Un Paradoxe
1 Pendant que nous sommes debout, juste un instant, prions.
Notre Père céleste, nous nous approchons de Ton Trône de miséricorde au Nom du Seigneur Jésus. Nous nous approchons maintenant de la fin de cette convention, et les Ecritures nous disent que Jésus, à la fin de la fête, s’est levé et a crié. Il se peut qu’il y ait eu des attentes qu’Il espérait voir se réaliser. Ô Dieu, nous attendons très impatiemment, Tu connais la faiblesse des êtres humains ; mais, ô Dieu, nous nous sommes attendus à une grande effusion de Ton Esprit, à quelque chose d’extraordinaire. Et je regarde Ton pauvre serviteur, Carl Williams, je vois ses petites mains tordues, il frotte ses pieds par terre, pendant qu’il est assis ici, déversant constamment quelque chose dans son nez pour respirer. Et je sais qu’il a travaillé et peiné nuit et jour. Mon coeur sympathise avec lui. Ô Dieu, Tu ne le décevras pas.
2 Et cette semaine, j’ai parcouru cette vallée-ci, allant auprès de Tes serviteurs que voici, prêchant dans leurs églises, ils ne m’ont jamais dicté quoi prêcher. Ils disaient simplement: «Allez de l’avant.» Tu vois cette précieuse collaboration et cet aimable esprit, eux aussi sont ici, attendant que quelque chose se passe. Aussi, nous sentons réellement le Saint-Esprit crier en nous: «Viens, Seigneur Jésus.» Remplis nos coeurs qui sont dans l’attente. Accorde-nous ce que nous recherchons, Seigneur: une grande mesure de Ta grâce, c’est notre prière. Nous ne sommes pas dignes de demander pareille bénédiction, mais, Seigneur, personne parmi nous n’est digne. Mais, ce n’est pas à cela que nous nous accrochons, notre pensée se porte uniquement sur le sacrifice que Jésus a offert pour nous afin de nous purifier. Et nous venons maintenant demander en Son Nom qu’à un moment donné, d’ici la fin de la réunion, chaque coeur soit servi, de telle sorte qu’en partant d’ici, aujourd’hui, pour regagner nos maisons respectives, nous puissions dire comme ceux qui revenaient d’Emmaüs: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous?»
3 En effet, le Seigneur ressuscité faisait route avec eux et Il a fait quelque chose parmi eux. Après qu’ils eurent fait route avec Lui toute la journée, et ils ne saisissaient pas exactement qui Il était, ils savaient que c’était une bénédiction d’être en compagnie d’un tel Enseignant, mais quand Il a fait quelque chose, exactement comme Il l’avait fait avant la crucifixion, ils ont reconnu que personne d’autre que Lui n’avait fait cela. Et ils ont effectivement reconnu que c’était le Seigneur Jésus. Ils sont vite allés le raconter aux autres.
Ô Dieu, nous prions que cela se répète encore aujourd’hui. Fais pour nous au-delà de toute mesure, Seigneur. Puissions-nous quitter cette convention le lundi soir, rentrer à nos foyers et à nos maisons respectives, en disant: «Notre coeur ne brûlait-il pas au-dedans de nous, alors que nous L’entendions parler au travers de Ses serviteurs dans cette convention?» Accorde-nous ces choses, Seigneur, à nous Tes serviteurs indignes, au Nom de Ton Saint Fils, Jésus. Amen. Asseyez-vous.
4 [Frère Branham s’adresse à quelqu’un sur l’estrade: «Est-ce votre Bible, frère?» –N.D.E.] C’est pour moi un temps vraiment extraordinaire. Et moi aussi, j’attends très impatiemment, j’attends que quelque chose de spécial se passe au cours de cette réunion. Et s’il nous fallait clôturer cette série de réunions cet après-midi, je suis sûr que nous tous, nous pourrions dire: «Ça a été bon d’être ici» ; la première soirée, entendre frère Oral Roberts dans son puissant message qu’il a apporté aux gens sur la dépravation des moeurs. Puis a suivi l’un des messages les plus marquants de douze ou quinze minutes de notre frère Velmer Gardner. Je l’ai regardé et je l’ai beaucoup apprécié, comment il a pu apporter beaucoup de choses en si peu de temps.
5 J’en parlais à mon épouse qui est là derrière, une fois rentrés chez nous, et elle a dit: «Eh bien, a-t-elle dit, Bill, c’est ce que chaque fois eux ... Tu les gardes trop longtemps.»J’ai dit: «Chérie, je suis vraiment trop lent. Je–je n’arrive pas à y penser aussi vite que ça. Dieu est vraiment miséricordieux envers moi, en me permettant d’être lent, je pense, et Il me permet d’aller de l’avant, Il me témoigne Sa bonté.»
Puis, l’autre soir, entendre un médecin... Oui, hier soir ; c’est exact, Frère Shakarian. Vous savez, j’ai beaucoup d’amis médecins, de bons médecins. J’ai eu un entretien chez les Mayo, vous le savez. Vous avez le magazine, le... Je pense que ça s’intitule le... oh! Reader’s Digest, il y a de cela cinq ans: «Le miracle de Donny Martin», là en Californie. Et j’ai rencontré ce staff médical là-bas, les gens les plus gentils qu’on aimerait rencontrer.
6 Mais l’autre soir, quand j’ai entendu ce médecin apporter cette exhortation sur Jésus, je me suis dit qu’il fait peut-être très bien ses diagnostics, si–s’il se met à examiner le corps physique. Et il n’a pas fait du très bon travail, ou plutôt du très mauvais travail, en effectuant le diagnostic de la condition spirituelle; il en a fait un très bon diagnostic. Et les mots qu’il utilisait... J’espère ne jamais avoir à recourir à ses services, mais si jamais il me le fallait, j’aimerais qu’un homme comme lui m’opère, si jamais il me fallait en avoir un–un qui place sa confiance dans le Seigneur.
7 Avec ça, et quand j’ai suivi d’autres hommes, certains parmi eux, je ne les connaissais même pas... Je crois certainement que ce serait glorieux, si seulement nous rentrions à la maison maintenant même. Ce serait merveilleux. Mais je crois qu’Il nous accordera d’autres bénédictions, car il y en a beaucoup ici. J’attends d’écouter ce frère Brown, je pense, demain soir. Et je n’ai jamais...Episcopalien, hein? [L’assemblée rit–N.D.E.] Presbytérien. Avec une telle erreur, je ferais mieux de lire les Ecritures et d’aller de l’avant, n’est-ce pas? Puis-je dire ceci, Frère Brown: un frère en Christ. Je sais que cette fois-ci je suis dans le vrai. J’ai beaucoup entendu parler de lui, et j’aimerais certainement l’écouter.
8 ... arriver à voir tous nos amis. Et puis, le petit message haché et crispé d’hier matin. Voir ensuite Satan sauter sur une petite femme, la faire sortir précipitamment là... Oh! si seulement les gens étaient spirituels! Je me tenais ici, j’ai senti cette forte pression. Elle est sortie, alors j’ai prié: «Père céleste, envoie le Saint-Esprit à sa suite.» Il l’a saisie là même, l’a ramenée et a chassé d’elle le mauvais esprit. Et je sais qu’elle a maintenant reçu le Saint-Esprit. Nous en sommes donc reconnaissants. «En Mon Nom, ils chasseront les démons.»
9 Maintenant, prenons un–un passage des Ecritures. Et j’ai environ six pages par écrit ici, je ne les prendrai cependant pas toutes, mais–mais juste quelques-unes. Et juste exprimer ma gratitude envers vous tous pour votre bonne communion et votre précieuse collaboration, aussi de ce que vous pouvez me supporter comme vous le faites.
Ce matin, nous étions dans une petite église, l’Eglise de Dieu, par ici, quelque part derrière... Nous sommes montés dans cette direction-ci et nous sommes passés derrière... Je–je ne reconnaîtrais pas cet endroit, mais il y a certainement un pasteur aimable là aussi. Et cette église a vraiment attendu... J’avais juste un retard de dix jours pour cette église-là, un retard de dix jours. Mais nous avons certainement passé un moment merveilleux, à communier avec le Seigneur Jésus.
10 Maintenant, vous qui notez les textes, si je pouvais l’appeler ainsi, ou plutôt vous qui notez les passages des Ecritures: Dans Josué, le Livre de Josué, je sens que c’est ce que le Saint-Esprit m’a mis sur le coeur pour cet après-midi, Josué 10.12, un seul verset:
Alors Josué parla à l’Eternel, le jour où l’Eternel livra les Amoréens aux enfants d’Israël, et il dit en présence d’Israël:
Soleil, arrête-toi sur Gabaon,
Et toi, lune, sur la vallée d’Ajalon!
Vous direz: «C’est un texte inhabituel!» C’est vrai ; ou plutôt: «Un passage des Ecritures inhabituel.» Mon sujet, cet après-midi, est Un paradoxe.
Vous savez, Dieu prend des choses inhabituelles, fait des choses de façon inhabituelle ; Il est très inhabituel. Mais Il fait concourir toutes choses au bien de ceux qui L’aiment. En conclusion, j’en tire ce sujet: Un paradoxe.
11 Eh bien, je suis allé... Quand j’y pensais, j’ai pris le dictionnaire. Et je me suis dit: «C’est un mot un peu inhabituel. Nous ne l’utilisons pas très souvent.» Alors, je me suis dit: «Peut-être, Seigneur, comme Tu as placé cela sur mon coeur, il y a peut-être là quelque chose qu’il me faut consulter.» Et le dictionnaire Webster dit qu’un paradoxe, c’est quelque chose d’incroyable, mais vrai ; quelque chose d’incroyable, mais pourtant, vrai. On ne dirait pas que ça peut être vrai, pas du tout, mais c’est vrai. C’est ça un paradoxe.
12 Je me suis alors mis à penser aux nombreux paradoxes que nous pourrions relever. Et si nous nous y attardions cet après-midi, vous seriez étonnés de voir combien nombreuses sont des choses qui sont scientifiquement impossibles, mais cependant possibles.
Le fait que cette terre est suspendue dans l’espace est un paradoxe. On nous dit qu’elle tourne faisant une rotation complète toutes les vingt-quatre heures, et la terre a une circonférence d’environ vingt-cinq mille miles [40.225 km]. Et vous savez, vous pouvez... Il n’y a rien au monde qui tourne aussi parfaitement que la terre. Et l’éclipse de la lune par rapport au grand système solaire... Comment se tient-elle dans l’espace, effectuant une rotation si parfaite, étant axée sur l’Equateur, qu’on peut en déterminer le temps pendant vingt ou trente ans, sans rater une seconde?
13 J’ai ici une montre, et elle m’a été offerte par de bons amis là, quand j’étais en Suisse, c’est juste une montre suisse ordinaire... Une petite montre de probablement, environ cent cinquante dollars, ou quelque chose comme cela. Mais c’en est une bonne pour moi. Et on l’appelle Vulcain Cricket, et c’est l’une des meilleures montres que j’aie jamais portées. Pourtant, je peux la remonter et régler l’heure, dans deux ou trois mois, elle accusera soit une avance, soit un retard. Et nous n’avons rien qui puisse garder quoi que ce soit parfaitement. Mais le temps de Dieu est parfait. Il ne rate simplement pas une seule seconde. Comment cette grande boule céleste qui est suspendue dans l’espace, sans être rattachée à quoi que ce soit, opère-t-elle sur elle-même une rotation comme ceci, toutes les vingt-quatre heures, et une révolution complète tous les douze mois, par rapport au soleil, elle revient en été, en hiver, en automne, au printemps: parfait, tout à fait exact. Et il fait ça depuis des milliers d’années. Il n’y a personne sur terre qui puisse expliquer cela.
14 Qu’est-ce qui est en haut et qu’est-ce qui est en bas? Est-ce le pôle Nord qui est en haut ou est-ce le pôle Sud qui est en haut? Nous ne le savons pas, comme nous sommes dans l’espace. Lancez une balle en l’air, et vous pouvez observer cela. Elle ne tournera pas deux fois au même endroit. Elle tombe, remonte et décrit sa propre trajectoire et...juste comme la terre, la pesanteur la retient. Mais elle ne tournera pas deux fois au même endroit ; soit elle monte, soit elle descend. Mais cependant, cette grosse boule a tourné des milliers de fois pendant des années sans faillir le moins du monde. C’est un paradoxe.
15 C’est un paradoxe, quand on observe cette lune. Considérez les marées sur cette côte-ci, comment ces vagues furieuses, avec environ quatre cinquièmes de la terre, pratiquement, dans l’eau... Allez sur la côte et observez cette marée quand ces grandes vagues furieuses déferlent là loin, à un demi-mile [804 m] de l’océan, ou plus, frappent le rivage de l’océan. Pourquoi ne continue-t-elle pas au-delà? Il y a une seule chose qui l’en empêche. C’est la lune. Cette lune est le chien de garde de Dieu. Elle surveille le rivage de la mer, car Dieu a fixé à la mer des limites qu’elle ne peut pas dépasser. Mais dès que cette lune commence à se retourner vers le Père, observez cette marée disparaître, ou plutôt apparaître. Alors, quand la lune revient, la marée reprend sa place. La marée–la marée doit le faire, parce que la lune est le chien de garde de Dieu.
16 Comment cette lune qui est à des millions de kilomètres de la terre arrive-t-elle à exercer une influence sur la terre? Comment arrive-t-elle à fixer des limites? Pourquoi cette mer ne déferle-t-elle pas sur quelques centaines de kilomètres pour ensuite s’arrêter? C’est parce que Dieu lui a fixé des limites. Elle ne peut pas les franchir. Et Il a une sentinelle pour veiller à ce qu’elle ne dépasse pas cela.
Et tout le monde sait que quand la lune descend, la marée descend avec elle; quand elle monte, la marée monte avec elle: un autre paradoxe. Personne ne peut l’expliquer. Nous ne savons pas comment, quel effet cette lune exerce sur la terre et ce qu’elle fait à la marée. C’est un paradoxe. Nous pouvons planter une semence sous terre, et cette semence va passer tout l’hiver sous terre. Par exemple un grain de blé, cette semence de grain de blé se compose d’une peau à l’extérieur. Puis, à l’intérieur, il y a une pulpe. Et au centre de cette pulpe, il y a un germe. C’est ça. Et c’est ainsi que vous êtes constitué.
17 Vous avez... constitué d’une âme, d’un corps et d’un esprit. L’extérieur, qui est le corps, est contrôlé par cinq sens. Vous entrez en contact avec ce corps par cinq sens: la vue, le goût, le toucher, l’odorat et l’ouïe. A l’intérieur du corps, il y a une âme. Cette âme a cinq portes: la conscience et autres, la mémoire. Mais à l’intérieur de cela, il y a un esprit. C’est ce qui contrôle tout cela. Il n’y a qu’une seule voie d’accès vers cela, et c’est le libre arbitre, pour agir: recevoir ou refuser.
18 Et qu’arrive-t-il après à cette semence qui est plantée sous terre? L’hiver arrive et la fait éclater. La peau s’en va, la pulpe aussi. Et ce germe de vie, on ne peut pas le retrouver. Mais au printemps, il réapparaît. Il y a quelque temps, j’étais dans le Kentucky, à la chasse à l’écureuil. Et je... Nous connaissions un temps sec, et nous n’arrivions pas à trouver des écureuils. Nous étions en fait partis dans une contrée pleine de monticules.
Monsieur Wood, un ami à moi, a dit: «Eh bien, Frère Branham, a-t-il dit, je connais un homme, par-là, qui a beaucoup de bois, et il y a là de grands creux profonds. Il y aura probablement de l’humidité, nous pouvons nous y faufiler.»
19 Et pendant que j’étais là, eh bien, nous nous sommes approchés d’une maison, et il m’a demandé de ne pas descendre parce que cet homme-là était un incroyant. Il a dit: «Il ne croit simplement pas en Dieu, et il maudit la pensée même de Dieu.»J’ai dit: «D’accord. Je resterai dans la voiture.»
Ainsi donc, nous nous sommes approchés, il s’est avancé sous un petit pommier où était assis un vieil homme d’environ soixante-quinze ans. Et il lui a parlé, et il l’a appelé par son nom. Il a dit: «Mon nom est Bank Wood.» Il a dit: «J’aimerais savoir si nous pouvons chasser chez vous.»Le vieil homme l’a regardé, il a demandé: «Es-tu le fils de Jim Wood?»Il a dit: «Oui.»Il a dit: «Vas-y, partout où tu veux; c’est vaste par ici. J’ai cinq cent hectares de bois.» Il a dit: «Eh bien, comment va Jim?» Ils ont causé un moment.
20 Frère Wood a dit... Eh bien, il était un témoin de Jéhovah, son fils qui était estropié, avec une jambe recroquevillée, a été guéri dans une réunion. C’est un entrepreneur. Il a simplement arrêté le travail d’entrepreneur, il a emménagé et est devenu mon proche voisin, il est là depuis dix ans environ. Eh bien, tous les membres de sa famille, par des visons...chacun d’eux, même ceux qui étaient lecteurs dans le mouvement des Témoins de Jéhovah, ils sont tous remplis du Saint-Esprit. Nous nous tenions donc là, il a dit: «J’ai amené avec moi mon pasteur.» Alors, ce vieil homme a dit: «Wood, tu ne vas pas me dire que tu es tombé si bas qu’il te faut trimbaler un prédicateur partout où tu vas!» Alors je me suis dit qu’il était donc temps pour moi de sortir de la voiture. Je suis alors sorti de la voiture, je suis allé là où le vieux gentleman était assis. J’ai dit: «Bonjour.»Il a dit: «Bonjour, monsieur.» Et il a dit: «Et vous êtes un prédicateur?»J’ai dit: «Oui, oui. Je suis censé l’être.»Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je n’ai pas une très haute opinion de ces gens-là.»J’ai dit: «Eh bien, ce sont de très bonnes gens, la plupart d’entre eux.»Il a dit: «Eh bien, voilà le genre que je n’ai pas encore rencontré.»Et je–j’ai dit: «Certainement.»Il a dit: «Je pense...»J’ai dit: «Qu’est-ce qui vous fait dire cela?»
21 Il a dit: «Je pense qu’ils aboient à un arbre où il n’y a rien.» Eh bien, tout le monde sait que, quand un chien avec lequel on chasse la nuit aboie à un arbre où il n’y a rien, on est toujours induit en erreur. Alors, il a dit: «Ils aboient à un arbre où il n’y a rien.» Et alors, il a ajouté: «Ils prétendent avoir forcé quelque chose à monter à l’arbre, cependant on n’arrive jamais à voir cela.»«Oui, monsieur.»Et il a dit: «Ils sont toujours là à parler de quelque chose, mais ils ne peuvent rien présenter.»«Oui, oui.» Il a dit: «Il y a environ deux ans, un certain prédicateur est venu ici, dans une petite ville appelée Acton, là au terrain de camping des méthodistes. On y tenait une réunion.» Il a dit: «Il y avait une soeur avancée en âge qui habitait ici sur la colline, elle se mourait du cancer.» Et il a dit: «Cet homme-là n’avait jamais été dans cette contrée-ci.»
22 Et il a dit: «Cette nuit-là, à la réunion où s’étaient rassemblés plusieurs milliers de gens, a-t-il dit, la soeur de cette femme était assise là, pleurant au sujet de sa soeur.» Il a dit: «Elle ne pouvait même plus s’asseoir sur un bassin hygiénique. Ma femme et moi, nous devions retirer l’alaise d’en dessous d’elle.» Et il a dit: «Elle... sa soeur, là, avec un...pleurant.» Il a dit: «Ce prédicateur a regardé cette femme-là, l’a appelée par son nom et a dit: ‘Vous pleurez à cause d’une soeur qui se meurt du cancer là au sommet de la colline’».
«‘Oui’, a dit la femme.» Il a dit: «Ce prédicateur a dit: ‘AINSI DIT LE SEIGNEUR. Prenez ce mouchoir maintenant même, celui que vous avez dans votre pochette, celui que vous avez mis dans votre pochette en quittant la maison, et vous l’aviez retiré du tiroir supérieur d’une commode, un petit mouchoir portant des initiales au coin, un mouchoir blanc portant des initiales en bleu. Prenez ce mouchoir-là et posez-le sur cette femme au Nom du Seigneur.’ Et il a dit: ‘Elle sera guérie.’»
23 «Eh bien, a-t-il dit, la femme était partie avec d’autres personnes.» Et il a dit: «Franchement, c’est là à environ trois miles [environ 5 km].» Et il a dit: «Nous avons pensé qu’on avait fait venir l’Armée du Salut, cette nuit-là, sur le flanc de cette colline, vers 22 h.» Mais il a dit: «Nous sommes allés là le lendemain matin, et la dame âgée préparait un petit-déjeuner, prenait pour petit-déjeuner des tourtes aux pommes frites.» Et il a dit: «Il y a de cela deux ou trois ans.» Et il a dit: «Vous savez, elle n’est même plus tombée malade depuis lors.» Il a dit: «Eh bien, si je peux voir pareille chose se passer!»«Oh! ai-je dit, vous...» Frère Wood m’a regardé, et j’ai secoué la tête. Alors, il a dit...Je me tenais là, avec des saletés, le sang des écureuils et tout, des moustaches longues comme ça, ayant campé dans des collines... Et je–j’ai dit: «Cela vous laisse-t-il perplexe?» Il a dit: «Absolument pas.»J’ai dit: «Cela vous dérangerait-il que je prenne l’une de ces pommes?»Il a dit: «Allez-y. Les guêpes les rongent.»J’ai dit: «Merci.» Je l’ai essuyée sur mon vieux pantalon sale et j’en ai pris une bouchée. J’ai dit: «C’est une bonne pomme.»Il a dit: «Assurément. Ça a fait trente-cinq ans que j’ai planté cet arbre-là.» J’ai dit: «Voyons, c’est pratiquement la dernière semaine d’août.»«Oui, oui.»J’ai dit: «Monsieur, j’aimerais vous poser une question.»Il a dit: «Allez-y.»J’ai dit: «Quand vous aviez planté cet arbre là, quelle était sa taille?»«Oh! a-t-il dit, c’était juste un rabougri, d’à peu près cette taille.»«Oui, oui.» Et j’ai dit: «J’aimerais vous poser... On est maintenant même à la dernière semaine d’août. Nous n’avons même pas eu une nuit froide. Mais les pommes sont toutes tombées de cet arbre, les feuilles aussi.«Cette feuille est redescendue dans la racine.»«C’est exact.» J’ai dit: «Monsieur, pourquoi cette feuille est-elle tombée? A-t-elle fané?»«Non, a-t-il dit, eh bien, la vie l’a quittée.»«Oh! je vois. Ainsi donc, la vie l’a quittée et elle est retournée dans les racines.»«Oui.»J’ai dit: «Monsieur, que se serait-il alors passé si elle n’était pas retournée dans les racines?»«Eh bien, a-t-il dit, l’arbre... Elle doit retourner dans les racines. L’arbre ne vivrait pas. Il mourrait. L’hiver le tuerait.» Il a dit: «Ici, il fait parfois -20 ou -30 degrés.»
24 Et j’ai dit: «Oui, oui.» J’ai dit: «Monsieur, dites-moi quelle Intelligence ordonne à cette sève de quitter l’arbre pour descendre dans les racines pendant l’hiver. Eh bien, placez un seau d’eau sur un poteau là, et voyez si en mi-août l’eau se mettra à descendre jusqu’au bout du poteau.» J’ai dit: «L’arbre n’a pas d’intelligence. Il ne connaît pas les saisons. Il n’a pas d’intelligence. Cependant, il y a une Intelligence quelque part qui envoie cet arbre là-bas pour préserver sa vie.»Il a dit: «Je n’y avais pas pensé sous cet angle-là.»J’ai dit: «Vous voyez donc cela ici même dans votre cour. Pourquoi voulez-vous donc voir ce prédicateur-là, alors que vous voyez cela ici même?» J’ai dit: «La même Intelligence qui m’avait dit que la soeur de cette femme-là se mourait du cancer (et je l’avais vue guérie en vision), cette même Intelligence est si proche de vous qu’Elle contrôle l’arbre qui est dans votre cour.»
Il s’est levé et m’a serré la main. Je l’ai conduit à Christ cet après-midi-là. Il est mort environ une année plus tard. Cette année, j’étais là et j’ai rencontré sa veuve. Je me suis avancé pour lui demander de chasser. Dans un premier temps, elle allait me chasser des lieux, quand j’y étais retourné. J’ai dit: «Un instant.» Elle n’était pas là quand j’y étais.
25 Elle a dit: «Monsieur, ne savez-vous pas lire?»J’ai dit: «Si, madame.» Je me suis avancé. J’ai dit: «Vous ne me reconnaissez pas?»Elle a dit: «Absolument pas. Non. Avec cette plaque d’immatriculation de l’Indiana sur cette voiture?»Et j’ai dit: «C’est moi frère Branham. Votre mar-...»«Oh!» Elle s’est simplement mise à pleurer, elle a levé les mains et s’est mise à louer Dieu. Elle a dit: «Fiston, tu peux chasser partout où tu veux. Restes-y tant que tu voudras.»
Qu’était-ce? Un paradoxe. Personne ne le sait ; personne. Vous ne pouvez pas trouver l’Intelligence qui contrôle Dame Nature. Mais c’est un paradoxe. Nous ne pouvons pas l’expliquer.
26 Je pensais à la mort, et si nous sommes sur des feuilles...Une feuille est suspendue à un arbre dans un but. Vous et moi, nous sommes suspendus à l’Arbre de la Vie après avoir accepté Christ. Et peu après, au changement de saison, la vie quitte cette feuille-là et descend dans la racine. L’année suivante, elle revient et produit une nouvelle feuille. Et nous chrétiens, qui croyons en Christ, nous avons la Vie Eternelle, et nous sommes suspendus à l’Arbre de la Vie. Mais un jour, cette vieille feuille tombera, retournera à Dieu qui la donne, juste pour revenir dans une autre saison. Cette saison, nous sommes séparés, nous sommes des hommes et des femmes. Et tout ce qu’il en est, c’est une saison d’ensemencement. L’arbre rend témoignage continuellement, année après année, il rend témoignage au Dieu vivant...
27 Le soleil se lève et se couche pour démontrer la naissance, la mort, la résurrection; la naissance, la mort, la résurrection ; un cycle parfait. L’été, l’hiver, l’automne, l’automne et cela démontre parfaitement la mort, l’ensevelissement, la résurrection ; la mort, l’ensevelissement, la résurrection. Mais quand nous reviendrons, ça sera une nouvelle saison complète. Ça sera pendant le Millénium. Il n’y aura plus de mort. Oh! Nous pouvons nous y attarder tout l’après-midi. Comme c’est merveilleux de voir les paradoxes de Dieu, voir comment Il–Il fait ça!
Dans Hébreux, chapitre 11, verset 3, il y est dit que Dieu créa le monde, Il forma le monde à partir des choses invisibles. Cette terre même sur laquelle nous sommes assis est un paradoxe. Qu’est-ce? C’est la Parole de Dieu rendue manifeste. Pensez-y. La chaise sur laquelle vous êtes assis, la terre sur laquelle vous avez posé vos pieds, c’est une Parole parlée de Dieu. Il créa cela du néant. Tout ce qu’Il avait, c’était Sa Parole, et Sa Parole est en soi une création. Une fois proclamée, Elle ne peut jamais retourner sans avoir accompli ce pour quoi Elle a été proclamée. Alléluia!
28 Docteur, je commence à me sentir religieux. Sa Parole ne peut retourner sans avoir accompli ce pour quoi Elle a été proclamée. Dieu attend que les gens s’emparent de cette Parole cet après-midi et qu’ils s’Y accrochent au point qu’Elle accomplira ce pour quoi Elle a été donnée. Oui. Elle ne peut pas retourner. C’est un paradoxe. Toute la Parole de Dieu est un paradoxe. Elle ne peut pas retourner, Elle doit accomplir ce pour quoi Elle a été proclamée.
29 Allons maintenant à notre texte: Josué. En lisant tout le chapitre, vous verrez que la Bible dit qu’il n’y a jamais eu un jour comme celui-là, ni auparavant ni après, où Dieu a écouté un homme. J’ai une adolescente, Rebecca, elle fréquente l’école secondaire. Il y a quelque temps, je lisais cela, et elle a dit: «Papa, il doit y avoir une erreur quelque part là.»J’ai dit: «Il n’y a pas d’erreur. Pas une... Pas d’erreurs dans la Parole de Dieu.»Elle a dit: «Papa, le... Josué n’a jamais arrêté le soleil, papa.» J’ai dit... Elle a dit: «Il a arrêté la terre.»J’ai dit: «Rebecca, il a arrêté le soleil.»Elle a dit: «Papa, il ne pouvait pas le faire.»«Eh bien, ai-je dit, penses-tu que la Parole de Dieu ait commis une erreur, chérie?»Elle a dit: «Non. Ce n’est pas ce que je pense, papa. Mais je pense que Josué n’avait tout simplement pas compris.»J’ai dit: «Lui qui connaissait Dieu assez bien pour accomplir un tel miracle, et pourtant il n’avait pas compris? Il savait de quoi il parlait.»Elle a dit: «Papa, le soleil est déjà immobile. Il ne bouge pas. Il a arrêté la terre.»
30 J’ai dit: «Il ne parlait pas de cet astre-là.» Il a dit: «Arrête-toi sur Gabaon, et dans la vallée d’Ajalon, arrête-toi.» Et le soleil n’a point bougé de Gabaon, ni d’Ajalon pendant vingt-quatre heures. Il ne parlait de cet astre-là. Il parlait du soleil qui parcourt la terre. Il ne s’intéressait pas à cela. Il avait besoin d’assez de lumière pour vaincre l’ennemi d’Israël.» C’est du soleil dont il parlait, le soleil, la lumière du soleil. C’est du soleil dont il parlait.
La Parole de Dieu ne commet pas d’erreurs. Ce qu’Elle dit n’a besoin d’aucune... de l’interprétation de personne, qui La pervertirait et Lui ferait dire autre chose qu’Elle dit. Prenez-La exactement telle quelle, parce que c’est la Parole de Dieu.
31 Eh bien, pourtant c’était là, l’écrivain de ce Livre dit qu’il n’y a jamais rien eu de pareil. Ce même Dieu qui avait arrêté ce soleil a dit ceci dans Marc 11, 11.22 et 23. Il a dit, Jésus a dit, quand Il parlait de l’arbre: «Je vous le dis, en vérité, Je vous le dis, si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’ et si vous ne doutez point en votre coeur, mais croyez que ce que vous dites arrive, vous pourrez recevoir ce que vous avez dit.»
Or, cela n’était pas seulement pour Josué. C’était pour tout croyant qui peut prendre Dieu au Mot. Premièrement, il vous faut avoir un motif juste et un objectif correct, une raison valable pour faire cela. Bon. Mais c’était un paradoxe.
32 Nous savons... Beaucoup parmi nous savent... J’ai moi-même vu de telles choses arriver: des choses créées que je sais qu’elles ont existé. L’impossibilité... Si j’avais le temps de m’attarder, mais je n’en ai pas, sur les preuves scientifiques des choses impossibles dans la création! Il n’y a que Dieu seul qui peut faire cela, car Il est Dieu. Le Dieu qui a pu accomplir un paradoxe là demeure toujours le même Dieu aujourd’hui, et Il peut encore accomplir un paradoxe. C’est vrai.
33 Le temps de Noé, à l’époque de Noé, c’était un paradoxe. Rappelez-vous, la pluie n’était jamais tombée sur terre jusqu’à l’époque de Noé. Dieu arrosait par les sources d’eau et autres. Mais Noé s’est mis à construire une arche. Que faisait-il? Avant que le paradoxe se soit donc produit, Noé a fait des préparatifs pour ça. Oh! Puis-je dire ceci cet après-midi, si seulement nous ici aujourd’hui, nous nous préparons pour un paradoxe! Celui qui peut opérer un paradoxe est avec nous. Le Dieu dont toutes les oeuvres sont un paradoxe, dépassent l’entendement, sont incroyables, mais vraies, peut accomplir un paradoxe.
34 Noé s’est préparé pour cela. Je m’imagine que pendant qu’il faisait des préparatifs, les gens disaient: «Je me demande ce que ce vieux toqué est en train de foutre là, là-haut, en martelant ce vieux navire en bois. Il n’a jamais plu. C’est un... Pareille chose n’existe pas.» Je m’imagine que les hommes de science pouvaient venir là devant Noé et dire: «Ecoutez. Nous, nous avons des instruments qui nous permettent de prendre les vues des étoiles, et il n’y a pas de pluie là-haut. Comment au monde vos propos peuvent-ils être vrais, qu’il va pleuvoir, alors qu’il n’y a pas d’eau là-haut?» Mais vous voyez, si Dieu a dit qu’il pleuvrait, Il peut créer la pluie. Il s’est donc préparé pour cela, il a préparé le par...–le paradoxe. Et la pluie tomba.
35 Abraham, alors qu’il était au sommet de la montagne avec son unique enfant, le petit Isaac... Il avait attendu vingt-cinq ans pour avoir cet enfant. Et puis, quand l’enfant avait environ quatorze ans, Dieu lui a dit... Pourquoi faisait-il donc cela? Pour confirmer que Dieu tient Sa Parole. Peu importe combien Elle paraît absurde, Il peut toujours accomplir et opérer un paradoxe.
Il a dit: «Prends ton petit garçon de quatorze ans, amène-le sur la montagne, et offre-le en sacrifice.» Et il l’a amené à la montagne. Et alors, si ce...Il avait alors environ cent quinze ans. Il avait attendu cet enfant pendant vingt-cinq ans, et voici le jeune garçon... Et il allait détruire l’unique évidence qu’il avait de voir cette promesse de Dieu (devenir le père des nations) s’accomplir donc, et il lui a été alors demandé de détruire cela. C’est pourquoi il appela cet endroit Jéhovah-Jiré. En effet, quand il fut sur le point d’obéir pleinement à Dieu, le Saint-Esprit saisit sa main, et un bélier bêla derrière lui, retenu par les cornes dans la nature. Qu’était-ce? Un paradoxe.
36 Ecoutez. Il avait effectué un voyage de trois jours depuis sa maison, là au milieu des bêtes sauvages ; et en plus de cela, au sommet de la montagne, là où il ne pouvait pas y avoir de bélier. Et il ne pouvait se retrouver là où il n’y avait pas d’eau. D’où était venu ce bélier? Ce n’était pas une vision. Il a tué le bélier ; le sang en a jailli. C’était Dieu, le Créateur. Puisque Abraham était dans l’exercice de son devoir vis-à-vis de la Parole de Dieu, un paradoxe s’est produit, et il a tué le bélier, qui est mort à la place de son fils. Un paradoxe.
37 Ce fut certainement un paradoxe à Sodome, un peu avant donc, quand Sara avait ri en écoutant un Homme dans la chair humaine, là, qui était Dieu. Et Il avait le dos tourné à la tente, cet Ange-là. Il parla à Abraham, et l’appela par son nom, Abraham, Il appela Sara, Sara, alors qu’Abraham venait de recevoir ce nom-là quelques jours auparavant. Et l’Ange lui dit: «Abraham, Je te visiterai au temps de la vie.» Et Sara a ri dans la tente. Et l’Ange, avec Son dos tourné vers la tente... Non pas–non pas l’un de ces...juste comme une théophanie. C’était un Homme avec Son dos tourné à la tente, Il a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri dans la tente, disant: ‘Ceci ne peut pas se faire?’» C’était un paradoxe.
38 Une fois, alors que les armées d’Israël se tenaient là, vaincues... Et il y avait de vaillants soldats là, des hommes forts–Joab, Saül (qui dépassait d’une tête son armée)–tous armés de puissantes armes et d’épées, des hommes qui avaient appris à faire la guerre depuis leur jeunesse. Mais du fait qu’ils voyaient une très grande opposition, ils avaient peur de relever le défi de l’orgueilleux Goliath des Philistins, ils avaient peur de l’affronter.
Mais vint un petit garçon blond aux épaules voûtées. Sa maman avait cuit des tartes aux raisins, et il les a apportées à ses frères. Et pendant qu’il allait çà et là, cherchant ses frères dans le camp, ce Philistin s’avança et fit parade, en disant: «Choisissez-vous un homme, et venez vous battre avec moi ici. Si... Nous ne voulons pas que le sang coule entre les nations.» Evidemment, c’est ainsi que l’ennemi aime se vanter, quand il pense avoir le dessus sur vous. Il a dit: «Faites-le venir ici, et puis nous ferons notre choix. Et nous nous battrons. Et alors, si je le tue, vous serez nos serviteurs ; s’il me tue, nous deviendrons vos serviteurs.»
39 Et vous savez quoi? Il l’a dit à un mauvais moment. Il y avait là un petit garçon blond aux épaules voûtées (c’est ce que la Bible dit) qui savait ce que Dieu représentait. Il avait vu Dieu en action. Il savait que le Dieu d’Israël est un Dieu de l’éternité. Il savait que Dieu l’avait délivré des griffes d’un lion et des pattes d’un ours, avec une fronde.
Alors, il a dit à ses frères: «Voulez-vous me dire que vous, Israélites, l’armée du Dieu vivant, vous vous tiendrez ici et vous laisserez ce Philistin prétentieux dire que les jours des miracles sont passés? Voulez-vous me dire que vous le laisserez s’en tirer avec ça, alors que la promesse de Dieu nous soutient?» Alléluia! La promesse de Dieu nous soutient. «Voulez-vous me dire que vous le laisserez se vanter, et dire...?»
40 David était le plus petit de toute l’armée, et il n’était même pas dans l’armée. Il ne s’était pas encore fait recruter auprès d’eux, il–il était donc une espèce de rejeton, de rebus. Et il n’était pas formé. Pourtant, il n’avait pas été au séminaire et il n’avait pas de vestons ecclésiastiques que portaient les autres. Mais... Et quand on en a essayé un sur lui, il ne lui a pas convenu.
Et je pense que c’est à peu près la même chose aujourd’hui. Quand nous portons le veston ecclésiastique de Saül, nous disant que les jours des miracles sont passés, que le baptême du Saint-Esprit n’existe pas, ça ne convient pas à un homme de Dieu. Exact. Le peuple de Dieu croit au paradoxe, il croit en Dieu.
41 Et ce petit homme s’est tenu là, le dos voûté, drapé d’un morceau de peau de brebis, sans arme performante, ni rien. Alors, il a dit: «Voulez-vous me dire que vous laisserez ce Philistin, cet incirconcis, cet incroyant dire que pareille chose n’existe pas et défier les armées du Dieu vivant?» Il a dit: «J’irai me battre avec lui.» C’était un paradoxe de voir un petit garçon défier un géant aux doigts longs de quatorze pouces [35,56 cm]. Un homme sans épée, sans bouclier, comme on pouvait le constater, défia un homme qui avait une lance comme l’aiguille de tisserand, d’une longueur d’environ trente pieds [9, 14 m]. C’était un paradoxe. Qu’a-t-il fait? Il a dit: «Tu marches contre moi en tant que Philistin au nom de Philistin. Tu marches contre moi avec une arme, une lance et en érudit universitaire. Mais moi, je marche contre toi au Nom de l’Eternel Dieu d’Israël.» C’est ça. Et un petit enfant, un garçon blond, probablement de seize ou dix-huit ans, avec une fronde, tua ce gaillard prétentieux: paradoxe, car il s’était confié en Dieu. Certainement.
42 Moïse, après avoir suivi une très bonne formation (un soldat) savait de quoi il parlait ; il savait comment conduire une armée, il savait combattre et il avait éprouvé ses armes, mais ça n’avait pas marché. C’était un paradoxe. Après avoir parlé à Dieu sous forme de feu dans un buisson et ramassé un bâton sec dans le désert, il descendit vaincre une armée, envahir une nation avec un bâton sec. Il a vaincu une armée, il a envahi une nation à l’âge de quatre-vingts ans rien qu’avec un bâton en main. Alléluia!
Qu’était-ce? Ce n’était pas Moïse, ni le bâton. C’était le Dieu de la création là-dedans, c’est ce qui accomplissait cela: Dieu dans ce vieux bâton sec. «Prends ce bâton qui est dans ta main et descends là», comme je l’ai dit l’autre soir, l’invasion par un seul homme. Eh bien, alors que Moïse avait eu des ennuis dans la chair pour avoir tué un seul homme, cela l’avait constamment hanté, mais il est descendu là, dans l’Esprit, il a massacré toute une nation. C’était une gloire. Assurément. Il suivait les commandements du Seigneur. C’est ce qui fait ça.
43 J’ai toujours pensé combien cela a pu paraître ridicule à l’esprit charnel: Un vieil homme avec une barbe lui descendant à la poitrine, probablement que sa tête chauve brillait au soleil, ses cheveux pendaient. Il tirait derrière lui un petit âne sur lequel sa femme était assise avec un petit à la hanche, ce vieux bâton, ses yeux levés vers les cieux ; il descendait là.
«Où allez-vous, Moïse?»
«Je descends faire l’invasion de l’Egypte.»
Ce qu’il en est, c’est qu’il a fait ça, car il a pu y aller au Nom du Seigneur. Dieu n’a besoin que d’un seul homme entre Ses mains. Il peut faire le reste. Il a cherché à trouver des hommes. Il Lui arrive parfois d’avoir un homme entre Ses mains. Alors, il est descendu et a envahi toute une nation avec un bâton en main.
44 Eh bien, dites-moi seulement si c’est normal, si c’est de la routine ordinaire qu’un homme tienne un bâton en main et aille envahir la Russie. Si c’est Dieu qui l’a envoyé, il le fera, car le Dieu qui l’a envoyé sera avec lui. Jésus a dit: «Comme le Père M’a envoyé, Moi aussi Je vous envoie.» Et quand Il... Le Père qui L’avait envoyé était en Lui. Et quand Dieu envoie un homme, Christ entre en lui. Assurément. «Comme le Père M’a envoyé...» Le Père qui L’avait envoyé allait avec Lui. Et le Christ qui envoie un homme va avec lui. Voyez? Il n’y a que des paradoxes partout. Bon. Un bâton sec... Mais il est descendu et il a envahi cela: comme c’est ridicule, comme ça paraît étrange.
45 Il semblait ridicule, alors qu’il n’y avait de puits nulle part, là, dans des vallées ; ils n’arrivaient même pas à flairer l’eau là tout autour des collines. Et le point le plus sec qu’il y avait au désert, c’était ce vieux rocher. Sortez ici au désert, regardez et voyez. On dirait que là, sous un bel arbre du désert, palo verde, ou ailleurs, on trouverait une petite source. Descendez dans une vallée où coulent toutes les eaux et creusez-y, vous trouverez vite de l’eau. Mais Dieu l’a envoyé là sur la colline, vers la chose la plus sèche là-bas. C’est ainsi que Dieu s’y prend. Il aime prendre quelque chose qui n’est rien pour montrer qu’Il est Quelque Chose. Comme je l’ai souvent dit: «Dieu prend des gens qui ne sont rien pour en faire quelqu’un. Mais dès qu’ils pensent être quelque chose, alors ils deviennent des vauriens aux yeux de Dieu.»
46 Eh bien, nous voyons que Moïse prit ce bâton sec et frappa le rocher. Et alors, l’eau jaillit. Eh bien, prenez un bâton, allez aujourd’hui au désert et mettez-vous à frapper les rochers. Ce fut un paradoxe. C’était un paradoxe quand Dieu faisait pleuvoir la manne du Ciel. Oui. C’était un paradoxe. Sans doute... Je me demande s’Il n’avait pas de grands fours là-haut pour cuire cela. Il n’en avait pas besoin. Il est Créateur, et Il a créé la manne qui tombait de nouveau chaque nuit. Il n’avait pas besoin de fours ; Il est Créateur.
47 Une fois, un croyant fréquenta une mauvaise compagnie... (Nous en avons tout le temps.) Un croyant du nom de Josaphat fréquenta une mauvaise personne, Achab, un soi-disant croyant. Et quand un soi-disant croyant et un croyant s’associent, vous avez des ennuis. Eh bien, si vous amenez un croyant dans un séminaire où il y a un tas de soi-disant croyants, vous aurez également des ennuis. Ainsi, Josaphat défendait ses propres intérêts, ou plutôt Achab, il a envoyé chercher Josaphat. Il lui a présenté toute la gloire de son royaume. Et Josaphat, comme un croyant... Parfois, en voyant l’enthousiasme, quelque chose d’extraordinaire, ça vous excite. Et c’est alors que l’homme doit faire attention. C’est là que vous, les jeunes filles, vous devez faire attention au petit gars à la chevelure lisse et... Faites attention. Et certains parmi vous, jeunes gens, doivent faire attention à cette petite... (vous petite Jézabel), vous savez, qui vous dérouterait. Faites attention. Ayez de bonnes fréquentations. Observez.
48 Voici donc un croyant en compagnie d’un soi-disant croyant. Il défendait donc ses propres intérêts, évidemment. Et il a dit: «Eh bien, nous allons vous dire ce que nous ferons. Vous savez, nous sommes des frères. Nous sommes tous les mêmes.» Mais nous ne sommes pas les mêmes. Absolument pas. On ne mélange pas l’huile avec l’eau. Non. «Nous sommes tous vraiment les mêmes, que vos chars soient comme nôtres, et les nôtres comme vôtres. Et nous monterons à Guilgal livrer cette bataille et repousser ces...l’ennemi.»
Eh bien, Josaphat avait assez de bon sens pour dire: «Ne pensez-vous pas qu’il nous faut d’abord consulter l’Eternel? Je peux me représenter le grand président Achab dire: «Hmph... Eh bien, bien sûr que oui. Assurément. Nous sommes–nous sommes une grande nation, ici, qui croit en Dieu. Savez-vous quoi donc? Je viens de recevoir une réponse.» Oh! oui. «J’en ai un séminaire bien plein par ici. J’ai là quatre cents prophètes parmi les mieux formés du pays. J’en ai les meilleurs. Vous devriez les entendre dire ‘amen.’ Vous devriez entendre les courtes et douces prières qu’ils sont capables d’offrir. Faites-les venir. Consultons-les.»
49 Ils se sont donc habillés pour avoir une belle apparence, ils se sont présentés aux portails. Et alors... On a fait venir quatre cents prophètes, et alors... Tous ces prophètes... Et ils ont dit: «Monte, et que l’Eternel te bénisse. Montes-y. Nous, quatre cent, nous sommes de commun accord. Monte. Je te bénirai, Je serai avec toi.»
Mais cela ne frappa pas Josaphat. Vous savez, on peut vous dire que toutes ces choses sont bonnes, mais au fin fond de votre coeur, vous savez... Comme je l’ai dit hier: «Cette toute petite et douce voix fait tourner toute la roue.» On dirait que quelque chose clochait. Il a dit: «Monsieur, n’en avez-vous pas un autre?»
«Un autre, alors que tout le séminaire est ici? (Voyez?) Eh bien, voici l’archevêque Untel ainsi que tous les autres. Il s’était fait des cornes de fer, et il a dit: ‘Avec ceci, tu bouteras l’ennemi hors du pays.’»
50 Et apparemment, c’était tout à fait vrai, car le pays appartenait effectivement à Israël. Voyez, la chose peut avoir l’air très réelle et très exacte. Mais si vous voulez un paradoxe, il ne vous faut pas du tout vous écarter de la Parole de Dieu. Vous devez vous en tenir juste à la Parole. Jésus a dit: «Si vous demeurez en Moi, et que Mes Paroles demeurent en vous, demandez alors ce que vous voudrez.» Mais c’est sous une condition.
Eh bien, on dirait... «Ce territoire-là nous appartient. Pourquoi ne pouvons-nous pas aller le récupérer? C’est à nous. Ça nous appartient.» Et ces gens-là n’étaient pas du tout des païens; c’étaient des prophètes juifs. Ils ont dit: «Monte. L’Eternel est avec toi.» Mais le problème était qu’ils s’étaient mêlés au monde. Pendant le règne d’Achab et de Jézabel, cette dernière les avait égarés et–et les avait complètement mêlés au monde. Et, à vrai dire, l’Esprit du Seigneur n’était pas avec eux.
51 Ainsi donc, il les a juste fait venir là et ils ont prophétisé. Mais cependant, cela n’a pas plutôt convaincu Josaphat. Il a dit: «N’en avez-vous pas un autre par qui vous pouvez consulter?»
Il a dit: «Si, j’en ai un autre, mais c’est un saint exalté. Je–je ne l’aime vraiment pas. Il s’en prend toujours à moi. (Gloire à Dieu!) Il m’engueule toujours. Il croit que j’ai la pire femme du monde. Il est–il est horrible. Nous ne pouvons simplement pas l’avoir par ici.»«Oh! a-t-il dit, que le roi ne parle pas ainsi. J’aimerais l’écouter.»
Il a dit: «C’est Michée, fils de Jimla. Mais je–je ne l’aime vraiment pas. Il dit toujours quelque chose de mal à mon sujet. Je l’ai mis en prison une douzaine de fois. Mais c’est l’un de ces saints exaltés. Mais nous ne voulons pas de lui ici.»
«Oh! que le roi ne parle ainsi! Qu’on envoie le chercher.» Alors, ils ont dépêché un précurseur, comme on le fait parfois, quand on va à un réveil. «Ah, sh, mais ne dites rien à ce sujet. Ne prêchez pas contre ceci. Oh! le...ils ne croient pas ça. Eh bien, laissez tomber ça. Eh bien, ne dites rien au sujet de (hmph)...»
Eh bien, vous savez ce que je veux dire, n’est-ce pas? [L’assemblée rit.–N.D.E.] «Ne dites rien à ce sujet, parce que vous allez blesser...vous blesserez leurs sentiments. Eh bien, ils ont des pasteurs là, et ils–ils leur disent telle ou telle chose. Ne... dites la même chose.»
52 Michée, un homme oint, a dit: «Je n’annoncerai que ce que Dieu mettra dans ma bouche.» Amen! Ô Dieu, donne-nous d’autres Michée. «Mais je n’annoncerai que ce que Dieu mettra dans ma bouche.» Voyons si sa vision était conforme à la Parole. C’est ainsi qu’il faut la juger, ce qui est vrai. Voir ce qui se conforme à la Parole. Michée descendit.
Il dit: «Combien de fois me faudra-t-il te faire jurer?»Michée dit: «Monte. Accorde-moi d’abord cette nuit. Laisse-moi voir ce que l’Eternel dira. Ensuite, je te dirai ce qu’est l’AINSI DIT LE SEIGNEUR.» C’est ça. Cherchez premièrement le Royaume de Dieu. Voyons ce qui est vrai. Alors, cette nuit-là, Michée eut une vision et il vit le Seigneur. Et il examina cette vision à la lumière de la Parole, et elle était conforme à la Parole. Et toute vision, tout songe, ou n’importe quoi d’autre qui est contraire à la Parole, n’est pas vrai.
53 Permettez-moi de m’arrêter juste une minute. Il n’y a pas longtemps, un homme est venu me voir ; je revenais d’outre-mer. Cet homme était dans l’erreur. Il avait trois ou quatre enfants avec une femme, et il allait çà et là avec une autre par ici. Je ne parle pas de quelque chose d’immoral, mais seulement cela n’avait pas l’air juste. Vous voyez, vous devez faire attention à ce que vous faites aux yeux des gens. Vous êtes des épîtres écrites.
Et il a dit... J’ai dû lui forcer un peu la main là-dessus. J’ai dit: «Monsieur, j’espère que vous ne me trouverez pas rude. Mais j’aimerais juste dire quelque chose en tant que prédicateur. Ne trouvez-vous pas que les gens d’ici penseront...»«Oh! a-t-il dit, absolument pas. C’est tout à fait en ordre dans ma contrée.»J’ai dit: «Mais vous n’êtes pas dans votre contrée. Voyez? Vous êtes ici. Et si les gens se mettaient à imaginer des histoires à ce sujet!» Il a dit...J’ai dit: «Connaissez-vous cette femme-là?»«Oui.»J’ai dit: «Connaissez-vous son passé?» (Moi, je le connaissais.)Il a dit: «Oui.» Il a dit: «Frère Branham, je sais qu’elle vit maintenant même avec son quatrième mari.» Il a dit: «Et, Frère Branham, vous savez quoi? C’est une très douce femme.» Il a dit: «J’ai consulté le Seigneur, et j’ai dit: ‘Seigneur, révèle-moi ce qui ne va pas avec cette femme.’ Ai-je dit: ‘Pourquoi la bénis-Tu avec le Saint-Esprit et tout, pendant qu’elle vit dans l’adultère?’» Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, vous savez, le Seigneur m’a donné un songe.» Il a dit: «J’ai vu ma femme vivre dans l’immoralité avec un autre homme.» Et j’ai dit... Et il a dit: «Puis, elle est venue vers moi, elle est tombée à genoux et a dit: ‘Veux-tu me pardonner?’»
Et j’ai dit: «Assurément.» Et il a dit: «Alors le Seigneur a dit: ‘Je lui pardonne.’»
Il a dit: «Vous voyez, peu importe qu’elle ait agi comme elle le fait, je lui pardonne.»J’ai dit: «Monsieur, votre vision, ou votre songe était fantastique. Mais ce n’est pas conforme à la Parole de Dieu. C’est vrai. Dieu ne peut pas dire une chose et la retirer par ici. Il doit dire une seule chose et s’en tenir à cela jusqu’à ce que cela atteigne son objectif.» Alors, vous voyez le paradoxe.
54 C’est ce que voyons. Et Michée a dit: «Monte, si tu veux. Mais j’ai vu Israël dispersé comme des brebis sans berger.»
Et alors, Sédécias s’approcha (c’était lui le plus élevé du groupe, l’un des prophètes, ou le plus influent, leur chef), il s’approcha et dit...il gifla Michée à la bouche, en disant: «Par quel chemin l’Esprit de Dieu est-Il sorti...quand Il est sorti de moi?» Il n’avait pas l’Esprit de Dieu. Il a dit: «J’ai vu Israël dispersé comme des brebis sur une colline.»Et alors, il a dit: «Prenez cet homme, a dit le roi, et mettez-le en prison. Nourrissez-le du pain et de l’eau d’affliction jusqu’à ce que je revienne en paix, comme tous mes bergers ici disent que je reviendrai: Et tu reviendras en paix.»
55 Or, si Achab pouvait s’asseoir et écouter... Rappelez-vous, nous savons qu’Elie était un prophète confirmé. On ne devient pas prophète en une nuit. On naît prophète. Assurément. Et il était un prophète depuis son enfance. Et chaque parole qu’il avait prononcée, toute sa doctrine venait de Dieu ; car Dieu l’avait confirmé prophète. Il l’avait fait.
Ainsi donc, quand il a fait cela, il savait donc que Michée avait eu une vision et que la vision s’accordait à–à la vision du prophète. Deux prophètes qui s’accordaient. Et Elie avait annoncé à Achab ce qui arriverait, que les chiens lécheraient son sang. Alors, comment Michée pouvait-il bénir ce que Dieu avait maudit?
56 Eh bien, permettez-moi de m’y attarder une minute. Comment Dieu peut-Il bénir aujourd’hui ce qu’Il a maudit? Il ne le peut pas. Mensonge, vol, tricherie, toutes ces histoires sont mauvaises, ainsi que beaucoup d’autres choses que je pourrais mentionner. Si c’est mauvais, c’est mauvais. [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Qu’arriva-t-il? Nous voyons que c’était un paradoxe, qu’un seul homme, un pauvre saint exalté en lambeaux, se soit tenu là en face de tout un séminaire de prophètes et que Dieu ait confirmé sa parole, parce qu’il avait la Parole. C’est vrai. C’était un paradoxe.
57 Quand Dieu a pris Jean-Baptiste et a fait de lui le précurseur de Christ, au lieu de prendre l’un des riches et royaux sacrificateurs, c’était un paradoxe. Comment Dieu a-t-Il pu prendre un homme qui n’était pas du tout instruit? Il est allé au désert à l’âge de neuf ans, après avoir perdu ses parents. Il est resté là au désert, il en est sorti ayant l’apparence d’un ver duveteux, le visage couvert de barbe, drapé dans une peau de brebis, et il se tenait dans la boue qui lui arrivait à cette hauteur-ci, et il taxait la–l’assistance à laquelle il prêchait de race de serpents dans l’herbe. Pouvez-vous vous représenter Dieu prendre un homme qui dirait pareille chose à une audience de Juifs raffinés qui étaient censés être des croyants?
58 Il a dit: «Vous, race de vipères...» Non pas: «Salut, Evêque Untel. Je suis très content de vous voir.» Oh! Vous poules mouillées... «Oh! vous, race de vipères, qui vous a appris à fuir la colère à venir? Ne prétendez pas dire en vous-mêmes: ‘Nous sommes membres de ceci ou de cela.’ De ces pierres Dieu peut susciter des enfants à Abraham.» Quand Dieu a confirmé, ça a causé un paradoxe. Il a vu le Saint-Esprit descendre comme une colombe sur le Fils de l’homme. C’était un paradoxe. Qu’est-ce qui était un paradoxe plus que la naissance virginale? Je sais que je ne suis pas... je ne veux pas... Eh bien, nous avons un auditoire mixte. Eh bien, je voudrais que vous me compreniez, car je m’attends à quelque chose. Et quand vous vous attendez à quelque chose, vous devez vous attacher à la Parole: «Si vous demeurez en Moi, et que Ma Parole demeure en vous, demandez alors ce que vous voudrez.» Ce sont là les conditions, non pas aujourd’hui, puis demain autre chose, tordre pour Untel, tordre pour Untel autre, mais restez bien fidèle à la Parole et au Calvaire. Alors demandez ce que vous voudrez.
59 Eh bien, nous voyons que concernant cette naissance virginale, beaucoup de gens... Vous les précieux catholiques... Mes ancêtres étaient aussi catholiques, vous le savez. Nous voyons donc qu’aujourd’hui, vous prenez Marie et vous faites d’elle une déesse, une intercesseuse. Frère Valdena, qui est quelque part ici sur l’estrade, je pense, était là à Mexico. Le général Medina, Medina... Il était ici l’autre soir. Il a passé ses bras autour de moi, il m’a parlé par son interprète, disant: «Frère Branham, j’apprécie votre courage de vous tenir sur vos convictions.» Il a dit: «Accrochez-vous-y, Fiston.» C’est un homme, un soldat ; il sait ce que représente «donner un ordre», et se tenir là au front: «Restez à votre poste.» C’est ce que Dieu attend de Ses soldats: Restez au poste du devoir, advienne que pourra. Restez-y. Restez juste même. Alors, il a dit ...
60 Cette naissance virginale... J’étais là à Mexico, et il y avait là toutes sortes de saints. C’est là que le petit enfant ressuscita des morts. Vous avez vu cela dans [le magazine] des Hommes d’Affaires Chrétiens. J’aimerais vous remercier pour ce compliment-là. Que Dieu vous bénisse. Quand ce petit enfant... Nous n’aurions pas laissé cela être diffusé juste comme ça, si le médecin n’avait pas affirmé que le bébé était mort ce matin-là, à 9 h. Et ceci s’est passé vers 22 h ou 23 h. Et la jeune soeur se tenait là, une petite jeune fille catholique avec un enfant dans les bras, et trois cents huissiers n’arrivaient pas à l’empêcher d’accéder à l’estrade.
61 Billy est venu me voir et m’a dit: «Papa, il te faudra faire quelque chose à ce sujet, a-t-il dit, ce–c’est tout qu’il en est.» Il a dit: «Elle n’a pas de carte de prière, a-t-il dit, en effet, j’ai regardé.» Il a dit: «Ce frère-là, je ne sais pas...» Excusez-moi, peuple mexicain, mais je l’appelais Mañana, ce qui veut dire demain. Voyez? Il était censé venir me chercher à 7 h et il arrivait à 9 h, il avait toujours un retard d’environ deux ou trois heures. Il était tout aussi mauvais que moi. Et alors, il était là, il distribuait les cartes de prière, il les parcourait tous, vous savez. Et Billy le surveillait pour s’assurer qu’il n’en vendait aucune, alors... il le surveillait, marchait tout au long... veillant... Je l’avais envoyé là pour faire cela. Il était donc correct là-dessus.
62 Je suis donc monté à l’estrade. La nuit précédente, un vieux frère mexicain était monté. Et tout le vestiaire était cette nuit-là plein de vieux habits. Le pauvre vieux Mexicain avait de petits pieds sales et bizarres, il avait environ quatre-vingts ans, il était complètement aveugle, il tenait en mains un vieux chapeau cousu de deux fils, tout recouvert de poussière. Il allait là, disant quelque chose en espagnol, et je ne pouvais pas le comprendre. Et alors, il cherchait à m’atteindre quand il a trouvé... Il a mis la main dans sa poche, en a fait sortir un chapelet et s’est mis... Ce n’était pas nécessaire. Il était aveugle, j’ai tiré le vieil homme vers moi.
63 Je me suis dit... Vous savez, il vous faut sympathiser avec quelqu’un, sinon vous ne lui viendrez jamais en aide. Il vous faut ressentir sa souffrance, sinon, rien qu’avec un coeur insensible, ça ne marchera jamais. Il vous faut vous mettre à... J’ai regardé. Il... Je me suis dit: «Pauvre vieil homme, peut-être qu’il a une ribambelle de petits enfants quelque part ici.» Et leur économie est très pauvre. C’est vrai. Il se peut que Pancho gagne trente pesos par–par semaine, et c’est un maçon, et que l’autre gagne quinze pesos, Pedro, et c’est un cantonnier. Et–et il a une ribambelle de petits enfants à nourrir. Et puis, il y a quelque part de vieilles galettes tortillas grasses en laitue altérée, et des choses jetées, mais il est obligé d’épargner pour s’acheter un suif, qui sera allumé sur un autel d’un million de dollars, pour ses péchés. Du non-sens. Christ est notre Sacrifice. Christ en est Un. Nous n’avons pas besoin d’autels de millions de dollars. Nous avons besoin d’un coeur ouvert.
64 Alors, cette pauvre petite femme, là, Billy a dit... Et premièrement, concernant ce vieil homme, j’ai tendu mon pied pour voir si mes souliers... Je me tenais là en souliers, lui n’en avait probablement jamais porté. Je me suis dit: «Si mes souliers lui conviennent, je les lui donnerai.» J’ai placé mes épaules contre les siennes. Il était de loin plus grand, je ne pouvais donc pas lui donner mes habits.
Alors, j’ai passé mon bras autour de lui. Je me suis dit: «Si mon papa était en vie, il aurait environ cet âge-ci.» Et j’ai dit: «Ô Seigneur Dieu!» Frère Espinosa (Il est probablement quelque part ici), il n’interprète jamais la prière. Et j’ai prié: «Seigneur Dieu...» Et je l’ai entendu crier: «Gloria a Dios!» Et il a regardé tout autour. Il voyait mieux que moi. Il était... Il voyait. Et il s’en alla en criant.
65 Et le lendemain soir, de vieux châles et des manteaux étaient entassés comme ça partout sur l’estrade. Et Billy m’a dit, il a dit: «Papa, on n’arrive pas à retenir cette femme là-bas.» Il a dit: «Elle a un bébé mort.» Il pleuvait averse, et les gens se tenaient là debout. Il n’y avait pas de places où s’asseoir...ce grand espace, pas de places où s’asseoir, on s’appuyait simplement les uns contre les autres depuis 9 h du matin. Et ceci se passait vers 22 h 30, on s’était tenu sous le soleil et sous la pluie. (Oh! Amérique, Amérique, ô comme il t’arrivera un jour de te retrouver au bout du rouleau à moins qu’on ne se repente! C’est vrai.) Le Dieu d’amour... Cette nuit-là, j’ai vu environ vingt-cinq mille personnes venir à Christ en une seule fois, là, à Mexico City.
66 J’ai alors remarqué cette petite femme, là, en train de crier. Les huissiers essayaient de l’arrêter. Elle collait ce bébé sous son bras et se faufilait juste entre les jambes des huissiers. Ils essayaient de la retenir. Elle sautait par-dessus eux, leur montait dessus, se tirait d’affaires tant bien que mal, se débattait et faisait tout pour arriver là. Et ils disaient tout en la retenant: «Vous ne pouvez pas monter».
Alors, j’ai dit à frère Jack Moore (Je me demandais s’il était à cette convention) ; j’ai dit: «Frère Jack, vas-y prier pour elle. Elle ne me connaît pas. Prie donc pour cet enfant-là, et cela l’arrêtera.» Et je me suis retourné. J’étais comme ceci, je me suis retourné pour regarder. Et j’ai eu une vision, juste ici en face de moi, d’un petit enfant mexicain au teint un peu sombre, sans dents, en train de me sourire. J’ai attendu une minute. Je me suis retourné. J’ai de nouveau regardé. J’ai dit: «Un instant (Paradoxe) ; amenez-la ici.» Les huissiers ont dégagé la ligne.
67 Elle s’est approchée là, elle s’est agenouillée et s’est mise à crier: «Padre!»J’ai dit: «Juste une minute. Relevez-vous.» J’ai dit: «Père céleste, je ne sais pas ce que cela signifiait, mais sous cette couverture (et c’était trempé) se trouve un petit enfant mort. On dit qu’il est mort ce matin à 9 h. Et le coeur de cette petite femme a un ardent désir. C’est son enfant. J’impose mes mains par obéissance à cette vision.» A ce moment-là, l’enfant fit «whaa», et il cria, il se mit à pousser des cris. Il était revenu à la vie. C’était un paradoxe. J’ai dit: «Frère Espinosa, n’en faites pas mention. Allez chez le médecin prendre une attestation signée confirmant que cet enfant était mort.» Et c’est ce qu’il a fait. Voyez? Paradoxe. A présent, ça fait cinq fois que j’ai vu cela arriver: Cinq fois, paradoxe.
68 La naissance virginale était un paradoxe. Je ne crois pas que Jésus ait eu une portion de Marie. Elle n’était pas Sa mère. C’était une femme que Dieu utilisa à cette fin-là, une couveuse pour enfanter Son Enfant. Si Marie... Si la semence de la femme, qui est l’ovule, tandis que celle de l’homme est l’hémoglobine... Si c’est vrai, docteur, et (voyez?), le–le sang... La vie se trouve dans la cellule de sang. Et une poule peut pondre un oeuf. Mais si elle n’a pas été avec un coq, l’oeuf n’éclora jamais. J’ai souvent dit ceci, et je le répète encore: «Le printemps arrive. Les oiseaux vont tous construire des nids. Et une vieille mère oiseau peut se poser sur son nid et remuer ces oeufs, et les couver si loyalement qu’elle crèvera pratiquement de faim. Elle devient si maigre qu’elle ne pourra s’envoler du nid. Ces oeufs ne vont jamais éclore, si elle n’a pas été avec le mâle.
69 Eh bien, frère, il n’y a rien qui cloche avec les épiscopaliens, les méthodistes ou les baptistes. Mais qu’avons-nous eu? Tant que c’est une organisation... Que ce soit les pentecôtistes, si ces gens n’ont pas été en contact avec le Mâle, Jésus-Christ, on n’aura qu’un nid plein d’oeufs pourris. Ils traîneront là-même et pourriront. Peu m’importe combien de doctorats en philosophie, en droit, en double L, ou que sais-je encore, vous leur décernez aux séminaires, ça, ce n’est que le monde. Il nous faut trouver le Germe de la Vie, la Vie Eternelle parlée de Dieu: «Si un homme ne naît de nouveau...»Qu’avez-vous eu? Vous faites d’eux des diacres, des évêques et tout le reste. Vous n’avez eu qu’un tas d’oeufs pourris. Tout ce qu’il faut faire, c’est nettoyer le nid et recommencer. Exact. Elle n’y arrivera jamais à moins que nous reprenions. Voulez-vous un paradoxe? Voulez-vous la Vie? Il vous faut y apporter la Vie. C’est vrai.
70 Marie... Si le corps de cet Enfant-là (en fait, la chair provient de l’ovule), et si le corps de cet Enfant était constitué de la chair de Marie, alors quoi? Alors Marie a dû éprouver une quelconque sensation. Voyez-vous ce que vous faites faire à Dieu? Dieu a créé les deux, et l’ovule et la cellule de sang. Et Il n’était pas Juif ; Il n’était pas non plus Gentil, Il était Dieu, Dieu dans un corps de péché. C’est pourquoi «Je ne verrai pas...Je ne permettrai pas que Mon Saint voie la corruption, ni n’abandonnerai Son âme dans le séjour des morts.» Il était la manifestation: Dieu, pour entrer dans un tabernacle qu’Il avait Lui-même créé. Dans toutes les Ecritures, Jésus ne l’a jamais appelée mère. Il l’appelait femme ; pas mère, femme.
On Lui a dit: «Ta mère Te cherche dehors.»Il a dit: «Qui est Ma mère?» Il a regardé Ses disciples et a dit: «Celle qui fait la volonté de Mon Père, c’est elle ma mère.» C’est ça. Vous voyez donc, c’était d’un bout à l’autre une naissance virginale, de deux côtés, une naissance virginale. Un paradoxe ne peut être expliqué. Il n’y a rien qui puisse l’expliquer.
71 Il y a quelque temps, je chassais dans les montagnes. Il y avait un grand gaillard du nom de Gevrez, G–e–v–r–e–z, un Français. Nous retournions à bord d’un véhicule, et je venais de faire sa connaissance. Et il a dit: «Qu’êtes-vous?»J’ai dit: «Je suis prédicateur.»Il a dit: «Vous avez l’air trop intelligent pour l’être.»Et je–j’ai dit: «Eh bien, je... ce n’est qu’une opinion.»Et il a dit: «Je pense que vous croyez que cet Enfant-là était–était né d’une vierge.»J’ai dit: «Bien sûr que oui.»Il a dit: «Monsieur, c’est contraire à toutes les règles scientifiques.»J’ai dit: «Vous ne pouvez pas prouver Dieu par la science. Il vous faut croire en Lui. On ne prouve pas Dieu ; on accepte cela. On croit cela. Si on arrive à prouver cela, ce n’est plus la foi. Alors, c’est quelque chose que vous pouvez expliquer. On ne peut pas expliquer Dieu.» Puis, nous avons roulé un peu plus loin, et il a dit: «Je ne crois pas, et il n’y a rien au monde qui puisse m’amener à croire.» Il a dit: «C’est Joseph qui était le père de cet Enfant-là.»J’ai dit: «C’est Dieu qui était le Père de cet Enfant-là.»Il a dit: «Cela n’existe pas.»Et j’ai dit: «Oh! Non-sens.»Il a dit: «Ecoutez, monsieur Branham.» Il a dit: «Avant de faire pousser un grain de maïs, avant de faire pousser un arbre, ou quoi que ce soit, il doit y avoir un contact réel entre un mâle et une femelle, avant que cela puisse se faire.» Il a dit: «Vous ne pouvez pas faire cela. Cela ne peut pas se reproduire sans un contact réel.»J’ai dit: «J’aimerais alors vous poser une question. Vous m’avez dit que l’homme est issu de (enseignant l’éthique de Darwin) que l’homme est issu d’une seule cellule qui était une petite méduse ou quelque chose comme cela, qui s’est transformée en éponge, puis en méduse, et puis, ça a grandi, et ça a fait pousser une petite verrue, puis un bras est sorti, et ainsi de suite, tout comme cela.’» J’ai dit: «Vous prétendez donc que c’était là le premier homme?»Il a dit: «C’est ce que je crois.»J’ai dit: «Je n’ai pas une aussi forte foi, monsieur.» J’ai dit: «Je ne peux pas croire ça. Je ne crois que ce que Dieu a dit à ce sujet, voyez, à savoir qu’Il a créé l’homme à Sa propre image.» Et j’ai ajouté: «J’aimerais alors vous poser une question. Si... Vous accepterez bien que cette femme a pu avoir cet Enfant, mais qu’il lui a fallu avoir un contact réel avec un homme?»Il a dit: «Absolument. C’est contraire à toutes les règles scientifiques.»J’ai dit: «J’aimerais alors vous poser une question.» (Vous savez, maman me disait toujours: «Donnez à la vache assez de corde, elle s’étranglera.») Et j’ai dit: «J’aimerais alors vous poser une question: ‘D’où est venu le premier homme qui n’avait ni père ni mère? D’où est-il venu?» Il ne m’a toujours pas répondu. Il n’y a pas de réponse à cela. C’est Dieu qui a créé le premier homme. Dieu est le Créateur. C’est un paradoxe.
72 Je dois me dépêcher, mes amis, vraiment me dépêcher. Oh! la la! Comment ces...Où est parti tout le temps? J’aimerais vous rencontrer tous là où je pourrais simplement passer un million d’années avec chacun de vous. Nous parlerons de ces choses.
73 Remarquez. Il y eut une fois un–un homme (Oral Roberts a parlé de lui l’autre soir), Samson, juste un homme ordinaire. Je vais rendre cela plus ridicule qu’il ne l’avait fait. Il n’était pas juste un homme ordinaire. Il était juste un tout petit bout d’homme, drôle, un tout petit gars. Si c’était un homme aux épaules larges comme le portail d’une grange, ce ne serait pas extraordinaire de le voir tuer un lion. Mais ce petit bout d’homme, drôle, aux cheveux bouclés, avec sept petites boucles pendant sur la tête... Et il marchait là, un petit garçon à maman. Et le voici marcher ici comme une petite poule mouillée. Et tout d’un coup, vous savez, mille Philistins accoururent vers lui. Eh bien, si jamais vous avez vu l’armure des Philistins (j’aurais souhaité avoir le temps de l’expliquer), mais ce casque avait une épaisseur d’environ un pouce et demi [3,81 cm] d’airain compact sur la tête. Eh bien, rappelez-vous, à l’époque, on pouvait durcir l’airain, chose que nous ne pouvons pas faire aujourd’hui ; en fait, Salomon avait un rasoir d’airain. Remarquez donc. Le casque d’airain, et tout son corps était recouvert d’une couche épaisse d’airain, il pouvait donc se déplacer avec son armure. Mille hommes formés, et les voici affronter le serviteur du Seigneur, là, un petit bout d’homme aux cheveux bouclés, probablement en petit veston. Mais l’Esprit du Seigneur vint sur lui, il ramassa une mâchoire d’un mulet et terrassa mille Philistins. Oui.
74 Eh bien, frère, cette vieille mâchoire pourrie du mulet... Si on frappait l’un de ces grands casques d’airain avec ça, eh bien, cela volerait en éclats. Assurément. Mais c’était un paradoxe. Dieu était sur cette vieille mâchoire-là. Alléluia! S’Il peut se mettre sur une mâchoire sans vie, certainement qu’Il peut se mettre sur les nôtres qui sont animées. Remarquez. Un paradoxe, c’en était évidemment un. Alors, il a pris cette mâchoire et a détruit les casques comme cela, jusqu’à écraser mille Philistins: paradoxe.
75 Jésus, quand Il était ici sur terre, a marché sur l’eau. Expliquez-moi ça. Expliquez-moi scientifiquement comment un homme peut marcher sur l’eau: paradoxe. Un jour, Il a pris cinq petits pains et deux poissons, Il a nourri cinq mille personnes. Quel genre d’atome relâchait-Il? Or, ce n’était même pas un poisson vivant. Quand Il rompait ce pain-là, qu’Il en rompait à partir d’un morceau de petit pain... Quand Il tendait cela, le temps pour Lui de ramener la main, il y avait là un autre petit pain qui avait déjà poussé, le blé du champ avait déjà poussé, c’était déjà cuit, c’était tout beurré (voyez?), assaisonné. Voici un morceau de poisson, Il le coupe, et un autre morceau de poisson cuit était là. Amen. Alléluia! Ce pouvoir nous est confié, si seulement nous demeurons dans la Parole. Restez-Y. Je pense que nous sommes sur le point de voir cela se passer. Soyez fidèles à la Parole. Vous y êtes. Il avait du poisson cuit. C’était un paradoxe.
76 Ce fut un paradoxe, quand Il s’est mis à choisir Son Eglise, qu’Il ait choisi des pêcheurs plutôt que des sacrificateurs. C’est contre nature. On dirait qu’Il aurait eu une très grande église, avec tout un tas de prédicateurs tout brillants et raffinés, qui connaissent leur théologie, et qui ont décroché leurs diplômes de doctorats d’Etat et tout. C’est là qu’Il aurait dû aller. Mais Il a simplement contourné tout le groupe, Il est allé prendre des pêcheurs qui ne savaient même pas signer de leur nom. La Bible dit que Pierre et Jean étaient des gens du peuple sans instruction. Ce sont eux qu’Il a pris pour Son Eglise. C’est un paradoxe. Certainement. Oui, oui. Il a choisi des pêcheurs plutôt que des hommes–plutôt que des sacrificateurs.
77 Eh bien, nous voyons que le jour de la Pentecôte... C’est étrange qu’Il ait choisi un groupe de gens non instruits, et qu’Il les ait envoyés là, avec une commission à la Pentecôte, non pas d’aller à un séminaire, mais d’attendre jusqu’à ce qu’ils soient revêtus de la puissance d’En Haut. Puisque cet homme, Pierre, Jean et les autres voulaient prêcher, alors qu’ils étaient des gens du peuple sans instruction, on dirait qu’Il devrait leur dire: «Mes gars, il y a une bonne école par ici. Fréquentez-la jusqu’à ce que vous ayez appris votre ABC. Puis, après ça, vous suivrez l’école primaire. Terminez tout le cycle. Puis, faites quatre ans d’école secondaire, puis quatre ans d’université, et puis environ quatre ou cinq ans d’école biblique. Alors, vous pourrez partir.»Mais Il a dit: «Restez dans la ville de Jérusalem, car J’enverrai sur vous ce que Mon Père a promis. Et alors, vous serez Mes témoins (Luc 24.49), Mes témoins à Jérusalem, en Judée, en Samarie et jusqu’aux extrémités de la terre.» C’est toujours là Son exigence.
78 Vous savez, j’ai une expérience (je vais me dépêcher) chez les païens, avec les religions païennes, les idoles. J’ai été en Afrique et en Inde. J’ai vu les gens qui marchent dans le feu alors qu’ils se tenaient là avec une très grande idole, là, avec de gros yeux (des rubis), comme ça, et de gros rubis comme oreilles. Et, oh! comme ces pauvres gens...Ils ne sont pas hypocrites. Des fermiers arrivaient là, ils se préparaient pour ça. Le prêtre les bénit, déverse sur eux de l’eau bénite. Et–et ils prennent de gros hameçons avec des boules d’environ cette grosseur-ci, pleines d’eau, et ils en suspendent plein à leur chair, offrant un sacrifice à une idole. Puis, ils prennent, les mettent à leurs oreilles, ils cousent leurs bouches, les transpercent d’une lance. S’ils avaient menti, on rattachait leur nez avec leur bouche et on tirait cela vers le bas. Et puis, ils marchaient dans le feu, une bande de quatre ou cinq pieds [1,52 m] de large, parfois d’une profondeur de trente pieds [9,14 m] et d’une longueur de trente yards [27,42 m], dans ce feu ; ils se préparent pour cela, pour une idole. Or, l’idolâtrie est une mauvaise chose.
79 Eh bien, laissez-moi simplement présenter une toile de fond pour ceci juste un instant, car je vais juste... Encore quelques commentaires, puis je vais terminer. Mais j’aimerais faire celui-ci. Vous voyez, c’était... Ce sera un paradoxe. Le païen, l’idolâtre... Eh bien, les Indiens, ici, ici dans le Sud-Ouest, ils adoraient les idoles. Ils avaient ce qu’ils appelaient le dieu de la pluie. C’était une tortue boueuse. Ils savaient qu’elle vivait sous la pluie et sous terre, et ils croyaient que ce dieu-là de la pluie entrait dans cette tortue boueuse. Eh bien, dans l’ancienne Rome païenne, on avait Jupiter ainsi que beaucoup de dieux. Et ils soutiennent que ces dieux existent. Et ils avaient des guerres. Vous avez étudié la mythologie et autres. Alors, ces dieux étaient censés...?...
80 Comment ils s’y prenaient, ils avaient un très grand autel, et cette statue était placée là-dessus. Et l’adorateur arrivait, il versait au prêtre le prix de la bougie. Et ils prenaient... Et il descendait au temple. Parfois, il y avait plusieurs dieux. Et il plaçait cela sur l’autel afin que, je pense, ce dieu puisse retrouver son chemin vers la statue qu’il lui fallait. Et on plaçait cela là par terre et on allumait cette bougie.
Puis, l’adorateur allait prendre... Le prêtre apprêtait un fruit, il offrait un sacrifice et apportait du vin. Et il communiait effectivement avec l’idole. Puis, il se prosternait devant l’idole. Et il restait couché là, dans une grande stupeur, jusqu’à ce que ce dieu imaginaire (qui ressemblait à la statue qu’on lui avait fabriquée) venait entrer dans l’idole et répondait à l’adorateur au travers de cette idole. C’est de l’idolâtrie.
Le dieu imaginaire, c’est ce qu’ils pensaient, au travers d’une idole... qu’il était capable d’hypnotiser ce dieu avec son offrande et sa bougie allumée, dans ce dieu. Et puis, quand son âme était si emportée par ça...Voyez-vous ce qui est du diable? Voyez? Et il–et il pensait que ce dieu répondait à sa conscience par ce canal-là ; et pour lui, c’était effectivement un dieu.
81 Eh bien, Dieu allait leur montrer ce qu’était le Véritable Dieu. Et le jour de la Pentecôte... Ils se sont prosternés pendant dix jours. Et pas quelque chose d’imaginaire, mais il vint du ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux, et il remplit toute la maison où ils étaient assis. Et Dieu n’a jamais pris une idole. Il a pris un homme vivant, et Il s’est Lui-même établi dans cet homme, par le baptême du Saint-Esprit: pas un dieu imaginaire, pas une chose imaginaire, mais une réalité du vrai Dieu dans un homme réel. Et puis, cet homme s’est levé et a accompli les oeuvres de Dieu. C’est étrange qu’Il ait fait cela. C’est étrange qu’Il n’ait pas pris des hommes intelligents qui connaissaient quelque chose à ce sujet. Ils auraient cherché à comprendre cela. Mais Il a pris un groupe de pêcheurs ignorants et les a placés là-haut. Alors, ils se sont prosternés sur une promesse de Dieu pendant dix jours et dix nuits. Puis, le Dieu du Ciel est venu et a habité dans ces hommes.
82 Jésus a dit: «Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez, car Je serai avec vous, même en vous.» Jean 14.12. Il a dit que le...» Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais, il en fera de plus grandes, parce que Je M’en vais au Père.» C’est pourquoi Il a dit dans Marc 16: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru.» C’était le Dieu vivant dans un homme qui pouvait se placer devant Dieu, selon la Parole de Dieu, et la Parole de Dieu se manifestait en lui. Amen. C’est–c’est un paradoxe.
83 Chaque fois que vous voyez un homme recevoir le baptême du Saint-Esprit, c’est un paradoxe ; comment le Dieu du Ciel se fait connaître à cet homme, parle au travers de lui, travaille à travers lui, vit par lui, c’est un paradoxe. Et nous sommes à l’image de Dieu, et Dieu a pris Ses propres statues et Il est Lui-même entré dans la statue qu’Il a créée à Sa propre image. Un paradoxe.
84 Autrefois, Dieu vivait dans l’homme, puis le péché L’en a chassé. Et puis, Dieu a tué Son propre Fils pour ensuite permettre à Dieu de revenir vivre encore parmi Son peuple. Oui, oui. C’est un paradoxe. C’est une chose étrange, comment Il s’y prend. L’église... Dieu a choisi Son Eglise pour qu’Elle soit un paradoxe. Comment Il L’a choisie, plutôt que de choisir des érudits raffinés et d’en faire une église, les théologiens ; Il a pris un groupe de pêcheurs ignorants et illettrés. Et Il a donné les clefs du Royaume, non pas à Caïphe, le souverain sacrificateur, l’érudit. Qu’a-t-Il fait? Il les a données aux pêcheurs ignorants. Pas à un homme qui connaissait tout en détail, Il les a données à un homme qui s’était prosterné devant Lui et qui L’avait connu. Or, vous savez, la Vie, ce n’est pas connaître Son Livre ; mais la Vie, c’est Le connaître Lui. Et les clés ont été données à Pierre. Paradoxe, qu’Il ait fait cela plutôt que de les donner à Caïphe, l’homme le plus intelligent du–du monde religieux. Il les a données à Pierre.
85 Eh bien, croyez-vous au paradoxe? Un vieux pharmacien me racontait il n’y a pas longtemps, il disait: «Frère Branham, un jour, lors de la crise économique, a-t-il dit, mon fils et moi, nous étions assis dans le drugstore.» Et il a dit: «Oh! c’était dur.» Et il a dit: «Une–une femme enceinte est entrée. Elle avait une ordonnance à exécuter.» Et il a dit: «Mon fils s’est avancé pour la servir, son mari et elle» Et il a dit: «Quand mon fils a regardé l’ordonnance», il a dit...Elle a dit: «Je n’ai pas d’argent pour payer ceci.» Alors, mon fils lui a dit: «C’est juste là même que votre... Le comté va–va vous les offrir.»Et il a dit: «Son mari et elle se sont gentiment retournés pour sortir, pour voir si le comté exécuterait l’ordonnance.» Il a dit: «Quelque chose m’a frappé: ‘Ne laisse pas cette mère...’» Il a dit: «Elle se tenait à peine debout, ne parlons même pas d’aller se tenir dans cette ligne-là pendant des heures pour obtenir que cette ordonnance soit exécutée.»J’ai dit: «Fiston, va l’appeler, fais-la revenir.»
86 Il a dit: «Il est allé l’appeler et l’a ramenée.» Il a dit: «Je suis passé derrière et j’ai exécuté l’ordonnance avec les tout meilleurs médicaments que je savais avoir en stock.» Et il a dit: «Je les ai soulevés, je les tenais en mains, et je les ai déposés entre les mains de cette femme.» Il a dit: «Frère Branham...» Nous étions assis, prenant ensemble un malt ; c’est un vieux pharmacien, un véritable homme de Dieu. Il a dit: «Vous savez quoi?» Il a dit: «Vous pouvez penser que je suis fou après que je vous aurai dit ceci, mais, a-t-il dit, dès que j’ai déposé cela dans la main de cette femme, j’ai regardé, c’était Jésus qui se tenait là. J’avais déposé cela dans la main de Jésus.» Oui. Un paradoxe.
87 Le grand saint Martin, il était païen, c’était son père qui l’était. Il voulait servir Dieu. A l’époque, il y avait en France une loi selon laquelle, si le père était militaire, le fils devait faire le service militaire jusqu’à ce qu’il ait de l’âge. Ecoutez attentivement. Et quand on l’a appelé sous le drapeau, il avait un serviteur. Et, évidemment, chaque soldat avait un serviteur. Et au lieu que son serviteur cire ses bottes, c’est lui qui cirait les bottes de son serviteur. C’était un grand homme. Il aimait Dieu. Qu’arriva-t-il? Une nuit, c’était une nuit froide d’hiver, les vents soufflaient, les gens gelaient à mort en cet hiver rude. Quand lui franchissait un portail, il y avait un vieux mendiant couché là, qui disait: «S’il vous plaît, que quelqu’un me vienne en aide. Que quelqu’un...» Et les gens qui auraient pu l’aider le dépassaient!
88 Martin avait donné tout ce qu’il avait. Alors, il a regardé... Les soldats portaient une cape, un manteau. Il avait besoin d’un manteau. Il gèlerait lui-même. Il a alors ôté son manteau, il a pris son épée et a divisé le manteau en deux moitiés ; il a enveloppé le mendiant d’une partie, il a pris l’autre. Les gens se sont moqués de lui, disant: «Quel drôle de soldat revêtu d’une moitié de cape!»
Mais cette nuit-là, il se réveilla dans la caserne. Et quand il regarda, là se tenait Jésus revêtu de ce morceau de vêtement. Les anges se tenaient là, L’environnant, et Il a dit aux anges: «Savez-vous qui M’a revêtu de ceci?» Il dit: «C’est Martin qui M’en a revêtu.» Alors Martin comprit ce que Jésus voulait dire par: «Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de Mes plus petits, c’est à Moi que vous les avez faites.» En revêtant ce vieux mendiant, il avait revêtu Jésus, car Jésus était dans ce vieux mendiant. Nous ne savons donc pas qui nous dépassons. C’était un paradoxe. J’y crois de tout mon coeur.
89 Si seulement nous nous humiliions maintenant devant Dieu et que nous croyions de tout notre coeur... Il y a quelque temps, un grand intellectuel est monté devant un groupe de pentecôtistes. Il allait tenir un discours pentecôt-... intellectuel pour montrer aux gens leurs torts et tout à ce sujet, telle et telle chose. Et il avait tout au point, un vrai discours. Mais il s’avança là, torse bombé, vous savez, et «Moi, le gaillard, avec tant de diplômes», ainsi de suite, comme cela. Et il s’est mis à parler aux pentecôtistes, et les pentecôtistes ne recevaient pas cela. Voyez? Il s’est alors vu vaincu, il–il a donc plié ses notes. Rien n’avait été dit dans son discours intellectuel, mais il essayait de dire que le surnaturel de la Pentecôte, le parler en langues, c’était faux ; les miracles de la Pentecôte dont ils parlaient, c’était faux ; cela n’entrait pas dans ces gens-là. Alors, il fut tellement humilié qu’il prit son manuel et quitta l’estrade. Il y avait un vieux saint assis là. Il a dit: «Vous savez quoi?» Si cet homme était monté comme il est descendu, il serait probablement descendu comme il était monté.» C’est donc–c’est pratiquement vrai. Voyez? Voyez, l’humilité, nous humilier devant le Seigneur.
90 C’est vraiment un paradoxe. Dieu est un paradoxe. Les visions sont un paradoxe. Nous ne pouvons simplement pas les expliquer. Comment Dieu peut montrer les choses du passé, du présent et du futur, ce–c’est au-delà de toutes nos recherches. Les visions des anciens prophètes, d’autrefois, d’il y a des centaines d’années, et nous les voyons cependant s’accomplir aujourd’hui. C’est un paradoxe. C’était un paradoxe quand André alla trouver Pierre (son nom était alors Simon). Il l’amena devant Jésus, et il lui parla, disant: «Tu sais, notre papa nous disait qu’il y aurait toutes sortes d’ismes avant la Venue du véritable Messie. Mais il nous disait que selon les Ecritures, ce Messie serait un prophète: ‘Le Seigneur votre Dieu suscitera un prophète comme moi.’ Donc, le Messie sera un prophète.» Tous les Juifs croyaient cela.
91 La Bible dit: «Lorsqu’il y aura parmi vous un homme qui est spirituel ou prophète, c’est dans des visions que Moi, l’Eternel, Je me révélerai à lui. Et si ce qu’il dit arrive, alors écoutez-le.» Exact. Alors, quand André a amené Pierre là, Jésus a regardé Pierre et a dit: «Ton nom est Simon, et celui de ton père, Jonas.» Pierre reconnut sur-le-champ que c’était un paradoxe, que Dieu était... absolument, l’Unique qui les connaissait, lui et son vieux père, devrait être Dieu.
92 Quand Philippe alla chercher Nathanaël, il le ramena devant Jésus, alors Nathanaël entra dans la Présence de Jésus qui lui: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Cela l’a immobilisé.
Il a demandé: «Comment m’as-Tu connu, Rabbi?»(Ecoutez.) «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.» Quels yeux! A quinze miles [24, 135 km], de l’autre côté de la montagne! Il a vu au-delà de la montagne, dans le temps, et Il a vu Philippe sous l’arbre.
93 Quand la femme au puits, à Sychar, vint là, une belle jeune femme, peut-être pour puiser de l’eau, peut-être que le... Elle était obligée de sortir après le départ des autres femmes qui menaient une vie décente étaient parties. Jésus était assis sur..., un petit panorama comme ceci. Et alors, elle a dit...Il lui a dit: «Femme, donne-Moi à boire.»Elle a dit: «Ce n’est pas la coutume. Nous avons la ségrégation ici. Vous les Samaritains, nous les Juifs, nous n’avons pas de relations les uns avec las autres. Ce n’est pas correct pour Toi de me demander, à moi une Samaritaine, pareille chose.»Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parles, c’est toi qui M’aurais demandé à boire.»
Elle s’est mise à parler du puits, combien il était profond, et ce que les pères avaient dit et tout. Qu’arriva-t-il? En peu de temps, Il... elle a dit... Il a vu son problème. Il a dit: «Va chercher ton mari et viens ici.»Elle a dit: «Je n’ai pas de mari.»Il a dit: «Tu as dit vrai. Tu as cinq maris, tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»
94 Qu’a-t-elle dit? Ecoutez. Quand Il fit cela devant les Juifs, ces derniers dirent qu’Il lisait leur pensée, qu’Il était Béelzébul, diseur de bonne aventure, un démon. Mais cette femme a dit: «Seigneur, je vois que Tu es prophète. Nous savons que quand le Messie viendra, Il fera ces choses.» C’était un paradoxe. Voyez-vous? «Nous savons que Tu dois être un prophète. C’est ce que le Messie fera, quand Il sera venu. Mais Toi, qui es-Tu?»Il a dit: «Je le suis, Moi qui te parle.»
Elle a reconnu que c’était Dieu. Elle a reconnu que c’était le signe du Messie. Elle est donc vite entrée dans la ville et a dit: «Venez voir un Homme qui m’a révélé... mes problèmes.» N’est-ce pas le Messie même? Et les gens de la ville ont cru en Jésus à cause des paroles de la femme. Bon. Je crois que le même Dieu qui avait accompli le paradoxe jadis peut l’accomplir maintenant même. Croyez-vous cela? Amen. La Bible dit: «Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Supportez-moi juste une minute de plus.
95 Avant de quitter la terre, Il a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Sodome... Rappelez-vous, la postérité d’Abraham avait... Abraham avait évolué et il avait vu toutes ces oeuvres de Dieu. Mais la dernière vision, la dernière chose qu’Abraham vit, juste avant la destruction du monde tiède... Eh bien, souvenez-vous, comme je l’ai toujours dit, il y a trois catégories de gens: les incroyants, les soi-disant croyants et les croyants. Ils sont tous identifiés. Ils étaient tous identifiés là même: les Sodomites, comme le monde d’aujourd’hui ; les croyants tièdes, là parmi eux, vivant dans leurs souillures ; et puis, Abraham, l’Eglise élue, appelée à sortir et mise à l’écart.
96 Les Anges descendirent du Ciel. Deux d’entre eux descendirent prêcher à Sodome. Ils n’accomplirent pas de miracles. Ils aveuglèrent les gens une nuit. La prédication de l’Evangile aveugle les incroyants. Un Billy Graham moderne, là, parmi les Sodomites, là, en train de prêcher. Je crois que Billy Graham est un homme de Dieu. Et il est là en train de prêcher son message de repentance, et: «Sortez de cette Sodome.» C’était ça le Message qu’ils avaient entendu. Mais, souvenez-vous, cet Ange-ci n’était pas descendu là. Mais cet autre Ange qui était envoyé à l’Eglise élue, Il est resté assis... C’était un Homme, Il a mangé la chair, Il a bu du lait et Il était assis, le dos tourné à la tente. Il a appelé Abraham par son nom, celui que Dieu lui avait donné quelques jours auparavant, et Sara aussi.
Il a dit: «Où est ta femme Sara?»Il a dit ; «Elle est dans la tente derrière Toi.»Il a dit: «Je te visiterai au temps de la vie.»Et Sara a ri, disant: «Moi, une vieille femme, avoir du plaisir avec mon seigneur?»
Qu’a-t-Il dit? «Pourquoi Sara a-t-elle ri? Et Sara sortit et chercha à nier cela. Quoi? Il savait ce qu’elle faisait là derrière. C’est ce que Jésus a fait. Il connaissait leurs pensées. Pourquoi? Il était la Parole. Hébreux 4 dit: «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, Elle discerne les pensées du coeur. La pensée. La Parole, Jésus était la Parole. «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.» Maintenant, si vous demeurez en Moi et que Ma Parole demeure en vous...» Qu’en est-il? Dieu a-t-Il menti? Il ne peut mentir. Il ne peut mentir. Il est Dieu. Croyez-vous cela? Moi, je le crois. Inclinons la tête juste un instant.
Que Dieu soit miséricordieux.
97 Arrêtez-vous juste une minute. Le premier paradoxe, c’était quand vous avez été sauvé. Le paradoxe suivant, c’était quand Il vous a donné le Saint-Esprit. Maintenant, permettez-moi de vous poser une question. Si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement... Si je vous disais que l’esprit de John Dillinger était en moi, vous vous attendriez à ce que j’aie des revolvers, que je sois un hors-la-loi. Si je vous disais que j’ai l’esprit d’un peintre, vous vous attendriez à ce que je prenne un pinceau et que je peigne des tableaux, comme celui qui est au mur. Et si je vous dis que l’Esprit de Christ est en moi, alors je ferai les oeuvres de Christ. C’est exactement ce qu’Il a dit. Croyez-vous cela? Si vous le croyez, n’en doutez pas, Dieu le manifestera.
98 Maintenant, Père céleste, j’ai longtemps parlé. Et Tu es Dieu. Maintenant, tout ce que je peux faire, Père, c’est parler ; c’est Toi qui dois le manifester et le confirmer. Et je Te prie, Père, de nous accorder ce privilège, par le Nom de Ton Fils, le Seigneur Jésus. Accorde-nous ce que nous désirons, afin que ces gens sachent... Même si c’est rude, difficile, déchirant, cependant c’est Toi qui l’as ordonné, ce n’est pas par malice, mais avec amour, pour garder l’église en bonne marche.
99 La Bible dit qu’il nous a été donné d’abord les apôtres, les prophètes, les docteurs, les pasteurs, tous pour corriger l’église, pour garder l’église en ordre. Parfois, nos pasteurs nous disent des choses qui... ça nous taille. Mais Dieu confirme cela par l’homme qui a la Parole, Il le prouve. Et Tu es toujours Dieu. Et je Te prie de faire savoir ce soir que Tu es Dieu et que j’ai fait ces choses sur Ton ordre. Je n’ai pas fait ces choses de moi-même, mais c’est sous la conduite du Saint-Esprit. J’implore la miséricorde. Je Te prie d’exaucer les requêtes de ces gens, au Nom de Jésus-Christ.
100 Maintenant, gardez juste vos têtes inclinées une minute et priez, ayez foi. Croyez et ne doutez pas, croyez simplement de tout votre coeur. Si vous croyez que Dieu fera au-delà de toute mesure, je crois que Dieu se manifestera. Je ne connais personne dans cette salle, autant que je sache. J’ai entendu frère Fred Sothmann dire «amen» pendant que je prêchais. A part ça, je ne compterai pas ceux qui sont sur l’estrade, en effet, je connais quelques hommes ici, mais dans l’assistance... Mais si Jésus-Christ, s’Il est vivant et ressuscité des morts et que vous avez un besoin, là, Il est ici pour y pourvoir. Croyez-vous cela? Continuez simplement à prier. Si tu peux croire...»
101 Maintenant, combien ici n’ont jamais assisté à l’une de mes réunions? Faites-le-nous voir par la main levée...?... Beaucoup parmi vous. Je suis un homme juste comme tout autre. Mais je crois en Jésus-Christ, je crois qu’Il est ressuscité des morts. Je crois qu’Il est Dieu. Il est Dieu en nous maintenant, sous forme du Saint-Esprit. Et Il a dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Eh bien, en parler est une chose, mais que Dieu l’accomplisse, c’en est une autre. «Si tu peux croire, tout est possible.»Maintenant, j’aimerais que vous redressiez la tête juste une minute. Combien de malades y a-t-il dans la salle? Levez la main. Combien ont un malade pour qui vous pouvez prier? Levez la main: pécheur, quoi que ce soit.
102 Eh bien, il y eut une fois une petite femme qui toucha le bord du vêtement de Jésus et fut complètement guérie. Jésus passait, et tout le monde Le touchait, et–et Il a dit... Cette petite femme se faufila, Le toucha, elle toucha Son vêtement. Il se retourna et lui parla... Il dit: «Quelqu’un M’a touché.»Tout le monde... Pierre Le reprit. «Oh! Tu sais, pareille chose...» Il dit: «Toute la foule Te touche. Comment peux-Tu faire... Comment reconnaîtrais-Tu celui qui T’a touché? Eux tous Te touchent? Qui a touché...»Mais Il a dit: «Mais Je sens que Je... une force est sortie. Je suis devenu faible.» Et la petite femme qui L’avait touché... Il a parcouru du regard l’auditoire jusqu’à la repérer. Et alors, Il lui a dit quelle était sa maladie et que sa foi l’avait guérie.
103 Croyez-vous que ce même Dieu vit? Cela aiderait-il votre foi s’Il venait faire la même chose aujourd’hui? Qu’en est-il de vous, Hommes d’Affaires? Voyez-vous? Croyez-vous? Croyez-vous cela? Allez-vous prier pour moi? Je n’en suis pas sûr, mes amis. Je n’ai jamais tenu pareille réunion avec... parmi les Hommes d’Affaires, ici. Je fais confiance. Soyez en alerte. Priez. Maintenant, la Parole–la Parole... Si j’ai dit la vérité, et que Dieu confirme cette vérité, Il nous montrera des signes et des prodiges. Il les accomplira conformément à la Bible, exactement ce que dit la Bible. Cela sera absolument ce genre des signes et des prodiges. Croyez-vous cela?
104 Si au moins Il va... deux ou trois personnes là, dans l’assistance, qui sont malades, ou dans le besoin, ou quelque chose comme cela, veuillez seulement prier. Maintenant, écoutez. Attendez-vous à Dieu et dites: «Seigneur Jésus, Frère Branham ne me connaît, il ne sait rien à mon sujet, mais il a fait une déclaration, et je l’ai entendu expliquer cela dans la Bible, que Tu es toujours vivant. Et je l’ai entendu Te demander dans sa prière de nous montrer quelque chose exactement comme ce que Tu avais fait avant Ta crucifixion. Nous allons donc... Le glorieux Saint-Esprit que nous croyons avoir prouvera Lui-même que c’est Dieu.» Est-ce vrai? Prouve-le parmi nous. Maintenant, priez et croyez donc tout simplement, et dites: «Seigneur...» Maintenant, la Bible le dit-elle, prédicateurs? Vous tous, les prédicateurs, qui croyez cela, écoutez. «Jésus-Christ est le Souverain Sacrificateur maintenant même ; Il est assis à la droite de la majesté divine (Est-ce vrai?), le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités.» Est-ce vrai? Combien savent que c’est la doctrine du Nouveau Testament–la doctrine du Nouveau Testament? Très bien.
105 Comment réagirait donc ce Souverain Sacrificateur si vous Le touchiez? S’Il est le même, Il réagira de la même façon que quand cette femme L’avait touché. Vous direz: «J’aurais bien voulu être là, je L’aurais touché.» Vous pouvez Le toucher maintenant même. C’est la Bible qui le dit, et c’est ce que je crois, la Bible. Croyez cela de tout votre coeur ; n’en doutez pas. N’importe où dans la salle...Maintenant, soyez très respectueux. Tout aussi respectueux... Je ne dis pas que Dieu le fera. Je ne sais pas. Combien ont déjà vu cette photo de l’Ange du Seigneur? Oh! Assurément. Nous en avons. Voyez? Je l’avais dans les notes cet après-midi, je n’ai pas de temps pour cela.
106 Soyez simplement en prière. Maintenant, Seigneur, ceci est... Si Tu le désires, Seigneur, ne me laisse pas Te tenter. Père, ce n’est jamais ma volonté de tenter Dieu. Mais, Père Divin, si cela Te glorifie, alors laisse que les gens sachent que j’ai dit la vérité. Dis que je leur ai dit la vérité. Accorde-le, Seigneur. J’ai parlé de Toi de mon mieux, de Ta Parole. C’est Ta Parole. Je me suis bien attaché à Elle, Seigneur, sans tenir compte de là où Elle allait, comment Elle... de quoi que ce soit, je me suis attaché à la Parole. Maintenant, Père, je Te prie de prouver que j’ai dit la vérité. Confirme cela, Père, au Nom de Jésus.
107 Continuez simplement à prier, disant: «Seigneur Jésus, je crois cela. Je le crois.» Je ne sais pas, mes amis. Cela dépendra donc du Seigneur. Voyez? Je ne le sens nullement. Et je suis–je suis juste comme ce micro, totalement muet, si Quelque chose ne parle par moi. Mais c’est un don, un moyen de me détendre dans la Présence de Dieu, de telle manière qu’Il me montre des visions. J’espérais qu’Il le ferait, quand j’aborderai ces paradoxes, mais peut-être qu’Il ne désire pas le faire. Si c’est le cas, je n’y peux...?...Il me faut simplement attendre pour voir ce qu’Il dira.
Soyez vraiment tranquilles, tout le monde, en prière. Je surveille simplement l’assistance. [Un homme parle en langues.–N.D.E.]Le murmure doux et léger, soyez respectueux. Très bien. Vous pouvez relever la tête. Il est ici. Maintenant, je défie tout incroyant. Parlez maintenant, sinon gardez silence pour toujours. Croyez simplement que... Pour n’importe quoi maintenant, cherchez Dieu et voyez si Dieu ne répondra pas que c’est la vérité. [Une femme parle en langues et interprète.–N.D.E.]
108 Soyez vraiment respectueux. J’aimerais que vous tourniez la tête. Une petite dame assise juste ici, elle souffre de la bronchite à la gorge. Elle vient de Flagstaff. Si vous croyez de tout votre coeur, vous pouvez avoir ce que vous demandez. Croyez-vous cela, soeur? Levez-vous et acceptez alors votre guérison. Maintenant, laissez-moi répéter sa prière à elle. Elle priait: «Seigneur, je souffre beaucoup. Fais que frère Branham me parle.» Faites signe de la main si ces choses... si vous priiez en ce moment-là que–que je vous appelle. Quand je vous ai appelée, c’est pour ça que vous priiez. Est-ce vrai? Faites signe de la main comme ceci, si c’est la vérité. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre? Faites de nouveau signe de la main. Je ne vous connais pas. Si c’est vrai, faites de nouveau signe de la main. D’accord. Qu’a-t-elle touché?
109 Il y a une dame assise juste ici, elle prie pour un ami qui a le cancer. Croyez-vous de tout votre coeur? Dieu exaucera votre prière. Je vois une personne, un homme très, très malade. Si vous le croyez de tout votre coeur (je vois dans une vision), que Dieu vous bénisse, vous pouvez avoir cela. Je ne connais pas la femme, je ne l’ai jamais vue. Si c’est vrai... La dame assise juste ici, je la regarde. Vous y êtes. N’étiez-vous pas assise là en train de prier, disant: «Seigneur Jésus, que ceci...?» Que Dieu vous bénisse. Que quelqu’un prie. Voici–voici une–une personne assise, ici même. Ne voyez-vous pas cette Lumière-là? Juste au-dessus d’une petite femme aux cheveux grisonnants, assise là, oui, la dame qui a levé la main. Elle souffre du diabète. Elle n’est pas originaire d’ici. Elle vient d’un pays montagneux: la Suisse. Vous formez tout un groupe, là, vous qui venez de la Suisse. C’est vrai. Croyez, et vous pourrez rentrer chez vous bien portante. Croyez-vous?
110 Ici derrière, vous, il y a une dame assise ici–ici, juste ici. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Mais elle souffre d’un mal de gorge, des yeux ; elle est assise juste ici, à me regarder. C’est une femme prédicateur. Levez-vous et acceptez cela, madame. Soyez rétablie. Je ne connais pas la femme, je ne l’ai jamais vue de ma vie.
Essayez de cacher votre péché maintenant. Voici un homme. Il change d’opinion sur moi. C’est bien, monsieur. Vous êtes enseignant de métier. Et vous avez des problèmes spirituels, vous vous posez des questions là-dessus. Si c’est vrai, levez la main. Ils seront tous réglés. Acceptez-moi comme le prophète de Dieu. Je vous dis la vérité. AINSI DIT LE SEIGNEUR.
111 Croyez-vous? Voici une dame assise juste ici derrière. Elle souffre d’une affection de sein. Elle a subi trois opérations. Elle rate cela. Que... Dieu, viens-moi en aide. Madame Alexandra, recevez votre guérison au Nom du Seigneur Jésus. Si c’est cela votre nom, et que... que nous sommes inconnus, levez-vous. Levez-vous, si c’est vrai. Je n’ai jamais vu cette femme de ma vie. Croyez-vous cela? Si ce n’est pas là le même Jésus qui vécut autrefois, je ne sais pas, je suis un homme. Croyez-vous? Recevez-Le. Tenez. Voilà une femme assise juste ici ; je ne la connais pas, jamais de ma vie je ne l’ai vue. C’est une infirmière, et elle est en train de prier pour sa patiente. Cette patiente souffre des troubles nerveux. Nous sommes inconnus l’un à l’autre, n’est-ce pas? Si Dieu me révèle qui vous êtes, cela vous aidera-t-il? Cela aidera-t-il l’assistance? Voici ma main. Jamais de ma vie je n’ai vu cette femme. Si nous sommes inconnus, levez la main, madame. Vous êtes Mme Brandon. AINSI DIT LE SEIGNEUR.
112 Croyez-vous, vous tous? Est-ce un paradoxe? Eh bien, Il est toujours Dieu. Le Saint-Esprit est partout ici maintenant. Croyez-vous cela? Maintenant, les paroles que j’ai prononcées sont vraies. Dieu les a confirmées. Maintenant, croyez-vous en Dieu de tout votre coeur? Alors, imposez-vous les mains les uns aux autres. Mettez-vous à prier pour avoir le baptême du Saint-Esprit. Comment pouvez-vous être plus proches de Jésus-Christ que vous ne l’êtes maintenant même? Imposez-vous les mains les uns aux autres, et priez comme vous le faites dans votre propre église, que Dieu vous remplisse du baptême du Saint-Esprit, alors vous verrez un paradoxe comme vous n’en avez jamais vu auparavant. Croyez-le. Dieu vous montrera un vrai paradoxe. O Seigneur Dieu, exauce cette prière de Ton serviteur, et que le diable relâche cet auditoire maintenant même, par la puissance et la résurrection de Jésus-Christ. Amen.