! comment le fit-Il? Il était un Homme. Il était un Homme comme vous et moi. Il avait le droit de se marier. Il avait le droit d’avoir un foyer. Il avait droit aux choses que nous avons. Il avait le droit d’avoir des vêtements. Il aurait pu le faire. Un Homme qui pouvait changer l’eau en vin, qui pouvait savoir où se trouvait un poisson qui avait une pièce de monnaie dans la bouche, eh bien, Il possédait les cieux et la terre. Mais pourtant, Il s’est abstenu de toutes ces choses.
Les plus douces Paroles de la Bible, c’est lorsqu’Il a dit: «Père, Je me sanctifie Moi-même, afin que Je puisse les sanctifier.» Qu’est-ce qu’Il essayait de faire? Il montrait un exemple. Il a envoyé douze hommes avec un Evangile qui pouvait conquérir le monde, et Il compte sur vous et sur moi pour le faire. S’Il peut se sanctifier Lui-même comme cela, pourquoi ne devrions-nous pas mettre de côté chaque échec, chaque doute, et tout le reste, et nous sanctifier nous-mêmes? Car nous sommes la postérité d’Abraham à travers Lui, nous sommes plus que vainqueurs à travers Lui. Oui.
Il avait le droit de se marier. Il avait le droit d’avoir un foyer. Il avait le droit de poser sa tête sur un oreiller. Mais «les renards ont des tanières, et les oiseaux ont des nids; mais le Fils de l’homme n’a pas un lieu où Il puisse reposer Sa tête». Pourquoi? «Je me sanctifie Moi-même, Père. Je fais cela à cause d’eux.» A cause d’eux, non pas parce qu’Il était obligé de le faire, mais à cause d’eux, Il conquit chaque ennemi.
52 Il se tenait là dans la salle d’audience ce jour-là, ou dans la cour, alors qu’on L’avait jugé et faussement accusé... La seule chose qui fut trouvée contre Lui, c’était d’avoir vidé le jour du sabbat. Il a dit: «Je suis le Maître du Sabbat», et Il L’était. «Et Il se fait Lui-même Dieu», et Il était Dieu. Et là, il y eut toutes ces fausses accusations et ainsi de suite, et de faux témoins contre Lui. Finalement, Il fut battu avec un grand fouet au point que Ses côtes étaient visibles, et ils ôtèrent la petite robe qu’Il avait sur Lui. Ils Le battirent après L’avoir lié à un poteau. Qu’était-ce? C’était la véritable Semence royale d’Abraham.
C’est là que nous nous tenons se soir.
Ma foi n’est bâtie sur rien de moins
Que le Sang de Jésus et Sa justice;
Quand tout cède autour de mon âme,
Alors Il est tout mon espoir et mon refuge.
Car sur Christ, le Roc solide, je me tiens;
Tout autre terrain n’est que sable mouvant,
Tout autre terrain n’est que sable mouvant.
C’est de là que je tire mon espérance, juste là sur ce Roc solide.
La Postérité d’Abraham. Il posséda chaque porte, même celle de la mort et du séjour des morts. Voyez-Le là. Il avait des moqueries... Cette femme essayait encore de laver Ses pieds. Ils ont placé un chiffon sur Sa face et ont dit: «Si tu es un prophète, dis-nous qui t’a frappé, nous croirons en toi.» Quand Il était sur la Croix, ils ont dit: «Si Tu es le Fils de Dieu, descends et nous croirons en Toi.» Ils ne croyaient pas en Lui de toute façon, peu importe ce qu’Il avait fait. Il ne leur prêtait pas attention.
53 Jetons un petit coup d’oeil sur Lui ce matin, ou plutôt ce soir. C’était une terrible matinée ce matin-là. Nous sommes au fond d’une salle. Faisons juste... Je vais prendre cette assemblée... J’aimerais que vous observiez une chose. Allons à la fenêtre. J’entends une foule bruyante. Qu’y a-t-il? Levons les rideaux et regardons dehors. J’entends quelque chose cahoter, et qui descend la rue. Qu’est-ce que c’est? C’est une croix que l’on traîne dans la rue, «pan-pan» sur ce vieux pavé, et ça monte à Golgotha. C’est la Semence d’Abraham. Voilà venir le second Adam.
Dans le jardin d’Eden, lorsque Dieu avait... à Sa sainteté et fidélité à Sa Parole, lorsqu’Adam et Ève s’étaient méconduits, lorsque Dieu Lui-même courrait çà et là dans le jardin, criant: «Adam, Adam, où es-tu? Où es-tu, Adam?» Si quelqu’un veut savoir... Qui était cet Homme, Jésus, qui était Cet Homme qui était venu à la recherche de Son premier fils perdu? Dieu a-t-Il envoyé un Ange? Il est venu Lui-même. Il vint Lui-même. C’est comme cela qu’Il est venu. Vous voulez faire...
54 [Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... justice. Et s’il n’y a pas de justice, il n’y a point de loi. Si vous n’avez pas de justice, de jugement qui va avec cela, inutile d’avoir une loi. A quoi servira-t-il d’avoir une loi qui dit: «Si vous brûlez un feu rouge, vous écopez une amande de dix dollars», et qu’ensuite on ne... dise: «Ne brûlez pas le feu rouge», et qu’il n’y ait aucune amande derrière cela, aucune pénalité à payer, aucun jugement? Sans jugement, il n’y a pas de justice. Alors, la justice devait mourir. C’était donc la seule chose qu’il pouvait faire.
55 Et alors, lorsqu’Il a vu Ève qui se tenait là, cette jolie petite femme; cet homme bien viril, très musclé se tenait là, le sang de cette vieille peau sanglante de brebis coulait sur ses bras; la petite Ève se tenait là, la plus belle femme qui ait jamais existé dans le monde, parce qu’elle a été créée par la propre main de Dieu... Ses yeux étaient comme les étoiles des cieux. Elle n’avait nullement besoin des produits de Max Factor pour se faire belle. Et lorsqu’elle avait... au-dessus comme ceci. Et voilà elle se tenait là, et le sang coulait sur son joli petit corps alors qu’elle se tenait là, regardant la face de Dieu, dans cette grande Lumière qui était suspendue là dans ces palmiers. «Sortez de Ma Présence.»
Maintenant, observez Adam comme il commence à s’éloigner, et cette vieille peau sanglante de brebis heurtait ses jambes. Dieu ne pouvait pas supporter cela, Il était un Père.
Il a dit: «Un instant. Je mettrai inimitié entre ta postérité et la postérité du serpent.»
56 Où se trouvait-elle? La voici au Calvaire. Le voici qui monte, ce second Adam (Dieu Lui-même était descendu et s’était fait Homme), Il montait la colline. Le diable a toujours haï cette Parole, mais Elle est vraie. Oui, monsieur. Il était plus qu’un prophète. Aujourd’hui les gens qui ont cet évangile social disent que Jésus était juste un homme de bien, un–un philosophe, que c’était agréable d’entendre Ses enseignements. S’Il n’était pas Dieu, si cela n’était pas le Sang d’Emmanuel, alors Il était un homme comme moi, c’est juste, et nous sommes perdus. Il était Dieu. Dieu, le Saint-Esprit avait couvert Marie de Son ombre et avait créé une cellule de Sang, cela n’a pas produit un sang juif, pas un sang des Gentils, mais le propre Sang de Dieu. Le Sang vient du sexe mâle. Et ceci est un Sang créé, sans du tout l’intervention du sexe. Et c’était Dieu Lui-même qui montait la colline, là.
Considérons-Le. Il avait une petite robe sur les épaules. C’était d’un seul tissu sans couture. Je remarque alors qu’Il s’en va marchant... Je Le regarde par la foi, je vous Le montre à tous par la foi. De petites taches rouges recouvrent tout le dos de cette tunique. D’où provient cela? Au fur et à mesure qu’Il avance sur la rue et que la croix frotte Son épaule, je remarque que ces petites taches s’étendent de plus en plus. C’est quoi, ces taches? Que se passe-t-il? Tout d’un coup, elles deviennent toutes une énorme tache de sang. Puis, j’entends quelque chose d’autre heurter Sa jambe: le second Adam monte la colline avec un vêtement sanglant qui heurte Sa jambe.
57 Vous savez, Satan a dit... il a regardé tout autour, il a dit: «Vous savez quoi? Je ne crois même pas qu’il soit un prophète maintenant. Je sais que cela ne peut pas être Dieu. Dieu n’agirait pas comme cela, laisser cette bande d’ivrognes L’écraser comme cela, les laisser Le traiter de saint exalté. (Je m’adresse à vous.) Les laisser Le traiter de vieux jeu, de quelque chose comme cela. ‘Tu es un vieux fanatique.’ Il ne le ferait jamais.»
Mais ce... Il était Dieu. Son Royaume était d’En Haut. Ses délégués aussi. Leur Royaume est d’En Haut. Ils se comportent comme des gens venus de Là-Haut, ils parlent de Là-Haut. Là où se trouvent leurs trésors, c’est là que se trouvent leurs coeurs. Ils parlent de cela.
58 Alors qu’Il monte la colline, je peux voir la mort. Satan envoya cet aiguillon de la mort là-bas. Il a dit: «Descends et prends-le maintenant.» Il a dit: «Descends et prends-le. C’est maintenant l’heure de l’avoir.» Cet abeille, comme une grosse vieille abeille de la mort, se met à bourdonner tout autour de Lui, bourdonnant tout autour, tout autour de Lui, disant: «Oui, regardez-Le saigner. Regardez-Le, le visage couvert de crachats. Regardez les gens se moquer de Lui et Le ridiculiser.»
Je vois une petite femme qui accourt et qui dit: «Qu’a-t-Il fait? Quel mal a-t-Il fait? Qu’a-t-Il fait, sinon nous prêcher l’Evangile? Qu’a-t-Il fait, sinon guérir vos malades?» Quelqu’un la gifle et l’écarte du chemin.
Il dit: «Allez-vous écouter cette espèce de folle au lieu d’écouter votre prêtre? Montez la colline avec Lui.» Ils Le frappent de nouveau. Il monte la colline. L’abeille dit: «Je L’aurai dans un instant quand on va Le pendre à la croix.»
59 Vous connaissez tous les insectes, les abeilles et les autres possèdent un aiguillon. Et la mort est une abeille. Elle possède un aiguillon. Mais, vous savez quoi? Lorsque l’une de ces abeilles plante son aiguillon très profondément, elle y laisse son aiguillon. Frères, lorsqu’elle planta son aiguillon dans cette chair, ce n’était pas un homme. Elle planta son aiguillon dans la chair d’Emmanuel. Et alors, elle y laissa son aiguillon. Je vous assure, vous la postérité d’Abraham maintenant, il peut bourdonner et faire du bruit, mais il n’a plus d’aiguillon. L’un d’entre eux, arrivé à l’heure de sa mort, a dit: «Ô mort, où est ton aiguillon? Ô Tombe, où est ta victoire? Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ!»
Oui, il peut bourdonner et faire beaucoup de bruit et un tas d’histoires, amener un hôpital... dans un hôpital et parler aux médecins qui se tiennent là, alors qu’un groupe de gens crient et pleurent; mais regardez-le en face et dites: «Ô mort, où est ton aiguillon? Je peux pointer la Semence royale d’Abraham là-bas, Celui par le Sang duquel je suis né. Il a arraché cet aiguillon de la mort. C’est pourquoi, mort, tu n’as pas d’aiguillon pour moi. Tombe, je te détruirai un jour. Où est ta victoire? Mais grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ, et Sa postérité possédera les portes de ses ennemis, possédera la porte de tous ses ennemis.
Et lorsqu’Il vint, Il posséda chaque porte: la porte de la maladie, la porte de la mort, la porte du séjour des morts, la porte de la tentation, la porte de la tombe. Il posséda chaque porte et nous la donne gratuitement, et nous rend plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés, et qui s’est donné pour nous.
60 Inclinons la tête juste un instant alors que nous méditons là-dessus. Je ne sais pas si par hasard... Combien il y en a ce soir dans cette salle ici, qui ne Le connaissent pas comme leur Sauveur, et qui savent que leur vie n’est pas en ordre avec Dieu? Voudriez-vous lever la main et dire: «Priez pour moi, Frère Branham. Dans cette prière de clôture, j’aimerais que vous priiez pour moi.» Que Dieu vous bénisse, là derrière au coin. Que Dieu vous bénisse, la dame là tout au fond. Y en a-t-il d’autres? Combien y en a-t-il encore en haut au balcon? Puis-je voir quelques mains se lever là haut? C’est tout le monde. Que Dieu vous bénisse, là au fond. Que Dieu vous bénisse, madame, par ici. Quelqu’un d’autre voudrait-il lever la main? Cela ne vous fera pas de mal. Oh! la la! levez simplement la main, dites: «Je...» Vous vous connaissez vous-même. Dites: «Frère Branham, je ne suis pas la postérité d’Abraham. Je suis un membre d’église.» Que Dieu vous bénisse, monsieur, par ici. «Je–je ne suis pas la postérité d’Abraham.» Que Dieu vous bénisse, madame, juste ici. Que le Seigneur vous bénisse richement ce soir. Là à ma droite, oui, que le Seigneur vous bénisse.
Quelqu’un d’autre? Dites... Levez la main, levez simplement la main, dites: «Souvenez-vous de moi, Frère Branham, dans votre prière. J’aimerais–j’aimerais être la postérité d’Abraham.» En effet, souvenez-vous, si vous n’êtes pas la postérité d’Abraham, vous n’êtes pas inclus dans la promesse.
61 Eh bien, vous pouvez être membre d’une certaine église, c’est en ordre. Oui, monsieur. Je n’ai rien contre le fait d’être membre d’une église. Je pense que c’est une bonne chose. Mais, frère, soeur, cela ne vous aidera pas du tout à l’heure de votre mort, ou à la Venue du Seigneur Jésus. Il vous faudra être la postérité d’Abraham.
Et la seule manière que vous puissiez être la postérité d’Abraham, c’est en renonçant à vous-même, en mourant à vous-même et en naissant de nouveau du Saint-Esprit, puisque c’est la Vie qui était en Christ qui fait de nous la postérité d’Abraham. Nous devenons Sa postérité par le Saint-Esprit qui nous a été donné par la promesse de Dieu. «Et la promesse est pour vous, pour vos enfants, pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.»
62 Huit ou dix mains se sont levées. Y en a-t-il d’autres qui sont sincères, honnêtes? Soyez simplement sincère avec vous-même. Si vous êtes un membre d’église, nous ne vous demandons pas de venir adhérer à cette église-ci. Non. Nous voulons tout simplement que vous soyez la postérité d’Abraham.
Frère, soeur, je pourrais ne plus jamais vous revoir dans cette vie. Mais là-bas, à la barre du Jugement, je vais devoir faire face à vous. Vous voyez? Maintenant, souvenez-vous de cette soirée, le treizième jour de février, 1961. Lorsque ce jour va se dérouler là-bas, sur le tableau du Ciel du Jugement, vous vous souviendrez de cette réunion.
Que Dieu vous bénisse, là-bas contre le mur. «J’aimerais croire en Jésus. J’aimerais devenir la postérité d’Abraham ce soir.» Maintenant, la Bible dit que le Juif, ce n’est pas celui qui l’est au dehors, mais celui qui l’est au dedans. Sa–sa postérité possédera la porte de l’ennemi.
Nous avons mis l’ennemi en débandade maintenant. Dix ou douze mains se sont déjà levées. Cela... Nous montrons que nous avons mis l’ennemi en débandade. Y a-t-il quelqu’un d’autre pour se joindre à nos rangs ce soir? Levez la main et dites... Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu vous bénisse. Y en a-t-il là derrière? Que Dieu vous bénisse là derrière. Oui, mon frère, en haut au balcon, que Dieu vous bénisse. Oui. Joignez-vous à nos rangs. Nous mettons l’ennemi en fuite maintenant.
63 Hier soir, nous L’avons chassé des malades. Considérez les cas de cancer et autres qui ont été délivrés ici hier soir. L’ennemi s’enfuit maintenant. La semaine passée, nous avons juste livré bataille, fait des entailles, et tout ce que nous pouvions faire. Mais, nous mettons l’ennemi en fuite. Voyez?
Maintenant, beaucoup s’avancent, beaucoup entrent dans les rangs. Ils prennent... les remplissent carrément. Il y a... Ne voulez-vous pas vous joindre à nous ce soir, joindre vos mains avec Dieu ce soir, mourir aux choses du monde et accepter Christ comme votre Sauveur? Voulez-vous lever la main avant que nous priions? Dites: «Souvenez-vous de moi.» Que Dieu vous bénisse là derrière, là au fond. Je vois votre main là tout au fond. Encore un autre?
Qu’en est-il de quelqu’un juste ici tout près qui n’est pas un chrétien? Dites: «J’aimerais que vous vous souveniez de moi, Frère Branham. Priez simplement pour moi, pendant que vous priez. Souvenez-vous simplement de moi dans votre prière.» Je le ferai. Très bien. Maintenant, gardons la tête inclinée.
64 Maintenant, Père céleste, personne d’entre nous ne sait si nous serons ici demain. Ceci pourrait être la dernière soirée que nous passons sur cette terre. Un jour, je fermerai cette Bible pour la dernière fois. Un jour, je fermerai mes yeux, où j’inclinerai ma tête pour la dernière fois. Et chaque personne ici fera de même. Nous ignorons quand ce moment viendra, Seigneur. Nous savons qu’il y a une grande chambre noire devant chacun de nous, devant tout être humain. Ça s’appelle la mort.
Et alors que nous pensons à l’auteur de Thanatopsis chaque fois que notre coeur bat, nous nous rapprochons d’un battement de cette chambre. Chaque fois que mon coeur bas, et chaque fois que cette horloge fait tic-tac, nous nous en approchons d’un battement. Et un jour, il arrivera à son dernier battement.
Ô Dieu, nous ne désirons point... J’intercède pour ces gens. Nous ne désirons point entrer dans cette chambre en criant, en pleurant, et en souhaitant avoir plus de temps à vivre, quelques minutes pour nous repentir. Ô Dieu, nous désirons y entrer avec courage. Nous désirons y entrer en tant que postérité d’Abraham, avec la promesse dans nos coeurs, sachant ceci, que nous Le connaissons dans la puissance de Sa résurrection; qu’un jour, lorsqu’Il appellera, nous sortirons d’entre les morts et ressusciterons, et nous irons pour être avec Lui, pour être toujours avec Lui.
65 Je prie pour ceux-ci qui ont levé la main, Seigneur. Beaucoup ont levé la main. Ils sont sincères, ô Dieu. Ils–ils ne l’ont pas fait par leur propre force. Une puissance doit leur avoir été donnée, et c’est Ta puissance. Ils ont levé la main pour montrer qu’ils étaient sincères en cela.
Ô Dieu, il est écrit dans la Parole que la prière fervente du juste... Or, nul d’entre nous n’est juste, mais nous acceptons Sa justice. Et nous amenons Son Sang au devant de Toi. Nous amenons Sa Parole au devant de Toi, comme Il a dit: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.»
Maintenant, nous amenons ces gens par la foi, juste au devant de Toi, Seigneur. Les voici. Ils ont péché. Ils ont mal agi. Ils veulent recevoir le pardon de leurs péchés. Ils ont levé la main vers Toi afin que... et pour que je prie pour eux, car ils regrettent d’avoir fait cela. Seigneur Jésus, pardonne-leur. Puissent-ils trouver cette douce et véritable paix, qui surpasse toute intelligence–toute intelligence, à savoir que Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils, afin que–qu’ils puissent avoir le courage de lever leurs mains.
66 Et accorde-leur, Seigneur, de comprendre aussi qu’ils ont été choisis, sinon ils n’auraient jamais levé la main. Car Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement.» Révèle-leur que Dieu le Père se tient à leurs côtés, qu’Il parle à leurs coeurs, et qu’ils ont fait ce choix. Et il a aussi dit: «Celui qui entend Ma Parole, et croit à Celui qui M’a envoyé est passé de la mort à la Vie, et il ne viendra point en jugement; mais il est déjà passé de la mort à la Vie», il a maintenant la Vie Eternelle. Dieu notre Père, Tu n’en rejetteras aucun.
Et je Te prie d’être miséricordieux envers ceux-ci. Et je Te prie de les aider et de leur donner du courage maintenant, après que j’ai cité cette Ecriture, que c’est Toi qui les as amenés à lever la main, car c’est ce que Tu as dit. «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire; et tous ceux que le Père M’a donnés viendront.»
Et révèle-leur que cette confession même prouve carrément que Tu as pardonné leurs péchés. Maintenant, qu’ils n’aient pas honte de cela. Puissent-ils se tenir avec courage et dire: «Oui, j’accepte maintenant sur base de Sa Parole que je ne passerai point par le jugement des condamnés, puisque Dieu a parlé à mon coeur, et j’ai levé ma main pour montrer que je L’ai accepté comme mon Sauveur. Je voulais qu’on se souvienne de moi dans la prière.» Accorde-le, Père.
67 Maintenant, pendant que nous avons la tête inclinée, je demande à tout celui qui a levé la main, si vous croyez ce que je vous dis... Chrétiens, priez. Dieu a dit ceci. Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement.» Eh bien, qu’est-ce qui vous a poussé à lever la main? C’est le Saint-Esprit qui vous l’a dit là, Il vous a convaincu que vous avez tort. «Tous ceux que le Père m’a donnés (ou tous ceux à qui je parle) viendront (Et vous avez–vous avez levé la main. ‘Je suis un pécheur. J’ai besoin du pardon. J’ai mal agi.’); Je ne les rejetterai point... Je leur donnerai la Vie Eternelle, Je le ressusciterai au dernier jour.»
Maintenant, il y a encore une chose que j’aimerais que vous fassiez. «Celui qui Me confessera devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et les saints Anges.» Maintenant, je vais vous demander de faire une chose concernant la bonté de Dieu. Pensez simplement combien Il a été bon en vous laissant lever votre main.
68 J’ai parlé à une jeune fille lorsque j’étais encore un prédicateur baptiste. Je me trouvais à Nashville, dans le Tennessee. Et je me suis senti conduit à lui dire que je croyais que Dieu l’appelait pour la dernière fois. Elle m’a rencontré à l’extérieur de l’église ce soir-là. Et elle a dit: «Ne m’embarrassez plus jamais comme cela.»
J’ai dit: «Je ne vous ai pas du tout embarrassé. Je ne crois pas.» Elle était la fille d’un diacre.
Elle a dit: «Je suis jeune. Et j’ai tout le temps pour faire cela.»
J’ai dit: «Mademoiselle, je ne vous aurais jamais pointé du doigt si je ne pensais pas que c’était vrai. Je n’aurais jamais fait un appel à l’autel si je ne pensais pas...» Et elle m’a terriblement rabroué.
69 Environ deux ans plus tard, j’étais là-bas avec mon vieil ami, frère Morrison, de l’Eglise baptiste, pour tenir d’autres réunions. Et alors, je descendais la rue. Et c’était une jolie demoiselle. Elle descendait la rue (cela fait vingt-cinq ans, et son jupon pendait. Oh! combien elle semblait dégoûtante! Je me suis dit: «Ça ne peut pas être cette fille de diacre là.») Et elle m’a vu. Elle a ébauché un sourire, et elle a détourné la tête. Je me suis rapproché d’elle.
Elle a dit: «Bonjour, prédicateur.»
Et j’ai dit: «Bonjour.»
Elle s’est tenue là au coin un petit peu, et elle a dit: «Voulez-vous venir avec moi dans ma chambre?»
J’ai dit: «Merci, mais je suis un peu pressé.»
Elle a plongé la main dans son sac à main, et elle a dit: «Voulez-vous une cigarette?»
J’ai dit: «Eh bien, n’avez-vous pas honte de dire cela?»
Elle a dit: «Peut-être que vous prendrez un verre avec moi. Je payerai si vous en prenez un.»
Et j’ai dit: «Honte à vous, mademoiselle. N’avez-vous pas honte de demander pareille chose à un serviteur de Christ?» Et je me suis mis à m’éloigner. J’ai dit: «Je prierai pour vous.»
Elle a dit: «Un instant. C’est inutile.»
J’ai dit: «Pourquoi?»
Elle a dit: «Vous souvenez-vous de ce soir-là, lorsque je me tenais à côté de ce rosier, à côté de cette Eglise baptiste?»
Et j’ai dit: «Oui.»
Elle a dit: «Mon père est toujours diacre là-bas.»
Elle a dit: «Vous pouvez dire ceci partout où vous irez, partout où vous allez, si vous le voulez.»
Elle a dit: «C’était mon dernier appel.»
Elle a dit: «Vous savez, depuis ce temps-là...» Elle a dit: «Je sentais toujours dans mon coeur un appel pour venir à Dieu.» Elle a dit: «Mais depuis ce temps-là, a-t-elle dit, je ne fais que m’endurcir de plus en plus.»
Maintenant, voici la déclaration que cette fille a faite, elle a dit: «Mon coeur est devenu tellement endurci contre Dieu, contre l’église et tout le reste, a-t-elle dit, que je pourrais voir l’âme de ma propre mère frire en enfer comme une crêpe et m’en moquer.» Vous voyez?
70 Maintenant, Il est miséricordieux envers vous. Il a frappé à votre coeur, et vous avez levé la main: «Oui, Seigneur, j’ai tort.» C’était le Père. Maintenant, confessez-lui suffisamment... Voulez-vous simplement vous tenir debout? Je vous demanderai de ne rien faire d’autre, juste vous tenir debout, afin que les gens voient que c’est Dieu qui a frappé à votre coeur. Maintenant, souvenez-vous, vous les vrais enfants d’Abraham, «Dieu a frappé à mon coeur. Je veux me tenir debout, juste afin que les gens le sachent.» Que Dieu vous bénisse, monsieur. Que Dieu te bénisse, jeune homme. Que quelqu’un d’autre se tienne debout. Très bien. Très bien, maintenant. «Je crois maintenant.» Tenez-vous simplement debout un instant, juste un instant. S’il vous plaît, tenez-vous tous simplement debout. C’est bien. Y a-t-il quelqu’un d’autre qui aimerait se tenir debout juste en cet instant et dire: «Il a frappé à mon coeur. Je n’avais jamais levé la main, mais je vais me tenir debout pour Lui maintenant même. J’aimerais me tenir debout maintenant même. Je crois que je vais me tenir debout pour Lui maintenant même, parce qu’Il a frappé à mon coeur. Je n’aimerais jamais que mon coeur se retrouve dans une si mauvaise condition. Pendant qu’il est tendre, je vais me lever.»?
71 Maintenant, je vous dis ceci sur base de l’autorité de la Parole de Dieu. Si vous vous tenez debout pour Lui ici, Il se tiendra debout pour vous au Jugement. «Celui qui Me confesse devant les hommes, Je le confesserai devant Mon Père et les saints Anges.» J’aimerais vous demander, chers chrétiens, vous qui êtes devenus chrétiens en Christ maintenant même, vous qui venez de recevoir la–l’invitation pour devenir la postérité d’Abraham, trouvez une bonne église et faites-vous baptiser. Que Dieu vous bénisse, soeur, pour vous être tenue debout comme cela. C’est très bien.
Maintenant, restez simplement debout. J’aimerais prier de nouveaux pour vous. Trouvez une bonne église, et faites-vous baptiser du baptême chrétien, et cherchez le baptême du Saint-Esprit. Il y a des jeunes qui sont debout, des jeunes gens qui pourraient devenir des ministres et des missionnaires. Que Dieu bénisse votre noble vie.
Maintenant, vous qui avez incliné la tête, j’aimerais que vous ouvriez les yeux et que vous regardiez pour voir qui sont ces gens. Et j’aimerais que maintenant, alors que nous nous levons, que vous leur donniez la main d’association, en tant que des croyants chrétiens. Dites: «Soyez les bienvenus.» Invitez-les dans votre église ou quelque chose comme ça. Maintenant, tenons-nous tous debout. Alors que vous leur serrez la main, dites: «Soyez les bienvenus dans le Royaume de Dieu ce soir, dites, mon frère pèlerin béni.» Tournez tout autour, chacun de vous, et serrez la main de ces gens maintenant, pendant que nous chantons.
Tel que je suis, sans défense,
Sinon Ton Sang...
C’est ça, chrétiens, soyez très doux. Je suis en train de regarder au balcon. Des jeunes gens sont en larmes, des gens qui se serrent la main.
Et Tu m’as appelé à venir à Toi;
Ô Agneau de Dieu, je viens, je viens.
72 Frère Buntain dit qu’il y a une salle de prière en bas. Comment y accédez-vous, frère? Juste en passant par la porte, si vous voulez descendre juste dans un instant. Et je vais lui remettre le service.
Et il se peut que certains d’entre vous n’aient pas... Combien n’ont jamais reçu le baptême du Saint-Esprit et le cherchent, levez la main. Vous voulez être...
Que Dieu vous bénisse. «Que celui qui veut, vienne.» Est-ce juste? Eh bien, n’êtes-vous pas heureux, vous qui avez levé la main et qui avez confessé Christ ce soir? Si vous en êtes très heureux dans votre coeur, levez votre main afin que les gens voient, vous qui avez levé la main. Vous qui... Regardez tous là, cent pour cent. Oui, monsieur. C’est ça. Combien d’entre vous sont heureux d’être des chrétiens ce soir, levez la main.
73 Que dit la Bible? Sa postérité possédera la porte de l’ennemi. Amen. Nous avons conquis ce soir en Christ, notre Puissant Conquérant. Nous avons brisé les murs du péché, nous avons brisé les murs de l’indifférence, et les âmes sont entrées dans le Royaume de Dieu pour ressusciter à la Résurrection, aux derniers jours. N’êtes-vous pas heureux?
Très bien, soeur. «Je L’aime, je L’aime, parce qu’Il m’aima le premier.» Tout le monde maintenant, tous ensemble.
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
Oh! ne L’aimez-vous pas? Eh bien, ne partez pas maintenant. J’aimerais que vous fassiez quelque chose pour moi. Maintenant, alors que nous chantons encore cela, j’aimerais que vous serriez la main à quelqu’un devant vous, à quelqu’un qui est derrière vous, à droite et à gauche, et que vous disiez: «Que Dieu vous bénisse, frère ou soeur pèlerin. Je suis heureux d’être ici dans la maison de Dieu avec vous.» Faisons cela maintenant alors que nous chantons cela.
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
Maintenant, chantons-Lui cela alors que nous levons les mains vers Lui.
Je (...?..) L’aime...
Je vous confie le service, à votre pasteur.
E-1 Let us remain standing and just bow our heads for a word of prayer. Our gracious heavenly Father, it is again that we approach Thee, asking forgiveness of our sins and trespasses, and praying that You'll be merciful to us, Father. We would pray, Lord, that You would pardon all of our transgressions, would lead us into the paths of Light and Life. And make us, Lord, so salty that others would long to be Christians in whom we contact. We know that salt is a savour if it contacts. And Father, we pray that You will make us the strength of the salt, and may we be so desirous to contact the outside world, that's dying, that it might be a savour to them.
We are told that we are written epistles, read of all men. And Father, we pray that our lives will so be, as we profess to have this great experience of Pentecost, that it will be such a--salty to the world, that they'll long to be that way also. Give us of Thy Holy Spirit, Lord, that we might show to the world, that our faith in our Saviour is confirmed, that He is not dead, but He's a living with us day by day, guiding us and directing us, feeding us, walking by the still waters and the shady green pastures.
We pray that You'll bless us tonight in the Word. Heal the sick and the afflicted; save the lost. Get glory unto Thy great Name, for we ask it in Thy Name, Jesus Christ. Amen. You may be seated.
E-2 We are indeed--deem this a grand privilege to be back again tonight here at the church, to minister again the Word to the people. And this has been a great day. I'm so glad to meet Christians, to meet real borned again people. I hope you don't think that I, expressing and saying the things that I do, that I think that California has all the sinners. They're all over the world. And now, I have...
Last evening when I was approaching... I'd been down in the city in the afternoon, and I noticed some of the people, how they were doing, just like they are in other parts of the world.
And I come in last night. And the nicest little girl from the platform here, from the choir, I believe it was, walked back there. She was a Canadian, real nice little lady, clean looking, and a real, just a real lady. I hope my Rebekah's like that when she gets her age. A Canadian girl... Then tonight coming in, standing out there by the side of the wall stood a little lady, standing out there, when my son and my daughter-in-law come up, and I, from Arkansas, waiting out there in the cold just to shake hands with me. Said she'd remembered when I was in Hot Springs many, many years ago, the Humbard family. And just see people like that, it just makes life worth living.
E-3 You know, when we live to serve, and to do what we can for those people, and to try to help others that maybe doesn't know the joy of living that life. Some people think that when you become a Christian that it take--just takes all the joy out of life. It's just vice versa. I--I have lived both ways.
This is thirty-one years I've been preaching, and I have... I would not trade this life if there wasn't even any heaven to go to at the end of it, if there wasn't any Jesus to see. I have more joy living this way than I--one day, than I would ten years any other way, if there wasn't nothing after. But... That's really from my heart, as your brother and God's servant. There's such a peace and a satisfaction, knowing that when you lay down, if you never wake again, what difference does it make? See? You're--you're--you're saved, that--that anchor that holds within the veil somewhere out there, something that tells us that the good's just the other side.
E-4 Billy said last night to me when I left; he said, "Daddy, do you think you could ever make it some time you'd get out at nine o'clock? "
I said, "I hope so, some time." But I... You're such a nice people to talk to. And you... There's no place to stop.
And he said, "Well, the first thing, you talked about thirty minutes before you ever started on your sermon."
I said, "Now, Billy, I'm going to--I ain't going to do that tonight. I'm going--I'm going to start right straight into the sermon right quick, so I can let the people out."
E-5 We got a--still a full week. And then, we've got to go from here then up into Visalia, and right straight from there to Ohio, back in the snow, and down in Virginia where I think they got seventeen inches of snow in there now. Then, back over in Illinois, Bloomington, up Chicago. And then all the way up in northern British Columbia, where it's really snowing. And then, I hope that, if the Lord willing, sometime this summer, to--to get overseas again, because there's where my heart lays. That is true. You would, too.
You think, "Well, you don't love us." Yes, I love you. But you're already anchored in Christ, and those people over there, just so hungering and thirsting. And now, if I was working for you, and I could pick... I was picking berries. On one side of the road over here, I could pick fifty gallon a day. On this side of the road, I could pick two quarts a day. Now, which field should I work in? Certainly. You know what I mean.
E-6 But one thing about having meetings here. The American people has the money, and they're the ones that have to sponsor. Those people can't even eat over there but what... And it's just so terrible. You'd never realize what it is. Won't strike your heart until you stand in the street sometime, preaching, and seeing a little mother with her little baby, and his belly swelled up that high, dying from hunger, and trying to hand you the baby. She knows she's going to die too, starving. Well, what if you take that one? Here's one over here, and one here, and one here, and one just everywhere. See? And it's a pitiful thing.
Then you come back, and think that we rake in the garbage can enough to feed those people. And there's just something... The economics of the world is not balanced right somewhere. It's just not right. And we can't do nothing about it. You can see it, but (See?), I'm just one American. And that's--and just one Christian. And we could come back and tell the stories.
And it's truth that many missionaries tonight are eating one or two meals a week, and without shoes on their feet, just an old pair of ragged trousers or something wrapped around them, going into the jungles preaching the Gospel, this Gospel that we're preaching right here. It just isn't right, it just doesn't seem right, although they don't complain. They go right ahead doing it anyhow. Just almost breaks your heart to see. I say, "That fellow there..."
"He's a missionary."
When we Was in Durban, South Africa, that's where I had, I guess, the largest altar call the Lord ever gave me. We registered thirty thousand converts at one altar call. Just think of that. Thirty thousand blanket natives received Christ as personal Saviour when they seen taking place, just like you seen here last night. They're hungering and thirsting. And when they see something's got of reality to it... But see, we here in America, we just have all kinds of evangelists. If one don't please us, we just drop him off, get another one. And you know, we just have such a variety. And the--and the first thing you know, why, it all becomes so common to us till we just forget about it. Those people are really craving God.
E-7 I seen little black boys stand like that, little children, never knowed what a suit of clothes was. Never knowed... Well, we had some homemade ice cream, and one of them would come up. And I put it in his hand. He dropped it, and screamed out. I asked Mr--or the man was standing with me, "What did he say? "
He said, "Boss, it burnt me." It was cold, you see. He never had felt nothing cold. See? He said, "It burned me." See them down there, when they go to get their drink, and the crocodiles chew them up. And see them coming for as many as two months ahead of time, when they heard I was coming over there to pray for their sick. They'd go along packing their loved ones on homemade stretchers, boards, and whatever they could have. And when they would--a lion would come, they would shinny them up a tree somewhere till the lions left, then bring them down. Such a sacrifice, down through the jungles. And then to see them laying at least four or five city blocks deep, till you can't even see the end of them like that, laying there, just...
E-8 And when they seen one man healed at the platform... I turned, and through fifteen different interpreters... You just have to write down what you said last. But when I asked them had the missionary told them what this great Jesus was? "Yes," but he'd also told them that the days of miracles was past.
I said, "Now, what was He then? Whatever He was then, He remains the same if He's a living." See? And when they seen that proved that He was, I made just a prayer, a congregational prayer, and Dr. F. F. Bosworth (Did anybody ever hear of him? Most everybody. One of the grandest old saints I ever met in my life.) he estimated between twenty-five and thirty thousand spontaneous miracles taken place at one time.
E-9 The next morning, Mr. Sidney Smith, the mayor of--of--of Durban called me, said, "Watch the window towards the seashore from your hotel room."
I said, "What is it?"
Said, "I will see if I can get there in time. It's on its road." Well, I was sitting there. I wondered, what did the mayor mean? And just that night, there'd been a woman had died over there that day, a friend of his. Prayed for her, she'd come to life. The papers given big headlines about it. And I went up...
See, where people really humble themselves, and forget everything else and just believe on the Lord, just everything takes place. And then... But you have to believe it. That's all. Just... Not--not just strain at it, but just simple believe it (See?), just like...
E-10 And so, they called. And I heard something making a noise, and I went down the street. Now, they have--they have tribal wars among them. But when I walked to the platform... There was fifteen, I know, different tribes there, all in there with their witch doctors, and the chiefs, and so forth. And they all stand with one accord, about nearly two hundred thousand, and sang each one in their native tongue, all blending together, "All things are possible, only believe."
Brother Bosworth said he had trained symphonies, and went to the Madison Square Garden with a hundred and something piece orchestra, and he said never... Said some of them would be an octave high and an octave low, trained voices. But said there--there was just every one. And them, wouldn't know which was right and left hand, just perfect music. I can just see him yet as he took off his glasses, and begin wiping his eyes. He said, "Brother Branham, this is my coronation, to hear that."
I said, "That's the Holy Spirit. It's the only thing that could make them sing."
E-11 And the next day, when I went to the window and looked out, I thought my heart would jump from me. I looked. Coming down the street there come seven of those big African vans. They're just about long as from here to the--oh, across this building almost. Got some four to six wheels under them. And they were piled just as high as they could be piled with old boards, and clubs, and things that those people had walked on the day before. And the ones that had walked on them was walking behind, for city blocks. Six of those bi--seven of those big van fulls, like that, coming down that street with their hands up in the air, was crippled the day before singing, "All things are possible, only believe." I tell you. You see why--what I mean? It's just... It... Your heart just bleeds to get to them again, you see, just jumps to see what you could do for them.
And I got a paper, one of the Durban papers, that said that one tribe, the Shangai... I forget how much that they brought back weeks later. And they was... And when they'd come back, they was through with sin, bringing back firearms, and watches, and what they'd stole from the--living out in the compounds, you know, when they'd come into the city and steal.
E-12 Now, you pardon me, my sisters, for this rude expression, and do not think that I'm trying to make something--pushing it hard. But I just want to ask you one thing. We're supposed to live in a land of civilization. And this baptism of the Holy Spirit that we talk about... I've seen people receive the Holy Spirit that didn't know right and left hand. And you know what they do when they receive it? They act just like you do when you receive it, do the same thing. And they don't know which is right and left hand. And standing on that ground were women standing there, just no clothes, no more than they was borned in. And there they stood there, young and old, and all alike. And I asked them, I said, "Now, I want you... Would you receive this Jesus that's made this man that was all crippled up to stand up straight and walk, where it told him..." And I said, "I... As your witch doctors thought I was reading his mind." I said, "Now, it shows the God of heaven has made him well." I said, "How many wants to receive Him as personal Saviour?" And they raised up, thousands.
E-13 Brother Baxter and them said, "I believe they must have meant physical healing."
I said, "Start it through the interpreters again." I said, "I did not mean physical healing. I meant to receive Christ, Someone who loves you. And I realize that you got a raw end of it here, just like our American Indian got over there, where God placed him in the land. But," I said, "you--you got a bad deal out of it. But there's one that will give you justice. That's the Lord Jesus, and you want to receive Him as your personal Saviour, you can go home to heaven." And I said, "Raise your hands. Them that's packed idols, break them on the ground." And they broke their idols, and raised up their hands. Thirty thousand blanket heathens. I said, "While you have your hands up, receive Jesus for the baptism of the Holy Spirit." And when they did that, them people... Some women standing there naked, just a clout... You know what they done to walk away from there? They folded their arms to walk away.
E-14 Now, what's the strange thing to me, that a woman that don't know right and left hand, and as soon as Christ comes to her heart she realizes she's naked, and she will try to hide herself; and we, who are supposed to be a Christian nation, continually taking it off. Can you explain it to me? I--I just want to ask that question. I... And all... I don't mean that to joke. This is not no place to joke. This is the desk, the pulpit of God. See? But isn't that true? It... Can you make sense out of it? A native that knows nothing about God, and as soon as Christ comes to their heart they realize they're naked. And we who are supposed to be Christians, constantly each year, just as much as the law will keep from running you off the street, taking it off every year. Something's wrong, somewhere. Maybe it's... It might be me. It just might be me that's wrong. I don't know. If I'm wrong, then the Word's wrong. I like to stay with the Word.
E-15 Now, forgive me, Billy. I did it again. I believe I had Brother Borders to read some... I got some announcements here, but I will just get them a little later, 'cause it gets too late. And I'm going to try to get out at nine o'clock, if I possibly can.
Now, I want to take from that Scripture reading out of Genesis, the 22nd chapter, and the last ten verses of the 17th verse:
And thy seed shall possess the gate of his enemies.
E-16 Now, we've been studying on Abraham, and how that God was with Abraham, and what He did for him. And last Saturday night, we left Abraham, you know, where God had turned him and Sarah back to a young man and young woman. Did you like that? Do you believe it? Went back, and she had the baby. And we've proved that by the Scripture that Sarah was a young woman, because it was a young king down there, Abimelech, that fell in love with her. And I got a little note on it, said, "Brother Branham, they just lived longer in that day." Someone little disagree. 'Course, that's just all right. But I would like to make that clear to you, my brother.
You notice, the Scripture said, "And they were both well stricken in age." See? They were old. And so, He turned them back to a young man and a young woman, showing what He's going to do to all the seed of Abraham. Now, we see those great promises that He gave.
E-17 Then we find out that Abraham was sterile. Sarah per--perhaps, was barren. Perhaps Sarah was the one that was barren. But after... Abraham being his own body, as the Bible said in Romans 4, as good as dead, and we find out that yet forty years after that, when his wife died and he married again, he had seven other sons besides his daughters after that. So you see, it just... You... In between the line, you see, God just done something for them. That's right. He just turned them back, and made them a young couple again.
I'm so glad that I have the opportunity, and can bring one of the greatest treasures to the people that there is in the world, to tell them that we are heirs with Abraham of this promise. We are Abraham's children. How do we do it? By joining the church? No. By being dead in Christ, receiving the Holy Spirit. Then we are Abraham's seed, and are heirs with him according to the promise. Don't fail to get it, Christian friends. Stay with it.
E-18 If I do a little whistling like while I'm speaking... All of you know that I used to be a pugilist. I used to box. I had three state championships. Never lost but one fight in my life. And I smiled at a guy one time when he--he hit at me and missed me, and he smacked me right in the mouth. And it knocked two teeth loose there, and broke the corner off one. And just the other day, I lost the filling out of it. So I--I do a little bit of whistling at times.
I was thinking one time how bad that was. And I remember Mrs. Graham, for the noted evangelist Billy, said that the--one of the great times of his life that... He's got one tooth out in front, you know, and he wears a partial. And he lost this tooth, and it was just about time for him to go on the broadcast. And he said, just whistles terribly, and he just--and he had to stand by the microphone. She said, "Oh, Billy was really doing some praying," and a porter, and everybody looking through--the bellhops a trying to find this tooth, where it was at. Come to find out, it fell out of his trouser pocket and was in his shoe. Somebody found it down in one of his shoes. And--and she told it on him while she was in Louisville. And so the thing he did, he would take a towel after taking a bath, and throw it over the top of the door like that, and make a big dirty streak. And she was too short to get up and wipe it off, you know. So we all have our faults, you see, all of us, even to the best.
E-19 So we find that Abraham and Sarah now had received this little one. At the age of about twelve years old, he was taken--asked by God, or--to take his own child up on the mountain and sacrifice him, take his life. And Abraham did not disbelieve God, because he knew that if he--that if he obeyed God like he had, waited for twenty-five years, that he received him as one from the dead. Now, what about that? Were they old or not? As receiving him as one from the dead, knowed that he was fully persuaded He was able... [Blank.spot.on.tape--Ed.] That he knowed that God could raise him up if He kept His promise.
Then we see when full obedience come, then when he was about to take the life of his own son, the Angel of the Lord called from the skies, and held his hand. And there was a ram behind him. And he took the ram that had been caught in the weeds by his--or the vines by his horns, and offered the ram instead of his own son. And we discussed that. Where did this ram come from?
Now, Abraham was three day's journey, and then lifted up his eyes far off and seen the mountain. He was at least seventy-five to a hundred miles from civilization, and up on top of a mountain where there's no grass or no water. And he'd rolled the rocks around, and fixed the altar, and there was no ram there. And if a ram would be up there, animals would've killed it long ago, straying out like that. And that's the reason he called it Jehovah-jireh, the Lord will provide Himself a sacrifice. I believe God spoke the ram into existence. And we find out that it wasn't a vision. A vision don't bleed. He killed the ram, and the blood run out of the ram, and he offered that instead of his own son. You know who that ram was? The Lord Jesus Christ. That's exactly. That... In figurative speaking, that was Him.
E-20 Then God was so pleased with complete obedience. God had tried his patriarch. He had tried his servant. And every son that cometh to God must be what? Tried. Chastened. That's where that many fall away, because we can't stand that trial. A person come to the altar in time of revival. And you'll watch just a little while, and the hot trials begin to come. Jesus plainly taught it, said, "The sower went forth sowing seed. Some fell by the wayside, some fell into stony ground, and amongst thorns and thistles, and the others fell over in good ground." And He said that's the way the Word went, goes out. Some hears the Word, go out; birds come along, pick it up. See, they don't--don't do no good at all. Others come up overnight. Oh, they're going to do great things. But when the trials begin to come, it chokes them down. But some goes all the way over into good ground, and that brings forth a hundredfold.
E-21 Let's be the hundredfolds. Let's go way over, sell out everything from the world, and look to Christ, and believe Him with all of our hearts. That's how these things happen. That's how visions come. That's how power the--of God moves among us, is when we're... No roots of bitterness, and everything's cleaned out, and the Holy Spirit can work through us, then we become a channel. What if there was a short in this speaker tonight? You'd never be able to hear me. It'd be all full of static. You wouldn't know what I was saying. Well, that's just like we are. That's a--that's a mute, until something makes a noise in it. It cannot speak itself. And that's the way we are. We know nothing about the heavenlies. But it takes the Holy Spirit to come down and use our eyes for visions, our lips for words and prophecies, and--and--and speak the words, and watch the things happen. "Ask what you will in My Name, it shall be done unto you." See? "If ye abide in Me, and My words in you, ask what you will, and it'll be done unto you. Verily I say unto you, if you say to this mountain, Be moved; and don't doubt in your heart, but believe that what you have said will come to pass; you can have what you've said." Saint Mark 11:22 and 23. Now, we know that those things are true.
E-22 Now, we find that Abraham first was tried. And after he had endured the trials... And what does the Bible say that we are if we cannot stand the chastisement of God? Then we become illegitimate children, so-called children, but not real children of God. The children of God knows exactly where they stand. They know where they've put their hope, their faith, their trust. Nothing will ever shake them from it. "All the Father has given Me will come." That's right. And now... "He that comes to Me I will in no wise cast out. He that heareth My words, and believeth on Him that sent Me, has Eternal Life, and shall never come into condemnation; but has passed from death unto life." There's the Scripture. See? Saint John 5:24. They believe it. They've accepted it. There's something happened to them. They become a new creature. They're a new nature. They're--they're a new being, a new creature there. The Greek word says "new creation." It's a new creation. You have been recreated again from what you were, to the image of a son of God and a daughter of God. It's just such an awe... It's the greatest miracle that ever happened when a sinner can be made to become a Christian.
E-23 For instance, here's a thorn tree growing. It's--it's life, this thorn tree. And it's got thorns all over it, and it's got a funny looking leaf on it. Now, you see, it takes something besides any human work to change that thorn tree, and make them thorns go off of it, and just unfold, and be real pretty smooth leaves, and bear oranges. Now, you see, what would have to take place? You'd have to transfer the life of an orange tree into that thorn tree, and then it would actually bear oranges, because the life inside of it is orange. Of course, you couldn't do that naturally. It won't--it won't cross that way.
But that's what we are. Like, we--we are now a--a wheat, a grain of wheat in God's garner, when we was a cocklebur. And God changed us from a cocklebur to a grain of wheat. It makes the fruits different, changing your own mind, your own ideas. It's the greatest miracle that ever happened, when a man or a woman is borned again of the Spirit of God, and becomes a new creation in Christ Jesus.
E-24 Now, we find then that God told Abraham, "Because you have did this..." And give the patriarch this great trial, He said, "Your seed shall possess the gates of the enemy." Of his enemies, enemies--it's in the plural. "They shall possess the gates of the enemy." Now, his seed. Now, who's He talking about, the seed? The seed is the Church.
How do we come to Church? Not by joining it, but by being borned into it. You see, I--I believe that we have our organization, our denominations, and them things are all right; but that don't put us in the Church. We could join every one of them, and still not be in the Church. You don't--you're not joined in the Church, you're borned in the Church. You become the family of God. Now, I've been in the Branham family for fifty-one years, and they never did ask me to join the family, because I was a Branham at birth. I was born in the family. I--I be a Branham by birth. That's how you become a Christian, by birth. When you're borned again, you become a new creature, a new creation in Christ Jesus, and all old things has passed away, and all things has become new again. What a wonderful... I'd like to ask the church one thing. What greater treasure could you find in earth tonight? What could you find that you would swap for this hope? Why, there couldn't be nothing that would no way touch it any way, for this great hope.
E-25 Now, but remember, "Thy seed shall possess the gates of his enemy." The seed shall possess. Now, He's talking now of Abraham's seed. And how do we become Abraham's seed? By being dead in Christ, Galatians 3. We, when we're dead in Christ, we become Abraham's seed. See? We--we're dead to the things of the world, and begin a new creature in Christ Jesus. Then the Holy Spirit that was in Christ is in us. And that makes us Abraham's seed, and gives us Abraham's faith. See? That's the reason people say, "Oh, I wouldn't believe in Divine healing."
I was talking to a certain minister. Nothing against the man, he's got a right for his ideas. He's an American the same as we are. And he said, "Brother Branham, I don't care if you could produce ten thousand miracles. It's still... I do not believe in healing."
I said, "Certainly not. It--it wasn't for unbelievers, it was just for those who believe." See? That's right. It's--it's not for unbelievers. It was only meant for believers. That's all. This Holy Spirit is to them that believe. Divine healing is for those who believe. Not unbelievers; it's believers.
E-26 Now, you know they... Jesus came right at the time they were preaching against it, and everything else, but He went right on healing just the same. And no matter how much they talk about there's no such a thing as the Holy Spirit, the people go right on receiving it just the same. See? They might not be able to explain it. They can't explain how many molecules there is to an inch, or how many miles it is to the moon; but they know they received something, and they're enjoying it.
And this is not a joke, but it was told in the Christian Businessmen recently, at one of the meetings. There was an elderly colored sister wanted to testify. She said it kind of in a Southern way. She said, "I's want to give my testimony." She said, "I's not what I want to be. And I's not what I ought to be. But still, I ain't what I used to be." So I think that's the way the church might be able to say it tonight. We might not be what we want to be. And we might not be what we want to be, but--and what we ought to be. But we know something has happened, we're not what we used to be. I know that, because you have passed from death unto life. There's something has happened, and we know it. Something taken place down in our lives. That makes us Abraham's seed, because we are in Christ.
E-27 Now, his seed... Now, Jesus said about the seed, He said this, that, "It would be far better that a millstone to be hanged at your neck, and drowned in the depths of the sea than even to offend this seed of Abraham. The least of these that believe in Me, it would be a..." And God told Abraham, "Whoever blesses you I will bless them, and whoever curses you I will curse them."
Now, a little later on in the week now, I'm going to get the seal of God, and the mark of the beast, and di--divide two nights on that. I want you to be sure to get it if you can. You hear so many charts and things. But watch how simple it is when the Bible brings it out, just how easy it is to see it...?... The pro and con of it.
E-28 Now, if you'll notice, He said that He would bless who Abraham--who blessed Abraham and his seed would be blessed, and He would curse ever who cursed Abraham. Now, you just watch that in the Jewish people, see what's happened. Watch that amongst Christians, see what's happened. Always that way. So you see, he will possess the gate of the enemy.
Let's go back and find some of the man of Abraham's seed under the Jewish covenant, then bring it down into the Gentiles when we were drafted over from the Jewish age to the Gentile age, to take a people for His Name. Now, let's take some of the man who was the seed of Abraham, and see if they possessed the gate of the enemy.
E-29 Let's take for instance... Now, let's speak a moment upon the--when the children of Israel had been carried away captive down into Babylon. There come a time, first, that there had to come a trial. There's always trials. It's always darkest before day in--in nature. And you'll always have trials before you have victory. If there's no war, then there's no victory.
And now, the Hebrew children down there had been brought on to a spot where the king had made a--a declaration, that anybody would not bow down to this image would be throwed into a fire of furnace, furnace of fire, rather. And then when they...?... purposed in their heart that they was not going to defile themselves. They were going to live close to God. Now, the three Hebrew children, Shadrach, Meshach, and Abednego, they were the seed of Abraham. They had the promise of God that his seed would possess the enemy's gate.
E-30 Now, I'd imagine when a trial come up... What's the first thing a child of God has for refuge when a trial comes? The greatest weapon was ever put in the hands of mankind: prayer. It even changes everything. It even changed the mind of God one time. God told his prophet go up and tell the king he was going to die. And the king turned his face to the wall, and said, "Lord, I beseech you to consider me. I have walked before you with a perfect heart. I need fifteen years longer." And God spared his life fifteen years longer. Prayer changes things.
Then we notice then when these Hebrew children come to a prayer meeting that night, "What are we going to do?" There had to be a--a gathering, and a decision had to be made. No doubt they prayed all night long. And the decision was unanimously, because they were deciding that they could not afford to go back on God in the time of trial. Wouldn't that be good for the whole church now? When the decision is made, "Shall I turn to the things of the world? Shall I go like the rest of them go?" That decision comes to every Christian. It comes to you daily. How are we going to do it? You've got to make your decision.
E-31 And they made their decision, that regardless of what taken place, they wasn't going to turn away from God, that's right, because they had the promise of God that they were Abraham's seed, and they knowed their position, and knowed where they was standing. And they told the king, they said, "Now..." They said, "We're going to throw you into this fiery furnace if you do not bow down to this god."
And he said, "King, live forever. Our God is able to deliver us from that fiery furnace. He's able to do it. But if He doesn't, we're still not going to bow down to that image. We've made up our minds. We've took the way with the Lord's despised few, and we're going to stand true to it." Oh my! That's what the church needs.
E-32 Now, you must take that same initiative when it comes to Divine healing. When it comes to anything that God has promised, take the initiative and stand there. God made the promise. He's obligated to his promise. As long as you're Abraham's seed, He's got to answer. Now, don't get any doubts in your mind. Keep them doubts away. Just stay right straight on the cross now. Look right straight to the One who made the promise. I've never seen Him fail yet, and I've never read of Him failing. And you never will, because He can't fail, He's God. He made the promise. He made it way back here in Genesis. That's the seed chapter. "And your seed shall possess the gate of the enemies. Not "a enemy," "the enemies." Every one of them. All of them.
E-33 Now, this enemy was the fiery furnace. So, I could imagine that morning... Let's just dramatize this just a little bit. It seems real good to my heart when I see... You know, after they had made their decision... I believe God hears, but God don't always have to answer prayer right then. See? God answers in his own time. If you asked Him, and believe Him, then He will answer in His own time. So, I ima--imagine in glory there was... When they was praying, I can see the angels standing around the throne of where God was setting, saying, "They're in prayer, they're under strain."
"Yeah, but they'll hold out true. I've got confidence in them. They're My servant Abraham's seed. So they'll hold true."
E-34 Well, the next morning, the king might have said, "Have you decided now that you're going to bow down to my god?"
Said, "No, we're not going to bow down."
"Well, we just..." It raged his indignation in him, he heat' the furnace seven times hotter than it ever was heat'. And he took some big strong men. They started walking up to drop off into the furnace. And as they walked up close, looked like that the dark hour was there.
That's the way it looks to Christians sometime when somebody... The young lady, when she's been persuaded by a boy that she really loves to take her first cigarette; when she's forced, maybe to take a--a drink for her first time, have her first cocktail at the party of the boss that she works for: or the man who's got a wife and family at home, when the immoral woman tries to make love to him... You've got those barriers at the gate. But if you'll just... Look like God's forsaken you. Just keep walking steady. Watch Him. Just keep moving on.
E-35 And they walked right up. And you know, we're the one that gets nervous. What about you accept your healing night after night? Well, you think, "Oh, tomorrow... I--I'm--I'm still coughing. My hand's still crippled." That don't have one thing to do with it. When you have really, honestly, from the depths of your heart accepted that as a finished work that Christ did for you, it's finished. That's all of it. Yes, sir. Just stay right with it.
Now, they kept walking. I can imagine Shadrach looked over to Meshach and said, "You're sure we're prayed up?"
"Yeah." Walked right on, furnace getting hotter and hotter, till almost the skin coming off of their face. Even the Bible said that the man that throwed them in there, the intense heat of that furnace killed the men that throwed them in. Looked like it was the darkest hour. They was walked right up to the edge of the furnace.
But you know, it--sometimes God lets it get that way to try you. You can never... Abraham would have never possessed the gate of the enemy until he was tried first. And you'll never possess the gate of the enemy until you go through the trials. "Some through the waters, some through the flood, some through deep trials, but all through the blood." God leads his children. See, you must first be tried. Oh, then the illegitimate falls in the trial; but the true child of God stands true. He knows where his possession lays. He knows where he's standing. He knows what's happened to him. He knows that he's passed from death unto life. And he knows that God answers prayer.
E-36 Now, we see them going up. Just one step from going into the fiery furnace. Looked like that they were completely defeated.
It may be down... I've seen cancer cases come to almost their last breath. A brother laying with arthritis recently had his hands laying like this. The Holy Spirit told him, said, "THUS SAITH THE LORD, you're healed." He went home and got worse. He said, "I can't help it. That man didn't know me. He never seen me in his life." Lived in Phoenix. He said, "He never seen me in his life. How could he tell me who I was? I know by the man's talk he's no educator. I know that there was something supernatural. And I... Something happened." They couldn't even move the pillow. When they moved the pillow for his hands, he'd say, "Oh, wife, wife, be careful." Oh, just screaming.
And she said, "Honey, aren't you afraid you're bringing a reproach upon the very religion that we believe?"
He said, "I cannot. I believe it in my heart that it'll happen." And it got so bad. He laid back, and his little girl was trying to put a wet rag on his face. He felt fainty. And he looked up there, and he said he seen Christ come before him on the cross. And said... When He bowed his head to die... He thought his breath was going, he couldn't breathe no more. The arthritis was all through him. And when he bowed his head to die, he seen Christ bow his head there. All of a sudden he give a big leap, and out of the chair, and around and around and around the place he went...?... why? He possessed the gate when He went to the cross. But first, you must possess. You must take the trial.
E-37 The Hebrew children was at that place. Sometimes we think it's real dark. But remember, it's in the darkest of hour when Jesus comes by. It was Mary and Martha, the little sisters of Lazarus, Christian family had left their synagogue to believe on the Lord Jesus, and it was their darkest hour. They'd come out of their church. They couldn't go back no more. Ever who professed to be a follower of Jesus was excommunicated from the church because he was a--a radical, somebody going around tearing up their churches. And they didn't want that, so they said, "Anybody that tries to follow him, why, we will throw you out of the fellowship." So they were out of the fellowship. And they couldn't return back to church. They would--become heretics.
And then, the very man that they come out for, the Lord Jesus--very man they come out for, they sent for Him to come pray for their brother when he was laying dying with hemorrhages. And they... He refused to come. They sent the second time, and He refused to come. Oh, how dark the hour was then. Finally, the midnight hour come, struck, and the boy died. They put him in the grave. He was there four days. Corruption had already set in his body. Skin worms was in him. Bugs from the ground was crawling into his flesh. The darkest hour they ever seen. It was at that time when Jesus came by, just at that dark hour.
E-38 Oh, a woman that--said not long ago, said, "Brother Branham..." I was talking about raising Lazarus. Said, "You don't mean to te... You brag too much about Jesus being Divine."
I said, "He was Divine. Yes."
She said, "Well, I will prove to you by your Bible He wasn't."
I said, "Go to it."
And she said, "Well, the 11th chapter of Saint John said He went to the grave of Lazarus, He wept."
I said, "That didn't--that didn't have nothing to do with it. He was both man and God." I said, "He was a man truly, when He was weeping. But when He stood by the side of a man's grave that'd been dead four days, and his nose already fell in, the bugs eating in his body, said 'Lazarus, come forth,' that took more than a man." Yes, sir.
E-39 He was a man when He come down off the mountain that night, looking around for something to eat on that olive tree, and they found nothing there. He was a man when He was hungry. But when He took five biscuits and two pieces of fish and fed five thousand, that was more than a man. Yes, sir. That was God in that man. Yes, sir.
He was a man laying out there on the back of that little ship that night. Devils, forty thousand of them of the sea, swore they'd drown Him, that little old ship like a bottle stopper out there, flopping around. The devil said, "We got him now. He's asleep. We will drown him." He was a man, tired and weary, laying out on the back of that boat there, with a pillow somewhere, asleep. But brother, when He once arose, oh my, put his foot upon the brail of the boat, looked up, and said, "Peace, be still," and the winds and the waves obeyed Him. That was more than a man. That was God in that man.
It was a man that cried for mercy on the cross. That's right. "My God, why hast thou forsaken Me?" He died crying for mercy. That's right. But on that third morning, when He broke death's seal, and rose again on the third day and ascended on high, He was more than a man. Everybody that's ever amounted to anything believed that. That's right. Poets, authors, prophets, whatevermore, believe that.
E-40 Now, the Hebrew children who, going through their trial. They was right up to the last moment, and they was just ready to step into the furnace. You know what? Sometimes we watch things going on here on earth, but there's something going on in heaven all the same time. We might not be able to see it, but it's going on anyhow. [Brother Branham coughs--Ed.] Pardon me. Let's turn our camera now towards heaven. I can see Jesus sitting on the throne, coming daylight. Smoke's raising way up in the skies from the furnace. I see Him setting there watching down, see what they're going to do. That's what He does to you and I when we're tried. He promised that the seed of Abraham would possess the gate of the enemy. I believe that.
E-41 I see Him watching. All at once, a great Angel comes up to his right side, stands at attention, puts his hand on his sword--Gabriel. He said, "Father, have You looked down there? They're the seed of Abraham. They're--they believe in You. They've prayed all night. And they're going right into their death. Let Me go down there. I will change the scene." I believe He could have done it. That's right.
He said, "That's right, Gabriel. You're a good Angel. Just stand there."
Here comes another one up. His name's Wormwood. He's the--he's the Angel over all the waters. I can see Him stand at attention, said, "Father, have You looked down in Babylon?"
"Yeah, I've watched them all night." Oh, his eye is on the sparrow, and I know He watches me. "I've watched them all night."
"They're fixing to burn three men up down there this morning, seeds of Abraham that's took You by your Word, and standing gallant on it. You know one time You told me to turn loose all the waters. I have the control. You let me go down. I will wash Babylon off the map." He could have done it.
I can hear Him say, "That's right, Wormwood. You're a wonderful Angel. You--you did just exactly everything I told you to since you created--I created you. You did too, Gabriel. But you know, I'm going down Myself. This is My job." Oh my!
E-42 Just when they was ready to take their last step, I can see Him stand up. His priestly robes drop around Him where He's setting tonight, they're bloody, making intercession upon our confession, for He died to bring to pass anything that we ask. Where is our faith at in Him?
There He stands up, motions that way, and here comes a big white cloud by Him. Steps up on it, calls the east wind, north wind, south wind, and west wind, to drive them like horses. Reach up and get a hold of the zigzag lightning, and crack it across the skies. Before they could ever step in there, He was in the furn--fiery furnace with them. He stood in there with a big palm fan off there somewhere by the Tree of Life, fanning the fiery blazes off of them like that. Said, "I just want to talk it over with you children. I know that you're the seed of Abraham. I gave the promise, and I'm here to answer it," keeping the fire blazes off. Oh, yes. They opened up. Said, "How many did you put in there?"
Said, "Three."
He said, "There's one more in there, and He looks like the Son of God." He was. Why? They--after they was tried, they possessed the gate of the enemy. Amen.
E-43 Daniel was brought to the same thing after he was put through a trial whether he'd pray or not. He raised the curtains back, throwed up the shades, and knelt down and prayed just like he always did. Yes, sir. Prayed just like he always did. And what happened? They went through the trial. They said, "We will feed you to the lions," and they'd been starved for weeks. He said, "My God is able to deliver me from them lions." But after he had went through the trial, what happened? He possessed the gate of the ene... [Blank.spot.on.tape--Ed.]
Moses, after he had been true to God, come through the trials, and brought the children of Israel right in the path of duty. All nature screamed out against it. Here was the mountains on one side and the deserts, Pharaoh's army pursuing, and the Red Sea blocked them off. Why, they was trapped. Looked like God was a poor military man to push them right into that corner there and let them perish.
E-44 God loves to do that. God loves to show his hand mighty. Yes, He does. He likes to show His power. He's waiting tonight to show it in you; to take that sinner and turn him around, take that woman of ill fame and change her to a godly saintly woman, take that girl that's taken the wrong road, that boy the wrong road, bring them back to the place and make sons and daughters of God out of them. He's ready to take that man dying with cancer, that one with the heart trouble, that one that's blind, that one's afflicted, if he will just place his faith in there it'll turn him around from death unto life, start him off with a testimony. He's waiting to do it. He puts you right in the trap to see what you'd do. He put them right down in that trap there. Looked like nature itself was hiding its face. Yes.
One writer said one time, that when they got in that place, wondered what Moses would do. He had one command, "Go forward." If you're in the line of duty, no matter what stays in the way... The greatest experiences I've ever had is to come up against something I couldn't get over it, or under it, and just stand there and watch God make a way through it. That's the way to do it. Just move. Keep moving. Press your nose against it. Just keep moving on. Just keep going on. God will make a way.
E-45 The old colored man down south carrying a Bible, they said, "What are you carrying that Bible for, Mose? You can't read."
Said, "I believe it."
Said, "Well, how--how do you know it's right?"
He said, "Well, it's... I believe it from civer to civer, the civer also." Says, "It's got Holy Bible wrote on it."
Said, "I guess you believe all that's in there."
Said, "Yes, sir."
"I guess you believe whatever God would tell you to do, you'd do it."
He said, "I'd do it."
Said, "What if He'd tell you to jump through that wall, that stone wall? How are you going to get through there?"
He said, "If He'd tell me to jump, I'd jump. He'd make a hole when I got there."
So that's right. So that's the thing you have to do, is take God, and believe it, and jump anyhow. If you know you could explain it, understand it, then it wouldn't be faith no more. Your faith is what you believe that He has done for you. "And faith is the substance of things hoped for, the evidence of things not seen." You don't see it. You can't figure it out. There's no way to figure out God. You just got to believe Him, and keep walking on. He said so. That's how I stand in the pulpit for the visions. That's what... He tells me go do certain things that seems humanly impossible, and you all know that. It is humanly impossible, but He said do it. Just go on. He's the One to take care of it. And He will do it. Yes. How great Thou art.
E-46 When Moses was trapped in this place here, now, he's right in the line of duty, right in the line of duty. God led him right down there. What's He going to do? The Red Sea, a trap set exactly. But Moses just marched forward on. One writer, I believe, said that God looked down through that Pillar of Fire with angry eyes, looked down at that Red Sea that was trying to cut off his children in the line of duty. And said the sea got scared, and rolled back, and just made a path for them.
Well, if He could look through a Pillar of Fire and do that, what would it do when He looked through the Blood of His own Son? Had a confessor standing there with a promise that God swore He would take care of it, and swore that He would--that his seed of Abraham should possess the gates of the enemy. Sure. He's duty bound to do it by the Blood of His own Son laying on the mercy seat tonight. Oh, if we could get away from this earthbound ideas, and look up yonder, see who made the promise, the very God of creation. Yes.
E-47 Joshua also, after he'd had a trial at Kadesh, come back and ninety percent of the ministers said, "We can't take it."
Joshua said, "We're more than able to take it," him and Caleb. And he was--the only two out of the two and a half million people that went over. What did he do? He come down to Jordan, holding him out of the promised land. But he possessed the gate of the enemy. Why? Because He took God at His Word. He'd had a trial, and he believed it. He knowed God kept His Word. So he possessed the gate of the enemy.
I could go on and on, but I'm overtime. All these great warriors, every one of them, they done great things, they--they--great miracles, and wandered about in sheepskins, and deserts, and was destitute, and some sawed asunder, and all different things. As Hebrews 11 says, all these great warriors all come down to die. Every one of them come down to die.
E-48 But one day, one glorious day, that royal seed of Abraham come, borned of a virgin. Yes. When He walked the earth, He was the true seed of Abraham. He walked the earth, he possessed the gate of sickness for the people. He possessed the gate of affliction. All... In the Garden of Gethsemane, in the court that morning, He possessed the gates of temptation. Upon Mount Transfiguration, there He proved Himself. When the devil took Him up to another mountain, He possessed the power over the enemy to show that He could do it. "If thou be the Son of God, turn these stones into bread. He didn't have to do it. He said, "It is written, man shall not live by bread alone." He took the Word of God 'cause He was a true seed of Abraham, and possessed every blessing that God promised. Yes, sir.
Stood there under temptation, said, "I'd speak straightway to My Father, and He'd send Me twenty legions of angels." What could one do? Twenty legions of Angels. They could change it if they wanted to. That's right. But He had to be tempted in all manners like we are. Standing there with handfuls of beard jerked out of his face, and the blood and mockery, drunken spit from the soldiers hanging in his face. They put a rag over his head like this, and hit Him on top of the head with a reed, said, "Now you said you was a prophet, you can read the mind of the people. Tell us who hit you. Tell us who hit you." He could have done it. But He would've been listening to the devil. He possessed the gate of the enemy. He stood the temptation. O God, for such a One. That's right.
E-49 Then when He died down at the cross, hell taken his precious soul. The Bible said his soul descended into hell. That's exactly right. Hell captured his soul and took Him down there. But brother, on that third day He possessed the gates of death, hell, and the grave and rose up the third day, and overcome it all. He took sickness, death, hell, the grave, and everything. I believe He jerked the gate plumb off the hinges of them, and took them out, rose on high, ascended on high. And tonight, you are more than conquerors. His seed shall possess the gates of the enemy. Yes, sir. He possessed every gate. He conquered every sickness. He conquered every sin, He conquered every temptation. He conquered death, He conquered hell, He conquered the grave. He possessed the gate of all of them. And we in Him are more than conquerors, hallelujah, 'cause He conquered for us. Oh, we would ever know what that true seed of Abraham was, what it really meant to us.
E-50 The devil doubted Him. The devil... That was one time he had the wool, as we call it, pulled over his eyes. When he took Him up on the mountain, as I was speaking of a few moments ago, he said, "Could that be? That man's just a prophet. Could he be the Son of God?" He said, "If thou be the Son of God," showed he doubted it. "If thou be the Son of God, command these stones to be made bread, because you're hungry. You been fasting forty days. Eat."
Jesus said, "It's written, man shall not live by bread alone." Took Him up on the pinnacle of the temple, said, "Cast thyself down; because it is written, he'd give angels charge concerning thee, lest at any time dash thy foot against a stone, they'll bear thee up."
He said, "Yes. And it's also written..." Everything, He met him with the Word of God, because He was the true seed of Abraham.
E-51 He possessed every gate of temptation. Oh, how He did. He was a man. He was a man like you are, like I am. He had a right to be married. He had a right to have a home. He had a right to the things that we have. He had a right to have clothes. He could have done it. A man that could turn water into wine, that could know where a coin was in a fish's mouth, why, He owned the heavens and earth. But yet He abstained from those things.
The sweetest words in the Bible when He said, "Father, I sanctify myself that I might sanctify them." What was He trying to do? Set an example. He was sending twelve man out with a Gospel that would conquer the world, and He's depending on you and I to do it. If He could sanctify Himself like that, why ought we to set aside every failure, and every doubt, and everything else, and sanctify ourselves? For we are the seed of Abraham through Him, that are more than conquerors through Him. Yes.
He had a right to be married. He had a right to have a home. He had a right to lay his head on a pillow. But "The foxes has dens, and the birds has nests; and the Son of man don't have a place to lay his head." Why? "I sanctify myself, Father. For their sake, I do it." For their sake--not because He had to, but for their sake, He conquered every enemy.
E-52 Standing there in the courtroom that day, or the courtyards, when He'd been tried and falsely accused... The only thing they found against Him was breaking the Sabbath day. He said, "I'm Lord of the Sabbath," and He was. "And making Himself God," and He was God. And there, all those false accusings and things, and false witnesses they had against Him. Finally, beaten with a big lash till his ribs was showing through, and the little robe He had on his back, they took it off. Beat Him to a post. What was it? That was the true royal seed of Abraham.
That's where we stand tonight. "My faith is built on nothing less than Jesus' blood and righteousness; when all around my soul gives way, then He is all my hope and stay. For on Christ, that solid rock, I stand; all other grounds is sinking sand, all other grounds is sinking sand." There's where I take my hope, right there on that solid rock.
Abraham's seed. He possessed every gate, even to death and hell. See Him there. Had a mockery... That woman trying to wash his feet again. Put a rag over his face and said, "If you're a prophet, tell us who hit you, we will believe you." On the cross they said, "If you are the Son of God, come down and we will believe you." They wouldn't believe Him anyhow, no matter what He done. He didn't mind them.
E-53 Let's take a little look at Him this morning, or tonight. It was a terrible morning that morning. We're back in a room. Let's just... I'm going to take this congregation--I want you to look at something. Let's go over to the window. I hear a howling mob. What's the matter? Raise up the curtain and look out. I hear something bumping, and coming down the street. What is it? It's a cross dragging around down the street, bumpety-bump, over them old cobblestones, going up to Golgotha. That's the seed of Abraham. There goes the second Adam.
In the garden of Eden when God had--to his holiness and true to his Word, when Eve and Adam had done evil, when God, Himself, running up and down through the garden, hollering, "Adam, Adam, where art thou? Where art thou, Adam?" If somebody wants to know where--who this man was, Jesus, who was He coming hunting His first lost son? Did God send an Angel? He come Hisself. He came Himself. That's how He come. You want to make...
E-54 [Blank.spot.on.tape--Ed.]... justice. And if there's not justice, there's no law. If you don't have justice, judgment, to go with it, there's no need of having law. What's the use of having a law that says, "Ten dollar fine to run the stop light," and then don't--say, "Don't run the stop light," and no fine behind it, no penalty to pay, no judgment. Without judgment, there's no justice. So justice was to die. So, it was the only thing He could do.
E-55 And then when He seen Eve standing there, that beautiful little woman; that real masculine man standing there, those big brawny muscles, and the blood running off his arms from that old bloody sheepskin; little Eve standing there, the most beautiful woman ever was in the world, because she was created by God's own hand... Her eyes was like the stars of the heaven. She didn't need Max Factor's stuff to make her pretty. And when she had--over like this. And there she was standing there, and the blood running down her beautiful little body standing there, looking in the face of God, in that big light hanging there in those palm trees. "Depart out of My Presence."
Now, watch Adam as he starts away, and across his legs them old bloody sheepskins, beating like that across his legs. He couldn't stand it, He's a father. Said, "Just a minute. I will put enmity between your seed and the serpent's seed."
E-56 Where was it? Here it was at Calvary. Here He goes up, this second Adam, God Himself come down and made man, going up the hill. The devil always did hate that Word, but that's right. Yes, sir. He was more than a prophet. People today with this socialized religion, saying that Jesus was just a good man, a--a philosopher, it's good to hear his teachings. If He wasn't God, if that wasn't Emmanuel's Blood, then He was a man like I am, that's right, and we're lost. He was God. God, the Holy Ghost, overshadowed Mary and created a blood cell that brought forth not a Jewish blood, not a Gentile blood, but God's own blood. Blood comes from the male sex. And this is a created blood, no sex into it at all. And that was God Himself, going walking up the hill there.
Let's look at Him. He had a little robe throwed across his shoulders. It was wove throughout without seam. I notice as He goes walking... I'm looking at Him by faith, showing Him to you all by faith. There's little red dots all over the back of that coat. What makes that like that? As He goes farther up the street, and the cross a rubbing on his shoulder, I notice them little dots begin to get bigger and bigger. What are they? What's the matter? All at once they all become one great big bloody splash. Then I hear something else beating against his leg: second Adam, going up the hill with a bloody garment beating against his leg.
E-57 You know, Satan said, looked around, said, "You know what? I don't even believe he's a prophet now. I know that can't be God. God would never act like that, let that mocking bunch of drunkards run over Him like that, let them call Him holy-roller. (I'm talking to you.) Let them call Him old model, something like that. 'You're an old fanatic.' He'd never do that."
But it--He was God. His Kingdom was from above. His delegates is the same thing. Their Kingdom is above. They act like from up there, they talk about up there. Where their treasure is, there their heart is also. They're talking about that.
E-58 As He walks on up the hill, I can see that death. Satan sent that death sting down there. Said, "Go down and get him now." Said, "Go down and get him. Now is the time to get him." That bee, like a big old bee of death, begin to buzz around Him, humming around and around Him, saying, "Yep, look at Him bleeding. Look at Him, spit all over his face. Look at them all laughing, making fun of Him."
I see a little woman run out and say, "What did He do? What evil has He done? What did He do but preach us the Gospel? What did He do but heal your sick?" Somebody smacks her out of the way. Said, "Would you listen to that crazy woman instead of your priest? Go on up the hill with Him." They beat Him again. He goes on up the hill. The bee says, "I will get him after awhile when they hang Him on the cross."
E-59 You know all insects, bees and things, has a stinger. And death is a bee. It has a stinger. But you know what? When one of them bees ever anchor his stinger real deep, he pulls his stinger out. Brother, when he socked his stinger into that flesh, that wasn't a man. He anchored his flesh in Emmanuel. And when he did, he pulled his stinger out. I tell you, to Abraham's seed now, he can buzz and make a noise, but he can't have no sting. One of them coming to his death said. "O death, where is thy sting? Grave, where is thy victory? But thanks be to God, Who gives us the victory, through our Lord Jesus Christ."
Yes, he can buzz, and make a big noise, and fuss, and pull hospital--into a hospital, and tell the doctors standing there, and a bunch of them mourning and crying; but you look him in the face and say, "Death, where is thy stinger? I can point yonder to the royal Seed of Abraham, Whose Blood I was born by. He pulled that stinger out of death. So death, you have no stinger for me. Grave, I will mold you someday. Where is your victory? But thanks be to God, Who gives us the victory, through our Lord Jesus Christ, and His seed shall possess the gates of his enemies, possess the gate of all of his enemies.
And when He come, He possessed every gate: the gate of sickness, the gate of death, the gate of hell, the gate of temptation, the gate of the grave. He possessed every gate and freely gives it to us, and makes us more than conquerors through Him that loved us, and gave Himself for us.
E-60 Let's bow our heads just a moment while we think about that. I wonder tonight if by chance, how many is in this building here that doesn't know Him as your Saviour, and you know that your life is not right with God, would you raise up your hand, say, "Pray for me, Brother Branham. In this closing prayer, I want you to pray for me." God bless you, back over in the corner. God bless you way back there, lady. But would there be some more? How many more up in the balcony? Can I see some hands up there? All them people, God bless you back there. God bless you here, lady.
Would someone else just raise your hand? It won't hurt you. My, just raise up your hand, say "I..." You know yourself. Say, "Brother Branham, I'm not Abraham's seed. I belong to church." God bless you here, sir. "I--I'm not Abraham's seed." God bless you, lady, right here. The Lord be rich to you tonight. Over to my right, yes, the Lord bless you.
Somebody else? Say... raise up your hand, and just raise up your hand, say, "Remember me, Brother Branham, in your prayer. I want to... I want to be Abraham's seed." Because remember, if you're not Abraham's seed, you're not in the promise.
E-61 Now, you may belong to some church, and that's all right. Yes, sir. I have nothing against you belonging to church. I think that's a good thing. But, brother, sister, that will not help you one bit at the hour of your death, or at the coming of the Lord Jesus. You'll have to be Abraham's seed.
And the only way you can be Abraham's seed is to deny your own self, and die to your own self, and be born again of the Holy Spirit, because the Life that was in Christ makes us Abraham's seed. We take on his seed by the Holy Spirit which was given to us by the promise of God. "And the promise is unto you, and to your children, to them that's far off, even as many as the Lord our God shall call."
E-62 Eight or ten hands has been up. Would there be some more with honest sincerity? Just be honest with yourself. If you're a church member, we're not asking you to come join this church. No. We just want you to be Abraham's seed.
Brother, sister, I may never lay eyes again on you in this life. But there at the judgment bar, I'm going to have to face you. See? Now, remember this night, the 13th day of February, 1961. When this day rolls up there on the canvas of the skies of the judgment, this meeting will come to your remembrance.
God bless you over against the wall there. "I want to believe on Jesus. I want to become Abraham's seed tonight." Now... The Bible said that which is outwardly is not Jew, but that which is inwardly. His--his seed shall possess the gate of the enemy.
We got the enemy on the run now. Ten or twelve hands has been up already. That... We show that we got the enemy on the run. Would there be another one join our ranks tonight, and raise your hands and say...? God bless you, sir. God bless you. Would there be back there? God bless you back there. Yes, my brother, up in the balcony, the Lord bless you. Yes. Join our ranks. We got the enemy running now.
E-63 Last night we got him started on from the sick people. Just look at the cancer cases, and all, was delivered here last night. The enemy's a moving now. Last week we just battled, and cut, and everything we could. But we got the enemy moving. See?
Now, many's coming up, coming out in the ranks. Taking... filing right in. There is... Won't you come join with us tonight? Join your hands with God tonight, become dead to the things of the world and accept Christ as your Saviour. Will you raise your hand before we pray? Say. "Remember me." God bless you back there in the back there. I can see your hand up way back. Just another?
What about somebody up close here, not a Christian? Say, "I want you to remember me, Brother Branham. Just pray for me while you're praying. Just remember me in your prayer." I will do that. All right. Now, let's keep our heads bowed.
E-64 Now, heavenly Father, there's none of us know that we will be here tomorrow. This may be the last night on earth that we spend. There's someday I will close this Bible the last time. Some time I will close my eyes, and bow my head for the last time. And each person in here will do the same. We don't know when that time's coming, Lord. We know there's a great big dark chamber setting before every one of us, every human being. It's called death.
And as we think of the writer of the "Thanatopsis," every time my heart beats, we get one beat closer to that chamber. Every time my heart beats, and that clock ticks, we're just one beat closer. And someday it's coming to its last beat.
God, we do not desire... I'm pleading for these people. We do not desire to enter into that chamber screaming, and crying, and wishing for more life, and a few minutes to repent. God, we want to come in there with a boldness. We want to come in there as Abraham's seed, the promise in our hearts, knowing this, that we know Him in the power of His resurrection; that someday, when He calls, we will come out from among the dead and rise, and go to be with Him, to ever be with Him.
E-65 I pray for these who raised their hands, Lord. Many raised their hands. They're sincere, God. They--they didn't do that on their own power. There had to be a given power for them, and that was Your power. And they raised up their hands that they were sincere in it.
God, it is written in the Word that the effectual fervent prayer of a righteous man... Now, there's none of us righteous, but we are accepting His righteousness. And we're bringing his Blood before You. We're bringing His Word before You, like He said, "Ask the Father anything in My Name, I will do it."
Now, we're bringing there people, by faith, right up before You, Lord. There they are. They've sinned. They've done wrong. They're wanting forgiveness of their sins. They raised their hands to You that... and for me to pray for them that they're sorry that they did that. Lord Jesus, forgive them. May they find that real sweet peace that passes understanding--understanding that God so loved the world that He gave His Son, that--that they might have the courage to raise their hands.
E-66 And let them have this understanding too, Lord, that they were chosen, or they would've never raised their hand. For Jesus said, "No man can come to Me, except My Father draws him first." Let them know that God, the Father, is standing by their side, speaking to their heart, and they've made this choice. He also said, "He that heareth My Word, and believeth on Him that sent Me, has passed from death unto Life, and shall never come to the judgment; but's already passed from death to Life," got Eternal Life now. Father God, You wouldn't turn one down.
And I pray that You'll be merciful to these. And I pray that You'll help them, and to give them boldness now, after I've quoted this Scripture, that it was You that made them raise their hand, for You said so. "No man can come, except My Father draws him; and all that the Father has given Me will come."
And let them know, upon that confession right there proves that You forgive their sins. Now, may they not be ashamed of it. May they stand boldly, and say, "Yes. I now accept it upon the basis of His Word, that I will never go into the judgment of the damned, because God spoke to my heart, and I raised my hand that I would accept Him as my Saviour. I wanted to be remembered in prayer." Grant it, Father.
E-67 Now, with our heads bowed, I ask each one that raised their hands, if you believe what I'm telling you... Christians, pray. God said this. Jesus said, "No man can come to Me, except My Father draws him first." Now, what made you raise your hand? It's the Holy Spirit there telling you, convicting you that you're wrong. "And all the Father has given Me (or spoke to), will come. (And you did--raised up your hand. 'I'm a sinner. I want forgiveness. I did wrong.'); I will in no wise cast him out... give him Eternal Life, raise him up at the last day."
Now, there's one more thing I want you to do. "He that will confess Me before men, him will I confess before My Father and the holy Angels." Now, I'm asking you to do one thing in the goodness of God. Just think how good He was to let you raise your hand.
E-68 I spoke to a young girl when I was yet a Baptist preacher. I was down in Nashville, Tennessee. And I felt led to tell her that I believed God was giving her a final call. She met me outside the church that night. And she said, "Don't you never embarrass me like that again."
Said, "I never embarrassed you. I hope not." She was a deacon's daughter.
She said, "I'm young. And I've got plenty of time to do that."
I said, "Lady, I would've never pointed my finger to you if I didn't feel that it was right. Never would made an altar call if I didn't think..." And she just bawled me out terribly.
E-69 About two years later, I was down there with my old friend, Brother Morrison, the Baptist church, to have another meeting. And when I did, I walked down the street. And she was a nice young lady. She was walking down the street (it's been twenty-five years ago, and her underneath skirts hanging low. Oh, how foul she looked. I thought, "That can't be that deacon's daughter.") And she spied me. She kinda smiled and turned her head sideways. I walked over close to her.
She said, "Hello, preacher."
I said, "How do you do?"
She stood there on the corner a little bit, said, "Come go with me to my room?"
I said, "Thank you, I'm kind of a bit... hurry."
She reached in her pocketbook and said, "Have a cigarette?"
I said, "Now, aren't you ashamed to say that?"
She said, "Maybe you'd take a drink with me. I will pay for it if you'll take it."
I said, "Shame on you, lady. Wouldn't you be ashamed to ask a servant of Christ a thing like that?" I started to walk away. I said, "I will be praying for you."
She said, "Just a minute. There's no need."
I said, "Why?"
She said, "You remember that night standing there by that rosebush, by the side of that Baptist church?"
And I said, "Yes."
She said, "My father's still deacon there." Said, "You can tell this wherever you go to, wherever you go, if you want to." She said, "That was my last call." She said, "You know, since that time," said, "I used to always feel a calling in my heart to come to God." She said, "But since that time," she said, "I've got harder and harder."
Now, this is the statement the girl made. She said, "My heart is so hard against God, and against the church, and everything," said, "I could see my own mother's soul fry in hell like a pancake and laugh at it." See?
E-70 Now, He's merciful to you. He knocked at your heart, and you raised up your hand. "Yes, Lord, I'm wrong." That was the Father. Now, will you confess Him enough... would you just stand up to your feet? I won't ask you to do nothing else, just stand to your feet so the people can see that that was God knocked at your heart? Now, remember, real true children," God knocked at my heart. I want to stand to my feet, just let the people know." God bless you, sir. God bless you, young man. Someone else stand up. That's right.
All right now. "I now believe." Just stand up just a moment, just a moment. Please, just stand up just a moment, every one. That's fine. Would there be another want to stand just at this time, say, "He knocked at my heart. Never raised my hand, but I'm going to stand for Him right now. I will stand right now. I believe I will stand for Him right now, because He knocked at my heart. I never want my heart to get in that bad condition like that. While it's tender, I will raise."
E-71 Now, I say this to you upon the authority of God's Word. If you stand for Him here, He will stand for you at the judgment." He that confesses Me before men, him will I confess before My Father and the holy Angels." I would ask you people, you dear Christians that's just now become Christians in Christ, just got the--the invitation to be Abraham's seed, find some good church and be baptized. God bless you, sister, for standing up like that. That's very fine.
Now, just remain standing. I want to pray for you again. And find some good church, be baptized in Christian baptism, and seek the baptism of the Holy Spirit. There's young people standing, young men, and would make ministers and missionaries. God bless your royal life.
Now, you that have your head bowed, I want you to open your eyes and turn and look to see who it is. And I want you now, when we stand, to offer them the right hand of fellowship, as Christian believers. Say, 'Welcome." Invite them to your church or something. Now, let's all stand on our feet. While you shake hands with them, say, "Welcome into the Kingdom of God tonight," say, "my blessed pilgrim brother." Turn around, each one of you, and shake hands with them people now as we sing.
Just as I am, without one plea,
But that thy blood...
That's it, Christians, be real sweet. I'm looking upon the balcony. Young men crying, people shaking hands.
And that Thou bidst me come to Thee;
O Lamb of God, I come, I come.
E-72 Brother Buntain says there's a prayer room downstairs. How do you get to it, brother? Just right through the gates, if you'd want to go down just in a moment. And I will turn the service to him.
And maybe some of you hasn't... How many hasn't got the baptism of the Holy Spirit, raise up your hand, and are seeking. You want to be...
God bless you. "Whosoever will, let him come." Is that right? Now, aren't you happy, you that's raised up and professed Christ tonight? If you feel real good about it in your heart, raise up your hand so the people see, you that raised your hand. You that... Look at there, every one of, a hundred percent. Yes, sir. That's it. How many of all of you are glad you're Christians tonight, raise up your hands.
E-73 What does the Bible say? His seed shall possess the gate of the enemy. Amen. We conquered tonight in Christ, our great Conqueror. We broke down the walls of sin, broke down the walls of indifference, and souls marched into the Kingdom of God to rise up in the resurrection at the last day. Aren't we happy?
All right, sister. "I love Him, I love Him, because He first loved me." Everybody now, all together.
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
Oh, don't you love Him? Now, don't leave now. I want you to do something for me. Now, when we sing it again, I want you to shake hands with somebody in front of you, somebody behind you, to the right and left, and say, "God bless you, pilgrim brother, or sister. Glad to be here in the house of God with you." Let's do it now while we sing it.
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
\chftn \*\footnote\chftn If you have a tape with these missing words, please forward a copy to Eagle Computing. On Calvary's tree.
Now, let's sing it to Him as we raise our hands to Him.
I (...?...) love Him...
I give you to your pastor.