La Confirmation De La Commission
1 Vous pouvez vous asseoir. C’est... J’étais tellement emporté par le témoignage que je suivais que j’ai oublié de m’occuper de la foule. Je suis très content d’être ici ce soir au service du Seigneur et de pouvoir rencontrer frère O’Donnell, et... J’observais ceci qui indique ces signes aux sourds-muets. Et le frère me racontait que la dame qui était dans le fauteuil roulant l’autre soir, qui avait un cancer gros comme ça, a été si miraculeusement guérie qu’elle est sortie du fauteuil roulant, le cancer ayant disparu, et passait un moment glorieux. Et j’en étais très reconnaissant.
Il fait bon être ici ce soir avec frère O’Donnell et pour cette bonne assemblée des gens ici au... Est-ce Tempe ou Mesa? Tempe. Tempe, et je... Ça s’est tellement développé par ici depuis le temps où j’étais dans cette contrée, il y a de cela trente-cinq ans environ, que j’ai de la peine à reconnaître le lieu. Il fait vraiment bon être dans la maison du Seigneur.
2 A mon arrivée, une–une petite fille se tenait là, c’est la petite demoiselle O’Donnell, ainsi–ainsi qu’une petite... deux autres petites filles, et elle m’a parlé à la porte. Et–et j’ai dit: «On me dit qu’il va geler ce soir par ici.» J’ai dit: «Vous les gens du Sud, vous allez pratiquement geler par ici.» Alors, une petite fille a regardé l’autre et a dit... (Eh bien, elle vient d’Iowa ; et l’autre avait dit qu’elle venait de Minnesota.) Et j’ai dit... Avant cela, j’ai dit: «Lorsque j’ai quitté la maison, il faisait moins quatorze.» Cette petite fille d’Iowa, ou de Minnesota, l’un ou l’autre, a dit... Eh bien, il faisait moins cinquante-deux quand elle avait quitté. J’ai fini par découvrir que c’est moi qui suis du Sud. Moins cinquante-deux... Si nous attrapons cela dans notre contrée, nous allons réellement geler. Moins cinquante-deux, c’est une espèce de froid, n’est-ce pas, quand il fait si froid.
3 Maintenant, nous considérons ceci comme un grand privilège d’être ici avec vous ce soir en ce temps de communion, juste avant la convention des Hommes d’Affaires. La convention commencera le jeudi prochain là à Ramada. C’est à l’est de la rue Van Buren. Et nous vous invitons certainement tous là-bas. Il y aura de merveilleux orateurs à la convention. Et frère Velmer Gardner en est un, à ce que je sache. Et puis, je pense qu’on a certains hommes d’affaires qui vont parler. Et je–je pense que Jim Brown est l’un d’eux, ainsi que docteur Reed, et, évidemment, frère Rose est toujours là, frère Osteen de Texas.
Ainsi donc, je suis sûr que vous passerez un glorieux moment en y allant. Nous sommes vraiment ravis de... dans l’attente de cette convention. J’espère que ça sera comme autrefois, seulement ça sera plus glorieux. Et, rappelez-vous, si l’un vient, tous viennent ; tout le monde est invité. Et puis, si c’est la volonté du Seigneur, je pense qu’on m’a réservé un peu de temps où on me laissera essayer encore de parler au–au petit-déjeuner du samedi matin, je pense, et à la réunion du dimanche après-midi ; c’est au cas où le Seigneur le veut. Ainsi donc, je considère que c’est un grand privilège d’avoir à me tenir devant ces grands hommes et–et de donner un témoignage au Seigneur, pour le Seigneur plutôt.
4 Et je prie que Dieu bénisse frère O’Donnell ici ainsi que ce bon groupe des chrétiens en séjour ici, dans l’attente du Seigneur. Car, à vrai dire, nous sommes en séjour. Nous sommes des pèlerins et des étrangers. Ceci n’est pas notre demeure, mais nous cherchons une Cité dont Dieu est le Constructeur et l’Architecte ; nous sommes juste en séjour. Nous ne sommes pas... Ceci n’est pas notre demeure. Nous sommes juste de passage par ici. Et cela offre un si grand privilège... (Peut-être que si je vais détourner ceci comme ça...) Cela offre un si grand privilège (Est-ce mieux? Oui, oui), un si grand privilège d’être ici, pour consacrer ce temps de communion avec vous, de merveilleux chrétiens.
5 Et quand j’ai appris qu’il m’avait été donné le privilège parmi ces diverses personnes, des églises qui avaient... me permettaient de parler chez eux juste avant la convention, je me suis dit: «C’est un moment merveilleux pour exprimer notre appréciation sur la façon dont ces différentes organisations ont collaboré dans le passé, dans des missions que j’ai effectuées à travers le monde: les Assemblées de Dieu, les Foursquare, le Nom de Jésus, l’Eglise de Dieu, et plusieurs, les indépendants à travers le monde, eux tous affluaient comme une seule unité et pour la gloire de Dieu. Et Dieu fait de grandes choses parmi eux, et nous en sommes reconnaissant. Et puis, de revenir là où nous pouvons exprimer nos pensées, et notre communion et... Comme je le disais hier soir ici au Fellowship Tabernacle où nous avons tenu une réunion, et...
6 J’avais un vieil ami, frère Bosworth ; beaucoup parmi vous se souviennent de frère Bosworth. Il avait l’habitude de me dire... Il disait: «Frère Branham, savez-vous ce que c’est la communion?»
Je disais: «Je pense que oui, Frère Bosworth.»
Il disait: «Ce sont deux compagnons [fellows] à bord d’un navire [ship].» Il avait donc un sens d’humour, et j’aimais toujours cela: «Deux compagnons à bord d’un navire.» La couverture s’étend donc toujours un tout petit peu pour aider l’autre compagnon, vous savez, et c’est très bien.
7 Maintenant, je suis... Certainement que j’espère que vous prierez pour moi, et je... Ceci, aujourd’hui... J’ai envoyé mon fils il y a quelque temps voir s’il y avait quelqu’un qui voulait qu’on prie pour lui. En vérité, je ne venais pas tenir des services de guérison, juste, oh! parler. Tout celui qui m’a déjà écouté sait que je ne suis pas un prédicateur, mais... Je n’ai pas d’instruction, et je ne peux pas prêcher, mais je–je prie généralement pour les malades. Et–et en venant, généralement les gens se rassemblent pour qu’on prie pour eux. Evidemment, il y a beaucoup de malades. Mais le dimanche, je n’avais rien dit à ce sujet, car j’aurais amené les gens des autres églises à aller dans des églises où je devais me trouver le dimanche afin qu’on prie pour eux. Et je pensais que cela pourrait faire du mal à d’autres églises. J’ai donc simplement laissé cela de côté.
8 Eh bien, hier soir, j’ai annoncé que ce soir nous prierions pour les malades ici ; et, Dieu voulant, nous allons peut-être, demain soir, ou la soirée prochaine, l’un ou l’autre, prier encore pour les malades. J’espère donc que ça sera bien, que le Seigneur guérira chaque personne malade ici ce soir. Et je vous assure, mes précieux amis, par-dessus tout, j’espère que ceux qui sont malades du péché seront guéris ce soir. Si le Seigneur vous guérissait uniquement de votre maladie, vous tomberez probablement malade, si vous vivez encore. Voyez? Mais ce que nous cherchons, amis, c’est la Vie Eternelle. C’est vrai, car c’est–c’est ça la vraie cure.
9 Et j’espère que s’il y a quelqu’un ici qui n’est pas un croyant en Christ, il deviendra un croyant ce soir. Et si vous êtes ici et que vous n’êtes pas né de nouveau, ou que vous n’avez pas reçu le Saint-Esprit, que vous n’êtes pas rempli du Saint-Esprit, j’espère que celle-ci sera la soirée où cela arrivera. Si vous êtes un rétrograde, j’espère que le Seigneur Jésus fera quelque chose de tellement réel ce soir pour vous ici, réchauffera–réchauffera votre coeur de telle manière que vous reviendrez à la communion avec Lui, car Il attend, les bras tendus, Il attend.
10 Il y a quelques années, j’ai une fois apporté un petit sermon à l’Angelus Temple lorsqu’on y célébrait le jubilé de la Pentecôte, les cinquante ans du jubilé. Et je me rappelle la première soirée que j’ai prêchée sur la sainteté, chose que je crois. Et j’ai, d’une façon ou d’une autre (Ce n’était pas mon intention, mais vous savez...), taillé vraiment les gens en pièces, la façon dont ils s’étaient éloignés de la Pentecôte originelle, comme tout au début lorsque le Saint-Esprit était descendu, la vie que ces gens menaient et ce qu’ils faisaient il y a cinquante ans.
11 Et j’ai dit: «Oh! Nous venons de loin. Nous avons de grandes organisations depuis lors, de grands et beaux bâtiments, des prédicateurs très raffinés.» J’ai dit: «Je me demande si nous avons encore la bénédiction de la Pentecôte qu’on avait autrefois.» Voyez? Voyez? J’ai dit: «Autrefois, nos–nos soeurs venaient à l’église... C’était une honte pour l’une d’elles d’avoir des cheveux courts, ou d’avoir de la manucure, ou quelque chose comme cela. Mais cela... On a plutôt laissé tomber les barrières quelque part.»
12 Et alors, il y avait un ami à moi, lequel... Il est aussi un frère pentecôtiste, et beaucoup parmi vous peuvent le connaître. Son nom est William Booth-Clibborn. Oh! Beaucoup parmi vous le connaissent. Et frère Booth est un ami intime à moi, seulement nous ne nous accordons pas sur la doctrine, car il est tellement calviniste qu’il me dépasse quant à cette conception. Moi, je suis uniquement calviniste tant que le calvinisme est dans la Bible. Voyez? Et alors, dès que ça sort de là, ça dépasse mon entendement, je ne peux pas penser davantage.
13 Je l’ai donc vu sur l’estrade. Alors, quand nous avons quitté l’estrade, il m’a rencontré là dehors, il m’a regardé, il a dit: «Tiens! Tiens! Tiens! Honte à toi! Quel message légaliste! Tu es mieux avisé que ça.» Il m’a tout simplement taillé en pièces, vous savez.
Et le lendemain, j’ai prêché sur L’Agneau et la Colombe. Et alors, le Seigneur avait tellement béni le petit message décousu. Et lorsque je suis sorti, il s’essuyait les yeux, vous savez. Il a dit: «C’était bon, mais très simple.» Très simple. Je disais... «C’était très bien, disait-il, mais c’était très simple.» Il était si... Il peut prêcher en sept langues, vous savez, alors mon simple parler du Kentucky était trop simple pour lui, peu importe... Nos meilleures manières ne l’affecteraient nullement. Voyez?
C’est pratiquement donc ainsi que je dois parler: de façon simple. Je crois que l’Evangile est simple. La Bible dit qu’Il est tellement simple qu’en principe même l’insensé ne s’égarera pas. Voyez? Alors, tout ce que vous avez donc–donc à faire, c’est vous rappeler l’ABC. Savez-vous ce que ça signifie? Always Believe Christ. [Toujours croire Christ] Ce–c’est tout ce que vous avez à faire. Ça règle la question. ABC, et pour moi, vous êtes pleinement instruits.
14 Ainsi donc, il y a des gens debout, et j’apprécie ça. Et maintenant, je ne suis point venu prêcher. Je vais prier pour les malades, mais pour avoir un petit arrière-plan, un discours sur les Ecritures. Je pense que je me suis en quelque sorte prêché à moi-même l’autre matin chez frère Fuller. Est-ce Life Tabernacle ou quelque chose comme cela comme je l’appelais? [Quelqu’un dit: «Faith Tabernacle.»–N.D.E.] Faith Tabernacle... Je pense que je les ai retenus l’autre nuit. Avant que j’arrive à l’église, le pasteur ou quelqu’un m’avait envoyé un mot, disant: «Dites donc, ces gens aimeraient aller au lit la nuit.» C’est donc très rare que je prêche plus de six ou huit heures, je–je ne dépasse donc jamais cela, donc...
Et là, chez frère Outlaw, l’autre soir, je pensais qu’il me retirerait pratiquement de la chaire. Je ferais donc mieux de bien m’y prendre ce soir, ici si loin, et certains parmi vous viennent de très loin. Maintenant, il fait bon être ici. Et avant d’aborder la Parole maintenant, parlons à l’Auteur.
15 Il n’y a pas longtemps, quelqu’un disait... J’étais à Ft. Wayne Gospel Tabernacle, chez B. E. Rediger. C’était un grand homme de Dieu, il est mort il y a des années... Le Seigneur avait vraiment béni ce frère. C’était un puissant homme de foi. Lorsque j’étais un petit garçon, j’avais l’habitude de m’asseoir chez Paul Rader là, qui n’était qu’un jeune ministre.
Et par après, la fille de frère Rediger avait perdu la raison, elle était devenue folle. Un jour, elle s’est retrouvée là dans mon dépôt de charbon, un matin de Pâques. Et on m’a dit qu’il y avait une jeune fille folle là derrière dans l’église. Je revenais d’une campagne. Je suis allé là derrière et j’ai découvert que c’était la fille de B.E. Rediger, et la soeur Rediger était assise là. Mon coeur a failli s’arrêter. Elle était assise là, se peignant ses longs et beaux cheveux avec ses doigts, criant: «Un sou est un sou, un penny est un penny.» Une belle jeune fille...
Pendant... Je me suis agenouillé là et j’ai dit: «Seigneur Jésus, sois miséricordieux envers elle.» C’était ça. Elle est mariée, elle a deux ou trois enfants maintenant, elle va bien, et... Quelle grâce! Et c’est si simple que nous–nous regardons par-dessus et nous passons par-dessus Lui, en toute sincérité, cherchant à trouver ce qui est juste si près de nous, comme ça. Nous croyons simplement, nous avons la foi, nous ne doutons pas.
16 Je tenais une réunion là. J’oublie le nom du frère pentecôtiste responsable du tabernacle maintenant. Je tenais une réunion là-bas, il y avait... Ce chant, Crois seulement, a été composé par Paul Rader, et c’était un merveilleux chrétien, un grand messager en son jour. J’étais assis dans son petit bureau, et on chantait cela pour m’inviter à la chaire ; en fait, on l’a fait à travers le monde. Et j’étais assis là, sachant que c’était là même dans ce bureau que Paul avait reçu l’inspiration pour composer le cantique. Et cela a retenti: Crois seulement. Et, oh! cela m’a simplement enflammé le coeur.
17 Et après le service... Il y avait plusieurs grandes choses que notre Seigneur avait accomplies dans la réunion. Je suis retourné là, à–à côté de cet endroit, et j’attendais. Un homme est entré, il a dit: «Monsieur Branham?» Et j’ai dit: «Oui, monsieur.»Il a dit: «J’aime vous entendre prêcher, mais, a-t-il dit, votre grammaire est très pauvre.» Et j’ai dit: «Oui, oui. Je le sais.»Il a dit: «Vous dites certaines des choses les plus horribles.»Et j’ai dit: «Oui, oui. C’est vrai.» J’ai dit: «Je n’ai pas eu l’occasion d’acquérir une instruction.» J’ai dit: «J’ai grandi dans une famille de dix enfants, avec des parents pauvres, et j’ai dû aller travailler tôt pour prendre soin de cette famille. Je n’ai même pas eu l’instruction de l’école primaire.» Il a dit: «Ça ne constitue pas une excuse pour le moment, vous êtes un homme.»J’ai dit: «Eh bien, je–je suis tellement occupé à l’oeuvre du Seigneur maintenant que je n’en ai pas la possibilité.» Il a dit: «Toutefois, vous pouvez recevoir cela par correspondance.» Il a dit: «Eh bien, par exemple, ce soir là-bas, vous avez dit: ‘Vous tous, qui passez par ce polpit [chaire] ...?...»J’ai dit: «Eh bien, je ne savais pas mieux.» J’ai dit: «N’est-ce pas cela?»«Certainement pas, a-t-il dit. Vous devriez dire: Pulpit.»J’ai dit...Il a dit: «Vous...»J’ai dit: «Eh bien, d’accord.»Il... (Quelque chose au sujet d’une mauvaise prononciation que j’avais eue ou quelque chose comme cela.) il a dit: «Eh bien, vous ne connaissez simplement pas votre Bible.»J’ai dit: «Eh bien, c’est peut-être vrai, mais j’En connais très bien l’Auteur.» Vous savez, il n’est pas dit: Connaître Son Livre, mais Le connaître, Lui, l’Auteur de la Parole...
18 Inclinons la tête maintenant pendant que nous Lui parlons à notre humble manière. Maintenant, avec nos têtes inclinées et nos coeurs aussi: Y a-t-il une requête spéciale pour laquelle vous aimeriez que nous nous souvenions de vous? Levez la main vers Dieu. Juste dans votre coeur, retenez votre requête, et dites: «Seigneur, j’ai besoin du salut ; j’ai besoin de la guérison ; je–j’ai besoin de quelque chose.» Dieu comprendra.
19 Notre Père céleste, alors que nous nous approchons de Ta Sainte Présence ce soir, au Nom du Seigneur Jésus, nous venons en Son Nom, parce qu’Il a dit: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Or, nous savons que nous ne pouvons pas venir en notre propre nom. Nous ne pouvons pas venir au nom de notre église, au nom de notre pasteur, ni au nom de notre organisation, et nous attendre à être exaucés. Mais nous avons l’assurance que si nous venons au Nom du Seigneur Jésus, Il nous a promis de nous exaucer.
Et ce soir, je prie, Père céleste, alors que nous sommes rassemblés ici dans ce petit tabernacle qui a été consacré à Ton service, dont Ton serviteur, notre frère O’Donnell, est présentement pasteur, paissant les brebis qui sont en séjour dans cette partie du pays, je prie que Tes bénédictions reposent sur ce pasteur, sur sa famille, sur l’église, sur toutes les brebis qui paissent ici à ce pâturage.
20 Je prie pour chaque église représentée ici, pour tous. Et pour ceux qui ne sont pas chrétiens, je prie qu’ils le deviennent ce soir. Je prie pour les hommes d’affaires qui sont ici, frère Rose, frère Williams, et beaucoup d’autres, pour la convention à venir là-bas. Que ce petit réveil, pendant ces quelques jours, à Phoenix, à Tempe, à Sunnyslopes et à travers cette contrée ici, amène plusieurs chrétiens à avoir une nouvelle prise. Que beaucoup de rétrogrades reviennent à Dieu, que beaucoup de pécheurs viennent à Christ, que beaucoup de malades soient guéris. Accorde-le, Père.
Parle-nous ce soir au travers de la Parole, la Vérité. Ta Parole est la Vérité. Guéris tous les malades et tous les affligés, tant dans la chair que dans l’Esprit. Ces mains qui se sont levées ont un besoin, Seigneur, et je Te prie de pourvoir à tout cela ce soir, par Jésus-Christ, notre Seigneur. Amen.
21 Maintenant, beaucoup parmi vous aimeraient lire les Ecritures avec ceux qui lisent. Je désire lire deux passages ce soir. L’un d’eux se trouve dans Marc, chapitre 16, et nous allons commencer au verset 14 ; et l’autre se trouve dans Saint Jean, ou plutôt... (Je pense que c’est ce que j’ai noté. Permettez-moi de vérifier d’abord.) Oui, Saint Jean 14.12, c’est le deuxième passage des Ecritures. Et maintenant, dans Saint Marc, chapitre 11, à partir du verset 14, puis, Saint Jean 14.12... Maintenant, nous aimerions suivre attentivement la lecture, car c’est la Parole de Dieu que nous aimerions entendre. D’abord, Marc 16:
Enfin, il apparut aux onze, pendant qu’ils étaient à table; et il leur reprocha leur incrédulité et la dureté de leur coeur, parce qu’ils n’avaient pas cru ceux qui l’avaient vu ressuscité.
Puis il leur dit: Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création.
Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné.
Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: En mon nom, ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues ;
ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.
Le Seigneur, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel, et il s’assit à la droite de Dieu.
Et ils s’en allèrent prêcher partout. Le Seigneur travaillait avec eux, et confirmait la parole par les miracles qui l’accompagnaient. Amen.
Jean 14.12, c’est Jésus qui parle:
En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les oeuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m’en vais au Père;
Je–je voudrais prendre pour sujet, le Seigneur voulant, La Confirmation de la Commission, pour sujet, et juste parler. J’ai quelques passages des Ecritures et des notes qui pourront nous aider tout au long. Maintenant: La Confirmation de la Commission.
22 Or, je pense que tout doit être confirmé. Si vous construisez une maison, elle doit être construite d’après les normes, sinon on n’approuvera pas cette maison telle que construite et vous aurez à la détruire pour la reconstruire. Et je pense aussi que si vous descendiez la rue et que... ou là à votre travail, et que quelqu’un s’avançait vers vous et disait: «Je suis un commissaire de police des Etats-Unis. C’est en cette qualité que je vous arrête tout de suite», eh bien, vous aurez le droit de dire à cet homme... Si vous le regardez, il est en uniforme, il porte le badge. Cependant, cela ne fait pas de lui un commissaire de police des Etats-Unis. N’importe quel escroc peut porter cela. Vous pouvez vous acheter un badge ici, pratiquement, dans un bazar et aller à une vente de charité vous procurer un uniforme ou n’importe quoi. Cela ne fait pas de lui un commissaire de police des Etats-Unis.
23 Pour s’identifier, il doit détenir ses pièces d’identité scellées, pour confirmer sa déclaration qu’il est un commissaire de police des Etats-Unis, sinon il n’est rien tant que cela n’est pas confirmé. Il a confirmé sa commission, et il le fait par une déclaration scellée, une déclaration pour montrer que c’est un agent assermenté et qu’il a été... sa commission a été scellée du sceau des Etats-Unis, et puis, sur son nom. Et c’est ce qui l’habilite donc ; qu’il porte un badge ou pas, qu’il soit en uniforme ou pas, tant qu’il est muni de cette pièce d’identité, il est un commissaire de police, et c’est ça sa commission. Juste un badge et l’uniforme, cela ne marchera pas.
24 Nous trouvons très souvent dans l’armée (J’ai suivi mes frères et beaucoup de ceux qui avaient été outre-mer) que, souvent, les Japonais, les Allemands et les autres pays étrangers qui étaient contre nous pendant la guerre... s’ils pouvaient ramasser un soldat mort et trouver l’un de leurs soldats à qui cet uniforme conviendrait. Eh bien, ce dernier pouvait se faire passer pour un–un soldat américain. Il devait être parfaitement identifié, sinon on ne croirait jamais son uniforme, ou peut-être l’étiquette qu’il portait sur le cou. Il devait être identifié comme soldat américain, car il pouvait facilement faire l’espionnage. Tout espion ordinaire peut porter l’uniforme des Etats-Unis.
25 Et nous trouvons cela dans toutes les couches sociales. Nous trouvons cela aujourd’hui, peut-être dans la rue. Nous entendons beaucoup de gens dire qu’ils sont Américains. Il y a quelque temps, je sortais de Quartermaster, qui était là à Jeffersonville ; un matin, je patrouillais à pied. Un homme très bien habillé descendait la rue, un très gros cigare à la bouche ; c’était un fonctionnaire de l’Etat. Il m’a regardé, c’était tôt le matin, il portait des lunettes anti-soleil. J’ai dit: «Bonjour, monsieur.»
Il m’a regardé et a dit: «Hum», il a continué sa route.
«Eh bien», me suis-je dit... Je... Je ne devais rien dire, mais dans mon coeur, il n’était pas un vrai Américain ; en effet, les Américains n’ont pas en principe pareilles attitudes. C’est vrai. C’est la communion, la tolérance, la bonne volonté.
26 Et maintenant, voyez, tous ceux qui vivent en Amérique ne sont pas Américains. Il y a des espions, des communistes, et tout le reste, et l’unique moyen de pouvoir les identifier correctement, savoir s’ils sont des vrais ou pas, c’est en réalité par ce qu’il y a en eux, si leur coeur est en Amérique ou si c’est juste leur portefeuille qui y est. Voyez?
Ça dépend de ce qu’il y a. Tout escroc peut–peut détenir des soi-disant pièces d’identité sans pour autant être un patriote très authentique. C’est pourquoi je pense que tous ceux que nous rencontrons, qui se disent chrétiens, ambassadeurs envoyés du Ciel, devraient se munir d’une confirmation de–de leur commission. Je pense qu’il doit y avoir une confirmation de leur commission.
27 Eh bien, nous savons que Jésus dit ici, dans Marc chapitre 16, que tous ceux qu’Il a envoyés par une commission devraient avoir la confirmation: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Eh bien, Il n’a pas dit que peut-être ils les accompagneront, ou qu’ils pourront les suivre. Il a dit: «Allez par tout le monde...» Or, quelqu’un veut supprimer cette commission d’il y a deux mille ans. Mais Il a dit: «Par tout le monde, à toute la création... Voici les miracles qui accompagneront, par tout le monde, à toute la création», voyez. Et c’étaient des miracles qui devaient accompagner pour prouver l’identification.
28 La Bible dit que l’Evangile n’est pas venu à nous en paroles seulement, mais avec puissance et démonstration du Saint-Esprit. Autrement dit, c’est le Saint-Esprit qui prend la Parole de Dieu et qui La manifeste. Voyez? Et en d’autres termes, l’unique moyen pour que les miracles de Marc 16 puissent accompagner le croyant est que le Saint-Esprit Lui-même prenne la Parole de Dieu et La démontre aux gens. C’est ça.
Eh bien, la foi vivifie la Parole. Voyez, la Parole est Dieu: «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.» Et puis, Jésus dit: «Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous, demandez ce que vous voudrez et cela vous sera accordé.» Voyez? Il s’agit de s’accrocher à Christ dans la Parole. Ne pas aller à droite ou à gauche, s’Y accrocher. Voyez? Et alors, ce n’est en fait pas votre parole en ce moment-là, c’est Sa Parole, et Sa Parole a la puissance et l’autorité.
29 Eh bien, si le Saint-Esprit, qui est la Parole de Dieu, ou la puissance de la Parole de Dieu, entre dans la Parole de Dieu, cela amènera la Parole de Dieu à se manifester. «Allez par tout le monde et démontrez la Bonne Nouvelle à toute la création. (Voyez?) Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé ; celui qui ne croira pas sera condamné. Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Quelle belle disposition! Si seulement nous pouvons approfondir cela maintenant et que nous suivons, c’est cela le signe d’identification que devait porter chaque homme qui va prêcher l’Evangile.
Et aucun homme n’a le droit de prêcher l’Evangile sans le baptême du Saint-Esprit. Jésus n’a pas permis à Pierre, Jacques, Jean et tous les autres de prêcher l’Evangile avant d’avoir attendu dans la ville de Jérusalem, d’être remplis du Saint-Esprit, car c’est le Saint-Esprit qui met la Parole de Dieu en action. Voyez?
30 Eh bien, cette même Parole est tout aussi vivante ce soir qu’Elle l’était à l’heure où Elle a été proclamée. Voyez? Tout ce dont nous avons besoin, c’est... Le Saint-Esprit derrière la Parole met Celle-ci en action et démontre la puissance qu’Elle a promise. Chaque bénédiction que Dieu a promise, tout ce qu’Il a dit, peut être vivifié si le Saint-Esprit est derrière la Parole, car c’est Cela qui vivifie la Parole et Lui donne vie. Voyez? Ainsi donc, nous savons que c’est vrai.
31 Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront tous ceux que J’envoie.» Les autres refusent ; c’est tout. Certainement. Chaque incroyant, chaque critiqueur de la Parole, peut venir avec une identification d’une quelconque dénomination, d’une organisation faite de mains d’homme, ou quelque chose comme cela, dire: «Je suis presbytérien, luthérien, baptiste», quoi que ça puisse être. Il peut facilement s’identifier dans une communauté de cette même église dénominationnelle grâce à ses références. Mais ces références ne viennent que d’une organisation qui a été établie suivant une théorie et non pas la Parole de Dieu. Mais Dieu... S’il est envoyé de Dieu: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Voyez? C’est ce que Jésus a dit. Voyez?
32 Voyez, c’est soit vous acceptez ce qu’une quelconque organisation a dit, une quelconque théorie élaborée par des mains d’homme a dit... Ils prêcheront la doctrine de cette théorie. Et puis, ça sera là leur identification au conseil des diacres ou je ne sais quoi, qu’ils ont une bonne communion avec cette organisation-là. Je n’ai rien contre cela, comprenez, mais je défends seulement ce que Jésus a dit. Voyez? Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Et Jésus dit dans Saint Jean 14.12: «En vérité, en vérité, Je vous le dis (Cela veut dire: Absolument, absolument, Je vous le dis), celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Et comment un homme peut-il croire qu’il est envoyé de Dieu, et puis faire volte-face et nier la commission même que Dieu a dit devoir... qui devrait être l’identification de tout celui qu’Il a envoyé?
33 Comment un homme peut-il déclarer que le baptême du Saint-Esprit n’existe pas? Comment un homme peut-il déclarer que la guérison des malades n’existe pas? Comment un homme peut-il déclarer que le parler en langues n’existe pas, que chasser les démons n’existe pas, alors que cela était le signe même d’identification que Jésus avait mis sur chaque croyant qui était, qu’Il a envoyé? C’est ça l’autorité. Or, vous pouvez aller à l’école et décrocher un doctorat en philosophie, un doctorat en droit, et tout ce que vous voulez faire. C’est tout à fait en ordre. C’est votre identification par rapport à cette organisation-là. Et ces choses-là sont bonnes. Je n’ai rien contre elles ; je souhaiterais en avoir. Mais l’identification par Jésus, lorsqu’Il envoie un homme, c’est: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Voilà ce qui identifie que l’homme a été envoyé de Dieu. «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.»
34 Or, comme je le disais, n’importe quel escroc peut ramasser un uniforme ou un badge, mais cela n’est pas en fait un signe d’identification. C’est le signe d’identification qui compte, pas l’uniforme ni le badge. Il y a beaucoup de gens (Et c’est vraiment dommage que j’aie à le dire, mais c’est la vérité ; nous devons être sincères), il y a beaucoup de gens parmi nos pentecôtistes qui portent juste le badge et l’uniforme, voyez? En effet, ils mènent une vie tellement différente de celle qu’un vrai pentecôtiste devrait mener qu’il n’y a rien là. C’est tout. Et cela ne fait que jeter l’opprobre sur la cause. C’est vrai. Cela rend les gens méfiants.
35 Mais Jésus a indiqué ce qui prouve que c’est vrai, car: «Voici les miracles qui accompagneront les croyants.» Là, c’est une chose. Le Saint-Esprit a baissé le regard sur le cours du temps, Il a vu que l’homme pervertirait Sa Parole et causerait telle et telle chose. Alors, Il a tellement rendu Cela si clair et si sûr qu’il n’y a pas du tout moyen d’Y échapper. Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» Maintenant, nous savons que c’est vrai.
36 Un incroyant peut porter ces signes d’identification de dénomination, mais ce n’est pas cela qui fait de lui un homme envoyé de Dieu. Ils circulent ici avec toutes sortes de livres sous les bras, à travers le pays, et: «Ce Jéhovah est ceci, et Untel, et tout ceci, et autre», mais cela ne le confirme pas. Absolument pas. Jésus a dit: «Eprouvez-les par la Parole.» C’est vrai. La Parole: «Voici les miracles qui accompagneront...»
«Croyez-vous dans la puissance de Dieu?»
«Oh! Notre–notre église enseigne que le...»
37 «Notre église», cela n’a rien à faire avec la chose. C’est ce que la Parole de Dieu dit qui compte. Voyez?...?... «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point.» La Parole vivante proclamée par le Dieu vivant doit être dans un être vivant. Et comment un homme, ou une femme, qui prétend avoir le baptême du Saint-Esprit peut-il nier ce que Dieu dit dans Sa Parole? En effet, le Saint-Esprit même qui a écrit la Parole est Celui-là même qui parle par la personne. C’est vrai. Absolument. Il ne peut pas–Il ne peut pas faire ça. Absolument pas.
38 Eh bien, mais cela... Un homme peut venir et dire: «J’ai une carte de membre. Je suis membre de telle église ou de telle autre.» Ça n’en est pas pour autant la preuve. Il peut avoir un doctorat en philosophie, un doctorat en droit et n’importe quoi d’une grande école. C’est bien, je n’ai rien contre cela. Cela peut toutefois être une bonne chose. Je n’ai rien contre cela. Mais si Dieu l’a envoyé... et s’il nie cette commission-ci, ici... S’il a cela plus ceci, c’est merveilleux. Mais s’il a cela sans ceci, alors c’est inutile. Voyez? C’est vrai. C’est en ordre si un homme porte l’uniforme, ainsi que le badge et détient les pièces d’identité. C’est bien. Mais il peut porter un uniforme et un badge sans avoir les pièces d’identité. C’est vrai. C’est donc la confirmation de la commission qui est valable. Ça l’est absolument, sans doute.
39 Cet incroyant peut passer et dire: «Eh bien, je ne crois pas que le baptême du Saint-Esprit existe. Nos écoles ont enseigné que–que ces jours-là sont passés. Nous n’avons plus à avoir cela.» Et beaucoup de gens croient cela. Beaucoup de gens croient sincèrement cela ; des gens de bien. C’est parce qu’ils suivent une école plutôt que la Parole de Dieu. C’est tout à fait vrai.
40 Il y a quelque temps, quelque part, il y avait une–une femme qui avait un fils, et ce dernier était un... avait un appel de la part de Dieu dans sa vie ; il semblait en avoir. Et la pauvre vieille mère tenait à l’envoyer à l’école, elle faisait tout ce qu’elle pouvait pour qu’il soit instruit, ce qui est une bonne chose à faire. Mais elle l’a envoyé à un mauvais genre d’école. Elle l’a envoyé là où on commençait à donner un enseignement contraire à la Parole de Dieu. Et il a continué. Et il faisait la lessive pour l’envoyer à l’école et tout, et un long moment s’était écoulé ; et finalement...
Il n’était pas revenu à la maison depuis un temps. La vieille mère tomba malade. Elle était très, très malade. Elle fut tellement malade que le médecin déclara qu’elle ne vivrait plus, qu’elle devait mourir. Alors, elle demanda à l’une des voisines d’envoyer un télégramme à son fils pour qu’il vienne aussitôt à la maison, parce qu’on s’attendait à ce qu’elle meure.
41 Et alors, le voisin envoya le télégramme. Et–et alors, le jeune homme s’apprêta donc à venir. Et peu après, un autre télégramme suivit, disant: «Ne t’en fais pas. Elle va bien.»
Ainsi donc, plusieurs mois plus tard, le jeune homme revint à la maison rendre visite à sa mère, et–et il lui dit ... tout en se réjouissant de la voir, il lui annonça qu’il avait décroché sa licence en lettres, et tout ce qu’il avait fait, et son évolution à l’école. Et il ajouta: «A propos, maman, dit-il, j’avais oublié de te demander.» Il dit: «Tu m’avais fait parvenir un télégramme il y a de cela six mois environ, de venir à la maison.» Il dit: «J’étais très bouleversé et, dit-il, cela m’avait beaucoup fait peur et, dit-il, je m’étais apprêté à venir. Et puis, un autre télégramme a suivi, disant que tu allais bien ; que tu t’es rétablie. J’en étais très content. Maman, j’aimerais te dire... ou plutôt, maman, j’aimerais que tu me racontes ce qui s’était passé. Quel genre de médicament le médecin t’avait donné? Quel médecin t’avait soignée?» Il dit: «J’aimerais aller le complimenter pour son bon travail.»
Elle dit: «Très bien, mon fils.» Elle dit: «C’est Docteur Jésus qui a fait ça.»
Il dit: «Maman?»
42 Elle dit: «Docteur Jésus.» Elle dit: «Docteur Untel, mon médecin, était venu ici, et ma fièvre était si forte que j’étais hors de moi.» Elle dit: «Il a dit que mon état s’empirait, et puis, que je mourrais.» Elle dit: «Connais-tu cette petite mission là au coin, sur l’allée?»
«Oui.»
Elle dit: «Ces gens tenaient une réunion de prière par là une nuit, et ils ont dit que le Saint-Esprit leur avait dit de venir ici prier pour moi.» Et elle dit: «Aussitôt après qu’ils eurent prié pour moi, toute la fièvre fut partie.» Elle dit: «Oh! fils, dit-elle, alléluia!» Elle dit: «Me voici guérie.»
«Oh! dit-il, maman, maman, l’audace même! Eh bien, tu ne devrais pas t’associer à de telles personnes!» Et elle... Il dit: «Eh bien, tu ne devrais pas les recevoir ici.» Elle dit: «Oh! Pourquoi, fils?» Elle dit: «Eh bien, gloire à Dieu!»
43 Il dit: «Maman, ne raconte pas ce genre de choses.» Il dit: «Eh bien, eh bien, tu me choques.» Il dit–il dit: «Eh bien, tu ne devrais pas raconter ce genre de choses. Eh bien, dit-il, ces gens-là ne sont pas instruits. Ils ne savent rien sur la Bible.»
«Oh! dit-elle, je te demande pardon, fils.» Elle dit: «Ils sont arrivés ici, ils m’ont lu la Bible, là où il est dit: ‘Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.’» Elle dit: «Un instant. J’ai lu cela plusieurs fois. J’ai souligné cela dans ma Bible. Je vais te montrer.»
«Oh! Un instant, maman.» Il dit: «C’est Marc 16.»
«Oui, c’est là que ça se trouve, chéri, dit-elle, Marc 16.»
Il dit: «Oh! Maman, dit-il, tu vois, ces pauvres gens, ils ne savent pas mieux.» Il dit: «Nous avons appris à l’école que Marc 16, à partir du chapitre 19 jusqu’à la fin, n’est pas inspiré. Tu vois, ce n’est vraiment pas inspiré. Cela a été simplement ajouté.»
Et la petite mère dit: «Gloire à Dieu! Alléluia!» Et elle...
Le jeune homme demanda: «Maman, que veux-tu dire?»
Elle dit: «J’étais simplement en train de réfléchir.»
Il demanda: «Réfléchir à quoi, maman?»
Elle dit: «Si Dieu a pu faire cela pour moi avec une Parole non inspirée, que peut-Il faire avec une Parole réellement inspirée?» C’est ça. Voyez, c’est ça. Oh! la la!
44 Quel était le problème? Cette petite mission au coin avait le signe d’identification, peut-être pas un doctorat en philosophie, ou un doctorat en droit, ou... mais ils avaient le signe d’identification de Dieu avec «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» C’est ce que Jésus a dit qu’ils feront.
Ils–ils avaient la confirmation de Dieu. Ils avaient Sa commission d’aller imposer les mains aux malades, et ils ont exécuté cela tel que Jésus l’avait ordonné. Et puis, Dieu a confirmé la Parole par des miracles qui L’accompagnaient. C’est une confirmation qu’ils étaient envoyés de Dieu. Oui, oui. C’est vrai. Très bien.
Eh bien, ça, c’est une bonne leçon, parce que le jeune homme était allé étudier et avait certes décroché son doctorat en philosophie, mais les autres avaient la confirmation de la Parole. Lui avait la confirmation d’un diplôme d’une quelconque université, mais eux avaient la confirmation de la Parole de Dieu venue du Ciel avec le Saint-Esprit pour appuyer Ce dont ils parlaient. Oui, oui. Et c’est Dieu qui donne le signe. Oui, oui. Oh! Combien je suis reconnaissant à Dieu pour ça! C’est ce que le peuple de Dieu a toujours.
45 Maintenant, sans doute que l’incroyant aura à prendre une petite partie de la Parole de Dieu pour tordre Cela, et il L’adapte au credo pour rendre cela plus séduisant. Or, vous savez, le plus gros mensonge qui ait jamais été dit contenait beaucoup de vérité. C’est vrai. Vous vous rappelez que chaque... Le premier mensonge qui ait jamais été dit avait quatre-vingt-quinze pour cent de vérité, lorsque Satan a dit à Ève dans le jardin d’Eden toutes ces choses que Dieu avaient dites. Il a accepté: «C’est vrai.» Il a accepté: «C’est vrai», tout ce que Dieu avait dit. Mais il a dit: «Certainement que vous ne mourrez pas.» C’était là.
46 Quelqu’un peut dire qu’il y avait des gens ici au tabernacle à telle et telle soirée.
–Oui.
–Les gens étaient assemblés.
–Oui.
–Ils chantaient des cantiques.
–Oui.
–Et le prédicateur a prêché.
–Oui. C’est vrai.
–Et puis, vous savez quoi? Ils ont fait circuler une bouteille et eux tous se sont enivrés.
«C’est faux», voyez? C’était juste l’Esprit qui était descendu, ils étaient tous devenus ivres. Voyez? C’est là ce qui fait une grande différence là (voyez?), quand ils... Ce n’était pas le fait d’avoir fait circuler la bouteille, mais une bénédiction spirituelle de Dieu était descendue sur les gens. Ils ont effectivement titubés, ils étaient effectivement tombés, ils faisaient effectivement le clown, comme ça, mais ce n’était pas à cause d’une bouteille, c’était le Saint-Esprit confirmant Sa Parole par des miracles qui accompagnent. Voyez? Voyez? Tout cela avait l’air vrai, sauf la bouteille. Voyez?
Eh bien, je dirais: «Etiez-vous là?»
–Oui.
–Y avait-il des gens?
–Oui.
–Avaient-ils titubé?
–Oui.
–Oui, tout ça...?
–Oui.
47 Tout ça est vrai, sauf une chose. C’est ainsi donc qu’un incroyant, une–une personne non identifiée auprès de Dieu dira: «Oh! Je crois que Jésus-Christ est le Fils de Dieu. Je crois que Dieu est le Père de Jésus-Christ. Je crois toutes ces autres choses.» Voyez? Mais quand on en arrive à cette autre partie: «Oh! Ça, c’était pour un autre jour.» Voyez? C’est là que se trouve le mensonge de la chose. C’est vrai. Il cherche à tordre un peu la vraie Parole pour La rendre séduisante pour les gens. Mais ce que... Jésus a rendu la chose claire. Il a dit: «Voici les miracles qui confirmeront le Message que J’ai envoyé.» Oui, oui.
48 J’étais autrefois un prédicateur baptiste, j’aime toujours les baptistes, mais j’ai trouvé cette autre chose. Voyez? Eh bien, ce n’est–ce n’est pas exactement... La–l’Eglise pentecôtiste, je ne dis pas qu’elle est bien parfaite, qu’elle est irréprochable, mais c’est la meilleure que nous ayons. Accrochons-nous-y donc, c’est tout. Ils croient effectivement. Certains parmi eux peuvent ne pas avoir assez de foi (et je suis bien avec eux), pas assez de foi pour faire s’accomplir toute la Parole. Mais je ne ferai jamais obstacle à quelqu’un qui a assez de foi pour faire s’accomplir Cela. Je ne me cacherai jamais derrière l’incrédulité pour dire que cela ne peut pas se faire. Si quelqu’un peut prendre la Parole de Dieu et confirmer Cela par la puissance de Dieu, je dirai: «Gloire à Dieu! Seigneur, lève-moi et laisse-moi me tenir par la foi sur le plateau du Ciel.» Oui, j’aimerais certainement m’y accrocher. Eux prennent un tout petit peu pour l’adapter à leur credo, mais le serviteur de Dieu a le signe de Dieu. Exact.
49 Dans l’Ancien Testament, on avait un homme qui, lorsqu’il... Certains d’entre eux ne pouvaient pas signer de leur nom, ils avaient donc un sceau, et c’était un signe. Ils pouvaient sceller cela, comme ça ; c’était terminé. Un sceau, c’est une oeuvre terminée.
Ephésiens 4.30 dit: «N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu par lequel vous avez été scellé pour le jour de votre rédemption.» C’est un scellement, une oeuvre achevée, comme quoi Dieu vous a vu, qu’Il a reconnu votre foi que vous confessiez en Lui, qu’Il a déversé le Saint-Esprit et vous a scellé pour le jour de votre rédemption. C’est un signe que Dieu vous donne le Saint-Esprit (C’est vrai), et Il a confirmé la foi que vous aviez en vous ; Il vous en donne la confirmation en vous donnant le Saint-Esprit. Et si vous avez le Saint-Esprit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» C’est exact.
50 S’il nie... Cet homme va ici et là, disant: «Eh bien, n’écoutez pas ces gens. Vous avez été au tabernacle l’autre soir.»
«Oui, oui, oui.»
«Eh bien, nous sommes membres de telle et telle. Ça, ce n’est qu’une bande de racailles.» Saviez-vous que Paul a dit à Agrippa: «Je sers le Dieu de mes pères selon la voie qu’on appelle une secte»? Savez-vous ce que c’est une secte? C’est vrai.
N’ont-ils pas dit à Jésus: «Maintenant, nous savons que Tu es un toqué.» Toqué veut dire fou. Voyez, une voie qui paraît insensée... En effet, vous êtes passé de la mort à la Vie, vous n’êtes plus du monde, mais vous avez été mis à l’écart du monde. Voyez? Et par conséquent, votre pensée est spirituelle, et vous pensez aux choses d’En Haut, et non à celles qui sont sur... qui se passent ici sur terre. Vous vous affectionnez aux choses d’En Haut.
51 Eh bien, si cette personne nie que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement (Eh bien, suivez ça), vous l’entendrez dire: «Oh! Il est le même.» Est-Il le même? Est-Il le même? «Eh bien, disent-ils, Il l’est dans... le même dans une certaine mesure.»
«Quelle mesure?» Voyez? «Quelle mesure?»
«Eh bien, je–je ne... je crois qu’Il sauve toujours.» Voyez?
«Qu’en est-il de la guérison?»
«Oh! Non, Il ne fait pas ça.» Eh bien, quand Il était ici sur terre, on disait: «Il peut guérir, mais Il ne peut pas sauver». Aujourd’hui, on dit: «Il peut sauver, mais Il ne peut pas guérir.» Voyez, c’est simplement le diable qui change de côté. Mais si jamais Il est Jésus-Christ, l’Oint, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, le même Guérisseur, le même...
52 Ce n’est pas vous qui opérez les miracles. Non. Ils veulent dire: «Fais-moi voir ça.» Eh bien, Dieu ne m’a jamais ordonné de faire cela ; Il a déjà fait cela. Tout ce que moi, j’ai à faire, c’est recevoir Sa Parole et m’Y accrocher, et Lui fera s’accomplir Cela. C’est vrai. C’est exact. Ce n’est pas vous ; c’est le Dieu qui est en vous. C’est comme Jésus a dit: «Ce n’est pas Moi qui fais les oeuvres, c’est Mon Père qui demeure en Moi qui fais les oeuvres. En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Il attendait d’abord de voir en vision ce que le Père Lui disait. Saint Jean, je pense, 5.19, vous lirez cela ; 5.19, oui. Si vous lisez, Il a dit: «Ce que le Père Me montre à faire, Je le fais pareillement.»
53 Eh bien, nous trouvons donc que si nous–si nous... s’il nie que Jésus-Christ n’est pas vraiment le même... Il n’y a qu’un seul aspect sur lequel Il ne peut pas être... sur lequel Il peut être différent. C’est corporel, le corps physique, corporel. Voyez? Eh bien, le corps physique, Dieu l’a ressuscité de la tombe le troisième jour, il est assis à la droite de Sa Majesté divine sur Son Trône. Jésus ayant vaincu, Il a occupé le Trône de Dieu ; nous qui vaincrons, nous nous assiérons avec Lui sur Son Trône, car Son trône, c’est celui de David, là où Il régnera ici sur terre.
Et maintenant, Jésus règne à la droite de Dieu, à la droite de Sa puissance et de Sa Majesté. Maintenant, là, Il est le Souverain Sacrificateur qui intercède sur base de notre confession, lorsque nous acceptons Sa Parole, que nous La croyons dans notre coeur, nous l’y recevons, et que nous ne nous rétractons pas, mais que nous croyons qu’Elle va exactement s’accomplir. La véritable postérité d’Abraham s’accrochera à cette Parole. Peu importe le temps que ça prend, Il La fera s’accomplir. Il n’y a de doute nulle part. Il La fera s’accomplir. C’est vrai.
54 Or, un bouffon dira: «Non, ce–ce n’est pas ça.» Tant qu’on nie donc cette commission, cela montre qu’on ne peut pas prouver qu’on... leur commission est scellée. Ils ne peuvent pas vous le prouver, car ils refusent de l’admettre. Si, par exemple, un–un officier... Je dirais: «Eh bien, tenez, je suis commissaire de police des Etats-Unis. Je sais que je le suis», et il y a une loi selon laquelle un commissaire de police doit se munir de cette pièce d’identité scellée du sceau des Etats-Unis. Vous direz: «Eh bien, ça, c’était pour un temps passé. Nous n’avons pas à faire cela aujourd’hui.» C’est un bouffon, c’est tout ce qu’il y a. Il n’est pas en ordre. Il n’a pas un ordre de mission. Il n’est pas envoyé.
Et tout celui qui nie que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement, tout celui qui nie que les miracles accompagneront ceux qui auront cru, cherche à se tirer d’affaire avec une espèce de document d’ordination sans le sceau de la commission. C’est tout à fait vrai. C’est certainement la vérité. Il ne peut pas être envoyé de Dieu, car il nie le sceau même que cette... la confirmation même de la commission qu’il est censé détenir.
55 Et si un officier disait: «Il ne vous faut pas avoir ce sceau-là...» Vous l’avez vous-même. Voici le code qui dit que vous devez avoir ce sceau-là. Voici les lois des Etats-Unis selon lesquelles un commissaire de police doit porter ce sceau. Et s’il n’a pas ce sceau-là, il n’est absolument pas un commissaire de police. Ne le recevez pas, parce qu’il n’est pas un commissaire de police, car le code dit qu’il doit porter ce sceau-là.
Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux.» Qui accompagneront ceux ; pas qui devront, peut-être, certains le seront. Il a dit qu’ils «accompagneront ceux qui auront cru.» C’est la confirmation de la commission, qu’ils sont envoyés. Amen. J’aime ça. Cela me fait du bien de le savoir. Oui, oui. Je sais donc que c’est la commission qui est entrée dans mon coeur, le sceau du Saint-Esprit. C’est vrai. Je sais que chaque croyant qui est un vrai croyant, il voit un homme qui renie ce qui en fait la force...
56 La Bible déclare que, dans les derniers jours, les gens auront l’apparence de la piété, mais renieront ce qui en fait la force. «Eloigne-toi de ces hommes-là.» Ne recevez pas du tout cela. Exact. Ils auront de grandes églises et de belles dénominations, d’un grand éclat, d’une grande beauté, et tout le reste comme ça.
Ecoutez. L’autre soir, ici à Phoenix, un groupe de petites filles et des jeunes garçons exécutaient là ce nouveau boogie-woogie, ou je ne sais comment vous appelez cela là, et ils étaient tellement emportés dans cet esprit-là qu’ils se sont retrouvés dans des rues. Les policiers ont dû les prendre, ils étaient tellement sous l’influence du diable. Oui. Et puis, c’est populaire. Mais qu’un homme danse une fois dans l’Esprit, sous la puissance du Saint-Esprit... C’est vrai. C’est ça. Les miracles de Dieu accompagneront ceux qui auront cru...?... On ne peut pas–on ne peut pas dire qu’on est envoyé de Dieu, et ensuite renier sa commission.
57 Considérons certains de ceux que Dieu a envoyés, voyons s’Il a toujours identifié Ses croyants. Maintenant, regardez. Prenons Moïse. Moïse avait un appel dans sa vie. C’est vrai, mais jamais il n’avait été envoyé... Il pensait qu’il était envoyé, mais regardez quel échec il avait essuyé. Mais lorsque Dieu l’a envoyé à partir du buisson ardent... lorsqu’il était là, devant le séminaire de Pharaon, il est apparu, muni de ses titres. Cela n’a pas marché. Dieu n’a pas reconnu cela.
Regardez, il est allé là, il a tué un homme sans être commissionné à le faire, et il a dû fuir l’Egypte. Puis, il est allé là, il a noyé toute l’armée de l’Egypte, ayant été commissionné à le faire, et rien n’a été dit à ce sujet. Voilà la différence. Il a tué un seul homme et il a eu à fuir. Oh! Il s’est retrouvé mal en point, pour avoir fait cela sans être commissionné. Mais lorsqu’il est allé là, étant commissionné, et qu’il a noyé toute l’armée, il a rendu gloire à Dieu pour cela.
58 Oh! Comme Dieu fait agir les gens de façon ridicule! Ce vieil homme, un dignitaire, eh bien, il est apparu là, muni de toutes sortes de diplômes d’université. Mais... Eh bien, il n’y pensait pas, là à quatre-vingts ans. Le lendemain matin, il s’est mis en route vers l’Egypte avec sa femme assise à califourchon sur un mulet, portant un enfant sur sa hanche, en route. Les longues moustaches de Moïse flottaient au vent comme cela, et il tenait en main un bâton noueux.
«Où vas-tu, Moïse?»
«Je descends faire l’invasion de l’Egypte.» L’invasion par un seul homme! Pourquoi? La chose en est qu’il l’a fait. C’est vrai. C’est comme un seul homme qui irait faire l’invasion de toute la Russie. Qu’était-ce? Il avait fui... Quand il était un officier de haut rang, l’officier le plus élevé qu’il y avait après Pharaon en Egypte, il a fui l’Egypte parce qu’il n’avait pas la commission de libérer les enfants d’Israël. Mais après, il est rentré avec... un homme contre toute la nation, sur base de la commission, et il a fait ça. Pourquoi? Il avait une commission, et il en a eu une commission. Il pouvait prouver que Dieu l’avait envoyé. Amen.
59 «Que vas-tu faire avec, Moïse?»
–Ce drôle de bâton noueux que j’ai en main?
–Que vas-tu faire?
–Ceci est ma commission.
–Quoi?
–Dieu m’a donné deux signes à accomplir devant eux. (C’est ça.) Il m’a dit d’aller le faire.» Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront (si je descends). Jette cela devant Pharaon ; vois ce qui arrive. Il deviendra un serpent. Ensuite, dis: ‘AINSI PARLE L’ETERNEL, Pharaon, laisse aller Mon peuple.’»
Moïse est allé là et il a jeté cela par terre. Les magiciens sont venus faire de même. Dieu confirma alors sa commission. Le serpent de Moïse a dévoré les serpents des autres.
60 Vous êtes-vous déjà demandé où étaient allés ces autres serpents? Où étaient ces... Qu’était-il arrivé à leurs verges? Elles se sont toutes retrouvées dans une seule verge. Voyez? Il les avait dévorés, le serpent de Moïse ; pourquoi ça? Une confirmation. Amen! Alléluia! Il était... il avait la confirmation de sa commission. Il a accompli ça. Il a fait sortir les enfants, et lorsque la mer Rouge faisait obstacle, elle a cédé.
Pourquoi? Il en avait une commission et une confirmation. Dieu était avec lui, accomplissant des signes et des prodiges, car là où...
61 Si un homme est commissionné par le Dieu surnaturel, la puissance surnaturelle de Dieu sera avec cette commission surnaturelle. Non pas ce que vous apprenez de par votre doctorat en philosophie, votre doctorat en droit, en algèbre, et toutes ces choses. Cela confirme votre bonne grammaire et votre parler à la chaire, lorsque vous dites aaaaamen comme un veau. Mais permettez-moi de vous dire quelque chose. Mais c’est quand vous avez reçu la confirmation de la commission de la part de Dieu, qui vous est donnée par le Saint-Esprit: Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. (Excusez-moi cette expression.)
62 Une confirmation. Dieu confirmait parce qu’Il était un Dieu surnaturel, Il donnait la puissance surnaturelle, pour une libération surnaturelle. Je le crois. Dieu ne va pas libérer Son peuple aujourd’hui par l’instruction. Il n’a jamais promis de le faire. Il ne va pas le libérer par la théologie. Il n’a jamais promis de le faire. Il ne va pas le libérer par la science. Il n’a jamais promis de le faire. Il ne va pas le libérer par la dénomination. Il n’a jamais promis de le faire. Mais Il les libérera par la puissance, la puissance surnaturelle qui change leur vie et le façonne pour qu’ils deviennent des enfants de Dieu. Amen. Moïse avait une commission ; il avait des signes qui confirmaient sa commission. Eh bien, Jésus, de même, a dit: «Voici les miracles...»
Moïse a dit: «Que puis-je leur dire? Comment leur prouverai-je que le Dieu de leurs pères m’a envoyé?»
Dieu a dit: «Qu’as-tu en main?»Moïse a dit: «Une verge.»Dieu a dit: «Jette-la par terre. Mets ta main dans ton sein, fais-la sortir... Prêche-leur la guérison divine ; c’est une confirmation. Assurément! Je te donnerai deux signes.»
63 Or, ce même Dieu ne peut pas changer. Lorsqu’Il a envoyé Son Eglise libérer les gens de l’esclavage infernal de l’Egypte, toutes ces choses qui ont lié les gens aujourd’hui, Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» N’ayez pas peur de prêcher cette Parole là, car c’est la Vérité. C’est la Parole de Dieu. Ne laissez pas le diable vous en dissuader, parce que ce n’est pas vrai. Il tient Sa Parole. Eh bien, je crois cela de tout mon être.
64 Elie a été envoyé. Je peux le voir ce matin-là. Je me le représente alors que Jézabel avait effectué quelques tours. Mais ce jour-là, il descendait, un drôle de petit gars chauve, aux moustaches pendantes, descendant ce matin-là sur la route de la Samarie, les yeux fixés vers le ciel, un sourire illuminant son visage, cognant un drôle de bâton sur la route. Mais, frère, il avait l’AINSI PARLE L’ETERNEL.
«AINSI PARLE L’ETERNEL.» Il s’est avancé droit en face du président, ou en face du roi, il a dit: «Même la rosée du ciel ne tombera pas, sinon à ma parole.» Qu’était-ce? Il avait une commission. Avait-il plu le lendemain? Non. Il en avait la confirmation. Voyez?
Il a dit: «Monte là, Elie, et assieds-toi. J’ai ordonné à quelques porteurs et serviteurs de te nourrir.» Des corbeaux l’ont donc nourri.
65 Et pendant qu’il était là sur la montagne, un jour... «Bah! a dit le roi, ce gars-là n’a rien. Je vais envoyer cinquante personnes là-haut. Je ne pense pas qu’il soit autre chose qu’un vieux fanatique. Ne l’avons-nous pas connu par ici, parlant contre Jézabel, ma femme, de ce qu’elle se maquille et de tout comme cela? Parlant de tout ce mode moderne de vie, une vie selon le style de la première dame, comme beaucoup d’entre nous les pentecôtistes le faisons?»
Oui. C’est vrai. Nos femmes pentecôtistes avec ces coiffures hydrocéphales, et des choses semblables, oui, oui, se maquillant, portant des fards, des shorts, alors que la Bible déclare que c’est une abomination aux yeux de Dieu. Comment pouvez-vous faire cela? C’est vrai. Eh bien, vous savez, soeurs, que si vous prétendez que vous... C’est une déchéance que vous en arrivez à porter des cheveux coupés, et la Bible dit...
66 Eh bien, beaucoup parmi vous les pentecôtistes ne se maquilleraient pas. Il n’y a rien dans la Bible à ce sujet. Mais par la suite, vous vous coupez les cheveux alors que la Bible déclare qu’une femme qui se coupe les cheveux est un déshonneur. C’est vrai. Et vous portez des shorts, ou ces drôles de petits... Qu’est-ce? Sautiller...?... Voyez, tout ce qui a l’apparence de l’habillement d’homme, et la Bible déclare que toute femme qui porte de tels habits est une abomination aux yeux de Dieu.
En d’autres termes, cela–cela sent mauvais pour Dieu. Ça apparaît mauvais. Et puis, si vous avez en vous le Saint-Esprit, qui est Dieu, comment pouvez-vous porter cela et prétendre toujours avoir le Saint-Esprit? Eh bien, votre vie même confirme qu’il y a quelque chose qui cloche en vous. C’est vrai. Je sais que cela écorche, mais je–je vous assure, c’est ça le problème ce soir ; nous avons besoin d’être davantage écorchés, c’est ce qu’il... le...?... c’est le problème. Nous nous relâchons sur ces choses. Frère, permettez-moi de vous le dire, vous devez apprendre votre ABC avant d’aller plus loin. Voyez? C’est tout à fait vrai, croire toujours que la Parole de Dieu est vraie. Peu importe ce que c’est, identifiez-vous simplement à cela. Oui, oui.
67 Elie était assis là au sommet de la montagne, et Dieu a dit: «Maintenant, tu ne vas pas être dérangé.» Il a dit: «Je vais t’envoyer là jusqu’à ce que ces gens se seront repentis.»
«Oh! a dit Achab, nous n’avons pas du tout à nous repentir. Ce vieux fanatique, il ne sait pas de quoi il parle. Il est l’un de ces drôles de saints qui se roulent par terre. Nous donc... Donnez-moi cinquante hommes d’élite. Montez là et faites descendre ce vieux fanatique.»
Je peux voir cet officier commissionné dire: «Oui, oui. J’ai votre commission, votre honneur. Je le ramènerai.» Le voici partir, le–le fer martelant le sol, avec ces très grandes épées et de très grandes lances, avec cinquante hommes d’élite de la garde d’Achab, montant la colline comme cela. Elie était assis là-haut sous un soleil chaud, regardant çà et là comme ça.
Ils ont dit: «Hé! C’est toi que nous cherchons, mon gars. Nous avons notre ordre de mission ici. Nous sommes les gardes du corps d’Achab. Nous te cherchons. Nous allons te ramener.» Il s’est levé et a dit: «Oui, moi aussi, j’ai mon ordre de mission. Si je suis un homme de Dieu, que le feu descende du ciel.» Qu’était-ce? C’était une confirmation. Oui, oui.
68 Sur le mont Carmel, alors qu’il y avait une confrontation entre les faux dieux et le vrai Dieu, il a arrangé le sacrifice, il s’est avancé là et a dit: «Eternel Dieu d’Abraham, d’Isaac et d’Israël, que l’on sache aujourd’hui que Tu es Dieu en Israël et que je suis Ton serviteur, et que j’ai fait tout cela sur Ton ordre (prêcher la Parole sur Ton ordre, Seigneur, par tout le monde, à toute la création, ‘Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.’), sur Ton ordre. Maintenant, Seigneur, que l’on sache que Tu m’as ordonné à faire ça, Tu m’as commissionné de faire ça. Maintenant, confirme-le, Seigneur.» Vers ce moment, le feu tomba du ciel. Ça en était une confirmation. Il était avec la Parole. Voyez?
Dieu confirme toujours Sa Parole. Il–Il donne la confirmation de Sa Parole. Maintenant, nous savons que c’est vrai. Oh! Que des fois... Nous avons divers personnages ici que nous pourrons examiner. Mais pour gagner du temps...
69 Jésus, lorsqu’Il est venu sur la terre, les gens disaient: «Lui qui est un Homme, Il se fait Dieu. Oh! la la! Eh bien, nous savons qui Il est. Il est un Enfant illégitime. Eh bien, Il n’est que... Nous connaissons Sa mère, Marie, et Joseph. Ils ont eu cet Enfant av...»
Jésus a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Si vous ne croyez pas que Je suis le Messie, les oeuvres que Je fais confirment ce que Je soutiens être. (Amen!) Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne croyez pas cela ; mais si Je fais les oeuvres de Mon Père, alors croyez les oeuvres, même si vous ne pouvez pas Me croire.» C’était une confirmation. Comment? Cela les arrangerait-il? Assurément. Il a dit... Dieu... Celui que Dieu envoie, Dieu le protège. Dieu confirme la Parole. Si Dieu a envoyé un ambassadeur quelque part faire quelque chose, Il doit soutenir cette commission. C’est tout à fait vrai.
70 Il a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne–ne Me croyez pas ; mais, a-t-Il dit, les oeuvres mêmes que Je fais confirment Ma commission.» Amen. Cela leur donnait une gifle, n’est-ce pas? Les oeuvres que Je fais...» Oui, oui. Si vous ne... Si vous ne pouvez pas croire que Je suis envoyé de Dieu, alors ce qu’il vous faut faire, c’est croire que les oeuvres que Je fais... Sinon, faites-Moi voir les mêmes oeuvres.» Vous y êtes. «Si vous ne Me croyez pas...» Oh! la la!
71 Il y en avait qui croyaient en Lui. Lorsque la femme au puits a vu Son signe du Messie, elle a dit: «Nous savons que c’est ce que fera le Messie.» Elle alla l’annoncer à son peuple, disant: «Venez voir Celui que j’ai trouvé, un Homme qui m’a révélé les secrets mêmes de mon coeur. Ne serait-ce point le Messie?»
Le vieux Nathanaël, lorsqu’il est revenu avec Philippe, et que Jésus... Il est entré dans la Présence de Jésus, et Jésus a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Eh bien, c’était un homme formé ; en effet, il connaissait la Parole. Il savait que le Messie serait Dieu-Prophète.
Ils savaient donc que Moïse avait dit: «L’Eternel ton Dieu te suscitera un Prophète.» Ils savaient aussi que Dieu avait dit: «S’il y en a un parmi vous qui est spirituel ou prophète, Moi l’Eternel, Je le confirmerai. Je vais... ce qu’il dit s’accomplit, alors croyez cela.» Voyez, ils voulaient savoir s’Il était... Ils savaient qu’un prophète était censé se lever en ce temps-là, et ils voulaient savoir qui Il était.
72 Il est donc entré dans la présence de Philippe, et Philippe lui a dit quoi faire... ou plutôt Philippe l’a amené dans la Présence de Jésus. Et quand il est arrivé devant Jésus, Jésus a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»
«Comment m’as-Tu connu, Rabbi?»
Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
Il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu.» Voilà le signe de Son identification.
73 Une femme au puits, lorsqu’Il l’a trouvée, debout là au puits, Jésus a dit: «Donne-Moi à boire.»
Elle a dit: «Ce n’est pas la coutume, Tu t’écartes complètement de notre–notre–notre tradition par ici. Nous connaissons la ségrégation. Entre nous, les Juifs et les Samaritains, nous n’avons pas de relations les uns avec les autres. Et Toi, Tu es un Homme, un Juif, et moi, une femme samaritaine, comment peux-Tu me demander de T’accorder une faveur, de Te donner à boire?»
Il a dit: «Femme, si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.»
Elle a dit: «Eh bien, le puits est profond, Tu n’as rien pour puiser.»
74 Il a dit: «Les eaux que Je donne ne viennent pas de ce puits-là.» Tout... Ils ont continué, la conversation s’est poursuivie un moment (Voyez?), jusqu’à ce que... Ce qu’Il essayait de faire, c’était contacter son esprit. Après, Il a découvert quel était son problème. Il a dit: «Va, appelle ton mari, et viens ici.» (Elle voulait savoir qui Il était) Il a dit: «Va, appelle ton mari, et viens ici.»
Elle a dit: «Je n’ai point de mari.»
Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»
Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète.» Elle a dit: «Nous savons que lorsque le Messie sera venu, c’est ce qu’Il fera.»
Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»
Elle est entrée dans la ville. Cela lui a été confirmé. Elle est entrée dans la ville et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même? N’est-ce pas la confirmation que c’est Lui?»
Jésus a dit: «Les oeuvres mêmes que Je fais confirment Ma commission.» C’est vrai. Dieu L’avait envoyé. Il devait être ce Prophète-là.
75 Vous savez, on a demandé à Jean: «Es-tu Elie? Es–es-tu l’un des prophètes? Es-tu ce Prophète qui devait venir?»Jean a dit: «Je ne Le suis pas, mais Il est quelque part parmi vous. Il se manifestera lorsqu’Il viendra, car Dieu Le confirmera.» C’est tout à fait vrai. Si un homme est envoyé de Dieu, Dieu est tenu de confirmer cette personne-là (C’est tout à fait vrai.), qu’il a été envoyé de Lui. Oh! Oui, une confirmation...
76 L’homme qui était né aveugle avait un témoignage très convaincant qu’Il était le Messie. Eh bien, le pauvre homme, il–il n’avait pas... Un de ces théologiens, ils l’ont tous rattrapé là dans la foule et ont dit: «Dis donc, nous savons que tu es né aveugle.» Ils ont dit: «Nous savons que–que–que tu n’avais pas de globes oculaires, même pas d’orbites.» Ils ont dit: «Nous savons que tu es né aveugle.» On lui a demandé: «Qui t’a guéri?»
Et il a dit: «Le–le–l’Homme qui m’a dit que j’étais guéri.» Il a dit: «Je sais qu’Il m’a guéri.» Il a dit: «Je–je–je le sais.»
Ils ont dit: «Eh bien, alors, cet Homme-là est un pécheur. Nous savons qu’Il est un pécheur parce qu’Il n’adhère pas à notre organisation. Il ne nous suit pas. Il n’enseigne pas notre doctrine. Il est contre nous.» Ils ont dit: «Nous–nous savons qu’Il ne peut pas venir de Dieu. Nous savons qu’il y a quelque chose qui cloche en Lui, parce qu’Il n’était pas d’accord avec nous.» Ils ont dit: «Cet Homme-là est un pécheur.»
Or, ce pauvre homme aveugle ne pouvait pas discuter sur ce point. Il n’était pas un théologien ; il–il ne pouvait pas discuter sur ce point. Il a dit: «Eh bien...» Mais il avait aussi un argument très convaincant. Il a dit: «Qu’Il soit pécheur ou non, je ne sais, mais voici une seule chose que je sais avec certitude (Amen!): Autrefois, j’étais aveugle ; maintenant, je vois.»
77 J’ai entendu des gens dire que c’était une bande de fous. J’ai entendu les gens me dire, lorsque j’avais reçu le Saint-Esprit, que j’avais perdu la tête. Eh bien, que ça soit vrai ou pas, je ne sais. Mais il y a une seule chose que je sais avec certitude, c’est qu’autrefois j’étais pécheur ; maintenant, je suis sauvé. C’est vrai. Autrefois, j’étais perdu ; maintenant, je suis retrouvé. Vous pouvez taxer cela de fanatisme, de tous les noms que vous voulez, mais c’est pour moi une confirmation que Jésus-Christ est toujours le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est vrai.
78 Oui, il–il–il avait l’évidence. Il avait un discours très persuasif, qu’Il était, Il–Il... que c’était le Fils de Dieu, car Il avait créé des globes oculaires de cet homme qui n’en avait pas. Oui, oui. En d’autres termes, l’homme aveugle pouvait dire: «J’ai tout ce temps fréquenté votre église. Je ne vois rien de pareil y arriver. Si donc Lui a créé les globes oculaires, il n’y a de Créateur que Dieu. D’où cela peut-il venir? Faites-nous voir cela. Faites-nous voir comment vous le faites.» Ils ont dû fermer la bouche. Eux parlaient d’un Dieu surnaturel, le grand Créateur des cieux et de la terre, et Il ne pouvait pas créer une bonne vue. (Voyez?) Vous y êtes, Il ne pourrait rien créer. Mais Jésus passe là et place les globes oculaires dans cet homme qui n’en avait pas, qui était né aveugle. Je vous assure, c’est convaincant. C’est à l’oeuvre que l’on connaît l’artisan. C’est tout à fait vrai. Il avait donc l’évidence de ce qu’Il était. C’est vrai.
79 Je m’imagine Paul là, cette nuit-là, après quatorze jours et quatorze nuits, sans lune, sans étoiles, sans rien, là sur cette mer ; le pauvre petit gars traînait ces chaînes sur le pont de ce vieux navire plein d’eau, qui était sur le point de couler. On avait jeté tous les vivres et tout, les marins n’avaient pas mangé depuis plusieurs jours. Et lui, traînant ces chaînes, parlait de Jésus qui avait vécu autrefois, parlait de Jésus qui avait été crucifié...
Je m’imagine ces soldats et ces marins dire: «Oh! Bonté divine, ferme-la!» Il a continué à marcher, disant: «Mais, vous savez, Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement», parcourant simplement le pont, traînant ces chaînes.
80 On disait: «Regardez ce gars enchaîné, ce gars qui va comparaître devant César là à Rome pour être condamné. Cet homme doit mourir, et puis, il parle religion. Oh! Ferme-la!» Et il continuait à traîner.
Mais une nuit, alors qu’ils... il n’y avait plus d’espoir. Oh! la la! Chaque fois que l’éclair jaillissait et que les vagues... Dix mille démons étaient là sur cette mer, disant: «Cette fois-ci, Paul, nous t’avons eu. Oh! Tu vas te rétracter.»
«Absolument pas. Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. C’est vrai. Je sais qu’Il m’a dit d’aller à Rome.»
81 Il était là, ballotté, le navire pratiquement sur le point de couler. Pensez-y donc, le soleil, la lune, ou les étoiles n’avaient pas brillé pendant quinze, ou plutôt quatorze jours. C’était une mauvaise situation, un vieux navire plein d’eau, pratiquement sur le point de couler et tout comme cela. Il s’est tenu là dans la coque du navire une nuit, priant, sans doute, et il y a eu une vision. L’Ange du Seigneur lui est apparu et lui a dit: «Saul, n’aie pas peur. Tout va bien.»
On l’a vu venir en courant avec une commission, secouant ces chaînes, il a dit: «Ayez bon courage. Ayez bonne foi, car le Dieu que je sers a envoyé Son Ange hier soir. J’ai eu une vision, Il m’a dit de ne pas avoir peur, car il n’y aura aucune perte en vie humaine sur ce navire. Par conséquent, frères, prenez un peu de nourriture et réjouissez-vous. Tout va bien.»
Je m’imagine qu’ils ont éprouvé un sentiment bien drôle. Mais lorsqu’ils ont vu le vieux navire échouer dans un port là, cela a confirmé que Paul avait été envoyé de Dieu et qu’il savait de quoi il parlait. Dieu avait confirmé cela. «S’il y en a un parmi vous qui est prophète et que ce qu’il dit s’accomplit, alors écoutez-le, parce que Je suis avec lui.» C’est vrai.
82 Lorsque les indigènes de cette île-là, les habitants de l’île, lorsqu’ils l’ont vu ramasser la broussaille... Et ils ont dit: «Ça doit être un meurtrier terrible, avec toutes ces chaînes sur lui.» Le pauvre petit Paul, sur le point de geler, les habits tout mouillés, s’est approché là, il a ramassé un tas de broussaille et il s’est mis à jeter cela au feu. Alors, un serpent l’a mordu à la main, cela pouvait le tuer (Oh! la la!) en un instant. Paul a regardé cela comme cela et a dit: «O Dieu, Tu m’as dit que je devais cependant aller à Rome.» Il l’a jeté au feu d’une secousse, il est retourné ramasser encore du bois.
Et ils ont dit: «Observez-le tomber mort.» Quelque instants après, ils ont changé d’avis. Pourquoi? Sa commission avait été confirmée. Ils ont dit: «C’est un Dieu qui est descendu du Ciel.» Exact. Il avait la confirmation, car Jésus a dit: «Ils marcheront sur les serpents et les scorpions, et rien ne leur nuira.» Oui, oui. Il avait–il avait la–l’évidence pour prouver cela.
83 (Maintenant, je dois me dépêcher, amis. Je pourrais rester ici avec vous toute la nuit comme ça. Mais juste encore quelque chose.) Eh bien, le prophète a dit: «Ce sera un jour qui ne pourra être appelé ni jour ni nuit, un jour brumeux, nuageux, de brouillard. Mais, a-t-il dit, vers le soir, la Lumière paraîtra.» C’est vrai. Le soleil se lève à l’est et se couche à l’ouest: s-o-l-e-i-l.
La civilisation est allée de l’est à l’ouest. Mais lorsque le F-i-l-s s’est levé, la lumière a brillé sur les gens de l’Orient. Or, nous avons eu un jour des organisations, des dénominations, des gens qui acceptaient Christ, qui avaient assez de lumière pour savoir qu’Il était Dieu. Ils ont marché à cette lumière et tout, ils ont construit des églises, de belles cathédrales, des écoles et autres. C’est bien. Mais, rappelez-vous, il est promis que tous les nuages se dissiperaient au temps du soir. C’est maintenant le temps du soir.
84 Et après que tous les nuages se seront dissipés, le même Fils, F-i-l-s, qui avait fait briller Sa puissance par le Saint-Esprit sur les Orientaux, Il l’a fait pendant les cinquante dernières années, Il a dissipé les nuages de dénominations et tout, et Il a déversé le Saint-Esprit sur les Occidentaux. C’est le même Fils, le même Saint-Esprit, les mêmes signes, la même Lumière, la même puissance, la même évidence, le même en tout qu’autrefois. Et l’Evangile a été prêché avec puissance et démonstration dans tous les pays. C’est vrai. C’est vrai. A travers le monde, des signes et des prodiges accompagnent les croyants de...
85 Tenez, il y a quelques années, on disait: «Cette bande, disait-on, eh bien, vous ne serez jamais capables...» Ils disaient: «Ils ne pourront jamais répandre cela.» Ils disaient: «Ce n’est qu’une petite bande par là, dans une–dans une rue quelque part, avec une petite boîte quelque part là, battant un petit tambourin.» Mais, frère, ce Message-là, grâce aux gens aux coeurs affamés qui ont sacrifié la nourriture de leurs enfants et tout le reste, ils ont parrainé ces missionnaires au point qu’il est allé de l’est à l’ouest, au nord, au sud. Dans chaque pays où vous allez, il y a les feux de la Pentecôte qui brûlent avec la puissance du Saint-Esprit.
Je suis allé dans les jungles, très loin, là où les gens ne savent pas distinguer la main droite de la main gauche. Ils connaissaient Dieu, il n’y a plus de statue là. C’est vrai. Je me suis tenu là, j’ai prêché la Parole exactement de la même façon. Puis, le Saint-Esprit a accompli des signes et Il a montré... Il a dit aux gens qui ils étaient, les secrets de leurs coeurs, Il leur a montré que Jésus avait dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.»
«Cet homme, je ne connais pas son nom, mais je vais l’épeler, et vous l’interpréterez pour moi. Je serais peut-être obligé d’épeler jusque là, pour l’exprimer comme ça.»
«Amen. C’est ça.» Ils étaient assis là et ils regardaient.
Je disais: «Eh bien, Jésus a dit: ‘Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.’ Voilà le signe du Messie.»
86 Et Jésus est tellement sur le point de venir sur la terre maintenant que Sa puissance commence à se saisir des gens et à les apprêter, les préparant comme l’Epouse, les préparant à être enlevés, une Eglise qui sera tout à fait arrangée pour être enlevée ; par sa puissance, elle attirera de la terre tous les autres qui sont nés de nouveau. Jésus vient.
De même que le reflet de ma main au mur forme une ombre et que, plus cette ombre devient de plus en plus sombre, plus ma main est proche, alors, sous peu, l’ombre et ma main deviendront une seule chose.
L’église a commencé du temps de Martin Luther sous la justification, sous Wesley avec la sanctification, et maintenant avec le baptême du Saint-Esprit, avec les pentecôtistes, la restauration des dons. Et des pentecôtistes, Il tire ce reste ici en haut pour manifester Jésus-Christ, refléter Sa Vie, juste le même hier, aujourd’hui et éternellement (Exact), au moment où les lumières du soir brillent. C’est exact.
87 Regardez juste les preuves scientifiques. Nous avons eu cela en plein, à Washington, D.C., cette même Colonne de Feu. Combien ont déjà vu Cela, ces Lumières? Assurément, partout (Voyez? Voyez?), cette même Colonne de Feu que Paul avait rencontrée sur le chemin de Damas, Jésus, lorsqu’Il était sur terre... Tout le monde sait que Christ, que–que la Colonne de Feu, l’Ange de l’Eternel qui avait fait sortir Israël de l’Egypte pour la Terre promise, c’était l’Ange de l’alliance. Tout le monde le sait. Assurément. Eh bien, c’était Christ. En effet, la Bible dit que Moïse avait choisi l’opprobre de Christ, le considérant comme des richesses plus précieuses que les trésors de l’Egypte. Il était allé avec Christ avant que ce Dernier devienne chair, il avait suivi cette Lumière-là.
88 Jésus, lorsqu’Il était sur terre, a dit: «Je viens de Dieu et Je vais à Dieu.» On L’a crucifié. Il était le Sauveur qui est mort pour nos péchés et on L’a enseveli. Il est ressuscité et Il est monté en Haut. Quelques mois plus tard, Paul était sur le chemin de Damas, et il a été terrassé par une Lumière. Du groupe de soldats qui l’accompagnaient, aucun d’eux n’a vu Cela. Aucun d’eux ne L’a vu à part Paul seul. Mais c’était si–c’était si frappant pour lui que ça lui a crevé les yeux. Il était devenu aveugle pendant un temps. Et il a levé les yeux là et cette énorme Colonne de Feu était suspendue là devant lui, et Il a dit: «Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu?»
Il a dit: «Qui es-Tu, Seigneur?»
Il a dit: «Je suis Jésus, il te sera difficile de regimber contre les aiguillons.»
89 Or, ce même Saint-Esprit, nous Le trouvons en plein au milieu des pentecôtistes aujourd’hui, la Lumière du soir, en plein au milieu des pentecôtistes. Quoi? Prêchant le même Evangile, confirmant le même Evangile. Les mêmes miracles qui avaient accompagné jadis, ce sont les mêmes miracles qui accompagnent aujourd’hui. Si cette Colonne de Feu, ou cette Lumière, que nous avons avec nous ne manifestait pas le même Esprit et la même évidence qu’Elle avait manifestée lorsqu’Elle était en Jésus-Christ, Elle serait donc une fausse Colonne de Feu, un faux esprit, une fausse chose.
90 Mais si Cela manifeste et accomplit exactement ce que Jésus avait fait, lorsqu’Il a dit le...: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais (C’est vrai), il en fera davantage, car Je m’en vais au Père.» King James a rendu par de plus grandes, mais regardez dans la version originelle, il est dit davantage. Vous ne pouvez pas accomplir de plus grandes: Il avait ressuscité les morts, Il avait arrêté le cours de la nature et tout. Mais Il pouvait en faire davantage, parce que le Saint-Esprit n’était plus dans un Seul Homme, Christ, le Fils de Dieu, c’était dans l’Eglise universelle. «Vous en ferez davantage, car Je m’en vais à Mon Père.» Oh! la la!
91 Le même ministère qu’Il avait est représenté ici dans les derniers jours... Quel genre de ministère avait-Il? Considérez-Le, alors que je vous explique ; Il leur a prouvé... Prenons un Juif. «Il est allé vers les Siens, et les Siens ne L’ont pas reçu.» Les tout premiers hommes qui sont venus auprès de Lui, c’étaient André et Philippe. Je ne sais pas ce qui a été dit dans la conversation qu’ils avaient eue dans la maison avec Jésus cette nuit-là après qu’ils L’eurent suivi. Mais le lendemain, André était tellement convaincu que c’était le Messie (Il lui avait montré quelque chose) qu’il est allé directement auprès de Pierre, son frère, ou plutôt, ou plutôt Simon, il lui a dit: «Ne... Viens donc et allons voir si c’est...» Il a dit: «Nous avons trouvé le Messie.»
92 Je peux m’imaginer Pierre dire: «Là alors, André, là, laisse-moi te dire quelque chose. Eh bien, tu sais que notre vieux papa était un bon pharisien, et qu’il nous avait dit... Et je me rappelle qu’on était assis sur le bord de la barque un jour, il me disait, il disait: ‘Eh bien, eh bien, eh bien, Simon, papa a attendu de voir le Messie. Et sans doute qu’avant la Venue du Messie, il va se passer toutes sortes de choses, toutes sortes d’ismes se lèveront. Mais laisse-moi rassurer que...’ (Et cela avait eu lieu. Oh! oui. Les gens étaient venus, ils avaient égaré des milliers, ils avaient péri et tout.) Mais il a dit: ‘Mais, laisse-moi te rassurer. Nous devons rester fidèles à la Parole, Simon.’»
«‘Or, la Bible dit, Moïse, notre serviteur, le serviteur de Dieu pour nous, nous a dit que l’Eternel notre Dieu suscitera ce Messie, et qu’Il serait un Prophète comme Moïse. Eh bien, alors, Simon, si tu Le vois en ton jour... Moi, je me fais trop vieux maintenant. Je ne Le verrai pas en mon jour. Mais si–si tu Le vois en ton jour, ne l’oublie pas, Il sera Dieu-Prophète.’»
Simon gardait donc cela dans son coeur. Il a dit: «D’accord, André. J’irai à la réunion.»
Aussitôt qu’il est entré dans la Présence du Seigneur Jésus, ce Dernier lui a dit: «Tu es Simon, le fils de Jonas.» La question fut réglée. Il lui a été donné les clés du Royaume. C’était le signe du Messie.
93 Un autre Juif loyal est venu, il a dit: «Eh bien, un instant. Si le Messie venait, Il descendrait les corridors du ciel, Il irait dans notre immense et beau temple que nous avons construit ici quelque part, comme... D’autres personnes croient qu’Il viendrait à un temple et qu’Il descendrait ici, qu’Il éclairerait par ici, et les anges battraient les ailes, et tout. Ils diraient: ‘Voici le Messie, voici le Messie, voici le Messie.’ C’est ainsi que ça se passerait.»
Je peux entendre Philippe dire: «Un instant. Tu n’es pas scripturaire là-dessus. Reste fidèle à la Parole. Qu’est-ce que Moïse nous avait dit que le Messie serait? ‘L’Eternel ton Dieu te suscitera un Prophète.’ Te souviens-tu de ce vieil homme qui était là, du nom de Pierre, Simon?»
«Oui. Oh! Ce vieil illettré? Oui, je me souviens de lui. Oui. Je me souviens de lui.»
«Tu–tu lui as acheté du poisson, et Il ne pouvait pas signer le reçu.»
«Oui. Eh bien, je me souviens de lui. Je me souviens de lui. Oui.»
«Eh bien, lorsqu’Il s’est avancé... Connais-tu son père?»
«Bien sûr que oui. Certainement que je connaissais très bien son père. C’était un véritable pharisien, oui, un grand érudit. Oui.»
«Eh bien, lorsque Simon s’est avancé devant Lui, Il lui a dit son nom et celui de son père.»
«Ah! Eh bien, je pense que Tu as perdu la tête. Laisse-moi aller voir. Il ne lira jamais ma pensée. Je vais découvrir.»
94 Il s’avance là, dans la Présence de Jésus, et Jésus dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.»
Il a dit: «Lui as-tu dit que tu viendrais me chercher?»
«Non.»
Il a dit: «Rabbi (Ce qui signifie Maître, ou Docteur), quand m’as-Tu donc connu? Je viens d’arriver dans cette réunion ce soir. Quand m’as-Tu donc connu?»
Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Quels yeux...
Il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu. Tu es le Roi d’Israël.»
95 Mais il y avait là ces grands frères dénominationnels, ils se tenaient là ; ils disaient: «Vous savez quoi? Il fait ça par Béelzébul.» Voyez, ils devaient donner une réponse à leur assemblée. Ils avaient des signes d’identification terrestres. Lui en avait des célestes, voyez? En effet, Moïse avait dit: «Il sera un Prophète», et là, Il confirmait qu’Il était un Prophète. C’est vrai. Il était confirmé, Sa commission avait été confirmée.
Ils ont donc dit: «Or, je sais que ce Gars accomplit effectivement cela.» Mais il leur fallait donner une réponse à leur assemblée. Ils ont dit: «C’est par Béelzébul qu’Il fait ça, qu’Il chasse les démons.»
Jésus a rétorqué, ayant connu leurs pensées, Il a dit: «Vous dites cela contre Moi, le Fils de l’homme, Je vous le pardonne.» Or, ils n’avaient point dit cela à haute voix. La Bible dit qu’ils pensaient cela dans leurs coeurs, et Jésus avait connu leurs pensées. Gardez bien cela. Oui, oui. Il est dit qu’ils percevaient dans leurs coeurs... Voyez? Jésus connaissait leurs coeurs, leurs pensées.
Il a dit: «Eh bien, si vous dites cela contre Moi, le Fils de l’homme, Je vous pardonnerai. Mais un jour (là chez les Gentils. Voyez?), le Saint-Esprit viendra après Mon départ, Il fera la même chose ; prononcer un seul mot contre Cela ne sera jamais pardonné ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir.»
96 Avant de quitter la terre, Il a dit ceci, Il a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» J’aimerais faire ce commentaire et terminer. Ce qui arriva du temps de Lot, là à Sodome ; voyons ce qu’il y avait. Il s’est premièrement référé aux–aux jours de Noé. Il a dit ce qu’ils faisaient: manger, boire, se marier et donner en mariage. Mais lorsqu’Il en est arrivé à Sodome...
97 Regardez ce qu’Il avait fait à Sodome. A Sodome... Il s’est référé à cela pour cet âge-ci. Maintenant, rappelez-vous, les Sodomites étaient des gens des nations. Voyez? Remarquez bien. Et trois Hommes vinrent un jour vers Abraham. Il y a toujours trois catégories de gens: ce sont les incroyants, les soi-disant croyants et les croyants (Nous les avons toujours aujourd’hui. C’est vrai.) Les incroyants, les soi-disant croyants et les croyants: Les Sodomites, les Lotistes et les Abrahamistes.
Abraham avait la promesse. Il était le groupe élu, appelé à rester dehors, il s’était séparé lui-même, comme la véritable Eglise du Dieu vivant s’est séparée des choses du monde, car il se confiait dans la promesse de Dieu.
98 Où les Anges étaient-Ils allés en premier? Chez Abraham. Qu’arriva-t-il? Deux d’entre eux allèrent à Sodome (Billy Graham moderne), à Sodome, ils ont prêché l’Evangile, sans beaucoup de miracles ; ils les avaient simplement frappés de cécité. La prédication de la Parole frappe les gens de cécité. Ils n’ont donc pas fait beaucoup de miracles, mais ils ont lancé un appel: «Sortez de là».
99 Mais il y En a eu Un qui parlait avec Abraham. Vous savez, Abraham éprouva un sentiment drôle. Vous savez, il y a quelque chose en cette Personne d’un tout petit peu différent. Ainsi donc, il L’observait un peu, vous savez, et il a parlé à Sara, disant: «Eh bien, rentre dans la tente.» Evidemment, à l’époque, lorsqu’un étranger arrivait, les femmes n’agissaient pas comme elles le font aujourd’hui. Elles doivent vite accourir, se planter là, prendre la place du mari et: «Tu ne peux pas vendre cela, John, sans mon accord.» Voyez? Les femmes avaient plus de manière à l’époque. Elles restaient dans la maison, voyez. Ils sont donc arrivés là, et Sara est restée dans la tente.
100 Il est donc entré en courant et a dit: «Sara, pétris très vite un peu de farine, fais-en une pâte. Mets cela au four pour du pain.» Il est allé prendre un veau, il l’a tué, il est allé et a dit... il leur a demandé de préparer cela là et de l’apprêter. Et il est allé là, il a pris un vieux chasse-mouche, il s’est mis à chasser des mouches, il leur avait lavé les pieds. Il savait qu’il y avait un petit quelque chose qui brûlait dans son coeur. Vous pouvez bien le savoir, vous savez, un...Il a dit: «La commission est là, je crois. Maintenant, la seule chose, si seulement je peux voir cette commission être confirmée. Je crois qu’on a cela.»
101 Il a dit: «Tu sais, Tu–Tu es passé me voir. C’est pour cela que Tu es passé par ici. (C’était vrai. Voyez?) Asseyez-vous un instant sous ce chêne, et reposez-vous.» Il leur a donc lavé les pieds, pendant qu’on apprêtait le repas. Ils se sont assis, puis ils ont mangé. Et c’était Dieu, Dieu Tout-Puissant. La Bible dit que c’était ça. Jetez un coup d’oeil là pour voir si cela n’est pas écrit en majuscule: S-e-i-g-n-e-u-r, Elohim. C’est vrai. Comme quelqu’un disait bien souvent, il disait: «Vous ne croyez pas que c’était Dieu.» J’ai dit: «C’était Dieu. La Bible dit que c’était Lui.» Il a dit: «Dieu, dans ce corps-là, mangeant la chair?»«Assurément. C’est ce que dit la Bible. Vous ne–vous ne savez pas combien Il est grand.» C’est vrai, je suis content qu’Il puisse faire cela.
102 Eh bien, la seule chose... Vous savez, nous sommes juste composés de seize éléments: le pétrole, la lumière cosmique, le calcium, le potasse, et quelques matières comme ça. Eh bien, Il a simplement tendu la main, Il en a pris une poignée, Il a fait: «Ouf! Entre dedans, Gabriel». Voyez, l’Ange. Il en a pris une autre poignée, Il a fait: «Ouf!», Il a dit: «Entre là-dedans, Micaël.» Il a fait: «Ouf!» Il est entré Lui-même. Je suis si content que... Il s’est avancé et a dit: «Descendons.» C’est ça notre Dieu.
Un de ces jours, tous ces éléments s’en iront, mais Il va dire: «William Branham?» Je répondrai: «Me voici, Seigneur.» Il est grand.
103 Il a dit: «Je dois Me présenter Moi-même devant Mon serviteur là-bas, et J’aimerais devenir un Homme, comme lui.» Il est donc descendu, Il s’est assis là, les habits couverts de poussière, Il s’est assis et a mangé. Il était assis... Il regardait constamment vers Sodome, vous savez. Abraham savait qu’il y avait quelque chose là, car c’était une drôle de ville méchante, vous savez. Il continuait donc à penser à cela comme ça. Il a dit...
Maintenant, rappelez-vous, son nom était Abram, et celui de Sara était S-a-r-a-ï. Saraï. Et quelques jours auparavant, Dieu l’avait rencontré dans une vision et avait changé son nom en Abraham et celui de Saraï en Sara, S-a-r-a, Sara, princesse ; Abraham, père des nations.
104 Il a donc dit: «Abraham...» Abraham a dit: «Oh! Oh! Je sais que je suis dans le bon. Il y a quelque chose de différent dans cet Homme.» «Abraham, où est ta femme S-a-r-a? Où est ta femme Sara?» Il a tout de suite reconnu: «Oh! a-t-il dit, elle est dans la tente.» Et la Bible dit que c’était derrière Lui, la tente derrière Lui. Il a dit: «Abraham, Je (pronom personnel, le Même qui lui avait parlé) Je vais te visiter au temps de la vie (voyez, avec Sara), et tu vas avoir cet enfant que tu as attendu. Tu as maintenant cent ans et elle, quatre-vingt-dix, mais Je–Je vais te donner cet enfant que Je t’avais promis, car tu as attendu fidèlement.»
105 Et Sara, derrière dans la tente, a fait: «Hum!» Elle n’a point dit cela à haute voix. Elle a ri en elle-même, elle a dit: «Moi, une vieille femme, avoir encore le désir? Et mon seigneur aussi, vieux comme ça?» Elle a dit: «C’est vraiment impossible. Ce Gars, de quoi Il parle?»
L’Ange a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?»
Qu’était-ce? Il s’en est pris à Sodome. Aussitôt après la visitation de cet Ange, ce dernier signe qui avait été donné, le dernier signe qui avait été donné, Sodome a été brûlée. Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.»
106 Dieu a traité avec Son Eglise tout au long par des signes, des prodiges. Mais le dernier signe devait être Dieu manifesté dans la chair de Son Eglise, comme Il était dans la chair humaine là, accomplissant ce même signe que le Messie avait déjà présenté parmi les gens, juste avant que le feu tombât au dernier jour: Le signe d’identification pour confirmer que la Parole que Jésus avait promise est la Vérité. Prions.
107 Notre Père céleste, c’est Ta Parole, la confirmation d’une commission. C’est Ta Parole, Père. Nous pouvons simplement La proclamer. Je Te prie de La confirmer, Seigneur. Et je sais que je... Je Te prie de me pardonner ma nervosité et mon–mon alphabétisme, tout à ce sujet, ôte cela de l’esprit des gens, ma pauvre manière décousue pour essayer d’apporter un message. Et–et le Saint-Esprit me frappe, je ne sais que faire si ce n’est donner libre cours à cela, Père ; on est ici avec des hommes et des femmes qui sont des pèlerins et des étrangers, alors que le monde entier est ébranlé aujourd’hui.
108 Aujourd’hui, on–on dit que, dans quelques jours, on va mettre dans l’orbite un homme qui fera le tour du monde, lui faire faire le tour du monde ; on cherche à envoyer un homme là sur la lune. Le monde entier est agité et secoué, de petites nations partout ont des missiles qui creuseront dans le sol un trou de 150 pieds [45 m] de profondeur sur une superficie de 253 m²... Il en faut trois au même moment pour faire s’effondrer le monde entier.
Le monde entier est dans une condition de névrosés. Les églises se sont éloignées de la Parole ; il y a toutes sortes d’organisations et de dénominations qui portent des signes d’identification terrestres. Et–et si vous n’êtes pas l’un d’eux, vous ne pouvez pas fourrer votre nez dans l’une de leurs églises.
Mais cependant, comme jadis du temps de Noé, comme au travers de la Bible, Tu enverras encore Tes prophètes et Tes serviteurs, Seigneur, avec une commission, appuyée d’une confirmation. Ô Dieu, j’en suis si content, que Tu l’aies promis.
109 Et maintenant, Seigneur, Tu as dit: «Ne crains point, petit troupeau. Petit troupeau, ton Père a trouvé bon de te donner le Royaume.» Tu as dit: «Ce qui arriva du temps de Noé, où un petit groupe a été sauvé par l’eau, arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Du temps de Lot... Du–du temps de Noé, les hommes mangeaient, buvaient, mariaient, donnaient en mariage, et regarde cela aujourd’hui, Père. Nous voyons cela. Or, ça, c’était pour le monde de pécheurs que cela se faisait.
Et alors, regarde le temps de Lot, la perversion, l’homosexualité... Oh! Comment le monde, tout le pays, pratiquement toutes les autorités se sont livrées à cela, et partout. Oh! Nous sommes rongés par des vers, Seigneur, par des démons et la puissance de l’ennemi. Le monde entier a une peur bleue, et tout notre... même notre nation est comme un petit garçon qui traverse un cimetière la nuit, sifflotant pour se débarrasser de la peur. Nous savons que cela est à la porte. L’église, Seigneur, Tu as dit: «Levez vos genoux... levez vos yeux lorsque vous verrez ces choses commencer à arriver. Votre délivrance est proche.»
110 Le Saint-Esprit a été déversé sur Ton Eglise. Tu as appelé Ton peuple de chaque nation: les Mexicains, les Blancs Anglo-Saxons, les Ethiopiens de couleur, toutes les différentes races à travers le monde, alors que Tes petits missionnaires remplis du Saint-Esprit étaient affamés, crevaient de faim, beaucoup d’entre eux ont été tués, crucifiés ; on s’est moqué d’eux et tout le reste. Ils sont allés sans être parrainés par une quelconque grande église. Ils sont allés sur base de la commission de Dieu, avec les miracles qui accompagnent ceux qui croient. Je les ai rencontrés sur des champs de mission là-bas, Seigneur.
Nous avons reçu la grande puissance de Dieu pour parler en langues, interpréter les langues. Nous avons reçu le baptême du Saint-Esprit, les démonstrations de la puissance. Et maintenant, Seigneur, comme Tu avais pris Abraham qui représentait les élus, les appelés à rester dehors, Tu l’as amené dans ce désert-là, Tu l’as séparé, Tu lui as montré toutes sortes de signes, mais le dernier signe, c’était Dieu Lui-même se manifestant dans la chair humaine.
111 Accorde que cela arrive à Tempe comme une confirmation de l’approche imminente du Seigneur Jésus. Accorde-le, Seigneur. Cela nous fortifiera nous tous, Seigneur. Cela fortifiera ces frères. Cela fortifiera Tes serviteurs partout. Cela fortifiera les laïcs. Cela nous rendra tous heureux. Accorde-le, Père. Maintenant, tout ce que je peux faire, c’est proclamer Ta Parole. Maintenant, Seigneur, il faut Toi pour La confirmer. Je ne peux que... Si c’est une commission, j’ai prêché la Vérité. Je crois, Père céleste, que Tu confirmeras cela avec des signes que Tu as promis qu’ils s’accompliront en ce jour-ci. Accorde-le, maintenant.
112 Je me confie à Toi avec cette église, avec la Parole. Maintenant, Père, nous nous attendrons à Toi, si seulement Tu nous montres que Tu es au milieu de nous. «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» C’est Ta promesse. Père, combien cela réconfortera certains de mes frères ici! Combien cela réconfortera l’église, que ce n’est pas quelque chose de mythique, quelque chose que... Tu dis: «Oui, J’entends cela être prêché tout le temps.» Mais, Père, fais-leur voir que Tu es Dieu, que Tu gardes Ta Parole. Maintenant, il faudra plus que moi, Père. Il faudra cette église tout entière, de commun accord. Il faudra une foi réelle pour faire cela. Mais je Te prie, Père, d’accorder cela pour la gloire de Dieu, au Nom de Jésus. Amen.
113 Maintenant, mes amis, une ligne de prière... Oh! Je suis désolé. Excusez mon excitation, mes manières hachées à la chaire. Je–je prie que vous le fassiez. Mais je viens de terminer l’étude du Concile prénicéen. Et j’ai pris Les Deux Babylones d’Hislop, L’Eglise des Pèlerins de Broadbent, Le Concile prénicéen, Le Concile de Nicée et Le Concile post-Nicéen, Les Pères Nicéens, j’ai vu comment le Saint-Esprit les avait inspirés. Ils n’avaient même pas un autel dans leur église. Ils n’avaient rien du genre crucifix.
Une Eglise catholique romaine est allée de l’avant avec des dogmes, avec le crucifix, mais le vrai orthodoxe s’est gardé pur, avec de petits bâtiments, sans rien si ce ne sont que les tables. Et ils avaient... Un homme pieux expliquait la Parole de Dieu, et la puissance de Dieu descendait. Ils levaient simplement les mains et louaient Dieu. Ils parlaient en langues, des signes et des prodiges les accompagnaient. Oui, oui.
114 Polycarpe, Ignace, Martin, Irénée, Colomba (Oh! la la!), Justin, beaucoup d’autres véritables hommes pieux qui ne toléraient pas du tout cette autre église, la romaine, à côté de cela. Ils sont restés catholiques. Nous aussi, nous sommes catholiques, des catholiques apostoliques.
Eh bien, catholique veut dire universel. Mais la catholique romaine a adopté des crucifix, des dogmes et autres, comme cela ; ils ont dit, non pas la Bible, eux, que Dieu était dans Son église. Dieu est dans Sa Parole.
La Bible dit: «Si quelqu’un En retranche ou Y ajoute quelque chose, sa part sera retranchée du Livre de Vie.» Nous croyons exactement ce que Dieu dit, et c’est tout. Bon. Nous croyons donc toujours ce Message.
115 Eh bien, il y a des malades ici ce soir. Je vous ai prêché que Dieu confirme Sa commission. C’est vrai. Dieu veille sur Sa Parole pour La confirmer. Tout ce qu’Il cherche à faire, c’est trouver un coeur où Il peut entrer. Eh bien, ne pensez pas que vous allez abuser de cela. Vous ne le ferez pas. Pouvez-vous vous imaginer un–un petit poisson long d’environ un demi-pouce [1,25 cm], en plein milieu de l’océan, là-bas, dire: «Je ferais mieux de boire cette eau avec modération. Je risque d’être à court.» Certainement pas. Eh bien, vous ne pourrez jamais épuiser la puissance de Dieu et la bonté de Dieu. Exact. Vous ne le pourrez absolument pas. Alors, ouvrez simplement cela.
116 Vous direz: «Eh bien, j’ai reçu le Saint-Esprit.» Oh! Il y a juste–juste... Tous les–les cieux en sont pleins. Voyez? Dieu cherche juste comme un... Si tous les cieux étaient une très grande colonne d’alimentation, et que vous ayez une petite fissure, Il cherche à accumuler... Cette eau cherchera à sortir sous pression. C’est ainsi que le Saint-Esprit essaie d’entrer en vous sous pression, comme cela, comme cela, cherchant à vous amener à croire ça. Je sais que c’est la Vérité.
117 Maintenant, je crois que... Ont-ils donné... a-t-il distribué des cartes de prière? Je priais. Je pense qu’il en a distribué. D’accord. Comment... Où est-il? Quoi? Excusez-moi. 1 à 50. Très bien. Nous ne pouvons pas les mettre tous debout à la fois, faisons donc se tenir debout peut-être... Eh bien, c’est en ordre. Tenez-vous simplement tranquilles, passez simplement, peut-être que cette petite rangée ici reculera, afin qu’eux puissent avancer un peu. Il y a un verre d’eau, je pense, placé là...?...
118 Très bien. Prenons les numéros 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10. Qu’ils se mettent debout. Numéro 1, qui l’a? La carte de prière numéro 1? C’est juste une carte de prière avec un numéro dessus. Numéros 1, 2, 3, 4, comme ça. La carte de prière numéro 1, qui l’a? Il y a certainement quelque chose qui cloche. Dites-le en espagnol. C’est quoi numéro 1 en espagnol? Uno, Uno. Qui l’a? Numéro 1? Que dites-vous? Très bien, ici même. Numéro 2, qui l’a? Numéro 3, 4, 5, 6, 7, 8... 1, 2, 3. Mettez-vous debout juste ici. Nous allons former une ligne. Hein? Oui. C’est en ordre. D’accord. C’est très bien. D’accord. 1, 2, 3, 4, 5... 6, 7, 8, 9, 10. Qu’ils viennent. Passez directement de ce côté-ci, s’il vous plaît. Si vous ne pouvez pas vous lever maintenant, levez la main. Nous veillerons à ce que vous soyez ici. Nous veillerons... Quelqu’un vous portera vers ici. Voyez? 6, 7, 8, 9, 10... 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19, 20. Qu’ils viennent, de 1 à 20 maintenant, alignez-vous ici. Très bien, c’est bien.
119 Maintenant, si vous avez vos cartes, venez, amis. Ne–ne–ne restez pas derrière, parce que vous préjudicierez quelqu’un d’autre. Voyez-vous? N’ayez pas peur de venir. Si vous avez pris votre carte, venez. Si on vous donne une carte...
Maintenant, le jeune homme précède avec ces cartes. Il se tient ici, il les bat, cinquante, ou une centaine, ou je ne sais quoi il fait. Il parcourt la ligne, distribuant à tout le monde... Une personne peut recevoir 1, l’autre reçoit 10, l’autre, 50, l’autre, 90, comme ça. Nous ne savons pas où elles sont. Elles sont toutes éparpillées. Cela fait que le jeune homme ne sait pas ce que... De plus, le jeune homme ne sait pas à partir d’où je vais appeler le soir ; en effet... Vous voyez? Moi-même, je ne le sais pas.
120 Je peux commencer... Combien ont assisté aux réunions auparavant et savent que je contourne tout cela? C’est vrai. Voyez? Bien souvent, les gens ont peur de monter, car leurs péchés sont dénoncés ici. Eh bien, si vous avez fait quelque chose de mal, et que vous ne voulez pas que cela soit dénoncé, vous feriez mieux de rester à l’écart, c’est tout. En effet, Il le fera certainement. Combien savent que c’est vrai? Certainement que c’est vrai. Maintenant, si vous êtes–si vous êtes condamné à cause du péché, eh bien, ne venez pas. Mais si ce n’est pas le cas pour vous, si vous êtes sous le Sang, venez. Voyez? Très bien. Maintenant, d’accord. Eh bien, nous commencerons ici même, et nous verrons où nous pourrons aller.
121 Eh bien, combien ici sont malades, sont venus et n’ont pas reçu une carte de prière, ils sont arrivés trop tard ou quelque chose comme cela? Levez la main, partout, dans toute la salle. Très bien. Vous n’avez pas de carte de prière...
Bon. Il y avait une petite femme qui avait traversé la foule, peut-être sans carte de prière, mais elle toucha le bord de Son vêtement. C’est ce qui avait été fait. D’accord. Elle toucha le bord de Son vêtement, et elle fut guérie.
Eh bien, vous, là dans l’assistance, qui croyez de tout votre coeur, vous qui croyez réellement ceci de tout votre coeur, dites simplement: «Seigneur Jésus, je crois vraiment ceci de tout mon coeur, et je vais T’accepter et croire que... Je sais que frère Branham ne me connaît pas, ou ne sait rien à mon sujet. Si seulement Tu me laisses toucher Ton vêtement...»
122 Or, la Bible déclare (Eh bien, les prédicateurs en rendront témoignage), la Bible déclare que Jésus-Christ est le Souverain Sacrificateur maintenant même qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités (Est-ce vrai?), le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. Il l’est maintenant même. Eh bien, alors, s’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités, comment réagirait ce Souverain Sacrificateur aussitôt touché?
S’Il est le même Jésus qui était jadis, Il réagirait de même. Il ne peut pas changer Ses voies. Il ne le peut pas. S’Il avait dit jadis: «Eh bien, Je les ai sauvés à cause de... parce qu’ils ont cru en Moi, mais aujourd’hui, Je–Je vais les sauver parce qu’ils ont beaucoup d’argent», Il ne peut pas faire ça. Il doit donc conserver Son attitude initiale. Voyez? Chaque fois donc que Dieu prend une décision, elle est parfaite. Elle ne peut plus être changée. Dieu ne change jamais Son programme. Voyez?
123 Si donc Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités, et que vous L’avez touché avec votre foi...
Eh bien, Il n’a sur terre d’autres mains que les miennes et les vôtres. Est-ce vrai? «Je suis le Cep, vous êtes les sarments.» Or, ce n’est pas le cep qui porte les fruits, n’est-ce pas? Ce sont les sarments qui les portent. Le cep ne peut donc que donner la vie au sarment. Mais, voyez, le sarment...
Le cep n’est pas fait pour... Voyez, Lui est dans la Gloire. Il est le Saint-Esprit. Maintenant, ce n’est pas Lui qui porte les fruits, mais Il nous donne la vie, et à vous et à moi, afin que nous nous comprenions l’un l’autre, par des voix qu’Il exprime au travers de nous, et Il accomplit Son oeuvre pour confirmer la commission que nous avons été envoyés pour accomplir. Comprenez-vous cela maintenant, tout le monde?
124 Maintenant, priez et dites: «Seigneur Jésus, je vais croire ceci de–de tout mon coeur. Je–je–je vais croire réellement cela de tout mon être. Et je crois que Tu vas me guérir. Et je vais, de tout mon coeur, essayer de toucher le bord de Ton vêtement, espérant que Tu me rétabliras.»
Croyez simplement cela, ou pour un bien-aimé. Maintenant, je vais vous demander, avec tout ce que... Maintenant, vous savez que je suis pentecôtiste. Je–je crois dans le fait de crier, de louer le Seigneur. Mais je vais vous demander de faire ceci. Maintenant, lorsque nous venons, j’aimerais que vous soyez tout aussi respectueux que possible. Maintenant, cachez-vous maintenant. Mettez tous vos doutes de côté et dites simplement: «Cette fois-ci, Seigneur, aide-moi.» Dieu le fera ; si seulement vous le croyez.
125 Maintenant, il y a ici une femme. Jamais de ma vie je ne l’ai vue. Eh bien, qui que ce soit qui s’occupe de ça ici, parfois je ne sais pas ce que je dis, si cela me frappe... C’est une vision. Eh bien, si vous... M’entendez-vous très bien maintenant? D’accord. Maintenant, soyez vraiment respectueux.
Eh bien, il y a ici une femme. Eh bien, voici un beau tableau biblique. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Je ne vous connais pas. Maintenant, peut-être que vous me connaissez en tant que frère Branham, mais je ne vous connais d’aucune manière.
126 Eh bien, celui-ci est un tableau comme celui de Saint Jean 4. Jésus rencontra une femme qu’Il n’avait jamais vue, ou elle ne Le connaissait pas. Elle savait qu’Il était un Juif, et c’est tout ce qu’elle savait. Et puis, Jésus a parlé un peu à cette femme. Que faisait-Il? Il contactait son esprit. Voyez? Il lui fallait passer par la Samarie, et en passant par la Samarie, Il a rencontré cette femme. Pourquoi? Le Père L’avait conduit vers la Samarie. «Monte à Samarie.»
Il ne savait que faire. Cette femme est apparue, et Il s’est dit: «C’est peut-être elle que le Père veut.» En effet, Il a dit... Après qu’Il eut guéri un homme à la... qui était infirme, pas infirme, mais je pense qu’il souffrait d’une maladie qui perdurait...
127 Dans Saint Jean 5, le chapitre suivant, je pense, Il passait près de la piscine de Béthesda, un estropié était couché là depuis plusieurs années et souffrait d’une infirmité. Or, il pouvait marcher, mais un ange descendait et agitait la piscine. Vous les frères, vous savez de quoi je parle. Et puis, Jésus est passé par là et a dit... cet homme Lui a dit qu’en se dirigeant à la piscine... Il a dit: «Je n’ai personne pour m’aider. Quelqu’un me dépasse peut-être, il peut me devancer dans la piscine», en d’autres termes.
«Prends ton lit et rentre chez toi», lui a-t-Il dit. Il a pris son lit et s’en est allé.
128 Eh bien, Jésus n’en a guéri aucun autre parmi eux, jamais, et il y en avait des multitudes, des milliers. Pourquoi ne l’a-t-Il pas fait? Là, c’est une seule personne dans une assemblée, pour nous les prédicateurs. Le Dieu plein de compassion, est-ce vrai? Des multitudes de boiteux, d’aveugles, de paralytiques, de gens aux membres atrophiés, toutes sortes de gens (Est-ce ce que dit la Bible, frères?), Il est allé droit vers un seul homme qui souffrait d’une infirmité. Il n’était pas aveugle. Il pouvait marcher. Il souffrait peut-être d’une prostatite. Il souffrait peut-être de la tuberculose qui perdurait. Cela n’allait pas le tuer. Il en avait souffert vingt-huit ans, et cela n’allait pas le tuer. Il est allé auprès de cet homme-là. Pourquoi? Il a donc guéri uniquement celui-là et s’en est allé.
129 Et s’Il venait à Tempe ce soir et faisait cela? On Le critiquerait là même. Est-ce vrai, frères? On Le critique. Mais, rappelez-vous, Jésus connaissait l’homme et Il savait qu’il se trouvait dans cette condition-là tout le temps. Est-ce ce qu’Il a dit?Eh bien, lorsque les Juifs ont trouvé cet homme, il leur a dit qui avait fait cela. Ils ont trouvé Jésus et L’ont interrogé. Pensez-vous qu’on L’interrogerait ce soir? Assurément. Qu’avait-Il dit? «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils aussi le fait pareillement.» Est-ce vrai? Alors, selon Sa propre Parole, Il ne fait que ce que le Père Lui montre en vision.
130 Vous souvenez-vous d’Elie dans notre sermon ce soir? «J’ai fait tout cela sur Ton ordre.» Tout prophète du Seigneur ne suit que la conduite du Seigneur pour lui. Maintenant, comparez cela. Or, Christ est le Saint-Esprit qui est ici maintenant. Eh bien, je crois que je me suis senti conduit à venir en Arizona. Jésus s’était senti conduit, il Lui fallait passer par la Samarie. Je me suis senti conduit à tenir le service de guérison à Tempe ce soir. Je n’en ai jamais tenu un par ici. Je ne sais pourquoi. Eh bien, il se fait que vous êtes la première personne ici. Vous êtes là, Saint Jean 4, tout à fait, de nouveau.
131 Je ne vous connais pas, vous ne me connaissez pas. Je ne sais rien. Peut-être que vous êtes une pécheresse, peut-être que vous êtes une hypocrite ; peut-être que vous êtes adultère ; peut-être une pieuse sainte ; peut-être que vous êtes malade ; peut-être que vous représentez quelqu’un d’autre ; peut-être que vous avez des problèmes financiers. Je–je ne sais pas ce que vous avez. Je ne sais rien à votre sujet. Maintenant, c’est vrai. Je ne sais rien.
Maintenant, si je vous suis inconnu, afin que certains incroyants qui sont peut-être assis ici... levez la main, si nous ne nous connaissons pas, si ce–si c’est vrai. Voyez? Maintenant, si le Saint-Esprit, en contactant son esprit... Maintenant, nous nous tenons tous deux ici, un homme et une femme, juste comme Eux là autrefois, et Jésus a parlé à la femme jusqu’à ce qu’Il avait trouvé ce qui clochait chez elle. Est-ce vrai? Eh bien, que tous ceux qui savent que c’est vrai disent: «Amen.»
132 Il avait découvert le problème de la femme, Il lui a dit quel était son problème. Et elle a dit: «Seigneur, Tu dois être Prophète.» Voyez, il n’y avait pas eu de prophètes depuis environ quatre cents ans. Elle a dit: «Tu dois être un Prophète. Eh bien, nous savons que lorsque le Messie sera venu, c’est ça qui sera le signe du Messie. Il nous annoncera toutes choses.» Est-ce vrai?
Eh bien, Jésus a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»
133 Eh bien, si c’était ça le signe du Messie à l’époque, et qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, sauf qu’Il est sous la forme du Saint-Esprit, utilisant ma chair, mon esprit quand je les Lui abandonne, Il me dira quel est votre problème ; vous reconnaîtrez si c’est vrai ou pas, car vous en serez témoin. Eh bien, si vous... Si je tenais un service de guérison, que je venais ici et disais: «Gloire à Dieu. Malade, soeur?»
«Oui. J’ai la tuberculose.»
«Gloire à Dieu!» Je vous impose les mains. «Alléluia! Recevez votre guérison.»
Eh bien, beaucoup de braves frères, comme frère Oral Roberts et les autres, ce sont de véritables hommes de Dieu. C’est ça leur don. Ils disent: «Gloire à Dieu. Je crois cela. Croyez-vous?»
«Oui.»
Je crois que vous serez guérie. Assurément, je crois cela. Oui, oui. Je crois... Vous irez chez votre pasteur si vous êtes une chrétienne, ou je ne sais quoi de ce genre, je crois que ça se fera.
134 Mais maintenant, et s’Il vient et vous dit quelque chose que vous avez fait? Eh bien, vous reconnaîtrez si cela est vrai ou pas. Et s’Il peut vous dire ce qui a été fait, assurément que vous pouvez croire s’Il vous dit ce qu’Il fera. Est-ce vrai? Maintenant, combien croient que cela sera un témoignage, s’Il le fait, qu’Il est Jésus-Christ le Messie, le même hier, aujourd’hui et éternellement?
Maintenant, rappelez-vous, ce n’est pas moi, non. Je suis comme ce microphone: totalement muet. Comment connaîtrais-je? Je vous ai déjà avoué, et à elle, et tous deux l’un vis-à-vis de l’autre, nous ne–nous ne nous sommes jamais vus. Il faudra donc une puissance venant d’ailleurs.
135 Or, vous pouvez croire comme certains d’entre eux l’ont fait et dire: «Tu es le Fils de Dieu, le Roi d’Israël.» Ou vous pouvez dire: «Hum! Il est un démon, un diseur de bonne aventure, une espèce de mauvais esprit.» Là alors, c’est entre vous et Dieu. Voyez? Je... Maintenant, c’est à vous d’en juger. Voyez? Ça dépend de votre attitude envers cela. Mais quant à moi, c’est Jésus-Christ. C’est à moi, car c’est promis.
Et maintenant, s’Il a fait une promesse, qu’Il m’a donné une commission et qu’Il me donne ces signes... Et il y a plusieurs années, j’étais ici avec vous, Il m’avait donné un signe. Si vous posez votre main sur la mienne (Combien s’en souviennent?), alors je pouvais vous dire... Si je me tenais tranquille quelques minutes, je n’en avais aucun contrôle, mais je disais: «Vous avez une tumeur», ou je ne sais quoi c’était. C’était parfait. Est-ce vrai?
136 Et je vous avais dit qu’Il m’avait dit que si je restais respectueux, que je croyais et que je restais quitte (c’est-à-dire que je ne me mettais pas à mendier de l’argent, et je n’ai jamais prélevé une offrande de ma vie. Voyez?), et tout, et que je Lui restais fidèle, il arriverait que je dirais aux gens le secret même de leur coeur et d’autres choses. Ils ne peuvent pas nier cela. Voyez? Voyez? Vous rappelez-vous que j’avais prophétisé cela? Eh bien, c’est arrivé.
137 Maintenant, eh bien, soyez vraiment respectueux. Vous direz: «Qu’attendez-vous, Frère Branham?» Je L’attends, Lui. Je ne connais pas cette femme. S’Il ne m’oint pas, je ne peux pas faire ça. C’est tout.
Combien ont déjà vu la photo de cet Ange du Seigneur, ce Feu-là, cette Colonne ardente? On a photographié Cela, et on l’a fait dans le monde entier. Eh bien, elle est à Washington, D.C., au musée des oeuvres religieuses: L’unique Etre surnaturel qui ait été jamais confirmé scientifiquement.
138 Je vais juste vous parler une minute pour contacter... Oui. Gloire au Seigneur! Ça y est. Je ne peux pas vous dire comment je sais cela, mais je sais qu’Il est ici maintenant. Voyez? C’est vrai. Il est ici même maintenant. Grâces soient rendues au Seigneur! Voyez? Ça y est.
Bon. Vous souffrez d’une maladie de peau, vous voulez que je prie pour vous pour ça. Si c’est vrai, levez la main. Eh bien, croyez-vous cela de tout votre coeur? Or, vous pouvez dire que j’ai deviné cela. Voyez? Eh bien, regardez et voyez si nous avons deviné cela. Voyez? Soyez vraiment respectueux. On dirait que c’est une personne gentille.
Eh bien, maintenant même, je ne peux pas vous dire ce que je venais de vous dire premièrement. Eh bien, juste un instant. Oui, une maladie de peau, c’est ce dont vous souffrez. C’est depuis un temps que vous en souffrez, on a même prié pour ça. Et puis, vous souffrez d’un mal au flanc. C’est vrai. Cela a été causé par un accident d’automobile. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Maintenant, vous croyez, n’est-ce pas? Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, je réclame sa guérison. Allez, en croyant. Croyez-vous qu’Il est le même hier... les Lumières du soir du Saint-Esprit...?
139 Bonsoir. Vous et moi, nous sommes inconnus l’un à l’autre, c’est notre première rencontre. Si je pouvais vous guérir, je le ferais. Je ne fais que représenter le Guérisseur (voyez?), en tant qu’un ambassadeur commissionné, priant pour sa confir-... Mais si Dieu me dit ce pour quoi vous êtes ici, croirez-vous que je suis Son prophète, ou Son serviteur? Croirez-vous cela?
D’une part, vous êtes enveloppée d’une ombre: cela montre que vous souffrez des nerfs, un dérangement mental, une maladie des nerfs. Le soir, au coucher du soleil, ça s’empire. C’est vrai. Puis, d’autre part, vous avez une grosseur qui vous inquiète. Croyez-vous que Dieu peut me dire où se trouve cette grosseur? Elle est sur le sein droit. Est-ce vrai? Croyez-vous maintenant? Eh bien, il y a Quelque Chose sur moi qui dit cela, qui sait cela. Est-ce vrai? Croyez-vous que c’est Dieu? Alors, Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Que Dieu vous bénisse. Ayez foi. Ne doutez pas. Croyez simplement de tout votre être.
140 Le petit garçon là, en cravate rayée, arrête simplement de te préoccuper. Cette arthrite va te quitter, si seulement tu crois de tout ton coeur. Tu étais assis là, attendant cela, n’est-ce pas? Si tu n’as pas eu de carte de prière, tu n’en as pas besoin. Crois seulement.
Voyez, sa foi a touché quelque chose. Vous savez que cet homme ne m’a pas touché. Il est à vingt pieds [6,9 m] de moi. Est-ce vrai? Mais qu’a-t-il touché? Le Souverain Sacrificateur. J’ai regardé cette femme ici, il y avait un homme là. J’ai regardé, et il y avait un homme. J’ai dit: «Ça ne peut pas... le... il y a... C’est une femme.» J’ai regardé, il y avait un homme. J’ai regardé. Cette Lumière suspendue ici est allée se tenir à côté de lui. Je l’ai vu essayer de sortir du lit, comme cela. C’est ça. Voyez? Le voilà. Qu’il soit un témoin. Est-ce... Vous étiez assis là, priant pour ça. Est-ce vrai? Croyez de tout votre coeur maintenant, et vous serez rétabli.
141 «Si tu peux croire, tout est possible.» Ayez simplement foi. Maintenant, soyez vraiment respectueux. Excusez-moi. Je regardais la Lumière qui se déplace dans le bâtiment. Je ne faisais que regarder Cela pour voir...
Maintenant, j’aimerais vous parler juste un instant. Vous me paraissez une bonne personne. Nous sommes inconnus l’un à l’autre ; le Seigneur connaît vos problèmes. Il me connaît ; Il vous connaît. Nous voici, un homme et une femme, à notre première rencontre, avec l’Esprit... Vous êtes une chrétienne, et–et je peux sentir la vibration là, venant de votre esprit, vous savez, ça se meut juste. Et je sais que vous n’êtes pas une auto-stoppeuse, vous êtes une chrétienne, voyez? Ainsi donc, c’est... Ce que je veux dire par auto-stoppeuse, c’est quelqu’un qui saute de lieu en lieu, vous savez. Vous êtes née de nouveau, vous êtes une véritable chrétienne. Je peux sentir un bon accueil (Voyez?), et le Saint-Esprit ici sent un bon accueil de cet esprit, car c’est un esprit apparenté. Voyez? Nous sommes frère et soeur. Vous n’êtes pas ici pour vous-même. Vous représentez quelqu’un d’autre, votre ami qui souffre d’une oppression démoniaque. Croyez-vous cela? Posez ce mouchoir sur lui et ne doutez pas. Cela le quittera. Que Dieu vous bénisse. Ayez foi en Dieu. Croyez simplement de tout votre coeur.
142 Bonsoir, madame. Nous sommes inconnus l’un à l’autre. Eh bien, quelqu’un quelque part (Ô Dieu, où est-ce?), quelque part dans l’assistance quelqu’un... quelque chose est arrivé. «Comment savez-vous cela, Frère Branham?» Eh bien, je le sais simplement. Voyez? Voyez, c’est juste comme... Cela vous tire directement la vie. Voyez-vous? Quelque chose est arrivé. Quelqu’un a été guéri quelque part. Je ne sais pas où c’était, mais peut-être qu’Il me le montrera aussi.
143 Nous sommes inconnus l’un à l’autre, madame. Je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît bien. Vous êtes ici dans un but, peut-être pour quelqu’un d’autre, peut-être pour de l’argent, ou pour le foyer. Quoi que ce soit, Dieu peut me le dire. Croirez-vous cela? Vous reconnaîtrez si c’est la vérité. Ça continue: une jeune personne apparaît ici, une vision apparaît pour une jeune personne. Eh bien, croyez de tout votre coeur, et Dieu accordera cela. Si je peux vous dire, vous savez que, puisque je ne vous connais pas, cela devra provenir d’une puissance surnaturelle.
144 Vous souvenez-vous de mon sermon de ce soir, ce dont j’ai parlé? Eh bien, regardez. Peut-être que si je faisais comme cet Ange qui avait tourné Son dos... Maintenant, et si je vous tournais le dos comme ceci. Voyez? Très bien. Maintenant, vous, dites simplement–simplement au Seigneur Jésus: «Ô Dieu», juste dans votre coeur, «révèle à frère Branham ce pour quoi je suis ici, ou quelque chose comme cela à mon sujet», et voyez s’Il le fait.
Oui, je vois la femme maintenant même. Elle souffre des troubles intestinaux. C’est vrai. Il y a des grosseurs dans les intestins. C’est vrai. Madame Cathan, vous pouvez rentrer chez vous maintenant et être guérie, si vous croyez de tout votre coeur. Allez...
145 Croyez-vous? Ayez foi. Savez-vous que le Dieu même qui a écrit la Bible se meut dans cette modeste et petite église ici ce soir? Maintenant, nous sommes inconnus l’un à l’autre aussi, monsieur. Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vu de ma vie. Nous sommes de parfaits inconnus. Maintenant, cela m’affaiblit, amis. C’est un...Cette femme assise là derrière, souffrant de constipation, assise en deuxième position à partir de derrière, de ce côté de la rangée, là. C’était vous il y a quelques instants là. Si vous croyez de tout votre coeur, cela vous quittera.
146 Qu’en est-il de cet enfant qui a cette allergie? Croyez-vous que Dieu guérira cela? Vous y êtes. Gloire! Le diable a perdu cela. Oui. Que Dieu vous bénisse, soeur, frère. Ayez foi en Dieu. C’est tout ce dont vous avez besoin. Cela quittera l’enfant, n’oubliez pas. Qu’ont-ils touché? Qu’est-ce que cette dame a touché pour son enfant? Je ne connais pas ces gens, jamais de ma vie je ne les ai vus. Si nous sommes inconnus l’un à l’autre, levez la main là, mes amis, là où ça se trouve, la–la dame. Levez la main. C’est... Elle était là debout en train de prier pour cet enfant, et le Saint-Esprit continuait à se mouvoir là-bas, quelque part, et j’ai vu là où c’était. Et j’ai vu le petit enfant avec–avec cette maladie. Elle est là. L’enfant se rétablira, soeur. Ne vous en faites pas. Pourquoi? Tout est vraiment clair là tout autour maintenant. Je sais que Dieu a exaucé. Voyez? Cela quittera l’enfant. Je sais qu’il se rétablira. Voyez?
147 Cela afflue de partout dans l’assistance maintenant. C’est au point que vous ne pouvez pas repérer ça. C’est pratiquement partout, pratiquement...?... Vous croyez maintenant plus qu’il y a quelques instants, n’est-ce pas? Vous voyez donc que c’est juste... Cela peut arriver à tout le monde parmi vous si seulement vous croyez. Voyez, croyez simplement cela.
Excusez-moi, monsieur, je–je–je n’avais pas... Vous savez, je ne suis pas hors de moi, mais je... je me sens très faible, et je...
Jésus, une seule femme toucha Son vêtement et Il dit: «J’ai connu qu’une vertu est sortie.» C’est la force. Et si cela Lui arrive à Lui, le Fils de Dieu, qu’en sera-t-il de moi, un pécheur sauvé par la grâce?
148 Maintenant, voici un homme. Que cela arrive à cet homme, et alors, croirez-vous tous? Y a-t-il quelqu’un qui connaît cet homme? Y a-t-il quelqu’un qui connaît cet homme ici? Oh! Oui, c’est... Très bien. Maintenant, vous savez, voyons si c’est vrai ou pas. Cet homme est un parfait inconnu. Jamais de ma vie je ne l’ai vu ; nous sommes de parfaits inconnus l’un à l’autre. Mais si le Saint-Esprit peut me révéler ce pour quoi vous êtes ici, ou ce que vous désirez, ou quelque chose à votre sujet, dont vous savez que moi, je sais... je ne sais rien, cela vous convaincrait-il donc que c’était le Saint-Esprit? Cela vous convaincrait-il vous tous, et saurez-vous que le même Saint-Esprit qui est ici est là aussi dans l’assistance, en nous tous?
149 Votre maladie, c’est une affection du rectum. C’est un kyste dans le rectum. Il y a quelqu’un d’autre ici qui prie pour cela. C’est votre femme là dans l’assistance. Elle souffre des maux de tête persistants tout le temps. C’est vrai. Vous avez aussi un enfant là. C’est vrai. Croyez-vous que Dieu peut me dire ce qui cloche chez cet enfant? C’est une maladie de sang. Croyez-vous que Dieu peut me dire qui vous êtes? Me croirez-vous? Vous êtes un prédicateur. Vous êtes révérend monsieur Mann. Rentrez chez vous, soyez rétabli.
150 Croyez-vous de tout votre coeur? Rendez simplement gloire à Dieu. Croyez-vous, madame, de tout votre coeur, vous assise là? Croyez-vous? Allez prendre votre souper. Votre maladie d’estomac vous quittera et vous serez rétablie.
Votre mal de dos vous a aussi quittée, soeur, vous pouvez donc traverser la salle et croire de tout votre coeur que Dieu va vous rétablir. Croyez-vous cela? Allez en poussant des cris, disant: «Gloire au Seigneur!» Très bien, de tout votre coeur.
151 La nervosité, c’est une mauvaise chose, mais Dieu peut guérir cela. Croyez-vous cela? Mettez-vous simplement à vous réjouir, disant: «Merci, Seigneur.» Dieu guérit cela.
Ce vieux ventre vous dérange-t-il? Allez manger. Jésus-Christ vous rétablit. Ayez foi. Votre dos vous dérange, n’est-ce pas? Allez, croyez. Jésus-Christ vous rétablit. Ayez foi.
La nervosité? Croyez-vous que Dieu vous guérira? Allez et soyez guéri au Nom de Jésus. Voyez-vous ce que je veux dire? Jésus-Christ n’est-Il pas le même hier, aujourd’hui et éternellement?
152 Bon! Jésus a dit: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Est-ce vrai? Maintenant, Jésus a-t-il dit ceci: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru»? Combien de croyants y a-t-il ici? Très bien. Combien aimeraient être guéris? Levez la main. Imposez-vous donc les mains les uns aux autres. Vous êtes des croyants. C’est bien. Il tient Sa Parole. Croyez-vous cela? Si vous le croyez, vous verrez arriver quelque chose que vous n’avez jamais vu auparavant, si vous croyez cela.
153 Maintenant, inclinez la tête ; imposez... Ne priez pas pour vous-même ; priez pour la personne à qui vous imposez les mains. Priez maintenant, sincèrement. Croyez sincèrement. Imposez les mains à quelqu’un et priez. Maintenant, je vais prier ici.
Père céleste, nous venons au Nom du Seigneur Jésus. Nous venons parce que Ta Parole a été confirmée ; la commission est confirmée. Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est devant nous sous forme du Saint-Esprit.
Ô Dieu, ceux-ci sont Ton peuple. Ils souffrent. Satan les a liés. Ils savent que Tu es ici. La confirmation de Ta Présence est ici: Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement. Satan, tu as perdu la bataille. Sors d’eux, Satan, au Nom de Jésus-Christ. Je t’adjure de quitter cette assistance et de sortir de ces gens afin qu’ils soient libres au Nom de Jésus-Christ. Si vous croyez cela, levez-vous et rendez gloire à Dieu. En voilà l’idée. C’est ça. Levez les mains et rendez-Lui gloire. Confirmez, confessez et croyez que votre guérison est là.