Abraham Et Sa Postérité Après Lui
1 Grâces et louanges soient rendues au Dieu Tout-Puissant aux siècles des siècles. Quant à ce groupe de braves prédicateurs qui ont travaillé dans cette campagne, j’aimerais leur témoigner ma reconnaissance de ce qu’ils sont l’un des plus braves groupes de gens avec lesquels j’aie jamais travaillé dans ma vie. A la gentille petite organiste ici et au pianiste, à vous tous, les bien-aimés, aux huissiers, à cent pour cent, certains des plus braves... à cette école, pour nous avoir permis de nous servir de ces lieux pour adorer. Pour tout ce qui a été fait, je ne sais simplement pas comment témoigner ma gratitude pour cette série de réunions. Je prie que ses effets ne s’éteignent point, mais qu’ils subsistent sans cesse.
Je suis désolé de n’avoir pas eu davantage de temps pour faire connaissance avec ces hommes, me rendre à leurs églises et tout. Il y a quelques instants, on me parlait des jeunes gens qui sont venus à Christ ce matin et de la puissance de Dieu dans leurs réunions. J’espère qu’elle ne s’éteindra jamais, mais qu’elle continuera sans cesse jusqu’à la Venue de Jésus.
Beaucoup de bons amis avec qui j’ai fait connaissance depuis que je suis ici, vos souvenirs subsisteront, subsisteront dans mon coeur. La collaboration... J’ai été parfois obligé d’apporter une prédication amère, dure. Je ne suis pas un... Je ne prétends pas être ce qu’on appelle un prédicateur ; je suis... Vous le savez déjà... Mais je–j’affirme seulement connaître le Seigneur comme mon Sauveur. Je suis très ravi de–de faire ce qu’Il a ordonné. Et pour cela, Il m’a offert la possibilité, par un don, d’exprimer aux gens ce que... Alors que je n’en ai pas l’instruction, peut-être que les oeuvres témoigneront que je–je suis Son serviteur et–et que vous êtes mon frère et ma soeur, et c’en sera une confirmation. Peut-être que cela vous fera savoir que je vous aime, que Dieu vous aime, et que nous espérons passer l’éternité sans fin ensemble, quelque part dans un pays au-delà de la rivière.
2 La semaine prochaine, le dimanche prochain, elle commence à partir de ce dimanche, comme je l’avais dit de façon un peu rude, je vais commencer dans vos banlieues là, la semaine qui suit le dimanche prochain. C’est ici à Chicago (voyez ?), ce sont les banlieues de cette ville. Et... Ainsi, nous... Je ne connais pas l’endroit exact où ça sera ; c’est–c’est monsieur... Je n’arrive jamais à prononcer ce nom italien, Potaski... Hein ? Quoi ? Potaski. A-t-il annoncé le lieu où se tiendront les réunions de Chicago ? Ça a déjà été annoncé du haut de la chaire, je ne sais pas moi-même où ce sera. Ainsi donc, nous retrouverons cela d’une façon ou d’une autre. Une fois arrivé là, je téléphonerai à frère Carlson, ou quelqu’un d’autre pour découvrir là où je suis censé être. Ainsi donc, nous nous attendons à de grandes choses à Chicago la semaine prochaine. C’est avec plaisir que nous–nous vous invitons là à Chicago ou à toute autre réunion où nous pourrons donc nous retrouver.
3 Maintenant, j’aimerais... Autrefois, je disais que les nuits ne seraient jamais trop sombres ni la pluie trop abondante pour m’empêcher de venir vous aider dans tout ce que je peux faire en rapport avec le Royaume de Dieu, ou toute autre chose que je peux faire pour vous aider. Si j’avais un peu d’argent, et si je... et que vous en ayez besoin, cela vous serait accordé. C’est vrai. Je le ferais. Tout celui qui connaît ma vie et ma famille sait que ça a toujours été ainsi. Mon pauvre brave père est aujourd’hui parti, il n’a pas mené un bon genre de vie sur terre. Il avait une mauvaise habitude : la boisson. Mais s’il rencontrait un homme dans la rue, un parfait inconnu, affamé, et que lui avait un seul biscuit, il le coupait en deux pour le partager avec lui. Nous croyons au fait d’aider les nécessiteux, d’assister.
4 Je souhaiterais pouvoir dire que je viendrais chez vous à tout moment. J’aurais bien voulu le dire, mais je ne le peux pas. Il y a trop de gens, rien que dans cette petite réunion ici, ce qui n’est qu’un petit groupe de gens, pensez donc au monde entier : des millions. Voyez, je ne pourrais pas, à juste titre, le dire. Mais voici ce que je ferais, ami. Je ferais tout mon possible. Si vous–si vous voulez que je prie sur un mouchoir comme celui-ci, envoyez-le moi ; si vous n’en avez pas besoin maintenant, et que vous le voulez de toute façon, envoyez, et vous le recevrez. Tout est gratuit. Nous n’exigeons des frais pour rien.
Les réunions sont gratuites, même nos livres. Ce ne sont pas mes livres. Ça appartient à diverses personnes qui les ont écrits. Moi, je les achète avec une réduction de quarante pour cent. J’ai autorisé nos agents chargés de livres et autres à la porte à remettre quand même un livre à un homme, une femme, un jeune homme ou une jeune fille qui arrive, qui a besoin de l’un de ces livres, mais qui n’a pas d’argent pour l’acheter. Nous faisons toujours des pertes sur ces livres. Il n’y a même pas moyen de réaliser des bénéfices. Et les photos de l’Ange du Seigneur, ça ne m’appartient pas, ça appartient aux studios Douglas, et c’est protégé par le copyright, ça ne peut pas être reproduit. En effet, vous violerez le copyright.
Donc, ils–ils ne sont pas à nous. Nous les apportons tout simplement, car nous pensons qu’ils aideront quelqu’un. Et on achète ces livres avec une réduction de quarante pour cent, et peut-être qu’on enregistre une perte de dix ou quinze pour cent, avant qu’on vous le donne ; aussi, on doit payer ces jeunes gens qui les vendent. L’église leur alloue un montant par semaine. Et, en fait, ce n’est pas à moi, c’est au tabernacle de s’en occuper.
5 Et tout ce que nous faisons est gratuit. Eh bien, je ne cherche pas à avoir votre adresse. Je ne... Comme je le dis, j’ai... Eh bien, mon secrétaire, c’est lui qui fait mon travail. Je ne sais pas si... Etes-vous ici aujourd’hui, Jim ? Je ne sais pas s’il est venu ou pas. Son beau-père est ici, je pense, sa belle-mère aussi, monsieur et madame Fred Sothmann. Ils sont ici ; sa femme est... répond au téléphone ; frère Jim, c’est le dactylographe.
Frère Léo Mercier s’occupe du travail en rapport avec le champ missionnaire. Il était ici il y a quelques instants, son associé est ici. Ils... Ces jeunes gens travaillent pour le Branham Tabernacle, auquel je suis associé, qui est une église indépendante souveraine, enregistrée au comté de Clark à Jeffersonville. C’est une fondation sans but lucratif. L’argent qui entre dans l’église et autres, c’est affecté aux champs missionnaires pour parrainer les pauvres gens qui n’ont pas d’argent à m’envoyer pour que j’aille là, mais qui cependant ont vraiment besoin de moi. Alors, je prends cet argent, et aussitôt que c’est assez, je vais dans les champs missionnaires à l’étranger pour leur prêcher ce même Evangile que vous avez eu le privilège de voir. Et par conséquent, je sais qu’en tant qu’intendant de l’argent de Dieu, j’aurai à répondre pour cela au jour du Jugement. Et je le prends moi-même tant que je suis assez jeune pour y aller et que je peux y aller ; j’aimerais y aller leur prêcher et apporter assurément le même Message pour lequel vous avez contribué pour qu’ils l’écoutent. Tout le mérite vous reviendra en ce jour-là. Moi, je suis juste Son serviteur pour apporter le Message.
6 Je pense, comme les jeunes gents, l’un d’eux a dit, il y a quelques instants, qu’on a prélevé l’offrande d’amour pour moi. Ce n’était pas nécessaire. Je ne suis pas venu pour cela. Je prêche depuis trente et un ans. J’ai été pasteur du Tabernacle baptiste pendant dix-sept ans. Consultez les registres, jamais je... Demandez à n’importe qui à travers le pays, partout, jamais je n’ai prélevé une offrande de toute ma vie. Jamais de toute ma vie.
Une fois, pendant que j’étais pasteur du tabernacle, nous les pauvres, nous sommes bien à court d’un peu d’argent. Nous savons tous ce que c’est, pas vous ? Nous avions bien des dettes à payer, ma femme et moi. Billy était alors tout petit. Et je–j’ai dit : «Sais-tu ce que je vais faire ? Je vais prélever une offrande ce soir.» C’était le plus loin que je sois jamais allé sur ce point.
Alors, un vieux frère, qui est dans la Gloire aujourd’hui, frère Wisehart... Nous n’avions pas de plateaux d’offrande. C’était publié dans les–dans les journaux de la ville : «L’église qui n’a pas de plateaux d’offrande.»
7 Je travaillais, je peinais, faisant tout ce que je pouvais pour gagner la vie. Et l’église, non pas qu’ils ne voulaient pas me supporter... Si moi, j’étais capable de travailler, pourquoi ne pas travailler ? D’autres hommes travaillent. Paul avait travaillé. Pourquoi pas moi ? Et n’eût été l’énorme pression de travail de lieu en lieu, je pourrais toujours... Je préférerais venir ici même prendre une verge, un marteau et aller là dans la rue travailler toute la journée, venir vous prêcher la nuit. C’était là mon désir, si je pouvais le faire. C’est devant Dieu et ma Bible. Mais il nous fallait un peu d’argent. J’avais besoin d’environ cinq dollars, et j’avais fait une promesse, c’était une dette que je devais, je–je–je n’avais absolument pas d’argent. Et nous étions incapables de payer cette dette. Alors, j’ai dit : «Je vais prélever une offrande ce soir.»
Ma charmante petite femme... Si jamais il y a un mérite qui revient à la famille Branham, que cela lui revienne. C’est elle qui s’est tenue entre moi et le public. Et toutes ces choses qui ont été faites, que le mérite lui revienne. Elle m’a dit : «Billy, je vais là te voir le faire.»
8 Je suis monté en chaire ce soir-là, elle était assise derrière, j’ai dit : «Mes amis, ça fait environ douze ans que je suis pasteur ici, je pense.» J’ai dit : «Je n’ai jamais prélevé une offrande ; je suis un peu dans le besoin ce soir, j’ai vraiment besoin d’environ cinq dollars.» J’ai dit : «Je–je... Nous allons faire circuler le chapeau, si vous avez une pièce ou deux de cinq cents que vous pouvez...» ...?... il y a ici même les membres de mon assemblée. J’ai dit : «Si vous voulez... vous avez une pièce de cinq cents ou de dix cents et que vous voulez m’aider avec, je l’apprécierais beaucoup.» Nous n’avions pas de plateaux d’offrande ; j’ai dit : «Frère Wisehart, voudriez-vous prendre mon chapeau ?»
9 Il m’est arrivé de baisser le regard là, et une petite vieille femme... Elle est dans la Gloire aujourd’hui, son nom est madame Weber. Elle portait l’un de ces petits–petits tabliers qui ont une poche juste à l’envers. En avez-vous déjà vu un, vous les femmes ? Je pense que vos mères les portaient il y a des années. Elle a mis la main là, a pris l’un de ces petits portefeuilles portant un bouton-pression dessus, vous savez, vous... C’était en temps de crise donc ; il y a de cela vingt-cinq ans. Elle a ouvert ce petit portefeuille et s’est mise à fouiller à tâtons toutes ces pièces de cinq cents. Je ne pouvais pas prendre cela. Je–je ne pouvais simplement pas le faire. C’est tout ce qu’il y avait. J’ai baissé le regard là, et je me suis dit : «Oh! Miséricorde!»
«Oh! je vous taquinais tout simplement ; je voulais tout simplement voir ce que vous diriez. Je plaisantais simplement avec vous.» Frère Wisehart tenait mon chapeau en main : «Oh! ai-je dit, Frère Wisehart, raccrochez mon chapeau. Je taquinais tout simplement l’église.»
10 Et puis, je suis rentré chez moi et je me suis dit : «Bon!» Je suis allé dans un bazar me procurer une boîte de peinture de dix cents. Il y avait eu un vieil homme qui est maintenant parti dans la Gloire. Frère Gene, vous vous souvenez bien de lui, le vieux frère Ryan. Il portait de longs cheveux, une longue barbe. Il m’avait apporté une bicyclette là et me l’avait offerte. Elle–elle avait rétrogradé sous lui et... Non, ce n’est pas bon à dire de la part d’un baptiste, n’est-ce pas ? Disons qu’elle était usée. En effet, elle était bien usée. Et... Eh bien, je suis un baptiste ; je suis baptiste pentecôtiste (voyez-vous ?), l’un des...?... baptiste... un baptiste qui a le Saint-Esprit. Alors, j’ai dit... Je suis allé prendre cette vieille bicyclette, je suis allé me procurer une boîte de peinture, je l’ai peinte pour que ça ait un très bel aspect, je l’ai poncée au papier de verre, je l’ai exposée là devant, et je l’ai vendue à cinq dollars. Je n’ai plus jamais eu à prélever l’offrande après tout. C’est aussi loin que j’étais donc allé en cette matière.
11 Merci, mes amis, pour ce qui a été donné dans l’offrande. Cela ira aux trésors ; et de là, ce sera affecté aux champs missionnaires à l’étranger, pour apporter ce Message aux païens et à ces gens qui n’ont pas un seul repas, peut-être qu’ils mangent une fois par semaine. C’est là que ce sera affecté. Et que le Dieu du Ciel vous rende au centuple et place des briques en or dans votre maison là au Ciel, c’est ma prière. Ecrivez-moi donc n’importe quand que vous le désirez. Appelez-moi au téléphone. Souvent, je ne suis pas à Jeff, très souvent. Mon adresse, Jeffersonville, Indiana, boîte postale 325 ; si vous oubliez, 3-2-5, envoyez seulement cela à Jeffersonville. Et si vous voulez m’appeler, mon numéro, c’est BUtler 2-1519. Si celui-là ne répond pas, alors appelez BUtler 2-3826. Si celui-là ne répond pas, appelez BUtler 3-6771, si celui-là ne répond pas, oh! on ferait mieux de s’arrêter à celui-là après tout. Mais de toute façon le numéro principal pour m’atteindre, c’est BUtler 2-1519 ; c’est le 1519. C’est le bureau. Et on peut vous indiquer où me localiser. A toute heure de la nuit ou pour tout ce que je peux faire, prier pour vous au téléphone, vous envoyer un tissu sur lequel on a prié ou n’importe quoi, c’est absolument gratuit, il n’y a rien... Je serai content de le faire.
12 Et maintenant, je pense qu’il y a eu des choses, dans ces trois dernières réunions, qui m’ont intrigué. Ce matin, j’étais assis avec mon fils pendant pratiquement une heure, et je disais : «Billy, qu’est-ce qui ne va pas ?» Hier soir, cela était revenu ; je quitte le champ missionnaire. Qu’y a-t-il ? Est-ce mon retour à la Maison ? Mon travail est-il terminé ? Est-ce que mon... Ce genre de ministère prend-il fin ? Vais-je aller dans les champs missionnaires à l’étranger ? Je ne sais pas. Je dis ces choses, mais quelque chose est sur le point d’arriver. Je ne sais pas ce que c’est. Si c’est donc pour le champ missionnaire outre-mer, chez les païens, où que ce soit, je pense que l’Amérique a eu son Message. Et si c’est le cas, j’aimerais vous demander une faveur. Avant de nous rencontrer à la grande rivière là au bout du chemin, allez-vous prier pour moi ? Merci.
Quand le sorcier me défiera au débat, quand les démons de toutes sortes dans les champs missionnaires à l’étranger, si j’y suis absolument forcé, comme ils le font généralement, je me souviendrai qu’à Bloomington, Illinois, et dans les villes environnantes, j’ai un groupe de gens qui avaient levé la main un dimanche après-midi pour dire : «Je prierai pour vous.» Et quand j’aurai à m’avancer dans la salle pour affronter cela, je saurai que je suis couvert par le Sang dans vos prières.
13 Pouvons-nous incliner la tête maintenant pour un mot de prière ? Bienveillant Père, Nous Te rendons grâces du fond de notre âme pour tout ce que nous avons entendu de Ta part, ce que nous avons lu dans Ta Parole, et ce que nous T’avons vu rendre manifeste à nos yeux cette semaine. Nous Te rendons grâces pour ces braves gens, pour ces braves prédicateurs et pour leurs belles églises, pour cette grande université, pour cet auditorium, pour tout ce qui a été fait et dit, pour les huissiers, pour les musiciens, pour les chanteurs, vraiment pour tout, Père. Si j’ai omis qui que ce soit, bénis-le, Père.
Tu as vu chaque petit geste, chaque petit geste de grâce. Tu as vu la mère, le papa contribuer avec une partie de sa subsistance pour soutenir cette série de réunions. Ils ont fait cela parce que Tu leur avais parlé. Nous ne pourrions pas le leur rendre et nous ne voudrions pas le faire, car nous leur déroberions la bénédiction qui réside juste après cela. En effet, un jour, lisons-nous dans la Bible, Jésus observait les riches donner une offrande de beaucoup d’argent, mais une pauvre veuve est passée et a mis environ trois cents. Seigneur, je pense que si je me tenais là, j’aurais couru lui saisir la main et dire : «Soeur, ne faites pas ça. Nous en avons assez là-dedans.» Mais Tu Te tenais là, et Tu ne l’as pas arrêtée. Car Tu savais ce qui l’attendait. Tu savais que Tu le lui rendrais au centuple.
Ainsi, Père, je sais que Tu... que Ton grand oeil a vu chaque geste que nous avons posé. Nous prions que tout ce que nous avons fait, nos faibles efforts que nous avons conjugués, Te soient agréables.
14 Je sais, Père, que je parle cet après-midi aux hommes et aux femmes que je ne reverrai peut-être plus jamais dans cette vie. Beaucoup de gens avancés en âge sont assis ici et beaucoup sont malades. J’espère les rencontrer un jour là à la rivière, lorsqu’ils seront transformés, de ce qu’ils sont dans cette vie en des jeunes hommes et des jeunes femmes lavés dans le Sang de l’Agneau, ayant des corps qui ne connaîtront plus jamais un autre service de guérison, et il n’y aura plus de pécheur qui pleure à l’autel. Je Te prie de les bénir.
Bénis ces prédicateurs, Tes bergers que voici, qui vivent en plein milieu des critiques, alors que, Père, c’est à cause de la bonne position qu’ils ont prise pour la Parole. Mon nom ne jouit pas d’une très bonne réputation parmi eux, mais ils n’en ont pas eu honte ; ils m’ont de toute façon invité. Ô Dieu, bénis leurs ministères. Qu’ils sachent que ces choses sont exclusivement destinées à ramener l’Eglise à la position qu’il faut, exclusivement à nous ramener par des secousses, Seigneur, là où le Saint-Esprit peut édifier un véritable fondement authentique, sur des hommes et des femmes réellement nés de nouveau. Père, ce n’est pas que je n’aime pas leurs organisations, leurs dénominations, c’est parce que je vois que ces systèmes laissent les gens aller dans trop de dérèglements. Viens-nous en aide, ô Dieu. Tu connais mon coeur, combien je les aime.
15 Je Te prie de nous bénir ensemble alors que nous ouvrons Ta Parole maintenant pour une dernière lecture, à la fin de ce réveil. Puisse... Ou plutôt, non pas la fin de ce réveil, Seigneur, la fin de ces huit jours d’efforts, mais que le réveil ne s’éteigne jamais. Puisse-t-il continuer sans cesse. Puisse-t-il vivre au point que ces effets subsisteront encore ici à la Venue de Jésus. Car Je Te prie de faire cet après-midi quelque chose qui couronnera tout cela, qui amènera les gens à écouter la Parole de telle manière que le Saint-Esprit plantera la Semence dans la profondeur de leurs coeurs.
Mon coeur éprouve de la sympathie pour cette pauvre jeune fille que j’ai vue là à la porte il y a quelques instants, recroquevillée dans ce fauteuil roulant. Oh! comme Tu es descendu lui révéler comment elle en est arrivée à cet état-là, ce qu’elle était alors qu’elle était une toute petite jeune fille, Tu lui as dit pourquoi elle n’est pas bien portante, marchant maintenant même. Ô Dieu, puisse cela ne jamais quitter le coeur de cette enfant. Elle a dactylographié une lettre pour m’inviter. Je prie que cette enfant soit guérie. Accorde-le. Puisse cela ne jamais quitter son petit coeur, qu’elle sache que ce n’était pas moi qui me tenais là, c’était le Saint-Esprit qui parlait au travers de Ton serviteur, Lui disant l’exacte vérité, ce qu’elle était, ce qu’elle est, et ce qu’elle peut devenir. Puisse cela ne jamais la quitter, Seigneur. Bénis tous ceux qui sont malades et affligés cet après-midi. Alors que Tes serviteurs se tiennent là et que nous prions pour les malades, qu’ils soient tous guéris ; que les perdus soient sauvés, et que Dieu en tire gloire, car nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
16 Priez pour frère Roberts, Billy Graham, Tommy Osborn, Tommy Hicks, de grands hommes de Dieu qui sont dans le champ missionnaire aujourd’hui. Priez pour eux. Vous voudriez bien le faire, n’est-ce pas ? Priez pour ces frères-là. Ils mènent un combat dur. Mon coeur saigne pour eux. Priez qu’ils restent fidèles à l’Evangile, et quand tout sera terminé, nous nous rassemblerons tous comme une seule grande famille.
Nous reste-t-il encore des livres des Hommes d’Affaires sur la vision ? Ils sont tous épuisés. Si vous... quelqu’un ici qui n’en a pas eu un exemplaire, levez la main, celui qui n’a jamais eu un exemplaire. Il y en a très peu. Je–je pense que vous écrirez tout simplement à Voice des Hommes d’Affaires Chrétiens, à Los Angeles, ils vont... ils en ont probablement quelques milliers qui restent. Ils seront contents de vous en envoyer un gratuitement. Je pense qu’il y a... que s’il y a des frais, ça pourra s’élever à dix cents seulement, ou quelque chose comme cela. Je ne sais pas, juste quelque chose pour couvrir les frais d’impression.
17 Il y a là-dedans la vision, et j’aimerais que vous lisiez cela. Et devant cette Bible ouverte, devant mon Dieu, je suis censé savoir ce que des visions représentent. Cela n’était pas une vision. J’étais là. J’ai vu cela. Je n’aimerais pas... J’ai du mal à le dire, parce que quelqu’un penserait que je cherche à imiter le grand saint Paul. Ce n’est pas à cette fin que je le dis. Tout ce que je dis, c’est que je sais que quelque part, ou juste de l’autre côté d’ici, il y a un pays où nous vivrons encore. Comment pourrais-je donc....
J’ai dit : «A mon retour, laisse-moi faire tout mon possible. Je ne peux pas arrêter. Je ne suis pas responsable de ce que les autres disent. Je dois répondre de moi-même. Je ne sais pas ce que...» Vous pourriez dire : «J’ai entendu des gens dire cela.» Je–j’espère que tout cela était vrai. J’espère que tout cela était vrai. Frère, soeur, devant Dieu, ceci est vrai. C’est vrai.
J’étais juste tel que je suis maintenant, seulement j’étais redevenu un jeune homme, je me tenais quelque part, regardant les gens qui avaient été changés de vieux en jeunes, et il n’y avait pas de maladie, pas de chagrin, pas de mort. Ils étaient différents. Et cependant, Il m’a dit que c’était plus glorieux que ça, ce qui était à venir, que ça serait assez bien pour moi pour tout le temps.
18 Cet après-midi, je me disais... Excusez-moi, je n’aimerais pas faire le bébé. Mais lorsqu’on rencontre les gens, et que vous savez alors que vous devez les quitter, et que, peut-être, vous savez, de vieilles personnes comme celles-ci, si je reviens dans un an, je ne vous reverrai probablement plus. Et ça me fait bien quelque chose.
Mais essayons maintenant de prendre Genèse, chapitre 22. Et j’aimerais lire juste une partie du verset 14, ou vous le citer.
Abraham donna à ce lieu le nom de Jéhovah-Jiré. C’est pourquoi l’on dit aujourd’hui : A la montagne de l’Eternel il sera pourvu.
Genèse 14.22, ou plutôt Genèse 22.14, excusez-moi. Eh bien, j’aimerais juste avoir toute–toute votre attention pendant que j’enseigne ceci. Je serai rapide ; j’ai trois cents miles [482,8 km] à parcourir à bord de la voiture sous le blizzard cet après-midi pour m’acquitter d’une obligation demain.
19 Ainsi donc, je... Mais j’aimerais que vous essayiez de saisir cela sûrement pour couronner ce que j’ai dit cette semaine sur l’imminente Venue du Seigneur. Et maintenant, si vous avez un crayon et du papier, j’ai noté environ vingt passages des Ecritures ici, si seulement vous voulez vous y référer alors que nous lisons, et prendre de petites notes. En effet, je pense vraiment que ceci est... ce que, c’est la chose la plus appropriée dont le Saint-Esprit me permet de parler. Et je–j’espère qu’en faisant cela, vous comprendrez que je–je ne peux que le dire, le Saint-Esprit aura à l’interpréter.
20 Maintenant, j’en ai déjà parlé deux fois, et celle-ci est la troisième fois que j’aborde le même message, parce qu’il est très approprié. Et je l’intitule... Et si vous le ratez, il sera sur bande. Si vous avez un magnétophone, eh bien, les jeunes gens vous enverront la bande. Et alors, écrivez-leur tout simplement. Je pense qu’ils... Vous connaissez leur adresse et tout. Sinon, eh bien, écrivez-moi tout simplement là, cela sera viré dans leur boîte. Et ils ont leur propre fondation, c’est l’Audio Mission, à Jeffersonville. Et ce sont deux braves jeunes gens, monsieur Mercier et monsieur Goad...
Et je pense que vous avez entendu leur histoire, comment ils sont devenus mes associés. C’était parce qu’ils étaient venus là chercher à m’exposer, ils s’étaient déguisés en petits agents de FBI. Ils étaient venus là et ils ne savaient pas que ces visions étaient vraies. Et ils étaient venus voir ce qui se passe, ils se faisaient passer pour des prédicateurs, le Saint-Esprit a dévoilé leur vie là devant eux. Ils sont donc devenus mes associés. L’un d’eux était catholique, un Français catholique, monsieur Mercier, juste avant sa conversion, il était barman. Monsieur Goad assis ici, je pense qu’avant il était... les membres de sa famille fréquentaient l’Eglise méthodiste, n’est-ce pas ? Des nazaréens rétrogrades.
21 Vous avez travaillé dans un bureau quelque part, n’est-ce pas, Frère Goad ? A Gari, en Indiana. Un barman et un agent de bureau, un nazaréen rétrograde et un cath... romain, un catholique français canadien, ensemble pour m’exposer... Et j’avais... Si je fais un mal, j’aimerais être dénoncé. Je–je–je–j’aimerais être en ordre maintenant. C’est le moment de mettre cela en ordre, non pas après que je serai arrivé là. Mettons donc cela en ordre maintenant même. J’ai découvert en eux de véritables gentlemans, des jeunes gens honnêtes et sincères. Lorsqu’ils m’ont demandé s’ils pouvaient faire des bandes... Il leur fallait avoir de quoi vivre. Monsieur Mercier est maintenant marié. Monsieur Goad est en cours. Et s’il y a des jeunes filles qui... Si son visage n’est pas rouge maintenant...
Gene, j’ai dit ça juste pour que ça change un peu les choses pour moi de sorte que je puisse me remettre aux pas.
Je témoignerai que c’est un brave homme. C’est mon copain, et un véritable frère
22 Et maintenant, je vais intituler cela : Abraham et sa Postérité après lui. Et j’aimerais atteindre l’apogée dans–dans Genèse 22.14, et Jéhovah-Jiré. Nous savons donc que Dieu a sept Noms composés de la rédemption. Nous le savons tous : Jéhovah-Jiré qui veut dire l’Eternel se pourvoira d’un sacrifice. Jéhovah-Rapha, c’est Jéhovah, l’Eternel, notre Guérisseur. Jéhovah-Manassé, notre Bannière, notre Bouclier, notre Ecusson, notre ainsi de suite, sept Noms composés de la rédemption qui se rapportent à Jéhovah. Et Son premier Nom, c’est Jéhovah-Jiré : «L’Eternel se pourvoira d’un sacrifice.»
23 Maintenant, suivez attentivement. Si vous vous rendez... si quelqu’un murmure à côté de vous, dites : «Voudriez-vous bien vous taire juste un instant, s’il vous plaît, jusqu’à ce que je saisisse ceci ?» Voyez ? Il le fera donc. Il sera gentil. Maintenant, nous allons reprendre, retourner tout au début, après, nous arriverons ici où j’aimerais apporter ce sermon pour atteindre l’apogée. Retournons dans Genèse, chapitre 12, si vous voulez noter ces passages, Genèse, chapitre 12.
Et maintenant, nous allons parler d’Abraham. Eh bien, rappelez-vous qu’Abraham... La promesse avait été faite à Abraham. Nous le savons tous. Est-ce vrai, mes frères membres du clergé ? La promesse avait été faite à Abraham, à lui. Et Abraham n’était pas Juif. Abraham était un Gentil. Il provenait de la tour, de Babylone avec son père. Il habitait le pays de Schinear, là, les vallées, il habitait la ville d’Ur, dans le pays des Chaldéens. Et il... les–les Chaldéens habitaient dans ce pays-là, il était dans cette ville d’Ur, et peut-être qu’il était un fermier. Il avait soixante-quinze ans avant que Dieu l’appelât. Il était marié à sa demi-soeur, du nom de Sara ; son nom était Abram. Et c’étaient juste deux personnes ordinaires. Et un jour, Dieu appela Abraham et conclut une alliance avec lui (Suivez donc) et avec sa postérité après lui.
24 Maintenant, je vais placer ces deux livres ici et les appeler (voyez ?), pour Abraham et pour sa postérité après lui. Eh bien, ce qu’Il a fait pour Abraham, Il l’a fait pour sa postérité après lui. Que tous ceux qui comprennent cela donc clairement disent «amen.» [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E.] A Abraham et à sa postérité après lui.
Maintenant, si vous remarquez bien dans Genèse 12, Dieu appela Abraham par élection, non pas parce qu’Abraham avait fait quelque chose pour mériter cela, non plus... Il était peut-être un idolâtre, je ne sais pas. Et à Babylone, on adorait les racines et... Si jamais vous avez lu Les Deux Babylones d’Hislop, l’ancienne histoire, vous découvrirez que Babylone a été fondée par Nimrod, c’était de la pure idolâtrie, c’est tout. Et il était un... Nous trouvons Babylone au début de la Bible, au milieu de la Bible et à la fin de la Bible. Et c’était un–un système dénominationnel. Babylone était une métropole qui percevait un tribut sur toutes les autres cités, voyez, une espèce de–de quartier général quelque part d’où provenaient les ordres, et tous les autres devaient payer à cette seule ville. Et c’est de là que provenait Abraham avec son père.
25 Eh bien, Dieu l’appela par élection. Maintenant, frères, mes précieux et bien-aimés frères, s’il m’arrive de m’écarter de la doctrine des Ecritures, voudriez-vous bien me pardonner pour cela et mettre cela sur le compte de mon ignorance ? Allez-vous le faire...?... Et vous mes frères théologiens qui êtes là dans l’assistance, si vous pensez que je... que ma doctrine est fausse, voudriez-vous juste oublier cela ? Voyez, juste...
Eh bien, beaucoup parmi vous m’écrivent des lettres, disant : «Frère Branham, nous faudra-t-il faire telle ou telle chose ?»
Je réponds toujours : «Demandez à votre pasteur.» Voyez ? En effet, je ferai tout mon possible pour vous répondre sur de grandes doctrines fondamentales de l’Evangile biblique. Mais quand on en arrive à : «Devrions-nous faire ceci ou faire cela.» Je me réfère toujours à votre pasteur, parce que nous pourrions... Chaque homme, il n’y en a pas deux ici qui soient d’accord sur de petites choses pratiques, si on doit peigner les cheveux en les renvoyant à droite ou à gauche. Et pour moi, je n’en fais pas un problème. Alors–alors... Vous savez ce que je veux dire. Nous–nous avons ce genre de choses, et je dis toujours à chaque assemblée : «Posez la question à votre pasteur sur ces choses.» S’il vous a conduit jusqu’à être sauvé et être rempli du Saint-Esprit, ne pouvez-vous pas lui faire confiance pour le reste du chemin ? Si Dieu l’a honoré pour ce...
Mais pour apporter cette pensée appropriée aux gens cet après-midi, je vais devoir me servir d’un peu de doctrine, ça pourra être mentionné, ou quelque chose comme cela, mais si vous ne trouvez pas cela correct, mettez-le simplement de côté et allez de l’avant. Si le pasteur enseigne quelque chose d’un peu différent, oubliez ce que j’ai dit à ce sujet. Voyez ? Parce que j’essaie de me faire comprendre. J’espère que c’est en ordre. J’espère que c’est clair.
26 Mais, vous voyez, Abraham n’était rien en lui-même, il était... il avait été appelé par élection. Donc, puisqu’Abraham avait été appelé par élection, sa postérité après lui doit donc être appelée par élection. C’est vrai.
Jésus a dit : «Nul ne peut venir à Moi si Mon père ne l’attire premièrement. Et tous ceux que le Père M’a donnés viendront à Moi.» C’est pourquoi on ne fait que prêcher l’Evangile très clairement, cependant les brebis élues de Dieu entendront Cela, le saisiront très vite, et elles croiront au baptême du Saint-Esprit alors que les autres s’en éloignent et s’en moquent, parce que ceux-là ont été élus à entendre Cela. C’est tout. Voyez ?
Vous voyez donc maintenant pourquoi l’Eglise Elle-même est élue, élue d’avance par Dieu. Eh bien, laissez-moi prendre un mot dans 1 Thessaloniciens, chapitre 1, où il est dit : «Prédestiné.» Eh bien, ce n’est pas un bon mot à utiliser devant les gens ; en effet, prédestiné, c’est un... Il serait mieux pour nous de le dire comme ceci : «C’était par la prescience ; Dieu, par Sa prescience, a pu prédestiner pour Sa propre gloire. Voyez ?
27 Il–Il n’a pas dit : «Bon, je vais vous choisir, vous. Et vous, Je vais vous envoyer en enfer. Et Je vais vous choisir, vous ; et vous, Je vous envoie en enfer.» Ce n’était pas ça la pensée de Dieu. Il voulait que nous tous nous allions au Ciel. Mais étant Dieu, Il connaissait d’avance qui viendrait et qui ne viendrait pas. Eh bien, cela éclaircit Romains 4, Romains 9 et–et 8 et 9 où il est dit : «Afin que l’élection de Dieu subsistât, avant que tous les deux jeunes garçons ne fussent nés (parlant d’Esaü et de Jacob), Dieu dit : ‘J’ai aimé Jacob et J’ai haï Esaü.’» Voyez ? Sa prescience Lui a fait savoir que leur... qu’Esaü n’était qu’un–un petit filou de toute façon. Et Jacob a reçu la récompense de ce droit d’aînesse. Vous voyez donc, Sa prescience le Lui fait savoir. S’Il ne connaissait pas la fin depuis le commencement, Il ne serait donc pas Dieu. Voyez ? La Bible dit que nous, l’Eglise...
28 Eh bien, j’aimerais que vous vous rappeliez qu’il y a trois catégories de gens, trois catégories de gens dans le monde ; il en a toujours été ainsi, et il en sera toujours ainsi jusqu’à la fin. Eh bien, disons-le ensemble. Trois [Les gens répètent après frère Branham : «Trois»–N.D.E.] catégories de gens : [«catégories de gens :»], les incroyants, [«les incroyants,»] les soi-disant croyants [«les soi-disant croyants»] et les croyants [«et les croyants»]. Gardez cela à l’esprit : trois catégories de gens.
Maintenant, maintenant, la catégorie qui a été élue avant la fondation du monde, et qui a été appelée en Christ avant la fondation du monde... Combien savent que Christ était l’Agneau de Dieu immolé avant la fondation du monde ? Eh bien, comment avait-Il été immolé ? Dieu, suivant Son grand plan, savait qu’Il–qu’Il avait prévu un Fils, et que ce Fils serait le Sauveur de Son peuple. Est-ce vrai ? Alors, quand Dieu dit une chose, c’est déjà terminé. Oh! Frère. Si...
Où est cette petite soeur que j’avais... sur qui était la vision il y a quelques instants, qui était assise ici même dans un fauteuil roulant ? Si vous pouvez voir cela, soeur bien-aimée, ce sera terminé pour vous. Voyez ?
29 Quand Dieu dit quelque chose, quand Dieu fait une déclaration, c’est parfait pour tout le temps que Dieu l’a dit ; cela doit s’accomplir. Absolument. Et puis, une fois Sa Parole entrée en nous, peu importe ce que nous faisons, ce à quoi nous ressemblons, ce à quoi nous pensons, Elle doit s’accomplir. Vous voyez ?
Ainsi, Dieu ne gère pas Ses affaires... S’Il vous a sauvé ici, tout en sachant qu’Il vous perdrait après quelque temps, Il serait un piètre homme d’affaires. C’est pourquoi donc, tous ceux qu’Il a connus d’avance, Il les a... quoi ? Il les a appelés. Tous ceux qu’Il a appelés, Il les a justifiés ; tous ceux qu’Il a justifiés, Il les a déjà glorifiés. Eh bien, il y aura une Eglise qui Le rencontrera là, sans tache ni ride.
«Frère Branham, en faites-vous partie ?» Je l’espère. Mais nous travaillons à notre salut avec crainte et tremblement. Et lorsque vous constatez que votre vie ne se conforme pas à la Parole de Dieu, peu importe l’église dont vous êtes membre, vous savez que vous n’êtes pas en ordre. Voyez ? Si seulement vous faites votre... Si vous faites votre religion, parce que vous savez que c’est quelque chose que vous êtes censé faire, vous ne faites que l’hypocrite. Si ce n’est pas du fond de votre coeur que vous aimez Dieu, alors vous êtes en erreur pour commencer. Voyez ? Vous aimez... C’est l’amour qui contrôle le tout.
30 Maintenant, suivez donc. Abraham a été appelé par élection, il n’avait rien fait. Et remarquez donc, l’alliance, et Genèse 12 (Voyez ?), toute l’alliance a été donnée à Abraham, toute l’alliance, c’est complètement la grâce (Voyez ?), ce n’était pas : «Abraham, si tu fais telle chose, Moi, Je ferai telle autre.» Ce n’était pas : «Si–si tu fais ceci, Moi, Je ferai cela.» Chaque fois que Dieu conclut une alliance avec l’homme, ce dernier la viole. Il avait dit à Adam : «Si tu ne manges pas de tel arbre, tu vivras», mais Adam en a mangé. Il avait annoncé à Israël l’alliance qu’Il avait conclue avec lui, lors de l’alliance de Moïse, là dans le désert, ils ont violé cela.
31 Chaque fois que Dieu conclut une alliance avec l’homme, ce dernier la viole. Mais cette fois-ci, Dieu avait conclu une alliance sans condition avec Abraham et sa postérité. Eh bien, comprenez-vous ? Ce n’était pas : «Si tu fais ceci, Je ferai cela.» Mais : «Abraham, J’ai déjà fait cela. J’ai déjà... Tu viendras à Moi. Tu es déjà sauvé ; Tu viendras à Moi lorsque tu seras vieux.» Il avait déjà fait cela. Et alors, aujourd’hui, ce n’est pas que : «Si tu fais telle chose, si tu fais telle autre, si tu fais cela...» C’est déjà fini, ce n’est pas que : «Si tu vas acquérir une bonne instruction, si tu connais ceci, cela ou autre. Je suis... Je vais–Je vais te guérir. Je vais te sauver si tu décroches ton diplôme en lettres.»
«J’ai déjà fait cela ; c’est terminé. Je veux seulement que tu tendes le bras et que tu obtiennes cela. C’est tout.» Voyez-vous ce que je veux dire ? Abram... Tout ce qu’Abraham avait à faire, c’était de demeurer dans Son alliance. Il n’avait rien à faire pour l’alliance, Dieu avait déjà fait cela pour lui. Il n’avait qu’à y rester. Alléluia! Maintenant, je commence à me sentir religieux. Voyez ?
32 Une fois que nous connaissons cela, que tout ce que nous avons à faire pour hériter chaque promesse de Dieu, c’est nous appuyer sur la Parole de Dieu, ne laissez aucune secousse vous En écarter... Remarquez donc, Il a montré le type parfait d’Abraham et de sa postérité après lui. Et je vais suivre les jonctions de la vie d’Abraham et puis, suivre les jonctions de la postérité d’Abraham pour voir si Dieu a tenu Sa Parole à la lettre.
Eh bien, Abraham, nous savons qu’il n’y a qu’un seul moyen par lequel nous pouvons être sauvés, c’est d’être dans l’alliance avec Abraham, parce qu’elle avait été donnée à Abraham. Mais la Bible dit : «Nous, en étant en Christ, nous revêtons la nature de la postérité d’Abraham et nous devenons cohéritiers d’Abraham.» Est-ce vrai ? Christ est donc la Postérité royale d’Abraham. D’Abraham descend Isaac ; d’Isaac, Jacob ; de Jacob, Joseph ; de Joseph ainsi de suite jusqu’à David ; David, ainsi de suite, jusque finalement à la Postérité royale qui est née, qui était Christ, et par Christ Abraham devient le père de toutes les nations. Et l’alliance d’Abraham est confirmée aux gens... ou elle est donnée aux gens sans condition.
33 Eh bien, lisez maintenant au chapitre 12, Il a conclu l’alliance avec Abraham sans condition. Il a appelé Abraham. J’ai entendu des gens dire : «J’ai cherché Dieu, j’ai cherché Dieu, j’ai cherché Dieu.» Vous vous trompez. C’est Dieu qui vous a cherché, Il vous a cherché, et Il vous a cherché. Ce n’est pas vous qui cherchez Dieu ; C’est Dieu qui vous cherche. Eh bien, tout au début, on en a la preuve. Adam, ça devait être lui qui devait être en train de crier : «Père, Père, où es-Tu ? J’ai péché, j’ai péché, Père.»
Mais c’était Dieu qui disait : «Adam, Adam, où es-tu ?» Voyez ? C’est toujours ainsi... Pouvez-vous sortir dire au cochon qu’il est en erreur du fait qu’il mange la soupe à cochons ? Croirait-il cela ? Absolument pas. Il vous dirait : «Occupez-vous de vos affaires.» C’est pareil avec le pécheur. Vous ne pouvez rien lui dire. Il ne vous écoutera pas. Il ne s’assiéra même pas cinq minutes dans l’église pour vous suivre. C’est un cochon pour commencer. C’est un charognard, un vautour, c’est sa nature. Voyez ? Ainsi, vous–vous ne pouvez rien lui dire, parce que c’est simplement ce qu’il est. C’est un vautour. Il ne peut pas se nourrir de bonnes choses.
34 Remarquez donc. Alors, lorsque vous recevez cela, ce que Dieu avait dit à Abraham... Il a appelé Abraham, et si jamais vous êtes appelé, ce n’est pas vous qui avez cherché ; c’est Dieu qui vous a cherché. Et par la grâce de Dieu, Il vous a sauvé, non pas parce que vous avez fait quelque chose, non pas parce que vous le méritez, mais parce que c’est la grâce de Dieu pour vous qui a fait cela. Que tout celui qui comprend cela dise : «Amen.» [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E.]. Maintenant, nous démarrons.
Maintenant, qu’était-ce ? Quand Dieu a pris un homme, Il l’a d’abord appelé, qu’était-ce ? La justification. Abraham, pour avoir entendu la Voix de Dieu lui parler, a cru au Seigneur Dieu. Est-ce vrai ? Par conséquent, il a été justifié par la foi, en croyant au Seigneur Dieu. Est-ce ce que nous sommes, postérité d’Abraham ? Romains 5.1 :
«Etant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ.» (Romains 5.1.)
35 Eh bien, Abraham crut en Dieu. Et cela lui fut imputé à justice, ou cela fut mis à son compte comme justice. Comment allez-vous ? Vous direz : «Eh bien, je–je–je suis–je suis l’un de... Je suis–je suis un Joneses ; je–je–j’habite tel...» Ça n’a rien à faire avec la chose. Dieu vous a appelé, et vous acceptez l’appel. Et c’est par votre foi, en acceptant Christ, la Postérité royale d’Abraham, qu’Il vous appelle, vous êtes alors justifié par la foi. Est-ce vrai ? C’est l’unique moyen pour moi de le savoir. C’est tout ce qu’il y a de scripturaire, à ma connaissance. Je sais, j’ai été un pécheur, un véritable. Dieu m’a arrêté en plein milieu des péchés, Il a frappé à la porte de mon coeur, je me suis alors retourné, j’ai regardé en arrière et j’ai demandé : «Qui est-ce ?»
Il a dit : «C’est Moi, ton Seigneur.»
J’ai dit : «Alors, Seigneur, laisse-moi venir.»
Je ne me suis pas arrêté pour dire : «Hé, Seigneur, hé! où es-Tu ? J’aimerais Te parler un instant.» Voyez ? Non, ce n’est pas ce que vous faites. C’est Dieu qui vous arrête.
36 Ainsi donc, c’est par la grâce que Dieu vous a appelé, ce n’est pas à cause de ce que vous avez fait, ce que vous pouvez faire, ce que vous ferez. Si vous êtes la postérité d’Abraham, c’est que c’est Dieu qui vous a parlé par Sa grâce étonnante, juste comme Il avait parlé à Abraham dans Genèse, chapitre 12.
Eh bien, eh bien, alors, remarquez. Aussitôt qu’Abraham crut en Dieu par la justification (en croyant au Seigneur, nous sommes justifiés), aussitôt Dieu exigea d’Abraham une totale séparation d’avec l’incrédulité. C’est ce qu’Il a exigé de vous. Vous Séparer des membres de votre famille, de tous vos associés, sortir de la salle de billards, sortir de la salle de danse ; vous éloigner des choses du monde. Dieu exige une totale séparation pour la postérité d’Abraham, parce que c’est pour cela qu’Il avait appelé Abraham. Vous y conformez-vous ? Cet objet-ci, c’est Abraham. Celui-là représente cette postérité après lui. Et l’alliance avait été conclue à la fois pour Abraham et pour sa postérité après lui. Et de même qu’Abraham fut appelé par la grâce, par l’élection, de même sa postérité est appelée par la grâce et par l’élection. Voyez ? Ils ont entendu la Voix de Dieu et ils ont cru en Dieu, et cela leur a été imputé à justice. Ils ont entendu la Voix de Dieu dans un bar, n’importe où qu’Elle s’est fait entendre, et ils ont cru en Dieu, et il a été ordonné à Abraham de s’abstenir et de se séparer des choses du monde, et c’est pareil pour la postérité d’Abraham : se séparer de la postérité... des–des choses du monde.
La justification par la foi, nous pourrons nous y attarder le reste de l’après-midi, mais nous devons nous dépêcher.
37 Eh bien, comme nous le voyons, Abraham n’avait jamais obéi pleinement. Eh bien, c’est pareil pour beaucoup parmi nous. Aussitôt que nous commençons par une confession, nous nous disons : «Eh bien, alors, nous avons adhéré à l’église, et nous allons devenir de très bonnes personnes. Nous sommes voisins. Ça ne nous fera pas de mal de fumer un peu.» Ou : «Oh! si seulement je continue avec le jeu de cartes. Ça ne me fera pas du tout mal.» Mais, rappelez-vous, Dieu n’a point béni Abraham avant que ce dernier ait obéi totalement. Dieu ne bénira pas sa postérité avant que vous obéissiez totalement, que vous vous sépariez des choses du monde : «Sortez du milieu d’eux. Séparez-vous, dit l’Eternel, Je vous recevrai. Ne touchez pas à leurs impuretés. Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé.» Voyez ?
38 Maintenant, vous voyez, vous devez sortir du monde. Mais qu’a fait Abraham ? Oh! Il avait son neveu, Lot, un membre d’église tiède, et son papa. Le vieil homme était une mouche dans la soupe, tant qu’il s’accrochait... et il a emporté certaines histoires. C’est exactement ce que nous essayons de faire. Nous cherchons à faire entrer dans les églises, dans nos organisations, les choses du monde.
Eh bien, mes frères méthodistes, je vous aime. Mon frère baptiste, je vous aime tout autant que j’aime mon frère pentecôtiste ou je ne sais qui d’autre. Mais vous voyez, nous cherchons à prendre les choses du monde et à les emporter avec nous comme Abraham l’avait fait. Je ne dis pas que vous n’êtes pas chrétiens à cause de votre organisation. Je vous dis simplement que vous n’obéissez pas pleinement à Dieu tant que vous ne vous êtes pas séparé.
39 Eh bien, tant que vous continuez à aller au cinéma pour suivre toutes sortes de films, lorsque vous restez à la maison et faites que votre réunion s’arrête tôt la nuit afin que vous suiviez une émission télévisée non censurée, que vous descendiez dans votre sous-sol (et certaines de vos églises protestantes font cela), ils ont des jeux d’arnaque et autres dans le sous-sol, des soupers de bienfaisance, un peu de danses entre amis dans ce qu’on appelle YMCA [Union chrétienne de jeunes gens], on enseigne le rock-and-roll.
Et écoutez. Vous mes frères méthodistes, alors qu’il y a environ six semaines, ma mère (Elle est aussi méthodiste), lorsqu’elle m’a fait venir là à la maison... Et là, dans l’Indiana, on dansait le rock-and-roll dans une église méthodiste, ça passait à la télévision, et... des choses comme cela, et on demande, même le sponsor la à la télévision, le speaker a dit : «Ne pensez-vous pas que ceci devrait... les–les gens vous critiqueraient...»
Il a dit : «Ça fait longtemps que l’Eglise méthodiste a oublié le bel art de rock-and-roll.» Si John Wesley savait cela, il se retournerait dans sa tombe. Vous vous êtes trop versés dans les choses du monde. Savez-vous quoi ? Vous les méthodistes...
40 Je parlais à Jack Schuller. C’est l’un de–l’un des plus braves hommes que vous avez. Vous avez des millions de braves hommes dans l’Eglise méthodiste, certains des meilleurs. Je regarde en face deux prédicateurs méthodistes maintenant même, mes amis intimes. Il n’y a pas de meilleurs hommes qui se tiennent dans des souliers à cuir, à ma connaissance. C’est vrai. Mais vous oubliez ; vous ne vous séparez pas. John Wesley était celui qui avait commencé à prêcher la sanctification, et le fait de se séparer des choses du monde. Et vous les femmes méthodistes, vous portez des shorts, vous vous maquillez. Ne savez-vous pas ce que votre fondateur a dit au sujet de cette sottise-là ? Mais vous avez une chaire faible et un grand bâtiment. C’est ça votre problème. Et ne regardez pas là pour vous moquer des baptistes ; en effet, vous les baptistes, vous êtes dans la même situation. Et, pentecôtistes, c’est pareil pour vous. Maintenant, nous devons donc mettre cela en ordre, c’est tout.
41 Eh bien, que c’est pitoyable! Ne savez-vous pas que si vous êtes la postérité d’Abraham, vous devez vous séparer des choses du monde, parce que cela était donné à Abraham et à sa postérité après lui ? Et Abraham n’avait jamais été béni peu importe... Sur ce terrain-ci, là à Wheaton College, à Asbury, là chez Moody, où nous nous rendrons prochainement, à Chicago, chez Moody... Pourquoi n’ont-ils plus de réveils comme autrefois ? Vous ne vous séparez pas, enfants d’Abraham. Comment Dieu va-t-Il donc traiter en un tel lieu, alors qu’Il n’arrive même pas à vous faire mener une vie décente ? C’est vrai. Vous ne pouvez jamais avoir un réveil en vous basant sur de telles sottises.
Eh bien, vous direz : «Frère Branham, vous vous fâchez contre nous.» Que le Seigneur soit mon Juge. Voyez ?
42 Ce que... Si–si personne ne vous le dit, si quelque chose ne se passe pas, vous allez mal finir...?... Eh bien, sortez de cette histoire. Vous–vous qui êtes... Qu’en est-il de l’Eglise méthodiste, de vous les méthodistes, alors qu’autrefois vous descendiez la route... Et vous les méthodistes ici, à votre arrivée ici et... Asbury était ici, vous teniez des réunions à l’ancienne mode quand les gens tombaient par terre, par le Saint-Esprit, priant, donnant des coups de pied, poussant des cris, levant les mains, et vous leur déversiez de l’eau au visage, et des choses comme cela pour les ramener. Ô Dieu! Les méthodistes! Qu’est devenue cette expérience ? Où en est-on aujourd’hui ? Qu’est-il arrivé ? Quelque chose ne marche pas. Vous voyez, vous allez à la dérive. Vous les égarez du chemin de la postérité d’Abraham.
43 Suivez donc, Dieu, la chose suivante... Là, c’était la justification. Pour nous dépêcher... Maintenant, qu’a fait Dieu dans Genèse 12 ? Il a sauvé Abraham par élection, et Abraham fut justifié par la foi, en croyant la Parole de Dieu. Est-ce vrai ? Baptistes, est-ce ainsi que vous L’avez reçu ? Méthodistes, est-ce ainsi que vous L’avez reçu ? Pèlerins de la sainteté, nazaréens, pentecôtistes, est-ce ainsi que vous L’avez reçu ? Assurément, tout à fait. Eh bien, suivez l’étape du pèlerinage ; ils ont continué.
Pour vite examiner cela maintenant, j’aimerais que vous alliez avec moi au passage suivant maintenant, Genèse 15. Il y a beaucoup de choses là, nous pouvons passer des semaines, semaine après semaine après semaine. Mais juste pour vous présenter ces étapes, pour vous montrer ce qu’Il avait fait...
Au chapitre 15, Abraham commence à se demander : «Comment saurai-je donc ces choses ?» Alors, Dieu lui a confirmé l’alliance. Il lui a donné la confirmation de l’alliance. Dans Genèse, chapitre 15, nous trouvons cela. Après qu’Abraham se fut complètement séparé, Lot étant allé à Sodome, le vieil homme étant mort, Abraham s’était séparé, il était resté seul, alors Dieu s’est mis à lui parler.
44 Baptistes, faites cela ; méthodistes, faites cela. Pentecôtistes, faites cela. Séparez-vous des choses du monde et voyez si Dieu ne se mettra pas à vous parler. Séparez-vous des choses de cette vie et voyez si Dieu ne se mettra pas à vous parler. Mais lorsqu’il a complètement fait cela, il a dit : «Or, étant donné que tu m’as promis un fils, et je m’en vais sans enfant, mon seul héritier, c’est Eliézer de–de Damas, a-t-il dit. Comment vais-je... Comment cela se fera-t-il ?»
Maintenant, écoutez attentivement vous tous. Eh bien, là, Abraham, dans Genèse 1, a été justifié par la foi. Eh bien, voici apparaître votre doctrine de John Wesley. Voici apparaître par votre–votre sanctification, ou la confirmation de votre alliance.
45 Rappelez-vous, Abraham a pris une chèvre, une génisse, trois animaux ; une chèvre, une brebis, une génisse de trois ans, ces trois sont la confirmation, les trois que je vous ai demandé de garder, trois ans. Il les a tués, les a coupés par le milieu. Est-ce vrai ? Ensuite, il a pris une tourterelle et un pigeon, qui représentent la guérison divine ; ils n’ont jamais été partagés. Voyez-vous cela ? Jamais... La Bible dit qu’il... Lorsque vous relirez cela après mon départ, il n’a jamais partagé le pigeon et la colombe. Pourquoi ? Il y a eu un changement d’alliance de Christ à... de l’agneau à l’Agneau de Dieu, mais la guérison divine repose toujours sur votre foi. Il n’a jamais partagé la colombe et les oiseaux. Il les a déposés là, mais il a coupé par le milieu les sacrifices de trois ans.
46 Eh bien, qu’était-ce ? Le sang versé. La première postérité d’Abraham dans l’âge de l’Eglise... Croyez-vous que l’âge de l’Eglise a commencé après la Pentecôte ? Croyez-vous que là, dans la première génération, il y avait des Juifs et autres ? Croyez-vous ensuite que la première réforme pour l’église qui est appelée à sortir pour l’Enlèvement, c’était le groupe de Luther ? Assurément. Il a prêché que le juste vivra par la foi. Il avait rejeté que la communion était le corps littéral de Christ, il a jeté cela par terre, ce jeune prêtre Martin Luther, et il avait prêché que le juste vivra par la foi. Est-ce vrai ?
John Wesley prêcha la sanctification, c’est la deuxième oeuvre précise de la grâce (Est-ce vrai ?), se séparer des choses du monde.
47 Maintenant, Il a traité avec Abraham sous la justification. Aussi, la postérité d’Abraham, c’était Martin Luther sous la justification. Là, Il est venu à Abraham pour confirmer l’alliance. Et Il vient aussi ici à la postérité d’Abraham pour confirmer l’alliance, pour revenir au sang en immolant le sacrifice. Oh! Voyez-vous cela ? Dites amen si vous le voyez.
Oh! Écoutez! Puis, Il revient au sacrifice. Suivez. Permettez-moi de consacrer juste une minute sur la façon dont le sacrifice a été confirmé. Et nous nous dépêcherons.
Maintenant, remarquez vite. Comment procédons-nous lorsque nous confirmons un accord ? Je dis à ce frère ici : Levez-vous une minute. Vous êtes un pasteur, avez-vous une église ? Vous dites... Avez-vous une église ? Très bien. Vous dites que vous avez une église ? D’accord, levez-vous juste un instant. Vous avez–vous avez une église. Vous direz : «Frère Branham, sortons prendre un petit repas ensemble.»
«D’accord.»
«Voudriez-vous venir dans mon église tenir un réveil ?»
48 «Voyons. Oh! Je–je vais vous dire ce que nous allons faire. Nous ferons telle et telle chose.»
«Oui, je le ferai.»
«Serre-moi la main, mon gars ; c’est ça. Soyez là.» Est-ce comme ça ? C’est ainsi que nous confirmons nos accords (Est-ce vrai ?), par une poignée de mains : nous mangeons un petit quelque chose, nous nous serrons la main. Nous nous mettons d’accord. C’est là notre engagement l’un envers l’autre, notre main d’association : «Donne-la-moi, nous le ferons.» C’est ça un accord aux Etats-Unis.
Eh bien, savez-vous comment on en conclut un au Japon ? Ils sortent prendre un petit quelque chose à manger et, à leur retour, ils vont faire... ils confirment leur accord, on leur donne une salière, ils se tiennent là et se jettent du sel l’un sur l’autre. Le sel établit le contact, une saveur (voyez-vous ?), cela veut dire qu’ils... C’est ainsi qu’ils confirment leur accord.
49 Mais saviez-vous comment on confirmait cela en Orient du temps d’Abraham ? J’espère que je ne déchire rien d’important. Cette petite lettre-ci contenant un mouchoir, mais j’aimerais utiliser quelque chose. On prenait ces sacrifices, on les immolait... Vous comprenez, je dois... Les trois sacrifices, représentaient cette fois-ci les trois races, trois générations, ainsi de suite. Eh bien, nous... Ces trois âges de l’église et autres du dernier appel de l’Eglise...
Et puis, on immole ce sacrifice ; ils se rassemblent, et sur ce parchemin, en peau de l’agneau, était écrit. «J’accepte de faire telle et telle chose avec telle personne.»
«Oui, nous ferons cela.» D’accord. «Allez-vous accomplir telle obligation ?»
«Oui. Je l’accomplirai.» D’accord.
«Allez-vous faire telle et telle chose ?»
«Oui, je le ferai, j’accomplirai cela.»
50 Très bien. On immole le sacrifice ; on se tient juste au milieu de ces sacrifices, on lève les mains vers Dieu et on jure. S’ils brisent cet accord, que leurs corps soient comme le corps mort qui gisait là. Puis, ils prennent cela et le déchirent. L’un prend un morceau et l’autre, un autre morceau. Eh bien, il n’y a aucun moyen au monde d’ajuster donc ces morceaux, à moins que ça soit absolument la même chose lorsqu’on les rassemble. Moi, je prends mon morceau, lui prend le sien.
Eh bien, qu’a fait Dieu ? Il allait lui dire ce qu’il ferait, comment il le ferait par un Sacrifice, comment Il ferait de lui le père des nations, et pourtant, Il ne lui avait pas encore donné ce nom-là, mais Il ferait de lui le père des nations ; lui avait immolé le sacrifice, lui montrant par ce...
Suivez donc. Qu’a vu Abraham ? La première chose, après avoir immolé le sacrifice, il a chassé les oiseaux de proie jusqu’au coucher du soleil. Qu’arriva-t-il au coucher du soleil ? Un profond sommeil s’abattit sur Abraham (Est-ce vrai ? Genèse 15), un profond sommeil s’abattit sur Abraham. Qu’est-ce ? La mort pour chaque être humain, toute la postérité d’Abraham.
51 Qu’arriva-t-il ensuite après le profond sommeil ? Puis, il y eut des ténèbres horribles qui se présentèrent devant lui. Après cela, une fournaise fumante où va chaque pécheur, en enfer. Mais après, il y eut une petite Lumière blanche qui passa, et cette petite Lumière passa entre les morceaux du sacrifice. Il a dit : «Tu vois ce que je vais faire, Abraham ?» Une petite Lumière... Dieu est Lumière. Et Il passa au milieu de ce sacrifice, de ces deux morceaux du corps mort qui étaient là. Que faisait-Il ? Il concluait l’alliance. Par qui a-t-Il juré ? Par Lui-même. Il ne pouvait jurer par personne de plus grand. Vous ne jurez que par quelqu’un de plus grand que vous. Il n’y avait donc personne, dit la Bible, par qui Il pouvait jurer, car Il est le plus grand, et Il jura par Lui-même. Pourquoi ? Il tiendra l’alliance quand Abraham et sa postérité... Alléluia!
«Je jure par Moi-même que Je ne changerai point d’un seul mot Mon alliance pour toi ou pour ta postérité après toi.» Qu’en est-il, soeur ? Qu’en est-il ? «Je tiendrai Ma Parole.» Il a juré par Lui-même... La Bible dit qu’Il l’a fait. «Je tiendrai Mon alliance. Je vais te le jurer, Abraham, que je le ferai.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Frères légalistes, Je n’ai pas l’intention de pincer fort, mais j’aimerais seulement vous dire une seule chose ici, juste une minute. Regardez ça, regardez ce qu’Il a fait. Comment l’a-t-il fait ? De quoi parlait-Il ? Assurément, vous êtes assez spirituel pour saisir cela. Qu’a-t-Il fait ? Christ était cette Postérité royale d’Abraham qui avait été promise. Est-ce vrai ? Qu’a-t-Il fait avec Lui ? Il L’a amené au Calvaire. Il avait vécu sur terre. Il avait montré qu’Il était le Messie par des signes et des prodiges, en connaissant les secrets des coeurs, Il connaissait les pensées des gens, c’était la preuve qu’Il était le Messie qui devait venir. Avez-vous compris cela cette semaine ? Est-ce ce que la Bible dit ? Est-ce ce que la Parole de Dieu dit ? Il a prouvé qu’Il était le Messie. Qu’a-t-Il fait avec Lui. Il L’a amené au Calvaire, Il L’a déchiré, Il a élevé Son corps le troisième jour, comme Sa part, Il L’a placé à Sa droite, Il a envoyé le même Esprit qui était sur Christ sur Son Eglise (Alléluia!), pour accomplir la même oeuvre et la même chose que Lui.
52 Où est votre alliance qui produit les fruits ? Quand cette Eglise vraiment authentique de Jésus-Christ vient se rencontrer à la résurrection, ce même Esprit qui est en Christ devra s’ajuster avec cette même alliance. Peu m’importe le genre d’histoires que les baptistes, les méthodistes, les pentecôtistes, que sais-je encore, ont, si l’Esprit de Christ n’est pas en vous, alors vous n’êtes pas la postérité d’Abraham, vous n’êtes pas dans l’alliance. En effet, c’est là qu’Il a écrit l’alliance. Amen.
Si vous êtes en désaccord là-dessus, lisez votre Bible. Puis, l’Esprit... l’Esprit qui était sur Christ est sur l’Eglise. «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je (Je est un pronom personnel), Je serai avec vous, même en vous. Et vous ferez aussi les oeuvres que Je fais. Je serai avec vous jusqu’à la fin du monde. Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»
53 Honte à vous, méthodistes incroyants, vous baptistes incroyants, vous pentecôtistes incroyants, vous qui prétendez être la postérité d’Abraham et qui discutez Sa Parole, disant : «Les jours des miracles sont passés.» Dieu a juré avec serment qu’Il conserverait la semence dans chaque nation, dans chaque génération : la postérité d’Abraham. Amen! Mais par le Sang, Il a confirmé cela au chapitre 15.
Maintenant, allons un peu plus loin. Qu’a-t-Il fait ? La justification donc par la foi, en croyant : «La justification pour sa postérité (Est-ce vrai ?), par Martin Luther. La sanctification par le Sang, est-ce vrai ? La sanctification pour Son Eglise par John Wesley...» Maintenant quoi ? Abraham a cent ans.
54 Tournez la page suivante de votre Bible, au chapitre 17. Voyez si Dieu garde Sa Parole. Abraham est un vieil homme. Il a cent ans. Il lui reste un an ; il a quatre-vingt-dix-neuf ans. Et le Seigneur lui est apparu dans le Nom de El-Shaddaï, le sein.
Excusez-moi, jeunes filles, mes soeurs. El vient du mot «le fort» ; Shad veut dire le sein. Shaddaï veut dire porteur des seins. Dieu, Il a dit : «Je suis le Dieu Tout-Puissant.»
Maintenant, si vous avez une Bible Scofield, ou si vous avez une Bible Thompson qui a des références, ou si vous avez le Diaglott Emphatic, ou n’importe quel commentaire, vous remarquerez que ce mot est expliqué lorsqu’il L’a appelé ainsi, Il l’a appelé El ; et Il lui est apparu dans le Nom d’El-Shaddaï. Quel merveilleux message à un vieil homme qui croyait cette promesse depuis alors vingt-cinq ans! Et la Bible dit : «Il fut fortifié tout le temps.»
«Comment te sens-tu, Sara ?»
«Pas de changement ?»
«Gloire à Dieu, nous l’aurons.»
Quinze ans s’écoulèrent. «Comment te sens-tu, Sara ?»
«Eh bien, je–je–je ne sens aucun changement. Je...»
55 Ecoutez, je vais vraiment être clair, et suivez. Voyez, elle avait cessé d’être mère, ou plutôt d’être une femme, vous savez, avec les vingt-huit jours qu’elle avait comme une jeune fille. Cela avait cessé depuis environ quarante, quarante-cinq ans. Et lorsque Dieu l’a appelée, elle avait dépassé cela de trente, vingt ans. Maintenant, là où elle est. Elle a soixante-quinze ans. Oui, elle a plus que ça ; elle a quatre-vingt et un ans. Mais écoutez, au lieu qu’Abraham s’affaiblisse... Etes-vous prêts ? Au lieu qu’Abraham s’affaiblisse en constatant que cela n’arrivait pas, la Bible dit qu’il fut fortifié. Amen.
Et pour nous, la chose doit arriver tout de suite, sinon nous dirons : «Voyez, je vous l’avais dit, la guérison divine n’existe pas. J’ai perdu ma guérison.» Vous, piètre postérité d’Abraham! La postérité d’Abraham croit exactement comme Abraham. Peu importe ce qu’il y a, combien de temps ça prend, ce que n’importe quoi dit, c’est comme cela de toute façon. Dieu l’a dit. Abraham et sa postérité après lui...
56 «Eh bien, je vais vous dire, Frère Branham, je ne mérite pas la guérison.» Je viens de vous le dire, il n’y a rien que vous ayez fait ; il s’agit de ce que Lui a fait. Vous continuez à penser que vous êtes indigne.
Tenez, et si une vieille jument, jadis, du temps biblique, mettait bas un petit poulain ? Ou avait un... Disons qu’il avait un mulet. Et ce mulet était né, avec deux oreilles déformées, sa queue, dressée tout droit ; ses yeux louches ; les genoux arqués ensemble. Eh bien, s’il pouvait se voir dans un miroir, il se dirait : «Malheur à moi, on ne me nourrira jamais. On va juste m’asséner un coup à la tête lorsqu’ils sortiront pour me voir.»
Mais qu’arriverait-il si sa mère connaissait très bien la loi ? Elle lui dirait : «Un instant, chéri. Un instant. Je sais que tu es une créature d’apparence horrible. Tu ne vaux rien, mais tu vas vivre. Dieu a une loi selon laquelle tu as le droit d’aînesse, tu es mon premier-né.» Ô Dieu...
57 Pourquoi voulez-vous devenir un presbytérien ? Pourquoi ne revenez-vous pas pour être un pentecôtiste comme au commencement, avec le droit d’aînesse ? Vous pouvez être un presbytérien pentecôtiste. Vous pouvez être un méthodiste pentecôtiste. Revenez à l’église primitive, telle qu’elle avait commencé.
Elle lui dirait : «Tu as le droit d’aînesse. Je t’assure, puisque tu as le droit d’aînesse, sais-tu ce qui va arriver, ce qui va se passer ? Le matin, lorsqu’ils viendront au pâturage pour te voir, sais-tu ce qu’ils vont faire ? Ils ne vont pas t’asséner un coup à la tête (En effet, tu vas vivre), mais ils vont devoir prendre un agneau sans défaut. (Amen!) Et ils prendront cet agneau qui n’a même pas un seul défaut, et c’est cet agneau qui mourra à ta place. Le sacrificateur ne te verra jamais.» Amen.
58 Voyez-vous cela ? Ne regardez pas à vous-même ; regardez à votre Sacrifice. Dieu ne vous regarde pas ; Il regarde à votre Sacrifice qui est Christ. Ne regardez pas à vous-même. Je ne suis pas digne ; vous n’êtes pas digne ; personne n’est digne, mais il y a Un seul qui l’est. Je ne compte pas sur ce que j’ai fait, ce que je suis, sinon je-je n’y arriverai jamais. Mais je regarde à ce que Lui a fait. C’est en cela que je place ma confiance : Ce qu’Il a fait. Il est mon Sacrifice. Je ne mérite pas la guérison. Absolument pas. Seigneur, je devrais mourir depuis longtemps... Je ne devrais même pas naître. Mais je vis ; j’ai la Vie Eternelle ; je vais au Ciel. Pourquoi ? Pour ce qu’Il a fait pour moi...?... Il a pris ma place. J’étais cagneux, j’avais des yeux louches, tout, mais Il a pris ma place. Spirituellement parlant, j’étais tout déformé, tout désordonné ; mais Il a pris ma place ; mais Il a fait de moi un fils parfait de Dieu, une fille parfaite de Dieu. C’est Son sacrifice qui a fait cela, pas le mien. Je n’ai rien à faire avec cela. Je suis né tout déformé après tout. Mais je–je ne place pas ma confiance dans ce que j’ai fait. Je place ma confiance dans ce que Lui a fait (Voyez ?), ce qu’Il était, c’est ce qui se passait.
59 Eh bien, qu’a-t-Il dit à Abraham : «Tu es un vieil homme de cent ans, Abraham. Tu as quatre-vingt-dix-neuf. Mais Je suis El-Shaddaï ; Je suis Celui qui porte les seins.»
Maintenant, nous sommes sur le... Nous avons dépassé la première jonction : La justification, la justification. La sanctification, la sanctification. Maintenant, rappelez-vous, c’étaient des choses que Dieu avait promises et accomplies pour Abraham, mais ici Il a dit : «Je suis le Dieu porteur des seins. Maintenant, tu es vieux, Abraham. Tu as cent ans, mais pour Moi, tu n’es qu’un bébé. Je vais donc te faire une promesse, et Je suis le Dieu porteur des seins. Je suis le Fort. Pose-toi sur Mon sein maintenant, ressource-toi auprès de Moi pour ton corps faible.» Il le préparait au miracle. C’est ce qu’Il a fait pour les pentecôtistes après l’âge de Wesley. Il a permis aux pentecôtistes de se ressourcer de Sa propre force, Son propre Saint-Esprit, comme un baptême, l’absorbant dans leurs corps faibles pour que ça leur donne la foi pour l’Enlèvement, que ça leur donne la foi pour des miracles. «Je suis El-Shaddaï.»
Ce qu’Il a fait pour Abraham et pour sa postérité après lui... Observez, la confirmation de la foi, l’alliance de sang, maintenant Il entre Lui-même, Il introduit Sa force dans Son peuple.
60 Que signifie le mot «sanctifier», vous les bons méthodistes ? La sanctification, croyez-vous à cela, Frère Branham ? Certainement. C’est la Parole de Dieu.
Croyez-vous John Wesley ? Absolument, il était l’ange de l’alliance pour son âge, l’âge de Philadelphie. Luther était celui de l’âge de Sardes jadis. C’est tout à fait vrai.
Et nous avons un qui va venir qui sera un prophète. Ce sera Elie. Exact.
«Oh! direz-vous, là, il parlait de Jean.»
Non, non. C’est Malachie 3 : «Mon... J’envoie Mon messager devant Ma face.» Mais rappelez-vous, le–l’Elie qui devait venir, le monde allait être brûlé avec un feu ardent avant la venue du grand jour du Seigneur ; et il n’a pas brûlé avant, lorsque Jean était venu. Lisez la Bible, frère. Voyez ? Observez ce qu’il fera le... Observez-le, cette dernière partie de Malachie 4.
«Il ramènera le coeur des pères aux enfants (Est-ce vrai ?), et (conjonction) le coeur des enfants aux pères.» Voyez-vous cette double venue d’Elie.
61 Maintenant, je sais qu’il se lève des gars aujourd’hui qui disent : «C’est moi Elie ; c’est moi Elie.» Et, oh! c’est du non sens. Voyez ? Observez ce qui s’est passé. Le coeur de quoi ? Des enfants. Le coeur des pères aux enfants... A la première venue de Jean, il a ramené le coeur de ces vieux pères orthodoxes à ce récent Message, des enfants. Mais à la Seconde Venue, il doit prendre les coeurs des enfants aujourd’hui et les ramener à la foi des pères de la Pentecôte au commencement, cherchant à restaurer cela.
62 Ce sera quelqu’un qui va détester les femmes, il aimera le désert. Il ne sera membre d’aucune organisation. Il a dit : «Ne prétendez pas dire en vous-mêmes : ‘Nous avons Abraham pour père.’» Jean non plus ; Elie non plus. De ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Abraham. On viendra dire : «Je suis méthodiste, baptiste, ou presbytérien, ou pentecôtiste.» Il mettra la racine, l’arbre... la cognée à la racine de l’arbre. Il entrera sur la scène l’un de ces jours. Observez-le simplement ; on le haïra. Mais après son Message, alors le jugement frappera la terre. Il se mettra quelque part à l’écart afin que les jugements puissent frapper.
Il y avait une petite femme quelque part là, rappelez-vous. Elle avait un mari, un chef... Cela mourut lorsque la confédération des églises l’avait englobée. C’est alors qu’Elie fut envoyé auprès de cette femme, et elle était contente de recevoir alors le Message du prophète. Il l’a donc nourrie avec l’aide de Dieu.
63 Maintenant, observez Abraham, tétant, se ressourçant de toute la force de Dieu. Quoi ? Se ressourçant de la force pour se préparer à avoir cet enfant à l’âge de cent ans. Non seulement Dieu était porteur des seins, mais Il était Celui qui satisfait. Quand un petit enfant tombe malade, qu’il est très malade, la mère le porte à son sein, et il se met à téter, à se ressourcer dans son corps malade ; et pendant qu’il se rétablit, il est satisfait. C’est pareil pour ce vieil homme qui s’est emparé de Dieu, qui se nourrit du Saint-Esprit sachant qu’Il est convaincu que Dieu va accomplir chaque Parole. C’est la postérité d’Abraham. C’est la véritable et authentique postérité d’Abraham. Peu m’importe ce que quelqu’un d’autre dit ; il dit : «Si c’est Dieu qui l’a dit, c’est réglé ; je dis amen à cela.» Et il est convaincu que cela arrivera. Et vous ne pouvez pas le ballotter. Le médecin peut se tenir là et dire : «Laissez-moi prélever votre pouls. Vous êtes mourant.»
«Non.»
64 «Oh! vous êtes tout agité. Eh bien, vous feriez mieux de retourner à votre–à votre travail parce que vous n’avez pas... le Saint-Esprit n’existe pas.»
«Vous ne savez pas de quoi vous parlez. Je me suis emparé d’ El-Shaddaï. Amen. Amen. Je sais où je me tiens.» Chaque démon peut se tenir là, lui jeter du feu au visage. Il ne doutera toujours pas de cela. Il ira droit dans la fournaise ardente comme les enfants Hébreux. Pourquoi ? Il est la postérité d’Abraham. Peu importe combien de temps ça prend, on a prié pour lui, on l’a oint d’huile, ou je ne sais par quoi il est passé, il a accepté cela ; d’une façon ou d’une autre, la foi lui rassure qu’il va être guéri. Il va être guéri. C’est tout ce qu’il en est. Il croit qu’il ira dans l’Enlèvement, rien ne peut arrêter cela. Il croit que le Saint-Esprit est en lui, parce qu’il voit les signes littéraux du Saint-Esprit. Vous feriez tout aussi mieux d’arrêter de lui en parler. Vous pouvez bien l’enseigner... Vous pouvez lui enseigner toute la théologie du monde ; il ne suivra pas cela, parce que... Il ne vous croira pas, parce qu’il sait ce que dit la Bible. Il sait qu’il s’est emparé de Quelque Chose de réel. C’est quand Dieu a donné...
65 Eh bien, voyez-vous donc ce qu’Il a fait pour Abraham ? La justification : La justification pour Son Eglise, Sa postérité. La sanctification par Wesley, ce grand messager : la sanctification aussi. La Pentecôte là, la Pentecôte ici. Voyez ? L’allaitement de la Pentecôte, apportant...
Combien comprennent que quand Il était El-Shaddaï, Il a donné Sa propre force à Abraham ? Il ne faisait que lui donner des promesses, mais cette fois-ci, Il se vide Lui-même dans Abraham, littéralement. Combien savent cela ? C’était le Saint-Esprit. La justification, c’est ce que vous croyez. La sanctification, c’est ce que le Sang a fait pour vous. Vous êtes sanctifiez en croyant. Mais lorsque vous êtes rempli du Saint-Esprit, c’est la Personne du Saint-Esprit Elle-même, oh! la Personne, pas l’imagination, pas une espèce de psychologie, mais la Personne du Saint-Esprit.
Et à vous, mon frère de la science chrétienne, et vous qui ne croyez pas que le Saint-Esprit est une Personne, Il, c’est un pronom personnel. La Bible dit : «Quand Il, le Saint-Esprit, sera venu, Il témoignera de Moi.» Il est une Personne, pas une pensée.
Il a tété, non pas des articles et des promesses, mais il avait alors la Vie littérale de Dieu coulant en lui. C’est ce que l’âge de la Pentecôte a fait. Eh bien, qu’est-il donc devenu ? Un fils. Amen. Eh bien, dans l’Ancien Testament, nous savons... Eh bien, il nous reste encore quinze minutes.
66 Savons-nous ce qui s’est passé dans l’Ancien Testament ? Dans l’Ancien Testament, dès qu’un fils naissait dans un foyer, eh bien, rassurez-vous de comprendre ceci. Entendez-vous ? Dites amen. [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E.] Je sais que vous pensez que je suis fou cet après-midi, ou peut-être tout le temps, mais j’aimerais que vous saisissiez cela. Suivez donc, ce qu’Il faisait.
Quand un homme naissait, ou plutôt un enfant naissait dans une famille, il naissait un fils. Est-ce vrai ? Mais il n’avait pas encore d’héritage. Il devait être instruit par un tuteur. Est-ce vrai ? Eh bien, lorsque vous recevez le Saint-Esprit... C’est là que les pentecôtistes ont commis une grosse erreur. Ils ont dit : «Gloire à Dieu! nous L’avons reçu. C’est tout ce qu’il en est.» Non, non. Non, non, non, non, non, non, non, non.
Dans la Bible, quand un enfant naissait dans la ferme d’un homme, ce dernier allait louer les services du meilleur tuteur qu’il pouvait trouver. Je vais vous en faire une très belle démonstration, c’est saint Matthieu, chapitrer 17, sur la montagne de la Transfiguration, si vous voulez le noter pour le lire. Comment Dieu a fait exactement avec Son propre Fils comme... Dieu ne... Il doit observer Ses propres lois. Il ne peut pas souiller Ses propres lois, ou plutôt violer Ses propres lois, Il ne peut pas être un Dieu juste, tout en faisant cela. Alors, Il doit les observer pour être juste, saint et correct. Remarquez ce qu’Il a donc fait.
67 Une fois qu’un enfant était né, le père, étant occupé, louait donc les services du meilleur tuteur qu’il pouvait trouver pour élever cet enfant. Et alors, le tuteur faisait rapport au père sur l’évolution de l’enfant. Est-ce vrai, frères ? Nous savons que là, dans Galates et dans différents passages des Ecritures, on en parle. Et cela est appelé le placement du fils. Ecoutez donc, encore juste quelques minutes.
Eh bien, et si le tuteur venait... Eh bien, rappelez-vous que le père trouvait le... S’il aimait ce garçon, il lui donnait le meilleur tuteur qu’il pouvait trouver. Croyez-vous cela ? C’était son fils. Eh bien, il ne voulait pas acheter... se trouver un tuteur qui aimerait mettre une paille à son chapeau et débiter un mensonge au sujet de l’enfant. Il eût aimé savoir exactement ce qui se passait avec cet enfant. Il louait donc les services d’un très bon tuteur. Et le tuteur venait. Alors, si le père...
Si l’enfant évoluait très bien, oh! quel sentiment le tuteur devait éprouver en s’approchant pour dire : «Alors, c’est bien.» Mais si ce tuteur devait juste... et si cet enfant n’était qu’un renégat, qu’il n’accordait pas d’attention, qu’il ne faisait rien pour le père, oh! quel sentiment le tuteur devait éprouver en s’approchant pour dire : «Oui, monsieur, il n’évolue pas bien. Absolument pas, il... Je–je suis désolé, mais il n’évolue pas très bien.»
68 Eh bien, à vous membres tièdes d’église, je vais bien déverser cela sur vous. Que pensez-vous lorsque Dieu place Son Fils ici, l’Eglise, quel genre de tuteur Dieu trouve-t-Il pour lui ? Un évêque ? Hein ? Un pape ? Qui a-t-Il envoyé pour élever Son fils ? Le Saint-Esprit. L’évêque ménagerait les choses et aimerait avoir une plume à son chapeau pour devenir un archevêque, et–et toutes sortes d’intendants généraux, toutes ces autre espèces de choses, mais le Saint-Esprit fera un rapport fidèle au Père. Oui, oui.
Quel sentiment, à votre avis, doit éprouver le Saint-Esprit lorsqu’Il s’avance devant le Père pour dire : «Ces femmes pentecôtistes se coupent les cheveux, Père. Elles se maquillent comme les autres. Elles ne vont plus à la réunion de prière. Tes fils ne veulent pas prêcher contre cela.» Quel est le problème ? Quel est le problème ? «Oh! Ils ont élaboré de grands projets de construction. Et ils ne comprennent pas que J’ai dit : ‘Je vais vous préparer une place.’» Oui. Ils sont devenus terre à terre. Oui, ils veulent avoir la plus grande organisation, ils veulent...?... Oui. Non, ils–ils–ils ne veulent pas le dire aux femmes ; ils ne veulent pas le dire aux hommes ; ils en ont peur. En effet, ce sont eux qui mettent la grande contribution dans le plateau de collecte. Comme Il devait rougir, le Saint-Esprit, en s’éloignant de Dieu! Honte à nous! Comment Il doit faire cela! Comment peut-Il donc donner à ce fils quelque chose ? Savez-vous ce qui arrive à ce genre de fils ? Il reste toujours un fils. Assurément, oui, oui, mais il n’a pas d’héritage.
69 Paul a dit : «De peur qu’après avoir prêché, je sois moi-même rejeté...» Il n’hérite pas. Ce jeune homme reste toujours un fils, mais il est juste un fils renégat. Mais quoi ? Alors le tuteur s’avance et dit : «Hé! Tu sais quoi ? Ton jeune garçon est un...?... (Permettez-moi l’expression. J’espère qu’elle n’est pas sacrilège.) C’est un fils à papa. Tu sais quoi ? Il est tout à fait comme toi. Il agit exactement comme toi. Il... Je t’assure, lorsqu’il voit quelque chose aller de travers, il se tient là même et le dénonce. Tu peux lui faire confiance.»
Eh bien, le père...?... et dit : «Oui, c’est mon fils. C’est mon fils.» Je suis toujours sur la postérité d’Abraham donc. Je ne m’en suis pas écarté ; je reste avec cela. «C’est mon fils.» Vous savez ce que le père fait après que le jeune homme était devenu... se trouvait être un jeune homme ?
«Eh bien, dis donc, la Bible dit... ceci... mais–mais évidemment, eh bien, le–le surveillant général me chassera si je prêche cela. Ils–ils–ils... Si je leur dis de recevoir encore le Saint-Esprit. Oh! Oh! ...?... Cela ferait... Ils ne croient pas ça.» «Je crois dans la sancti....»
70 «Oh! Non, non, non, non. La guérison divine, nous–nous... Je vais vous dire ce que nous allons faire. Nous allons juste en tirer un tas, et nous ôterons toute cette affaire de guérison ici et toute cette agitation. Mais la Bible enseigne toujours cela, frères. C’est toujours la Parole de Dieu. Si vous êtes la postérité d’Abraham, vous prendrez position pour chaque Parole de Cela. Rien ne vous arrêtera. C’est vrai. Que ce soit un évêque méthodiste, ou un surveillant baptiste, ou un père presbytérien, ou un prêtre catholique, ou un pape, ou je ne sais quoi que ça puisse être. Rien ne vous arrêtera si vous êtes une véritable postérité d’Abraham. C’est vrai. Restez juste là. Oui, oui. Vous ne vous ressourcez pas auprès d’un système fait des mains d’homme ; vous vous abreuvez d’En Haut, d’auprès d’El-Shaddaï. Alléluia! C’est vrai. Prêchez cela de toute façon, peu importe qui ça blesse. Prêchez cela de toute façon. Le Père a dit : «C’est exactement ainsi que J’ai écrit Ma Parole, c’est ainsi que J’aimerais qu’Elle soit prêchée.» C’est vrai.
71 Savez-vous ce qui arrive ? Savez-vous donc ce qui se passe ? On organise une cérémonie pour ce fils. On le fait sortir là, on le revêt d’un vêtement spécial (Vous savez que c’est vrai). On le met en un lieu public, et on organise la cérémonie d’adoption, et on place ce fils-là. A partir de ce moment-là, le nom de ce fils sur le chèque est aussi valable que celui de son père. Est-ce vrai ?
Eh bien, Dieu a fait la même chose pour Son Fils. Il a pris Pierre, Jacques et Jean, ils sont allés au sommet de la montagne. Et chaque fois qu’Il accomplissait quelque chose d’extraordinaire, Il faisait venir trois du Ciel : Moïse, Elie et Christ. Il a pris trois témoins. Et quand ils ont dit : «Construisons trois tentes ici, nous aurons une dénomination appelée les prophètes. Nous en aurons une autre appelée la loi, les adventistes. Et nous allons...» Avant que Pierre eût terminé de parler... Comme le surnaturel avait été accompli, il était tout excité ; il voulait former une dénomination.
C’est là que vous les frères de la pluie de l’arrière-saison avez commis une erreur. C’est là que vous les assemblées de Dieu avez commis une erreur. C’est là que vous les unitaires avez commis votre erreur. C’est là que vous l’église de Dieu de prophéties, vous tous, avez commis votre erreur. Vous avez vu le surnaturel être accompli ; vous avez voulu tracer un petit cercle autour de cela et dire : «C’est nous.» Pourquoi ne laissez-vous pas cela tranquille ? Si ce n’est pas de Dieu, ça n’aboutira nulle part. Et si c’est de Dieu, ô Dieu, comment peut-on déraciner cela ? Cela subsistera à jamais.
72 Continuez, gardez votre oeil sur le Calvaire, continuez à vous ressourcer auprès d’El-Shaddaï. C’est bon. Accrochez-vous-Y. Chercher querelles et se séparer, c’est ce que le diable a dit : «Eh bien, je peux arrêter de me battre maintenant ; ils ont dressé leurs armes les uns contre les autres. Tant qu’ils combattent comme cela, ça m’arrange.» Voyez ? Il se tient simplement derrière et prend un repos... Mais laissez-les une fois faire sortir cette histoire de leurs coeurs et regagner leur place, observez alors ce qui arrive. Que cette grande armée se range par millions (Oui, oui.), observez alors ce qui arrivera.
Que les méthodistes laissent tomber leurs barrières. Que les pentecôtistes laissent tomber leurs barrières, que tous deux s’emparent du Saint-Esprit et... ? Amen. Vous verrez un réveil qui secouera cette nation. Vous verrez un réveil comme vous n’en avez jamais vu... Pensez-vous qu’ils feront cela ? Absolument pas. Ils ne le feront pas. La Bible dit qu’ils ne le feront pas.
73 Billy Graham parcourt le pays... Il a dit là à Louisville, quand j’étais à son petit-déjeuner, il a dit : «Paul entrait dans une ville et gagnait un converti, il revenait un–un an plus tard, il en avait trente ou quarante à partir de cet unique converti.» Il a dit : «Moi, je vais et je fais trente mille convertis, je reviens et je ne peux pas en trouver trente.» Tout ce qu’il y a, vous les amenez à faire une confession à l’oeil sec, Billy ; vous ne les amenez pas à entrer dans le Royaume de Dieu. C’est ça le problème. C’est exact. Mais il joue son rôle. Juste un instant, nous allons y arriver, si seulement vous me supportez une minute. Remarquez. Il a placé Son Fils. C’est la même chose qu’Il a faite avec Abraham. Il a fait sortir Abraham dehors. Ecoutez donc. Maintenant, j’aimerais que vous vous revêtiez de votre entendement spirituel et que vous restiez calme juste un instant. Il a donc conduit Abraham dehors, à la fin du chapitre 17, du chapitre 18 plutôt, Il a conduit Abraham dehors et Il a effectué son placement.
74 Il a dit : «Abram, je ne suis pas... Tu ne seras plus Abraham, Abram, mais ton nom sera Abraham. Tu n’es plus S-a-r-a-ï, ce sera désormais S-a-r-a, la princesse. Qu’a-t-Il fait ? Le placement de Son fils. Quel est le Nom de Dieu ? Elohim. Est-ce vrai ? Elohim, est-ce ce qu’Il est, le Seigneur Dieu Elohim, le Sauveur du Ciel... des Cieux et de la terre ?
Et qu’a-t-Il fait pour Abraham ? Il lui a donné une partie de Son Nom : de Abram à Abraham, Elohim, parce que lui aussi était un père (Amen.) : Il l’a placé dans sa position, Il lui a donné un nom : Abraham, de Abram à Abraham : Elohim, Elohim, h-e-i-m : h-a-m, Abraham.
75 J’aimerais vous faire remarquer que c’était juste avant la destruction, alors, et avant l’accomplissement de la promesse. Observez juste un instant donc. Après qu’Il lui eut fait cela, qu’Il eut donc placé Son nom, qu’Il l’eut placé dans sa position, Il l’avait appelé par la justification (Croyez-vous cela ?), sa postérité par la justification, la sanctification par le Sang, pour la postérité, se remplir de Lui-même, Il s’est déversé en lui comme El-Shaddaï, le Saint-Esprit, Saint-Esprit... Maintenant, Il le place et lui donne une partie de Son Nom. Elohim, un petit Elohim, un homme né pour être un dieu.
Eh bien, vous direz que c’est faux. Jésus a dit : «N’est-il pas écrit dans votre propre loi : ‘J’ai dit : vous êtes des dieux’ ? Pourquoi Me condamnez-vous alors, si votre propre loi dit que vous êtes des dieux ?» Il lui a été donné un domaine ; et ce domaine était la terre. Toute la terre gémit, attendant donc la manifestation des fils de Dieu. Si je suis un Branham, je suis un Branham ; je fais partie de Branham. Et si un homme est un fils de Dieu, il est créé à l’image de Dieu et il lui a été donné un domaine ici sur la terre pour régner sur la terre comme Dieu régnait là-dessus. Et le second Adam a prouvé cela. Amen. Il arrêtait le cours de la nature : «Silence, tais-toi.» Amen. Il a maudit le figuier... Certainement, Il était un Homme ; cependant, Il était Dieu ; Il était le Fils de Dieu manifesté. C’est ce que nous devons devenir un de ces jours. Nous le deviendrons en passant par la justification, les postérités d’Abraham apparaissant.
76 Eh bien, observez ce qu’Il a fait pour Abraham : Il lui a donné ce nom-là. Eh bien, aussitôt après, environ trois ou quatre jours après qu’Abraham s’était séparé de Lot... Eh bien, écoutez très attentivement maintenant. Etes-vous prêts ? Dites : «Amen» [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E.] Maintenant, avez-vous suivi attentivement cela ? Dites : «Amen.» [«Amen.»] Avez-vous vu que tout ce qu’Il a fait pour Abraham, Il l’a fait pour sa postérité? Dites : «Amen.» [«Amen.»] Exact.
Maintenant, nous en arrivons maintenant à la chose suivante. Maintenant, observez nos trois catégories. Eh bien, il y avait... Que signifie le mot «église ?» «Les appelés hors, appelés hors de.»
Israël était le peuple de Dieu avant d’être appelé à sortir de l’Egypte, alors il a été appelé l’Eglise de Dieu. Voyez ? «Les appelés hors de.» Le mot même, prenez votre dictionnaire et voyez si ce n’est pas «appelé hors de.»
77 Eh bien, qu’était Abraham ? Il était appelé hors de et séparé. Il était l’Eglise élue. Lot représente l’église d’aujourd’hui. S’il vous plaît, ne ratez pas ceci, s’il vous plaît, au Nom de Christ, ne ratez pas ceci. Ecoutez attentivement. Qu’a-t-Il fait... Abraham était là sur une terre aride, pauvre, sans eau pour le bétail, mais qu’a fait Lot ? Il était aussi un chrétien ; il était un croyant. Il était donc descendu à Sodome et–et il est devenu le maire de la ville. Est-ce vrai ? C’est votre dénomination, votre membre tiède, le soi-disant chrétien. Là, les péchés le tourmentaient... Oh! voir des ivrognes, ça tourmentait son coeur. Assurément. Cela tourmentait son coeur.
Eh bien, il y avait les sodomites, les incroyants. Il y avait Lot là même avec les autres dans sa condition rétrograde, mais Abraham était ici. Oh! la la! Le temps touche donc à la fin là! Et suivez attentivement.
Un jour, pendant qu’Abraham était assis sous son chêne, il vit trois hommes s’approcher, les habits couverts de poussière. Et Abraham s’est avancé et a dit : «Mon Seigneur, voudriez-vous entrer ? C’est pour cela que vous êtes venus.» Quelque chose dans le coeur d’Abraham lui faisait croire qu’il y avait quelque chose chez cet Homme-là.
78 Eh bien, ils sont entrés... Eh bien, ce n’était pas «mes seigneurs», ils étaient trois, mais il a dit : «Mon Seigneur.» Lot, le pauvre rétrograde, a dit : «Mes seigneurs.» Mais Abraham les a vus tous les trois et il a dit : «Mon Seigneur», Elohim. Voyez si ce n’est pas ce que dit la Bible. Il savait où il était. Il était la véritable postérité d’Abraham : «Mon Seigneur, entrez. Asseyez-vous. J’apporterai un peu d’eau ; vous pourrez vous laver les pieds. Et je–je vous donnerai un morceau de pain et puis, vous pourrez poursuivre votre chemin.»
Il s’est assis, je pense qu’il avait un vieux chasse-mouche. Combien parmi vous savent ce qu’est un chasse-mouche ? Mon vieux, dites donc, que des fois j’ai utilisé cela! Ainsi donc, il a couru à son troupeau, a pris un petit veau gras, l’a tué, il est venu et a dit : «Sara», elle était là derrière dans une tente, «je veux que tu pétrisses du pain.» C’est le tamiser. Avez-vous déjà vu un tamis ? Autrefois, nous en utilisions un rond, maman avait fait un coin là où la farine de maïs se mouillait et collait. Elle frottait cela, parce que tout comptait, vous savez. Il a frotté cela et a dit : «Pétris une partie et mets ça au four.» Il n’avait pas de poêle à pain ; ils prenaient juste le four là, une grosse pierre déposée devant une cheminée et faisait très vite cuire du pain.
79 Il a dit : «J’ai un petit ressentiment qu’il y a Quelqu’Un d’étrange là.» Il a regardé là. C’étaient des Hommes ordinaires couverts de poussière, assis là à l’ombre d’un arbre, se reposant. Ils ont préparé et ont apprêté le veau. Ils ont apprêté les–les côtelettes de l’agneau, ils ont apprêté les gâteaux de maïs, ils ont pris du beurre, et–et puis, ils ont pris du lait de vache ; il est allé là et s’est assis, et Eux ont mangé. Et Abraham appela cet Homme Elohim : Dieu, mangeant de la viande de veau, buvant du lait de vache, mangeant du pain de maïs avec du beurre.
Eh bien, si vous voulez discuter là-dessus, vous n’avez qu’à... Abraham Lui a parlé. Il L’a appelé Elohim, le Seigneur Dieu Tout-Puissant. Qu’était-ce ? Il montrait ce que la postérité allait avoir. Suivez donc. Dieu...
Un prédicateur m’a dit une fois, alors que j’en parlais, quand j’étais ici il y a quelques jours, il a dit : «Frère Branham, vous êtes une personne trop intelligente pour dire que c’était Dieu.»
J’ai dit : «C’est qu’alors je ne suis pas assez intelligent pour savoir que la Bible dit que c’était ça.»
Il a dit : «Voulez-vous dire que Dieu était là revêtu–revêtu d’habits poussiéreux, Jéhovah Tout-Puissant ?»
J’ai dit : «Abraham L’appela Elohim.»
Il a demandé : «Qui, à votre avis, étaient les deux autres ?»
J’ai dit : «Deux anges.»
Il a dit : «Eh bien, comment est-ce que vous...»
J’ai dit : «Aussitôt après avoir mangé, Il a disparu.» J’ai dit : «Eh bien, vous ne savez pas qui est notre Dieu.»
80 C’est comme l’autre jour quand je me peignais les quelques trois ou quatre cheveux qui me restent, vous savez, ma femme m’a dit, elle a dit : «Billy, tu es pratiquement chauve.»
J’ai dit : «Je n’en ai perdu aucun.»
Elle a dit : «Je t’en prie, dis-moi où ils sont.»
J’ai dit : «D’accord, chérie, je vais te le dire. Dis-moi où ils étaient avant que je les aie ?»
C’était une matière. Là où ils étaient avant que je les aie, c’est là qu’ils m’attendent. Alléluia!
Ce corps peut être réduit en une cuillérée de poussière ; c’est ce qu’il était pour commencer, alors que le volcan entrait en éruption jadis, alors que mon corps gisait là. Le même Dieu qui m’a fait venir ici, qui m’a nourri, peut me relever de quelque part. C’est exact. J’ai dit : «Nous sommes constitué de seize éléments de la terre : le pétrole, la lumière cosmique, le calcium, de la potasse...»
Dieu a simplement dit : «J’ai entendu parler des péchés de Sodome. Je descends, Je dois me promener pour voir le...» Pffff [Frère Branham produit un bruit du souffle.–N.D.E.]» Il est entré dedans, il a dit... Il a pris une autre poignée de calcium, Il a dit : «Pffff. Viens ici, Gabriel. Pffff. Viens ici, Micaël. Descendons.» Ils sont descendus là, ils ont marché : Je vais leur montrer, à la postérité d’Abraham, ce qui arrivera dans les derniers jours.» Ecoutez donc, ne manquez pas ceci.
81 Il s’est donc approché, Il s’est assis, ils se sont mis à parler, après avoir mangé... Vous savez, deux d’entre eux partirent à Sodome prêcher à l’église tiède. Le saviez-vous ? Ils ont tenu un réveil là-bas. N’est-ce pas étrange que dans ce dernier jour... Eh bien, l’Un d’eux était resté en arrière et Il a parlé à l’Eglise élue, Abraham et son groupe élu. Combien comprennent donc cela, qu’ils disent : «Amen.» [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E.] Et les autres étaient descendus, ils ont dit à Lot de sortir de Sodome, car il était un homme juste. Que tous ceux qui comprennent cela disent : «Amen.» [«Amen.»] La Bible nous enseigne qu’Abraham représentait l’Eglise élue comme la postérité d’Abraham (Voyez ?), il a cru en Abraham, il s’est séparé... il a cru en Dieu, il s’est séparé du monde, il était passé par la justification, la sanctification, le baptême du Saint-Esprit, enfin le placement des dons, les fils dans le corps. Eh bien, Il attend. Voyez-vous jusqu’où nous sommes allés ?
82 Eh bien, l’Ange est venu dans la chair humaine : Dieu, Elohim. Est-ce d’Elohim qu’il s’agit, S-E-I-G-N-E-U-R là, en majuscule ? Lisez Genèse 18 et voyez si c’est cela. Elohim était descendu dans la chair humaine, Il a mangé comme un homme, Il a bu du lait comme un homme, Il a mangé la chair de veau comme un homme, Il a mangé du beurre et le pain de maïs comme un homme. Eh bien, si vous voulez discuter, discutez-en avec Lui.
Remarquez ce qui est arrivé. Il y en eut Un qui était resté à l’écart auprès d’Abraham, tandis que les autres étaient allés prêcher à l’église tiède, un Billy Graham moderne. Avez-vous vu combien c’est étrange dans ces derniers jours, comment A-b-r-a-h-a-m, celui à qui l’alliance avait été faite, un homme suivant son alliance, prêchant à l’église tiède : G-r-a-h-a-m ? Avez-vous déjà pensé combien c’était étrange ? Pas Billy Sunday, mais (voyez ?) G-r-a-h-a-m, le messager à l’église tiède pour les faire sortir de Sodome... Et il y en eut Un qui était resté derrière avec Abraham.
83 Observez ce que le... celui qui était descendu prêcher. Qu’avait-il fait ? Il a crié : «Sortez.» Qu’avait-il fait ? Pas beaucoup de miracles, il n’y en avait pas tellement d’accomplis. Il avait seulement aveuglé leurs yeux. La prédication de l’Evangile aveugle les yeux des incroyants. Qu’était-ce ? Il avait aveuglé leurs yeux de sorte qu’ils ne voient pas la porte. C’est ça le problème aujourd’hui. Ils ne connaissent pas la Porte, la Gloire de Jésus, le Saint-Esprit vivant pour l’Eglise. Amen. Il avait très bien prêché, mais il les a aveuglés, les empêchant de voir la porte.
«Les jours des miracles sont passés, mais Il est toujours Dieu et ainsi de suite.»
«Sortez d’ici, car je vais consumer cela. C’est vrai.» Observez Celui qui était resté derrière avec Abraham, Il a donné–Il a aussi donné un signe là derrière. Ô Dieu...
84 Les femmes de l’époque n’étaient pas comme celles d’aujourd’hui (chaque fois que quelqu’un arrive, un homme, elles doivent passer en shorts et couper de l’herbe, et vous savez, s’ingérer dans les affaires de leurs maris et tout). Elles restaient à l’écart dans la tente, à leur place. Si on retirait toutes les femmes des bureaux ici pour qu’elles restent auprès de leurs maris et tout...?... travail, et qu’on les remettait à leur place, qu’on retirait les femmes policières de la rue, (C’est une disgrâce pour cette... c’est une tache sur le drapeau), qu’on les renvoyait, les hommes auraient du travail.
L’Ange qui était resté assis s’est mis à parler à Abraham, disant : «Je pense que tu sais pourquoi Je suis venu.» Eh bien, suivez. Il n’a pas dit : «Abram...» Il a dit : «Abraham...» Eh bien, juste quelques jours auparavant, il était Abram. «Abraham, où est ta femme Sara (S-a-r-a) ?» Voyez si c’est exact. Juste quelques deux jours auparavant, il lui avait été donné ce nom-là. Comment avait-Il su que son nom était devenu Abraham ? Et comment avait-Il su que celui de sa femme était devenu Sara ? Voyez. Elle n’était pas sortie en courant pour s’ingérer dans les affaires de son mari. Alors... voyez ? Abraham... Ecoutez donc. La Bible (Je cite la Bible) dit : «Elle est dans la tente derrière Toi.» Est-ce vrai ? Suivez donc.
85 «Abraham, Je te visiterai selon Ma promesse.» Qui était-ce ? Qui était-ce ? Il n’est pas étonnant qu’Abraham L’ait appelé Elohim. «J’accomplirai Ma promesse et Sara deviendra une jeune dame.»
Sara, là derrière dans la tente, une jolie femme, mais elle a dit : «Moi, une vieille femme de pratiquement cent ans, et mon seigneur (son mari) a aussi cent ans, avoir encore des désirs avec lui ?» Vous comprenez ce que je veux dire, n’est-ce pas ? Comme mari et femme, ils en avaient fini. Voyez ? Elle a dit : «Avoir encore des désirs comme une jeune femme avec mon–mon mari là ?» Alors que ça faisait vingt ans depuis qu’ils avaient mis fin aux relations intimes. Voyez ? «Moi, une vieille femme avoir le désir avec mon mari, et lui est aussi un vieil homme ?» Elle a dit... [Frère Branham illustre.–N.D.E.]
86 Alors, cet Ange, Elohim dans la chair, a regardé Abraham et a demandé : «Pourquoi Sara a-t-elle ri, disant en elle-même que ces choses étaient impossibles ?» Voyez-vous quel genre de signe l’Eglise élue avait reçu ? Voyez-vous quel genre de signe Billy Graham est en train de donner ? Voyez-vous ce qui se passe ici chez l’Eglise élue ? C’est Dieu se manifestant dans votre chair. Et Jésus n’a-t-Il pas dit : «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’Homme» ? Voyez-vous cela maintenant ? Maintenant, nous avons dépassé la justification, la sanctification, le baptême du Saint-Esprit, le placement des dons du fils dans l’Eglise. Maintenant, c’est Dieu se manifestant pour ce signe-là. Et je demande à tout lecteur de la Bible de me montrer un autre signe qu’Il aurait accompli avant... après cela. Bon. Eh bien, allons–allons un peu plus loin. Il a dit : «Elle est dans la tente derrière Toi.»
Regardez donc, Dieu aurait condamné cette femme là même pour avoir douté de cet Ange. Croyez-vous cela ? Mais Il ne le pouvait pas. Et à voir comment certains parmi vous les pentecôtistes, nous les pentecôtistes, nous agissons, nous aurions été boutés dehors depuis longtemps, mais Dieu ne peut pas le faire. Pourquoi ? Il avait bouté Abraham dehors... S’Il avait bouté Sara dehors (elle était une partie d’Abraham, et aussi héritière avec lui), Il aurait donc bouté également Abraham dehors. Il ne pouvait donc pas faire cela à cause de sa femme, à cause du mari.
C’est ça donc. C’est à cause de Christ qu’Il ne peut pas nous bouter dehors. Nous sommes Ses fils et Ses filles. Notre incrédulité ne représente rien. La véritable et authentique postérité d’Abraham brillera malgré tout. La chose était là!
Ecoutez donc attentivement. Et l’Ange a dit : «Je vais te visiter au temps de la vie, eh bien, ces choses s’accompliront.» Et Abraham L’a accompagné, Il a disparu et s’en est allé quelque part dans les ténèbres, Il était redevenu Dieu.
87 Avons-nous vu la justification ? Avons-nous vu la sanctification, le baptême du Saint-Esprit, l’entrée dans le Corps de Dieu ? Avons-nous vu le placement des dons dans l’Eglise ? Maintenant, n’avons-nous pas vu la manifestation de Dieu, le dernier signe ?
Suivez donc. Aussitôt que Dieu avait fait quelque chose pour Sara et Abraham... Eh bien, vous n’allez pas croire ceci, mais c’est comme ça, après tout. Vous voyez, quand... voulez lire la Bible, vous ne La lisez pas juste comme on lit un journal : «Et l’autre jour, il y a eu une explosion, eh bien, je ne sais pas si c’est vrai ou pas.» On nous raconte beaucoup de mensonges, vous ne pouvez simplement pas y prêter attention, mais lorsque vous lisez la Bible, C’est une lettre d’amour adressée à l’Eglise. La Bible dit que Jésus a loué Dieu de ce qu’Il a caché cela aux yeux des sages et des intelligents, et qu’Il l’a révélé aux enfants qui veulent apprendre.
88 Lorsque je vais outre-mer, ma douce petite femme m’écrit une lettre : «Cher Billy, je suis assise ici ce soir avec les enfants. Nous venons de les mettre au lit. Le petit t’a réclamé un peu ce soir, avant d’aller au lit.» Je sais ce qu’elle–ce qu’elle écrit. Mais je l’aime tellement que je peux lire entre les lignes ; je sais de quoi elle parle. C’est ainsi que vous devez lire la Parole de Dieu : entre les lignes. Si vous L’aimez, Il vous révélera simplement Cela. Vous–vous commencerez là, vous direz tout simplement : «Eh bien, ça se trouve juste ici.» Eh bien, vous direz : «Ça y est.» Oui, assurément.
89 Regardez donc, savez-vous ce qu’Il a fait à Sara et à Abraham ? Ecoutez donc très attentivement maintenant. Il les a changés en un jeune homme et en une jeune femme. J’aimerais vous le prouver. Maintenant, écoutez attentivement. Pour commencer, vous savez, aussitôt après, Abraham et Sara ont quitté ce pays-là, sont allés à Guérar. (Est-ce vrai ?) Mesurez la distance sur la carte, c’est une longue distance pour un vieil homme, pour une petite grand-mère avec un petit bonnet sur la tête, vous savez.
Eh bien, vous direz : «Oh! Eh bien, ils vivaient plus longtemps à l’époque.»
La Bible dit : «Ils étaient fort avancés en âge. Ils avaient dépassé le temps de la vie suivant la vie humaine.» Une petite grand-mère, la voici passer.
Ils descendent là, et lorsqu’ils sont arrivés là, il y avait un–un jeune roi là-bas, du nom d’Abimélec, qui cherchait une chérie. Et malgré toutes ces jeunes belles filles de Philistins qui étaient là, dès qu’il a vu la grand-mère apparaître, il a dit : «C’est celle-là qui me convient.» Il est tombé amoureux d’elle et a dit : «Tu es belle à voir.» Honte à lui, une petite grand-mère qui ne pouvait même pas vivre avec son propre mari, qui ne l’avait pas fait depuis des années, qui s’était moquée de l’Ange, disant même qu’elle ferait... Il l’a changée en une jeune femme. Elle était devenue belle et jolie.
90 Ecoutez donc, permettez-moi de vous dire quelque chose. Il devrait... Il a fait quelque chose pour elle. Eh bien, et s’Il l’avait simplement rendue féconde ? Et s’Il avait simplement... S’Il avait fait cela... Les femmes ne fumaient pas à l’époque, pour avoir à nourrir leurs enfants aux biberons. Voyez ? Elles ne le faisaient pas. Elles devaient les allaiter. Les veines lactogènes avaient séché. Une femme de cent ans se mettre à accoucher, elle mourrait en une minute, certainement. Il a dû lui donner un coeur nouveau ; Il a dû lui donner des veines lactogènes ; Il a dû rendre son sein fécond ; Il a dû...
Regardez ce qu’Il a dû faire à Abraham, son corps était pratiquement mort. Il a dû le transformer. En effet, Il lui montrait ce qu’Il allait faire avec la postérité d’Abraham. Voyez ?
91 Remarquez. Il est allé là, et alors, Abimélec est tombé amoureux de Sara (Combien savent que c’est vrai ?), Il l’a prise pour femme. Il allait l’épouser parce qu’elle était une jeune belle fille. Et cette nuit-là, ce très bon frère légaliste était couché là, vous savez. Il avait offert ses prières, il avait pris bain, il a levé les orteils. Le lendemain, il allait épouser cette belle jeune fille juive ; mon vieux, elle avait juste cent ans. Voyez ? Eh, oh! Comment... elle, tout aussi jolie qu’elle était, et son jeune mari était là...
Et cette nuit-là, le Seigneur lui est apparu en songe et a dit : «Tu es pratiquement un homme mort.» C’est exact. J’aimerais vous poser une question, que vous–vous soyez en ordre pour votre guérison ce soir ou pas.
92 Eh bien, il a dit : «Seigneur, Tu connais l’intégrité de mon coeur.» Il a dit : «Cette femme m’a dit que c’était son frère.» Il a dit : «C’est la femme de cet homme-là.» Ecoutez. Voici cette partie. Il a dit : «Son mari est Mon prophète. Et peu M’importe combien tu pries, Je ne t’exaucerai jamais. Va qu’il prie pour toi et Je te guérirai.» Un homme qui était là à mentir, qui dirait pareille chose contre sa femme pour se sauver la peau... En êtes-vous digne ? Voyez ? Qu’est-ce que je cherche à faire ? Vous montrer que c’est la grâce de Dieu qui vous a rendu digne. Vous n’êtes pas bon, moi non plus, mais c’est Lui qui est bon. Regardez à Lui. C’est Lui qui a fait cela. C’est différent, la grâce de Dieu. Abraham était là, mentant... mentait-il ? L’avait-il fait ? Il a dit : «C’est ma soeur.» Un petit mensonge en blanc : «Ce sont de gros noirs.»
Et elle a dit : «C’est mon frère.» Et c’était faux. Mais il le disait pour se sauver la peau.
93 Et puis, Dieu a dit : «Va là prier pour... Qu’il prie pour toi.» Abraham a prié pour lui, la vie de cet homme a été restaurée. Et quoi ? Après, ils ont eu l’enfant. J’aimerais faire remarquer, pour terminer, je dois dire ceci. Je ne peux pas aborder le reste de cela ; il se fait trop tard et puis, avoir une ligne de prière. Voici ce que j’aimerais dire : «Qu’a-t-Il fait à Abraham ? La justification, quand il a cru. Est-ce vrai ? Dites : «Amen.» [L’assemblée dit : «Amen.»–N.D.E.] La sanctification quand il... Qu’était-ce ? Est-ce vrai ? Abraham et sa postérité... Il lui a donné la force provenant de Son corps, la même chose quand Il lui a donné le Saint-Esprit, la force provenant de Son propre Etre. Est-ce vrai ? Il a placé les fils dans le corps–dans le corps avec des dons. Est-ce vrai ? Et maintenant, Il s’est manifesté comme Jéhovah, manifesté par Jésus-Christ, connaître les secrets des coeurs juste comme Jésus avait dit.
94 Rappelez-vous, quand Jésus était ici sur terre, Il a prouvé par ce signe-là aux Juifs, qu’Il était le Messie. Est-ce vrai ? Il l’a manifesté aux Samaritains ; ils attendaient le Messie. Est-ce vrai ? Mais nulle part aux–aux Gentils, ils n’attendaient pas le Messie. Nous attendons le Messie, n’est-ce pas ? Ainsi donc, Il nous le manifeste aujourd’hui.
Et écoutez, qu’a-t-Il fait ? Il a dû changer le corps d’Abraham et celui de Sara. N’est-ce pas que la chose suivante, après que le signe avait été manifesté, celui de la connaissance des secrets de leurs coeurs, Il a changé... La chose suivante, c’était le changement du corps en vue de recevoir le fils promis. Et c’est ça la chose suivante en ligne maintenant, c’est l’Enlèvement de l’Eglise, le changement. «Nous les vivants qui seront restés, nous ne devancerons pas ceux qui dorment, car la trompette du Seigneur sonnera, les morts en Christ ressusciteront premièrement, et nous qui serons restés vivants, nous serons changés en un clin d’oeil.»
95 Ecoutez, et s’Il les avait tout simplement changés en un jeune homme et une jeune fille tels qu’ils étaient autrefois au départ ? Ils n’auraient pas eu l’enfant malgré tout. En effet, ils avaient vécu ensemble jadis, ils étaient un jeune homme et une jeune fille. Il a dû changer leurs corps d’une autre façon pour recevoir–pour recevoir le fils. Est-ce vrai ? Leur corps a dû changer d’une autre façon pour recevoir le fils. Et nous ne pouvons pas... Si nous redevenons des jeunes hommes et des jeunes filles, nous ne pourrons toujours pas rencontrer le Fils, car nous allons Le rencontrer dans les airs. Il nous faut avoir un corps changé pour la rencontre dans les airs, l’Enlèvement.
C’est là la chose suivante pour les enfants d’Abraham. La trompette sonnera, c’est la chose suivante. De véritables enfants d’Abraham seront changés, ce corps deviendra léger et nous monterons du coup. Si nous redevenons des jeunes hommes et des jeunes femmes, nous serons toujours rattachés à la terre. Si Abraham et Sara étaient redevenus un jeune homme et une jeune femme, ils ne pouvaient pas avoir l’enfant, parce qu’ils restaient toujours stériles. Mais Il les a changés pour recevoir le fils promis. Et ce qu’Il a fait pour Abraham... Observez comment Il a tout accompli en Abraham, tout accompli dans la postérité d’Abraham, et nous sommes ici même aujourd’hui attendant l’Enlèvement...?... Aussitôt après cela, viennent le changement et le Fils.
96 Attendons-nous le Fils ? Quel genre de Fils attendons-nous ? Le Fils de Dieu se lèvera avec la guérison sous Ses ailes. Alléluia! Abraham et sa postérité après lui... Eh bien, comprenez-vous ? Voyez-vous pourquoi je suis si enthousiasmé ?
J’ai environ dix ou douze autres passages des Ecritures ici que je devrais aborder, mais nous n’avons pas le temps. J’aimerais que vous soyez dans votre église ce soir. Je devrais être en route vers chez moi il y a vingt ou trente minutes.
Mais voyez-vous ce que je veux dire ? Ce qu’Il a fait pour Abraham, Il l’a fait pour sa postérité. Est-ce vrai ? Quelles étaient les postérités ? La nation, alors qu’ils ne formaient qu’un peuple. Dieu traite avec Israël en tant que...
Il y a un homme assis ici même, qui est venu me voir l’autre jour, il a dit : «Je voudrais devenir un missionnaire chez les Juifs.»
97 J’ai dit : «Oubliez ça. Ce peu de Juifs disséminés ne sont pas les Juifs dont Dieu parle. Dieu traite avec les Juifs, pas comme des individus, mais comme une nation.» Israël est prêt à recevoir l’Esprit quand Elie et Moïse leur apparaîtront après l’enlèvement de l’Eglise. La chose suivante, c’est le figuier qui bourgeonne. C’est vrai. Alors, ils retournent à leur patrie, mais Israël sera reçu en tant qu’une nation. Nous sommes comme des individus, la postérité d’Abraham. Ainsi donc, nous... C’était le Saint-Esprit. Et notez bien cela, vous les jeunes gens, dans votre bloc-notes et voyez comment–comment... si c’est vrai ou pas. Voyez ?
Mais maintenant, pour l’Eglise des Gentils, c’en est fini. Il y a Billy G-r-a-h-a-m à Sodome, faisant sortir ces Sodomites de toutes ses forces. L’Ange du Seigneur ici parmi l’Eglise élue, qui est appelée à l’écart, taxée de saint exalté comme Abraham : «Fou, pourquoi ne viens-tu pas t’associer et te réjouir avec nous autres ? Nous vivons ici dans le luxe», et les choses semblables. Mais il y a une véritable postérité d’Abraham qui ne touche pas au monde, ou plutôt aux choses du monde. Qu’est-ce ? Quel est le Message qui est proclamé ?
98 L’autre soir, un homme m’a rencontré et a dit : «Frère Branham, si seulement vous faites des compromis...» Un grand homme de l’Eglise du Plein Evangile a dit : «Nous allons affréter un avion, si vous adhérez à notre organisation, alors, nous vous amènerons avec ce don à chaque métropole du monde, et vous martèlerez cette chose, si seulement vous faites un peu de compromis sur votre enseignement.»
J’ai dit : «Vous, malgré votre doctorat, vous demandez à un serviteur de Dieu de faire des compromis sur la Parole de Dieu.» Une telle chose ne peut même pas me venir à l’esprit, de la part d’un tel homme. J’ai dit : «Absolument pas, il n’y a pas du tout de compromis en moi.» J’ai dit : «Je crois que la Parole de Dieu enseigne la Venue du Fils de Dieu. Je crois dans le baptême du Saint-Esprit. Je crois dans les signes et les prodiges qui accompagnent les croyants. C’était exactement ce que Dieu a dit. C’est ce que je soutiens. C’est ce que je crois.» Et je sais que c’est vrai.
Nous sommes passés par la justification de Martin Luther comme Abraham ; nous sommes passés par la sanctification de Wesley ; nous sommes passés par l’âge de la Pentecôte ; et maintenant, nous avons vu le placement des dons dans l’Eglise. Et maintenant, que disons-nous suivre ? Dieu se manifestant dans la chair, discernant les pensées même des coeurs, exactement ce que Jésus a dit qui se passerait. La chose suivante, c’est le changement du corps pour recevoir le Fils promis.
99 Inclinons la tête. Père céleste, je ne sais rien dire d’autre en cette heure-ci. Assurément, les gens peuvent comprendre, Seigneur. Nous sommes au temps de la fin. La science dit que nous (il y a de cela trois ou quatre ans)–que nous sommes à minuit moins deux, ou plutôt moins trois. Je pense que la main puissante de Dieu a été tendue pour arrêter le temps. La Pierre de faîte de la pyramide est sur le point d’être posée. L’Eglise a été affûtée et on voit son dernier signe. Seigneur, accorde que ces gens se réveillent et qu’ils se rendent compte qu’ils attendent quelque chose pour là loin dans le futur alors que cela est en train de s’accomplir sous leur nez, et ils ne s’en rendent pas compte. Si le diable peut les amener à croire cela, Seigneur, il les a floués. Qu’ils se rendent compte, Seigneur, que ce–ce Saint-Esprit dont nous nous réjouissons, depuis toutes ces années, c’est Toi. C’est Christ, l’Alliance que Dieu a conclue avec la race humaine, afin que nous puissions devenir des fils et des filles si Son Esprit habite en nous. Et nous ferons la même chose.
Qui était cet Elohim là-bas ? Eh bien, c’était Toi, Jésus, l’Oint, qui avait oint le corps de chair pour montrer que dans le dernier jour, Tu te manifesterais dans la chair humaine. Et nous Te voyons faire cela chaque jour et chaque soir. Et ceci se passe aujourd’hui pour la première fois depuis deux mille ans. Et nous voici. Nous sommes passés par l’âge de Luther, comme Tu avais fait passer Abraham par là ; par l’âge de Wesley, comme Tu avais fait passer Abraham par là ; par l’âge de la Pentecôte. Cela s’est organisé, c’est devenu une dénomination, et il a été renvoyé au rancard. L’Eglise va carrément de l’avant, sans cesse, de petits ismes cherchant à apparaître, mais chaque plante que Mon Père n’a pas plantée sera déracinée et séchera carrément.
100 Mais nous voici maintenant, voyant Dieu demeurant parmi nous, Se manifestant. Nous attendrons l’Enlèvement, le changement afin de voir le Fils de Dieu venir dans la gloire un de ces jours. Il ne touchera point la terre de Ses pieds, mais nous, nous serons changés, nous serons enlevés pour aller à Sa rencontre dans les airs. De même que Tu avais changé Sara et Abraham, Tu leur as accordé une condition telle qu’ils ont vu et reçu le fils promis qu’ils attendaient, ô Dieu, je Te prie de changer nos corps mortels un de ces jours. Comme la vision, ou une translation, ou je ne sais quoi c’était l’autre nuit... Nous serons enlevés un de ces jours, changés, juste... Seigneur, je le crois avec tout ce qui est dans mon coeur. Le vieux deviendra jeune, la puissance de Dieu va...
L’un de ces jours, nous serons assis dans une réunion, certains dans un champ, d’autres moulant au moulin et, tout d’un coup, un cri retentira du Ciel : «Voici, l’Epoux vient.» Alors, nous nous tiendrons là avec nos mains en l’air, sachant que nous sommes des fils de Dieu, cohéritiers d’Abraham par Jésus-Christ, la Postérité royale, sachant que les mêmes signes qui avaient été accomplis là pour Abraham, nous les voyons être accomplis aujourd’hui, et il a été promis par Jésus-Christ : «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même.»
Avant que Sodome fût brûlée... Le monde sera encore brûlé. Et avant qu’il soit brûlé pour la deuxième fois, la même chose arrivera de nouveau.
101 Et nous voyons un Billy Graham là à Sodome, prêchant l’Evangile à ce groupe intellectuel, cherchant à le faire sortir. Madame Lot avec toutes ses fêtes et tous ses bien-aimés, elle ne voulait pas quitter... Et nous voyons les femmes modernes en shorts, avec les maquillages, les cheveux coupés comme les Sodomites, s’habillant comme des prostituées, de façon sexy, afin que les hommes puissent les regarder et être ensuite coupables d’avoir commis adultère avec cet homme-là, même si elles sont pures dans leurs corps. Mais «quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis adultère avec elle.» Il a commis adultère avec elle, et elle aura à répondre pour cela. Nous voyons madame Lot faire la même chose. Ô Dieu, comme nous pouvons nous attarder là-dessus jusqu’au matin, jusque demain soir et le lendemain matin, et ainsi de suite : Comment ce fils est venu et Il a été offert en sacrifice ; comment ce bélier qui était au sommet de la montagne... Ce n’était pas une vision, mais un bélier que Dieu a fait immoler par Abraham à la place de son propre fils, et le sang en avait jailli. Et dans une vision, il n’y a pas de sang qui jaillit, c’était un bélier ; Jéhovah-Jiré...
102 Ô Dieu, cet après-midi, Tu es capable de Te pourvoir d’un sacrifice. Tu es capable de Te pourvoir d’une Eglise. Tu es capable de Te pourvoir des ministres qui se lèveront pour prêcher la Vérité, sans tenir compte de ce que les organisations, les dénominations, les évêques, les papes et les autres disent. Tu es Jéhovah-Jiré. Je T’aime, Seigneur. Je T’aime.
Et je Te confie cette assistance. Je Te confie mes précieux frères ici présent, qui croient ce même Evangile. Ô Dieu, je Te prie de faire d’eux des puissants hommes de Dieu, ô Dieu, qui placeront Cela à la ligne de démarcation, l’Evangile, sans faire des compromis avec quoi que ce soit, quel qu’en soit le prix pour eux. Je Te prie de faire la même chose pour ce peuple merveilleux qui est ici cet après-midi.
103 Maintenant, Seigneur, j’ai prêché la Parole aussi clairement que je sais le faire. Je leur ai montré par des types, à la manière des enfants, afin que tout le monde puisse comprendre. Maintenant, Seigneur Dieu, Créateur des cieux et de la terre, Elohim, Tu es toujours Elohim. Je Te prie de faire venir Ton Esprit et de nous oindre cet après-midi, que Ta grande puissance vienne et nous montre le signe même visible que Tu avais montré à Abraham et à Sara avant que cette heure-là arrivât. Accorde-le, Seigneur. Cette église, après mon départ cet après-midi, ô Eternel et Adorable, afin qu’ils sachent que Tu es Jéhovah. Accorde-le, Seigneur, accorde-le, je prie au Nom de Jésus. [Quelqu’un parle en langues et un autre interprète.–N.D.E.] Amen. Le Saint-Esprit donnant le message qu’Il est ici comme Il était là avec Abraham et sa postérité, la postérité d’Abraham aujourd’hui. Soyez respectueux devant le Dieu Tout-Puissant. Je vous demanderais de pouvoir redresser la tête. Je vous demanderais d’être respectueux.
104 Aujourd’hui, j’ai promis que nous allions prier pour les malades, faire monter les malades ici. Je ne voudrais pas vous laisser, laisser l’impression aux gens que parce que je suis ici, c’est moi seul qui dois prier pour les malades.
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... cette femme de couleur. Elle prie pour une hypertension. Elle...
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... d’ici, elle vient de Chicago.
[Espace vide sur la bande–N.D.E]... là, madame Jones...
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Madame Nola Jones, Voulez-vous vous lever ? Est-elle debout ?
[Espace vide sur la Bande–N.D.E.]... l’un, l’autre, imposez-vous... faites signe de la main comme ceci, afin que les gens sachent que vous et moi, nous sommes inconnus l’un à l’autre. Rentrez chez vous. Jésus-Christ vous a guérie.
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... une autre femme derrière vous
[Espace vide sur la bande–N.D.E]... et la force, l’attraction vient de cette direction-ci...
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... avec un mal de gorge...
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... a une affection de colon...
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Levez-vous et croyez au Seigneur Jésus-Christ.
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... La dame assise au bout de cette rangée-là...
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... maladie... croyez-vous que Dieu vous rétablira, madame ?
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... rentrez directement chez vous, Jésus-Christ vous a guérie.
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... la foi en Dieu...
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... la petite dame assise là même... en une espèce de... long rose
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... avec ses yeux. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir ?
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... rhumatisme, c’est ce qui la dérange, croyez-vous de tout votre coeur ? Vous pouvez aussi avoir cela. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... L’homme assis de l’autre côté à me regarder souffre de sinusite. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir, monsieur ? De sinusite ? Très bien, monsieur. Le suivant souffre de la gastrite. Croyez-vous de tout votre coeur que Dieu vous rétablira ? La suivante souffre du coeur. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir, madame ? Croyez-vous ? Le suivant...?... l’arthrite. Croyez-vous que Dieu va vous rétablir ? Ça va, monsieur, vous pouvez recevoir cela. Rentrez chez vous, rétabli.
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... Dieu va vous rétablir ? Là dans la dernière rangée ? Très bien, monsieur, vous pouvez recevoir cela. Celui à côté de vous a des troubles intestinaux. Pensez-vous que Dieu va vous rétablir ? Allez recevoir cela.
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... de tout votre coeur ? Ayez foi en Dieu
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... une grosseur au sein, madame Cramer, levez-vous et soyez rétablie.
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... la postérité après lui. Dieu a promis qu’il en sera ainsi dans les derniers jours, croyez-vous cela ? Maintenant, AINSI DIT LE SEIGNEUR...
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... La Parole de Dieu a prouvé que c’est vrai. Vous devenez tous laiteux et partout maintenant tout arrive.
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... ici de Louisville
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... les yeux.
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]...?... ici souffre de l’asthme, si vous croyez vous pouvez rentrer, rétablie.
[Espace vide sur la bande–N.D.E.]... La Parole le dit. La Bible le déclare de la Genèse à l’Apocalypse. Le Saint-Esprit est descendu, Il a placé Son Eglise, Il l’a sauvée, Il l’a justifiée, Il l’a sanctifiée, Il l’a remplie de Sa Présence et maintenant Tu es ici dans Ton Eglise Te manifestant vivant parmi Ton peuple juste avant l’Enlèvement, le changement du corps.