La Reine De Séba
1 Restons debout un instant pendant que nous prions. Inclinons la tête.
Notre Bienveillant Père céleste, nous Te remercions pour ce grand privilège de nous approcher encore de Ton Trône de miséricorde ce soir, au Nom Tout-Suffisant de Ton Fils Jésus. Nous Te remercions de ce que nous avons la parfaite assurance que si nous demandons quelque chose en Son Nom, cela sera accordé. Il y en a donc beaucoup ici ce soir qui sont nécessiteux; ils sont malades dans le corps. D’autres sont malades dans l’âme. Et nous Te prions, Père, de pourvoir à tout ce dont ils ont besoin, au salut pour leur âme par-dessus toutes choses, et à la guérison pour les malades, la joie pour ceux qui sont tristes, l’espérance pour ceux qui sont désespérés. Accorde-le, Seigneur. Et quand le service sera terminé ce soir, et que nous retournerons à nos foyers respectifs, à nos demeures, puissions-nous dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs ce jour-là: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous lorsqu’Il nous parlait en chemin?» Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
2 C’est un grand privilège d’être de retour ici ce soir, une fois de plus, dans cet auditorium municipal de Long Beach. Ça fait plusieurs années depuis que j’étais ici vers 46 ou 47, vers ces années-là. Je crois que j’avais suivi le service d’un grand serviteur du Seigneur, le docteur Charles Fuller, il avait l’habitude de faire passer une émission, l’Heure du Réveil à l’ancienne mode, cela avait commencé et avait été créé ici, un grand serviteur du Seigneur. J’apprends maintenant qu’il ne tient plus ses services ici. J’ai toujours voulu rencontrer frère Fuller; je n’ai jamais eu ce grand privilège.
3 Je me rappelle quand je suis arrivé en Afrique du Sud, il y a de cela sept ou huit ans, il y avait une assistance d’environ deux cent cinquante mille personnes. Vous... Certains parmi vous de Long Beach, vous ne pourrez jamais deviner avec quoi ils m’ont accueilli quand je suis monté à l’estrade. Ils ont chanté cela dans environ quinze langues différentes, s’accordant toutes ensemble: Le Soleil céleste. Ils chantaient Le Soleil céleste; c’était l’indicatif du docteur Fuller, je pense. Et je m’étais toujours dit que si j’arrivais à le voir, j’aimerais lui en parler, que ses messages étaient arrivés là dans le... là loin en Afrique du Sud. Et ces précieuses personnes l’aimaient et le connaissaient. Comme j’étais un Américain, ils ont chanté Le Soleil céleste, ou Le Soleil, je ne sais comment ça se chante. Et ils chantaient cela dans quinze différentes langues tous ensemble. Or, jamais vous... mais tout s’accordait bien parfaitement, le Saint-Esprit... Quand les gens s’assemblent et que l’amour de Dieu commence à se déverser sur eux, il n’y a pas de friction. Ça forme tout un très grand corps qui évolue.
Docteur F.F. Bosworth, qui est l’un des organisateurs, s’est donc levé, il a conduit la mélodie, il amenait le Dowie, un orchestre de soixante-quinze exécutants à Madison Square Garden, du temps de docteur Alexandre Dowie. Et il a dit qu’il avait entraîné la chorale. Et vous pouvez trouver quelqu’un avec quelques octaves élevés, ou je ne sais comment vous appelez cela, et un autre, trop bas. Mais il a dit, chez ces purs païens, ces véritables indigènes qui ne savaient pas distinguer la main droite de la main gauche, et qui étaient en guerre les uns contre les autres, on avait dû les séparer par tribu, cependant, ils n’avaient pas du tout une seule octave de travers, tous s’accordaient parfaitement ensemble dans un soleil céleste. Que celui qui connaît frère Fuller, le lui dise de ma part. Je ne pense pas que je vais... je pourrais jamais avoir l’occasion de le voir. C’est un homme occupé, je n’aimerais pas lui prendre du temps. Mais cela le ravira certainement.
4 L’Evangile, malgré sa simplicité, est la plus grande attraction que le monde ait jamais connue. Jésus, quand Il était ici sur terre, a dit: «Et Moi, quand j’aurai été élevé, j’attirerai tous les hommes à Moi.» Noir, blanc, jaune, brun, quelle que soit leur couleur ou leur race, l’Evangile constitue toujours un centre d’attraction pour chaque homme et chaque femme.
Et je crois certes que nos églises devraient être juste un peu plus avancées dans l’Evangile par rapport au niveau où nous sommes. Je pense que nous contribuons à cela, moi aussi. Et si je suis en erreur, je prie que le Seigneur me pardonne. Je pense que nous cherchons trop à regarder en arrière pour voir ce que quelqu’un d’autre avait fait, ou avait dit, plutôt que de regarder en avant vers Christ. C’est Lui notre Conducteur.
Il y a quelques centaines d’années, je peux me tromper sur ce temps, mais je dirais, il y a trois cents ans, je pense, un homme de science en France essayait de prendre une balle et de la faire tourner autour de la terre, l’une ou l’autre chose... Il y a peut-être cent cinquante ans... Il a fait tourner cela autour de la terre et... en vitesse, et il affirme que si jamais un véhicule roulait sur terre à la vitesse vertigineuse de trente miles [48 km] par heure, la grav-... la gravitation perdrait son emprise, il se détacherait directement de la terre. Or, c’était scientifiquement prouvé à cette époque-là. Pensez-vous que la science regarderait en arrière pour dire... à cela? Certainement pas. Je vois qu’on fait filer un avion actuellement, j’oublie, environ cinq mille miles [80,46 km] par heure parfois. Et ils ne s’arrêtent même pas à cela, ils continuent sans cesse d’avancer.
Mais nous les chrétiens, ainsi que nous les membres du clergé et les prédicateurs, nous cherchons à regarder en arrière, à notre école, pour voir ce que monsieur Moody avait dit à ce sujet, ce que monsieur Sankey avait dit, ou–ou Finney, ou Knox, ou Calvin, ou l’un d’eux. Eh bien, c’étaient de grands hommes de leur époque. Mais, voyez, nous regardons toujours en arrière. Regardons en avant. Voyez? Nous avons des ressources inexploitées.
5 Et maintenant, la science peut simplement monter jusqu’à une certaine hauteur, puis ils doivent quitter, redescendre. L’arbre de la connaissance produit seulement une certaine quantité. Et cela a été placé devant nous dans le jardin d’Eden. Et un être humain est enclin à vivre de cet arbre de la connaissance. Mais cela n’a jamais été le plan de Dieu que nous vivions de cet arbre de la connaissance. La première fois que l’homme a pris une bouchée de l’arbre de la connaissance, il a brisé sa communion avec Dieu. Chaque fois qu’il prend une bouchée de cet arbre-là, il se détruit lui-même, continuellement. Il a pris une bouchée de la poudre à canon. Regardez ce que cela a fait: Il a tué son compagnon. Une bouchée des automobiles; cela tue plus que la poudre à canon. Maintenant, il a la bombe atomique et la bombe à hydrogène. Il continue à manger de cet arbre de la connaissance qui, finalement, le renverra à sa destination.
6 Mais l’Arbre de la Vie qu’il avait quitté délibérément pour manger de l’arbre de la connaissance, c’est là donc qu’il reste seul. Je crois que la science présentement... On m’a fait subir un test, avec l’un de ces appareils à test sur vos bras, au sujet de cette Lumière, l’Ange du Seigneur. La science en a pris une photo. Vous en avez ici même maintenant (Cela a été pris à divers endroits dans le monde.), la photo de la même Colonne de Feu qui suivait les enfants d’Israël, preuve scientifique à l’appui. George J. Lacy, le responsable du département de FBI, chargé des empreintes digitales et des documents douteux (Voyez?), a examiné cela pour voir si c’était vrai. Il a dit: «Ce n’est pas de la psychologie, a-t-il dit, l’oeil mécanique de l’appareil photo ne prendra pas de la psychologie.»
7 Maintenant, au lieu d’évoluer et de voir ce que Dieu a promis, nous regardons en arrière pour voir ce qu’un frère avant nous dit. Ne regardons pas en arrière, regardons en avant, continuons d’avancer sans cesse. Nous avons des ressources inexploitées. Dans Saint Marc 11.23, Jésus a dit: «Tout ce que... Eh bien, si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’ et si vous ne doutez pas en votre coeur, mais croyez que ce que vous avez dit arrive, vous le verrez s’accomplir.» ... Sans–sans conditions, c’est... ce n’est pas... c’est bien illimité. Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, vous le verrez s’accomplir. Tout, la guérison divine, la joie, la paix, tout.
Maintenant, vous dites: «Frère Branham, et si nous demandions quelque chose que... pour que la vie de quelqu’un soit ôtée ou quelque chose de mauvais.» Eh bien, vous ne pourrez pas à vrai dire avoir la foi chrétienne pour pareille chose. Il faut un esprit chrétien pour demander des choses chrétiennes, pour recevoir des choses de la part de Christ. Vous devez avoir...
8 Je me rappelle toujours, oh! église. Les Paroles de Dieu sont vraies. Je crois qu’une bonne attitude mentale envers n’importe quelle promesse divine de Dieu la fera s’accomplir, si vous pouvez regarder cela de la bonne manière. Mais rappelez-vous, voici mon–mon Etalon dans la vie. J’ai essayé de faire ceci. La première chose, j’aime découvrir si c’est la volonté de Dieu ou pas. Cela... Je sais donc que c’est la volonté de Dieu. La chose suivante, c’est mon objectif par rapport à cela et mon motif en faisant cela. Si c’est donc la volonté de Dieu et que mon objectif est correct, ainsi que mon motif, j’ai la foi que cela se fera. En effet, premièrement, c’est la volonté de Dieu et j’ai... et mon objectif, c’est de Le glorifier, et mon motif, c’est de Lui donner toute la gloire. Voyez? Il n’y a donc pas de motifs égoïstes en cela. Si vous avez un motif égoïste, cela ne marchera pas. Si votre objectif, c’est de faire de l’argent pour vous-même ou quelque chose comme cela, eh bien, vous n’aurez jamais de succès. Et alors, essayer de faire quelque chose en dehors de la volonté du Seigneur, cela ne marchera donc pas pour commencer.
Il y a donc une foi authentique, mais vous devez suivre le bon canal de Dieu pour avoir cette foi authentique. Il y a une foi humaine, il y a aussi la foi de Dieu. Et vous devez avoir la foi divine pour croire. Maintenant, pour avoir donc la foi divine, il vous faut avoir la pensée de Christ en vous. C’est ainsi que Dieu vous donnera des visions, des révélations et toutes ces choses qui viennent par la pensée de Christ en vous. Comprenez-vous cela? «Que la pensée qui était en Christ soit en vous.»
9 Eh bien, cela me réjouit encore ce soir de dire... de revenir ici à Long Beach après plusieurs années. Je me rappelle la première fois que j’étais venu ici, il y avait beaucoup de doutes sur le ministère. J’étais pratiquement l’unique sur le champ de travail en ce moment-là à tenir des campagnes de guérison. Je me rappelle combien cela avait été beaucoup critiqué. Je me rappelle la nuit où je quittais ici, je suivais un message émouvant du docteur Fuller. J’étais assis juste là dehors cet après-midi-là et je suivais son puissant et émouvant message d’enseignement. J’ai vu partir son assistance, de braves gens, intelligents, des gens propres et beaux à voir, je les ai vus quitter le bâtiment. C’était son auditoire. Eh bien, voici venir mon auditoire: des gens en camisoles de force, sur des fauteuils roulants et... Je me suis dit: «Voilà bien une petite chose différente de...?... la foi (Voyez-vous?), il nous faut connaître.» Mais c’était un défi à la Parole de Dieu, Dieu avait promis que c’était vrai et qu’Il soutiendrait cela. J’ai parcouru le monde avec ce Message, et jamais une seule fois Dieu m’a fait défaut.
Et après environ quatorze ans depuis que j’étais ici, je me tiens ce soir à Long Beach avec le même Message, que celui que j’avais quand j’étais venu ici: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Voyez? Il n’a point diminué, pas d’un grain. Il ne m’a jamais fait défaut. Je me suis tenu devant des sorciers et des démons, et des buveurs de sang dans un crâne humain, des gens qui invoquaient le diable et qui vous défiaient là même. Et je n’ai jamais vu une seule fois un défi être lancé sans que Dieu l’ait relevé sur place en accomplissant une grande chose. Je–je défie votre foi ce soir de croire le Seigneur Jésus.
10 Nous avons passé une glorieuse semaine, ou deux, avec frère Buntane de l’église Assemblée de Dieu ici dans la ville. J’ai appris à aimer frère Buntane comme seul un frère peut aimer un autre. Je ne le connaissais guère en arrivant ici. J’avais entendu parler de son vaillant père au Canada, qui est un grand homme, un serviteur de Christ. Et puis, j’ai rencontré son frère, j’avais eu ce privilège-là. J’ai rencontré d’autres frères là et j’ai communié avec eux. De bons chants, de bons prédicateurs... La petite dame qui venait de chanter, madame Piper, je pense que c’est ça son nom, une très belle voix. Cela devrait continuer tout le temps pour Christ, partout. Toutes ces choses devraient être à l’oeuvre comme il est un peu plus tard que vous ne le pensez. Je crois que nous sommes près de...
11 Est-ce que je me tiens trop près du microphone? M’entendez-vous mieux si je recule comme ceci? Est-ce mieux? Je ne... J’aimerais que vous entendiez ce que je dis, mais je n’aimerais pas que ma voix fasse écho. Maintenant, l’acoustique ici est généralement très bonne, elle l’était la dernière fois que nous étions ici.
J’aimerais revenir à un moment ou à un autre, si cela plaît à Dieu, si c’est la volonté de Dieu, et si cela plaît aux gens, et peut-être, nous en arrivons à une telle situation. Au lieu d’avoir juste une église qui parraine, obtenez qu’elles toutes parrainent cela. Et alors, nous pouvons venir ici pour une série de longues réunions. Je prierai à cette fin si vous priez aussi. Et puis–puis, peut-être, nous pourrons repousser cela bien avant le temps jusqu’à ce que le... Nous pourrons demander aux précieux administrateurs ou je ne sais qui, les surveillants de cet auditoire maintenant, comme ils en construisent un plus large ici, que nous puissions utiliser cela à un moment ou à un autre pour une série de réunions de dix jours, ou quelque chose comme cela. Je crois que ça serait merveilleux de venir. Tout ce qui est agréable, ou pour faire quelque chose pour Dieu.
12 Et maintenant, quand j’ai mentionné, il y a quelques instants, les assemblées de Dieu, eh bien, c’est juste une église dénominationnelle. Nous ne... Pour ma part, comme tout le monde le sait, j’ai été ordonné à l’âge d’environ vingt et un ans–et ça fait environ trente et un ans–dans l’Eglise missionnaire baptiste. Je n’ai rien de mal à dire contre l’Eglise missionnaire baptiste, ni contre n’importe quelle autre dénomination. J’ai pris ma position, que si...
L’Eglise catholique, un catholique, un catholique romain, ou un orthodoxe, ou je ne sais qui il peut être, s’il compte sur l’Eglise catholique pour le salut, cette personne est perdue. Si le baptiste compte sur l’Eglise baptiste pour le salut, il est perdu. Si le pentecôtiste compte sur l’Eglise pentecôtiste pour le salut, il est perdu.
Mais si le catholique, le pentecôtiste, ou le baptiste, le presbytérien ou je ne sais qui, s’il compte solennellement sur Jésus-Christ, il est sauvé. En effet, c’est par la foi que vous êtes sauvé, et cela au moyen de la grâce. Voyez? Les catholiques peuvent être sauvés. Les baptistes peuvent être sauvés. Les pentecôtistes sont sauvés, car nous acceptons tous ce que Christ a fait pour nous. C’est vrai. C’est notre propre foi personnelle dans une oeuvre achevée que Christ a accomplie pour nous. Et par conséquent, je n’ai jamais tracé une frontière dénominationnelle ni mis une barrière. J’ai essayé de tendre la main, de prendre chacun d’eux dans mes bras et de leur désigner donc la croix. Et c’est...
Cher Agneau mourant,
Ton Sang précieux ne perdra jamais sa puissance,
Jusqu’à ce que toute l’église rachetée de Dieu
Soit sauvée pour ne plus pécher.
Depuis que par la foi j’ai vu ce ruisseau
Que Tes blessures saignantes alimentent,
L’amour rédempteur a été mon thème,
Et il le sera jusqu’à ma mort.
C’est mon–c’est mon slogan, je peux dire. Et puis, l’autre, c’est Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.
13 Merci à tous de toute votre gentillesse et votre miséricorde ainsi que de vos généreuses mains qui ont serré les miennes, aussi–aussi des actes de gentillesse que vous avez posés, ainsi que de vos lettres. Et nous y répondrons aussi vite que possible. Et les petits tissus sur lesquels j’ai prié, beaucoup d’entre eux je ne les ai pas encore envoyés. Et si vous en voulez un, c’est absolument gratuit. Ecrivez-moi simplement à Jeffersonville, Indiana, et je vous en enverrai un. Juste si vous... Boîte postale 325. Mais si vous ne pouvez pas vous en souvenir, juste Jeffersonville, Indiana. C’est une petite ville d’environ trente-cinq mille habitants. Et notre courrier est considérable.
14 Eh bien, je ne cherche pas à avoir votre adresse, car–car je n’ai pas d’émission du tout. Je n’ai rien. Pas d’émission. Nous avons des livres, mais ces livres, nous les achetons à quelqu’un d’autre pour les apporter à la réunion. Je n’ai pas de chaîne de radio ni de télévision, ni rien d’autre. Je n’ai d’obligation envers rien ni envers personne à part Dieu. En effet, je peux aller à une église, petite ou grande. Il ne me faut pas avoir un certain montant d’argent. Il n’y a rien de planifié. J’ai cinquante et un ans, je prêche depuis trente et un ans et je n’ai jamais prélevé l’offrande de ma vie. C’est vrai. Je–je... L’argent n’y est pas du tout rattaché. Les gens me donnent de petites choses afin que je puisse en vivre; cela aide à soutenir le ministère, ce qui est apprécié. Cela est affecté à une fondation, à mon église. Moi-même, je gagne cent dollars par semaine pour subvenir à mes besoins. Et en dehors de cela, eh bien, c’est tout ce que j’ai. Et ce–c’est tout ce dont j’ai besoin.
Et je–je ne crois pas que l’Evangile de Christ soit jamais un objet à commercialiser. Je crois que cela ne doit pas se faire. Et je ne crois pas que–que les serviteurs de Christ devraient chercher à être des hommes de spectacle. Je crois qu’ils sont censés être humbles, prendre la place de Christ, Qui... nous... Sa Vie en nous, Le représenter devant le public.
15 Maintenant, nous voyons qu’Il a dit: «Les renards ont des tanières et des abris, les oiseaux ont des nids; mais le Fils de Dieu n’a pas de place où reposer Sa tête.» Il n’était pas obligé d’être ainsi. Je pense que le Mot le plus doux dans la Bible, l’un d’eux: «Père, Je me sanctifie Moi-même pour eux.» Il avait le droit d’avoir une femme. Il avait le droit d’avoir une maison. Il avait le droit de se livrer aux–aux plaisirs de la vie comme nous, le confort de la vie au moins. Mais Il s’est sanctifié Lui-même parce qu’Il formait douze hommes qui remueraient le monde avec l’Evangile. Et s’Il a pu faire cela, à combien plus forte raison devrions-nous nous sanctifier? Voyez? Maintenant, adressons-Lui... juste encore un mot avant d’aborder la Parole de l’Auteur. Approchons-nous de Lui encore une fois dans la prière.
16 Seigneur, c’est Ta Parole, nous Te prions de nous La rendre réelle ce soir. Maintenant, nous savons qu’il est écrit: «L’homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu.» Et quand nous lisons Ta Parole, nous savons qu’Elle ne faillira pas. Nos paroles failliront parce que nous sommes des mortels et nous sommes limités. Mais Toi, Tu es infini et le Dieu immortel et éternel. Et alors que j’aborde Ta Parole, je L’aborde avec ce genre de foi, que Tes Paroles ne peuvent pas faillir. Et si je lis cette Parole, qu’ensuite les gens qui se sont assemblés ici ce soir rentrent chez eux, ils peuvent au moins dire qu’ils ont entendu quelque chose d’éternel, car C’était Ta Parole.
Alors, Père, si l’Evangile n’est pas venu seulement par l’écoute de la Parole, la foi est venue par cela, mais l’Evangile, c’était de manifester ou de montrer la puissance du Saint-Esprit qui est dans la Parole. Car «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair, et a habité parmi nous.» Aussi, l’Epître aux Hébreux nous apprend que la Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, qu’Elle pénètre jusqu’à séparer la moelle de l’os. Et la Parole de Dieu discerne les pensées du coeur. Les intentions du coeur et de l’esprit, la Parole de Dieu peut les révéler. En effet, le Christ vivant, qui est la Parole vivante, entre dans nos âmes vivantes, révèle le secret du coeur, car Il est la Parole. Que la Parole parle, Père, et que la méditation de nos coeurs Te soient agréables, ô Eternel. Car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
17 Dans l’Evangile de saint Matthieu, chapitre 12, verset 42, voici la portion... le texte que nous lisons:
La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.
Jésus, dans les passages qui précèdent celui-ci... J’espère que quand vous rentrerez chez vous, vous lirez tout ce glorieux chapitre. Et Jésus était en train de les réprimander et de les reprendre parce qu’ils n’avaient pas cru en Lui. Il était venu, a-t-Il dit, au Nom de Son Père et ils ne L’ont pas reçu. Il a dit: «Un autre viendra en son propre nom, et alors, vous le recevrez.» Et c’est vrai. Nous venons, nous formons nos églises, nous avons nos dénominations, et ils sont... vous êtes prêts à dire: «Oui. Je–je–je–je suis membre chez les baptistes, les presbytériens.» Vous recevez cela facilement. Mais quant à recevoir Jésus, hein, hein, ils ne veulent pas de Lui.
18 Maintenant, Il a dit: «Je suis venu.» Et quand Il était venu, les gens ne L’avaient pas reconnu. Il était venu exactement comme les Ecritures avaient dit qu’Il viendrait. Il était venu, Il était le Messie des Juifs. Et non seulement le Messie des Juifs, Il était la Postérité d’Abraham qui avait été promise, que nous avons tant examinée au courant de la semaine d’étude, et là à l’église. Il est venu chez les Siens, et les Siens ne L’ont pas reçu. Et Il s’était présenté aux Siens. Il est allé vers Israël, qui était la–l’Eglise de Dieu, le peuple de Dieu, et la nation de Dieu. «Il est venu chez les Siens, et les Siens ne L’ont point reçu. Mais à tous ceux qui L’ont reçu, Il a donné le pouvoir de devenir fils de Dieu, à ceux qui ont cru en Son Nom.»
19 Maintenant, nous voyons qu’il y a trois catégories de gens. Nous descendons de trois fils de Noé: Cham, Sem et Japhet. Et il y avait... C’étaient les Juifs, les Gentils et les Samaritains. Si vous remarquez bien, Pierre, par la révélation, il lui avait été donné les clés du Royaume, car Dieu savait qu’il avait la révélation des Ecritures. En effet, il avait demandé à Ses disciples dans l’ensemble: «Qui dit-on que Je suis, Moi le Fils de l’homme?»
Et les uns disaient: «Tu es Elie.» Et les autres disaient: «Tu es le Prophète.» Et les autres encore disaient: «Moïse.»
Il a demandé: «Mais Je vous demande à vous: Qui dites-vous que Je suis?»
Et Pierre a dit: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.»
Et Jésus a dit: «Tu es heureux, fils de Jonas, car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les cieux. (Voyez, c’était une révélation.) Et sur cette pierre, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.» Voyez? C’était une révélation directe qui avait été portée à la connaissance de l’apôtre, qu’Il était le Fils de Dieu.
Maintenant, si l’Eglise de Dieu existe toujours, alors ceux qui sont dans l’Eglise y sont entrés par la révélation spirituelle, car c’est ainsi que nous entrons dans l’Eglise. Mais beaucoup parmi nous essaient d’y entrer par une théologie doctrinale, et par ceci et cela, et c’est en ordre. Je ne dis rien contre cela. Mais j’essaie de différencier la pure vérité de la vérité partielle. La révélation que Dieu vous donne, que C’est Son Fils qui est mort à votre place, c’est donc ça la révélation, Qui Il est.
20 Eh bien, Jésus était venu, et Il avait prouvé aux gens par tous les moyens ce que les Ecritures avaient dit, qu’Il était le Messie qui était... dont ils attendaient la Venue. Or, beaucoup parmi eux s’étaient fait une fausse conception de Sa Venue, et c’est la raison pour laquelle Il avait été mal compris. Permettez-moi de le dire, mais c’est la raison pour laquelle ce soir Il est mal compris. Ils se sont fait une fausse conception de ce qu’Il est.
Maintenant, je pense, pendant que je me tenais ici, avoir entendu mon associé ici lire un passage des Ecritures; en fait, le thème des campagnes, c’est toujours: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Et il a lu cela dans Hébreux 13.8, que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Eh bien, quand Il était venu, les gens... le–le grand groupe d’Israël avait certainement les yeux grandement ouverts, attendant un Messie, mais ils L’attendaient de la façon dont ils avaient été enseignés qu’Il viendrait. Eh bien alors, chaque personne bien, spirituelle, ou même une personne intellectuelle, reconnaîtrait qu’Il n’était pas venu contrairement aux Ecritures. Il était venu contrairement à l’entendement des Ecritures qu’eux avaient, pas contrairement aux Ecritures.
Mais ils avaient été ainsi enseignés par les enseignants, car les enseignants avaient–avaient une fausse conception de Lui. Et puissé-je ne pas blesser en disant ceci, mais peut-être cela pourrait être encore ainsi. Vous savez, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il viendra probablement un peu différemment de la façon dont nous attendons Sa venue. Ce n’est qu’une façon logique, raisonnable, d’aborder une telle pensée, je pense, en ce jour-ci.
21 Maintenant, nous verrons ensuite que quand Il est venu, ce que le Messie était censé être, d’après le prophète Moïse, qui était en fait celui qui avait prédit Sa Venue, et il avait dit: «L’Eternel ton Dieu te suscitera un prophète comme moi.» Eh bien, tout bon théologien aurait dû savoir que ce Messie devait être un Prophète, ou Ses–ou Ses attributs qui Le suivaient devaient être prophétiques, car Israël, il lui a toujours été recommandé de croire ses prophètes. Ils l’ont toujours fait.
Mais nous devons aussi prendre ceci en considération, que tous ne peuvent pas venir à Christ. En effet, Il a dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire premièrement. Et tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi.» Regardez des millions qui avaient reçu... qui ne L’avaient pas reçu en ce jour-là et la minorité qui L’avait reçu effectivement. Maintenant, appliquons cela à aujourd’hui et regardons cela sans détour tel que ça devrait être.
22 Maintenant, nous voyons qu’à Sa Venue, qu’Il a effectivement accompli le signe du Messie. Et comme souvent au cours de la semaine nous avons essayé de manifester cela et de montrer cela à plusieurs reprises encore. De la Genèse à l’Apocalypse, nous avons vu cela. Est-ce vrai, classe, cette semaine? Ce que le Messie serait... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Il était oint, le prophète a toujours la Parole du Seigneur, un vrai prophète. Voyez? Le prophète a dit que: «Ils ont des yeux et ils ne peuvent pas voir.» Ils ne peuvent pas voir les miracles. Ils ont des oreilles et ils ne peuvent pas entendre.» Voyez? Esaïe l’a dit. Ainsi, nous savons donc que–qu’ils devaient en être ainsi. Non pas que Dieu ait déterminé cela à être ainsi, mais par Sa prescience Il savait qu’il en serait ainsi, car Il est infini.
Si donc Il est infini, Il connaissait la fin depuis le commencement. Et c’est la raison pour laquelle Il pouvait prédire la fin depuis le commencement. Il savait, parce qu’Il était Dieu. Et s’Il n’est pas infini, alors Il n’est pas Dieu. Mais nous savons qu’Il est infini et que nous, nous sommes limités. Nous avons tellement embrouillé et figé les choses que nous avons raison, alors Dieu par Son Esprit infini, passe juste très loin au-dessus de cela. «Autant Mes pensées sont élevées au-dessus de vos pensées», dit Dieu; autant Ses voies sont au-dessus de nos voies. Nous devons donc nous soumettre à Sa Voie.
23 Maintenant, nous avons entendu parler de toutes sortes de choses qui sont arrivées. Nous avons entendu parler des Elies, nous avons entendu parler de vierges Maries partout dans le pays. Nous avons entendu parler de toutes sortes de sensations et tout comme cela. En fait, je–je ne suis pas ici pour parler contre cela. Je suis ici pour dire que tout ange de Dieu, ou tout messager de Dieu doit s’en tenir strictement à la Parole de Dieu.
Autrefois, dans la Bible, ils avaient un moyen de découvrir si c’était la vérité ou pas. Ils avaient selon leurs lois, de Moïse, ils avaient ce qu’on appelait le sacerdoce d’Aaron, et puis le sacerdoce lévitique plutôt, et Aaron était le souverain sacrificateur qui portait la poitrine... sur sa poitrine les pierres de naissance de chaque patriarche. On suspendait ce pectoral. Et alors, c’était appelé l’Urim et le Thummim. Et quand un prophète prophétisait, s’il allait devant l’Urim et le Thummim, et qu’il racontait sa prophétie, ou racontait son songe, et que ces lumières surnaturelles ne donnaient pas un reflet dans un conglomérat de lumières, alors, peu importe combien cela paraissait bon, c’était faux. On rejetait cela. Tous les bons docteurs savent cela, qu’on–qu’on rejetait cela. Cela devait se confirmer par l’Urim et le Thummim. Et aujourd’hui, évidemment, après que ce sacerdoce a pris fin, il y a donc eu un autre sacerdoce qui a commencé selon l’ordre de Melchisédek.
Maintenant, maintenant aujourd’hui, nous n’avons pas de pierres de naissance des patriarches, mais nous avons l’Urim et le Thummim. Et C’est la Bible de Dieu. Jésus a dit: «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point.» Et dans le Livre d’Apocalypse, qui est la révélation de Jésus-Christ, il est dit: «Celui qui ajoutera ou qui retranchera de Cela, sa part sera retranchée du Livre de la Vie.» Ceci est l’Urim et le Thummim.
Joseph Smith avait rencontré un ange; ce n’était pas scripturaire. Eh bien, si un ange ou n’importe quoi de contraire à la Parole de Dieu, ceci est la complète révélation de Jésus-Christ. Accrochez-vous-Y donc.
24 Alors, Jésus s’est fait connaître à Ses frères en parlant à Simon et en lui disant qui il était et qui était son père. Simon a aussitôt reconnu qu’Il était le Messie. Croyez-vous que Dieu, avant la fondation du monde, savait que cela arriverait comme cela? Jésus l’a dit. Il savait cela avant la fondation du monde. Alors... Et Dieu les a appelés.
Maintenant, quand Nathanaël est venu, il était lui aussi, comme j’ai entendu le frère ici dire il y a quelques instants, c’était prouvé; Nathanaël était un homme versé dans les Ecritures, il savait que c’était le Messie, ce que le Messie ferait. La femme au puits, comme Il s’y est référé. Que des fois encore? Zachée en haut, dans l’arbre, se cachait à Lui. Il s’est tenu juste en dessous de l’arbre et a dit: «Zachée, descends. Je vais avec toi chez toi pour le dîner.» L’aveugle Bartimée descendant dans la foule... alors qu’il y en avait qui Lui lançaient des histoires, criaient et se moquaient de Lui, mais sa foi L’arrêta, et non seulement elle L’arrêta, mais elle guérit l’homme. Une femme toucha le bord de Son vêtement, elle s’en alla et s’assit, Il dit: «Quelqu’un M’a touché.» Et l’apôtre L’a repris pour avoir dit un tel mot. Il promena le regard sur l’assistance jusqu’à repérer la femme et Il lui parla de sa–de sa perte de sang et lui dit que sa foi l’avait sauvée. Voyez? C’était parfait, le signe du Messie, et ils ont refusé de reconnaître cela.
25 Maintenant, voici ce que je soutiens, c’est sur base des Ecritures, qu’Il–qu’Il a accompli ces signes tant devant les Juifs que les Samaritains, mais pas devant les Gentils, pas une seule fois, parce que les Gentils n’attendaient pas le Messie. Mais sommes-nous, parmi les Gentils ce soir, des chrétiens qui attendent le Messie? Il nous a promis dans Luc; Il a dit que quand nous verrions le signe de Sodome, c’est ainsi que ça sera à la Venue du Fils de l’homme. Vous rappelez-vous cela? Comment Lot là-bas, le croyant frontalier là à Sodome, un petit membre d’église, tout embrouillé avec le monde et sa théologie toute embrouillée; mais il y avait un Billy Graham moderne qui descendit là-bas, il prêcha l’Evangile et fit sortir Lot et les autres.
26 Mais Abraham était déjà dehors. Le mot église veut dire appelé à sortir, le groupe appelé à sortir. En d’autres termes, Dieu exige la séparation. Aujourd’hui, le monde réclame les mélangeurs. Beaucoup de gens quand ils choisissent leur pasteur, ils veulent avoir quelqu’un qui mélangera, quelqu’un qui descendra et qui ira se baigner sur la plage, ou qui prendra un petit verre amical avec vous, ou–ou qui dira une petite plaisanterie grossière ou quelque chose comme cela. C’est plein chez les protestants aujourd’hui. Mais les gens aiment un mélangeur, mais Dieu réclame des séparateurs. Séparez-vous de cela. Ne vous mettez pas sous le joug de l’incrédulité. C’est ainsi que Dieu procède. Le monde a une autre conception.
27 Or, quand nous examinons davantage la Parole, nous voyons que l’Eglise appelée à sortir, l’Elue, un Ange leur avait parlé et leur avait donné un signe. Et il y avait un Homme étrange, qui demeurait dans la chair, qu’Abraham plus tard appela Elohim, le Dieu Tout-Puissant. Ainsi donc, il a vu cet Homme assis, Son dos tourné à la tente. Et juste le–le chapitre qui précède celui-ci, Dieu avait rencontré Abraham et avait changé son nom d’Abram en Abraham, de Saraï, à Sara, la princesse. Il s’est adressé à tous deux par leur nom sacerdotal, ou leur nom donné par Dieu. Elohim. H-a-m, recevant une partie de Son Nom, Abraham. D’Abram, ham, une partie du Nom de Dieu. En effet, il devait aussi devenir père par la postérité pour beaucoup de nations, le père des nations.
Maintenant, remarquez ce qui est arrivé là. Eh bien, l’Ange, avec Son dos tourné à la tente, a dit: «Où est Sara, ta femme?» Comment avait-Il su que son nom était Sara? Comment avait-Il su qu’il était marié? Et comment avait-Il su toutes ces choses?
Il a répondu: «Elle est dans la tente derrière Toi.»
Et Il a dit: «Je vais te visiter à cette même époque.» Et Sara a ri en elle-même. Et alors, l’Ange a dit: «Pourquoi a-t-elle ri dans son coeur, disant: ‘Je ne pourrais pas faire cela, et je suis trop vieille’, et ainsi de suite?» Comment avait-Il su cela?
28 Maintenant, Jésus, clairement... Maintenant, écoutez attentivement. Ne manquez pas ça. Et soyez aussi respectueux que possible. Remarquez. Cette promesse a été faite, pour qu’elle se répète à la Venue du Seigneur. Voyez-vous cela? Maintenant, Jésus étant mal compris, qu’est-ce que le... ils ont dit quand ils L’ont vu accomplir Ses signes du Messie? Ils ont dit: «Il est Béelzébul.» Eh bien, alors, nous savons que Béelzébul était un démon. Il était le chef des démons. Et en d’autres termes, ils ont taxé Jésus, du fait qu’Il connaissait les pensées de leurs coeurs, d’un–un diseur de bonne aventure, ou de quelqu’un qui lisait les pensées, ou quelque chose comme cela. En fait, nous savons que cela est du diable, certainement. Et c’est–c’est une perversion, quelque chose de réel qui est perverti.
Le diable ne peut pas créer. Le diable ne fait que pervertir ce que Dieu a créé. Il n’y a qu’un seul Créateur, c’est Dieu. Qu’est-ce qu’un mensonge? C’est une vérité mal présentée. Qu’est-ce qu’une–une mauvaise femme? C’est une bonne femme qui est pervertie. Voyez? Tout ce qui est perverti vient du diable. Tout ce qui est dans l’état originel, c’est de Dieu. Voyez? Dieu est l’unique Créateur. Et le diable ne peut pas créer. Il ne fait que pervertir ce que Dieu a créé. Gardez cela à l’esprit.
Maintenant, ils ont taxé l’Esprit de Dieu, qui accomplissait ces grandes oeuvres pour prouver qu’Il était le Messie, ils ont taxé Cela d’un mauvais esprit. Et Jésus a dit: «Je vais vous pardonner pour ça; mais quand le Saint-Esprit sera venu (faire la même chose), un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Observez comment cela subsiste.
29 Maintenant, avant que le jugement puisse frapper, la miséricorde vient en premier lieu. Puis, après la miséricorde, il n’y a donc pas.... Si vous rejetez la miséricorde, il ne reste qu’une seule chose, c’est le jugement. Le jugement suit la miséricorde, après que celle-ci a été rejetée. Ils ont rejeté Christ, le jugement a suivi. Ils avaient rejeté les prophètes, le jugement avait suivi. Et malgré que cela me fasse mal, en tant que citoyen américain, je dois le dire, cette nation a rejeté la miséricorde. Aussi est-elle prête pour le jugement divin de Dieu. Regardez ce qui s’est passé dans cette nation, toutes sortes de choses, de grands hommes comme je venais d’en parler il y a quelques instants, Charles Fuller, Billy Graham, Jack Shuler, Oral Roberts, Tommy Hicks, T.L. Osborn; de grands hommes ont parcouru cette nation, la secouant; et elle ne cesse de patauger dans le péché, continuant à avancer aveuglement. Certains d’entre eux peuvent être influencés par le–le ministère de ces grands hommes, ils peuvent entrer et adhérer à l’église et sortir directement pour vivre comme ils avaient toujours vécu. Quand vous confessez le Nom de Jésus-Christ, abstenez-vous de tout péché. «Que tout homme qui cite le Nom de Jésus-Christ, déclarent les Ecritures, s’éloigne du péché.» Mais que faisons-nous?
30 Le péché, c’est quoi? L’incrédulité. Il n’y a qu’un seul péché: L’incrédulité. Vous commettez l’adultère, vous fumez la cigarette, vous injuriez, vous buvez, parce que vous êtes un incrédule. Si vous étiez un croyant, vous ne feriez pas cela. Ces choses sont des attributs de l’incrédulité. Un vrai croyant se repose solidement sur Christ, et rien ne l’ébranlera. Mais comme vous errez, basculant d’un côté, c’est pourquoi vous avez ces choses qui vous arrivent dans votre vie. Une véritable foi sans mélange vous gardera sainement face à la croix. Elle le fera.
31 Eh bien, Il les a réprimandés, Il leur a parlé, parce qu’ils avaient fait cela, Il s’est mis à dire (Et je descends vers mon texte maintenant.) que la reine du Midi se lèvera et condamnera cette génération. Ils Lui avaient dit qu’Il était Béelzébul, juste quelques versets avant cela. Et Il les avait réprimandés pour leur incrédulité. Il leur avait dit que c’était leur jour, mais qu’ils avaient rejeté cela. Il a encore dit: «Jérusalem, Jérusalem, combien de fois ai-je voulu te couver comme une poule couve sa couvée, mais tu ne l’as pas voulu.» Maintenant, tu es abandonnée.
Et je crois que le glorieux Saint-Esprit dans les coeurs des hommes et des femmes en Amérique, qui sont des chrétiens, peut sentir Cela crier: «Glorieuse Amérique, Amérique, combien de fois ai-je voulu te donner un réveil, combien de fois ai-je voulu te rassembler, mais tu n’a pas voulu. Tu aimes les choses du monde plus que les choses de Dieu, t’y voilà donc.» Il ne reste donc que le jugement divin qui doit tomber, la séparation d’avec Dieu.
32 Maintenant, nous voyons qu’au cours de toutes les générations, Dieu a eu des dons. Chaque génération dans la Bible, comme j’ai ici beaucoup de passages des Ecritures auxquels je pourrais me référer pour montrer qu’au cours de différents âges, Dieu a eu des dons divins. Et maintenant, j’aimerais dire ceci aux membres du clergé. J’aimerais que vous me disiez, ou que vous me montriez dans l’histoire une seule fois chez un historien, ou n’importe quel temps où Dieu ait jamais déversé Ses bénédictions et ait eu un réveil sans qu’il y ait des signes surnaturels qui ont suivi ce réveil-là: chaque réveil. Ils avaient eu des guérisons, des parlers en langues et des démonstrations de l’Esprit lors de chaque réveil. Ce sont les signes de Dieu. Dieu, là où Dieu se trouve, il y a des signes parce que Dieu est un Dieu qui opère des signes. Jésus n’a jamais dit: «M’avez-vous cru parce que J’avais l’enseignement de Mon Père?» Il a dit: «Si Je ne donne pas l’enseignement de Mon Père, ne Me croyez pas.» Il a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père. Ne Me croyez pas si Je ne fais pas les oeuvres.»
33 Nous sommes allés, nous avons construit des écoles, des écoles bibliques, et–et des séminaires, nous avons construit de beaux bâtiments, mais cela n’était certainement pas la commission. Ces choses sont bonnes, je ne peux rien dire de mal contre cela, elles ont joué leur rôle. Mais ce n’était pas là la commission. La commission était: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle.» Prêcher la Bonne Nouvelle, c’était faire la démonstration de la puissance. Absolument. Qu’est-ce que le verset suivant dit? «Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Les manifestations sont... Les démonstrations sont les oeuvres de la Parole rendue manifeste. Quand la Parole est prêchée, les signes de la Parole confirment que la Parole est vraie. Sinon, cela ne vient pas du coeur qui a la foi. Cela ne s’ancre pas dans le coeur qui a la foi.
Jésus n’a-t-Il pas dit que quelqu’un avait semé des semences et qu’alors une partie est tombée le long de la route et les oiseaux l’ont ramassée? Une partie tomba sur un terrain pierreux et les richesses du monde ont étouffé cela, du genre ronces et autres. N’a-t-Il pas dit qu’une partie est tombée et s’est reproduite au centuple? Voyez, vous devez premièrement laisser la Parole tomber dans un bon genre de foi. Et alors, cette foi-là reproduit ce que la Parole a dit, car la Parole est une Semence. La Parole de Dieu, ici même, est une Semence qu’un semeur sème. Et chaque semence se reproduira selon son espèce, si cela est placé dans de bonnes atmosphères et dans une bonne condition.
34 Vous ne pouvez pas cacher cela. Vous ne pouvez pas cacher une vie authentique. Prenez la vie naturelle, la vie végétale. Que le soleil devienne chaud. Eh bien, comme dans ma région, de petites semences tombent de ces fleurs; elles meurent. On tient un cortège funèbre. Les–les cieux pleurent abondamment en octobre, versant de très grosses larmes et les ensevelissent sous terre. La semence éclate. La pulpe en sort. Ce n’est pas la fin de cette fleur. Laissez simplement que le soleil, le s-o-l-e-i-l, qui a le contrôle de toute la vie végétale, et quand il se met alors à briller sur la terre et amène celle-ci à une certaine température; aucune autre température ne fera cela. Rien d’autre ne mettra cette couleur là si ce n’est le soleil. Laissez donc cela atteindre la température qu’il faut, l’atmosphère correcte, et ce petit germe de vie caché quelque part sous la terre repoussera. Avez-vous déjà coulé une allée en béton? Remarquez au printemps, où y a-t-il le plus d’herbes? Juste à la bordure de l’allée. Qu’est-ce? C’est cette semence qui a été ensevelie sous l’allée. Et quand la température est bonne, la saison est appropriée, vous ne pouvez pas cacher la vie. Cela se frayera la voie directement, et cela dressera sa petite tête et louera Dieu. En effet, c’est la vie. Vous ne pouvez pas cacher cela une fois que le s-o-l-e-i-l brille.
Tout aussi sûrement que le s-o-l-e-i-l fait reproduire la vie végétale, le F-i-l-s fait reproduire la Vie Eternelle. Et vous ne pouvez pas cacher cela. Cela brillera. Il y a quelque chose qui doit arriver. Jésus a dit: «S’ils se taisent, ces pierres crieront aussitôt.» Quelque chose se passe. Quand Dieu, le Dieu éternel, se met à faire briller Son Esprit, ceux qui sont ordonnés à la Vie reconnaîtront cela. Ils viendront et marcheront dans la Lumière, ils vivront dans la Lumière.
35 Et Il a dit: «En vérité, Je vous le dis, encore un peu de temps et le monde (cosmos, ce qui veut dire l’ordre du monde) ne Me verra plus; mais vous, vous Me verrez, car Je (Je est un pronom personnel là) Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du siècle», jusqu’à la fin. «Allez par tout le monde.» Non pas juste à cette génération-ci, «par tout le monde.» Vous qui dites que le... qui aimez dire que les signes des apôtres, qu’ils étaient les seuls à avoir reçu le Saint-Esprit, qu’eux seuls pouvaient accomplir des miracles, comment pouvez-vous lire l’histoire de l’église et dire pareille chose? Qu’en est-il de Polycarpe? Qu’en est-il d’Irénée? Qu’en est-il de saint Martin? Qu’allez-vous faire de ces hommes-là? Colomba? Colombie? Tous ces gens-là, qu’allez-vous faire d’eux? Des centaines d’années plus tard, ils guérissaient toujours les malades, ressuscitaient les morts, parlaient en langues, ils chassaient les démons. Comment allez-vous cacher cela? Tant que ce Fils, F-i-l-s, du Saint-Esprit de Dieu brille sur l’église, des signes et des prodiges apparaîtront. On ne peut pas cacher cela. Cela est là.
Lisez ceci avec moi, Marc 16. «Allez par tout le monde.» Cela n’a point atteint le monde entier jusque là. «Prêcher la Bonne Nouvelle», démontrer la puissance. A qui? «A toute la création.» Voyez? «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Jusqu’où? Par tout le monde. A toute la création. Vous ne pouvez simplement pas cacher cela. Il n’a jamais dit: «Allez enseigner la Parole.» «Allez prêcher la Bonne Nouvelle.» Démontrez la puissance du Saint-Esprit.
36 Or, si vous ne connaissez pas la Parole, comment allez-vous connaître le signe? «Voici les miracles...» Vous devez connaître la Parole, savoir de quoi vous parlez. Si vous prenez cela selon une conception d’un homme, alors vous n’avez point reçu cela comme Pierre l’avait reçu. Vous vous ferez donc votre propre idée à ce sujet. Mais Jésus a dit à Pierre: «Ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais c’est Mon Père qui est dans les cieux. Et sur cette pierre, Je bâtirai Mon Eglise, et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle.»
Maintenant, pour voir si c’est vrai ou pas, retournez prendre les pères Pré-nicéens, ou le Conseil Nicéen, et les–les historiens de l’âge, et voyez si chaque fois que les gens avaient cru cette Parole-là Elle n’avait pas produit exactement ce qu’Elle avait dit qu’Elle produirait.
37 J’ai vu, il n’y a pas longtemps, qu’on est allé dans des greniers de l’Egypte et on a trouvé du blé qui avait été mis là il y a environ deux mille cinq cents ans, oui, plus que cela, environ trois mille ans, ça a été mis là par Joseph. Une quantité de ce blé est là depuis toutes ces années, on en a plantés et ça s’est reproduit. Peu importe pendant combien de temps cet Evangile reste ici, deux mille ans, nous avons eu des moqueurs et des railleurs, et ils ont dit que les jours des miracles sont passés, mais placez cette Parole dans un bon genre de coeur, Elle reproduira exactement ce qu’Elle avait produit au commencement, car c’est la Parole de Dieu. Elle doit passer par un canal de la foi. Tant que cela restait dans le grenier, cela ne servait à rien, cela restait simplement là comme un mémorial.
38 J’ai été surpris à Rome. On a dix-neuf clous authentiques qui avaient été utilisés pour clouer la main de Jésus. Tout le monde disait: «Nous avons cela.» «C’est notre église qui a cela.» «C’est nous qui avons cela.» Dix-neuf clous, ils peuvent le prouver, alors qu’il n’y en avait que trois. Voyez? Tout le monde veut un clou. Il n’y a pas longtemps, un grand... Vous comprenez ce que je veux dire, un grand homme s’est présenté avec un morceau... «Voici un morceau de la croix originelle.» Qu’est-ce que ça change? Peu m’importe combien de clous vous avez, combien de morceaux de croix vous avez. Il nous faut reproduire cette Parole. Placez Cela non pas sur une croix, sur un clou, mais dans une atmosphère vivante du Saint-Esprit. Cela produit des résultats. La Parole de Dieu dans une bonne atmosphère reproduira exactement ce qu’il est dit qu’Elle produirait. Elle doit cependant être dans une bonne atmosphère. Vous ne pouvez pas mettre Cela dans un séminaire ou dans une école biblique qui ne croit pas dans les signes et les prodiges. Jamais Cela n’arri-... Cela n’éclora jamais, Ça ne viendra pas à la Vie là. L’atmosphère est mauvaise. Mais vous devez placer Cela dans une bonne atmosphère. Quel genre d’atmosphère? Une atmosphère d’abandon. Restez là jusqu’à ce que Cela croisse et prenne vie. C’est ça.
39 Il n’a jamais dit: «Si Je donne les enseignements de Mon Père...» Il a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père.» Ce... l’enseignement, tout le monde peut enseigner cela, mais qu’on voie les oeuvres s’accomplir. Vous pouvez dire: «Oh! Il est un grand Dieu.» Assurément. Nous fréquentons des écoles bibliques, non pas que je les condamne, mais j’essaie de... j’espère que vous ne me comprenez pas mal. Je ne condamne pas les écoles bibliques. Mais je condamne cela, ce que vous dites que vous–vous enseignez ces choses, et puis, vous ôtez tout le fondement, disant que c’était pour un autre âge. C’est juste comme donner à votre canari des vitamines pour qu’il ait de bonnes ailes fortes et vous le mettez dans une cage. A quoi sert-il de faire cela? Pourquoi consolider ses ailes si vous allez l’enfermer dans une cage? Ce dont l’église a besoin aujourd’hui, c’est de faire sauter ces barrières qui les retiennent et que certaines vitamines du Saint-Esprit, de la Pentecôte, soient déversées dans l’église, alors cela changera l’atmosphère. C’est vrai. Ils écloront. Cela produira des aigles plutôt que des poulets.
40 Poulet...?... C’est un oiseau, mais c’est un demi-frère, il ne connaît pas les lieux célestes. Il ne sait pas ce que ça représente que d’être là-haut. L’un des spectacles le plus pitoyable que j’aie jamais vu, c’était... Je suis allé devant une cage une fois. Ma petite Sara et moi, nous nous promenions par là. Il y avait un... J’ai entendu un bruit, et un gros aigle, quelqu’un l’avait attrapé, et il s’était dépouillé de toutes ses plumes à force de cogner sa tête ainsi que les bouts de ses ailes. Il retombait dans la cage, il venait en battant des ailes, il cognait sa tête contre, ses ailes et ses plumes s’envolaient, il retombait. Je l’ai vu couché là et ces gros yeux gris regardaient tout autour. Pourquoi? Il était un oiseau céleste. Il plane dans les cieux. C’est là que se trouve son coeur. Mais par la malignité d’un homme, il s’est fait attraper et il a été mis dans cette cage-ci. Et il cherchait à en sortir en cognant de sa propre force, il cognait juste contre la paroi. Je me suis dit: «C’est pitoyable.» Je me suis éloigné de là en pleurant pratiquement. Je me suis dit: «Je souhaiterais qu’ils me le vendent.» Je déteste voir quelque chose être enfermé dans une cage.
J’ai horreur de voir l’église être enfermée dans une cage. Oui. Juste vous cogner à mort, et tout le reste, avec toutes sortes de soupers de bienfaisance, des dîners, et il y a des classes sociales et des choses semblables. Oh! la la! Vous n’êtes pas né pour être comme cela. Non, non.
41 Et j’ai observé le drôle d’oiseau, je me suis dit: «Si je pouvais avoir...» Je me suis dit: «Eh bien, c’est un spectacle pitoyable.»
Sara a dit: «Papa, ce pauvre oiseau!»
J’ai dit: «Oui, chérie.»
Elle a dit: «Qu’est-ce qu’il cogne sa tête et...»
J’ai dit: «Il cherche à sortir de ces barreaux.»
Elle a dit: «Qu’est-ce qui l’amène à vouloir chercher... pourquoi ne se contente-t-il pas de rester assis et en être satisfait?»
J’ai dit: «Il ne le peut pas. Tu vois, chérie, sa nature, c’est d’être là en haut. C’est là qu’il devrait être. Ces grandes ailes lui ont été données pour se maintenir là-haut dans les airs, pour regarder en bas, voler haut.»
Et je me suis écarté de là; je me suis dit: «C’est une chose pitoyable, mais je connais quelque chose de plus pitoyable, voir une église qui se dit l’Eglise de Dieu, l’Eglise de Jésus-Christ, enfermée dans une cage. Alors qu’ils peuvent en fait lire la Bible et voir qu’ils sont nés non pas pour être des poulets enfermés dans la basse-cour. Ils sont censés être des aigles qui peuvent disposer leurs ailes au vent impétueux qui descend. Ils n’ont pas à les battre, ils savent simplement comment disposer leurs ailes et s’éloigner en volant, là où tout est possible, en un lieu qui les fait sortir de ces cages, dans des lieux où nous sommes établis. «Les jours des miracles sont passés, la guérison divine n’existe pas, le Saint-Esprit n’existe pas.» Oh! C’est pitoyable! Que pouvez-vous faire?
42 Eh bien, Jésus leur a parlé. Il leur a donné quelques signes. Et comme mon temps est pratiquement terminé, j’aimerais me référer à certains de ces signes. Observez ici, Il a dit juste quelques versets avant cela: «Comme le jour... Ce qui arriva du temps de Jonas, le prophète...» Dieu, dans toutes les générations, a eu des signes et des prodiges. Il a eu des serviteurs avec qui Il a traité. Parfois, juste un seul. Saviez-vous cela? Cela s’était réduit, du temps de Noé, à un seul. Il–Il prend un type, c’est ce qui est aussi dit de la Venue du Fils de l’homme, et tout. Il en est arrivé à avoir toujours eu Son serviteur. Eh bien, écoutez attentivement pendant les quelques minutes qui vont suivre maintenant. Je pense que j’ai exactement quinze minutes pour être à l’heure.
43 Remarquez, chaque fois que Dieu a envoyé Ses serviteurs et qu’Il a envoyé Ses dons à Ses serviteurs, si ce peuple-là croyait ces dons-là, ça devenait un jubilé d’or pour eux. Mais s’ils rejetaient ces signes et ces dons qu’Il leur avait donnés, ça se terminait toujours dans le chaos. Eh bien, demandez à n’importe quel membre du clergé à qui vous voulez demander ou n’importe quel historien. En fait, je sais qu’il y en a assis devant nous, certains de meilleurs historiens que je connaisse. Je viens de leur parler. Et c’est vrai. Ils tombent toujours en décadence quand ils manquent de reconnaître Dieu et Ses dons, Son signe. Dieu a toujours... Là où Dieu va, il y a toujours des signes et des prodiges. Tout... Il l’a promis: «Voici les miracles qui...» Non pas qui peut-être vont. Certainement. Eh bien, cela a toujours été, il a été prédit qu’il en serait ainsi.
44 Maintenant, remarquez. Si... Il leur a parlé du temps de Jonas. Il les réprimandait pour avoir manqué de voir Son signe de Messie. Mais la femme au puits avait reconnu cela, n’est-ce pas? Elle a dit... Il a dit: «Va chercher ton mari.»
Elle a dit: «Je n’en ai point.»
Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»
Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Or, nous savons que quand le Messie sera venu, ça sera là le signe du Messie. Nous savons que ceci est... c’est ce que fera le Messie. Mais Toi, qui es-Tu?»
Jésus a dit: «Je Le suis.»
Elle est entrée dans la ville en courant et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même? N’est-ce pas là ce que le Messie est censé être?» Et les hommes de la ville ont cru en Jésus à partir de la déclaration de la femme. Voyez-vous cela?
45 Eh bien, Jésus était là, accomplissant ces choses et eux L’avaient rejeté. Alors, Il a dit: «Ce qui arriva du temps de Jonas–Jonas.» Tout le monde s’est toujours moqué de Jonas. Je vais prendre position pour Jonas. Jonas méritait beaucoup plus que les gens ne lui reconnaissent. Beaucoup d’entre eux disent: «Eh bien, c’est un vieux rétrograde.» Non, il ne l’était pas. «Les pas des justes sont ordonnés de l’Eternel.» Et Jonas était un prophète. Dieu avait fait cela à dessein. Il l’a laissé prendre ce bateau vers Tarsis plutôt que celui de Ninive. J’ai toujours eu pitié de lui alors qu’il était dans le ventre du grand poisson. Vous savez, certaines personnes considèrent toujours leurs symptômes. Ils disent: «Regardez ma main. On a prié pour moi, ça ne va pas mieux.» Cela n’ira jamais mieux, à cette allure-là. Ne regardez pas votre main. Regardez une promesse. Voyez?
46 J’ai prié pour un ba-... un jeune garçon ici il y a quelques années. Le vieux papa et la vieille maman étaient venus me prendre afin de prier pour lui. Il souffrait de la diphtérie noire dans le coeur. Le coeur était devenu si faible que le cardiogramme montrait que c’était simplement fini. Et ils m’ont habillé en Ku Klux Klan, on dirait, c’est le docteur qui avait fait ça, pour me faire entrer là-dedans. Le médecin était catholique, et il ne voulait pas me laisser entrer, parce que je suis marié et que j’ai des enfants. Et j’ai dit: «Docteur, feriez-vous entrer le prêtre pour lui administrer le dernier sacrement?»
Il a dit: «Oui, mais vous n’êtes pas un prêtre.» Il a dit: «Le prêtre n’aurait pas d’enfants à qui transmettre.»
J’ai dit: «Mais il s’assoit dans le box de confession.»
Il a dit: «Allez de l’avant.» Et il m’a laissé aller. Je suis donc entré là, et le vieux papa et la vieille mère se sont tenus d’un côté, ils ont dit: «Frère Branham, tout ce que nous voulons que vous fassiez, c’est dire un mot.» Je suis entré là, j’ai prié, j’ai imposé les mains à l’enfant, je... ou plutôt au jeune garçon. Il avait environ douze ans. J’ai dit: «Père céleste, ceci est une promesse. Ceci est ce que Tu as promis. J’impose les mains à ce jeune garçon maintenant, et je réclame sa vie parce que Tu l’as promis. Ces gens croient cela, ils ont envoyé me chercher pour que je vienne ici. C’est tout ce que je sais faire, lui imposer les mains, car Tu as dit: «’Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.’ Je lui ai imposé les mains, je suis directement sorti de là: «Maintenant, que le Seigneur vous bénisse.»
47 Alors, le père a saisi la mère et a dit: «Ô! chérie, n’est-ce pas merveilleux?» Le jeune garçon n’avait manifesté aucun changement, jamais. Et la petite infirmière s’en est prise au père et à la mère de ce qu’ils s’étaient simplement mis à crier, à s’étreindre, l’un l’autre, se réjouissant parce que le jeune garçon était bien portant. Voyez? Mais l’état du jeune garçon n’avait pas du tout changé. Et cette petite infirmière a dit–a dit: «Eh bien, monsieur, vous rendez-vous compte de ce que c’est?» Elle a dit: «Comment pouvez-vous agir comme cela alors que votre enfant se meurt?»
Il a dit: «Mon enfant ne se meurt pas. Mon enfant vit. Il va vivre.»
Elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit, monsieur, j’aimerais vous dire quelque chose.» Elle a dit: «Voyez-vous ce cardiogramme électrique?» Il a dit... Je ne comprends pas ce qu’elle disait, mais elle a dit: «Quand cette aiguille (Je ne sais quoi c’était) a effectué tout le tour ici, on n’a jamais enregistré, dans l’histoire de la médecine, que cela soit donc revenu.» Elle a dit: «Le jeune garçon se meurt.» Elle a dit: «Il a maintenant autant de battements de coeur à la minute, a-t-elle dit, il ne s’en sortira plus jamais. Et en plus, la maladie l’a amené dans un état, et c’est–c’est si avancé qu’il n’y a rien qui puisse être fait. Le jeune homme se meurt.»
Et je n’oublierai jamais ce vieux et vaillant père. Il a pris cette petite infirmière, il l’a entourée de son bras, elle n’était qu’une enfant, et il a dit: «Ecoute, madame, a-t-il dit, je ne te condamne pas, tu es–tu es... tu as appris à interpréter ce tableau.» Il a dit: «C’est tout.... C’est ce que tu sais. Tu as étudié et on t’a dit selon l’histoire et selon vos médecins et tout, que...» Il a dit: «Tu regardes ce tableau. C’est tout ce que tu sais.» Mais il a dit: «Je regarde à une promesse.» Connaissez-vous qui est ce jeune garçon? C’est Bob Bosworth, il est en Afrique du Sud ce soir en train de prêcher l’Evangile, un homme marié avec une famille. C’est vrai. Pourquoi? Ça dépend de ce à quoi vous regardez. Voyez? Regardez à Dieu, regardez à Sa promesse.
48 Maintenant, j’ai toujours pensé que s’il y a eu quelqu’un qui avait un cas de symptômes et qui avait un droit, c’était Jonas. Eh bien, il était dans le ventre d’un grand poisson sur une mer houleuse, les mains et les pieds liés derrière lui, il était couché là dans le ventre d’un grand poisson, plein de matière visqueuse. Eh bien, il regardait de ce côté-ci, c’était le ventre du grand poisson. De ce côté-là, c’était le ventre du gros poisson. De ce côté ici, c’était le ventre du grand poisson. Partout où il regardait, c’était le ventre du grand poisson. Eh bien, je ne pense pas qu’il y ait ici quelqu’un qui soit dans une situation aussi mauvaise présentement. Voyez? Ils sont–ils sont juste dans un... Ce–c’était une situation terrible dans laquelle se retrouver.
Mais savez-vous ce qu’il a dit? Il a dit: «Ce sont des vanités mensongères. Je ne regarderai pas à ça.» Mais, a-t-il dit, encore une fois, je verrai Ton saint temple.» Quand Salomon consacrait le temple, il avait prié, quand cette Colonne de Feu était entrée, la fumée avait suivi Cela, et Cela était descendu derrière le lieu saint, il a consacré le temple et a dit: «Seigneur, si Tes enfants se retrouvent en difficulté quelque part et qu’ils regardent ce saint temple et prient, exauce alors du haut des cieux.» Et il croyait que cela était valable, car Salomon était un serviteur de Dieu. Et il avait prié, et qu’est-ce que Dieu avait fait? Eh bien, je ne pourrais pas vous expliquer cela scientifiquement, Il avait peut-être placé une tente à oxygène là. Je ne sais pas ce qu’Il avait fait. Mais Il avait gardé ce prophète-là en vie pendant trois jours et trois nuits dans le ventre de ce grand poisson.» Est-ce vrai?
49 Eh bien alors, s’Il fait cela dans ces circonstances-là, par une foi dans un–un homme qui finalement avait rétrogradé... Salomon avait rétrogradé, ses femmes l’avaient éloigné de Dieu. S’il a eu une grande confiance dans la prière de Salomon, dans ce genre de condition, dans ces circonstances, à combien plus forte raison devrions-nous en avoir ce soir dans ces circonstances pour détourner nos regards de nos symptômes et regarder à la droite de Dieu, où Jésus se tient avec Son propre Sang, intercédant sur base de notre confession? «Encore une fois, Seigneur, je verrai Ton saint temple, là où le Fils de Dieu vivant et ressuscité se tient avec Ses propres habits ensanglantés devant Dieu pour intercéder, implorer pour nous, en tant que Souverain Sacrificateur, sur base de ce que nous confessons qu’Il a fait.» Oh! la la! Regardez ce que Dieu a fait.
50 Je lisais une petite histoire il n’y a pas longtemps. Je peux l’insérer ici si ça ne vous dérange pas. Remarquez, vous savez, tous les habitants de Ninive, c’était une grande ville, pratiquement de la taille de Saint Louis par ici. Très bien. Nous savons qu’ils descendaient là, et ils étaient... ils s’étaient tous éloignés de Dieu, et c’étaient des païens. Ils adoraient des idoles. Et leur occupation là à côté de la mer, évidemment, ils étaient des pêcheurs. Tous les hommes sortaient tôt le matin, il y avait des milliers de barques sur l’eau, ils pêchaient des poissons. Il y avait une grande importation. Et ils exportaient du poisson et autres pour gagner la vie.
Et maintenant, le dieu de la mer était le grand poisson. Et pensez donc à tous les hommes là-bas sur–sur... là dans leurs barques de pêche, là en train de pêcher, et toutes les femmes et tous les enfants se tenaient sur le rivage attendant l’arrivée de leurs maris pour apporter du poisson, ce qu’ils avaient attrapé et tout. Et tout d’un coup, vous savez, le dieu de la mer s’élève, le grand poisson, il vient vite sur le rivage, fait sortir la langue comme une passerelle, et le prophète sort directement de sa bouche en marchant. Certainement. Il n’est pas étonnant qu’ils se soient repentis. Oui, oui. Assurément. Ils s’étaient repentis parce que le dieu avait produit un prophète. Et ils ont écouté ses paroles parce qu’il était venu là de façon surnaturelle.
51 Et remarquez, Jésus a dit qu’une génération méchante et adultère cherchait des signes. A-t-Il dit cela? C’est ici même, lisez ce verset: «Une génération méchante et adultère demande des signes. Et elle ne recevra aucun autre signe si ce n’est celui du prophète Jonas qui fut dans le ventre du grand poisson trois jours et trois nuits. Le Fils de l’homme doit être trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.» Maintenant, quel était le signe que la génération méchante et adultère recevrait? Le signe de la résurrection.
Eh bien, maintenant, dites-moi, quand avons-nous jamais connu une génération plus méchante et plus adultère, où il y a une recrudescence de la perversion ici en Californie de l’ordre de vingt à trente pour cent chaque année? Quand dans notre propre gouvernement, affirme-t-on, il y a trente-cinq ou quarante pour cent d’homosexuels. «Ce qui arriva à Sodome...» Dites-moi quand nous avons jamais eu plus de méchants... Eh bien, les gens font des choses que les anciens ne penseraient pas faire. Ce serait passible d’un châtiment cruel. Méchant, incroyant, irrégénéré, toutes les pensées du coeur de l’homme sont mauvaises comme au temps de Noé, c’est la génération dont Il parlait. Une génération méchante et adultère recevra quel genre de signe? Le signe de Jésus ressuscité, le signe de la résurrection. C’est ce qu’ils recevront. Eh bien, Il dit cela ici même dans les Ecritures.
52 Eh bien, Il aborde ensuite le dernier texte. «Ce qui arriva du temps de Salomon arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme. Car du temps de Salomon, la reine du Midi vint des extrémités du monde connu pour entendre la sagesse de Salomon.»
Maintenant, considérons Salomon à son époque, juste pendant un moment. Salomon était un grand homme de Dieu à qui Dieu avait donné un don. Son don, c’était le discernement. Combien savent cela? Certainement, c’était ça. Très bien. Et considérez tout Israël. Combien d’enseignants de la Bible ici savent que c’était là l’âge d’or d’Israël? Assurément, c’en était un. Ils ont construit le temple. Ils ont accompli de plus grandes oeuvres. Ils n’ont pas connu de guerre ni rien. Eh bien assurément, pourquoi? Ils étaient tous d’un commun accord, rendant louange pour ce que Dieu avait fait pour eux. Tous soutenaient ce grand don-là. Et Israël était en paix avec les autres nations.
53 Permettez-moi de m’arrêter ici une minute. Si l’Amérique s’était servie de sa science et qu’elle avait essayé de faire des recherches pour guérir le cancer, ou quelque chose qui aiderait quelqu’un plutôt que de chercher à... Ou ici, je vais changer cela. Si l’Amérique s’était tournée vers son don que Dieu lui avait donné, et qu’elle avait reçu le don de Dieu qui est dans le pays présentement, on n’aurait pas eu à construire des abris antiaériens et autres pour se protéger. Le monde entier aurait eu peur de cette nation-ci. Il n’y a qu’une seule arme contre le communisme, et c’est Christ. Christ est ce dont le communisme a peur.
54 J’étais là en Russie, ou pas en Russie, mais en Finlande, quand le petit garçon... Vous avez lu cela dans les magazines et tout, quand ce petit garçon fut ressuscité d’entre les morts. Et là, quand on est en Russie, quand on s’éloigne à quarante miles [64 km] du lieu de sa naissance, on doit avoir un visa pour justifier d’une activité que l’on exerce pour s’éloigner à quarante miles [64 km] du lieu de sa naissance. Et quand cela fut diffusé par la radio ce jour-là, que ce petit garçon était ressuscité d’entre les morts, alors qu’il gisait là... Beaucoup parmi vous qui êtes assis ici même, vous aviez écrit cela dans votre Bible, deux ans avant que cela arrive, quand je vous avais dit...
Combien y en a-t-il ici qui me diraient qu’ils avaient entendu et que je–je vous avais dit d’écrire dans vos Bibles qu’il y aurait la résurrection d’un petit garçon, que je parcourrais l’ouest et tout ça? Combien y en a-t-il ici qui se souviennent de cette histoire? Levez la main. Regardez là. Voyez? Partout dans la salle. Deux ans avant que cela arrivât. Le petit garçon là... N’était-ce pas exactement tel que cela avait été annoncé que ça arriverait? Assurément. Dieu, à chaque coup, fait cela bien correctement. Maintenant, juste comme Il dit que cela se fera, c’est ainsi que ça se fera. C’est la raison pour laquelle Sa Parole, Son temps, et tout va être juste exactement comme Il l’a dit. Peu importe qui ne croit pas cela, cela va être exactement ainsi malgré tout. Voyez?
55 Alors, quand je suis allé à–à Messuhalli ce soir-là, on faisait entrer environ trente mille personnes là, ensuite on les faisait sortir et on faisait entrer trente mille autres pour que je leur parle. Et alors, quand je descendais la rue, il y avait ces jeunes soldats finlandais qui ne s’étaient point encore rasés; c’étaient juste des jeunes gens, environ six, sept devant, et six, sept derrière. Et là se tenaient ces communistes, des soldats russes, ils se tenaient là exécutant le salut russe à mon passage, les larmes leur coulant sur les joues. Ils ont saisi ces soldats finlandais et les ont étreints. Tout ce qui peut amener un Finlandais à étreindre un Russe et un Russe à étreindre un Finlandais changera les guerres et y mettra fin pour toujours. Ils ont dit: «Nous recevrons un tel Dieu, un Dieu qui a la puissance, un Dieu qui peut se manifester comme Dieu.»
Ce qu’il y a, c’est que nos églises ont tout simplement réduit cela à une loge. C’est plus qu’une loge. C’est le baptême pour entrer dans le–le Corps de Jésus-Christ vivant et ressuscité, avec puissance, des signes et des prodiges. C’est l’Evangile. C’est Christ. C’est Dieu.
56 Remarquez-le. Assurément, Salomon, tout le monde l’a soutenu. Tout le monde disait: «Oh!...» Tout le monde, d’un commun accord, disait: «Oh! Venez voir le grand don que notre Dieu a donné. Venez voir le grand don que notre Dieu a donné.» Quand Dieu nous donne le don du Saint-Esprit, c’est notre don, le Saint-Esprit. Dieu nous a envoyé le Saint-Esprit. Que faisons-nous? Nous En rions. Nous les taxons de saints exaltés. Nous les repoussons au coin. Nous leur disons qu’ils sont fous, qu’ils ont perdu la tête, qu’ils ne sortent pas de nos écoles, qu’ils ne sont qu’une bande de gens de langues. C’est la raison pour laquelle nous recevons le jugement.
Qu’ont-ils fait le jour de la Pentecôte? Qu’ont fait ces Juifs? Ils en avaient ri et s’en étaient moqué. Qu’avaient-ils fait quelques années plus tard? Titus avait assiégé les portes et les avait massacrés juste là à l’intérieur au point que le sang avait coulé sous des portes et il avait bouleversé la ville, il a détruit le temple; ils ont été dispersés depuis lors. C’est exact. Nous aurons la même chose. Vous avez rejeté le don de Dieu, le Saint-Esprit. Vous Lui avez substitué une poignée de main ou une lettre d’une autre église. Le Saint-Esprit n’est pas une poignée de main; ni non plus une lettre. C’est un don de Dieu avec la puissance venant d’En Haut pour faire la démonstration aux gens... C’est l’Esprit de Dieu qui vit en nous, qui fait cela, qui montre cela, qui prouve aux gens par des signes et des prodiges que C’est Dieu. Alléluia!
Je sais que vous allez me taxer de saint exalté après ceci, mais... Peut-être que j’en suis un...?... Je me sens très religieux maintenant même de toute façon.
Remarquez. Dieu, des démonstrations, des puissances, Il se manifeste comme Dieu. C’est scripturaire. Vous ne pouvez pas renier que c’est la vérité. Les dons de discernement... Maintenant, tout...
57 Pensez-y donc, les gens passaient, ils disaient: «Oh! Vous devriez venir dans notre pays voir notre très Puissant Dieu. Eh bien, Il–Il opère parmi notre peuple. Il–Il accomplit de grands signes et de grands prodiges. Nous avons un roi du nom de Salomon. Vous devriez voir le puissant discernement que cet homme a. Eh bien, cela–cela dépasse l’entendement.»Eh bien, vous savez, la foi vient de ce qu’on entend (N’est-ce pas?), ce qu’on entend la Parole de Dieu. Les nouvelles se sont donc répandues dans le monde entier, partout on en entendait parler. Et ils ont tous commencé à craindre, parce que... non pas craindre Salomon, mais craindre Dieu, parce que le Dieu vivant se manifestait.
Finalement, les nouvelles sont parvenues jusqu’à Séba, là loin, à environ des centaines de miles là, environ trois cents miles [480.000 km] vers le sud, là loin, de l’autre côté du désert de Sahara. Mesurez cela sur votre carte et voyez la distance que cela représentait. Eh bien, ils n’avaient pas de télévision à l’époque, ni de radio, ni de journaux, ni de téléphones. Elles se répandaient de–de bouche à oreille, les caravanes passaient par là et ramenaient des nouvelles. Et tout celui qui arrivait à Séba disait à la petite reine: «Dites donc, vous devriez monter en–monter en Palestine. Vous savez, ils ont là un Dieu qui a beaucoup béni ces gens, ils sont tous d’un commun accord. Il n’y a pas de friction parmi eux, pas du tout. Et ils ont un frère là, qu’ils appellent Salomon; ils ont fait de lui roi. Et on me dit que Dieu se sert bien de lui pour tout ce qu’ils ont, ce dont ils ont besoin, Il est bien capable de le leur dire.»
58 Vous savez, et la foi vient de quoi? De ce qu’on entend la Parole. «Et heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.» Alors, la petite reine a commencé à avoir faim. Elle s’est dit: «Vous savez, il me faudra aller voir cela.» Eh bien, rappelez-vous, elle jouissait d’un grand prestige, vous savez, parce qu’elle était une reine. Je suppose donc qu’elle s’est dit: «Avant que je fasse ceci donc, je ferais mieux d’aller demander à notre pasteur si je peux aller ou pas (Voyez?), car, il me faut avoir la permission de ma dénomination, comme cela est une autre dénomination. Voyez? Je ferais donc mieux d’aller demander à mon pasteur si je peux aller, j’en suis quitte.»
Je peux donc la voir s’avancer, accompagnée d’une petite garde; elle a dit: «Saint père, puis-je avoir votre autorisation, l’autorisation de cette grande sainte église que nous avons ici à Séba, puis-je avoir votre autorisation? Il y a un réveil qui se tient là en Palestine. Pourrais-je assister à ce réveil-là?»
«Du non-sens, ma fille. Maintenant, si une telle chose existait, j’ai aussi entendu parler de ce non-sens-là. Il n’y a rien à cela. Ce n’est qu’une bande de saints exaltés, il–il n’y a rien à cela. Mais regardez, s’il y avait une quelconque puissance d’un quelconque Dieu, cela devrait être chez notre dieu ici même. Cela viendrait à notre organisation, ça serait nous, s’il y a quoi que ce soit à cela.» Voyez?
59 Ô frère, vous savez, le diable retire son homme, mais jamais son esprit. C’est vrai. Dieu retire aussi le Sien, mais jamais Son Esprit. Il a retiré Elie, mais son Esprit est venu sur Elisée, ensuite Il est venu sur Jean-Baptiste. Et Il a retiré Son Fils Jésus, mais le Saint-Esprit est revenu dans l’Eglise pour accomplir les mêmes oeuvres. «Le... Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Voyez, cela continue jusqu’à la fin. Et le diable retire son homme, mais jamais son esprit. Ces deux esprits se combattent toujours l’un l’autre, jusqu’au bout.
60 «Eh bien, a-t-il dit, non, tu ne peux pas aller.»
«Eh bien, a-t-elle dit, écoutez, vous savez, il y a quelque chose au fond de mon coeur.» Vous savez qu’il y a quelque chose à ce sujet, quand Dieu s’empare du coeur d’un homme, il... il fait des choses drôles. Oui. Elle a dit: «Mais vous savez quoi, j’ai eu, saint père, j’ai... ou–ou cher évêque, surveillant général, j’ai eu un profond désir d’y aller. J’ai toujours entendu parler de ces réunions-là et j’aimerais y aller.»
«Maintenant, écoute, mon enfant, nous t’excommunierons carrément et effacerons ton nom des livres.» Voyez?
«Nous allons simplement t’enlever, enlever carrément ton nom de cette organisation si tu y vas.»
«Eh bien, a-t-elle dit, mais regardez, j’aimerais dire... Je ne ferai pas du mal, je reviendrai directement ici, évidemment, aussitôt le réveil terminé, aussitôt que je serai montée.»
«Mais tu ne peux pas aller. J’ai déjà fait cette déclaration, et c’est ce que les autres disent, et nous devons nous en tenir à cela. Eh bien, s’il y a quelque chose de pareil qui se passe, cela se passerait ici même chez nous.»
61 Je peux voir cette petite reine, Dieu se mouvait dans son coeur, elle s’est mise en position de combat et elle a dit: «J’aimerais vous dire quelque chose.» Nous en avons besoin davantage. «Ça fait des années et des années que je suis dans cette histoire. Ma mère y était. Ma grand-mère était là. Et tout ce que j’ai vu, c’est un tas de papiers, un tas d’écrits et on parle d’un Dieu, mais je n’ai pas vu une quelconque action, pas du tout, de cela. Je ne veux pas de ces choses mortes. On me dit qu’il y en a Un de vivant là, Il vit dans Son peuple, et c’est ce que j’aimerais voir.» Amen. Que Dieu nous donne davantage de reines de Séba à Long Beach. Voyez? «J’aimerais voir quelque chose qui a la vie. J’aimerais voir quelque chose. Et j’ai lu tous les rouleaux d’anciens... de leurs livres là-bas, et on me dit que Dieu est un Dieu qui connaît les secrets du coeur. Et on me dit que cet homme, Salomon, là-bas, le pasteur, est bien capable de faire ces choses et c’est merveilleux. Et je vais voir cela.»
«Si tu y vas, je te radierai directement du registre.»
«Eh bien, vous feriez tout aussi mieux de me radier maintenant même, car j’y vais.» J’aime ça. «J’y vais de toute façon.»
62 Eh bien, maintenant, remarquez, quand elle a eu... ce que cela lui coûtait. Vous savez, ce n’est pas une mince affaire que de venir à Christ. C’est ça le problème avec vous, peuple américain aujourd’hui, nous, peuple américain; tout est très facile, pas de souffrance, ni rien. Nous n’avons pas connu des guerres, ainsi nous pouvons agir tout aussi vilainement que nous le voulons.
Je suis allé en Suisse, et vous pouvez les entendre faire retentir des cloches, vous penserez que le Millénium était en cours. C’est vrai. Mais que font-ils? Ils ne croient même pas que Jésus était né d’une vierge. Ils ont la vieille doctrine de Zwingli, ils croient qu’Il était le Fils de Joseph. Mais ils font retentir ces cloches au point que je–je–je pensais que le Millénium avait commencé. Cela m’a réveillé un dimanche matin, et je ne savais pas ce qui se passait, pendant environ une heure et demie. Et là, vinrent de l’Allemagne environ quatre-vingts ou quatre-vingt-dix bus avec le dessus en verre. Vous savez, la Suisse n’a pas connu de guerre. Ils n’ont pas à s’inquiéter de quoi que ce soit et ils sont tout aussi déplaisants et indépendants que les Américains. Et vous passez juste par là et, la première chose, vous savez, vous arrivez en–en Allemagne, vous y allez. Et quand nous sommes allés à la réunion ce soir-là, frère Arganbright assis ici était là même. Comment est-ce que le Saint-Esprit a-t-Il qualifié cela? Tout le monde était Allemand, on a laissé les Suisses assis là même, avec toutes leurs cloches et autres. Voyez? Il faut la souffrance. Il vous faut creuser.
63 Oh! la la! Si seulement vous saviez! Ce n’est pas facile. Tout ce qui vous est offert sur un plateau, vous ne l’appréciez pas. Certainement pas. Vous ne pouvez pas apprécier ce qui vous est donné. Dieu a parlé à Moïse et a dit: «Je vous donne la Palestine. J’ai balayé toutes les maisons et j’ai accroché les rideaux. Vous tous, montez donc y habiter.» S’il en était ainsi, ils n’auraient jamais apprécié cela. Il a dit: «Je vais vous le donner. C’est plein de géants. Vous aurez à combattre pour chaque pouce du chemin. Mais chaque lieu que foulera la plante de vos pieds, c’est votre possession. Allez vous en emparer; certainement, Je serai avec vous.»
C’est pareil avec la guérison divine. C’est pareil avec le Saint-Esprit. Tout ce que vous pouvez suivre, ce sont les empreintes des pas, c’est la possession, continuez à marcher. Continuez à avancer. C’est comme ça. Bougez simplement votre doigt, vous ne pouvez pas du tout bouger cela, bougez-le beaucoup aujourd’hui; bougez-le beaucoup demain, et davantage le jour suivant. Continuez simplement à bouger, bouger, bouger, bouger. Les empreintes de pas, c’est la possession.
64 Remarquez, rapidement maintenant. Cette jeune fille avait beaucoup à affronter. Qu’avait-elle à faire donc? Elle a dit: «Vous savez...» Elle avait une bonne chose raisonnable. Elle a dit: «Vous savez ce que je vais faire?» Elle a dit: «Je vais amener de l’argent avec moi. Si c’est–si c’est la vérité, si cela l’est, je vais soutenir cela. Mais si ça ne l’est pas, je ramènerai directement cela.»
Ô frère, cela ne peut-il pas enseigner quelque chose aux Américains? Oui, oui. Soutenir des choses qui raillent et se moquent de vous... C’est vrai. Des émissions qui se moquent de vous et vous taxent de saints exaltés, et pourtant vous soutenez cela avec votre argent, pendant que vos propres missionnaires sont là vivant avec deux petits plats de riz par semaine, sans chaussures aux pieds. Honte à vous! Investissez votre argent dans quelque chose où Dieu se trouve et faites prospérer cela. Non pas parce que tout est fleuri et qu’il y a des bâtiments de six millions de dollars derrière cela et des choses semblables, avec la théologie, et ils amènent leurs missionnaires là-bas et leur font suffisamment voir de leurs facultés mentales pour devenir un missionnaire. C’est Dieu qui juge cela par le Saint-Esprit. Assurément. Nous n’avons pas besoin de cette histoire-là. Nous avons besoin de Dieu. Remarquez donc à quel point les gens peuvent... nous nous éloignons simplement.
65 Eh bien, la petite reine, elle a dit: «Je vais... Si cela n’est pas vrai, je ramènerai l’argent.» Elle a donc chargé de toutes sortes de pierres précieuses et de l’encens et tout. Maintenant, regardez, autre chose; et si elle avait pensé... Avec tout cet argent qu’elle avait pour traverser le désert de Sahara. Et vous savez, les enfants d’Ismaël étaient là, et ils étaient tous des voleurs. Et s’ils s’étaient abattus sur sa petite caravane, de juste quelques eunuques et quelques jeunes filles qui l’accompagnaient, que serait-ce arrivé? Eh bien, ils lui auraient volé en une minute et ils auraient pris tout l’argent. Mais vous savez, si–si Dieu frappe à votre coeur, vous ne connaissez pas du tout de peur. Vous continuez simplement d’aller. Vous n’avez pas à vous inquiéter de ce que quelqu’un d’autre dit, ou n’importe quoi d’autre, vous continuez d’avancer quand vous avez faim et soif de la justice.
Rappelez-vous aussi, il n’est pas étonnant que Jésus ait dit qu’elle se lèvera dans les derniers jours et condamnera cette génération. Savez-vous le temps qu’il lui fallait pour traverser là? Ça prend trois mois, quatre-vingt-dix jours. Et elle n’était pas dans une Cadillac climatisée non plus. Non, non. Elle a traversé sur le dos d’un chameau pour entendre la sagesse de Salomon. Et Jésus a dit: «Il y a ici plus que Salomon.» Et la même chose ici: Le Saint-Esprit est ici, et les gens ne veulent même pas traverser la rue pour L’entendre. C’est vrai. «Il y a ici plus que Salomon.»
66 Elle est arrivée sur le lieu. Observez quand elle a traversé, elle est arrivée là, et elle est montée dans la cour de Salomon. Maintenant, je m’imagine... Pouvez-vous vous imaginer, je vais faire d’elle une citoyenne américaine. Elle est entrée: «Je vais aller m’asseoir là, et puis entendre ce saint exalté juste quelques minutes; en effet, le voisin par ici, ma servante m’a dit que je devrais aller. S’il ne dit pas la chose correcte, juste exactement, je vais directement me lever et sortir.» Oh! la la! «Soit il dira ce que je crois qu’il doit dire, soit je ne l’écouterai pas du tout.»
C’est là que nous en sommes aujourd’hui. C’est vrai. «S’il dit une chose dont mon pasteur a dit que c’était faux, je vais directement me lever et sortir.» Voyez? Maintenant, vous vous tiendrez aussi avec elle au jour du Jugement, et alors, vous serez jugés ensemble. Voyez? «Car il y a ici plus que Salomon.» Le Saint-Esprit est ici. Voyez?
Et elle a fait quatre-vingt-dix jours sur le dos d’un chameau, traversant du sable chaud et brûlant pour entendre la sagesse de Salomon. Elle n’est pas allée juste pour aller et dire: «Je vais y arriver et je découvrirai; si alors je n’apprécie pas cela juste comme il faut, je me lèverai et sortirai.» Non, elle s’est fait construire son campement juste là dehors, dans la cour. Elle s’est dit: «Je vais rester jusqu’à être convaincue. Je vais prendre les Ecritures et je vais examiner.» Elle les avait déjà examinées d’un bout à l’autre, ce que Dieu était censé être. «Et je vais voir si c’est vrai.»
67 Je m’imagine donc le lendemain matin, elle a fait sa toilette, ses petites servantes aussi, et elle est allée à l’église, elle s’est trouvé un siège et s’est assise. Peu après, les trompettes ont retenti, on a chanté des cantiques, et le pasteur Salomon est apparu, il s’est présenté, et la chose suivante, vous savez, peut-être qu’on a commencé à faire passer la ligne. Peut-être qu’on avait un numéro, une carte. Je ne sais comment ils s’y prenaient. Le premier est monté, la petite reine dit: «Maintenant, je vais donc voir. Je vais juste regarder pour voir si c’est vrai ou pas, voir si c’est vraiment le discernement.»
Quelqu’un monte là, peut-être que c’était un homme. Et la chose suivante, vous savez, elle a vu que Salomon était juste un homme. Elle s’est donc dit: «Maintenant, je vais voir où est ce Dieu. Je vois qu’il y a un homme, mais j’aimerais savoir où est ce Dieu surnaturel.» Elle a donc observé cet homme-là. «Oui, il marche comme un homme, il parle comme un homme, il a l’air d’un homme; c’est un homme. C’est tout. Mais maintenant, d’où vient ce surnaturel?» Alors, pendant que cet homme se tenait donc là, tout à coup, vous savez, l’esprit de discernement est venu sur Salomon, il lui a révélé les secrets de son coeur. Je m’imagine que le coeur de la petite reine s’est mis à battre. Le suivant, la même chose; le suivant, la même chose; le suivant, la même chose.
68 Elle est rentrée à la maison cette nuit-là, peut-être, elle a prié là dans sa tente. Le lendemain, elle est retournée, elle s’est encore assise. Elle a dit: «Je pense que je vais prendre une carte de prière.» Alors, elle... ou quelque chose comme cela, peu importe ce que c’était. «Je monterai là.» Ainsi donc, ils ont... Finalement, son–son numéro est passé. Eh bien, nous pourrions rester longtemps là-dessus, mais pour gagner du temps, nous sommes sur le point de terminer. En effet, son tour était arrivé. Et quand finalement elle s’est présentée devant Salomon, la Bible dit qu’elle voulait savoir et qu’il n’y eut rien qui fut caché à Salomon sur ce qu’elle voulait savoir. Dieu avait simplement déversé cela sur Salomon et il lui a révélé chaque secret qu’elle voulait savoir. N’est-ce pas merveilleux? Savez-vous ce qu’elle a dit? Elle s’est levée. Eh bien, elle n’est pas rentrée pour dire: «Je crois que c’est de la télépathie mentale. Je–je crois que c’est...» Non, non. Elle s’est levée et a dit: «Tout ce que j’avais entendu dire était merveilleux. Mais c’est plus glorieux que ce que je pensais. C’est plus glorieux parce que cela a été accompli sur moi.» Amen.
Jésus a dit: «Elle se lèvera dans les derniers jours avec cette génération et la condamnera, car elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon.» Qu’était-ce? Elle avait vu quelque chose de réel. Le monde vit aujourd’hui pour quelque chose de réel. Ne le pensez-vous pas? Ils veulent quelque chose qui a un fondement.
69 Il n’y a pas longtemps, je suis... et je vais terminer avec cette petite histoire que je suis sur le point de vous raconter maintenant. J’avais l’habitude de chasser dans les bois du nord. Oh! Comme j’aime chasser! Et je chassais avec un homme du nom de Cau, un très brave homme. Mais c’était l’homme le plus méchant que j’aie jamais vu quant à être méchant. Il tirait sur les petits faons rien que pour me faire du mal. Et je disais: «Ne fais pas cela, mon gars, ne fais pas cela.»
Il disait: «Ô prédicateur, ressaisis-toi, tu es une poule mouillée. C’est ça le problème avec vous les prédicateurs.»
Je disais: «Non, disais-je, je ne pense pas que ça soit mauvais de tirer sur un faon si...» J’ai été garde-chasse pendant des années. Je disais: «Si la loi t’autorise de tirer sur un faon, tu le peux. Mais ne le fais pas simplement pour faire le méchant. Abraham a tué une vache, un veau et il en a nourri Dieu. C’est en ordre de tuer un faon, si la loi l’autorise, mais pas juste en tuer huit ou dix d’entre eux rien que pour faire mal à quelqu’un, me faire mal.»
70 Et il avait des yeux comme un lézard, après tout, il... et il... chaque fois, il... Je ne voulais pas le dire comme cela. Il était bien d’un genre drôle d’homme, et–et il avait l’habitude de me faire très mal, alors il me disait... Un jour, il était là. Je suis allé chasser avec lui. Il avait un petit sifflet. Il exerçait ce petit sifflet, il pouvait le faire retentir et cela résonnait comme un petit faon réclamant sa maman. Vous savez ce qu’un petit faon est, un petit animal. Et cela réclamait sa maman. J’ai dit: «Burt, tu ne devras pas faire pareille chose, n’est-ce pas?»
Il a dit: «Ô Billy, a-t-il dit, ressaisis-toi. C’est comme ça avec vous les prédicateurs; vous êtes trop poules mouillées.»
J’ai dit: «Non, non, Burt. Ce–ce n’est–est pas correct, ai-je dit, ne fais pas ça.»
71 Mais c’était un bon chasseur. Vous n’avez jamais à le rechercher. Il savait où il était. Et alors, nous sommes allés là, et nous avons passé des moments glorieux ensemble. Il était un brave, oh! un tireur d’élite. Ainsi donc, nous–nous avons chassé un matin. Nous emportions toujours là du chocolat chaud dans le thermos, et on avait environ six pouces [15 cm] de neige par terre, et c’était un bon temps pour repérer des pistes des animaux. Et nous avons traversé par le Notch et nous sommes allés dans la ferme présidentielle. On était vers onze heures de la journée et la saison était fort avancée. Et quand cette biche à la queue blanche, vous parlez de Houdini qui est expert de l’évasion, vous devriez en voir une d’elles. Alors, elles–elles peuvent vraiment s’échapper. Ainsi donc, la brousse est épaisse, et elles peuvent passer en dessous d’un tas de broussailles et tout, se cacher la journée, et puis brouter la nuit. Ainsi donc, elles ne sortent pas, à moins que vous les fassiez fuir.
Alors, Burt s’est arrêté à une petite clairière, à peu près, oh! peut-être aussi vaste que la salle principale de cet auditorium. Il s’est arrêté vers onze heures, il s’est mis à plonger sa main dans son manteau, et je me suis dit: «Eh bien, c’est le temps pour nous de prendre un sandwich, et nous nous séparerons, lui ira d’un côté et moi de l’autre.» Nous avions marché environ trois ou quatre heures là à gravir la montagne. Ensuite, il descendrait de l’autre côté et moi, je descendrais de l’autre et nous nous rencontrerions à un moment donné cette nuit-là à notre–à notre camp habituel qui était dressé.
72 Je l’ai donc vu ramener sa main, et je pensais qu’il cherchait son chocolat chaud. Et quand il l’a fait sortir, il tenait ce sifflet. Et j’ai dit: «Burt, tu ne feras pas retentir cette histoire-là.» Il a dit... il m’a regardé avec ces yeux de lézard, il a dit... Il a mis ça à la bouche, comme ceci, il l’a fait retentir. Cela sonnait exactement comme un petit faon réclamant sa maman. Et jamais je... Je ne pensais pas que ça marcherait. Alors, juste à ce moment-là, juste de l’autre côté de la clairière, une très grosse mère biche s’est levée. C’était une belle créature. Elle était assez proche pour que je voie ses gros yeux bruns. Et–et j’ai regardé Burt. Il a levé les yeux vers moi et il a esquissé on dirait un sourire. J’ai dit: «Burt, tu ne tueras pas cette mère-là, n’est-ce pas?» Et il m’a regardé comme cela. Et il s’est abaissé et a fait retentir encore cela.
Or, généralement, c’est inhabituel pour une biche de faire cela. Et quand il a fait encore retentir cela, cette mère s’est directement avancée dans cette clairière-là. Eh bien, c’est étrange; elle ne ferait pas cela, à n’importe quel moment, à peine, surtout pendant la saison de la chasse, après que les fusils eurent fait feu et tout. Mais elle s’est avancée dans cette clairière-là. Qu’était-ce? Elle n’était pas une hypocrite. Elle était une mère. Il y avait quelque chose d’authentique en elle. C’était une mère. Un petit était en difficulté. Et elle voulait savoir où était le petit. Ça lui importait peu combien c’était dangereux. Le danger ne la dérangeait même pas.
73 Je peux voir ces grosses oreilles maintenant, bien dressées juste comme cela, cette bouche mâchant comme cela, ces gros yeux bruns regardant partout. Il a levé les yeux vers moi, comme ça, il a tiré un... Nous n’emportions jamais nos fusils chargés. Et alors, il a tiré, il a baissé ce levier sur ce fusil 30.06, une balle de cent quatre-vingts grains, un champignon. Il a braqué comme cela, et je me suis dit: «Oh! la la!» Je me suis dit: «Burt, comment peux-tu faire cela?» J’ai dit: «Cette précieuse mère cherche son petit...» Et je... Il–il a on dirait ricané et a braqué: c’était donc un tireur d’élite. Je savais, mon vieux, qu’en une seconde ou deux, il lui ferait sauter ce précieux coeur loyal, car c’était un tireur d’élite. Et je me suis dit: «Comment peut-il être si méchant?» Alors que cette mère faisait une démonstration du véritable amour maternel. Son petit était en difficulté. Elle ne s’en souciait pas.
Et quand la culasse mobile est descendue et que le fusil s’est levé, la biche a vu le chasseur. Elle a regardé, et elle a sursauté. Oh! Spook veut dire, sursauter, vous savez, juste une minute. Et elle a regardé le chasseur. Mais elle avait entendu son petit. Elle savait que la mort était juste là sur elle. Mais a-t-elle fui? Non, absolument pas. Elle regardait pour voir où était d’abord son petit. «Oh! ai-je dit, quelle loyauté! Si loyale... Et ce précieux coeur loyal, Burt, vas-tu le faire sauter à cette mère comme cela?»
74 Et je l’ai vu braquer comme ceci. Et je me suis dit: «Je–je ne peux simplement–simplement pas regarder cela.» J’ai tourné le dos, et je me suis dit.... J’ai pensé: «Père céleste, comment peut-il être si méchant et pourtant être dans un sens un brave homme, et être si cruel dans son coeur pour faire sauter d’elle directement ce précieux coeur de cette mère, et ce coeur loyal qui bat là pour ce petit? Oh! Eh bien, pourquoi–pourquoi peut-il faire pareille chose?»
Et j’ai remarqué, le fusil ne faisait pas feu. Alors, j’ai attendu, et j’ai attendu. Je me suis dit: «Pourquoi n’a-t-il pas fait feu? J’ai regardé tout autour et le canon du fusil allait comme ceci. Et il m’a regardé, et ces yeux avaient changé, de très grosses larmes lui coulaient sur les–les joues. Il a jeté le fusil par terre, il m’a saisi par les jambes du pantalon et a dit: «Billy, j’en ai marre.» Il a dit: «Conduis-moi à ce Jésus dont tu parles.»
75 Qu’était-ce? Il avait vu quelque chose de réel. Il avait vu quelque chose qui n’était pas un montage. Il avait vu le véritable amour maternel qui peut faire face à la mort. Ce n’était pas un sermon que j’avais prêché. Ce n’était pas une chanson qui avait été chantée. C’était la manifestation de quelque chose de si réel qu’il avait vu, quelque chose de réel. Et la loyauté de cette mère avait conduit cet homme. Il est diacre de l’Eglise baptiste là aujourd’hui. L’amour maternel si réel....
Ô ami pécheur, ou membre tiède d’église, n’aimeriez-vous pas avoir l’amour de Jésus-Christ à démontrer au monde, être aussi loyal à Christ que cette mère l’était à son petit? Voudriez-vous lever la main pour dire: «Priez pour moi, Frère Branham, afin que je devienne ce genre de chrétien»? Levez la main, partout. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. «Je veux quelque chose de réel, Frère Branham. Je veux quelque chose de durable. Je veux être chrétien autant que cette biche était mère.» Levez vos mains très haut maintenant afin que je puisse prier. Que Dieu vous bénisse. Que Dieu vous bénisse. Inclinons la tête.
76 Père céleste, il y a eu tellement de mains que je n’ai pas pu les compter. Elles étaient partout, partout, là en haut dans les balcons, devant, derrière, sur les côtés, et tout, partout, partout dans la salle principale. Ils ont levé la main, Seigneur, parce qu’ils–ils croient en Toi. Ils veulent quelque chose de réel. Ils–ils veulent quelque chose qui n’est pas un montage, quelque chose de–de vraiment réel. Je Te prie de le leur donner, Père. Donne-leur le véritable Saint-Esprit. Puissent-ils retourner à leur église, heureux et en se réjouissant.
Eh bien, il est écrit dans la Parole, Saint Jean 5.24: «Celui qui écoute Mes Paroles (c’est là-dessus que j’ai prêché), et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Maintenant, Père, je tiens Cela, c’est Ta Parole. Je tiens Cela devant Toi, et Toi qui es omnipotent, omniscient, et Tu connais chaque main qui s’est levée... Pourquoi ont-ils levé la main? C’est parce qu’il y a un esprit en eux, et il y a un Esprit à côté d’eux qui a dit: «Tu es en erreur; il te faudra être ce genre de chrétien. Lève la main maintenant et Je te sauverai.» Et ils ont levé la main. Ils ont pris une décision. Cette décision, c’est qu’ils désirent mener une vie différente. Et Tu as dit: «Celui qui écoute Mes Paroles, et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Tu as aussi dit: «Nul ne peut venir à Moi si Mon Père ne l’attire. Et tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi. Je leur donnerai la Vie Eternelle et Je les ressusciterai au dernier jour.» Maintenant, Père, c’est Ta Parole. Et en tant que Ton serviteur, ce soir, je–je réclame toutes leurs âmes pour Toi. Je les réclame, chacun d’eux. Je prie, ô Dieu, qu’ils viennent maintenant à Toi, à cette Fontaine remplie du Sang. Qu’ils soient sauvés, en sécurité, et qu’ils partent d’ici ce soir, qu’ils cherchent et trouvent le baptême du Saint-Esprit qui les scellera loin des choses du monde. Accorde-le.
77 Pendant que nous avons nos têtes inclinées, il n’y a pas de place pour faire un appel à l’autel ici, mais je me demande simplement si vous tous qui avez levé la main, vous aimeriez bien vous tenir debout. Le reste d’entre vous, gardez vos têtes inclinées. Tenez-vous simplement debout juste une minute. Je crois que vous étiez sincères. Levez-vous, tous ceux qui avaient levé... s’ils avaient levé la main, qu’ils se tiennent debout juste une minute, tous ceux qui avaient levé la main, partout. C’est bien. Levez-vous partout. Restez simplement debout juste une minute pour la prière. Tous ceux qui avaient levé la main, tenez-vous debout... Très bien. Est-ce tout là? Tout le monde? Très bien.
Dans la Présence de cette Gloire de la Shekinah, du Saint-Esprit, que vous avez cru maintenant sur base de la prédication de la Parole et de la manifestation de Son Esprit, je ne crois pas, je crois chacun de vous de tout mon coeur. Je ne crois pas que vous ayez juste levé la main pour le plaisir de la lever. Je crois que vous l’avez levée parce que vous étiez sincère. Vous avez cru que vous étiez en erreur. Et si vous êtes disposé à confesser vos torts et à vous tenir comme vous vous tenez maintenant, alors je crois que Dieu, selon Sa Parole, qui tient chaque Parole qu’Il a promise, vous a pardonné vos péchés. Non pas parce que vous vous sentez comme cela, non pas parce que vous méritez cela, mais parce qu’Il l’a promis; cela est dans Sa Parole. Et vous êtes disposé et vous savez que vous étiez en erreur, mais vous croyez réellement qu’Il était mort, et qu’avec ces gros nuages sombres qui étaient suspendus autour de la croix ce jour-là, Il endurait votre jugement. Et sans rien d’autre du tout, vous acceptez réellement cela comme votre pardon. Si c’est cela que vous faites, que vous acceptez Sa grâce pour votre pardon, voudriez-vous simplement lever la main vers Lui, tout celui qui est debout? Levez la main, c’est tout ce que je vous demande de faire, juste dans votre coeur. Que Dieu vous bénisse. C’est cent pour cent, tout le monde.
78 Maintenant, j’aimerais que vous qui êtes chrétiens, vous redressiez la tête, vous vous retourniez, vous serriez la main à chacun d’eux qui se tient debout et que vous disiez: «Soyez le bienvenu dans le Royaume, précieux pèlerin.» Serrez la main à un nouveau chrétien. Dites-lui que vous–vous êtes reconnaissant à Dieu. Chacun de vous, dites: «Oui, je suis reconnaissant.» Invitez-le à venir donc à votre église. Dites-lui: «Venez à mon église. Venez chez nous. Et vous pourrez recevoir le baptême chrétien, afin que vous receviez le Saint-Esprit.» C’est bien. Oh! N’est-Il pas merveilleux? Maintenant, remercions donc simplement le Seigneur.
79 Père céleste, nous Te remercions pour ces âmes. Je peux ne plus jamais leur serrer la main ici sur terre, ne jamais avoir l’occasion peut-être; j’espère en avoir. Mais si je n’en ai pas, en ce jour-là, quand le brouillard sera bas, que le vieux bateau de Sion sifflotera, quand nous serons sur le point d’embarquer, je les rencontrerai. Je les verrai là, Seigneur, avec leurs tickets en main, disant: «J’étais à Long Beach, Frère Branham, ce dimanche soir-là.» Ô Dieu, combien je serai heureux de savoir que je les rencontrerai là. Les jeunes deviendront vieux, les jeunes deviendront... les vieux deviendront jeunes là-bas pour toujours, il n’y aura plus de maladie, ni de tristesse, ni de mort. Quel merveilleux moment ça sera! Je Te remercie pour cela, Père. Ils sont à Toi et je Te les présente comme des trophées de Jésus-Christ, Son Esprit et Sa Présence ici ce soir. Je Te les confie, Père, au Nom de Jésus-Christ, car ils sont les offrandes d’amour pour Christ. Amen.
80 Maintenant, vous pouvez vous asseoir, et que Dieu vous bénisse. Maintenant, avant que nous changions de position dans la réunion pour une ligne de prière, chantons juste une fois, s’il vous plaît, tous ensemble, avant que nous puissions former la ligne de prière: «Je L’aime, je L’aime, parce qu’Il m’aima le premier.» Très bien, pouvons-nous chanter?
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut,
Sur le bois du Calvaire.
Oh! Cela ne sonne-t-il pas beau, frères? J’aurais bien voulu que vous soyez ici à l’estrade et que vous suiviez cela, n’est-ce pas beau? Eh bien, j’aimerais que vous incliniez la tête et que vous chantiez cela, doucement et tendrement, vous en ténor ou en basse, n’importe avec quelle voix vous chantez. Chantez-le simplement selon le style de la campagne, l’ancienne mode, maintenant.
Je L’aime, je L’aime,
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut,
Sur le bois du Calvaire.
81 Oh! N’est-Il pas beau? Oh! Ne L’aimons-nous pas simplement? Merveilleux. Maintenant, amis, je sais que je–je vous ai gardés un peu plus longtemps, mais on est dimanche soir, on a environ quinze minutes de plus ou vingt. Nous allons former une ligne de prière.
Maintenant, combien croient que les Ecritures enseignent que Jésus est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Combien savent que la Bible dit qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? S’Il est le même hier... Et combien croient que nous sommes le... nous sommes à la fin de l’âge des Gentils? Combien de lecteurs de la Bible, avec vos mains levées, feront signe de la main comme ceci et pro-... et croiront qu’Il a promis qu’Il ferait à la fin les mêmes oeuvres pour les Gentils, que ce qu’Il avait fait chez les Juifs?
Voyez, voilà ce que c’est. Si jamais Dieu est appelé sur la scène pour prendre une décision, la façon dont Il la prend, Il est éternel, ça doit rester le même chaque fois qu’Il est appelé de nouveau. Ainsi, quand Il a été appelé sur la terre, à venir sur la terre, à se manifester comme Messie, pour terminer l’âge des Juifs et des Samaritains, Il doit faire la même chose quand Il vient après... Les Juifs ont eu quatre mille ans. Nous avons eu deux mille ans, à la fin de l’âge, pour qu’Il vienne sur la scène faire la même chose. Est-ce vrai?
82 Eh bien, maintenant, s’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, Il doit être le même en essence, le même quant à la puissance, le même dans la manifestation. L’unique chose, c’est le Corps corporel. Son Corps est à la droite de Dieu le Père dans le Ciel, placé sur le Trône. Croyez-vous cela? Un Souverain Sacrificateur. Et maintenant, Son Saint-Esprit est ici, c’est l’Esprit qui était sur Christ, qui est Dieu, dans la chair humaine, votre chair, ma chair, comme le Sang nous purifie. Il prêche l’Evangile par le prédicateur, prophétise par le prophète, révèle le secret des coeurs, Il parle en langues, interprète les langues, et tout est en ordre. Croyez-vous cela? Très bien.
83 Très bien, maintenant, formons la ligne de prière. Eh bien, maintenant, il m’a dit qu’il avait distribué des cartes de prière, mais je dis que je ne sais pas laquelle et où. Oh! Billy, tu es si petit que je te rate toujours. Très bien, 1 à 100, J. Très bien. Numéro 1? Commençons. Qui a J comme Jésus. J, regardez la... Cela porte la lettre J et un numéro. J numéro 1, qui l’a? Levez la main. Est-ce bien vous? Très bien. Venez par ici, madame. Numéro 2, qui a J numéro 2? Voudriez-vous lever la...
84 [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... ma vie. Et elle m’est inconnue; en effet, nous venons de lever nos mains pour montrer que nous étions inconnus l’un à l’autre. Eh bien, je ne la connais pas, elle non plus ne me connaît pas. Mais maintenant, elle est ici dans un but. Qu’est-ce? Est-elle malade? Peut-être oui. Peut-être qu’elle est ici pour quelqu’un d’autre. Peut-être qu’il s’agit d’un problème au foyer. Peut-être qu’il s’agit–il s’agit d’un problème d’argent. Peut-être qu’il s’agit de quelque chose d’autre. Je ne sais pas. Voyez? Je–je ne sais pas. Dieu le sait certes.
Maintenant, si elle était venue ici, comme d’ordinaire, dans les services de guérison, je lui aurais imposé les mains et j’aurais dit: «Ô Dieu, guéris la femme. Je suis un croyant. Je demande que ça se fasse ainsi. Amen.» Eh bien, la femme aurait le droit de s’en aller et de croire. Si elle croyait cela, c’est la Parole de Dieu, l’imposition des mains aux malades. Est-ce vrai? Elle aurait le droit de croire cela. Mais maintenant, et si le Saint-Esprit vient lui révéler quelque chose qui est au fond de sa vie, lui dire ce qui a été? Et s’Il peut lui dire avec précision ce qui a été, certainement qu’elle peut croire que cela arrivera par la suite. Est-ce vrai? Maintenant, combien savent que c’est ce que Jésus a fait? Levez la main. C’est ce qu’Il a promis. C’est exact.
85 Maintenant, s’Il est ici... Maintenant, Il est ici sous la forme du Saint-Esprit. Maintenant, c’est un panorama, juste comme le puits, dans Saint Jean 4: un beau tableau une fois de plus, un homme et une femme, leur première rencontre dans la vie. Cette femme et moi, en effet, c’est notre première rencontre dans la vie. Et maintenant, c’est ici même, nous ne nous étions jamais rencontrés auparavant. Maintenant, si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement... Maintenant, Quelque Chose devrait révéler ce pour quoi elle est ici. Et elle reconnaîtrait que c’est vrai. Est-ce vrai, madame? Quelqu’un devrait révéler cela. Quelque chose devrait venir accomplir cela. N’est-ce pas vrai? Eh bien alors, si cela vient...
Or, elle peut dire: «C’est du diable.» Ça dépend donc d’elle. Voyez? Si elle disait que c’était Christ, il n’y aurait... cela devrait venir d’une puissance spirituelle. Si elle dit que c’est du diable, alors, elle recevra une récompense du diable. Si elle dit que c’est Christ, elle recevra une récompense de Christ. Mais si elle disait que c’est le diable et que c’était Christ, qu’a-t-elle donc fait? Elle s’est pour toujours scellée hors du Royaume de Dieu. Est-ce ce que Jésus a dit? Quand le Saint-Esprit sera venu, dire un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné, peu importe qui vous êtes. Vous dites: «Mais je prêche l’Evangile, Frère Branham.» Les sacrificateurs aussi prêchaient. Ils descendaient des générations de sacrificateurs, ils avaient prêché l’Evangile et Jésus le leur a carrément dit. Et ils avaient perdu leur vie. C’est vrai. Il n’y a qu’une seule voie vers Dieu, c’est tout. C’est la voie de la Vérité et de la Lumière.
86 Maintenant, veuillez vous tenir juste ici. Vous n’avez pas à vous tenir... tenez-vous juste là derrière comme ceci afin que les gens vous voient et me voient. Maintenant, étant...
Maintenant, voici, c’est comme la femme au puits. Maintenant, je... Elle n’est pas cette femme-là, et je ne suis pas le Seigneur Jésus. Mais Son Esprit est ici. Et Il savait, Il peut lui dire... Or, s’il pouvait... Maintenant, si nous disions: «Frère Branham, qu’est-ce que Jésus avait fait là?» Eh bien, la Bible dit qu’il Lui fallait passer par la Samarie. Je ne sais pourquoi. Le Père L’avait envoyé là-haut parce qu’Il a dit dans Saint Jean 5–Saint Jean 5.19: «En vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père.» Combien connaissent cette Ecriture? Jésus n’a jamais accompli une seule chose avant que Dieu Lui ait montré en vision quoi faire. Est-ce vrai? Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité (absolument, absolument), Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.»
87 Maintenant, si donc cette femme avec la main levée pour montrer qu’elle m’est inconnue, et que moi, je lui suis inconnu, si donc le Saint-Esprit, par Sa promesse, c’est ce que je vous ai enseigné, vient ici et fait la même chose qu’Il avait faite jadis, révèle le secret du coeur de la femme, un... ou fait ce qu’il y a, lui dit ce que... quelque chose à son sujet; qu’elle soit juge si cela est vrai ou pas, combien ici présents croiront au Seigneur Jésus-Christ pour leur guérison? Maintenant, partout, levez la main si vous allez le croire. Il y a au moins quatre vingt-quinze pour cent. Evidemment, d’autres ne croiraient pas cela peu importe ce qu’Il a fait. Ce n’est pas pour les incroyants. C’est juste pour les croyants. Il y en avait dans Sa foule qui ne croyaient pas. Cela ne fera pas de mal au croyant. Non, ils ont fait... ils savent que c’est vrai.
88 Je n’ai aucune idée de ce pour quoi vous êtes ici, pas plus–pas plus–pas plus que rien. Mais Dieu sait certainement ce pour quoi vous êtes ici. S’Il me le révèle, alors vous saurez si c’est la vérité ou pas, quoi qu’Il fasse. Maintenant, oui, si l’assistance peut encore entendre ma voix, la Lumière que vous voyez sur cette photo se tient entre la femme et moi. Elle s’éloigne de moi. On dirait une Lumière qui tressaille et qui luit... Oui, je vois, elle... ses examens montrent qu’elle a un estomac qui enfle, un estomac, elle a un estomac en mauvais état, qui enfle. Si c’est vrai, levez la main. Croyez-vous?
Maintenant, vous avez dit que vous croiriez s’Il révélait cela. Croyez-vous maintenant? Alors, son... c’est... Maintenant, je ne sais pas ce que je lui ai dit, car, ce n’était pas moi qui lui avais parlé. Il est juste question de s’abandonner à l’Esprit. Eh bien, je continue à percevoir cela dans chaque réunion. Quelqu’un dit: «Il a deviné cela, il a deviné cela.» On ne devine pas ces choses. Très bien. Voyons si ça a été deviné.
89 On dirait que vous êtes une personne gentille. Vous êtes une chrétienne. Je peux percevoir votre esprit (Voyez?), vous êtes la bienvenue. C’est la même chose que Jésus a dite à Nathanaël, un Israélite. Maintenant, voyons si jamais ce que... Oui, je vois cela revenir. C’est une affection d’estomac. L’estomac qui enfle, a-t-Il dit, c’est vrai. C’est ce que le médecin a dit, l’estomac enfle. Et puis, voici autre chose, vous souffrez d’une espèce d’affection du rectum. C’est vrai. Et vous–vous pensez que c’est un genre d’allergie, on dirait, ou une espèce de chatouillement. C’est vrai. Et il n’y a pas de médicament contre cela. C’est vrai. Mais il y en a en Christ. Si Dieu me révèle ce que je vois, votre nom sur ce papier là, il a ça devant moi, je le vois se tenir là, allez-vous me croire que je suis Son prophète? Mademoiselle Martin, vous allez vous rétablir maintenant. C’est terminé maintenant. Vous pouvez rentrer chez vous et être bien portante.
Maintenant, critiqueur, qu’en est-il de cela? Maintenant, vous les croyants là dans l’assistance, croyez de tout votre coeur maintenant. Ayez simplement foi. Ne doutez pas. Croyez de tout votre coeur. Maintenant, gardez vraiment... gardez bien votre position. Restez tranquille.
Je n’ai jamais vu cette femme. Voyez, ce n’est point moi qui l’ai guérie. C’est Dieu qui l’a guérie. Comment l’a-t-Il guérie? C’est sa propre foi qui a fait cela. La guérison a déjà été accomplie au Calvaire. Votre salut a été accompli au Calvaire. Comment savez-vous cela? Est-ce vrai? Tout ce qu’il vous faut faire, c’est accepter cela.
90 Maintenant, voici une autre dame. Et nous étions... notre première fois ... nous sommes inconnus l’un à l’autre. Dieu nous connaît cependant tous deux, n’est-ce pas? Eh bien alors, si le Seigneur Jésus me révèle quelque chose que–que je... Evidemment, vous me voyez devenir... regarder comme cela. C’est juste parce que cela m’a... m’affaiblit, la vision. Voyez, l’assistance sait cela, tout le monde le sait. Jésus, une femme toucha Son vêtement, et Il a dit, Il a... la vertu est sortie; la vertu, c’est la force, vous le savez. Et Daniel a eu une seule vision, il a eu la tête troublée pendant plusieurs jours. Eh bien alors, si–si Jésus, le Fils de Dieu, si une seule femme L’a touché, eh bien, qu’en serait-il de moi (Voyez?), moi, un pécheur sauvé par grâce? En effet, Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez davantage.» La version King James dit de plus grandes, mais prenez la bonne traduction, elle dit: davantage. Voyez? Vous pouvez faire davantage à ce...?...
91 Maintenant, si le Saint-Esprit me révèle ce qu’est votre problème, ou quelque chose comme Il l’a fait pour les autres qui sont passés, croirez-vous de tout votre coeur? Cela amènera-t-il l’assistance à croire de tout son coeur? Voyez, Dieu ne fait pas cela pour faire du spectacle. Il fait cela parce qu’Il a promis de le faire, et pour Sa gloire. Voyez? Et je vous assure, ce n’est pas moi. Je ne connais rien. Je lève ma main ici devant Dieu et devant cette Bible ici. Cette femme m’est inconnue. Vous tous, vous m’êtes inconnus, à ce que je sache. Mais si Dieu me révèle par le Saint-Esprit... Maintenant, la Bible dit: «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, Elle discerne même les pensées du coeur.»
Maintenant, Jésus, quand Il était ici sur terre, Il était la Parole, n’est-ce pas? C’est pourquoi Il pouvait discerner les pensées, les connaître, et tout. Il était–Il était Dieu Prophète. C’est la raison pour laquelle les prophètes... Comment arrivaient-ils à discerner? Parce qu’ils étaient la Parole de Dieu. La Parole de Dieu venait aux prophètes. Est-ce vrai, assistance? Voyez? Maintenant, si la Parole de Dieu vient encore, alors la Parole de Dieu peut... Hébreux dit: «La Parole de Dieu discerne les pensées.» Sa Parole, Sa promesse est entrée dans la chair humaine, cela fait qu’Elle discerne les pensées du coeur.
92 Eh bien, vous n’êtes pas ici pour vous-même, vous représentez quelqu’un d’autre ici: votre mari. C’est vrai, n’est-ce pas? Il est à l’article de la mort. Croyez-vous que Dieu peut me dire ce qu’est son problème? Le cancer de vessie. Si c’est vrai, levez la main. Allez-vous croire que Dieu le guérira? Je prierai pour la même chose. Laissez-moi vous imposer les mains tandis que vous le représentez. Seigneur Jésus, épargne cet homme. Fais que cela s’accomplisse, Père. Je le demande humblement en tant que Ton serviteur, au Nom de Jésus. Amen!
Que Dieu vous bénisse, soeur. Maintenant, ne doutez pas. Croyez-vous cela maintenant? Jésus a dit: «Qu’il vous soit fait selon votre foi.» Ayez foi.
Personne ne saura jamais ce que cela vous fait. Voyez? Maintenant, l’assistance semble m’être cachée. Maintenant, ayez simplement foi maintenant et c’est...
93 Etes-vous le suivant? Vous et moi, nous sommes inconnus, je suppose, l’un à l’autre. Oh! Vous avez été dans la ligne de guérison, ét-... dans une ligne de guérison auparavant quelque part ailleurs. Dans une autre ville, ou... à Lake Street, en Californie, dans.... Oh! Oh! J’avais prié pour vous auparavant à Lake Street. C’est depuis combien de temps que cela a eu lieu? Oh! Ça fait plusieurs années. Donc, nous ne nous reconnaîtrions pas l’un l’autre? Non. Mais Dieu nous connaît certes tous deux. Et vous croyez que Dieu peut me faire savoir l’une ou l’autre chose... Etait-Il venu... Evidemment, Il était venu de même...?... Vous êtes donc ici pour quelque chose d’autre. Eh bien, vous devriez donc avoir la foi, n’est-ce pas? Vous avez foi. Très bien, si le Seigneur révèle cela... Très bien, j’ai confiance qu’Il le fera.
Vous n’êtes pas ici pour vous-même cette fois-ci. Vous êtes ici pour quelqu’un d’autre: un frère, très–très malade, à l’article de la mort. Et je vais vous dire quelque chose que vous savez, afin que vous puissiez croire que je suis Son prophète, ou Son serviteur, excusez-moi. Ce mot prophète achoppe les gens (Voyez-vous?), c’est la raison pour laquelle je... Mais... c’est sa femme. Elle est dans un état critique. Elle est sur le point de connaître une dépression nerveuse, à force de l’attendre. Vous éprouvez une sensation très étrange sur vous maintenant, n’est-ce pas? Prenez ce mouchoir qui est dans votre main pendant que cette sensation est sur vous, et déposez-le sur lui. Il se rétablira. Ne doutez pas. Amen. Que Dieu vous bénisse.
Croyez-vous encore de tout votre coeur? Ne doutez pas. Ayez foi en Dieu.
94 Vous assis là même, souffrant de l’hypotension, une dame qui me regarde. Avez-vous une carte de prière? Non. D’accord, c’est en ordre, Il vous a déjà appelée. C’est Son tour. Il vous faut subir des transfusions. C’est vrai. Mais quand je parlais à cette femme-là, quelque chose vous est arrivé, une sensation très étrange vous a envahie. Si c’est vrai, levez la main, cette petite dame assise ici même devant. Très bien. Et vous vous êtes dit dans votre coeur: «Seigneur, fais que ça soit moi ce soir.» Maintenant, levez-vous si ces choses sont vraies. Tenez-vous debout. Vos ennuis sont finis maintenant. Jésus-Christ vous guérit.
J’aimerais poser une question à l’assistance: Qu’est-ce que cette femme-là a touché? Je ne la connais pas. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Si nous sommes inconnus, faites signe de la main à l’un... comme ceci, soeur, faites signe de la main comme ceci, afin que les gens sachent que nous sommes inconnus. Je ne vous connais pas. Qu’a-t-elle touché? Le Souverain Sacrificateur. Elle est à vingt yards [18 m] de moi. Elle ne m’a jamais touché, n’est-ce pas? Mais elle a touché Quelque Chose qui a parlé par moi et qui lui a fait savoir ce qu’elle demandait dans la prière, ce qu’elle disait et comment elle se sentait. Est-ce vrai? Croyez-vous maintenant, de tout votre coeur?
95 Maintenant, ne vous déplacez pas, s’il vous plaît, non. Voyez, si vous faites cela, s’il vous plaît... Voyez-vous ces hommes ici debout? Ils surveillent chaque geste que je fais. Et aussitôt qu’ils voient que j’en ai assez, ils vont me retirer de l’estrade. Ainsi, se déplacer, ça dérange... Voyez, je suis en contact avec votre esprit. C’est ce que je–j’essaie de faire. Je suis ici pour essayer de vous aider. Si vous êtes... Rien n’ira de travers. Vous attraperez votre bus. Restez simplement tranquille. Attendez donc, juste deux ou trois de plus, ou quelque chose comme cela, que cela...
96 Bonsoir. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas. Mais Dieu vous connaît certes. Si... Combien sont passés? Est-ce assez comme confirmation? Deux? Juste... Je pensais avoir... une douzaine était passée. Je... Eh bien, j’en ai beaucoup perçu peut-être, c’est juste moi. Très bien. Vous, soeur, Dieu connaît votre coeur. Il connaît mon coeur. Mais s’Il veut bien, sans l’ombre d’un doute, étant donné que nous sommes inconnus l’un à l’autre, se révéler à nous, est-ce que cela vous fera-t-il croire? Cela fera-t-il croire, assistance? Combien savent que je... il m’est totalement impossible de connaître cela? Faites-nous voir les mains. Voyez? Voyez?
Maintenant, avec vos mains baissées, combien acceptent que cela est Jésus-Christ selon Sa promesse et Sa Parole? Levez la main. C’est vrai, mon frère, ma soeur. Je vous dis la vérité (Voyez?), ceci est Son...?... peut-être un peu étrange par rapport à ce que vous avez déjà vu, mais c’est Sa promesse. Il a promis de le faire.
97 Je n’ai aucune idée de ce pour quoi vous êtes ici. Je ne vous ai jamais vu. Par conséquent donc, cela pourrait... je–je n’ai aucune idée de ce pour quoi vous êtes ici. Mais Dieu sait certes ce pour quoi vous êtes ici. Il vous connaît. Il me connaît. Il–Il nous connaît tous. Est-ce vrai? Mais s’Il me révèle quelque chose sur vous, que moi je ne sais pas, alors vous saurez que cela vient de Lui. Vous avez eu quelque chose comme une apoplexie qui vous dérange. C’est vrai. Vous êtes Suédois, n’est-ce pas?...?... Je peux voir cette eau qui coule, et je peux voir d’où vous venez. Vous avez connu un accident et cela vous a assommé. Et vous aviez été là pour quelque temps, plusieurs jours. Et puis, vous êtes... Vous ressentez toujours de mauvais effets à la suite de cela. Vous n’en aurez plus. C’est devenu clair autour de vous. Jésus vous a guéri maintenant. Poursuivez votre chemin et soyez bien portant.
98 Croyez-vous de tout votre coeur? Maintenant, vous dites: «Vous regardez droit ces gens, Frère Branham. Vous lisez leur pensée.» Non, ce n’est pas ce que je fais. Tenez, venez ici, madame. Touchez ma main. Si Dieu me révèle pendant que je regarde de ce côté-ci ce qu’est votre maladie, vous allez accepter cela, n’est-ce pas? Alors, votre maladie du coeur vous a quittée. Poursuivez simplement votre chemin et réjouissez-vous.
Croyez-vous cela de tout votre coeur? Tenez. La Bible dit que l’Ange qui était là, c’était un Homme qui était oint, Il s’appelait Elohim, Il avait Son dos tourné à la tente. Est-ce vrai? Qu’en est-il si je tourne le dos et que vous priiez. Je vois une...
E-1 Let's just remain standing a moment while we pray. Let's bow our heads.
Our Gracious heavenly Father, we thank Thee for this grand privilege of approaching Thy throne of mercy again tonight, in the all sufficient Name of Jesus Thy Son. We thank Thee because that we have the perfect assurance that if we ask anything in His Name, it'll be granted. So there are many here tonight who are needy; they're sick in body. Some of them are sick in soul. And we pray, Father, that You will supply everything that they have need of, salvation for their soul above all things, and healing for the sick, joy for those that are sorrowing, hope for those who are hopeless. Grant it, Lord. And when the service shall end tonight and we go to our different homes, places of abode, may we say like those who came from Emmaus that day, "Did not our hearts burn within us as He talked to us along the way." For we ask it in Jesus' Name. Amen. May be seated.
E-2 Such a privilege to be back here again tonight in this Long Beach Municipal Auditorium. Been several years since I was here, about '46 or '47, somewhere like that. I believe I followed the service of a great servant of the Lord, Doctor Charles Fuller, used to have the "Old-Fashion Revival Hour," used to start and was created here, great servant of the Lord. I hear now that he doesn't have his services here anymore. I always wanted to meet Brother Fuller; I never had that grand privilege.
E-3 I remember coming into South Africa about seven or eight years ago, the audience of about two hundred and fifty thousand people. You... Some of you Long Beach people you'd never guess what they greeted me with when I come on the platform. They sang it in about fifteen different languages, all blending together, "Heavenly Sunshine." They were singing "Heavenly Sunshine" which I believe was Doctor Fuller's theme song. And I always thought if I got to meet him, I would like to tell him that, that his messages had got down into the--way down into South Africa. And those precious people loved him and knew him, me being an American, sang "Heavenly Sunshine," or "Sunlight" ever which way it goes. And they were singing it in fifteen different languages all together. Now, you never... But all blending just perfectly, the Holy Spirit... When people get together and the love of God starts moving upon them, there's no friction. It's just all one great big body moving together.
Doctor F. F. Bosworth, which is one of the managers, he just stood--he led symphony, he was taking the Dowie, seventy-five piece band to Madison Square Garden in the days of Doctor Alexander Dowie. And he said he had trained the choir. And you'd get somebody a few octaves, or ever what you call it, high, and some too low. But said, in those raw heathens, blanket natives, didn't know which was right nor left hand, and them at war with one another, had to separate them in tribes, yet they were not one octave out at all, everyone blending right together in "Heavenly Sunshine." Anybody knows Brother Fuller, tell him that for me. I don't guess I'll--may never get to see him. He's a busy man, I don't like to take the time. But it would certainly thrill him.
E-4 The Gospel, and yet in it's simplicity is the greatest drawing card the world has ever knowed. Jesus said when He was here on earth, "If I be lifted up, I'll draw all men unto Me." Black, white, yellow, brown, whatever their color or race is, the Gospel still holds the center of attraction to every man and every woman.
And I do believe that our churches should be just a little farther advanced in the Gospel than what we are. I think that we contribute that, I do, and if I'm wrong I pray the Lord forgive me. I think we try to look back too much to see what somebody else has done, or said, instead of looking forward to Christ. He's our Leader.
A few hundred years ago, I may be mistaken in this quotation, but I'd say three hundred years ago, I believe it was a scientist in France that tried to take a ball and whirl it around the earth, or something or another... Might've been a hundred and fifty years ago... He whirled it around the earth and--with the speed, and he claims if any vehicle on earth would ever move the terrific speed of thirty miles an hour the grav--the gravitation would lose its hold, it'd go right off the earth. Now, that was scientifically proven in that day. You think any science would look back and say... to that? Certainly not. I see where they got a plane now, I forget, around five thousand miles an hour sometimes. And they don't stop even at that, they keep going on, on.
But we Christians, and we clergymen and ministers, we try to look back in our school and see what Mr. Moody said about it, what Mr. Sankey said, or--or Finney, or Knox, or Calvin, or any of those. Now, they were great men in their day. But, see, we're always looking back; let's look forward. See? We got untapped resources.
E-5 Now, science can only climb so high, then they have to leave, go back. The tree of knowledge only produces so much. And that was set before us in the garden of Eden. And a human being is prone to live from that tree of knowledge. But it never was God's plan for us to live by that tree of knowledge. The first time man took a bite from the tree of knowledge, he separated his fellowship from God. Every time he takes a bite off that tree he destroys himself, continually. He bit off gunpowder; look what that done: killed his comrade. Bit off automobiles, that kills more than the gunpowder. Now, he's got an atomic and hydrogen bomb. Still eating from that tree of knowledge which finally will send him back to his destination.
E-6 But the Tree of Life that he left willfully to eat from the tree of knowledge, then there's where he leaves alone. I believe that science now... I was tested by one of those meter tests on your arms about this Light, Angel of the Lord. And the scientific picture was taken of It; you have it right here now (Been taken over the world at different places.) a picture of the same Pillar of Fire that followed the children of Israel, scientifically proven. George J. Lacy, the head of the FBI, for fingerprint and document (See?), examined it to see if it was right. He said, "It's not psychology," he said, "the mechanical eye of the camera won't take psychology."
E-7 Now, instead of advancing on and see what God promised, we look back and see what some brother behind us says. Let's don't look back, look forward, keep moving on, on. We have untapped resources. Jesus said in Saint Mark 11:23, "Whatsoever... Why, if you say to this mountain, 'Be moved,' and don't doubt in your heart, but believe that what you have said will come to pass, you can have what you said." Un... No--no conditions, it's--it's not--it's just unlimited. "Whatsoever things you desire, when you pray, believe you receive them; you shall have them," whatever, Divine healing, joy, peace, anything.
Now, you say, "Brother Branham, what if we'd ask for something that--for somebody's life to be taken or some evil thing." Well, you couldn't really have Christian faith for a thing like that. It takes a Christian spirit to ask Christian things. To receive things from Christ. You must have...
E-8 Always remember, uh, church; God's Words are true. I believe the right mental attitude towards any Divine promise of God will bring it to pass, if you can look at it in the right way. But remember, here's been my--my standard in life. I have tried to do this. The first thing, I want to find out whether it's the will of God or not. That... Then I know it's God's will. The next thing, is my objective to it and my motive in doing it. Then if it's the will of God, and my objective is right, and my motive is right, I have faith that it'll be done. Because, first, it's the will of God and I have--and my objective is to glorify Him, and my motive is to give Him all the glory. See? So there's no selfish motives about it. If you have a selfish motive it won't work. If your objective is to make money for yourself or something, why, you'll never succeed. And then try to do something outside of the will of the Lord, then it won't work to begin with.
So there is genuine faith, but you must come into the real channel of God to have that genuine faith. There's human faith, then there's faith of God. And you must have a godly faith to believe. Now, then to have godly faith, you must have the mind of Christ in you. Then that's how God projects to you visions, revelations, and all these things comes by the mind of Christ being in you. You get it? "Let the mind that was in Christ be in you."
E-9 Well, it thrills me tonight again to say to be back here in Long Beach after many years. I remember when I first come here, there was a whole lot of doubt about the ministry. I was about the only one on the field at that time having healing campaigns. I remember how it was so criticized. I remember the night when I left here, and I listened to the thrilling message of Doctor Fuller. I set right along out there that afternoon and heard his great stirring powerful teaching message. I seen his audience leave, fine people, intelligent, nice looking clean people, seen them all leave the building. That was his audience. Now here come mine in straight jackets, wheelchairs and... I thought, "That's quite a little thing difference of...?... faith (You see?), we got to know." But it was a challenge to the Word of God which God had promised that was true and He'd stand behind it. Around the world I've been with this message, not one time has God ever failed me.
And after about fourteen years since being here, I stand tonight with the same message to Long Beach, that I had when I come here, "Jesus Christ the same yesterday, today, and forever." See? He's not diminished one bit. He has never failed me. I've stood before witch doctors and devils and drinking blood in a human skull and calling on the devil and challenge you right down. And I've never seen one time that a challenge was ever made but what God moved on the scene and done a great thing. I--I challenge your faith tonight to believe the Lord Jesus.
E-10 We have had a great week, or two weeks, with Brother Buntane of the Assembly of God church here in the city. I have learned to love Brother Buntane as a brother could only love another. I didn't hardly know him when I come in here. I've heard of his gallant father in Canada, which is a great man, servant of Christ. And then I met his brother, had that privilege. I met other brethren there and fellowshipped with them. Fine singing, fine ministers... The little lady that was just singing, Miss Piper, I believe her name is, such a lovely voice. It should be going all the time for Christ, everywhere. All these things should be working wherein it's a little later than you think. I believe we're near the...
E-11 Am I standing too close to the microphone? Can you hear me better if I back off like this? Is that better? I don't--I want you to hear what I speak but I don't want to have my voice rebound. Now, the acoustics here is usually very good, was the last time we were here.
I'd like to come back some time, if it would be pleasing to God, the will of God, and pleasing to the people, and maybe we get such a place as this. Instead of just having one church on the sponsorship, have all of them sponsoring it. And then we could come here for an extensive meeting. I will pray to that end if you'll pray the same. And then--then maybe we could set it far enough ahead of time until the--we could get the precious trustees, or whoever it is, the overseers of this auditorium now, being that they're building one much larger out here, that we could use it some time for a ten day meeting or something. I believe that it would be wonderful to come. Anything that would be to please, or to do something for God.
E-12 And now, when I mentioned a few moments ago, Assemblies of God, now that's just one denominational church. We don't... For myself, as everyone knows, that I was ordained at about twenty-one years old, and that's been about thirty-one years ago in the Missionary Baptist church. To which I have nothing evil that I could say of the Missionary Baptist church, or any other denomination. I've took this stand, that if...
The Catholic church, a Catholic, a Roman Catholic, or orthodox, or whatever he may be, if he's looking to the Catholic church for salvation, the person's lost. If the Baptist is looking to the Baptist church for salvation, he's lost. If the Pentecostal is looking to the Pentecostal church for salvation, he's lost.
But if the Catholic, Pentecostal, or Baptist, Presbyterian, or whatever, if he's solemnly trusting in Jesus Christ, he's saved. Because it's by faith are you saved, and that by grace. See? Catholics can be saved; Baptists can be saved; Pentecostals are saved, because that we all accept what Christ did for us. That's right. It's our own personal faith in a finished work that Christ did for us. And therefore, I've never drawed a denominational boundary or had a barrier. I've tried to reach out, take everyone of them in my arms and point them to the cross now. And that's... "Dear dying Lamb, Thy precious Blood shall never lose its power, until all the ransomed church of God be saved to sin no more. Ever since by faith I saw that stream Thy flowing wounds supply, redeeming love has been my theme, and shall be till I die." That's my--that's my slogan, I might say. And then next is Jesus Christ the same yesterday, today, and forever.
E-13 Thank you all for all your kindness and mercy. And your generous hands that you've shook to me. And--and the kind things that you've done, and your letters. And we'll answer them just as fast as we can. And the little prayer cloths that I have prayed over, many of them I haven't got out yet. And if you want one, it's absolutely free, just write me at Jeffersonville, Indiana and I'll send you one. Just if you... Post Office Box 325. But if you can't think of that, just Jeffersonville, Indiana. It's a small city, of about thirty five thousand. And our mail is great.
E-14 Now, I'm not trying to get your address, for--for I have no programs at all. I have nothing, no programs. We have books, but them books, we buy them from somebody else to bring them to the meeting. I have no radio, no television, no nothing else. I'm not under obligation to nothing or nobody but God. 'Cause I can go to a church, little or big. I don't have to have any certain amount of money; there's nothing designated. I'm fifty-one years old, been preaching thirty-one years and never took a offering in my life. That's right. I--I--no money hooked into it at all. People give me little things so I can live by--and help support the ministry, which is appreciated. That goes into a foundation at my church. Myself, I get one hundred dollars a week for my living. And outside of that, well, that's all I have. And that--that's all I need.
And I--I don't believe that the Gospel of Christ was ever made to commercialize. I believe that it's not to be done. And I do not believe that--that servants of Christ should try to be showmen. I believe they're supposed to be humble, take the place of Christ, Who--we--His life in us, represents Him to the public.
E-15 Now, we find out that He said, "The foxes have holes and dens, and the birds have nests; but the Son of God doesn't have a place to lay His head." He didn't have to be that way. I think the sweetest word in the Bible, one of them, "Father, I sanctify Myself for their sakes." He had a right to a wife; He had a right to a home. He had a right to the--the pleasures of life, like we have, the comforts of life at least. But He was sanctifying Himself because He was training twelve men that would stir the world with the Gospel. And if He could do that, how much more ought we to sanctify ourself. See? Now, let's--just one more word to Him before we approach the Word of the Author; let's approach Him once more in prayer.
E-16 Lord, it's Your Word, we pray that You'll make it real to us tonight. Now, we know that It's written, that, "Man shall not live by bread alone, but by every word that proceedeth out of the mouth of God." And as we read Thy Word, we know It will not fail. Our words will fail because we are mortal and we're finite. But Thou art infinite and the immortal eternal God. And as I approach Thy Word, I approach it under that type of faith, that Your Words cannot fail. And if I read this Word, then if the people who have gathered here tonight go home, they can at least say they heard something eternal because it was Your Word.
Then, Father, if the Gospel came not only by the hearing of the Word, faith came by that, but the Gospel was to manifest or demonstrate the power of the Holy Spirit that's in the Word. For "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelt among us." Then we're taught over in the Book of Hebrews that the Word of God is sharper than a two-edged sword, cutting asunder, even to the marrow of the bone. And the Word of God is a discerner of the thoughts of the heart. The intents of our heart and mind, the Word of God can reveal it. Because the living Christ, who is the living Word, comes into our living souls, reveals the secret of the heart, for He is the Word. Let the Word speak, Father, and the meditation of our hearts be acceptable unto Thee, O Lord. For we ask it in Jesus' Name. Amen.
E-17 In the Book of Saint Matthew's Gospel, the 12th chapter, 42nd verse, we'll read this for a portion--for a text.
And the queen of the south shall raise up in the judgment with this generation, and shall condemn it: for she came from the utmost parts of the earth to hear the wisdom of Solomon; and, behold, a greater than Solomon is here.
Jesus, in the previous readings of here... I wish when you'd go home to read this glorious chapter. And Jesus had been upbraiding them and rebuking them because they had not believed Him. He came, He said, in His Father's Name, and they received Him not. He said, "Another will come in his own name, and then you'll receive him." And that's right. We come and make our churches and have our denominations, and they're--you're ready to say, "Yes, I--I--I--I belong to the Baptist, the Presbyterian." You receive that easy. But to receive Jesus, huh-uh, they don't want Him.
E-18 Now, He said, "I come." And when He did come, the people did not recognize Him. He came just exactly the way the Scripture said that He would come. He came and He was the Jewish Messiah. And not only Jewish Messiah, He was the promised seed of Abraham, that we have so taken through the week of study, and, over at the church. And He came to His own and His own received Him not. And He had presented Himself to His own. And He came to Israel, which was the--the church of God, and the people of God, and the nation of God. And He came to His own and His own received Him not, but as many as did receive Him, to them gave He the power to become sons of God to them that believed on His Name."
E-19 Now, we find out that there was three classes of people. We spring from three sons of Noah: Ham, Sham, and Japheth. And there was... That was Jew, Gentile, and Samaritan. If you notice, Peter, by revelation, was given the keys to the Kingdom, because God knowed that he had the revelation of the Scripture. For He asked His disciples in whole, "Who does man say I the Son of man am?"
And one said, "You're Elias." And the other one said, "You're the prophet." And one said "Moses."
He said, "But I'm asking you, Who do you say I am?"
And Peter said, "Thou art the Christ, the Son of the living God."
And Jesus said, "Blessed art thou, the son of Jonas: flesh and blood has not revealed this to you, but My Father which is in heaven. (See, it was a revelation.) And upon this rock I'll build My church; and the gates of hell cannot prevail against it." See? It was a direct revelation that had been made known to the apostle, that He was the Son of God.
Now, if the church of God still exists, then those in the church has come in there by spiritual revelation, because that's how we come into the church. But many of us try to come in through doctrinal theology, and so and so, and all right. Which I speak nothing against that. But I'm trying to differentiate between what is really truth and what is part truth. The revelation that God reveals to you that that is His Son Who died in your stead, then that's the revelation, Who He is.
E-20 Now, Jesus had come and He had proved to the people by every means that the Scripture had said, that He was the Messiah that was--they looked to come. Now, many of them had drawed the wrong conception of His coming, and that's the reason He was misunderstood. Pardon the expression, but that's the reason tonight He's misunderstood. They draw the wrong conception of what He is.
Now, I believe while I was standing there, I heard my associate here, read the Scripture of saying that the campaign themes are always "Jesus Christ the same yesterday, today, and forever." And he quoted it in Hebrews 13:8 that "Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever." Now, when He came they--the--the great group of Israel was certainly, eyes open wide looking for a Messiah, but they were looking for Him in the way that they had been taught that He would come. Well now, any good spiritual thinking, or even intellectual thinking person, would know that He did not come contrary to the Scriptures. He'd come contrary to their understanding of the Scriptures, not contrary to the Scriptures.
But they had been taught by their teachers in such a way that the teachers had--had the wrong conception of Him. And may I not hurt feelings by saying this, but perhaps it could be that way again. You know if He is the same yesterday, today, and forever, He probably will come a little different than what we are expecting Him to come. That's only a--a logical, sensible, way to approach such a thought, I would believe, in this day.
E-21 Now, we will see then that when He came, the Messiah was supposed to be, according to the prophet Moses, who was really the one who predicted His coming and said, "The Lord your God shall raise up a prophet liken unto me." Now, any good theologian would've knowed that that Messiah had to be a prophet, or His--or His attributes that followed Him would be prophetic because that Israel was always commanded to believe their prophets. They always were.
But we have to draw this under consideration too, that not all can come to Christ. For He said, "No man can come to Me except My Father draws him first. And all the Father has given Me will come to Me." Look at the millions that received--that did not receive Him in that day and the minority that did receive Him. Now, let's place that over on today and look at it squarely the way it should be.
E-22 Now, we see as He come that He did do the sign of the Messiah. And as many times through the week we have tried to produce that and show it over and over and over again; all the way from Genesis to Revelations we found it. Is that right, class, this week? That what the Messiah would be... [Blank.spot.on.tape--Ed.] He was anointed, the prophet always has the Word of the Lord, a true prophet. See? The prophet said that, "They have eyes and cannot see." They could not see the miracles. "They had ears and they cannot hear." See? Isaiah said so. So we know then that--that they had to be that way. Not that God intended it for it to be that way, but by His foreknowledge He knew it would be that way, for He is infinite.
So if He's infinite, He knew the end from the beginning. And that's the reason He could predict the end from the beginning. He knew because He was God. And if He is not infinite, then He is not God. But we know He is infinite and we are the finite. We get things so mixed up and so settled that we're right, then God with His infinite mind just rides so far over it. "My thoughts are higher than your thoughts," said God. His ways are higher than our ways. So we must summit ourselves to His way.
E-23 Now, we've heard of all kinds of things taken place. We've heard of Elijahs, we've heard of virgin Marys all over the country. And we've heard of all kinds of sensations and everything like that. Which I--I am not here to speak against that. I am here to say that any angel of God, or any messenger of God, must stay strictly in the Word of God.
In the Old Bible they had a way to find out whether it was the truth or not. They had in their Mosaic laws they had what they called the Aaronic priesthood, and then the Levitical priesthood, rather, and Aaron was the high priest carrying the breast--on his breast, the stones of each birth of the patriarchs. They hung that breastplate up. And then it was called the Urim Thummim. And when a prophet prophesied, if he went to the Urim Thummim, and he told his prophecy, or told his dream, and that supernatural lights didn't reflect back in a conglomerations of light, then, I don't care how good it sound, it was wrong. They refused it. All good teachers knows that, that they--they refused it. It had to witness to the Urim Thummim. And now, of course when that priesthood ended, then there was another priesthood come in which after the order of Melchisedec.
Now, now today we do not have the birthstones of the patriarchs, but we do have a Urim Thummim. And that's God's Bible. Jesus said, "Heavens and earth will pass away, but My Word shall never pass away." And in the book of Revelations, which is the revelation of Jesus Christ, He said, "If anybody will add to or take away from It, the same will be taken, his part, out of the book of life." This is the Urim Thummim.
Joseph Smith met an angel; it wasn't Scriptural. Now, if any angel or anything that's contrary to God's Word, this is the full revelation of Jesus Christ. So therefore stay with It.
E-24 Then, Jesus making Hisself known to His brethren by speaking to Simon and telling him who he was and who his father was, Simon recognized immediately that He was the Messiah. Do you believe that God before the foundation of the world knew that that thing would happen like that? Jesus said so. He knew it before the foundation of the world. So... And God had called them.
Now, when Nathanael came, he was also, as I heard the brother here speaking a few moments ago. That was proven. And Nathanael being a Scriptural man, he knew that that was the Messiah, what the Messiah would do. The woman at the well, as He referred to. How many more times? Zacchaeus up in the tree, hiding from Him. Stood right under the tree and said, "Zacchaeus come down; I'm going home with you for dinner." Blind Bartimaeus going down in the crowd... And them throwing stuff at Him and screaming and making fun of Him, yet his faith stopped Him, and not only stopped Him, but it healed the man. A woman touched the borders of His garment, and went off and set down, He said, "Somebody touched Me." And the apostle rebuked Him for saying such a word. He looked around over the audience till He found the woman and told her of her--of her blood issue and said her faith had saved her. See? It was perfect, the sign of the Messiah, and they refused to recognize it.
E-25 Now, my contentions is, is this on the Scripture, that He--He did those signs before both Jew and Samaritan but not to the Gentile, not once, because the Gentiles wasn't looking for no Messiah. But are we Gentile Christians tonight looking for a Messiah? He promised us in Luke; He said that when we seen the sign of Sodom, that's the way it would be at the coming of the Son of man. You remember that? How that Lot down there, the borderline believer down in Sodom, little church member, all messed up with the world and his theology all messed up; but there was a modern Billy Graham went down there and they preached the Gospel and brought Lot and them out.
E-26 But Abraham was already out. The word "church" means "called out," the called out group. In other words, God calls for separation. The world today calls for mixers. Many of the people choosing your pastor, you want to get someone who'll mix, who'll go down and go bathing on the beach, or take a little friendly drink with you, or--or tell a little smutty joke or something. That's too much in the Protestant realms today. But the people wants a mixer, but God calls for separators. Separate yourself from it. Yoke not up with unbelief. That's God's way of doing it. The world has a different conception.
E-27 Now, as we look farther into the Word we find that the church called out, the elect, there was an Angel Who spoke to them and give them a sign. And there was a strange Man dwelling in flesh, that Abraham later called Elohim, God Almighty. And so he noticed that this Man was setting, had His back turned to the tent. And just the--the chapter before this, God had met Abraham and give him a name from Abram to Abraham, Sarai to Sarah, and princess. And He addressed them both by their priestly, or God given name. Elohim. H-e-m, taking part of His name, Abraham. From Abram, ham, part of God's name, because he was to be also a father by seed to many nations, the father of nations.
Now, you--you notice what taken place there. Now, the Angel with His back turned to the tent, He said, "Where is Sarah, thy wife?" How did He know her name was Sarah? How did He know he was married? And how did He know all these things?
Said, "She's in the tent behind you."
And He said, "I'm going to visit you according to the time of life." And Sarah laughed within herself. When she did, the Angel said, "Why did she laugh saying in her heart, that, 'I'll not be able to do this, and I'm too old,' and so forth." How did He know that?
E-28 Now, Jesus plainly... Now, listen close. Don't miss it. And be just as reverent as you can. Notice. That promise was made just to reoccur again at the coming of the Lord. See it? Now, Jesus being misunderstood, what did the--they say when they seen Him doing His signs of the Messiah? They said, "He's Beelzebub." Well now, we know that Beelzebub was a devil. He was the chief of the devils. And otherwise, they called Jesus in perceiving their thoughts in their hearts, a--a fortuneteller, or a mind reader, or something like that; which we know that that is of the devil, certainly. And it's--it's a perverted, something that's been real, been perverted.
The devil cannot create. The devil only perverts what God's created. There's only one Creator; that's God. What is a lie, is a truth misrepresented. What is a--a bad woman? Is a good woman that's been perverted. See? Anything that's perverted is of the devil. Anything in its original condition is of God. See? God is the only Creator. And the devil cannot create; he has to pervert what God has created. Keep that in your mind.
Now, they called the Spirit of God, that was doing these great signs to prove that He was Messiah, they called that a evil spirit. And Jesus said, that, "I will forgive you for this; but when the Holy Spirit comes (to do the same thing), one word against It will never be forgiven in this world, neither in the world that is to come." Watch how it stands.
E-29 Now, before judgment can strike, mercy comes first. Then after mercy, then there's not... If you spurn mercy there's only one thing left; that's judgment. Judgment follows mercy after its been spurned. They spurned Christ; judgment followed. They spurned the prophets; judgment followed. And as much as it hurts me, as an American citizen, I must say that this nation has spurned mercy. So it's ready for God's Divine judgment. Look what's gone through this nation, all kinds of things, great man like I just spoke of a few minutes ago, Charles Fuller, Billy Graham, Jack Schuller, Oral Roberts, Tommy Hicks, T. L. Osborn; great men has crossed this nation shaking it; and it continually wades in sin, blindly moving right on. Some of them will be influenced by the--the ministry of these great men and will come in and join church and go right out and live the same way they always lived. When you profess the Name of Jesus Christ, abstain from all sin. "Let every man that names the Name of Jesus Christ," the Scripture says, "depart from sin." But what do we do?
E-30 What is sin? Unbelief. There's only one sin, unbelief. You commit adultery, you smoke cigarettes, you curse, you drink, because you're an unbeliever. If you was a believer you wouldn't do that. Them things are attributes of unbelief. A true believer is soundly, solid based on Christ, and there's nothing will shake him. But because that you're waving, pulling off to one side, that's the reason you have these things happen in your life. True unadulterated faith will hold you safely against the cross. It will.
E-31 Now, He upbraided them and told them, because that they did this, He begin to say (And I'm coming down to my text now.), that the queen of the south should rise and condemn the generation. They had told Him that He was Beelzebub just a few verses behind this. And He'd rebuked them for their unbelief. He had told them that they'd had a day that they'd spurned. He said once, "Jerusalem, Jerusalem, how oft would I have hovered you as a hen does her brood, but you would not." Now, you're left.
And I believe that the great Holy Spirit in the hearts of men and women in America who are Christians, can feel It crying, "Great America, America, how oft would I have given you a revival. How oft I would've gathered you together, but you would not. You love the things of the world more than you love the things of God, so there you are." Then there's nothing left but Divine judgment will have to fall, separation from God.
E-32 Now, we find out that through all generations God has had gifts. Every generation, through the Bible, as I've got many Scriptures here that I could refer to here that--that through the different ages that God has had Divine gifts. And now, I want to say this to the clergymen. I want you to tell me, or mention to me in history, one time of any historian, or any time that God ever poured out His blessings and had a revival but what supernatural signs followed that revival: every revival. They've had healings and speaking with tongues and demonstrations of the Spirit in every revival. It's the signs of God. God, where God is there's signs because God is a sign working God. Jesus never did say, "Did you believe Me because I had My Father's teaching?"; He said, "If I do not the teaching of My Father, don't believe Me"? He said, "If I do not the works of My Father. Don't believe Me if I do not do the works."
E-33 We have went, and made schools, and Bible schools, and--and seminaries, and built fine buildings, but that certainly was not the commission. Them's all right, I can't say nothing evil against them, they played their part. But that wasn't the commission. The commission was "Go into the all the world and preach the Gospel." Preaching the Gospel was to demonstrate the power. It had to be. What's the next verse say? "And these signs shall follow them that believe." The manifestations are--the demonstrations are the works out of the Word made positive. When the Word is preached, signs of the Word confirms the Word to be true. If it doesn't, it doesn't come from the heart of faith. It doesn't anchor in the heart of faith.
Did not Jesus say that some sowed seeds and when it did it fell by the wayside and the birds gathered it? Some went in stony ground and riches of the earth choked them out, like briers and so forth. And didn't He say some went over and brought forth a hundredfold? See, you must first let the Word fall in the right type of faith. And then that faith produces what the Word said, because the Word is a Seed. The Word of God, right here, is a Seed that a sower sows. And every seed will produce its kind if it's put in the right atmospheres and the right condition.
E-34 You can't hide it. You can't hide genuine life. You take natural life, botany life. Let that sun come warm. Now, like in my country, the little seeds drops off, out of these flowers; they die. They have a funeral procession; the--the skies cry down great big October tears and buries them in the ground. The seed bursts; the pulp runs out. That isn't the end of that flower. Just let the sun, the s-u-n, who has control of all the life of botany, and then when it begins to shine upon the ground and get it in a certain temperature; no other temperature will do it. Nothing else will put that color in there but the sun. So you let it get in the right temperature, the right atmosphere, and that little germ of life hid somewhere in the dirt, will come forth again. Did you ever lay concrete walk and notice in the spring of the year, where is your thickest of the grass? Right around the edge of the walk. What is it? It's that seed that was buried under that walk. And when the temperature gets right, the season gets right, you can't hide life. It'll work its way right through and come stick its little head up and praise God. Because it's life. You can't hide it when the s-u-n is a shining.
Just as sure as the s-u-n brings botany life, the S-o-n brings Eternal Life. And you can't hide it. It'll shine forth. There's something has to happen. Jesus said, "If they hold their peace the stones will immediately cry out." Something takes place. When God, the eternal God, begins to shine His Spirit down, those that are ordained to life will recognize it. They'll come and walk in the Light, live in the Light.
E-35 And He said, "Verily, I say unto you, a little while, and the world (cosmos, which means the world order) will see Me no more; yet ye shall see Me, for I ('I' is a personal pronoun there.), I will be with you, even in you, to the end of the consummation," all the way down. "Go ye into all the world." Not just to this generation, all the world. You that say that the--want to say that the signs of the apostles, was the only ones that had the Holy Spirit, only ones that could do miracles, how can you read the history of the church and say such a thing as that? What about Polycarp? What about Irenaeus? What about Saint Martin? What are you going to do with those men? Columba? Columbia? All of those, what are you going to do with them? Hundreds of years later they still heal the sick, raise the dead, spoke in tongues, cast out devils; how you going to hide it? As long as that Son, S-o-n, of God's Holy Spirit shines on the church, signs and wonders will appear. Can't hide it. It's there.
Read this with me, Mark 16. "Go ye into all the world." It's never reached all the world yet. "Preach the Gospel," demonstrate the power. How much? "To every creature." See? "These signs shall follow them that believe." How far? All the world. Every creature. You just can't hide it. He never did say, "Go, teach the Word"; "Go, preach the Gospel." Demonstrate the power of the Holy Ghost.
E-36 Now, if you don't know the Word, how will you know the sign? "These signs..." You got to know the Word to know what you're talking about. If you take it from some man's conception, then you never got it the way Peter got it. Then you'll draw your own idea about it. But Jesus told Peter, "Flesh and blood did not reveal this to you, but My Father which is in heaven. And upon this rock I'll build My church; and the gates of hell can't prevail against it."
Now, to see whether it's right or not, go back and get the Pre-Nicene fathers, or the Nicene Council, and the--the historians of the age, and find out whether that in each time when people believed that Word, it produced just exactly what it said it would produce.
E-37 I seen not long ago where they went into the garners of Egypt and got some wheat that was put in there about twenty-five hundred years ago, yes, more than that, about three thousand years ago, put in there by Joseph. Some of the wheat had been laying there for all those years, and planted it in the ground and it produced again. No matter how long this Gospel lays here, two thousand years we've had mockers and scoffers, and saying the days of miracles is past, but put that Word in the right kind of a heart, it'll produce again just exactly like it did at the first time, 'cause it's the Word of God. It's got to come into a channel of faith. As long as it laid in the garner it didn't need nothing. It just stayed there as a memorial.
E-38 I was surprised in Rome. They've got authentically nineteen different nails that was nailed in Jesus' hand. Every one said, "We got it." "Our church has got it." "We got it." Nineteen nails that they can prove, when there was only three. See? Everybody wants a nail. Here not long ago a great--you understand what I mean, great one come forth with a piece... "Here's a piece of the original cross." What difference does that make? I don't care how many nails you got, how many pieces of cross you got. We need to produce this Word again. Put it not on a cross, on a nail, but on the living atmosphere of the Holy Spirit. That brings forth the results. God's Word, under the right atmosphere, will produce exactly what it says it'll do. It's got to be in the right atmosphere though. You can't lay it over in the seminary, or some Bible school that don't believe in signs and wonders. It'll never hap--it'll never break forth and bring life there. The atmosphere's wrong. But you got to put it in the right atmosphere. What kind of an atmosphere? A surrendered atmosphere. Stay there until it does go to growing and taking life. That's the idea.
E-39 He never did say, "If I do the teaching of My Father..." He said, "If I do not the works of My Father." That--the teaching, anybody could teach it, but let's see the works be done. You can say, "Oh, He's a great God." Sure. We go into Bible schools, not that I'm condemning them, but I'm trying to--I hope you don't understand me wrong. I'm not condemning Bible schools. But I'm condemning it, what you say that you--you teach these things, and then knock the whole foundation out to say it was in some other age. It's just like giving your canary bird vitamins to build him up good strong wings and put him in a cage. What good does it do to do that? Why build his wings up if you're going to keep him caged up? What the church needs today is the opening up of these barriers that's holding them and some Pentecostal Holy Ghost vitamins poured back into the church, then it'll change the atmosphere. That's right. They'll hatch. It'll bring forth eagles instead of chickens.
E-40 Chicken...?... He's a bird, but he's a half brother, he don't know about the heavenlies. He don't know what it means to be up there. One of the most pitiful sights I ever seen was... I went down to a cage one time. My little Sarah and I, we were walking around it. And there was a--I heard a noise and a big eagle, someone had caught him, and he'd just beat all the feathers off of his head and the ends of his wings. And he'd get back across the cage, and he'd come flopping, and he'd hit his head against his wings and the feathers a flying, he'd fall back. I seen him laying there and them big gray eyes looking around. Why? He was a heavenly bird. He lives in the heavens. That's where his heart is. But through the cunningness of man, had trapped him and put him in this cage. And he was trying to beat hisself out with his own power, beat right against the side. I thought, "That's pitiful." I walked away from there almost crying. I thought, "I wish they'd sell it to me." I hate to see anything caged up.
I hate to see the church caged up. Yeah. Just beating yourself to death, and everything else, with all kinds of soup suppers, and dinners, and there's classes in societies and things like that. My, you wasn't born to be like that. No, no.
E-41 And I noticed the old fellow, I thought, "If I could get..." I thought, "Well, that's a pitiful sight."
Sarah said, "Daddy, that poor bird."
I said, "Yes, honey."
Said, "What's he's beating his head and..."
I said, "He's trying to get out of them bars."
Said, "What makes him want to get--why don't he just set down and be satisfied?"
I said, "He can't. See, honey, his nature is up there. That's where he ought to be. Them big wings was give him to hold hisself up there in the air, to look down, fly high."
And I turned away from there; I thought, "That's a pitiful thing, but I know something more pitiful. To see a church that calls itself the church of God, the church of Jesus Christ, caged up in a cage. When actually they can read the Bible and found out they're not born to be caged chickens in a barnyard. They're supposed to be eagles that can set their wings in the rushing mighty wind that comes down. They don't have to flop; they just know how to hold their wings and fly away up into where all things are possible, into a place that takes them out of this caged in places we set. "Days of miracles is past, there's no such a thing as Divine healing, there's no Holy Spirit." Oh, it's pitiful. What can you do?
E-42 Now, Jesus speaking to them. He gave them some signs. And as my time is just about gone, I'd like to refer to some of those signs. Watch here He said just a verse behind it, "As the days... As it was in the days of Jonas, the prophet..." God in all generations has had signs and wonders. He's had servants that He dealt with. Sometimes just one. Did you know that? It got down in the days of Noah to one. And He--He gets to a type, also it said so in the coming in the Son of man, so forth. He got down until a place where He's always had His servant. Now, listen close in the next few minutes now. I think exactly I got fifteen minutes to be on time.
E-43 Notice, always when God sent His servants and sent His gifts to His servants, if that people believed those gifts, it was a golden jubilee for the people. But if they rejected them signs and gifts that He gave them, it always ended up in chaos. Now, ask any clergyman that you want to or any historian. Which I know setting in our presence is some of the best historians that I know of; I just been talking to them. And that is right. They always fail when they fail to recognize God and His gifts, His sign. God always has... Where God goes, there's always signs and wonders. All... He promised it. "These signs shall..." Not maybe, they will. Sure. Now, it's always been, foretold it would be.
E-44 Now, notice. If... He talked to them about the days of Jonas. He was upbraiding them because they failed to see His Messiahic sign. But the woman at the well recognized it, didn't she? She said...He said, "Go, get your husband."
Said, "I have none."
Said, "That's right. You've had five; and the one you're living with now is not your husband."
She said, "Sir, I perceive that You're a prophet. Now, we know when the Messiah cometh, this is going to be the Messiahic sign. We know this is--the Messiah will do this. But Who are You?"
Jesus said, "I am He."
And she run into the city and said, "Come, see a Man, Who's told me the things that I did; isn't that the very Messiah? Isn't that what the Messiah is supposed to be?" And the men of the city believed on Jesus because of the saying of the woman. Do you see it?
E-45 Now, Jesus was there doing those things and they had turned Him down. So He said, "As it was in the days of Jonas--Jonah." Everybody always made fun of Jonah. I'm going to take up for Jonah. Jonah had a lot more credit than people gives him credit for. Lot of them say, "Well, he's an old backslider." No, he wasn't. "The footsteps of the righteous is ordered of the Lord." And Jonah was a prophet. God did that purposely. Let him take that ship to Tarshish instead of Nineveh. Always felt sorry for him when he was in the belly of that whale. You know some people always look at their symptoms. Say, "Look at my hand. I was prayed for; it's no better." It never will be, like that. You don't look at your hand; you look at a promise. See?
E-46 Prayed for a ba--boy here a few years ago. Old father and mother come got me to pray for him; he had black diphtheria in the heart. It went so low till the cardiogram showed that it was just gone. And they made me dress up like some kind of a Ku Klux Klan, the doctor did, to take me in there. The doctor was Catholic, and he wouldn't let me go in, 'cause I'm married and had children. And I said, "Doctor, would you let the priest go in there to give him the last rights?"
He said, "Yes, but you're not a priest."
Said, "Priest wouldn't have children to go to."
I said, "But he sets in confession booth."
He said, "Go ahead." And he let me go. So I went in there, and the old father and mother got on one side and said, "Brother Branham, all we want you to do is to say the word." I went in there, and prayed, and laid hands on the baby, I--or the boy; he was about twelve years old. I said, "Heavenly Father, this is a promise; this is what You promised. I lay hands upon this young man now, and I ask for his life because that You promised it. These people believe it, and they sent for me to come here. This is all I know to do is lay my hands upon him because You said, 'These signs shall follow them that believe.'" I laid hands on him, walked right out there, "Now, the Lord bless you."
E-47 And the father grabbed the mother and said, "Oh, sweetheart, isn't it wonderful." The boy never showed one change. And the little nurse after the father and mother just crying, hugging, one another, rejoicing because the boy's well. See? But the boy hadn't changed a bit. And that little nurse said--said, "Why, sir, do you realize what this is?" Said, "How can you act like that and your child dying?"
Said, "My child's not dying. My child's living; it's going to live.
She said, "Well," she said, "sir, I want to tell you something." Said, "You see that electric cardiogram thing?" Said--I don't understand what she said, but said, "When that hand (ever what it was) went all the way around here, it's never been known in medical history ever to come back again." Said, "The boy's dying." Said, "His heart's just beating so many times now, to the minute," said, "it'll never come back again. And besides the disease has got him in such a fix, and it's--it's so advanced till there's nothing can be done; the boy's dying."
And I'll never forget that gallant old father, he took that little nurse and put his arm around her, she was just a kid, and he said, "Look, lady," said, "I don't blame you, you're--you're--you study to watch that chart." Said, "That's all--that's what you know. You're studied and told by history and by your doctors and everything, that..." Said, "You're looking at that chart. That's all you know about." But said, "I'm looking to a promise." You know who that boy is? It's Bob Bosworth in South Africa tonight preaching the Gospel, a married man with a family. That's right. Why? It depends on what you're looking at. See? You--you look at God, look at His promise.
E-48 Now, if I always thought someone had a good case of symptoms and had a right, it was Jonah. Now, he was in the belly of the whale on a stormy sea, hands and feet tied behind him, laying down in the whale's belly full of the vomit. Now, if he looked this a way, it was whale's belly. That way it was whale's belly. That way it was whale's belly. Everywhere he looked it was whale's belly. Now, I don't think there's anyone here that bad off now. See? They're--they're just in a... That--that's a terrible condition to be into.
But do you know what he said? He said, "They're lying vanities. I'll not look at them." But he said, "Once more will I look to Thy holy temple." When Solomon dedicated the temple he prayed, when that Pillar of Fire came in, the smoke behind It, and went down behind the holy place, he dedicated the temple and said, "Lord, if Thy children be in trouble anywhere and will look to this holy temple and pray, then hear from heaven." And he believed that would be right, because Solomon was a servant of God. And he prayed, and what did God do? Now, I couldn't tell you scientifically, He might've put an oxygen tank down there. I don't know what He done. But He kept that prophet alive for three days and nights in the belly of that whale. Is that right?
E-49 Well now, if He will do that on them circumstances, that a faith in a--a man that finally backslid... Solomon did, his wives drawed him away from God. If he had that much confidence in Solomon's prayer, in that kind of a condition under those circumstances, how much more ought we tonight, under these circumstances to look away from our symptoms to the right hand of God, where Jesus stands with His own Blood making intercession upon our confession. "Once more, Lord, look to Thy holy temple, where the living resurrected Son of God stands with His own bloody clothes before God to make intercession, plead for us as a High Priest upon what we confess that He's done." My, look what God did.
E-50 I read a little story not long ago, I might inject it here if you don't mind. Notice, you know, all the people of Nineveh, it was a great city, pretty near the size of St. Louis up here. All right. We know that they went down there, and they were--all had got away from God, and they were heathens. And they were worshipping idols. And their occupation there by the sea, of course, were fishermen. All the men went out early in the morning, thousands of boats out on the sea, and they drawed in fish. It was a great import. And they exported fish and things for a living.
And now, the God of the sea was a whale. And just think of all the men out there on--on--out there in their fish boats, out there fishing, and all the women and children standing on the bank waiting for hubby to come in bringing the fish and the catch and so forth. And the first thing you know, the god of the sea raises up, the whale, runs up to the bank, licks out his tongue for a gangplank, and the prophet come walking right out of his mouth. Sure. No wonder they repented. Yes, sir. Sure. They repented because the god had produced a prophet. And they listened to his words, because he came there supernatural.
E-51 And notice, Jesus said, that a wicked and an adulternous generation seeks after signs. Did He say that? Right here it is, read this verse. "A wicked and adulternous generation seeks after signs; and they will receive no sign, except like the prophet Jonah was in the belly of the whale three days and nights; the Son of man must be in the heart of the earth three days and nights." Now, what was the sign that a wicked and adulternous generation would receive? The sign of the resurrection.
Well now, tell me, when did we ever have a more wicked and an adulternous generation, when perverts is here in California increasing twenty to thirty percent every year? When in our own government they claim there's thirty-five or forty percent of the homosexuals. "As it was in Sodom..." Tell me when we ever had any more wicked... Why, people do things that the ancient people wouldn't think about doing, the cruel punishment. Wicked, unbelieving, unregenerated, every evil imagination in a man's heart like it was in the days of Noah, that's the generation He was talking about. A wicked and an adulternous generation will receive what kind of a sign? The sign of the resurrected Jesus, the sign of the resurrection; they would receive it. Now, He says so right here in the Scriptures.
E-52 Now, then He goes down to the closing text. "And as it was in the days of Solomon, so shall it be in the coming of the Son of man. For in the days of Solomon the queen of the south come from the utmost parts of the known world to hear the wisdom of Solomon."
Now, let's take Solomon in his age, just for a moment. Solomon was a great man of God who God gave a gift to. His gift was discernment. How many knows that? Sure, it was. All right. And look at all of Israel. How many Bible teachers here know that that was Israel's golden age? Sure, it was. They built the temple; they done greater things; there was no wars or nothing. Well sure, why? They were all with one accord, giving praise to what God had done for them. Every one of them rallied around that great gift. And Israel was at peace with the rest of the nation.
E-53 Let me stop here a minute. If America would take its science and try to find research to cure cancer, or something that would do somebody good, instead of trying to... Or here, I'll change that. If America would turn to its gift from God and would receive God's gift that's in the nation now, they wouldn't have to build bomb shelters and things to protect themselves. The whole world would fear this nation. There's only one weapon against communism, and that's Christ. Christ is what communism fears.
E-54 I was standing there in Russia, or not in Russia, but in Finland, when the little boy... You read it in the magazines and things, when that little boy was raised from the dead. And there, when you're in Russia, when you're forty miles off of the place you were born, you have to have a visa to show that you got business to be away from forty miles from where you was born. And when that went out over that radio that day that that little boy had been raised from the dead, from laying there... Many of you people setting right here that wrote that in your Bible two years before that happened when I told you... How many's in here tell me they've heard and I--I told you to write in your Bible that there'd be a resurrection of a little boy, that I'd cross through the west and all that. How many's here remembers that story, raise up your hand. Looky there. See? All around over the building. Two years before it happened... There the little boy... Wasn't it just exactly the way it said it would be? Sure. God always, He does it just the right way. Now, just the way He says it's going to be, that's the way it's going to be. That's the reason His Word, His time, and everything's going to be just exactly like He said it. No matter who don't believe it, it's going to be that way anyhow. See?
E-55 So when I come to--to the Messuhalli that night, they'd put about thirty thousand in, then they make them go out, and another thirty thousand would come in for me to speak to. And then when I was coming down the street, here's them little Finnish soldiers never shaved yet, just boys, about six, seven in front, and six, seven in the back. And there stood those communists, Russian soldiers, standing there with that Russian salute when I passed by, with tears running down their cheeks, grabbed them Finnish soldiers and hugged them. Anything that'll make a Finn hug a Russian and a Russian hug a Finn will change wars and settle them forever. They said, "We will receive a God like this, a God that's got power, a God that can show Hisself God."
What it is, our churches that just bottleized it down to a lodge. It's more than a lodge. It's the baptism into the--the body of the living resurrected Jesus Christ with power and signs and wonders. That's the Gospel. That's Christ; that's God.
E-56 Notice him. Sure, Solomon, everybody rallied around him. Everybody would say, "Oh..." Everybody in one accord said, "Oh, come, see the great gift that our God give. Come, see the great gift that our God give." When God give us the gift of the Holy Ghost, that's our gift, the Holy Ghost. God sent us the Holy Ghost. What do we do? Laugh at It; call them holy-rollers; run them off on the corner; tell them they're insane; they're out of their minds; they don't come from our schools; they're nothing but a bunch of tongue's people. That's the reason we receive judgment.
What'd they do on the day of Pentecost? What'd them Jews do? Laugh and made fun of it. What did they do a few years later? Titus besieged the gates and slaughtered them right in there till the blood run out the gates and turned the place upside-down, tore down the temple: been scattered ever since. That's right. We'll get the same. You've turned down the gift of God, the Holy Ghost. You've substituted a handshake or a letter from some other church to take Its place. The Holy Spirit is not a handshake; neither is It a letter. It's a gift of God with power from on high to demonstrate to the people. That's the Spirit of God that lives into us, that makes it and shows it, and proves to the people by signs and wonders that It is God. Hallelujah.
I know you'll call me a holy-roller after this, but th... Maybe I am one...?... I feel very religious right now anyhow.
Notice. God, demonstrations, powers, proving Himself that He is God. That's Scripture; you cannot deny but what it's the truth. Gifts of discernment... Now, all...
E-57 Just think the people passing by would say, "Oh, you should come to our nation, see our great powerful God. Why, He--He works among our people. He--He does great signs and wonders. We got a king called Solomon. You should see the great discernment that man's got. Why, it--it's beyond thought." Well, you know, faith cometh by hearing (Doesn't it?), hearing the Word of God. So the news spread all over the world, everywhere heard about this. And they all begin to fear, because--not fearing Solomon, but fearing God, because the living God was showing.
Finally the news got way down into Sheba, way down about hundreds of miles down, about three hundred miles down south, way down, across the Sahara Desert. Measure it on your map and see how far it was. Now, they didn't have television in them days, and radio, and newspapers, and telephones. They just traveled by--by the lip to the ear, and caravans would come through and bring the news. And everybody coming down into Sheba would say to the little queen, "Say, you should go up into--up into Palestine. You know they got a God up there that so blessed them people, they're all with one accord. There's not no friction among them at all. And they got a brother up there; they call him Solomon; they've made him the king. And they tell me that God just uses him for everything they got they have need of, he just was able to tell them."
E-58 You know, and faith cometh by what? Hearing the Word. "And blessed are they that do hunger and thirst after righteousness, they shall be filled." So the little queen begin to hunger. She thought, "You know, I'll have to go see that." Now, you remember, she's got a lot of prestige, you know, because she's the queen. So I suppose she said, "Before I do this now, I better go ask our pastor whether I can go or not (See?), 'cause I have to get permission from my denomination, because that's another denomination. See? So I'd better go ask my pastor if I can go, am I free."
So I can see her walk over, and a little guard with her; she said, "Holy Father, may I have the permission from you, from this great holy church that we have here in Sheba, may I have the permission for you, there having a revival up in Palestine. May I be able to attend that revival?"
"Nonsense, my daughter. Now, if there was such a thing as that, I've heard that nonsense too; there's nothing to it. It's just a bunch of holy-rollers, there's--there's nothing to it. But look, if there was any power in any God, it would be in our god right here. It would come to our organization; it would be ours, if there's anything to it. See?"
E-59 Oh brother, you know, the devil takes his man, but never his spirit. That's right. God takes His too, but never His Spirit. He took Elijah, but his Spirit come upon Elisha, then come out on John the Baptist. And He took His Son Jesus, but the Holy Ghost come back in the church to do the same works. "The... He that believeth on Me, the works that I do shall he do also." See, keeps going on down. And the devil takes his man but never the spirit. Them two spirits are still warring with one another, right on down.
E-60 Now, said, "No, you cannot go."
"Well," she said, "listen, you know, there's something down in my heart." You know there's something about it, when God gets a hold of a human heart, he--they do funny things. Yeah. Said, "But you know what, I've had, holy Father, I've... Or--or Dear Bishop, General Overseer, I have had such a great desire to go. I've always heard of those meetings and I would like to go."
"Now, look child, we'll just excommunicate you right off of the books." See? "We'll just take you, your name right off of this organization if you go."
"Well," she said, "but look, I want to say--I won't do no harm, I'll come right back down here of course, as soon as the revival's over, as soon as I go up."
"But you cannot go. I've made that declaration, and that's what the rest of them says, and that's what we have to stand by. Now, if there's anything like that going on, it would be right here with us."
E-61 I can see that little queen, God moving on her heart, she squared herself off and said, "I want to tell you something." We need more of them. "I've been in this thing for years and years. My mother was in it. My grandmother was in it. And all I've seen is a bunch of papers, a bunch of writing, and talking about some God, but I haven't seen any kind of a move at all of any. I don't want these dead things. They tell me they got one up there that's a living, that lives in His people, and that's what I want to see." Amen. God give us some more queens of Sheba in Long Beach. See? "I want to see something that's got life in it. I want to see something. And I've been reading all the scrolls of the old--of their books up there, and they tell me that that God is a God that knows the secrets of the heart. And they tell me that that man Solomon up there, the pastor, is just able to do these things and it's wonderful. And I'm going to see it."
"If you do, I'll just take you right off the book."
"Well, you might as well take me right now, because I'm going." I like that. "I'm going anyhow."
E-62 Well now, notice, when she had--what she cost her. You know, it's not cheap to come to Christ. That's what's the matter with you American people today, us American people; everything's so easy, no suffering, no nothing. We haven't had no wars, so we can just act as nasty as we want to.
I went into Switzerland, and you can hear them ringing the bells you'd think the millennium was on. That's right. But what do they do? They don't even believe that Jesus was virgin born; they got the old Zwingli doctrine, believe that He was the Son of Joseph. But they ring them chimes till I--I--I thought the millennium was started. Woke me up one Sunday morning, and I didn't know what was taking place, about a hour and a half. And there come about eighty or ninety glass top busses from Germany. You know, Switzerland don't have any wars; they don't have to worry about anything; they're just as nasty and independent as Americans are. And you come right down through there, and the first thing you know, come down to--to Germany come down. And when we went to the meeting that night, Brother Arganbright setting here, he was right there. What was it the Holy Spirit called? Every one was a German, and left the Swiss setting right there, with all their chimes and so forth. See? It takes suffering. You have to dig.
E-63 Oh, my, if you only knew. It's not easy. Anything that's handed to you on a platter, you don't enjoy it. Certainly. You can't appreciate what's give to you. God told Moses, and said, "I give you Palestine. I've swept out all the houses and hung up the curtains. You all just go right up and live there." Would that been it; they never would've enjoyed it. He said, "I'll give it to you; it's full of giants. You'll have to fight every inch of the way. But every place the soles of your foot steps that's possession. Go, take it, sure, as I'll be with you."
That's the way Divine healing is. That's the way the Holy Ghost is. Everything you could walk behind you, it's footsteps is possession, keep walking. Keep going. That's the way. You just move your finger, couldn't move it at all; you move it that much today; move that much more tomorrow, and that much more the next day. Just keep on moving, moving, moving, moving. Footsteps is possession.
E-64 Notice, quickly now. That girl had a lot to face her. What she had to do now? She said, "You know..." She had some good reasonable thing. She said, "You know what I'm going to do?" She said, "I'm going to take some money along with me. If it's--if it's the truth, if it is, I'm going to support it. But if it isn't I'll bring it right back."
Oh brother, couldn't that teach Americans something? Yes, sir. Support things that laugh and make fun of you... That's right. Programs that laugh and call you holy-roller and yet you support it with your money, and your own missionary is over yonder living on two little platefuls of rice a week with no shoes on their feet. Shame on you. Put your money on something that's got God in it and move it on. Not because it's all flowered up and six million dollar buildings behind it and things like that, with theology and take their missionaries up and give them a mental examination by a worldly psychiatrist to see whether he's got enough mental power to be a missionary. God is the One to judge that by the Holy Ghost. Sure. We don't need that stuff. We need God. Notice then, how far can people--we just get away.
E-65 Now, the little queen, she said, "I'll... If it's not right I will bring the money back." So she loaded on all kinds of jewels and frankincense and everything. Now, look, another thing, what if she would've thought... With all this money she had to cross the Sahara Desert. And you know, Ishmael's children is out there, and they were all robbers. What if they'd overtaken that little caravan of hers, just a few eunuchs and some girls along with her, what would've happened? Why, they'd have robbed her in a minute and took all the money. But you know, if--if God is calling to your heart, you don't know no fear at all. You just keep going. You don't care what anybody else says, or anything else, you keep moving when you're hungering and thirsty for righteousness.
Remember too, no wonder Jesus said she'd stand in the last days and condemn this generation. You know how long it'd take her to cross there? Takes three months, ninety days. And she wasn't in an air-conditioned Cadillac either. No, no. She crossed on the back of a camel to hear the wisdom of Solomon. And Jesus said, "A greater than Solomon is here." And the same thing here: The Holy Spirit's here, and people won't even cross the street to hear It. That's right. "A greater than Solomon is here."
E-66 She come up to the place, watch when she crossed, and she got out and come up to the courts of Solomon. Now, I imagine... Could you imagine, I'm going to make her an American citizen. She come in, "I'll go down and set down, and then hear that holy-roller just a few minutes, 'cause the neighbor over here, my maid told me I ought to go. If he don't say the right thing, just exactly, I'll get right up and walk out." Oh, my. "He will either say what I believe he ought to say or I won't listen to him at all."
That's where we're standing tonight. That's right. "If he says one thing that my pastor said was wrong, I'll just get right up and walk out." See? Now, you'll stand with her too in the day of judgment, and then you'd be judged together. See? "For a greater than Solomon is here." The Holy Spirit is here. See?
And she come ninety days on the back of a camel through the hot burning sands to hear the wisdom of Solomon. She didn't come just to go and say, "I'll go in and I'll find out, then if I don't like it just right, I'll get up and get out." No, she built her a camp right out in the courts. She said, "I'm going to stay till I'm convinced. I'm going to take the Scriptures and I'm going to find out." She done read them all through what God supposed to be, "And I'm going to see if it's right."
E-67 So I imagine the next morning she cleaned herself up and her little maids, and she went over to church, and she got her seat, and set down. After while the trumpets played, the hymns sang, and Pastor Solomon come walking out: walked out, and the first thing you know, maybe they had the--the line started; maybe they had a number, a card; I don't know how they did it. The first one come up, little queen says, "Now, I'm going see now. I'm just going to watch and see whether this is right or not, see whether that's really discernment."
Here come a person up, maybe it was a man. And the first thing you know, she seen that Solomon was just a man. So she said, "Now, I'm going to see where that God is. I see there's a man, but I want to know where that supernatural God is." So she watched that man. "Yep, he walks like a man, talks like a man, looks like a man; he's a man; that's all. But now, where's that supernatural coming from?" So when this man stood there, the first thing you know, the spirit of discernment come upon Solomon, and he told him the secrets of his heart. I imagine the little queen's heart begin to beat. The next one, same thing, next one, same thing, next one, same thing.
E-68 She went home that night maybe, and prayed out in her tent. Next day she come back, and she set again. She said, "I believe I'll get a prayer card," so she--or something, whatever it was. "I'll go up." So then, they got... Finally her--her number come. Now, we could stay a long time on that, but to save time, we're fixing to close. For it had come her time. And when she finally come up before Solomon, the Bible said that there wasn't nothing hid from Solomon that she wanted to know. God just poured it down upon Solomon and told her every secret that she wanted to know. Isn't that wonderful? You know what she said? She stood. Now, she didn't go back and say, "I believe it's mental telepathy. I--I believe it's..." No, no. She stood and she said, "All that I heard was wonderful. But it's greater than what I thought it was. It's greater because it worked on me." Amen.
Jesus said, "She'll stand in the last days with this generation and condemn it, because she came from the utmost parts of the earth to hear the wisdom of Solomon." What was it? She saw something real. The world is living today for something real. Don't you think so? They want something that's got a foundation.
E-69 Not long ago, I'm--and I'll close on this little story I'm fixing to tell you now. I used to hunt in the north woods. How I love to hunt. And I hunted with a fellow named Caul, very fine man. But he was the meanest man I ever seen when it comes to being cruel hearted. He would shoot little fawns just to make me feel real bad about it. And I'd say, "Don't do that, Buddy, don't do it."
He say, "Aw, preacher, get next to yourself, you're chickenhearted. That's what's the matter with you preachers."
I said, "No." I said, "I don't believe it's wrong to shoot a fawn if..." I was a game warden for years; I said, "If the law says you can shoot a fawn. But don't just don't do it to be mean. Abraham killed a cow--a calf and fed it to God. It's all right to kill a fawn if the law says so, but just not kill eight or ten of them just to make a fellow feel me--bad."
E-70 And he had eyes just like a lizard anyhow, he--and he--he always... I didn't mean that like that. He was just kind of a odd looking sort of a fellow, and--and he used to make me feel real bad, so he said to me... One day he was up there. I went up to hunt with him. He had a little whistle. He'd trained this little whistle, he could blow it and sound like a little baby fawn crying for its mammy. You know, what a little fawn is, a little fellow. And it called its mama. I said, "Burt, you wouldn't do a thing like that, would you?"
He said, "Aw, Billy," said, "get next to yourself. That's the way with you preachers; you're too chickenhearted."
I said, "No, no, Burt. That's--that's not right." I said, "Don't do that."
E-71 But he was a good hunter. You never had to hunt him up; he knowed where he was at. And so we'd go out, and we had a great times together. He was a good, oh, he's a dead shot. And so, we--we hunted of a morning. We'd always put some hot chocolate in a thermos jug back here, and it was about six inches of snow on the ground, good tracking weather. And we went up through the Notch and over on the Presidential range. It got about eleven o'clock in the day, and it was way up in the season. And when them white tailed deer, you talk about Houdini as escape artist, you ought to see one of them. So they--they can really get away. And so, the brush is thick, and they can get under the brush piles and everything, and hide through the daytime and then graze at night. So then they won't come out, unless you just run them out.
So Burt stopped at the little clearing, about, oh, perhaps big as the main floor of this auditorium. He stopped about eleven o'clock and started reaching back in his coat, and I thought, "Well, time we'll just have a sandwich, and we'll separate, and he goes one way and I go another." We'd been walking for about three or four hours right up the mountain. Then he'd go down the other side and I'd come the other and we meet in some time that night at our--at our regular pitched camp.
E-72 So I seen him reach back, and I thought he was going after his hot chocolate. And when he come out he had this whistle. And I said, "Burt, you wouldn't blow that thing." He said--looked at me with them lizard looking eyes, he said... And he put it in his mouth like this and blowed. It sounded just like a little fawn crying for its mama. And I never... I didn't think it'd work. So just about that time, just across the clearing, a great big mother doe stood up. She was a beautiful thing. And she's close enough I could just see her big brown eyes. And--and I looked at him; he looked up at me and grinned like. I said, "Burt, you wouldn't kill that mother, would you?" And he looked at me like that. And he got down and blowed it again.
Now, usually, that's unusual for a deer to do that. And when he blowed it again, that mother stepped right out into that opening. Now, that's strange; they won't do that, even any time hardly, especially hunting season, after the guns has fired and things. But she walked out into that opening. What was it? She wasn't a hypocrite. She was a mother. There was something in her was genuine; it was a mother. A baby was in trouble. And she wanted to find where her baby was. It didn't make any difference how much danger it was. The danger didn't even bother her mind.
E-73 I can see them big ears now, just standing up like that, that mouth chewing like that, those big brown eyes looking around. He looked up at me like that, and pulled a... We never carried load up in our guns. And so he pulled, put that lever down on a .30-06, hundred and eighty grain bullet, mushroom. He leveled down like that, and I thought, "Oh, my." I thought, "Burt, how can you do it?" I said, "That precious mother after her baby..." And I... He--he just kind of snickered and leveled down: just a dead shot. I knowed, boy, within a second or two he'd blow that precious loyal heart plumb out of her, 'cause he was a real shot. And I thought, "How can he be so wicked?" And that mother giving that display of real motherly love. Her baby was in trouble. She didn't care about it.
And when the bolt went down and the gun raised up, the deer saw the hunter. She looked, and she spooked. Or "spook" means "just jumps," you know, just a minute. And she looked at the hunter. But she'd heard that baby. And she knew that her death was right on her. But did she run? No, sir. She was looking to see where that baby was first. "Oh," I thought, "such loyalty. Such loyal... And that precious loyal heart, Burt, are you going to blow it out of that mother like that?"
E-74 And I seen him leveling down like this. And I thought, "I just--I just can't look at it." I turned my back, and I thought--I said, "Heavenly Father, how can he be so wicked and yet be such a nice man in one way, and be so cruel in his heart to blow that precious mother's heart plumb out of her, that loyal heart beating there for that baby? How, well, why--why could he do a thing like that?"
And I noticed, the gun didn't fire. And I waited, and I waited. I thought, "Why didn't it fire?" I looked around and the gun barrel was going like this. And he looked around at me, and those eyes had changed, great big tears was running down out of his--down his cheeks. He threw the gun on the ground, grabbed me by the pants leg and said, "Billy, I've had enough of it." He said, "Lead me to that Jesus you talk about."
E-75 What was it? He seen something real. He seen something that wasn't put on. He seen a real mother's love that'll walk right in the face of death. It wasn't a sermon I preached; it wasn't a song that was sung. It was a display of something that was so real that he seen something real. And that mother's loyalty led that man, he's a deacon in a Baptist church there now. Mother's love being real...
Oh, sinner friend, or lukewarm church member, wouldn't you like to have the love of Jesus Christ to display to the world, as loyal to Christ as that mother was to her baby? Would you raise your hand, say, "Pray for me, Brother Branham, that I'll be that type of Christian." Raise up your hands, everywhere. God bless you. God bless you. "I want something real, Brother Branham. I want something that's lasting. I want to be as much Christian as that deer was a mother." Put your hands way up now so I can pray. God bless you. God bless you. Let us bow our heads.
E-76 Heavenly Father, the hands were so many I could not number them. They were all around, everywhere, up in the balconies, and in the front, and in the back, and on the sides, and all, everywhere, around through the main floor. They raised their hands, Lord, because that they--they believe You. They want something real. They--they want something that's not put on, something that's--that's just real. I pray that You give it to them, Father. Give unto them the real Holy Spirit. May they return to their church happy and rejoicing.
Now, it's written in the Word, Saint John 5:24: "He that heareth My words (that's what I've been preaching on) and believeth on Him that sent Me, has Everlasting Life, and shall not come to the judgment; but's pass from death unto Life." Now, Father, I hold that; that's Your Word. I hold it before You, and You Who are omnipotent, omniscient, and You know every hand that went up... Why did they put their hand up? Because there's a spirit in them, and there's a Spirit standing by them that said, "You're wrong; you want to be that kind of a Christian. Put up your hand now and I'll save you." And they raised up their hand. They made a decision. That decision was that they desire to live a different life. And You said, "He that heareth My words, and believeth on Him that sent Me, has Everlasting Life, and will not come to the judgment; but's passed from death unto life." You also said, "No man can come to Me except, My Father draws him. And all that the Father has given Me, will come to Me. I'll give him Everlasting Life and raise him up at the last day." Now, Father, that's Your Word. And as Your servant tonight, I--I claim every one of them souls for You. I claim them, every one. I pray, God, that they have come now to You, to this fountain filled with blood. That they'll be saved safely, and will go away from here tonight, and seek, and find the baptism of the Holy Spirit that'll seal them away from the things of the world. Grant it.
E-77 While we have our heads bowed, there's no place to call an altar call here, but I just wonder if every one of you that raised your hand would just stand up to your feet. Rest of you keep your heads bowed. Just raise up to your feet just a minute. I believe you were sincere. Raise up, every one that raised--if they raised their hand, stand up just a minute, all that raised their hands, everywhere. That's right. Come up everywhere. Just remain standing just a moment for prayer. Every one that raised their hand stand up... All right. Is that all now? Every one? All right.
In the Presence of this Shekinah Glory of the Holy Spirit that you now have believed upon because of the preaching of the Word and the manifestation of His Spirit, I do not believe--I believe every one of you with all my heart. I do not believe that you just raised your hand just for the fun of raising it. I believe that you raised it because you was sincere. You believed that you were wrong. And if you're willing to confess your wrong and stand like you have now, then I believe that God in His Word, that keeps every Word that He promised, has forgive you of your sins. Not because that you feel like it, not because that you deserve it, but because that He promised it; it's in His Word. And you are willing and know that you're been wrong, but you do believe that He died, and them great black clouds hanging over the cross that day, He was standing your judgment. And without anything at all, you do accept that as your pardon. If you will do that, accept His grace for your pardon, would you just raise your hand to Him, every one standing up. Raise your hand, that's all I ask you to do, just in your heart. God bless you. There's a hundred percent, every one.
E-78 Now, I want you people that are Christians to raise your head and just turn around and shake hands with every one of them that's standing up and say, "Welcome into the Kingdom, precious pilgrim." Shake hands with a new Christians. Tell them that you--you're thankful to God. Each one of you, say, "Yeah, I'm thankful." Invite them to your church now. Tell them, "Come on over to my church. Come over with us. And you might receive Christian baptism, that you might receive the Holy Ghost." That's right. Oh, isn't He wonderful? Now, let us just thank the Lord now.
E-79 Heavenly Father, we thank Thee for these souls. I may never shake hands with them here on earth no more, never have the opportunity maybe, I hope I do. But if I don't, on that day when the fog is low, the old ship of Zion is blowing, when we start to board the ship, I'll meet them; I will see them there, Lord, with their tickets in their hand, say, "It was at Long Beach, Brother Branham, on that Sunday night." O God, how happy I'll be to know that I'll meet them there. The young will be old--the young will be... The old will be young there forever, and there'll never be no more sickness, and sorrows, or death. What a wonderful time it'll be. I thank You for this, Father. They are Yours and I present them to You as trophies of Jesus Christ, His Spirit and His Presence here tonight. I give them to You, Father, in the Name of Jesus Christ, because they are love gifts to Christ. Amen.
E-80 Now, you may be seated, and God bless you. Now, before we change the position of the meeting for a prayer line, let's just sing one time, will you all together, before we call the prayer line, "I love Him, I love Him, because He first loved me." All right, can we sing?
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
Oh, doesn't that sound beautiful, brethren? I wish you could be up here and listen to that, isn't that beautiful? Now, I want you to bow your heads and sing it, softly and sweetly, in your tenor, or bass, wherever you're singing. Just sing it the old fashion country style now.
I love Him, I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
E-81 Oh, isn't He beautiful? Oh, don't we just love Him? Wonderful. Now, friends, I know I--I did keep you a little bit long, but this is Sunday night, there is just about fifteen more minutes or twenty. We're going to call a prayer line.
Now, how many believes that the Scripture teaches that Jesus is the same yesterday, today, and forever? How many knows that the Bible says that He is a High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities? If He is the same yesterday... And how many believes that we're the--we're at the end of the Gentile age? How many Bible readers, with your hands up, will wave like this and pro--and believe that He promised that He would do the same things to the Gentile closing, that He did at the Jewish?
See, here's what it is. If God is ever called on the scene to make a decision, the way He makes it, He's eternal; it has to be the same every time when He's called again. So when He was called on the earth to come to the earth, to declare Himself the Messiah, to end up the Jewish and Samaritan age, He's got to do the same thing when He comes on after... The Jews had four thousand years; we've had two thousand years at the end of the age to come on the scene and do the same thing. Is that right?
E-82 Well now, if He's the same yesterday, today, and forever, He's got to be the same in principle, the same in power, the same in manifestation. Only thing is a corporal body; His body is at the right hand of God the Father in heaven setting on the throne. You believe that? A High Priest. And now, His Holy Spirit is here, which the Spirit was upon Christ, which is God, in human flesh, your flesh, my flesh, as the Blood cleanses us. He preaches the Gospel through the preacher, prophesies through the prophet, and reveals the secret hearts, speaks through tongues, interprets tongues, and everything's setting in order. You believe that? All right.
E-83 All right, now let's call the prayer line. Now, now, he told me he give out prayer cards, but I say I don't know what and where. Oh, Billy, you're so little I always miss you. All right, 1 to a 100, J. All right. Number 1? Let's start. Who has J like in Jesus. J look at the--it's got a J and a number. J-number-1, who has it? Raise up your hand. You sure? All right. Come right over here, lady. Number 2, who has J-number-2? Would you raise your...
E-84 [Blank.spot.on.tape--Ed.]... my life. And she's a stranger to me, 'cause we just held our hands that we were strangers to one to another. Now, I don't know her, neither does she know me. But now she's here for some purpose. What is it? Is she sick? Maybe so. Maybe she's here for somebody else. Maybe it's domestic trouble. Maybe it's--it's financial trouble. Maybe it's something else; I don't know. See? I--I don't know. God does know.
Now, if she's come in here, ordinary like, in healing services, I'd lay my hand upon her and say, "God, heal the woman. I'm a believer. I ask it to be done so. Amen." Now, the woman have a right to go away and believe. If she believed that, that's the Word of God, lay hands on the sick. Is that right? She'd have a right to believe that. But now what if the Holy Spirit comes and reveals something to her that's down in her life, tells her what has been? And if He could tell her accurately what has been, surely she could believe what would be then. Is that right? Now, how many knows that that's what Jesus did, raise up your hand. That's what He promised. That's exactly.
E-85 Now, if He's here... Now, He's here in the form of the Holy Spirit. Now, this is a panoramic, just like the well was in Saint John 4: a beautiful picture again, a man and a woman, first time meeting in life, this lady and I, for the first time in life to meet. And now it's right here where we've never met before. Now, if Jesus Christ is the same yesterday, today, and forever... Now, something would have to reveal what she's here for, and she'd know that true. Is that right, lady? Somebody would have to reveal it. Something would have to come and do it. Isn't that right? Well then, if It comes...
Now, she could say, "It's the devil." Then that's up to her. See? If she'd say it was Christ, there's only... It'd have to be spiritual power. If she says the devil then she'd get the devil's reward. She says Christ she gets Christ's reward. But if she'd say the devil and it was Christ, then what has she done? She's sealed herself forever from the Kingdom of God. Is that what Jesus said? When the Holy Ghost comes, speak a word against It, will never be forgiven, no matter who you are. You say, "But I preach the Gospel, Brother Branham." So did them priests. They were raised through generations of priests and had preached the Gospel and Jesus strictly told them. And they lost their lives. That's right. Just one way to God, that's all. That's the way of truth and light.
E-86 Now, if you could stand right out here. You don't have to stand--just stand right back out this way so that the people could see you and see me. Now, being...
Now, here's like the woman at the well. Now, I... She's not the woman, and I'm not the Lord Jesus. But His Spirit is here. And He'd know, can tell her... Now, if He would... Now, if we'd say, "Brother Branham, what did Jesus do there?" Well, the Bible said He had need go by Samaria. I don't know why. The Father sent Him up there because He said in Saint John 5--Saint John 5:19: "Verily, I say unto you, The Son can do nothing in Himself, but what He sees the Father doing." How many knows that Scripture? Jesus never performed one thing until God showed Him in a vision what to do. Is that right? Saint John 5:19: "Verily, verily (absolutely, absolutely), I say unto you, The Son can do nothing in Himself, but what He sees the Father doing: that doeth the Son likewise."
E-87 Now, then if this woman with her hand up, that she's a stranger to me, and I'm a stranger to her, then if the Holy Spirit, by His promise, is what I've taught you, will come here and will do the same thing that He did then, reveal the secret of the woman's heart, an--or do what it is, and tell her what--something about herself and let her be the judge whether it's right or not, how many in here will believe on the Lord Jesus Christ for your healing? Now, all around everywhere raise up your hands if you'll believe it. There's at least ninety-five percent. 'Course some wouldn't believe it no matter what He done. It ain't for unbelievers. It's just for believers. There was some standing in His crowd didn't believe. That won't hurt the believer. No, they've done--know it's true.
E-88 I have no more idea what you are here for than--than--than nothing. But God does know what you're here for. If He will reveal it to me, then you'll know whether it's the truth or not, whatever He does. Now, yes, if the audience can still hear my voice, the Light that you see in the picture is standing between me and the woman. She's moving away from me. Kind of a jerking, glimmering Light... Yes, I see, she--her examination shows that she's got a swelling stomach, a stomach, got a bad stomach, swelling. If that's right, raise up your hand. You believe?
Now, you said you'd believe if He would reveal it. Do you now believe? Then her--it's... Now, I don't know what I told her, 'cause it wasn't me that told her. It's just yielding yourself to the Spirit. Now, I keep feeling that in every meeting. Somebody say, "He guessed it, he guessed it." You don't guess these things. All right, see if it was a guess.
E-89 Seem to be a nice person. You are a Christian; I can feel your Spirit (See?); you're welcome. Same thing that Jesus said to Nathanael, a Israelite. Now, let's see if ever what... Yes, I see it coming again. It was a stomach condition. Swelling stomach, he said. That's right. That's what the doctor said, swelling stomach. And then here's another thing, that you got some kind of a rectal trouble. That's right. And you--you think it's some kind of an allergy like, or some kind of a itching sensation. That is true. And there's no cure for it. That's right. But there is in Christ. If God will tell me what I see your name on that paper there, he's got before me, I see him standing there, will you believe me to be His prophet? Miss Martin, you'll be all right now. It's over now. You can go home and be made well.
Now, critic, what about that? Now, you believer out there, believe with all your heart now. Just have faith. Don't doubt; believe with all your heart. Now, keep real--just keep your positions; set still.
I never seen the woman. See, I never healed her. God healed her. How did He heal her? Her own faith did it. The healing's already completed at Calvary. Your salvation was completed at Calvary. How do you know that? Is that right? All you have to do is accept it.
E-90 Now, here's another lady. And we were--our first time--we are strangers to one another. God knows us both though, doesn't He? Well then, if the Lord Jesus will reveal to me something that--that I... 'Course you see me getting--looking like that. That's just 'cause it's got--made me weak, vision. See, the audience knows it, anyone knows. Jesus--a woman touched His garment, and He said, He got... Virtue went; virtue is strength, you know that. And Daniel saw one vision; he was troubled at his head many days. Well then, if--if Jesus being the Son of God, if one woman touched Him, well, what would it do me (See?), me, a sinner saved by grace. Because He said, "The things that I do shall you also; more than this shall you do." The King James says greater, but get--the regular translation says more. See? More could you do at this...?...
E-91 Now, if the Holy Spirit will reveal to me what's your trouble, or something, as He did the other ones that went by, would you believe with all your heart? Would it cause the audience to believe with all their heart? See, God doesn't do this for show. He does this because He promised He would do it, and for His glory. See? And I'm telling you; it's not me; I don't know one thing; I'm holding my hand here before God and this Bible here. This woman's a stranger to me. All of you are strangers, far as I know. But if God will reveal to me by the Holy Spirit... Now, the Bible said, "The Word of God is sharper than a two-edged sword, even a discerner of the thoughts of the heart."
Now, Jesus, when He was here on earth, He was the Word, wasn't He? That's the reason He could discern the thoughts, perceive, so forth. He was--He was a God prophet. That's the reason the prophets... How could they discern? Because they were the Word of God. The Word of God came to the prophet. Is that right, audience? See? Now, if the Word of God still comes, then the Word of God can... Hebrews says "The Word of God is a discerner of the thoughts." His Word, His promise come into human flesh, makes it a discerner of the thoughts of the heart.
E-92 Now, you're not here for yourself: someone else you're here for, your husband. That's right, isn't it? He's in a dying condition. You believe God can tell me what his trouble is? Cancer of the bladder. If that's right, raise your hand. Will you believe that God will heal him? I'll pray for the same thing. Let me lay my hands on you and you represent him. Lord Jesus, spare this man. Bring it to pass, Father, I ask humbly as Your servant. In Jesus' Name. Amen.
God bless you, sister. Now, don't doubt. You believe that now? Jesus said, "As you have believed, so will it be unto you." Have faith.
Nobody will never know what that does to you. See? Now, the audience just seems blinded to me. Now, just have faith now and that's...
E-93 You're the next person? You and I are strangers, I suppose, to one another. Oh, you've been in a healing line be--in a healing line before somewhere else. In some other city, or... In Lake Street, in California, in... Oh--oh, I prayed for you before at Lake Street. How long ago has it been? Oh it's many years ago. Therefore we wouldn't know one other? No. But God does know us both. And you believe that God could make known to me something or another... Did He come--of course He come the same way...?... Then you're here for something else. Now, you would have faith then, wouldn't you? You have faith. All right, if the Lord will reveal it... All right. I trust that He will.
You're not here for yourself this time. You're here for someone else: a brother, very, very ill at the point of death. And I'll tell you something that you know, that you might believe me to be His prophet, or His servant, excuse me. That word prophet staggers the people (You see?), that's the reason I... But... It's his wife. She's in serious condition. She's about to have a nervous breakdown because of waiting on him. You have a real strange feeling on you now, don't you? Take that handkerchief that's on your hand while that feeling's on you and lay it on him. They'll recover. Don't doubt. Amen. God bless you.
You believe with all your heart yet? Don't doubt. Have faith in God.
E-94 Setting right there, low blood pressure, a lady looking at me. You have a prayer card? You don't. All right, it's all right, He's done called you; it's His time. You have to take blood transfusions. That is right. But when I was talking to that woman, something happened to you, a real strange feeling went over you. If that's right, raise up your hand, this little lady setting right here in front. All right. And you said within your heart, "Lord, let it be me tonight." Now, stand up if them things are true. Stand up on your feet. Your troubles are over now. Jesus Christ makes you well.
I want to ask the audience one thing: What did that woman touch? I do not know her; I never seen her in my life. If we are strangers wave your hand to one--like this, sister, wave your hand like this so that the people know that we're strangers. I don't know you. What did she touch? The High Priest. She's twenty yards from me. She never touched me, did she? But she touched Something that spoke through me and told her what she was praying about, what she said, and how she felt. Is that right? Do you believe now, with all your heart?
E-95 Now, don't move, please don't. See, if you do that--please... See these men standing here? They're watching every move I make. And as soon as they see that I have enough they'll take me from the platform. So to--to move, disturbs... See, I'm in contact with your spirit. That's what I--I'm trying to do. I'm here trying to help you. If you're... Nothing won't go wrong; you'll catch your bus; just set still. Just wait, just two or three more or something, let it...
E-96 How do you do? We are strangers to each other. I do not know you. But God does know you. If... How many is this that's went through? Has it been enough for a confirmation? Two? Just... I thought I had--been a dozen through. I... Well, felt a lot, maybe it's just me. All right. You, sister, God knows your heart; He knows my heart. But if He will, beyond any shadow of a doubt, we being strangers one to another, reveal Himself to us, will it make you believe? Will it make the audience believe? How many knows that I--it's just totally impossible for me to do that? Let's see your hands. See, see?
Now, with your hands down, how many accept it to be Jesus Christ according to His promise and His Word, raise your hands. That is true, my brother, sister. I'm telling you the truth (See?), this is His...?... Maybe a little strange from what you've ever seen, but it's His promise; He promised He would do it.
E-97 I have no idea what you're here for. I've never seen you; so therefore, it would--I--I have no idea of what you're here for. But God does know what you're here for. He knows you; He knows me; He--He knows all of us. Is that right? But if He will reveal to me something about you that I don't know, then you'll know it comes from Him. You've had something like a stroke bothers you. That's right. You're Swedish, aren't you?...?... I could see that water rolling, and I could see where you was from. You've had an accident and it knocked you out. And you were out for quite awhile, several days. And then you're--you still have evil effects from it. You won't have it no more. That turned Light right around you. Jesus has healed you now. Go on your road and be made well.
E-98 Are you believing with all your heart? Now, you say, "You're looking right at those people, Brother Branham. You're reading their mind." I'm not. Here, come here, lady. Touch my hand. If God will reveal to me looking this a way what's your trouble, you'll accept it, won't you? Then your heart trouble's left you. Just go on your road and rejoice.
You believe that with all your heart? Here. The Bible said the Angel down there that was a man that was anointed was called Elohim, that He had His back turned to the tent. Is that right? How about if I turn my back and you pray. I see a...