Possédant Toutes Choses

Date: 62-0506 | La durée est de: 1 heure et 35 minutes | La traduction: Shp
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1          Je suis très reconnaissant d’être ici. J’apprécie les prières que vous avez faites pour moi lorsque vous avez entendu parler du petit accident que j’ai connu. Cela montre tout simplement que Satan ne peut pas vous prendre avant que Dieu ne soit prêt. Et je pense que beaucoup d’entre vous se demandent comment cela–ce qui est arrivé. J’ai toujours été favorisé... Comme vous le savez, je... Mon passe-temps, ou ce qui me détend, c’est soit aller à la pêche ou aller là au champ de tir pour tirer, soit aller à la chasse ou quelque chose de ce genre. J’en suis heureux. Si je jouais au golf, je serais là où les femmes sont à moitié nues. Et si j’étais–et si j’étais un joueur de baseball, vous savez, ce que ce serait. Mais je suis–je suis heureux que c’était en plein air, quelque chose comme faire la pêche, faire la chasse, et que sais-je encore.

2          Et j’ai toujours aimé l’une de ces carabines modèle Weatherby Magnum. Et je pense que quelqu’un allait bien m’en acheter une si j’avais dit quelque chose à ce sujet, mais j’ai gardé cela pour moi-même. En effet, ça fait trop d’argent qu’on veut placer là, alors que je sais qu’il y a des missionnaires qui n’ont pas de souliers aux pieds. Et puis, laisser quelqu’un acheter cela, prendre trop d’argent comme cela pour payer une carabine! Il n’y a pas longtemps, frère Art Wilson a donné là-bas à Billy Paul un fusil Winchester modèle 70, un fusil Roberts modèle 257. Monsieur Weatherby avait annoncé dans un journal qu’il pouvait prendre ce fusil et le modifier un peu là à l’intérieur et en faire un Weatherby Magnum, sans aucun danger. Ainsi, frère Rodney qui fréquente cette église, frère Rodney Armstrong a envoyé cela, il l’a converti en un fusil Weatherby Magnum, et il s’est fait qu’il n’a pas été converti correctement. Ainsi, lorsque j’ai tiré cela–cela... La–la Compagnie Winchester dit que leur fusil peut supporter une pression de six mille neuf cents livres [3136 kg–N.D.T.]. Vous savez ce que cela pouvait être.

3          Et j’ai soulevé le fusil là, frère Wood était descendu là avec moi, et c’était à environ un pouce de mon oeil comme cela. Et cela a fait éclater une pression de six mille neuf cent livres sur une distance de 50 yards [environ 46 mètres–N.D.T.], et le canon du fusil a été projeté à une distance de 50 yards, la culasse a été renvoyée en arrière comme ceci, et le–le fusil s’est tout simplement désintégré dans ma main. Il y a eu toute une flamme de feu aussi haute que ce plafond-là, et c’était tout ce que je savais pendant une ou deux secondes. Et je suis arrivé à... Et le sang jaillissait comme ceci et je pensais que j’étais tué; ainsi, j’ai en quelque sorte tenu ma main en l’air comme cela pendant un moment. Et frère Wood... J’ai essayé de regarder, et je ne pouvais pas voir de cet oeil, et je ne pouvais pas entendre du tout. Et je sentais comme si je marchais en l’air. Et j’ai vu frère Wood s’avancer vers la cible pour voir là où la balle avait percuté, et j’ai essayé d’attirer son attention. Puis il est arrivé là, et nous sommes montés là. Et l’éclat d’obus a décrit un cercle autour de l’oeil. Et mon visage paraissait comme si on y avait jeté un hamburger, là où cela a fait gonfler mon visage. Et de gros morceaux d’éclats étaient plantés là au-dessus de mon oeil, et ont décrit un cercle juste autour de l’os du sinus et du crâne ici. C’est le docteur Adair qui les a enlevés.

4          Quelques jours plus tard, naturellement le jour suivant, Doc était lui-même à l’hôpital. On m’a envoyé chez un spécialiste concernant cet oeil. Il a vu un cercle, juste en dessous de l’oeil, d’environ trente morceaux d’éclats d’obus qui sont entrés droit en profondeur là dans l’orbite. On n’arrive pas à enlever cela. C’est parti... Cela a manqué l’oeil et a décrit un cercle tout autour comme ceci. Il a dit: «La seule chose que je sache...» Il a écrit au docteur Adair une lettre, disant: «Le Bon Dieu devait être assis là sur le banc avec Son serviteur pour le protéger, sinon il serait resté sans tête.» Tout ce que le frère Wood aurait trouvé, ça serait tout simplement d’ici jusqu’en bas. Vous voyez? Cette pression qui a éclaté là en arrière... Je ne sais pas comment cela s’est fait... Mais cette grande et lourde culasse d’une carabine modèle 110 a éclaté et s’est dirigée vers l’arrière; si vous savez là où se trouve le Club de la Conservation, en se dirigeant là en arrière jusque vers le parc à daims. Et nous n’avons pas pu retrouver une bonne partie du fusil.

5          Ainsi un... Cela montre tout simplement quelque chose. Un jour, je prêcherai un sermon là-dessus, le Seigneur voulant... Une conversion, c’est très bien, mais vous devez garder cela en bas, si le fusil n’est pas destiné à la charge qu’il doit supporter, il va exploser tout le temps. C’est vrai. Ainsi, n’essayez pas de... Et c’est mieux que ça soit l’original, pas une contrefaçon à partir de... [Une soeur parle depuis l’assemblée–N.D.E.] Eh bien, écoutez. Voyez? Cela est... Oh, bien sûr, vous pouvez vous imaginer les choses qui pouvaient être dites comme cela.

6          Mais pour autant que je sache, il–il n’y a rien... Bien sûr, mes oreilles, vous vous imaginez, il y a toujours un bourdonnement lorsque ce micro fait une résonance. C’est la raison pour laquelle je n’étais pas ici ce matin. Lorsque vous parlez, vous entendez cela faire un grand bruit tantôt d’un côté, tantôt de l’autre.

7          Pourtant on m’a amené chez un spécialiste qui a dit: «Le tympan n’est même pas gonflé. Et puis l’oeil, a-t-il dit, vous aurez exactement la même vue que vous aviez avant.» Il a dit–il a dit: «Cela est entré juste en dessous de l’oeil. Cela a tout simplement décrit un cercle tout autour du globe oculaire, et ça s’est planté là.» Il a dit: «Vous aurez toujours des éclats.»

8          J’ai dit: «J’ai eu cela depuis que j’avais deux ans; ça, ça provient d’ailleurs.»

            Frère Roberson qui se trouve là derrière, je lui ai téléphoné et je lui en ai parlé. Il a dit: «Ne vous en faites pas, j’en ai dans mon corps un ou un et demi kg.» C’est un vétéran de la guerre. «Cela ne fera donc pas de mal; j’en ai plein.»

9          Et je me rappelle la vision du Seigneur il n’y a pas longtemps. Vous souvenez-vous que j’en ai parlé ici? Ce matin, dans Sa bonté, le Seigneur a dit: «Ne crains pas quoi que ce soit, où que tu ailles ou quoi que ce soit, car la Présence infaillible de Jésus-Christ est avec toi partout où tu vas.» Ainsi, il ne peut pas... Satan ne peut pas me tuer avant que Dieu ne dise que c’est terminé. Voyez? Il pourrait essayer, mais il ne réussira jamais à le faire.

10        Ainsi donc, la chose curieuse, c’est que j’ai continué à aller de toute façon, j’ai continué à aller à mes réunions, et je peux voir avec cet oeil gauche comme il faut; et j’ai continué d’aller aux réunions malgré tout. Et puis il... Le frère qui allait dans les réserves indiennes devait remettre cette réunion à plus tard, ou la reporter jusqu’à ce que je revienne à la côte ouest et que nous remontions là à la côte ouest. Nous tiendrons donc cette série de réunions là. Et pendant ce temps, frère Arganbright s’est saisi de moi, et puis lorsque ces réunions seront terminées, j’irai à–à Anchorage, en Alaska. C’est la raison pour laquelle je dépendais beaucoup...

11        Beaucoup d’entre vous se rappellent la vision que j’ai eue, la vision où j’ai tiré sur un ours grizzly, un ours grizzly qui mesurait 9 pieds [2,79 m–N.D.T.] (et l’église se rappelle que j’ai annoncé cela ici) ainsi que le caribou. J’en ai eu une autre. Rappelez-vous, cela se trouve ici sur bande, et j’ai vu un énorme ours brun. Cela pourrait être un Kodiak [un grand ours brun qu’on trouve dans la région côtière de l’Alaska–N.D.T.] et cela ne pourrait pas marcher là au Canada; en effet, il n’y en a pas là. Vous voyez? Mais où que ce sera, il sera là. Cet ours sera là; c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Il sera là. Voyez?

12        Et maintenant, je vous remercie pour vos prières en ma faveur. Je savais que beaucoup d’entre vous prieraient lorsqu’ils apprendraient que je m’étais blessé. Et un petit groupe qui... Ma fille Rebecca, qui se trouve là derrière, a écrit une lettre à soeur Dauch qui fréquente cette église, et lui en a parlé. Et elle a téléphoné à Meda quelques soirs après cela, et lui a dit: «Je ne sais pas si cela était utile ou pas, mais tout notre groupe là-bas, nous nous sommes réunis.» Le prédicateur méthodiste ainsi que frère Brown, leurs parents ainsi qu’eux tous se sont réunis et ont prié toute la nuit pour moi. Elle a dit: «Je ne sais pas si Dieu a exaucé ou pas, mais nous savions que frère Branham a prié pour beaucoup de gens; nous nous sommes dit qu’il nous fallait prier pour lui.»

            C’est le genre de prières qu’Il écoute effectivement, (vous voyez? Oui, oui.) ce genre de prières.

13        Frère Crase, l’un de nos frères d’ici, Satan l’a poursuivi très récemment, il a heurté un caniveau, oh, et cela lui a coupé tout simplement le... complètement. Je ne comprends pas comment il en est sorti vivant. Ainsi, il était couché là à l’hôpital, et il a dit qu’un jeune frère du nom de Metcalf, venant de New Albany, est entré et a dit: «Frère Crase, je–je suis–je ne suis pas digne de venir prier pour vous, mais, a-t-il dit, le Seigneur a placé cela sur mon coeur, ainsi je n’ai pas pu m’en empêcher.» Et il est tout simplement sorti, s’est agenouillé, a offert une petite prière et il est sorti. Dieu a guéri frère Crase là-même. Vous voyez? Mais voyez, c’est le don de guérison dans le Corps de Christ (vous voyez?), d’un membre en faveur d’un autre.

14        Ne pensez pas que du fait que vous êtes simplement un membre laïc, que... Vous êtes tout autant membre que n’importe qui d’autre. Ceci est tout autant mon doigt que ce bras est mon bras, ou que cette oreille est mon oreille. Voyez? C’est tout simplement un membre du corps. Et nous tous... si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui. Une unité. Quelle unité bénie! Maintenant, je...

15        Puis après cela, eh bien, j’ai tenu quelques réunions de plus et je suis parti, pour un peu de temps là, passer une fois de plus une soirée avec le Tabernacle. Si le Seigneur le veut et si Dieu le veut, ce dimanche prochain, le matin, j’aimerais prêcher sur La trace du prophète, et puis... au tabernacle.

16        Demain soir, ou le dimanche soir, je serai là au Gospel Tabernacle, chez l’un de nos frères, frère Ruddell. J’aimerais prêcher sur le sujet: Laisser échapper la pression, si le Seigneur le veut.

17        Et puis, le mardi suivant, il nous faudra donc partir pour le Wisconsin, avec les Hommes d’Affaires du Plein Evangile pour la convention régionale. Et je serai là pour trois soirées. C’est à... Billy, comment s’appelle cette ville? Est-il... Green Lake, dans le Wisconsin. Quand? Le jeudi, le vendredi et le samedi; le dix-sept, le dix-huit, le dix-neuf à Green Lake, dans le Wisconsin, à la convention régionale.

18        Et puis, dimanche le 20, je serai à Chicago à l’auditorium de l’école secondaire, ce même auditorium où nous étions la fois passée. Vous rappelez-vous comment ça s’appelle? Stephen Mather High School Auditorium, pour le dimanche après-midi.

19        Et puis, le lundi je serai au... Le nom de cet endroit m’échappe, l’endroit que le Seigneur m’a montré, là où devait se tenir cette fois-là la convention de l’Association des ministres de Chicago qui devaient se réunir avec moi pour discuter sur des sujets, vous savez, et j’ai dit: «Et le Seigneur m’a montré cet endroit.» C’est une réunion d’au revoir en l’honneur de frère Joseph Boze, qui doit venir ici demain par avion pour me voir, et une fête d’au revoir en son honneur, le lundi.

20        Puis, nous reviendrons directement chez nous pour donc repartir, car ce sera alors le temps de partir pour Southern Pines, en Caroline du Sud, ou en Caroline du Nord. Et puis on se rendra à Colombus, en Caroline du Sud. Et ensuite, on se rendra au Cow Palace sur la Côte ouest. Et puis on ira jusqu’à Grass City, puis à Spokane, puis au Canada, et puis en Alaska. Soyez donc en prière pour nous, nous avons vraiment besoin de votre prière.

21        Et les Ecritures nous enseignent que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. Et je crois, étant donné que cela... et considérant la loyauté des gens et tout... Quelqu’un a dit: «Comment cela pourrait-il arriver, pourquoi Dieu permettrait-Il cela?» Je pouvais être tué sur la route en sortant là, il y a une chose ou une autre; Il–Il avait quelque chose pour contourner cela. Rappelez-vous, les Ecritures ne peuvent pas faillir: «Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu.» Et si je connais mon coeur, je L’aime. Je–je L’aime de tout mon coeur, et cela nous rapproche un peu plus.

22        Et quand on y pense donc, tous ceux qui ont appris cela ne comprennent pas comment j’ai encore une tête et des épaules (vous voyez?), ayant été là en plein dans toute cette explosion, tout près de moi comme cela, comme ceci; probablement, cela pourrait faire environ deux mille livres d’explosion en plein dans la figure. Voyez, ça, c’est assez pour vous désintégrer (vous voyez?); cela vous élimine en un rien de temps. Si cela a fait éclater ce lourd fusil en acier et que cela a projeté ce canon à une distance de cinquante yards, ainsi que–ainsi que le fût du fusil, il vous faudrait voir ce fusil. Il n’a plus l’air d’un fusil. Ce sont tout simplement des morceaux qui ont été ramassés.

23        Et puis en sortir indemne... Gloire soit rendue au Dieu vivant! Cela a suffi pour m’empêcher d’aller là dans le Nord jusqu’à ce qu’un mot vienne de la part d’Eddie comme quoi je n’étais pas censé aller à cette période-là. «Grâce étonnante, quel doux son, qui a sauvé un malheureux comme moi!» Et cela nous fait savoir... nous fait apprécier le fait que Dieu est avec nous. Dieu est avec nous, et combien nous en sommes reconnaissants.

24        Eh bien, ce matin, j’ai dit que j’avais à l’idée de venir, et puis un précieux frère d’ici, lorsque je suis retourné... Je l’ai dit à soeur Wood aujourd’hui; je pense que frère Neville... Billy m’a téléphoné et a dit: «Ecoute le message si c’est possible.» Et je pense qu’un petit morceau de ce métal est sorti et s’était installé là en dessous de mon oeil, il me causait des ennuis pour sortir, mais maintenant il est sorti, on a fait un nettoyage et on l’a enlevé. Et ainsi donc, il a dit... Ce soir, je me suis dit que j’irais, et ce précieux frère qui prêche probablement comme cela, je sais ce que c’est que tenir donc un grand service, on est vraiment enroué, vous savez, et–et la gorge vous brûle et vous fait mal. Je me suis donc dit que je vais me rendre là, et j’ai pris quelques Ecritures à lire, et je me suis dit: «Le soir de la communion.» J’aime toujours prendre la communion.

25        Et puis j’avais quelques amis; ils sont quelque part ici. Je ne vois pas très bien, vous le comprenez bien. Il y a encore dans cet oeil de la belladone qui s’est dilatée; la vision est un peu trouble. Ainsi donc, ils sont ici, des amis et des parents à mon précieux et brave frère F.F Bosworth qui est dans la Gloire. Ainsi, que le Seigneur les bénisse, nous avons vraiment prié pour eux là dans la salle au fond.

26        Eh bien, n’oubliez pas, le mercredi soir, c’est notre réunion de prière de la mi-semaine. Et je pense que frère Jackson est programmé pour le jeudi soir. Et pour frère Junior, ce sera... ou plutôt pour frère Ruddell, c’est le mercredi soir. Et on sera au tabernacle d’Utica le mercredi et le jeudi soir. Et puis on retournera ici le dimanche matin pour une réunion avec toute la congrégation.

27        Et ainsi donc, le dimanche soir, je dois rencontrer le frère Ruddell. J’allais programmer cela pour le mercredi soir, mais la semaine prochaine... Toutefois je ne saurais pas le faire, et j’ai dû remettre cela à dimanche soir. Et maintenant, vous les gens d’ici au tabernacle, restez juste ici au tabernacle (vous voyez?); en effet, j’irai chez frère Ruddell ce soir-là pour prêcher tout simplement, pas pour un service de guérison. Et... mais n’oubliez pas, restez tout simplement à votre poste du devoir, juste ici au tabernacle. Ceci est chez vous, c’est votre maison. Voyez? Ainsi, nous nous attendrons à passer de bons moments. Et ensuite, priez tous pour nous comme nous irons là.

28        Nous espérons donc que le Seigneur nous rencontrera ce soir juste avant la communion. Et maintenant, je pense... Est-ce tout ce que nous avons là comme annonce, à ce que nous sachions? Eh bien, préparant le sentier... Qu’est-ce, frère? [Frère Neville parle à frère Branham.–N.D.E.] Des funérailles. Oh, oui! Les funérailles de... L’un de nos frères évangélistes de ce tabernacle est tout simplement... Eh bien, c’est l’un de nous ici. Il sort, il est pasteur, et il prêche, un certain frère J.T. Parnell. Sa précieuse petite mère est décédée l’autre soir, une petite mère voûtée et grisonnante. Et cela aura lieu à Edmonton, dans le Kentucky, le service funéraire aura lieu demain. Et je sais que beaucoup d’entre vous ont voulu lui apporter des fleurs, mais on ne saura pas le faire. Et l’unique façon pour l’église d’obtenir une couronne de fleurs là, on devrait téléphoner là et ensuite laisser l’agent de poste prendre cela. Et cela devrait sortir demain, que ça aille ou pas, ces fleurs, ainsi cela rend donc les choses difficiles. Mais nous voulons certainement compatir, frère, avec notre frère Parnell qui a perdu sa mère, et moi-même cela m’est arrivé très récemment. Et je suis sûr que la soeur Spencer et beaucoup d’autres ici présents qui compatissent aussi sont très récemment passés par des ombres et des douleurs.

29        Maintenant, inclinons la tête juste un moment dans Sa Présence pour la prière. Maintenant, j’aimerais que vous priiez pour moi. Et c’est un peu difficile ici ce soir d’essayer de voir avec cette lumière éblouissante.

            Et–et mon oeil va bien, mais on y a mis de la belladone pour le dilater. Vous savez ce que c’est. Et c’est ainsi depuis environ six jours maintenant (voyez?), et il a dit que ça pourra durer encore une semaine ou dix jours. Priez donc pour moi. Et puis la résonance qui provient de ce micro contre les murs, priez pour moi. Et puis-je voir votre main? Et Dieu... Comme vous avez une requête, levez tout simplement la main (Dieu répond aux prières) comme nous nous rassemblons solennellement et que nous nous inclinons maintenant.

30        Notre Père céleste, Tu as voulu que nous puissions nous rassembler. C’est la volonté de Dieu que nous puissions nous rassembler comme nous voyons le jour approcher, et cela régulièrement, ô Seigneur, pour nous rapprocher davantage de Toi et davantage les uns des autres dans le lien de la communion, au travers du Sang répandu de Jésus qui rend cela possible.

31        Ce soir, nous sommes très reconnaissants, Seigneur. Je–je–je n’ai jamais été si reconnaissant de–d’être ici, ô Seigneur. Et je–je Te suis vraiment reconnaissant. Je ne peux tout simplement pas trouver le mot pour exprimer combien je suis reconnaissant d’avoir la vue et l’ouïe, et d’être parmi les vivants ici sur la terre pour continuer l’Evangile. Cela a fait que nous puissions vraiment T’apprécier, Seigneur, lorsque nous voyons combien proche ce seul... lorsque les hommes d’une grande intelligence se grattent la tête et disent: «Comment cela pouvait-il être possible? C’est seulement la main de Dieu.» Alors j’incline ma tête dans l’humilité, Seigneur, de voir que ce miracle m’a été accordé, qu’il a été accompli là où Ton serviteur se tenait. Je suis très reconnaissant. Et maintenant, Père, je consacre une fois de plus ma vie à Ton service, après avoir marché là; de ma vie, je n’ai jamais été plus proche de la mort qu’à ce moment-là, et ensuite survivre. Je suis donc très reconnaissant.

32        Et maintenant, je prie pour tous ces gens qui ont levé la main ce soir, chacun d’eux avait une requête. Et beaucoup d’entre eux ont des actions de grâces, presque tous, Seigneur, dans leurs coeurs, pour ce que Tu as fait pour eux aussi.

33        Eh bien, ce soir, nous sommes venus pour nous assembler à une occasion très spéciale; c’est-à-dire pour prendre ce que nous appelons la communion, ou le souper du Seigneur. Communier, c’est parler avec, ou converser avec. Et c’est ce que nous faisons maintenant, Seigneur, nous conversons avec notre Seigneur, communiant, parlant, nous attendant à Lui pour qu’Il nous réponde.

34        Et maintenant, Père, nous Te prions de communier en retour avec nous ce soir au travers de la Parole écrite. Donne-nous quelque chose dans nos coeurs, stabilise notre–notre–notre voyage, ô Seigneur, et donne-nous un nouveau courage. Et bénis notre pasteur, Seigneur, notre précieux frère, Ton serviteur, ainsi que sa femme et sa famille, les diacres, les administrateurs, et toute personne qui fréquente l’église. Ô Dieu, attire-nous plus près de Toi. Puisse-t-il y avoir, comme le poète l’a dit: «Béni soit le lien qui unit nos coeurs dans l’amour chrétien. Notre communion d’âmes soeurs est comme celle d’En-haut.» Accorde cela, Seigneur. Bénis tous les autres adorateurs à travers le monde. Et maintenant, Père, romps pour nous le Pain de Vie pendant que nous nous attendons à Toi. Au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils bien-aimé, nous le demandons. Amen.

35        Eh bien, beaucoup de gens aiment noter les paroles qu’un ministre peut lire. Et j’ai... Cet après-midi, après que j’étais sorti avec le frère ainsi que la soeur Wood... Nous sommes descendus là pour voir notre frère Gobel Roberson, ainsi nous avions... dans sa salle d’exposition. Nous sommes donc revenus, et je me suis dit qu’ils... La soeur Wood me disait combien le message que notre pasteur a apporté ce matin était merveilleux. Et il m’est arrivé de penser au pauvre petit homme, qui peut avoir la gorge endolorie, c’est le cas pour moi aussi, mais je–je me suis dit que nous pouvions partager ceci ensemble, peut-être, s’il me demandait de parler. Et j’ai couché quelques notes par écrit, ici, sur lesquelles j’aimerais parler.

36        Premièrement, ouvrons dans 2 Corinthiens 6.7-10: Corinthiens, chapitre 6, verset 7 jusqu’au verset 10, et puis dans Genèse 14.18-19, et nous allons tirer de là, le Seigneur voulant un con–ou un contexte à partir du texte. Et maintenant, je vais lire dans 1 ou 2 Corinthiens, le premier, 2 Corinthiens, 6.7-10.

          Par la parole de vérité, par la puissance de Dieu, par les armes offensives et défensives de la justice, au milieu de la gloire, l’ignominie, au milieu de la mauvaise et de la bonne réputation; étant regardés comme imposteurs quoique véridiques; comme inconnus quoique bien connus; comme mourants et voici nous sommes vivants; comme châtiés quoique non mis à mort; comme attristés et nous sommes toujours joyeux, comme des pauvres et nous enrichissons plusieurs; comme n’ayant rien, et nous possédons toutes choses.

            Genèse 14.18-19.

          Et Melchisédek, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin; il était sacrificateur du Dieu Très-Haut... Il bénit Abram et dit: Béni soit Abram par le Dieu Très-Haut, maître du ciel et de la terre!

37        Et si je pouvais intituler cela, j’aimerais parler sur ce sujet: Possédant toutes choses. Comme ici dans Corinthiens nous... Il est dit que nous sommes–sommes pauvres, cependant nous possédons toutes choses: Possédant toutes choses. Eh bien, j’aime cela.

            Eh bien, dans Genèse nous lisons au sujet de la rencontre d’Abraham avec ce Grand Homme appelé Melchisédek, qui était le Maître du Ciel et de la terre. Il était donc le Maître de toutes choses, Maître du ciel et de la terre; c’est-à-dire de toutes choses.

38        Eh bien, nous connaissons l’histoire d’Abraham et ce qui était arrivé. Il avait été appelé dans un–dans un lieu pour accomplir un devoir. Il était appelé à sortir de son pays, le pays des Chaldéens, de la ville d’Ur, où il avait vécu avec son père et son peuple. Et c’est dans la vallée de Schinear, probablement un pays riche et fertile. Et Abraham, comme nous le comprenons bien, n’était pas une personne spéciale aux yeux du monde. En plus de cela, il n’était ni un roi, ni un monarque, ni un potentat. Il était un simple homme, et il avait épousé sa demi-soeur Sara, il l’avait probablement épousée lorsqu’elle était une jeune fille. Et Dieu l’avait appelé à l’âge de soixante quinze ans, pour une vie de service, y compris sa compagne.

39        Et nous pouvons commencer juste ici. Je crois que lorsque Dieu appelle un homme au service, s’il est un homme marié et qu’il a une compagne, Dieu appelle sa femme avec lui, parce que les deux sont un.

40        Et ainsi, nous voyons plus tard quelque part que Dieu aurait pu probablement tuer Sara lorsqu’elle a douté du message de l’Ange, vingt-cinq ans plus tard, lorsqu’ils étaient assis sous les chênes ce jour-là. Mais lorsqu’elle a ri quand l’Ange lui a dit, ou a dit à Abraham qu’elle allait avoir un enfant, et que Sara a ri en elle-même et a dit: «Comment cela est-il possible, moi une vieille femme?» Elle avait quatre-vingt-dix ans, et son mari en avait cent, son–sa matrice était desséchée depuis des années, et son corps à lui était pratiquement mort. Alors comment pouvait-elle encore avoir du plaisir avec son mari? Et elle a ri en elle-même.

41        Et l’Ange, le dos tourné à la tente, a demandé: «Pourquoi Sara a-t-elle ri?» Et elle a nié cela. Eh bien, ceci revient à dire à Dieu en face qu’Il a tort. Vous voyez? Et cela aurait coûté la vie à Sara, mais Dieu ne pouvait pas prendre Sara, parce qu’elle était une partie d’Abraham. Vous voyez? Et elle était avec lui dans l’alliance; aussi devait-elle aller avec lui. Ainsi il ne pouvait pas prendre Abraham–ou plutôt prendre Sara, sans prendre une partie d’Abraham, car les deux sont un.

42        C’est un beau type de nous aujourd’hui, des indignes, des gens méritant la mort lorsque nous péchons, mais Dieu ne peut pas nous tuer, parce qu’Il pourrait... Nous sommes une partie de Christ. Vous voyez? C’est une grâce pour nous; en effet, nous sommes unis à Christ. N’est-ce pas là une belle pensée, unis à Christ? Par conséquent, nos péchés, lorsque nous les commettons, nous devrions rapidement les confesser comme quoi c’est mal; en effet, Dieu pourrait nous ôter la vie. Mais le Sang répond à notre place, et Dieu ne peut tout simplement pas traverser ce Sang. Vous voyez? Il ne peut tout simplement pas le faire; en effet, c’est une promesse comme quoi Il ne le fera pas. Il ne peut donc pas briser Sa propre promesse. Vous voyez? Ainsi Dieu s’est retrouvé, pour ainsi dire, complètement lié. Vous voyez, Il ne peut pas briser Sa promesse. Et Il a promis qu’au travers de ce Sang, quiconque croirait aurait la Vie Eternelle, et Il ne peut pas briser cette promesse.

43        Nous voyons donc qu’Abraham a quitté sa maison  par obéissance, il a quitté son pays et s’est séparé de toute chose, toute sa position–possession terrestre, pour voyager vers un pays étranger, où il séjournerait. Un type de l’Eglise. Il nous est demandé d’abandonner toute chose de ce monde pour suivre Christ.

44        Eh bien, nous voyons Abraham poursuivre sa route, année après année. Et il a pris avec lui une portion, c’est-à-dire son père, et celui-ci est mort aussitôt. Et il a amené son neveu, c’était Lot, et Lot s’est séparé de lui à cause d’une dispute, et il est allé vivre à Sodome; pourtant, il était une partie d’Abraham. Et Dieu a donné le pays et tout ce qu’il y avait dans ce pays à Abraham; il a hérité tout cela. Dieu a dit: «Regarde vers l’est, l’ouest, le nord et le sud, et tout ceci t’appartient, à toi et à ta postérité: tout ceci t’appartient.»

45        Eh bien, un jour, les choses sont devenues un peu dures pour Abraham, mais pour Lot, c’était facile, il se vautrait dans le péché. Comme c’est facile, comme le péché est agréable à voir et comme il semble innocent! Eh bien, si Lot dit ceci: «Tant que je crois, je crois en Dieu, pourquoi ne puis-je donc pas me rendre là à Sodome? Et–et les choses iront très bien, je suis un croyant.» Mais les choses n’allaient pas très bien.

46        Voyez, lorsque Dieu a appelé Abraham, Il a appelé ce dernier à se séparer de toute chose. Et c’est ce que nous devons faire. Dieu nous appelle à une séparation totale d’avec le péché. Sortez du milieu de cela; ne prenez pas part à cela; évitez cela, l’apparence même du mal. Une séparation, complètement mort à cela, restez loin de cela, ne marchez pas sur son terrain, peu importe combien–combien il paraît beau.

47        Vous les gens ici, vous pourriez donc vous dire: «voici, Frère Branham, parfois je–je suis tenté de voler, ou parfois je suis tenté de fumer.» Ou parfois les femmes se disent: «Je suis tentée de m’habiller comme les gens du monde, vous savez, avec des vêtements indécents et tout. Je suis tentée.» C’est ce que pensent les jeunes dames. Eh bien, vous pensez que c’est cela la tentation, qu’en est-il d’ici où il vous faut surveiller chaque petit mouvement (vous voyez?) dans un ministère? Quelle plus grande responsabilité est-ce ici! Il y aura beaucoup plus de choses dont on aura à répondre. En effet, vous, vous avez à répondre pour vos propres âmes, mais nous, nous avons à répondre pour chaque personne à qui nous parlons. Vous voyez? Ainsi Satan, constamment... Eh bien, vous dites, vous... «N’est-ce pas là une jolie petite robe? C’est vraiment mal de porter cela, mais elle est jolie, n’est-ce pas? Elle pourrait très bien me convenir.» Là où, pour moi... C’est... Eh bien, c’est-à-dire, vous savez que c’est faux. Mais chez un ministre, c’est: «Vous devriez vous rendre à cette réunion ici; c’est justement ça. On dit que c’est très grand, la congréga-...» Et pourtant il vous faut attendre et entendre Dieu vous dire d’aller. Vous voyez? Oh, voudriez-vous vous rendre là pour voir cette personne-là? C’est Untel. Et vous devez surveiller, être attentif. Voyez? Oh, c’est vraiment sournois. Et maintenant, nous devons surveiller ces choses.

48        Eh bien, Abraham devait veiller aussi. Mais lui, au lieu de se rendre à Sodome avec Lot, il s’est séparé de lui et s’est rendu au désert, il a suivi le petit nombre des méprisés du Seigneur. Cela devait être notre attitude. Suivre le peuple de Dieu, peu importe si c’est difficile ou facile, allez-y de toute façon. Soyez donc prêt à aller, où qu’Il vous appelle à n’importe quel moment.

49        Eh bien, après que ceci était arrivé, il y a–il y a eu ensuite un roi qui est allé sur le sentier de la guerre avec une petite tribu de gens là-bas, et ils sont descendus dans la vallée et se sont emparés de tous les petits groupes, de tous les petits royaumes là, et ils ont pris ... Ils sont entrés à Sodome et ont capturé le roi de Sodome et de Gomorrhe, et ils ont pris Lot (le neveu d’Abraham), sa femme, ses filles, ses enfants, eux tous, et tout ce qu’ils possédaient, tout ce qu’ils avaient, ils ont carrément parcouru le pays en le pillant au cours de la guerre. Oh, quelle chose horrible! Le salaire du péché, c’est la mort. Lot s’en est rendu compte, sans doute, en marchant par-là et peut-être avec un–une corde ou une chaîne d’esclave autour du cou, ainsi que ses enfants, ses jeunes filles pour être violées, sa femme, et tout; et probablement qu’il mourrait n’importe quand qu’il désobéirait à un seul ordre, et peut-être qu’il allait dans un autre royaume quelque part pour demeurer esclave le reste de ses jours.

50        Mais lorsqu’Abraham a vu que Lot a été enlevé, lui qui était une partie de sa possession, Abraham s’est peut-être dit: «Ô Dieu, Tu m’as dit que si je T’obéis et que je marche ici dans ce pays, Tu me le donneras. Ceci m’appartient. Et Lot en fait partie, je vais à sa recherche.» Ainsi, il a formé une garnison, ou plutôt il a rassemblé ses serviteurs, et il les a armés. Il a pris ses serviteurs, et il est sorti en sorte qu’il a poursuivi et a rattrapé ce roi avec tous les autres petits royaumes. Considérez quelle grande armée les autres formaient alors. Mais sous la direction de Dieu, le Général en Chef, Abraham a scindé ses troupes, et il a attaqué ces rois et les a massacrés, et a ramené Lot et tous les petits royaumes, il les a ramenés chez eux–dans leur pays.

51        Quelle image de Christ là en Abraham poursuivant l’ennemi qui s’était emparé de toute chose, et Christ est venu et nous a ramenés.

52        Eh bien, nous trouvons dans cette glorieuse histoire qu’Abraham, sur son chemin de retour, en revenant, après que la victoire a été remportée, il a rencontré le Maître du Ciel et de la terre, Melchisédek, qui est le Roi de Jérusalem, Roi de Salem; c’était Jérusalem, Roi de paix, Roi de justice. Il n’avait ni père ni mère, Il n’a jamais eu de commencement et Il n’aura point de fin; ce n’était personne d’autre que le Tout-Puissant. Et Dieu l’a rencontré pendant qu’il retournait chez lui, revenant du massacre des rois. Il a rencontré le Maître, Celui qui possédait toutes choses, il L’a rencontré sur son chemin de retour. Que c’est glorieux!

53        Eh bien, Abraham... J’aime ceci. Abraham était héritier de toutes choses par la promesse, ainsi il pouvait réclamer tout ce qui était dans ce pays et le pays lui-même. Abraham avait reçu la promesse. Eh bien, nous comprenons qu’Abraham était l’homme le plus pauvre de toute la contrée; en effet, il vivait là dans le désert, et il vivait en paix avec Dieu. Et Lot, riche qu’il était, vivait dans la ville et il est devenu le gouverneur de la ville, et il siégeait au portail; il était un juge, il jugeait la ville, il possédait toutes les richesses et tout. Mais Abraham était au désert, et le... peut-être l’homme le plus pauvre du pays, mais pourtant il déclarait qu’il le possédait entièrement. Amen! C’est ce que j’aime.

54        Oh! ce soir, il se peut que nous ne soyons pas riches en ce qui concerne les biens de ce monde, mais nous possédons toutes choses. L’Eglise, elle-même, possède toutes choses. Bien que pauvres, nous sommes riches et nous possédons toutes choses, j’aime cela. Il...

            Nous–nous sommes... Il y a un vieux petit cantique que nous avions l’habitude de chanter il y a des années...

                 Mon Père est riche, Il a des maisons et des terres,

                 Il détient les richesses du monde dans Ses mains

                 Les rubis, les diamants, l’or et l’argent,

                 Ses coffres en sont remplis,

                 Il a des richesses inédites.

55        Et nous en sommes les possesseurs parce que nous sommes les enfants du Roi. Amen! L’enfant est toujours héritier, nous le savons. Très bien.

            Abraham pouvait détenir cela, bien que pauvre; son bétail mourait de faim; Lot avait choisi la meilleure terre. Abraham n’avait plus d’eau. Il passait par des jours de forte chaleur. Et les bergers avaient des ennuis, et tout semblait mal tourner pour Abraham, pourtant il possédait toutes choses.

56        Et aujourd’hui, le véritable croyant est rejeté du milieu du peuple, il est traité de fanatique, de saint exalté, ou on lui colle une espèce de nom injurieux, on le taxe d’une espèce de fanatique religieux, pourtant il est héritier de tout le Ciel et de toute la terre. «Heureux les débonnaires, car ils hériteront la terre.» Oh! la la! Vous parlez d’être confiné dans une cabane ou quelque part, et vous avez à peine assez d’argent pour payer votre loyer, cependant vous possédez toutes choses. Amen. Il faut travailler, travailler dur et suer pour obtenir quelques dollars, pour gagner–gagner une vie honnêtement, pour chausser vos enfants, et pour nourrir leurs petites bouches affamées, et pourtant vous êtes possesseur, vous êtes héritier de toutes choses qui existent ici [sur terre]. «Les débonnaires hériteront la terre. Ils la possèdent. Oh! la la! j’aime cela. Possesseur de la terre... Qui est-ce? Le croyant. Le croyant a un titre, un titre abstrait, c’est vrai, par Jésus-Christ, comme quoi «il possédera tout cet univers.» C’est vrai. «Les débonnaires hériteront la terre.»

57        Abraham avait un–un–il avait–il allait–il a pu posséder ce pays-là à cause de ce qui y était. Dieu le lui avait donné. Et Lot était une partie de ce pays-là. Ainsi Abraham y avait droit. Il pouvait–il a pu appeler ou–ou détenir cela. Il a dit: «Eh bien, ô Dieu, Tu m’as fait la promesse, comme quoi ce pays et tout ce qui s’y trouve est mien, et c’est Toi qui m’as fait cette promesse. Eh bien, mon parent a été emporté, et tout ce qu’il possède est parti.»

58        En d’autres termes, si j’appliquais cela à ce jour, je dirais, l’Eglise pourrait dire: «Seigneur Dieu, voici mon frère, il est couché là, il est atteint du cancer, il est atteint de la tuberculose, il a telle maladie. Je saisis la promesse, c’est ma possession. Tu... C’est Toi qui me l’as dit.» Amen. Vous y êtes. Alors–alors vous pouvez poursuivre cet ennemi, ce démon, et le massacrer exactement comme Abraham avait massacré les rois et a ramené sa possession. Amen. J’aime cela. Cela appartient au croyant.

59        Cependant Abraham avait droit à la promesse, et la promesse était sienne, mais il devait combattre pour la posséder. Amen! Vous y êtes. Le croyant aujourd’hui... Quoique nous soyons héritiers de toutes choses, quoique nous soyons héritiers de toute bénédiction spirituelle, de toute bénédiction physique, de toute bénédiction que la Bible promet, il vous faut pourtant combattre pour chaque centimètre de cela. C’est ainsi que Dieu a établi cela. Il en a toujours été ainsi. Il vous faut combattre pour posséder ce que vous savez être à vous. Il vous faut combattre pour posséder cela. Et c’est ce que nous devons faire maintenant.

60        Vous direz: «Frère Branham, j’ai besoin de la guérison.» La promesse est vôtre. Mais si jamais vous obtenez cela, vous n’allez pas obtenir cela facilement; je vais vous le dire. Il vous faudra arracher cela à Satan.

61        Satan s’empare de votre santé; vous avez le droit d’aller auprès–auprès de Satan et lui dire: «Restitue cela. Remets cela. Je viens au Nom du Seigneur, le Maître du Ciel et de la terre, et je suis Son héritier. Restitue cela. Tu as pris mon enfant; tu as amené ma fille à aller avec un mauvais garçon. Tu as pris mon garçon et tu l’as amené à aller avec une mauvaise fille. Je les réclame. C’est vrai. Je réclame mes enfants. Je réclame mon frère. Je réclame ma soeur. Oui, Satan, tu les as retirés de la maison de Dieu; à force de les cajoler, tu les as persuadés de sortir, mais je viens à leur recherche. Je les réclame.» –Eh bien, comment le sais-tu?– Je suis héritier de toutes choses. Amen. Cela m’est donné. Je suis un héritier. Je peux réclamer tout ce que Dieu m’a promis. Amen. Voilà. Oh! la la!

62        Comment obtenez-vous cela? Est-ce que vous avez fait quelque chose? Non, non. C’est le don immérité que Dieu nous a donné, et cela est nôtre, cela nous appartient. Satan ne peut pas détenir cela si vous allez vers lui avec–avec une autorité scripturaire de la Parole, avec foi pour dire: «Cela est mien. Dépose cela.» Amen. Gloire. J’aime cela. –Satan, dépose cela. Tu me l’as arraché. Restitue cela, parce que je te présente la notification. J’ai la notification écrite juste ici dans la Parole: «Les cieux et la terre passeront, mais cette notification ne passera pas.» Ainsi, je viens avec cette notification te la présenter, comme quoi Jésus-Christ a dit que tout ce que je demanderai au Père en Son Nom, Il me le donnera. Si je dis à cette montagne «Ôte-toi de là» et que je ne doute pas dans mon coeur, mais je crois que ce que j’ai dit s’accomplira, je peux obtenir ce que j’ai dit. Dépose cela. Cela l’amènera à commencer. Ne l’amenez pas à commencer, amenez-le à fuir.

            «Dépose cela, parce que je viens avec l’autorité des Ecritures. Je suis un croyant.» Comprenez-vous cela? Oui, oui. Oui, oui.

63        Que devait-il faire premièrement, Abraham, pour faire ceci? Il devait poser sa foi sur le Rocher solide de la fondation de la Parole promise de Dieu. Ecoutez, tout ce qu’il avait, c’était un petit groupe de serviteurs, probablement une douzaine. Il y avait probablement des milliers d’hommes armés et ses hommes à lui n’étaient pas des soldats; c’étaient des serviteurs, des bergers de troupeaux, des bergers de brebis, des éleveurs, probablement armés de vieux couteaux couverts de rouille qu’ils avaient ramassés quelque part, et qu’ils avaient mis de côté dans le... à l’extérieur; sur lesquels plusieurs pluies étaient tombées, et ils étaient devenus rouillés. Mais Abraham ne regardait pas du tout aux couteaux rouillés, ni au bouclier. Il plaçait sa foi sur la Parole de Dieu. Voilà. Voilà ce qui fait l’affaire. C’est cela. –Comment vas-tu le combattre lorsque tu arriveras là-bas?– Cela ne dépend pas de moi.

64        Mon problème, c’est de placer ma foi sur ce que Dieu a dit. Ça m’appartient; je poursuis ce qui m’appartient. Amen. Eh bien, lorsque les gens qui sont malades voient cela, la maladie est presque terminée à l’instant même. Voyez-vous? Certainement.

65        Lorsqu’un pécheur comprend qu’il ne faut pas pécher... Beaucoup de gens commettent le péché, parce qu’ils sont obligé de pécher. C’est un état pitoyable lorsque vous dites que vous êtes obligés de pécher. Mais lorsque vous vous rendez compte que vous ne devez plus pécher... Il y a des gens qui se tiennent tout simplement debout, qui maudissent, qui vous rient au nez, et–et vous qualifient d’idiot et tout; ce sont des pécheurs volontaires. Vous voyez, il n’y a donc pas d’espoir pour eux. Mais cet homme qui fait ces choses constamment, il a fait... il ne veut pas le faire. Il–Il vole, mais il ne le veut pas. Et il ment, mais il ne le veut pas. Il–il fait des choses qu’il–qu’il ne veut pas faire; il ne veut pas être un pécheur. Il y a de l’espoir pour lui si vous pouvez tout simplement lui faire voir ce qu’est la Vérité. Vous voyez? Approchez-vous de la promesse de Dieu et placez votre foi là-dessus, et présentez-vous là devant l’ennemi. Il ne peut tout simplement plus retenir la chose; c’est tout, parce que cela est vôtre.

66        Eh bien, considérons à présent ce personnage. Voici ce qu’Abraham a dit: «Je suis héritier. Ceci m’appartient, tout dans ce pays m’appartient, parce que Dieu... Je ne l’ai pas encore reçu.» Mais il possédait cela; cela était sien de toute façon.

67        Eh bien, nous sommes héritiers de toutes choses. Est-ce vrai? Nous sommes héritiers de toutes choses. La Bible l’a déjà dit, c’est ainsi. Nous sommes héritiers de toutes choses, tout. Nous ne possédons pas cela encore, mais c’est à nous. Amen! Oh! Gloire! Je ne possède pas un pouce de terrain, mais tout m’appartient de toute façon. Certainement. Tout est à nous, ça appartient aux gens, à l’Eglise, aux croyants; l’Epouse de Christ possède chaque brin de cela. La Russie lutte pour ceci, les Etats-Unis luttent pour cela, et celui-ci lutte pour ceci et pour cela par ici, et puis ils nous taxent de fous. Tenez-vous simplement tranquilles, vous possédez cela de toute façon. Amen. Nous serons héritiers de tout cela, de toute façon, laissez-les donc faire des histoires et s’emporter les uns contre les autres. Cela nous appartient. C’est nous qui comprenons cela. Ils n’y ont jamais pensé, mais nous, nous y pensons de toute façon, de toute façon.

68        Qui aurait pu penser que ce petit vieil homme là, qui possédait ce petit troupeau de bétail très maigre, qui avait la peau sur les os là au sommet de la colline, possédait tout cela? Toute la Palestine lui appartenait. Oui, oui. Lorsqu’on en est donc arrivé à la confrontation, Dieu a confirmé qu’Il était avec lui. Il a pris cette petite poignée d’hommes, il est sorti là, il a massacré tout le monde, et il a ramené sa possession. Amen. J’aime cela. Pourquoi? Il a placé sa foi sur le Roc de la promesse de Dieu. C’est ce qu’il faut. Il n’a plus bâti une autre fondation, en se joignant à une organisation ou en obtenant quelque chose de semblable. Il a placé sa foi sur cette promesse (Amen. C’est cela.)–sur cette promesse, et là il a marché en avant. Qu’il ait une épée rouillée ou qu’il n’ait pas d’épée rouillée, cela ne changeait rien pour lui, il avait placé sa foi sur la promesse.

69        Et lorsque vous venez pour qu’on prie pour vous, si vous avez besoin du salut, si vous avez besoin de la guérison divine, peu importe ce que c’est, si vous êtes un croyant, vous êtes héritier de chaque promesse. Ainsi placez votre foi sur la promesse et marchez en avant, et dites à Satan: «Restitue cela. Restitue cela. Cela m’appartient.» Ne le laissez pas vous bluffer. Tenez-vous juste là sur la ligne, il rendra cela. Dieu a dit qu’il le ferait, il doit donc le faire. C’est votre autorité. C’est vrai, héritier de toutes choses.

70        Il s’est tenu sur cette fondation, la Parole promise, et il avait un héritier. Il était l’héritier, ainsi il le savait. Très bien, monsieur, après que la promesse lui avait été confirmée, il avait la communion avec Celui qui a fait la promesse (j’aime cela) après que Dieu avait fait la promesse. Et alors (vous voyez?) Abraham n’avait jamais eu de test auparavant, ainsi il... de ce genre. Ainsi, il savait que tout cela lui appartenait, et c’était la promesse, pourtant il n’avait jamais eu à combattre contre une armée. Il n’en savait rien. Il–il n’était pas un homme exercé au combat. Abraham n’était pas un combattant; c’était un fermier. Et Abraham ne pouvait rien faire; en effet, il–il n’était pas un soldat. Ses hommes à lui n’étaient pas des soldats; c’étaient des fermiers. Ainsi l’unique chose qu’il pouvait faire, c’était de s’emparer de la promesse de Dieu, de placer sa foi sur la promesse et sortir pour aller à la recherche de la chose. Alors, lorsqu’Abraham a vu cela, et qu’il a reçu cette promesse, il a vu que Dieu lui a confirmé cela, comme quoi Il tient Sa promesse.... Amen. Voilà la chose.

71        Si vous n’avez jamais reçu le Saint-Esprit auparavant, si vous ne savez rien de Lui et que quelque chose dans votre coeur vous dise que vous avez besoin de Lui, restez juste là. C’est la Vie Eternelle, c’est de Cela que vous êtes héritier. Restez juste là et regardez Satan droit en face et dites-lui: «Tu es un voleur; c’est toi le voleur. Je viens pour prendre possession de mes biens pour lesquels Jésus-Christ est mort; maintenant, rends cela. Ecarte-toi de mon chemin.»

72        Et puis, ensuite, vous savez, le Saint-Esprit va se déverser sur vous. Alors, quelque chose se passe. Quelque chose se passera. Qu’est-ce? Dieu a confirmé qu’Il tient Sa Parole. C’est tout à fait exact. Ensuite, voyez, après que vous avez vu la Parole vous être confirmée, que vous êtes sauvé, que vous avez effectivement le Saint-Esprit, et puis quoi? Abraham avait remporté la victoire; voilà qu’il est revenu en marchant; il est allé là, avec sa foi qu’il a placée sur la Parole comme quoi il pouvait ramener cela, ce qu’il avait perdu, et voici qu’il est revenu avec cela, marchant en vainqueur. Vous pouvez faire la même chose. Si vous n’avez pas la Vie Eternelle, demandez-La à Dieu. Confessez vos péchés, croyez au Fils de Dieu, acceptez le baptême du Saint-Esprit, et dites: «Ô Dieu, je viens pour Cela; je suis ici pour recevoir Cela.» Alors vous reviendrez, marchant en vainqueur. Vous L’avez reçu. Amen! Vous brillez tout simplement. Oh! la la! les oiseaux chantent différemment, et tout le monde. Vous aimez tout le monde alors. Cette vieille haine, cette vieille malice, ces vieilles dissensions sont terminées; vous aimez tout le monde. Oh! Vous passez un moment glorieux, chantant, poussant des cris, louant Dieu. Vous ne vous souciez pas de ce que quelqu’un dit à votre sujet. Cela est en ordre. Certainement, vous êtes en train de marcher en vainqueur.

73        Alors, qui était sorti à sa rencontre? Qui était sorti à sa rencontre? Melchisédek. Melchisédek est sorti à la rencontre d’Abraham après qu’il avait reçu Sa Parole confirmée. C’est Melchisédek qui lui a donné la Parole. Alors il a mis Sa Parole–sa foi sur la Parole, il a remporté la victoire et il est retourné, alors il a eu la communion. Amen. Eh bien, ce sera aussi le cas avec vous. Oh! Sa Parole deviendra quelque chose de neuf pour vous, une fois que vous recevrez le baptême du Saint-Esprit. Oh! la la!

74        Oh! vous dites: «Je n’arrive pas à voir ces choses. Je ne crois pas au fait de crier. Je ne crois pas au parler en langues. Je ne crois pas à la guérison divine.» Cela montre tout simplement que vous n’avez jamais remporté la victoire. C’est vrai. Mais une fois que vous remportez la victoire, vous obtenez alors la chose. Vous avez alors la chose. Oui, oui. Alors vous pouvez crier. Je...

75        Vous voyez, autrefois je réfléchissais sur le fait de danser en Esprit, quand je voyais quelqu’un se tenir debout et danser en Esprit. Eh bien, j’en ai vu l’imitation, mais j’ai vu aussi la chose réelle. Ainsi, j’ai fini par découvrir pourquoi les gens pouvaient danser en Esprit. Eh bien, je n’en ai pas encore vu un sortir de la ligne, je n’en ai jamais vu un agir immoralement. Je–je vois toujours que cela est vraiment décent, en ordre et ça se fait avec douceur; et même les pécheurs courent à l’autel et sont sauvés lorsque cela se déroule. Eh bien, je me suis demandé pourquoi il en était ainsi. J’ai fini par découvrir que c’est la victoire.

76        David a dansé en Esprit devant le Seigneur, lorsque l’Arche avait été ramenée à son lieu de repos. Amen. Lorsque David a vu la Parole, comme c’était à l’époque, avec des tables de pierre, être ramenée à Sa véritable place, David s’est réjoui et a dansé en Esprit, tournant tout autour là continuellement. Pourquoi? Il a vu la Parole être ramenée à Sa place. Amen!

77        Ce dont la Parole a besoin, ce n’est pas d’une confusion théologique d’un séminaire, mais d’un prédicateur à l’ancienne mode envoyé de Dieu, qui se tient derrière la chaire avec la Parole, et qui voit Dieu La confirmer: l’évidence.

78        Alors David a dit: «Gloire à Dieu! C’est ça la chose.» Et il s’est mis à tourner, tourner, tourner continuellement. Sa petite femme, une orgueilleuse, était assise là; comme elle était la fille du roi, elle a dit: «Eh bien, il–il–il m’embarrasse.»

79        Et David lui a dit: «Si tu n’aimes pas cela, regarde ceci.» Et il s’est mis à tourner, à tourner, à tourner encore. Oui. Oh! la la! Quel moment il a passé!

80        Vous savez, Dieu a baissé les regards depuis le Ciel, Il a dit: «David, tu es un homme selon Mon propre Coeur.» Voyez, vous voyez? Pourquoi? Il avait perdu tout son orgueil; il avait perdu tout ce qui est sien. Pourtant il était marié à une fille du roi, mais cela n’a même pas été pris en compte à ce moment-là. Il savait qu’il connaissait bien le Maître des cieux et de la terre, et voici que là la Parole de Dieu revenait parmi eux une fois de plus, et David était tellement content qu’il s’est mis à danser. Et il a dansé de toutes ses forces.

81        Miriam s’était saisie d’un tambourin et a longé la rive, en dansant sur l’autre rive. Après qu’elle avait traversé la mer Rouge et qu’elle avait vu ses ennemis être noyés, alors elle a pu danser en Esprit. Quand elle a vu les ennemis qui l’avaient tourmentée, morts, alors elle a dansé en Esprit. C’est vrai. Maintenant, voyez, après–après avoir gagné la bataille, alors la gloire de Dieu descend.

82        Eh bien, nous voyons que Dieu l’a rencontré. Et après que la promesse avait été confirmée, il–il a eu une communion. Melchisédek est sorti pour bénir Abraham et Il a dit: «Béni soit Abraham; béni soit le Dieu d’Abraham, le Maître des cieux et de la terre.»

83        Oh! la la! Combien j’aime cela. La promesse du croyant... vous direz: «Qu’est-ce que cela a à faire avec nous?» A chaque croyant. La promesse du croyant, c’est la Vie Eternelle. La promesse du croyant, c’est la vie, la joie, la paix, la patience, la gentillesse, la patience, les fruits de l’Esprit, la guérison divine; il y a une douzaine de choses que j’ai inscrites ici qui–qui sont votre possession. Cela vous appartient, mais vous ne pouvez pas recevoir cela avant d’avoir combattu pour cela. Cela est vôtre. Tout ce qui est visible, toute chose temporelle qui est visible m’appartient. Dieu me l’a donnée; en effet, par Christ Il me l’a donnée. Et les choses invisibles m’appartiennent. Amen. J’aime cela. Ce que vous voyez, comme la guérison divine, et ainsi de suite, comme cela c’est bon; nous apprécions cela. Mais l’invisible...

84        Eh bien, la science peut faire des recherches là-dessus et dire: «Eh bien, voyons; laissez-moi prendre cet homme. Vous avez dit qu’il était guéri; laissez-moi le prendre et l’examiner. Que je voie ce qui est arrivé. Et vous dites que vous aviez une tumeur autrefois ici, monsieur?» –Oui, juste ici.

            –Eh bien, laissez-moi faire des recherches scientifiques pour voir si cela s’est enfoncé, et si cela n’est pas parti. Vous dites que vous étiez autrefois aveugle et que maintenant vous voyez. Comment le saurais-je? Laissez-moi examiner cela scientifiquement pour voir.

85        Eh bien, il pouvait faire des recherches scientifiques là-dessus, mais pourtant je–je suis héritier de cela aussi, de tout ce qui est physique. Et ensuite, je suis aussi héritier des choses invisibles, là où la science ne peut pas faire des recherches. Amen. Amen.

86        Les choses invisibles (Amen!), j’en suis héritier. Oui, oui. Les choses qui peuvent être vues, j’en suis héritier. Cette terre-ci, j’en suis héritier; vous en êtes héritier. Chaque croyant est un héritier; il en est héritier. Très bien, ensuite, les invisibles... Maître de quoi? Du Ciel et de la terre. Amen! De toutes choses. Croyez-vous cela?

87        Vous direz: «Frère Branham, qu’en est-il de là où on ne peut pas voir? Comment le savez-vous?» Cela est toujours mien. Amen! Le Ciel m’appartient. C’est vrai. C’est mien; Dieu l’a dit. Et c’est vrai. «Eh bien, vous ne l’avez jamais vu, comment savez-vous que ça existe?» Je sais que ça existe de toute façon; Dieu l’a dit. «Comment savez-vous que vous en êtes héritier, alors que vous n’avez jamais vu cela?» Je crois Sa Parole. Amen. Voyez? Je suis un héritier; vous êtes un héritier avec moi; nous sommes tous ensemble des héritiers par Jésus-Christ.

88        Avez-vous remarqué ici dans Corinthiens, ici dans 2 Corinthiens, Paul a dit que même la mort, nous la possédons. Pensez-y. Posséder la mort? Oui, oui. Cela nous dérange. Amen! Gloire! Maintenant, j’ai oublié cette explosion du fusil. Vous voyez?

89        Pourquoi est-ce que cela ne m’a pas tué? Parce que c’était impossible. Voilà la raison. Dieu n’était pas prêt. Satan peut venir tant qu’il le veut, mais il ne peut pas vous prendre. Amen! Gloire! J’ai payé ma dette pour cela il y a longtemps lorsque j’ai cru en Jésus-Christ qui est vivant pour toujours. Maintenant, la mort écoute ce que nous disons. Amen!

            Vous direz: «Un possesseur de la mort?»

90        C’est ce que Paul a dit ici dans Corinthiens. Même la mort, nous la possédons. Eh bien, lorsque ces gens étaient prêts à lui trancher la tête, il a dit: «O mort! où est ton aiguillon? Où est ton aiguillon? Montre-moi où tu peux m’effrayer.»

91        La mort a dit: «Je vais te presser là et te faire descendre dans la tombe, et tu vas pourrir et te putréfier.» Paul a dit: «Mais oh, grâces soient rendues à Dieu qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ.» Oui, oui. La mort, le séjour des morts, et la tombe, je possède tout cela, parce qu’Il a vaincu tout cela pour nous: le Maître.

92        C’est juste comme Josué et Caleb qui ont ramené l’évidence d’un pays invisible, qui avait été donné aux gens par une promesse. Josué et Caleb ont ramené une évidence comme quoi ce pays existait. Eh bien, ici ils en avaient la promesse. Dieu leur avait donné la promesse, et ils sont allés jusque dans le pays, mais ils n’avaient jamais vu cela. Et Josué et Caleb sont entrés dans ce pays promis et ont ramené l’évidence montrant que ce pays existait et que c’était un bon endroit, où coulaient le lait et le miel. Amen. Qu’était-ce? Ils allaient posséder ce pays. Ils avaient la promesse. Ils étaient en route vers là, et ils étaient arrivés presque au Jourdain, et Josué a traversé et a ramené l’évidence que c’était un bon pays.

93        Ce que Josué a fait pour les enfants d’Israël... «Josué» signifie «Sauveur», le mot «Josué». Et c’est la même chose que Jésus a faite pour l’Eglise. Quand on L’a tué, Il a vaincu la mort, Il a vaincu le séjour des morts, Il a vaincu la tombe, et Il est ressuscité avec l’évidence, le baptême du Saint-Esprit, montrant qu’il y a un pays de l’autre côté de la rivière, qu’on appelle «terre de joie sans fin.» Amen. Il est revenu et nous a ramené l’évidence. Qu’est-ce que Cela fait, Frère Branham? Cela vous fait cesser de mentir, de voler, de boire, de maudire, de faire des choses immorales et tout. Cela fait de vous une nouvelle créature. Moi qui, autrefois, étais mort dans les péchés et les offenses, néanmoins je vis; ce n’est pas moi, mais c’est Christ qui vit en moi. Je suis une nouvelle créature en Jésus-Christ (Amen!), un héritier de la promesse. Alléluia! Oui, oui. Ce pays nous appartient. Comment le savez-vous? Josué est ressuscité des morts, Il a ramené l’évidence, le Saint-Esprit. Je L’ai. Amen! Fiou! Gloire! Je suis un héritier, oh! un enfant du Roi, un enfant du Roi, héritier de toutes choses. C’est ce que dit la Bible. Le même Dieu–le même Dieu qui a fait à Israël la promesse de cette Terre promise (c’était pour eux une chose invisible), cette même Bible, ce même Dieu nous a donné la promesse de la Vie Eternelle; et le Saint-Esprit en rend témoignage. Christ est vivant. Il n’est pas mort. Il vit juste parmi nous, Il vit en nous, au travers de nous, et nous sommes environnés. Amen!

94        C’était Lui qui était assis sur ce banc là-bas, l’autre jour, lorsque Satan a vu qu’il avait la possibilité de me tuer, mais il n’a pas pu le faire. Amen! Et il ne le fera jamais jusqu’à ce que Christ dise que c’est prêt. Amen! Peu importe combien de fois il se présente, il rentrera mains vides jusqu’à ce que Christ lui en donne l’ordre. Amen. Cela est promis. C’est Dieu qui l’a promis. C’est la Parole de Dieu qui en donne la promesse, et nous croyons cela parce que nous sommes des héritiers.

95        Je suis héritier de la guérison divine . Je suis héritier de la joie, j’ai le droit d’être heureux. –Qu’est-ce qui vous rend donc si heureux?–J’en ai le droit.–Comment le savez-vous? –Parce que j’en suis un héritier. Amen! Ouh! Maintenant, je me sens religieux. Ecoutez. Je suis un héritier du bonheur. Je suis un héritier de la joie. Je suis un héritier de la paix. Je suis un héritier de la Vie Eternelle. Je suis un héritier du Saint-Esprit. Amen! Je suis héritier de toute évidence que Cela possède. Je suis héritier de l’autorité de Dieu. Amen.–Qui t’a fait héritier?–Ce n’est pas moi, c’est Lui qui l’a fait. Chacun de vous est héritier de la même chose.

96        Un héritier du trône. «Celui qui vaincra s’assiéra avec Moi sur Mon trône, comme Moi, J’ai vaincu et me suis assis sur le trône de Mon Père.» Amen. Un héritier de toutes choses, non pas seulement d’une seule chose, de toutes choses: tout est sous vos pieds. Même la mort est sous vos pieds; la tombe est sous vos pieds; le séjour des morts est sous vos pieds, le péché est sous vos pieds, toutes choses sont sous vos pieds. Vous êtes un héritier.

97        Vous êtes–vous êtes morts, et votre vie est cachée en Dieu par Jésus-Christ, et vous êtes ressuscités pour la Vie Eternelle, et vous êtes assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ. Oh! la la! Fiou! Traitez-nous de tous les noms, qualifiez-nous comme vous voulez, traitez-nous de fous si vous le voulez, mais nous sommes des héritiers. Des héritiers de quoi? De toutes choses.–Êtes-vous un héritier du Branham Tabernacle? –Non, je suis héritier de toutes choses, les choses visibles, les choses présentes, les choses futures et toutes choses; j’en suis héritier.

98        Et tout péché et toute méchanceté ont été mis sous mes pieds, par la grâce de Jésus-Christ. Il est ressuscité le matin de Pâques, Il a triomphé de la mort, du séjour des morts et de la tombe, et a fait de moi un héritier et m’a dit: «Attends là-bas et Je te ferai la promesse.» Et Son serviteur oint et plein d’autorité a dit: «La promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Je suis un héritier. Amen! Amen! Jésus nous l’a prouvé à Sa résurrection. Oh! la la!

99        Lorsque nous sommes entrés dans ce champ de bataille qui est engagée entre la mort et la Vie... «Je suis un pécheur, Frère Branham.» Vous ne devez pas l’être. Vous êtes un pécheur parce que vous le désirez. Vous ne devez pas l’être. La dette a déjà été payée.

100      «Frère Branham, j’aimerais avoir la joie.» Vous pouvez l’avoir. Vous laissez tout simplement Satan vous dérober vos privilèges pour lesquels Christ est mort. J’en suis héritier. Tout cela est mien. Tout ce pourquoi Il est mort, ça m’appartient; ça t’appartient, nous sommes Ses enfants, nous en sommes héritiers, tout ce pourquoi Il est mort.

101      Eh bien, lorsque vous entrez dans ce champ de bataille... «Oh, il n’existe pas de baptême du Saint-Esprit. Vous savez, vous–vous–vous allez vous comporter de façon étrange. Et il se passera quelque chose, il se passera quelque chose de différent.» Peu m’importe ce que ça change; j’en suis héritier. C’est la Vie, et c’est Cela que je poursuis. C’est vrai.

102      C’est ce qui devrait être le motif de tout pécheur. «Je viens pour recevoir Cela sur base du Saint-Esprit qui est ici en ce moment et qui me dit de venir Le recevoir. C’est à moi. Je ne me lèverai pas avant de L’avoir reçu. Je ne serai pas un fanatique. Je vais rester juste ici. Peu importe tout ce qui se passe. Je n’arrêterai point de prier avant que Tu me donnes le Saint-Esprit, Seigneur, et je sais que Tu vas le faire tout de suite. S’il y a quelque chose qui cloche dans ma vie, dis-le-moi et je le mettrai en ordre. C’est quoi, Seigneur? J’irai mettre cela en ordre.»

103      Si Dieu ne révèle rien, dites: «Alors, Satan, je viens pour cela. Tu ne peux plus te tenir là; écarte-toi de mon chemin.»

104      Voilà. Héritier de toutes choses: héritier de la Vie Eternelle, héritier de la guérison divine.

                 Oh, héritier du salut, racheté de Dieu.

                 Né de Son Esprit, lavé dans Son Sang.

                 C’est mon histoire, c’est ma chanson,

                 Je loue mon Sauveur, tout le long du jour;

                 Parfaite soumission, tout est au repos,

                 Dans mon Sauveur, je suis heureux et béni.

                 Je veille et j’attends, je regarde en haut.

                 Rempli de Sa bonté, perdu dans Son amour. (Alléluia! Voilà!)...

                 C’est mon histoire, et c’est ma chanson.

            Je suis un héritier du salut. Quel salut? Qu’est-ce que le salut? C’est quelque chose qui vous est donné. C’est un don. Je suis héritier du salut. Quel genre de salut? Pour la Vie Eternelle, le salut pour mon âme, le salut pour mon corps, le salut pour ma fatigue, le salut pour tout. Dieu a fait de moi héritier de toutes choses par Christ, et Il est mort, Il est ressuscité; Il est retourné et a ramené l’évidence et Il a répandu Cela sur nous. Oh! la la! Gloire. Oh! la la!

105      Eh bien, quand vous montez là, que faites-vous? Quand vous allez exactement comme Abraham l’a fait, il est monté là avec cette promesse. «Ô Dieu, Tu m’as dit que c’est à moi. J’ai la foi dans Ta promesse. J’apporte Ta Parole. Tu as promis ceci. Tu as dit: ‘Demandez, et vous recevrez; cherchez, et vous trouverez; demandez, et l’on vous donnera; frappez, et l’on vous ouvrira.’ Me voici, Seigneur. Je suis ici. Je frappe à la porte, je cherche, je demande. Il faut que je Le reçoive.» Voilà. Quelque chose se produit à ce moment-là, oh! lorsque vous présentez cette Parole-là.

106      Ecoutez ce que Satan a fait lorsque Jésus lui a présenté cette Parole. «Mais il est aussi écrit.» D’un bond, il s’est enfui de ce fil électrique-là, comme je le disais l’autre soir. Certainement.

            Quoi donc après que tu as vaincu? Comment vaincs-tu? Peux-tu le faire par toi-même? Non. Quelqu’un t’a précédé et a vaincu pour toi. C’est Christ. Je suis tout simplement héritier de cela. Je ne dois rien faire. Je suis héritier de la promesse. L’unique chose que j’ai à faire, c’est placer ma foi dans Sa promesse. Voyez-vous cela?

107      Frère Branham, est-ce que vous en êtes digne? –Non.–Pensez-vous que j’en sois digne?–Non.–Pensez-vous que l’évêque soit digne? –Non.–Y a-t-il un homme qui soit digne? –Non.–Eh bien, pourquoi?

            Vous êtes un héritier.

108      Si vous étiez l’ivrogne le plus invétéré du monde et que votre père vous ait laissé un million de dollars, que vous soyez digne ou non, son–son–son héritier est... c’est vous qui héritez de l’héritage de votre père. Quoi qu’il vous ait laissé, cela vous appartient. Que vous en soyez digne ou pas, il vous a laissé cela. Amen!

109      J’étais un pécheur, mais un héritier. Je n’étais pas bon, pas encore, mais je suis toujours un héritier. Je devrais mourir et aller en enfer, mais je suis un héritier. Je suis un héritier de quoi? De la Vie Eternelle. «Comment savez-vous que vous allez obtenir Cela?» Je sens Cela. Le Saint-Esprit L’a apportée. Jésus est ressuscité des morts pour que le Saint-Esprit vienne. Et maintenant, Il est venu, et Il témoigne et confirme exactement ce qu’Il a annoncé qu’Il ferait.

            Je suis passé de la mort à la Vie. Je suis devenu une nouvelle créature en Jésus-Christ. Je suis donc un héritier. Certainement. Eh bien, je suis en route. Amen. On a massacré des choses. Que signifient toutes ces choses que j’ai faites? C’est juste comme Myriam l’a fait. Regardez dans le passé, les voilà, morts, enterrés dans la mer de l’oubli, dans le Livre, le grand Livre de Dieu au Ciel. Ça se trouve là. Mon nom a été placé dans ce Livre, et a été scellé, il a été mis dans la mer de l’oubli et dans un nouveau Livre avec un nouveau nom écrit là dans la Gloire. Et c’est mien. Oui. Eh bien, nous sommes donc héritiers de toutes ces choses.

110      Alors comme... Quand Abraham... Qu’est-ce que Dieu a dit à Abraham? «Ce pays t’appartient. Ce qui s’y trouve t’appartient. Regarde à l’est, au nord, à l’ouest et au sud; tout cela t’appartient, tout ce qui est là. Je veux que tu viennes et que tu séjournes dans un pays étranger, et Je vais faire de toi l’héritier de ce pays. Je te donne ceci, à toi et à ta postérité après toi pour toujours.» Eh bien, Abraham, la seule chose qu’il avait à faire, c’était placer sa foi sur cette promesse, prendre son épée et partir. Quand le moment crucial est arrivé, il est allé là et Dieu a livré bataille pour lui. Et au cours de cette bataille qu’il a livrée, il a massacré les rois.

111      Le voici revenir (Amen!), tout était donc fini. Frère, il pouvait crier. Ecoutez tous les jeunes gens crier et louer l’Eternel. Voici venir Abraham; et qui est venu à sa rencontre? Melchisédek, le Roi de Salem. Et regardez ce qu’ils ont fait. Après que la bataille était terminée, ils ont pu s’asseoir et prendre le pain et le vin. Le Roi a sorti le pain et le vin. Pourquoi a-t-Il fait cela? Après que la bataille était terminée, après que la victoire avait été remportée, Ils pouvaient alors s’asseoir et prendre la communion ensemble, parler les uns avec les autres et prendre la communion ensemble. Oh! c’est ce que Dieu veut que Ses enfants fassent ce soir.

112      «Alors, qu’en est-il de vous, Frère Branham? Qu’en est-il de cette église à laquelle vous parlez?» Nous sommes la postérité d’Abraham; ils sont la Semence Royale d’Abraham. Nous sommes la semence d’Abraham par la promesse; au travers de Jésus-Christ, nous devenons la semence d’Abraham et nous sommes héritiers avec lui selon la promesse. Alors si Abraham était un héritier, je suis un héritier. Je suis héritier avec Abraham, et vous de même. Et comment cela est-il venu? Au travers de la Semence Royale d’Abraham, qui était Jésus-Christ, Celui qui était promis par la foi. Abraham a reçu un fils comme venant des morts. Et nous avons reçu le Fils, ce n’était même pas un fils, il n’y avait pas moyen qu’Il vienne ici, et Dieu L’a créé et L’a envoyé vers nous. Et Il est venu et a payé la rançon pour nos péchés, et par Sa mort, je suis devenu un héritier. Oh! la la! Vous y êtes. Et toute la méchanceté du diable est derrière nous. Gloire soit rendue à Dieu!

113      Vaincre, combien ont vaincu ce soir? Faites voir votre main: «Par la grâce de Dieu, j’ai vaincu.» Gloire soit rendue à Dieu! Vous savez ce que je pense que nous devrions faire maintenant même? Je viens à peine de commencer juste ici et je vous ai gardés la moitié de la soirée. Ayons un bon service de dédicace: consacrons de nouveau nos vies à Dieu. Combien ont envie de le faire? Oh! j’ai plus d’une personne maintenant, j’ai les deux mains levées, mon coeur aussi. Je veux que ma vie parle pour Christ. Je veux me consacrer de nouveau à Christ. Je veux que Sa volonté soit faite, et que la mienne soit placée derrière, et–et que Sa volonté soit faite. Je veux marcher comme un victorieux. Non pas parce que c’est moi, mais parce que je sais que l’Evangile qu’Il a prêché souffre aujourd’hui à cause des dogmes humains et dénominationnels et tout. La grande victoire que nous devrions avoir est retenue par l’ennemi. Ô Dieu, laisse-moi tirer cette Epée, qu’Elle soit brillante et étincelante, et que je puisse marcher en avant. Que ma volonté soit derrière, et que Sa Parole précède comme cela, comme une épée à double tranchant frayant la voie.

114      Mettons-nous debout maintenant et consacrons-nous de nouveau. Chacun de nous à sa manière, consacrez-vous au Seigneur. Levons les mains maintenant vers Dieu, chacun de nous.

115      Notre Père céleste, ce soir, nous nous consacrons à Toi au mieux de notre connaissance. Nous savons que nous sommes héritiers de toutes choses. Tu as promis cela, Seigneur Jésus, et nous croyons cela. Eh bien, nous ne serons jamais capables de faire cela à moins que Toi, Seigneur–à moins que nous-mêmes nous puissions placer notre foi sur Ta promesse. Eh bien, Tu as dit dans la Bible: «Celui qui mange Ma chair et boit Mon Sang a la Vie Eternelle, et il ne passera point en jugement, mais il passera–il est passé de la mort à la vie. Celui qui mange Ma chair et boit Mon Sang a la Vie Eternelle, et Je le ressusciterai au dernier jour.» C’est ça la promesse. C’est ce que Tu as dit. C’est ce que nous croyons.

116      Et Seigneur Dieu, ô Saint-Esprit, agis sur nous. O, agis, ô Dieu. Agis, oh Seigneur en nous. Esprit du Dieu vivant, reçois-nous, Seigneur. Au Nom de Christ, reçois-nous. Nettoie-moi, modèle-moi, façonne-moi, ô Dieu, à l’image du Fils de Dieu. Prends-moi, Seigneur, je suis à Toi. Je Te donne cette église. Je Te donne chaque âme ici présente, ainsi que la mienne, ô Seigneur. Maintenant, modèle-nous et façonne-nous, et fais-nous oublier nos mauvaises voies impies, et fais-nous savoir qu’aussi longtemps que nous plaçons notre–notre foi, la foi que nous avons dans la Parole que Tu as promise, Tu nous conduiras jusqu’au bout, de victoire en victoire. Tu as promis cela.

117      Satan ne peut pas nous faire du mal, Seigneur. Il peut tout faire, mais il ne peut pas nous toucher. Une fois, quand Tu l’as lâché sur Job, Tu as dit: «Ne lui ôte pas la vie.» Il a fait tout sauf la lui ôter. Mais il ne pouvait pas le faire, parce que Ta promesse était toujours là pour Job.

118      O Dieu! Tu es toujours le même Dieu aujourd’hui. Tu protèges les Tiens. Nous savons que c’est la vérité, et nous nous consacrons une fois de plus. Lave nos âmes pécheresses, Seigneur, alors que nous confessons notre foi. Et Jésus-Christ, reçois-nous. Et quand nous commencerons à prendre ce souper du Seigneur, ô Dieu, communie avec nous dans notre coeur. Dis-nous maintenant où nous avons tort. Montre-nous où nous avons tort, Seigneur. Nous nous repentons humblement pour cela. Humblement, je dépose mes péchés sur l’autel, Seigneur. Humblement, je me place moi-même sur Ta Parole, Seigneur, et je suis à Ta merci.

119      Me voici, Seigneur, fais de moi comme bon Te semble. C’est le cri de cette église, Seigneur: «Fais de nous comme bon Te semble.» Je peux seulement parler pour mon... pour moi-même, Seigneur, mais je crois que dans leurs coeurs ils croient la même chose. Fais de nous comme bon Te semble. Nous croyons. Nous voulons être des héritiers, et nous savons que nous sommes des héritiers tant que nous demeurons en Jésus-Christ. Nous sommes héritiers avec Lui devant le trône.

120      Maintenant, sois avec nous. Guéris la maladie au milieu de nous, Seigneur. S’il y a un corps malade ici ce soir, touche-le, guéris-le, rétablis-le. Accorde-le, Seigneur. S’il y a une âme malade, qu’elle soit guérie maintenant même. Puisse l’âme infirme être redressée. Puissent ces faibles genoux qui sont cloués au sol et ces faibles mains qui sont levées dans la gloire crier à Dieu. Que les sentiers tortueux soient redressés. Qu’il y ait une grande route dans le désert pour notre Dieu.

121      Seigneur, nous croyons que Tu viens bientôt, et laisse-nous proclamer Ta Parole, Seigneur, et frayer une grande route dans le désert, que les endroits tortueux soient redressés pour notre Seigneur. Extirpons toute racine dénominationnelle. Extirpons toute racine d’amertume, déracinons toute malice, toute envie, toutes les dissensions, afin que la véritable Parole de Dieu puisse couler comme des fleuves de joie. Accorde-le, Père. Nous nous abandonnons à Toi maintenant juste avant de prendre ce Souper du Seigneur. Au Nom de Jésus-Christ. Amen.

122      Pendant que la soeur Spencer a besoin de la prière pour son corps... Père céleste, cette pauvre petite femme consacrée qui se tient ici, il est dit, autrefois, quand Tu avais vu une femme infirme, Tu avais dit: «Cette fille d’Abraham ne doit-elle pas être délivrée le jour du sabbat?» Et maintenant, peut-être que la plupart de ses amis, Seigneur, les amis d’autrefois qu’elle recevait chez elle, ces ministres, pendant qu’ils étaient assis dans sa maison, ils sont donc déjà partis, la plupart d’entre eux ont déjà pris la grande route qui mène au Ciel. Elle est restée seule, Seigneur, comme un témoignage. Il n’y a personne maintenant sauf ses enfants, et peut-être un ami ici et là, Seigneur, parfois un parent. Mais elle se tient seule comme une grande forêt qui a été abattue par le vent, et un seul arbre est resté. Ô Dieu, je Te prie de baisser les regards...?... miséricorde, Seigneur, afin que ses racines s’enfoncent profondément. Et se tenant sur la colline du Calvaire, Seigneur, qu’elle soit enracinée et fondée dans la foi de Christ. Je pose mes mains sur cette chère et vieille femme et condamne cette nodosité qui se trouve sous sa langue, afin que cela la quitte et qu’elle soit rétablie au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse. Merci, soeur Spencer. Ce sera fait. Ne doute pas du tout. Très bien.

            Ma foi regarde à Toi,

            Toi, Agneau du Calvaire,

            Sauveur divin,

            Maintenant, écoute-moi quand je prie,

            Ôte tous mes péchés,

            Ne me laisse pas

            M’éloigner de Toi.

            Ecoutez, chantez avec moi maintenant

                 Quand je marche dans le sombre Labyrinthe de la vie,

                 Et que le chagrin m’environne,

                 Sois mon guide;

                 Ordonne que l’obscurité se change en jour,

                 Essuie les larmes de tristesse,

                 Oh, laisse-moi dès ce jour être tout à Toi!

123      Du fond de votre coeur maintenant, seul Dieu connaît cela. Du fond de votre coeur. Etes-vous vraiment sincère, en disant: «Laisse-moi dès ce jour, Seigneur, être tout à Toi»? Chantons cette dernière partie encore.

            Ne me laisse plus jamais

            M’éloigner de Toi.

124      Maintenant, tous ensemble. Ô Grand Berger du troupeau, Tu nous as enseigné que nous devrions prier comme ceci. [Frère Branham et l’assemblée prient ensemble.–N.D.E.] Notre père qui es aux cieux, que Ton Nom soit sanctifié. Que Ton règne vienne. Que Ta volonté soit faite sur la terre comme au Ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. Ne nous soumets pas à la tentation, mais délivre-nous du mal; car c’est à Toi qu’appartiennent le règne, la puissance, et la gloire aux siècles des siècles. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

125      J’offre une prière pour l’enfant de la soeur Shepherd. Cela m’est venu à l’esprit qu’ils avaient appelé il y a quelques temps pour qu’on prie pour cet enfant, et j’ai offert une prière pour lui. J’ai eu une entrevue avec les gens ici même et je n’ai pas pu passer à la maison. Mais on a dit que la petite fille était malade et qu’elle avait la fièvre, elle devenait un peu raide, c’était un... sans doute un virus qui sévit. Vous le savez. Quelquefois, les muscles s’étirent d’une telle manière que vous devez les masser avec les mains, comme madame Haley et beaucoup par ici. C’est un virus qui sévit. Et nous... Elle a offert une prière. Et j’ai dit que si l’enfant ne va pas mieux à neuf heures ou au moment où nous allons terminer le service, qu’elle appelle ici et nous viendrons. Si l’enfant va mieux, ok. Alors humblement, maintenant avant que nous prenions la communion, prions pour cet enfant.

126      Seigneur Jésus, ce petit enfant, je ne connais pas son âge, ni rien, mais c’est l’enfant de l’un de nos disciples bien-aimés d’ici, Seigneur, l’un de nos croyants, c’est l’enfant de la soeur Shepherd et du frère Shepherd, un petit joyau que Tu leur as donné, Seigneur. Nous Te prions de veiller sur lui, de le bénir, de le protéger, de le guérir et de le rétablir. Nous le réclamons maintenant même. Après ce message, nous réclamons cela. Nous le réclamons pour la gloire de Dieu, selon Sa Parole. Au Nom de Jésus-Christ, que la maladie libère cet enfant. Et puisse l’enfant être guéri et être en bonne santé pour la gloire de Dieu. Eh bien, cela a été dit, cela s’accomplira donc. Amen. Croyez-vous?

127      Si nous croyons et ne doutons pas, Il nous délivrera sûrement. Apporte tes fardeaux au Seigneur et laisse-les là.

                 Laisse-les là, oh, laisse-les là,

                 Apporte tes fardeaux au Seigneur et laisse-les là,

                 Si tu crois et ne doutes pas, Il te délivrera certainement;

                 Apporte tes fardeaux au Seigneur et laisse-les là.

                 (C’est tout ce que vous avez à faire.)

                 Si ton corps endure la peine et que tu ne peux recouvrer la santé,

                 Souviens-toi que le Dieu du Ciel répond à la prière;

                 Eh bien, Jésus connaît la douleur que tu ressens,

                 Il peut sauver et Il peut guérir;

                 Apporte tes fardeaux au Seigneur et laisse-les là...

            Maintenant, serrons-nous la main les uns aux autres pendant que nous chantons ce dernier couplet.

                 Laisse-les là, (la fraternité, vous savez, la communion) laisse-les là, (gloire soit rendue à Dieu.)

                 Apportes tes fardeaux au Seigneur et laisse-les là;

                 Si nous croyons et ne doutons pas, Il nous délivrera certainement;

                 Apportes tes fardeaux au Seigneur et laisse-les là.

128      Oh, n’est-Il pas merveilleux? Eh bien, eh bien, avec nos confessions, notre foi, la confession de nos péchés, mais croyant que tous nos péchés sont dans la mer de l’oubli... Celui qui confesse ses péchés, Dieu est juste pour les effacer. Voyez? Ils sont dans la–la mer du Sang de Jésus-Christ, on ne s’en souviendra plus jamais. Combien parmi vous les femmes savent ce que c’est qu’un décolorant? Vous toutes. Eh bien, prenons simplement une très grande cuve pleine de Clorox (c’est un décolorant), une très grande cuve pleine de Clorox, et puis prenez un petit compte-gouttes, et prenez une goutte d’encre noire de ce compte-gouttes; ce sont vos péchés. Tenez-vous juste là au-dessus de cette cuve, pressez le compte-gouttes et versez une goutte de cette encre dedans, puis regardez dans la cuve et essayez de retrouver cela. Qu’est-ce que cela devient? Que devient cette encre? Dès que celle-ci a touché ce décolorant, celui-ci était si puissant qu’il lui a enlevé toute la couleur; elle ne peut plus être retrouvée: Qu’est-ce? C’est parti, c’est éternellement perdu. Qu’est-ce? La–l’encre elle-même devient le Clorox. C’est le Sang de Jésus-Christ pour chaque péché confessé. Qu’est-ce? C’est oublié; c’est terminé; c’est fini; c’est omis; il y a divorce; cela est renvoyé. On ne peut plus s’en souvenir, on ne peut plus vous l’imputer.

129      [Une soeur parle depuis l’assemblée.–N.D.E.] Quelqu’un a cité mon nom quelque part. [La soeur témoigne qu’elle vient d’être guérie.] Eh bien, gloire au Seigneur. Alléluia! Merci, Seigneur. Nous remercions le Seigneur. Ô Dieu, combien nous Te louons pour Ta bonté. Oui, une petite âme humble là-bas est touchée, le Seigneur l’a touchée. Très bien. Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités.

130      Rappelez-vous, chaque Parole est une Ancre inébranlable et sûre. Il n’y a pas... Voyez? Placez simplement votre foi sur cela et ne bougez pas, restez tout simplement là. Eh bien, vous ne pouvez pas la placer là, puis la prendre et dire: «Je vais encore essayer.» Placez cela là. Restez juste là avec cela. Oui, oui. C’est comme l’a fait Abel, mourez à vos propres pensées. Dites simplement: «Ô Dieu, c’est Ta Parole, il ne s’agit pas de ce que moi je pense. Il s’agit de Ta Parole. Ça y est.» Et Abel est mort sur le Rocher. Et cela, Il vous touchera juste comme Il l’a fait avec la soeur là-bas. C’est si simple.

131      Nous devons faire cela... Nous ne le faisons pas. Satan essaie de rendre cela si compliqué, vous savez, il dit: «Oh! vous savez, ça, c’était pour un jour déjà passé» et tout. Il s’agit des incroyants.

132      Mais pour vous qui croyez, Il est précieux. Pas simplement un Seigneur dans le besoin, mais Il est une Pierre précieuse, qui vient vers une Pierre vivante, une Pierre précieuse, la principale de l’angle. Oh! la la! Oh! celui qui touche cette Pierre est guéri. C’est tout. Amen!

133      Maintenant, ne sommes-nous pas reconnaissants au Seigneur? Nous sommes simplement heureux, je suis si heureux que le Seigneur soit Dieu. Amen. Je suis si heureux qu’Il soit un tendre Père, plein de miséricorde, Il honore Sa Parole, Il tient Son Alliance, Il ne les oublie jamais. Il tient Son Alliance. Il doit le faire, Il est Dieu, Il a conclu Cela. Il est la Fontaine de toute la Vérité. Voyez? Il ne peut y avoir rien d’autre que la Vérité sans mélange tout le temps. Toute Parole qu’Il prononce est infaillible. Et ceci est Sa Parole. Et, ô Dieu, que ma foi en Cela soit infaillible (Amen!); alors elle peut devenir infaillible. Comme la Parole est infaillible, alors la Parole avec ce genre de foi va produire tout ce qu’ Elle dit qu’Elle va faire. Amen. Ainsi, purifie-moi, Seigneur. Eprouve-moi, purifie-moi, guéris-moi, protège-moi, bénis-moi, et accorde-moi Ta miséricorde, c’est ma prière à Dieu. Amen.

134      Maintenant, je vais donc lire une portion de la Parole qui se trouve dans 1 Corinthiens chapitre 11, verset 23.

          Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné; c’est que le Seigneur Jésus... dans la nuit où il fut livré, prit du pain, et, après avoir rendu grâces, le rompit, et dit: Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous; faites ceci en mémoire de moi.

          De même, après avoir soupé, il prit... il prit la coupe et dit: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez.

          Car toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’il vienne.

          C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement, sera coupable envers le sang–envers le corps et le sang du Seigneur.

          Que chacun donc s’éprouve soi-même, et qu’ainsi il mange du pain et boive de la coupe;

          Car celui qui mange et boit [indignement] mange et boit un jugement contre lui-même, car il ne discerne pas le corps du Seigneur. C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup de malades et d’infirmes... qu’un grand nombre sont morts.

          Si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés.

          Mais quand nous sommes jugés, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous ne soyons pas condamnés avec le monde.

          Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns avec les autres–attendez-vous les uns les autres.

135      Maintenant, puis-je dire ceci. Jésus nous a donné ce commandement avant qu’Il n’aille mourir, sachant qu’Il allait là, les disciples se demandaient toujours ce dont Il parlait, quand ceci fut écrit. Mais Il a dit: «Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang. Faites ceci toutes les fois que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez Ma mort jusqu’à ce que Je vienne.» Oh! ces précieuses Paroles...

136      Les disciples, sans doute, se demandaient: «Qu’est-ce qu’Il veut dire par annoncer Sa mort? Comment pouvons-nous faire ceci?» C’était tout un mystère pour eux, mais pas pour Lui. Il était Dieu. Il savait ce qu’Il devait faire. «Annoncer...» Ainsi, Il a dit: «Quand vous vous réunissez pour le repas...»

137      Bon. «Celui qui mange et boit la coupe indignement», c’est celui qui vient ici, qui professe être un chrétien, qui prend le corps du Seigneur et qui, ensuite, sort et vit avec le monde, et–et qui renie Christ, Sa puissance, et des choses pareilles, vous–vous amenez un grand opprobre sur Dieu. Vous–vous amenez effectivement de l’opprobre sur Christ, ainsi, ne faites pas cela. Mais si vous essayez avec tout ce qu’il y a en vous de vivre correctement et de montrer que vous êtes chrétien, que vous aimez Jésus-Christ, alors c’est votre devoir de le faire.

138      Et maintenant là dans... Je crois que c’est dans Saint Jean chapitre 6 que Jésus a dit: «Celui qui mange Ma chair et boit Mon sang a la Vie Eternelle; et Je le ressusciterai au dernier jour.» Eh bien, cette promesse, n’est-elle pas une chose glorieuse? «Je le ressusciterai.»

139      Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi vous êtes ici? Pourquoi–pourquoi allez-vous à l’école, vous les enfants? Pourquoi travaillez-vous, vous papa? Qu’est-ce qui fait que vous vous levez, vous mère, le matin et vous amenez les enfants à l’école, vous leur lavez le visage, vous arrangez le lit et faites la cuisine, et–et–et vous faites toutes ces choses, vous revenez fatiguée la nuit, et le jour suivant, vous recommencez la même chose? Pourquoi faites-vous cela? Pourquoi travaillez-vous dur en vous donnant beaucoup de peine, vous papa, et tout? Vous rentrez le soir, fatigué, et quand l’un des enfants tombe malade, vous faites les cent pas sur le plancher, vous pleurez, priez et vous vous battez, et il est guéri; et puis vous rentrez et vous faites cela. Et chaque dimanche vous leur lavez le visage et vous les amenez à l’église... Et, eh bien, pourquoi tout cela? Pourquoi est-il ici? Est-ce là tout ce qu’il y a? Oh! la la! Ça sera bien misérable, sachant que vous devez partir de toute façon. Voyez? Pourquoi tout cela?

140      Ô frère! C’est le temps de s’examiner, c’est le temps opportun. C’est l’occasion d’accepter Ceci. Dites-moi ce qui peut prendre Sa place. Dites-moi ce qui est mieux que Cela. Peu importe tout ce que vous pouvez faire dans ce monde, que vous soyez le roi de la terre, que vous dirigiez l’univers, que vous soyez un Khrouchtchev ou un Kennedy, ou peu importe qui vous voulez être, vous mourrez de toute façon. C’est vrai. Vous ne savez pas à quel moment cela viendra, cela viendra à n’importe quel moment. Mais ici, quand la mort frappe, si vous avez la Vie Eternelle, vous ne pouvez mourir, vous avez une garantie de la part du Dieu de toute la création, qui est le Maître du Ciel et de la terre. «Je le ressusciterai au dernier jour.»

141      Viens au secours de mon incrédulité. Ô Dieu! remplis mon âme; ô Dieu! purifie-moi, remplis-moi, charge-moi, envoie-moi. Ne me laisse pas mourir, laisse-moi vivre pour raconter l’histoire. Laisse-moi aller dans chaque coin et recoin de la terre prêcher la Parole et semer la Semence (oui, oui), afin qu’il y ait une moisson de la vraie Parole sans mélange, avec les croyants en Christ au dernier jour.

142      Ce soir, vos péchés sont-ils sous le Sang par la foi en Jésus-Christ? Nous allons maintenant prendre la communion. Non pas la communion; vous communiez quand vous mangez les uns avec les autres. Communiez simplement avec Dieu. La communion, ce n’est pas le pain, ce n’est pas le vin; la communion, c’est parler avec Dieu. C’est un symbole que nous prenons , qui signifie que nous croyons en Sa mort, le corps brisé, en Son ensevelissement et en Sa résurrection; nous croyons dans la Présence du Saint-Esprit. Et nous croyons qu’Il nous a donné la Vie Eternelle; et nous ne pouvons pas mourir; nous sommes passés de la mort à la Vie. Et un jour, quand nous nous séparerons les uns des autres, nous ressusciterons dans la résurrection les uns avec les autres, unis à Jésus-Christ en tant qu’un Corps. Amen. Sur cette base, et sur base de la confession de mes péchés, et de ma foi dans le Fils de Dieu, je me présente moi-même ainsi que cette église et nous venons devant ces commandements que Dieu nous a laissés afin de les observer, pour annoncer Sa mort jusqu’à ce qu’Il vienne.

143      Jésus a dit: «Ceci est Mon corps qui a été rompu pour vous; faites ceci en mémoire de Moi.»

144      Notre Père céleste, après que nous avons confessé nos péchés, que nous avons écouté Ta Parole, après que nous avons confessé que nous sommes indignes, et que nous croyons seulement dans les mérites du Fils de Dieu... Nous sommes des créatures indignes. Pardonne-nous, Seigneur, pour tout ce que nous avons fait. Et maintenant, par la foi, nous nous approchons de la table du Seigneur. Et maintenant, comme ce pain est présenté pour représenter le Corps de notre Seigneur, je Te prie, ô Père, de le sanctifier pour le but pour lequel il a été préparé. Et puisse chaque personne qui participe à ceci avoir la Vie Eternelle dans son âme. Et puisse chaque personne qui prend ceci être guérie dans son corps et vivre le temps que Tu lui as fixé. Et puisse-t-elle Te servir tous les jours de sa vie et être ressuscitée au dernier jour à la résurrection pour être rassemblée avec les tribus de la terre qui sont rachetées par le Sang de Christ. Accorde-le, Seigneur; au Nom de Jésus, nous le demandons. Amen.

145      La Bible dit: «De même après avoir soupé, Il prit la coupe et dit: Cette coupe est la nouvelle alliance, toutes les fois que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’Il vienne.»

146      Père céleste, ce soir, nous tenons devant Toi les fruits de la vigne, ce vin. Et nous Te prions, Père céleste, de sanctifier ce vin; ce vin qui représente le Sang qui a été répandu pour nous au Calvaire. Au travers de ce Sang, nous avons la rémission de nos péchés, par la foi dans l’oeuvre accomplie de Jésus-Christ. Pardonne-nous nos–toute notre incrédulité, Seigneur, donne-nous la foi et la compréhension, et fais de nous Tes serviteurs, Seigneur, afin que nous puissions Te servir tous les jours [de notre vie.] Sois avec nous, Père, alors que nous nous rassemblons autour de cette table, et bénis-nous dans cette belle fraternité et communion avec Toi. Et puisses-Tu parler à nos coeurs et nous montrer l’oeuvre que nous devons accomplir. Accorde-le, Seigneur. Sanctifie ce vin pour le but pour lequel il a été préparé. Au Nom de Jésus-Christ, nous le demandons. Amen.

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