La Communion

Date: 62-0519 | La durée est de: 1 heure et 14 minutes | La traduction: Shp
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1          Restons debout juste un instant pour un mot de prière pendant que nous avons nos têtes inclinées. Notre Père céleste, alors que nous nous approchons de Toi ce soir, Seigneur, en ce temps de communion, nous Te remercions pour le Sang de Jésus-Christ et pour ce moment de communion. Maintenant, il y a des mouchoirs déposés devant moi, qui ont été envoyés ici, Seigneur, à la convention. Ils représentent des nécessiteux. Et la Bible nous dit qu’on prenait des mouchoirs et des linges qui avaient touché le corps de saint Paul, et les esprits impurs quittaient les gens, et les malades étaient guéris. Nous savons que nous ne sommes pas saint Paul, mais Toi, Tu es toujours le même Dieu. Et aujourd’hui, Tu as pourvu à une voie, car Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Nous Te prions de guérir ces gens.

2          Et puisse... comme l’a dit un écrivain, quand la mer Morte empêchait Israël d’aller à la Terre promise, Dieu a baissé le regard courroucé à travers la Colonne de Feu, la mer a été effrayée et a reculé, et Israël a poursuivi le voyage. Ô Dieu, je prie que, quand ces mouchoirs seront posés sur le corps des malades, Dieu puisse regarder non seulement à travers la Colonne de Feu, mais à travers le Sang de Son propre Fils, qui agit, et que la maladie recule, cède à la puissance guérissante de Christ. Bénis cette convention, Seigneur, alors qu’elle se termine ce soir. Nous Te prions de nous visiter puissamment, comme Tu le fais, et de nous accorder de Tes bénédictions. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3          Que le Seigneur accorde Ses bénédictions. J’ai été beaucoup ému par le–le compliment que m’a fait tout à l’heure frère Carlson. Combien j’aurais voulu prendre du temps pour dire certaines choses à ce sujet. Mais je sais que vous avez été... Aujourd’hui pendant la convention, il y a eu beaucoup de sermons, et de grands prédicateurs vous ont apporté beaucoup de sermons. Et je–je les apprécie tous. Je sais que vous êtes fatigués maintenant, vous allez bientôt rentrer chez vous et que peut-être demain, vous irez à vos églises. Alors, je–je ne prendrai pas beaucoup de votre temps. Mais comme frère Carlson, en une si noble déclaration...

4          Hier soir, en partant d’ici, j’ai entouré Joseph de mes bras, j’ai dit: «Qu’y a-t-il avec moi?» L’autre jour, je demandais à ma femme: «Suis-je fou?» Je ne peux pas m’empêcher de dire ces choses. Il y a Quelque Chose en moi qui fait sortir cela. Et je–je n’y peux rien. C’est Quelque Chose, c’est... Je regarde tout autour et à l’église. Cet après-midi, au motel où je reste, un groupe de gens ivres est entré, des femmes et des grand-mères en shorts, en habits immoraux, ils buvaient et fumaient. Et je–je me suis dit: «Ô Dieu, pourquoi devrais-je parler à mes soeurs tel que je le fais, alors que je n’aimerais pas le faire? Mais pourquoi devrais-je faire cela?» Et regardez-moi ça. Et tout aussi doucement, pas une voix audible, mais Quelque Chose en moi a dit: «Je ne veux pas que Mes enfants soient comme ça.» Vous y êtes. Voyez? Vous êtes un peuple différent. Quand je L’ai vu dire... j’ai entendu cela dans mon coeur: «Je ne veux pas que Mes enfants...», cela m’a réjoui. «Mes enfants...» J’aime l’Eglise. C’est pour Elle que Christ est mort, l’Eglise. Et je crois dans l’Eglise. Mais certaines histoires qui se passent dans l’église, alors qu’on prêche constamment contre cela et qu’on apporte la Parole contre cela, et puis, voir l’église tâtonner toujours là-dessus, c’est...

5          Voyez, franchement, je sais que je suis taxé de tout, d’un archange à un démon. Je suis votre frère. Je suis votre frère. Et ces choses peuvent être dites à mon sujet. Je ne peux rien à ce qui est dit. Je dois être honnête. Comme Paul, je veux dire: «Je n’ai point résisté à la vision céleste» qui m’est apparue alors que j’étais un garçon. Et depuis lors, le Seigneur a oeuvré... avec confiance en Dieu et foi en Christ.

6          Il y a quelques semaines... c’était plutôt la dernière fois que j’étais à Chicago, j’apprenais que les Hommes d’Affaires avaient organisé un petit quelque chose de panoramique avec différents prédicateurs de la ville. Et alors, je devais parler à la–à la...?...sa dernière partie, à une–à une réunion de ministres. Et je me préparais pour un grand jubilé gastronomique spirituel, je pense que je pourrais ainsi l’appeler. Et une nuit, environ trois ou quatre nuits avant le... ait lieu, j’étais dans une chambre d’hôtel. Des éclairs jaillissaient; il y avait une tempête. Je venais de rentrer de la réunion; il était environ une heure du matin. Il a dit: «Va à la fenêtre.» Il y avait là cette Lumière qui brillait dans la chambre, vous En avez la photo et vous En savez quelque chose. Il a dit: «Va à la fenêtre et tiens-toi près de la troisième planche.»

7          Et je me tenais là, regardant dehors. Et Il a dit: «Ils t’ont tendu un piège. Mais ne t’en fais pas, Je serai avec toi. Dis à M Carlson (qui est ici présent) et à l’autre homme qui sera avec lui, ce sera Tommy Hicks, qu’ils n’obtiendront pas cet auditorium sur lequel ils comptent. Ça se passera ailleurs, dans une salle brune. Et quand ils y entreront, un homme de couleur sera assis à ta gauche.» Et puis, Il m’a montré là où chacun s’assiérait. Il a dit: «Dis donc cela. Tu rencontreras M Carlson demain pour le petit-déjeuner.» Il est assis ici. Et dans la chambre, le Saint-Esprit a tout décrit en détails. Et cette réunion, on a décommandé sa tenue à l’endroit où elle devait se tenir. Ils ont dû louer une autre salle. Et quand ils sont tous entrés, chacun s’est assis exactement à sa place. Frère Carlson est là. Il ne dit jamais autre chose que la vérité, tout à fait vrai. Et j’ai dit à l’association des ministres: «Je sais ce que vous me reprochez. C’est au sujet de mon enseignement sur Christ. Maintenant, je vous ai entendus vous présenter comme Dr Untel et Dr Untel. Je n’ai même pas l’instruction de l’école primaire. Mais j’aimerais que quelqu’un parmi vous tous qui soutenez que cet enseignement est faux... qu’il soit docteur, prenne sa Bible, vienne se tenir ici à côté de moi devant ces ministres; sinon, cessez désormais de me critiquer.» Voyez? C’est exact. «Si c’est pour votre gagne-pain, alors ne cherchez pas à en discuter avec moi. J’ai une seule chose: c’est plaire à Christ et à Sa Parole, et c’est là le but de ma vie.»

8          Et, mes amis, ce n’est pas facile, quand vous aimez les gens, d’avoir pourtant à les tailler en pièces. Vous n’en avez pas l’intention. Mais comment un homme qui va prêcher par inspiration peut-il dire autre chose que ce qui lui vient par inspiration? Si jamais je dis quelque chose de contraire à la Parole, attirez donc mon attention là-dessus. En effet, maintes fois, parmi les gens, quand je suis dans des réunions des conventions, je ne prêche que les grands principes de la doctrine évangélique. Des fois, j’essaie de parler contre le péché, et je réprimande des choses pareilles que je vois les gens faire, ils cherchent à vivre comme le monde tout en prétendant toujours être chrétiens. C’est la plus grande pierre d’achoppement que l’église ait jamais connue, une chose comme cela. Nous devons être soit dedans, soit dehors. Nous sommes... mais pas prétendre quelque chose que nous ne sommes pas. Ainsi donc, cela rend la chose très difficile.

9          Il y a quelque temps, un ami m’a écrit une lettre. Il y avait quelqu’un à–à ses côtés qui a dit: «Frère Branham est un prophète quand il est sous l’onction. Mais, a-t-il dit, ne suivez pas son enseignement, il est erroné.» Eh bien, pouvez-vous vous imaginer une personne dire cela? Un prophète? Eh bien, c’est celui à qui vient la Parole du Seigneur. Ils avaient... Ils étaient les seuls à avoir l’interprétation de la Parole. Je ne suis pas un prophète. Je ne prétends pas en être un. Mais je dis... Tout le monde devrait admettre que la Parole de Dieu est vraie, n’est-ce pas? sans se soucier de la manière dont nous devons nous tailler... Nous ne pouvons pas tailler notre–notre... Nous devons nous tailler pour convenir à la Parole de Dieu. Nous ne pouvons pas tailler notre–notre... la Parole de Dieu pour qu’Elle s’adapte à nos pensées. C’est nous qui devons nous conformer à la Parole. Il n’y a pas longtemps, quelqu’un est venu et a dit: «Cette doctrine, ce que vous croyez, a-t-il dit, si c’est l’Ange du Seigneur qui vous l’a dit, nous le croirons.» Un groupe de prédicateurs. J’ai dit: «L’Ange du Seigneur? S’Il disait autre chose, je ne le croirais pas.»

10        Comment pouvez-vous vous appuyer sur une expérience, ou une quelconque sensation? Le diable peut imiter toute sensation que vous pouvez–vous pouvez manifester. J’ai vu tous ces trucs. J’ai vu des gens... J’ai vu des païens danser dans l’esprit, parler en langues, boire du sang dans un crâne humain et invoquer le diable. J’ai vu des gens crier, puis entrer... Les musulmans se transpercent les doigts avec des échardes jusqu’à ne même plus les sentir; ils prennent une lance, se transpercent le visage comme cela, ils crient, hurlent et louent leur dieu. Vous appelez cela Dieu? Je les ai vus se transpercer avec des hameçons, y suspendre des ballons d’eau comme cela et faire des va-et-vient dans un feu de quinze pieds [4,5 m] de profondeur et de quatre pieds [1,2 m] de large comme cela, sans aucune brûlure de feu, même pas l’odeur de brûlure. Vous appelez cela Dieu? Certainement pas. Dieu est la Parole. «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu.» Et la Parole est toujours Dieu. Comment allons-nous juger?

11        Ma propre mère, qui s’en est allée au Ciel il n’y a pas longtemps, disait: «Billy, tu as été pour moi un soutien dans des choses spirituelles, je... et tu as pris soin de moi et tu as veillé de telle manière que je n’ai pas souffert de faim.» J’ai dit: «Maman...» Nous sommes de souche catholique. Nous savons cela, étant des Irlandais. J’ai dit: «Quand j’étais un jeune homme et que je n’avais pas reçu l’appel de Dieu...» Nous ne fréquentions aucune église, aucun de nous; je n’avais jamais de ma vie été dans une église, je pense, jusqu’à ce que je sois devenu un homme. Et j’ai dit... Je suis allé à l’église catholique, et ils disaient: «C’est nous l’église.» Je vais à l’église luthérienne, ils disent: «C’est nous l’église.» Chez les baptistes: «C’est nous l’église.» Eh bien, laquelle est l’église? Il y en a neuf cents et quelques. Personne ne peut fonder sa foi sur cela. Personne ne peut fonder sa foi sur une sensation. Il n’y a qu’une seule chose vraie, et c’est la Parole de Dieu. «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point.»

12        Ève avait juste mal interprété, ou plutôt Satan avait juste mal interprété pour Ève juste une petite portion de la Parole de Dieu, juste une toute petite partie, et c’est ce qui est à la base de tous ces ennuis. Est-ce exact? Chaque mort, chaque–chaque bébé, chaque bébé hydrocéphale, chaque estropié, chaque–chaque mort, chaque cimetière, et tout, c’est à cause du doute d’une seule personne à la Parole de Dieu, d’une petite chose pervertie. Et si Dieu n’a pas laissé qu’on s’en tire alors avec ça, à combien plus forte raison maintenant? Nous allons en venir à la Parole, ou nous n’arriverons pas du tout. C’est vrai. Vous pouvez donc vous imaginer, des gens aimants et aimables, ce que ça coûte de se tenir là sans penser à ce qu’on va dire, et voir l’Esprit marteler ces choses, mais cependant, vous êtes réconforté de ce qu’Il est avec vous, de Le voir venir accomplir des choses. Je peux prendre... Tout celui qui pense que je suis un diseur de bonne aventure, un devin, savez-vous que c’est la raison même pour laquelle on a tué Jésus? C’est cela même la raison; en effet, Il connaissait leurs pensées et tout.

13        Si je lisais les pensées ici hier soir, je–j’aurais eu un tel... Si le Saint-Esprit m’avait permis de parler hier soir de certaines choses qui se passaient, vous m’auriez chassé de cette contrée. Les gens vous tapotent au dos et disent: «Frère», mais ils pensent que vous êtes un diseur de bonne aventure. Ne pensez-vous pas que je sais cela? Je ne peux pas avoir l’Esprit de Dieu et manquer de le savoir. «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais, et il en fera davantage. Je M’en vais au Père.» Voyez-vous ce que je veux dire? Prions.

14        Père céleste, laisse que le Saint-Esprit nous parle maintenant dans ces quelques paroles qui vont suivre. Ô Dieu, je prie que personne ne manque au jour du Jugement, que nous soyons tous là, et tous couverts du Sang du Fils de Dieu. Pardonne-nous nos offenses. Nous T’avons entendu dire une fois, quand Tu nous apprenais à prier, et Tu en es arrivé à ce point: «Pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés.» Alors, Tu t’es arrêté et Tu as dit: «Si vous ne pardonnez pas du fonds de votre coeur à chaque homme ses offenses, votre Père céleste ne vous pardonnera pas non plus.» Nous voyons donc dans quelle situation nous sommes. Ô Dieu, j’espère vivre jusqu’à voir le jour où je pourrais voir l’Eglise du Dieu vivant toute en rangs comme une grande armée de Christ, toute couverte du Sang, chaque soeur et chaque frère, saint, avançant dans la puissance de la Parole de Dieu. Tu as dit que Tu remplacerais tout ce que les jéleks, les sauterelles, les hasils avaient dévoré. Je crois que Tu le feras, Seigneur. Je prêche que Tu le feras, et j’espère le voir dans mon âge. Sinon, je sèmerai la Semence de Ta Parole. Et alors, quand le Saint-Esprit descendra, Il va... Nous savons que les justes... que la pluie tombe sur les justes et sur les injustes. La même pluie qui arrose le blé arrose les mauvaises herbes. Mais, Père Divin, accorde-nous, durant notre vie, se ne semer que la véritable Semence de Dieu. Alors, quand l’Esprit viendra et descendra sur Elle, qu’Elle reproduise Jésus-Christ, un fils ou une fille de Christ. Je le demande au Nom de Jésus. Amen.

15        Que Dieu vous bénisse tous richement. Que mes bénédictions soient avec vous, que ma paix soit sur vous. Et je ne... J’espère et je crois qu’un jour, dans une grande... si ce n’est plus sur cette terre-ci, sur la terre à venir, quand nous serons appelés à rencontrer Christ et que la trompette aura sonné, que les morts en Christ seront ressuscités, et que nous aurons formé ensemble une grande unité pour aller à Sa rencontre. J’aimerais juste parler pendant... J’ai ici une montre que je peux régler pour arrêter cela exactement après trente minutes, et–et ce sera à 10 h pile. Et Dieu voulant, j’aurais terminé en ce moment-là. Juste un moment de votre temps, si vous en épargnez, juste un peu...

16        Eh bien, demain après-midi, pour vous de Chicago, amenez vos malades et vos affligés. Demain après-midi, au Mather, il y aura un service de guérison. C’est exact, Frère Carlson, n’est-ce pas? J’ai demandé à frère Joseph si ce serait en ordre, et il en était bien sûr; c’est donc en ordre. Et puis, le lundi, il y aura le rassemblement missionnaire pour frère Joseph, ce gentil petit homme que nous aimons tous. Je venais de parler à un frère ici pour... Je pense que c’est lui qui m’avait amené chez frère Aegery l’autre fois-là, Aegery, quand j’avais reçu de sa part une lettre très tranchante, et le Seigneur nous avait donné ces merveilleuses Paroles. Et je pense que peut-être quarante personnes ou plus avaient reçu le Saint-Esprit là à l’université luthérienne. Pouvez-vous vous imaginer cela? Mais quand il est arrivé à... Il pensait que c’était un fin devin ou quelque chose comme cela. Mais quand il était devenu assez honnête pour s’asseoir avec la Parole de Dieu, alors Cela lui a été apporté. Et ça a changé.

17        Maintenant, je vais lire dans Saint Jean, chapitre 1 de... pas Saint Jean, excusez-moi, dans 1 Jean, chapitre 1, 1.7. Lisons tout ce verset.

          Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus-Christ son Fils nous purifie de tout péché.

            J’aimerais juste parler un moment sur cette pensée: La Communion. Celle-ci étant une convention, nous savons tous qu’une convention est un moment de communion. Et nous avons... J’aime communier. J’aime venir à une réunion de communion où nous pouvons communier. (Et vous me permettrez, après avoir lu mon texte, de faire un compliment à un frère qui est assis ici, frère Tommy Nichols. Je suis très content que vous ayez imprimé cet article ou–ou...dans le... votre magazine Voice des Hommes d’Affaires, sur la vision du ravissement au Ciel; vous l’avez fidèlement transcrit. Merci, Frère Tommy. Que Dieu vous bénisse pour cela.)

18        Maintenant, la communion. A propos de la communion, tout le monde en a besoin. Ce soir, là au motel, ils avaient la communion. C’était quoi? Autour d’un verre. Ils avaient... Ils sont allés prendre quelques bouteilles de bière de plus aux bars, et ils étaient tous là, grands-mères et grands-pères, buvant et commettant des actes si immoraux que j’ai dû, dans cette chambre chaude, baisser les fenêtres et les fermer, pour ne pas entendre des tapages. Et il me semble que, puisque nous vivons dans une nation chrétienne, cela ne devrait même pas être autorisé. Mais je vous dis une chose: vous, mettez-vous à hurler et à crier, et voyez combien de temps cela durera. Quelque chose sera absolument très vite dit à ce sujet. Pourtant, nous sommes dans une Amérique chrétienne. Je suis resté en chambre. Aujourd’hui, je suis allé prendre mon dîner dans un petit restaurant. Si jamais je revenais ici, c’est là que j’irai prendre mon dîner si je peux y accéder et me trouver une chambre quelque part. Je suis allé prendre mon dîner dans un petit restaurant et, honnêtement, ils avaient ce drôle de boogie-woogie, vous savez, le rock-and-roll.

19        Je suis missionnaire. Je viens... J’ai été dans... là loin chez les Hottentots, là, dans les jungles d’Afrique. J’ai entendu cela là-bas, mais je n’aurais jamais pensé que j’entendrais cela en Amérique. Et ça continuait là. Et eux tous faisaient des histoires. J’en avais vraiment la nausée. Et Billy et moi, nous nous sommes levés pour partir, et nous sommes allés ailleurs. Et–et là, il n’y en avait pas. J’ai dit: «Jette un coup d’oeil dedans, s’ils ont un de ces drôles de petits juke-box, nous n’entrerons pas. Laisse simplement ça de côté.» Une fois, dans un voyage, j’ai amené ma famille dans un restaurant. On jouait ça. Je me suis avancé là, j’ai dit: «Monsieur, je suis missionnaire, et chaque sou que j’ai reçu m’est utile. Mais j’ai amené ma famille avec moi, et nous avons tous faim. Nous avons passé environ trois heures à chercher un restaurant. Je vais vous donner un billet de cinq dollars si vous débranchez cela jusqu’à ce que je finisse de manger.» Ça lui a tellement fait honte qu’il a dit: «Gardez simplement vos cinq dollars. Si vous avez eu assez de courage, a-t-il dit, laissez simplement tomber ça.» C’est ça, donc. Oh! Amérique chrétienne, bien sûr. Oui, Amérique chrétienne! Nous avons tout essayé. Ils ont communion autour de ce genre de choses. Les corbeaux ont communion sur une charogne. Mais les colombes se nourrissent de la nourriture de colombe. Elles ont communion dans le champ de blé. Ainsi donc, cela dépend de ce qu’est votre... ce que vous êtes. Une colombe ne peut pas... Eh bien, elle ne peut pas communier avec les corbeaux et les vautours, parce qu’elle n’a pas de bile; elle n’a pas d’amertume. Elle ne peut pas se nourrir de cela. Cela la tuerait. Et un chrétien ne peut pas communier autour de ce genre de choses. Cela tuerait l’Esprit même qui est en lui, attristerait le Saint-Esprit et Le ferait partir.

20        Aujourd’hui, nous cherchons à gagner l’amitié des nations. Nous dépensons des milliards de dollars, nous les donnons à des nations étrangères pour gagner leur amitié, et le communisme se répand dans tout le pays, malgré tout. Voyez? Il n’y a pas longtemps, eh bien, nous avions connu une guerre ici. Et certaines munitions qui nous ont été tirées dessus avaient été fabriquées aux USA. Voyez, nous cherchons à leur envoyer le surplus et des choses comme cela, mais en revanche, ils nous tirent cela dessus. Ce n’est pas ainsi que vous pouvez gagner l’amitié. Vous ne le pouvez simplement pas. Eh bien, nous avons ensuite essayé d’apprendre aux gens à fraterniser. Il n’y a aucun moyen d’apprendre aux gens à fraterniser. Vous vous éloignez tout le temps. L’église a perdu ses droits d’aînesse quand elle a adopté l’instruction à la place du salut, pour essayer d’amener les gens à connaître Christ. Ils ont cherché à s’organiser en dénomination pour avoir communion. Vous ne pouvez pas y arriver, parce que vous tracez une limite et vous excluez les autres. Vous ne pouvez pas y parvenir. Il n’y a aucun moyen de–de communier dans les dénominations. Vous ne serez jamais capable d’y parvenir, car chaque dénomination...

21        Ce Conseil mondial des Églises, eh bien, ils se combattent. Ils se coupent la gorge. Comment peuvent-ils donc avoir communion alors que les gens qui sont là-dedans ne croient même pas en Dieu? Les incroyants et tous les autres, comment pouvez-vous... Jésus a dit: «Deux hommes marchent-ils ensemble sans en être convenus?» Comment pouvez-vous y parvenir? Il n’y a qu’un seul moyen pour vous de marcher avec quelqu’un d’autre, c’est en vous accordant avec lui. Comment donc allez-vous vous séparer en dénominations et être en accord, alors que l’un est séparé de l’autre? Et cependant, Dieu veut que nous ayons communion. Il y a en nous quelque chose qui suscite la communion. L’homme a toujours désiré en avoir. Mais il a toujours cherché à y parvenir par sa propre connaissance, comment la susciter. Et il ne pourra jamais y parvenir.

            Il y a un seul lieu pour une véritable communion, et c’est sous le sang versé de l’innocent. C’est l’unique moyen pour nous de l’avoir. Nous pourrions avoir communion si toutes les églises étaient luthériennes. Si toutes les églises étaient baptistes, ou autres, nous pourrions avoir communion sous les auspices dénominationnels. Mais nous les lecteurs de la Bible, nous savons que ces choses nous mettent en désaccord.

22        Or, l’unique chose sous laquelle nous pouvons avoir communion, comme nous sommes assis ici ce soir: Méthodistes, baptistes, luthériens, presbytériens, que sais-je encore, c’est quand nous sommes sous le Sang versé de l’Innocent. C’est ce que Dieu avait exigé, et Dieu ne change jamais Son plan. Une fois que Dieu prend une décision, Il doit toujours s’en tenir à cela. Eh bien, Il est infini. Nous, nous ne sommes–nous ne sommes pas infinis. Nous sommes–nous sommes des êtres mortels; par conséquent, nous sommes limités. Nous ne pouvons donc pas être–être infinis. C’est ainsi donc que nous faisons des promesses, vous faites des promesses; on a à les briser. Vous faites quelque chose aujourd’hui, et demain, vous connaissez davantage là-dessus, vous pouvez donc améliorer cela demain. L’année prochaine, vous le ferez encore mieux que l’autre jour, parce que vous apprenez davantage là-dessus; en effet, nous sommes limités, limités à–à ces trois petites dimensions dans lesquelles nous vivons. Mais Dieu est infini. Par conséquent, Dieu peut parler une fois et ce... Sa décision est parfaite, et elle ne peut jamais changer. C’est pourquoi: «Ma foi ne repose sur rien d’autre que le Sang de Jésus et Sa justice. Quand tout cède autour de mon âme, alors Il est tout mon espoir et tout mon soutien. Car, sur Christ, le Roc solide, je me tiens: tout autre terrain n’est que sable mouvant.»

23        Et Christ est la Parole. Il est la Parole. Sur... Il a dit: «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point.» Aucun mot de Cela ne peut faillir, parce que C’est la Parole de Dieu. Vous ne pouvez pas... Dans le dernier Livre, l’Apocalypse, il est dit: «Si quelqu’un En retranche une Parole, ou Y ajoute une parole, il sera retranché... sa part sera retranchée du Livre de la Vie.»C’est pourquoi tout credo, n’importe quoi d’autre, qui ajouterait quoi que ce soit à la Parole de Dieu, ou En retrancherait Quoi que ce soit, c’est la mort que de faire cela, comme il en était d’Ève au commencement. C’est passible de mort d’enlever ou d’ajouter. Recevez Cela tel que c’est dit. La Bible dit: «Elle ne peut être un objet d’interprétation particulière.» Elle est déjà interprétée. Lisez-La simplement et croyez-La. Dieu veille sur Sa Parole pour L’accomplir. C’est donc sur Sa Parole que nous devons nous tenir.

24        Donc, le seul lieu... Par conséquent, en croyant Sa Parole, le seul lieu, c’est sous le Sang versé, c’est le lieu de communion, où tous peuvent se réunir et éprouver le même sentiment; en effet, c’est sous ce seul lieu qu’il y a du Sang versé. Or, fonder votre foi sur autre chose que la Parole de Dieu, c’est du sable mouvant. Peu importe ce que c’est, c’est toujours du sable mouvant. Ça doit être la Parole. C’est vrai. C’est ce que nous croyons. C’est pourquoi j’ai la foi pour croire que tout ce que Dieu a promis... Eh bien, je dis que Dieu peut faire des choses qui ne sont pas écrites dans la Parole. C’est vrai. Mais tant que... cela m’étonnerait absolument. Mais tant qu’Il me donne ce qu’Il a promis Ici, je serai satisfait juste avec ce qu’Il a promis. Alors, je suis sûr d’être dans le vrai. Accrochez-vous à Sa Parole. Sa Parole ne peut changer. Car, si Elle peut changer, alors Dieu peut changer; si la Parole peut changer. Si la Parole mérite d’être modifiée, alors Dieu n’est pas Dieu.

25        Puisque Dieu a rencontré un homme et qu’Il a sauvé ce premier homme, Adam, sur base de sa foi dans le sang versé, Il doit toujours garder le même procédé. Sinon, Il avait mal agi quand Il avait pris Sa première décision. Si Dieu a sauvé l’homme, et l’unique moyen par lequel Il l’a sauvé, c’était par le sang versé d’un agneau innocent, si c’est sur cette base-là que Dieu a décidé de sauver l’homme, tout... Si jamais Il change cela en un credo de quelqu’un, ou d’une église, ou un quelconque dogme, alors Dieu avait pris une mauvaise décision dans le jardin d’Eden. Car le premier homme qu’Il a jamais sauvé, Il l’a sauvé sur base de la foi de ce dernier dans le sang versé d’un agneau innocent. C’était le seul lieu où il pouvait venir. Dieu a choisi un lieu, Il a appelé Adam et Ève, Il a versé le sang d’un innocent et les a couverts d’une substance issue de cet innocent, le sang était sur eux. C’était sur cette base que cet homme-là a pu parler à Dieu, entendre Sa Parole et recevoir Sa Parole; c’était sous le sang versé.

26        Et le seul moyen pour les hommes, ou les églises, ou les gens, de jamais savoir l’exacte vérité sur Dieu, c’est de passer sous le Sang versé de l’Innocent et aller jusque dans Sa Présence. Alors, l’Esprit qui viendra sur vous témoignera que cette Parole est vraie, chaque Mot de Cela, et Elle n’a besoin d’être corrigée nulle part. C’est vrai. Elle–Elle doit rester Telle quelle, car Il est Dieu et Sa décision doit être parfaite, et éternellement parfaite. Examinons cela pendant quelques instants. Pour commencer, vous savez, mes trente minutes se seront envolées sans que j’aie commencé. Bon. Et sous le sang versé... Eh bien, nous savons que le plus ancien Livre de la Bible, c’est Job, le plus ancien Livre écrit. Il a été écrit avant que Moïse écrivît la Genèse. Il est dit qu’Il a été écrit avant que Moïse ait écrit la Genèse, plutôt.

27        Maintenant, remarquez. Job, un homme juste, un homme pieux. Un jour, tout était contre lui. Satan a eu l’idée de l’amener à renier Dieu. Et alors, Job... J’aime lire Job. Beaucoup disent que c’est une devinette. Non. C’est la Parole de Dieu. Jésus s’est référé à Job: «N’avez-vous pas entendu parler de la patience...»Peu importe ce qui se passait, combien il était persécuté, combien il était considéré comme quelqu’un qui avait pris une mauvaise voie, Job est resté parfaitement avec la Parole. J’aime ça. Il se disait: «Peut-être que mes enfants ont péché. Je vais offrir un sacrifice pour eux.» Or, tout ce que cet homme savait, c’était l’holocauste. C’était ça, l’exigence de Dieu. Et parfois, parce qu’un malheur arrive à un chrétien, beaucoup se disent: «Oh! Il est en dehors de la volonté de Dieu. Ils ont abandonné l’église; ils se sont égarés...?...» Parfois, ce n’est pas vrai, parce que Dieu châtie chaque fils qui vient à Lui. Il le nettoie, le purifie et l’éprouve, pour voir s’il tiendra bon. C’est ce qu’Il faisait dans le cas de Job.

28        Une fois, j’ai prêché sur Job pendant environ six mois quand j’étais pasteur. Il y avait une dame qui était assez franche... J’ai amené Job sur ce tas de cendres, il était assis là dehors, vous savez, tout couvert d’ulcères et tenant un tesson, se grattant les ulcères. Alors, cette dame a dit: «Frère Branham, n’allez-vous jamais relever Job de ce tas de cendres?» Cela faisait presque trois dimanches, mais je construisais tout autour pour ressortir cela. Il était là. Il était un prophète. Il était un oint de Dieu. Et tout ce que cet homme savait faire, c’était rester fidèle à la Parole. C’est tout. Les gens sont venus et ont dit: «Job, tu sais que tu as fait quelque chose de faux. Considère ce qui t’est arrivé. Tout le monde t’a tourné le dos. Et voici, tes amis t’ont quitté et tout. Tout ce que tu peux faire, c’est rester assis ici et, regarde, quelle pauvre et misérable mine tu affiches avec ces ulcères et toutes ces éruptions sur toi. Et considère ta situation.» Mais Job disait qu’il n’avait pas péché; en effet, il avait suivi la voie fixée par Dieu, sous le sang versé.

29        Alors, Dieu est tenu vis-à-vis d’un homme qui prendra pareille position. Il l’a laissé aller droit jusqu’à la dernière personne, sa femme même, elle est sortie et a dit: «Job, pourquoi ne maudis-tu pas Dieu et ne meurs?» Pensez-y donc, sa propre femme s’est retournée contre lui! Et du fait que quelqu’un se retourne contre nous et pense que nous sommes drôles et bizarres... Pour le monde, tous les enfants de Dieu sont drôles et bizarres. Assurément, ils le sont. «Vous êtes un peuple particulier, un sacerdoce royal, offrant des sacrifices à Dieu, les fruits de vos lèvres glorifiant Son Nom.» Eh bien, nous voyons que même la femme de Job s’est retournée contre lui. Elle lui a tourné le dos en disant: «Pourquoi ne maudis-tu pas Dieu et ne meurs?» En d’autres termes: «Tu as l’air misérable. Pourquoi ne maudis-tu pas simplement Dieu et ne meurs?» Il a dit: «Tu parles comme une femme insensée.»Eh bien, il ne l’a jamais traitée d’insensée; il a dit qu’elle parlait comme une femme insensée. Il n’a jamais dit qu’elle était insensée. Après, laissez-moi... Je rectifie cela. Parfois, je m’en prends à vous, soeurs; je ne dis pas que vous êtes mondaines; mais parfois, vous en donnez l’air. Donc, je–je–je ne dis pas que vous agissez mal. Mais parfois, par votre habillement, vous en donnez l’air. Voyez? Ainsi, Job a dit à sa femme... Je n’aborderai pas cela. Job a parlé à sa femme, disant: «Tu parles comme une femme insensée.»

30        Et peu après... Oh! Dieu est toujours fidèle quand nous suivons la voie à laquelle Il a pourvu. Job a dit: «J’ai fait ma confession. J’ai offert l’holocauste.» C’est exactement ce que Dieu exigeait. Il adorait Dieu sous le sang versé. Et, tout d’un coup, l’Esprit est alors descendu sur le prophète, les tonnerres ont grondé, les éclairs ont jailli, et il a dit: «Je sais que mon Rédempteur est vivant. Et dans les derniers jours... Après que les vers du corps auront détruit celui-ci, cependant, de mes yeux, je verrai Dieu: Je Le verrai moi-même.»Voyez, sous le sang...

            Les autres se tenaient à distance, aussi loin que possible. Mais Job est resté sous le sang avec la Parole (C’est ça.), sous le sang avec la Parole. Peu importe combien il fait sombre, continuez simplement d’avancer. Accrochez-vous à la Parole immuable de Dieu. Allez jusqu’au bout. Si vous vous accrochez à la Parole, vous saisissez Sa main, allez jusqu’au bout.

31        Et alors, comme il était un prophète, les éclairs ont jailli, et il a eu la vision de la Venue de Dieu. Il savait que les vers de son corps détruiraient celui-ci, mais il a dit: «Cependant, de mes yeux, je verrai Dieu: Je Le verrai moi-même. Mes yeux Le verront, et non ceux d’un autre. Car nous n’avons rien apporté dans ce monde; il est certain que nous n’en en emporterons rien. L’Eternel a donné, l’Eternel a repris; que le Nom de l’Eternel soit béni.» Il est resté sur ce sang versé et sur la Parole, la promesse. Il était spirituel. Il était un prophète. C’était comme si Dieu lui avait tourné le dos, mais c’était juste pour l’éprouver et voir s’il s’accrocherait à la Parole. Nous sommes tous éprouvés. Chaque chrétien, chaque fils, chaque enfant qui vient à Dieu est éprouvé par la Parole, pour voir s’il sera loyal à Cela. Au moment de la confrontation, quelle décision allez-vous prendre? C’est ça. Et celui qui ne peut pas supporter le châtiment, mais qui va avec le monde, est un enfant illégitime et non un fils ou une fille de Dieu. Certainement pas. Eh bien, mais celui qui est spirituel saisit la Parole, s’aligne sur Elle, et l’Esprit descend sous le Sang versé et s’empare de lui.

32        Israël avait un seul lieu de rencontre pour communier; le seul lieu où Israël pouvait rencontrer Dieu, c’était sous le sang versé. Dieu ne les rencontrait nulle part ailleurs que sous le sang versé. Maintenant, nous allons dans Nombres, chapitre 19, juste un instant pour citer cela. Nous n’aurons pas le temps de le lire, mais juste le citer. Nous voyons dans Nombres 19, nous voyons que Dieu a parlé aux enfants d’Israël dans leur voyage, disant: «Trouvez-Moi une génisse rousse qui n’a jamais porté un joug.» C’est quoi ça? Cela veut dire quelque chose. Si nous avions le temps, nous pourrions aborder ces symboles: une génisse rousse. Elle doit être rousse, sans tache: rousse. Le rouge est dans un sens une mauvaise couleur. Mais le rouge est la couleur de l’expiation. Savez-vous donc que, du point de vue scientifique, le rouge vu à travers le rouge paraît blanc? C’est vrai. Le rouge vu à travers le rouge, regarder le rouge à travers le rouge, ça paraît blanc. «Même si vos péchés sont rouges comme le cramoisi...» Mais quand Dieu les regarde à travers le–le Sang versé de Son Fils, vous paraissez aussi blanc que la neige: le rouge vu à travers le rouge. On n’obtient pas cela avec une autre couleur. Le rouge vu à travers le rouge paraît blanc. Et c’est comme ça que Dieu vous voit, même si vous... Peu importe ce que vous êtes, si vous passez sous le Sang versé, Dieu ne vous voit pas, mais Il regarde à travers le Sang. Et même si vos péchés sont très nombreux, cependant vous Lui paraissez aussi blanc qu’un lis.

33        Une génisse rousse sans tache, elle ne doit avoir jamais porté un joug sur son cou. Je pourrais détailler cela maintenant même. Elle n’est sous un joug avec quoi que ce soit (c’est exact), aucune organisation incrédule. Elle reste libre. Alors, elle devait être quoi? Le sacrifice. Ensuite, elle devait être brûlée, immolée au temps du soir, à... pas le matin, le soir. Et alors, elle devait être brûlée, et ses cendres devaient être gardées à l’écart pour les eaux de séparation. Oh! Quelle belle scène est-ce! Si seulement nous pouvions aborder cela: comment les eaux, ou les cendres, devaient être mélangées avec, ça formait des eaux de séparation. Par conséquent, on devait donc prendre son sang et faire sept rayures sur la porte par laquelle on entrait dans la tente d’assignation (des parvis extérieurs à la tente d’assignation), dans le lieu saint. Et puis, l’Esprit était dans le lieu très saint.

34        Remarquez. Eh bien, quelle belle image ici! J’espère que dans ces cinq ou six prochaines minutes vous pouvez saisir cela. Observez le lieu très saint et la façon dont une personne impure devait s’approcher. Ils procédaient d’une certaine manière pour y entrer. D’abord, la personne impure devait entrer dans le parvis extérieur et là, elle était aspergée avec les eaux de séparation. Les eaux de séparation, c’est quoi? La Bible nous enseigne que nous sommes lavés par l’eau de la Parole de séparation. Par conséquent, la Parole nous sépare de l’incrédulité. Comment un credo pourrait-il le faire? C’est la Parole. La Parole nous sépare. C’est Elle qui nous fait savoir que nous avons tort. Si vous alliez à une église qui dit: «C’est correct de faire telle chose», et que vous veniez ici et qu’on disait ici: «Faites telle chose...» venez à la Parole. La Parole, c’est ce qui nous sépare. Eh bien, remarquez une autre chose. (J’espère que vous me pardonnerez si je dépasse le temps.) Remarquez autre chose. (C’est trop bon pour être passé outre.) Celui qui répandait cette eau de séparation devait avoir des mains propres. Et cette eau devait être gardée dans un endroit propre. Les eaux de séparation ne peuvent pas rester en un lieu sale. Elles doivent être gardées en un lieu propre.

35        Le parvis extérieur, c’est quoi? Le pécheur qui vient, entend la Parole et fonde sa foi sur Lui, que c’est Dieu. «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend la Parole de Dieu.» Eh bien, qu’essayons-nous de faire? Avoir communion. Maintenant, l’homme a entendu la Parole. Il a cru la Parole, et il a ensuite été aspergé avec l’eau de séparation. Cependant, il n’était pas en communion. Non, non. Maintenant, vous les fondamentalistes, j’aimerais que vous regardiez ceci. Il n’était pas encore en communion. Rappelez-vous. Quand Israël venait de l’Egypte, Moab le rencontra et ne voulut pas le laisser avoir un réveil sur son territoire; il n’y avait aucune coopération. Et Moab croyait le même Dieu qu’Israël. Ils sont allés prendre leur évêque, là, Balak, l’ont amené là; celui-ci était tout aussi fondamentaliste qu’Israël. Israël errait, sans endroit où aller; cette grande nation organisée, unie, a amené sa célébrité pour maudire cette bande de renégats (disaient-ils), qui s’approchaient. Ils avaient oublié que cette bande de gens qui n’avaient aucun endroit où aller, mais c’étaient des gens errants, des pèlerins et étrangers... Ils avaient manqué de voir cette Colonne de Feu qui allait au-devant d’eux. Ils avaient manqué de voir ce serpent d’airain ainsi que ce Rocher frappé qui les suivait, bien qu’ils aient commis des fautes.

36        Balaam s’était dit: «Assurément, moi, étant fondamentaliste, je le ferai certainement.» Et il a bâti sept autels. C’est ce que Dieu exigeait, un nombre parfait. Il a ensuite placé sept taureaux, très exactement ce qu’Israël avait. Sept autels, c’est ce qu’Israël avait, sept chandeliers, et autres, le nombre parfait. Et voici, cet évêque a fait exactement la même chose, sept sacrifices purs, et aussi sept béliers, parlant d’une foi qu’un... le Fils de Dieu, l’Agneau de Dieu, qui venait. Vous parlez d’être fondamentaliste, il l’était tout autant qu’Israël. Mais il n’avait pas l’Esprit. Il n’était pas en communion avec Dieu. Si c’était le cas, Dieu devait répondre au fondamentalisme, alors Il a certainement rejeté la mauvaise personne. Eh bien, Dieu devait accepter Moab, et Il devait aussi accepter Israël. Si tout ce que Dieu considère, c’est l’adoration, une église, un autel, Caïn était tout aussi fondamentaliste qu’Abel; Caïn avait bâti un autel; Caïn avait offert un sacrifice; Caïn avait adoré. Un autel, joindre une église, un sacrifie, un credo, et toutes ces choses, si c’est tout ce que Dieu exige, c’est qu’Il avait tort de condamner Caïn, parce que c’est ainsi que Caïn est venu sur la même base qu’Abel. Tout à fait vrai.

37        Mais qu’était-ce? Par la révélation, par la révélation, pas par l’instruction, mais par la révélation, Abel vit que ce n’était pas des bananes ni des pommes qu’Ève avait mangées, et il a offert du sang; et Dieu l’a agréé. Cela lui a été révélé. C’est pourquoi Jésus, parlant de Lui-même, après qu’Il fut descendu de la montagne de la Transfiguration, Il demanda: «Qui dites-vous que Je suis?»Certains ont dit: «Moïse, Elie», et tout. Le surnaturel bouleverse tellement les choses.

            Mais Pierre a dit: «Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.» Le... Jésus a dit: «Tu es heureux, Simon, fils de Jonas: ce ne sont ni la chair ni le sang qui t’ont révélé cela.» Vous ne l’avez jamais appris dans un séminaire. Ce n’était pas juste tout à fait des mots. «Mais, c’est Mon Père qui est au Ciel qui te l’a révélé.»

38        Or, l’Eglise catholique dit que c’est sur Pierre que l’église est bâtie; les protestants disent que c’est sur Christ. A mon avis, ce n’est ni sur l’un ni sur l’autre. C’est sur la révélation de la Parole. En effet, Il a dit: «Tu es Pierre: ce ne sont ni la chair ni le sang qui t’ont révélé ceci, mais c’est Mon Père qui est au Ciel qui te l’a révélé. Et sur ce roc, Je bâtirai Mon Eglise; et les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre Elle.» Cela montre que toute la porte de l’enfer sera contre Elle, mais elle ne prévaudra jamais. La Parole ira tout de même de l’avant. «Sur ce roc, Je bâtirai Mon Eglise.» Cela montrait que tout serait contre Elle, mais cela ne peut pas prévaloir. Elle ira tout de même de l’avant.

39        Eh bien, les eaux de séparation nous séparent et nous permettent de reconnaître que nous sommes des pécheurs, que nous sommes des transgresseurs. C’est pourquoi je pourrais marteler la chose. C’est pourquoi tout prédicateur est tenu de s’opposer à tout ce que Dieu déclare mauvais à faire, s’il est rempli de l’Esprit, car cela vient du Ciel (Voyez?), il s’oppose au mal... ne doit pas faire cela. Ce sont les eaux de séparation. Jusque là, ce n’était pas assez. Il comprenait. C’était sa connaissance, son esprit, le sein de son esprit, les champs de bataille où les combats sont livrés, dans l’esprit. Alors, il a mis cela de côté. Il a accepté que c’est la voie pourvue par Dieu. Est-il prêt pour la communion maintenant? Non, non. C’était le Message de Luther. Puis vint... Il s’en va; il prend le bon chemin maintenant. Quel chemin emprunte-t-il? Vers la tente d’assignation. C’est ici qu’il est séparé, ici, par les eaux, le lavage d’eau par la Parole. Il est séparé de ses péchés.

40        Maintenant, il tourne. Alors, il doit reconnaître les sept rayures. Je souhaiterais que nous ayons le temps d’aborder dans cela: sept âges de l’église, sept chandeliers, le même. Chaque–chaque âge, chaque église, n’importe quoi d’autre doit reconnaître que c’est le Sang. Chaque croyant... Il n’est pas encore en communion. L’assemblée adore à l’intérieur. Mais il est dehors ici, se préparant. Il est toujours en train de discuter de la dénomination et de l’organisation et tout. Mais quand il passe sous le Sang... Que fait-il après avoir regardé ce Sang? Cela reconnaît... lui fait reconnaître que Quelque Chose est mort, a versé son Sang et l’a devancé pour lui frayer une voie pour la communion. Alors, il voit les rayures du Sang sur la porte. Il reconnaît... Après avoir reconnu la Parole de Dieu, il vient alors reconnaître le Sang versé. Et il doit passer sous le Sang versé, comme Israël en Egypte et tout. Il passe sous le Sang. Alors, après s’être reconnu... Et Hébreux 13.12 et 13 dit: «Jésus, afin de sanctifier le peuple par Son propre Sang, a souffert hors des portes.» Il était notre Sacrifice. Tous les éléments qui sortent de Son corps constituent la nouvelle naissance.

41        Ecoutez, soeurs, je suis votre frère, et j’espère que vous me comprenez. Quand un bébé naît, quelle est la procédure normale de la naissance naturelle? D’abord, si c’est une naissance normale, c’est l’eau; ensuite, le sang; puis, la vie. Du corps de Jésus-Christ sont sortis... Ils ont percé Son côté: l’eau, le sang, et «Je remets Mon Esprit entre Tes mains.» Il y eut trois éléments venus de Son Sang: la justification, la sanctification et le baptême du Saint-Esprit. Cela vous introduit dans la communion à travers le Sang. Alors, quand cet homme, séparé par la Parole et sanctifié par le Sang, entre dans la communion divine, il se retrouve alors dans l’assemblée des gens où la puissance de Dieu est déversée. Et la communion, peu leur importe ceci, cela ou autre, ils sont tous en un lieu et d’un commun accord, «et le Sang de Jésus-Christ nous purifie de toute iniquité.» Alors, nous avons communion l’un avec l’autre. Amen. Oh! comme j’aimerais que nous nous accrochions à cela un instant! Oui, oui.

42        Mais en voici la raison. C’est pour cela que j’aime ces conventions des Hommes d’Affaires. Il n’y a pas longtemps, quelqu’un a répandu le bruit que les Hommes d’Affaires allaient faire un... s’associer avec une certaine organisation. J’ai dit: «Dès qu’ils le font, je rends ma carte de membre.» Cela tuera la chose là même: c’est ce qui arrive chaque fois. Certainement. Oui, oui. Non, monsieur. Je suis avec eux parce qu’ils soutiennent la chose même que je crois. Peu m’importe que vous soyez méthodiste, baptiste, presbytérien, quoi que vous soyez. Quand vous venez sous ce Sang, frère, nous avons communion l’un avec l’autre, et chaque homme paraît le même. Quand Jésus a enseigné cette fameuse parabole et qu’Il a parlé du souper des noces, on avait trouvé un homme sans habit des noces. Vous... Nous connaissons les coutumes orientales. J’étais là et je sais ce que... Ils lancent l’invitation. Et chaque invité vient, qu’il soit pauvre, riche, bien habillé ou pas. Un homme se tient debout à la porte et (le marié) et on lui donne une robe. Il entre, vêtu d’une robe. Peu importe qu’il soit en haillons, quoi qu’il soit, il porte la robe. Et tous ont la même apparence, car ils sont en robe, et ils ne peuvent pas obtenir de robe sans l’invitation.

43        Et cet homme s’était faufilé par une autre voie. Il ne pouvait pas communier, car il n’était pas habillé correctement. Et quand un homme laisse son credo ou sa dénomination le séparer de son frère, quelque chose cloche. Il s’est faufilé par une porte dénominationnelle ou quelque chose comme cela. Et la Bible dit: «Liez-le et jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs, des gémissements et des grincements de dents.»Frère, ce ne sont pas les credos qui nous feront entrer. Ce ne sont pas les credos qui nous apporteront la communion. Cela... L’instruction nous éloigne plus que n’importe quoi d’autre que je connais. Dieu... Il ne s’agit pas d’un programme pédagogique. Il s’agit du programme de la mort de Son Fils: la mort, l’ensevelissement et la résurrection, le fait de verser le Sang. Et à travers cela, sous ce Sang, nous avons tous communion l’un avec l’autre pendant que le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous purifie de tout péché. Le péché, c’est quoi? L’incrédulité. Amen. personne, dans cette communion ou dans cette adoration, ne sera en désaccord avec toute Parole parlée de Dieu. Pourquoi? Le Sacrifice même qui est mort pour lui, est Celui qui a écrit la Parole.

44        Dans l’Ancien Testament, quand un croyant montait pour adorer, s’il avait fait quelque chose de mal, il ne pouvait pas adorer à moins de passer par le sang. Que faisait-il? Il apportait–apportait son agneau auprès du sacrificateur. Ce dernier examinait l’agneau pour voir si c’était un agneau qu’il fallait: parfait. Puis, l’homme posait ses mains sur l’agneau et confessait ses péchés. Les péchés étaient alors transférés de l’homme à l’agneau. L’agneau devait mourir, parce que l’homme n’était plus pécheur, mais c’était l’agneau. On l’égorgeait. Le sang coulait. IL était aspergé sur... brûlé au feu. Très bien. Remarquez. Eh bien, ça pouvait être assez bon. Mais pourquoi, pourquoi cela n’avait pas marché? Cela annonçait la venue de quelque chose de plus grand. En effet, le sang d’un bouc ou d’une brebis ne pouvait pas expier un péché. Il pouvait le couvrir, mais pas séparer cela. Pourquoi? L’esprit, c’est la vie qui est dans la cellule de sang, dans le sang chimique, dans la vie... La vie de l’agneau était dans la cellule de sang. Et cet agneau qui était mort, sa vie ne pouvait pas revenir sur l’adorateur. Par conséquent, ça ne pouvait pas agir.

45        Mais quand nous venons au Calvaire, que nous plaçons nos mains sur l’Agneau de Dieu par la foi, et Sa cellule de Sang était brisée... Il n’était ni Juif ni Gentil, Il était Dieu. Et nous, sur ce Sang pur, pas par le sexe, mais par un acte créatif de Jéhovah Lui-même, qui a créé la cellule du Sang dans le sein de la vierge et a engendré le Fils de Dieu... Il n’était point le Fils de Marie. Non, appeler... Vous les catholiques, vous l’appelez la mère de Dieu, vous l’appelez mère de Dieu. Pas même une fois Il ne l’a appelée Sa mère. Il l’appelait femme. C’est ce qu’elle était. Elle était un incubateur que Dieu avait utilisé, tout comme Il utiliserait toute autre personne. Elle n’était pas la mère de Dieu. Dieu n’a point de mère. Il était seul Dieu. «En Lui habitait la plénitude de la Divinité corporellement.»

46        Quand nous posons les mains là et confessons qu’Il est notre Sauveur et notre Dieu... Et quand, par la foi, nous posons les mains sur Lui et par le Sang qui était versé là au Calvaire, nous avons communion. Et le Saint-Esprit qui était dans cette cellule de Sang revient sur le croyant, fait de lui un fils ou une fille de Dieu. Alors, nous avons communion. Et si c’est le Saint-Esprit qui avait écrit la Bible, comment le Saint-Esprit peut-Il donc, sous le Sang que vous avez accepté, revenir nier la Parole? Amen. Il y a communion sous le Sang. Amen.

47        C’est tout aussi clair que je connais l’Evangile, frères. C’est l’unique salut que je connais. C’est l’unique fondement de ma foi, là même, le Sang de Jésus-Christ, les veines d’Emmanuel, où les pécheurs plongés dans ce flot perdent toutes les taches de leur culpabilité. Et quand nous y entrons, sous ce Sang, et que nous nous reconnaissons pécheurs, nous sortons de l’autre côté, Il scelle notre foi comme cela, par Son Saint-Esprit, et le même Saint-Esprit qui a écrit la Bible et y a placé chaque Parole, comment ce Saint-Esprit peut-Il faire volte-face et renier cette Parole? Comment peut-Il accepter un credo au lieu de la Parole? Comment peut-Il accepter un dogme au lieu de la Parole? Impossible. Le Saint-Esprit ponctuera chaque Parole de Dieu d’un amen. Oh! la la! C’est en une telle communion que je crois. Donc, pas seulement qu’il vous fait avoir communion les uns avec les autres, nous avons communion avec Christ. Pourquoi? Nous sommes... Nous nous considérons comme morts, ensevelis et ressuscités avec Lui dans la résurrection, et nous sommes maintenant assis dans les lieux célestes en Christ Jésus.

48        Pour terminer, il n’y a pas longtemps, j’ai lu une petite histoire. Il y avait un garçon américain, comme il y en a tout un tas, qui est allé à Rome étudier l’art dans les grandes galeries d’art de Rome. Si jamais vous y avez été, c’est merveilleux! Combien ont déjà été à Rome? Je m’imagine beaucoup parmi vous. Avez-vous été à St. Angelo? Cela ne vous a-t-il pas fait honte? Quand je suis descendu pour entrer à St. Angelo, un endroit sous contrôle catholique, il y avait un grand écriteau (à Rome, où la prostitution est un...), et un grand écriteau là en ces termes: «A toutes les femmes américaines, s’il vous plaît, habillez-vous par respect aux morts.» C’est à notre Amérique chrétienne que Rome doit dire pareille chose!

49        Très bien. Dans cette ville de Rome, il y avait un jeune artiste. Et un vieux gardien, dans la cour, a remarqué que ce jeune artiste était différent. La nuit, tous agissaient comme ils font ici. L’autre jour, à un certain grand collège biblique, nous montions pour pêcher, nous sommes arrivés l’après-midi à un endroit pour pêcher. Aux mieux de mes souvenirs, je n’ai jamais de ma vie entendu un tel bruit: des jeunes filles sortant de ce fameux collège, et des jeunes garçons, en shorts là en bas. Oh! la la! Et ils vous parlent comme vous n’avez jamais entendu, laissant échapper la pression. Et je m’imagine qu’ils pensaient que c’était la façon de le faire. Que produisent les prédicateurs? Que deviendra la prochaine génération? Si aujourd’hui, c’est plein de Rickys et d’Elvis, que deviendra le monde dans une autre génération? Qu’adviendra-t-il? Vous y êtes. Oh! frère, juste cela... quelque chose se passe en moi; je n’y peux rien.

50        Remarquez. Ce jeune homme était différent. Un jour, le vieux gardien l’a suivi. Tous les jours, il devait monter sur une colline au coucher du soleil pour contempler le coucher du soleil, plutôt il parcourait du regard le pays, debout là, avec les mains comme ceci. Et les autres enfants sortaient tous après les activités quotidiennes, ils buvaient et faisaient des histoires. Certains avaient un bain mixte, des réceptions et tout, ils faisaient des histoires, excepté ce jeune homme. Un jour, le vieux gardien, qui l’observait chaque jour, a tapé sur ses nerfs. Un jour donc, il l’a simplement suivi là-haut et s’est approché de lui. Le jeune homme était debout là à regarder par-delà la mer vers cette nation-là, au coucher du soleil. Le vieux gardien a dit: «Pardonne-moi, jeune homme. J’aimerais te poser une question.» Il a dit: «Oui, monsieur. C’est quoi, monsieur?» Il a dit: «Eh bien, voilà une année que tu es ici.» Et il a dit: «Je t’ai observé chaque jour. Tu montes ici au coucher du soleil, une fois les services terminés là-bas, vos–vos leçons d’art.» Et il a dit: «Tu viens ici contempler le coucher du soleil.» Il a dit: «Je–je suis juste un vieil homme curieux.» Il a dit: «Je–j’aimerais juste savoir pourquoi tu le fais. J’aimerais juste le savoir. Peut-être que je suis juste curieux.» Il a dit: «Pardonne-moi si j’ai mal fait, a-t-il dit, de te poser la question.»Il a répondu: «Non. Non, non.» Il a dit: «Pour commencer, je suis un chrétien.»Le vieux gardien a dit: «Moi aussi.» Il a ajouté: «Je vois pourquoi tu ne vas pas aux fêtes, tu ne sors pas et n’agis pas comme les autres, tu ne les fréquentes pas.» Il a dit: «Je le comprends maintenant, comme tu es un chrétien, a-t-il dit, car je le suis, moi aussi» Il a dit: «J’attends la consolation de la Venue du Seigneur.»

51        Ils se tenaient donc là ensemble, le jeune homme a entouré le vieux papa de ses bras, il l’a étreint et lui a demandé: «Etes-vous marié?» Il a répondu: «Oui, j’ai élevé une ribambelle d’enfants.» Il a dit: «Monsieur, la raison pour laquelle je contemple cela, c’est que je prie.» Il a dit: «Vous savez, loin de l’autre côté du pays, en Amérique, il y a un certain Etat dans ces vastes États-Unis. Et dans cet Etat-là se trouve une certaine ville; et dans cette certaine ville-là, il y a une certaine maison; et dans cette maison-là, il y a une jeune fille. Elle est aussi une chrétienne. Et, voyez, a-t-il dit, quand le soleil arrive ici, il est dans une autre position là-bas. Mais nous nous sommes engagés à contempler le soleil alors que Dieu le déplace.» Et il a dit: «Je lui ai promis de lui être fidèle. Elle m’a promis de m’être fidèle toute ma vie.» Et il a dit: «Je m’attends à aller vers elle un jour et à l’épouser.» Il a ajouté: «C’est pourquoi j’essaie de vivre comme je le fais, c’est parce que j’ai fait une promesse et je veux être fidèle à ma promesse.»

52        Oh! si aujourd’hui nous, comme chrétiens, nous qui professons être des chrétiens, si nous pouvons nous séparer de tout ce qui est du monde (tous nos credos et tout le reste ), et rester vers... regarder vers le Ciel, nous séparer des choses du monde et vivre comme des chrétiens, parce qu’un jour... Il y a un certain endroit appelé Ciel. «Il y a plusieurs demeures dans la maison de Mon Père.» Un jour, Il viendra pour nous. Soyons véridiques et fidèles jusqu’à ce moment-là. Et le seul moyen pour nous de jamais y parvenir, mes amis, c’est naître de nouveau. Et nous ne pouvons pas naître de nouveau avant de passer sous le Sang versé de Jésus-Christ.

53        Pour clôturer cette convention, j’aimerais saisir cette occasion parmi vous, amis, mes amis, mes frères et soeurs. J’espère que vous me permettrez d’être votre frère et soeur. J’espère pouvoir être votre–votre vrai ami, vous les soeurs, vous pouvez être ma soeur; vous les frères, mon frère. Puis-je être votre pasteur? Puis-je être un de vos concitoyens dans le Royaume de Dieu, qui adore avec vous? Permettez-moi de saisir cette occasion pour dire ceci. Tout ce que nous avons entendu... Aujourd’hui, mon bon ami, frère David DuPlessis, a-t-on dit, a prêché trois ou quatre heures aujourd’hui. Un autre frère que je ne connais pas a dit: «Un jeune homme a prêché ce matin.» Un jour, après cela, frère Brown, un orateur distingué, un noble frère qui s’est engagé dans cette voie. Les puissants messages que vous avez entendus de ces frères, ne les laissons seulement pas nous passer par-dessus la tête. Ne faisons pas cela. Ce soir, passons sous le Sang du Seigneur Jésus. Consacrons-nous de nouveau à Dieu à la fin de ce service et disons: «Seigneur Jésus, prends-moi. Prends-moi sous Ton Sang et accorde-moi de Te voir Toi seul, Seigneur, et accorde-moi de T’adorer.»

54        Retournez à l’église d’où vous venez, à la dénomination d’où vous venez. Mais, souvenez-vous, quand vous rencontrerez un frère ou une soeur d’une autre dénomination, ne vous séparez jamais. Il est votre frère; c’est votre soeur. Vous êtes tous sous le Sang du Seigneur Jésus-Christ. [Espace vide sur la bande.–N.D.E.] Ne pouvez-vous pas faire cela? Voudriez-vous consacrer de nouveau votre vie ce soir? J’aimerais vous le demander. Hier soir... Je vous aime pour ça. Après un dur récurage... Je suis sorti et j’ai essuyé les larmes de mes yeux pour avoir dit cela. Mais je dois obéir à ce qui m’a été ordonné de dire. Je ne peux que faire ça. Je suis sorti, et même ici où... Je présume qu’un grand groupe de ces gens était des pentecôtistes. Mais quand la Parole est sortie sur les moeurs et les histoires de l’église aujourd’hui, j’ai demandé: «Combien parmi vous se reconnaissent en erreur et voudraient avoir cette communion avec Christ?» Et environ quatre-vingt-quinze pour cent de l’assemblée avaient assez de véritable conviction chrétienne, avec assez d’honnêteté dans le coeur, pour désirer faire ce qui est correct; ils ont levé la main juste devant le voisin et ils voulaient qu’on se souvienne d’eux dans la prière. J’ai confiance en vous. Je crois que Dieu l’accordera.

55        Or, ça ne doit pas se passer à un moment donné, à un moment déterminé. Ça peut avoir lieu en ce moment-ci où vous êtes prêts et disposés à rencontrer Dieu sur base de Sa Parole et dire: «Ô Dieu, modèle-moi, façonne-moi d’après Ton propre modèle.» Si vous le faites ce soir, dans un service de consécration, juste avant que nous terminions, je crois que Dieu rencontrera chacun de vous. Et si jamais je ne vous revois de ce côté-ci de la rivière, je vous verrai de l’autre côté, croyant la même Parole, avec le même Message, que Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Les cieux et la terre passeront, mais Sa Parole ne passera point. Le croyez-vous? Le voulez-vous? Allez-vous vous joindre à moi dans la consécration? Je vais moi-même participer à la consécration, dédicacer de nouveau ma vie au service du Dieu Tout-Puissant. Que jamais je ne cède! Que je reste loyal et fidèle, et que je prêche la Parole. Voudriez-vous... Voudriez-vous être ce genre de chrétien? Combien aimeraient être de vrais chrétiens, vraiment des chrétiens mûrs? Levez la main. Maintenant, soyez vraiment honnêtes: de vrai chrétiens? Que Dieu vous bénisse. Levons-nous.

56        Oh! la la! C’est maintenant le moment. C’est maintenant le moment. Oh! je–je souhaiterais savoir quoi dire, et j’aurais pu le dire si je savais quoi dire! Comprenez-vous cela? Jésus a dit: «Nul ne peut venir à Moi, si Mon Père ne l’attire premièrement. Et tous ceux que le Père m’a donnés viendront à Moi.» Qu’est-ce qui vous a amenés à vous lever? Avez-vous vraiment compris ce que nous avons dit? «Je suis prêt à consacrer ma vie.» Etes-vous disposés à mourir à vous-mêmes et à tout ce qui vous entoure, à ne désirer ardemment rien d’autre que le Sang de Jésus-Christ? Qu’est-ce qui peut laver mon péché? Rien, si ce n’est le Sang de Jésus. Qu’est-ce qui peut me rétablir? Rien, si ce n’est le Sang de Jésus.

57        Là, vous avez communion avec Christ, avec Dieu, avec les anges, avec le Saint-Esprit, avec tous les êtres célestes et tous les êtres terrestres, parce que le Corps entier dans le ciel et sur la terre porte Son Nom. C’est vrai. Et vous formez une très grande famille. Vous aurez communion les uns avec les autres. Levons maintenant les mains vers Dieu, et avec notre cantique de consécration:

            Je L’aime, je L’aime,

            Parce qu’Il m’aima le premier;

            Et acquit mon salut

            Sur le bois du Calvaire.

            [Frère Branham se met à fredonner Je L’aime.–N.D.E.] (Fermez simplement les yeux. Maintenant, avec vos coeurs inclinés:)

                 Je L’aime (C’est Sa Parole), je L’aime,

                 Parce qu’Il m’aima le premier;

                 Et acquit mon salut

                 Sur... (Soyez juste comme un petit enfant maintenant, simple, confessant.)

                 Je... (Sa douceur; entre dans nos coeurs, le Saint-Esprit.)

                 Parce qu’Il m’aima le premier;

                 (Simple maintenant. Acceptez-Le simplement dedans. Garde mon âme, Seigneur.) ... salut

                 ([Frère Branham parle à l’organiste.–N.D.E.] Ma foi regarde à Toi.)

                 Sur... du Calvaire.

58        Maintenant, inclinons le coeur et la tête juste un instant. Consacrez-vous à Dieu maintenant. Calmement, à votre propre manière, offrez une prière. Et: «Ô Dieu, prends-moi maintenant. Je me tiens dans Ta Présence. Cette convention a beaucoup représenté pour moi. Prends-moi, ô Dieu. Ôte la pierre de mon coeur. Un jour, je dois m’en aller, Seigneur. Ça peut être ce soir. Je ne sais pas exactement quand ce sera. Mais je–je veux demeurer dans l’amour avec Toi, Seigneur Jésus. Je veux être Tien.»

                 Ma foi regarde à Toi (Priez simplement comme vous chantez.)

                 Toi, Agneau du Calvaire;

                 Sauveur divin;

                 Maintenant, écoute-moi quand je prie,

                 Ôte tous mes péchés,

                 Oh! laisse-moi dès ce jour,

                 Etre tout à Toi!

59        Maintenant, avec vos têtes inclinées, que l’organiste continue à jouer. Eh bien, ne vous consacrez pas juste à moitié. Pensez-y donc maintenant alors que vous vous agenouillez. «Ôte de moi, Seigneur, tout ce qui n’est pas de Toi. Laisse-moi être Ton enfant dès ce moment.» [Frère Branham fredonne.–N.D.E.] (Maintenant, alors que vous vous en allez.)

                 Pendant que je marche dans le sombre labyrinthe de la vie,

                 Et que les ennuis m’environnent,

                 Toi, sois mon Guide;

                 Change les ténèbres en jour,

                 Essuie les larmes de chagrin,

                 Ne me laisse jamais

                 M’éloigner de Toi.

60        Père céleste, la douceur de l’Esprit, la douceur de la musique. Toi, sois notre Guide, Seigneur, chacun de nous, à notre propre manière, Tu connais nos faiblesses, Seigneur. Et nous Te les confessons et Te prions de nous les pardonner, ô Dieu. Amène-nous dans la maison du Potier ce soir, lave-nous dans le Sang du Seigneur Jésus, et façonne-nous, en nous, avec cet élément chimique, Seigneur, afin que quand Tu nous regarderas, ce soit tout blanc. Car nous acceptons le Sang du Seigneur Jésus. Nous Te demandons de Te révéler à nous, Seigneur, dans la Parole. Nous savons que Ceci est Ton plan, Père. Ceci est Ton prophète; la Parole est un prophète. Elle prédit. Tout ce qui lui est contraire est une désobéissance au prophète, à la Bible.

61        Et nous Te prions, Seigneur, de nous briser ce soir, de briser nos coeurs de pierre, nos voies rocailleuses. Façonne-nous et modèle-nous à l’image du Fils de Dieu par Son propre Sang, afin que notre communion soit toujours douce et merveilleuse. Ô Dieu, accorde Tes bénédictions à cette grande église, la propriétaire de ce terrain, qui nous a permis de venir ici, cette Association baptiste américaine qui donne accès à ceci, qui a ouvert les portes afin que nous venions ici, nous les gens du Plein Evangile. Je prie, ô Dieu, qu’il éclate parmi eux un réveil à l’ancienne mode, que le Saint-Esprit se déverse à chaque tour de prière et que, partout là dans le bois, ce soit rempli des saints qui chantent, louent et crient, qu’il y ait de grands prodiges parmi eux, Seigneur. Ce sont nos frères, nous prions pour eux.

62        Nous prions pour chaque église, chaque organisation, chaque dénomination, afin qu’elles brisent ces liens et ces cordes et qu’elles fuient vers le Rocher. Accorde-le, Seigneur. L’heure est toute proche maintenant où nous attendons Sa Venue, alors que nous voyons la vierge endormie commencer à désirer ardemment de l’Huile. Alors, pendant qu’elles étaient allées en acheter, l’Epoux vint. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Et, Seigneur, nous voyons cela si proche maintenant. Nous Te prions, Seigneur, de nous permettre de nous réveiller très rapidement, de nettoyer nos lampes et de les allumer. Les églises commencent à se rendre compte qu’il leur manque quelque chose. Et nous prions, Père, maintenant qu’elles cherchent cela, que nous nous apprêtions. C’est ce que Tu as dit: «Et pendant qu’elles étaient allées acheter de l’huile, alors l’Epoux vint.» Viens-nous en aide, Dieu bien-aimé.

63        Nous Te consacrons nos vies. Et ce que j’ai demandé à mes frères et soeurs ici de faire, moi aussi, je le fais, ô Dieu. Je me tiens sur le Roc, comme l’aigle dont j’ai parlé hier soir. Ô Dieu, avec chaque prière que je sais offrir, débarrasse-moi de toute impiété, Seigneur. Je Te prie de me modeler jusqu’à ce que Tu... je–je puisse refléter Ta Vie. Accorde-le, Seigneur. Aide-moi à demeurer fidèle et honnête. Aide-moi à demeurer toujours fort et courageux. Aide-moi, Père, à porter la Parole aux pays non évangélisés du monde. Accorde-le, Père. Bénis cette Association des Hommes d’Affaires. Qu’elle vive, qu’elle prospère, qu’elle aille de l’avant, qu’elle voie la Venue du Seigneur et qu’elle apprête beaucoup d’âmes. Qu’ils soient des hommes honorables, des hommes intègres, des hommes qui sont de grands hommes, qui dépensent leurs subsides et consacrent leur temps à apporter l’Évangile; qui supportent des prédicateurs à venir répandre la Parole. Ô Dieu, nous les aimons, et nous prions qu’ils soient puissants sur la terre et des instruments dans Ta main. Bénis chaque ministre ici présent. Bénis notre frère Brown, notre frère DuPlessis, et tous les autres frères, frère Joseph Boze, et tous les autres, les hommes d’affaires, et tous ensemble, Seigneur, et chaque soeur; bénis leurs coeurs, Père. Nous Te prions d’être avec eux. Pardonne tous nos péchés. Nous nous consacrons à Toi maintenant, en tant que Tes enfants. Dès ce jour, puissions-nous mener une vie différente. Nous le demandons au Nom de Jésus. Alors que nous nous remettons entre Tes mains, fais de nous comme bon Te semble. Amen.

64        Vous pouvez vous asseoir maintenant juste pour un instant. Je L’aime. Vous L’aimez, n’est-ce pas? Vous sentez-vous mieux maintenant? La Parole vous récure, vous rafraîchit et tout, n’est-ce pas? C’est merveilleux. Nous aimons le Seigneur de tout notre coeur. Vous L’aimez, n’est-ce pas? Très bien. Maintenant, je vais remettre le service à frère Carlson ici, je suppose, notre frère, le président. Qu’il vienne récupérer le service maintenant. Si nous devrions nous réunir dans une année, et que je sois en vie, ceci sera probablement... Je peux ne pas être en vie dans une année. Jésus peut venir avant cela. Mais s’il m’arrive de revenir à l’une des conventions ici, une convention régionale dans ce grand Etat, certains parmi nous ne seront pas là! Nous en sommes assez sûrs... notre âge et à l’allure où vont les évènements, et le nombre qui est ici. Et si jamais je ne vous revois avant de vous rencontrer à la rivière, que Dieu vous bénisse et qu’Il soit avec vous jusqu’à ce moment-là. Que Dieu vous bénisse, Frère Carlson.

65        [Les gens prient pour frère Branham.–N.D.E.] Que le Seigneur vous bénisse, frère. Merci, mes amis. Merci, Père. Je reçois cela, Seigneur. Je sais que Tu exauceras leur prière. Je crois en Toi. Accorde-le, Seigneur. Viens-moi en aide maintenant. Ô Dieu, que la Parole soit... me soutienne maintenant. Puisse cela mon...?... et puissé-je être participant de Tes bénédictions, Seigneur. Je Te remercie pour ces gens nobles...?... Je reçois et je crois leur prière, au Nom de Jésus. [Un autre prie.–N.D.E.] Accorde-le, Seigneur. Merci, mon frère chrétien. Mes amis chrétiens, là, je compterai sur cela. Je m’en vais là dans les champs missionnaires. Vous savez où je vais. Je ne fais que des va-et-vient. Je voulais rencontrer notre frère Boze en Afrique très bientôt, pendant qu’ils parcourent l’Afrique et les différentes parties du monde. Je n’oublierai pas que toutes vos bénédictions m’accompagnent, j’en suis sûr. Priez pour moi et je continuerai à prier pour vous. Dieu soit avec vous. Merci, frère.

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