Il Y A Ici Plus Que Salomon
1 Bonsoir, mes amis. C’est un grand privilège d’être de retour ici dans cet auditorium ce soir, ou dans ce vestiaire. Et nous sommes très heureux d’avoir cette occasion de vous parler encore; mais j’espère ne pas être aussi long que hier soir.
Mon fils parlait à certains prédicateurs et ces derniers disaient: «Frère Branham parle pendant à peu près combien de temps?»
Il a dit: «Oh ! Pas trop longtemps, à moins qu’il parle du sujet d’Abraham, parfois il se perd simplement–simplement.»
Et hier soir, j’ai fait ici environ deux heures quarante-cinq minutes. Quelqu’un m’a dit ce matin, il a dit: «Qu’adviendra-t-il d’Abraham? Ça doit être quelque chose.»
Vous êtes un peuple très gentil, et j’aime parler aux gens qui réagissent à la Parole. Voir ces précieuses âmes venir au Seigneur, cela rend la chose très agréable. C’est l’une des joies les plus grandes de mon coeur.
2 Je me rappelle une fois, alors que j’étais un jeune ministre, je... Il y avait un autre ministre, un ami à moi; sa soeur, je la ramenais à la maison un soir après le service à l’église, et nous remontions la route. C’était un genre de chrétienne formaliste, de nom, comme je le dirais. Et je pensais qu’elle croyait en Christ et tout, mais elle n’était pas allée assez profondément comme, je pense, un chrétien devrait pour professer le christianisme. Et–et elle a dit: «Que dites-vous, si on allait au cinéma demain soir?»
J’ai dit: «Je ne vais pas au cinéma.»
Elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit, on a une patinoire par ici, que pensez-vous d’aller patiner?»
J’ai dit: «Je ne vais pas patiner.» Elle m’a proposé trois ou quatre endroits, et j’ai dit: «Je ne fais pas ça.»
Elle a dit: «Eh bien, en tant que jeune homme ici d’environ vingt-deux ans, où trouvez-vous du plaisir?»
J’ai dit: «Dans la maison du Seigneur.» J’ai dit: «Ce...»
3 Et quelques soirées après, j’étais dans une église, la jeune fille était assise là derrière. Et–et alors, cette soirée-là, j’ai fait un appel à l’autel, et une vingtaine de gens étaient venus à l’autel, pleurant, des jeunes gens. J’ai fait signe à la jeune fille, j’ai dit: «J’éprouve plus de joie avec ça qu’avec tout ce que le monde peut offrir.» Et c’est–c’est une chose dont vous savez que vous... En vous couchant la nuit, vous sentez que vous avez fait quelque chose, pour avoir essayé d’aider quelqu’un. C’est ce pour quoi nous sommes ici, essayer d’alléger un peu plus le fardeau de la vie pour vous (Voyez?), et–et aider ceux qui ne connaissent pas Christ à Le connaître.
Prier pour les malades, je montais les marches, et j’ai entendu quelqu’un dire que le vendredi soir, ce sera pour des urgences. Eh bien, c’est vrai, quand nous viendrons prier pour toutes les urgences. Ils ont réservé cette soirée-là, évidemment, pour ça.
4 Maintenant, la guérison divine ne repose pas, rappelez-vous, sur l’imposition des mains; ce qui est une bonne chose. Or, c’est ça le peuple américain. On doit leur imposer les mains, sinon ils ne croient simplement pas cela. C’est tout. On doit les toucher d’une façon ou d’une autre et... sinon cela ne–cela ne marche pas. Et... Mais maintenant, si seulement vous me supportez juste un instant.
Ce n’est pas pour me singulariser, ce n’est pas ainsi que Dieu traite avec les Gentils. C’était une tradition juive. Vous vous rappelez, un Juif a dit à Jésus: «Ma fille est cruellement tourmentée... gravement malade, et elle se meurt.» Il a dit: «Viens lui imposer les mains et elle se rétablira», un Juif. Mais quand le... Il est allé chez le Romain, un Gentil, celui-ci a dit: «Je ne suis même pas digne que Tu viennes sous mon toit. Dis simplement un Mot.» Voyez? Et Jésus s’est retourné vers les Juifs et Il a dit: «Je n’ai pas vu pareille foi en Israël.» Voyez?
5 Or, que disait ce Romain-là: «Je suis un homme sous ordre. Et je suis un centenier.» Cela voulait dire qu’il avait une centaine d’hommes, un centenier, une centaine d’hommes sous ses ordres. Et il a dit: «Je–je–je dis à tel homme: ‘Va’, et il va; à tel autre: ‘Viens’, et il vient.» Pourquoi? Il était leur chef. Il était leur maître. Et que voulait-il dire à Jésus par cela? Que Lui était le Chef, qu’Il pouvait dominer sur toutes les maladies, et que tout ce qu’Il disait devait s’accomplir. Oh ! N’est-ce pas un vrai moyen de Le rencontrer? «Dis seulement que mon fils vive, et il vivra. Dis seulement un Mot. C’est tout ce que Tu as à faire.»
Eh bien, à Durban en Afrique du Sud, récemment, je ne sais pas si les jeunes gens ont déjà étalé ou non ce livre sur l’Afrique, c’est écrit par le capitaine Julius Stadsklev. Nous sommes arrivés à Durban, en Afrique du Sud, là où nous avons tenu des réunions à Johannesburg. Et, oh ! la la ! des choses qui prendraient des heures à les raconter, ce que le Seigneur a fait... Mais quand nous sommes allés à Durban...
6 Je n’oublie jamais. Sidney Smith, le maire de Durban, est venu me chercher et il a dit: «Oh ! Frère Branham, a-t-il dit, ceci est l’histoire de l’Afrique.» Il a dit: «Vous...» Il a dit: «Ils affluent par ici depuis environ cinq jours.» Et il a dit: «Ils parcourent une distance de quatre ou cinq jours, apportant leurs bien-aimés sur des charrettes de fabrication artisanale, c’est ainsi qu’ils arrivaient à se transporter les uns les autres. Et quand un lion surgit, ils le font monter dans un arbre jusqu’à ce que le lion quitte; ensuite, ils descendent: ‘Ils les portent dessus’, cherchant à les amener à la réunion. Car ils avaient appris ce que le Seigneur avait fait à un autre endroit, à Johannesburg, et–et puis, ça a été Johanna... divers endroits.» Ainsi donc...
Et je vous le dis, en Afrique, le christianisme est une chose qui s’affaiblit. Certainement, parce que nous avons enseigné la lecture, l’écriture et l’arithmétique plutôt que ce que Jésus nous a ordonné de faire. Il a dit: «Allez par tout le monde et prêchez la Bonne Nouvelle. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Eh bien, Il n’a jamais dit: «Allez enseigner la Parole.» Il a dit: «Prêchez la Bonne Nouvelle.» Et la Bonne Nouvelle, c’est la démonstration du Christ ressuscité; c’est le Saint-Esprit. Paul a dit: «L’Evangile n’est pas venu en parole seulement, mais par la puissance, la manifestation, les démonstrations du Saint-Esprit.» Cela devrait accomplir Marc 16.
7 Et je sortais, monsieur Sidney Smith et moi, le maire de Durban, nous allions dans le champ de course, là où... C’est le deuxième champ de course le plus vaste du monde entier. Et alors, là, ils étaient... Tous les endroits étaient occupés, tout jusque de l’autre côté du champ, et des endroits bâtis de l’autre côté. C’était bien notre deuxième jour là-bas. Il nous restait un jour. Et on était dimanche après-midi.
Oh ! Vous savez comment les gens peuvent compter ceux qui étaient à un service évangélique, certains d’entre eux: «Un demi-million.» Vous savez comment ils font quand... C’est donc... J’ai estimé cela de loin moins que ce qu’eux disaient, le nombre de gens qui étaient là.
8 Mais aujourd’hui, les gens cherchent à voir combien de gens vous pouvez avoir là. Cela n’a rien à faire avec la chose. C’est soit Christ est là, ou pas (Voyez?); c’est ça l’essentiel. Et c’est... Et je préférerais être seul et être avec Lui, plutôt qu’être avec dix millions de gens sans Lui là. Je... C’est bien partout où Il est. Et c’est ça l’essentiel. Il ne s’agit pas de qui peut avoir la foule la plus grande et publier cela dans les journaux et tout cela. Eh bien, l’Eglise catholique peut nous dépasser nous tous là-dessus. Aux Etats-Unis, monsieur le Président Kennedy peut les dépasser eux tous, je suppose, ici aux Etats-Unis.
Il ne s’agit donc pas de foule. Dieu n’habite pas dans des foules. Il habite dans des coeurs humbles. C’est là qu’Il est. «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je serai au milieu d’eux.» C’est ce que nous aimerions regarder, pas de grandes choses fleuries, mais la–la réalité du Seigneur Jésus ressuscité.
9 Eh bien, alors, dans cette réunion, j’avais constaté que beaucoup d’entre eux là avaient de petites amulettes autour de leur gorge. Ils ne portaient pas d’habits, la plupart d’entre eux. C’étaient des indigènes primitifs. Et alors, j’ai dit: «A quoi servent ces amulettes autour de leur gorge?»
On m’a dit: «Oh ! C’est une marque. Ce sont des chrétiens.»
J’ai dit: «Et ils portent des idoles?»
«Oh ! Oui, ils portent malgré tout des idoles.»
Ainsi donc, c’est la force du soi-disant christianisme. Et alors, je... Que font-ils? Une mère envoie son enfant là pour devenir un missionnaire, il pense qu’il deviendra un David Livingston. Et qu’arrive-t-il? Il habite dans le plus bel hôtel, il a une belle voiture, et il circule dans de quartier des Noirs, on organise une petite soirée dansante là alors qu’on les fait venir des mines de diamant, et il leur distribue des tracts. Que savent-ils de cela?
10 Mais aujourd’hui, ce ne sont pas les jours de David Livingston. Ils ne vont pas dans des jungles. Et c’est la force des missionnaires dans les pays étrangers: Chercher à instruire les gens, l’ABC. Et que faites-vous? Vous les rendez deux fois enfants... plus enfants de l’enfer qu’ils ne l’étaient au départ. Ils vont au centre ville, des femmes doivent porter des fusils dans leurs sacs à main pour se protéger de viols. Quand il est là dans sa tribu, il est dans sa tribu, il est bien. Tout ce dont il a besoin, c’est Christ, car il a–a des lois de sa tribu qui dépassent le christianisme à tout point de vue.
Par exemple, dans une tribu là, si une jeune fille n’est pas mariée jusqu’à un certain âge, elle–elle doit–elle doit enlever le maquillage tribal, car elle est en disgrâce. Et avant d’être mariée, on doit vérifier sa virginité. Si on la trouve coupable, elle doit désigner l’homme qui a fait cela. Tous les deux vont être tués ensemble. Et si cela arrivait aux Etats-Unis, il y aurait beaucoup de morts, n’est-ce pas, parmi les soi-disant chrétiens. Voyez, ils n’ont donc pas besoin de la morale. Ce dont ils ont besoin, c’est de connaître un Sauveur.
11 Alors là, ils affluaient là. Il y avait là un gars, un petit homme qui passait là avec une idole dans sa main. Et j’ai dit... Il a dit: «Voudriez-vous lui parler?» Il a dit: «C’est–c’est un Songhaï. Il y a là, les Xhosas, les Songhaïs, les Sothos, les Zoulous, et diverses autres tribus. Et il a dit... Il a dit: «C’est un Songhaï. Je peux parler sa langue.» Il a dit: «Appelez-le par n’importe quel nom. J’interprèterai pour vous.»
Et le maire a arrêté son véhicule. J’ai dit: «Salut ! Thomas;» Je l’ai appelé Thomas parce que c’était un chrétien portant une idole. Et j’ai dit: «Salut ! Thomas.» J’ai dit «Es-tu chrétien?»
«Oui.» Il croyait dans Amoyah. Amoyah est un mot issu d’une force invisible comme le vent. Amoyah. Il croyait dans Amoyah.
J’ai dit: «Pourquoi portes-tu donc une idole?»
12 Eh bien, il avait une bonne raison. Son papa l’avait portée. Un jour, un lion poursuivait son papa, il a déposé la petite idole par terre, il a allumé un feu, il a dit la prière que le sorcier lui avait dite, et le lion a eu peur et s’est enfui. J’ai dit: «Je suis un chasseur de lion [Léo yakta.] Léo, le lion; yakta, c’est le chasseur. J’ai dit: «Je chasse les lions, et je connais sa nature. Ni la prière, ni l’idole n’ont jamais effrayé le lion, c’est le feu qui l’avait effrayé. L’animal a peur du feu.» Oh ! Eh bien, il la portait de toute façon. Si–si la force invisible faillissait, celle-ci ne faillirait pas. Voilà donc la force du christianisme.
13 Mais ce jour-là, quand la réunion avait commencé, j’ai envoyé Billy distribuer les cartes de prière. Oh ! Miséricorde ! Vous ne pouvez simplement pas vous imaginer pareille chose. Il n’avait pratiquement plus d’habits sur lui une fois sorti. Les gens, ils ont dû les avoir. J’en pris une photo en couleur, là où on les gardait séparés par des clôtures selon les tribus, des milliers de milliers. J’avais quinze interprètes. Quand je disais: «Jésus-Christ, le Fils de Dieu», je pouvais aller prendre un verre d’eau et m’asseoir jusqu’à ce qu’un...
J’entendais les pentecôtistes parler en langues et je me disais: «Oh ! la la ! Cela ne peut pas être vrai.» Mais après ce jour-là, je me suis rendu compte que c’était vrai. Il–il n’ya pas un son qu’on prononce qui n’ait pas de sens. Vous savez, je crois que la Bible dit quelque chose comme cela: «Il n’y a pas un son qui n’ait pas de sens.» Vous voyez que–qu’il y a un sens à chaque son pour quelque chose. La trompette émet un son confus, voyez donc...
14 Ainsi, l’un d’eux pouvait faire... Je pouvais dire: «Jésus-Christ, le Fils de Dieu», l’un d’eux pouvait faire...?... [Frère Branham imite les diverses langues des interprètes.–N.D.E.] Un autre faisait...?... c’est ça le Fils de Dieu, Jésus-Christ. Et–et les autres produisaient toutes sortes de gazouillements drôles dans leurs gorges, comme des oiseaux, mais cela voulait dire Jésus-Christ, le Fils de Dieu. C’était interprété pour leurs tribus, des dizaines de milliers de musulmans là. Et puis alors... Ils étaient censés être durs. Là... Ce sont des descendants des anciens Médo-Perses qui ne changent pas ni ne modifient pas.
Et alors, j’ai rencontré un missionnaire; il a dit: «Pensez-y, Frère Branham, j’ai fait trente ans ici et j’ai eu un seul précieux bijou.»
J’ai dit: «Qu’est-ce?»
«J’ai gagné un musulman au christianisme.» C’est vraiment quelque chose pour un missionnaire de gagner un musulman au christianisme.
15 Alors, ce jour-là, quand j’ai dit: «Eh bien, maintenant, nous ne pouvons pas distribuer les cartes de prière pour aligner les gens. Je vais donc demander à un missionnaire de chaque tribu de prendre au moins une ou deux personnes de chaque tribu et de les amener ici à l’estrade.» Eh bien, on avait bâti une plate-forme, quelque chose de plus élevé que ceci, eh bien, un peu plus élevé, là dans le champ de course; de grands haut-parleurs installés partout. Et j’ai dit...
Je leur ai raconté l’histoire de Jésus. J’ai dit: «Maintenant, concernant la guérison ou le salut, c’est quelque chose qu’Il a déjà accompli pour vous. C’est à vous. Vous n’avez qu’à accepter cela, la guérison divine, c’est pareil. Mais une question qui est dans votre esprit, ai-je dit, peut-être comme elle est dans les esprits de la plupart des Américains et des autres partout: ‘Est-Il réellement vivant ou est–est-ce comme le rapportent les traditions juives, Il a été volé de la tombe et emporté?» J’ai dit: «C’est ce que vous vous demandez.»
J’ai dit: «Maintenant, la chose est qu’Il affirme être le même hier, aujourd’hui et éternellement. Si donc Il l’est, n’agira-t-Il pas comme Il avait agi hier?» Et je leur ai raconté une histoire claire. Cela m’a pris environ une heure pour le faire, juste parler, leur communiquer cela. Finalement, ils ont accepté.
16 Eh bien, les missionnaires avaient aligné des gens. Il y avait environ huit ou dix médecins, et il y avait toutes les autres dénominations entassées là, venues de partout.
Et sur le champ de bataille, nous ne demandons pas: «Etes-vous méthodiste? Etes-vous baptiste?» Frère, on cherche à gagner des païens là. C’est tout. Même les prêtres catholiques étaient là, habillés en prêtre catholique, mais en habits des indigènes. Voyez, on est donc sur le champ de bataille.
17 Juste comme je le disais hier soir: «Si nous allons à la bataille, vous ne dites pas: «Etes-vous un Hoosier? [Habitant de l’Indiana] Etes-vous un Corn-Cracker [du Kentucky]? Qui êtes-vous?» Cela ne change rien. Nous combattons pour une seule cause; c’est pour la nation. C’est ainsi que nous prenons position dans le christianisme. C’est ainsi que nous devrions prendre position chez nous, comme cela, si... Nous avons un front plus grand où combattre, si seulement nous le faisons.
Ainsi donc, quand le... le premier à monter, c’était une musulmane
Et je–j’ai dit: «Parlez-vous anglais?»
«Non.»
Alors, l’interprète pour les musulmans s’est avancé. Et alors cette femme était pur-sang, elle avait des taches entre les yeux, et tout, une tache rouge, ce qui veut dire qu’elle est une vraie musulmane, et qu’elle renie Christ. Alors, j’ai dit: «Eh bien, pourquoi venez-vous vers moi qui suis un chrétien? Vous, vous êtes une musulmane, pourquoi n’êtes-vous pas allée chez votre prêtre?» Oh ! Ils sont...
18 Ils croient en Dieu. Ce sont les enfants d’Ismaël, le... Chaque matin, ce grand bourdon retentit là, et le prêtre sort et dit: «Il y a un seul vrai Dieu vivant.» C’est vrai. «Et Mahomet est Son prophète.»
Nous, nous croyons qu’il y a un seul vrai Dieu vivant, et Jésus est Son Fils.
Et eux disent: «Loin de Dieu d’avoir un Fils. L’Esprit, avoir un Fils?» Ils n’y croient donc pas. Ainsi donc, évidemment, ils doivent être comme ça. Ce sont les enfants d’Ismaël.
Ainsi donc–ainsi donc, quand le... cette femme, j’ai dit: «Pourquoi n’êtes-vous pas allée chez votre prêtre?»
Elle a répondu par l’interprète toujours, elle a dit: «Je–je crois que vous pouvez m’aider.»
J’ai dit: «Avez-vous déjà lu le Nouveau Testament?»
Elle a dit: «Oui.»
19 Et j’ai dit: «Si vous avez donc lu le Nouveau Testament, si Jésus-Christ est ce Prophète-là dont la Venue avait été annoncée par Moïse, il avait parlé d’un Prophète qui devait venir, serait-Il un Prophète?»
Elle a dit: «Il le serait.»
J’ai dit: «S’Il était donc mort et qu’Il est ressuscité, votre dieu, votre prophète est mort et il a été enseveli et il est là dans sa tombe depuis deux mille ans.» On change des gardes toutes les quatre heures, j’ai été là. Un cheval blanc, on s’attend à ce qu’il revienne et qu’il parcoure le monde à cheval. «Mais, ai-je dit, il est mort; sa tombe est là et il y a été enseveli et c’en est fini de lui.» Et j’ai dit: «Mais notre Seigneur, le Messie, le Prophète de Dieu, ai-je dit, le Fils de Dieu, quand Il était ici sur terre, Il... Après Son départ, Il a renvoyé Son Saint-Esprit sur l’Eglise pour accomplir les mêmes oeuvres qu’Il avait faites, Il a prouvé qu’Il était toujours le Prophète parmi eux.» J’ai dit: «Croyez-vous cela?»
Elle a dit: «Si c’est vrai, je le crois.»
20 J’ai dit: «Alors, comme une musulmane à un chrétien, ou un chrétien à une musulmane, ai-je dit, peut-être que vous... Je dis, dans cette section-ci, tous sont des musulmans. Il y a au moins dix mille parmi vous assis ici.» J’ai dit: «Cette femme-ci, je ne peux pas parler sa langue. Mais maintenant, si ce Jésus est le Messie... Et le Messie, comme je vous l’ai dit à partir de la Bible, ce qu’Il avait fait quand Il était ici sur terre pour prouver qu’Il était le Messie, les gens avaient manqué de reconnaître cela, il n’y avait que ceux qui étaient ordonnés à la Vie.» J’ai dit: «Si donc Il est vivant et qu’Il a promis que nous ferions aussi les oeuvres qu’Il avait faites; croirez-vous cela, vous les musulmans?» Et ils ont levé les mains.
21 Alors, je me suis tourné vers elle et j’ai dit... J’ai regardé, j’ai eu une vision. J’ai dit: «Maintenant, votre mari est un homme de courte taille. Il porte une moustache noire. Et votre nom est...» J’ai dû l’épeler. Je ne pouvais pas le prononcer. Et elle a levé la main pour dire: «C’est vrai.» J’ai dit: «Vous avez été au cabinet du médecin l’autre jour. Ce médecin était chauve, il n’était pas un homme trop vieux. Il vous a examinée, il a dit que vous aviez une grosseur ou un kyste sur le sein gauche. Votre mari vous attendait au couloir.» Et les larmes lui ont coulé sur les joues. Elle a dit: «C’est vrai.»
Et j’ai dit: «Maintenant, ce que... Acceptez-vous Jésus comme votre Sauveur?»
Elle a dit: «Je renonce maintenant à Mahomet et j’accepte Jésus-Christ comme mon Sauveur.»
J’ai dit: «Alors, au Nom de Jésus-Christ, je vous déclare guérie.» Allez, faites-vous examiner par votre médecin et apportez-moi son témoignage.»
22 La personne suivante, c’était une femme, une blanche. Elle était une Afrikaans. Eh bien, il y a une différence entre l’Afrique, c’est l’homme noir. L’Afrikaans, ce sont les Boers, c’est le Blanc de l’Afrique. Et j’ai dit: «Parlez-vous anglais?» C’est un pays bilingue.
Elle a dit: «Oui.»
J’ai dit: «Croyez-vous donc que Dieu a envoyé Son Fils mourir à votre place?»
Elle a dit: «Je suis chrétienne, monsieur Branham.»
Et j’ai dit: «Eh bien, croyez-vous donc que je suis Son serviteur?» Vous devez veiller aux mots que vous leur dites. Et j’ai dit: «Croyez-vous cela?»
Elle a dit: «Je crois que l’histoire que j’ai lue dans votre livre est vraie. Je crois que vous êtes serviteur de Dieu.»
23 J’ai dit: «Si je suis donc serviteur de Dieu, si je pouvais vous guérir et que je ne le faisais pas, je serais une–une personne horrible, si je pouvais vous aider d’une quelconque façon.» Et j’ai dit: «L’unique moyen pour moi de pouvoir vous aider, c’est par un don divin. S’Il se tenait ici Lui-même, Il ne pourrait pas faire plus, car votre guérison et tout, Il a déjà accompli cela.
Elle a confirmé cela. Je l’ai regardée et j’ai dit: «Vous avez aussi été chez un médecin, et il a dit que vous avez un kyste sur l’ovaire.»
Elle a dit: «C’est vrai.» Et puis, j’ai regardé et j’ai vu un cortège funèbre. J’ai dit: «Préparez-vous à mourir.»
Et elle a dit: «Que voulez-vous dire?»
J’ai dit: «Vous n’allez vivre que peu de temps.» Et dix minutes plus tard, cette femme était assise à côté de son mari et elle est tombée d’une crise cardiaque. Elle est morte. Et...
24 Or, si j’avais été un guérisseur, je l’aurais guérie. Et cette même nuit-là, le maire de la ville, son amie était morte, une vieille femme de soixante ans. Et j’ai été envoyé là où elle était, et elle était ressuscitée d’entre les morts. Voyez? C’est Dieu. Il fait simplement ce qu’Il veut.
Maintenant, rappelez-vous, vous qui lisez ces Hommes d’Affaires Chrétiens, quand ils ont publié là qu’un mort était ressuscité, rappelez-vous, avant que vous puissiez présenter cela au public, vous devez avoir des déclarations par écrit venant des médecins et autres qui établissent que c’est vrai. Et tout ce que vous lisez là-dedans, nous en avons des déclarations par écrit. C’est...
25 Cet enfant qui était mort là au Mexique, comme vous l’avez lu, cet enfant était mort ce matin-là à neuf heures; il y a une déclaration signée par un médecin. Et on était à vingt-deux heures quand la petite femme catholique se tenait là dans le... là en bas, criant et faisant des histoires, alors que trente ou quarante mille personnes... Et j’ai envoyé frère Moore là en bas prier pour l’enfant. Et ils avaient... Eh bien, trente ou quarante huissiers n’arrivaient pas à la retenir hors de la ligne. Elle leur courait entre les jambes et tout, cherchant à monter là-haut. Et il pleuvait aussi abondamment que possible.
26 J’ai regardé là et j’ai vu un petit enfant là, souriant, me regardant. J’ai dit: «Amenez-le ici.» Aussitôt que j’avais posé les mains sur cette petite couverture mouillée, alors le petit enfant s’est mis à gigoter et à crier. Elle s’est d’un bond agenouillée pour dire un Je vous salue Marie. Et j’ai dit: «Ce n’est pas nécessaire. Rendez gloire à Dieu»; et on est allé de l’avant.
Ainsi donc, frère Espinosa est allé chez les médecins, il a fait des recherches là-dessus le lendemain. Et nous avons une déclaration médicale signée, que l’enfant était mort de pneumonie bilatérale ce matin-là à neuf heures et qu’on était vers vingt-deux heures trente la soirée suivante alors... quand l’enfant était revenu à la vie. Un document signé...
27 Vous en avez vu pour la Finlande. J’ai demandé au maire de la ville de mettre son propre sceau, pour certifier qu’il était présent quand l’enfant gisait mort, écrasé par un véhicule, et qu’il a été ressuscité d’entre les morts conformément à une vision qui avait été annoncée ici deux ans avant que cela arrivât. Voyez? Donc, tout cela est certifié par des déclarations écrites, que c’est vrai.
Maintenant, à la fin de ce réveil-là cet après-midi-là, ou à la fin de cette réunion-là, il y a eu un petit garçon aux yeux louches, c’était le suivant à passer. Et le pauvre petit garçon, il avait... Je vais vous dire ce que... La façon dont ils mangent, cela vous rendrait malade, ce qu’ils trouvent à manger. Que ce soit plein d’asticots, c’est néanmoins de la nourriture. Alors, ils n’en font pas cas. Voyez-vous? Ils–ils s’immunisent contre cela. Ils–ils mangent donc. Et ils... Le sang était sur tout son petit ventre.
28 Et il était un Zoulou; le Zoulou est un homme très grand et fort. Il lance son eseguard avec sa main, il cloue un lion par terre. Le Songhaï et beaucoup parmi ces autres sont de petits hommes, qui laissent le lion se faire enfoncer la lance d’un bond. Ils traînaient ceci. Ce qu’on appelle lance, eux appellent ça eseguard.
Alors, ce petit homme est monté à l’estrade. J’ai dit: «Maintenant, l’assistance peut voir que ce petit garçon a–a des yeux louches.» J’ai dit: «Tout le monde le sait.» J’ai dit: «Maintenant, je ne peux pas guérir cet enfant. Tout le monde le sait. Mais, ai-je dit, maintenant, si le Saint-Esprit peut révéler ce qui en est la cause, ou comment cela est arrivé...» J’ai regardé le petit garçon et j’ai dit: «Oui, son père et sa mère sont plutôt des Zoulous rares. Sa mère est une femme extrêmement mince. Et ce sont des chrétiens. Et la hutte qu’ils habitent, du côté droit de la porte, en entrant, il y a la photo de Christ accrochée au mur. Et cet enfant est né avec des yeux louches.» Et à environ cent yards [91 m] de moi, le père et la mère se sont levés pour confirmer par le canal de l’interprète Zoulou.
29 Et pendant que je ramenais le regard vers le petit garçon, ses yeux se sont redressés, tout aussi droit que les miens. J’ai dit: «Tout le monde voit que le petit garçon est guéri, faites-le donc simplement passer.»
Cela avait donc commencé. Quelques minutes après, j’ai entendu une agitation derrière, sur l’estrade, je me suis retourné. C’était un jeune médecin britannique. Et ce jeune médecin faisait des histoires à ce sujet. Et alors...
Frère Ern Baxter, je sais que beaucoup parmi vous connaissent frère Ern Baxter. Et combien parmi vous ont déjà entendu parler de F.F. Bosworth? J’ai appris qu’il avait... J’ai appris que c’était l’un des derniers hommes à avoir tenu une campagne de guérison divine ici dans cette ville, ou dans cette contrée. Vous ne pouvez pas avoir trouvé un meilleur, FF. Bosworth. Je... A sa mort, je l’ai tenu dans mes bras et j’ai pleuré: «Mon père, mon père, char d’Israël et sa cavalerie.» C’était un homme qui a accordé de la dignité et de la puissance à l’Eglise pentecôtiste: F.F. Bosworth.
30 Eh bien, il était sur l’estrade. Alors, il est venu, il a dit–il a dit: «J’aimerais lui parler.»
L’homme a dit: «Maintenant, pendant que frère Branham est sous l’onction, vous allez provoquer des émeutes ici ou quelque chose comme cela.» En effet, il y avait là des milices après tout, qui surveillaient, puisqu’il y avait des guerres tribales. Et alors, j’ai dit... je me suis retourné et j’ai dit: «Qu’y a-t-il, docteur?»
Et il m’a regardé et a dit: «Comment avez-vous su que j’étais un médecin?»
J’ai dit: «De quoi êtes-vous si curieux?» Il a dit... Alors, on l’a laissé approcher.
Et il a dit: «Monsieur Branham, qu’avez-vous fait à ce garçon-là?»
J’ai dit: «Rien.»
Il a dit: «Quel genre de–de manigances essayez-vous de faire?»
J’ai dit: «Que voulez-vous dire?»
31 Il a dit: «Ce garçon, que lui avez-vous fait? Avez-vous hypnotisé ce garçon?» Il a dit: «C’est moi qui l’ai amené à l’estrade, là même, moi-même, et il avait des yeux louches. Maintenant, il n’a plus des yeux louches.» Il a dit: «L’avez-vous hypnotisé?»
J’ai dit: «Et alors, l’Association Médicale Britannique vous a donné l’autorisation d’exercer la médecine et vous ne savez pas plus au sujet de l’hypnotisme que ça?» J’ai dit: «Si l’hypnotisme peut redresser les yeux d’un enfant, ne pensez-vous pas que vous devriez pratiquer un peu d’hypnotisme?»
Et il a dit: «Je suis curieux, monsieur Branham, a-t-il dit, je suis un chrétien. J’ai grandi dans l’Eglise anglicane.» Il a dit...
32 Maintenant, les gouets, là, soeurs, vous devriez les voir. Nos petits à peu près comme cela, certains d’entre eux, c’est dix-huit pouces [45 cm], de largeur, ça pousse de façon sauvage dans le désert, dans les jungles, des jaunes et des blancs. Il y en a de très gros bouquets placés partout là.
Il a dit: «Maintenant, je sais que Dieu existe, car ce lis ne peut pas vivre sans la vie.»
Il a dit: «La vie est cachée quelque part dans le lis.» Il a dit: «Je sais que Dieu existe. Mais qu’Il soit assez tangible pour redresser les yeux d’un enfant aux yeux louches, je n’arrive pas à comprendre cela.»
33 J’ai dit: «Monsieur, je n’ai point touché cet enfant. Il était devant l’assistance ici. Ils ont vu l’enfant aux yeux louches, ici.»
Il a dit: «Quelque chose est arrivé entre là et ici.»
J’ai dit: «Jésus-Christ l’a guéri.» Et alors monsieur Bosworth l’a tenu par le bras, il a dit: «Monsieur, vous allez simplement devoir retourner.»
Et il a dit: «Attendez juste une minute.» Il y avait un grand microphone multidirectionnel là; en effet, cela portait très loin, à plusieurs pâtées de maisons, là où les gens étaient étendus et tout.
Il a dit: «Juste un instant.» Il a dit: «Monsieur Branham, voulez-vous me dire que Jésus-Christ est si réel qu’Il peut redresser les yeux louches?»
J’ai dit: «C’est vrai, par la foi, si vous croyez cela.»
Il a dit: «Je L’accepte donc comme mon Sauveur personnel.»
34 Et quand je quittais Johannesburg, environ six... environ–environ dix jours plus tard, il y avait environ vingt ou trente mille personnes là pour me dire au revoir. Et il a sauté par-dessus le mur de clôture, au-delà des gardes, il a couru, il m’a saisi par le cou, et il est devenu un missionnaire. Et quand il m’a embrassé au cou, il s’est mis à parler en langues là sur l’est-... là au pied de l’avion. Eh bien, il est–il est passé du médecin tout court au médecin missionnaire, là dans de grands pays de l’Afrique ce soir.
Le suivant à passer à l’estrade, si vous m’excusez de prendre juste ce temps pour un témoignage. Ils... L’homme suivant qui est passé, on le conduisait comme un chien. Il avait une chaîne au cou. Et je ne pourrais pas expliquer ce que cela... ce que c’était. En effet, c’est une assistance mixte. Mais cet homme n’avait jamais de sa vie pris un bain. Il était probablement dans la vingtaine. Il marchait sur ses mains et ses pieds avec une chaîne au cou. Il ne jouissait même pas de toutes ses facultés mentales.
35 Et alors, on l’a fait monter. Et j’ai dit: «Ce pauvre mortel, si n’importe qui pouvait aider cet homme et qu’il ne le faisait pas, il ne mériterait même pas de vivre lui-même.» J’ai dit: «Je ne peux pas non plus l’aider, à moins que le Saint-Esprit me dise ce qui lui est arrivé.» J’ai dit: «Je–je pourrais faire cela par un don divin. Mais s’il croit, ai-je dit, alors je prierai pour lui.»
Ainsi donc, je me suis mis à le regarder. J’ai dit: «Il est né comme ça.» Et il s’est fait que ses parents n’étaient pas assis très loin. Et j’ai dit: «Mais maintenant, depuis que j’ai son attention, il pense à son frère. Son frère roulait, ai-je dit, soit sur une chèvre jaune ou un chien jaune, et cela... Il s’est fracturé le genou et il marche à l’aide de deux béquilles.» J’ai dit: «Il est de loin plus jeune et plus mince que cet homme. Mais, ai-je dit, où que soit son frère, AINSI DIT LE SEIGNEUR, il est guéri.» J’ai dit: «Il n’a plus à marcher avec ce morceau de bois.»
36 Et à environ un pâté de maisons de distance, j’ai entendu un cri être lâché. Il est venu en sautant de toutes ses forces, avec les morceaux de bois dans ses mains. Et il a... Il était guéri. Eh bien, cela nous a donc pris environ vingt minutes pour le calmer.
Pendant ce temps, je regardais, et j’ai eu une vision au-dessus de lui. Cet homme était debout, normal. Je me suis dit: «Oh ! la la ! C’est maintenant le moment d’avoir mon assistance.» Et j’ai dit: «Si Dieu rétablit ce pauvre mortel estropié, combien parmi vous accepteront Jésus comme votre Sauveur?» Et les mains noires étaient levées, à perte de vue comme cela.
Je savais que cela allait se passer, car je l’avais déjà vu en vision. Voyez-vous? Quand vous voyez cela, tout est alors terminé. Il n’y a pas assez–il n’y a pas assez de démons en enfer pour empêcher donc cela, car c’est déjà... C’est une oeuvre terminée. Tout ce qu’il y a, c’est attendre que ça arrive. C’est exactement ce que notre Seigneur a dit. C’est ce que tout le monde dans la Bible... Jésus a dit: «Je ne fais que ce que Je vois faire au Père premièrement.» Voyez-vous? C’est donc exact.
J’ai donc regardé l’homme. Je savais qu’il allait se rétablir. Alors, j’ai dit: «A vous les musulmans là dans l’assistance...» Leurs mains étaient levées.
37 Eh bien, j’ai dit: «Levez-vous. Jésus-Christ vous rétablit.» Et il a essayé... Vous savez, on lui faisait faire beaucoup le clown pour les touristes. On–on cherchait, on pensait qu’il allait esquisser une danse tribale. Il avait ses mains comme ceci [Frère Branham illustre.–N.D.E.] Un pauvre homme qui ne jouissait même pas de ses facultés mentales. Et j’ai dit: «Ce n’était pas là mon intention, ce n’est pas ce que je voulais dire.»
Et l’interprète cherchait à le lui dire. J’ai dit: «Levez-vous.» Et il faisait...?... [Frère Branham imite la langue de cet homme.–N.D.E.] comme il dansait, vous savez, cherchant à faire, sur ses mains et ses pieds. Il n’avait pas d’habits, juste un chiffon. Et j’ai saisi la chaîne, j’ai dit: «Levez-vous. Jésus-Christ vous rétablit.» Et quand il a eu ce que... Il s’est tenu sur ses pieds pour la première fois de sa vie. Les larmes lui coulaient là sur son ventre noir, ça frappait légèrement comme cela...
38 Et j’ai vu trente mille véritables indigènes venir à Jésus-Christ à un seul appel à l’autel. J’ai dit: «Combien parmi vous veulent recevoir Christ comme Sauveur personnel? Et trente mille se sont tenus debout. Et j’ai dit...
Frère Baxter a dit: «Frère Branham, je pense qu’ils pensaient à la guérison du corps.» J’ai dit... je–je reprends cela par les interprètes. J’ai dit: «Je ne voulais pas dire la guérison du corps. Je voulais dire que vous avez... vous acceptez Christ comme votre Sauveur, le Fils de Dieu. Et si vous êtes sincères, brisez vos idoles par terre.» Et on dirait une tempête de poussière, comme si une bombe atomique avait exposé, un champignon de poussière est monté comme cela.
39 Et le lendemain matin, Sidney Smith m’a appelé, il a dit: «Frère Branham», le lundi matin, il a dit: «vous n’avez jamais rien vu de pareil.» Il a dit: «Soyez... Allez à la fenêtre de votre hôtel, qui donne à la mer, et regardez ce qui se passe en bas dans la rue.»
Et j’ai regardé, là en bas dans la rue passaient sept grands camions... Maintenant, vous qui avez connu F.F. Bosworth, vous savez qu’il ne vous donne pas le chiffre en rapport avec l’évangélisation. J’avais fait une prière d’ensemble pour l’assemblée. Il y avait quatre personnes sur l’estrade. J’avais fait une prière d’ensemble pour l’assemblée et F.F. Bosworth a estimé à vingt-cinq mille miracles qui avaient été accomplis du coup. Eh bien, ce–c’était dix fois plus grand qu’à la Pentecôte. Et maintenant... Et voici...
40 Ils passaient dans la rue le lendemain matin, sept gros camions africains, oh ! la la ! de loin plus gros que les remorques qu’on a ici, bien pleins de vieilles histoires sur lesquelles on les transportait, des morceaux de bois, des brancards, des chariots et des choses dans lesquelles on les roulait. Et eux venaient derrière. Ils étaient assis là la veille, et le jour qui suivait, ils descendaient dans la rue chantant: Crois seulement tout est possible, crois seulement.
J’avais entendu cela plusieurs fois, cela ravissait mon âme chaque fois que je l’entendais, parce que ça a été ma chanson qui me sert de thème pendant des années. Mais cela n’avait jamais frappé mon coeur comme cela, entendre trente... tous ces milliers de milliers d’indigènes qui passaient dans la rue, ils n’avaient plus de guerre.
J’ai eu des colonnes dans le journal de Durban qui disait qu’en de l’espace de trois mois, j’oublie combien d’armes à feu et de cargaisons qu’ils avaient volés, et ils restituaient cela. Ils en avaient fini avec le péché.
41 Permettez-moi de dire autre chose ici. Nous sommes censés être dans la civilisation. Ces femmes se tenaient là, ces femmes, l’une d’entre elles avait donné naissance à un enfant pendant qu’elle était là, à moins de vingt pieds [6 m] de moi. Elle n’avait point de médecin. Elle a simplement repris l’enfant. Une femme à côté d’elle l’avait, elle a donné naissance à un enfant, on lui a donné un peu de stimulation par le protoplasme postérieur. Et elle a relevé l’enfant à son sein et elle s’est mise à l’allaiter, et elle a directement continué à bercer l’enfant en m’écoutant prêcher. Tout aussi primitive qu’elles peuvent l’être.
Mais vous savez quoi, aussitôt qu’ils avaient reçu Jésus-Christ comme Sauveur personnel, pendant qu’ils étaient là, sans rien qu’un petit chiffon à peu près de cette grandeur, suspendu autour ici devant, comme cela; quand ils ont quitté le lieu, ils avaient leurs bras croisés pour s’éloigner de la présence des hommes, et aller chercher des habits à porter.
42 Eh bien, pourquoi se fait-il que nous qui nous disons chrétiens, nous enlevons des habits chaque année? Eh bien, je n’arrive pas à comprendre cela, quand de purs païens reçoivent Christ, ils commencent... ils se rendent compte qu’ils sont nus et croisent leurs bras, les dames, et s’éloignent. Que Dieu aide l’Amérique. Dans le... au sein de mon coeur, je sens couler des larmes: «Jérusalem, Jérusalem, combien de fois ai-je voulu vous rassembler comme une poule couve sa couvée. Mais permettez-moi de vous avertir, l’heure est proche.»
Quelqu’un a laissé un billet de dix dollars ici. Je ne pense pas que c’était pour moi, si donc cela... C’était probablement dans le plateau de collecte ou quelque chose comme cela. Cela appartient à quelqu’un. J’espère que je ne... Je déposerai cela juste en dessous de cette Bible, ou quiconque... à quoi cela est destiné.
Maintenant, je suis désolé de vous garder longtemps, mais je–je–j’aime de temps en temps témoigner. Je vais tâcher de ne pas aller au-delà de quatre heures ce soir avec ceci, si je le peux. Je suis... Et si je dépasse cela, que quelqu’un me tire le manteau. Je ne dis pas cela pour plaisanter, mais je le disais juste, car mon intention... Soyons clairs maintenant.
43 Et avant d’aborder la Parole, approchons-nous de l’Auteur. Combien connaissent Booth-Clibborn, William Booth-Clibborn? Oh ! C’est un orateur qui prêche dans sept différentes langues. Et c’est un ami intime à moi. C’est lui le compositeur de mon chant favori: Descendu de Sa Gloire. Et il est... Oh ! Il a composé Voici l’Epoux vient, et beaucoup de ces cantiques. C’est un anglais. Mais il est là dans l’Oregon actuellement. C’est un brave homme, un homme très bien, mais il est un... Oh ! la la ! Il sait... Il peut prêcher la Bible en grec, il prêche Cela dans n’importe quoi qu’il veut. Il–il prêche dans sept langues.
Alors, un jour, lui et moi, nous étions à Shreveport avec frère Moore, et nous discutions sur quelque chose. Et j’avais pris le côté opposé dans la discussion. J’ai dit l’une ou l’autre chose à ce sujet à frère Booth. Et il a dit: «Maintenant, écoute ça, jeune homme, a-t-il dit, tu ne connais simplement pas ta Bible.»
J’ai dit: «C’est peut-être vrai, Frère Booth. Mais j’En connais très bien l’Auteur.»
Il a dit: «Eh bien, c’est chouette ça, n’est-ce pas?» Il a dit: «Jack, tu dois l’aimer de toute façon.»
Je préférerais donc connaître l’Auteur plutôt que de connaître Son Livre, car, Il révélera le Livre si nous connaissons l’Auteur. Ainsi, avant d’examiner le Livre, parlons à l’Auteur avec nos têtes inclinées, s’il vous plaît.
44 Grand Dieu Omnipotent, Eternel, Infini, nous nous approchons humblement de Ton Trône de miséricorde, car Tu nous as invité à venir par le Seigneur Jésus, disant: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Nous venons donc avec l’assurance bénie de savoir que nous recevrons ce que nous demandons. Il n’y a pas d’ombre de doute dans notre coeur. S’il y en a, pardonne-nous, Seigneur, car c’est un péché de ne pas croire la Parole de Dieu et Sa promesse.
Nous demandons que le Saint-Esprit vienne parmi nous ce soir, qu’Il entre dans ces quelques mots arrangés, à partir du contexte de ce texte que j’ai tiré ce soir pour en parler aux rachetés par Ton Sang.
Et je suis conscient, Père, du sentiment que j’éprouverais si ce soir je tenais dans un verre deux gouttes du Sang littéral de Ton Précieux Fils. Combien j’étreindrais cela sur mon coeur, j’aurais à tenir cela de côté pour empêcher que mes larmes ne tombent dedans, sachant que c’est ce Sang qui m’avait sauvé, qui m’avait guéri ! Par ce Sang-là, je suis devenu un fils de Dieu par Sa grâce. Combien je chérirais cela, et je ferais attention pour que je–je place mon pied bien correctement. Je n’aimerais pas trébucher pour ne pas répandre cela pour rien.
45 Mais, Seigneur, ce soir, à Tes propres yeux, Tu as confié entre mes mains un trésor plus grand que ce Sang-là, pour Toi. En effet, Tu as confié entre mes mains ce soir les rachetés par ce Sang-là, car Tu as eu plus de considération pour Ton peuple que Tu en as eue pour Ton propre Sang; c’est pourquoi Tu as répandu Ton Sang pour eux.
Comment dois-je donc les aborder, Seigneur? Avec sincérité, honnêteté, d’un coeur complètement abandonné avec assurance, m’attendant au Saint-Esprit pour l’onction, car les paroles que je prononce me rencontreront en face au jour du Jugement, quand Tes enfants se tiendront là. Aie pitié de nous, ô Dieu.
Je Te prie de sanctifier l’orateur et l’auditeur. Oins les paroles afin qu’elles tombent dans les coeurs des gens, qu’elles produisent au centuple. Ceci est notre objectif. Notre motif, c’est de voir le Royaume de Dieu aller de l’avant. Ô Dieu, nous croyons que c’est Ta Volonté, que ceci s’accomplisse, que nous voyions Jésus-Christ sauver les pécheurs, ramener les rétrogrades à la communion, et guérir les malades par la foi en Son Nom. Amen.
46 Maintenant, mettant de côté toutes nos pensées, nos petites choses auxquelles nous pouvons avoir pensées ou ce que nous avons dit, abordons ceci dans un ordre divin. J’aime lire la Parole, car ma parole faillira. Je suis un homme. Mais je lis Sa Parole. Si donc rien d’autre... vous ne recevez rien d’autre, vous recevrez quelque chose après que j’aurai lu la Parole.
Dans Matthieu 12.42, voici les Paroles que nous lisons:
La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.
J’aimerais prendre cela comme texte: Il y a ici plus que Salomon.
47 Eh bien, Jésus réprimandait Sa génération pour n’avoir pas cru Son ministère. Combien Dieu a rendu cela clair, et cependant, ils ne croyaient pas cela. Ils étaient venus vers Lui, demandant un signe. Il leur avait donné un signe. Et ils savaient, ils avaient été mieux enseignés à ne jamais chercher à croire une théologie raide; en effet, il y en avait beaucoup, beaucoup. Mais Dieu s’est toujours manifesté par un signe qui confirme une théologie.
Maintenant, s’il y a des étudiants de la Bible ici... En fait, je suis dans un Institut biblique, et je parle devant des ministres intelligents et des étudiants intelligents. Et tout le monde sait que dans l’Ancien Testament, il y avait une loi, c’étaient les Dix Commandements. Et puis, ils avaient ce qu’ils appelaient l’Urim et le Thummim. Cet Urim et Thummim, c’était l’ensemble de lumières qui se reflétaient sur le pectoral qu’Aaron portait; cela avait douze pierres représentant les douze tribus d’Israël, leurs pierres de naissance.
48 Eh bien, quand un prophète prophétisait ou qu’un songeur avait fait un songe, peu importe combien cela paraissait réel, la théologie pouvait paraître tout à fait parfaite, mais avant qu’eux puissent accepter cela comme venant du Seigneur, on l’amenait devant l’Urim et le Thummim, on laissait ce prophète prophétiser devant l’Urim et le Thummim, ou le songeur raconter son songe. Et si l’Urim et le Thummim ne réagissait point, cela était faux. Mais si l’Urim et le Thummim produisait le surnaturel et formait un conglomérat de lumières, le surnaturel issu de cela, d’un signe, alors le prophète était dans le vrai. C’était là la confirmation.
Souvenez-vous de Saül, il a dit que l’Urim ne lui répondait pas et tout. Voyez, c’était un moyen pour eux de savoir cela.
49 Maintenant, aujourd’hui après cela, le sacerdoce araméen a cessé, Dieu a un autre moyen, un autre Urim et Thummim. C’est la Bible. Si un homme prêche quelque chose de contraire et qui ne se trouve pas dans la Parole de Dieu, alors je laisserai cela de côté. Mais s’il prêche ce qui est dans la Parole, et que Dieu en retour confirme cela par un signe de l’Urim, que c’est la vérité, alors c’est Dieu qui rend témoignage que c’est vrai. Ne pas croire cela, on est condamné.
Jésus... Les Juifs avaient appris à croire qu’ils auraient un Messie. Et on leur avait dit que ce Messie serait un Prophète. Et on leur avait dit qu’Il accomplirait le signe du prophète.
Or, Israël avait un moyen pour tester un prophète. En effet, si un prophète prophétisait et que ce qu’il disait ne s’accomplissait pas, il n’était donc pas un prophète. On le laissait tranquille. Mais si cela s’accomplissait, alors écoutez-le, car c’est Dieu qui l’avait envoyé. Eh bien...
50 Et ce Messie était le Chef et le Dieu de tous les prophètes. Il était au-dessus d’eux tous. Dieu n’a eu qu’un seul prophète majeur dans chaque génération. Il n’y en a jamais eu deux sur le champ de travail à la fois. Elie et Elisée ont marché bras dessus bras dessous, mais il n’est jamais devenu pleinement un prophète avant que la robe d’Elie soit tombée sur lui. C’est vrai. Voyez? Ils ont eu des prophètes mineurs et autres, mais cela...
Un prophète est un homme qui est né, prédestiné et préordonné pour cette génération-là. C’est ce qu’enseigne la Bible. C’est vrai. Dieu, par Sa prescience, établit quelqu’un comme cela. Eh bien... Alors, quand Jésus vint et accomplit toutes les Paroles que... Il était censé être ce Prophète-là. Ne savez-vous pas... Ils Lui ont demandé: «Qui dit-on que Je suis? Que disent-ils? «Es-tu ce Prophète-là?», ont-ils demandé.
«Vous l’avez dit.» (Voyez?)
51 Ou: «Nous attendons un prophète.» La femme au puits, comme nous en avons parlé l’autre soirée, a dit: «Nous savons que quand le Messie sera venu, ce sera Lui ce Prophète-là. Il sera cet Oint-là. Il nous montrera le signe du Messie.»
Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Elle est entrée dans la ville et a annoncé aux hommes: «Ne serait-ce point le Messie même? Il m’a dit ce que j’ai fait.» Et les hommes ont cru cela.
Eh bien, rappelez-vous, Il n’avait jamais guéri des malades; en effet, Il était Dieu. Il savait que Philippe descendrait guérir les malades après la Pentecôte. Il leur a simplement parlé, Il n’avait jamais accompli un miracle de plus. Mais cela prouvait qu’Il était le Messie, car Il connaissait le secret du coeur.
52 Maintenant, combien dans cette assistance croient, parmi vous les méthodistes, les baptistes, les pentecôtistes, quoi que vous soyez, combien parmi vous croient que la Bible est vraie, et que Saint Jean 1, là où il est dit: «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Et la Parole a été faite chair et Elle a habité parmi nous», est vrai? C’était Christ.
Combien croient donc Hébreux 4, là où il est dit: «La Parole de Dieu...» C’est Christ. Est-ce vrai? Il est la Parole vivante. «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, Elle juge même les pensées du coeur.» On revient à la Parole une fois de plus, et la Parole est avec nous.
Maintenant, comment vient la Parole du Seigneur? La Parole venait au... La Parole de Dieu venait au prophète. On ne doutait jamais de lui, car il avait la Parole du Seigneur, car ce qu’il disait s’accomplissait. C’était donc la Parole du Seigneur.
Jésus est venu, accomplissant cela, et ils L’ont taxé de diseur de bonne aventure, de Béelzébul, de démon. «Et taxer l’oeuvre de Dieu d’un mauvais esprit, a-t-Il dit, c’était un blasphème contre le Saint-Esprit et cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.»
53 Il n’est pas étonnant qu’Il les ait réprimandés en leur parlant. Ils ont dit: «Nous cherchons un signe.» Et après qu’Il eut prouvé le véritable signe du Messie... Ils étaient si versés dans leur théologie qu’ils ne voulaient pas voir cela. Ils ne savaient simplement pas. C’est tout. C’était clair devant leur face.
Maintenant, tout homme avec... qui connaît... qui jouit de ses facultés mentales, et qui veut connaître la Bible, sait que Jésus n’était jamais venu contrairement aux Ecritures. Il était venu conformément aux Ecritures. Mais Il est venu contrairement à la... à leur théologie. Et c’est ainsi que le Saint-Esprit est venu dans les derniers jours. Il est venu exactement conformément aux Ecritures, mais contrairement à la théologie des gens. Est-ce clair, cela... Cela vient comme cela.
54 Eh bien, Il les réprimandait parce qu’ils n’avaient pas cru Son signe messianique et qu’ils avaient taxé Cela d’un mauvais esprit. Lisez juste le suivant... le reste du chapitre, le premier du chapitre et voyez ce qui est arrivé.
Quand Il a parlé à Nathanaël là ce jour-là, Il a dit: «Je t’ai vu avant quand tu étais sous... quand tu étais sous le figuier, Je t’ai vu.» Nathanaël était un homme ordonné à la Vie Eternelle, il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.»
Il a dit: «Tu es heureux.» Voyez? «Parce que Je t’ai dit ça, tu as cru, tu pourras voir de plus grandes oeuvres que ça.» Voyez, il était alors prêt à entrer dans une autre sphère aussitôt qu’il... Il verra de plus grandes oeuvres. Il a dit: «Tu pourras voir des anges descendre et monter sur le Fils de l’Homme.» Maintenant... En effet, Il entrait dans des sphères plus élevées.
55 Si vous qui venez d’accepter Christ par la justification, de L’accepter par la sanctification et puis de purifier votre vie, vous continuez à fumer, observez ce qui arrive, combien c’est différent. Vous regardez la justification en arrière. Vous qui vous êtes simplement justifiés et qui n’avez jamais reçu le baptême du Saint-Esprit, montez dans cette sphère-là et puis, regardez en arrière, au reste de cela. Voyez? Continuez simplement à marcher après quelque temps, vous vous sentez très léger, vous pouvez marcher jusqu’à entrer dans l’Enlèvement.
Nous avions l’habitude de chanter ce vieux chant: «Chaque jour m’amène de plus en plus haut.» Voyez? C’est–c’est ce que nous devrions faire. Ne jamais allumer le feu au même endroit la seconde soirée. Continuez simplement à monter de plus en plus haut.
56 Il y a quelques jours j’étais à Phoenix. On chantait un petit cantique: «Je monte haut, haut, haut.» Et j’ai dit: «Il est monté jusqu’à atteindre les voies lactées.» Et c’est ce qu’il nous faut atteindre. Et puis, Il a effectué une promenade à la Maison aussitôt qu’Il a atteint la voie lactée. C’est ce qu’il nous faut donc faire.
Mais Jésus accomplit et montre à Son propre peuple exactement selon les Ecritures, et Il a été provoqué. Et il est dit: «Il n’a pas pu accomplir beaucoup de miracles à cause de leur incrédulité.» Eh bien, quand ils taxent ce même Saint-Esprit aujourd’hui de supercherie, de télépathie mentale, comment pouvez-vous vous attendre à un réveil? Comment pouvez-vous vous attendre, alors que Jésus a clairement parlé, et que les prophètes prophétisaient chaque soir, à ce que ces choses arrivent? J’aurais voulu avoir un mois à passer ici et enseigner cela de telle manière que vous voyiez, preuve infaillible à l’appui, que c’est ça.
57 Et alors, quand l’Amérique regarde cela, elle s’en moque: «Saint exalté, diseur de bonne aventure, télépathe mental.» Quiconque taxera le discernement de l’Esprit de la télépathie mentale, cet homme-là est fou. Il ne connaît pas le premier pas de la télépathie mentale, car, c’est de la psychologie. Cela montre qu’il ne sait pas de quoi il parle. Il fait montre de sa propre ignorance en professant ce qu’il prétend être. Il ne connaît même pas le premier pas de la psychologie, s’il taxe le discernement de l’Esprit de la psychologie.
Les gens prennent cela... Ils doivent avoir une réponse pour quelque chose. Et alors, au lieu de prier et de demander à Dieu de révéler cela, ils tirent leur propre conclusion, c’est leur propre conclusion comme c’était dans le jardin d’Eden. Les feuilles de figuier étaient les meilleures, ils acceptent donc cela comme cela. «Mon église ne croit pas cela, et c’est réglé.» C’est ce que Dieu a dit qui compte, pas ce que votre théologie a dit. C’est ce que dit la Bible à ce sujet qui compte. C’est ça la condition dans laquelle Jésus a trouvé l’église.
58 Nous le savons donc. Et maintenant, je ne vais pas vous garder comme je l’ai fait hier soir, si je le peux donc. Amis, je ne parle que sous inspiration, et je ne peux parler que quand Il me dit de parler. Et c’est ainsi que cela prend parfois beaucoup de temps.
Mais je–j’aimerais vous faire remarquer que Dieu, dans toutes les générations, tout au long de la Bible, a toujours eu Son temps où Il a envoyé Ses signes, Ses prodiges et Ses dons parmi les gens. Ainsi donc, cela, lors de la grande résurrection générale, Il pourra être juste, car Il peut faire comparaître un homme ici... Ne cherchez donc pas à nier cela. «Voici un homme qui vous avait parlé en long et en large, et vous êtes sans excuse», c’est ce qu’Il a dit au sujet de la reine là, vous savez.
59 Or, chaque fois que Dieu a donc envoyé un don au monde et que les gens ont reçu cela, ils devenaient... c’était un âge d’or pour eux. Mais quand ils rejetaient cela, ils tombaient dans le chaos, le désastre, le châtiment. Eh bien, vous les historiens de la Bible, notre... Montrez donc une seule époque où ils aient rejeté les dons de Dieu et Ses signes, et où ils aient jamais prospéré.
Une fois, quand ils allaient à la bataille, il a parlé... Dieu leur a parlé, disant: «Si vous voulez prospérer, ne faites pas de mal à Mes prophètes. Croyez Mes prophètes si vous voulez prospérer.» Eh bien, alors, nous savons que si les Etats-Unis d’Amérique ici avaient accepté le don de Dieu qui leur a été envoyé ... Des Etats-Unis sont sortis des évangélistes et des missionnaires qui ont commencé un réveil de guérison à travers le monde, comme l’Ange du Seigneur, il y a trente et un ans, avait dit là à la rivière quand cette Lumière , la Colonne de Feu était suspendue là.
60 Et les journaux avaient publié cela: «Une Lumière mystique apparaît au-dessus d’un prédicateur baptiste local, un jeune homme, pendant qu’il baptisait cinq cents personnes à la rivière Ohio.» Et Il a dit: «De même que Jean-Baptiste a été envoyé comme précurseur de la première Venue de Christ, ce Message sera le précurseur de la Seconde Venue.» Nous voici. Cela s’est-il accompli? Voyez? De là sont issus, comme des étincelles, Oral Roberts, Tommy Hicks, les Osborn et les autres; ils sont allés tout autour du monde. Voyez? Cela s’est fait.
Remarquez maintenant, si l’Amérique avait reçu le don de Dieu, ça aurait été l’âge d’or pour nous. Si toutes les églises en Amérique avaient accepté le don de Dieu... Qu’est-ce que le don de Dieu pour l’église? Le Saint-Esprit. Et si tout le peuple américain qui croyait en Christ avait reçu le Saint-Esprit? Ils n’auraient pas eu à se demander qui allait être dans le spoutnik, ou qui allait être dans l’appareil à cent quatre-vingt miles [289,72 lm] tout autour. Cette Eglise serait dans la Gloire avant qu’ils puissent larguer un spoutnik. C’est–c’est vrai.
61 Vous n’avez pas à vous inquiéter de... Maintenant, vous avez très peur. Eh bien, s’il... si nous avions reçu le don de Dieu pour nous, eh bien, nous n’aurions pas eu à chercher à creuser des abris pour nous abriter contre la bombe atomique et diffuser toutes ces informations sur la construction d’un abri où aller.
J’aimerais vous poser une question. On affirme que cette nouvelle bombe à hydrogène... Et c’est l’unique que nous connaissons. Nous ne savons pas ce qu’ils ont sous la manche. Mais ils peuvent se tenir là à Moscou, en Russie, et régler une bombe juste sur ce bâtiment à l’aide des étoiles, la guider par le radar et en pointer sur chaque nation principale, et chaque ville principale dans le monde. Juste tirer la ficelle, et la voilà partir. Un jour, quelqu’un boira une vodka de trop; et cela aura lieu.
62 Et chaque nation se tient là: «Nous avons la même chose.» Et l’une de ces bombes va apparaître à l’écran du radar de quelqu’un l’un de ces jours, et elle sera là. Et cela peut arriver avant l’aube. Mais avant que cela arrive, l’Eglise va monter. C’est vrai. Si cela est donc si proche, combien proche est la Venue de Christ? Celle-ci doit partir avant que cela arrive.
Je ne crois pas que l’Eglise passera par la tribulation. Je ne crois pas que les Ecritures soutiennent cela. Je... Maintenant, si je suis en désaccord, vous tous, mettez simplement cela de côté comme l’os du poulet, comme je le disais, ou comme un noyau de... Voyez?
63 Mais, rappelez-vous, il n’y avait pas une goutte de pluie qui était tombée avant que Noé entrât dans l’arche. Il n’y avait pas de feu qui était tombé, pas du tout, avant que Sodome... Lot sorte de Sodome. Jésus a dit: «Ce qui arriva en ces temps-là, arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.»
L’église est déjà... Elle n’a pas à être jugée. Elle a déjà été jugée. En effet, on a jugé Christ, Christ a enduré Son jugement. Comme nous sommes en Lui, nous sommes quittes du jugement. Si Dieu vous juge, alors Il est injuste. Christ a porté notre jugement, à nous. «Car nous avons tous été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul Corps. Celui qui croit à Moi a la Vie Eternelle et ne vient point en Jugement», Saint Jean 5.24. «Celui qui écoute Mes Paroles et qui croit à Celui qui M’a envoyé, a la Vie Eternelle, il ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie.» Amen. C’est cela l’Evangile. Oh ! Combien nous devrions être heureux rien que de veiller et d’attendre ce moment glorieux !
Eh bien, mais l’Amérique condamne cela, elle le rejette. Ils préfèrent avoir leur théol-... théologie. Eh bien, Jésus s’est référé ici à Salomon. Mais avant qu’il fasse cela...
64 Il y eut ici un homme dont j’aimerais parler juste une minute et c’est cet homme-là, Jonas. Beaucoup de gens rejettent donc Jonas, ils disent: «Oh ! Il est un Jonas.» Mais Jonas n’était jamais sorti de la volonté de Dieu. Comment un prophète peut-il sortir de la volonté de Dieu? Il était prophète de Dieu, comment le pouvait-il? Je lisais un livre ici il n’y a pas longtemps, quelque chose là-dessus. Ça peut être une fiction, ça peut être vrai. Mais Jonas avait pris... Dieu lui avait dit d’aller à Tarsis. Elie a dit à Elisée d’attendre à Guilgal aussi. Mais il a continué. Voyez?
65 Nous devons faire attention. C’est Dieu qui conduit Ses enfants, et les pas des justes sont ordonnés de l’Eternel. Ils sont conduits par le Saint-Esprit. Parfois, vous pensez commettre une erreur, mais si c’est l’Esprit qui vous conduit, faites-le malgré tout. Le Saint-Esprit dit à certains parmi vous qui êtes dans les fauteuils roulants: «Levez-vous et mettez-vous à marcher»; marchez de toute façon.
Comment vais-je m’y prendre?»
Ce n’est pas votre affaire. Ecoutez simplement ce que l’Esprit dit. Il vous dit de venir à l’autel, vous repentir; faites cela. «Mon voisin, mon pasteur...» Peu m’importe ce qu’il dit. Ce que le Saint-Esprit dit, allez le faire. «Les fils de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu.»
Maintenant, souvent, je suis entré dans des villes, je pensais avoir commis une faute, mais je continuais à combattre. Peu après, ce n’était pas une faute.
66 Jonas était censé aller à Ninive. Ninive était une ville de la taille pratiquement de Saint Louis ici. Des milliers de gens. Ils s’étaient éloignés de Dieu. Ils s’étaient mis à adorer des idoles. Et nous connaissons l’histoire. Jonas était censé aller à Ninive, mais il a pris le navire pour Tarsis. S’il était donc allé à Ninive, l’histoire n’aurait pas été écrite comme ceci.
Il a donc continué sa route vers Tarsis, et la mer immense commença à devenir houleuse et tout. Et–et Jonas, un homme de bien, honnête, il leur a parlé de ses péchés, et ils lui ont lié les mains et les pieds et l’ont jeté dans l’océan. Et Dieu avait un grand poisson là pour l’engloutir.
Vous savez, j’ai toujours eu pitié de Jonas. En effet, beaucoup de gens, on dirait, disent: «Ma main est estropiée. Eh bien, on a prié pour moi; il n’y a pas de changement.» «Le ventre me fait mal; il n’y a pas de changement.» Tant que vous regardez cela, il n’y aura pas de changement pour vous. Il vous faut regarder à ce que Dieu a dit.
67 Il n’y a pas longtemps, je suis allé prier, il y a de cela environ quinze ans, pour un jeune homme, il était couché, mourant de la diphtérie. Sa maman et son papa m’avaient réclamé d’aller là. Eh bien, je–je suis allé là. Et le médecin était un médecin catholique, il ne voulait pas me laisser entrer. Il a dit: «Etes-vous marié?»
J’ai dit: «Oui, monsieur.»
«Avez-vous des enfants?»
J’ai dit: «Oui, oui.»
Il a dit: «Je ne peux pas vous laisser entrer. Il a dit: «C’est contagieux.»
J’ai dit: «Monsieur, je suis–je suis un ministre de l’Evangile, je...»
Il a dit: «Peu m’importe.» Il a dit: «C’est contagieux. Vous n’êtes pas immunisé contre cela.»
J’ai dit: «Eh bien, ça peut aussi être vrai, mais Dieu m’en gardera.»
Il a dit: «Ecoutez, monsieur.» Il a dit: «Je ne peux pas vous permettre d’entrer.»
J’ai dit: «Eh bien, la mère et le père se tiennent là, pleurant que...»
Il a dit: «Le jeune homme se meurt. Il se meurt depuis vingt-quatre heures.»
68 J’ai dit: «J’aimerais vous poser une question, docteur. Eh bien, nous avons des vues divergentes sur–sur la théologie, ai-je dit; vous êtes catholique et moi, protestant. Mais ai-je dit, nous adorons le même Dieu. Nous empruntons simplement des voies différentes. Mais j’aimerais vous poser une question. Si c’était un jeune homme catholique qui était couché là mourant, que le prêtre se tenait ici, et que ce jeune homme là pleurait, le réclamant, que le père et la mère réclamaient pour que le jeune homme reçoive le dernier sacrement de l’église, le laisseriez-vous entrer?»
Il a dit: «Eh bien, certainement.»
J’ai dit: «Je représente pour eux ce que le prêtre représenterait pour ce jeune homme catholique-là.»
Et il a dit: «Mais attendez une minute. Le prêtre n’est pas marié. Vous, vous êtes marié.»
Et j’ai dit: «Et je veux signer une déclaration comme quoi j’endosse–j’endosse la responsabilité. Et cela ne m’arrivera pas.»
Je l’ai finalement persuadé, il m’a complètement habillé en Ku Klux Klan et–et tout le visage couvert.
69 Alors, je suis entré là-dedans. Il y avait une petite infirmière là. Et le jeune homme avait été inconscient depuis... ou deux jours. Et je ne comprends rien sur la médecine. Mais de toutes les façons, ils lui avaient fait passer un examen cardiogramme, une espèce de quelque chose dont l’aiguille était descendue jusqu’en bas. Et c’était bien rare qu’il vive. J’oublie combien de fois son coeur battait par minute.
Et alors, le vieux père et la vieille mère se tenaient là, ils ont dit: «Oh ! comme... Il a dit: «Mère, regarde. Frère Branham est ici. Cela va être... Le Seigneur va guérir maintenant !»
J’ai prié pour lui. J’ai dit: «Père céleste, je viens ici maintenant en tant que Ton serviteur. Je viens avec foi. Je... Tu m’as permis d’entrer d’une façon ou d’une autre, en plus, ce médecin a pressé un peu et il m’a permis d’entrer. Et maintenant, j’impose les mains à ce précieux jeune garçon mourant, et je réclame sa vie, qu’elle lui soit restituée, au Nom de Jésus-Christ.» Je me suis relevé.
70 Et la mère et le père ont commencé à s’étreindre et à dire: «C’est merveilleux, n’est-ce pas, mère?»
Et j’ai dit: «Croyez-vous?»
«Oh ! ont-ils dit, certainement.»
Ils ont donc continué. Et je sortais. Alors, la petite infirmière s’est avancée là, ils étaient simplement en train de pousser des cris et de louer Dieu pour la guérison du jeune garçon. Lui n’avait point bougé. Et la mère... la petite mère et le père se réjouissaient. Alors, l’infirmière s’est avancée, elle a dit: «Monsieur, a-t-elle dit, je crois moi-même dans–dans la foi, a-t-elle dit, mais comment pouvez-vous vous tenir là et vous comporter comme cela alors que votre unique enfant est étendu ici, mourant?»
«Oh ! Le père dit: «Il ne se meurt pas. Il est vivant. Il va vivre.»
«Eh bien, ont-ils dit, comment pouvez-vous vous représenter quelque chose comme cela?»
Il a dit: «Eh bien, il est assurément vivant.»
71 Elle a dit: «Ecoutez, monsieur.» Elle a dit: «C’est bien d’avoir la foi; nous tous, nous croyons dans la foi en Dieu.» Voyez, là, vous récupérez cette théologie hybride une fois de plus. Voyez? Et elle a dit... Mais elle a dit: «Une fois que cette aiguille-là...» Je ne sais quoi c’était.
Eh bien, s’il y a un médecin présent, je ne sais pas ce que c’était. Mais de toute façon, chaque... une fois que cela descend si bas, le battement du coeur à cause de cette maladie-ci, dans l’histoire, on ne connaît pas que cela soit jamais remonté.»
Le vieux saint homme a entouré de ses bras le cou de la petite infirmière, il a dit: «Ma chérie, a-t-il dit, tu as été formée à observer cet appareil-là. C’est ce que tu sais.» Il a dit: «Je ne te condamne pas; cela a fait beaucoup de biens.» Il a dit: «Mais, tu vois, ça dépend de ce que tu regardes.» Il a dit: «Toi, tu regardes ce que cet appareil indique; moi, je compte sur ce que la promesse de Dieu dit.»
Et ce jeune homme est un missionnaire en Afrique ce soir, père de deux enfants, il prêche l’Evangile.
72 Ça dépend de ce que vous regardez. La Bible, le chrétien, regarde à l’invisible, non pas ce que vous voyez ici, mais ce que Dieu a dit. C’est une promesse. Peu importe ce que dit la science ou n’importe quoi, c’est ce que Dieu a dit qui compte.
Vous savez, les gens parlent de symptômes. Je pense que Jonas avait un cas de symptômes le pire que j’aie jamais connu. Rappelez-vous, il était dans le ventre d’un grand poisson. Et alors, il était là loin dans l’océan, un voyage de quelques jours; peut-être, c’était à quarante brasses de profondeur là. Et c’était sur une mer houleuse, les mains liées derrière lui.
73 Et savez-vous ce qu’il faisait? Un poisson, une fois qu’il se nourrit, qu’il a le ventre plein, il descend au fond de la mer se reposer. Nourrissez simplement vos poissons rouges et voyez ce qui se passe. Ils descendent se reposer. Il avait donc ce prophète dans son ventre, il était donc bien plein. Il est–il est donc descendu se reposer. Et lui avait ses mains liées derrière lui, et s’il se retournait, il y avait le liquide visqueux du grand poisson; quand il regardait ce côté ici, il y avait le ventre du grand poisson; de ce côté ici, c’était le ventre du grand poisson; partout où il regardait, c’était le ventre du grand poisson. Or, il n’y a personne ici qui soit dans une situation aussi mauvaise ce soir. Vous le savez.
Mais vous savez ce que le prophète a dit? Il a refusé de considérer le ventre du grand poisson. Il a dit: «Ce sont des vanités mensongères. Je ne les regarderai pas.» Il a dit: «Mais encore une fois, je verrai Ton saint temple.» Car, quand Salomon consacrait le temple, il avait prié, lui un homme, un homme terrestre qui plus tard avait rétrogradé, quand il consacrait le temple de Dieu, il avait prié, disant: «Seigneur, si Ton peuple se retrouve en difficulté quelque part et qu’il regarde ce saint temple et prie, alors, exauce du haut des cieux.» Il avait investi beaucoup de confiance dans la prière de Salomon, un homme, par un temple terrestre.
74 Et Dieu, je ne sais pas ce qu’Il a fait. Il doit avoir mis une tente à oxygène là à l’intérieur, ou quelque chose comme cela. Mais il l’a gardé en vie trois jours et trois nuits, Il l’a amené à Ninive, où il était censé aller. Et si Jonas a pu avoir une si grande foi dans la prière d’un homme, un homme terrestre qui plus tard avait rétrogradé, en rapport avec un temple terrestre construit avec des mains, à combien plus forte raison sous... nous, dans ces conditions, nous pouvons avoir foi dans le Sang de Jésus-Christ qui est assis, non pas dans un temple terrestre, mais à la droite de Dieu le Père, avec Ses propres vêtements ensanglantés, intercédant sur base de notre confession? A combien plus forte raison pouvons-nous renier chaque symptôme qui est contraire à la foi de Dieu qui nous conduit? Comment pouvons-nous faire pareille chose? Maintenant, j’aimerais vous dire; Jonas n’était pas tout à fait cela, mais lui aussi... Jonas était dans la volonté de Dieu.
75 Or, les gens avaient commencé à adorer les bêtes et les animaux. C’est ce que font les païens. Adorer les animaux, je vois tous ces gens, ces drôles de chiens par ici, et on pratique le contrôle de naissance, je pense, cela a rattrapé l’Amérique.
Ainsi donc, nous revenons, nous trouvons qu’ils adorent... Le dieu de la mer était un grand poisson. Ils étaient des pêcheurs de métier. Tous les hommes étaient là avec leurs filets, pêchant. Et un jour, vers onze heures de la journée, le dieu de la mer est arrivé, le grand poisson, il est sorti de la mer. Tous les hommes eurent peur. En effet, le grand dieu de la mer arrivait. Il accoste, il fait sortir sa langue comme une passerelle, et un prophète sort droit en marchant et se met à prophétiser: «Repentez-vous, sinon cette ville périra dans quarante jours.» Il parcourait la rue, sa tête chauve brillant: «Repentez-vous, sinon cette ville périra. Repentez-vous, sinon cette ville périra.» Assurément, le dieu avait vomi le prophète. Assurément, Dieu sait comment faire des choses. Il sait bien comment faire concourir toutes choses.
Jésus s’est référé à lui ici: «Une génération méchante et adultère demande des signes», a-t-Il dit. Demander des signes... Mais Il a dit: «Ils recevront un signe, car de même que Jonas fit trois jours et trois nuits dans le ventre du grand poison, le Fils de l’homme...»
76 Maintenant, j’aimerais vous poser une question, vite donc. En effet, je vois qu’il nous faut nous dépêcher. J’aimerais vous poser une question. De quelle génération parlait-Il? Combien savent qu’un passage des Ecritures a toujours des applications multiples? Assurément. «De Ninive...» «J’ai appelé Mon Fils de l’Egypte», Matthieu 3. Parcourez la référence, c’était Jacob, Son fils qu’il avait fait sortir; c’était aussi Jésus, Son Fils. Voyez?
Très bien. Maintenant, s’Il parlait d’une génération méchante et adultère, c’était cette génération-ci. Une génération mauvaise, méchante et adultère. Et Il a dit qu’ils recevraient un signe. Maintenant, revêtez-vous de vos casques. Revêtez-les, ouvrez votre coeur. Outre cela, mettez un entonnoir spirituel pour recueillir cela. Rappelez-vous, Il a dit: «Cette génération méchante et adultère recevra un signe.» Quel genre de signe est-ce? «Le signe de la résurrection.» Comprenez-vous cela? Christ vivant ce soir parmi nous, accomplissant les mêmes oeuvres qu’Il avait faites. «Une génération méchante et adultère recevra le signe de la résurrection.» C’est exactement, exactement ce que les Ecritures avaient promis: «Recevra le signe de la résurrection.»
Maintenant, arrivons-en vite à mes dernières pensées. J’aurais voulu avoir plus de temps, mais nous n’en avons pas.
77 Il en arrive enfin à Salomon. «Du temps de Salomon...» Maintenant, accordez-moi toute votre attention pendant environ dix minutes. Du temps de Salomon, c’était un âge d’or. Dieu avait donné un don sur la terre. C’était un don de discernement. Salomon avait un discernement. Combien le savent? Il pouvait discerner, car cela venait de Dieu. La Parole de Dieu était avec Salomon; il pouvait discerner. Eh bien, tous soutenaient ce don-là. Oh ! la la ! Et tout prédicateur sait que c’était–que c’était l’âge d’or d’Israël: Pas de guerre, ils avaient construit le temple, et tout était en paix et tout, le... En effet, ils avaient accepté le don que Dieu avait envoyé.
Et en ces jours-là, ils n’avaient pas de télévision. (Merci, Seigneur.) Mais ils... Et le... tout ce qu’ils avaient pour–pour répandre les nouvelles, c’était de bouche à oreille. Et chaque caravane qui passait entendait parler de ce grand don. Ils allaient à l’église de Salomon et observaient cela, ensuite ils rentraient et répandaient cela dans la nation, au point que sa réputation s’était répandue partout.
78 Là loin à Séba, mesurez cela sur votre carte, voyez la distance, c’est juste là de l’autre côté du désert de Sahara, les gens traversaient par là. Il y avait là une petite reine, elle avait entendu parler de cette réputation. Tout le monde qui passait, qui passait par l’Egypte, disait: «Oh...» ou qui passait par Israël, disait: «Tu devrais monter en Israël. Oh ! leur Dieu est un Dieu vivant. Il agit parmi eux. Ils ont là un homme qui est oint de Son Esprit. Et il fait des choses qu’un homme ne peut pas faire. C’est surnaturel.» Et la petite reine s’est mise à écouter cela, tout le monde en parlait.
Et si seulement nous nous mettions à parler de notre Dieu comme cela, qu’Il donne le Saint-Esprit, la paix, la joie et la compréhension? Oh ! ne serait-ce pas merveilleux? Eh bien: «La foi vient de ce que [L’assemblée dit: «De ce qu’on entend»–N.D.E.], ce qu’on entend de la Parole de Dieu.» Maintenant, son petit coeur a commencé à avoir faim. Vous savez, vous ne pouvez pas parler de Dieu sans que cela donne à votre coeur la faim s’il y a quelque chose en vous de toute façon. Alors, son petit coeur a commencé à avoir faim: «Oh ! Je me demande si c’est vrai.»
La caravane suivante passe: «Est-ce que–est-ce que–est-ce que vous avez été en Israël? On me dit qu’il y a un réveil en cours là-bas.»
«Oui, ouais, ouais, ouais.»
«Avez-vous vu cela?»
«Oui. Oh ! Je vous assure, je n’ai jamais vu de pareil. Eh bien, il n’y a aucun être humain sur terre qui ait jamais connu cela. Cette sagesse-là, ce discernement-là est parfait.»
«Avez-vous vu cela?»
«Oh ! Cela a été exercé sur moi. Je sais que cela l’a été. Voyez? Assurément, c’était merveilleux. Oh ! Vous devriez voir cela. Oh ! Cet homme là, il–il... Eh bien, ça ne peut pas être un homme. Je–j’ai senti sa main. Je lui ai serré la main. Il porte des habits comme nous. Mais il est oint de l’Esprit de Dieu, et il rend toute la louange à Dieu. Il a dit que Dieu lui avait donné le don pour conduire les gens. Oh ! Comme tout est glorieux ! Vous devriez voir cela.
79 La foi vient de ce qu’on entend. Eh bien, aujourd’hui, nous dirions: «Ha ! Hum ! Nous sommes méthodistes. Nous sommes baptistes. Nous n’avons rien à faire avec ce genre d’histoires. Non.» Ce–c’est la raison pour laquelle nous n’aboutissons nulle part. C’est vrai. «Des saints-exaltés, cette bande de pentecôtistes? Non, non, rien à cela, bande de saints-exaltés.» Voyez, allez de l’avant. Notre nom est inscrit sur une bombe là quelque part. Nous–nous aurons cela. Nous recevrons la récompense, ne vous en faites pas. Ainsi donc, ils l’ont fait à l’époque, ils ont rejeté Jésus. Ils l’ont fait le jour où ils ont rejeté les autres, ils ont rejeté Noé et ainsi de suite jusqu’à la fin. Et Dieu ne faillit jamais. Il reste toujours le même. Nous recevons donc cela.
80 Eh bien, nous voyons la première chose qui est arrivée. Maintenant, observons donc cela pendant quelques minutes de plus. Eh bien, la petite reine commence à avoir soif, faim et soif. Qu’a dit Jésus? «Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice.» Qu’ils aient cela ou pas, ils.... Rien qu’avoir soif de cela, vous êtes heureux. Elle a donc dit: «Je dois aller voir.»
Ainsi donc, la chose suivante qu’elle fait, elle doit aller voir son–son pasteur, son évêque, vous savez, avant de pouvoir partir. Vous savez donc, elle est un dignitaire, vous savez. Alors, je peux la voir s’avancer et dire: «Saint père, on me dit que les Israélites là-haut ont un réveil en cours, et que leur Dieu est descendu, Il vit dans un homme, qui a un puissant discernement, et il n’y a rien de pareil.»
81 «Ma fille [Frère Branham se racle la gorge.–N.D.E.], je suis le révérend saint père, et tu comprends en fait que s’il y avait quelque chose de surnaturel en cours, c’est notre église qui l’aurait reçu.» Nous en avons toujours, vous savez. «Ne t’approche donc pas de cette bande-là. C’est une bande d’illettrés là-bas. Il–il n’y a rien de semblable. C’est tout simplement un semblant de foi. Il n’y a rien à cela. N’y va pas.»
«Eh bien, a-t-elle dit, regardez. Si c’était dans notre église, pourquoi donc ne vois-je pas cela dans notre église?» Voilà une bonne question: «Pourquoi ne vois-je pas cela?» Or, je suis ici et ma grand-mère est membre de cette église. Ma grand-mère et mon grand-père étaient membres ici. Mon arrière grand-père et mon arrière grand-mère étaient ici. Nous n’avons jamais vu une action de quelque chose de surnaturel. Ainsi donc, vous me dites tout cela, ces idoles et autres, vous avez un tas de livres ici, beaucoup de théologie, mais je ne vois pas ça. Mais on me dit qu’il y a quelque chose de vivant là-bas (Amen ! J’aime ça.), quelque chose de réel, quelque chose qui peut se manifester (Alléluia !), pas d’hybride, mais cela peut produire une chose correcte.»
«Eh bien, a-t-il dit, maintenant, ma fille, écoute. Te rends-tu compte que tu occupes un rang social? Tu es membre de tous ces clubs et autres. Si tu pars, tu sais ce qui va arriver.»
«Advienne que pourra.» Mon gars, quand un homme ou une femme commence à avoir faim de Dieu, il n’y a rien qui va l’arrêter. Elle descend jusqu’au bout.
J’aurais voulu que nous nous attardions davantage là-dessus, mais il nous faut nous dépêcher.
82 Elle va donc au fond, elle dit: «Vous savez quoi? J’y vais de toute façon. Peu m’importe donc qu’ils m’excommunient, qu’ils effacent mon nom du registre, j’y vais de toute façon. Cela ne change rien. Si notre église ne collabore pas là-dedans, cela ne représente rien. J’y vais, car Quelque Chose dans mon coeur me dit qu’il existe un Dieu vivant quelque part. Et je suis déterminée à Le trouver.» Amen. Eh bien, quand vous en arrivez là, rien ne va vous arrêter. Pas de saints pères, les évêques, ni rien d’autre ne va vous arrêter. Pas de cérémonies païennes, ni la théologie faite de main d’homme, ni rien d’autre, si Dieu frappe à votre coeur. S’Il ne le fait pas, malheur à vous. Que Dieu soit miséricordieux envers vous.
Nous voyons après, elle a dit: «Eh bien, maintenant, qu’ils enlèvent mon nom du registre...» Toutes les soeurs sont venues, elles ont dit: «Tu es la reine.»
83 Elle a dit: «Peu m’importe ce que je suis. Je dois répondre à cet appel qui retentit.» Quand la profondeur appelle la profondeur, il doit y avoir une profondeur pour répondre à cet appel-là. C’est vrai. Avant qu’il y ait une nageoire sur le dos d’un poisson, il a dû y avoir premièrement de l’eau où il devait nager.
Si vous croyez dans la guérison divine... si vous y croyez, dites amen. [L’assemblée dit: «Amen.»–N.D.E.] Cela montre qu’il existe la guérison divine quelque part (C’est vrai.), car sinon, vous n’auriez jamais éprouvé cet ardent désir.
84 J’ai lu au sujet d’un petit garçon dans un journal l’autre jour, il mangeait les gommes de ses crayons. Et sa maman l’a attrapé en train de manger la pédale d’une bicyclette. On l’a amené à un laboratoire pour... ou plutôt à une clinique pour l’examiner. On a découvert que son petit corps avait besoin du soufre. Il trouvait cela dans le caoutchouc. Pourquoi? C’est là qu’il y a le soufre, dans le caoutchouc. Voyez, avant qu’il puisse y avoir un ardent désir du soufre, il devait y avoir le soufre pour répondre à cet ardent désir. Avant qu’il y ait une création, il a dû y avoir un Créateur pour créer la création. Alléluia !
Et si, ce soir, nous sommes ici, ayant faim de la guérison divine, il y a une Fontaine ouverte quelque part. Si vous avez faim de plus de Dieu, il doit y avoir plus de Dieu quelque part, sinon vous n’auriez pas eu faim. C’est seulement la loi de cela, de Dieu, une de Ses lois, comme semer et récolter, et autres.
85 Remarquez donc, elle s’est apprêtée. Elle a dit: «Maintenant, attendez une minute. Cela peut ne pas être vrai. Je ne sais pas. Mais je crois que cela l’est. Vous savez donc, si c’est vrai, je vais amener beaucoup d’argent. Je vais soutenir cela. Et si ce n’est pas vrai, je ramènerai mon argent. Cela...»
Vous savez, les pentecôtistes tireraient profit de recevoir son conseil à elle. Beaucoup soutiennent donc des choses à la radio, qui se moquent et vous taxent de saint exalté, qui se raillent de vous, et néanmoins, vous soutenez des émissions à la radio et des histoires comme cela avec votre argent que vous avez gagné difficilement. Je l’investirais là où il va servir à quelque chose de vraiment bien. C’est vrai. Les ministres ne m’ont jamais dit de dire cela. Je ne parle à personne durant les réunions. Je reste seul dans la pièce. Mais c’est vrai. Si c’est vrai, cela mérite non seulement votre argent, cela mérite votre vie, cela mérite tout. Si ce n’est pas vrai, laissez cela de côté.
Je peux donc m’imaginer qu’elle a acheté tous les rouleaux et elle a essayé de lire ce que Jéhovah était. C’est un bon moyen; découvrir ce qu’Il est, ensuite vous verrez si c’est Lui ou pas.
86 C’est ainsi que les hommes devraient procéder aujourd’hui. Lire ce que Jésus était hier, ensuite voir si c’est Lui aujourd’hui. C’est vrai. Voir s’Il agit aujourd’hui de même qu’Il avait agi hier. Voir si c’est le même Esprit, le même Dieu d’un bout à l’autre de la Bible. Voir si c’est Lui. Voir s’Il accomplit la même chose. Si donc votre théologie est contraire à cela, débarrassez-vous de votre théologie et recevez Dieu. C’est vrai.
87 Maintenant, rappelez-vous donc, regardez. Elle avait beaucoup de dangers à courir. Cette petite reine avait beaucoup à affronter. Rappelez-vous, qu’a-t-elle fait? Elle s’est probablement cherchée une petite armée, un groupe d’eunuques et des servantes pour l’accompagner. Et, rappelez-vous, elle avait un long trajet à parcourir. Et en outre, les enfants d’Ismaël étaient dans le désert. Et c’étaient des voleurs. Eh bien, quelle proie facile ça aurait été avec tout ce...
Elle a pris beaucoup d’or, d’épices que le reste du monde ne connaissait pas, de l’encens, et de grands trésors coûteux. Eh bien, ce petit... Ces Ismaélites, des coureurs rapides qui pouvaient chevaucher là, tuer ce petit groupe, emporter cet argent, et s’en aller en quelques minutes.
88 Mais vous savez, quand quelque chose agit dans votre coeur pour trouver Dieu, vous ne connaissez pas la peur. Vous dites: «Puis-je marcher, Frère Branham?» Vous avez vraiment faim de marcher, Dieu place cela dans votre coeur... Vous dites: «Je pourrais commettre une faute.» Quoi? Faute? Dieu vous en tirera. Ne vous faites pas de souci si Dieu vous parle dans votre coeur.
Vous dites: «Frère Branham, je–j’aimerais être... J’aimerais prêcher le plein Evangile, mais j’en ai peur. Ils m’excommunieraient. Ils me retireraient ma licence en rapport avec cela.» Jetez-leur cela et mettez-vous à marcher avec Dieu.
89 Une infirmière me disait l’autre jour, elle disait: «Si je croyais dans la guérison divine, a-t-elle dit, on me débarrasserait de ma peau de brebis si je... Tout celui qui confesse la guérison divine...» Là à l’hôpital, j’avais prié pour quelques personnes et elles étaient guéries. Elle a dit: «Si je confesse cela, on me retirerait ma licence d’infirmière, on m’enlèverait ma peau de brebis.»
J’ai dit: «C’est une peau de chèvre. Débarrassez-vous-en et allez chercher une vraie peau de brebis, ai-je dit, oui, là où le Sang de Jésus-Christ est écrit.» C’est vrai. Tout... Je crois dans la médecine. Je crois dans les médecins. Je crois dans les hôpitaux. Mais ne soyez pas un fanatique. N’allez pas à cet extrême-là, savoir que ces choses sont les seules choses. C’est Dieu qui opère la guérison. Ces choses sont seulement la nature.
Je crois dans la mécanique. Je crois dans les automobiles, je crois dans le savon, pour nous laver les mains, les habits que nous portons, les appareils et autres. Je crois dans cela. Mais cela ne va pas empêcher ma foi dans le Dieu Tout-Puissant, de savoir que c’est Lui qui donne ces choses et qui me les envoies. C’est tout à fait vrai. Assurément.
90 Maintenant, nous remarquons qu’elle avait beaucoup d’obstacles. Mais vous savez, quand quelqu’un a réellement soif de Dieu, rien ne va l’arrêter. Elle est allée de l’avant. Maintenant, rappelez-vous, elle ne s’est pas déplacée juste pendant quinze minutes. Avez-vous mesuré la distance? Vous savez combien de temps ça prendrait en voiture? Eh bien, la première chose, elle devait traverser le désert de Sahara. Et elle ne voyageait pas à bord d’une Cadillac climatisée. Non, mais elle allait sur le dos d’un chameau. Cela lui a pris trois mois pour effectuer ce déplacement; trois mois. Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit: «Elle se tiendra devant cette génération et la condamnera.»
91 Des gens qui habitent de l’autre côté de la rue, ils ne veulent pas venir, ils ont des voitures et les moyens de transport et tout le reste, et néanmoins... C’est un indice. Elle se tiendra avec ces Etats-Unis et cette génération à sa résurrection et condamnera cette nation. Jésus l’a dit. Cela le confirme.
Elle n’est pas venue à bord d’une voiture ou d’une Cadillac climatisée. Elle a probablement eu à se déplacer la nuit dans... et la petite caravane avec quelques eunuques qui l’accompagnaient. Mais elle était déterminée à voir si c’était Dieu ou pas. Tout le long du trajet, elle lisait, elle a dû voyager la nuit. La journée, elle se mettait dans une petite oasis quelque part, les vents hurlaient, et elle lisait les rouleaux, ce que Dieu était et ce qu’Il pouvait... ce à quoi elle pouvait s’attendre si c’était Dieu.
92 Et quand finalement elle est arrivée là... Eh bien, elle n’était point venue pour rester comme certaines personnes à Bloomington, ou ailleurs. Ils arrivent, ils s’assoient une minute: «Je vais partir. Quelqu’un... Ma servante, ma Unetelle, m’a demandé d’y aller, je pense donc que je peux aller. Mais s’il dit une chose contraire à ce que je crois, je sortirai directement en tapant des pieds.» Cela montre votre ignorance. Cela montre dans quelle maison vous avez grandi.
J’ai grandi dans une maison de montagne du Kentucky, mais ma mère m’a élevé mieux que ça, pour avoir du respect. Si je venais, je resterais pour écouter cela, sinon je ne viendrais pas du tout. Mais se lever du coup et... «La première chose, dit-il, je ne crois pas cela, je m’en vais.» Vous y êtes. Allez directement de l’avant. Alors...
93 Mais elle était venue rester. Quand finalement elle est arrivée à l’entrée, qu’a-t-elle fait? Elle a déchargé les chameaux, elle a fait dresser sa tente, elle a pris des dispositions pour rester jusqu’à ce qu’elle soit convaincue, parcourant les Ecritures jusqu’à ce qu’elle eût examiné Cela pour voir si c’était vrai ou pas.
Maintenant, c’est ainsi que nous devrions procéder. Il n’est pas étonnant qu’elle condamne cette génération. Elle doit la condamner. Elle–elle la condamnera. Elle est restée. Non pas pour dire: «Eh bien, s’il prêche plus de vingt minutes, frère, je suis partie.» Très bien. Mais elle est restée jour après jour. Elle était venue parce qu’il y avait dans son coeur Quelque Chose qui tirait vers elle. Vous dites: «Mais, Frère Branham, cela peut représenter pour moi la perte de deux heures de sommeil.» Cela représentait pour elle un royaume. Mais Cela représentait aussi pour elle la vie.
Vous pensez que je suis dur, mais je ne le suis pas. Voyez? Je veux simplement que vous connaissiez la vérité.
94 Elle est donc restée là. Elle a déchargé les chameaux et elle s’est installée. Je peux me représenter, le matin suivant... Une petite saynète maintenant pour terminer. Elle s’avance au... Elle a dit: «Je vais découvrir maintenant. Je sais à peu près ce que Jéhovah est, parce que j’ai lu les prophètes, et je sais ce que je veux dire.»
Eh bien, les cloches de l’église avaient retenti, la musique jouait; peu après, le pasteur Salomon est sorti. Il est monté à l’estrade. Et il a vu la première personne qui avait la carte de prière, ou je ne sais quoi qu’ils avaient, avancer. Qui... Comment... La façon dont il avait choisi cela, il est monté. Elle a vu que ce discernement était parfait. Je m’imagine que son petit coeur a commencé à battre. Le suivant est monté, parfait. Le suivant est monté, parfait. Le suivant est monté, parfait. Oh ! la la ! Je m’imagine qu’elle est retournée dans sa tente, elle a fait venir ses petites servantes, elle a dit: «Oh ! C’est bien exact, c’est exactement conforme à cette Parole, à ces Ecritures ici que je lis. C’est conforme à tout ce que tous les autres m’ont dit. Je vais me trouver une carte pour monter là aussi. Oui, oui. Je vais donc aller.
95 Elle a donc pris son... une préposition. Et quand elle en est arrivée à monter... prendre ses dispositions plutôt. Et quand elle était prête... quand elle s’est présentée devant Salomon, la Bible dit que rien ne fut caché à Salomon devant elle. Il lui a dit ce qui était dans son coeur.
Vous savez ce que la petite païenne a fait? Elle s’est retournée (en effet, Salomon l’avait dit), elle a reconnu que cela venait de Dieu. Elle a dit: «Béni soit le Seigneur Dieu.» Suivez le mot Elohim, Grand Jéhovah, «béni soit le Seigneur ton Dieu qui te donne ces choses. Tout ce que j’avais entendu était vrai. Et c’est plus que ce que j’avais entendu», parce que ce n’était pas dans la précipitation (Voyez?), «c’est vrai, plus que ce que j’avais entendu.» Et elle a dit: «Heureux même ces hommes qui sont avec toi, qui se tiennent ici chaque jour et observent devant toi ce don, cette oeuvre. Ils sont bénis ceux qui sont avec toi. Oh ! Ceci est glorieux, a-t-elle dit.
96 Et Jésus a dit: «Elle se tiendra là au jour du Jugement et condamnera cette génération, car il y a ici plus que Salomon.» Ô Dieu, sois miséricordieux envers nous, c’est ma prière. J’aimerais aller un peu plus loin.
«Bénis sont les hommes qui sont avec toi, qui voient ceci constamment se passer tout le temps. Tout ce que j’avais entendu est vrai et plus. Il y a plus que ce que je pensais, c’est vrai.»Inclinons la tête.
Seigneur Jésus, Tu es toujours le même Dieu. Il n’y a pas de changement en Toi. Tu es Dieu sur le toit de la maison. Tu es Dieu dans la montagne. Tu es Dieu dans la vallée. Tu es le Dieu de la mer. Tu es le Dieu des cieux. Tu es le Dieu de la création. Tu es le Dieu de notre vie. Tu es le Dieu de tout ce qui existe. Tu es Dieu. Je Te prie, Seigneur, alors que ce petit groupe de gens, juste un... deux ou trois cents personnes sont assises ici ensemble ce soir. Mais Tu es venu depuis le Ciel pour entendre le cri d’un seul mendiant aveugle. Tu es venu depuis là le Ciel, une fois, pour exaucer, ou tu as traversé les océans pour aller auprès d’un seul homme qui était fou, le fou de Gadara. Tu as guéri ce seul homme et Tu es retourné chez Toi. Tu viendras de la Gloire ce soir pour confirmer Ta Parole, car la Bible dit que Tu veilles sur Elle pour La confirmer.
97 Ô Dieu, fais qu’ils ne fassent pas attention à ce pauvre homme illettré et stupide, qui se tient ici cherchant à proclamer la Parole. Mais que le glorieux Saint-Esprit vienne et parle. Ils forment une aimable assistance, Seigneur. J’aime leur parler. Je les garde trop longtemps chaque soir, mais, Père divin, un seul mot de Ta part représentera plus qu’un million de milliards que je pourrais dire. Viens, et prouve que ce que j’ai dit est la vérité, qu’il y a ici plus que Salomon. Viens, et prouve-leur, Seigneur, que Tu es le Seigneur Jésus ressuscité, qui tient Ta Parole.
Je me confie, ainsi que cette église et ces gens malades entre Tes mains, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
98 Maintenant, voulez-vous attendre dix ou quinze minutes de plus? Je–je ne prendrai pas du temps. Et où est Billy Paul? Il... Quelle carte avait-il distribuée lundi, le savez-vous? Ou le jour où j’ai distribué ce... C’était dimanche que j’ai prié pour les malades? Laquelle était-ce? La série A? La série A. C’est en ordre. A partir d’où avais-je appelé? La première partie de cela, depuis 1? Appelons-en la dernière partie. Voyons. Commençons à partir, d’où? A partir de 75. Voyons si nous avons cela. Est-ce que A-1...
Est-ce que A-75 est ici? Levez la main. Quelqu’un... Regardez votre carte. Non? Eh bien, nous allons commencer quelque part ailleurs. Oh ! C’est en ordre. Très bien. A-75, est-ce exact? Venez ici même, jeune homme. A-76, où est cela? Très bien, monsieur. A-77, levez la main.
99 Nous allons les prendre tous, il nous faut donc les appeler comme nous le pouvons. 77, où était-ce? 70... 77, 78? Qui a A-78, venez ici, 78. Maintenant, il y a quelque chose qui cloche quelque part. 75, 76, qui a 77? 76? Cette dame a 76. Qui a la carte de prière A-76? Très bien. Quelqu’un a levé la main alors qu’il ne devait pas. Ne faites pas ça. Vous nous embrouillez. Très bien. 76, 77, 78, 79. 79, levez la main, s’il vous plaît. Très bien, 80.
Maintenant, si vous ne pouvez pas vous lever, vous dans les fauteuils roulants... Avez-vous des cartes de prière? Eh bien, vous n’avez pas à avoir des cartes de prière pour être guéri, ceci permet juste aux gens de venir à l’estrade. Maintenant, 71... ou, par où ai-je commencé donc? [Un frère dit: «75.»–N.D.E.] 75. 75, 76, 77, 78, 79, 80, 81. 81, levez la main. 82, levez la main si vous le pouvez. 83, 84, 84? Très bien. 85, 86, 87, 87?
Regardez chez votre voisin. C’est peut-être quelqu’un de sourd et il n’entend pas. Regardez la carte de votre voisin. Regardez le... Où? On a cela. Très bien. 87, 88, 89, 90, 91, 2, 3, 4, 5 (2, 3, 4, 5), 96, 97, 98. 98, 98? Ai-je... j’ai raté cela. 98, levez la main, 98.
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... une carte de prière. Et vous êtes malade et vous voulez que Dieu vous guérisse, levez la main. Levez la main n’importe où, partout.
Maintenant, s’il vous plaît, ne soyez pas pressés. Restez simplement–simplement tranquilles juste quelques minutes. Vous allez–vous... cela va... Qu’est-ce qui pourrait être plus capital? Si le monde se tenait tranquille, s’ils allaient créer une bombe qui ferait exploser le reste du monde, cela–cela ne serait pas capital. Si vous alliez recevoir cent millions de dollars, cela ne serait toujours pas capital. Notre Dieu est-Il vivant? Notre foi est-elle vaine? Est-Il réel ou n’est-Il pas réel?
100 Si je disais à... Si–si tous ceux qui sont dans les fauteuils roulants là... Je pense que la raison pour laquelle ils–ils sont venus... Ils sont venus, on va prier pour eux. Nous allons descendre prier pour tous les fauteuils roulants demain soir, c’est ça. Ou, quand sera-ce, demain soir? [Un frère dit: «Vendredi soir.»–N.D.E.] Vendredi soir, on le consacre aux... roulants. Cela ne... Cela n’est pas nécessaire pour vous. Vous pouvez être guéri maintenant même. N’attendez pas vendredi soir. Je vous défie, vous dans ces fauteuils roulants, de regarder de ce côté-ci et de croire que je suis prophète de Dieu, ou, excusez-moi, je suis serviteur de Dieu. S’il vous plaît... Vous voyez, ce mot disperse et frappe les gens. Je ne suis pas un prophète. Je suis juste Son serviteur. Croyez cela de tout votre coeur.
101 Je ne peux pas vous guérir. Non, non. Personne d’autre ne peut vous guérir. C’est votre propre foi qui fait cela, mais seulement si vous vous rendez compte que c’est le même Jésus. Quand Il était ici sur terre, Il a dit: «Je ne fais que ce que le Père Me montre.» Est-ce vrai, parmi les prédicateurs? Saint Jean 5.19. Jésus, nous allons penser, n’a jamais accompli un seul miracle avant que Dieu le Lui ait montré, pas le Lui ait dit, mais le Lui ait montré en vision, sinon la Bible dit quelque chose de faux, Jésus a dit un mensonge. Il ne pouvait donc pas faire cela; Il est Dieu.
Jésus a dit dans Saint Jean 5.19: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. Voyez si ce n’est pas dans votre Bible King James, ou Moffatt, ou n’importe quelle traduction que vous voulez prendre. Voyez si ce n’est pas la même chose. Prenez le Diaglott en grec, l’original, si vous voulez. Vous trouverez la même chose. «Je ne fais que le... Je vois au Père...» En d’autres termes, Il accomplissait un acte d’une saynète.
102 Maintenant, pendant qu’on aligne les gens donc, j’aimerais vous poser une question. Regardez. Il y eut une fois dans la Bible une femme qui n’avait pas de carte de prière, dirions-nous, mais elle a dit: «Je crois que cet Homme-là est le Fils de Dieu. Si donc je peux seulement toucher Son vêtement, je serai guérie.» Combien savent que c’est la vérité? Et elle a touché Son vêtement, est-ce vrai? Elle est rentrée dans l’assistance. Peut-être qu’elle s’est assise tel que vous l’êtes, peut-être qu’elle est restée debout. Je ne sais pas.
Mais Jésus s’est arrêté. Et tout le monde faisait passer ses mains autour de Lui, ses bras, et disait: «Rabbi, nous sommes contents de T’avoir par ici.» «Viens, Rabbi, nous avons appris beaucoup de choses que Tu as accomplies en Galilée. Nous aimerions Te voir accomplir quelque chose par ici.» «Bonjour, Rabbi. Viens, on va dîner chez moi.»
103 Mais cette petite femme s’est avancée discrètement. Eh bien, Il n’aurait pas pu sentir cela physiquement, parce que ce vêtement-là était ample, et il y avait un vêtement en dessous. Je n’aurais pas senti cela, si c’était au bout de mon manteau ici comme on l’appelle. Et qu’en serait-il de ce grand vêtement ample? Mais Il a senti cela spirituellement. Suivez ce qu’Il a dit. Il a dit: «Qui M’as touché?»
Et Pierre fut très excité, il a dit... Il a repris Jésus. La Bible dit que Pierre L’a repris, il a dit: «Pourquoi dis-Tu pareille chose? Eh bien, Tu passes pour un insensé. Eh bien, tout le monde Te touche, et pourquoi demandes-Tu pareille chose?», Le reprenant.
Il a dit: «J’ai connu que Je suis devenu faible.» Est-ce vrai? Maintenant, lisez King James: «La vertu est sortie de Moi», ce qui est la force. «J’ai connu que Je suis devenu faible.»
104 Eh bien, si une seule vision, une seule personne a rendue le Fils de Dieu faible, qu’est-ce que cela me ferait, à moi, un pécheur sauvé par Sa grâce? Voyez? Maintenant, quand vous... On ne peut pas en prendre beaucoup, vous savez cela. On tombera à l’envers. Et quand Jésus a dit: «Vous ferez de plus grandes oeuvres», prenez Emphatic Diaglott en grec et voyez si ce n’est pas vrai, «vous ferez davantage», plutôt que de plus grandes, davantage. Vous ne pouvez pas faire de plus grandes. Mais vous pouvez en faire davantage; en effet, ça devrait être: «Vous ferez davantage.»
Eh bien, et Il a promené le regard sur l’assistance jusqu’à ce qu’Il a repéré la femme. Et Il a dit, Il lui a révélé qu’elle souffrait d’une perte de sang et que sa foi l’avait guérie. Est-ce vrai? Maintenant, combien croient qu’Il est toujours le même Christ ce soir? Combien savent que le Nouveau Testament, le–l’Epître aux Hébreux dit qu’Il est maintenant même, en cette minute-ci, notre Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Combien savent cela? S’Il est le même Souverain Sacrificateur, Il agirait de même. Il est le Cep, nous sommes les sarments. Il ne peut rien faire. Il attend que nous, nous fassions cela. Nous sommes cohéritiers et nous sommes Ses collaborateurs.
105 Maintenant, touchez-Le par vos infirmités. Vous qui n’avez pas de carte de prière, touchez-Le. Et si je vous ai dit la vérité, alors Il répondra par moi et vous dira la même chose qu’Il avait dite en ce jour-là. Combien L’aimeraient et croiraient en Lui, L’adoreraient et mourraient pour Lui s’Il faisait cela ce soir devant nous, après que nous... le discernement...
Père céleste, c’est aussi loin qu’un homme peut aller. La suite Te revient, Père. Tu dois parler, car je ne peux plus parler. Maintenant, c’est la confrontation: Est-ce que Ta Parole est vraie ou n’est-Elle pas vraie? Et accorde que tous ces gens dans ces fauteuils roulants, tous ces gens qui souffrent de coeur, tous ces gens qui souffrent de la tuberculose, du cancer, quoi que ça puisse être, laisse-les, Père, Te toucher ce soir. Que chaque personne ici présente soit guérie. Ô Eternel Dieu, je prie pour chacun d’eux.
106 Exauce ma prière, Père. De tout mon coeur donc, j’aime Te voir guérir tout le monde. Et, Père, Tu as guéri tout le monde. Je prie alors pour leur foi, qu’elle ne défaille pas en cette heure-ci, qu’ils sachent qu’il n’y a jamais rien eu de pareil depuis les jours de Christ Lui-même. Et Tu as promis que cela se répéterait en ces derniers jours, et le voici. Accorde-le, Seigneur. Je dépends de Toi. Je dis cela avec courage parce que je crois que Tu feras ce soir la même chose que Tu as toujours faite. Je me confie à Toi au Nom de Jésus-Christ. Amen.
107 Maintenant, que cette assistance sache que je ne prétends pas être notre Seigneur Jésus-Christ. Combien comprennent cela? Jésus est au Ciel. Quand Il viendra, tout genou fléchira et toute langue confessera. Mais j’affirme certainement que Son Esprit, le Saint-Esprit est ici. Et par un don divin de ce Saint-Esprit-là, quand j’étais un petit garçon, je n’avais que quelques mois, j’ai eu ma première vision. Des dizaines de milliers de visions se sont accomplies depuis lors et aucune d’elles n’a jamais failli. Je parle ici aux gens qui ont été avec moi autour du monde. Levez la main si j’ai déjà dit quoi que ce soit au Nom du Seigneur qui ne se soit pas accompli. Quelqu’un ici qui m’a déjà entendu dire quelque chose là, selon AINSI DIT LE SEIGNEUR, qui ait jamais failli d’être vrai? Levez la main et venez m’en parler. Voyez, c’est vrai. C’est donc Dieu. L’homme ne peut pas faire cela.
108 Et rappelez-vous maintenant, vous dans les fauteuils roulants, vous tous, ou vous sans cartes de prière, il n’est pas question de savoir si vous êtes ici ou pas, cela... le fait pour moi de vous toucher ne fera aucun bien. Le fait pour vous de me toucher, ça ne fera aucun bien. Mais si vous Le touchez, ça arrivera parce qu’Il a déjà acquis votre guérison. J’aimerais vous entendre dire cela ensemble. [L’assemblée répète après frère Branham selon qu’il dit les paroles suivantes.–N.D.E.] «Il m’a déjà guéri. Seigneur, viens au secours de mon incrédulité afin que je puisse croire et toucher le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de mon infirmité.» Eh bien, vous avez cela, maintenant, rappelez-vous.
109 Vous tous, dans cette ligne-là, qui savez que je ne sais rien à votre sujet, levez la main. Tous ceux qui sont dans cette ligne de prière, tout le monde. Tous ceux qui sont dans l’assistance, qui savent que je ne vous connais pas et que je ne sais rien à votre sujet, levez la main. Vous y êtes. Maintenant, voici, la Bible dit cela; voici, la Bible a promis cela, le Saint-Esprit... Et si ces oeuvres, vous vous rappelez, en fait cela va... Vous vous rappelez cette grande joie que vous éprouvez, cette chose appelée le Saint-Esprit, c’est vrai.
110 Maintenant, écoutez, à vous les pentecôtistes. Paul n’a-t-il pas dit: «Si quelqu’un parmi vous parle en langues et qu’il n’y ait pas d’interprète, un homme ordinaire dira: «Eh bien, vous êtes fous.» Mais s’il y a parmi vous un prophète qui prophétise et révèle les secrets du coeur, alors il tombera par terre et dira: «Certainement, son Dieu était parmi vous.» Est-ce vrai? Eh bien, si vous croyez dans le parler en langues, comment pouvez-vous renier ceci? Voyez? Voyez-vous ce que je veux dire?
111 Maintenant, qui est le premier? Qui est–est dans la ligne? Ce... Est-ce vous, jeune homme? Voulez-vous venir ici? Un jeune homme, pensez-y. Maintenant, je n’ai jamais vu ce jeune homme de ma vie, à ce que je sache. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Si c’est vrai, levez la main, monsieur, à côté de cette Bible. Je ne l’ai jamais vu de ma vie, je ne sais rien sur lui. Mais il se tient ici pour quelque chose. Peut-être qu’il est malade, je ne sais pas, je n’en ai aucune idée. S’il est donc malade, je ne peux pas le guérir. Mais si seulement je lui impose les mains et que je dise: «Vous êtes guéri. Gloire à Dieu, vous êtes guéri. Allez, croyez cela», eh bien, c’est en ordre. S’il croyait cela, il serait guéri, je pense, s’il croyait vraiment cela, pas faire semblant, mais qu’il croyait vraiment cela. Ne croyez-vous pas cela? Le jeune homme serait guéri.
112 Peut-être que c’est un problème d’argent. Peut-être que c’est un problème en famille. Peut-être qu’il est marié, et que lui et sa femme ont des difficultés. Peut-être que lui et son amie ont des problèmes. Peut-être qu’il n’est pas marié. Je ne sais pas pourquoi il est ici, je n’en ai aucune idée. Mais il faudra le Dieu du Ciel pour révéler cela. Maintenant, s’Il le fait, tout le monde ici saura que cela devra être un Esprit.
Le jeune homme peut être un étudiant de cette école ici. Je ne sais pas. Si c’est ça, je... et le Saint-Esprit fait quelque chose sur lui, j’ai confiance qu’il serait assez gentleman pour aller dire aux autres. Voyez? C’est vrai. J’espère que c’est ça. [Frère Branham a des problèmes avec le microphone.–N.D.E.] Pardon...?... cette affaire a un peu... Très bien. Maintenant, celui qui s’occupe du microphone, je ne sais pas. Quand la vision vous frappe, vous vous rendez compte que je regarde quelque part et je vois quelque chose qui est arrivé là loin quelque part ailleurs, peut-être, il y a des années passées et tout.
113 Maintenant, je vais vous demander d’être très respectueux. Quand le Saint-Esprit fait quelque chose et que vous voulez Le louer, c’est ce que vous êtes censé faire. Mais pendant que nous sommes assis maintenant, entrons respectueusement et calmement dans la Shekinah, dans la Présence de Dieu, afin que ce jeune garçon et moi ici... nous ne nous sommes jamais rencontré dans la vie, nous nous tenons ici. La terre... les gens ici qui vont dans l’Eternité rencontrer Dieu et répondre au jour du Jugement... Et nous regardons par-dessus la sainte Bible de Dieu.
Vous êtes un homme que... Peut-être que quelqu’un d’entre eux vous a donné une carte de prière et il s’est fait que ce soir, votre numéro a été appelé. C’est tout ce que vous savez à ce sujet. Nous nous tenons ici. Et si Dieu me révèle le secret de votre coeur et vous le dit, et s’Il me parle et vous dit ce pour quoi vous êtes ici, ou ce qui cloche chez vous, ou quelque chose dont vous, vous savez que moi, je ne sais pas à votre sujet, allez-vous croire de tout votre coeur, jeune homme? Est-ce que toute l’assistance croit de tout son coeur? En effet, ce jeune homme et moi, nous sommes deux hommes en route vers l’Eternité, au-dessus de cette Bible posée ici. Voyez?
Maintenant, Seigneur, c’est à Toi. Je ne peux que prononcer Ta Parole. Et Ta Parole est la Vérité, j’aborde ceci selon le Sang du Seigneur Jésus-Christ, confessant que ceci m’a été donné par un Ange qui ne peut pas faillir parce que c’est Dieu.
114 Non, vous n’êtes pas de cette école-ci. Vous n’êtes même pas de cet Etat. Vous venez d’un autre Etat. Vous venez du Missouri ici. Exact. Et vous êtes un ministre, un jeune ministre. Vous êtes dans la confusion au sujet de votre ministère, ce que vous devez faire. Vous avez ça à coeur et dans votre esprit. Vous essayez de chercher même un entretien privé pour que je découvre ce que vous avez à faire avec votre ministère. Restez là où vous êtes; Il est sur le point de vous utiliser. Me croyez-vous?
Voici une autre chose. Vous avez quelqu’un à coeur pour lequel vous priez. C’est un homme. Il se meurt du cancer et vous vous tenez ici à sa place. Ces choses sont-elles vraies? Elles le sont. Croyez-vous maintenant que vous recevez ce que vous réclamez? Allez donc. Que la paix de Dieu soit avec vous.
115 Maintenant, levons simplement les mains. Pentecôtistes, comment pouvez-vous vous tenir tranquilles alors que le Dieu même que vous aimez est si direct et si vrai? Croyez simplement. Les déclarations assermentées, le Saint-Esprit... Très bien.
Je ne vous connais pas, madame. J’aimerais que vous me regardiez par-dessus la Bible. Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Mais si Jésus-Christ me révèle, dans votre coeur, juste comme Il avait parlé à la femme au puits, et qu’Il me révèle quelque chose dont vous, vous savez... Si j’étais quoi que ce soit, je–je ne saurais pas, car vous savez que je ne vous connais pas, et vous ne me connaissez pas. Ces choses sont-elles vraies?
Vous dites: «Que faites-vous, Frère Branham?» C’est la Parole de Dieu ici dedans, qui est plus tranchante qu’une épée quelconque à deux tranchants, Elle discerne les pensées du coeur: Christ, la Parole vivante de Dieu, se manifestant par une preuve irréfutable. Croyez-vous que je suis Son prophète, ou Son serviteur?
116 Oui, vous êtes malade. Si Dieu veut me décrire là où est localisée votre maladie, allez-vous croire? C’est dans vos reins et dans votre vessie. Si c’est vrai, levez la main. L’un est à la base de l’autre, cela vient de vos reins, ça irrite la vessie. Vous avez combattu cela depuis un temps. Cela va vous quitter maintenant. Croyez-vous cela?
Vous ne venez pas d’ici même. Vous venez d’une autre ville, mais vous êtes d’Illinois, Urbana. C’est vrai. Vous êtes....?... C’est vrai, n’est-ce pas? Si je vous dis qui vous êtes, cela vous aidera-t-il? Madame Potts, ayez foi. Croyez-vous de tout votre coeur? Cela devrait régler la question.
Soyez simplement respectueux. Soyez vraiment respectueux. Accordez-nous environ cinq autres minutes. La personne suivante, s’il vous plaît.
117 Venez, regardez dans la Bible. Le Dieu du Ciel nous connaît tous deux. Il sait pourquoi vous êtes ici. Il sait pourquoi je suis ici. Mais quant à vous connaître, je ne vous connais pas. Je n’ai aucune idée de ce pour quoi vous êtes ici. Mais si le Dieu du Ciel me révèle ce pour quoi vous êtes ici, allez-vous croire que je suis Son prophète? Si donc... Je ne peux pas vous guérir. Vous le savez. Mais cela élèvera seulement votre foi pour la guérison.
Qu’est-ce que cela vous fera, vous là dans des fauteuils roulants? Regardez simplement. Croyez simplement maintenant. Votre heure approche, si seulement vous croyez cela maintenant même.
S’il vous plaît, ne vous déplacez pas. Voyez, chacun de vous est un esprit et j’ai un contact avec chacun de vos esprits comme un souffle, l’onction du Saint-Esprit.
Tout est péché quand cela vient sur vous, tout ce que vous regardez est péché. Et désobéir... C’est ce qu’Il m’a dit: «Si tu amènes les gens à te croire et qu’ensuite tu es sincère.» Quand je dis: «Restez calmes, ne vous déplacez pas», et que vous ne le faites pas, cela montre que vous ne croyez pas. Voyez? Et cela se reflète sur moi. Le Saint-Esprit dit: «Laisse-les. Laisse-les tranquilles.»
Mais je crie à Lui jour et nuit: «Seigneur, ne fais pas encore cela. Laisse-moi essayer encore»; en effet, je sais ce que représente le Ciel.
118 Avez-vous déjà lu le petit témoignage des Hommes d’Affaires Chrétiens, la petite translation, la vision que j’ai eue l’autre soir? J’aimerais que chaque personne ici présente arrive à en avoir un. Si vous n’avez pas assez d’argent, prenez cela de toute façon. Je paierai pour cela.
Avez-vous lu cela? C’est beau, n’est-ce pas? Oh ! Combien pourrais-je donc laisser quelqu’un rater un tel lieu?
Vous êtes nerveuse, avec des complications, beaucoup de choses clochent chez vous. Mais il y a une seule chose principale que vous avez à coeur, c’est pour quelqu’un d’autre; c’est une personne plus jeune; c’est une femme. C’est votre fille. Elle est horriblement nerveuse. Et elle a subi une intervention chirurgicale; c’est ce qui est à la base de cela.
119 Vous ne venez pas d’ici. Vous êtes originaire de l’Arkansas. Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? Cela vous aidera-t-il? Madame Martin, rentrez chez vous. Jésus-Christ vous guérit. Ayez foi. Ne doutez pas. Croyez au Seigneur.
Maintenant, cela m’affaiblit, frère. S’il vous plaît, tout le monde, s’il vous plaît, restez tranquilles. Restez calmes, s’il vous plaît, s’il vous plaît, s’il vous plaît. Je demande, s’il vous plaît, ne vous levez pas, s’il vous plaît. Juste... Cela me quitte (Voyez-vous?), et puis, il me faut revenir. Voyez? S’il vous plaît, soyez simplement respectueux. Très bien.
120 Je suppose que nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas, monsieur? Très bien, monsieur, nous sommes inconnus. Le Seigneur Jésus peut me révéler ce qu’est votre maladie, allez-vous me croire?
Je déteste vous dire cela. Voulez-vous que je vous le dise de toute façon? Vous êtes couvert par l’ombre: le cancer. Vous êtes couvert par l’ombre de la mort. Vous avez une mauvaise habitude qu’il vous faut abandonner. C’est vrai. Allez-vous le faire?
Permettez-moi de vous montrer quelque chose. Je perçois un autre esprit qui est en train d’agir, le démon. Vous cherchez à vous mettre en ordre avec Dieu. Franchement, vous venez d’être baptisé pour vous mettre en ordre. C’est vrai.
Cette dame assise là souffre de la leucémie. Croyez-vous que Jésus-Christ vous guérit? Si vous avez foi, Il fera... Acceptez-vous cela? Croyez-vous qu’Il vous guérira et vous rétablira? Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas? Voyez, c’est le cancer aussi, soeur. Il ne vous faut pas une carte de prière. Levez la main vers Christ, dites... La dame assise là en petit manteau rouge, posé sur ses genoux, cela... Ne voyez-vous pas tous cette Lumière suspendue au-dessus de la femme?
121 J’aimerais vous poser une question. Soyez sincère avec moi. Quand j’ai parlé du cancer et de la mort, quelque chose d’étrange vous est arrivé. Est-ce vrai? Vous avez éprouvé une sensation étrange, on dirait, qui vous a envahie. Voyez? Est-ce vrai? Si c’est vrai, faites signe de la main afin que ces gens-là voient. Voyez? Voyez, c’était aussi la mort, sur la femme. C’est la leucémie, du moins c’est ce que votre médecin a dit. Et il a raison.
Eh bien, tous les deux, vous êtes couverts de l’ombre de la mort. Ce faisceau noir émanant de celui-ci. Qu’est-ce? C’est ce démon ici dedans appelé cancer. Le cancer est un mot grec, ou un terme médical, qui veut dire le crabe. Mais c’est un démon. C’est un tueur, un tourmenteur. Cela est sur cet homme-ci et sur cette femme-là. Et voyez, il appelait au secours cherchant à amener cet homme-ci à douter de cela, et le Saint-Esprit l’a vaincu là-dessus, et Il a répandu la foi sur la femme. Elle a touché Quelque Chose. Voyez, ce démon pensait qu’il pouvait s’en tirer avec cela.
Allez-vous tous deux croire en Jésus-Christ et L’accepter comme votre Guérisseur? Levez la main. Alors, au Nom de Jésus-Christ, je condamne ce démon; qu’il vous quitte tous deux et qu’il parte. Allez et soyez bien portants. Allez et soyez bien portants.
122 S’il y a quelqu’un ici qui est sceptique, vous devriez avoir honte de vous-même. Vous êtes pire que les autres l’étaient.
Bonsoir. N’y a-t-il pas un huissier là pour prendre ces cartes de prière? Ces gens traversent avec cela, avec leurs cartes de prière en main. Maintenant, veuillez simplement attendre une minute ou deux de plus. Franchement, nous–nous allons, nous–nous allons arrêter. Je... Voyez, quand vous vous déplacez, vous vous levez et vous vous déplacez, cela met fin au contact avec l’Esprit. Voyez? C’est dans l’assistance.
Cet homme assis là même, souffrant de l’arthrite, croyez-vous que Dieu va vous guérir? Très bien, monsieur. Vous étiez en train de prier, n’est-ce pas, monsieur? Regardez quelle distance le sépare de moi. Très bien, croyez de tout votre coeur, et l’arthrite vous quittera.
123 L’homme assis juste ici derrière, derrière, deux ou trois derrière lui là, vous souffrez de la prostatite. Monsieur, vous étiez en train de prier, quelque chose vous a frappé. Quand j’ai parlé de l’arthrite à cet homme-là, quelque chose vous a frappé. Si c’est vrai, levez la main; l’homme un peu chauve, portant des lunettes... C’est tout à fait vrai. Croyez-vous que je suis Son prophète? Alors, je vous déclare guéri au Nom de Jésus-Christ.
L’homme juste derrière lui a eu une grande foi tout à l’heure. Exact. Je ne vous connais pas, monsieur, mais vous souffrez de la nervosité et des complications. Si c’est vrai, levez la main. Recevez votre guérison; Jésus-Christ vous guérit. Ayez foi. Ne doutez pas.
Nerveuse, anémique, hypertendue... C’est vrai. Est-ce vrai, madame? Levez la main. Acceptez-vous votre guérison? Très bien. Au Nom de Jésus-Christ, vous...
124 Pourquoi avez-vous levé la main là derrière, femme? Croyez-vous que je suis prophète de Dieu? Croyez-vous que Dieu peut me dire ce qu’est votre maladie? Allez-vous accepter cela de tout votre coeur? Vous souffrez d’une maladie gynécologique et de l’eczéma. Si c’est vrai, levez-vous. Rentrez donc à la maison et soyez guérie au Nom de Jésus-Christ.
Ne pouvez-vous pas voir que c’est le Seigneur Jésus? Je demande à chacun de vous de croire cela. Ces gens là dans l’assistance, sans cartes de prière ni rien d’autre, ils croient simplement.
Croyez-vous que je suis Son prophète? Si Dieu me révèle des choses qui sont dans votre coeur... Vous voyez, cela s’est simplement saisi de moi... Je ne peux donc pas rester ici davantage. S’il vous plaît, ne le faites pas. Je suis... Regardez-moi. Comme je l’ai dit, comme Pierre et Jean qui passaient par la porte appelée La Belle, ils ont dit: «Regarde-nous.»
125 Vous souffrez des yeux. Vous voulez qu’on prie pour vous. En effet, vous dites, vous portez des lunettes. Non seulement cela, mais vous souffrez des oreilles. Vous avez des problèmes là dans votre nez, qu’on ne peut pas voir. Si c’est vrai, levez la main. C’est vrai. Ils ne savent pas ce que c’est, mais en fait, ce sont des mycoses. Ça bouche votre nez là. C’est vrai. Et, autre chose, vous avez mal à la poitrine. C’est vrai.
Vous ne venez pas de cette ville. Vous n’êtes pas de cette contrée. Vous venez de Michigan. C’est vrai. Votre nom, c’est madame Swanson. Maintenant, rentrez chez vous et soyez guérie au Nom de Jésus-Christ.
126 Croyez-vous, chacun de vous? Imposez-vous donc les mains les uns aux autres. Je ne peux simplement pas rester plus longtemps...?... Imposez-vous donc les mains les uns aux autres où que vous soyez...?... Imposez-vous les mains les uns aux autres. Dans la Présence du Saint-Esprit... Je ne peux simplement pas supporter davantage, car vous tous, vous êtes devenus tout blancs là dans l’assistance. Il y a juste–il y a juste une Lumière au-dessus de chacun de vous. Si j’ai trouvé grâce à vos yeux, si vous me croyez, vous dans la ligne de prière, où que vous soyez... Si vous croyez de tout votre coeur et si j’ai trouvé grâce à vos yeux... Le Saint-Esprit est si fort ici ce soir que cela, qu’il y a, on dirait, une Lumière partout. Je n’arrive plus à voir les gens là dans l’assistance. On dirait qu’il y a tellement l’onction.
L’unique chose qui peut vous empêcher d’être guéris, c’est votre incrédulité. Vous dans les fauteuils roulants, où que vous soyez, le Saint-Esprit a illuminé tout le lieu de Sa puissance. Pourquoi n’acceptez-vous pas cela? Levez-vous.
Satan, je te réprimande, démon, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Sors de cette assistance et quitte-les.
E-1 Good evening, friends. It's great privilege to be back here in the auditorium again tonight, or the field house. And we are so happy to have this opportunity to speak with you again; but I hope not as long as I did last night.
My son was talking to some of the ministers and they said, "About how long does Brother Branham speak?"
He said, "Oh, not too long until he speaks on a subject of Abraham, sometime he just--just get lost."
And last night I was here about two hours and forty-five minutes. Someone said to me this morning, said, "What will Abraham be? It must be something."
You're such a nice people, and I like to speak to people that the Word responds to, see precious souls coming to the Lord. It makes it real nice. It's one of the greatest joys of my heart.
E-2 I remember one time when I was a young minister. I... There was another minister friend of mine, his sister; I taken her home after church one night, and we were going up the road. And she was kind of a formal Christian, as nominal, as I would say. And I believed that she believed in Christ, and so forth, but she hadn't went as deep as what I think a Christian should go to profess Christianity. And--and she said, "How about tomorrow night, going to the show?"
I said, "I don't go to shows."
And she said, "Well," said, "they got a skating rink down here, how about go skating?"
I said, "I don't go skating."
She asked me three to four different places, and I said, "I don't do that."
She said, "Well, as a young man here about twenty-two years old, where do you get any pleasure?"
I said, "In the house of the Lord." I said, "That..."
E-3 And a few nights after that I was in a church, and the young lady was setting back there. And--and so that night I made an altar call, and about twenty people came up around the altar, weeping, young folks. I motioned to her; I said, "I get more joy out of that than all the world could afford." And it's--it's such thing that you know you... You feel when you lay down at night you've done something, try to help somebody. That's what we're here for, to try to make life's burdens just a little lighter for you (See?), and--and to help those who doesn't know Christ to know Him.
Praying for the sick, I was coming up the steps, and I heard them mention about Friday night for the emergency cases. Well, that's true, when we get down and pray for all the emergencies. They set that night, of course, for that.
E-4 Now, Divine healing does not rest upon, remember, the laying on of hands; that's all right. Now, that's the American people. They have to have hands laid on them or they just don't believe it. That's all. You got to touch them some way and--or it doesn't--it doesn't work. And... But now, if you'll just bear with me just a moment.
Not to be different, but that is not the way God deals with Gentiles. That was a Jewish tradition. You remember, the Jew said to Jesus, "My daughter is variously vex--variously sick, and she's dying." Said, "Come, lay Your hand on her and she'll get all right": Jewish. But when the--went to the Roman's house, the Gentile, he said, "I'm not even worthy that You come under my roof. Just speak the word." See? And Jesus turned around to the Jews and said, "I haven't seen such faith as that in Israel." See?
E-5 Now, what did that Roman say? "I'm a man under authority. And I'm a centurion." That meant he had a hundred men, a century, a hundred men under him. And he said, "I--I--I say to this man, 'Go,'and he goes, this man,'Come,' and he comes." For why? He was over them. He was a master over them. And what did he say by telling Jesus that? That He was ruler, could rule all sickness, and anything that He said had to be. Oh, isn't that a real way to meet Him? "You just say my son lives, and he lives. Just speak the word. That's all You have to do."
Now, Durban, South Africa, recently, I don't know whether the boys has ever put that book out yet or not on Africa, written by Captain Julius Stadsklev... We had come into to Durban, South Africa, where we'd some meetings in Johannesburg. And oh, my, such things that would take hours to say what the Lord did... But when we went to Durban...
E-6 I never forget; Sidney Smith, the mayor of Durban, came and got me, and he said, "Oh, Brother Branham," said, "this is African history." He said, "You..." said, "they've been pouring in here for about five days." And said, "They're four or five days away yet," bringing their loved ones by homemade cart, way they could pack one another. And when the lion comes, they push him up a tree till the lion leaves, then go down, "Bring them on," trying to get them to the meeting. For they'd heard of what the Lord had did over in another place, Johannesburg, and--and then had be Johanna... many of the places. And so...
And I tell you; Christianity in Africa is a weakening thing. It certainly is, because we have taught reading, writing, and arithmetic instead of doing what Jesus told us to do. He said, "Go ye into all the world and preach the Gospel. These signs shall follow them that believe." Now, He never said, "Go teach the Word." He said, "Preach the Gospel." And the Gospel is demonstration of the risen Christ; that's the Holy Spirit. Paul said, "The Gospel come not in word only, but through the power, manifestation, demonstrations of the Holy Spirit." It would have to be to fulfill Mark 16.
E-7 And I was going out, Mr. Sidney Smith and I, the mayor of Durban, going out to the race tracks where... It's the second greatest race track in all the world. And then there they were... All the places taken up, all the way across the track, and places built on the other side. That was just our second day there. We had one day left. And it was on a Sunday afternoon.
Oh, you know how people can give a evangelistic count of being, some of them, "A half a million." You know how they do when... So it's... I judged a lot less then what they said the people was.
E-8 But today people are trying to see how many people you can get out. That doesn't have anything to do with it. It's whether Christ is there or not (See?); that's the main thing. And it's... And I'd rather be just by myself and be with Him, than be with ten million and Him not there. I... It's just wherever He is. And that's the main thing. It isn't who can get the greatest crowd and swing it out in papers and all that. Why, the Catholic church can beat all of us on that. In the United States Mr. President Kennedy could beat all them, I suppose, here in the United States.
So it isn't crowds. God doesn't dwell in crowds; He dwells in humble hearts. That's where He is. "Wherever two or three are gathered in My Name, I'll be in their midst." That's what we want to look at, not the great flowerly things, but the--the reality of a risen Lord Jesus.
E-9 Now, then in this meeting, I noticed so many of them there that had little tags around their throat. They didn't wear any clothes, most of them. They were primitive natives. And so I said, "What's the tags around their throat for?"
He said, "Oh, that's marked. They're Christian."
I said, "And packing idols?"
"Oh, yes, they pack idols anyhow."
And now, that's the strength of so-called Christianity. And so I... What do they do? Some mother sends her child there to be a missionary, think he'd be a David Livingston. And what happens? He lives in the finest hotel, and a nice car, ride out to the compound, have a little dance out there when they bring them up out of the diamond mines, and pass them out some tracts. What do they know about that?
E-10 But David Livingston days are not now. They don't go back in the jungles. And that's the strength of missionaries in the foreign lands, trying to educate them, abc's. And what do you do? You make them a twofold child, more of hell than they was when they started. They get down town, women have to pack guns in their pocketbooks, keep from being ravished. When he's out in the tribe, in his tribal condition, he's all right. Only thing he needs is Christ, because he's got... He's got tribal laws that'll outdo Christianity any way you take it.
For instance, in one tribe there if a young woman isn't married till she's a certain age. She--she has to--she has to take off tribal paint because she's been disgraced. And before she's married, she's tested for her virgincy. If she be found guilty, she has to tell the man that done it; they're both killed together. What if that happened in the United States; there'd be a lot of dying, wouldn't it, amongst called Christians? See, so they don't need morals. What they need is to know a Saviour.
E-11 So there they were pouring in there. And there's one guy there, and a little fellow, going along there with a idol in his hand. And I said... He said, "Would you like to talk to him?" Said, "He's--he's a Shangai. They have the Xhosas, and the Shangai, and the Basothu and the Zulu, and so many different of the tribes. And he said... He said, "He's a Shangai; I can speak his language." Said, "Call him anything you want to. I'll interpret for you."
And the mayor drove his car up. I said, "Hello, Thomas." I called him Thomas because being a Christian packing an idol. And I said, "Hello, Thomas." I said, "Are you a Christian?"
"Yeah," He believed in Amoyah. "Amoyah" is a word comes from "an unseen force" like the wind: Amoyah. He believed in Amoyah.
I said, "What do you pack the idol for then?"
E-12 Well, he had a good reason. His daddy packed it. One day a lion got after his daddy; he set the little idol down, made the fire, and said the prayer the witch doctor told him, and the lion got scared and ran away. I said, "I am a leo yakta." "Leo" the "lion"; "yakta" is "hunter." I said, "I hunt lions, and I know the nature of them. The prayer, nor the idol never scared the lion away, the fire did. The animal's scared of the fire." Oh, well, he would pack it anyhow. If--if the unseen One failed; this one wouldn't. So there is the strength of Christianity.
E-13 But when that day when the meeting started, I sent Billy down to give out prayer cards. Oh, mercy. You just couldn't think about such a thing. He didn't even have hardly any clothes on him when he got out. The people, and they had to have them. I've got a picture of it in colors where they had them fenced off by tribes, thousands times thousands. I had fifteen interpreters. When I'd say, "Jesus Christ the Son of God," I'd go get a drink of water and set down till one...
I used to hear the Pentecostal people speak in tongues, and I thought, "My, that can't be right." But after that day I realized it was right. There--there's not a sound can be made unless it means... You know, I believe the Bible said something like that, "There's no sound without a significance." You see that--that there's a meaning to every sound to something. Trumpet gives the uncertain sound, see then...
E-14 So one of them would go... I would say, "Jesus Christ the Son of God," one of them would go...?... [Brother Branham imitates the different interpreters languages--Ed.] Another go, "...?..." that's the Son of God, Jesus Christ. And--and others would make all kinds of funny warbles in their throats, like birds, but that meant Jesus Christ, the Son of God. It was interpreted to their tribes of ten thousand Mohammedans there. And so then... They're the kind supposed to be hard. There... Come from the old Medes-o-Persias who change not or alter not.
And so I met one missionary; he said, "Think of it, Brother Branham, I been here thirty years and I got one precious jewel."
I said, "What's that?"
"I won a Mohammedan to Christianity." That's really something for a missionary to win a Mohammedan to Christianity.
E-15 So that day when I said, "Well now, we cannot have prayer cards to line the people up, so I'm going to ask a missionary of each tribe to get at least one or two out of each tribe and bring them here at the platform." Well, they had a platform built, something higher than this, quite a bit higher, all the way across the race track; big speakers setting up from everywhere. And I said...
I quoted them the story of Jesus. I said, "Now, as far as healing is concerned or salvation, it is something that He has already done for you. It's yours. You just have to accept it, Divine healing the same way. But a question that's in your mind," I said, "perhaps just like it is in the most minds of the Americans and so forth everywhere: Is He really alive or did the--the Jewish traditions, they stole Him from the grave, and took Him away, is--is that it?" Said, "That's what you wonder."
I said, "Now, the thing is that He claims to be He's the same yesterday, today, and forever. Then if He is, will not He do as He did yesterday," and just give them the plain story. Take me about a hour to do it, just talking, to get it to them. Finally, they agreed.
E-16 Well, the missionaries had the people lined up. There was about eight or ten medical doctors, and there were all different denominations piled around there from everywhere.
And on the battlefield we don't ask, "Are you Methodist? Are you Baptist." Brother, it's trying to get heathens there. That's all. Even Catholic priests was there dressed, not as a Catholic priest, but with clothes on like the natives. See, you're on the battlefield then.
E-17 Just like I said last night: If we go battle, you don't say, "Are you a Hoosier? Are you a corn cracker? Who are you?" That don't make any difference. We're for one thing; that's for the nation. That's the way we stand in Christianity. That's the way we should stand at home, like that, if... We'd have a greater front to fight with, if we'd only do it.
And so then when the... The first one come up was a Mohammedan woman. And I--I said, "Do you speak English?"
"No."
So the Mohammedan interpreter came. And so the woman was a thoroughbred, dotted between the eyes, and so forth, with a red dot, which means she's truly Mohammedan, and a denial of Christ. So I said, "Well, why do you come to me as a Christian? You, being a Mohammedan, why didn't you go to your priest?" Oh, they're...
E-18 They believe in God. That's the children of Ishmael, the... Every morning that great bong rings out there and the priest comes out and said, "There is one true and living God." That's right. "And Mohammedan is His prophet."
We believe there's one true and living God, and Jesus is His Son.
And they say, "Far be it from God having the Son, Spirit having a son." So they don't believe that. So then, of course, they have to be that way; they're Ishmael's children.
So then--so then when the... this woman, I said, "Why didn't you do to your priest?"
She said, back through the interpreter always, she said, "I--I believe that you could help me."
I said, "Have you ever read the New Testament?"
She said, "I have."
E-19 And I said, "Then if you've read the New Testament, if Jesus Christ is that Prophet that was spoke of that should come, by Moses, spoke of the Prophet that should come, would He be a prophet?"
She said, "He would be."
I said, "Then if He died and rose again, your god, your prophet is dead and buried and at his grave for two thousand years." Changing guards every four hours, I've been there. A white horse, expecting him to come and ride the world down... But I said, "He's dead; His grave is there and he is buried beneath it, and he's gone." And I said, "But our Lord, Messiah, the Prophet of God," I said, "the Son of God, when He was here on earth, He... When He left, He sent back His Holy Spirit upon the church to do the same things that He did, and showed that He was still the Prophet amongst them." I said, "Do you believe that?"
She said, "If it is so, I believe it."
E-20 I said, "Then as a Mohammedan to a Christian, or a Christian to a Mohammedan," I said, "you perhaps... I say in that this section is all Mohammedans. There's at least ten thousand of you setting in here." I said, "This woman, I can't speak her language. But now, if this Jesus is Messiah... And the Messiah, as I have quoted to you from the Bible what He did when He was here on earth to prove that He was Messiah, and they failed to recognize it, only those who were ordained to life." I said, "Then if He would be alive and would promise that the works that He did we'd do also, would you believe that, you Mohammedan people?" And they raised up their hands.
E-21 So I turned to her and I said... Looked and I seen the vision. I said, "Now, your husband is a short man. He has a black mustache. And your name is..." I had to spell it out. I couldn't pronounce it. And she raised her hand, "That's true." I said, "You were in a doctor's office the other day. The doctor was bald, and he was not too old a man. He examined you, and he said you had a growth, or a cyst on your left breast. Your husband waited in the hall for you."
And the tears run down her cheeks. She said, "That's true."
And I said, "Now, what... Do you accept Jesus as your Saviour?"
She said, "I now renounce Mohammed and accept Jesus Christ as my Saviour."
I said, "Then in the Name of Jesus Christ, I pronounce you healed. Go, let your doctor examine you and bring me his testimony."
E-22 The next come was a woman that was a white woman. She was Afrikaans. Now, there's a difference between Africa; that's the dark man. Afrikaans is the Boer, the white man in Africa. And I said, "Do you speak English?" It's a bilingual country.
And she said, "I do."
And I said, "Then do you believe that God sent His Son to die in your stead?"
She said, "I am a Christian, Mr. Branham."
And I said, "Well, then do you believe me to be His servant?" You have to watch the words you say to them. And I said, "Do you believe that?"
She said, "I believe the story that I read in your book is true. I believe that you are God's servant."
E-23 I said, "Then if I am God's servant, if I could heal you and would not do it, I would be a--a awful person, if I could help you in any way." And I said, "The only way I can help you is through a Divine gift. If He was standing here Himself, He could do no more, because for your healing and so forth, He's already did it."
She witnessed that. I looked at her, and I said, "You have been to a doctor also, and he said that you had a cyst on the ovary."
She said, "That is true." And I looked and I seen a funeral procession. I said, "Prepare yourself for death."
And she said, "What do you mean?"
I said, "You're not going to live but a little bit." And in ten minutes the woman had set down by her husband and dropped in a heart attack. She was dead. And...
E-24 Now, if I'd be a healer, I'd have healed her. And that same night, the mayor of the city, a friend of his, died, an old woman sixty years old. And I was sent to the place where she was, and she was raised up from the dead. See? It's God; He does just what He wants to.
Now, remember, you who reading these Christian Business Men, when they put in there 'has raised the dead,' remember, before you can put that in public, you have to have documented statements from doctors and so forth that that's true. And everything you read in there, we've got documented statements of it. That's...
E-25 That baby that died there in Mexico... As you read, that baby died that morning at nine o'clock, signed by a doctor, and it was ten o'clock that night when the little Catholic woman standing in the--down there screaming and going on, where thirty or forty thousand people... And I sent Brother Moore down to pray for the baby. And they'd... Why, thirty or forty ushers couldn't hold her out of the line. She'd run between their legs and everything trying to get up there: and raining just as hard as it could rain.
E-26 I looked out and seen a little baby standing, smiling, looking at me. I said, "Bring it here." Just no more than laid hands on the little wet blanket, and the little fellow begin kicking and screaming. She jumped down to say a Hail Mary, and I said, "That's not necessary. Give God praise," and went on.
And so Brother Espinosa went to the doctors, chased it down the next day. And we have a signed statement from the doctor that the baby died with double pneumonia that morning at nine o'clock, and this was about ten-thirty the following night, so--when the baby come to life. A signed document...
E-27 That you find about Finland, I have the mayor of the city with his own seal that he was standing present when the boy had been laying dead, crushed by a automobile, and was raised up from the dead by a vision that was told here two years before it happened. See? So these are all documented statements that they are true.
Now, the end of that revival that afternoon, or the end of that meeting, there was a little cross-eyed boy come next. And the poor little fellow, he'd... I'd tell you what--way they eat, but it'd make you sick what they find to eat. If it's full of maggots, that's just more meat. So they don't pay any attention to it. You see? They--they build up inoculation from it. So they--they eat. And he'd... The blood was all over his little belly.
E-28 And he was a Zulu, the Zulu's a great big strong man. He throws his eseguard, with his hand pin a lion to the ground. The Shangai and many of those were little fellows that let the lion jump right into the spear. They dragged this. What we call spear, they call "eseguard."
So this little fellow coming on the platform, I said, "Now, the audience can see the little lad is--is cross-eyed." I said, "Anyone knows that." I said, "Now, I could not heal the child; anyone knows." But I said, "Now, if the Holy Spirit could reveal what caused that, or how it happened..." I looked at the little boy, and I said, "Yes, his father and mother are rather rare for Zulus. His mother's a extremely thin woman. And they are Christians. And the hut that they live in, as you go in, to the right hand side of the door there's a picture of Christ hanging on the wall. And the baby was born cross-eyed. And about a hundred yards from me, the mother and father raised up to give witness through the--the Zulu interpreter got it on.
E-29 And while I looked back at the little boy, his eyes was just as straight as mine. I said, "Anyone sees that the little fellow is healed, so just pass him on."
So started on. In a few minutes I heard a fuss back there on the platform and looked around. It was a little British doctor. And this little doctor was fussing about it. And so...
Brother Ern Baxter, I know many of you know Brother Ern Baxter, and how many of you ever heard of F. F. Bosworth? I heard that he had... I heard that was one of the last men that held a divine campaign healing here in this city, or around this country. You couldn't have had a better; F. F. Bosworth, I... When he was dying I grabbed him in my arms and cried, "My father, my father, the chariots of Israel and horsemen thereof." He was a man who brought dignity and power to the Pentecostal church: F. F. Bosworth.
E-30 Well, he was on the platform. And he come, he said--he said, "I want to talk to him."
The man said, "Now, while Brother Branham is under the anointing, you'll cause a race riot here or something," 'cause they had militia out there anyhow, watching, 'cause they have tribal wars. And so I said... Turned around, and I said, "What's the matter, doctor?"
And he looked at me and said, "How did you know I was a doctor?"
I said, "What are you so curious about?" He said... Then they let him come up.
And he said, "Mr. Branham, what did you do to that boy?"
I said, "Nothing."
He said, "What kind of a--of a shenanigan are you trying to pull?"
I said, "What do you mean?"
E-31 He said, "That boy, what did you do to him? Did you hypnotize that boy?" He said, "I put him up on the platform right there, myself, and he was cross-eyed. Now, he isn't cross-eyed." Said, "Did you hypnotize him?"
I said, "And then the British Medical Association gives you license to practice medicine and know no more about hypnotism than that?" I said, "If hypnotism will straighten a child's eyes, don't you think you fellows ought to be practicing up a little bit on hypnotism?"
And he said, "I am curious, Mr. Branham." He said, "I'm a Christian. I have been raised in the Anglican church." He said...
E-32 Now, the calla lilies there, sisters, you ought to see them. Our little ones about like that, some of them is eighteen inches across, growing wild in the desert, in the jungles: yellow and white. There is great big bouquets of them setting all over.
He said, "Now, I know there is a God, 'cause that lily couldn't live without life." He said, "That life is hidden somewhere in the lily." He said, "I know there's a God. But being tangible enough to straighten the eyes of a cross-eyed child, I can't understand that."
E-33 I said, "Mister, I never touched the child. It was before the audience here; they seen the child cross-eyed between here."
He said, "Something between there and here happened."
I said, "Jesus Christ healed him."
And so Mr. Bosworth got him by the arm, said, "Sir, you'll just have to go back."
And he said, "Wait just a minute." There was a big webbed mike here because it was carrying so far, for several city blocks where they were laying, and so forth. He said, "Just a moment." He said, "Mr. Branham, do you tell me that Jesus Christ is so tangible that He can make cross-eyes come straight?"
I said, "That is right, by faith, if you believe it."
He said, "Then I accept Him as my personal Saviour."
E-34 And when I left at Johannesburg about six... About--about ten days later, there was about twenty or thirty thousand people out there saying good-bye. And he jumped over the fence beyond the guards, and run out, and grabbed me around the neck, and has become a missionary. And when he throwed him arms around my neck, he started speaking in tongues out there on the plat--out there on the plane. Now, he--he's a medical doctor to the missionary doctor back in the great lands of Africa tonight.
The next come on the platform. If you'll excuse me for taking just this much time for a testimony. They... The next man come, they led him like a dog. He had a chain around his neck. And I could not explain what it--what it was, because a mixed audience. But the man had never had a bath in his life. He was probably in his twenties: walked on his hands and feet with a chain on his neck. He wasn't even mentally right.
E-35 And so they brought him up. And I said, "That poor mortal. If anybody could help that man, and would not do it, is not even worthy of living themselves." I said, "I could not help him no more, than if the Holy Spirit would tell me what had happened to him." I said, "I--I could do that by a Divine gift." But if he will believe," I said, "then I'll pray for him."
And so I started to look at him. I said, "He was born that way." And it happened to be his parents wasn't setting very far. And I said, "But now since I got his attention, he's thinking about his brother. His brother was riding," I said, "either on a yellow goat or a yellow dog, and it... He hurt his knee and he walks on two crutches." I said, "He's much younger and thinner than this man." But I said, "Wherever his brother is, THUS SAITH THE LORD, he's healed." I said, "He doesn't have to walk on his clubs no more."
E-36 And about a city block away, I heard a screaming. Here he come jumping just as hard as he could with the clubs in his hands. And He got... He was healed. Well, then it taken us about twenty minutes to get him quietened.
During that time, I looked, and I saw a vision above him. The man was standing up normal. I thought, "Oh, my. Here's the time to get my audience now." And I said, "If God will make this poor crippled mortal to be well, how many of you people will accept Jesus as your Saviour?" And as far as you could see the black hands up like that.
I knew it was going to happen, 'cause I'd done seen the vision. You see? When you see that, that's all over then. There ain't enough--there ain't devils out of hell could stop that then 'cause it's already... It's a finished work. Only thing is just waiting to happen. That's exactly what our Lord said. That's what anyone of the Bible... Jesus said, "I do nothing till I see the Father doing it first." See? So it's exact.
So I looked at the man. I knew he was going to be well. So I said, "To you Mohammedans out there..." Their hands went up.
E-37 Now, I said, "Stand up on your feet; Jesus Christ makes you well." And he tried... You know they clown a lot for the tourists. They--they tried--thought he was doing a tribal dance. He was taking his hands like this [Brother Branham illustrates.--Ed.], poor man not even mentally right. And I said, "I didn't mean that--didn't mean that."
And the interpreter was trying to tell him. I said, "Stand up." And he was going...?... [Brother Branham imitates the man's language--Ed.] like he was dancing, you know, trying to do, on his hands and feet: no clothes on, just clout. And I got a hold of the chain, I said, "Stand up. Jesus Christ makes you well." And when he got what... Stood to his feet for the first time in life. There the tears running off onto his black belly, spatting like that...
E-38 And I seen thirty thousand blanket natives come to Jesus Christ in one altar call. I said, "How many of you will receive Christ as personal Saviour? And thirty thousand stood to their feet. And I said...
Brother Baxter said, "Brother Branham, I think they meant physical healing." I said... I--I take it through the interpreters again. I said, "I did not mean physical healing; I meant that you have--you accept Christ as your Saviour, God's Son. And if you're sincere, break your idols on the ground." And it looked a dust storm, like an atomic bomb had hit, and a mushroom of dust go up like that.
E-39 And the next morning, Sidney Smith called me; he said, "Brother Branham," Monday morning he said, "you've never seen nothing like this." Said, "Be... Go to the window of your hotel that faces the seaside and watch coming down the street."
And I looked, coming down the street, and there was seven van loads... Now, you that knowed F. F. Bosworth knows he doesn't give evangelistic count. I made a congregational prayer. There was four people on the platform. I made a congregational prayer and F. F. Bosworth estimated twenty-five thousand miracles performed at one time. Why, it--it was ten times bigger then Pentecost. And now... And here's...
E-40 They coming down the street the next morning, seven of those big African vans, my, much longer than our trailer trucks here, just piled full of old--of things that they had packed them on, and clubs, and stretchers, and carts, and things they'd wheeled them in on. And here they was coming behind. They were setting in it the day before, and the next day walking down the street singing, "Only believe, all things are possible, only believe."
I heard it a many time, and it has thrilled my soul every time I hear it, because it's been my theme song for years. But never did it strike my heart like that to hear thirty--all those thousands times thousands of natives coming down the street no longer in war.
I got a place out of the Durban paper said within three months time, I forget how many firearms and loads of things that they'd stole and was bringing it back. They were through with sin.
E-41 Let me say another thing here. We're supposed to be in civilization. Them women, standing on there, them women, one gave birth to a baby setting not twenty feet from me. She never had no doctor. She just picked the little fellow up. A lady next to her had it, given birth to the baby, give the little posterior protoplasma stimulation. And she raised it up to her breast and begin to nurse the baby, and went right on rocking the baby listening to me preach. Just as primitive as they could be...
But you know what, as soon as they received Jesus Christ as personal Saviour, standing there with nothing but a little clout about that much hanging around the front of them like that, when they left that ground they folded their arms to walk away from the presence of men to get clothes to put on.
E-42 Now, why is it we call ourselves Christians and taking more clothes off every year? Now, I can't understand that, when a raw heathen receives Christ, they begin... They realize that they are naked and fold their arms, the ladies, and walked away. God help America. In the--in the midst of my heart, feels the tears drop down, "Jerusalem, Jerusalem, how oft would I have hovered you as a hen does her brood." But let me warn you, the hour is near at hand."
Somebody has left a ten dollar bill laying here. I don't think it was for me, so if it... It was probably in the collection or something. It belongs to someone. I hope I don't... I'll lay it right underneath this Bible, or whoever--what it's there for.
Now, I'm sorry to keep you long, but I--I--I just once in a while like to testify. I'll try not to be over four hours tonight in this if I possibly can help it. I'm... And if I'm over that, somebody pull my coat. I don't mean to joke but I just said that 'cause intention let's clear up now.
E-43 And before we approach the Word let's approach the Author. How many knows Booth-Clibborn, William Booth-Clibborn? Oh, he's an orator preaches in seven different languages. And he's a bosom friend of mine. He wrote my favorite song: "Down From His Glory." And he is... Oh, he wrote, "Behold the Bridegroom Cometh," and many of those songs. He is an Englishman. But he's up in Oregon now. He's a fine man, real good man, but he's such a... Oh, my, he know... He can preach the Bible in Greek, preach It in anything he wants to. He--he preaches in seven languages.
So one day he and I was at Shreveport with Brother Moore, and we were discussing something. And I had the opposite side of the argument. And I said something or another about it to Brother Booth. And he said, "But listen here, young fellow," he said, "you just don't know your Bible."
I said, "That may be true, Brother Booth, but I know the Author real well."
He said, "Now, isn't that cute?" Said, "Jack, you have to love him anyhow."
So I'd rather know the Author than know His Book, because He will reveal the Book if we know the Author. So before we get into the Book, let's speak to the Author with our heads bowed, if you please.
E-44 Great omnipotent, eternal, infinite God, we humbly approach Thy throne of mercy because we've been bidden to come by the Lord Jesus, by saying, "If you'll ask the Father anything in My Name, I'll do it." Then we come with the blessed assurance of knowing that we will get what we ask for. There isn't one shadow of doubt in our hearts. If there is, forgive us, Lord, for it's sin to disbelieve God's Word and His promise.
We ask that the Holy Spirit will come with us tonight, will get into these few arranged words from the context of this text that I have drawn tonight to speak to this, the purchase of Thy Blood.
And I am aware, Father, that how I would feel if I held in a glass tonight, two drops of the literal Blood of Your precious Son. How I would hug it to my heart, have to hold it sideways to keep my tears from dropping in it, to know that it was that Blood that saved me, healed me. By that blood I become a son of God by His grace. How I would cherish it and be careful that I--I set my foot just right. I wouldn't want to make a stumble to spill it for nothing.
E-45 But, Lord, tonight in Your own sight You have put into my hands a greater treasure to You than that Blood. For You have put into my hands tonight the purchase of that Blood, for truly You thought more of Your people than You did of Your own Blood because You shed Your blood for them.
Then how must I approach them, Lord? Sincerely, honestly, full surrendered heart with assurance, waiting on the Holy Spirit for the anointing, that the words that I say will meet me in my face at the day of the judgment when Your children stands there. God have mercy on us.
I pray that You sanctify the speaker and the hearer. Anoint the words that it might fall into the hearts of the people, that it might bring forth a hundredfold. This is our objective. Our motive is to see the Kingdom of God go on. God, we believe it's Your will, so may it come to pass that we will see Jesus Christ save sinners, bring home backsliders back to the fellowship, and heal the sick through faith in His Name. Amen.
E-46 Now, laying aside all of our thoughts, the little things that we might've thought or said, let's approach this in a Divine order. I like to read the Word, because that my word will fail. I'm a man. But I read His Word. Then if nothing else, you get nothing else, you'll get something when I read the Word.
In Matthew 12:42, we read these words.
And the queen of the south shall rise in the judgment with this generation, and shall condemn it: for she came from the uttermost parts of the earth to hear the wisdom of Solomon; and, behold, a greater than Solomon is here.
Like to take that for a text: "A Greater Than Solomon Is Here."
E-47 Now, Jesus had been rebuking His generation for not believing His ministry. How plain God had made it and yet they did not believe it. And they had come to Him seeking a sign. And He'd give them a sign. And they knew, and was taught better, never to try to believe a straight theology, because there's too much--too many of that. But God always a vindicated Himself by a sign that confirms a theology.
Now, if there's Bible students here... Which I'm in a Bible college, and I'm speaking before smart ministers and students... And anyone knows that in the Old Testament they had a law; that was the ten commandments. And then they had what they call the Urim Thummim. That Urim Thummim was a conglomeration of lights that reflected from the breastplate that Aaron wore of the twelve stones that represented the twelve tribes of Israel, their birthstones.
E-48 Now, when a prophet prophesied or a dreamer dreamed a dream, no matter how real it looked, the theology might be perfectly exactly right. But before they could accept it from being from the Lord, they took them down to the Urim Thummim, and let this prophet prophesy towards that Urim Thummim, or the dreamer tell his dream. And if the Urim Thummim never moved, it was wrong. But if the Urim Thummim went into a supernatural and performed a conglomeration of lights, supernaturally coming from it of a sign, then the prophet was right. That was the vindication.
Remember Saul, how he said that the Urim wouldn't answer him and so forth and... See, that was their way of knowing it.
E-49 Now, today after that, Aramaic priesthood ceased, God has another way, another Urim Thummim. That's the Bible. If the man preaches anything that's contrary and not found in the Word of God, then I'll leave it alone. But if he preaches what's in the Word, and God comes back and vindicates by the Urim sign that it's the truth, then that's God witnessing that that is right. To disbelieve that is to be doomed.
Jesus... The Jews were taught to believe that they would have a Messiah. And they were told that this Messiah would be a Prophet. And they'd been told that He would do the sign of the prophet.
Now, Israel had a way of testing a prophet, for if a prophet prophesied, and that what he said didn't come to pass, then he wasn't a prophet. Let him alone. But if it did come to pass, then listen at him, because God had sent him. Now...
E-50 And this Messiah was the Chief and God of all the prophets. He was over all of them. God only had one major prophet in any generation. There never was two on the field at one time. Elijah and Elisha walked arm in arm, but he never become fully a prophet until Elijah's robe dropped upon him. That's true. See? They had minor prophets and so forth, but it...
A prophet is a man who's born and predestinated and foreordained for that generation. The Bible teaches that. That's right. By God's foreknowledge He set a certain person for that. Now... Then when Jesus came and fulfilled all the words that... He was supposed to be that Prophet. Don't you know, they asked Him, "Who does men say I am? What does they say? Are You that prophet?" they said.
"You've said it." (See?)
E-51 Or, "We are looking for a prophet." The woman at the well, as we talked of the other night, said, "We know that when the Messiah cometh, He will be that Prophet. He's that anointed One. He will show us the sign of the Messiah."
Jesus said, "I'm He that speaks to you."
She went into the city and told the men, "Isn't this the very Messiah? He told me the things that I've done." And the men believed on it.
Now, you remember, He never healed any sick, because He was God. He knew that Philip was coming down to heal the sick after Pentecost. He just talked to them, never performed one more miracle. But that proved that He was the Messiah, because He knew the secret of the heart.
E-52 Now, how many believes in this audience, with you Methodists, Baptists, and Pentecostals, and whatever you are, how many of you believe that the Bible is true, and Saint John 1 where It said, "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. And the Word was made flesh and dwelt among us." Is that right? That was Christ.
How many believes then Hebrews 4 where It said, "The Word of God..." which is Christ, is that right? He is the living Word. "The Word of God is sharper than a two-edged sword, and even a discerner of the thoughts of the heart." Back to the Word again, and the Word is with us.
Now, how does the Word of the Lord come? The Word came to the... The Word of God came to the prophet. They never questioned because he had the Word of the Lord, because what he had said come to pass. So it was the Word of the Lord.
And Jesus come performing that, and they called him a fortuneteller, Beelzebub, a devil. "And calling the work of God a evil spirit," He said, "was blasphemy of the Holy Ghost and would never be forgiven in this world nor the world that is to come."
E-53 No wonder He was rebuking them, telling them. They said, "We seek a sign." And after He had proved the very Messiahic sign... And they were so stooped in their theology, until they didn't want to see it. They just didn't want to. That's all. It was plain before their face.
Now, any man with--that knows--has got his right mind, and will know the Bible, knows that Jesus never come contrary to the Scripture. He came with the Scripture. But He come contrary to the--their theology. And that's the way the Holy Spirit's come in the last days. It's come exactly with the Scripture but contrary to people's theology. Is that plain, that... It comes that way.
E-54 Now, He was rebuking them because they did not believe His Messiahic sign and had called It an evil spirit. Read just the next--the rest of the chapter, the first of the chapter and see what had happened.
When He told Nathanael there that day, said, "I saw you before you was under--when you was under the fig tree, I saw you." Nathanael being a ordained man to Eternal Life, he said, "Rabbi, Thou art the Son of God, the King of Israel."
He said, "Blessed are thou." See? "Because I told you this, you believed; you can see greater things than this." See, he's ready then to move on up into another sphere as soon as he... He'd see greater things. Said you'd be able to see the Angels descending and ascending upon the Son of man. Now... 'Cause he was coming into a higher heights.
E-55 If you that's just accepted Christ by justification, accept Him by sanctification and clean up your life. You're still smoking. Watch what happens, how much different. You look back to justification. You, who just standing justified and never received the baptism of the Holy Ghost, step up into that sphere and then look back down at the rest of it. See? Just keep walking till after while you get so light, you just can walk on up in the rapture.
We used to sing an old song, "Each day brings me one round higher, higher." See, that's--that's what we ought to do. Never build the same fire on the grounds the second night. Just keep climbing higher, higher.
E-56 I was in Phoenix a few days ago. And they was singing a little song, "I'm going up, up, up." And said, "He went up till he struck the Milky White Way." And that's what we got to strike. "And then he took a home run when he hit the Milky White Way. So that's what we're to do.
But Jesus performing and showing to own His people exactly according to the Scriptures, and He was provoked at them. And It said, "Many mighty works He could not do because of their unbelief." Now, when they call the same Holy Spirit in this day a hoax, a mental telepathy, how can you expect a revival? How can you expect, when Jesus plainly said, and the prophets prophesied at the evening time these things would happen? Wish we had a month to stay here and teach it so that you'd see with in fallible proof that it is.
E-57 And then when American looks at it, they make fun of it, "Holy- roller, fortuneteller, a mental telepathist." Anybody that would call the discernment of the Spirit a mental telepathy, the man is insane. He doesn't know the first step of mental telepathy because it's psychology; it proves that he doesn't know what he is talking about. It shows his own ignorance of the profession that he claims to be. He doesn't even know the first step of psychology if he calls discernment of the Spirit, psychology.
People get it... They got to make an answer for something. And when they do, instead of praying and asking God to reveal it, they just draw their own opinion that's their opinion like it is the garden of Eden. The fig leaves was the best, so they accept it like that. "My church don't believe it, and that settles it." It's what God said, not what your theology said. It's what the Bible said about it. That's the condition that Jesus found the church.
E-58 So we realize. And now, I'm not going to keep you like I did last night if I can possibly help it. Friends, I only speak by inspiration, and can only say as He says say. And that's how it takes my a long time sometimes.
But I--I want you to notice, that God in all generations all down through the Bible, He's always had His time that when He sent His signs, wonders, and gifts amongst the people. And so that in the great general resurrection He could be just. For He can stand a man here... Don't you try to deny it then. "For here stands the person that He spoke to you through and you're without excuse," what He said about the queen there, you know.
E-59 Now, and anytime that God ever sent a gift to the world and the people received it, they become... It was a golden age for them. But when they rejected it, they went into chaos, and disaster, and into punishment. Now, you Bible historians, our... Just speak when one time that they ever rejected God's gifts and His signs and they ever prospered.
One time, when they were going to battle, he spoke... God spoke to them, said, "If you wish to prosper, do My prophets no harm. Believe My prophet if you want to prosper." Well now, we know that if this United States of America would accept the gift of God that sent to it... Which out of America has went evangelists and missionaries that started a healing revival worldwide, as the Angel of the Lord, thirty-one years ago spoke down there at he river when that Light, Pillar of Fire hung there.
E-60 And the papers packed it, "Mystic Light appearing over local Baptist minister," a boy, while baptizing five hundred at the Ohio River. And He said, "As John the Baptist was sent to forerun the first coming of Christ, this message shall forerun the second." Here we are. Has it did it? See? From there it sparked Oral Roberts, Tommy Hicks, the Osborn, and so forth; around and around the world they went. See? It's did it.
Notice, now, if America would receive God's gift, it would be a golden age for us. If all of the American churches would accept God's gift... What is God's gift to the church? The Holy Ghost. What if all the American people that believed in Christ would receive the Holy Ghost? They wouldn't have to wonder who's going to be in the sputnik, or who's going to be in a machine a hundred and eighty miles around. That church would be in glory before they could get a sputnik started. That's--that's right.
E-61 And you don't have to worry about... Now, they're so scared. Why, if they... If we would receive God's gift to us, why, we wouldn't have to try to dig holes to hide from the atomic bomb and put all this newscast out to build a shelter to get into.
I want to ask you something. They claim that this new hydrogen bomb... And that's the only ones we know of. We don't know what they got back the sleeve. But they can stand in Moscow, Russia, and time a bomb right on this building by the stars, and guide it by radar, and got them placed to every major nation, and every major city in the world. Just pull on a string, and there she goes. Somebody's going to drink too much vodka one day; there it'll be.
E-62 And every nation standing, "We got the same thing." And one of them bombs is going to get into somebody's radar screen one of these days, and there she goes. And that could happen before morning. But before that happens, the church is going up. That's right. So if that's that close, how close if the coming of Christ? This has to go before that happens.
I don't believe that church goes through the tribulation. I don't believe the Scriptures support it. I... Now, if I'm different, you all just throw that out as the bone off the chicken, as I said, or a seed out the... See?
E-63 But remember, there wasn't a drop of rain fell till Noah got in the ark. There was no fire fell at all till Sodom--Lot come out of Sodom. Jesus said, "It was in them days, so will it be in the coming of the Son of man."
The church already is... It don't have to be judged. It's already been judged; for it judged Christ, and Christ stood it's judgment. When we are in Him, we are free from judgment. If God judges you, then He's unjust. Christ took our judgment for us. "And by one Spirit we're baptized into that Body. He that believeth on Me has Everlasting Life, and shall not come into the judgment," Saint John 5:24. "He that heareth My Words, and believeth on Him that sent Me, has Everlasting Life, and shall not come to the judgment, but has passed from death unto Life." Amen. That's the Gospel. Oh, how happy we should be just watching and waiting for that glorious time.
Now, but America condemns it, throws it out. They'd rather have their theol--theology. Now, Jesus referred here to Solomon. But before he did that...
E-64 There's one man here that I'd like to talk about just a minute, and that's that fellow, Jonah. So many people turn Jonah down, say, "Oh, he's a Jonah." But Jonah never got out of the will of God. How can a prophet get out of the will of God? He was God's prophet, how could he? I was reading a book here not long ago, on something of it. It might've been fiction, it might've been true. But Jonah took... God told him to go to Tarshish. Elijah told Elisha to tarry back at Gilead too. But he went on. See?
E-65 But we have to watch. God leads His children, and the footsteps of the righteous is ordered of the Lord. They are led by the Holy Spirit. Sometimes you think you're making a mistake, but if the Spirit is leading you, go do it anyhow. The Holy Spirit tells some of you people in wheelchairs, "Get up and start walking," walk anyhow.
"How am I going to it?"
That's not your business. Just listen what the Spirit says. Tells you to come at the altar, repent; do it. "My neighbor, my pastor..." I don't care what he says. What the Holy Spirit says, go do it. "Sons of Gods are led by the Spirit of God."
Now, many times I've went to cities. I thought I made a mistake, but I just kept on battling on. After while, it wasn't a mistake.
E-66 Jonah was supposed to go to Nineveh. Nineveh was a city almost the size of St. Louis out here: thousands of people. And they got away from God and begin to worship idols. And we know the story. Jonah was supposed to go to Nineveh, but he took a ship to Tarshish. So if he'd went to Nineveh, the story would not have been written like it is.
So he was on his road to Tarshish, and the great sea begin to roar and carry on. And--and Jonah, a good, honest man, told them that his sins, and they bound his hands and feet and throwed him out in the ocean. And God had a big fish there to swallow him.
You know, I've always felt sorry for Jonah, because a lot of people look like, they say, "My hand's crippled. Well, I was prayed for; it's no different." "My tummy hurt; no different." As long as you look at that, you're not going to be any different. You got to look at what God said.
E-67 Here some time ago, I went to pray, about fifteen years ago, for a young man, laying, dying, with black diphtheria: mother and father crying for me to come. Well, I--I went there. And the doctor was Catholic doctor, and he wouldn't let me go in. He said, "Are you a married man?"
I said, "Yes, sir."
"Got children?"
I said, "Yes, sir."
He said, "I can't let you go in." Said, "That's contagious."
I said, "Sir, I'm--I'm a minister of the Gospel, I..."
He said, "I don't care." Said, "That's contagious. You're not inoculated from it."
I said, "Well, that may be true too, but God will take care of me."
He said, "Listen, sir." He said, "I can't let you go in."
I said, "Well, the mother and father standing there crying, let..."
He said, "The boy is dying. He's been dying for the last twenty-four hours."
E-68 I said, "I want to ask you something, doctor. Now, we different in--in theology," I said, "you being Catholic and me Protestant." But I said, "We are worshipping the same God. You're just taking a different road. But I'd like to ask you something. If that was a Catholic boy laying in there dying, and the priest was standing here, and that boy was crying wanting him, and the father and mother begging for the boy to receive the last rights of the church, would you let him go in?"
He said, "Why, certainly."
I said, "I mean as much to them as a priest would to that, a Catholic boy."
And he said, "But wait a minute. The priest is not a married man; you are."
And I said, "If I'm willing to sign a statement that I am--I am responsible... And it won't happen to me."
I finally persuaded him, and he dressed me up like a Ku Klux Klan and--and all over my face.
E-69 And I went in there. And there was a little nurse there. And the boy had been unconscious for--or two days. And I do not understand anything about medicine. But anyhow they put a cardiogram test on him, and some kind of a something that went all the way down the hand. And he was just barely living. I forget how many times his heart was beating per minute.
And so the old father and mother standing there, said, "Oh." like said, "Mother, look. Brother Branham's here. It's going to be... The Lord's going to heal now."
I prayed for him. I said, "Heavenly Father, I come here now as Your servant. I come with faith. I... You let me in my some means, so beyond that doctor he squeezed over a little bit and let me come. And now, I lay hands upon this precious, dying boy, and I call for his life to be restored to him in the Name of Jesus Christ." I got up.
E-70 And the mother and father begin to hug one another and saying, "Isn't it wonderful, mother?"
And I said, "Do you believe?"
"Oh," said, "Certainly."
So went on. And I started out. And the little nurse walked over there. And they were just shouting and praising God for the boy's healing. He never moved. And the mother... The little mother and father rejoicing, so the nurse come over, she said, "Sir," she said, "I believe in--in faith myself," she said, "but how can you stand there and carry on like that and your only child laying here dying?"
"Oh," the father said, "he is not dying. He's living. He's going to live."
"Why," they said, "how do you figure anything like that?"
Said, "Why, he's a living, sure."
E-71 She said, "Listen, sir." Said, "It's good to have faith, and we all believe in faith in God." See, there you go back that hybrid theology again. See? And said... But said, "When that hand..." whatever it was.
Now, if there's a doctor present, I don't know what it was. But somehow, ever... When it ever went down that low, that heartbeat with this disease, it never has been known in history to ever come back again.
The sainted old man put his arms around the little nurse's neck. He said, "Honey," said, "you're trained to watch that machine. That's what you know about." Said, "I don't blame you; that's done a lot of good things. He said, "But, you see, it depends on what you're looking at." Said, "You're looking to what that machine says; I'm looking to what a promise of God says."
And that boy is a missionary in Africa tonight, the father of two children, preaching the Gospel.
E-72 It depends on what you are looking at. The Bible, the Christian, looks at the unseen, not what you see here, but what God said. It's a promise. Don't care what science says or anything, it's what God said.
You know, people talk about symptoms. I think Jonah had the worse case of symptoms I ever knowed of. Remember, he was in the belly of a whale. And now, he was way out in the ocean a couple day's journey, perhaps it was forty fathoms deep there. And there was a storm on the sea, and his hands was tied behind him.
E-73 And you know what he was doing? The fish when it feeds he gets a belly full, he goes down to the bottom of the sea to rest. Just feed your goldfish and see what happens. He goes down to rest. So he had this prophet in his belly, so was pretty well filled up. So he--he went down to rest. And there he was with his hands tied behind him, and if he turned over in the vomit of the whale, when he looked this way it was whale's belly, this a way it was whale's belly, everywhere he looked was whale's belly. Now, there's nobody here in that bad of shape tonight. You know that.
But you know what that prophet said? He refused to see the whale's belly. He said, "They're lying vanities. I won't look at them." He said, "But once more will I look to Your holy temple." For when Solomon dedicated the temple, he prayed, a man, earthly man who later backslid. When he dedicated the temple of God, he prayed, he said, "Lord, if Thy people be in trouble anywhere and look towards this holy place and pray, then hear from heaven." He had that much confidence in the prayer of Solomon, a man by a earthly temple.
E-74 And God, I don't know what He done. He must've put an oxygen tank in there or something. But He kept him alive for three days and nights and delivered him at Nineveh where he was supposed to go. And if Jonah could have that much faith in a man's prayer, an earthly man that later backslid, to a earthly tabernacle built with hands, how much more under--we under these circumstances can have faith in the Blood of Jesus Christ Who sets, not at a earthly temple, but is at the right hand of God the Father with His own Bloody garments, making intercession upon our confession? How much more can we deny any symptom that's contrary to the faith of God that's leading us? How can we do such a thing? Now, I want to tell you; Jonah wasn't altogether that, but he also... Jonah was in the will of God.
E-75 Now, the people had begin to worship beasts and animals. That's what heathens do: worship animals. I see all these people, these little old dogs around, and practicing birth control, I believe it's just about got back to America again.
So then we come back, and we find that they worship... The god of the sea was a whale. They were fisherman by occupation. All the men were out fishing with their nets. And one day about eleven o'clock in the day, here come the sea god in, the whale, raised up out of the sea. All the men got scared, 'cause the great sea god was coming in. He run up to the bank, licked his tongue out for a gangplank, and the prophet walked right off and begin to prophesy: "Repent, or this place will perish in forty days." Right down through the street he went with his bald head shining, "Repent, or this place will perish. Repent, or the place will perish." Sure, the god spit the prophet out. Sure, God knows how to do things. He knows just how to make everything work right.
Jesus referred to him here. "A wicked and adulternous generation seeks after signs," He said. Seeking after signs... But He said, "They will receive a sign, for as Jonah was in the belly of the whale tree days and nights, so the Son of man..."
E-76 Now, I want to ask you something, quickly now, 'cause I see we got to hurry. I want to ask you something. What generation was He talking about? How many knows a Scripture always has a compound answer? Sure it does. "Out of Nineveh..." "Out of Egypt I've called My Son," Matthew 3. Run that reference back; it was Jacob his son He called out: also Jesus His Son. See?
All right. Now, if He was talking about a wicked and a adulternous generation, it was this generation. A wicked and a evil, an adulternous generation. And He said they would receive a sign. Now, put on your caps. Put on, open up your heart. Besides that, put a spiritual funnel out to catch it. Remember, He said, "This wicked and adulternous generation would receive a sign." What kind of a sign? "The sign of the resurrection." You get it? Christ alive tonight among us doing the same things that He did. "A wicked an adulternous generation will receive a sign of the resurrection." That's exactly, exactly what the Scriptures promised, "will receive a sign of the resurrection."
Now, quickly to my closing thoughts. Wish we had more time, but we haven't.
E-77 Then He come to Solomon. "In the days of Solomon..." Now, give me your undivided attention for about ten minutes. In the days of Solomon it was a golden age. God gave a gift to the earth. It was a gift of discernment. Solomon had a discernment. How many knows that? And he could discern, because it was from God. The Word of God was with Solomon; he could discern. Well, all the people rallied around that gift. Oh, my, and any minister knows that was--that was Israel's golden age: no wars, and they built the temple, and everything was at peace and everything, the... 'Cause they received the gift that God sent.
And them days they didn't have television, thank the Lord. But they... And the--the only they had to--to carry news was from lip to ear. And every caravan passing through would hear about this great gift. They'd go over to Solomon's church and look at it, then go back and take it the nation, till his fame scattered everywhere.
E-78 Way down in Sheba, mark it on your map how far it is, plumb down across the Sahara Desert, people coming through down there. There was a little queen down there, and she heard of the fame. Everybody would come through, would pass through Egypt saying, "Oh..." or pass through Israel, would say, "You should go up into Israel. Oh, their God is a living God. He's moving among them. They got a man up there is anointed with His Spirit. And he does things that a man can't do. It's a supernatural." And the little queen begin to hear of it, everybody talking of it.
What if we'd just go talking about our God like that, how He gives the Holy Ghost, and peace, and joy, and understanding? Oh, wouldn't it be wonderful? Now, "Faith cometh by... [Congregation says, "Hearing."--Ed.] hearing the Word of God." Now, her little heart begin to hunger. You know, you can't talk about God 'less it make your heart hunger if there's anything in you anyhow. So her little heart begin to hunger, "Oh, I wonder if that is true?"
Next caravan come through, "Have--have--have you been up in Israel? They tell me they got a revival going on up there."
"Yeah, yep, yep, yep."
"Did you see it?"
"Yeah. Oh, I tell you; I never seen such. Why, there's not a human being on earth ever was known of. That wisdom, that discernment is perfect."
"Did you see it?"
"Oh, it worked on me. I know it was. See? Sure, it was wonderful. Oh, you ought to have seen it. Oh, that man, he--he... Why, it couldn't be the man; I--I felt his hand. I shook his hand. He wears clothes like we do. But he's anointed with the Spirit of God, and he gives God all the praise. He said God give him the gift to lead the people. Oh, how everything's glorious. You should see it."
E-79 Faith cometh by hearing. Now, today we would say, "Ha. Hm. We're Methodists. We're Baptists. We got nothing to do with that kind of stuff. No." That--that's the reason we don't get nowhere. That's right. "Holy-rollers, that bunch of Pentecostals? No--no, nothing to that, bunch of holy-rollers." See, go ahead. Our name's on a bomb out yonder somewhere. We--we'll get it. We'll get the reward, don't worry. So then they did in the day they rejected Jesus. They did the day they rejected the rest of them, rejected Noah and on down through. And God never fails. He's always the same. So we'll get it.
E-80 Now, we notice the first thing happened. Now, let's just watch for a--a few more minutes. Now, the little queen begin to thirst, hungering and thirst. What did Jesus say? "Blessed are they that do hunger and thirst for righteousness." Just even whether they got it or not, they--just thirsting for it, you're blessed. So she said, "I must go see."
So now the first thing she does, she has to go see her--her pastor, her bishop, you know, before she can come. So you know, she's a dignitary, you know. So I can see her go up and say, "Holy father, they tell me that the Israelites up there has got a revival going on, and their God has come down, living in a man, and he's got a powerful discernment. And there's nothing like it."
E-81 "My daughter, [Brother Branham clears his throat--Ed.] I am the holy reverend father, and you really understand that if there was anything in the supernatural line going on, our church would have it." We still have them, you know. "So don't pull up that bunch. That's illiterate bunch up there. There--there's nothing like that. That's just a make believe. There's nothing to it. Don't go up."
"Well," she said, "Look. If it was in our church, then why ain't I seeing it in our church?" There's a good question. "Why don't I see it. Now, I've been here and my grandmother belonged to this church. My grandmother and grandfather were members here. My great grandfather and grandmother was here, and we have never seen one move of anything supernatural. So now you tell me all of this, and these idols and so forth, and you go a lot of books here, and a lot of theology, but I don't see them. But they tell me that something's alive up there (Amen, I like that.), something that's real, something that can produce itself (Hallelujah.), not hybrid, but it can produce the right thing."
Well he, said, "Now, my daughter, listen. Do you realize that you have a social standing? You belong to the... all these clubs and things. If you go, you know what's going to happen."
"I don't care what happens." Boy, when a man or a woman goes to hungering for God, there's nothing going to stop them. She goes back down.
I wish we could linger longer on it, but we got to hurry.
E-82 So she goes back down, and she said, "You know what? I'm going anyhow. So I don't care if they excommunicate me and take my name off the book; I'm going anyhow. It doesn't make any difference. If our church is not co-operating with it, that don't mean a thing. I'm going because Something in my heart's telling me there is a living God somewhere. And I'm determined to find Him." Amen. Now, when you get that, there's nothing going to stop you. No holy fathers, or bishops, and or nothing else is going to stop you; no pagan ceremonies, or no manmade theology, or anything else, if God is pushing at your heart. If He isn't, woe unto you. God be merciful to you.
Then we find out, she said, "Well now, if they take my name off the book..."
All the sisters got around, said, "You are the queen."
E-83 She said, "I don't care what I am. I've got to answer this call that's calling." When the deep calls to the deep, there's got to be a deep to respond to that call. That's right. 'Fore there was a fin on a fish's back, there had to be a water first for him to swim in.
If you believe in Divine healing... Do you do it, say, "Amen." [Congregations says, "Amen."--Ed.] That shows there's Divine healing somewhere (That's right.), 'cause you'd never had that crave.
E-84 I got a little boy out of the paper the other day, where he'd been eating the erasers off his pencils. And his mammy found him eating the pedal off of a bicycle. They took him down to the laboratory to--or the clinic to test him. Found out his little body needed sulfur. He found it in rubber. Why? That's where sulfur's at, in rubber. See, before there could be a crave for sulfur, there had to be a sulfur to respond to that crave. Before there could be a creation, there has to be a Creator to create the creation. Hallelujah.
And if tonight we're here hungering for Divine healing, there's a Fountain open somewhere. You're hungering for more of God, there's more of God somewhere or you wouldn't had the hunger. That's only the law of it, of God, one of His laws, like sowing and reaping, and so forth.
E-85 Notice now, she got ready. She said, "Now, wait a minute. It might not be true. I don't know. But I believe it is. So you know, if it is true, I'm going to take a lot of money. I'm going to support it. And if it isn't true, I can bring my money back. It..."
You know, it would do Pentecostal people good to take her advice. So many people support things on radio that laugh and call you a holy-roller, make fun of you, and yet you support radio programs with such stuff as that with your good hard earned money. I'd put it where it really done good. That is right. Ministers never told me to say that. I don't talk to no one during the meetings. I'm alone in the room. But that's true. If it's right, it's worth not only your money, it's worth your life, it's worth everything. If it isn't right, leave it alone.
So I'd imagine she bought up all the scrolls and tried to read what Jehovah was. That's a good way; find out what He is, then you see whether it is Him or not.
E-86 That's the way people ought to do today; read what Jesus was yesterday, then see if it's Him today. That's right. See if He acts the same today as He did yesterday. See if it's the same Spirit, same God all the way through the Bible. See if it's Him. See if He shows the same thing. Then if your theology is contrary to that, get rid of your theology and get God. That's right.
E-87 Now, remember now, look. She had a lot of perils to go through. That little queen had a lot to face her. Remember, what did she do? She probably scout herself a little army, a bunch of eunuchs and some maidens to go with her. And remember, she had a long ways to travel. And besides, Ishmael's children was in the desert. And they were robbers. Well, what an easy thing that would be with all that...
She took much gold, spices that didn't know nothing about the rest of the world, and frankincense, and great costly treasures. Why, that little... Them Ishmaelites, them fleet-footed riders could've rode in there, and killed that little band off, and took that money, and went in a few minutes.
E-88 But you know, when something is moving in your heart to find God, you don't know no fear. You say, "Can I walk, Brother Branham?" You really hunger to walk, God's putting it in your heart... You say, "I might make a mistake." What? Mistake? God will take you through it. Don't you never worry that if God is telling you in your heart.
Say, "Brother Branham, I--I would like to be... I'd like to preach the whole Gospel, but I'm afraid to. They'd excommunicate me. They'd take my papers away from it." Throw it back at them and start walking with God.
E-89 Nurse told me the other day, said, "I'd believe Divine healing," but said, "they would take my sheepskin away from me if I... Anybody professes Divine healing..." Up on the hospital where I prayed for some people and they were healed. Said, "If I profess it, they'd take my nurses rights, my sheepskin away from me."
I said, "That's a goat skin. Throw it away and go get a real sheepskin," I said, "yeah, where the Blood of Jesus Christ is wrote." That's true. Anything... I believe in medicine. I believe in doctors. I believe in hospitals. But don't be a fanatic. Don't go to that extreme to know that them things are the only things. God's the One that does the healing. Them's only natures.
I believe in machinery. I believe in automobiles, and I believe in soap to wash our hands with, and clothes that we wear, and machines and things. I believe in that. But it ain't going to hinder my faith in Almighty God to know that He's the one that gives them and sends them to me. That's exactly right. Sure.
E-90 Now, we notice, she had a lot to conflict her. But you know, when anybody's really thirsting for God, there ain't nothing going to stop them. She moved on. Now, remember, she didn't just go in fifteen minutes. Did you measure the distance? You know how long it takes, how long it would take to drive it? Well, first thing, she had to pass over the Sahara Desert. And she didn't go in a air conditioned Cadillac. No, but she went on the back of a camel; it taken her three months to make it: three months. No wonder Jesus said, "She'll stand in this generation and condemn it."
E-91 People live across the street won't come, got cars and transportations and everything else and still... That's shows. She'll stand with this United States and this generation in the days of her resurrection and condemn this nation. Jesus said so. That makes it right.
She didn't come in a air conditioned coach or a Cadillac. She probably had to travel by night in--and the little caravan with a few eunuchs with her. But she was determined to find out whether that was of God or not. All along, reading, and had to travel at night. Daytime laid up in a little oasis somewhere the howling winds, and read the scrolls, what God was and what He would... what she could expect if it was God.
E-92 And when she finally go there... Now, she never come to stay like some people at Bloomington, or so forth come. They'll come in, set down a minute, "I'll go. Somebody... My maid, my so-and-so, they asked me to go, so I guess I'll go. But if he says one thing contrary to what I believe, I'll stomp right out." That shows your ignorance. That shows what kind of a home you was brought up in.
I was brought up in a mountain home in Kentucky, but my mammy raised me better than that to give respects. If I come, I'd stay to listen at it, or I wouldn't come at all. But get right up and... "First thing he says I don't believe it, away I go." There you are. Go right ahead. Then...
E-93 But she come to stay. When she finally arrived at the gate, what did she do? She unpacked the camels, fixed her tent, and prepared to stay till she was satisfied, looking through the Scriptures until she examined It to see whether it was right or not.
Now, that's that way we should do. No wonder she'll condemn this generation. She's go to. She's--she'll condemn it. She stayed. Not say, "Well, if they preach over twenty minutes, brother, I'm gone." All right. But she stayed for day after day. She come because there was Something in her heart pulling to her. You say, "But, Brother Branham, it might mean I'll lose two hours sleep." It meant a kingdom to her. But it meant life to her also.
You think I'm hard, but I'm not. See? I just want you to know truth.
E-94 So she stayed there. She unloaded her camels and she set up. I can imagine, next morning... A little drama now in closing. She goes over to the... She said, "I'll find out now. I know just about what Jehovah is, because I have read the prophets, and I know what I mean."
Well, the church bells tolled, and the music played, after while, Pastor Solomon came out. He came out on the platform. And he noticed the first one with the prayer card, or whatever they had, coming up. Who... how... The way they had it selected; come up. She noticed that discernment was perfect. I imagine her little heart begin to beat. Next one come up, perfect. Next one come up, perfect. Next one come up, perfect. Oh, my. Imagine, back to her tent she went and called her little maids in, said, "Oh, it's just exactly, just exactly according to this Word, this Scripture here that I read. It's according to what everybody else tell me. I'm going to get me a card and get up there too. Yes, sir. So I'm going to go."
E-95 So she got her per... preposition. And when she come to a place to where she was going to get up... got her preparation, rather. And when she got ready... When she come up before Solomon, the Bible said that there was nothing hid from Solomon before her. He told her what was in her heart.
You know what that little heathen woman done? She turned, because Solomon said it, and she knowed it was from God. She said, "Blessed be the Lord God." Watch the word. "Elohim," great Jehovah, "blessed be the Lord your God that gives you these things. All that I heard was true and more than I heard," because it hadn't hurried (See?), "more than I heard is true." And she said, "Even blessed are these men that are with you, that stand here daily, watching before you, this gift, work. Blessed are they that are with you. Oh, this is glorious," she said.
E-96 And Jesus said, "She'll stand in the day of the judgment and condemn this generation, because a greater than Solomon is here." O God, be merciful to us, is my prayer. I would like to go on a little further.
"Blessed are the people that's with you, that constantly see this go all the time. All that I heard is right and more. There is more then I thought was, is right."
Let us bow our heads.
Lord Jesus, You're still the same God. There's no difference in You. You're God on the housetop. You're God in the mountain. You're God in the valley. You're God of the sea. You are God of heavens. You're God of Creation. You're the God of our life. You're the God of everything there is. You're God. I pray Thee, Lord, that as this little group of people, just a--two or three hundred people setting here together tonight. Yet you come all the way from heaven to hear the cry of one blind beggar. You come all the way from heaven one time to answer, or across the oceans to one man that was insane, the maniac of Gadara, healed that one man and returned to Your home. You would re... You would come from glory tonight to confirm Your Word, because the Bible says You watch over It to confirm It.
E-97 O God, let it be that they'll not notice this poor illiterate, dumb man, that's standing here trying to speak the Word. But may the great Holy Spirit come and speak. They're a lovely audience, Lord. I love to talk to them. I keep them too long each night. But, Father God, one word from You will mean more than a million billion that I could say. Come, and prove that what I have said is the truth, that a greater than Solomon is here. Come, and prove to them, Lord, that You are the resurrected Lord Jesus keeping Your Word.
I commit myself, and this church, and these sick people into Your hands in the Name of Jesus Christ. Amen.
E-98 Now, will you wait another ten minutes or fifteen? I--I won't have time. And where is Billy Paul? He... What cards did he give out Monday, do you know? Or the day that I give out that... Sunday, was it, I prayed for the sick? What was they? A's? A's, all right. What did I call from? First part of them from 1? Let's call from the last part of them. Let's see. Let's start from, where? Let's start from 75. Let's see if we got it. Is A-1...
Is A-75 here? Raise up your hand. Somebody look at your card. No? Well, we'll start from somewhere else. Oh, all right. All right. A-75, is that right? Come right here, young fellow. A-76, where's it at? All right, mister. A-77, raise up your hand.
E-99 We will get to all of them, we just have to call them as we can. 77, where was it at? 70... 77, 78? Who has A-78, come here, 78. Now, there's something wrong somewhere. 75, 76, who's got 77? 76? This lady's got 76. Who has prayer card A-76? All right. Somebody raised their hand wrong. Don't do that. You get us confused. All right, 76, 77, 78, 79. 79, raise up your hand, please. All right, 80.
Now, if you can't get up, you people in the wheelchairs... You got a prayer cards? Well, you don't have to have prayer cards to get healed, this is just people coming on the platform. Now, 71... or Where did I start now? [Brother says, "75."--Ed.] 75. 75, 76, 77, 78, 79, 80, 81. 81, raise your hand. 82, raise your hand if you can. 83, 84, 84? All right. 85, 86, 87, 87?
Look at your neighbor. It might be somebody deaf and can't hear. Look at your neighbor's card. Look in the... Where? Got it. All right. 87, 88, 89, 90, 91, 2, 3, 4, 5, (2, 3, 4, 5) 96, 97, 98. 98, 98? Did I... I missed it. 98, raise up your hand, 98.
[Blank.spot.on.tape--Ed.]... a prayer card. And you are sick and you want God to heal you, raise up your hand. Raise up your hands wherever, everywhere.
Now, please, don't be in no hurry. Just--just keep quiet just a few minutes. You'll--you... It'll... What could be any more essential? If the world stood still, if they were going to create a bomb that would blow up the rest of the world, that--that wouldn't be an essential. If you was going to receive a hundred million dollars, it still wouldn't be essential. Is our God alive? Is our faith in vain? Is He real or is He not real?
E-100 If I said to... If--if everyone of them wheelchair people setting there... I think the reason they--they come in... They have come in; they're going to have a prayer. We're going down pray for all the wheelchairs tomorrow night, is it. Or, when is it, tomorrow night? [Brother says, "Friday night."--Ed.] Friday night they give for the wheel... That don't... You don't necessary that. You can be healed right now. Don't wait till Friday night. I challenge you in those wheelchairs to look this a way and believe that I am God's prophet, or, excuse me, God's servant. Please... You see, that word scatters and beats people. I'm not a prophet; I am just His servant. You believe that with all your heart.
E-101 I cannot heal you. No, sir, nor nobody else can heal you. It's your own faith that does it. But if you'll realize that it's the same Jesus. When He was here on earth, He said, "I do nothing till the Father shows Me." Is that right, amongst the ministers? Saint John 5:19. Jesus...?... never performed one miracle until God showed Him, not told Him, but showed Him by a vision, or the Bible told something wrong; Jesus told a lie. So He couldn't do it; He's God.
Jesus said in Saint John 5:19, "Verily, verily, I say unto you, the Son can do nothing in Himself, but what He sees the Father doing, that doeth the Son likewise. See if that's not in your Bible, King James, or Moffatt, or any translation you want to take. See if it isn't the same thing. Get the original Greek diaglott if you want to. You'll find the same thing. "I do nothing until the--I see the Father..." In other words, He acted out in drama.
E-102 Now, while we're getting them lined up now, I want to ask you one thing. Look. There was a woman one time in the Bible that she didn't have no prayer card, we'll say, but she said, "I believe that that Man is the Son of God. So if I can just touch His garment, I'll be made whole." How many knows that's the truth? And she touched His garment, is that right? She went back out in the audience. Maybe she set down like you are, maybe she stood up. I don't know.
But Jesus stopped. And everybody was putting their hands around Him, their arms, and saying, "Rabbi, we're glad You're over here." "Come, Rabbi, we have heard many things that You've done in Galilee. We'd like to see You perform something over here. How do You do, Rabbi? Come, go home for dinner with me."
E-103 But that little woman slipped up. Now, physically, He couldn't have felt it, because that garment hangs loose, and it's got an underneath garment. So I wouldn't have felt it if it was on my coattail here as we call. And how about that big loose garment? But He spiritually felt it. Watch what He said. He said, "Who touched Me?"
And Peter got so provoked, he said... He rebuked Jesus. The Bible said that Peter rebuked Jesu, said, "Why would You say a thing like that? Well, You sound like You are an insane. Why, everybody is touching You, and why would You say a thing like that?" rebuked Him.
He said, "I perceive that I got weak." Is that right? Now, you read the King James. "Virtue went out of Me," which is strength. "I perceive that I've got weak."
E-104 Well, if one vision, one person made the Son of God get weak, what would it do to me, a sinner saved by His grace? See? Now, when you... Can't take too many, you know that. You fall right over. And when Jesus said, "Greater things than this you do," you get the Greek "Emphatic Diaglott" and find out if it ain't right, "more than this shall you do," instead of greater, more. Couldn't do no greater. But you could do more of it, 'cause there'd be, "More shall you do."
Now, and He looked around over the audience till He found the woman. And He said, told her that she'd had a blood issue and her faith had made her whole. Is that right? Now, how many believes that He is still that same Christ tonight? How many knows that the New Testament, the--the Book of Hebrews said that He is right now, this minute, our High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities. How many knows that? If He's the same High Priest, He'd act the same way. He is the Vine, we are the branches. He cannot do nothing; He's waiting for us to do it. He made us joint heirs and we're workers with Him.
E-105 Now, you touch Him with your infirmities. You, without a prayer card, you touch Him. And if I have told you the truth, then He will speak back through me and say the same thing to you that He said at that day. How many would love Him and believe Him, and worship Him, and die for Him if He'd do that tonight before us, after we... discernment...
Heavenly Father, that's as far as any man can go. The next is Yours, Father. You have to speak, for I can speak no more. Now, it's at the showdown: Is Your Word right or is It not right? And let all these people in these wheelchairs, all these people with heart trouble, all these people with TB, cancer, whatever it might be, let them, Father, touch tonight. May every person in here be healed. O eternal God, I pray for everyone of them.
E-106 Hear my prayer, Father. I--I just with all my heart, how I would just love to see You heal everyone. And, Father, You have healed everyone. I pray for their faith then, that it will not fail in this hour, that they will know that there's never been nothing like this since the days of Christ Himself. And You promised it would be back in this last days, and here it is. Grant it, Lord. I'm depending on You. I'm saying that boldly because I believe that You will do tonight the same as You always have done. I commit myself to You in the Name of Jesus Christ. Amen.
E-107 Now, let it be well known to this audience, that I do not claim to be our Lord Jesus Christ. How many understands that? Jesus is in heaven. When He comes, every knee shall bow and every tongue confess. But I do say that His Spirit, the Holy Spirit is here. And by a Divine gift of that Holy Spirit, when I was a little boy, only a--a few months old I saw my first vision. Tens of thousands of them has happened since then and not one of them has ever failed. I'm talking to people here that's been with me around the world. And raise your hands if I ever said anything in the Name of the Lord, but what come to pass. Anybody here that ever heard me mention something in THUS SAITH THE LORD that it ever failed to be right? Raise your hands and come tell me about it. See, it's true. Then it's God. Man can't do that.
E-108 And remember now, you people in the wheelchairs, all of you, or you without prayer cards, it isn't whether you're here or not, that... Me touching you won't have a bit of good. You touching me won't do a bit. But if you'll touch Him, it'll happen because He has already purchased your healing. Let's hear you say that together. [Congregation repeats after Brother Branham as he says the following--Ed.] "He has already healed me. Lord, help my unbelief that I may believe and touch the High Priest that can be touched by the feeling of my infirmity." Now, you got it, now remember.
E-109 All you in that line that knows that I know nothing about you, raise up your hands; all that's in that prayer line, every one. All that's in the audience that knows I do not know you or anything about you, raise up your hands. There you are. Now, here's the Bible says it, here's the Bible promised it, the Holy Spirit... And if this works, you remember, which it will, you remember this great joy that you feel, this thing called the Holy Spirit, that is true.
E-110 Now, listen, to you Pentecostal people. Didn't Paul say, "If one of you speak in tongues and there be no interpreter, the unlearned will say, "Why, you're mad." But if there be a prophet among you who'll prophesy and reveal the secrets of the heart, then they'll fall down and say, "Truly, his God was with you." Is that right? Well, if you believe in speaking in tongues, how can you deny this? See? See what I mean?
E-111 Now, who is the first one? Who is--is in the line? This... Are you, young fellow? Would you come here. A young boy, think of it. Now, I never seen that boy in my life as far as I know. We're strangers to one another. If that's right, raise up your hand, sir, by this Bible. I never seen him in my life, know nothing of him. But he's standing here for something. Perhaps he's sick; I don't know, have no idea. If he's sick then I cannot heal him. But if I just lay my hands on him, say "You're to be healed. Praise God, you're healed. Go believe it." Well, that's all right. If he'd believe it, he'd get healed, I believe, if he truly believed it, not make-belief, but really believed it. Don't you believe that? The boy would get healed.
E-112 Maybe it's financial troubles. Maybe it's domestic trouble. Maybe he's married and him and his wife having trouble. Maybe him and his girlfriend's having trouble. Maybe he's not married. I don't know what he's there for, I have no idea. But it'll take the God of heaven to reveal it. Now, if He does, every person in here will know that it'll have to be some Spirit.
The boy may be a student of this school here. I don't know. If it is, I... And the Holy Spirit does something from him, I trust that he'd be gentleman enough to go tell them. See? That's right. I hope it is. [Brother Branham has problems with the microphone--Ed.] Pardon...?... This thing kind of... All right. Now, ever who's on the mike, I don't know. When the vision's strike you realize I'm looking somewhere and seeing something that happened in way back somewhere else, maybe go years back and everything.
E-113 Now, I'm going to ask you to be real reverent. When the Holy Spirit does anything and you want to praise Him, that's what you should do. But while we're setting now, let's reverently and quietly move into the Shekinah, in the Presence of God, so me and this young man here who never met in our life; standing here. Earth... People here that's going to eternity to meet God and answer at that day of the judgment... And we're looking across God's Holy Bible.
You're a man that... Perhaps, some of them give you a prayer card and it just happened to be tonight that your number was called. And that's all you know about it. We're standing here. And if God will reveal to me the secret in your heart and tell you, and if He will tell me, to tell you what you are here for, or what's wrong with you, or something that which you know I know nothing about you, would you believe it with all your heart, young man? Would all the audience believe with all their heart? For me and this young man standing here is two men eternity bound people over God's Bible laying here. See?
Now, Lord, it's up to You. I can only speak Your Word. And Your Word is the Truth, and I approach this in the Blood of the Lord Jesus Christ, confessing this that was ministered to me by an Angel which cannot fail because it's God.
E-114 No, you're not from this school. You're not even from this state. You're from out of state. You come from Missouri here. Right. And you're a minister, a young minister. You're in confusion of what about your ministry, what must you do. That's been on your heart and mind. You're trying to seek even for a private interview for me to find out what to do with your ministry. Stay where you are; He's fixing to move you. You believe me?
Here's another thing. You got somebody on your heart you're praying for. It's a man. He's dying with cancer and you're standing here in his behalf. Those things are true? They are. You believe now you get what you ask for? Then go; God's peace be with you.
E-115 Now, let us just raise our hands. Pentecostal people, how can you hold your peace when the very God that you love is so straight and so true? Just believe. Sworn affidavits, the Holy Spirit... All right.
I do not know you, lady. I want you to look at me across the Bible. I do not know you, do I? We're strangers to one another, but if Jesus Christ will reveal to me, in your heart just like He talked to the woman at the well, and would reveal to me something that you know... If I was anything, I--I wouldn't know, because you know I don't know you, and you don't know me. Those things are true?
Say, "What are you doing, Brother Branham?" It's the Word of God in here that's sharper than a two-edged sword, a discerner of the thoughts of the heart: Christ, the living Word of God, making Himself known in infallible proof. You believe me to be His prophet, or His servant?
E-116 Yes, you're sick. If God will describe me where your sickness is, will you believe? It's in your kidneys and in your bladder. If that's right, raise your hand. One's causing the other, comes from your kidneys, irritation in the bladder. You fought it quite awhile. It's going to leave you now. You believe that?
You're not from right here. You're from another city, but you're from Illinois, Urbana. That's right. You be...?... That's true, isn't it? If I tell you who you are, will it help you? Mrs. Potts, have faith. You believe with all your heart? That should settle it.
Just be reverent. Be real reverent. Give us just about five more minutes. Next person, please.
E-117 Come, look cross the Bible. The God of heaven knows both of us. He knows why you're here; He knows why I am here. But to know you, I do not. I have no idea what you're here for. But if the God of heaven will reveal to me what you're here for, will you believe me to be His prophet? Then if... I could not heal you. You know that. But it'll only raise your faith to healing.
What would it do to you people there in the wheelchairs? Just look; just believe now. Your hour is close if you'll just believe it right now.
Please don't walk around. See, each one of you is a spirit and I got each one of your spirits in contact like a breath, the anointing of the Holy Spirit. Everything's sinful when that comes on you, everything you look at is sinful. And to disobey... That's what He told me, "If you'll get the people to believe you and then be sincere," when I say, "be quiet, don't move around," and you don't do it, that shows you don't believe. See? And that's reflects back to me. The Holy Spirit, says, "Leave them. Leave them alone."
But I cry to Him day and night, "Lord, don't do it yet. Let me try again," 'cause I realize what heaven is.
E-118 Did you ever read the little testimony of the Christian Business Men, the little translation of vision I had the other night? I want ever person in here to get one of those. If you ain't got enough money, take it anyhow. I'll pay for it.
You have read it? Isn't that beautiful? How could I ever let someone miss that place there.
You're nervous, complications, lots of things wrong with you. But there's one main thing you have on your heart is for somebody else; that's a younger person; it's a woman. It's your daughter. She's awfully nervous. And she's had an operation; that's the cause of it.
E-119 You're not from here. Originally you're from Arkansas. You believe God can tell me who you are? Would help you? Mrs. Martin, go home; Jesus Christ makes you well. Have faith; don't doubt. Believe on the Lord.
Now, it's weakening me, brother. Please, everybody, please, quiet. Set still, please, please, please. I ask, please, don't get up, please. Just... It leaves me (You see?), and then I have to come back again. See? Please, just be reverent. All right.
E-120 Now, I suppose we're strangers to one another. Are we, sir? All right, sir, we're strangers. The Lord Jesus can reveal to me what your trouble is, will you believe me?
I hate to tell you this. You want me to tell you anyhow? You're shadowed, cancer. You're shadowed to death. You've had some habits you got to give up. That's right. Will you do it?
Let me show you something. I feel another spirit moving in, the devil. You're trying to get right with God. Frankly, you just been baptized to get straight. That's right.
That lady setting there with leukemia, you believe Jesus Christ make you well? If you have faith, He will do... You accept it? You believe He will heal and make you well? Have you got a prayer card? You don't? See, it's cancer too, sister. You don't have to have a prayer card. Raise up your hand to Christ, say... The lady setting there with the little red coat laying across her laps, that... Don't you all see that Light hanging over the woman?
E-121 I want to ask you something. You be honest with me. When I spoke cancer and death, something strange happened to you. Is that right? You had a funny feeling like, come over you? See? Is this right? If that's right, wave your hand so the people there will see. See? See, it's death too on the woman. It's leukemia, or that's what your doctor said. And he's right.
Now, you're both under the shadows of death. That dark streak coming from this one. What is it? It's that devil in here called cancer. Cancer is a Greek word, or a medical word, means "crab." But it's a devil; it's a killer, a tormentor. It's on this man, and in that woman. And see, he was calling for help to try to get this man to disbelieve it, and the Holy Spirit beat him to it, and throwed faith on the woman. She touched Something. See, that devil thought he could get by with it. Will you both believe on Jesus Christ and accept Him as your Healer, raise your hand. Then in the Name of Jesus Christ, I condemn that devil to leave you both and go. Go, and be well. Go, and be well.
E-122 If there is anybody here that's a skeptic, you ought to be ashamed of yourself. You're worse off then they were.
How do you do? Is there no usher there take up those prayer cards? The people are crossing with that--with their prayer cards in their hands. Now, if you'll just wait a moment or two longer. Honestly, we--we'll--we--we'll quit. I... See, when you are moving, get up and move around, it just throws the contact of the Spirit off. See? It's in the audience.
That man setting right there with arthritis, do you believe that God will make you well? All right, sir. You were praying, wasn't you, sir? Look how far he is from me. All right, believe with all your heart, and the arthritis will leave you.
E-123 The man setting right back here behind, two or three behind him there, got prostate trouble. Mister, you was praying, had something struck you. When I said arthritis to that man, something struck you. If that is right, raise up your hand; man kind of bald-headed, wearing glasses... That's exactly right. You believe me to be His prophet? Then I pronounce you healed in the Name of Jesus Christ.
The man right behind him got a lot of faith just then. Right. I don't know you, sir, but you're suffering with nervousness and complications. If that's right, raise up your hand. Receive your healing; Jesus Christ makes you well. Have faith; don't doubt.
Nervous, anemia, high blood pressure... That's right. Is that right, lady. Raise your hand. You accept your healing? All right, in the Name of Jesus Christ, you...
E-124 What'd you raise your hand back behind there for, the woman? You believe me to be God's prophet? You believe God can tell me what your trouble is, with all your heart you'll accept it? You have a lady's female trouble and eczema. If that's right, stand on your feet. Then go home and be healed in the Name of Jesus Christ.
Can't you see it's the Lord Jesus? I challenge any of you to believe that. Them people out there, no prayer cards or nothing else, just believing.
Do you believe me to be His prophet? If God will reveal to me the things in your heart... You see, it's just about got me, so I can't stay here much longer. Don't please. I'm... Look at me. As I said, like Peter and John passed through the gate called beautiful, said, "Look on us."
E-125 You suffer with your eyes. You want prayed for. 'Course you say, you got on glasses. Not only that, but you suffer with your ears. You got trouble up in your nose, that you can't see. If that's right, raise your hands. That's true. They don't know what it is, but it's actually fungus, stops up your nose up there. That's right. And another thing, you got chest trouble. That's right.
You're not from this city. You're not from this country. You're from Michigan. That's right. Your name is Mrs. Swanson. Now, go home and be healed in the Name of Jesus Christ.
E-126 Do you believe, everyone of you? Then lay your hands over on one another. I just can't stay no longer...?... Put your hands on one another ever where you are...?... Put your hands on each other. In the Presence of the Holy Ghost... I just can't stand longer, 'cause all of you has done turned white out there. It's just--it's just a Light over everyone of you. If I have found grace in your sight, if you believe me, you in the prayer line here, wherever you are... If you believe with all your heart, and I've found grace in your sight... The Holy Spirit is so dense in here tonight till there's like a Light all over. I can't see people out there no more. It seems to be so anointed.
The only one thing can keep you from being healed, that's your unbelief. You in the wheelchairs, wherever you are, the Holy Spirit's just got the whole place illuminated with His power. Why don't you accept it, raise up.
Satan, I rebuke you, devil, in the Name of Jesus Christ. Come out of this audience and leave them.