Pourquoi?
1 C’est certainement bon d’être encore de retour ce
soir ici à ces réunions Chautauqua, et d’être de retour avec dans mon
cœur la victoire du Seigneur Jésus.
Je suis un petit peu fatigué, je n’ai pas fermé
l’œil depuis la nuit d’avant-hier. Je suis rentré à la maison, et j’ai
pris ma famille. Ma vieille Ford a récidivé. Ou plutôt elle n’a pas
récidivé, elle est vraiment fichue. Et j’ai dû donc l’amener là-bas au
garage, et ensuite venir ici, et elle est au garage maintenant. C’est
donc un… Elle est–elle est presque foutue. Ainsi… nous sommes très
contents d’être ici.
Et maintenant, nous avons encore deux grandes
soirées, le vendredi et le samedi. Et nous nous attendons à ce que
notre Seigneur fasse de grandes choses au cours de ces soirées. Et nous
ne savons vraiment pas ce qui nous attend encore ce soir. J’aime ça,
parce que vous pouvez vous attendre à ce que n’importe quoi arrive.
Nous ne savons pas exactement quand Dieu pourrait venir ici parmi nous
pour–pour nous donner une autre Pentecôte. C’est ce qu’il nous faut. Et
je serais très heureux d’être en plein dedans avec vous, pour apprécier
la communion, la fraîcheur du Saint-Esprit. Et je vous assure, nos
contrées en ont vraiment besoin.
2 Nous venons de connaître un procès chez nous. Ce…
J’ai lu dans le journal ce matin qu’une femme avait tué un homme en lui
tirant en plein dans le dos et elle a été acquittée au tribunal. On a
dit qu’elle était devenue aveugle quand elle tirait. L’avocat de la
partie adverse a dit: «Vous êtes certainement un bon tireur quand vous
êtes aveugle.»
Et ça montre vraiment le pouvoir qu’a l’argent pour
renverser un procès. Le meurtre semble être une chose très
insignifiante. Et la criminalité est en recrudescence.
Naturellement, vous voyez tous dans les journaux ce
qu’il en est de ces gens du rock and roll et de ce qui est arrivé, ici
dans ce parc et ce qui est arrivé. Et là, il n’y avait pas assez de
preuves parce que les filles de certains juges et de certains maires y
étaient impliquées. Le témoignage d’une centaine de gens n’a donc pas
suffi pour qu’elles soient inculpées.
3 Frère, en dehors de Dieu, tout est faux. Il ne
reste qu’une seule chose qui soit juste, et c’est Dieu. Une seule
justice, et c’est Dieu. Mais il vient un jour où le Juste Juge rendra
le juste jugement, et où le monde sera jugé par Lui, Jésus-Christ. Nous
sommes si heureux de savoir cela, que peu importe ce qui se passe ici,
il y a un jour qui vient. Nous attendons donc ce jour avec impatience,
courant vers le but de la vocation céleste en Christ, nous attendant à
ce qu’Il vienne à tout moment.
Vous savez, je ne vois pas beaucoup de choses qui
restent qui vont… pourraient L’empêcher de venir accomplir toutes les
prophéties concernant Son retour. Frère Sullivan, pouvez-vous dire amen
à cela? [Frère Sullivan dit: «Oui, monsieur.»–N.D.É.] Je crois cela,
moi aussi, frère, qu’Il pourrait revenir à tout moment.
4 Vous savez, je trouve que nos réunions sont très
certainement trop courtes. Quand les gens sont rassemblés, ne serait-ce
pas merveilleux maintenant si nous ne… si nous avions environ trois ou
quatre semaines de ceci où nous pourrons tenir les après-midi des
services d’instructions, prêcher sur la Seconde Venue, exposer les
Écritures et En parler; et tenir une réunion de ministres chaque matin
à dix heures où les ministres pourraient se rassembler dans la
communion? Oh, si Dieu le veut (je peux sentir la chose se préparer),
je vais me procurer une grande tente un de ces jours, nous pourrons
donc la dresser quelque part et rester quatre à six semaines au même
endroit. Et ensuite… Nous croyons donc que si quelque chose… Après
qu’on aura prié pour les gens…
Bien des fois, les gens ne comprennent pas comment
s’emparer de la guérison. Et dans de courtes et petites réunions comme
celle-ci, vous ne pouvez pas les instruire. Vous y avez des pécheurs,
il vous faut donc prêcher la Parole et faire des appels à l’autel. Vous
devez penser à l’onction du Saint-Esprit sous le discernement. Et
toutes ces choses, ne les faire qu’en une soirée ou deux.
5 Et puis, quand une personne est guérie par exemple,
si elle n’est pas… Vous voyez, la foi ne connaît pas de défaite.
Il y a quelques années, une jeune femme est venue me
voir. C’était à l’époque où les dames ont commencé à porter ces… ce
qu’on appelle chez nous des jupes scandales. Celles-ci sont en quelque
sorte fendues sur le côté. Et elle était une jeune fille chrétienne
d’une certaine église dénominationnelle. Et elle a dit: «Frère Branham,
a-t-elle dit, trouvez-vous que c’est faux que nous chrétiennes portions
ce genre de jupes?»
Et j’ai demandé: «Quel genre est-ce?»
Et elle a dit: «La jupe scandale.»
J’ai dit: «Pour commencer, je ne vois pas pourquoi
une chrétienne voudrait porter quelque chose qui scandalise.» Mais j’ai
dit: «Si cela… Pourquoi me posez-vous la question? Il y a des doutes
dans votre esprit. Et aussi longtemps qu’il y a des doutes dans votre
esprit, ne le faites pas.» C’est la meilleure façon de se tenir loin du
mal. S’il y a le moindre doute dans votre esprit, tenez-vous éloigné de
cette chose. Mais quand la chose est parfaitement claire pour vous,
allez alors de l’avant. Vous pouvez alors la faire avec foi.
6 C’est ainsi que j’essaie de m’y prendre pour mes
réunions. Avec les appels venant de quatre cents et quelques grandes
villes ici en Amérique, sans compter le monde, je les dépose et je prie
jusqu’à ce que je sois sûr dans mon cœur que Dieu m’appelle à un
certain endroit. Alors j’y vais. Peu importe combien ça tourne mal,
quelle que soit la chose, je finis toujours par découvrir que c’est
Dieu à l’œuvre, peut-être avec une seule personne.
C’est mieux de toujours obéir à Dieu, et n’ayez pas
de doutes. Eh bien, s’il y a des doutes dans votre esprit au sujet de
recevoir le Saint-Esprit, pour savoir si c’est pour aujourd’hui ou pas,
vous ne Le recevrez jamais ainsi. Vous n’y arriverez pas. Vous devez
être sûr que la promesse est pour vous. Et vous êtes… Et puis, si
quelque chose dans votre vie vous condamne, vous feriez mieux
d’arranger cela d’abord, car Il ne viendra pas sur cette base-là.
Voyez? Vous devez arranger cela. Alors, une fois qu’on est au clair sur
tout cela, et qu’on a parfaitement compris, nous pouvons alors nous
mettre en marche.
7 Jésus a dit dans Marc 11.24: «Si tu dis à cette
montagne: ‘Ôte-toi de là!’, et si tu ne doutes pas dans ton cœur, mais
crois que ce que tu as dit arrive, tu le verras s’accomplir.» Pas ce
que Moi J’ai dit, ce que tu as dit. Vous voyez, si vous ne doutez pas
dans votre cœur, mais croyez que ce que vous avez dit arrive, vous le
verrez s’accomplir.
Mais alors, avant de voir cela s’accomplir… Et voici
comment j’essaye toujours de considérer cela: il faut qu’il y ait un
type correct de motif et un objectif correct. Et si votre motif est
correct, votre objectif est correct, et que votre foi soit correcte,
étant donné que vous sentez que c’est la volonté de Dieu, rien ne peut
empêcher la chose de s’accomplir. Pensez-Y.
8 Pour moi, peu importe ce que c’est. Si vous dites à
la montagne: «Ôte-toi de là.» Et peut-être qu’au cas où vous deviez
passer par-dessus la montagne pour un but, pas pour dire… Quelqu’un
pourrait dire: «Oh! Je suis un grand homme de foi. Je vais déplacer
cette montagne.» Elle ne se déplacera jamais.
Mais s’il y a quelque chose de l’autre côté de la
montagne pour lequel vous devez passer par-dessus elle pour faire la
volonté de Dieu, et que vous ne soyez pas en mesure de passer
par-dessus elle, sous elle, la contourner, et que malgré tout quelque
chose dans le cœur vous dise d’y aller, prononcez la Parole. Ne doutez
pas. Et peut-être qu’au moment où vous prononcez la parole, un seul
petit grain de sable tombera. Mais c’est en route. Le jour suivant, une
cuillerée pourrait tomber, le jour suivant, une tasse à thé pleine.
Vous ne le remarquerez pas. Mais si vous restez ferme, sachant que
c’est en cours, au bout d’un moment, le tout va tomber.
Il en va de même pour la guérison divine. Quand vous
voyez le Saint-Esprit à l’œuvre, la Parole être présentée, le
Saint-Esprit oignant cette Parole et prouvant qu’Il est ici parmi nous
pour Se confirmer et vous donner la promesse, alors acceptez votre
guérison.
9 S’il y a le péché dans votre vie, ôtez-le. S’il y a
la condamnation, ôtez-la. S’il y a le doute, ôtez-le, jusqu’à ce que
vous voyiez parfaitement que c’est la volonté de Dieu, que c’est le
plan de Dieu et que vous en faites partie, dites alors: «Maladie, au
Nom de Jésus-Christ, éloigne-toi de moi.» Et ne l’oubliez pas, vous
pourriez ne pas vous sentir mieux pendant une semaine. Mais dès que
vous avez prononcé cette Parole, quelque chose s’est produit. Dieu est
obligé de tenir Sa Parole. Cette maladie est ébranlée et elle commence
à quitter. Elle partira si seulement vous croyez. Ne doutez pas.
C’est comme lorsque Pierre marchait sur l’eau, Il
lui a dit: «Pourquoi as-tu douté? Oh! Homme de peu de foi.» Juste parce
qu’il sombrait; ça n’avait rien à voir avec cela. Christ le lui avait
ordonné et Sa Parole suffisait. C’est de cette manière que nous
devrions aussi le concevoir. Bien, cela ne concerne pas mon texte de ce
soir. Mais, c’est la vérité.
10 Bon, nous allons essayer de nous occuper des
cartes de prière, s’il en reste ce soir, juste comme il semblera bon au
Saint-Esprit. Et puis, demain soir, nous essaierons de distribuer
d’autres cartes de prière. Je crois qu’il nous en reste un tas de la
première ou de la deuxième soirée, car le Saint-Esprit fait une chose
très merveilleuse parmi nous. Oh! Combien nous devrions apprécier cela.
Et Je suis sûr que vous appréciez cela. Il ne devrait pas y avoir un
seul… de place pour le moindre doute.
11 J’aimerais dire ceci en guise de témoignage. Il y
a tant de choses que je pourrais dire. Quand j’ai arrêté ma voiture il
y a quelques minutes, une–une jeune femme est venue à ma rencontre. Et
elle a dit: «Frère Branham, je ne voudrais pas vous interrompre, mais,
a-t-elle dit, je ne saurais vraiment pas m’empêcher de vous dire ceci.»
J’ai dit: «Allez-y, sœur.»
Et elle avait dans les bras le plus beau et
grassouillet petit bébé. Et elle a dit: «Quand vous étiez ici la
dernière fois, j’étais dans la ligne de prière. Et quand je me suis
approchée de vous, vous avez dit: ‘La raison pour laquelle vous êtes
ici, sœur, ce n’est pas pour une quelconque maladie, mais vous perdez
vos enfants suite à des fausses couches. Et vous voulez que je demande
à Dieu de vous permettre d’avoir un enfant.’» Et j’ai dit: «C’est une
chose honorable.»
Et elle a dit: «C’est exact, monsieur.»
Et j’ai alors dit Quelque chose, comme d’habitude:
«AINSI DIT LE SEIGNEUR, rentrez chez vous, car vous aurez votre
enfant.» Et ce soir, elle m’a montré un doux petit bébé rondelet que
Dieu lui a donné dans Son étonnante grâce.
La dame est ici quelque part. Je crois qu’elle
s’appelle Madame York, m’a-t-elle dit. Êtes-vous près d’ici, Madame
York? La voici juste ici maintenant avec un bébé dans les bras.
Oh! Le même Dieu de l’Ancien Testament est le même
Dieu aujourd’hui. Il ne faillit jamais. J’aurai donc une femme dont je
sais maintenant que…
12 Je vois assis ici certains de mes amis Canadiens
qui sont venus du Canada. Il y a de cela environ quatorze ans, cette
femme qui avait environ quarante-huit ans est venue à la réunion, c’est
une Canadienne d’origine allemande. Et elle a dit que le Seigneur lui a
dit dans la ligne de prière, par le discernement, qu’elle était
stérile. Et les médecins avaient déclaré qu’elle ne pourrait jamais
avoir d’enfant. Et j’ai dit: «Vous souffrez aussi de la terrible
maladie de la tuberculose.»
Et elle a dit: «C’est vrai, monsieur.»
J’ai dit: «Rentrez chez vous, car vous êtes guérie
de votre tuberculose, et vous allez embrasser un joli petit garçon de
huit livres [environ 3,6 kg–N.D.T.], AINSI DIT LE SEIGNEUR.»
Elle est rentrée chez elle, elle était forte et en
bonne santé. Les médecins disaient que son cas était chronique. On ne
devrait donc plus y perdre le temps.
13 Après que se soient écoulés environ huit ans… Vous
pouvez donc vous imaginer l’âge de la femme. Elle a dit qu’elle est
allée dans une église où on lui a parlé, disant: «Sœur, si c’était
Dieu, ça serait arrivé.» Et elle a cru cela. Et aussitôt qu’elle a pris
position contre cela, elle a rattrapé la tuberculose. Et alors, le
prédicateur, sans le vouloir, je ne pense pas, a dit que j’étais un
psychiatre, que j’étais un liseur des pensées, que j’avais lu tout
simplement ce qui était dans son esprit. Et son mari, un homme loyal,
s’est levé et a dit: «Mais il lui a dit AINSI DIT LE SEIGNEUR.» Et le
prédicateur s’est moqué de lui. Et sa femme dut être alitée à cause de
la tuberculose.
14 J’étais dans le nord de la Colombie-Britannique
dans une excursion de chasse. En descendant vers Edmonton, je me suis
arrêté pour environ deux heures. Et environ sept ou huit mille
personnes s’étaient rassemblées. Et après le service… Je n’avais pas
mon par-dessus, je n’avais sur moi qu’un petit habit de soirée. Et le…
Un homme s’est approché, et a dit: «Frère Branham, je vais vous donner
mon pardessus.» J’avais chaud et je transpirais.
Et j’ai dit: «Non.» Mais j’ai demandé: «N’êtes-vous
pas le frère Doble?»
Il a répondu: «C’est moi.»
«Oh! ai-je dit, l’état de santé de votre femme…»
Et il a dit: «Frère Branham…» Il m’a raconté
l’histoire. Il a dit «Elle est dans un état très grave à cause de la
tuberculose.»
J’ai demandé: «Pourquoi a-t-elle douté?»
Il a répondu: «Eh bien, Frère Branham, cela a
tellement traîné qu’elle a commencé à douter.»
J’ai dit: «Peu m’importe combien elle doute. J’ai eu
cette vision. Elle tenait un petit garçon tout gros et potelé. Et cela
va arriver, en dépit de ce qu’elle dit ou de ce qu’elle pense, car Dieu
l’a déjà dit. Une vision ne peut pas être arrêtée.»
15 Fred Sothmann, un brave ami à moi, il est ici
présent maintenant. Je pense qu’il y a environ deux ans de cela, frère
Fred, ou plutôt trois ans, nous étions dans le Saskatchewan… Je pense
que c’était à Prince Albert. Prince Albert, dans le Saskatchewan. Et
dans l’arène… Et un télégramme est arrivé. Madame Doble se rendait là,
elle devait avoir son bébé dans les trois jours qui suivaient. Et on
l’a amenée dans une voiture spéciale, vu son âge, on craignait qu’elle
ne soit pas en mesure de supporter cela. J’ai prié pour elle.
Et elle a dit: «Une chose, Frère Branham, je
confesse mon péché d’incrédulité.» Mais elle a dit: «Je veux vous
demander une chose comme confirmation. Vous avez dit que ce serait un
garçon.»
J’ai dit: «Ce sera un garçon.»
Et aussitôt qu’ils ont pu rentrer chez eux, elle a
eu un petit garçon de huit livres [environ 3,6 kg–N.D.T.] qui court çà
et là au Canada ce soir, un garçon d’une mère de plus de cinquante ans,
parce que Dieu tient Sa Parole. Il ne faillit jamais.
16 Prions. Seigneur, alors que nous sommes dans le…
ceci, ce que nous appelons le temps, cela passe si vite. Mais un jour,
nous quitterons le temps pour entrer dans l’éternité. Et nous nous
assiérons au bord de la rivière sous les arbres toujours verts. Et là,
nous rencontrerons nos amis et nous donnerons des témoignages, et nous
louerons Son Nom pour toujours. Je m’attends à en voir des millions
là-bas auxquels nous avons prêché et auprès desquels nous avons exercé
notre ministère.
Mais tandis que nous sommes ici, Seigneur, dans la
chaleur, du jour, nous Te prions ce soir de nous accorder Ta grâce et
Ta miséricorde, et que chaque personne malade ici présente, malade du
péché ou malade dans son corps, que ceci soit un AINSI DIT LE SEIGNEUR
pour elle ce soir. Puisions-nous les revoir plus tard, comme c’est le
cas avec cette aimable femme ce soir, Madame York, à une autre
occasion, peut-être dans une grande tente quelque part, et les entendre
témoigner que c’est aux réunions Chautauqua que Ta miséricorde est
descendue et les a guéris, les a sauvés et remplis du Saint-Esprit.
Accorde-le, Seigneur.
Bénis les quelques Paroles qui seront lues dans Ta
Parole. Nous voulons Les lire parce que nos paroles failliront, mais Ta
Parole est éternelle et Elle ne peut pas faillir. Bénis les efforts que
nous fournissons, en guérissant les malades, en sauvant les perdus, et
en ramenant à la maison les rétrogrades, car nous le demandons au Nom
de Jésus. Amen.
17 Ce fidèle pasteur… J’ai reçu une petite note
écrite ici: «L’autel est à votre droite.» Voilà qui montre que c’est un
pasteur très fidèle; il veut voir les perdus être sauvés. C’est le but
de notre présence ici, voir les perdus être sauvés et bénir les gens.
Et vous êtes toujours une bénédiction pour moi.
Dans le Livre de Jérémie chapitre 8, verset 22, je
lis:
N’y a-t-il point de baume en Galaad? N’y a-t-il
point de médecin? Pourquoi donc la maladie de la fille de mon peuple ne
guérit-elle pas?
Je voudrais prendre un texte, si on peut l’appeler
ainsi, sur le sujet suivant: Pourquoi?
18 Dieu, quand Il fraye une voie pour s’échapper, ou
quand Il envoie une pluie de miséricorde, et que les gens n’en tiennent
pas compte, Dieu se pose la question: «Pourquoi?» Il a le droit de se
poser la question: «Pourquoi?» Quand Il apprête tout et le présente, et
qu’ensuite les gens rejettent cela, Dieu se demande: «Pourquoi les gens
ont-ils fait cela?» Et Il a le droit de se poser la question:
«Pourquoi?», car Il l’a fait pour notre bien.
C’est comme au 1er chapitre de II Rois, après la
mort d’Achab, ce méchant roi d’Israël, Achazia régna à sa place, lequel
était son fils. Et il était aussi méchant que son père et sa mère,
Achab et Jézabel. Et pendant qu’il marchait sur la terrasse de son
palais en Israël, quand il était leur roi, il est tombé. Et alors, il
tomba gravement malade, et il était presque mourant. Et il appela deux
de ses soldats et les envoya à Ekron consulter le dieu Baal-Zébub pour
s’enquérir s’il allait guérir de cette maladie ou pas. Il le fit en
secret.
19 Et pendant qu’ils étaient en route, faisant cette
chose abominable… Il n’y a point de méchanceté qui se commette sans que
Dieu le sache. Il y avait un vieux petit prophète chauve assis dans une
petite hutte de terre quelque part dans le désert. Et l’Ange du
Seigneur vint vers lui et lui dit ce qui se passait. Et Il lui dit:
«Monte là-bas et tiens-toi sur la route.»
Et il a traversé le désert et a monté la colline, et
il a arrêté les deux soldats. Et il leur dit: «Retournez dire à ce roi:
‘N’y a-t-il point de Dieu en Israël? N’y a-t-il point de prophète en
Israël pour que tu consultes ces choses, pour que tu envoies des gens à
Ekron auprès du dieu Baal-Zébub? Est-ce pour cette raison? N’y a-t-il
point de prophète ou de Dieu ici à consulter pour que tu aies à
recourir à une telle ressource?» Il leur dit: «Allez lui dire: ‘AINSI
DIT LE SEIGNEUR, il ne descendra pas de ce lit, mais il mourra pour sa
méchanceté!’»
Les soldats ont fait demi-tour et sont rentrés. Et
quand ils furent retournés auprès de ce roi, celui-ci a demandé:
«Pourquoi êtes-vous revenus?»
Ils lui ont répondu: «Nous avons rencontré un homme.
Et il nous a dit telle et telle chose.»
Le roi a demandé: «Quel aspect cet homme avait-il?»
Ils ont répondu: «Il était tout poilu, et il avait
une ceinture de cuir autour des reins.»
Et le roi a dit: «C’est Élie le Thischbite.» Il
comprit qu’il avait mal agi.
20 Il y avait un Dieu en Israël. Il y avait un
prophète en Israël. Mais c’était à cause de l’entêtement du roi.
C’était à cause de sa méchanceté et de son péché volontaire qu’il
n’était pas allé consulter Dieu à ce sujet. Et il a perdu la vie.
C’est pareil aujourd’hui. Nous n’avons pas besoin de
tant d’ONU. Si nous sommes une nation chrétienne, appelons Dieu sur la
scène. La raison pour laquelle il n’y a point de baume en Galaad… Il y
a assurément du baume. Il y a un Dieu en Amérique. Il y a un Dieu ici.
C’est à cause de son entêtement que le peuple ne veut pas Le consulter.
Il préfère accepter le conseil d’un érudit intellectuel plutôt que de
venir auprès du Saint-Esprit béni que Dieu a envoyé sur la terre. C’est
pour cette raison que nous sommes dans une telle situation aujourd’hui.
Ce n’est pas parce qu’il n’existe pas de Dieu, ce n’est pas parce que
le Saint-Esprit n’est pas toujours réel, c’est à cause de l’entêtement
des gens. C’est parce qu’ils veulent pécher. C’est parce qu’ils
désirent faire ces choses. C’est cela qui est dans leur cœur.
21 C’est comme un homme qui meurt sur l’escalier d’un
médecin. Si un médecin a un remède pour la maladie qu’a un homme, et
que cet homme s’asseye sur son escalier, et refuse de prendre le
remède, il mourra là. Et ce n’est pas la faute du médecin. Il a le
remède, et il veut bien le donner, mais l’homme est trop têtu pour le
prendre.
Et c’est pareil aujourd’hui. Ça ne sert à rien qu’un
homme meure dans le péché. Toutes ces choses qui se font ne servent à
rien. Dieu a le remède. Et les gens s’asseyent sur les marches de
l’église et meurent parce qu’ils refusent de recevoir cela. Ils meurent
dans le péché assis sur les bancs de l’église, parce qu’ils refusent de
recevoir cela.
22 Il y a du Baume en Galaad. Il y a là un Médecin.
Mais les gens refusent de prendre Son médicament. Le membre d’église
locale tiède pense être trop bon pour prendre le médicament du
Saint-Esprit. Le Saint-Esprit est le médicament de Dieu. C’est cela le
remède. Mais le membre de l’église locale refuse de le faire. Il va à
l’église. Il fait inscrire son nom dans le registre. Il est disposé à
payer sa dîme. Il est disposé à faire tout ce qui est du même genre.
Mais quand il s’agit de prendre le médicament, il refuse de le faire.
23 Or, comment obtient-on les médicaments? D’abord,
la science commence à faire des recherches jusqu’à ce qu’elle trouve
une certaine toxine. Et ensuite, on l’injecte à un cobaye. Et on voit
comment le cobaye y réagit. Et si le cobaye se rétablit, et que ça
marche parfaitement, on donne alors cela à l’être humain.
Or, tous les êtres humains ne sont pas faits comme
le cobaye. Vous pouvez donner un certain médicament à un homme, et cela
aidera l’un et tuera l’autre. Vous pouvez donc avoir une excuse pour
cela, parce que le médicament peut aider l’un et tuer l’autre. Vous
pourriez donc vous poser des questions à ce sujet, mais vous ne devez
pas vous poser des questions sur le Baume de Dieu, la Toxine de Dieu,
le Saint-Esprit. Il guérira chaque fois qu’Il sera appliqué. Il a été
testé et éprouvé, et Il est parfait. Le remède du cobaye est bon.
24 Le péché du monde aujourd’hui, la maladie la plus
grave ce n’est pas la maladie du cœur; c’est la maladie du péché qui
tue le monde. C’est ça qui détruit la nation aujourd’hui, c’est le
péché qui détruit le monde entier. Et il y a suffisamment de remède
contre cela. Mais les gens refusent de le prendre. Ils ne veulent rien
avoir à faire avec.
C’est juste comme l’homme assis sur l’escalier du
médecin. Voilà venir un homme qui avait la même maladie et il est
guéri. Un autre vient et dit: «C’est du fanatisme. Je n’entre pas
là-dedans.» Il mourra là, parce qu’il refuse de prendre le médicament.
Et il en est ainsi. L’homme mourra et sombrera dans
une sombre éternité sans connaître Dieu s’il refuse le baptême du
Saint-Esprit. La toxine de Dieu lui est destinée.
Certaines personnes disent: «Je ne peux m’empêcher
de pécher.» «Frère Branham, j’ai une accoutumance à la cigarette. Je ne
puis abandonner cela.» «J’ai une accoutumance à la boisson. Je ne puis
abandonner cela.» «Je suis colérique. Je ne puis m’en débarrasser.»
Vous essayez seulement de gagner du temps. Vous refusez simplement
d’utiliser la Toxine de Dieu. Elle guérira cela, si seulement vous La
preniez. Et des fois, c’est pénible, mais Elle vous fait toujours du
bien. Il faut parfois un médicament qui a mauvais goût pour vous faire
du bien.
25 Ma vieille mère, une vieille maman du Kentucky…
Nous vivions là-bas dans les collines où nous mangions les doliques
avec du pain de maïs; on faisait fondre la viande des peaux pour en
tirer la graisse à mettre dans le–le pain de maïs. Et chaque samedi
soir, maman nous donnait un bain dans la grande vieille bassine de
cèdre. Combien parmi vous qui êtes du Kentucky ont déjà vu une vieille
bassine de cèdre? Assurément. Et je voudrais vous dire qu’on ne
renouvelait pas l’eau, on y ajoutait juste un petit peu d’eau plus
chaude, et cela du premier au dernier des neuf garçons. Et alors, ce
qui devait suivre le samedi soir pour nous préserver de la pellagre, dû
à notre alimentation, elle nous faisait prendre de l’huile de ricin. Je
ne peux toujours pas supporter l’odeur de cette chose. Et je venais
avec le nez pincé. Et je disais: «Oh! Maman, ça me rend si malade.»
Elle disait: «Si cela ne te rend pas malade, cela ne
te fait aucun bien.»
C’est donc ainsi avec L’Évangile. Il doit d’abord
vous donner des nausées vis-à-vis de vos péchés, pour que ça vous fasse
du bien. Pincez-vous le nez et prenez Cela. Vous devez peut-être vous
comporter comme un… je ne sais quoi, mais je… De toute façon, c’est
bon. Cela guérira toujours le péché.
26 Oui, la raison pour laquelle les gens ne veulent
pas prendre Cela, c’est à cause de leur mode de vie et de leur orgueil.
Je vois cela commencer à se glisser parmi nous les pentecôtistes. Un
peu d’orgueil, nous ne voulons pas faire cela. «Je n’ai pas envie de
m’agenouiller à cet autel-là et pleurer à chaudes larmes!»
Eh bien, permettez-moi de vous dire quelque chose.
J’ai ici un auditoire mixte, mais j’aimerais que vous compreniez cela
dans l’angle sous lequel cela est donné. Toute naissance est un gâchis.
Peu m’importe où elle a lieu. Que ce soit dans la porcherie, dans la
grange, que ce soit dans une maison ou dans une chambre d’hôpital
décorée en rose, une naissance est un gâchis. Et de même la nouvelle
naissance est aussi un gâchis. Vous ne pouvez pas venir tout guindé et
dire: «J’ai reçu Christ comme mon Sauveur personnel.» C’est absurde.
Agenouillez-vous là à l’autel et restez-y jusqu’à ce que vous naissiez
de nouveau. C’est un gâchis, mais cela amène la Vie. Peu m’importe le
degré ou le niveau que je dois atteindre.
27 Mes frères baptistes m’ont parlé disant: «Billy,
tu vas devenir un saint qui se roule.» Ça importait peu pour moi si
c’était un saint qui se roule par terre [Holy roller en anglais–N.D.T]
ou un saint qui sautille [Holy jumper en anglais], quelque fût le
niveau, je voulais une nouvelle vie. Je ne me souciais pas de ce que
c’était, du niveau que c’était. Quand vous êtes prêts à Le recevoir,
vous viendrez et vous Le recevrez. Heureux ceux qui ont faim et soif de
la justice, ils seront rassasiés.
Le vieux noir là dans le Sud était très heureux
d’avoir reçu le Saint-Esprit. Et son patron dit: «J’aimerais avoir de
cette religion authentique.»
Il a dit: «Eh bien, patron, vous pouvez l’avoir.»
Il a dit: «Eh bien, attends donc, a-t-il dit, quand
je serai prêt pour cela, je te le dirai.»
Il a dit: «D’accord, je vais vous attendre.»
28 Ainsi, un jour, c’était un jour pluvieux. Oh! La
pluie tombait à verse. Et le patron a dit: «Mose, je suis prêt à
recevoir le Saint-Esprit dont tu parles.»
Il a dit: «D’accord, patron, je serais heureux de
vous accompagner.»
Alors il a dit: «Allons dans le grenier à maïs. On
en a fait sortir tout le maïs maintenant, il vient d’être nettoyé.
C’est un bon endroit, sec et propre.»
Et ils y sont allés, et Mose a dit: «Mais, patron,
ce n’est pas à cet endroit qu’on Le reçoit.»
Il a dit: «D’accord, nous irons dans le grenier à
foin.» Il a dit «C’est un bon endroit et c’est doux, et il y a l’odeur
du foin.» Il a dit: «Nous monterons dans le grenier à foin.»
Et quand ils sont montés là-haut, Mose a regardé
autour. Il a dit «Mais ce n’est pas à cet endroit qu’on Le reçoit,
patron.»
Il a demandé: «Alors Mose, où Le reçoit-on?»
Il a dit: «Suivez-moi», a dit Mose. Et il s’est mis
à retrousser les jambes de son pantalon, et jusqu’aux genoux il est
entré dans la porcherie, et il a dit: «C’est ici qu’on Le reçoit.»
«Oh! a-t-il dit, je–je n’aimerais pas venir là.»
Il a dit: «Depuis le début, je n’ai pas cru que vous
étiez prêt pour Cela.» C’est ça. Si vous avez réellement besoin de
Dieu, peu importe comment cela vient, vous êtes disposé et prêt. Vous
Le recevrez.
29 Tout doit mourir avant que vous puissiez avoir la
vie. Et la vie ne vient que par la mort. La vie vient par la mort.
Prenez un grain de maïs et plantez-le. Si ce grain
de maïs ne reste pas là… et il ne doit pas seulement mourir mais il
doit aussi pourrir, c’est alors qu’il produira une nouvelle vie, à
partir de ce gâchis de pourriture. Et jusqu’à ce que l’homme aura fait
que ces… fait sortir par le Saint-Esprit toute la psychologie faite de
mains d’homme, et sera resté là jusqu’à ce qu’il ait pourri à ses
propres idées, alors il recevra le Saint-Esprit. Quand vous réussissez
à faire sortir de vous tous les credo et autres histoires en les
martelant et en les faisant pourrir au point que cela est mort et
pourri… C’est très désagréable, mais c’est la seule manière que je
connaisse pour le dire. Vous comprenez cela. Jusqu’à ce que cela
pourrisse, alors la nouvelle Vie viendra.
30 Mais aussi longtemps qu’il n’y a pas espoir que
cela pourrisse, la nouvelle Vie ne viendra pas. C’est la raison pour
laquelle tant de fois nous nous relevons de l’autel sans le
Saint-Esprit, parce que nous ne pourrissons pas assez à nos propres
idées. Nous devons rencontrer Dieu à Son niveau à Lui. C’est là que
j’aime Le rencontrer, car Il ne m’a jamais délaissé.
La nouvelle naissance ne diffère en rien de toute
autre naissance; c’est un gâchis. Vous devriez voir dans quel gâchis
j’étais quand je L’ai reçu. Et de temps en temps quand Cela vient
encore sur moi, je me retrouve encore dans un gâchis avec. Je crie, et
pleure à chaudes larmes, et me comporte si étrangement que, je pense,
je ne suis pas très beau à voir, mais cela… J’ai en moi quelque chose
qui se saisit sans cesse, sans cesse, sans cesse de moi. C’est la
nouvelle Vie. Peu m’importe à quoi ça ressemble; je veux savoir ce que
C’est. C’est l’essentiel.
31 Eh bien, il y a eu temps où il n’y avait pas de
toxine contre la variole. Il y a eu un temps où on n’avait pas le
vaccin de Salk pour les enfants atteints de la polio. Mais aujourd’hui,
on en a. On en a.
Il y eut un temps où il n’y avait pas de remède pour
le péché. Il y eut un temps où le… sous la loi de la more, Dieu faisait
mourir le bétail ainsi que les moutons. Et sous cela, une expiation
était faite pour le péché, mais cela ne faisait que couvrir le péché.
Cela ne l’ôtait pas. L’homme, avait donc une excuse. Il pouvait
retourner, mais son cœur n’était pas changé. Chaque année, il venait
offrir un agneau pour la purification et pour son péché.
Mais maintenant, il n’y a aucune excuse. Il y a de
la Toxine en abondance dans la maison de Dieu. Et c’est un remède
contre le péché, c’est pour le péché un double remède. Cela me sauve de
la colère et me purifie. Il y a la Toxine dans la maison de Dieu.
32 Or, quand les médecins étudient les médicaments
pour leurs patients, on en fait l’expérimentation sur un cobaye. Mais
quand Dieu a voulu faire un test pour la race humaine, Il n’a pas fait
d’inoculation à un cobaye, mais Il a fait une inoculation à Son Fils.
Le Seigneur Jésus a reçu la Toxine du Saint-Esprit de Dieu.
Et Son comportement sur la terre prouve ce que
C’était. Quand les gens ont craché sur Lui, Il a prié pour leur pardon.
Quand on L’a exaspéré, Il n’a pas rendu la pareille. Cela a montré que
la Toxine a tenu. Quand on Le tuait, qu’Il mourait sur la croix,
saignant et bêlant, Il priait pour leur pardon. La Toxine a tenu bon.
Et puis une lance Romaine embauma Son corps en transperçant Son cœur,
et le sang et l’eau en jaillirent. Ils ont dit: «Maintenant c’est fini.
Il a rendu l’âme.»
La terre trembla. Il mourut si bien que le soleil
cessa de briller. Il mourut si bien que les étoiles refusèrent de
briller. Il mourut si bien que la terre devint si sombre qu’on pourrait
palper cela. Il mourut et alla dans les plus basses régions de l’enfer,
portant nos péchés. Vous ne pourriez pas descendre plus profondément en
enfer que Lui ne l’a fait. Vous ne pourriez pas souffrir plus
atrocement que Lui ne l’a fait. Vous ne pouvez pas être mort plus que
Lui ne l’était.
33 Mais frère, en ce premier matin de Pâques, la
Toxine a commencé à agir. Elle a brisé les sceaux de la mort. Elle a
fracassé le visage au diable. Elle a roulé la pierre, et le Fils de
Dieu revint à la vie. Il est vivant pour toujours. La Toxine a marché.
Dieu L’a administré à Son propre Fils pour confirmer
cela, qu’Elle marcherait. Dieu était fait chair et a habité parmi nous.
C’est ainsi que Dieu était en Christ. Dieu est venu et a pris Lui-même
cette Toxine dans un corps humain qu’Il avait créé Lui-même, le Fils de
Dieu. Et Il y a vécu, et Il a pris la Toxine. Mais le matin de Pâques,
Elle prouva qu’Elle tenait.
Ensuite, Il avait des gens qui étaient prêts pour
Cela. Quand ils ont mis le doigt… Certains parmi eux doutaient
tellement du médicament, ils étaient assis sur l’escalier jusqu’à ce
qu’ils touchent Son côté. Il y en avait d’autres qui s’en étaient
retournés rétrogradant sur le chemin d’Emmaüs, mais ils L’ont vu faire
quelque chose comme ce qu’Il avait fait avant Sa crucifixion. Ils ont
compris que la Toxine agissait.
34 Oh! frère. Vous allez de toute façon me traiter de
saint exalté. Elle marche encore tout aussi parfaitement qu’à l’époque.
Il y a du Baume en Galaad. Il y a une Toxine pour la maladie. Il y a
une Toxine pour la guérison de l’âme et du corps. Elle est dans la
maison de Dieu aujourd’hui, où:
Il y a une fontaine remplie de sang
Tiré des veines d’Emmanuel,
Où les pécheurs plongés dans ce flot,
Perdent toutes leurs taches coupables.
Ce voleur mourant s’est réjoui de voir
Cette fontaine en son jour;
Là, que je puisse, quoique vil comme lui,
Laver tous mes péchés.
Ne me dites pas qu’il y a mieux. J’ai été inoculé
par Lui. Cela ôte de votre cœur le désir du péché et y place un
alléluia de sorte que rien ne peut se comparer à Cela, quand vous êtes
inoculé. Vous direz: «Je ne pense pas que je pourrais tenir le coup.»
Soyez inoculé une fois.
35 Maintenant, je vais vous démontrer ce que sont le
Baume de Dieu et l’inoculation. Les premiers candidats étaient à cent
vingt. Ils sont montés dans la chambre haute pour l’inoculation. Il
avait dit: «J’ai été avec vous, mais maintenant Je vais être en vous.»
Ils sont montés pour l’inoculation. Et soudainement, le Sérum est venu
du ciel comme un vent impétueux et des languettes de feu qui brûlaient
apparurent. Et Cela a inoculé cent vingt personnes.
Leurs âmes étaient tellement remplies de joie qu’ils
ont parlé en d’autres langues et sont sortis dans les rues en courant,
en criant et en se comportant comme une bande d’hommes ivres. Ils ne se
souciaient pas de l’impression que ça faisait. Ils ne se souciaient pas
de ce que quelqu’un disait. Ils en sont arrivés au niveau de Dieu pour
Le recevoir. Si jamais vous Le recevez, vous arriverez au même point.
C’est uniquement de cette façon-là qu’Il Le donne, c’est à ce niveau-là.
36 Ça marchait tellement bien que quelques jours plus
tard, il y eut un homme qui était sur le point de condamner ce peuple
appelé les Gentils. Et l’inoculation est entrée en action et il a eu
une vision. Voilà que le même homme s’était mis à franchir la porte
appelée la Belle. Et l’inoculation est entrée en action quand il a vu
un homme boiteux depuis le sein de sa mère. Il n’avait pas de dire: «Si
seulement tu avais vu Jésus quand Il était ici.» Il était aussi
inoculé. «Ce que j’ai, je vais te Le donner», a-t-il.
Oh! Je suis si content qu’il y ait suffisamment de
Sérum! Oui. Suffisamment de Sérum!
Ça a très bien marché lorsque quelqu’un allait
mourir, et que l’on construisait un billot où on allait le décapiter.
Comment va marcher l’inoculation, Paul? Il a dit: «J’ai combattu le bon
combat. J’ai achevé la course. J’ai gardé la foi. Désormais, une
couronne m’est réservée; le Seigneur le juste Juge me la donnera en ce
jour-là. Non seulement à moi, mais à tous ceux qui seront inoculés.»
On a alors dit: «La tombe va te faire pourrir», a
dit le diable.
Il a dit: «Tombe… Ô mort, où est ton aiguillon;
tombe, où est ta victoire.» Mais grâces soient rendues à Dieu qui nous
a inoculés par le Seigneur Jésus-Christ; puisqu’Il vit, je vis aussi.
Assurément.
37 Il vous sera demandé pourquoi vous n’avez pas reçu
Cela, il y a suffisamment de sérum.
Le jour de la Pentecôte, quand les gens ont vu tout
ce comportement, il y avait là des cœurs sincères, et ils voulaient
être candidats. Ils ont donc dit: «Que pouvons-nous faire? Y a-t-il un
médecin ici?» Dieu a posé la question: «N’y a-t-il point de médecin?»
Dieu merci que nous ayons encore des médecins. «N’y a-t-il point de
médecin ici?»
Il y en eut un du nom de docteur Simon Pierre qui
s’est approché. Il a dit: «Je vais vous faire une ordonnance et elle
durera pour toujours, car elle est pour vous, pour vos enfants et tous
ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu
les appellera, qui peuvent L’obtenir.»
L’ordonnance du docteur Simon Pierre est encore
valable ce soir. Si vous ne la croyez pas, venez au bureau et
répondez-y. Alléluia! Oh! Assurément. L’inoculation est bonne. Elle
tiendra bon. Elle est bonne; Elle est bonne.
38 Eh bien, quand nous Le voyons donner
l’inoculation, en voyant revenir les signes qu’Il accomplissait, cela
montre qu’on a reçu la même inoculation.
Frère, si le Saint-Esprit accomplit la même œuvre
dans les membres de L’Église que Christ a sauvés, alors ils
ressusciteront des morts comme Lui. Il n’est pas étonnant que nous
puissions dire: «Ô mort, où est ton aiguillon; tombe, où est ta
victoire.»
Si Cela a guéri les malades en ce temps-là, la même
inoculation le fera pour vous aujourd’hui. Si C’était un–un antidote
pour le péché et un antidote pour la maladie, c’est la même chose
aujourd’hui.
Alors, frère, sœur, sur cette base, permettez-moi de
vous poser cette question finale… qui est la suivante: Pourquoi y
a-t-il tant de confusion parmi nous? Pourquoi y a-t-il tant de péchés
parmi nous? Que se passe-t-il? Est-ce parce qu’il n’y a pas de Baume en
Galaad? Est-ce parce qu’il n’y a point de Saint-Esprit? Pourquoi donc
l’église est-elle dans cet état? Pourquoi donc? Est-ce parce qu’il n’y
a point de Médecin?
Oh! si, il y en a. Il y en a. Mais vous mourrez sur
l’escalier, sous son ministère, sans connaître Dieu, sans être guéri
non plus, à moins que vous acceptiez l’ordonnance qui a été écrite pour
vous. «Je suis l’Éternel qui guérit toutes tes maladies.» Pouvez-vous
la croire? Puisse le Seigneur vous bénir comme nous méditons là-dessus
pendant que vous inclinez la tête.
39 Ô Seigneur, nous sommes si heureux qu’il y ait du
Baume en Galaad. Nous sommes si heureux qu'il y ait un Médecin là.
Alors, au jour du jugement, à ces pharisaïques Amérique, Angleterre, et
les autres grandes nations qui ont entendu l’Évangile, il sera demandé:
«Pourquoi ne L’avez-vous pas accepté?» Quand les médecins oints sortent
pour manipuler la Parole, et que les résultats suivent tout celui qui
vient, alors il y a du Baume en Galaad.
Voici assis devant nous ce soir des alcooliques, des
femmes ignobles, des hommes immoraux qui autrefois parcouraient les
rues remplis de convoitise, et qui aujourd’hui sont des saints. Il y a
des femmes qui buvaient et plantaient des aiguilles dans leurs bras, au
point que les médecins de la terre ne pouvaient rien faire pour elles.
Et aujourd’hui, ils témoignent partout dans les rues de la Grâce
étonnante de Jésus-Christ. Il y a des femmes stériles qui portent des
bébés dans leurs bras, parce qu’elles ont été inoculées pour qu’elles
élèvent leurs enfants. Il y a ceux qui étaient aveugles qui voient
maintenant. Il y a ceux qui étaient boiteux qui peuvent marcher
maintenant. Il y a ceux qui avaient le cancer, qui étaient mourants, et
qui sont maintenant en vie parce qu’il y a du Baume.
40 Peu importe combien l’incroyant secoue la tête et
s’en va, cela n’enlève pas la Toxine. Il y En a en abondance ce soir
dans les bras de Christ. Nous Te prions, Seigneur, d’inoculer chaque
personne ici ce soir qui a le désir de pécher dans son cœur. Ôte cela
d’elle, Seigneur, «Ma grâce suffit», a dit le Saint-Esprit.
Maintenant, nous Te prions, Père, de guérir les
malades, fait grâce à ceux qui sont dans le besoin, car il y a du Baume
en Galaad, et il y a un Médecin là. Le Grand Médecin est là, Celui qui
n’a jamais perdu un seul cas, qui n’a jamais perdu un seul patient et
qui ne peut rien perdre. Et Il a dit: «Tous ceux que le Père m’a
donnés, Je n’en perdrai aucun, et je les ressusciterai au dernier
jour.» Le Grand Médecin. Il montre Sa Présence parmi nous soir après
soir. Et nous Le prions, ô Dieu, de faire la même chose ce soir en
sauvant les perdus et en guérissant les malades. Car nous le demandons
au Nom de Jésus. Amen.
Oh! je désire Le voir, regarder Sa face.
Là chanter pour toujours Sa grâce qui sauve;
Dans les rues de gloire, élever ma voix;
Tous les soucis sont passés, enfin à la maison,
À jamais pour se réjouir.
Ne voulez-vous pas Le voir? Chantons cela. Oh! je
désire Le voir, regarder Sa face. (Adorez-Le maintenant.)
Là chanter pour toujours Sa grâce qui sauve;
Dans les rues de gloire, élever ma voix;
Tous les soucis sont passés, enfin à la maison,
À jamais pour se réjouir.
Ne vous sentez-vous pas bien? Oh! je L’aime. Ne
L’aimez-vous pas? Chantons ce bon vieux cantique Je L’aime, je L’aime,
parce qu’il m’aima le premier. Combien le connaissent? Combien ici ce
soir sont Chrétiens? Levez la main. Maintenant, baissez vos mains.
Combien veulent devenir Chrétiens? Levez la main. Que Dieu vous
bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Que Dieu vous bénisse,
monsieur. Que Dieu vous bénisse. Là derrière… Très bien.
Abandonnez-vous à Lui maintenant même, juste là où vous êtes assis.
Abandonnez-vous pendant que nous chantons Je L’aime.
Je L’aime, je L’aime (Levez la main maintenant.)
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
Oh, j’espère et crois que Dieu a sauvé votre âme.
[Frère Branham se met à fredonner–N.D.É.]
Parce qu’Il m’aima le premier (J’ai été inoculé.)
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
41 Oh! ne L’aimez-vous pas? Ne voudriez-vous pas
adorer et sentir cette bonté de Sa miséricorde? Oui, quand je
marcherais dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne craindrai aucun
mal, car Tu es avec moi.
Le message est terminé. Adorez simplement dans votre
cœur. Paul a dit: «Si je chante, je chanterai dans l’Esprit. J’adorerai
dans l’Esprit.» Il est ici. Je sais qu’Il est ici. Oh! je L’aime bien.
Juste à votre propre façon maintenant, pendant que le piano et l’orgue
et ainsi de suite jouent, adorez-Le. Fermez les yeux.
Je L’aime, (Seigneur, nous T’aimons.) je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquis mon salut
Sur le bois du Calvaire.
42 Maintenant, avec la tête inclinée… Ami pécheur, si
vous ne Le connaissez pas encore et si vous savez qu’Il est présent,
voudriez-vous vous approcher d’ici? Permettez-moi de vous serrer la
main juste ici et de prier avec vous juste un moment. Vous êtes
invités. Pendant que nous chantons, si le Saint-Esprit vous parlait…
«Je voudrais m’approcher. Je n’aurai pas honte de Lui. Je vais
approcher et prendre position ce soir. Je suis vraiment sérieux. Peu
m’importe ce que pense mon voisin.» Non, vous venez pour naître de
nouveau. Ce sera un gâchis. Les gens se moqueront de vous et parleront
de vous. Mais êtes-vous disposés à porter l’opprobre de Christ? Comme
Paul a dit à Agrippa: «C’est selon une voie qu’on appelle une hérésie
(c’est-à-dire une folie) que j’adore le Dieu de nos pères.» Voulez-vous
gagner son rang ce soir?
Je L’aime,
Parce (Je vais attendre)…
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
[Frère Branham se met à fredonner–N.D.É.]
Que Dieu vous bénisse, mon frère. Tournez juste ici.
[Frère Branham prie avec l’homme.] …au Nom du Seigneur Jésus …?… cet
homme …?… tous sincèrement maintenant, alors Tu guériras l’âme et le
corps. Il s’en ira une personne différente, pour être Ton serviteur dès
ce soir …?… Allez maintenant et recevez le Saint-Esprit …?…
Y a-t-il quelqu’un d’autre qui voudrait dire: «Je
veux L’accepter»?
Il s’en va directement pour pouvoir en finir avec la
chose. Il avait certaines habitudes. Je lui en ai parlé. L’Esprit de
Dieu est ici. Il s’en va directement pour mettre cela en ordre. [Frère
Branham prie avec les gens à l’autel–N.D.É.]
43 Puissions-nous …?… Seigneur, comme cette femme et
ce petit garçon …?… sur ce …?… puissent-ils venir et réaliser que leur
propre …?… montant maintenant …?… et qu’ils viennent et qu’ils
communient avec Dieu …?… peuple bien-aimé …?… leur donner la Vie
Éternelle et les remplir du Saint-Esprit. Que Dieu vous bénisse …?…
Allez directement–directement là-bas …?… consécration de la pensée …?…
Nous sommes juste de petits enfants, et solennellement je … ?… la
foi …?… Je Te prie de bénir. Qu’ils soient remplis du Saint-Esprit …?…
nous aime compte y arriver, pour que jamais plus …?… leur envoie …?…
Ô Dieu, sauve ce …?… donne-lui un …?… Que Ton
Saint-Esprit …?… Seigneur, pardonne le péché, Seigneur …?… le cœur
soit… Alors, Seigneur …?…
Seigneur Jésus, écoute sa prière, Seigneur, ce soir
accorde …?…
[Un frère demande des serviteurs indépendants, un
frère fredonne tandis que Frère Branham continue à prier avec ceux qui
ont des requêtes–N.D.É.]
44 Seigneur, je prie Seigneur …?… [Espace vide sur la
bande]
Acquit mon salut (Y a-t-il un autre pécheur qui voudrait venir?)
Bois du Calvaire (…?… me rendant compte …?…)
[Un frère demande davantage de serviteurs
indépendants pendant que Frère Branham continue à prier avec les gens à
l’autel] …?… Je prie que …?… puissance de Dieu …?… Seigneur, je prie
…?… ses péchés lui sont pardonnés. Puisse ceci être le moment où le
Saint-Esprit …?… Sang de Jésus-Christ.
[Un frère chante Je L’aime. Espace vide sur la bande]
Parce qu’Il m’aima le premier
… mon salut
Sur le bois du Calvaire.
45 Ne voulez-vous vraiment pas venir? Ces petits
enfants, ces jeunes gens font des confessions debout ici; les larmes
leur coulent des joues, et venant de parties de rock and roll et tout.
C’est ce que Dieu veut voir. C’est cela l’objectif. La guérison peut
attendre un moment. Nous voulons la guérison de l’âme. Même si vous
obtenez la guérison de votre corps, il est possible, si vous vivez
assez longtemps, que vous retombiez malade. Mais une fois que vous êtes
guéri dans votre âme, vous ne serez plus jamais malade.
[Espace vide sur la bande–N.D.É.] …la vérité que
vous devez mourir avant de vivre.
46 Très bien. Combien croient que ce Glorieux
Saint-Esprit est ici? (Quelles cartes de prière aviez-vous distribuées
le premier soir? Quoi? A.) Nous avons d’abord distribué les cartes de
prière A. Nous voulons nous en débarrasser. Combien ont une carte de
prière A?
Très bien. Avant que quiconque vienne, combien n’ont
pas de carte de prière du tout, et qui voulez que Dieu vous guérisse?
Levez la main. Levez la main maintenant pour que je voie qui vous êtes.
Tout autour, partout, vous qui n’avez pas de carte de prière, mais qui
voulez que Dieu vous guérisse.
Très bien. Soyons en prière juste un moment. Amenez
votre fardeau au Seigneur. Maintenant, si j’appelle quelqu’un qui a une
carte de prière, faites-moi savoir qu’il s’agit d’une carte de prière.
Je vais vous demander si le Saint-Esprit… En effet, beaucoup de ceux
qui ont des cartes de prière vont–vont venir.
Maintenant, soyez respectueux. Si Dieu, sans cartes
de prière, prouve… Combien ont assisté aux réunions précédemment,
faites voir vos mains. Presque vous tous, j’en suis sûr. Voyez?
47 Jésus a regardé l’auditoire. Il a dit à Pierre:
«Tu t’appelles Simon, et ton père s’appelle Jonas.»
Il a dit à Nathanaël: «Je t’ai vu avant que tu
viennes ici, quand tu étais sous le figuier.»
Il a dit à la femme au puits: «Va chercher ton mari
et viens ici.» Elle a dit: «Je n’ai point de mari.» Il a dit: «C’est
vrai; tu en as eu cinq.»
Elle a dit: «Je vois que Tu es un prophète. Nous
savons que le Messie fera cela.»
Il a dit: «Je suis le Messie. Je Le suis, Moi qui te
parle.»
Elle a couru dans la ville en disant: «Venez voir un
Homme qui m’a dit ce que j’ai fait.»
Il a perçu leurs pensées, Il connaissait ce qu’ils
faisaient. C’était cela le signe du Messie à l’époque. Et si Jésus est
le même hier, aujourd’hui, et pour toujours, c’est cela le signe du
Messie ce soir. Est-ce juste?
48 Ceci c’est pour que vous compreniez, avant que
j’appelle les cartes de prière, car je vais les aligner ici et prier
pour eux ici à l’autel sans le discernement. Je veux que ce soit vous
qui avez–vous qui avez des cartes de prière, pas le discernement; vous
qui n’avez pas eu de carte de prière, voyons ce que le Saint-Esprit
dira. Priez tout simplement.
Une fois, une femme toucha Son vêtement. Il ne l’a
pas vue le faire, Il ne l’a pas non plus sentie le faire avec Son corps
physique. Mais Il S’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?»
Personne n’a dit mot; les gens l’ont nié. Mais Il a
regardé tout autour jusqu’à ce qu’Il découvre la petite femme. Et Il a
dit: «Ta foi t’a sauvée.» Est-ce juste? Il lui a dit qu’elle avait une
perte de sang, et sa foi l’avait sauvée.
49 Et maintenant, la Bible dit qu’Il est le Souverain
Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos
infirmités. Croyez-vous cela? De tout votre cœur? Très bien. Voyez si
vous pouvez Le toucher. Je vais m’abandonner au Saint-Esprit, et voir
si certaines parmi vous petites femmes, petits hommes ou qui que vous
soyez, là, pourrez Le toucher. Quelqu’un dans cette direction,
abandonnez-vous. Croyez en Lui. Touchez-Le par la foi, voyez s’Il est
le même Jésus.
Là… C’est si loin derrière que je… Cela continue à
tenir là. Un instant.
Revoici cela. Cette petite femme assise juste ici
qui souffre de problèmes de la tête. La petite dame qui me regarde,
elle a pour ainsi dire une longue chevelure qui semble lui tomber dans
le dos, celle qui secoue la tête. Vous avez un problème de la tête,
n’est-ce pas, madame, ou vous en aviez un? Vous n’en avez plus
maintenant; c’est parti. Sommes-nous étrangers l’un à l’autre?
Avez-vous une carte de prière? Vous n’en avez pas? Vous n’avez pas de
carte de prière? Nous ne nous connaissons pas? Si nous ne nous
connaissons pas, agitez la main comme cela, pour montrer que nous ne
nous connaissons pas, que c’est notre première rencontre. Était-ce
exact, ce qui vous a été dit? Très bien. Vous avez reçu ce que vous
avez demandé. Rentrez chez vous et portez-vous bien.
Qu’a-t-elle touché?
50 Je vois un jeune homme assis là en bas par rapport
à elle. Il est très mince. Il est couvert de l’ombre de la mort. C’est
un jeune gamin. Une ombre sombre est sur lui. Il a la leucémie.
Crois-tu, fiston, que Dieu va te guérir? Lève-toi de ton siège.
Tiens-toi debout. Je ne te connais pas. Tu étais juste assis là en
prière. Est-ce juste? Lève la main si c’est vrai. Crois-tu que
Jésus-Christ te guérit? Rentre à la maison. Je condamne ce cancer au
Nom de Jésus-Christ. L’ombre de la mort t’a quitté.
Quelqu’un d’autre… Je vois une petite femme agiter
son mouchoir blanc là-bas, elle est vêtue d’une robe jaune. Elle
pleure. Cette Lumière est au-dessus d’elle. Avez-vous une carte de
prière, madame? Vous n’en avez pas? Croyez-vous que je suis le prophète
de Dieu? Croyez-vous que si je m’abandonne au Saint-Esprit, Il peut me
dire votre problème? Vous avez un problème de cœur et une maladie
nerveuse. Si c’est juste, agitez votre mouchoir. Vous êtes guérie.
Rentrez chez vous. Jésus-Christ vous guérit.
51 Quelqu’un d’autre dans cette direction, qui n’a
pas de carte de prière, levez la main pour que je voie qui vous êtes,
vous qui êtes en prière. Priez.
Il y a ici une dame assise juste ici, en prière,
dans cette rangée-ci. Une Lumière est suspendue au-dessus d’elle. Elle
n’est pas… Non, il n’y a rien qui cloche chez elle; elle a son enfant.
Et l’enfant, une fillette, a quelque chose qui ne va pas… Un côté de
son visage ne s’est pas développé normalement. Allez-vous croire de
tout votre cœur? Le visage de l’enfant sera normal, si vous pouvez le
croire. Rentrez chez vous et recevez cela. Soyez guérie pour le Royaume
de Dieu.
Là derrière… Une dame est assise juste là. Elle est
vêtue d’une robe blanche. Elle prie. Elle lève la main. Croyez-vous que
Dieu va vous guérir de ce problème de cœur, madame? Si vous le croyez,
levez-vous. Très bien. Je veux vous demander quelque chose. Tandis que
vous priez: «Seigneur, qu’il m’appelle.»… Je ne vous connais pas. Si
c’est juste, agitez la main. Très bien, je ne vous connais pas. Vous
étiez en train de prier pour que je vous appelle. Vous avez touché le
Souverain Sacrificateur. Dès que j’ai cité votre nom, quelque chose
s’est produit. Vous avez senti une sensation de grande chaleur vous
parcourir. Si c’est juste, agitez la main. Votre problème de cœur est
terminé. Vous pouvez rentrer chez vous et être guérie au Nom de
Jésus-Christ.
52 Croyez-vous cela maintenant? Maintenant, combien
ont la carte de prière A? Venez vous aligner le long de cet endroit-ci:
Carte de prière A. [Espace vide sur la bande–N.D.É.]
53 …croyants du Seigneur Jésus? Croyez-vous que si je
prie pour vous, que si je vous impose les mains, vous serez guéri? Nous
ne pouvons pas prendre cette ligne entière dans le discernement; vous
le savez. Mais nous pouvons prier pour vous. Après tout, c’est la
prière de la foi qui sauvera le malade. Est-ce juste? Maintenant, je
veux que vous regardiez tous ces gens qui sont là.
Pendant que ces gens passeront dans la ligne,
combien promettent qu’ils prieront pour eux? Levez la main, là-bas.
54 Bon, de nouvelles cartes de prière seront encore
distribuées demain après-midi à six heures. Nous–nous allons donc prier
pour tout le monde qui a une carte de prière. Tout le monde qui a une
carte de prière, nous allons prier pour eux. Maintenant, il ne nous
faut pas nécessairement avoir une carte de prière.
Maintenant, c’est pour la carte de prière A, A. Je
pense qu’ils en ont distribué d’autres. Billy a dit qu’Il a distribué
des cartes C ou B, ou quelque chose comme ça. Des cartes B. Bien,
maintenant, gardez-les. Elles suivent. Vous voyez, ceci c’est pour A.
Ceci c’est pour A. Nous en avons fait la promesse aux gens il y a
longtemps.
Maintenant, si vous voulez tous être respectueux et
prier, ces… ceci est un service de guérison. Maintenant, je pense que
je vais directement aller là au bout de cette rangée, ou ici quelque
part, pour que les gens au bout de la rangée puissent prier.
Maintenant, que tout le monde garde la tête inclinée et prie. Tout le
monde, si vous êtes sincère, et croyez que le Saint-Esprit est ici…
55 L’onction–L’onction est sur moi maintenant.
Maintenant, je descends pour vous imposer les mains pendant que
l’onction est sur moi. C’est la raison pour laquelle j’ai fait ce
discernement en premier lieu.
Cet homme qui a ce problème de rein assis là.
Rentrez chez vous, monsieur, vous êtes guéri. Dieu vous guérit. Oubliez
cela maintenant. Vous qui êtes assis là dans l’obscurité.
Très bien. Maintenant, croyez de tout votre cœur.
Venez ici maintenant. [Un frère chante comme Frère
Branham prie pour les gens dans la ligne de prière–N.D.É.] [Espace vide
sur la bande]
56 …Jean: «Comprenez-vous ce que je vous ai fait?»
Écoutez maintenant. Pendant que nous prions, nous n’aimons pas ce… Nous
ne prenons pas de temps pour le discernement, parce que… Oh! il y en
avait là quelques-uns qui étaient des cas très graves, et un pécheur.
Ainsi, c’était… Cela devait être cité. Mais à part cela, c’était
pendant que l’onction du Saint-Esprit était avec moi, que j’imposais
les mains aux malades.
Maintenant, de tout mon cœur, je prie pour vous.
C’est tout ce que je peux faire; je ne suis qu’un homme. Voyez? Eh
bien… Mais le Saint-Esprit est ici, et vous récompensera si vous croyez
que la maladie, le trouble ou l’affection de votre corps est condamné.
Voyez? C’est condamné. Cela–cela ne peut plus rester en vous.
Maintenant, observez. Vous…
57 J’ai prié pour une femme dont les mains étaient
couvertes de nodosités. Et elle–elle cherchait peut-être à ce que ses
mains se redressent. Nous aurions pu prendre cette femme là pendant une
demi-heure, rester avec elle jusqu’à ce que vous ayez vu un changement
commencer à s’opérer. Alors, cela éliminerait d’autres. Voyez?
Maintenant, peut-être qu’un soir nous le ferons. Je…
Allez-vous voir… Jusqu’à ce que je voie dans l’auditoire quelque chose
qui soit vraiment sur le point de se produire, je vais amener ce
patient, peut-être, ici à l’estrade. Estropié, infirme, guéri, de
toutes les façons… Ils s’attendent à ce que quelque chose arrive. Ça ne
signifie pas que ce n’est pas arrivé. Quelque chose est… Vous pourriez
ne pas voir de changement pendant…
58 Il y a quelques temps, j’étais à une réunion. Et
comme une femme passait, elle avait un estomac ulcéreux. Et il a été
dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous êtes guérie.» Une autre femme est
passée, elle avait un gros noeud au cou. «AINSI DIT LE SEIGNEUR, vous
êtes guérie.» Elles sont rentrées chez elles en croyant cela.
Des semaines sont passées. Cette femme a essayé de
manger ayant ce problème d’estomac. Elle était dans un si mauvais état,
elle ne pouvait rien supporter dans l’estomac. Mais elle a malgré tout
tenu bon.
Un matin, alors que les enfants étaient allés à
école, elle a pris de l’avoine dans l’une de ses assiettes et s’est
mise à en manger; elle avait très faim. Elle eut une sensation très
étrange, cela ne la dérangea pas du tout. Elle a pris du pain grillé et
l’a beurré, elle l’a mangé. Elle a ensuite frit deux oeufs et a bu une
tasse de café, cela ne lui a point fait de mal. C’était parti.
59 Elle était heureuse. Elle a descendu la rue en
courant pour le dire à sa sœur qui–qui avait le gros noeud au cou, qui
n’était pas parti. On les traitait de fanatiques parce qu’elles avaient
cru. Et elle a dit que lorsqu’elle est arrivée là, cette femme criait,
sautillait. Elle est entrée en courant, elle a dit: «Tu sais, je suis
guérie de mon problème d’estomac.»
Elle a dit: «Je viens de me lever il y a un instant,
j’ai secoué chaque drap. Ce noeud a disparu; je ne sais pas ce qu’il en
est advenu.»
Vous voyez ce qui est arrivé? Dieu ne vient pas
toujours à l’instant. Vous vous rappelez quand Daniel… L’Ange lui a dit
qu’Il a essayé de parvenir à lui depuis vingt et un jours.
Si l’Ange du Seigneur, qui est ici, est L’Ange de
Dieu, Il prouve Lui-même qu’Il l’est. Et si j’ai demandé la bénédiction
sur vous avec sincérité de cœur, et si avec la même sincérité vous avez
reçu cela, et qu’il n’y ait point de doute du tout dans votre esprit,
tenez-vous-en à cela et voyez ce qui va arriver. Cela doit arriver.
C’est obligatoire, c’est la Parole de Dieu. C’est la promesse de Dieu.
Il doit le faire.
60 Maintenant, combien parmi vous croient que vous
irez bien, coûte que coûte? Voyez? Vous irez bien. Vous le devez.
Maintenant, voici un–un–un récipient contenant
des–des mouchoirs. Et maintenant, prions pour ces mouchoirs.
Seigneur, il nous est dit dans la Parole sacrée,
qu’on retirait du corps de Paul des linges et des mouchoirs, et que les
esprits mauvais s’en allaient. C’était le même Paul qui a pu fixer du
regard un homme et lui dire qu’il percevait qu’il avait la foi pour
être guéri. Le même Paul qui était sur le navire cette nuit-là et aux
côtés duquel l’Ange du Seigneur S’était tenu et auquel Il avait dit:
«Ne crains point, Paul. Personne ne sera perdu.» Et il pouvait courir
au milieu des vagues et chanter. La tempête était violente au possible,
peut-être davantage. «Mais aie bon courage, a-t-il dit, car l’Ange de
Dieu dont je suis le serviteur, S’est tenu à mes côtés hier soir et m’a
promis la délivrance.» Ils ont vu cet Ange à l’œuvre à travers Paul.
61 Seigneur, nous ne sommes pas saint Paul, mais Tu
es toujours Jésus. Les mêmes Anges de Dieu, le même Saint-Esprit… Et je
pose mes mains sur ces mouchoirs, et je demande au Nom de Jésus-Christ,
que chaque personne qui touchera ces mouchoirs soit guérie. Accorde-le,
Seigneur.
Et Divin Père, il a été dit qu’une fois Tes enfants
revenaient de l’esclavage, se dirigeant vers la terre promise de la
bonne santé, de la prospérité. Et la mer Rouge leur fit obstacle. Dieu
regarda en bas à travers la Colonne de Feu et fronça les sourcils
devant la mer Rouge, parce qu’elle retenait Son peuple loin de la
bénédiction. Et la mer eut peur et se retira, et Israël traversa vers
la Terre promise.
Ô Seigneur, comme Tu vois ces témoignages de Ta
Parole, que nous croyons très solennellement être la vérité. Et comme
je presse ceux-ci sur mon cœur, Seigneur, que le Dieu du ciel ne
regarde encore pas tellement à travers une Colonne de Feu, mais à
travers le Sang de Son propre Fils, Jésus, qui a donné la promesse de
la guérison. C’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. Et
quand ces mouchoirs seront placés sur les malades, que le diable les
lâche, et qu’ils aillent vers cette promesse que Dieu leur a donnée.
«C’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris.» Je les envoie
vers les malades et les affligés au Nom de Jésus-Christ. Amen.
62 Je crois solennellement de tout mon cœur que
Christ guérira chaque personne qui portera ces mouchoirs. Il n’y a
aucun doute dans mon cœur. Je ne doute pas. Dieu l’a dit. C’est
pourquoi je me tiens ici et lance un défi. En Afrique, un demi million
de gens… ou plutôt en Inde… En Afrique, il y a des milliers et des
milliers de sorciers et toutes sortes de superstitions: «Viens et
prouve que tu es Dieu». N’ayez pas peur. Jésus est toujours Jésus. Dieu
est toujours Dieu. Il n’y a pas assez de démons dans les lieux de
tourments qui puissent défier Sa Parole. Et rien ne peut résister quand
une foi pure repose sur une quelconque promesse que Dieu a donnée.
C’est la vérité, et Cela résistera à chaque épreuve ardente. Amen.
L’aimez-vous? Chantons une fois pendant qu’ils sont
encore en train de crier là derrière et de recevoir le Saint-Esprit.
Levons les mains comme nous chantons Je L’aime. Voulez-vous bien nous
donner un accord, sœur, quelque chose?
…L’aime, (Levons-nous maintenant.) je L’aime.
Que Dieu vous bénisse, docteur. J’ai déjà prié pour
eux. Voulez-vous congédier l’auditoire? À nous revoir demain.
…aime…
Que le Seigneur vous bénisse, c’est très bien. Frère…