C’est Moi

Date: 61-0517 | La durée est de: 1 heure et 52 minutes | La traduction: Shp
doc pdf
Voir le textes français et anglais simultanement Voir le texte anglais seulement

1          Crois seulement. [Un frère introduit frère Branham.–N.D.E.]

            Merci, monsieur. Bonsoir, mes amis. Vous pouvez vous asseoir.

            Nous estimons bien certainement ceci comme un grand privilège, être ici ce soir au service de Christ. Nous aimerions vous remercier vous tous, braves gens ici à Grande Prairie, pour ce bon moment de communion. Nous n’oublierons jamais cela. J’espère, si c’est la volonté de Dieu, pouvoir revenir à un moment donné pour rester avec vous, peut-être pour un séjour plus long. Ça a été un peu au hasard que notre frère a eu l’information et ils se sont très vite préparés pour notre arrivée. Il n’a pas eu le temps d’annoncer cela. Et j’ai été pratiquement discourtois en vous gardant, vous les fermiers, jusque si tard le soir, sachant que votre saison de labour et autres est maintenant proche. Je suis vraiment désolé de vous avoir gardés jusque tard, mais j’espère que quelque chose a été dit ou fait qui vous restera éternellement.

            J’aimerais certainement remercier les pasteurs, tous ces bons pasteurs ici qui collaborent et qui sont venus. Je suis très content de ce que vous avez de tels pasteurs, des bergers établis sur le troupeau de Christ. Eh bien, j’espère que ces réunions, leurs effets dureront longtemps avec vous, que vous n’oublierez jamais la visitation de notre Seigneur... J’étais désolé d’être venu auprès de vous dans un état de grande fatigue et d’épuisement, mais, comme vous le savez, j’étais en route pour un–un petit moment de pêche et de chasse avec des amis là à Dawson Creek. Ça fait pratiquement six mois que je suis sur le terrain de travail sans arrêt; je suis donc vraiment épuisé. Les réunions n’ont pas été telles qu’elles devraient être, parce qu’après la première vision ou la deuxième, ça en est donc fait de moi. Et tout le monde sait que dans des réunions ordinaires, il y parfois a trente ou quarante visions par soirée. Ainsi donc, c’est–c’est à cause la grande fatigue que j’éprouve, et non à cause de votre foi.

2          Autre chose, je pense que nous avions un service d’instructions pour renseigner les gens. Pour beaucoup parmi eux, c’est du nouveau. Lorsque le Saint-Esprit... Lorsque vous priez, vous êtes en prière et vous vous rappelez que Dieu est sur le point d’exaucer la prière en ce moment-là. Et aussitôt que Cela parle, levez-vous. C’est... Vite. C’est... Dieu veut que vous réagissiez très vite. (Voyez?) et que vous vous leviez à cela. Et vous remarquerez souvent que j’ai une vision sur quelqu’un, et ensuite je parle, et–et si cette personne ne réagit pas à cela, cela se déplace vers quelqu’un d’autre (Voyez-vous?), et alors... Il est très timide, le Saint-Esprit. Et Il partira... Peut-être que la personne assise là a une bonne foi, et elle croit que cela l’aidera un peu. Cela ne la guérira pas. Cela ne guérit pas les gens, mais cela–cela lui donne une confiance de savoir que leur prière a touché le Souverain Sacrificateur. Et parfois, ils ratent cela, ne sachant pas bien comment s’en emparer. C’est du nouveau. Ce n’est pas plus que si votre pasteur ou quelqu’un d’autre prie pour vous. En effet, après tout, il s’agit juste de la prière de la foi qui sauve les malades. Le pasteur a le même droit de prier pour vous que n’importe qui. Et si votre pasteur n’est pas là, un bon saint dans les parages, quelqu’un... En effet, confessez vos péchés les uns aux autres, et priez les uns pour les autres, c’est ce que les Ecrit... Je pense que c’est dans Saint Jacques, chapitre 5.

            Et ça a été merveilleux. Souvent, je me demande parfois comment tant de choses se produisent. Mais c’est juste par une simple prière. Je viens, je prie pour quelqu’un qui est peut-être à l’article de la mort, tout rongé par le cancer sarcome ou quelque chose comme cela. Peu après, le long de la route, quelque... «Vous souvenez-vous de moi, Frère Branham? C’était moi qui étais comme ça, comme ceci.» Des dizaines de milliers à travers le monde... Vous voyez donc, c’est juste par la simple foi; il n’y a rien, alors rien, que nous fabriquons par nous-mêmes; c’est juste quelque chose que nous croyons, à la manière des enfants, juste comme si vous promettiez une nouvelle robe à votre fillette pour le samedi, un complet au petit garçon. Voyez? Ils attendent ça. Juste une simple foi d’enfant. C’est tout ce que Dieu veut que nous soyons. En effet, nous sommes bien des enfants, après tout.

3          Ainsi donc, nous–nous sommes heureux de passer ce moment de communion avec vous. Que Dieu vous bénisse.

            Je suis très reconnaissant de voir cette jolie petite nouvelle église. Cela montre qu’il y a une assemblée prospère qui a entrepris de construire cette église comme ceci dans ces... cette petite ville ici et pour sa population en pleine extension. J’espère que Dieu sera... qu’Il l’élargira au point qu’on aura à acheter des terrains voisins pour construire un–un bâtiment plus grand et que plusieurs centaines de gens seront sauvées.

            Que Dieu bénisse le pasteur, les diacres, les administrateurs et tous les autres collaborateurs qui se sont rassemblés avec nous ici. Nous ne sommes pas divisés, nous formons un seul Corps. Nous croyons qu’il y a un seul Christ qui nous a sauvés nous tous. Ainsi donc, c’est ça notre position.

            Et maintenant, peut-être que j’irai bientôt une fois de plus à l’étranger. Et alors, ici en Amérique, on peut bien aller prêcher, et peut-être imposer les mains aux malades. C’est bien. On s’en tire avec ça. Mais ce n’est pas le cas au front. Là, vous–vous affrontez des démons, je–je veux dire des démons vous lancent des défis, des sorciers et, oh! ce qu’on appelle des saints hommes, et–et tous ceux qui n’ont pas peur de lancer des défis. Mais voici ce que je déclare, Dieu est mon Juge: Je n’en ai jamais vu un arriver sans que Dieu l’ait vaincu par une victoire glorieuse, comme cela, chaque fois, chaque fois.

4          Nous avons des livres, mais j’ai oublié de les apporter. Si vous en voulez ou quelque chose comme cela, écrivez-nous simplement en Indiana, à Jeffersonville, Indiana; nous serons content de vous l’envoyer. Et si vous avez besoin n’importe quand d’un tissu sur lequel nous avons prié et que vous voulez le porter dans votre Bible, eh bien, écrivez-moi simplement, juste Jeffersonville, Indiana. Nous vous l’enverrons gratuitement. Sans frais pour quoi que ce soit, nous ne faisons rien payer. Tout est gratuit. Jésus a dit: «Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement.» Ainsi, nous... Sans frais pour quoi que ce...

            Nous avons en fait des livres, mais ils ne sont pas à moi. Ce sont des livres que d’autres hommes ont écrit sur le ministère. Il nous faut donc les acheter. Et nous bénéficions d’une remise de quarante pour cent là-dessus. Puis, il nous faut les traîner aux réunions, nous les exposons chaque fois dans des réunions et–et nous demandons à quelqu’un de les vendre. Nous payons cinquante dollars par semaine à quelques jeunes gens qui nous accompagnent afin de vendre les livres au début des réunions. A la fin de la réunion... Nous ne les vendrons pas le dimanche. Et puis, nous avons une ligne de conduite: Si quelqu’un vient, peu importe qui il est et qu’il désire avoir un livre, mais n’a pas d’argent, donnez-le-lui de toutes façons. Voyez? Et ne refusez à personne, parce qu’il n’est pas question de vendre des livres (voyez?); il est toujours question de diffuser le Message. Et tout le monde sait, vous les frères qui vendez les livres, on ne gagne pas d’argent en les vendant, à moins que vous... rien... Ils ne s’autofinanceront même pas. Ce sont les offrandes d’amour qui financent les livres pour les gens qui...

5          Parfois, lorsque je quitte une grande campagne, on me donne une offrande d’amour. Et alors, j’amène cela à mon église, je remets cela à l’église. Et c’est affecté aux missions à l’étranger. Sur ça, on me paie assez d’argent pour vivre: cent dollars par semaine pour ma famille et–et pour la maison, le véhicule et les dépenses, les appels téléphoniques et autres. Evidemment, cela n’est pas utilisé pour les autres appels téléphoniques; ça vous coûte des centaines de dollars par mois, les appels téléphoniques.

            Et j’ai vu des fois où des appels téléphoniques de loin seuls avoisinaient les soixante-quatre par heure. Vous pouvez donc vous représenter ce que c’est. Ce n’est pas juste dans une petite ville; ça vient de partout dans le monde. Voyez? Et il y a des gens qui attendent; il y en a des centaines sur la liste d’attente présentement juste pour quelques minutes: ils viennent de l’Afrique, de l’Inde, de l’Asie, de partout pour des entretiens privés. Eh bien, c’est alors qu’on se tient devant Dieu, et on attend jusqu’à ce qu’Il parle et révèle la chose exacte à faire. Et aucune fois Il ne nous a fait défaut. Nous en sommes donc reconnaissant, reconnaissant à Dieu.

6          Maintenant, j’irai prochainement à Dawson Creek. Et nous vous y invitons. Frère Sothmann est venu, il m’a pris il y a de cela quelque temps, lui et mon fils, pendant que j’étais dans une pièce en train de prier pour la réunion de ce soir. Et il a dit qu’on aurait un petit-déjeuner, je pense, le samedi matin. C’est bien. Et nous serons content que vous veniez, que vous participiez au petit-déjeuner, que vous assistiez à la réunion. Et puis, que vous priiez pour moi.

            J’aimerais solliciter de vous cette seule faveur avant de prendre les Ecritures. Vous savez, lorsque les vents soufflent fort et que le–le... et que tout s’oppose, des sorciers de tout côté, et–et que des puissances démoniaques vous lancent des défis de tout côté, je me demande si je pourrais bien compter sur vous qui restez ici derrière à Grande Prairie pour qu’à un moment donné, chaque jour, vous murmuriez une petite prière en ma faveur. Allez-vous le faire? Allez-vous me promettre de le faire? Merci. Merci. Je me souviendrai toujours de vous.

            Chaque fois que je passerai, je tâcherai de m’arrêter pour vous voir. En faisant des va-et-vient... Et si je ne vous revois pas avant de traverser la rivière, je vous reverrai de l’autre côté là où... Et, rappelez-vous, le même Evangile que j’enseigne ce soir, je me tiendrai là avec dans ma main, en disant: «C’était vrai.» Et je suis sûr que notre Seigneur confirmera cela, que c’est vrai.

            Non seulement Il le fera alors, mais Il le fait maintenant. Cela... Il le fait maintenant, c’est vrai.

            Je vous apprécie certainement et je vous aime d’un chaleureux amour chrétien. Si je peux n’importe quand vous accorder une faveur, téléphonez-moi ou écrivez-moi. Je ferai tout mon possible pour vous aider à rendre la vie un peu plus aisée pour vous et aplanir un peu les endroits rugueux. N’importe quand que je peux prier pour vous, faire n’importe quoi pour vous, faites-le-moi savoir.

7          Inclinons la tête juste un instant alors que nous parlons à l’Auteur de cette Parole. Seigneur, le Dieu Créateur des cieux et de la terre, qui a créé toutes choses par Christ notre Seigneur, qui L’a envoyé pour faire l’expiation de nos péchés, en nous donnant Sa Parole, qui est l’Eau de séparation, nous sommes lavés par l’Eau, par la Parole de séparation, afin que par la foi, qui croit, si nous sommes séparés de nos péchés, sortis sur un appel, mis à l’écart, ordonnés pour l’Evangile du Seigneur Jésus, la Bonne Nouvelle qui va de la chaire, Seigneur, jusqu’à la petite ménagère qui peut témoigner et raconter la bonté de notre Adorable Seigneur.

             Nous inclinons bien humblement la tête par humilité, Seigneur, et nous Te remercions, car nous savons que nous étions autrefois étrangers à Dieu, sans espoir, sans Christ, sans Dieu. Et pendant que nous étions encore des pécheurs, Christ est mort à notre place pour nous réconcilier et nous ramener dans la grande famille de Dieu. Ainsi, nous allons... Nous ne pourrons pas, Seigneur, avec le langage humain, exprimer l’adoration de notre coeur pour Ta bonté et Ta miséricorde envers nous. Mais, Père, à notre manière d’enfant, simple et humble, reçois nos actions de grâce, Seigneur Dieu.

            Maintenant, je prie, Père, premièrement pour Tes serviteurs ici, mes frères. Ô Dieu, je suis si content d’avoir communion avec eux. Dans la Bible, il a été une fois dit: «Oh! qu’il est doux pour des frères de demeurer ensemble, dans l’unité. C’est comme l’huile d’onction qui descend sur la barbe d’Aaron, sur le bord de ses vêtements.» Combien nous Te sommes reconnaissant pour cela, Seigneur, pour des frères de la même foi précieuse, qui croient en Dieu. Nous Te remercions pour leurs églises. Je Te prie, ô Dieu, de bénir leurs efforts, où qu’ils soient. Et que leurs assemblées grandissent, que la grâce de Dieu soit avec eux, Seigneur. Que les signes et les prodiges accompagnent leurs ministères, Seigneur, que cela secoue ce pays avec la puissance de Dieu. Accorde-le, Seigneur.

            Envoie-nous des hommes depuis ce désert comme Jean-Baptiste, ce prophète, qui était ferme, martelant, parlant du Messie qui viendrait avec le van à la main, qui nettoierait à fond Son aire et qui brûlerait la paille dans un feu qui ne s’éteint point.

8          Maintenant, Père divin, bénis cette assistance ce soir. Il y a ici des mères assises avec leurs petits enfants. Regarde, des papas et des mamans assis ensemble, des malades et des nécessiteux. Je prie, ô Dieu, que l’Ange de miséricorde parcoure cet endroit-ci ce soir.

            Qu’il n’y ait personne de faible au milieu de nous à la fin de ce service. Que nous retournions à nos foyers, ce soir, nous réjouissant et disant: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous alors qu’Il nous parlait le long du chemin?» Accorde-le, Seigneur. Car nous savons que Tu demeures le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Bénis ces gens, Père. Et s’il arrive que certains parmi nous traversent la rivière avant de nous revoir, ô Dieu, accorde que nous nous rencontrions tous quelque part là dans le glorieux Au-delà. Et là, nous communierons ensemble éternellement.

            Combien j’aimerais aller avec chacun de ces hommes et chacune de ces femmes, chez lui, lui rendre visite, chez lui, qu’ils soient une bénédiction pour moi, Seigneur, et juste nous asseoir, lire un passage des Ecritures, nous agenouiller à leur table et prier. Combien doux ce serait! Mais, ô Père, le jour est fort avancé, le soleil se couche, l’éternité se pointe. Oh! nous devons combattre autant que nous le pouvons. Ô Dieu, si jamais je n’arrive à le faire dans ce monde, puissé-je être capable de le faire dans le monde à venir.

            Accorde-nous de Ta grâce. Puisse le Saint-Esprit nous parler ce soir par la Parole écrite. Ferme nos bouches à tout ce qui est faux. Ouvre largement nos coeurs pour recevoir Cela. Que la Semence tombe dans la bonne terre, qui produira au centuple pour la gloire de Dieu. Nous le demandons au Nom de Son Fils bien-aimé, le Seigneur Jésus-Christ, notre Sauveur. Amen.

9          Je souhaiterais me référer juste à un–un passage des Ecritures ce soir. Et j’étais très désolé de vous avoir gardés longtemps hier soir. Je parlais et vous... Je parle vraiment beaucoup. Ainsi, je... [Quelqu’un parle à frère Branham.–N.D.E.] Merci, monsieur. C’est vraiment gentil, vous... Beaucoup de grâce, frère. Je–je vous en remercie, c’est très gentil; cela me réjouit de savoir qu’on apprécie l’effort que vous fournissez. Vous savez ce que je veux dire.

            Maintenant, quelle est ma raison d’être ici? C’est d’essayer de vous aider, essayer de vous rendre la vie un peu plus aisée. Et à quoi me servirait-il de venir ici comme un imposteur ou un hypocrite? Je ne suis pas payé pour venir. Je ne demande pas l’argent. Je n’ai pas... Ce n’est pas la popularité. J’évite cela. Voyez? Ainsi, un homme qui cherche à devenir populaire ne peut pas être en ordre avec Dieu. Ce n’est donc pas ça; c’est parce que je vous aime dans mon coeur.

            Je suis fatigué et épuisé. Je suis sur le point d’aller prendre un petit repos d’une ou deux semaines avant de reprendre avec les réunions. Mais mon amour était tel que je ne pouvais simplement pas vous dépasser sans m’arrêter pour demander comment vous allez, tenir une petite réunion et me réunir avec vous un petit instant.

            Rappelez-vous donc, ce que je vous dis, c’est que votre Seigneur et mon Seigneur n’est pas mort. Il est ressuscité d’entre les morts. Et Il est avec nous. Il... Nous sommes Ses enfants.

10        Maintenant, je... Quant à la guérison, si seulement vous vous appropriez la foi et que vous dites: «Maintenant, s’Il est ici, alors Son attitude envers une personne demeure la même envers tous»... Eh bien, peut-être que l’un aura juste une foi un peu élevée, qui va... qui peut s’élever au-dessus de la vôtre et Le toucher, et ramener une–une vision au-dessus de lui. Cela ne veut pas dire que cette personne est l’unique qui peut être guérie. Non. Vous avez... L’attitude de Dieu demeure exactement la même à votre égard, mais vous ne pouvez simplement pas supporter cela. Cela vous met simplement en pièces. Combien comprennent cela? Levez simplement la main. Jésus a dit (excusez-moi), Jésus a dit, après qu’une femme eut touché Son vêtement, Il a dit: «J’ai connu que Je suis devenu faible. Une force est sortie de moi.» Vous pouvez donc vous rendre compte...

11        Ecoutez, mon frère, ma soeur, c’est peut-être notre dernière réunion. Personne, personne dans ce monde ne pourrait donc savoir ce par quoi je suis passé. C’est vrai. On ne peut pas expliquer cela. On ne peut pas expliquer Dieu. On est dans une réunion, pas ici, mais maintes fois, on parle quelques minutes pour voir, il y a ici des critiqueurs, là, ceux qui doutent; par là des superstitieux. Il y en a un assis là qui est possédé par un–un démon. Et tout ça. Vous sentez cela venir contre vous comme un souffle.

            Et puis, vous avez... Voyez, il y a un saint pieux assis là cherchant à trouver Dieu. Il y en a un autre qui se pose des questions et qui a des doutes. Il y a un petit enfant qui se meurt. Il y en a un qui a des yeux louches. Il y a un papa assis là souffrant du cancer. Dieu... Et puis, tout ça, par milliers, ça vous affronte du coup. Vous ne savez pas combien cela vous met en pièces. Voyez?

            Et là... Et pensez-y donc, Satan attend un petit mot de travers quelque part. C’est tout. Voyez? Et sachant qu’on est humain, on doit totalement compter sur Jésus-Christ, Lui abandonner complètement sa vie.

            Maintenant, prenons les Ecritures dans Saint Matthieu, chapitre 14, verset 27. Voici ce que nous lisons:

          Jésus leur dit aussitôt: Rassurez-vous, c’est moi; n’ayez pas peur.

            Maintenant, je souhaiterais prendre cela comme sujet: C’est Moi. C’est Moi: trois mots.

12        Et maintenant, j’aimerais que ce soir, afin de pouvoir nous dépêcher, nous assistions à une réunion de témoignages. Aimez-vous les témoignages? Nous tous. Et n’auriez-vous pas aimé vivre à l’époque des apôtres, vous asseoir quelque part sur un rondin là à côté du lac et suivre les témoignages de ces apôtres? Combien auraient voulu suivre cela, juste les entendre ensemble, ceux qui avaient marché avec Jésus?

            Et assurément, puisqu’ils avaient marché avec Lui et qu’ils Le connaissaient, ils savaient témoigner à Son sujet. Ne le pensez-vous pas? Assurément. Ils savaient comment... Sa Vie, ils savaient exactement ce qu’Il était. Et, rappelez-vous, ils n’étaient pas des anges, là, c’étaient des hommes qui avaient leurs hauts et leurs bas tout comme nous.

13        Souvent, des gens pensent que lorsqu’un ministère devient surnaturel, ils pensent que cette personne-là devrait porter une robe, des habits et–et devenir un intouchable, vous savez. Lorsqu’ une personne agit comme cela, elle cherche à devenir quelque chose qu’elle n’est pas. Dieu utilise des hommes, juste des hommes ordinaires.

            Lorsque vous voyez une telle personne, pour moi, c’est un prétentieux (voyez?), quelqu’un qui cherche à être quelque chose qu’il–qu’il n’est pas: «Plus saint qu’on ne l’est, ne me touche pas. Je...» Cela... Oh! Dieu n’utilise pas cela; vous le savez.

14        Ainsi, nous sommes... Dieu... Voici une seule chose que je dirai: Certains des plus braves coeurs dont j’ai eu à serrer la main sous... battaient sous une vieille chemise bleue rafistolée (C’est vrai), des yeux gris d’acier; ils vous regardent en face et disent: «Prédicateur, je crois ça.» Frère, vous pouvez compter sur ça. Notez-le. Avec des mains calleuses pour avoir tenu la manche de charrue ou quelque chose comme cela, c’est vrai... Il ne vous faut pas être en smoking ni avoir un col roulé pour être un chrétien qui craint Christ. Non. Ce n’est pas ce qu’on porte qui compte; c’est ce que vous êtes à l’intérieur; ce qui fait ce que vous êtes, ce n’est pas combien vous êtes intelligent, mais ce que vous êtes à l’intérieur. Quand à nous, il n’y a rien de bon en nous. S’il y avait une quelconque bonté en nous... «Un seul est bon, et c’est Dieu», a dit Christ.

15        Mais j’aimerais aller à une réunion de témoignages, m’asseoir simplement, me trouver un siège et entendre les apôtres témoigner. Oh! Je me suis toujours dit que j’aurais aimé faire cela. Eh bien, j’ai toujours pensé que j’aurais aimé écouter Jésus dire, avec Ses bras tendus, dire: «Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, Je vous donnerai du repos.»

            Oh! Vous savez qu’ils avaient tellement... On affirme que si jamais une voix a été proclamée (vous le savez mieux que moi), une voix, elle ne s’éteint jamais. Elle continue à vivre, comme le radium, elle continue sans cesse, comme un cailloux qui tombe dans l’eau. Les petites vagues continuent sans cesse sur des kilomètres, des ondulations continuent jusqu’à devenir imperceptibles à l’oeil nu. Mais elles continuent sans cesse. Et votre air... Lorsque vous parlez (là, on est en électronique), les–les ondes d’air de la–la radio continuent. Elles ne s’éteignent jamais.

16        J’aimerais... Je me disais que j’aurais aimé rester en vie jusqu’au moment où la science, peut-être, arrivera à capter Sa Voix. On soutient qu’un jour, si on continue à progresser, on pourra le faire: capter la Voix littérale de Jésus, quand Il disait: «Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, Je vous donnerai du repos.»

            Eh bien, peut-être que je ne vivrai pas jusqu’en ce jour-là. Franchement, je ne pense pas que le monde subsistera si longtemps. Nous sommes si près du temps de la fin. Mais j’aimerais être avec vous, vous prêcher un moment sur ces choses. Mais j’ai essayé de rendre nos petits messages si simples, sous forme de saynètes, parce que je suis fatigué. Et ainsi, vous comprendrez mieux cela.

17        Mais je peux ne pas vivre jusqu’à entendre cela, mais il y a une seule chose que j’aimerais vraiment entendre, et je pense que je l’entendrai: «C’est bien, Mon bon et fidèle serviteur. Entre dans la joie de Ton Maître.» C’est ce que j’attends d’entendre un jour. Je suis sûr qu’Il ne me décevra pas.

            Et si je... S’Il me rejette au bout du chemin, je continuerai néanmoins à L’aimer. S’Il m’envoie en enfer et que je peux toujours éprouver de l’amour en enfer, je L’aimerai de toute façon. Voyez? En effet, je méritais d’être rejeté pour commencer, voyez. Et si j’avais dix mille vies à vivre et qu’il n’y ait rien à la fin de tout cela, s’il y avait... s’il n’y existe pas de Dieu, pas de Christ, je suivrais toujours cette voie chrétienne pour vivre, après tout. Avoir des hommes et des femmes avec lesquels je peux m’associer, cela rend la vie si différente (Voyez?), si seulement on est chrétien.

18        Maintenant, suivons cette réunion de témoignages et écoutons les apôtres témoigner.

            Ça a dû être vers le coucher du soleil, le soir vers ce temps-ci, lorsque des pêcheurs très musclés se sont mis à pousser la barque loin du rivage. Et je peux bien le voir alors qu’il prend la petite barque, son dos musclé, la pousse et la propulse et, dès qu’elle a quitté le rivage et s’est lancée dans l’eau, dans... bleue de Galilée...

            Et puis, il enjambe les sièges et prend place à côté de son frère André. Et les petites rames commencent à s’enfoncer dans l’eau. Et ils les enfonçaient, et après, ils ont fait au revoir de la main à ceux qui étaient sur le rivage. En effet, ils avaient eu une glorieuse réunion cet après-midi-là, et–et il... ils partaient. Et les gens les avaient aimés. Il y a quelque chose au sujet de l’amour de Dieu dans nos coeurs, quelque chose qui nous tue pratiquement lorsqu’on se sépare.

19        Un groupe de vrais chrétiens, après s’être assemblés et quand ils doivent se séparer les uns des autres à l’église, je–je les ai vus se tenir simplement là, s’étreindre et pleurer. Voyez? Je pense à Paul qui s’agenouilla sur le rivage et pria, disant: «Je–je savais... Vous ne verrez plus mon visage.» Oh! ce qui se passe quand on se sépare...

            Nous chantions un cantique dans l’ancienne église baptiste, dans le Sud:

     Béni soit le lien qui unit

     Nos coeurs dans l’amour chrétien;

     La communion des âmes soeurs,

     Est comme celle d’En haut.

     Quand nous nous séparons,

     Cela nous cause de la peine;

     Mais nous resterons toujours unis de coeur,

     Et dans l’espoir de nous rencontrer.

            Ils ont agité la main en signe d’au revoir

20        Cela doit avoir été ce genre de sentiment alors que la petite barque s’avançait sur les eaux et que les autres leur faisaient au revoir de la main et tout disant: «Revenez. Visitez-nous encore, frères.» Ils voient sur le rivage des hommes s’essuyer les larmes des yeux et leur faire signe de la main: «Revenez nous visiter encore», alors que la petite barque s’avance sur les eaux... Et peu après, ils furent perdus de vue. Les autres ne voyaient plus, la nuit tombait. Et ils pouvaient... Ils tiraient... A l’époque, on ramait à deux, assis sur un siège. Ils prenaient ces rames et observaient le temps alors qu’ils tiraient les petites barques. Et alors, si le vent soufflait, on hissait un petit voile, et–et cela les aidait.

21        Alors, ils traversaient la Galilée. Et après que cela eut... pour un petit moment de repos, nous pensons que ça doit avoir été le jeune Jean, c’était lui le plus jeune parmi eux, mais–mais plutôt un petit apôtre enthousiasmé. Et alors, pendant qu’ils ramaient dans l’eau, quelqu’un doit avoir dit: «Frères, marquons une petite pause et reposons-nous quelques minutes. Et ayons une petite réunion de témoignages.» C’est elle que nous aimerions suivre.

22        Le jeune Jean doit avoir dit: «Eh bien, c’est aujourd’hui que la question a été définitivement réglée pour moi. Je suis croyant depuis mon enfance. Je peux me rappeler lorsque ma précieuse vieille mère me lisait les histoires de la Bible, elle me racontait que lorsque notre peuple avait traversé, après être sorti de l’Egypte, et... est entré dans ce pays dont nous avons hérité grâce à Dieu. Elle me racontait les histoires montrant combien Jéhovah était grand, comment Il avait pris soin de Son peuple. Oh! Comme je me couchais et levais les yeux vers son beau visage, elle me disait: ‘Jean, là tout au-delà des étoiles, il y a un Grand Dieu qui aime Son peuple. N’oublie pas cela, mon fils.’ Et puis, elle me disait que lorsque Dieu, Jéhovah, avait fait sortir Ses enfants de l’Egypte, Il pourvoyait aux besoins de ceux qui entreprenaient de suivre Ses commandements. Ils ont suivi Jéhovah au sortir de l’Egypte. Ils sont entrés dans le désert et ils se sont retrouvés à court de pains. Ils n’avaient pas de pain à manger. Alors, Jéhovah faisait tomber du pain des cieux et le déposait par terre. Et le lendemain matin, tout ce qu’ils avaient à faire, c’était aller le ramasser et manger.»

23        «Et je disais à ma maman, peut-être, disait-il: ‘Maman, peut-être que Dieu a un grand tas de fours là-haut dans les cieux et tout un groupe d’anges qui faisaient des heures supplémentaires. Et ils cuisaient tous ces pains. Et puis, les anges prenaient de gros paniers et les faisaient tomber, les répandant dans le camp.’»

            «Elle disait: ‘Non, fils. Tu es trop jeune pour comprendre. Mais tu vois, fils, Jéhovah est Créateur. Il créait simplement ces pains-là. Il n’a pas à avoir des fours pour faire cuire cela. Il créait simplement ces pains-là. Et cela tombait par terre.’»

           

            Et, oh! peut-être que Jean a dit: «Cela m’est toujours resté à coeur, comment Jéhovah a pu créer du pain et le laisser tomber par terre déjà cuit. Frères, j’aimerais confesser dans ce témoignage ici ce soir, à bord de cette barque, que je sais que nous ne suivons pas un faux prophète. Nous ne suivons pas un imposteur. En effet, quand je L’ai vu aujourd’hui prendre ces petits pains, cinq petits pains et deux petits poissons, rompre ce pain et nourrir cinq mille personnes, j’ai reconnu que c’était Dieu.»

           

24        «Pour moi, c’était réglé parce qu’Il a accompli les oeuvres de Dieu. Vous rappelez-vous, frères, Il a une fois dit devant nous: ‘Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas.’ Mais qu’a-t-Il fait, frères?»

            J’aimerais poser la question à cette assistance: Quel–quel genre d’atome libérait-Il? Il a pris ces petits pains et a rompu ces cinq petits pains, Il a nourri cinq mille personnes; pas du blé cultivé, et Il fait tout cela pour... Assurément. Mais Il avait contourné tous les cycles de la nature. Non pas qu’Il avait juste du blé cultivé là, Il avait du pain; et pas juste du pain mur, mais du pain cuit, déjà assaisonné et prêt à être mangé.

            C’est là notre Dieu. Les poissons, eh bien, c’est Lui qui a mis chaque poisson dans l’eau. Mais Il a pris ces poissons, Il les a découpés, pas juste qu’Il a tiré un autre de l’eau, mais Il découpe un poisson, Il remettait la main et prenait... Un autre morceau était là pendant qu’Il découpait celui-ci, un poisson frit, déjà assaisonné, et emballé dans les... pains de maïs, et frit, prêt à être mangé.

            Comment s’y prenait-Il? Quel genre d’atome, comme dirait la science aujourd’hui, liberait-il là?

25        Et je peux entendre Jean dire: «Frères, c’était pour moi si stupéfiant que je–je suis monté sur le rocher derrière, j’ai regardé, j’ai vu là où Il était... Je voyais d’où Il obtenait cela. Mais Il ne faisait que prendre du pain, le tendre, rompre un morceau, déposer dans le panier d’André. Il tend encore la main, il y avait un autre morceau déjà prêt lorsqu’il tendait la main pour ça. Pour moi, c’est la preuve qu’Il est Dieu. Il est Jéhovah.

            Il n’y a que le Jéhovah de l’Ancien Testament qui peut créer du pain et ici... pour nourrir des gens affamés. Et ce Jéhovah est manifesté ici. Et je sais que c’est le Fils de Dieu. Ça ne peut être que ça. Il est identifié à Dieu quelque part; en effet, Il a accompli les mêmes oeuvres que Dieu.»

26        Ça doit avoir été Simon Pierre, vers ce moment-là, qui a dit: «Jean, c’est un bon témoignage. Puis-je maintenant donner le mien? Vous savez, frères, je suis un pêcheur. Mon père avant moi était un pêcheur. Et mon père était un vieux pharisien pieux. Et vous rappelez-vous, il passait beaucoup de son temps à l’église, et nous pêchions ici au lac.

            «Et ma mère, oh! comme je la regardais! Papa nous prenait le matin, André et moi, lorsque nous allions pêcher les poissons, nous nous agenouillions à côté de la table. Et je voyais papa lever les yeux et dire: ‘Jéhovah, j’ai besoin de poissons à vendre aujourd’hui pour nourrir mes petits enfants. Veux-Tu m’aider à faire une bonne pêche aujourd’hui?’»

27        «Lorsque nous attrapions des poissons et que nous retournions sur le rivage, André, papa et moi, nous nous agenouillions à côté de la barque et rendions grâce à Dieu pour les poissons, avant de les amener au marché.»

            Oh! nous avons besoin davantage de pères et de mères de ce genre. «Elevez l’enfant selon la voie qu’il doit suivre.»

            «Je me rappelle qu’un jour», a-t-il peut-être dit, dans ce sens, «nous avions attrapé beaucoup de poissons ce jour-là. Oh! c’était une pêche extraordinaire! Et nous ramenions notre petite barque au rivage; et d’un bond, je suis descendu au rivage et j’ai attaché la–la barque. Et nous aidions à mettre les poissons dans des paniers.»

28        «Et après que nous eûmes prié, j’ai vu mon papa renvoyer ses cheveux gris en arrière, dégageant son visage; il m’a entouré de son bras, m’a fait asseoir sur la barque et a dit: ‘Simon, mon petit garçon, je t’ai élevé au mieux de ma connaissance pour servir Dieu.’ Et il a dit: ‘Simon, j’aime tous les vrais croyants, j’ai impatiemment attendu le jour où le Messie viendrait. Je pensais Le voir en mon jour. Mais, Simon, je me fais vieux maintenant. Et mes jours sont comptés; mes pas sont plus limités. Peut-être que je ne Le verrai pas; mais, Simon, mon fils, toi, tu es plus jeune; ainsi, tu verras peut-être le Messie que nous avons attendu depuis toutes ces années: l’Espérance d’Israël.’

29        «‘Simon, avant Sa Venue, beaucoup de choses se passeront au cours de l’âge, les gens se disant des Messies et toutes ces choses. Et lorsque... Au moment de Sa Venue, il y aura toutes sortes de choses qui se passeront. Mais, Simon, les églises se sont emballées dans diverses choses et... mais j’aimerais te dire, mon fils: n’oublie pas de croire ce que Moïse a dit, nos prophètes, que lorsque ce Messie viendrait... Moïse nous a annoncé que le Seigneur notre Dieu susciterait un Prophète comme lui. Et ce serait vers Lui qu’il nous faudrait aller.’

            «‘Et Simon, quoi que tu fasses, souviens-toi toujours, peu importe l’apparence de n’importe quoi, souviens-toi, le Messie sera un Prophète; car c’est conforme aux Ecritures. Ne te laisse pas emballer, Simon, par des sottises et des doctrines étranges. Mais reste fidèle aux Ecritures, mon fils. En effet, Moïse, notre conducteur, nous savons que Dieu a envoyé Moïse, et Moïse a dit que le Messie sera un Prophète. Et le signe du Messie, là, nous n’avons pas eu de prophète pendant des centaines d’années. Mais un jour, il se lèvera sur la scène quelqu’Un qui sera Prophète. Et ça sera le Messie; en effet, nous attendons ce jour-là.»

30        Et il a peut-être dit: «Et, frères...» Il a entouré André de ses bras, il a dit: «André, te rappelles-tu lorsque tu es allé suivre la prédication de Jean, parlant du Messie? Eh bien, je me disais que c’était l’une de ces hérésies qu’on a tous. Il y a ceci et cela, et je n’en faisais pas tellement cas, André.

            «Mais un jour, lorsque tu as fini par me convaincre d’aller voir cet Homme qui était... qui avait été présenté comme le Messie, lorsque je suis allé Le voir, frères, lorsque je suis entré dans la Présence de cet Homme... Et André tout en gravissant la colline, m’a signalé: ‘C’est Lui, là. Tu Le vois?’»

            «‘Eh bien, Il n’est pas différent de tous les autres hommes’, ai-je dit à André.»

31        «Mais il a dit: ‘Juste un instant, traversons les foules. Il est sur le point de parler juste un instant. Et tout le monde va rester le souffle coupé pendant qu’Il parle.’ Et nous avons traversé la foule. Et André était... avait vu Jean Le présenter et... Ainsi donc, je me suis davantage approché, je me disais: ‘Je–je vais voir, bien Le voir. Et je vais entendre ce qu’Il dit, voir s’Il est scripturaire.’»

            «Je me suis donc approché ce jour-là. Lorsqu’Il était sur le point de parler, je me suis dit: ‘Eh bien, je vais bien voir ce dont André me parlait.’ Et lorsqu’Il... avant d’ouvrir Sa bouche pour dire quoi que ce soit, Son regard s’est posé sur moi. Il m’a regardé et a dit: ‘Tu es Simon, fils de Jonas.’ Oh! Frères, cela–cela avait réglé la question pour moi.»

            «Non seulement Il savait qui j’étais, Il connaissait mon vieux papa pieux qui m’avait averti, me disant ce que serait le Messie. C’est pourquoi j’étais sûr que c’était le Prophète de Dieu, le Messie qui avait été suscité. C’est la fin de mon témoignage.»

32        Ça doit avoir été Philippe qui s’est levé en ce moment-là et a dit: «Eh bien, Frère Nathanaël, je vais raconter ceci à notre sujet maintenant, dans cette réunion de témoignages ici sur l’océan.» N’auriez-vous pas aimé avoir été là pour suivre cela, assis sur le bastingage de la barque, les écoutant?

            Et peut-être que Philippe a dit: «Eh bien, j’étais là, Simon, lorsque je L’ai vu faire cela, ou je L’ai entendu dire cela. Et j’avais remarqué l’expression de ton visage. Tu t’étais directement prosterné à Ses pieds. Et je me suis dit: ‘Assurément que ce gaillard de Simon laisserait tomber ses épaules.’ Et Il t’a dit que ton nom serait une petite pierre par la suite.»

33        «Et je savais que c’était un bon nom qui te convient, parce que tu es solide. Lorsque tu croyais quelque chose, tu le croyais. Et alors, je me suis dit: ‘Comment a-t-Il donc su cela?’ J’avais aussi lu les Ecritures. Alors, je connaissais mon bon ami qui est assis ici au bout de la barque, Nathanaël; j’ai donc contourné la montagne pour aller le retrouver.

            «Et je l’ai trouvé en train de prier sous un arbre. Et après qu’il eut terminé la prière et qu’il se fut relevé, eh bien, j’ai dit: ‘Viens voir qui nous avons trouvé, Jésus, le Fils de Joseph, le Messie.’ ‘Oh! eh bien, a-t-il dit, peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon?’ Et je lui ai dit: ‘Viens, et vois.’»

34        «Et tu te rappelles, le long du chemin, le... notre conversation? Et aussitôt que j’avais introduit Nathanaël dans la Présence de notre Seigneur, Celui-ci a dit: ‘Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.’ Et je vous assure, je vais arrêter mon témoignage maintenant. Eh bien, Nathanaël, tu le termines.»

            «Eh bien, a dit Nathanaël, je... J’étais débarrassé de tout doute. Mais cela... J’étais frappé d’étonnement aussitôt que j’ai vu cet Homme, la toute première fois que je Le voyais, Il m’a dit que j’étais un Israélite et qu’il n’y avait point de fraude en moi. Comment cet Homme m’avait-Il donc connu, alors que je ne L’avais jamais vu de ma vie, avant d’aller à Sa réunion? Et je me disais que j’examinerais, et j’étais tellement enthousiasmé à la pensée: ‘Est-ce que ces nouvelles peuvent être vraies, ou–ou suis-je en train de rêver?’»

35        «Alors, j’ai dit: ‘Rabbi (ou Révérend, Docteur, je ne sais comment vous voulez appeler cela), quand m’as-Tu donc connu? Eh bien, Tu ne m’as jamais vu de Ta vie. Et comment as-Tu su que j’étais un homme honnête, sans fraude?’ Il a dit: ‘Eh bien, avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.’»

            «Frères, j’ai alors reconnu que c’était le Prophète que nous attendions depuis toutes ces années. Et je L’ai confessé publiquement devant mon sacrificateur et tous les autres, sachant que je pourrais être excommunié de l’église pour avoir dit pareille chose ou avoir pris pareille position. Mais cela ne changeait rien pour moi. Je savais que les Ecritures annonçaient qu’Il serait ce genre d’Homme.»

            «Je me suis donc cramponné aux Ecritures qui disaient, car Moïse... Nous avons été enseignés à croire Moïse et les prophètes. Et ils avaient annoncé que ce Messie serait un Prophète, et nous n’avons rien vu de pareil pendant des centaines d’années. Et cela était là même avec nous. Et je–je sais que cet Homme ne me connaissait pas. La question était donc réglée pour moi.»

36        Et vers ce moment-là, André doit s’être levé et avoir dit: «Frères, j’aimerais ajouter autre chose. Vous rappelez-vous le jour où Il a dit que nous allions à Jéricho?»

            «Oui.»

            «Et il Lui fallait passer par la Samarie. Et nous nous étions tous posé la question: ‘Pourquoi contourne-t-Il la Samarie au lieu d’aller à Jéricho?’ Mais il lui fallait passer par chez les Samaritains. Et, vous savez, nous n’avions pas du tout de relations avec les Samaritains.»

37        «Mais Il s’est arrêté. Et nous pensions que peut-être Il voulait tout simplement se faire voir en Samarie. Alors, Il s’est assis au puits et Il nous a envoyés acheter de la nourriture. Et à notre retour, vous souvenez-vous de ce que nous avons vu? Nous étions embarrassés. Notre Seigneur parlait à une femme de mauvaise réputation, une belle jeune femme. C’était cependant une mauvaise femme. Elle était là, portant la marque qui indiquait que c’était une mauvaise femme; allant au puits à ce moment donné de la journée. Et Il lui parlait. Vous rappelez-vous ce qu’Il avait dit?»

            «Il a dit... Nous nous sommes cachés derrière le buisson pour écouter, entendre ce qu’Il disait, entendre ce que notre Seigneur dirait à cette femme de mauvaise réputation, et Il a dit–Il a dit: ‘Femme, donne-moi à boire.’»

            «Elle a dit: ‘Il n’est pas de coutume que vous les Juifs, vous demandiez pareille chose à nous, les Samaritains. Il n’y a pas de relations entre nous.’»

            «Il a dit: ‘Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.’»

            «Et elle a dit: ‘Tu n’as rien avec quoi puiser.’»

            «Et notre Seigneur a dit: ‘Va appeler ton mari, et viens ici.’»

            «Elle a dit: ‘Je n’ai point de mari.’»

38        «Vous rappelez-vous, frères, quel sentiment nous avions éprouvé? Oh! Eh bien, Il a commis une gaffe. Il a commis une faute. ‘Je n’ai point de mari.’ Après, nous avons entendu Ses Paroles. ‘Tu as dit vrai, car tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.’ Et alors, vous rappelez-vous ce que cette Samaritaine, de la ville de Sychar là, avait dit? ‘Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Eh bien, nous les Samaritains, nous savons qu’un Oint viendra, Celui qu’on appelle le Christ, le Messie. Et quand... Nous savons ce que sera Son signe. Ce sera cela Son signe. Il sera un Prophète. Quand Il sera venu, Il nous annoncera toutes ces choses. Mais Toi, qui es-Tu? Tu dois être un de Ses serviteurs.’ Il a dit: ‘Je Le suis.’»

39        «Oh! nous avons vu l’expression du visage de cette femme! Lorsqu’elle a déposé sa cruche d’eau, elle est rentrée dans la ville en courant et s’est mise à crier: ‘Venez voir un Homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait dans ma vie.’»

            «Eh bien, elle... Il ne lui avait point tout dit. Il... simplement... elle était tellement heureuse. Il lui avait juste dit une seule chose. Mais puisqu’Il connaissait cette seule chose, Il connaissait tout. Voyez? ‘Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait dans ma vie. Ne serait-ce pas le signe même du Messie?’ Et Il était assis là au puits.»

            Et on a fait venir les hommes. La Bible dit que toute la ville avait cru en Jésus parce qu’Il avait dit cela à cette femme.

40        Ça doit avoir été Matthieu, le scribe (qui notait ce témoignage, afin que je puisse vous le lire ce soir. Voyez?), qui a dit: «Puis-je être le prochain, frères?»

            «Oh! oui, Matthieu. Vas-y, parle.»

            «Vous rappelez-vous le matin où nous allions à Jéricho? Et Rebecca, notre soeur là à Jéricho, la femme de Zachée... Il était un homme d’affaires, un collecteur d’impôts de la ville. C’était un homme riche. Et vous savez, Rebecca croyait au Seigneur.»

            «Elle priait, et elle priait que son mari devienne chrétien. Mais, évidemment, il était l’un de ceux qui donnaient beaucoup d’argent à l’église. Et–et il jouait au golf avec les sacrificateurs (vous savez, vous comprenez ce que je veux dire); il–il avait des activités sociales. Et ils sortaient tous ensembles et–et passaient de bons moments ensemble. Il lui était donc difficile de se désaffilier. Et par conséquent, vous savez qu’il... tout celui qui suit notre Seigneur est aussitôt excommunié des églises. Voyez? On n’avait rien à faire avec eux. Ainsi donc... Et la soeur Rebecca nous–nous avait demandé de prier pour Zachée, son mari, qu’il reçoive notre Seigneur.»

41        «Et vous rappelez-vous lorsque nous nous tenions au coin et que nous disions à Zachée: ‘Zachée, tu es lecteur de la Bible. Que cherches-tu? Que dis-tu du Messie?’ Le témoignage de Rebecca est vrai. Il est le Prophète que le Seigneur notre Dieu allait susciter en ces jours-ci.’ ‘Oh! Mais Rabbi Lavinski me dit que c’est un faux prophète; qu’Il est–Il est Béelzébul; qu’Il est–Il est possédé d’un esprit de diseur de bonne aventure. Je ne croirais pas ça.’ Il s’éloignait.»

            «Et vous rappelez-vous le témoignage de Rebecca ce jour-là? Ce qu’elle–elle a dit, que lorsque Zachée s’était réveillé tôt ce matin-là... et elle avait prié toute la nuit, que Zachée arrive à voir Jésus à Son arrivée dans la ville.»

42        Eh bien, femmes, c’est comme ça qu’il vous faut gagner votre mari à Dieu. Il faut prier, tenir ferme. Toute la nuit, elle avait prié. Et le lendemain matin, elle savait que Jésus allait visiter cette ville ce jour-là. Alors, elle–elle, toute la nuit, elle avait prié que Zachée voie un genre de miracle que Jésus accomplirait, qui changerait le coeur de son mari.

            Et, vous savez, il nous est enseigné ceci, amis, que la prière de la foi accomplira de grandes choses. Tout est possible à celui qui croit. Et alors, Matthieu a peut-être dit: «Et, frères, vous rappelez-vous ce matin-là lorsque nous avions rencontré Rebecca? Elle a dit: ‘J’ai prié toute la nuit. Et ce matin, à l’aube, eh bien, Zachée s’est levé tôt, il a enfilé sa belle robe et il a soigné sa barbe, vous savez.’ En effet, c’était un homme important. Il a donc porté ses meilleurs habits, vous savez. ‘Et j’ai demandé: Où vas-tu, chéri?’»

            «‘Oh! juste une promenade matinale.’ C’était inhabituel, vous savez, car il ne se réveillait pas si tôt.»

43        «Alors, Rebecca s’est agenouillée par terre et a dit: ‘Merci, Seigneur. Je sais que Tu traites avec lui.’ Voyez? En effet, il était devenu très ronchonneur les quelques derniers jours. Voyez?’» (C’est généralement lorsque Dieu est en route, voyez?) «‘Oh! Il m’a isolée de tout. Mais je sais que Tu le conduiras d’une façon ou d’une autre là où est Jésus.’»

            «Eh bien, vous vous rappelez alors que nous avions pris un... Elle est restée chez elle prier. Alors, vous vous rappelez ce que Zachée nous a raconté après cette histoire? Il a dit que tout au fond de son coeur, toute la nuit, il avait vu Dieu traiter avec lui en songe.»

            «Et le lendemain matin, lorsqu’il s’est réveillé, il est sorti, il est allé au coin de la porte du sud de la ville, par où devait apparaître Jésus. Et lorsqu’il est arrivé là à l’aube, les Galiléens s’étaient entassés partout aux portails pour L’attendre...»

44        «Eh bien, il était un petit homme, donc il–il était de petite taille. Et il a dit: ‘Je suis trop petit pour entrer dans une foule comme celle-là. Je ne L’ai jamais vu. Mais je vais Lui faire savoir ce que je pense quand je Le verrai. Je Lui dirai qu’Il est un faux prophète. Il n’est pas un voyant.’»

            «Alors, il lui est arrivé de penser: ‘Vous savez, je... S’Il passe par ici, je ne Le verrai pas. Mais je sais qu’Il ira chez Lavinski, là, pour le dîner, chez mon concurrent. Alors, je vais–je vais vous dire quoi. J’irai là et je sais qu’Il passera par l’avenue Alléluia, là où elle donne sur la rue Gloire. (Et c’est généralement là qu’Il passe, vous savez.) J’irai donc là, m’y tenir. Et lorsqu’Il passera, je Le verrai.’»

45        «Eh bien, il est allé là et il était tiré à quatre épingles. Il a dit: ‘Je me tiendrai ici même. Et lorsqu’Il s’approchera, je vais dire: Rabbi, j’ai giflé ma femme plus d’une fois la nuit au lit à cause de Toi. J’aimerais que Tu la laisses tranquille. Je veux la voir revenir dans l’église, regagner les cercles des couturières et tout. (Voyez?) Eh bien, je suis déshonoré dans cette ville en tant qu’homme d’affaires du fait qu’elle s’accroche à une bande de fanatiques, une bande de saints exal... ou vous savez, des gens semblables. (Voyez?) Alors, je suis un... Je–je–j’aimerais que Tu quittes la contrée. Je vais le Lui dire, mon gars, et tout le monde saura que je suis le... je suis un... je suis quelqu’un. Je suis intelligent.’» Voyez?

46        «Et il était au coin, il lui est arrivé de penser: ‘Eh bien, savez-vous quoi? Cette foule Le suivra. (C’est vrai. Ils Le suivront.) Là où Il va, ils y vont. Vous savez quoi? Je suis trop petit. Lorsqu’ils arriveront à ce niveau, ils pourront me marcher dessus. Il y a donc seulement... Je ne sais comment m’y prendre.’»

            «Alors, il a regardé, et il y avait là un sycomore. Il s’est dit: ‘Eh bien, vous savez quoi? Je pense que je vais monter là. Et une fois monté là-haut... Eh bien, pourquoi je fais tout ça? Alors, je... mais si je monte là-haut, je Le verrai à Son passage. Et je Lui prêcherai un sermon du haut de cet arbre.’»

            «Il a alors regardé tout autour, il était trop petit pour atteindre une branche. Vous savez? Mais il était déterminé à Le voir.» Si vous êtes déterminé, Dieu préparera une voie pour que vous Le voyiez très bien. Voyez? Soyez seulement déterminé. Voyez?

47        «Ainsi donc, il a regardé çà et là, il lui est arrivé de penser: ‘Eh bien, qu’est-ce?’ Eh bien, le videur des poubelles n’était pas encore passé ce matin. Et la poubelle était placée là. Il est donc allé prendre la poubelle, et c’était trop pesant. Eh bien, il n’y avait rien d’autre là. ‘Pourtant, j’aimerais Le voir.’»

            Oh! Vous ferez des choses étranges lorsque vous tenez à Le voir. Vous faites des choses auxquelles vous ne pensez pas, des choses embarrassantes. «Alors, il a entouré la poubelle de ses bras. Le voilà venir donc. Et vers ce moment-là, deux ou trois hommes d’affaires, ses concurrents, prirent le virage. Il fut donc pris au piège.»

            Peut-être que certains parmi vous sont dans la même situation ce soir. Vous êtes surpris parmi ces saints exaltés. Ça y est donc pour vous. Vous feriez tout aussi mieux d’accepter cela. Voyez?

48        «Il était donc là, la poubelle dans les bras, son petit visage rouge. Mais cela lui importait peu. Il allait de toute façon Le voir.»

            C’est comme ça. Eh bien, Zachée, maintenant, tu te mets en ordre. «Il l’a amenée, l’a posée contre l’arbre. Et il a escaladé le...» Ce n’est pas ce que je veux dire. En Amérique, nous appelons cela escalader l’arbre. Vous savez, c’est monter à l’arbre, y grimper.

49        «Et il est monté là. Il s’est... il s’est assis à la jonction de deux branches, comme ceci, il s’est assis sur ces branches.» C’est un bon endroit où s’asseoir un instant, au croisement de deux voies: la vôtre et celle de Dieu. Réfléchissez-y un petit moment.

            Un de ces jours, vous allez mourir. Vous aurez à rencontrer le Dieu qui a écrit cette Parole. Vous aurez à rendre compte un de ces jours. J’espère donc qu’il y a ici ce soir beaucoup de Zachée qui s’assiéront à cette jonction ce soir, pour prendre leur décision.

            Quelle scène pitoyable il offrait! Il était assis là, se débarrassant des éclats et des ordures qui étaient tombés sur son nouveau costume. Et... Mais il était déterminé à voir Jésus. Voyez? Il tenait à Le voir.

50        «Il s’est alors mis à penser: ‘Vous savez, qu’est-ce qui me fait faire ça? Vous savez, Rebecca m’avait dit que ce Gars est un Prophète, qu’Il peut voir. Eh bien, je n’y crois pas. Pareille chose n’existe pas aujourd’hui. Mon sacrificateur m’a dit qu’il n’y avait plus de prophètes aujourd’hui. Les prophètes ont existé il y a des centaines d’années, jadis, du temps de Moïse, mais il n’y a plus de prophètes aujourd’hui. Savez-vous donc ce que je pense? Avant–avant de Lui faire savoir ce que je pense, je pense que je vais me couvrir complètement afin qu’Il ne me voie pas.’ Il a donc pris toutes les branches, il les a tirées tout autour de lui, il s’est camouflé afin que personne ne le voie.»

51        «Il s’est réservé une grosse feuille comme ceci, comme une porte. Il pouvait la faire descendre et regarder. Il est resté assis là à s’émerveiller: ‘Eh bien, Il ne saura jamais que je suis ici en haut. En effet, Il ne peut pas me voir ici dans cet arbre. Et je vais bien voir à quel point Il est Prophète.’ Et de temps en temps, Il entendait du bruit.»

            Vous savez, généralement là où se trouve Jésus, il y a beaucoup de bruits. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est généralement comme ça. Voyez? «Ainsi donc, il a fait descendre la feuille, il a regardé par-dessus la feuille. Personne ne venait. Peu après, il a entendu du bruit. Il a regardé en bas. Et les rues commençaient à être bondées. Il a jeté un coup d’oeil sous la feuille, vous savez, veillant, regardant çà et là pour voir. Peu après, un grand gaillard a contourné le coin, la rue étant bondée, il a dit: ‘Je suis vraiment désolé pour ce matin, mes amis, voudriez-vous reculer pour faire de la place à notre Maître? Il est–Il est très épuisé et fatigué. Il est resté éveillé tard la nuit. Il a guéri les malades hier. Et des oeuvres ont été accomplies. Voudriez-vous reculer?»

52        «‘Ça doit être celui que Rebecca disait être Simon Pierre. Il a l’air d’un homme très robuste.’»

            «Voudriez-vous...»

            «Un autre homme est arrivé: ‘Nous sommes vraiment désolés. Mais faites de la place à notre Maître, s’il vous plaît, car Il est très fatigué ce matin.’»

            «‘Eh bien, m’étais-je dit, eh bien, Il ne me verra pas assis ici.’ Et alors, peu après, j’ai regardé au coin, là se tenait un–un ami à moi avec un enfant malade; il n’y a pas longtemps, j’étais là et je lui avais parlé. Le médecin qui mange dans mon restaurant, avec qui le sacrificateur et moi prenons le repas, avait dit à cet homme que cet enfant mourrait n’importe quand, tellement la fièvre était très forte. Et il était là, emmailloté dans une couverture, pour voir passer ce fanatique.’»

53        «Peu après, le petit père a couru devant Lui, il s’est prosterné et a dit: ‘Voudrais-Tu avoir pitié de mon enfant?’ Il a simplement touché la couverture. La fillette s’est mise à sauter et à courir, en s’en allant.»

            «Et lorsqu’il a regardé en bas, il y avait en cet Homme Jésus quelque chose qui a fait que lorsqu’il L’a vu, il a changé d’avis. Il n’avait plus envie de L’engueuler.» Si jamais vous regardez les Ecritures droit en face et que vous voyiez Jésus, ce qu’Il est, vous ne Le critiquerez plus jamais.

            «Il ne voulait plus L’engueuler, mais il a fait descendre la petite feuille et s’est mis à L’observer venir. Il avait la tête inclinée, marchant d’un pas ferme.» La Bible dit qu’Il n’avait pas de beauté pour attirer nos regards. Donc, probablement, c’était un petit Homme au dos voûté qui longeait les rues.

54        «Et lorsqu’Il est arrivé juste en dessous de là où était Zachée, Il s’est arrêté. Et Zachée regardait par-dessus cette feuille. Jésus a levé les yeux et a dit: ‘Zachée, descends. Aujourd’hui, Je vais dîner chez toi.’»

            «Non seulement Il savait qu’il était dans l’arbre, mais Il savait qui il était: ‘Zachée, descends. Hâte-toi de descendre tout de suite. Rebecca nous attend.’»

            «Vous rappelez-vous comment Il...»

            «Oh! oui, ont-ils tous dit. Je m’en souviens. Oui, oui. Nous nous souvenons de ce témoignage que Zachée avait raconté là ce jour-là au dîner. Combien il avait honte, et il a dit: ‘Seigneur, si j’ai causé du tort, je l’arrange. Je sais que Tu es le Messie. Assurément, je suis convaincu, lorsque Tu m’as appelé par mon nom, alors que j’étais assis là dans cet arbre.’»

            «Oh! oui.»

55        «Et dites donc, lorsque nous sommes sortis par les portails, vous rappelez-vous ce vieil aveugle Bartimée qui était là de l’autre côté? Vous souvenez-vous de son témoignage, frères?»

            «Oui, je m’en souviens.»

            «Il était assis là, pensant aux jours où il voyait, où il pouvait courir pour cueillir de petites fleurs sur la colline de Judée.» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Mais il ne fait pas le clown pour le diable. Il a dit: «Je ne fais que ce que le Père [Espace vide sur la bande.–N.D.E.]...?... ce que Je vois faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Combien savent que c’est l’Ecriture, Jean, chapitre 5?

56        Lorsque Jésus passait près de la piscine de Béthesda et qu’Il avait guéri un seul homme, Il a laissé des foules, des milliers couchés là: des estropiés, des aveugles, des boiteux, des gens aux membres atrophiés. Il est allé auprès d’un homme qui peut-être souffrait de la prostatite, peut-être qu’il souffrait de la tuberculose. Cela avait duré; il en souffrait depuis trente-huit ans. Pourquoi n’avait-Il pas guéri les estropiés et les aveugles? Il les avait dépassés tous et Il était allé auprès de cet homme.

            Maintenant, rappelez-vous, la Bible dit que Jésus savait qu’il était dans cette condition. Voyez? Il a dit: «Veux-tu être guéri?»

            Il a dit: «Je n’ai personne pour me jeter dans l’eau.»

            Il a dit: «Prends ton lit.»

            Il a dit: «Quelqu’un peut me dépasser.» C’est qu’il pouvait marcher. Il a dit que quelqu’un courait plus vite que lui, se jetait là le premier, il entrait dans l’eau après que l’eau était agitée par l’Ange.

            Il a dit: «Prends ton lit et rentre chez toi.»

57        Et Il fut interrogé. S’Il faisait cela dans cette ville ce soir, Il serait interrogé. Observez le diable dire: «Nous avons un homme qui vend des crayons ici dans les rues, un aveugle. Que ces guérisseurs divins le guérissent.» Voyez? Voyez-vous ce démon-là? Le même qui a dit: «Si tu es Fils de Dieu, fais un miracle devant moi. Ordonne que ce pain devienne... ces pierres en pain. Je croirai en Toi.» Le même démon. Lorsqu’on avait amené Jésus au prétoire et qu’on Lui avait mis un lambeau autour de la tête, un groupe de soldats ivres Le frappaient à la tête avec un bâton, et disaient: «Si Tu es un Prophète, dis-nous qui T’a frappé. Nous croirons en Toi.» Voyez? Dieu ne fait pas le clown.

58        Jésus a dit: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Vous y êtes. Voilà un véritable serviteur de Dieu. «Je ne peux rien faire de moi-même, mais ce que Je vois (Non pas «entends», «vois»). Donc, Jésus n’a jamais rien fait avant que Dieu le Lui ait montré en vision, sinon c’est qu’Il a dit une fausseté dans Saint Jean 5.19.

            «En vérité, en vérité (C’est-à-dire absolument, absolument), Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même.» C’était le Fils, le–le corps dans lequel Dieu demeurait. «Le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce que Je vois, Je vois faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement. Mon Père agit jusqu’à présent, Moi aussi, J’agis.» En d’autres termes: «Le Père Me montre quoi faire, et Je reprends exactement cela comme un acte théâtral.»

59        Eh bien, l’aveugle Bartimée a dit là, il a dit: «Qui passe?»

            «Oh! lui ont-ils répliqué, tais-toi», en le repoussant. Et là, finalement, une gentille petite femme, une servante de Christ... Tous les serviteurs de Christ sont gentils. Croyez-vous cela? Ils aiment témoigner de la courtoisie à ceux qui sont dans le besoin: aider l’aveugle à traverser la rue, les amener à la réunion, faire de bonnes choses. Lorsque le voisin est malade, ils vont l’aider, sans jamais s’attendre à de l’argent. Faire du bien aux autres. Tous les serviteurs de Christ sont comme cela. Ils aiment assister ceux qui sont fauchés et opprimés.

            Ce pauvre vieil homme aveugle était repoussé là, et eux tous criaient... L’un disait: «Salut, salut le Roi, le Prophète, le Prophète de Galilée. Salut!»

            Les autres disaient: «Ôtez cet imposteur!» D’autres disaient: «Viens ressusciter les morts, Toi hypocrite. Il y en a plein ici sur la colline. Viens par ici et ressuscite l’un de nos hommes. Nous avons un pieux sacrificateur qui est mort la semaine passée; viens le ressusciter si Tu es le Fils de Dieu.»

60        Jésus n’a point ouvert la bouche, Il a carrément continué à marcher. Tous les... Il se dirigeait vers le Calvaire en ce moment-là même, allant à Jérusalem. Tous les fardeaux du monde reposaient sur Lui. Tout homme qui soit jamais mort, chaque péché qui ait jamais été commis reposait sur Lui. Et Il savait qu’Il allait mourir. Je peux entendre Bartimée demander: «Qui passe?» Personne ne lui répondait. Aussitôt, cette gentille petite femme a dit: «Monsieur, laissez-moi vous aider à vous relever, gentil monsieur.»

            «Oh! Vous êtes gentille, madame. Qui êtes-vous?» Il a dit...

            Elle a dit: «Je suis servante de Christ.»

            «De quoi?»

            «De Christ. Etes-vous–êtes-vous Juif?»

            «Oui»

            «N’avez-vous pas lu dans les Ecritures que le Messie viendrait?»

            «Oh! Le Fils de David?»

            «Oui. Quel genre d’Homme sera-t-Il?»

            «Oh! Il sera un Prophète», a dit l’aveugle Bartimée. «Il sera un Prophète.»

            «C’est Lui qui vient de passer.»

            «Ô Jésus, Toi, Fils de David, aie pitié de moi!»

            Certains disaient: «Tais-toi. Comment peut-Il entendre ça?»

61        Allez une fois à Jéricho et voyez là où il était assis et là où se trouvait Jésus: environ trois cents yards [274 m], avec des milliers de gens qui disaient: «Salut, Prophète!» D’autres disaient: «Ôtez cet hypocrite (Des fruits trop mûrs Lui étaient jetés et tout comme cela) de notre ville.» Voyez? Les uns Le bénissaient, d’autres Le maudissaient; c’est pareil aujourd’hui, c’est la même chose.

            Certains disent: «C’est vrai. Ça vient de Dieu.»

            Les autres disent: «C’est un démon.» Vous y êtes. Voyez? Dieu retire Son homme, mais jamais Son Esprit. Le diable retire son homme, mais jamais son esprit, il s’en va vivre dans quelqu’un d’autre et continue à revenir, comme le Saint-Esprit. Voyez? Maintenant, ils sont vivants tous deux aujourd’hui. Tous deux vivent à Grande Prairie. Vous le savez. Assurément qu’ils vivent. Les deux esprits, partout où les hommes sont rassemblés, vous trouvez les deux esprits.

62        Ils étaient là. Et alors, là... Jésus ne pouvait pas l’entendre naturellement, il y avait trop de bruits. Mais l’aveugle Bartimée avait dû dire ceci: «Je sais donc que c’est le Messie qui, à ma connaissance, devait venir. Et je sais qu’Il est un Prophète.» Il a donc dû s’être prosterné sur ses genoux et avoir dit: «Jéhovah! Jéhovah!» Voyez, c’est conforme au reste des Ecritures.

            La femme qui toucha Son vêtement... Ce soir, Il est un Souverain Sacrificateur dont vous pouvez toucher le vêtement. «Jéhovah, je suis aveugle. Je n’ai pas d’argent pour une intervention chirurgicale; et ils ne pourront me faire aucun bien après tout. Jéhovah! C’est le Fils de David et Il me dépasse. Aie pitié.» Sa foi L’a arrêté, la foi du mendiant aveugle, une personne négligeable.

63        Ce n’était pas son cri, Jésus ne pouvait pas entendre cela. Il y avait trop de bruits; l’un disait telle chose, l’autre disait telle autre. Mais la foi de l’aveugle a arrêté Jésus. En effet, c’est ce que Jésus a dit. Et, rappelez-vous, avec les péchés du monde sur Lui, allant à Jérusalem, la foi d’un mendiant L’a arrêté sur Son chemin.

            Je souhaiterais avoir quelques jours; j’aimerais vous prêcher un soir, juste prêcher sur Et Jésus s’arrêta. Le soleil s’arrêta. Un de ces jours, le temps s’arrêtera. Mais Jésus s’arrêta et dit: «Ta foi t’a sauvé.»

            «Et vous rappelez-vous ce que l’aveugle Bartimée avait dit? Il a dit que c’était le Fils de Dieu. ‘Cet Homme-là était un Prophète. Ma foi a été assez forte pour L’arrêter. Et je Lui ai demandé que je recouvre la vue et Il m’a dit: ‘Ta foi t’a sauvé.’ Je me tenais là, regardant. Les foules descendaient la route. J’ai dit que cela doit être vrai. Ça être vrai. Je sais que c’est vrai. Et peu après, j’ai commencé à voir une ombre. Je me suis mis à observer. Et là étaient mes mains. Et j’ai couru sur la route me réjouissant.’»

            «Oh! Assurément!»

64        Oh! quelle réunion de témoignages ils ont tenue! Sans doute qu’ils pleuraient, criaient et sautillaient dans la barque, en criant: «Gloire à Dieu! Louange à Dieu! Frères, nous savons que nous sommes dans le vrai. Nous savons que c’est Lui le Messie.»

            C’est pareil aujourd’hui; vous pouvez prendre toute votre théologie morte que vous voulez, je prendrai le Christ vivant. Amen! Moi et ma maison, nous servirons Dieu.

            J’aime donc une expérience, l’Urim et le Thummim, la Parole de Dieu faite chair et demeurant parmi nous. «C’est Moi.»

65        Cette réunion de témoignages... A ce moment-là, nous commençons à voir, le diable doit avoir regardé par-delà la colline de Galilée, Il a dit: «Oh! les voilà là, tenant une réunion de témoignages, mais ils sont partis sans Lui. Il n’est pas avec eux maintenant. Comme Il n’est pas avec eux maintenant, c’est donc le moment de les avoir.»

            Mes précieux frères, c’est ce qu’il peut encore dire. Les églises partent sans Lui. Ils vont là à une grande nouba dénominationnelle, nos frères pentecôtistes, cherchant à se faire plus de membres que celui-là, ou plus de membres que cet autre-là, avoir de grands programmes en cours, de grandes choses, cherchant à se comparer aux autres églises. Nous ne devons pas faire cela. Attachons-nous à Jésus.

66        Le diable a dit: «Maintenant, je vais les couler. Je les ai eus ils s’en vont sans Lui.» Et c’est exactement ce qu’il essaie de faire maintenant. Il se met donc à envoyer son souffle empoisonné: «Ouf!» La vieille mer a connu une dépression nerveuse. Et les vagues se sont mises à sauter, à s’agiter et à... Il a dit: «Je vais les couler maintenant.» Il était là, faisant briller les yeux sur chaque vague, les éclairs brillaient, les tonnerres grondaient. Il disait: «Nous allons les avoir maintenant. En effet, nous les avons eus là sans Lui.» Et c’est ce que le diable a fait faire à l’église aujourd’hui, elle est allée sans Jésus en cette grande nouba dénominationnelle. Et la chose suivante, vous savez, les autres choses du monde et le fait de chercher à se comparer au monde... Nous ne pouvons pas nous comparer au monde.

67        N’allez pas sur le terrain du monde pour gagner les gens. Nous avons quelque chose qu’ils n’ont pas. Alléluia! Nous avons Jésus. Eux ont l’éclat. Comment pouvons-nous nous comparer à eux, à leur éclat? L’Evangile ne brille pas, Il luit. Assurément, vous ne pouvez pas faire luire cela. Il entre en vous et luit de soi. Amen. Oui. C’est ce que nous essayons de faire, nous emballer dans une histoire d’avoir plus que les baptistes, ou avoir plus que les méthodistes, et comment faire que nos églises ressemblent aux leurs et que nos dénominations soient comme les leurs. Et, oh! du non-sens! Revenons à Christ. Revenons aux réunions de prière à l’ancienne mode; revenons aux nuits où on versait des larmes de piété, pleurant devant Dieu, jusqu’à ce que nous voyions le Dieu vivant agir parmi nous, des réunions de prière se tenaient et des gens étaient convaincus. Revenons à cela. Il nous a aussi eus dans un emportement.

68        Qu’arriva-t-il donc? Il n’y avait plus d’espoir. Les rames étaient brisées. On avait fait descendre les voiles. Mais, vous savez, je ne voudrais pas vous laisser assis là, nous n’aimerions pas rester là. Mais, vous savez, c’est juste comme Jésus. Les Français prononcent Jésu. C’est juste comme Jésu. Il ne vous laissera pas.

            Savez-vous ce qu’Il a fait? Il savait qu’ils connaîtraient des ennuis. Il savait qu’ils allaient... que quelque chose leur arriverait là. Il savait que quelque chose nous arrivera. Il est Dieu. Il connaissait la fin depuis le commencement.

            Savez-vous ce qu’Il a fait? Il est monté sur la colline la plus élevée de la Palestine. Plus haut vous montez, plus loin vous voyez. Il est donc monté au sommet de la colline la plus élevée afin de veiller sur eux. Lorsqu’ils ont eu des ennuis et qu’ils ont eu besoin de Lui, Il a pu être un Secours qui ne manque jamais dans la détresse.

69        Et, frère, lorsqu’on Le crucifiait au Calvaire, le monde pensait L’avoir eu. La mort pensait L’avoir eu. L’enfer pensait L’avoir eu. Le diable pensait L’avoir eu. Mais Il a brisé chaque sceau. Non seulement Il était monté au Calvaire, mais Il a dépassé chaque lune et chaque étoile, Il est assis à la droite de la Majesté divine ce soir. Et Son oeil est sur le passereau, et je sais qu’Il veille sur moi. Pas vous?

            Il voit nos ennuis, notre panique, tout tourbillonnant dans tel sens, et certains d’entre eux on dirait disent: «Eh bien, je ne crois simplement pas cela.» Les autres disent autre chose. La maladie, le cancer, les maladies et toutes sortes de choses s’établissent parmi les chrétiens, ils affichent de mauvais comportements mondains et tout. Ils essuient simplement le devoir, c’est tout.

70        Mais, rappelez-vous, Il est assis là-haut, veillant sur vous, voyant ce que vous allez faire. A l’heure la plus sombre, lorsqu’il n’y a plus d’espoir pour un réveil, Il vint, marchant sur la mer. Il vint, marchant sur la mer.

            Vous savez quoi? Ces disciples sont pratiquement comme beaucoup de gens aujourd’hui. C’était l’unique Secours qu’ils pouvaient donc avoir, l’unique Chose qui pouvait les secourir, et ils En eurent peur. Ils dirent: «On dirait un fantôme. Il doit être un diseur de bonne aventure. Ça doit être une télépathie.» Ils En eurent peur.

            Et c’est ce qui se passe aujourd’hui. Les gens ne savent quoi faire à ce sujet. Il marche en plein parmi nous une fois de plus (Amen!), Il marche parmi nous, dans des troubles, pendant que les bombes atomiques et tout sont suspendus partout. Mais en cette heure sombre, où les églises sont toutes dans la confusion, divisées dans des divergences dénominationnelles, Jésus vient en marchant en plein au milieu de nous.

            Et les gens disent: «Je ne sais pas. Je ne sais donc pas. Cela n’est pas venu à notre organisation. Il nous faut faire attention.» Voyez? Mais quelles étaient les Paroles? «C’est Moi. N’ayez pas peur.»

71        De même, ce soir, Grande Prairie, je suis votre frère. Il est votre Seigneur. Mais c’est Lui qui agit parmi vous. Vous les pentecôtistes, la Bible ne dit-Elle pas... Paul n’a-t-il pas dit: «Si tous, vous parlez en langues, et qu’il survienne des hommes du peuple, et qu’il n’y ait pas d’interprétation à cela, ne diront-ils pas que vous êtes fous? Mais s’il y en a un qui prophétise et révèle les secrets du coeur, alors ils tomberont tous sur leur face et publieront que Dieu est réellement au milieu de vous.’» Je ne suis pas un banni; je suis votre frère. Si Jésus pouvait parler d’une voix audible ce soir, vous L’auriez entendu dire la même chose: «N’ayez pas peur. C’est Moi. N’ayez pas peur.» C’est le même Dieu, le même Esprit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez (le croyant), car Je serai avec vous, même en vous jusqu’à la fin du monde. Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Il a prophétisé pour ces derniers jours, le temps de la fin, la même chose qui arriverait, ce que nous avons vu cette semaine.

72        Ce qui arriva du temps de Sodome... C’est... Quel était... Non pas du temps de Noé, là, rappelez-vous, Il s’est référé à Sodome pour expliquer cela. Et celui-ci est le temps de Sodome, où le monde va être brûlé, pas noyé, brûlé. Il va être brûlé. Et ce signe doit revenir, pas une arche, mais Dieu demeurant dans la chair de Son peuple, dans Son Eglise.

            Jésus a dit: «En ce jour-là, vous connaîtrez que Je suis en Mon Père, que le Père est en Moi, que Moi, Je suis en vous et que vous, vous êtes en Moi.»

            C’est Dieu en vous. Tout ce que Dieu était, Il l’a déversé en Christ; et tout ce que Christ était, Il l’a déversé dans l’Eglise. Donc, c’est Dieu au-dessus de nous, Dieu avec nous, et Dieu en nous. Il n’est pas étonnant que nous ayons reçu la commission de baptiser en utilisant Père, Fils et Saint-Esprit. Ce ne sont pas trois Dieux différents: Ce sont trois offices d’un seul Dieu. Voyez? Dieu au-dessus de nous dans le Père, Dieu dans... avec nous dans le Fils, purifiant Son chemin, condescendant, descendant, me frayant une voie de retour, et ramenant Son peuple à l’état des fils de Dieu manifestés, tels qu’ils étaient dans le jardin d’Eden. Le monde entier gémit dans l’attente de l’heure de la manifestation des fils de Dieu.

            Ce soir, Il n’a d’autre voix que la nôtre. Il n’a d’autres mains que les nôtres. Il se sert de vos mains; c’est à Lui qu’appartiennent les mains. Il a dit: «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» J’espère que vous entendez cette tendre voix ce soir, la petite douce voix de l’Esprit qui peut parler dans votre coeur, et vous L’entendez dire: «C’est Moi; n’ayez pas peur.» Croirez-vous? Inclinons la tête.

73        Seigneur Jésus, il se fait tard en cette heure sombre. Je ne connais pas le temps exact où Tu pourras venir. Je crois que Tu as tendu Ta grande main et Tu as arrêté le temps, Tu l’as retenu juste un petit peu. La science disait il y a quelques années qu’il était minuit moins trois. Tu as dit dans Ta propre Parole: lorsque vous verrez ces choses commencer à arriver, Israël se rétablir, le figuier bourgeonner... Israël est aujourd’hui une nation. L’étoile de David à six pointes, le drapeau le plus ancien du monde, qui n’avait pas flotté depuis deux mille cinq cents ans, flotte au-dessus d’Israël ce soir. Israël se rétablit: Il a sa propre monnaie, sa propre armée... Il est une nation. Des milliers retournent, en demandant: «Où est ce Messie?» Quelle opportunité nous avons maintenant!

            Ils ont demandé: «Faites-nous voir le signe du prophète. Si nous le voyons accomplir le signe du prophète, alors nous reconnaîtrons que c’est le Messie, qu’Il était le Messie. Il l’avait promis.» Ô Dieu, alors que les Gentils reçoivent leur dernier appel, puissent-ils entendre ce soir la Voix de Dieu dire: «C’est Moi, n’ayez pas peur.» Seigneur, je suis fatigué. Je suis tellement fatigué que je peux à peine me tenir ici. Je Te prie de faire quelque chose de spécial pour nous ce soir. Accorde-le, Seigneur. Fais quelque chose exactement comme Tu l’avais fait. Qu’on ait un témoignage ici après mille neuf cents ans. Que ces apôtres et les disciples de cette église-ci ce soir puissent partir d’ici avec le même genre de témoignage, qu’ils puissent dire demain: «Nous savons que notre Seigneur est ressuscité d’entre les morts et qu’Il nous a sauvés du péché. Il nous a donné le Saint-Esprit. Il a utilisé nos lèvres pour prononcer la Parole dont nous ne... nous ne savons pas la teneur. Nous L’avons vu parler au travers de notre frère par l’Esprit de prophétie, pour accomplir le dernier signe promis à l’Eglise.» Nous croyons maintenant, Seigneur. Viens-nous en aide maintenant pour retrousser les manches, pour ainsi dire. Aide-nous à creuser là-dedans. Que chaque chrétien dans chaque quartier... Accorde-le, Seigneur.

74        Que chaque malade ici, chaque esprit démoniaque qui s’est emparé de ces chrétiens, que ces chrétiens soient dans l’unité et d’un commun accord au point qu’il n’y aura pas une seule personne faible parmi nous ce soir, à la fin du service. Accorde-le, Seigneur. Manifeste-toi vivant ce soir, Seigneur. Après que j’aurai quitté cette ville, Ton Esprit ne quittera pas; Il restera jusqu’à ce qu’Il ramènera le corps de notre Seigneur Jésus.

            Bénis mes frères, Seigneur. Bénis mes soeurs, ces jeunes gens et ces jeunes femmes au carrefour de la vie. Puissent-ils décider ce soir de Te servir. Accorde-le.

            Que tous les malades se rendent compte et sachent du fond de leur coeur que les Ecritures avaient prédit cette heure, et que cette heure est arrivée à la Grande Prairie, et que nous, en tant que Tes serviteurs, nous acceptons tous que nous vivons dans les derniers jours et que ces choses doivent arriver.

            Maintenant, Père, ne voudrais-Tu pas entrer en scène pendant quelques instants et prouver que Tu es ici. J’ai témoigné à Ton sujet. Maintenant, Seigneur, viens témoigner que j’ai dit la Vérité et nous croirons en Toi, Seigneur de tout notre coeur. Et chaque personne ici présente sera guérie, sauvée, pour la gloire de Dieu. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

75        J’avais dit à mon fils que je terminerai ce soir à 21 h 30’, et il est 22 h 10’ maintenant. Vous êtes... Je parle si longtemps.

            Ah!... Où est-il? J’ai oublié... Frère Fred, a-t-il–a-t-il... distribue-t-il les–les... a-t-il fait avec ces cartes de prière? Je lui avais dit de venir distribuer les cartes de prière. Je ne savais pas s’il l’avait fait ou pas et... J’étais en prière lorsqu’ils sont venus me chercher ce soir et–et je ne me suis pas rappelé de lui demander. Mais il distribue les cartes de prière... Combien–combien ont été distribuées? Eh bien, combien et quelles lettres? Qu’avez-vous distribué d’abord? Où... Série A–30. Par où avions-nous commencé l’autre soir? 1? Très bien. Prenons-en quelques-unes de la série B. Juste faire venir quelques-unes ici. Nous allons prier pour eux tous. Voyez? Commençons maintenant par la série B. En effet, certains, probablement, étaient ici pour voir cela auparavant. La série B, ce sont les nouvelles cartes. Combien avez-vous dans la ligne ce soir? 13, 14. Eh bien, prenons quinze de la série B ce soir. Voyons. Commençons afin que les hommes... Voyons: 85–85, 90, 95, 100... Commençons à partir de 85. Qui a la carte de prière B-85? Levez la main. Un homme derrière... Il y a deux mains levées ici. B-85, est-ce la vôtre, monsieur? Venez ici. B-86. Qui a la carte de prière B-86? Cette dame ici? Voudriez-vous vous tenir juste ici? 87, B-87, voudriez-vous lever la main, s’il vous plaît, afin que nous sachions qui vous êtes? 87, est-ce ça? Que dites-vous? 85. Ceci, c’est 86, ici, je pense. 87... Ça fait neuf. 86, carte de prière B-86. Vous avez... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

76        Il agirait de même qu’autrefois, s’Il est le même Souverain Sacrificateur. C’est vrai, n’est-ce pas? Maintenant, croyez. Que chacun de vous maintenant soit vraiment respectueux. Ne vous déplacez pas, croyez simplement. Maintenant, ô frères, maintenant, écoutez-moi...?... C’est ça.

            Maintenant, si quelqu’un doute que ce n’est pas Dieu, qu’il vienne donc ici prendre ma place. Venez ici et parcourez cette ligne de prière. Laissez le Saint-Esprit vous parler. Si vous savez mieux vous y prendre, faites-le-moi savoir. Oui, je serais certainement reconnaissant.

77        Eh bien, tous ceux qui sont dans cette ligne de prière, à ma connaissance, je ne vous connais pas; vous êtes Canadiens, ici; moi, je viens des Etats-Unis. Et si je ne vous connais pas, vous tous dans cette ligne de prière, levez la main, si je ne vous connais pas. Tout le monde. Combien là dans l’assistance savent que je ne les connais pas (Levez la main), savent que je ne sais rien à votre sujet? Tout le monde, à ce que je vois.

            Je connais les deux filles de frère Evans, qui sont assises ici même sur ce siège ici; à part ça, ce sont les seules que je vois, que je connais. Oui, il y a ici soeur Evans, le frère, et soeur Dauch, ici même, ici même. Oui. Très bien.

            Soyez maintenant très respectueux. Maintenant, vous m’avez entendu témoigner à partir des Ecritures et présenter une réunion de témoignages des apôtres. S’il y a les apôtres qui témoignent, évidemment, je... c’était sous forme d’une saynète. Mais tout ce que j’ai dit est tout à fait scripturaire. Croyez-vous cela? Eh bien, c’était scripturaire, présenté sous forme de saynète. Maintenant, s’Il n’est qu’un Dieu de l’histoire, alors Il est mort et tout est fini. Et nous pouvons...

78        Ou, vous ici au nord, vous savez que vous ne pouvez pas... Un homme ne peut pas se réchauffer à un feu peint. Si un homme gelait à mort et que vous l’ameniez pour lui montrer une grande peinture d’un grand feu rouge qui a brûlé autrefois, il ne peut pas se réchauffer à un feu peint. Nous ne pouvons pas non plus être sauvés par un Dieu historique. Nous ne pouvons pas rendre la joie complète avec le feu de la Pentecôte si ce n’est pas le même feu aujourd’hui. Nous ne pouvons pas–nous ne pouvons pas servir un Dieu historique, et à quoi nous servira-t-Il, le Dieu de... qui était en Christ, s’Il n’est pas aujourd’hui le même Dieu qu’Il a promis d’être? C’est scripturaire, amis. Maintenant, secouez-vous juste un peu. Ne soyez pas sous l’émotion, mais réveillez-vous juste une seconde. C’est l’exacte, vérité.

            Nous en sommes donc là: avec mes mains devant Dieu, ma Bible ici, vous m’êtes inconnus. Dans cette ligne de prière, je ne connais aucun d’eux, je ne les ai jamais vus de ma vie. La seule raison pour laquelle ils se tiennent ici, c’est que quelqu’un est venu ici, un jeune homme, avec un tas de cartes; il les a mélangées et a donné à quelqu’un une carte de prière. Et nous sommes venu ce soir, nous avons tout simplement dit: «Eh bien, je vais appeler à partir de tel numéro.» Nous appelons à partir de tel autre numéro. Il ne vous faut même pas avoir un numéro, vous n’avez même pas à avoir une carte de prière; il suffit de rester assis là et de dire: «Ô Dieu, je crois que la Bible est vraie, et je crois que Tu es le Souverain Sacrificateur. Et je crois que nous vivons dans les derniers jours. Cet homme ne me connaît pas, et je suis malade. Fais qu’il me dise ce qui cloche en moi. Fais qu’il–que–qu’il me parle comme Jésus avait parlé à la femme.» Puis, voyez ce qui arrive. S’Il ne le fait pas, alors, je suis un imposteur et la Bible dit un mensonge; mais il est impossible que la Bible dise un mensonge. Il peut se faire que je sois un imposteur, mais il est impossible que la Bible dise un mensonge. Mais si la Bible soutient ce que j’ai dit, je ne suis donc pas un imposteur, je suis un témoin de Sa résurrection, et vous pouvez aussi le devenir.

79        Maintenant, c’est glorieux, n’est-ce pas? Voyez. Où trouve-t-on une autre religion dans le monde? Allez prendre vos bouddhistes et vos musulmans. Voyons s’il est vivant. Mais notre Christ est vivant. Allez prendre les credos. Voyez si ça marchera. Ça ne marchera pas. Cela ne donnera pas le salut; cela ne produira pas le surnaturel. Si le Dieu Tout-Puissant... Si le Saint-Esprit venait maintenant même révéler une seule chose, juste une seule chose, ce serait un miracle aussi glorieux que possible. Tout à fait, parce que c’est surnaturel. Qui peut comprendre cela? Qui peut comprendre qu’un–un homme... deux personnes qui ne se connaissent pas, qui ne se sont jamais rencontrées dans la vie, et pourtant l’Esprit descend et révèle les choses mêmes qu’elles font, ce qu’elles pensent, ce qu’elles ont fait, ce qu’elles feront, sans jamais faillir? Ça doit être Dieu. Ça ne peut être rien d’autre. Ainsi, vous voyez, je le jure, je le sais, et vous le savez, que l’homme ne peut pas faire pareilles choses; il faut Dieu. Ainsi, s’Il prouve cela une fois, que c’est la Vérité, alors vous tous, vous devrez vous réjouir et être heureux. Et, rappelez-vous, c’est aussi pour vous. Le ferez-vous? Accepterez-vous ce Jésus dont je vous parle comme votre Guérisseur, s’Il le fait? Que Dieu l’accorde.

80        Maintenant, Père céleste, c’est jusque-là que je peux aller, Seigneur. Je ne peux que dire ce que la Parole dit. C’est à Toi d’accomplir la Parole. Voici Tes serviteurs, les prédicateurs, des hommes pieux. Voici des femmes pieuses, des servantes, assises partout, malades et affligées. Si Tu étais ici dans ce costume que Tu m’as donné, Tu ne pourrais pas faire plus pour eux. S’ils venaient dire: «Seigneur, voudrais-Tu me guérir?» Eh bien, Tu répondrais: «Mon enfant, Je l’ai fait il y a mille neuf cents ans lorsque J’avais été déshabillé... pour ta guérison. Crois-tu cela?» Il dirait: «Oui, Seigneur, mais comment reconnaître que c’est Toi?» Alors, Tu montrerais que Tu es le Christ. Tu pourrais le leur montrer, faire quelque chose qui–qui leur prouvera que Tu es le Christ, non pas par les cicatrices des clous dans Tes mains (en effet, n’importe qui peut imiter cela). Mais le surnaturel consiste à examiner la vie de cette personne-là, savoir ce qu’elle fait et ce pour quoi elle est ici. Nous reconnaîtrons alors que c’est Ton Esprit, Toi, le Grand Cep, agissant dans Tes sarments. Qu’il en soit ainsi une fois de plus ce soir, Seigneur. Honore Ta Parole. Pardonne-nous notre péché, comme nous avons pardonné à ceux qui ont péché contre nous. Donne-nous la douceur de l’Esprit et que le Saint-Esprit vienne maintenant très vite confirmer la Parole, que chaque personne ici présente sache que le Fils de Dieu n’est pas mort, mais qu’Il est ressuscité d’entre les morts et qu’Il est vivant après mille neuf cents ans, et qu’Il vit aux siècles des siècles. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

81        Maintenant, soyez bien attentif. Priez simplement et... Très bien. Est-ce un... Est-ce cet homme? Très bien. Maintenant, j’aimerais que chacun de vous, que tout le monde soit attentif. Soyez attentif. Soyez en prière et dites: «Seigneur, je souffre de telle et telle chose. Fais que frère Branham se tourne simplement vers moi. Je sais qu’il ne me connaît pas, il ne sait pas ce qui cloche en moi; mais si seulement Tu lui parles, je saurai que je T’ai touché. Eh bien, vous pouvez me toucher toute la nuit, c’est comme si vous touchiez cette chaire; il n’y a rien là! Voyez? Mais Touchez-Le juste une seule fois, voyez ce qui arrive. Voyez? Votre foi L’a touché. Maintenant, il y a un homme qui est... si je peux d’abord prendre quelqu’un ici devant moi. Voyez-vous? En effet, après avoir parlé et tout, alors, je...

            Je–je lui parle, juste comme le... Jésus a fait avec la femme au puits, jusqu’à ce qu’Il a vu son problème, et alors, Il le lui a révélé, et elle a dit: «Eh bien, c’est vrai.» Vous voyez donc, c’est comme ça que cela... avec cet homme. Maintenant, nous ne nous connaissons pas, n’est-ce pas, monsieur, vous et moi. Je voudrais simplement que vous vous approchiez d’ici afin que je vous... afin que je puisse... non pas regarder cette ligne de prière. Regardez donc dans cette direction-ci, ils sont... Parfois, un esprit quitte et certains d’entre vous ici...?... une foi élevée, ça va sur les autres.

82        J’aimerais premièrement vous parler. Eh bien, nous sommes deux personnes distinctes, deux hommes qui se rencontrent pour la première fois dans la vie. C’est vrai, n’est-ce pas? D’accord. Maintenant, s’il y a quelques... Je n’ai aucune idée de ce qui ne marche pas. Je–je ne sais pas. Alors, si je... si je peux vous aider à vous rétablir... ou peut-être que vous avez des difficultés à la maison; vous pourrez avoir des problèmes financiers; vous pourrez être malade, vous pourrez souffrir de cancer; vous pourrez souffrir de tumeur; vous pourrez souffrir de tuberculose. Je ne sais pas. Voyez? Je n’ai aucune idée. Mais si je pouvais vous aider et qu’ensuite je ne le faisais pas, je ferais mieux de quitter la chaire. Je serais un hypocrite. Je ne mériterais pas de me tenir ici derrière. Mais si je... si Jésus se tenait ici, et que vous Lui demandiez de vous aider, et que vous... qu’Il... qu’Il vous l’accordait...

            Eh bien, si vous voulez savoir que c’était Lui... N’importe qui peut avoir des cicatrices de clous dans ses mains, et les clous... les empreintes sur son front. Mais l’Esprit... Voyez, en effet, s’Il était ici, le Millénium commencerait. Il ne reviendra jamais sur cette terre avant de rencontrer l’Eglise dans les airs. Nous serons enlevés à la rencontre du Seigneur dans les airs; après, Il revient avec Son Eglise. Il ne peut donc pas être ici sur cette terre sous cette forme-là, seulement en tant que Son Esprit dans Son Eglise.

83        Maintenant, croyez-vous... Maintenant, l’Ange du Seigneur m’a dit... (Comme vous avez probablement lu mon livre; je ne sais pas.) Mais Il est... Vous avez lu cela. Très bien. Rappelez-vous, là au moulin cette nuit-là, lorsqu’Il m’a parlé, disant: «Si tu peux amener les gens à te croire, et qu’ensuite tu es sincère pendant que tu pries, rien ne résistera à ta prière.»

            J’ai dit: «Je... Ils ne me croiront pas. Je–je–je n’ai pas d’instruction.»

            Il a dit: «De même qu’il a été donné à Moïse deux signes comme confirmation, il en sera de même pour toi.» Il a dit: «Premièrement, tu tiendras les gens par la main, alors tu sauras ce qui ne va pas. Après cela, si tu es sincère, il arrivera que tu connaîtras les pensées mêmes de leurs coeurs.» Et Il a dit: «Ils auront à croire ceci.»

            Combien se souviennent que cela avait été prophétisé la première fois que j’étais ici, ou il y a des années? Je vous avais annoncé que cela arriverait. Eh bien, voyez si cela est arrivé ou pas. Regardez-moi simplement maintenant, alors que je... Pierre et Jean passaient par la porte, et il y avait un estropié, ils lui ont dit: «Regarde-nous.»

            Et ils l’ont regardé... Pourquoi? Ils cherchaient à attirer son attention. C’est pourquoi Jésus a dit: «Femme, donne-moi à boire.» Voyez? Vous êtes un esprit dans ce corps-là. C’est avec cela que je traite, l’esprit qui est ici à l’intérieur. Or, je ne vous connais pas par mon esprit, et vous ne me connaissez pas; mais Dieu nous connaît tous deux. Ainsi donc, il faudra qu’il y ait en moi quelque chose qui vous le dit; alors, vous saurez si c’est la vérité ou pas. Si c’est la vérité, eh bien, alors, cela vient de Dieu; si ce n’est pas la vérité, ça ne vient pas de Dieu. C’est raisonnable, n’est-ce pas?

            Vous n’êtes pas ici pour vous-même; vous êtes ici pour quelqu’un d’autre; c’est une femme. C’est votre femme, et elle n’est pas ici. Croyez-vous que Dieu peut me dire ce qui cloche chez elle? Croiriez-vous alors? Elle a une attaque d’apoplexie. C’est vrai. Croyez-vous qu’elle va donc se rétablir maintenant, par cet Esprit qui est sur vous? Lorsque vous rentrerez auprès d’elle, imposez-lui les mains, au Nom du Seigneur Jésus; ne doutez pas, elle s’en remettra. Allez donc et croyez. Que Dieu vous bénisse...?...

            Croyez-vous? Croyez-vous? Demandez à cet homme si ces choses étaient vraies. Ayez simplement foi maintenant; soyez vraiment respectueux, respectueux. Tant que je pourrai résister...

84        Nous ne nous connaissons pas. Je ne vous ai jamais vue de ma vie. Vous êtes plus jeune que moi. Je–je ne vous ai donc jamais vue. Mais peut-être que cette femme qui avait rencontré notre Seigneur au puits cette fois-là était probablement plus jeune que Lui. Et c’était leur première rencontre. Et nous voici nous rencontrer ici comme eux jadis. Maintenant, vous êtes un être humain; moi aussi. Je ne vous connais pas; vous ne me connaissez pas. Mais étant chrétiens, nous avons donc un Père qui nous connaît tous deux. S’Il peut me dire quelque chose pour lequel vous êtes ici, ou quelque chose que vous avez fait, quelque chose que vous n’auriez pas dû faire, s’Il peut vous dire ce qui a été, assurément que vous pouvez croire que ce qu’Il dit s’accomplira, s’Il vous dit ce qui a été.

            Maintenant, si je venais ici et que je disais: «Dieu m’a donné un don de guérison, je vous impose les mains: Gloire à Dieu! Soyez guéris», vous pourrez croire cela; ça pourrait être vrai. C’est vrai. Je le crois de tout... La Bible le dit. Mais maintenant, allons au-delà de ça. Nous avons connu ce jour-là. Allons au-delà de ça. Et maintenant, et s’Il se tenait ici maintenant et qu’Il vous disait ce que vous êtes, ce que vous voulez, les désirs de votre coeur, le secret de votre coeur, ce dont vous avez besoin dans votre vie, ou ce que vous n’aurez pas dû faire...

            Si cela n’est pas sous le Sang, Il l’exposera donc. Voyez? Maintenant, en effet, si cela est sous le Sang, c’est que ça se trouve dans la mer de l’oubli; aucun homme ne peut le déterrer. C’est vrai.

            Vous êtes une chrétienne. La vibration de votre esprit... (C’est comme ça que je l’appelle, je sais que c’est une onde.) Vous êtes la bienvenue, vous me croyez. Je... Vous croyez cela. Voyez? Aussitôt que vous vous êtes approchée, j’ai reconnu cela. Si vous étiez peut-être une–une séductrice qui s’avançait ici, que serait-il alors arrivé? Vous avez appris ce qui leur est arrivé: Plusieurs sont couchés, paralysés, ce soir; beaucoup sont dans des tombes à cause de cela. Nous ne faisons pas de religion. Nous servons Dieu. Vous êtes très nerveuse... Vous savez... Vous avez beaucoup de choses à l’esprit, une vie rude, votre vie passée, beaucoup d’ennuis et de détresse. Vous souffrez aussi de la hernie...?... Eh bien, croyez-vous que je suis Son prophète, ou Son serviteur? ...?... Et pensez-vous que ceci a été deviné? Un instant. Elle a un très bon contact avec Dieu, cette petite dame. Je ne sais pas ce que je vous ai dit, mais tout ce qui a été dit est vrai. Est-ce vrai? Maintenant, s’il nous faut nous tenir avec cette femme juste un instant...?... Elle peut parler à quelqu’un, un très bon esprit. Oui, la nervosité (C’est vrai), et une maladie de nerfs, et Satan vous dérange à ce sujet, il vous dit que vous allez perdre l’esprit et tout, mais vous êtes... il ment.

            Vous souffrez de la hernie; je vois ça, vous attendez une intervention chirurgicale, mais cela... Vous souffrez aussi des varices sur votre membre. C’est vrai. Vous avez aussi quelqu’un sur votre coeur; cette personne est ici: Votre mari. Vous pensez, si Dieu peut me dire ce qui cloche chez votre mari, croirez-vous cela? Son dos. C’est vrai. Voici autre chose, je vois apparaître un enfant. Vous priez et vous êtes intéressée à un enfant; il y a quelque chose qui cloche chez cet enfant-là. C’est qu’il n’apprend pas très bien. C’est vrai: AINSI DIT LE SEIGNEUR. Ces choses sont-elles vraies? Acceptez-vous tout cela comme un ticket de délivrance de la part de Dieu pour vous? Allez, et il en sera juste comme vous avez cru. Dieu...?...

85        Croyez-vous? Ayez foi; ayez foi. Je ne vous connais pas; nous ne nous connaissons pas, Madame? Vous m’avez rencontré auparavant et vous me connaissez. Moi, je ne vous connais pas. Voyez, beaucoup de gens me connaissent juste pour être venus dans des réunions et avoir été à des endroits comme cela; mais je ne sais jamais, je ne sais rien à votre sujet. Voyez? Croyez-vous que je suis Son serviteur? Je le crois. Vous souffrez de la hernie; c’est ce qui vous dérange. Vous n’êtes pas de cette ville non plus, mais d’Alberta, d’une ville appelée Easton. C’est vrai. Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? Cela vous aiderait-il? Madame Braun. Maintenant, allez et soyez rétablie...?... Que Dieu vous bénisse.

            Croyez-vous? Croyez-vous? Croyez-vous que Dieu peut me révéler votre maladie? Votre état est grave. Vous êtes sur le point de subir une intervention chirurgicale, c’est ce qu’a dit le médecin, c’était un genre d’homme fort, une maladie gynécologique. Et vous ne croyez pas dans les interventions chirurgicales. C’est pourquoi vous êtes venue vers moi pour que je prie pour vous. Et vous sentiez dans votre coeur, lorsque vous priiez, que si vous pouviez arriver à cette estrade et que je vous imposais les mains, vous n’auriez pas besoin d’intervention chirurgicale. Si c’est cela votre prière, levez la main. Comment est-ce que je sais ce que vous avez demandé à Dieu? Venez ici. Au Nom de Jésus-Christ, puisse le désir de cette femme lui être accordé. Amen. Ne doutez pas; croyez.

            Eh bien, vous m’êtes inconnue. Croyez-vous que Dieu peut me dire ce qu’est votre maladie? Pensez-vous que votre épaule se rétablira? Qu’avez-vous touché? Ça va maintenant. J’ai vu une femme plus grasse apparaître ici; vous étiez en train de prier. D’accord. Votre foi vous a sauvée maintenant. Qu’a-t-elle touché?

86        Cette petite dame assise là avec un chapeau noir, en train de me regarder, oui, vous, votre gastrite vous a quittée maintenant. Allez prendre votre souper. Jésus-Christ vous rétablit. C’est complètement terminé maintenant, allez manger. Elle souffrait de l’ulcère peptique de l’estomac, tout est fini. Qu’en est-il de ces maux de tête, vous assise là, jeune fille? Croyez-vous que Dieu peut guérir ces maux de tête et vous rétablir? Si c’est... Oui, vous aviez plus de foi que vous ne le pensiez, n’est-ce pas? Vos maux de tête s’arrêteront donc. Franchement, vous n’en souffrez plus maintenant. Qu’a-t-elle touché? Pensez-y donc: Qu’a-t-elle touché? Elle a touché le Souverain Sacrificateur.

            Cette dame assise là tout au fond souffrant de l’arthrite, là, croyez-vous que Dieu vous rétablira, vous là au fond? Cette femme portant des lunettes, je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue de ma vie, mais vous êtes assise là au fond en train de prier. Si c’est vrai, mettez-vous debout. Que Dieu vous bénisse; cela ne vous rendra jamais estropiée. Je vous demande de croire en Lui. Je ne connais pas ces gens, je ne les ai jamais vus. Mais mon Seigneur les connaît.

            L’homme assis, le deuxième à peu près à partir de la pièce là derrière, souffrant de la gastrite, croyez-vous que Dieu vous rétablira? Acceptez-vous cela? Que Dieu vous bénisse. Avez-vous une carte de prière? Avez-vous une carte de prière? En avez-vous une? Vous n’en avez pas besoin. Amen.

            Dieu peut guérir le diabète, n’est-ce pas? Très bien. Allez en croyant. Ayez simplement foi. Il guérit aussi la nervosité. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Continuez à marcher, en disant: «Merci, Seigneur.» Croyez simplement de tout votre coeur.

            Venez. Il guérit l’arthrite; croyez-vous cela? Allez donc carrément de l’avant. Oui, oui. Juste un instant, quelque chose est arrivé. Venez ici. Evidemment, nous voyons que vous marchez avec une canne. Je ne mentionnerai pas cela. Mais votre diabète et votre maladie du coeur, croyez-vous que Dieu rétablira cela? Et... que... que vous guérirez? Croyez-vous cela? ...?... que Dieu vous guérira? Continuez d’avancer, en disant: «Merci, Seigneur.» Continuez; soyez bien portant. Dites: «Merci, Seigneur.»

87        Croyez-vous, tout le monde? Ayez simplement foi; ne doutez pas; croyez de tout votre coeur. Qu’en est-il de cette affection de vésicule biliaire, vous debout là contre le mur? Vous avez un regard très sincère...?... Je ne vous connais pas, n’est-ce pas? Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Et c’est de cela que vous souffrez. C’est vrai, n’est-ce pas? Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Levez la main. Etait-ce cela votre maladie? Très bien, monsieur. Vous étiez assis là en train de prier, voulant que Dieu vous touche. Vous L’avez touché et Il m’a touché. Maintenant, Clarence, monsieur Roon, vous pouvez rentrer chez vous, rétabli. Dieu vous rétablit. C’est ça votre nom, n’est-ce pas? Si c’est vrai, levez la main. Je ne vous ai jamais vu.

            Croyez-vous? Combien parmi vous croient de tout leur coeur? Maintenant, c’est Christ qui est ici, mes amis. J’aimerais vous montrer quelque chose. Mes frères ici sont des hommes de Dieu. Ils ont le même droit que moi de prier pour les malades. Venez ici, frères; venez ici. Mettez-vous de part et d’autre, formez deux lignes, juste ici. J’aimerais que vous voyiez qu’après mon départ, vous n’avez pas à attendre mon retour. Il y a ici des hommes de Dieu qui prient aussi pour les malades. Formez simplement deux lignes ici maintenant, venez de deux côtés de moi. Je ne voudrais pas laisser à cette assemblée l’impression qu’il n’y a qu’un évangéliste qui doit passer par ici prier pour les malades. J’aimerais vous montrer que Dieu guérira les malades par les prières de ces hommes-ci.

88        Combien ici ont des cartes de prière? Levez la main. On dirait qu’on a pris vos numéros. D’abord, toutes les cartes de la série A, alignez-vous ici. Non, attendez. Où avons-nous... avez-vous arrêté? O.K. Je... Très bien, que–qu’avant que nous mettions... juste un instant, sinon, nous serons tous embrouillés. Que ces gens qui sont ici, qui ont la carte de prière série A, se mettent en ligne. Que... A et B, mettez-vous en ligne ici, cette–cette section-ci; alignez-vous juste ici. A et B. Dans cette section-là, seulement... Juste un instant. Prenez juste le... juste ce côté-là, par là. Nous allons les prendre tous. Juste un instant. Juste un instant donc, que nous prenions tout le monde. Voyez? Nous allons–nous allons prendre tout le monde.

            Tous ceux qui sont de ce côté-ci avec la série A et la série B...?... Maintenant, il nous faudra faire passer ceux-ci de l’autre côté par derrière, lorsque nous les prenons. Voyez-vous? Il nous faut prendre un côté à la fois. Tous ceux qui ont la série A et B, alignez-vous de ce côté-ci. Très bien. Maintenant, aussitôt que ce côté-ci sera terminé, que ceux qui sont dans la rangée du milieu passent de ce côté-ci, après qu’ils auront dégagé. Et aussitôt qu’ils auront dégagé, que ce côté passe. Que tout celui qui croit et qui passe ici, avec toute la foi en Dieu...

            Avez-vous peur? «N’ayez pas peur, c’est Moi», a dit le Seigneur Jésus. Vous croyez que c’est Lui, n’est-ce pas? Combien croient que c’est Lui? Maintenant, regardez, s’Il est ici, juste parce qu’Il a fait de moi un voyant, Il a fait de ces hommes des prédicateurs. Voyez? Ils ont le même Esprit que moi, le même Dieu, le même Saint-Esprit, la même responsabilité devant Dieu de prier pour les malades; les mêmes mains, le même Esprit. Ils sont oints...?... Nous allons nous tenir ici ensemble et prier pour chacun de vous alors que vous passez, vous imposer les mains. Et lorsque vous passerez par ici, agissez comme étant guéris. Passez par ici en disant: «Merci, Seigneur.» Et retournez là dans l’assistance et voyez vos gastrites et toutes ces autres choses vous quitter. Croyez-vous cela?

89        Prions maintenant ensemble alors que nous avons nos têtes inclinées. Seigneur Jésus, Tu es ici. Tu as prouvé que Tu es ici, Seigneur, dans toute cette salle, parlant aux gens, les appelant. Et Tes serviteurs se tiennent ici, Seigneur. Et j’aimerais que ces gens ici sachent que Tes serviteurs... qu’ils n’ont pas à attendre qu’une personne spéciale passe par ici, un évangéliste spécial. Mais, ô Dieu, ils peuvent aller appeler leur pasteur. Ce sont Tes serviteurs, et ils sont ici comme je les appelle, comme de vrais soldats, ils se sont tenus ici devant l’assemblée. Ce sont des croyants; ils sont prêts, oints pour imposer les mains aux malades. Et, Dieu Tout-Puissant, Toi qui as ressuscité Jésus, qui est notre Sauveur, qui est ici parmi nous ce soir, oins-nous, Seigneur. Oins-nous de Ton Saint-Esprit, de telle manière que lorsque nous imposerons les mains à ces gens-ci, que les bénédictions de Dieu viennent sur eux, que chacun d’eux soit guéri. Accorde-le, Seigneur. Nous commençons à les faire passer par ici, à prier pour eux, au Nom de Jésus-Christ.

            Et, Satan, nous avons un mot pour toi; nous voulons te dire que tu as séduit les gens aussi longtemps que tu le pouvais. Tu n’as aucun droit légal de les retenir. Jésus-Christ t’a dépouillé de chaque droit que tu avais lorsqu’Il est ressuscité d’entre les morts. Il t’a vaincu, et tu n’es qu’un bluffeur. Il est ici ce soir pour dénoncer ton bluff, t’exposer et te dire qui tu es. Et tu ne peux pas retenir cette assistance plus longtemps. Nous prenons cette assistance, ces gens malades ici, les enfants de Dieu, au Nom de Jésus-Christ, pour te chasser loin d’eux; et tu devras les quitter. Nous allons leur imposer les mains pour accomplir la Parole de Dieu. Lorsqu’ils passeront par ici, leurs coeurs seront remplis de la gloire de Dieu et ils sortiront d’ici en louant Dieu. Ils seront guéris, et il y aura un réveil. Ô Dieu, accorde-le, au Nom de Jésus-Christ; qu’il en soit ainsi, par Jésus-Christ notre Seigneur.

90        Maintenant, alors que l’assemblée a la tête inclinée, si vous ne pouvez pas prier, chantez pendant que quelqu’un conduit les chants.

     Crois seulement, seul...

            Maintenant, tout le monde, quand vous passerez, croyez donc en passant. Priez, frères...?... [Pendant que les gens passent dans la ligne de prière, les paroles de frère Branham ne sont pas toujours perceptibles.–N.D.E.] Au Nom de...?... Au Nom de...?... Au Nom de Jésus... Au Nom de Jésus... Au Nom... Au Nom de Jésus...?... En Ton Nom, nous croyons...?... Au Nom de Jésus, accorde la guérison de mon... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]

     Je L’aime, je L’aime,

     Parce qu’Il m’aima le premier,

     Et acquit mon salut

     Sur le bois du Calvaire.

91        Oh! Combien j’aime Jésus! Ne L’aimez-vous pas? N’est-Il pas merveilleux? Ne...?... Combien... Ceci est pour moi comme le Ciel. Pouvez-vous... Oh! je ne suis pas sous émotion, pas... Je n’exagère pas. Mais j’éprouve vraiment un sentiment très doux, c’est juste comme si le Père céleste disait: «Ça a été bien fait.» A-t-on prié pour tout le monde? Combien croient qu’ils vont maintenant se rétablir? Levez... Tout le monde. Regardez, l’Esprit de Dieu dans la réunion, Il parcourt, c’est exactement ce qu’Il a dit. Il n’y a qu’une seule chose qui l’en empêche. Si nous ne croyons pas vraiment cela, ça n’arrivera pas. Si vous croyez effectivement cela, ça doit arriver; c’est déjà arrivé. Voyez? C’est une oeuvre achevée. Oh! n’est-Il pas merveilleux? Oh! Je L’aime vraiment.

     Je L’aime, je L’aime,

     Parce qu’Il m’aima le premier,

     Et acquit mon salut

     Sur le... Cal-...

            [Frère Branham parle à quelqu’un sur l’estrade.–N.D.E.] A-t-elle terminé? Qu’est-ce qui ne va pas avec la jeune fille? Elle est tout agitée...?... [Frère Branham se met à fredonner Je L’aime.–N.D.E.]

                 Je L’aime,

                 Parce que...... acquit...?... (...?... posez les...?... [Frère Branham parle à quelqu’un.–N.D.E.])

                 ...salut.

                 Sur le... Cal-...

            Inclinons simplement la tête un instant. Père céleste, je sais qu’il y a dans l’assistance quelqu’un qui est... Satan a lié, et il cherche à retenir cette femme. Ô Dieu, accorde qu’il la quitte. Une personne aimable, pourquoi ne devrait-elle pas être libre? Je Te prie d’accorder cela, Père, par Jésus, Ton Fils, nous le demandons. Amen.

     Je... je...

     Parce qu’Il m’aima le premier,

     Acquit mon salut,

     Sur le... Cal-...

92        Y a-t-il ici un pécheur qui aimerait accepter Christ comme son Sauveur? Dans la Présence de Dieu maintenant, voudriez-vous vous lever pour dire: «Je L’accepte comme mon Sauveur»? Y en aurait-il un ici qui a rétrogradé et qui aimerait revenir à Dieu maintenant même sous l’onction du Saint-Esprit? Que Dieu vous bénisse, fils. Que Dieu vous l’accorde. Au Nom de Jésus-Christ, je vous donne le désir de votre coeur. Retournez maintenant à la maison de Dieu, invoquant Son Nom, et soyez-Lui fidèle. Pasteur, j’apprécie certainement cette précieuse communion. Pourquoi n’avez-vous pas demandé? Ça, c’est un pasteur. Il a laissé son assemblée passer et il n’a pas demandé pour lui-même. Ce saignement s’arrêtera. Qu’Il vous bénisse, frère. J’ai saisi sa main ici et une vibration s’est fait sentir. Et cela a montré un cancer; vous serez guéri maintenant. Il ne m’a point dit un mot à ce sujet, Il n’a point mentionné cela. Je viens simplement de saisir cela en lui serrant la main. Que Dieu vous bénisse, pasteur. Que Dieu vous bénisse, assemblée.

     Jusqu’à ce que nous nous rencontrerons!

     Jusqu’à ce que nous nous rencontrerons!

     Jusqu’à ce que nous nous rencontrerons au... Jé-...

            Que Dieu bénisse chacun de vous, mes frères. Que Dieu vous bénisse, frères.

                 Jusque... (Que Dieu vous bénisse, frère...?...)

                 Jusqu’à ce que nous nous rencontrerons... (Dieu, au... Jésus...?...)

                 Que Dieu soit avec vous

                 Jusqu’à ce que nous nous rencontrerons une fois de plus

            Alors que je vous remets à votre pasteur, inclinons la tête et chantons cela doucement:

     Jusqu’à ce que nous nous rencontrerons...

            Que le Dieu du Ciel soit toujours avec vous, et qu’Il vous accorde toujours Sa grâce. Je prierai pour vous. Priez pour moi jusqu’à ce que nous nous rencontrerons. Nous rencontrer où? ...aux pieds de Jésus.

     Jusqu’à ce que nous nous rencontrerons.

            Que Dieu vous bénisse, pasteur. Qu’Il vous bénisse...?...

Up