La Persévérance
1 Merci, Frère Parker. C’est un privilège d’être ici. Je suis désolé d’être un peu en retard, mais il y avait un cas très grave de maladie juste derrière le rideau. Et je m’occupais d’un petit enfant. Et je suis très content d’être ici une fois de plus ce soir, et j’espère ne pas vous garder comme je l’ai fait hier soir. Je vous ai gardés très longtemps. Et je suis rentré chez moi, je me suis senti un peu... ou, je suis allé à mon motel, je me suis plutôt senti mal à l’aise en voyant l’heure qu’il était. J’ai parlé ici pendant environ une heure quarante-cinq minutes.
2 Et évidemment, ça en est un court pour moi. L’autre jour, j’ai parlé pendant six heures. Voyez, si un homme connaît beaucoup, il n’a pas à parler si longtemps. Mais quand on ne connaît pas beaucoup, on doit simplement être rempli, vous savez; je pense que c’est... Voyez, je m’attends simplement à Lui. Et quand j’ai l’impression qu’Il me donne quelque chose à dire, eh bien alors, je–je le dis. Je dois simplement cheminer en titubant jusqu’à ce temps-là.
Hier soir, j’essayais de parler de raisonnements, non pas quand un raisonnement s’oppose à la Parole de Dieu... Je ne veux pas dire la raison, juste tout raisonnement; en effet, Paul discutait avec des gens. Et le problème aujourd’hui, les gens reçoivent tout ce qui arrive et ne l’examinent pas à la lumière des Ecritures. Mais quand un raisonnement est contraire à la Parole de Dieu, alors tenez-vous-en loin. C’est l’ennemi. Voyez? Mais quand il est conforme à la Parole de Dieu, c’est Dieu. Voyez? C’est vrai, les deux raisonnements. Nous croyons donc au fait de raisonner conformément à la Parole, croire que la Parole est vraie.
Eh bien, vous ne pouvez pas prouver la Parole scientifiquement, car c’est... et vous n’y arriverez jamais, car c’est tellement contraire à la science. Si cela est prouvé scientifiquement, alors ce n’est plus la foi. Voyez? Il vous faut avoir la foi, et la foi s’oppose à la preuve scientifique. Vous devez donc croire cela, non pas prouver cela; croire cela. C’est ça.
3 Il y a quelque temps, je parlais à un homme. J’étais à Toronto, au Canada. Nous tenions une longue série de réunions là-bas. Le Seigneur bénissait d’une façon merveilleuse. Et j’habitais de l’autre côté dans... Ce n’était pas à Toronto, là. Je–je retire cela. J’oublie le nom de la ville du Canada où nous tenions une série de réunions, et–et... Je vais m’en souvenir dans quelques minutes. J’ai tellement voyagé que je ne me souviens pas parfois de noms de villes. Et c’est juste en face de Détroit. C’est quoi le nom? [Quelqu’un dit: «Windsor.»–N.D.E.] Windsor, exact. Windsor, Ontario.
Et il y avait un... avait un dispositif de télévision installé dans la rue, une espèce d’écran, et il y avait là un cow-boy qui jouait, il jouait de la guitare, là, et c’était une émission diffusée depuis les Etats-Unis. Alors cet homme s’est avancé là et m’a parlé.
Il a dit: «J’aimerais vous le vendre.»
J’ai dit: «Non, monsieur. J’étais juste de passage.» J’ai dit: «Je ne pense pas en avoir besoin.»
Et il a dit: «Eh bien, je vais vous le vendre très moins cher.»
Je me suis dit... Je le lui ai expliqué. J’ai dit: «Je suis un–un touriste.» J’ai dit: «Je suis...»
«Oh! a-t-il dit, vous êtes juste de passage, je suppose?»
J’ai dit: «Non, je suis ici à un motel.» J’ai dit: «Je ne suis ici que pour quelques jours.»
Il a dit: «Vous ne participez pas à cette réunion là-bas?»
J’ai dit: «Si, si. C’est exact.»
Il a dit: «Je ne voudrais pas vous blesser, mais, a-t-il dit, vous suivez un charlatan.»
Et j’ai dit: «Oh?» Et...?... j’ai dit: «C’est là votre avis?»
Il a dit: «Oui, oui, a-t-il dit, c’est ça.»
Et j’ai dit: «Eh bien, pourquoi tireriez-vous une conclusion?»
Il a dit: «Eh bien, c’est parce que cet homme parle de quelque chose dont il ne sait rien.»
Et j’ai dit: «Que voulez-vous dire?»
4 «Eh bien, a-t-il dit, par exemple, hier soir, ce soldat-là qui était dans l’armée et qui était couché sur cette civière, et il avait eu... il était censé être paralysé.» Il a dit: «Je me suis approché là et j’ai circulé là.» Il a dit: «C’était juste... C’était un montage.» Il a dit: «Cet homme connaissait l’autre homme depuis toujours.» Il a dit: «Il était simplement couché là, faisant semblant.»
J’ai dit: «Pourquoi n’êtes-vous pas allé auprès de cet homme qui était sur la civière vérifier, voir qui il était, d’où il venait? Vous étiez vraiment intéressé, ne pensez-vous pas que c’est ce que vous devriez faire?»
Il a dit: «Eh bien, voilà tout.» Il a dit: «Je ne cherche pas à vous décourager.»
J’ai dit: «Oh! Vous ne me découragerez pas.»
Il a alors dit–il a dit: «Je pense que je crois dans la science.»
J’ai dit: «Moi aussi.»
Il a dit: «Eh bien, tout ce qui ne peut pas être prouvé scientifiquement n’est pas vrai.»
J’ai dit: «Je ne voudrais pas être en désaccord, mais je soutiens juste le contraire.
«Tout..., a-t-il dit, n’est pas réel.»
5 Et j’ai dit: «Tout ce qui peut être prouvé scientifiquement n’est pas réel.» J’ai dit: «Ce sont des choses qui ne peuvent pas être prouvées scientifiquement qui durent et qui sont réelles.»
«Oh! a-t-il dit, c’est faux.» Et–et alors, il a dit: «Regardez ça, ce que la science a fait.» D’abord, il a dit ceci. Il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, je n’y crois pas.»
J’ai dit: «Eh bien, j’aimerais vous poser une question. Etes-vous marié?»
Il a dit: «Oui.»
J’ai dit: «Aimez-vous votre femme?»
Il a dit: «Certainement que je–je l’aime.»
J’ai dit: «Moi aussi. J’apprécie ça. Mais...» Qu’est-ce que je fais? [Quelqu’un parle à frère Branham.–N.D.E.] Oh! Ça va maintenant? Désolé. Je–je ne peux pas distinguer cela ici. Voyez-vous?
6 Alors–alors, il a dit–il a dit: «Si vous... tout ce qu’on ne peut pas prouver scientifiquement est faux.»
J’ai dit: «Eh bien, alors, vous aimez votre femme différemment de toute autre femme?»
«Oui.»
J’ai dit: «Qu’est-ce? Voyez, voyez? Avez-vous des enfants? Qu’est-ce qui rend ces enfants différents des autres enfants?»
Et quand il a parlé, juste en quelques instants... Et il a dit: «Eh bien, a-t-il dit, maintenant, par exemple ceci.» Il a dit: «Voyez-vous? Il n’y a pas de câble quelque part autour de nous.»
J’ai dit: «C’est exact. C’est une grande chose.» J’ai dit: «Eh bien, ça y est. Cet homme est là aux Etats-Unis. Et sans câble ni rien de rattaché à cela, aux Etats-Unis, par une–une onde, une espèce d’onde électronique de je ne sais quoi, l’image de cet homme est amené ici tout aussi parfaitement, et ça la projette là-dessus.»
7 Il a dit... Il venait de dire qu’il ne pouvait pas comprendre ce discernement-là. Il a dit: «Je pense que c’est juste un montage commercial.»
J’ai dit: «Oh?» J’ai alors dit: «Eh bien, ce n’est pas un montage commercial. Vous ne devriez pas dire cela, ai-je dit, parce qu’il existe absolument une onde qui passe par ici, et il nous est appris que la même image nous traverse directement. Et ces messages, ces chansons, et tout, nous traversent directement. Mais alors, cela frappe un certain cristal, ou quelque chose là à l’intérieur, c’est... ou un tube, qui peut projeter cette image là, et l’image de l’homme qui passe par les ondes d’éther dans l’air. Et nous ne savons pas d’où cela vient. Cela donc... Nous savons d’où ça vient, mais, ai-je dit, nous ne pouvons pas voir cela. Et cela passe et ça se reflète.»
8 J’ai dit: «C’est ainsi que Dieu... Voyez?» J’ai dit: «C’est ainsi que cet homme connaît ces choses-là.» J’ai dit: «Voir Dieu (Voyez?), Il envoie les–les ondes d’éther là.» Et j’ai dit: «Cela peut traverser des milliers et des millions de gens jusqu’à atteindre ce point-là. Et ensuite, ça se reflète.»
C’est ainsi qu’il–il a dit: «Oh! a-t-il dit, c’est vrai. Mais, a-t-il dit, regardez. Voyez, nous avons une station émettrice. Nous avons une station émettrice qui envoie cela.»
J’ai dit: «Nous aussi, nous en avons. Nous avons une station émettrice. C’est vrai, une station émettrice, et une station réceptrice.» Il est donc toujours notre Père céleste, n’est-ce pas? Et nous L’aimons parce qu’Il nous a aimés le premier, et Il a envoyé Jésus-Christ afin de mourir à notre place, afin qu’Il... que nous devenions la justice de Dieu par Christ. Je suis très content.
Parfois ces visions sont... cela achoppe un peu les gens. Ils ne comprennent pas. Parfois, les gens pensent que ça se passe seulement ici dans des réunions. Oh! la la! Une petite partie de cela se produit ici. C’est là dans l’assistance que cela arrive en fait.
9 Aujourd’hui, j’étais assis en chambre; nous avons eu un... Généralement, vendredi est un jour de jeûne pour moi. Je ne mange pas parfois mardi et vendredi, jusque dans l’après-midi, juste un peu... Ce n’est pas un jeûne régulier. C’est juste quelques jours de jeûne par semaine. Ainsi, un long jeûne de plusieurs jours, c’est quand le Seigneur vous y entraîne. Mais c’est juste par considération, par honneur pour le grand mémorial de Dieu envers nous, le jeûne, un commandement. Ainsi donc, après trois heures généralement, je prends un petit quelque chose de léger.
Quelqu’un m’avait indiqué là où acheter un petit steak ici sur la route pour environ quatre-vingt-dix cents, juste ce qui convient pour manger. Quand on prêche et autres, on doit rester un peu vide. Nous avons donc prévu d’aller là. Alors–alors mon fils et mon neveu se demandaient pourquoi nous n’étions pas allés là-bas, mais nous avons changé et nous sommes allés à un autre restaurant. Et puis, pendant qu’on était assis là, j’ai vu... Quelques instants après, nous parlions, et quelques personnes étaient là, il y a toujours... grandiose de rencontrer mes amis, vous savez, et de parler avec eux. Ainsi donc, je serrais la main à certaines personnes.
10 Quelques instants après, deux dames sont entrées. Le Saint-Esprit a dit: «Celle en chapeau blanc...» Elle s’est avancée, je ne les avais jamais vues de ma vie. Et chose étrange, alors qu’une dame allait s’asseoir comme ceci, elle s’est retournée et m’a regardé droit en face. C’est la grâce (Voyez?), sachant bien... Rien n’arrive au hasard. Elle m’a donc regardé droit en face: c’est étrange.
Mon propre fils, qui se tient à mes côtés ici à l’estrade depuis des années... Mais il m’a posé une question, quelque chose sur le glorieux Millénium ou quelque chose comme cela. Et: «Oh! ai-je dit, Billy, je–je ne comprends pas ces choses-là.» J’ai dit: «J’ai juste ma conception là-dessus.» J’ai dit: «Je n’enseigne pas cela, car je–je pourrais être à un million de kilomètres en erreur là-dessus. Tu vois?» J’ai dit: «J’ai juste ma conception.»
Alors, il a dit: «Eh bien, j’aimerais savoir ce qu’il en est», et l’une ou l’autre chose. Et alors, tout à coup, il n’a pas saisi cela. Et il ne sait pas ce que je dis, la raison pour laquelle je dis cela maintenant, s’il est présent. Mais si Charlie et Billy sont près, as-tu remarqué, Charlie? Tout à coup, Billy a changé très vite pour parler de la grâce, de la grâce de Dieu qui garde.
11 Voyez, il ne s’en est pas rendu compte à la minute même; le Seigneur m’avait mis en contact avec l’esprit de cette femme-là. Et elle était là. Elle n’était pas trop sûre que c’était moi, car elle m’avait seulement vu hier soir. Je me suis dit: «Seigneur, je vois cette femme, l’état dans lequel elle est, et ce qui est arrivé. Peut-être qu’elle est dans la réunion.» Je savais qu’elle avait besoin d’assistance.
Et juste à ce moment-là, après que nous avons terminé notre dîner, peu avant de terminer, une douce petite soeur venue de quelque part a payé mon dîner. Alors donc... elle et son mari, et les enfants...
12 Et alors, je me suis donc levé pour aller payer le dîner. Et je pense que Billy et Charlie l’ont constaté. Je les ai laissés aller de l’avant, parce que je savais que la dame venait de quelque part. En effet, je savais qu’elle était derrière moi. Quelques instants après, elle m’a parlé. Et là, j’ai pu dire à cette femme exactement ce qui était arrivé, ce qui s’était passé, et non pas par hasard; mais c’était le commencement de sa guérison.
Il y a plusieurs années... C’était une femme, je suppose, frisant la soixantaine ou quelque chose comme ça. Et au temps de la ménopause, elle était devenue extrêmement nerveuse, et elle n’arrivait pas à s’en dégager. Et elle a dit: «Je vous ai seulement entendu une fois. Je viens de très loin. Et c’était la dernière soirée, a-t-elle dit, ce commentaire que vous avez fait au sujet de percer le mur de son afin d’être libre, a-t-elle dit. Toute la journée, j’ai lutté contre ce mur de son.» J’ai dit: «Ne combattez plus. Voyez? C’est terminé maintenant. Voyez? ...?... par cela.» Et j’ai dit: «Le mur de son est la barrière entre la foi et l’incrédulité. Quand vous traversez cette incrédulité, cette ombre de doute, vous êtes alors libre (Voyez?), il n’y a rien...»
13 Et la dame avait... pendant ce temps-là, elle avait vu comment parfois la ménopause, particulièrement quand ça se manifeste ou que ça disparaît, ça rend les gens très nerveux. Et elle n’arrivait jamais à s’en dégager. Cette femme pensait parfois être perdue, et elle était hors d’elle. Et c’était une croyante pentecôtiste, je pense. Mais la dame avait porté... s’était maquillée, elle avait des cheveux courts et tout. Mais la raison pour laquelle elle faisait cela, c’est qu’elle cherchait à s’en débarrasser (Voyez?), cherchant à se dégager de ce sentiment horrible.
Et nous nous sommes simplement mis à parler de... Voyez, c’est ainsi... Billy ne sait donc pas que je dis ceci à Charlie. C’était ce que la grâce... La raison pour laquelle tu as éprouvé ce sentiment-là, Billy, en parlant sans interruption, tu sais, «La grâce, comment ceci? Comment cela? Et comment savez-vous telle et telle chose?»
J’ai dit: «C’est la grâce de Dieu. Ceux qu’Il a connus d’avance, Il les a appelés; ceux qu’Il a appelés, Il les a justifiés; ceux qu’Il a justifiés, Il les a déjà glorifiés. Tout est Dieu.» Et c’était ça. Et elle n’a pas à s’inquiéter de cela.
Elle cherchait à se dégager de cette chose-là. Elle sortait, elle faisait ceci, faisait cela, cherchant à s’en dégager. Mais aujourd’hui, cette pauvre petite femme a trouvé la clé. Elle se rétablira maintenant même. Peut-être qu’elle est ici ce soir. Je ne sais pas, ou peut-être qu’elle est rentrée chez elle. Mais elle peut encore être ici ce soir dans la réunion.
Mais c’est juste pour montrer comment la grâce de Dieu peut accomplir des choses. C’est–c’est infiniment au-delà de tout ce que nous pouvons faire ou penser, n’est-ce pas? Merveilleux.
14 Bon, demain matin, il y aura le petit-déjeuner; j’ai demandé à frère Parker s’il me fallait parler à ce petit-déjeuner, et je cherchais à m’en dégager. Mais il a refusé, disant que j’étais censé dire quelques paroles. Et alors, demain soir, j’aimerais essayer, le Seigneur voulant, de prêcher, d’apporter un petit message.
Et je ne pense pas que je vais encore chercher à faire comme hier soir, parce que je me suis senti très mal à l’aise: j’étais assis là devant des docteurs, des docteurs renommés qui ont de la connaissance, des théologiens comme docteur Lee Vayle, et tous ces autres frères ici que je connais, et, oh! la la! des licenciés et autres, qui ont–qui ont étudié la Bible, qui sont formés là-dessus, et alors moi, je me tiens ici, cherchant à apporter un message de ce genre. Je me suis dit que je viendrais prier pour les enfants malades de frère Parker; ainsi, je–je ferais mieux de rester sur cette ligne-là. Nous sommes donc ici pour apporter une assistance.
15 Eh bien, ce soir, je–j’aimerais essayer de parler et de lire quelques passages des Ecritures; ainsi donc, on ne me fera pas trop traîner, environ trente minutes ou quelque chose comme cela. Ensuite, j’aimerais prier pour vous les malades ce soir. Croyez seulement. Eh bien, tout le monde sait que les êtres humains ne peuvent pas faire ce genre de choses. C’est impossible. Voyez? Et cela doit être l’Esprit de Dieu.
Ainsi donc, nous... Tout ce que nous pouvons faire, c’est prier pour les malades. Je ne peux guérir personne, car vous êtes déjà guéri. Si quelqu’un vous dit qu’il peut vous guérir, c’est faux. Voyez? Si quelqu’un vous dit qu’il peut vous sauver, c’est faux. Vous êtes tous sauvés après tout. Voyez? Tout ce qu’il vous faut faire, c’est juste accepter cela. Vous acceptez ce que Jésus a fait pour vous. Il a été blessé pour vos péchés. C’est par Ses meurtrissures que vous avez été guéris. Vous avez été guéris; c’est déjà au passé.
16 Tout ce qu’il vous faut faire, c’est accepter ce qu’Il a accompli pour vous. C’est tout. Et vous êtes sous le Sang, chacun de vous, sinon Dieu détruirait tout. Vous êtes encore sous le Sang tant qu’il y a un Sacrifice ensanglanté placé là pour nos péchés. Et puis, un jour, quand vous quitterez ce monde sans avoir accepté ce Sacrifice-là, alors vous vous tiendrez là pour vos propres péchés. Et vous êtes déjà condamné (Voyez-vous?), vous ne pouvez donc pas tenir. Et votre guérison est juste... Dieu fraye une belle voie. Voyez, la foi vient de ce qu’on entend. Prêchez la guérison divine. Croyez cela; acceptez cela. Cela... Si c’était moi, voici comment je m’y prendrais. Si vous n’arrivez pas à me croire sur parole, c’est terminé. Vous feriez de même envers n’importe qui d’autre, mais ce n’est pas le cas pour Dieu. Après qu’Il a envoyé Sa Parole, Il place ensuite dans l’église différents dons et autres, pour... juste pour essayer d’apporter cela aux gens. Il est tellement tendre et plein de bonté.
17 Prenons maintenant l’Evangile selon saint Matthieu, l’Evangile selon saint Matthieu, chapitre 15, du verset 21 à 28. Saint Matthieu, chapitre 15, du verset 21 à 28. Suivez attentivement la lecture de la Parole.
Jésus, étant parti de là, se retira dans le territoire de Tyr et de Sidon.
Et voici, une femme cananéenne, qui venait de ces contrées, lui cria: Aie pitié de moi, Seigneur, Fils de David! Ma fille est cruellement tourmentée par le démon.
Il ne lui répondit pas un mot, et ses disciples s’approchèrent, et lui dirent avec instance: Renvoie-la, car elle crie derrière nous.
Il répondit: Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël.
Mais elle vint se prosterner devant lui, disant: Seigneur, secours-moi!
Il répondit: Il n’est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens.
Oui, Seigneur, dit-elle, mais les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres.
Alors Jésus lui dit: Femme, ta foi est grande; qu’il te soit fait comme tu veux. Et, à l’heure même, sa fille fut guérie.
18 Inclinons donc la tête maintenant, pendant que nous parlons à l’Auteur de cette Parole. Bienveillant Père céleste, nous nous approchons maintenant de Ton saint sanctuaire au Nom du Seigneur Jésus. Et c’est amplement suffisant, c’est tout ce dont nous avons besoin, car Il a dit: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.»
C’est pourquoi, nous ne pouvons pas venir en notre propre nom, ni au nom d’une église, ni d’une quelconque assemblée, ni d’une quelconque nation ou race. Nous venons simplement au Nom du Seigneur Jésus. Et nous savons que Tu nous exauceras, car Il a dit que Tu le ferais. Et ce soir, nous ne demandons pas de nous tenir au Trône de Ton Jugement, car nous serons condamnés; mais nous demandons de nous tenir au Trône de miséricorde, c’est là que nous cherchons tous le refuge.
19 Maintenant, Seigneur, je suis conscient du poids énorme de la réunion, et comment cela a dû être sorti de Toi, cette vertu, alors que Tu regardais la multitude de malades, d’estropiés, de boiteux, d’aveugles; quand Tu Te tenais à la piscine de Béthesda et que Tu voyais cette grande foule. Mais il y avait juste un seul homme vers qui Tu as été conduit, et Tu as dit que Tu savais qu’il était dans cet état depuis longtemps, et Tu l’as guéri, ou Tu lui as demandé d’accepter cela.
Et puis, ayant été interrogé, Tu as dit: «En vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.» Seigneur, ne veux-Tu pas nous montrer la volonté de Dieu ce soir pour cette foule de gens malades qui attendent? Nous attendons que l’eau soit agitée afin que les malades puissent y entrer et être guéris.
20 Je Te prie, ô Dieu, de nous pardonner le péché d’incrédulité, tant que nous Te suivons. Et nous confessons, Seigneur, que nous avons manqué de faire ce qui nous est exigé en tant que prédicateurs et en tant que chrétiens. Sois donc miséricordieux envers nous, ô Dieu miséricordieux!
Et comme un homme cria un jour, celui qui avait un garçon épileptique, il dit: «Seigneur, viens au secours de mon incrédulité», nous crions à Toi ce soir, Seigneur. Après que nous avons lu les promesses de cette précieuse Bible et que nous voyons ce qui peut être fait, alors nous crions: «Viens au secours de notre incrédulité.» Envoie la Présence du Seigneur Jésus parmi nous ce soir alors que nous parlons de la Parole. Et que la Parole devienne chair, que notre esprit saisisse cela, croie cela.
Puissions-nous voir le retour du Seigneur Jésus approcher, comme Il a promis, alors que les jours se réduisent maintenant en minutes et heures, ou peut-être en heures et minutes. Et nous ne savons pas exactement à quel point nous sommes proches, Seigneur, mais nous voyons des choses devenir... paraître mûres. Viens-nous donc en aide ce soir.
Nous Te présentons la Parole ce soir, Père, afin que Tu la bénisses. Tire gloire pour Ton Nom, ce Nom auquel nous le demandons, le Seigneur Jésus, et pour Sa gloire. Amen.
21 J’aimerais essayer de tirer de ce petit texte de ce soir, ou plutôt de ce passage des Ecritures, pour juste quelques instants, le sujet, ou un mot appelé Persévérance. Je tire cela des versets que je viens de lire. La Persévérance, c’est–c’est atteindre un objectif, être tenace. J’aime ce mot, et il est vraiment approprié pour l’église d’aujourd’hui, ou il faudrait que l’église soit persévérante. Les hommes de tous les âges qui ont eu foi dans ce qu’ils cherchaient à réaliser ont été persévérants. Peu importe ce que vous essayez de faire, il vous faut croire dans ce que vous faites. Un homme m’a dit, un médecin, il a dit: «Oh! Je pense, Frère Branham, que si–si les gens croient, ils peuvent aller toucher cet arbre-là et être guéris, je crois que cela arrivera.»J’ai dit: «Mais mon précieux frère, les hommes ne peuvent pas avoir foi dans le fait de toucher cet arbre-là. La foi doit être basée sur quelque chose. Et c’est pourquoi, quand une personne arrive à baser sa foi sur la Parole de Dieu, elle peut alors devenir persévérante parce que C’est la Parole de Dieu.»
22 Comme un vieux frère disait, le frère de couleur là dans les Etats du sud, il disait qu’il préférerait se tenir sur la Parole plutôt qu’au Ciel. Et quelqu’un lui a demandé pourquoi. Il a dit: «Parce que les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne passera point.» C’est donc vrai. Se tenir sur la Parole, alors vous pouvez avoir quelque chose, non pas ce que quelqu’un d’autre a dit, ce qu’une école a enseigné, ce qu’un prédicateur a dit, ce qu’un médecin a dit; mais c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Alors, vous pouvez tenir ferme.
Et quelqu’un qui fait quelque chose, s’il cherche à réaliser quelque chose, il doit premièrement avoir foi pour croire cela. Comme celui qui est appelé le père de notre nation, notre premier président, George Washington. Juste sur la côte un tout petit... Quand je lisais il y a quelques années à son sujet, j’ai vu ce manteau qu’ils ont là, qui a été transpercé par des balles. Et il nous est rapporté que la nuit avant (vallée Forge), quand il traversait la rivière, il a prié toute la nuit jusqu’à ce que son... au-dessus de ses hanches, c’était mouillé, là où il s’était agenouillé dans la neige, il cherchait la volonté de Dieu parce qu’il y avait un grand obstacle. Le Delaware était plein de glaces. A peu près la moitié des soldats américains n’avaient pas des souliers aux pieds. On dirait qu’il était estropié, mais il a cherché refuge en Dieu. Et le lendemain, il a traversé la vallée Forge. Il était persévérant. Des balles ont transpercé son manteau sans l’avoir touché. Il cherchait à réaliser quelque chose, il a donc cherché Dieu et il a été exaucé. Il pouvait alors devenir persévérant.
23 C’est ce que nous faisons. Vous devez premièrement trouver la volonté de Dieu avant de pouvoir l’accomplir. Vous devez premièrement savoir ce qu’est Sa volonté sur une affaire, et alors ne pas lâcher prise là-dessus. Et comme cette dame a dit aujourd’hui, elle cherchait à traverser ce mur du son. C’est alors que l’avion prend de la vitesse et vole à une vitesse illimitée une fois qu’il a traversé le mur du son. Eh bien, quand vous arrivez à prier jusqu’à franchir la barrière du doute, alors vous courez librement. Vous pouvez continuer. Et alors, vous êtes... Il n’y a rien qui puisse alors vous déranger, car vous courez librement. Vous avez dépassé l’incrédulité. Cela est déjà réglé. C’est terminé. Lorsque vous avez de l’assurance dans votre coeur, qu’il en sera ainsi, vous êtes tout aussi heureux que si cela s’était déjà produit.
24 Par exemple, peut-être un morceau de pain... Si je crevais de faim et qu’un morceau de pain me sauverait la vie, et que je réclamais du pain, et qu’un homme me donnait vingt-cinq cents (C’est le prix d’achat d’un morceau de pain), je peux devenir tout aussi content en ayant vingt-cinq cents en main que je le serais avec le morceau de pain, car c’est le pouvoir d’achat. Amen. J’ai... Je dois donc avoir cela. Je n’ai pas de pain, mais j’ai le pouvoir d’achat. Eh bien, c’est ça la foi.
Quand vous arrivez à prier jusqu’à avoir l’assurance, vous pouvez être tout aussi heureux que si le cancer était parti, crier à haute voix, car vous avez le pouvoir d’achat, la foi qui déplace la chose. Alors, vous devenez persévérant. Nul ne peut vous dire autre chose. Peu importe ce que quelqu’un d’autre dit alors. Vous avez franchi le mur du son. Vous êtes alors libre, vous pouvez acheter et être persévérant.
25 Noé, comme nous parlions de lui hier soir, ou à son sujet, quand il a entendu la Voix de Dieu lui parler lui annonçant le jugement à venir... Après qu’il eut entendu la Voix de Dieu lui déclarer ce qui allait arriver, qu’Il l’eut construit... et qu’il l’eut plutôt instruit, pardonnez-moi, sur quoi faire, il était devenu très persévérant.
Les moqueurs n’avaient rien. Peu importe combien de membres du clergé se tenaient là et disaient: «Noé, tu es en erreur», il a continué de plus belle. Il a construit l’arche de toute façon. Les moqueurs pouvaient venir par milliers et dire: «Regardez cette vieille baderne. Regardez-le.»
Les hommes de science pouvaient se tenir là et dire: «Noé, regarde ici, ami. Nous t’aimons, mais tu as perdu la tête. Nous avons ici un instrument qui peut atteindre du coup la lune. Et nous pouvons prouver qu’il n’y a pas de pluie ni d’eau entre ici et là qui noierait la terre. Regarde dans cet instrument-ci. Cela le prouvera.» Noé aurait... pouvait avoir dit quelque chose comme ceci: «Peu m’importe ce que votre instrument montre. Vous–vous regardez à cet instrument-là. Moi, je regarde à Dieu et à ce qu’Il a promis de faire. C’est ça. Cela dépend de ce que vous regardez, là où se trouve votre foi. Eh bien, si l’instrument le montre, c’est aussi loin que vous pouvez aller si votre foi est dans l’instrument.
26 C’est comme un précieux vieux frère... J’avais été appelé il y a environ quinze ans afin de prier pour un petit garçon qui se mourait de diphtérie. Il souffrait du coeur, et on a fait un cardiogramme, cela montrait que son coeur battait très bas. J’oublie le pouls, mais il se mourait. La vieille mère et le vieux papa m’ont fait venir de la réunion, ils se sont assis sur les marches pendant deux ou trois jours, et disaient: «Si vous ne venez pas...»
J’ai dit: «Eh bien, trouvez quelqu’un d’autre.»
Il a dit... J’ai dit: «Dieu a Ses hommes partout.»Il a dit: «Mais, Frère Branham, a-t-il dit, vous ne comprenez pas.» J’ai dit... Il a dit: «Puis-je expliquer cela?»J’ai dit: «Je vais essayer de comprendre cela.» Et j’ai dit: «Je suis fatigué, et il n’est pas bien pour moi d’aller à un endroit si je ne peux pas aller à un autre.» Il a dit... Mais j’ai dit: «A moins que le Saint-Esprit me dise d’aller.» Il a dit: «Mais regardez.» Il a dit: «Nous avons assisté à cette série de réunions pendant une semaine.» Il a dit: «Nous savons que c’est impossible, car nos propres gens de notre voisinage venant de différentes églises dénominationnelles, le Saint-Esprit leur disait avec exactitude quoi faire, et comment le faire, depuis l’estrade. Et c’était exact ce que l’Esprit disait.» Ils ont dit: «Frère Branham, nous savons que vous ne pouvez pas faire cela.» Ils ont dit: «Cela doit venir de Dieu.» Ils ont dit: «C’est pourquoi, si vous venez prier pour mon fils, a dit le vieux papa, il sera guéri.»
27 Eh bien, il était persévérant, très tenace. Alors, j’ai pris mon manteau, je suis allé. Nous sommes allés à l’hôpital. Et le médecin m’a rencontré, il a dit: «Je–je ne le dérangerais pas.» Il a dit: «Le petit garçon peut mourir à tout moment.» Et ce médecin était membre d’une autre église dénominationnelle, car je l’avais interrogé.
J’ai dit: «Mais, monsieur, le–le petit garçon se meurt.» J’ai dit: «Etes-vous chrétien?» Il a dit qu’il était membre d’une autre église, une certaine dénomination. J’ai dit: «Eh bien, si votre prêtre venait, et que ce petit garçon était membre de la même dénomination que vous, et que ce prêtre voulait lui administrer les derniers sacrements, laisseriez-vous le prêtre entrer?»
Il a dit: «Certainement.»
J’ai dit: «Eh bien, si ce père croit cela, que si je peux prier pour ce petit garçon, il guérira, tout autant que vous croyez que le petit garçon serait sauvé si le prêtre lui administrait les derniers sacrements.» J’ai dû être aussi un peu tenace. Il m’a donc permis d’entrer. La petite infirmière a soulevé son petit nez et a reculé. Alors, nous nous sommes agenouillés de l’autre côté du lit. Le petit garçon était inconscient.
28 J’ai donc imposé les mains au petit garçon et j’ai offert quelques mots de prière. Et j’ai dit: «Père divin, je ne comprends pas, mais ce pauvre vieil homme crie. Il m’a demandé de venir ici. Tout ce que je sais faire, c’est Te demander.» Et j’ai dit: «Je Te prie d’épargner la vie du petit garçon au Nom du Seigneur Jésus», et je me suis relevé. Alors, le vieux père s’est retourné vers la mère, il a passé ses bras autour de son cou, et ils se sont mis à s’étreindre, à essuyer les larmes de leurs yeux et à dire: «N’est-ce pas merveilleux, maman?» Et je regardais, alors cette petite infirmière a tourné la tête et a regardé. Et eux disaient: «Pensez-y. Il est... Bob va se rétablir. Oh! Nous louons le Seigneur», disaient-ils. Et la petite infirmière... Ils ont tendu la main par-dessus le petit garçon, ils ont serré la mienne, et ils ont dit: «Merci, Frère Branham, d’avoir obéi au Seigneur pour venir offrir la prière de la foi pour notre petit garçon.» Je n’avais point dit plus que la prière.
Et alors, l’infirmière a dit: «Monsieur, je ne pense pas que vous comprenez.»
Il a dit: «Oh! Si, je comprends.»
Elle a dit: «Vous prétendez aimer le petit garçon.»
Il a dit: «Certainement que nous aimons le petit garçon.»
29 «Eh bien, a-t-elle dit, vous voyez...» Il a dit... Elle a dit: «Comment pouvez-vous agir comme cela alors que le petit garçon se meurt?» Elle a dit: «Or, dans toute l’histoire de la médecine, quand cette certaine chose, je ne sais pas ce que c’était, l’instrument descend si bas, le petit garçon ne peut pas reprendre la respiration.» Et elle a dit: «Vous voyez, le petit garçon peut mourir à tout moment. Son coeur bat seulement...» J’oublie son pouls; c’était très critique, et son coeur était en très mauvais état. Il avait des valves ouvertes et tout là-dedans, et l’une des valves était bloquée ou quelque chose comme cela. Elle a dit: «Il est–il est inconscient maintenant. Il est même trop faible pour savoir quoi que ce soit.» Et elle a dit: «Alors, vous pouvez vous tenir là, rire et vous comporter comme cela (Elle ne savait pas quel genre de comportement c’était) et dire.... agir comme cela, alors que votre fils se meurt.»
Et le vieux gentleman (Je ne l’oublierai jamais), il s’est retourné, il a mis sa main comme un père sur les épaules de la petite fille d’environ dix-huit ans, une petite snickle-fritz, vous savez cela (vous savez, la petite Annie), et il a dit: «Ecoute chérie.» Il a dit: «Tu sais, tu regardes cet instrument-là, tu vois?» Et il a dit: «C’est tout ce que tu sais. Mais, a-t-il dit, moi, je regarde à une promesse dans la Parole de Dieu.» Il a dit: «Mon petit garçon va vivre, car Il a dit que la prière de la foi sauverait le malade. Et c’est ce qui a été offert pour mon petit garçon.» Eh bien, ça fait environ quinze ans. Le jeune homme est marié et il a deux enfants. Voyez, la persistance, il croira peu importe ce que l’instrument indique. Sa foi n’était pas dans l’instrument; c’était dans la promesse de Dieu.
30 Noé, après avoir entendu la promesse de Dieu, pouvait être tenace, être persévérant.
Moïse, il avait appris intellectuellement par sa mère pieuse, notre bien-aimée soeur Jokébed... Il avait reçu son enseignement intellectuellement, que sa vie avait été épargnée de crocodiles, que Dieu avait fait de lui un enfant particulier, qu’il était né un libérateur; que sa soeur Miriam, la prophétesse, l’avait suivi jusqu’à la plage où la fille de Pharaon se lavait, et que Dieu l’avait retiré de là, l’avait nourri au palais de Pharaon, et qu’il allait libérer les enfants. Or, il savait cela intellectuellement. Mais, vous voyez, à la toute première erreur...
Oh! Ne manquez pas cela, église. Vous pouvez connaître cela du point de vue de la Parole. Vous pouvez savoir que la Bible dit que la prière de la foi sauvera les malades. Mais priez jusqu’à ce que Dieu dise que la prière de la foi vous sauve. Ça, c’est différent.
31 Moïse savait intellectuellement qu’il était un libérateur. Mais comme il se disait que les enfants de Dieu le comprendraient, quand il a tué l’Egyptien, à la toute première rumeur qui avait circulé, il n’a pas du tout été persévérant. Juste avant même d’arriver auprès de Pharaon, il a détalé vers le désert, car il n’était pas persévérant. Il n’était pas trop sûr. Il savait cela seulement du point de vue de la Parole, la promesse.
Mais un jour, il a vu un buisson en feu, qui brûlait sans se consumer. Alors, Moïse a pris... Il s’est avancé sur le flanc de la montagne. Et dans ce buisson, il y avait la grande Colonne de Feu qui devait le conduire le reste de ses jours. Et de cette Colonne de Feu a retenti une Voix, disant: «J’ai vu les souffrances de Mon peuple. J’ai entendu ses gémissements et Je me suis souvenu de Ma promesse à Abraham, Je suis descendu pour les délivrer. Maintenant, vas-y.»
32 Eh bien, vous parlez d’être persévérant, il s’est avancé droit en face de Pharaon, il a dit: «Laisse-les aller.» Pourquoi? Il avait parlé face à face avec Dieu jusqu’à l’obtention de sa commission. Je pense que si les frères prédicateurs aujourd’hui ne prenaient pas cela juste du point de vue intellectuel, mais qu’ils se trouvaient un endroit derrière le désert, sur la terre sacrée où Satan ne peut poser ses pieds sales d’incrédulité, et qu’ils restaient là jusqu’à ce qu’un message de la part de Dieu les place dans leur position, dans le ministère, alors tous les démons de tourment ne pourront pas vous en ébranler. Vous savez que vous êtes appelé.
Je pense que chaque chrétien devrait faire cela. Avant de venir confesser le Saint-Esprit, confesser que vous avez le baptême, il devrait y avoir un contact personnel avec Dieu tel que tous les intellectuels du monde ne peuvent pas vous en dissuader. Vous en êtes sûr. Vous avez été là. Vous avez eu le témoignage. Vous savez que c’est vrai. C’est une exigence. Jésus a dit à Ses disciples: «Attendez. Vous connaissez le côté intellectuel. Vous connaissez la Parole. Mais attendez là-haut dans la ville de Jérusalem jusqu’à ce que vous soyez revêtus de la puissance d’En Haut.» Alors, ils étaient sûrs. Oh! la la!
33 Comme le petit David, là derrière le désert, un petit blond aux épaules voûtées qui paissait ses brebis là-bas pour son père; un jour, un ours arriva et attrapa un agneau, il le pourchassa; il prit sa petite fronde et tua l’ours. Et puis encore, un lion arriva et attrapa un autre, il s’enfuit avec un petit. Et le petit David... C’étaient les brebis de son père. Il le pourchassa avec une petite fronde, non pas avec une arme à feu là, une fronde avec une pierre. Mais sa confiance était en Dieu. Il lança la pierre, frappa le lion, le terrassa. Et quand le lion se releva, David le tua et ramena la brebis. Il était tenace, parce que... Pourquoi? Il avait la charge des brebis de son père.
34 Je pense que tel devrait être le sentiment de chaque membre du clergé. Nous avons la charge, de la part de Dieu, des brebis du Père. Le vieux démon de maladie a frappé parmi vous les chrétiens. Il cherche à vous emporter. Moi, je n’ai pas d’instruction, je–je ne sais rien sur la médecine. Mais tout ce que j’ai, c’est une petite fronde de prière. Je viens à votre recherche ce soir, je vais vous ramener. Il a promis que la prière de la foi sauverait le malade.
Peut-être que le grand intellectuel, de grandes sciences médicales et autres, peuvent s’en moquer. Je n’en sais rien. Comme David, quand il a essayé de prendre une épée et de se revêtir du veston ecclésiastique de Saül, cela ne lui convenait pas. Cela ne convient jamais à un vrai homme de Dieu. Mais il a pris... Il a dit: «Laissez-moi aller avec ce que j’ai éprouvé.»
C’est tout ce que je sais, chrétiens, c’est aller avec ce que j’ai établi être la Vérité. C’est la Parole de Dieu, Sa Parole, se tenir Là-dessus. Allez à la recherche de Ses enfants malades. Ramenons-les dans de verts pâturages où il y a de l’ombre, des eaux paisibles, la bonne santé, la force.
35 Ce drôle de petit Samson se tenait là, il a pris (comme nous parlions de lui l’autre soir), avec les Philistins tout autour de lui, il n’avait que la mâchoire d’un mulet. Mais quand il pouvait renvoyer sa main en arrière et tâter ces sept petites tresses, il devenait très tenace.
Schamgar, beaucoup de gens n’ont jamais lu à son sujet dans la Bible. C’était l’un des juges d’Israël. Il y a juste un petit paragraphe écrit à son sujet dans toute la Bible. Mais quand il se tenait là, après la moisson... Ses petits enfants avaient l’air maigres et pauvres, sa femme, peut-être, avec une robe qui n’avait plus de manches. Les Philistins venaient directement et s’emparaient de ce qu’ils avaient aussitôt qu’eux avaient fini tout le travail. Il allait à un bon endroit, alors les Philistins venaient et lui arrachaient tout.
36 Alors, quand il eut battu tous ses grains et les eut mis dans le grenier, il s’est dit: «Eh bien, peut-être que nous pouvons vivre de cela. Je peux vendre un peu, et acheter quelques petites robes pour mes jeunes filles, et des chaussures pour mes jeunes garçons; peut-être être en mesure d’avoir une petite robe bon marché pour ma femme cette année.» Il a entendu quelque chose. Ayant ouvert la fenêtre de la porte du grenier, il a regardé par là (la porte du grenier plutôt) et il a regardé dehors. Mille Philistins avec des armes, des lances, des épées, des hommes formés, venaient là d’un pas lourd sur la grand-route. Ils allaient emporter son grain.
Il s’est tenu là. Eh bien, il n’était pas un guerrier; il était un fermier. Il n’avait même pas une épée, à ce que je sache. Mais il lui est arrivé de se souvenir: «Je suis un Juif; je suis circoncis. Je suis un enfant de Dieu. J’ai un droit. J’ai accès auprès du même Dieu de David. J’ai accès auprès du même Dieu de Moïse. J’ai accès auprès du même Dieu de Daniel.» Et il... l’Esprit est venu sur lui, et il a saisi cet aiguillon à boeufs, il s’est avancé là, et il a été tenace. Il a tué mille Philistins avec un aiguillon à boeufs, un morceau de bois, dont on se servait pour pousser une vache, il a tué mille Philistins.
37 Une fois, j’entrais dans un stade où je devais prêcher, et c’était un grand espace pour des gens, plusieurs milliers, attendant. Et j’ai lu un petit quelque chose au sujet de ce stade-là et chaque fois... C’était un stade de football. Cela m’a toujours encouragé. Il y avait un petit écriteau là qui disait: «Ce n’est pas la taille du chien dans le combat qui compte, mais c’est le poids du combat dans le chien.» Je me suis donc dit que tout est là. Il faut que beaucoup de vrais chrétiens deviennent tenaces. «Dieu l’a promis, et c’est à moi.» C’est vrai.
Jean-Baptiste était très tenace. On disait... peut-être Caïphe, ou l’un des sacrificateurs, venait et disait: «Voici révérend docteur en philosophie Untel. Ne pensez-vous pas qu’il convient comme Messie?»
Jean disait: «Ce n’est pas lui.»
On amenait un autre. «Voici un homme de bien. Qu’en est-il de lui?»
«Ce n’est pas lui», car il savait que ça serait Celui sur qui il verrait descendre du ciel cette colombe. Alors, il a été tenace. Oh! Il y en a trop dans la Bible, de quoi parler; je n’aborderai jamais cela.
38 Arrivons-en à la femme grecque. Premièrement, elle était une Grecque. Elle n’était pas une Juive; elle était une femme des nations. Mais elle avait entendu parler de la réputation de Jésus. Elle avait aussi entendu les critiqueurs, combien on Le critiquait. Mais elle n’a pas fait cas de critiqueurs. Elle a prêté l’oreille à la réputation. Elle, étant une Grecque...
Vous savez, vous avez toujours un obstacle. Mais vous savez, d’une façon ou d’une autre, la foi trouve une ressource que les gens ne voient pas. La foi trouve ses ressources. Les gens ne voient pas cela. Ça a dû donc être le cas de cette petite femme, cette foi-là avait trouvé une ressource. La Parole de Dieu, la Bible déclare, dans Hébreux 4.12, qu’Elle est une Epée, c’est une Epée tranchante pénétrante jusqu’à séparer l’os et la moelle, jusqu’à séparer l’esprit, Elle discerne les sentiments et les pensées du coeur. C’est ce qu’est la Parole de Dieu.
39 C’est pourquoi Jésus pouvait discerner les pensées des gens, car Il était la Parole. Et «si la Parole demeure en vous...» Et alors, ce n’est pas vous; c’est la Parole qui sort et discerne. Il n’y a qu’une seule chose qui peut manipuler Cela, cette Parole-là. Ce n’est pas une instruction. Je vais vous en assurer. La foi est l’unique chose qui peut tenir cette épée de la foi. Comme je l’ai dit l’autre soir, la foi dans la Parole de Dieu percera un trou dans toute difficulté. Mais il vous faut croire cela.
Elle a connu beaucoup d’obstacles. Elle en avait elle-même, mais sa foi n’en connaissait aucun. Non. La foi ne connaît pas d’obstacle. La foi croit simplement cela. Elle ne connaît pas du tout d’obstacle. Vous avez déjà dépassé le mur du son, comme cette femme en parlait. La foi ne connaît pas d’obstacle. Vous en connaissez peut-être, mais votre foi n’en connaît pas. Votre foi ne connaît pas du tout d’obstacle.
40 Peut-être qu’elle... Ils lui ont peut-être dit: «Tu es Grecque. Tu ne devrais pas aller là. C’est un Juif. C’est un Juif sur qui on dit toutes ces choses. Toi, tu es une Grecque.» Mais, vous voyez, ils cherchaient à ériger une barrière raciale là; mais la foi ne connaît pas de barrière raciale, elle ne connaît pas du tout cela. Non. En effet, elle a peut-être pu penser ceci: «S’Il est Celui que je crois être, Il est Dieu. Et s’Il est Dieu, Il est le Créateur de toute création. S’Il est Dieu, Il est le Dieu de toute la création. Et s’Il n’est pas le Dieu de toute la création, alors Il n’est pas Dieu.» Voilà une bonne façon de considérer cela.
41 Eh bien, peu importe qu’elle soit une Grecque, elle était toujours tenace. Elle avait de la persévérance. Après, quelqu’un s’est peut-être avancé là avec ce vieux dicton, vous savez (on a toujours cela aujourd’hui): «Les jours des miracles sont passés. Cela n’existe pas.» Mais peu importe combien on lui criait: «Les jours des miracles sont passés», elle était toujours tenace. Cela pouvait valoir pour ceux qui le croyaient, mais pas pour elle. Quelque chose était déjà arrivé à l’intérieur, qui lui faisait savoir que cela n’était pas passé.
Avant que vous franchissiez cette barrière-là, ça ne vous fera jamais du bien. Vous devez franchir cette barrière-là: «Dieu a existé, sinon Il n’existe pas aujourd’hui.» Il est toujours Dieu, si jamais Il a été Dieu. S’Il n’est pas le même Dieu aujourd’hui, Il n’a jamais été Dieu. Voyez? C’est ça. C’est l’homme qui a perdu sa foi, ce n’est pas Dieu qui a perdu Sa puissance, ce n’est pas Dieu qui est revenu sur Sa promesse. C’est l’homme qui est revenu sur la promesse, pour croire.
Elle était toujours persévérante. Si les jours des miracles étaient passés pour eux tous, ce n’était pas passé pour elle. Pourquoi? Elle avait franchi le mur du son. Elle s’était emparée de quelque chose. Quelque chose l’avait frappée.
42 Eh bien, il y a toujours un autre groupe pour cette petite femme comme cela. Certains d’entre eux ont peut-être dit: «Tu sais quoi? Ton mari est un homme d’affaires. Il est membre d’une grande église par ici, de ce côté. Si tu vas là auprès de ce groupe-là, ton mari va te quitter.» Eh bien, ça, c’est une énorme barrière à franchir. Mais je vous assure, si jamais vous vous emparez de la foi comme elle, cela ne change rien. Oui, oui. Exact. Cela ne changeait rien pour elle, mari ou pas mari. Elle était en route pour rencontrer Jésus. Elle était persévérante.
Et alors, peut-être qu’il y a un autre groupe qui se tient toujours là, qui dit: «Mais attends une minute. Si tu y vas, Lydie (ou je ne sais quel était son nom), tu sais que tu deviendras la risée de notre nation; en effet, tu sais qu’il n’y a rien là. Et tu sais que ce n’est qu’une fable juive. Ils ont toutes sortes d’histoires dont nous avons entendu parler, mais ce ne sont que des proverbes, une chanson qu’ils chantent.» Vous savez, on a toujours ce groupe-là. Exact. Alors, mais lorsqu’elle est arrivée à ce groupe-là, qu’elle deviendrait la risée et tout, elle a été très tenace. Elle les a dépassés du coup.
43 Très bien. Puis un groupe de prédicateurs est apparu là. Oh! la la! Celui-là en était un de difficile à franchir. «Eh bien, regarde ici... (Je l’ai appelée Lydie. J’espère qu’il n’y a pas une Lydie ici, c’était peut-être son vrai nom. J’espère que vous avez la même foi qu’elle.) Ainsi donc, quand Lydie est arrivée au niveau de l’association de prédicateurs, ceux-ci ont dit: «Une chose, tu sais que tu es membre de notre église ici, et c’est une... pentecôtiste», ou une espèce de groupe par-là, vous savez.
De toute façon, ils lui ont dit: «Si tu y vas, nous te remettrons tes documents d’église, ta lettre. Nous allons carrément effacer ton nom du registre. Tu ne pourras plus revenir à l’église. Nous allons te renvoyer, et tu deviendras la risée. Ton mari divorcera d’avec toi, et il ira épouser une femme meilleure que toi», et toutes ces choses.
44 Mais cela ne l’a pas du tout arrêtée. Lettre d’église ou rien d’autre, ça ne l’a pas arrêtée. Pourquoi? Elle en avait entendu parler. «La foi vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la Parole de Dieu.» Elle était persévérante. Elle a directement franchi chaque barrière.
Maintenant, elle arrive auprès de Jésus. Eh bien, elle s’est dit: «Tout est fini maintenant.» C’est ce que les gens pensent lorsqu’ils reçoivent le Saint-Esprit: «Tout est fini.» Ce n’est que le début. C’est alors qu’il vous faut être persévérant, (Voyez?) lorsque vous y arrivez. Quand elle est arrivée auprès de Jésus, Jésus a dit...Il lui a donné une secousse très forte. Je pense qu’Il savait qu’elle venait. Quand elle est donc arrivée, Il s’est tourné vers elle, Il lui a fait savoir qu’Il n’était pas envoyé à sa race. Oh! la la! Quel découragement cela a pu être!
Oh! Mais qu’est-ce que cela a fait? Cela ne l’a pas du tout arrêtée, pas du tout. Elle L’a encore appelé Fils de David. Evidemment, les Gentils n’ont pas de droit sur Christ sous le nom de Fils de David. Non, non. Voyez, le Fils de David, c’était sous la Royauté, et Christ est le Roi des Juifs. Mais pour l’église, Il n’est pas le Roi; Il est le Seigneur. Amen. Il est le Mari, comme Sara appelait Abraham son seigneur. Il est le Seigneur de l’église, mais le Roi de la race juive.
45 Alors, quand elle L’a adoré et a dit: «Seigneur, secours-moi», Jésus a dit: «Mais tu sais, il n’est pas bien pour Moi de prendre le pain des enfants et de le jeter à vous les petits chiens.» Oh! la la! Si c’était une pentecôtiste moderne, elle lèverait son petit nez et dirait: «Je n’irai plus jamais à une réunion comme celle-là.» Pourquoi? Ils n’ont pas l’espérance qu’elle avait. C’est vrai. Elle avait l’espérance. Elle en avait entendu parler, et la foi s’était emparée de cela. Elle avait une raison; elle avait un besoin. Elle n’allait simplement pas lâcher prise. C’est vrai. J’aime ça. Oui, oui. Elle a continué à tenir ferme, quand bien même elle a été taxée de petite chienne, d’une race plus basse que celle de petits chiens
Il a dit: «Je n’ai pas été envoyé à ta race. J’ai été uniquement envoyé aux brebis perdues de la maison d’Israël.»
Elle a dit: «Seigneur, secours-moi.»
Il a dit: «Il n’est pas bien pour Moi de prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens.» Oh! la la!
46 Elle n’était pas une plante de serre, qui devait être dorlotée. Non, non. Non, non. Elle n’était pas une plante de serre, qui devait être cajolée, dorlotée. Elle n’était pas une hybride moderne, une soi-disant croyante de la récolte d’aujourd’hui. Elle s’était emparée de quelque chose. Non pas: «Eh bien, je suis méthodiste, je ne dois pas recevoir cela.» «Béni soit Dieu, je suis membre des Assemblées, je suis membre de l’Eglise de Dieu. Je ne dois pas recevoir cela.» Non, non. Ça, c’est un type hybride. Vous avez été engendré dans une organisation. Mais les véritables et authentiques chrétiens pur-sang, nés de la Parole de Dieu, tiennent bon, peu importe ce qui arrive.
47 Tout ce qui semble être muet pour moi, c’est un mulet. Un mulet ne connaît pas ses origines. Il n’est pas un mulet, il n’est pas un cheval. Il est entre un mulet et un cheval. Il n’est pas gentil, il est mesquin, il est vil. Il attendra toute sa vie pour vous donner une ruade juste avant qu’il meure. Vous pouvez l’appeler, il va simplement dresser ses grosses oreilles: Hi-ham, hi-ham. Voyez? Il ne sait pas. C’est vrai. Il est hybride.
C’est ça le problème de l’église aujourd’hui: trop de soi-disant chrétiens hybrides. C’est vrai. Ils dressent leurs oreilles et disent: «Hi-ham, les jours des miracles sont passés. Hi-ham, hi-ham.» Vous ne savez pas si vous êtes chrétien ou pécheur. Vous ne savez pas si vous êtes croyant ou un incroyant. Hybride.
48 Tout ce qui est hybride sort du principal chemin battu. Il nous faudrait avoir un peu de temps pour parler de la semence originelle, voir d’où elle vient. L’hybride ne sait pas à quoi il appartient, il ne connaît pas qui était son papa, qui était sa maman, ni rien. Non, il ne sait pas. Il n’a pas de pedigree. Il ne peut pas avoir un pedigree. Il ne peut jamais se reproduire. C’est ça le problème des églises aujourd’hui. Elles ne peuvent pas se reproduire. Elles sont hybrides. Elles ne savent pas si elles appartiennent à Dieu, ou à une dénomination. Tout ce qu’elles peuvent produire, c’est un membre d’église, pas un chrétien, je pense. Peut-être que je n’aurais pas dû dire cela, mais c’est déjà dit. C’est vrai. Il ne sait pas à quoi il appartient. Il sait simplement qu’il est méthodiste, baptiste, ou pentecôtiste. C’est tout ce qu’il sait.
49 Mais, oh! qu’il est beau, ce pur-sang! Oh! la la! Il peut vous dire qui était son papa, qui était sa maman, qui était son grand-père, qui étaient sa grand-mère, l’arrière-grand-mère et tout dans la lignée. Il sait. Il est gentil et doux. Vous pouvez lui parler; il écoute. Il peut mettre sa tête sur votre épaule, il est plein d’amour. Pourquoi? Il est pur-sang.
C’est pareil avec un chrétien né de l’Esprit de Dieu, un pur-sang. Il ne se mêle pas à des disputes dénominationnelles. Il sait qui est son Père. Il sait d’où il vient. Il sait d’où vient l’Esprit. Il sait de Qui il est né. Il ne discute pas sur vos credos. Vous pouvez lui parler de l’amour, de la guérison divine, de toutes ces choses, parce qu’il est né de Dieu. Tenace, je devrais dire. Vous n’avez pas à le battre. Il portera de toute façon la charge. Exact. Oh! la la! Comme c’est merveilleux. Des chrétiens hybrides qui sont... on a aujourd’hui.
50 Pas elle. Absolument pas. Observez. Quand Jésus a dit: «Je ne suis pas envoyé à ta race», la soumettant à l’épreuve... Elle a passé un temps horrible à arriver auprès de Lui. Mais une fois arrivée auprès de Lui, elle a connu alors une déception. «Je ne suis pas envoyé à ta race.»
Mais quand elle a dit: «Seigneur, secours-moi», Il a dit: «Il n’est pas bien pour Moi de prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens.»
Suivez ça: «Oui, Seigneur.» Oh! la la! La foi acceptera toujours que la Parole a raison. Oui. Oui. «Oui, Seigneur. Mais je veux seulement des miettes.»
Ce n’est pas un croyant moderne d’aujourd’hui. «Vous viendrez faire cela comme je veux que vous le fassiez, sinon je–je–je ne recevrai pas cela.» Oui. C’était le cas avec Naaman, en cherchant à se débarrasser de sa lèpre.
51 Mais vous devez recevoir cela tel qu’Il le donne. Lorsque la foi s’empare de cela, vous allez continuer avec. Oui. Elle cherchait seulement des miettes. Rappelez-vous, cette femme n’avait jamais vu un miracle. C’était une Grecque. Mais elle croyait cela de toute façon. Elle était comme Rahab, la prostituée.
Rahab, la prostituée, quand elle a entendu... Quand elle a caché les espions, c’était une femme des nations, une rejetée, une prostituée. Mais quand elle a entendu, elle n’a pas dit: «Faites venir Josué ici et laissez-moi le voir. Laissez-moi voir sa taille, combien il est beau, comment il se peigne les cheveux, comment il s’habille, combien il est grand, combien larges sont ses épaules.» Elle ne s’est pas souciée de son aspect.
Elle a dit: «J’ai appris ce que Dieu a fait pour vous.» Vous y êtes. «Peu m’importe l’apparence de Josué. Peu m’importe qu’il ait un doctorat en philosophie ou en droit, ou qu’il n’ait rien. Je sais que Dieu est avec vous, et je veux la protection.» Amen.
52 «Peu m’importe qu’on les taxe de saints exaltés, de fanatiques pentecôtistes du Plein Evangile, de je ne sais quoi, je veux Dieu. Je veux Sa grâce; je veux Sa puissance; je veux Son amour; je veux Son pardon. Peu m’importe de quoi vous devez être taxé. Je n’ai pas à voir ceci, cela ou autre, qu’Il soit grand ou petit, ou quoi qu’Il soit, je–je veux seulement Le voir. Je veux avoir Sa grâce et Sa miséricorde avec moi.» C’est ce dont nous avons besoin. Suivez. Cette femme a eu une approche correcte du don de Dieu. Combien c’était différent de ces pharisiens! Combien ça l’était par rapport à ces Juifs, les chefs! Eux disaient: «Nous voudrions Te voir faire un miracle.» Oh! ça, du côté des ecclésiastiques.
53 Mais cette ignorante pauvre petite femme des nations a juste dit: «Seigneur, je veux seulement les miettes.» Elle a dit: «Les–les... Tu sais que les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres, et c’est tout ce que je demande.» Elle n’a pas dit: «Tu dois venir chez moi et imposer les mains à mon enfant.» Elle n’a pas dit: «Si Tu viens parler en langues là, et me dire tout à ce sujet, je–je–je croirai cela.» Elle a dit: «Je veux seulement les miettes. Juste ce qui tombe, c’est tout ce que je cherche.» Voyez, elle a eu une bonne approche. Elle a eu une bonne approche du don de Dieu. Elle était la première femme des nations sur qui Jésus a donc accompli le miracle, la première femme des nations.
54 La foi accepte toujours que la Parole est vraie, et la foi agit toujours avec humilité. La foi accepte toujours que la Parole est vraie, et elle agit toujours avec humilité. Considérez Marthe et Marie. Alors que la petite Marthe était beaucoup ridiculisée, ou on dit souvent qu’elle s’occupait du nettoyage de la maison... Mais quand Lazare mourut, elle est allée auprès de Jésus. Regardez combien elle était tenace, persévérante. Elle a dû passer par tous les critiqueurs qui disaient: «Où est ce Prédicateur saint exalté qui était par ici, qui prétendait aimer beaucoup votre frère?» Voyez? Jésus savait, le Père Lui avait dit: «Pars et attends jusqu’à ce que Lazare soit mort, et Je vais Te faire revenir.» En effet, Il l’a dit. Il a dit qu’Il ne faisait rien avant qu’Il l’ait vu faire au Père. C’est vrai.
55 Il est donc parti, on L’a envoyé chercher, Il n’est pas venu. Je m’imagine qu’on s’est moqué d’elle à ce moment-là. «Où est-Il? Hé, hé. Il a fui.» On L’a encore envoyé chercher, Il est encore parti, Il est allé dans une autre ville. Puis, finalement, Il a fait demi-tour et a dit à Ses disciples: «Lazare dort.» Eux ont dit: «Eh bien, il fait bien.» Il a dit: «Il est mort. Et à cause de vous, Je me réjouis de n’avoir pas été là. Mais Je vais le réveiller.» Mais la petite Marthe ne L’avait pas entendu dire cela. La voici venir, tenace. Elle a dit: «Seigneur, si Tu eusses été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant même, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.» J’aime ça. Oh! J’aime ça! «Maintenant même, maintenant même...» Vous pouvez dire: «Frère Branham, le médecin m’a dit que je...» Mais–mais: «Maintenant même.» «Je–je suis malade ça fait quarante ans.» Mais: «Maintenant même, Seigneur.» Oh! la la! «Je cherche le Saint-Esprit depuis longtemps.» Mais: «Maintenant même, Seigneur, pendant que je suis dans Ta Présence...»
56 «Tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu l’accordera.» Il a réagi pas de façon encourageante. Voyez, Il vous éprouve, pour voir à quel point vous êtes tenace. Ne lâchez pas. Et si la foi a réellement pris prise, elle ne lâchera pas. Elle a dit: «Maintenant même, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te l’accordera.»
Jésus s’est retourné et a dit: «Oui, a-t-Il dit, Marthe, a-t-Il dit, ton frère ressuscitera lors de la résurrection. Il ressuscitera au dernier jour.»
Elle a dit: «Oui, Seigneur. C’était un bon garçon. Je savais que c’était un bon garçon. Je... Tout ce que je crois.»
Jésus a dit: «Je suis la Résurrection et la Vie. Celui qui croit en Moi ressuscitera quand même il serait mort. Quiconque vit et croit en Moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?» Toi... Eh bien, qu’est-ce que cela lui a fait?
57 Or, elle avait le droit de Le réprimander et dire: «Pourquoi n’es-Tu pas venu? Je T’avais appelé. J’ai quitté mon église. J’ai quitté mon organisation. J’ai quitté mes amis. J’ai quitté la partie des cartes. Je ne suis plus allée aux jeux d’arnaque. J’ai abandonné cela, tout. Je suis venue, croyant en Toi.» Rappelez-vous, le Saint-Esprit n’avait pas encore été donné, pour donner un enseignement différent.
58 Mais elle aurait dit: «J’ai tout abandonné, et je T’ai suivi. Et quand j’ai eu besoin de Toi, Tu n’es pas venu. Quand j’ai envoyé Te chercher, Tu m’as ignorée, Tu es allé de l’avant. Et j’ai envoyé encore Te chercher, Tu ne m’as pas répondu.» On dirait qu’elle pouvait bien avoir une dispute avec Lui, mais elle a oublié tout à ce sujet. Elle voulait arriver auprès de Lui. C’est pourquoi elle a reçu ce qu’elle cherchait.
Comme la femme sunamite devant Elie. Elle était tenace. Elle s’est avancée et s’est prosternée à ses pieds, et elle a dit... Elie a dit, après avoir découvert son problème, il a parlé à Guéhazi, disant: «Prends mon bâton. Va et mets-le sur l’enfant.» Et il s’est ceint les reins et il est parti.
Mais elle était tenace. Sa foi n’était pas dans le bâton; elle était dans le prophète. Et elle a dit: «L’Eternel Dieu est vivant, et ton âme ne mourra jamais, je ne te quitterai pas.» Elle était tenace. Il ne pouvait pas se séparer de cela. Il s’est donc ceint les reins et il a détalé. Amen. C’est ce qui se passe.
59 Si la femme sunamite a pu avoir une telle foi dans un prophète, si Marthe a eu une telle foi en Jésus, qu’en est-il aujourd’hui, après que nous avons eu deux mille ans de miracles qui se déversent constamment? Alors qu’à travers le monde, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, les gens sont guéris et remplis du Saint-Esprit à travers le monde; des miracles de guérison et de résurrection des morts, les démons sont chassés; ne pouvons-nous pas être tenaces pour nous accrocher à la Parole de Dieu, sachant qu’Il ne fait acception de personne, tenir là, tenace jusqu’à ce qu’Il vienne? Assurément. Tenace... Certainement.
60 Comme la femme... est descendue au tabernacle il y a environ trois ans. J’étais là pour une soirée. Une femme était là, souffrant d’une tumeur de cinquante livres [22, 6 kg]. Elle était gonflée comme ceci. Peut-être que cette femme est ici ce soir. Je suis entré par la porte de derrière, je suis entré au petit vieux tabernacle là, et j’ai prêché. Et puis, j’ai fait demi-tour et je suis rentré. Elle venait de la Californie, elle ne pouvait pas marcher. Elle était cependant tenace. On a dit... Elle a dit: «Je suis venue pour que frère Branham prie pour moi.»
Certains anciens ont dit: «Il a annoncé qu’il ne prierait pas pour les malades ce soir.»
Elle a demandé: «Par où sort-il?» Pas en moi, elle avait foi en Dieu.
61 Alors, deux des anciens de l’église, ou trois, ont pris cette femme très costaude, l’ont transportée jusque vers la petite porte par laquelle je sortais, derrière le tabernacle, sans savoir moi-même qu’elle était là pour qu’on prie pour elle. Et j’avais terminé la prédication. Je sortais, et elle m’a saisi par la jambe du pantalon, elle s’est accrochée là. Elle a dit: «Frère Branham, je ne voudrais pas prendre votre temps afin de prier pour moi, mais imposez-moi simplement les mains.» C’est ça. Elle était déterminée. Environ six ou huit mois plus tard... Cette femme se tenait là cette nuit-là, gonflée comme cela. Les médecins n’osaient pas la toucher, pour rien. Elle est revenue à mes réunions là en Californie (elle y sera encore cette fois-ci; elle fréquente le tabernacle depuis lors), tout aussi plate que moi. Elle a dit: «N’importe quelle femme peut venir m’examiner. Il n’y a pas de trace de bistouri sur moi. La chose m’a quittée.» Pourquoi? Elle était tenace. Amen. Sa foi était ferme.
Ma foi ne repose sur rien d’autre
Que sur le Sang de Jésus et Sa justice;
Quand tout cède autour de mon âme,
Alors Il est tout mon espoir et mon appui.
Car sur Christ, le solide Roc, je me tiens;
Tout autre terrain n’est que du sable mouvant.
Tenace. Sa foi s’était emparée de Sa Parole et elle n’allait pas lâcher.
62 Comme Michée l’était là devant Achab et Josaphat. Il y avait cinquante... ou plutôt non, quatre cents, je pense, hommes bien cultivés qui s’étaient présentés là, bien nourris, bien habillés: des prophètes d’Achab. Ils se sont présentés là, prophétisant. Josaphat étant un homme juste, il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond. Voyez, il n’avait pas de foi.
Tous ces hommes se tenaient là, tout le séminaire était venu. Ils disaient: «Ecoutez ça. Montes-y, Achab.» En effet, ils jugeaient. «Ce territoire vous appartient, Ramoth en Galaad. C’est pour vous, cela vous appartient donc. Montes-y et empare-toi de cela. L’Eternel est avec toi.» Un gars s’était fait une énorme paire de cornes, comme ceci. Il disait: «Avec ceci, Tu le bouteras hors du territoire.»
Josaphat a regardé et il a vu qu’il n’y avait pas de foi. «Peu importe, a-t-il dit, tenez. Il a dit: «N’avez-vous–n’avez-vous pas un autre?» Il a dit: «Un autre? Il y a quatre cents parmi les meilleurs. Ils sont instruits; ils sont formés. Ce sont des hommes de Dieu.»
63 Mais vous voyez, il n’y avait pas de foi là. Il a dit: «Assurément que vous devriez en avoir un autre quelque part.»
Il a dit: «J’en ai un, mais je le hais.» Il a dit: «Il me réprimande toujours.»
«Oh! a-t-il dit, que le roi ne parle pas comme ça. Qu’on envoie le chercher.»
Il a dit: «C’est Michée, le fils de Jimla.»Savez-vous donc quoi? Le conseil de diacres est allé, il l’a rencontré, il a dit: «Eh bien, écoute ça, Michée. Si tu veux regagner l’organisation, tout ce que tu as dit contre eux, te seras pardonné, si seulement tu répètes la même chose qu’eux. Dis la même chose.» Michée, j’aime cet homme de Dieu. Il a dit: «Je vais seulement dire ce que Dieu mettra dans ma bouche.» Il est donc arrivé là devant lui, il a dit: «Donnez-moi cette nuit.» Et il doit avoir prié toute la nuit. Vers l’aurore, il a eu une vision. Quand il a eu la vision, il l’a comparée à la Parole.
C’est ainsi qu’il faut vérifier si votre vision est vraie ou pas. Toutes sortes de visions ne sont pas vraies. Mais si c’est contraire à la Parole, laissez cette vision-là de côté. Mais si c’est conforme à la Parole, accrochez-vous-y.
64 Alors, Michée a donné sa prophétie, qu’il avait vu Israël dispersé comme des brebis. Eh bien, quatre cent prédicateurs étaient là, eux tous en forme, eux tous des prophètes, de grands hommes, la force ecclésiastique. Mais Michée était tenace. Il avait vérifié sa vision à la lumière de la Parole. Il savait que c’était vrai. Il savait que ce vrai prophète... Elie avait prophétisé du mal contre Achab; et comment pouvait-il dire du bien après que la Parole de Dieu avait dit du mal?
Comment pouvez-vous bénir ce que Dieu a maudit? Ou comment pouvez-vous maudire ce que Dieu a béni? Cela doit être conforme à la Parole. Parfois, vous devez vous tenir seul, mais tenez-vous là. C’est vrai. Soyez tenace. Accrochez-vous à cela. Peu importe ce que quelqu’un d’autre dit, accrochez-vous-y. Michée s’est bien accroché à cela. Et, évidemment, nous voyons que cela s’est avéré correct. La foi ne renie jamais la Vérité de la Parole, mais elle s’y accroche peu importe combien cela paraît ridicule. La foi s’accroche bien à la Vérité de la Parole.
Pierre (pour terminer)... Oh! la la! Pourquoi personne ne m’a tiré? Je ne savais pas qu’il était si tard. Excusez-moi, mes amis. Je ferais mieux d’arrêter ici même donc. Je dirai juste quelques petits commentaires de plus ici (Voyez?), et puis, partir. Changeons cela juste une minute. D’accord. Remarquez. (Merci.)
65 Il y eut l’apôtre Pierre. Nous allons éclaircir cela juste un instant. Pierre, apôtre, il avait eu un bon vieux père. Son nom était Jonas. Je peux bien m’imaginer Pierre et André, et Jonas... c’étaient des pécheurs. Je peux voir le vieux Jonas, à environ quatre-vingts ans, là, se servant de ses petits vieux bras faibles pour ramener les filets. Il constate qu’il perdait sa force, il savait qu’il allait bientôt s’en aller. Je peux le voir s’asseoir sur le côté de la barque, après une bonne prise ce jour-là. Il avait prié ce matin-là.
Il a dit: «Mes fils, approchez-vous de moi.» Il a peut-être dit cela comme ceci: «Vous savez, nous avons attendu le Messie, et nous savons qu’Il viendra. J’ai vivement désiré Le voir. Je pensais assurément qu’Il viendrait dans ma génération. Mais on dirait que je m’en irai avant Sa Venue. Je me fais vieux. Mais mes fils, ne soyez donc pas embrouillés. Juste avant Son apparition, il va y avoir toutes sortes de fanatismes qui se lèveront autour de cela», comme toujours.
66 C’est le diable, cherchant à placer l’épouvantail là (Voyez?), cherchant à vous effrayer. Mais, rappelez-vous, les épouvantails sont toujours placés à un bon arbre. Souvenez-vous-en donc, pas à un arbre qui a des pommes aigres, non. C’est toujours là où il y a quelque chose de bon à manger.
Il a donc dit: «Souvenez-vous donc. Eh bien, il se lèvera certains qui diront qu’ils sont ceci, d’autres diront qu’ils sont cela, d’autres vont dire qu’ils sont autre chose, et ils prétendront être des messies et tout le reste. Mais ne croyez pas cela. Eh bien, le seul moyen de se rassurer, c’est de prendre ce que la Parole dit.»
«Eh bien, la Parole a dit, Moïse, le prophète de Dieu.» Et la Parole vient toujours au prophète. Il a dit: «Eh bien, Moïse a dit que le–l’Eternel ton Dieu te suscitera un prophète comme moi.’ Eh bien, ça fait des centaines d’années que nous avons vu un prophète. Mais, rappelez-vous, quand le Messie viendra, Il ne dira pas qu’Il L’est. Mais quand Il viendra, Il sera un Prophète, et vous Le verrez. Eh bien, notre Bible nous déclare que si un homme prétend être un prophète, et que ce qu’il dit s’accomplit, alors écoutez-le, car vous pouvez le craindre parce qu’il vient de Dieu. Mais si ce qu’il dit ne s’accomplit pas, ne faites pas cas de lui. Allez simplement de l’avant (Voyez?), car ce n’est pas vrai. Ainsi donc, vous les gars, rappelez-vous cela.»
67 Et André, vous savez, était le premier à Le trouver. Il a dit: «Hé, Simon, viens, allons à la réunion ce matin. Il va être là. Les églises ne veulent pas Le recevoir, Il sera donc ici à un autre endroit. Viens donc ici.» Et: «Oh! a dit Simon, souviens-toi donc. Nous sommes pharisiens, nous devons–nous devons nous accrocher...» «Mais, j’aimerais que tu viennes. Assieds-toi simplement et écoute quelques instants; observe cela.» Alors, le lendemain matin... Je peux voir, après qu’ils eurent terminé de tirer les filets, eh bien, Jésus est descendu à la côte. Et–et, la chose suivante, vous savez, Simon a dû venir dans l’assistance. Et quand il s’est avancé là, Jésus l’a regardé là, Il a dit: «Ton nom est Simon. Tu es le fils de Jonas.»
Eh bien, vous parlez d’un jeune homme tenace; il l’a été depuis lors. Personne alors ne pouvait lui faire douter de cela. Il en était sûr. Pourquoi? Il avait vu ce signe du Messie. Il avait vu la Parole. Il savait que cet Homme ne le connaissait pas, ne connaissait pas son nom, ne savait rien à son sujet; et Il le lui a dit là, non seulement lui, mais qui était son père, le nom de son père, celui-là même qui lui avait dit d’attendre ce signe. Il devint tenace.
68 Le jeune Philippe, quand il a entendu cette histoire, il ne lui fallait pas voir cela. Il a cru cela, car il attendait le Messie. Il devint si tenace qu’il contourna le flanc de la colline, environ 15 miles [24 km], et trouva un gars du nom de Nathanaël. Il n’avait pas à retourner et dire: «Eh bien, attends. Assoyons-nous et évaluons cela.» Il a dit: «Viens voir Qui vous avons trouvé, Celui dont Moïse avait parlé.» Amen. Je peux l’entendre raconter l’histoire de Simon. Oh! Philippe... ou, Nathanaël a peut-être dit: «Attends donc une minute, Philippe. Tu as perdu le nord.»
«Viens donc voir. Vois si j’ai perdu le nord.»
Quand il s’est donc avancé dans la ligne de prière, ou dans l’assistance, je ne sais où c’était, je peux voir Nathanaël se mettre à regarder tout autour, puis dire: «On dirait qu’il fait bon être ici ce soir de toute façon. Ça a l’air très bien.»
Et Jésus a croisé son regard et a dit: «Voici un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude.» Cela l’avait désarçonné.
Il a dit: «Rabbi, quand m’as-Tu connu?»
Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»
Et il a regardé tout autour, il a vu tous ses pasteurs, les diacres, les anciens, les évêques, eux tous là debout. Mais, frère, il était devenu très tenace là même. Il a dit: «Rabbi, Tu es le Fils de Dieu.» Alléluia!
Vous y êtes. Il était tenace. Pourquoi? Il avait vu quelque chose. Il avait entendu quelque chose. Il savait que c’était scripturaire, aussi pouvait-il continuer à persister, peu importe ce que pensaient les autres. Il avait vu quelque chose. Il s’était emparé de quelque chose. Il y tenait ferme.
69 La petite femme au puits avait une mauvaise réputation. Il avait tellement vu des faussetés parmi ceux qui confessaient... Un jour, elle... Ça a dû être vers onze heures. Ils sont allés à Sychar acheter des vivres, les disciples, et Jésus était resté seul. Le Père L’avait envoyé là-bas, car il fallait qu’Il passât par-là. Il allait à Jéricho, mais Il a gravi une montagne en la contournant, car il le Lui fallait: une âme, et elle était une prostituée. Oh! grâce étonnante. Une seule âme dans toute la foule, elle de mauvaise réputation, L’avait détourné de Son parcours normal directement jusqu’ici.
Elle a peut-être été... Vers onze heures, elle est sortie puiser de l’eau. Elle s’est peut-être mise à faire descendre le seau, et ses cheveux bouclés lui tombaient sur le–le visage. Elle s’est mise à faire descendre le seau. Elle a entendu Quelqu’Un dire: «Apporte-Moi à boire.» Elle a vite regardé, et là était assis un Juif.
Elle a dit: «Pareille chose n’est pas de coutume, qu’un Juif demande quelque chose à une Samaritaine.»
Il a dit: «Mais si tu connaissais Celui à qui tu parlais, c’est Toi qui M’aurais demandé à boire.» Que faisait-Il? Contacter son esprit. Le Père L’avait envoyé là-bas. Eh bien, voilà la personne. Alléluia! J’ai donc vu quelque chose. Ô Dieu! Le Père L’avait envoyé là-bas, et maintenant, voici la personne devant Lui. Il ne sait que dire, mais Il engage une conversation. Il a dit... ils ont parlé de l’adoration à Jérusalem, des Juifs et autres, et du puits. Peu à près, Il a découvert son problème.
Il a dit: «Va, appelle ton mari, et viens ici.»
Elle a dit: «Je–je–je n’ai point de mari.»
Il a dit: «C’est vrai. Tu en as eu cinq, et celui avec qui tu vis maintenant n’est pas ton mari.»
Elle a dit: «Seigneur, je vois que Tu es Prophète. Nous savons que le Messie, Celui qu’on appelle Christ, viendra, l’Oint. Et quand Il sera venu, Il sera un Prophète; Il nous annoncera ces choses.»
Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.» Vous parlez de la persistance.
70 Vous savez, ce n’était pas en fait... Si vous connaissez les habitudes en Orient, une femme de ce genre ne devrait jamais aborder un homme dans un marché. C’est vrai. Jusqu’à ce jour-ci, en Inde et ailleurs, elle ne le peut pas. Absolument pas. Les hommes ne l’écouteraient même pas. Regardez-la. Elle était indexée comme une prostituée. On lui tournait le dos, peu importe ce qu’elle disait. Mais quoi? Ils ne pouvaient pas l’ignorer. Ils ne pouvaient pas ignorer cette femme. Pourquoi? Elle s’était emparée de la foi. Elle avait un message. Ils ne pouvaient pas l’arrêter. Elle a dit: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point le Messie même? N’est-ce pas Lui?» Et la Bible dit que toute la ville a cru à cause du témoignage de cette femme.
71 La petite femme à la perte de sang, elle a été tenace. Je m’imagine qu’elle avait vu toutes les–les dénominations là, elle les a directement dépassées. Quelqu’un a dit: «Attends une minute. Où vas-tu? N’est-ce pas toi là la femme de John Doe qui habite ici sur la colline, qui venait de troquer il n’y a pas longtemps un groupe de chevaux l’autre jour pour payer le médecin?»
«Ouais, mais il n’a pu me faire aucun bien.»
«Eh bien, tu es trop frêle. Tu vas là-bas te mêler à ce groupe de gens. Ecoute-les. Ce n’est qu’une bande de fanatiques, les rebuts de Galilée. Ils ne sont même pas membres d’une organisation. Tout ce qu’Il fait, c’est déchirer nos églises. Rentre là-bas. Je vais faire venir ton pasteur.» Elle a simplement ignoré cela. Elle était tenace, elle est allée de l’avant.
«Eh bien, tu es trop faible pour aller à la réunion.» Cela ne l’a pas du tout arrêtée. Elle y est allée de toute façon. Ses petites joues, pâles, elle y allait de toute façon, elle allait de toute façon. Peut-être que son mari a dit: «Remonte la colline, regagne ta place.» Voyez? «Tu es mon mari et je t’aime. Mais je dois Le toucher.» Elle a directement dépassé cela. Voici se tenir là un...?... Et elle a dépassé un autre groupe de gens. Ils disaient: «Le jour des mir-...» [Espace vide sur la bande–N.D.E.] et l’évêque s’est avancé là comme ceci, il a dit: «Hé, nous avons entendu dire que Tu as accompli des miracles. Fais-nous voir un autre.» Un autre s’est avancé dans cette direction-ci, dans cette direction-là.
Finalement, elle s’est dit: «Comment vais-je m’y prendre?» Mais vous savez, la foi trouve toujours comment s’y prendre, comme la femme syro-phénicienne. La foi trouve un moyen de Le toucher. Si vous ne croyez pas cela, mettez-vous à prier maintenant même, et voyez si votre foi ne trouve pas un moyen de Le toucher. La foi trouve le moyen. Et peu après...
72 Cela me rappelle Abraham Lincoln. On l’avait enfermé dehors, un grand homme. On lui a demandé: «Comment allez-vous entrer?»
Il a dit: «Je vais me confier en Dieu.»
On lui a demandé: «On va vous fermer la porte au nez.»
Il a dit: «Je continuerai à me confier en Dieu.»
Alors, quand tous les sénateurs ont répondu... Ils allaient l’expulser à cause de cette mesure contre laquelle ils cherchaient à voter. Et alors... Ils savaient qu’Abraham Lincoln était pour cela. Il subissait une forte pression, et il jouissait d’un–un tel statut devant les gens sur qui il pouvait peser de son honneur. Et on ne voulait pas le laisser entrer.
Et quand ils se sont levés et qu’ils se sont mis à appeler les noms, ils ont appelé différents noms et beaucoup d’autres, et le siège de Lincoln était vide. On a dit: «Abraham Lincoln?» Descendant de la cheminée, il a répondu: «Présent.»
73 La foi trouve une voie. Cela peut être de descendre une cheminée, mais elle sera là. Qu’est-ce que ça change? Cela arrive donc. La foi trouve une voie. Ça peut consister à ramper, peut-être à chanter, peut-être à crier; quoi que ça soit, elle trouve sa voie, elle va directement de l’avant. Elle a cherché à Le toucher, elle était empêchée, empêchée. Finalement, elle s’est simplement accroupie, elle a tendu le bras et a touché Son vêtement. Jésus s’est retourné et a demandé: «Qui M’a touché?» Pourquoi? Elle avait eu de la persévérance. Elle L’a touché.
74 Je dois terminer. Je me sens vraiment très bien. Je déteste faire cela. Mais nous avons une longue ligne de prière qui va passer. Ecoutez. J’étais à Mexico il y a environ quatre ans, on nous avait dit que nous pouvions avoir l’arène. C’est le général Valdena qui m’avait fait venir là-bas; j’étais le premier Américain non catholique à jamais y être. Quand l’évêque de l’Eglise catholique est allé voir le président, il a dit: «Votre Honneur, Excellence, cet homme qui vient ici n’est pas catholique et, a-t-il dit, il bénéficie de l’appui du gouvernement, du général Valdena, un soutien militaire.» Il a dit: «Notre pays ne soutient pas pareille chose.»
Et alors, le président a répliqué, disant: «Cet homme jouit d’une bonne réputation.»
Il a dit: «Oh! C’est juste–c’est juste un renégat.»
Il a dit: «Je ne pense pas que des dizaines de milliers de gens iraient entendre un renégat.» Et il a dit–il a dit: «Mais, vous voyez, votre excellence, a dit l’évêque au président, vous voyez, votre Excellence, ce ne sont que de pauvres illettrés, qui vont l’écouter.»
Il a dit: «Vous les avez eus pendant cinq cents ans, pourquoi restent-ils de pauvres illettrés?» C’était une bonne question.
75 Ils ne voulaient pas nous laisser avoir l’arène, alors nous avons loué un immense espace là-bas. Et ces pauvres Mexicains! Pensez-y: Nous sommes assis ici, écoutant pendant une heure et demie, et nous nous fatiguons. Souvent ces gens arrivaient là à huit heures ou neuf heures, il n’y avait pas de sièges. Ils restaient debout appuyés les uns contre les autres toute la journée. Je n’allais pas être à la chaire avant vingt heures ou vingt et une heures à peu près cette soirée-là. Mais eux restaient là debout afin d’avoir un endroit où se tenir, environ trente mille. Et ils étaient là, tous appuyés les uns contre les autres.
J’allais faire là juste trois soirées. Et je me rappelle un soir là, la deuxième soirée, un... est passé à l’estrade. Je l’ai vu là debout à l’estrade. Billy l’avait fait monter là, un vieux Mexicain. Ses pieds étaient tout calleux, ses pantalons en lambeaux, il était sans chemise, juste emmitouflé dans un veston, en lambeaux, et portait un vieux chapeau cousu avec des fils. Il était aveugle. Il continuait à dire quelque chose. Quand il s’est approché de moi, il a fait sortir ce petit chapelet et s’est mis à dire: «Je vous salue Marie.» Je l’ai fait relever.
76 Alors, je l’ai entouré de mon bras. J’ai regardé, et moi, je portais une bonne paire de souliers et un bon costume. Il avait autant que moi droit à avoir une paire de souliers et un costume. Oui, oui. Je me suis donc dit: «Je–je vais le donner à ce vieil homme.» Voyez? Oh! la la! Ses pieds étaient de loin plus gros que les miens, ses épaules très larges comme cela. Je regardais ses cheveux grisonnants, il était aveugle. Je me suis dit: «Si mon papa était en vie, il aurait à peu près cet âge. Et peut-être qu’il est le papa de quelqu’un d’autre.» Je l’ai entouré de mon bras, je me suis mis à prier. Et quand j’ai ouvert les yeux comme ceci (On n’interprète pas la prière), j’ai vu en vision ce vieil homme allant çà et là, voyant tout aussi bien que possible, vous savez; il voyait et tout. Je me suis simplement tenu très calme. Directement, je l’ai entendu crier: Gloria a Dios, ce qui veut dire: Gloire à Dieu. Il voyait aussi bien que moi. Oh! Il est descendu clopin-clopant là, de toutes ses forces. La grâce étonnante.
77 Le lendemain soir, il y eut un tas plus long que cette estrade, entassés aussi haut que ça, de vieux châles, de vieux manteaux entassés là pour qu’on prie dessus. Et quand je suis arrivé à l’estrade ce soir-là... Il pleuvait depuis environ dix heures. Ces gens se tenaient en plein sous la pluie, ces femmes mexicaines aux cheveux qui leur retombaient sur le visage, elles étaient trempées.
J’ai dû escalader l’échelle pour descendre un mur. On m’a fait sortir du véhicule, on m’a fait descendre par ces cordes, à l’aide d’une échelle, pour arriver à estrade juste à côté du mur, là où j’ai dû contourner le mur à bord de la voiture.
Et je parlais. Billy est venu vers moi et a dit: «Papa...» Un Mexicain... (Je ne sais pas quel était son nom. Je l’appelais Mañana, ce qui veut dire demain. Il était très lent. Ainsi donc, il était toujours)... Il venait me prendre, et il était à peu près... On l’envoyait parce qu’il ne pouvait pas me parler. Personne ne me parle lorsque nous allons à la réunion. Et il ne parlait pas anglais, ainsi je l’appelais donc Mañana. Et alors, il balbutiait quelque chose. Je n’y prêtais pas attention, car je ne savais pas ce qu’il disait.
78 Il m’a donc amené à l’estrade cette soirée-là, et je parlais quand Billy a accouru. Il a dit: «Papa, Mañana a distribué toutes les cartes de prière.» Et il a dit: «Il y a là une petite femme qui a un enfant mort.» Il a dit: «J’ai plus de cent cinquante, deux cents, j’oublie combien c’était, huissiers, et ils n’arrivent pas à stopper cette femme-là.»
Il a dit: «Elle a cet enfant mort à la hanche et elle court entre leurs jambes et court par-dessus leurs épaules, et tout le reste avec cet enfant mort.» Il a dit: «Elle n’a pas reçu une carte de prière.» Et il a dit: «Nous avons déjà tout distribué. Et si je la place dans la ligne devant ces gens qui sont venus et qui ont reçu une carte de prière, il y aura une émeute aussi certainement que deux fois deux font quatre.»
79 Et alors, frère Jack Moore... Y a-t-il donc quelqu’un qui connaît frère Jack Moore? Beaucoup parmi vous. Il était avec moi. J’ai alors dit: «Frère Jack, elle ne sait pas me différencier de toi.» J’ai dit: «Vas-y prier pour l’enfant, et cela–cela marchera.» Et ces huissiers pouvaient s’engager et la retenir; alors, elle s’arrêtait là. Et aussitôt qu’ils tournaient la tête, elle courait droit entre leurs pieds comme cela, de toutes ses forces. Et elle en renversait quatre ou cinq parmi eux. Ils la repoussaient. Ils n’arrivaient pas à l’empêcher d’accéder à l’estrade. Oh! tenace, mon...
Et alors, notre frère Jack allait prier pour le petit enfant, Billy le conduisait là. Et j’ai dit: «Comme je disais...» Alors, frère Espinoza, un frère pentecôtiste de la Californie, interprétait. J’ai dit: «Or, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.»
80 Et quand frère Espinoza s’est mis à interpréter cela, j’ai regardé droit ici, à deux ou trois pieds d’ici, il y avait un petit enfant mexicain, en vision, un drôle de petit enfant sans dents, rien qu’avec des gencives, en train de me sourire. Et je me suis frotté les yeux. J’ai encore regardé, et il était là, un tout petit enfant. Il ne faisait que rire, ces petits yeux bleus bien fixes. Je me suis dit: «Je me demande si c’est l’enfant en question.» J’ai dit: «Retenez cela juste une minute, Frère Espinoza.» Et frère Jack Moore descendait l’estrade. J’ai dit: «Dites aux huissiers, Frère Espinoza, de frayer une voie pour laisser cette dame monter.»
81 Elle se tenait à la distance de ce bâtiment, là, à peu près, se frayant sans cesse le chemin avec cet enfant mort, sous la couverture. Il était mort ce matin-là vers neuf heures. Le médecin l’avait déclaré mort, mort de pneumonie. Alors, elle... On lui a frayé un chemin, et elle est montée à l’estrade. Elle s’est prosternée et s’est mise à crier: Padre, ce qui veut dire: Père. J’ai essayé de la relever.
Quand elle s’est relevée, frère Espinoza a dit: «A-t-elle une carte de prière?» J’ai dit: «Non, mais, Frère Espinoza, n’interprétez pas ceci. Je ne sais pas. J’ai vu en vision un petit enfant mexicain juste devant moi ici.» Et j’ai dit: «C’est peut-être son enfant. Je vais simplement prier et laisser cela aller comme ça.»
Il a dit: «D’accord.»
82 J’ai dit: «N’interprète pas la prière.» Et je–je lui ai dit de se relever, et Espinoza lui a dit en–en–en espagnol de se tenir debout. Elle s’est levée. J’ai demandé: «Quand votre enfant est-il mort?»
«A neuf heures, ce matin.» On était alors vers vingt-deux heures trente. Et j’ai dit: «Croyez-vous?» De tout son coeur. Il n’y avait pas de doute dans l’esprit de cette petite créature, une jolie petite femme, qui semblait être dans sa vingtaine, vingt-deux ou vingt-trois ans, une petite señorita mexicaine typique. Elle tenait donc ce petit enfant couvert d’une petite couverture. Il était couché là dans cette couverture, bien trempé. Elle se tenait là depuis le matin. Elle avait lu un article dans un journal sur ce vieil homme qui avait recouvré la vue, alors elle était prête à apporter cet enfant-là. Et alors, je lui ai demandé si elle croyait. Elle a dit: «Oui.»
83 J’ai donc imposé les mains à ce petit enfant. J’ai dit: «Père céleste, maintenant je ne sais pas. Je viens d’avoir une vision. Et sur base de cette vision-là, c’est peut-être cet enfant. C’est tout ce que Tu m’as dit. Je vais simplement lui imposer les mains, Te le confier.» Alors, le petit enfant a fait: «Wahhh.» Il s’est mis à gigoter comme cela. Et j’ai regardé tout autour. Elle lui a ôté la couverture, et les gens se sont mis à crier, et j’ai dit: «Eh bien, ne–ne dites rien à ce sujet, Frère Espinoza. Trouvez un coursier, mettez quelqu’un sur ce cas, qu’il aille obtenir une déclaration médicale signée avant que vous disiez quoi que ce soit, car si vous vous mettez à dire quoi que ce soit à ce sujet, ça doit être authentique.» Alors, elle... Il a trouvé un coursier.
Et le lendemain, lui-même... il est allé chez le médecin, ce dernier a signé une attestation, que l’enfant était mort ce matin-là à neuf heures, et on était à vingt-deux heures. L’enfant, à ce que je sache, est vivant ce soir à Mexico, heureux. Pourquoi? Parce que la femme, comme la petite femme syro-phénicienne, avait été tenace. Elle savait qu’elle s’était emparée de Dieu, catholique ou pas catholique, prêtre ou pas prêtre, église ou pas église, excommuniée ou pas excommuniée, moquée ou pas moquée. Qu’était-elle? Elle était devenue persévérante. Elle savait que Dieu existait.
84 Ecoutez. La Bible a promis des signes qui confirment qu’Il tient Sa Parole. La Bible a promis des signes, nous pouvons les lire et devenir tenaces, et savoir qu’Il tient Sa Parole. Prions. Avant de prier, y a-t-il ici présent ce soir quelqu’un qui aimerait qu’on se souvienne de lui dans cette prière? Quelque soit votre besoin, voudriez-vous juste lever la main pour dire: «Ô Dieu, rends-moi tenace, Seigneur, jusqu’à ce que je puisse obtenir le désir de mon coeur. C’est pour Ta gloire. Seigneur, reste bien avec moi. Fais que je m’accroche à Toi. Accorde-moi de m’accrocher à Toi ce soir.
«Je vais voir. Je vais écouter. Je vais croire. Quand on priera pour les autres, je vais croire ce soir. Je veux être tenace, de sorte que je ne quitterai pas cette salle sans avoir l’ancre dans ma foi. Ma foi est plutôt ancrée en moi, de sorte que je vais être vraiment persévérant, car je crois. J’aimerais m’emparer de Ta Parole maintenant même pour mon cas.
85 Notre Père céleste, Tu vois les mains. L’histoire de cette petite femme des nations, combien elle était tenace... Elle a été très persévérante, car la foi était venue de ce qu’elle avait entendu, de ce qu’elle avait entendu la Parole de Dieu. Malgré tous les obstacles qu’elle connaissait... et nous voici assis ici ce soir, sans le tiers des obstacles qu’elle avait connus. Sa fille était épileptique, elle était une femme des nations, Dieu ne leur avait pas promis de les visiter. Elle a été rejetée par ses amis. Elle a été probablement rejetée par tous ceux dont nous avons parlé ce soir. Mais nous savons que même Jésus a mis sa foi à l’épreuve, en lui disant qu’Il n’était pas envoyé vers elle, en lui disant qu’elle et sa race étaient de petits chiens. Et la vérité en est que, Seigneur, quand la foi s’empare de la Parole, elle accepte la vérité. Elle a dit: «Mais les petits chiens mangent les miettes.» Et cela a touché le coeur de notre Maître. Il a dit: «Oh! Femme, ta foi est grande. Qu’il te soit fait selon ta foi.» Et quand elle est rentrée chez elle, sa fille n’avait plus de crise, elle était couchée sur le lit. Le démon l’avait quittée.
86 Père céleste, donne-nous une telle foi ce soir. Puissions-nous venir, et après ce soir, être persévérant dans notre foi; car nous pouvons avoir foi si nous savons que Tu as promis cela dans Ta Parole. Tout ce que Tu as promis, et dont notre foi s’empare, nous appartient. Tu as dit à Josué: «Là où tu poseras la plante de ton pied, Je te le donne.» Et nous savons que les empreintes des pas, cela voulait dire la possession. Père, si ce soir il y en a parmi eux qui ne se sont jamais élevés suffisamment pour entrer dans le Royaume de Dieu, recevoir le Saint-Esprit, puissent-ils Le recevoir ce soir. Puissent-ils poser les empreintes des pas ce soir, les empreintes des pas.
Et puis, ceux qui n’ont jamais pu étendre la main assez haut, s’avancer prendre possession de la bénédiction de la guérison divine, puissent-ils s’avancer ce soir, être tenaces. Que la foi se saisisse d’eux maintenant même par ces commentaires entendus de ces autres.
Ceux qui ne T’ont jamais accepté comme Sauveur, puissent-ils étendre la main ce soir, s’emparer de Toi et T’accepter. La Bible déclare: «Tous ceux qui crurent furent baptisés.» Accorde-le, Père. Et puissent-ils aussi se faire baptiser dans l’eau, et aussi être baptisés du Saint-Esprit. Accorde ces bénédictions, et aide Ton pauvre et humble serviteur, alors que j’accomplis ce service maintenant au Nom de Ton Fils, Jésus. Amen.
87 Eh bien, je pense que Billy Paul, s’il est dans la salle, a dit avoir distribué des cartes de prière. Et je–je pense qu’il a dit que c’était cinquante. Est-ce vrai? Cinquante cartes de prière. Et nous aimerions qu’ils se lèvent. Eh bien, ne vous précipitez pas. Venez donc l’un après l’autre.
Qui a la carte de prière numéro 1? Quelqu’un? Que dites-vous? A-1. D’accord. A-1, est-ce le gentleman? A-2, voudriez-vous lever la main? D’accord. A-2? Ai-je vu la main de cette personne-là? A-2? D’accord, soeur. A-3? 3, d’accord. 4, 5, levez la main. Je n’ai même pas vu 4, 4? D’accord, le suivant dans la ligne. 5, levez la main. La carte de prière 5?
88 Eh bien, Billy vient dans l’assistance, il arrive ici, il bat ces cartes, il donne aux gens une carte, à tout celui qui en veut. Tout le monde doit être ici pour en avoir, évidemment. Eh bien, je pense que s’ils arrivent tôt et qu’ils reçoivent une carte de prière, ils devraient avoir le droit d’être ici en premier, ne le pensez-vous pas? C’est vrai. Et maintenant... Mais Billy ne sait pas qui sera le premier dans la ligne, car les cartes ont été battues. C’est ce qui se passe pour Lui.
Puis, parfois, j’inverse, je commence par le bas, je remonte... Vous avez vu cela se faire...?... C’est vrai. Hier soir, nous n’avions même pas de cartes de prière, pas du tout. Voyez, ce n’est pas tellement ça la chose. D’accord, 5, 6? Levez la main. 7, d’accord. Quand j’appelle–quand j’appelle votre numéro, levez-vous. 7, 8, 9, 10, 11? Frayez-vous simplement un chemin vers ici et entrez dans la ligne de prière ici. 12?
89 Maintenant, si vous ne pouvez pas vous lever, certains frères viendront vous prendre, vous transporter. Vous viendrez ici, oui, oui. D’accord. 12? Avez-vous vu 12? La carte de prière 12? D’accord. 13, 13, 14, 15? Regardez votre carte maintenant. 15? 15, 15, 16, 17, 17, 18, 18, derrière, 19? Merci, Frère Vayle. 19, 20, 21, 21? Je n’ai pas vu cela. 21, 22, 22, la carte de prière 22? Merci. Faites-le-moi savoir, vous savez, car ça peut être quelqu’un de sourd, et il va rater sa place (Voyez?), ou quelqu’un qui ne peut pas se lever. Que quelqu’un regarde la carte de prière de l’autre, et ensuite, regardez votre carte de prière.
C’était quelle carte de prière, 22? 23, 23, la carte de prière 23, 24, 25, 26? Bien. 27, 28, 28, 29, 29, 29, 30? Merci. 31, 32, 33, 33? Je n’ai pas vu cela. 34, 34, 35, 36, 36, 37, 37? Je n’ai pas vu ça. 37,37? Regardez chez votre voisin. Peut-être qu’il a une carte de prière. 37? Peut-être qu’il est sourd, peut-être qu’il peut... il ne peut pas se lever. Voyez? Il est paralysé et il ne peut pas bouger. 37?
Quelqu’un doit l’avoir eue et il est sorti. S’il vient, mettez-le en ligne, mettez-le à sa place donc. Les huissiers seront là pour l’aider. 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 43, 44, 45, 46, 47, 47? C’est bien. 48, 49, 50, 50, l’homme là derrière.
90 Eh bien, est-ce là tous ceux qui ont des cartes de prière? Y a-t-il quelqu’un d’autre qui a une carte de prière? Est-ce que toutes les cartes de prière sont dans la ligne? J’aimerais m’en rassurer maintenant. Nous avons appelé une, 37. J’ai vu quelques frères entrer depuis lors. Je me demande bien. J’ai appelé la carte de prière 37, et on n’a pas répondu. C’est l’unique que je n’ai pas vu répondre. La carte de prière numéro 5? A-t-elle répondu? Frère Vayle a dit qu’il n’a pas vu la carte de prière numéro 5. Le numéro 5 est-il là? Et le 37?
Maintenant, veuillez bien nous accorder une minute ou deux, amis. Eh bien, nous allons... Quelqu’un entre encore avec un enfant. Peut-être que c’est l’une de ces femmes et des frères qui ont dû sortir avec leurs enfants. Et–et s’ils sont donc dehors, et que le tour de leur numéro arrive, placez-le directement dans la ligne, juste à leur place, mettez-les au niveau de 37 et 5. Et cela arrangera donc tout. 37 et 5. Tout le monde maintenant, soyez en alerte, soyez prêt, soyez disposé.
91 Bon. Merci. C’est mieux comme ça. Merci, frère. Entendez-vous mieux maintenant? La raison pour laquelle on fait ça, c’est que quand je suis sous l’onction, je ne parle pas à très haute voix. Eh bien, pendant qu’on les rassemble, je ferais mieux de dire ceci. J’aimerais que cela vienne du fond de votre coeur. Si vous ne croyez pas cela, ne levez pas la main. Mais si vous le croyez effectivement, j’aimerais que vous leviez la main.
Bon. Nous savons que le christianisme grandit par la grâce de Dieu au fil des années. Martin Luther a été le premier réformateur depuis les âges des ténèbres, il a prêché la justification par la foi. Combien le savent? Ensuite, l’église était comme... dans le... comme une pyramide. Elle était large en bas... Quiconque confessait même être chrétien courait le risque d’être tué.
92 Puis, John Wesley a suivi avec le Message de la sanctification, cela est alors devenu davantage minoritaire. Puis, après Wesley, le groupe de la Pentecôte est arrivé. Puis, cela est monté. Et tout le monde sait... Je n’enseigne pas les doctrines sur la pyramide maintenant ou n’importe quoi, je donne juste un exemple. Mais la Pierre de faîte n’avait jamais été posée sur la pyramide. Pourquoi? Elle fut rejetée. Voyez? Si donc la Pierre de faîte venait sur la pyramide... Si quelqu’un a déjà été en Egypte, ces pierres sont si étroitement colées qu’on ne peut pas faire passer une lame de rasoir entre elles. Et c’est là qu’il y a le mystère. Comment les a-t-on élevées là-haut? Elles s’ajustent parfaitement.
Eh bien, la Pierre de faîte... Il faudra des pierres taillées, ici en haut, au sommet, prêtes à recevoir la Pierre de faîte. Il leur faudra être si parfaitement raffinées que lorsque la Pierre de faîte descendra, Elle aura à s’ajuster parfaitement à l’autre pour former un bâtiment complet. Est-ce vrai?
93 Donc, l’église... Eh bien, si la Pierre de faîte était venue du temps de Luther, regardez combien ça serait inapproprié. Regardez, si cela était venu du temps de Wesley, cela doit... Cela viendra à son temps prédestiné. Mais l’église sera raffinée de telle manière que le ministère de l’église sera si proche, et exactement le même genre de ministère que Jésus avait, pour faire s’ajuster tout cela en vue de l’Enlèvement. Comme qui dirait: La tête connaît plus que les pieds. Voyez? Les yeux sont plus utilisés que les pieds. Les yeux sont un prophète de l’église. Il voit d’avance. Voyez? Et toutes ces choses arrivent à la tête, la partie de la tête.
Eh bien, j’aimerais vous poser une question. Excusez-moi, frères. Ceci peut être en dehors du chemin battu. Mais si je suis en erreur, pardonnez-moi, et vous les frères là dans l’assistance. Je crois que l’église devra en arriver là pour l’Enlèvement, pour être enlevée ensemble à la rencontre du Seigneur dans les airs. Je crois que nous vivons en ce jour où l’église deviendra certainement minoritaire. Ça sera un petit groupe.
94 Vous savez, quand Jésus prêchait, il n’y avait pas un–un–un pour cent sur un million de gens sur terre qui avaient donc entendu parler de Lui. Considérez ceux qui avaient entendu Jean, pour se préparer. Voyez? Ce sont les élus qui entendent cela. C’est tout. C’est vrai. «Nul ne peut venir à Moi si le Père ne l’attire premièrement. Et tous ceux que le Père M’a donnés viendront.» C’est vrai.
Maintenant, je crois qu’il y a une église qui va atteindre cette perfection-là, ce ministère de la perfection, avec les offices, avec les apôtres, les prophètes, les docteurs, les pasteurs, les évangélistes pour le perfectionnement de l’église. Ces pasteurs, docteurs et autres seront si identifiés à la Parole que tout concourra pour la Venue du Seigneur. Je le crois, et je crois que nous nous approchons de ce temps-là maintenant. Je crois que c’est vrai.
Eh bien, nous savons que Jésus a dit et nous a enseigné dans les Ecritures que les oeuvres qu’Il avait faites se feraient aussi. Eh bien, mes frères, j’espère que s’ils sont en désaccord avec moi, ça sera de façon amicale.
95 Saviez-vous que la Bible parle de l’apparition du Seigneur, et aussi de la Venue du Seigneur, et que ce sont deux oeuvres différentes? Sondez cela et voyez si c’est vrai. L’apparition et la Venue sont deux choses différentes. L’apparition du Seigneur, c’est maintenant. Il apparaît parmi Son peuple. Nous Le voyons dans Ses mêmes oeuvres, l’apparition, Son Saint-Esprit. Mais Sa Venue sera dans un être physique. Ce sera pour enlever l’Eglise. Mais, voyez, nous avons parcouru la Parole, la justification, la sanctification, le baptême du Saint-Esprit. Et maintenant, l’église entre dans une condition, prête, dans l’attente. Les offices... Et les offices de l’église atteignent ce niveau. Les docteurs occupent leurs places. Les dons se manifestent.
Oh! Il y a beaucoup d’imitations. C’est vrai. Nous nous y attendons. Mais il y a aussi le véritable. Avant qu’il y ait un faux dollar, il doit y avoir un vrai à partir duquel le faux a été contrefait. C’est vrai. Nous avons toutes ces comparaisons charnelles, mais cela n’annule pas le véritable. Cela ne–cela ne fait que faire briller davantage le véritable.
96 Le Seigneur apparaît donc maintenant parmi Son peuple, avec de grands signes et de grands prodiges, ressuscitant les morts, guérissant les malades, faisant les mêmes choses qu’Il avait faites, qui n’ont pas été accomplies pendant deux mille ans. Voyez, l’église est affûtée, par cela, élevée jusqu’au temps où la Pierre de faîte viendra à la rencontre de l’église. Et alors, tout s’assemblera et sera enlevé. Ceux qui se sont endormis à la première veille, la deuxième veille, la troisième veille, jusqu’à la septième veille... l’apparition du Seigneur. Hier soir, j’ai abordé cela, comment Il viendra.
97 Maintenant, rappelez-vous, pas l’homme. C’est un office dans l’église. Pas un merveilleux docteur; c’est l’enseignement du merveilleux Saint-Esprit par l’homme. Pas un merveilleux homme avec le don de discernement; c’est le merveilleux Saint-Esprit là utilisant cet homme. Voyez? J’ai toujours dit que c’est comme ... Pierre s’y est une fois référé à la montagne de la Transfiguration comme étant une montagne sainte. Il n’existe pas de montagne sainte; c’est le Saint-Esprit sur la sainte montagne. Il n’y a pas de sainte église; il y a le Saint Dieu, pas le saint peuple, mais le Saint-Esprit. Voyez? C’est le Saint-Esprit dans les derniers jours.
98 Eh bien, quand cet Ange de l’Eternel est allé chez Abraham, là avant la destruction, eh bien, c’était Dieu apparaissant dans la chair humaine. Et Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Ce qui arriva du temps de Lot... Il a présenté leurs moeurs, ce qu’ils faisaient du temps de Noé.
Du temps de Lot, observez ce Messager à Abraham. Observez les messagers à Lot et à l’église de nom. Juste: «Sortez, sortez», et Abraham plaidait pour eux. Remarquez, l’Ange, Dieu, Elohim, apparaissant sous forme de la chair humaine, cela montre que, dans les derniers jours, Elohim apparaîtra; pas la Venue de Christ, mais l’apparition de Christ dans la chair humaine, dans Son Eglise, accomplissant Ses mêmes signes et des choses qu’Il avait faites, et qu’Il n’a pas faites dans l’église depuis deux mille ans. Voyez? L’apparition du Seigneur.
99 Maintenant, toutes les cartes de prière sont-elles dans la ligne? Combien de malades y a-t-il dans l’assistance sans cartes de prière? Levez la main. Encore une fois, levez la main, tous ceux qui sont malades, tous ceux qui prient et qui croient. D’accord.
La femme qui toucha le bord de Son vêtement n’avait pas non plus une carte de prière, mais elle toucha Son vêtement. Et la Bible déclare qu’Il est maintenant même le Souverain Sacrificateur (Est-ce vrai?) vivant à jamais pour intercéder, le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Est-ce vrai? Et dans Hébreux 13.8, la Bible déclare: «Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.» Est-ce vrai?
100 Eh bien, alors, s’Il est le même Souverain Sacrificateur, si vous L’avez touché comme cette femme-là L’avait fait... non pas physiquement, c’était sa foi à elle qui L’avait touché, car Il a dit que la vertu était sortie. Tout le monde Le touchait physiquement, mais c’est sa foi qui L’avait touché. Alors, Il s’est retourné, a identifié sa perte de sang et a dit que sa foi l’avait sauvée.
Ne croyez-vous pas qu’Il est le même Souverain Sacrificateur ce soir? Et si Ses Paroles sont vraies, Il apparaît dans la chair humaine. Alors, qu’Il apparaisse dans votre chair, qu’Il vous donne la foi dans Sa Parole de promesse. Saint Jean 14.12: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais.» Alors, je vais... S’il y a des offices dans l’église, permettez-moi alors de me détendre devant Lui et de mettre William Branham de côté, et que le Seigneur Jésus parle au travers de moi, apparaisse dans la chair humaine comme Il apparaît dans la vôtre.
Il aura donc un témoignage de deux, et deux, c’est une confirmation selon la Parole de Dieu. Deux, c’est un témoignage. Ayez donc la foi pour Le toucher, et j’ai la foi, et par nous tous deux, cela confirme Sa Parole, que c’est la Vérité.
101 Maintenant, vous les malades encore une fois là dans l’assistance, maintenant, je ne peux pas descendre dans ce discernement par cette ligne-là. Vous savez, cela–cela me ferait partir de l’estrade. Une–une petite femme a amené le Fils de Dieu à dire qu’Il était devenu faible, Lui le Fils de Dieu. Que pensez-vous qu’il en serait de moi un pécheur sauvé par Sa grâce?
Je ne pourrais même pas supporter l’une d’elles s’Il n’avait pas dit: «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, et vous en ferez davantage.» Je sais que la version King James dit de plus grandes, mais en réalité, c’est davantage. Voyez? De plus grandes, on ne pourrait pas faire de plus grandes. Il a ressuscité les morts, Il a arrêté le cours de la nature, Il a tout fait. Voyez? C’est donc simplement davantage de cela, car il y a davantage de gens. L’Esprit était juste dans un seul homme là. Maintenant, c’est universel, à travers le monde, dans tout Son peuple. Croyez.
102 Pour commencer, prenons donc cette foule, dans cette direction-ci. Combien là ne me connaissent pas, je ne les connais pas, sont malades et croient que Dieu peut leur révéler leur maladie? Levez la main. Vous tous qui êtes là sans carte de prière, et qui voulez quelque chose de la part de Dieu, levez la main. Par ici? De ce côté-ci? Priez. Laissez-moi tourner le dos. Priez. L’Ange qui était apparu dans la chair humaine avait le dos tourné vers la tente où était Sara, et Il a dit à Sara ce qu’elle faisait. Est-ce vrai? Ce même Ange était Dieu. Et le même Dieu qui était là a promis par Jésus, Qui était Dieu, d’apparaître dans ces derniers jours avant que la terre soit brûlée, juste comme Il avait fait du temps de Sodome. Croyez-vous cela?
103 Evidemment, c’est une vision. Il y a des gens là debout que je ne connais pas. Cela dépend de Lui. Ça y est. Si je peux trouver où c’était. Oui. Cette dame assise ici même, costaude, avez-vous levé la main il y a quelques instants? Croyez-vous que Dieu vous guérira de ce rhumatisme et vous rétablira? Si vous croyez, levez la main. D’accord. Vous pouvez avoir cela. Qu’a-t-elle touché?
Cet homme assis à côté d’elle, que pensez-vous, frère? Croyez-vous que cela vient de Dieu? Croyez-vous? Croyez-vous que Dieu peut me révéler votre maladie? Croirez-vous cela? Accepterez-vous cela si j’arrivais à vous le dire par l’Esprit de Dieu? C’est à vous que je m’adresse, vous qui êtes assis près de moi. Croyez-vous cela? Allez-vous croire cela? Très bien donc, votre hypertension vous quittera.
Cet homme assis à côté de vous souffrait de la même chose, ce petit homme mince là. Il souffrait aussi de l’hypertension. Si c’est vrai, levez la main, vous tous deux. Alléluia! Allez en croyant. Ne doutez pas. Qu’ont-ils touché? Ils ne m’ont point touché. Je ne connais pas ces gens. Je ne les ai jamais vus de ma vie. Vous m’êtes tous inconnus. C’est vrai. Si seulement vous croyez, c’est tout ce que vous avez à faire.
104 Voici une petite dame assise juste là derrière, en train de me regarder. Elle vient d’entrer en trombe dans le Royaume de Dieu. Elle prie pour ses fils qui ne sont pas sauvés. Si vous croyez de tout votre coeur, ils seront sauvés. Croirez-vous cela? D’accord. Vous pouvez avoir cela. Vous croyez, vous tous?
Croyez-vous que Dieu vous guérira de cette nervosité, monsieur, assis là? C’est ce que vous étiez en train de demander tout à l’heure. D’accord. Tout est terminé. Vous avez cela.
La petite dame assise ici même, en train de prier pour son petit-fils, croyez-vous que Dieu le rétablira? Il est retardé, mais croyez-vous que Dieu le rétablira? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Vous projetez l’amener à l’église demain soir. Vous n’aurez pas à le faire. Dieu le rétablira et vous pourrez l’apporter. Qu’en dites-vous, madame? Croyez-vous cela? D’accord. Vous pouvez avoir cela.
Je suis un parfait inconnu à cette femme. Je ne la connais pas du tout. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Sommes-nous inconnus l’un à l’autre, madame? Si c’est vrai, levez la main. N’étiez-vous pas en train de prier pour ça? Si c’est vrai, faites signe de la main comme cela. Ne voyez-vous pas? Elohim, Dieu. Comment pouvez-vous douter? Ne pouvez-vous pas être tenaces?
105 Commencez-le juste dans la ligne... Maintenant, vous avez une carte de prière. Eux n’en avaient pas. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Croyez-vous que je vous ai dit la vérité ce soir sur la Parole de Dieu? Je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vu de ma vie. Nous sommes inconnus, à ce que je sache. Mais croyez-vous que si Dieu peut me dire ce qui cloche chez vous, ou quelque chose que vous–quelque chose que vous... Vous saurez si c’est la vérité ou pas. Vous savez ce qu’il y a... Si je peux vous dire ce qui a été, et vous dire ce qui sera, eh bien, vous saurez que ça marchera. Vous n’êtes pas ici pour vous-même; vous représentez quelqu’un d’autre. Et cette personne n’est pas ici. C’est votre femme. Elle est dans un autre Etat. Elle est en Géorgie. Elle souffre de rein. Elle est très malade, elle a de complications. C’est vrai, n’est-ce pas? Croyez-vous de tout votre coeur maintenant? Rentrez chez vous et trouvez-la telle que vous avez cru cela. Ne doutez pas. «Si tu peux croire, tout est possible à celui qui croit.» Amen.
106 Là, c’était un homme. Voici une femme. Prenons-en encore un, et puis nous allons commencer juste à prier pour les malades, voir si nous pouvons parcourir cette ligne-là. Approchez-vous de moi, soeur. Je crois que nous sommes inconnus l’un à l’autre. Nous ne... Nous sommes juste deux personnes qui se rencontrent ici, exactement de même que c’était dans un panorama comme celui-ci là à Sychar, où Jésus avait rencontré une femme au puits. Nous voici, un homme et une femme à leur première rencontre dans la vie.
Oh! la la! Combien je souhaiterais–je souhaiterais voir la puissance de Satan s’éloigner! Comment pouvons-nous nous tenir et voir ceci, et ensuite ne pas croire? Voici un homme et une femme. Nous ne nous sommes jamais vus. C’est juste une femme qui se tient ici. Je ne sais rien. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Eh bien, qu’est-ce? Je ne sais rien. Eh bien, qu’est-ce? Dieu l’a promis. La Parole de Dieu le dit.
Il m’a promis cela une nuit là, il y a plusieurs années, Il a dit que j’étais né pour cela. Je le crois. Des dizaines de milliers de fois, à travers le monde, et aucune fois cela n’a donc failli. Qu’est-ce? Cela montre que le temps est proche. Ce n’est pas moi; c’est Lui. Comment est-ce que je connais cette femme?
107 Un jeune frère, son fils a été guéri. Il a dit: «Je sais que ça doit être Dieu, Frère Branham. Les gens de mon quartier que je connais, ils ont dit...» Je sais que c’est une promesse pour le dernier jour et cela est ici. La Bible a promis cela dans Malachie 4. Il est dit que cela doit arriver avant le jour grand et redoutable de l’Eternel, avant que cela brûle la terre. Et nous savons que nous vivons en ce jour-là.
Voici deux personnes ici debout. Je ne connais pas cette femme. 4, 5, 6, 7, ou je ne sais quoi c’était... était là, il y a toute une ligne, si seulement je pouvais me tenir ici assez longtemps. Et c’est ce que j’essaie de faire maintenant, de me dégager assez, afin que je puisse continuer avec la ligne de prière. Cela vous fait quelque chose, et il y a constamment, on dirait, une pulsation là dans l’assistance. C’est la foi.
Oh! Si seulement vous pouviez franchir cette petite barrière là, devenir libre, comme un oiseau sortant d’une cage: il a des ailes, il sort simplement par la porte.
108 Madame, c’est juste pour vous parler une minute donc; je ne vous connais pas, mais Dieu vous connaît certes. S’il y a donc quelque chose, vous aurez à dire que... S’Il me dit quelque chose à votre sujet, ce pour quoi vous êtes ici, comme la femme qui avait touché Son vêtement ou quelque chose de ce genre, un signe biblique pour montrer que cela... Vous–vous savez que ça doit être quelque chose, car je ne vous connais pas. Alors, si vous... si cela... Vous reconnaîtrez si c’est la vérité ou pas, car vous le savez. Et alors, si c’est la vérité (Oh! la la!), ce serait merveilleux, n’est-ce pas? Oh! la la! Certainement.
Bon. Cette dame est très malade. Je vois cela maintenant. Je la vois chez le médecin. Elle a été abandonnée par le médecin. Elle souffre de toutes sortes de complications. Une chose, vous souffrez de la hernie, et vous êtes censé subir une intervention chirurgicale. Et vous avez un coeur en un état si mauvais, au point qu’aucun médecin ne s’occupera de ce cas. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Mais il y en a Un ici qui s’en occupera. Gloire! Ne doutez pas. Gloire! Continuez à croire de tout votre coeur. Croyez-vous? Amen.
109 Maintenant, vous savez, je ne sais pas ce qui cloche chez vous. Que je vous l’aie dit ou pas, si je prie pour vous, vous savez qu’il y a un genre d’onction ici. Est-ce vrai? Croyez-vous cela? Notre Père céleste, guéris ma soeur ce soir et rétablis-la...?... pour Toi, Seigneur, au Nom de Jésus-Christ. Amen. La prière de la foi sauvera le malade. Dieu le relèvera. Vous êtes conscient que je sais ce qui cloche chez vous. Cela vous aiderait-il si je vous en parlais, ou voudriez-vous bien... Si je priais pour vous, vous sauriez qu’il y a un genre d’onction ici qui sait que vous souffrez du coeur. Excusez-moi. Allez de l’avant. Tout est terminé.
Maintenant, pendant que vous étiez là debout il y a quelques instants, j’ai demandé à quiconque avait un besoin de lever la main, et vous avez levé la vôtre. Et quand vous l’avez levée, une sensation très étrange vous a envahie, n’est-ce pas? En effet, c’était alors que votre nervosité vous avait quittée. Poursuivez votre chemin...?...
110 Si je priais pour vous, vous vous rétablirez de toute façon, n’est-ce pas? Mais cela vous aiderait-il si je vous disais ce pour quoi vous êtes ici? Cela vous aiderait-il? Une maladie gynécologique, une maladie de femme... Croyez-vous maintenant? Allez et soyez rétablie, si seulement vous croyez de tout votre coeur.
Maintenant, et si je vous imposais les mains, que je priais simplement pour vous; me croiriez-vous? Père céleste, accorde-le en Ton Nom. Jésus, Tu as dit que grande sera la–la récompense de celui qui n’a jamais vu, mais qui croit. Je Te prie de le guérir, Père, au Nom du Seigneur Jésus. Amen.
Vous êtes conscient que je sais ce qui cloche chez vous. Ça ne fera aucun bien cependant si je vous le dis. Croirez-vous si je prie simplement pour vous? Père céleste, puisse-t-il ne plus tousser. Puisse cela quitter. Puisse-t-il respirer, au Nom de Jésus. Croyez-vous cela?
111 Venez, frère. Si je pouvais vous guérir, je le ferais. Je ne peux pas vous guérir. Je peux prier pour vous. Croyez-vous qu’Il m’exaucera? Venez ici. Notre Père céleste, je bénis mon frère au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils. Accorde sa guérison. Amen. Croyez cela. Ne doutez pas.
Venez, monsieur. Croyez-vous qu’Il exaucera notre prière? Si je pouvais vous guérir, je le ferais. Je ne le peux pas. Je ne peux que prier. Croyez-vous cela? Père céleste, comme la femme syro-phénicienne, qu’il reçoive son désir ce soir. Rentrez chez vous bien portant au Nom de Jésus. Amen.
Venez, soeur. Croiriez-vous, si je priais pour vous, que vous guérirez de cela? Ça sera un grand soulagement, n’est-ce pas? On a tout essayé, l’Asthmador et tout le reste, mais cela ne fait simplement aucun bien. Mais c’est Dieu qui est le Guérisseur. Vous croyez cela, n’est-ce pas? D’accord. Notre Père céleste, je Te prie au Nom de Jésus de guérir cette femme et de la rétablir. Je lui impose les mains, Seigneur. Je crois que Ton Esprit est ici. Il nous a oints. Je Te prie de la guérir. La prière de la foi sauvera le malade, et Dieu le relèvera. Oui.
112 Maintenant, soyez vraiment respectueux. Restez tranquilles. Maintenant, voyez, Il peut dénoncer quelque chose là dans l’assistance. Si vous bougez, je n’arrive pas à saisir cela (Voyez?), car chacun de vous est un esprit. Et vous entrez en contact ici (Voyez?); et alors, quand vous bougez, ça me dérange. Voyez? Comprenez-vous? Voyez? Jésus prit un homme et le fit directement sortir de la ville, loin de toute incrédulité. Voyez? Restez très calme, soyez en prière.
Voici une dame. Croyez-vous que Dieu me révélera votre maladie? Accepterez-vous cela? Regardez-moi. Vous avez une grosseur. Croyez-vous que Dieu peut me dire où se localise la grosseur? C’est dans les intestins. C’est vrai. Croyez-vous que Dieu guérira cela? D’accord. Allez donc. Qu’il vous soit fait selon votre foi, et...?... tout. D’accord.
Dieu ne fait acception de personnes. S’Il a guéri de la maladie gynécologique cette femme-là qui descend là, Il peut aussi vous guérir; n’est-ce pas?
Très bien. Bonsoir, soeur. Croyez-vous que si je le Lui demande, Il vous rétablira? Je ne peux pas–je ne peux pas vous guérir, mais je peux le Lui demander, et Il peut le faire. Je crois que vous êtes déjà guérie. Ne le pensez-vous pas? D’accord. C’est comme ça qu’il faut s’y prendre. Que Dieu vous bénisse, soeur. C’est comme ça qu’il faut s’y prendre. C’est...?...
113 Croyez-vous que si nous demandons à Dieu... Voici ce que Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru. Ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Croyez-vous que je crois en Lui? Alors, au Nom de Jésus-Christ, j’obéis à Son commandement en imposant les mains aux malades. Amen. Croyez-vous cela? Allez-vous aussi croire cela, soeur? Vous croyez en passant par ici? Vous–vous ne passez pas juste à côté de frère Branham; en effet, cela ne vous ferait aucun bien. Mais venez en croyant que Christ se tient ici quelque part, et nous ne Le voyons pas. Est-ce vrai? Venez. Père céleste, je bénis cette femme au Nom de Jésus-Christ. Qu’elle soit guérie. Amen. Croyez maintenant.
114 Croyez-vous, soeur? Notre Père céleste, je Te prie, au Nom de Jésus, de guérir cette soeur et de la rétablir. Amen.
Que Dieu vous bénisse, mon frère borgne, et vous savez si c’est un...?... Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Notre Père céleste, Toi seul Tu peux guérir cet homme. Je prie pour lui, avec mes mains sur lui, demandant qu’il soit complètement rétabli. Accorde-le, au Nom de Jésus, je Te le demande. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Allez en croyant. Croyez aussi, soeur. Père céleste, je réclame sa guérison au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse.
Vous passez, vous deux? Eh bien, que votre coeur soit béni. Oh! la la! Ceci est doux. J’espère un jour voir mon papa et ma maman parcourir le Royaume de Dieu. Si je prie pour vous, croyez-vous qu’Il vous rétablira? Notre Père céleste, ce petit couple, je lui impose les mains avec toute la révérence et tout le respect que je sais avoir. Si cela dépendait de moi, je les guérirais. Je ne le peux pas, Seigneur. Mais je crois en Toi qui le peux. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Partez maintenant, tous deux. Soyez guéris, et menez une bonne, heureuse et longue vie pour le Royaume de Dieu.
115 C’est la chose la plus horrible. Personne n’en sait rien. Voyez? Tout le monde vous dit de vous ressaisir, et comment le pouvez-vous? Voyez? La nervosité. Oooh! Oh! la la! Cette ombre noire vous suit tout le temps, il n’y a rien que vous puissiez faire. Tout va mal, et tout... C’est ça. Croyez-vous qu’Il me permettra de chasser cela de vous? Satan, sors d’elle. Au Nom de Jésus-Christ, quitte cette pauvre petite femme. Honte à toi. Je t’adjure par le Dieu vivant, dont la Présence est ici maintenant, dont je suis serviteur, que cela ait lieu à partir de ce soir. Dieu...?... Que Dieu vous bénisse, madame. Avec toute ma foi et mon espérance, vous êtes libre. Poursuivez votre chemin en vous réjouissant...?...
Croyez-vous, mon frère? Prions. Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils, que la puissance qui a ressuscité Jésus de la tombe vivifie son corps et le guérisse. Amen. Que le Seigneur vous bénisse, mon frère.
116 Croyez-vous, soeur? Notre Père céleste, au Nom de Jésus, Ton Fils, j’impose les mains à cette femme pendant que nous sommes dans la Présence de Ceci, la Présence enveloppante de Jésus-Christ. Qu’elle soit guérie. Amen. Qu’Il vous bénisse, soeur. Allez en vous réjouissant simplement, en étant heureuse, en croyant.
Venez, soeur, vous et le frère. Laissez-nous vous tenir les mains. Père céleste, je les bénis. Au Nom de Jésus-Christ, qu’ils reçoivent leur désir ce soir, qu’ils soient parfaitement guéris, qu’ils vivent pour le Royaume de Dieu, au Nom de Jésus. Amen. Allez en croyant maintenant. Ne doutez pas. Croyez simplement.
Pouvez-vous croire? Est-ce que tout le monde croit? Souvent, les gens pensent que vous avez... qu’on doit le dire à tous. On n’a pas à vous le dire. Je le sais. Et si je me mets à en parler, ça se fera davantage, davantage, davantage. Et voyez, je deviens plus faible, plus faible, et plus faible. Et cette ligne est toujours longue. Mais Dieu connaît tout. Vous croyez cela, n’est-ce pas? Certainement qu’Il connaît. Combien croient, que je vous dise quelque chose ou pas, croient simplement? Amen.
117 Eh bien, Il ne m’a pas quitté, quand je me suis mis à faire cela. Il est toujours ici. Il est ici. Croyez-vous cela? Qu’en est-il de vous? Croyez-vous cela? Je ne vous connais pas. Dieu vous connaît. Mais croyez-vous qu’Il peut me dire ce qui cloche chez vous? Si je vous le dis, ça vous surprendrait. Vous devenez très faible, vous ressentez de la faiblesse. C’est vrai. Croyez-vous qu’Il peut vous en guérir? Un prédicateur qui veut prêcher l’Evangile? Vous êtes un prédicateur, vous devenez tellement faible que vous n’arrivez pas à prêcher. N’est-ce pas vrai? Mais vous pouvez devenir fort à partir de maintenant. Le croyez-vous? Poursuivez donc votre chemin et dites: «Gloire au Seigneur!» Faites-moi entendre de vos nouvelles. Alléluia! Amen.
118 Oh! Amérique, Amérique! Combien de fois ai-Je voulu vous rassembler, combien de fois, mais vous ne l’avez pas voulu.
Quelque chose d’étrange à votre sujet. Oh! Je sais maintenant. Ça y est. Vous êtes la dame que j’ai rencontrée au restaurant. C’est terminé. Au Nom de Jésus-Christ, que cette femme rentre chez elle maintenant, bien portante. Seigneur, qu’elle guérisse de cela. Je crois que Tu le feras, car aujourd’hui, cette grande conduite mystérieuse dans ce restaurant-là, sachant ce qui était à la base de ça... Cette pauvre femme a essayé de secouer...?... de cela depuis longtemps. Mais maintenant, elle est libre. Allez au Nom de Jésus et soyez bien portante, heureuse, vous réjouissant.
119 Très bien, monsieur. Croyez-vous que vous guérirez si je le Lui demande? Au Nom du Seigneur Jésus-Christ, accorde la guérison de notre frère, alors que je lui impose les mains pour la gloire de Dieu. Amen. Que Dieu vous bénisse, mon frère. Allez.
Que Dieu vous bénisse, mon frère. Beaucoup de jours, ça fait longtemps, ici. Prions. Notre Père céleste, oh! si seulement je tenais mon papa comme ceci ce soir. Mais c’est son papa à elle. Aide-le, ô Dieu. Bénis-la aussi, Père. Qu’ils reçoivent la guérison, qu’ils vivent longtemps. Et un jour, dans la Gloire, quand nous serons tous redevenus jeunes, puissé-je les rencontrer une fois de plus avec le témoignage de Jésus-Christ. Je demande cette bénédiction. Amen. Que Dieu vous bénisse. Allez, en croyant. Vous serez rétabli. Ayez simplement foi en Dieu. Que Dieu vous bénisse. C’est doux, n’est-ce pas? Vous croyez, jeune homme? Au Nom de Jésus-Christ, j’obéis à Son commandement en posant mes mains sur les vôtres et en ordonnant au démon de vous quitter, et soyez rétabli...?...
120 Croyez-vous, soeur? Alors, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru», qu’elle soit guérie. Amen. Ne doutez pas. Allez donc maintenant...?... Soyez persévérante. Croyez cela.
Bonsoir, soeur. C’est maintenant l’heure de votre délivrance. Croyez-vous cela? Au Nom de Jésus-Christ, qu’elle soit libre maintenant même. Amen. Puissiez-vous être...?... Que Dieu vous bénisse, soeur.
Venez ici. Frère, je sais ce que représente cette vieille canne, de boitiller avec cela. Ce sera l’heure de la délivrance. Allez-vous persévérer dans la Présence de Dieu maintenant? Non pas dans notre présence, mais dans Sa Présence, je prierai pour vous, et vous allez vous rétablir. Croyez-vous cela? Notre Père céleste, je bénis notre frère. Au Nom de Jésus-Christ, que la puissance de Dieu le guérisse. Amen. Croyez cela maintenant. Tout votre...?... petit enfant.
121 Que le petit enfant soit libéré. Au Nom de Jésus-Christ, que cela se produise dès ce soir. Au Nom de Jésus. Maintenant, voyez ce qui lui arrive. Il a reçu cela. Bonsoir, monsieur. Oh! la la! Je...?... infirme de bras. Je souhaiterais que vous puissiez le tendre vers le Seigneur Jésus ce soir. Qu’Il te bénisse et qu’Il te guérisse. Père céleste, je prie pour ce petit garçon. Je prie que la puissance qui peut le rétablir, Jésus-Christ, le guérisse. Puisse cela lui arriver, que les bénédictions de Dieu reposent sur lui au Nom de Jésus-Christ. Merci, Seigneur. Que Dieu te bénisse, petit enfant. Allez en croyant maintenant...?...
Bonsoir, petit ami. [Quelqu’un parle à frère Branham.–N.D.E.] Je crois qu’Il le fera. Pas vous? Le petit garçon ne peut pas parler. Voyez? Croyez donc simplement. Maintenant, nous allons prier et demander à Dieu. Je crois que le petit garçon rentrera en parlant...?... Croyez-vous cela? Il a un mauvais...?... Oh! la la! Notre Père céleste, que cet esprit de mutité qui est sur cet enfant quitte et que l’enfant parle. Au Nom du Seigneur Jésus-Christ. Amen...?... demain soir...?...
122 Dieu bienveillant, qui a ressuscité Jésus d’entre les morts, guéris cette soeur et rétablis-la alors que je lui impose mes mains indignes, mais croyant en Christ, celui qui est digne. Je réclame sa guérison. Amen. Qu’Il vous bénisse, soeur. Croyez cela maintenant.
Bonsoir, soeur. Notre Père céleste, alors que cette femme traverse l’estrade avec humilité, respect, on sait que la guérison est quelque chose de déjà accompli. Les gens croient cela, alors comme je le disais ce soir, qu’elle soit comme cette femme d’il y a longtemps, tenace et persévérante. Ils croient cela. Dieu leur montre Son signe; ils acceptent cela; ils croient cela. Qu’elle soit guérie au Nom de Jésus. Amen.
Croyez-vous, soeur? Notre Père céleste, la prière de la foi sauvera le malade, et Dieu le relèvera. Je Te prie d’accorder cette bénédiction à notre soeur, ce qu’elle réclame, au Nom de Jésus-Christ. Je joins ma prière à la sienne, ma foi à la sienne, que cela soit accordé. Amen. Que Dieu vous bénisse, soeur.
123 Bonsoir, soeur. Croyez-vous qu’Il vous guérira? Je joindrai ma foi à la vôtre et nous déposerons notre prière sur Son autel, et croirons cela dans Sa Présence. Notre Père céleste, je prie pour cette chère femme alors qu’elle se tient ici ce soir, estropiée, toutes ces choses, Père, je Te prie de lui accorder de se rétablir, ô Dieu. Je dépose ma prière sur l’autel avec la sienne, plaçant ma foi sur le Sacrifice, Jésus-Christ, et demandant qu’elle se rétablisse. Amen. Croyez maintenant de tout votre coeur.
Bonsoir, frère. Croyez-vous que Dieu vous rétablira? Notre Père céleste, ce brave jeune homme se tient ici devant moi. Nous nous tenons dans Ta Présence comme des frères. Je Te demande, Seigneur, alors que je joins ma prière à la sienne, d’accorder, Seigneur, qu’il reçoive la réponse à sa requête soit accordée. Au Nom de Jésus. Amen. Croyez-le. Maintenant, soyez tenace. Tenez ferme à cela; cela a été demandé, il en sera ainsi.
124 Bonsoir, mon frère. Croyez-vous maintenant avec moi que vous pourrez retourner bien portant à cette allée? Notre Père céleste, je Te prie d’exaucer sa requête. Je joins ma prière à la sienne, ma foi à la sienne, tout par Ta Bible et par le Sang de Jésus-Christ. Nous le demandons en Son Nom. Amen. La prière de la foi sauvera le malade, et Dieu le relèvera.
Mon frère, vous allez croire avec moi, n’est-ce pas? Père céleste, alors que je tiens sa main, que la puissance du Dieu Tout-Puissant vienne sur notre frère, que chaque doute subtil qui essaie de s’y accrocher soit brisé. Qu’il traverse ce mur du son, filant là, là dans le Royaume de Dieu, tenace, réclamant sa guérison par les meurtrissures de notre Seigneur Jésus-Christ. Amen. Qu’Il vous bénisse, frère.
Bonsoir, soeur. Je crois que c’est maintenant l’heure. Je joins ma foi à celle de ma soeur sur le saint autel de Dieu, avec mes prières et ma foi avec les siennes. Je demande, ô Dieu, au Nom de Jésus-Christ que Tu exauces sa requête. Amen. Qu’il en soit ainsi au Nom de Jésus.
125 Notre Père céleste, au Nom de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, que ma prière que je joins à celle de mon frère, mes espérances aux siennes, ma foi avec la sienne, sur Ton saint autel... Reçois cela, Seigneur. J’offre cela à sa place, au Nom de Jésus-Christ. Amen. Soyez maintenant tenace. Tenez donc ferme à cela. Que Dieu vous bénisse, mon frère.
Notre Père céleste, on a dit que la prière de la foi sauve le malade. J’offre la mienne avec celle de mon frère. Je sympathise avec lui. Seigneur, je Te prie de le guérir. Exauce-nous, Seigneur, alors que je le demande au Nom de Jésus. Amen. Qu’Il vous bénisse, frère. Soyez maintenant tenace. Croyez en Lui.
Venez, ma soeur; notre Père céleste, alors que je me tiens ici dans Ta Présence, et dans la présence de cette assemblée, dans la présence de cette femme, je demande alors que je joins ma prière à la sienne sur l’autel, reçois-nous, Père. J’offre ceci au Nom de Jésus-Christ. Amen. Que Dieu vous bénisse. Soyez tenace. Maintenant, ne–n’arrêtez pas cela.
126 C’est gentil, soeur. Voudriez-vous rentrer chez vous prendre votre souper, être bien portante? Allez simplement de l’avant.
Croyez-vous, soeur? Père céleste, je Te prie de la guérir, alors que j’offre ma prière avec la sienne, au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Qu’Il vous bénisse, frère. Notre Père céleste, j’impose les mains à mon frère. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il soit guéri. J’offre ma prière avec la sienne, Père, sur Ton saint autel. Au Nom de Jésus, qu’il soit guéri. Amen. Que Dieu vous bénisse, frère.
127 Maintenant, à l’assistance, Jésus a prononcé ces Paroles, Marc 11.24: «En vérité, en vérité, Je vous le dis, si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne doutez point en votre coeur, mais croyez que ce que vous avez dit arrive, vous le verrez s’accomplir.» Croyez-vous cela?
D’accord. Alors, imposez-vous les mains les uns aux autres, inclinez la tête. Imposez-vous les mains les uns aux autres. Ne doutez pas. «Maintenant, si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là...’»
128 Oui, madame...?... Prier... Seigneur Jésus (Maintenant, pendant que vous priez, je prie pour une dame qui a amené un petit garçon ici). Père divin, je Te prie d’accorder la guérison de ce petit garçon. Maintenant, je lui impose les mains, et je crois au Nom de Jésus que ça sera fait, alors que je place ma foi avec celle de son bien-aimé ici, sur Ton autel. Puisse-t-il guérir, Seigneur. Au Nom de Jésus. Amen. Maintenant, croyez, soeur. Soyez tenace.
Je ne sais simplement pas. La prière pour les malades, ça a été quelque chose que je n’ai jamais été capable de comprendre. Avant que j’y aille donc avec le discernement ou n’importe quoi, d’une façon ou d’une autre, je priais simplement pour les malades alors que j’étais un... juste un prédicateur baptiste local là. D’une façon ou d’une autre, ils guérissaient simplement. Je ne sais pas.
129 Beaucoup parmi vous ont lu les histoires au sujet de... (Même Dieu a envoyé des animaux) des gens qui sont venus par des songes et des révélations; des gens qui n’en avaient jamais entendu parler auparavant sont venus de kilomètres outre-mer, pour qu’on prie pour eux. J’offrais simplement la prière de la foi, c’est tout ce que je sais, et je crois cela. Je crois cela. Dieu l’a promis. Et alors, s’Il l’a promis, vous n’avez donc pas à me croire sur parole là-dessus; croyez-Le sur Parole là-dessus. Et alors, s’il vous faut me croire sur parole, c’est au sujet du fait qu’Il m’a appelé pour prier pour les malades, mais je pense qu’Il a prouvé cela.
Regardez ici. Il y a des années, je vous parlais de cette grande Lumière, la Colonne de Feu, je vous disais à quoi Elle ressemblait, avant qu’une photo En ait été prise par la science. Maintenant, regardez les photos qu’on En a prises.
Eh bien, cette même Lumière se tient ici même où je me tiens maintenant même. Je regarde droit Cela, ici même, une Lumière de couleur émeraude. Eh bien, l’oeil mécanique de cet appareil photo ne prend pas de la psychologie, vous le savez. La Lumière était là. Elle est ici, accomplissant exactement ce que Cela avait dit qu’Elle accomplirait.
130 Jésus a dit: «Je viens de Dieu et Je vais à Dieu. Encore un peu de temps, et le monde ne Me verra plus, mais vous, vous Me verrez.» Maintenant, tenez. Qu’était-Il? La Colonne de Feu qui avait conduit les enfants dans le désert. Elle a été faite chair sous forme d’un Homme, Jésus-Christ. Il est mort, Il a été enseveli, Il est ressuscité, Il est monté au Ciel, et sur le chemin de Damas, Paul a rencontré cette même Colonne de Feu.
Vous direz: «Oh! C’est faux.» Oh! Non.
Il a dit: «Seigneur, qui es-Tu?»
Il a dit: «Je suis Jésus.» Eh bien, eh bien, personne parmi eux n’a vu Cela. Paul L’a vu. Personne d’autre n’avait vu cette colombe, sauf Jésus... au-dessus de Jésus, sauf Jean, car il savait qu’il verrait cela, car Dieu le lui avait dit. Voyez? C’est ça. Il était tenace. Il savait cela. Eh bien, ça y est.
131 Maintenant, j’ai prié pour chacun de vous. J’ai prié pour tout le monde. Jésus a dit: «Si vous dites à cette montagne: ‘Ôte-toi de là’, et si vous ne doutez pas dans votre coeur, mais croyez que ce que vous avez dit arrive, vous le verrez s’accomplir.» Maintenant, je l’ai dit; que cela s’accomplisse donc. C’est écrit pour être proclamé. Je l’ai proclamé; que cela s’accomplisse.
Maintenant, prions, avec nos mains imposées les uns sur les autres, comme des enfants de Dieu croyants. Si jamais vous êtes tenace... Comment pouvez-vous manquer d’être tenace maintenant?
Si ces puissants miracles avaient été accomplis en Russie, il n’y aurait pas de communistes aujourd’hui. Si ces puissants miracles avaient été accomplis en–en Chine, il n’y aurait pas de communistes aujourd’hui. Oh! Amérique, Amérique, combien de fois Dieu t’a-t-Il visitée, et pendant combien de temps permettra-t-Il cela? Le temps de la fin est ici. Les lumières du soir brillent.
132 Maintenant, Seigneur, j’aime ces gens. Ils sont Ton peuple et, ensemble, nous sommes frères et soeurs dans Ton Fils Jésus. Et maintenant, Seigneur, comme je le disais ce soir au sujet de David avec la petite fronde, il s’occupait des brebis du père. Et peu importe combien cela était petit, il était prêt à brandir et vaincre avec cette petite chose qu’il avait pour vaincre avec. Et Tu as été avec lui.
Seigneur, je viens à la recherche de ces brebis ce soir. Elles sont malades. J’ai obéi à Tes commandements. Tu as manifesté Ta Présence, Ta bonté. Tu as guéri ceux qui avaient des cartes et ceux qui n’en avaient pas, montrant que Tu es ici. Tu n’échoues jamais. Tu es le Dieu omniprésent. Je viens défier ce démon qui veut les retenir derrière le mur du son de l’incrédulité. Maintenant que j’ai prié pour eux ce soir, je fraye la voie avec la Parole de Dieu et je les libère. Au Nom de Jésus-Christ, je les ramène à la foi...?... Satan, sors.
E-1 Thank you, Brother Parker. It's a privilege to be here. I'm sorry that I was a little late, but a very serious case of sickness just behind the curtain. And I was ministering to the little baby. And I'm so glad to be here again tonight, and I trust that I won't keep you like I did last evening. I kept you so long. And I went home, and I kind of felt--or, I went to my motel, and I kind of felt bad about when I seen what time it was. I was speaking here for about an hour and forty-five minutes.
E-2 And 'course, that's a short one for me. The other day I spoke six hours. See, if a fellow knows a whole lot, he don't have to talk so long. But when he don't know so much, you just have to fill in so, you know, I guess it's... See, I just wait on Him. And when I feel like that He gives me something to say, well, then I--I say it. And I just kinda have to stumble along until then.
I was trying to speak last night about reasonings, not, when anything reasons against God's Word... I don't mean reason, just any reasoning, because Paul reasoned with the people. And trouble today, people just take anything that comes along, and don't reason it out with the Scripture. But when it's reasoning against God's Word, then stay away from it. That's the enemy. See? But when it's reasoning with God's Word, that's God. See? That's right, the two reasonings. So we believe in reasoning with the Word, believe that the Word is right.
Now, you cannot scientifically prove the Word, because it's... and you never will, because it's so contrary to science. If it's scientifically proven, then it isn't any more faith. See? You've got to have faith, and faith is contrary to scientific proving. So you must believe it, not prove it; believe it. That's the idea.
E-3 Some time ago I was talking to a man. I was at Toronto, Canada. We was having a great meeting there. The Lord was blessing in such a marvelous way. And I was across in... It wasn't in Toronto, now. I--I take that back. I forget the name of the place in Canada we were having the meeting, and--and... I'll pick it up in a few minutes. I've traveled so much till I can't think of the names of the place sometimes. And it's right across from Detroit. What's the name? [Someone says, "Windsor."--Ed.] Windsor, correctly, Windsor, Ontario.
And there was a... had a television set setting on the street, some kind of a screen-type, and there was a cowboy there playing, strumming on a guitar, over, broadcasting from the United States. And the man come out, and was talking to me.
Said, "I'd like to sell you that."
Said, "No, sir. Was just passing by." Said, "I don't believe I want it."
And he said, "Well, I'll make it to you real cheap."
I thought... I explained it to him. I said, "I'm a--a tourist." I said, "I'm..."
"Oh," said, "you're just passing through, I suppose?"
I said, "No, I'm down here in a motel." I said, "I'm just here for a few days."
He said, "You're not with that meeting over there?"
I said, "Yes, sir. That's right."
He said, "I don't want to hurt your feelings," but said, "you're listening to a quack."
And I said, "Oh?" And...?... I said, "you think so?"
He said, "Yes, sir," he said, "I do."
And I said, "Well, why would you draw an opinion of that?"
He said, "Well, because the man's talking about something that he doesn't know nothing about."
And I said, "What do you mean?"
E-4 "Well," he said, "for instance, last night, that soldier there that had been in the army, and laying on this cot, and had... supposed to be paralyzed." he said, "I got up and walked around there." Said, "That was just--that was an act." Said, "That man knew the man all the time." Said, "He was just laying there acting like that."
I said, "Why didn't you go to the man that was on the cot and check up, and see who he was, where he come from? If you were real deeply interested, don't you think you should've done that?"
He said, "Well, here's the whole thing." He said, "I ain't trying to discourage you."
I said, "Oh, you won't."
So he said--he said, "I think that I believe in science."
I said, "So do I."
He said, "Well, anything that cannot be scientifically proven is not right."
I said, "I don't mean to be different, but I just say that's vice versa.
"Anything..." he said, "is not real."
E-5 And I said, "Anything that can be scientifically proved is not real." I said, "It's the things that cannot be scientifically proved that's lasting and real."
"Oh," he said, "that's wrong." And--and now, he said, "Looky here what science has done." First he said this. He said, "Well," he said, "I do not believe it."
I said, "Well, I want to ask you something. Are you a married man?"
He said, "I am."
I said, "You love your wife?"
He said, "I--I certainly do."
I said, "So am I. I appreciate that. But..." Am I doing? [Someone speaks to Brother Branham--Ed.] Oh. All right now? I'm sorry. I--I can't tell it here. You see?
E-6 So they said--said, "Anything you cannot scientifically prove is wrong."
I said, "Well, now. You love your wife different from any other woman?"
"Yeah."
I said, "What is that? See, see? Got children? What makes them children different from any other children?"
And when he had talked, in just a few moments... And he said, "Well," he said, "now, for instance this." He said, "You see? There's not a wire around us anywhere."
I said, "That's right. There's a great thing." I said, "Now, here it is. That man's over in the United States. And without a wire or anything connected to it, to the United States, through a--a wave, some kind of electronic wave of whatever it is, brings that man's picture here just as perfect, and reflects it on there."
E-7 He said... He just said he couldn't understand how that discernment. He said, "I think it's just a put-up piece of business."
I said, "Oh?" So I said, "Now, that's not a put-up piece of business. You wouldn't say that," I said, "because it's absolutely there's a wave coming through here, and we're taught that that same picture's coming right through us. And that messages, and that songs, and everything's going right through us. But then it's hitting a certain crystal, or something in there, that's--or a tube, that can reflect that picture, and the picture of the man, that's traveling through the ether waves of the air. And we don't know where it comes from. It just... We know where it comes from," but I said, "we can't see it. And it passes through, and reflects it there."
E-8 I said, "That's the way God... See?" I said, "that's how that fellow knows those things." I said, "See God (See?), sends the--the ether wave down." And I said, "It might pass through thousands and millions of people until it comes to that spot. And then it reflects it."
That right. He--he said, "Oh," he said, "That's all right." But said, "Look. See, we've got a sending station. We've got a sending station that sends that."
I said, "So have we. We got a sending station. That is right, a sending station, and a receiving station." So He's still our heavenly Father, isn't He? And we love Him because that He loved us first, and sent Jesus Christ that He might die in our stead, that He--we might be the righteousness of God through Christ. So glad.
Those visions sometimes are... They kinda stumble people. They don't understand. Sometimes people thinks it just goes on only right here in the meeting. Oh, my. This is the little part of it. It's out there's where it really happens.
E-9 Today I was setting in the room. We had a... Usually Friday's a fast day for me. I don't eat on sometimes Tuesdays and Fridays, till sometime in the afternoon, just a little... That's not a regular fast. That's just a couple of days a week to fast. So a long fast comes in more days, when the Lord puts it upon you. But that's just in respects and honor of God's great memorial to us, the fasting, a command. And so, after three o'clock, usually I have a little something light.
Somebody told me where you could buy a little steak down the road here for about ninety cents, just about right for you to eat. In preaching and these things you have to keep kind of emptied-up. So we were planning on going down there. And--and my son and my nephew wondered why we didn't go down there, but we turned and went to another restaurant.
And then, setting in there, I noticed... In a few moments we were talking, and some people were there--there was always... grand to meet my friends, you know, and talk with them. And so I'd shook hands with some of the folk.
E-10 In a few moments, two ladies came in. The Holy Spirit said, "The one with the white hat on..." Moved around, never seen them in my life. And strange, when one woman was going to set like this, she turned around and was facing right at me. That's grace (See?), knowing just... Nothing happens by chance. So she was looking right at me: strange.
My own son, who's stood with me here on the platform for years... But he asked me a question, something about the great millennium or something. And, "Oh," I said, "Billy, I--I don't understand those things." I said, "I just got my ideas about them." I said, "I don't teach them, because I--I might be a million miles wrong in it. See?" I said, "I just got my ideas."
And he said, "Well, I'd like to know about this," and something another. And then, all of a sudden he didn't catch it. And he doesn't know what I'm say--about me saying this now, if he's present. But if Charlie and Billy's close, did you notice, Charlie? All at once Billy changed to grace right quick, about the grace of God keeping.
E-11 See, he didn't realize at that minute, the Lord had give me contact with that woman's spirit. And there she was. She wasn't too sure it was me, 'cause she had only seen me last evening. I thought, "Lord, I see the woman, the condition she's in, and what's happened. Maybe she's with the meeting." I knew she needed help.
And just then, after we'd finished our dinner, some before finishing, some sweet little sister from down somewhere come along and paid for my dinner. So then... She and her husband, and children...
E-12 And so, then I got up to go pay for the dinner. And I guess Billy and Charlie noticed. I let them go on, because I knew the lady was coming somewhere, 'cause I knew she was behind me. In a few moments she spoke to me. And there I was able to tell the lady just what had happened, what had taken place, and not by chance; but that was the beginning for her healing.
Long years ago... She was a woman, I suppose around close to sixty or something. And in the time of menopause she'd gotten extremely nervous, and she wasn't able to pull from it. And she said, "I only heard you once. I come from way away. And that was last night," she said, "that remark you made about breaking through that sound barrier, so you could get free," she said, "all day I struggled at that sound barrier."
I said, "Don't struggle no more. See? It's over now. See?...?... through it." And I said, "The sound barrier is the barrier between faith and disbelief. When you get beyond that unbelief of a shadow of doubt, you're free then (See?), there's noth..."
E-13 And the lady had... during that time she'd got how menopause sometimes, especially either coming in, or going out, makes the people so nervous. And she'd never been able to pull through that. The woman thinks sometimes that she's lost, and she goes off. And she's a Pentecostal believer. I think so. But the lady had wore--wearing makeup, and short hair, and everything. But the reason she had did that, she was trying to shake from that (See?), trying to shake away from that horrible feeling.
And we just got to talking about... See, that's how... Billy don't know now that I'm saying this to Charlie. That was what grace... The reason you were feeling that, Billy, talking like a blue streak, you know, "Grace, how come is this? And how come is that? And how do you know so-and-so?"
I said, "It's the grace of God. Those who He foreknew He called; those who He called, He justified; those who He justified, He's glorified already. It's all God." And that was it. And she don't have to worry about that.
She was trying to shake from that thing. She'd go out, and she'd do this and do that, trying to get away from it. But today that poor little woman struck the key. She'll get all right now. And she may be here tonight. I don't know, or she might've went home. But she might be here yet tonight in the meeting.
But just goes to show that how the grace of God will do things. It's--it's exceedingly abundantly above all that we could do or think, isn't it? Wonderful.
E-14 Now, tomorrow morning is breakfast, and I asked Brother Parker if I was to speak at that breakfast, and trying to get away from it. But he said no, that I was supposed to say a few words. And then, tomorrow night, I want to try, the Lord willing, to preach, to bring a little message.
And I don't think I'll try again like last night, because I felt real bad: setting here before teachers, and renowned teachers who know a, theologians like Dr. Lee Vayle, and all these other brethren here who I know, and oh, my, graduates, and so forth, that's--that's studied the Bible, and trained in that, and then me standing here try to bring a message of that type. I thought I'd come to pray for Brother Parker's sick children; so I--I'd better stay on that line. So we are here to help.
E-15 Now, tonight I--I want to try to speak and read some Scriptures, so that we won't take me too long, about thirty minutes or something. Then I want to pray for you sick people tonight. Just believe. Now, anybody knows that human beings can't do these things. It's impossible. See? And it's got to be the Spirit of God.
And so we... The only thing we can do is pray for the sick. I can't heal anyone, because you're already healed. If anybody tells you that they can heal you, that's wrong. See? If anybody tells you they can save you, that's wrong. You're all saved anyhow. See? The only thing you have to do is just accept it. You accept what Jesus did for you. He was wounded for your transgressions. With His stripes you were healed. You were healed; it's already past tense.
E-16 The only thing you have to do is accept what He done for you. That's all. And you're under the Blood, every one of you, or God would destroy the whole thing. You're still under the Blood as long as there's a Bloody Sacrifice laying there for our sins. And then one day when you leave this world without accepting that sacrifice, then you stand for your own sins. And you're condemned already (You see?), so you can't stand.
And your healing is just... God makes such a beautiful way. See, faith cometh by hearing. Preach Divine healing. Believe it; accept it. That... If that would be me, that's the way I'd do it. If you couldn't believe my word, all right. And you'd be the same way about anyone else, but not God. After He sends His Word, then He puts in the church different gifts and things, to--just to try to get it to the people the... He's so loving and full of kindness.
E-17 Let us turn now in the book of St. Matthew, the Gospel of St. Matthew the 15th chapter, 21st to the 28th verse. St. Matthew, the 15th chapter, the 21st to the 28th verse. Listen closely the reading of the Word.
Then Jesus went thence, and departed into the coasts of Tyre and Sidon.
And, behold, a woman of Canaan came out of the same coasts, and cried unto him, saying, have mercy on me, O Lord, thou son of David; my daughter is grievously vexed with a devil.
But he answered her not a word. And his disciples came and besought him, saying, Send her away; for she crieth after us.
But he answered and said, I am not sent but unto the lost sheep of the house of Israel.
Then came she and worshipped him, saying, Lord help me.
But he answered and said, It is not meet to take the children's bread, and to cast it to dogs.
And she said, Truth, Lord: yet the dogs eat... the crumbs which fall from the master's table.
Then Jesus answered and said unto her, O woman, great is thy faith: be it unto thee even as thou wilt. And her daughter was made whole from that very hour.
E-18 Let us just bow our heads now, while we talk to the Author of this Word. Gracious heavenly Father, we are now approaching Thy holy sanctuary in the Name of the Lord Jesus. And it's all-sufficient, all that we have need, because He said, "If you ask the Father anything in My Name, I'll do it."
Therefore, we could not come in our own name, or the name of a church, or any congregation, or any nation or race. We just come simply in the Name of the Lord Jesus. And we know that You'll hear us, because He said You would. And we're not asking tonight to stand at the throne of Thy judgment, for we would be condemned; but we are asking to stand at the throne of mercy, to which we all seek refuge.
E-19 Now, Lord, I realize the tremendous weight of the meeting, and how that it must have poured from You, this virtue, as You looked upon the multitude of sick, lame, halt, blind; as You stood at the Pool of Bethesda and seen that great multitude. Yet, there was just one man that You were led to, and You said You knew he'd been that way a long time, and You healed him, or asked him to accept it.
And then being questioned, You said, "Verily I say unto you, the Son can do nothing in Himself, but what He sees the Father doing." Lord, won't You show us the will of God tonight for this sick, waiting multitude? We are waiting the moving of the water that the sick might get in and be made whole.
E-20 I pray thee, God, forgive our sin of unbelief, long as we have been following Thee. And we confess, Lord, that we're a way short of the requirements as ministers and as Christians. So be merciful to us, O merciful God.
And as a man cried one day with a boy with epilepsy, said, "Lord, help my unbelief," we cry to Thee tonight, Lord. After we read the promises of this precious Bible and see what could be done, then we cry, "Help our unbelief." Send the Presence of the Lord Jesus in our midst tonight as we speak on the Word. And may the Word become flesh, and our spirit catch it, believe it.
May we see the returning approaching of the Lord Jesus, as He promised, as the days are drawing out now into minutes and hours, or maybe hours and minutes. And we don't know just how close we are, Lord, but we see things are getting--looking ripe. So help us tonight.
We present the Word to You tonight, Father, that You'll bless it. Get honor to Thy Name, to which Name we ask it in, the Lord Jesus, and for His glory. Amen.
E-21 I would try to draw from this little text tonight or this Scripture, for just a few moments on the subject, or a word called "Perseverance." I draw that from the verses that I have just read. "Perseverance," "it's--it's to make a goal, be persistent." I like the word, and it very fitly to the church of this day, or it should be that the church should be perseverant.
Men of all ages that has faith in what they're trying to achieve has been perseverant. No matter what you're trying to do, you've got to believe in what you're doing.
A man once said to me, a doctor; he said, "Oh, I believe, Brother Branham, if--if the people would believe that they could go out and touch that tree and would be healed, I believe it would happen."
I said, "But my precious brother, men can't have faith in touching that tree. Faith has got to be based on something. And therefore, when a person can base their faith upon the Word of God, then you can be perseverant because it's the Word of God."
E-22 As the old brother said, colored brother, down southern states, he said he would rather be standing on the Word than in heaven. And someone asked him why. He said, "Because both heaven and earth will pass away, but My Word shall not." So that's right. Standing on the Word, then you can have something, not what someone else said, what some school taught, what some minister said, what some doctor said; but it's THUS SAITH THE LORD. Then you can hold on.
And anybody doing anything, if they're trying to achieve something, they must first have faith to believe it. Like the father of our nation is called, our first president, George Washington. Just up the coast a little bit... When I was reading here a few years ago about Washington, I'd seen them where they had that coat that the bullets went through.
And we're told that the night before (Valley Forge) when he crossed the river, praying all night, till his--plumb above his hips was wet where he'd knelt in the snow, he was seeking the will of God 'cause the opposition looked great. The Delaware was full of ice. About half of the American soldiers had shoes on their feet. Looked like he was crippled, but he sought refuge in God.
And the next day he crossed Valley Forge. He was perseverant. Bullets went through his coat and never touched him. He was trying to achieve something, so he sought God and got the answer. Then he could be perseverant.
E-23 That's what we do. You must first find the will of God before you can do the will of God. You must first know what His will is in the matter, and then don't turn it loose. And as the lady said today, she was trying to get beyond that sound barrier. Then the plane just picks up speed and goes on unlimited when it passes the sound barrier.
Well, when you can pray until you've passed the doubt barrier, then you're running free. You can go on. And then you're--there's nothing can bother you then, because you're running free. You're past the unbelief. It's done been settled. It's all over. When you get the assurance in your heart that it's going to be that way, you're just as happy as if it had already happened.
E-24 For instance, perhaps a loaf of bread... If I was starving and a loaf of bread would save my life, and I would ask for the bread, and some man would give me twenty-five cents (and that's the purchase price of a loaf of bread), I can be just as happy holding the twenty-five cents in my hand as I can with the loaf of bread, because it's the purchasing power. Amen. I've... Then I've got it. I haven't got the bread, but I've got the purchasing power. Well, that's faith.
When you can pray until you got the assurance, you can be just as happy if the cancer's gone, shout just as loud, because you got the purchase power, the faith that moves the thing. Then you're perseverant. No one can tell you anything different. Doesn't matter what anyone says then. You've done crossed over the sound barrier. You're free then, purchasing and being persistent.
E-25 Noah, as we talked on him last night, or about him, when he heard the voice of God speak to him and told him of the oncoming judgment... After he heard the voice of God give the--the witness to him what was going to happen, and constructed him--or instructed him, rather, pardon me, on what to do, he was very perseverant.
Scoffers had nothing. No matter how many ecclesiastics stood up and said, "Noah, you're wrong," he pressed right on. He built the ark anyhow. The scoffers could've come around by the thousands and said, "Look at the old fogy. Look at him."
The science could've stood there, and said, "Noah, looky here, fellow. We love you, but you've lost your mind. We've got a instrument here that can shoot all the way to the moon. And we can prove that there's no rain or water between here and there that would drown the earth. Look in this instrument. It'll prove it."
Noah would've--might've said something like this. "I don't care what your instrument says. You're looking at that instrument. I'm looking to God and what He promised He'd do." That's it. It depends on what you're looking at, where your faith is. Now, if the instrument declares it, that's all the farther you can go if your faith is in the instrument.
E-26 Like a precious old brother... I was called about fifteen years ago to pray for a boy dying with black diphtheria. He had heart trouble, and they'd took the cardiogram, and it showed that his heart was way down. I forget what the beat was, but he was going.
The old mother and dad called me from the meeting, and they set on the steps for two or three days, and said, "If you don't come..."
I said, "Well, get someone."
He said... I said, "God's got His men everywhere."
He said, "But, Brother Branham," said, "you don't understand." I said... Said, "Can I explain it?"
I said, "I'll try to understand it." And I said, "I'm tired, and it's not right for me to go one place if I cannot go another." He said... But I said, "Unless the Holy Spirit would tell me to go."
He said, "But look." He said, "We've set in that meeting for a week." Said, "We know that it's impossible, for our own people in our neighborhood has set in that meeting, of different denominational churches, and the Holy Spirit has told them exactly what to do, and how to do it from the platform. And it's been exactly what the Spirit said." They said, "Brother Branham, we know that you could not do that." Said, "It has to come from God." Said, "Therefore, if you'll come and pray for my boy," the old dad said, "he will get well."
E-27 Well, he was perseverant, very persistent. So I got my coat and took off. We went to the hospital. And doctor met me, and he said, "I--I wouldn't bother him." Said, "The boy might die at any minute." And the doctor belonged to another denomination of church, because I questioned him.
I said, "But sir, the--the boy is dying." I said, "Are you a Christian?" He said he belonged to another church, a certain denomination. I said, "Well, if your priest would come, and that boy belonged to the same denomination that you do, and that priest wanted to give him the last rites, would you let that priest go?"
He said, "Certainly."
I said, "Well, if this father believes that just as much if I can pray for that boy he will get well, as you believe the boy would be saved if the priest give him the last rites." I had to be a little persistent too. So he let me in. The little nurse turned up her little nose and went back. So we knelt across the bed. The boy was unconscious.
E-28 So I put my hands upon the boy and prayed just a few words of prayer. And I said, "Father God, I do not understand, but this poor old man is crying out. And he asked me to come here. And only thing I know to do is ask You." And I said, "I pray that You'll spare the boy's life in the Name of the Lord Jesus," and got up.
And the old father turned around to the mother, put his arms around her neck, and they begin to hug one other, and wipe the tears from their eyes, and saying, "Isn't it wonderful, mother?" And I looked, and that little nurse turned her head and looked.
And said, "Think of it. He's... Bob's going to be well. Oh, we praise the Lord," they said.
And the little nurse... They reached across the boy, and shook my hand, and said, "Thank you, Brother Branham, for obeying the Lord to come pray the prayer of faith for our boy." I never said no more than the prayer.
And then the nurse said, "Sir, I don't believe you understand."
He said, "Oh, yes, I do."
Said, "You claim you love the boy."
Said, "Certainly we love the boy."
E-29 "Well," said, "you see..." He said... She said, "How can you act like that when the boy is dying?" Said, "Now, in all medical history when this certain thing, I don't know what it was, the instrument goes down that low, the boy cannot pump back again." And said, "You see, the boy could die at any minute. His heart's only beating..." I forget what his respiration; it was very bad, and his heart was so bad. He had open valves, and everything in it; and one of the valves was blocked or something. And said, "He's--he's unconscious now. He's even too weak to know anything." And said, "Then you can stand there and laugh and carry on like that (she didn't know what kind of carrying on that was) and say--act like that, and your son dying."
And the old gentleman (I'll never forget him.), he turned and put his hand as a father upon the little lady's shoulders of about eighteen years old, little snickle-fritz, you know that (you know, little Annie), and said, "Listen, honey." Said, "You know, you are looking at that instrument. See?" And said, "That's all you know about." But said, "I'm looking to a promise in the Word of God." Said, "My boy is going to live, for He said the prayer of faith shall save the sick. And that's been prayed over my boy."
Well, that's about fifteen years ago. The boy's married and got two children. See, the persistency, that he will believe no matter what instrument says anything. His faith wasn't in the instrument; it was in God's promise.
E-30 Noah, after he had heard the promise of God, he could be persistent, be perseverant.
Moses, he'd knowed intellectually by his godly mother, our beloved sister Jochebed... He had heard her teaching in the intellectual manner, how that his life had been spared from the crocodiles, and how that God had made him a proper child, and he was born for a deliverer; and how that Miriam, his sister, the prophetess, had followed him down to the bathing beach, where Pharaoh's daughter was bathing; and how that God had brought him right up and--and nurtured him right in the palace of Pharaoh; and how he was going to deliver the children. Now, intellectually he knew that. But, you see, the first little mistake...
Oh, don't miss it, church. You might know it from a Word standpoint. You might know that the Bible said the prayer of faith shall save the sick. But you pray until God says the prayer of faith saves you. That's the difference.
E-31 Moses knew intellectually that he was a deliverer. But when he thought the children of God would understand him when he slew the Egyptian, the first little rumor come up he wasn't perseverant at all. Just before he even got to Pharaoh, he took for the desert, because he wasn't perseverant. He wasn't too sure. He just knowed it from the Word standpoint, the promise.
But one day he saw a bush that was afire, and it was burning, and it did not consume. So Moses took--went up the mountainside. And setting back in that bush was that big Pillar of Fire that was to lead him the rest of his days. And in this Pillar of Fire spoke out a Voice: "I have seen the afflictions of my people. I've heard their groanings and I remember My promise to Abraham, and I'm come down to deliver them. Now, go down there."
E-32 Now, talk about perseverant, he walked right up in the face of Pharaoh, said, "Let them go." Why? He'd talked face-to-face with God till he had his commission. I think if minister brethren today would just not take it from a intellectual standpoint; but would find them a place on the backside of the desert on those sacred sands where Satan cannot place his dirty feet of unbelief, and stay there until a message comes from God and positionally places you in the ministry, then all the devils out of torment could not shake you from it. You know you're called.
I think each Christian ought to do that. Before you come out and confess the Holy Ghost, confess that you have the baptism, there ought to be such a personal contact with God until all the intellectuals in the world couldn't explain it from you. You know. You've been there. You've had the witness. You know it's so. That's a requirement. Jesus told the disciples. "You wait. You know the intellectual part. You know the Word. But you wait up there at the city of Jerusalem until you're endued with power from on high." Then they knew. Oh, my.
E-33 How little David, way back on the backside of the desert, little, ruddy, stoop-shouldered fellow herding his sheep out there for his father, one day a bear come in and got a lamb, and he took off after him, and took his little slingshot and killed the bear.
And then again, a lion come in and got one, and he run out with the kid. And the little David... That was his father's sheep. And he took after him with a little slingshot, not with a magnum rifle now, with a slingshot with a rock in it. But his trust was in God. He slung the rock, struck the lion, knocked him down. And when the lion rose up, he slew him, brought the sheep back. He was persistent, because... Why? He had a charge for his father's sheep.
E-34 I think that ought to be the feeling of every clergyman. We got a charge from God for the Father's sheep. The old devil of sickness has struck among you Christians. He's trying to take you out. I, having no education, I--I know nothing about medicine. But the only thing I got is this little slingshot of prayer. I'm coming after you tonight, going to bring you back. He promised the prayer of faith shall save the sick.
Maybe the great intellectual, the great scientific medicines and things, might laugh at it. I don't know nothing about that. As David, when he tried to take up a sword and put on Saul's ecclesiastical jacket, it didn't fit him. Never does fit a real man of God. But he picked up... He said, "Let me go with what I've proved."
That's the only thing I know, Christians, is to go with what I've proven to be Truth. That's God's Word, His Word, standing on It. Come after His sick children. Let's bring them back to shady green pastures, and still waters, and good health, strength.
E-35 Little old Samson standing out there, and caught up (as we spoke of him the other night) with the Philistines all around him, he had nothing but the jawbone of a mule. But when he could reach back to feel those seven little locks, he was very persistent.
Shamgar, many people never read of him in the Bible. He was one of the judges of Israel. Just one little paragraph wrote of him in the whole Bible. But when he was standing there, after his harvest was over... His little children looked thin and poor, his wife, maybe the sleeves out of her dress. The Philistines would come right in, take everything they had as soon as they got it all worked up. Got up to a good place, then the Philistines would come in and take it away from them.
E-36 So about time he got all of his grain thrashed out and in the barn, thought, "Well, maybe we can live. I can sell a little of it, and get some little dresses for my girls, and some shoes for my boys; maybe be able to get a little cheap dress for the wife this year," he heard something, pulled back the barn door window and looked out there (the barn door, rather) and looked out. Here come a thousand Philistines, armor, spears, swords, trained men, tromp, tromp, up--right up the highway. There they'd pack away his grain.
He stood there. Now, he wasn't a fighter; he was a farmer. He didn't even have a sword, as far as we know. But he happened to remember, "I'm a Jew; I'm circumcised. I'm a child of God. I've got a right. I've got access to the same God of David. I've got access to the same God of Moses. I've got access to the same God of Daniel." And he... The Spirit come upon him, and he grabbed that ox-goad, and went out there, and was persistent. And he slew a thousand Philistines with an ox-goad, a stick, what they punch the ox with: slew a thousand Philistines.
E-37 I was one time going into a stadium where I was to preach, and there was great field of people, many thousands, waiting. And I read a little something over that stadium and always... It was a football stadium. It always encouraged me. It was a little sign there said, "It's not the size of the dog in the fight, but the size of the fight in the dog." So I think that's a whole lot of it. It's get a lot of real Christian come-at-it persistency. "God promised it, and it's mine." That's right.
John the Baptist was very persistent. They'd say--maybe Caiaphas or some of the priests would come out and say--"Here's Rev. Dr. Ph.D. So-and-so. Don't you think he fits the Messiah?"
John said, "It's not Him."
Brought another one. "Here's a good man. What about him?"
"That's not Him," for he knew when he saw that dove descending from heaven, that would be Him. Then he was persistent. Oh, it's so much in the Bible to talk about; I never get to it.
E-38 Let's get to the Greek woman. First place, she was a Greek. She wasn't a Jew; she was a Gentile. But she had heard of the fame of Jesus. She'd heard of the critics also, how they criticized Him. But she didn't pay attention to the critics. She was listening at the fame. She, being a Greek...
You know, you always got something to hinder. But you know, somehow or another faith finds a source that people don't see. Faith finds its source. People don't see that. So it must've been with this little woman, that faith had found a source. The Word of God, the Bible said in Hebrews 4:12, "is a sword, it's a sword cutting the marrow to the bone, to the sunder, to the spirit; and it is a discerner of the thoughts and intents of the heart." That's what the Word is.
E-39 That's the reason Jesus could discern what was in the people's thinking, because He was the Word. And "if the Word abides in you..." And then it isn't you; it's the Word that goes out and discerns. And there's only one thing that can handle that, that Word. It isn't an education. I'll assure you of that. Faith is the only thing that can yield that sword of faith. As I said the other night, faith in God's Word will cut a hole through any difficult. But you got to believe it.
She had many hindrances. She did herself, but her faith didn't have any hindrances. No. Faith don't have any hindrance. Faith just believes it. It don't have a hindrance at all. You're already past the sound barrier, as the lady was talking of. Faith don't have a hindrance. You might have it, but your faith doesn't have it. Your faith has no hindrances at all.
E-40 She might... They might have said to her, "You are Greek. You shouldn't go over there. That's a Jew. That's a Jew that they're claiming all these things about. You're a Greek." But, you see, they was trying to have a race barrier there; but faith don't know a race barrier, doesn't know it at all. No, 'cause she might have thought this, "If He is who I believe He is, He's God. And if He's God, He's the Creator of every creature. If He's God at all, He's God of the whole creation. And if He isn't God of the whole creation, then He isn't God." That's a good way to look at it.
E-41 Well, no matter if she was a Greek, she was still persistent. She had perseverance. Then somebody might've come up with this old proverb, you know (They still have it today.): "The days of miracles is past. There is no such a thing." But no matter how many hollered at her, "The days of miracles is past," she still was persistent. That might have been for them who believed it, but not for her. Something had already happened inside that let her know that it wasn't past.
And until you get past that barrier, you'll never do no good. You've got to come a-past that barrier: "God was, but isn't now." He's still God if He ever was God. If He isn't the same God today, He never was God. See? That's it. It's man lost his faith, not God lost His power, God went back on His promise. It's man went back on the promise to believe.
She was still perseverant. If the days of miracles was past for all of them, it wasn't for her. Why? She'd struck a-past that sound barrier. She got a hold of something. Something had struck her.
E-42 Well, there's always another group to a little lady like that. Some of them might've said, "You know what? Your husband is a businessman. He belongs to the big church over here on this side. And if you go down there to that group, your husband will leave you." Now, that's a great big barrier to pass. But I tell you, if you ever get a hold of faith like she did, that won't make any difference. Uh-huh. Right. That didn't make any difference to her, husband or no husband. She was on the road to meet Jesus. She was perseverant.
And then there might've been the group that always stands around, says, "But wait a minute. If you go down there, Lydia (or what her name was), you know you'll be the laughing stock of our nation, 'cause you know there's no such a thing down there. And you know that's just a Jewish fable. They've had all that kind of stuff that we've heard about it, but it's nothing but just a proverb, a song that they sing." You know, they still got that group. Right. So but when she got to that group, she'd be the laughing stock, and so forth; she was very perseverant. She went right on a-past them.
E-43 All right. Then there come the ministerial group. Oh, my. That's a bad one to pass. "Now, looky here... (I've called her Lydia. I hope there's not a Lydia here, but it might be all right. I hope you have the same faith she had.) So then, when Lydia got to the ministerial association they said, "One thing to it. You know you're a member up here of our church, and that's a Pentecost..." or some kind of a group down there, you know.
Anyhow, said, "If you go down there we're going to give you your church records, your letter. We're going to take you right off the book. You cannot come back to the church anymore. We're just going to send you away, and you'll be a laughing stock. Your husband will put you away in divorcement, And he will marry a better looking woman than you are," and all these things.
E-44 But that didn't stop her a bit. Church letter or nothing else didn't stop her. Why? She had heard. "Faith cometh by hearing, and hearing of the Word of God." She was perseverant. She crowded right on through every barrier.
Now, she arrives at Jesus. Now, she thought, "It's all over now." That's the way some people think when they get the Holy Ghost, "It's all over." It's just beginning. That's when you need to be perseverant, (See?) when you arrive. When she arrived at Jesus, Jesus said--give her a real hard shaking. I believe He knew she was coming. So when she arrived, He turned around to her and let her know that He wasn't sent to her race. Oh, my. What a letdown that would've been.
Oh, but what did it do? That didn't stop her a bit, not at all. Still she called Him Son of David. 'Course, the Gentile has no hold on Christ by the name of Son of David. No, no. See, the Son of David was under the Kingship, and Christ is the King of the Jews. But to the church, He's not the King; He is the Lord. Amen. He's the husband, as Sarah called Abraham her Lord. He's Lord of the church, but King of the Jewish race.
E-45 So when she worshipped Him and said, "Lord, help me," Jesus said, "But you know, it's not meet for Me to take the children's bread and cast it to you dogs." Oh, my. If that would've been a modern Pentecostal, she'd have turned that little nose up and said, "I'll never go to a meeting like that again." Why? They don't have the hope that she had. That's right. She had the hope. She had heard, and faith had caught it. She had a reason; she had a need. And she just wasn't going to turn loose. That's right. I like that. Yes, sir. Still she held on, although she was called a dog, and a race that was lower than dogs.
Said, "I'm not sent to your race. I'm only sent to the lost sheep of the house of Israel."
And she said, "Lord, help me."
He said, "It's not meet for Me to take the children's bread and cast it to the dogs." Oh, my.
E-46 She wasn't a hotbed plant, to have to be babied. No, no. No, no. She wasn't a hotbed plant, had to be baded--babied. She wasn't a modern hybrid, so-called believer of the crop today. She had a hold of something. Not, "Well, I'm Methodist, and I don't have to take that." "Bless God, I belong to the Assemblies. I belong to the Church of God. I don't have to take that." No, no. That's a hybrid type. You're bred into some organization. But a real true, thoroughbred Christians is born of the Word of God and holds on, no matter what takes place.
E-47 Anything that seems to be dumb to me is a mule. A mule don't know where he come from. He's not mule, nor he's not horse. He's a mix between a mule and a horse. He's not gentle; he's mean. He's lowdown. He will wait all of his life to get to kick you just before he dies. You can call him, he will just stick them big ears up, "Haw, haw." See? He doesn't know. That's right. He's hybrid.
That's what's the matter with the church today: too many hybrid so-called Christians. That's right. They stick their ears up, say, "Haw, the days of miracles is past. Haw, haw." You don't know whether you're a Christian or a sinner. You don't know whether you're a believer or an unbeliever. Hybrid.
E-48 Anything's hybrid is off the real main beaten road. We ought to have a little time to talk on the original seed, see where it comes from. Hybrid don't know where it belongs, don't know who his papa was, who his mama was, or nothing. No, he don't know. He has no pedigree. He can't have a pedigree. He can never breed himself back.
That's what's the matter with the churches today. They can't breed themselves back. They're hybrid. They don't know whether they belong to God, or some denomination. Only thing they can produce is a member, not a Christian, I believe. Maybe I oughtn't to have said that, but it's already said. That's right. He don't know what he belongs to. He just knows he's Methodist, Baptist, or Pentecostal. That's all he knows.
E-49 But oh, how beautiful is a thoroughbred. Oh, my. He can tell you who his pappy was, his mammy was, his grand-pappy, and grandmammy, and great-grand-mammy, and all the way back. He knows. He's gentle, kind. You can talk to him; he listens. Put his head on your shoulder, he's full of love. Why? He's thoroughbred.
So is a thoroughbred Christian that's borned of the Spirit of God. They don't go into any denominational arguments. They know Who their Father is. They know where they come from. They know where the Spirit come from. They know Who they're borned of. They don't argue your creeds. You can talk to them about love, about Divine healing, all these things 'cause they're borned of God. Persistent, I should say. You don't have to beat them. They'll pull the load anyhow. Right. Oh, my. How wonderful. Hybrid Christians, that's... got today.
E-50 Not her. No, sir. Watch. When Jesus said, "I'm not sent to your race," giving her a test... She'd had an awful time getting to Him. But when she got to Him, then she had a disappointment. "I'm not sent to your race."
But when she said, "Lord, help me," He said, "It's not meet for Me to take the children's bread and cast it to the dogs."
Listen to this. "Lord, that's true." Oh, my. Faith will always admit the Word right. Yes, sir. "True, Lord. But I only want crumbs."
That ain't a modern believer today. "You'll come right down and do it the way I want you to, or I--I--I just won't receive it." Yes. That's the way Naaman was, trying to get rid of his leprosy.
E-51 But you have to take it the way He brings it. And when faith gets a hold of it, you'll go on with it. Yes. She's only hunting crumbs. Remember, this woman had never seen a miracle. She was a Greek. But she believed it anyhow. She was like the harlot, Rahab.
The harlot, Rahab, when she heard... When she hid the spies, she was a Gentile, an outcast, a prostitute. But she heard. She didn't say, "You bring Joshua up here and let me take a look at him. Let me see how tall, how handsome he is, how he combs his hair, how he grooms himself, how big he is, how big of shoulders." She didn't care what he looked like.
She said, "I've heard what God's did for you." There you are. "I don't care what Joshua looks like. I don't care whether he's got a Ph.D., or LL. D., or hasn't got nothing. I know God's with you, and I want protection." Amen.
E-52 "I don't care whether they call them holy-rollers, Pentecostal fanatics, Full Gospel, whatever it is, I want God. I want His grace; I want His power; I want His love; I want His forgiveness. I don't care what you have to be called. I don't have to see this, that, or the other, whether He's big or little, or whatever He is, I--I just want to see Him. I want to have His grace and mercy with me." That's what we need.
Watch. This woman had the right approach to God's gift. How much difference it was to them Pharisees. How much was it to them Jews, the rulers. Said, "We would see a miracle from you." Oh, the ecclesiastical side.
E-53 But this poor little ignorant Gentile said just, "Lord, I'm just wanting the crumbs." Said, "The--the... You know the dogs do eat the crumbs that fall from the master's table, and that's all I'm asking for." She didn't say, "You have to come down to my house and lay Your hands on my child." She didn't say, "If You'll come down and speak in another language out yonder, and tell me all about it, I--I--I'll believe it." She said, "I only want the crumbs. Just the off-falls is all I'm looking for." See, she had the right approach. She had the right approach to God's gift. She was the first Gentile that Jesus ever done a miracle on, first Gentile.
E-54 Faith always admits the Word's right, and faith always acts humble. Faith always admits the Word right, and always acts humble. Look at Martha and Mary. When little Martha had been made fun of so much, or been talked about being so much about keeping the house clean... But when Lazarus died she went to Him. Look how persistent she was: perseverant.
She had to pass through all the critics that said, "Where is that holy-roller preacher that was around here, claimed he loved your brother so?" See? Jesus knew, the Father had told Him, "Go away and wait till Lazarus dies, and I'm going to bring You back," 'cause He said so. He said He didn't do nothing till He seen the Father show Him first. That's right.
E-55 So He went away, and they sent for Him, and He didn't come. I imagine she got laughed at then. "Where is he? Uh, huh. He run." Then sent again, and He run again, went to another city. Then finally He turned and said to His disciples, "Lazarus sleepeth."
Said, "Well, he's doing well."
Said, "He's dead. And for your sake I'm glad I wasn't there. But I'll go and wake him."
But little Martha didn't hear Him say that. Here she come, persistent. She said, "Lord, if Thou would've been here, my brother would not have died. But even now, whatever You ask God, God will give it to You." I like that. Oh, I love that. "Even now, even now..."
You might say, "Brother Branham, the doctor told me I..." But--but even now. "I--I've been sick for forty years." But even now, Lord. Oh, my. "I've been seeking the Holy Ghost for a long time." But "Even now, Lord, while I'm in Your Presence..."
E-56 "Whatever you ask God, God will give it." And He turned with not very much encouragement. See, He tries you, see how persistent you are. Don't give up. And if faith really gets a hold, it won't give up. Said, "Even now, Lord, whatever You ask God, God will give it to You."
Jesus turned and said, "Yes," said, "Martha," said, "your brother shall rise in the resurrection. He will rise at the last day."
Said, "Yea, Lord. He's a good boy. I knew he was a good boy. I... All that I believe."
Jesus said, "I am the Resurrection and Life. He that believeth in Me, though he were dead yet shall he live. Whosoever liveth and believeth in Me shall never die. Believest thou this?" Thou... Now, what did that get to her?
E-57 Now, she had a right to upbraid Him, and say, "Why didn't You come? I called You. I left my church. I left my organization. I left my friends. I quit the card party. I didn't go at the bunco game no more. I left it, every bit. I come believing in You." Remember the Holy Spirit hadn't come yet now, teaching different.
E-58 But said, "I left everything, and followed You. And when I needed You, You didn't come. When I sent, You ignored me and went on. I sent again, and You ignored me." Looked like she could've had an argument with Him, but she forgot all about it. She wanted to get to Him. That's the reason she got what she asked for.
Like the Shunammite woman before Elijah. She was persistent. She come up and fell down at his feet, and she said... Elijah said after he found out what her trouble was, he told Gehazi, he said, "Take my staff. Go, lay it upon the baby." And he girded up his loins and went on.
But she was persistent. Her faith wasn't in the staff; it was in the prophet. And she said, "As the Lord God lives, and your soul never dies, I'll not leave you." She was persistent. He couldn't get away from it. So he girded up his loins and took off. Amen. That's what it is.
E-59 If the Shunammite woman could have that much faith in a prophet, if Martha had that much faith in Jesus, how about today when we've got two thousand years of miracles constantly pouring? When around the world, and around the clock twenty-four hours, the people are being healed and filled with the Holy Ghost the world around; miracles of healing and raising the dead, and casting out devils; can't we be persistent to hold on to the Word of God, knowing He's no respect of person, hold there, persistent until He comes? Sure. Persistent... Certainly.
E-60 Like the woman... come down to the tabernacle about three years ago. I was in there for one night. A woman was in there had a tumor weighed fifty pounds. She was out like this. The woman may be here tonight. I come in through the back door, and went into the little old tabernacle there, and was preaching. And so I turned around and went back. She was from California, and she couldn't walk. And she was persistent though. They said... She said, "I come for Brother Branham to pray for me."
And some of the elders said, "He announced that he wouldn't be praying for the sick tonight."
She said, "Which way does he go out?" Not me; she had faith in God.
E-61 So two of the elders of the church, or three, got this big heavy lady, and packed her around to the little door where I go out the back of the tabernacle, not knowing myself she was there to be prayed for. And I got through preaching. I started out, and she caught me by the trouser leg, and she held there. She said, "Brother Branham, I won't take your time to pray for me, but just lay your hands on me." That's it. She was determined. About six or eight months later... The lady standing there that night was swollen out like that. The doctors wouldn't touch her for nothing.
She's been back in my meetings down through California; will be there again now. She's been to the Tabernacle since, just as flat as I am. And said, "Any of the women can come, examine me. There's no mark of knife upon me. The thing left me." Why? She was persistent. Amen. Her faith was set.
My faith is built on nothing less
Than Jesus' Blood with righteousness;
When all around my soul gives way,
Then He's all my hope and stay.
For on Christ, the solid rock, I stand;
All other ground is sinking sand.
Persistent. Their faith had a hold of His Word and it wouldn't let go.
E-62 Like Micaiah was down there before Ahab and Jehoshaphat. There was fifty--or no, four hundred, I guess, fine cultured men come out, well fed, dressed: Ahab's prophets. They come out there prophesying. Jehoshaphat, being a righteous man, there was something didn't hit just right. See, he didn't have no faith.
All them fellows standing there, the whole seminary was out. Said, "Looky here. Go up, Ahab," because they was judging, "The land belongs to you, Ramoth-gilead. It's yours, so it belongs to you. Go up and take it. The Lord's with you." A guy had a great big set of horns, like this. He said, "By this you're going to push them all the way out of the land."
Jehoshaphat looked around and seen there was no faith. "No matter," he said. "Here," he said, "have--haven't you got another one?"
He said, "Another one? There's four hundred of the best. They're educated; they're trained. They're men of God."
E-63 But you see, there was no faith there. He said, "Surely you ought to have another one somewhere."
He said, "I got one, but I hate him." He said, "He's always bawling me out."
"Oh," he said, "let not the king say so. Go get him."
Says, "That's Micaiah, the son of Imlah."
So you know what? The deacon board went over and met him, said, "Now, looky here, Micaiah. If you want to come back into the organization again, all you said against them, it'll be forgiven you--if you'll just say the same thing they say. You say the same thing."
Micaiah, I like that man of God. He said, "I'll say only what God puts in my mouth." So he got over before him, and he said, "Give me tonight." And he must've prayed all night. Along about daylight he saw his vision. When he saw the vision, he compared it with the Word.
That's the way to check whether your vision's right or not. Not all kinds of visions is right. But if it's contrary to the Word, you leave that vision alone. But if it's with the Word, stay with it.
E-64 So Micaiah gave his prophecy, that he saw Israel scattered like sheep. Now, four hundred ministers standing there, all of them well, all them prophets, great men, ecclesiastical force. But Micaiah was persistent. He had checked his vision with the Word. He knowed it was right. He knowed what that real prophet... Elijah had prophesied evil against Ahab, and how could he say good when the Word said evil?
How can you bless what God has cursed, or how can you curse what God has blessed? It must be with the Word. Sometimes you have to stand alone, but stand there. That's right. Be persistent. Stay right with it. No matter what anybody else says, stay with it. Micaiah stayed right with it. And of course, we find out that it proved out that he was right.
Faith never denies the truth of the Word, but holds to it no matter how ridiculous it might seem. Faith holds right on to the truth of the Word.
Peter (in closing)... Oh, my. Why didn't somebody pull me? I didn't know it was getting that late. Excuse me, friends. I'd better stop right here then. I'll say just a couple of more little comments here (See?), and then go. Let's change it just a minute. All right. Notice. (Thank you.)
E-65 There was Peter, the apostle. We'll bring it down home just for a moment. Peter, the apostle, he had a good old father. His name was Jonas. And I can just imagine Peter and Andrew, and Jonas--they were fishermen. And I can see old Jonas, about eighty years old, out there as the little old feeble arms, helping them pull them nets in. He sees he's losing his strength, knowed it wasn't going to be very long till he was going to go away. I can see him set down on the side of the boat after a good catch that day. He'd prayed that morning.
He said, "My sons, come near me." He might've said it like this: "You know, we people have looked for a Messiah, and we know He's coming. I've so longed to see Him. I thought surely He would come in my generation. But it seems like I'm going to go before He comes. I'm getting old. "But my sons, don't be disturbed now. Just before His appearing there's going to be all kinds of fanaticism raise up around it," always is.
E-66 It's the devil, trying to put a scarecrow out (See?), scare you away. But remember, the scarecrows is always at the good tree. Just remember that--not out on the old sour apples, no. It's always where good eating's at.
So he said, "Just remember. Now, there'll be some raise up saying they're this, and some they're saying they're that, and some are saying they're so forth, and claiming messiahs and everything else. But don't you believe it. Now, the only way to be sure is take what the Word says."
"Now, the Word said Moses, the prophet of God." And the Word always comes to the prophet. He said, "Now, Moses said that 'the--the Lord your God shall raise up a prophet liken unto me.' Now, it's been hundreds of years since we've seen a prophet. But remember, when the Messiah cometh, He won't be saying He's that. But when He comes, He will be a prophet, and you notice Him. "Now, our Bible tells us if a man claims to be a prophet, and what he says comes to pass, then listen to him, because you can fear him because he's from God. But if what he says doesn't come to pass, don't pay attention to it. Just go on (See?), 'cause it's not right. So now you boys remember that."
E-67 Andrew, you know, was the first one to find him. He said, "Hey, Simon. Come on, go down to the meeting in the morning. He's going to be down here. The churches won't have Him, so He's down here in another place. So you come down here."
And, "Oh," Simon said, "now remember. We're Pharisees, and we've--we've got to stay..."
"But I just want you to come. Just set down and listen for a few moments; watch it."
So the next morning... I can see after they got through pulling the nets, why, Jesus came down to the coast. And--and the first thing you know, Simon must've come up in the audience. And when he come walking up through there, Jesus looked over at there, and said, "Thy name is Simon. And you're the son of Jonas."
Now, you talk about a persistent boy; he was from then on. Nobody could make him doubt it then. He knowed it. Because why? He had saw that sign of a Messiah. He saw the Word. He knowed that the Man didn't know him, didn't know his name, didn't know nothing about him; and here He told him, not only him but who his father was, and what his name was, the very one that told him to look for this sign. He was persistent.
E-68 Little old Philip, when he heard this story he didn't have to see it. He believed it, for he was looking for a Messiah. He was so persistent till he went around the hillside, about fifteen miles, and he found a guy named Nathanael. He didn't have to go back and say, "Now, wait. Let's set down and calculate this." He said, "Come, see Who we have found, the One that Moses spoke of." Amen. I can hear him tell the story about Simon.
Oh, Philip... or, Nathanael might've said, "Now, wait a minute, Philip. You've gone off on the deep end."
"Just come, see. See if I'm on the deep end."
So when he walked up in the prayer line, or in the audience, wherever it was, I can see Nathanael begin to look around, say, "Kind of a good feeling here tonight somehow. Looks pretty good."
And Jesus caught his eye and He said, "Behold, there is a Israelite indeed in whom is no guile." That took him off the rocker.
He said, "Rabbi, when did You know me?"
He said, "Before Philip called you. When you were under the tree I saw you."
And he looked around; he saw all of his pastors, and the deacons, and the presbyters, and the bishops, and all of them standing around. But brother, he got very persistent right then. He said, "Rabbi, You are the Son of God." Hallelujah.
There you are. He was persistent. Why? He saw something. He heard something. He realized that it was Scriptural, so he could stand persistently, regardless of what the rest of them thought. He seen something. He had a hold of something. He held on to it.
E-69 The little woman at the well, ill-famed. She'd seen so much bogus amongst the people professing... One day she... It must've been about eleven o'clock. They went into Sychar to get some food, the disciples, and Jesus left alone. The Father had sent Him up there because He had need go by. He was going to Jericho, but He went up around the mountain 'cause He had need: one soul, and her a prostitute. Oh, amazing grace. One soul out of the whole thing, and her an ill-fame, calling off of His regular journey plumb up here.
She might've been... About eleven o'clock she come out to get some water. She might've started to let the bucket down, and her curls dropped down over her--her face. And she started to let the bucket down. She heard somebody say, "Bring Me a drink." She looked over quickly, and there set a Jew.
She said, "It's not customary for such a thing, a Jew to ask a Samaritan anything."
He said, "But if you knew Who you were talking to, you'd ask Me for a drink." What was He doing? Contacting her spirit. Father had sent him up there. Now, the subject is there. Hallelujah. I saw something then. O God. Father sent Him up there, and now here's the subject before Him. He don't know what to say, but He carries a conversation. He said--talked about worship at Jerusalem, and the Jews and so forth, and the well they talked about. After while He found where her trouble was.
Said, "Go, get your husband and come here."
She said, "I--I--I have no husband."
Said, "That's right. You've had five, and the one you've got now is not your husband."
She said, "Sir, I perceive that Thou art a prophet. We know that the Messiah is called the Christ; He's coming, the Anointed One. And when He comes, He will be a prophet. He will tell us those things."
He said, "I'm He that speaks to you." Talk about persistence.
E-70 You know, it wasn't actually... If you know the oriental custom, a woman of that type should never approach a man in the market place. That's right. Not till this day in India, and different places. No, sir. The men wouldn't even hear her. Look at her. She's marked a prostitute. They'd turned their back, no matter what she said.
But what? They couldn't ignore her. They couldn't ignore the woman. Why? She had a hold of faith. She had a message. They couldn't stop her. She said, "Come see a Man Who's told me the things that I've done. Isn't this the very Messiah? Isn't this He?" And the Bible said the whole city believed because of the woman's testimony.
E-71 The little woman with the blood issue, she was persistent. I imagine she seen all the--the denominations standing there, and she pressed right on by them. One said, "Wait a minute. Where are you going? Aren't you John Doe's wife up there on the hill, that he just swapped that team of horses the other day to pay the doctor?"
"Yeah, but he couldn't do me no good."
"Well, you're too frail. You'll get tramped on down there in that bunch of people. Listen at them. They're nothing but a bunch of fanatics that's Galilean backwash. They don't even belong to an organization. All He does is tear up our churches. Go on back up there. I'll call your pastor." She just ignored it. She was persistent and went walking on. "Well, you're too weak to go to the meeting." That didn't stop her a bit. She was going anyhow. Little pale cheeks, she's going anyhow, going anyhow.
Maybe her husband said, "Get back up there on the hill where you belong," See?
"You are my husband, and I love you. But I must touch Him," Walked right on past it.
Here stood a...?... and she passed another line of people. They said, "The days of mir..." [Blank.spot.on.tape--Ed.] And the bishop come around like this, said, "Hey, we heard you done miracles. Let's see you do another one." Another one stepped in this way, that way.
Finally she thought, "How am I going to do it?" But you know, faith always finds a way to do it, like the Syrophenician woman. Faith finds a way to touch Him. If you don't believe it, you get to praying right now, and see if your faith don't find a way to touch Him. Faith finds the way. And after while...
E-72 Reminds me of--of Abraham Lincoln. They'd shut him out, great man. He said, "How you going to get in?"
He said, "I'm going to trust God."
Said, "They're going to close the doors in your face."
He said, "I'll still trust God."
So when all the senators answered... They was going throw him out on this measure that they was trying to vote against. And so... They knowed Abraham Lincoln was for it. He had such a pressure, and such a--a status before the people that he could put his point over. And they wouldn't let him in the door.
And when they got up and begin to call the names, they called different ones and different ones, and there was Lincoln's seat empty. Said, "Abraham Lincoln?" Down through the chimney, said, "Present."
E-73 Faith finds a way. It might be down the chimney, but it'll get there. What difference does it make, so it arrives? Faith finds a way. It may be crawling, may be singing, may be shouting; whatever it is, it finds its way, moves right on.
She'd try to touch, and blocked off and blocked off. Finally, she just stooped down, and reached over, and touched His garment. Jesus turned and said, "Who touched Me?" Why? She had perseverance. She touched Him.
E-74 I must close. I just feel so good, I hate to do it. But we got a big prayer line coming up. Listen. I was in Mexico about four years ago, and they told us we could have the bullring. General Valdena had brought me down, first American non-Catholic that had ever been brought down. When the bishop of the Catholic church went up before the president, and said, "Your honor, sir, this man is coming in here non-Catholic," and said, "he gets government support, from General Valdena, military support." Said, "Our nation doesn't stand for that."
And so the president said back. He said, "The man's a reputable man."
Said, "Oh, he's--he's just a renegade."
Said, "I don't think tens of thousands of people would go out to hear a renegade."
And he said--he said, "But you see, sir," the bishop said to the president, "you see, sir, only the poor and illiterate is the only thing that goes to hear him."
He said, "You've had them for five hundred years. Why are they poor and illiterate?" That was a good question.
E-75 They wouldn't let us have the bullring, so we got a great big place out there. And those poor Mexicans. Thinking: we set in here listening for an hour and a half and get tired. Many times those people come there at eight or nine o'clock in the morning: no seats. They stood up leaning against one another all day. I wouldn't be in the pulpit until about eight or nine o'clock that night. But they stood there so they'd get a place to stand, about thirty thousand. And there they was, all leaning against each other.
I was just to be there three nights. And I remember one night there (second night), coming across the platform was a... I seen him standing on the platform. Billy had led him up, an old Mexican man. His feet was callused all over, and his pants all ragged, no shirt on, just a coat wrapped around him, it ragged, an old hat tied up with strings. He was blind. He kept saying something. When he got close to me, took out little beads and went to saying a "Hail, Mary." I had him put it up.
E-76 So I put my arm around him. I looked, and me with a good pair of shoes on and a suit of clothes. Got just as much right to have a pair of shoes and suit as I have. Yes, sir. So I thought, "I--I'll give it to the old man. See?" My, his feet was much bigger than mine, his shoulders way out like that. I looked at his gray hair, blind. I thought, "If my daddy would lived, he'd been about that age. And maybe he's somebody's daddy."
I put my arms around him, started praying. And when I opened my eyes like this (They don't interpret the prayer.), I seen the old man going around looking as well as, you know, he could see, and everything, in the vision. I just held real still. Directly I heard him holler, "Gloria a Dios," means "Glory to God." He could see as good as I could. Oh, down through there he went lippity, clippity, hard as he could. The amazing grace...
E-77 The next night there was a rick much longer than this platform, piled that high, of old shawls and coats laying up there to be prayed over. And when I got on the platform that night... It'd been raining since about ten o'clock in the morning. Those people stood right through the rain, them Mexican women with their hair all down in their face and just soaking wet.
And I had to get on a ladder and come down a wall. They picked me up from the car, and let me down on these ropes on a ladder, to get on the platform right beside the wall where I had to come around the wall in a car.
And I was speaking. And Billy come over to me and said, "Daddy..." A Mexican man... (I don't know what his name was. I called him "Manana," which means tomorrow. He was so slow. And so he was always)... He'd come and get me, and he was about... They brought him because that he couldn't talk to me. Nobody talks to me when we're coming to the meeting. And he couldn't talk English, so I just called him Manana. And so he would blabber off something. I didn't pay any attention 'cause I didn't know what he was saying.
E-78 So he got me on the platform that night, and I was speaking, and Billy come running up. He said, "Daddy, Manana give out all them prayer cards." And said, "There's a little woman down there's got a dead baby." And said, "I've got over a hundred and fifty, two hundred," forget what it was, "ushers, and they can't stop that woman."
Said, "She's got that dead baby on her hip, and she'll run between their legs and run over their shoulders, and everything else with that dead baby." And said, "She ain't getting no prayer card." And said, "We done give them all out. And if I put her in line ahead of them people that come and got a prayer card, there'll be a riot as sure as the world."
E-79 And now, Brother Jack Moore... Anybody ever know Brother Jack Moore? Many of you. He was with me. So I said, "Brother Jack, she don't know me from you." I said, "Go on over there and pray for the baby, and it'll--it'll be all right."
And these ushers would take and hold her back, and she'd stand there. And as soon as they'd turn their head, she'd run right between their feet like that, hard as she could. And she'd upset four or five of them. They'd shove her back again. They couldn't keep her off the platform. Oh, persistent, my...
And so, our Brother Jack started over to pray for the little baby, Billy was taking him over. And I said, "As I was saying..." Then Brother Espinosa, a Pentecostal brother from California, was giving the interpretation. I said, "Now, faith is the substance of things hoped for, evidence of things not seen."
E-80 And when Brother Espinosa started to say that, I looked right out here, about two or three feet from here, and there was a little Mexican baby in a vision--little old, no teeth, just gums, just laughing at me. And I rubbed my eyes. I looked again, and there it was, little bitty fellow. He was just laughing, them little black eyes just staring.
I thought, "Wonder if that's that baby." I said, "Hold it just a minute, Brother Espinosa." And Brother Jack was going off the platform. I said, "Tell the ushers, Brother Espinosa, make a way and let the lady come up."
E-81 She was standing about the distance of this building out there, still pressing her way with this dead baby in a blanket. It died that morning about nine o'clock. The doctor pronounced it dead: died with pneumonia. So she... They made a way, and here she come up to the platform. She fell down and begin to holler, "Padre." It means "Father." I tried to get her to stand up.
When she stood up, Brother Espinosa said, "Has she got a prayer card?" I said, "No. But Brother Espinosa, don't say this. I don't know. I seen a little Mexican baby in a vision right out before me here." And I said, "It may be her baby. I'll just pray and let it go on like that."
He said, "All right."
E-82 I said, "Don't interpret the prayer." And I--I told her to stand up, and Espinosa told her in--in--in Spanish to stand up. She stood up. I said, "When did your baby die?"
"Nine this morning." It was about ten-thirty then that night.
And I said, "You believe?" With all her heart. There wasn't a doubt in the little thing's mind, pretty little woman, looked to be about in her early twenties, twenty-two or twenty-three, typical little Mexican senorita.
So she had this little baby and a little blanket over it. There it was laying there just soaking wet, that blanket. She'd been standing out there since that morning. She'd seen a piece in the paper about that old man getting his sight, so she was ready to bring that baby. And so, I asked her if she believed. She said, "Yes."
E-83 So I laid my hands over on the little baby. I said, "Heavenly Father, now, I don't know. I just saw the vision. And upon the basis of that vision, it may be the baby. That's all You said to me. I'm just going to put my hands on it, commit it to You."
And the little baby went "Whaa." and begin to kick its little feet like that. And I looked around. She jerked the blanket off of it, and people begin screaming, and I said, "Now, don't you--don't you say nothing about this, Brother Espinosa. Get a runner, get somebody on that case, and go and get a signed statement from the doctor before you say anything, 'cause if you're going to say anything about it, it's got to be authentic." So she... he got a runner.
And the next day he himself... They went to the doctor, he signed the statement that the baby died that morning at nine o'clock. And that was that night at ten o'clock, and the baby as far as I know is living in Mexico tonight, happy. Why? Because the woman like this little Syrophenician woman, she was persistent. She knew she had a hold of God: Catholic, or no Catholic; priest, or no priest; church, or no church; excommunicate, or no excommunicate; laughed at, or no laughed at. What was she? She was perseverant. She knew that there was a God.
E-84 Listen. Bible promised signs proves He keeps His Word. Bible promised signs, we can read them and be persistent, and know that He keeps His Word. Let us pray.
'Fore we pray, is there some in here tonight that would like to be remembered in this prayer? Whatever you have need of, would just raise your hand and say, "God, make me persistent, Lord, till I can get the desire of my heart. It's for Your glory. Lord, stay right with me. Let me stay with You. Give me a hold on You tonight.
"I'm going to watch. I'm going to listen. I'm going to believe. When others are being prayed for, I'm going to believe tonight. I'm going to be persistent that I'll never leave this building until I've got a anchor in my faith. My faith is anchored in me, rather, that I am going to be very perseverant, 'cause I believe. I want to get a hold of Your Word right now for my case."
E-85 Our heavenly Father, You see the hands. The story of this little Gentile woman, how that she was persistent... She was very perseverant because faith had come by hearing, and hearing of God's Word. And with all of her hindrances... And here we set tonight with not one third the hindrances she had.
Her daughter was an epileptic, and she was a Gentile, which God had not promised to visit. She was turned down by her friends. She was turned down probably by all that we spoke of tonight. But we know that even Jesus tested her faith, told her that He wasn't sent to her, and said that she and her race was dogs.
And the truth was, Lord, when faith gets a hold of the Word, it admits the truth. Said, "But the dogs get the scraps." And that touched the heart of our Master. He said, "Oh, woman, great is your faith. Be it unto you as thou hast believed." And when she got home, the fit was off of her daughter, and she was lying across the bed. The devil had left her.
E-86 Heavenly Father, give us that faith tonight. May we come, and after tonight be perseverant in our faith; because we can have faith if we know You've promised it in Your Word. Anything that You promised, and our faith takes a hold of, it belongs to us. You told Joshua, "Everywhere the soles of your feet sets, that I've given you." And we realize that footsteps meant possession. Father, if some of them tonight has never walked high enough up into the Kingdom of God to receive the Holy Ghost, may they receive it tonight. May they make footsteps tonight, footprints.
And then them who have never been able to reach up high enough, and walk up there, and possess the blessing of Divine healing, may they walk up tonight, be persistent. May faith catch a hold of them right now by these remarks from these others.
Those who've never accepted You as Saviour, may they reach up tonight, and get a hold of You, and accept You. The Bible said, "As many as believed was baptized." Grant it, Father. And may they be baptized also in water, and also in the Holy Spirit. Grant these blessings, and help Your poor, humble servant, as I minister now in the Name of Thy Son, Jesus. Amen.
E-87 Now, I believe that Billy Paul, if he's in the building said that he gave out prayer cards. And I--I think he said fifty. Is that right? Fifty prayer cards. And we want them to stand up. Now, don't race at it. Just come one by one.
Who has prayer card number 1? Some one? What say? A-1. All right. A-1, is it the gentleman? A-2, would you raise your hand? All right. A-2? Did I see the hand of that person? A-2? All right, sister. A-3? 3, all right. 4, 5, raise your hand. I didn't see 4 even, 4? All right, next in line. 5, raise your hand. Prayer card 5?
E-88 Now, Billy comes down to the audience, gets up here, shuffles the cards up together, gives the people a card, anybody that wants them. Anybody have to be here to get them, of course. Now, I think if they come early and got a prayer card, they ought to have right to be first up here, don't you think so? That's right. And now... But Billy don't know who's going to be first on the line, because the prayer cards are shuffled up. That makes it to him.
Then sometimes, I start vice versa, backwards, upside... You've seen it done...?... That's right. Last night we didn't even have any prayer cards at all. See, that isn't the idea.
All right, 5, 6? Raise your hand. 7, all right. As I call--as I call your number you stand up. 7, 8, 9, 10, 11? Just make your way over here and get in the line right along here. 12?
E-89 Now, if you can't raise up, some of the brethren will come and get you, pack you. You're going to get up here, yes, sir. All right. 12? Did I see 12? Prayer card 12? All right. 13, 13, 14, 15? Be watching your card now. 15? 15, 15, 16, 17, 17, 18, 18, back, 19? Thank you, Brother Vayle. 19, 20, 21, 21? I didn't get it. 21, 22, 22, prayer card 22? Thank you. Let me know, you know, because it might be somebody deaf, and they miss their place (You see?), or somebody can't get up. Somebody watch the other's prayer card, and then be looking at your prayer card.
What was that 22? 23, 23, prayer card 23, 24, 25, 26? Good. 27, 28, 28, 29, 29, 29, 30? Thank you. 31, 32, 33, 33? I didn't see it. 34, 34, 35, 36, 36, 37, 37? I didn't get it. 37, 37? Look around at your neighbor. He might have a prayer card. 37? He might be deaf, might be able... can't get up. See? He's paralyzed, and can't move. 37?
Somebody must've got it and went out. If they come in, put them in the line, position them in their place now. The ushers will be there to help. 37, 38, 39, 40, 41, 42, 43, 43, 44, 45, 46, 47, 47? That's good. 48, 49, 50, 50, the man back there.
E-90 Now, is all the people that has prayer cards up? Has anybody else got a prayer card? All prayer cards standing in the row? I want to be sure of this now. We called one, 37. I seen a couple of brethren come in since then. I just wonder. I've called prayer card 37, and it didn't answer. That's the only one that I seen myself that didn't answer. Prayer card number 5? Did it answer? Brother Vayle said he didn't notice prayer card number 5. Number 5, is it there, and 37?
Now, if you will just give us a moment or two, friends. Now, we'll... Someone coming in again with a baby. Maybe it might be some of the women and brothers has to step out with their little ones. And--and if they're out now and that number comes in, put them right in line, right in their place, put them where 37 and 5 belongs. And that makes everything just right then. 37 and 5. Everybody now be alert, be ready, be willing.
E-91 Now. Thank you. That's the way it's better. Thank you, brother. Hear that better now? Reason they're doing this is because under the anointing I don't talk very loud. Now, while they're getting them together I might say this. I want it from your heart. If you don't believe it, don't raise your hand. But if you do believe it, I want you to raise your hand.
Now. We know that Christianity has been growing in the grace of God through the years. Martin Luther was the first reformer from the dark age, and he preached justification by faith. How many knows that? Then the church was like--in the--like a pyramid. It was down here, great... Anybody even professed to be a Christian, it was dangerous, could be killed.
E-92 Then along come Wesley with the Message of sanctification, then become more in the minority. Then after Wesley come the Pentecostal group. Then it become up. And anyone knows... Not teaching pyramid doctrines now or anything, I'm just giving example. But the headstone was never put on the pyramid. Why? It was rejected. See? So if the headstone would come to the pyramid... If anyone's ever been in Egypt, those stones are so closely fit together till you can't place a razor blade between them. That's where's the mystery. How'd they get them up there? They fit perfect.
Now, the headstone... It will have to be the stones that's made up here at the top, ready for the headstone. It'll have to be honed so perfectly, until when the headstone comes it'll have to fit just exactly with it to make the building complete. Is that right?
E-93 So the church... Now, if the Headstone come in Luther's time, look what a out-of-the-way place it would've been. Look if it come in Wesley's time. It's got--it'll come in its own predestinated time. But the church will be honed in such a condition until the church's ministry will be so close, and be just exactly the same kind of ministry that Jesus had, to make it all fit together for the rapture. Like, the head knows more than the feet. See? The eyes are more use than the feet. The eyes is a prophet of the church. It foresees. See? And all these things come in the head, the head part.
Now, I want to ask you a question. Excuse me, brethren. This may be off the beaten path. But if I'm wrong, you forgive me, and you brothers out there. I believe that the church will have to come to that spot for the rapture to be caught up together to meet the Lord in the air. I believe that we're living in that day, that when the church will certainly be in the minority. It'll be a small group.
E-94 You know, when Jesus preached, there wasn't one--one--one percent of the one millionth of the people on earth ever heard Him. Look what heard John to make preparation. See? It's the elected that hears it. That's all. That's right. "No man can come to me except My Father draws him first. And all the Father has given Me will come." That's right.
Now, I believe that there's a church coming into that perfection, that ministry of perfection, where the offices, where apostles, prophets, teachers, pastors, evangelists for the perfecting of the church, them pastors, and teachers, and so forth, will be so with the Word until the whole thing will work right up to the coming of the Lord. I believe that, and I believe we're nearing that time now. I believe it's so.
Now, we know that Jesus said, and taught us all through the Scriptures, that the works that He did would be done also. Now, my brethren, I hope that if they disagree with me it'll be on a friendly basis.
E-95 Did you know that the Bible speaks of the appearing of the Lord, and also the coming of the Lord, and it's two different works? Search it and find out if that's right. The appearing and the coming is two different things. The appearing of the Lord is now. He's appearing amongst His people. We see Him in His same works, the appearing, His Holy Spirit. But His coming will be in a physical being. It'll be to catch the church up.
But see, we've been down through the Word, justification, sanctification, baptism of the Holy Ghost. And now the church is getting in such a condition, ready, waiting. The offices... And the offices of the church is coming into its place. The teachers are placing the places. The gifts are manifesting themselves.
Oh, there's a lot of impersonations. That's right. We expect that. But there's real too. Before there can be a bogus dollar there has to be a real one for it to be made off of. That's right. We have all those carnal comparisons, but that don't take away from the real. It only--it only makes the real shine out.
E-96 So the Lord is now appearing among His people--great signs and wonders, raising the dead, healing the sick, and doing the very same things that He did that hasn't been done for two thousand years. See, the church is honed up through that, brought up till it's right at the time the headstone is coming to meet the church. And then, it'll all go together, and be raptured. The ones fell asleep in the first watch, second watch, third watch, on to the seventh watch... The appearing of the Lord. Last night I touched it, how He'd come.
E-97 Now, remember, not the man. That's a office in the church. Not the marvelous teacher man; it's the marvelous Holy Ghost teaching in the man. Not the marvelous man with the gift of discernment; the marvelous Holy Ghost in there using the man. See?
Always said like... Peter referred to it one time on Mount Transfiguration: the holy mountain. It isn't the holy mountain; it's the Holy God on the holy mountain. It's not the holy church; it's the holy God, not the holy people, but the Holy Ghost. See? It's the Holy Spirit in these last days.
E-98 Now, when that Angel of the Lord came to Abraham, there in the time before the destruction, now, that was God appearing in human flesh. And Jesus said, "As it was in the days of Noah, so will it be in the coming of the Son of man." As it was in the days of Lot... He give the morals of what they were doing in the days of Noah.
In the days of Lot, watch that Messenger to Abraham. Watch the messengers to Lot and the nominal church. Just, "Come out, come out," and Abraham pleading for them. Notice, the Angel, God, Elohim, appearing in a form of human flesh shows that Elohim in the last days will appear, not the coming of Christ, but the appearing of Christ in human flesh in His church, making His same signs and things that He did, and hasn't done it in the church for two thousand years (See?): the appearing of the Lord.
E-99 Now, is all the prayer cards in the line? How many's sick out there and hasn't got a prayer card? Raise up your hand. Do that again. Raise up your hands, all that's sick, all that's praying, believing. All right.
The woman that touched the border of His garment, she didn't have a prayer card either, but she touched His garment. And the Bible said that He right now is a High Priest (Is that right?) ever living to make intercessions, a High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities. Is that right? And the Bible said in Hebrews 13:8, "He's the same yesterday today and forever." Is that true?
E-100 Well then, if He's the same High Priest, if you touched Him like that woman did... Not physically, her faith touched Him, because He said virtue went. Everybody was touching Him physically, but her faith touched Him. And He turned around, and knowed her blood issue, and said her faith had saved her.
Don't you believe He's the same High Priest tonight? And if these words are true, He's appearing in human flesh. Then you let Him appear in your flesh, giving you faith in His promised Word, St. John 14:12, "The works that I do shall you also." Then I'll... If there's offices in the church, then let me relax myself before Him, and William Branham part go away, and let the Lord Jesus speak through me, appear in human flesh like He appears in yours.
So there will be a witness of two, and two's a confirmation in God's Word. Two is a witness. Then you have faith to touch Him, and I have faith, and through both of us confirms His Word that it's the truth.
E-101 Now, you sick people again out there, now, I can't go down through that--discernment through that line. You know, it--it would take me right off the platform. One--one little woman caused the Son of God to say He got weak, and Him the Son of God. What do you think I would be, a sinner saved by His grace?
I couldn't even stand one of them if He didn't say, "The works that I do shall you also, and more than this shall you do." I know the King James says "greater" but it's actually "more." See? Greater, He couldn't do no greater. He raised the dead, stopped nature, done everything. See? So it's just more of it, because there'd be more people. The Spirit was just in one man there. Now, it's universal around the world in all of His people. Believe.
E-102 Let's just take for a start these crowd in this way. How many there that doesn't know me, and I don't know you, and you're sick, and you believe that God can reveal to you your trouble? Raise up your hands. All you there that hasn't got prayer cards, and you want something from God, raise up your hand. In here? Over here? You pray.
Let me turn my back. You pray. The Angel that appeared in human flesh had His back turned to the tent where Sarah was, and He told Sarah what she did. Is that right? That same Angel was God. And the same God that was there was promised by Jesus, Who was God, to appear in these last days before the burning of the earth, just like He did in the days of Sodom. Do you believe it?
E-103 'Course it's a vision. There's people standing there I don't know. It'd be up to Him. Here it is, if I can find where it was. Yep. The lady setting right here, heavy-set, did you raise your hand a few minutes ago? You believe God will heal that rheumatism for you and make you well? If you do, raise up your hand. All right. You can have it. What did she touch?
The man setting next to her, what do you think, brother? Do you think that comes from God? You do? You believe God can tell me what's your trouble? Would you believe it? Would you accept it if I could tell you through God's Spirit? I'm talking to you, you're setting close to me. You believe it? Will you believe it? All right then, your high blood pressure will leave you.
That man setting next to you had the same thing, a little thin man there. He had high blood pressure too. If that's true, raise up your hands, both of you. Hallelujah. Go believing. Don't doubt. What did they touch? They never touched me. I don't know the people. I've never seen them in my life. You're all strangers to me. That's right. If you'd just believe, that's all you have to do.
E-104 Here's a little lady setting right back here, looking right at me. She's just tearing into the Kingdom of God. She's praying for her unsaved sons. If you'll believe with all your heart, they'll be saved. Will you believe it? All right. You can have it. You believe, all of you?
You believe God will heal that nervousness for you, sir, setting there? You was asking to do it right then. All right. It's all over. You have it.
The little lady setting right here, praying for that grandchild, you believe that God will make it well? Retarded, but you believe that God will make it well? You believe it with all your heart? Planning on bringing it to church tomorrow night. You won't have to. God will make it well, and you can bring it. How about it, lady? You believe it? All right. You can have it.
I'm a total stranger to the woman. I don't know her at all. Never seen her in my life. Are we strangers to one another, lady? If it is, raise up your hand. Wasn't that what you was praying for? If it was, wave your hand like that. Don't you see? Elohim, God. How can you doubt? Can't you be persistent?
E-105 Just to start it in the line... Now, you have a prayer card. They didn't. Do you believe me to be His servant? Do you believe I've told you the truth tonight on God's Word? I don't know you, never seen you in my life. We're strangers as far as I know. But do you believe if God can tell me what's wrong with you, or something you--something that you... You'll know whether it's the truth or not. You know what has... If I can tell you what has been, and tell you what will be, why, you know that will be right.
You're not here for yourself; you're standing for somebody else. And that person's not here. That's your wife. She's in another state. She's in Georgia. She's got kidney trouble. She's very sick, got complications. That is right, isn't it? You believe with all your heart now? Go home and find her the way you believed it. Don't doubt. "If thou canst believe, all things are possible to those who believe." Amen.
E-106 That was a man. Here's a woman. Let's have just one more, and then we'll start just praying for the sick, see if we can get down that line. Come near me, sister. I believe we're strangers one to another. We don't... We're just two people that met here, the very same way it's in a panoramic like this at Sychar there, where Jesus met the woman at the well. Here we are, man and woman met first time in life.
Oh, my. How I wish--I wish that--that I could see the power of Satan moved away. How can we stand and see this and then not believe?
Here's a man and woman. We've never seen one another. She's just a woman standing here. I don't know one thing. I've never seen her in my life. Now, what about it? I don't know one thing. Well, what is it? God promised it. God's Word says so.
He promised me that one night up yonder, many years ago, said I was born for this. I believe it. Tens of thousands of times, around the world, and not one time it's ever failed. What is it? It's showing you that the time is at hand. It isn't me; it's Him. How do I know this woman?
E-107 Little old brother had his son healed. He said, "I know it has to be God, Brother Branham. People in my neighborhood I know, they said..." I know it's a promise for the last day and it's here. The Bible in Malachi 4 promised it. He said it must come to pass before the great and terrible day of the Lord shall come, that shall burn the earth. And we know we're living in that day.
Here's two people standing here. I don't know the woman. 4, 5, 6, 7 or whatever it was--was out there, and there's a whole line, if I could only stand here long enough. And that's what I'm trying to do now, get myself shook away enough that I can go on with the prayer line. Does something to you, and it's a constant like a throb out there in that audience. It's faith.
Oh, if you could just ever just break through that little barrier there, get free, like a bird getting out of a cage: he's got the wings; just get out the door.
E-108 Lady, just to talk to you a minute now, I don't know you, but God does know you. Then if something you'll have to say that... If He will tell me something about you, what you're here for, like the woman touched His garment or something on that order, some Bible sign to show that it... You--you know it has to be something, because I don't know you. Then, if you--if it would... You'd know whether it'd be truth or not, 'cause you know about it. And then, if it is the truth, my, wouldn't that be wonderful? My, certainly would.
Now. The lady's very sick. I see it now. I see her at the doctor's. She's been turned down by the doctor. She's suffering with all kinds of complications. One thing, you got a hernia, and you're supposed to have an operation. And you've got such a bad heart till there's no doctor will take the case. That's THUS SAITH THE LORD. But there is One here will take the case. Glory. Don't doubt. Glory. Keep believing with all your heart. Do you believe? Amen.
E-109 Now, you know I know what's wrong with you. Whether I told you or not, if I pray for you, you know there's some kind of Anointing here. Is that right? You believe it? Our heavenly Father, heal my sister tonight and make her...?... for You, Lord, in the Name of Jesus Christ. Amen. Prayer of faith shall save the sick. God shall raise them up.
You're conscious that I know what's wrong with you. Would it help if I told you, or would you just... If I prayed for you, you'd know there's some kind of Anointing here that knows you got heart trouble. Excuse me. Go ahead. It's all over.
Now, when you were standing right out there a few moments ago, and I asked anybody that had a need raise up their hand, you raised up your hand. And when you raised up your hand a real strange feeling hit you, wasn't it? Because, that's when your nervousness left you. Go on your road...?...
E-110 If I prayed for you, you'd get well anyhow, wouldn't you? But would it help you if I told you what you were here for? It would? Female trouble, lady's trouble... You believe now? Go and be well, if you'll just believe with all your heart.
Now, what if I just put my hands on you, just prayed for you. You believe me? Heavenly Father, grant it in Thy Name. Jesus, You said how much greater is their--their reward who has never seen, yet believe. I pray that You'll heal him, Father, in the Name of the Lord Jesus. Amen.
You're conscious that I know what's wrong with you. Don't do any good, though, if I tell you. You believe if I just prayed for you? Heavenly Father, may he cough no more. May it be go. May he breathe, in Jesus' Name. You believe it?
E-111 Come, sir. If I could heal you, I would do it. I can't heal you. I can pray for you. Do you believe He will hear me? Come here. Our heavenly Father, I bless my brother in the Name of Jesus Christ, your Son. Grant his healing. Amen. Believe it. Don't doubt.
Come, sir. You believe He will hear our prayer? If I could heal you, I'd do it. I can't. I can only pray. You believe it? Heavenly Father, as the Syrophenician woman, may he get his desire tonight. Go home and be well in Jesus' Name. Amen.
Come, sister. You believe if I'd pray for you, you'd get over it? Be a great relief, wouldn't it? They've tried everything, old asthmador and everything else, but it just don't do no good. But God is a healer. You believe that, don't you? All right. Our heavenly Father, I pray in Jesus' Name that You'll heal the woman, and make her well. I lay my hands upon her, Lord. I believe that Your Spirit is here. It's got us anointed. I pray that You'll heal her. The prayer of faith will save the sick and God shall raise them up. Yes.
E-112 Now, be real reverent. Set still. Now, see, He might call something out there. And if you're moving around I can't catch it (You see?), 'cause each one of you is a spirit. And in here you contact (You see?), when you do, when you move it upsets me. See? You understand? See? Jesus took a man and led him plumb out of the city, away from all the unbelief. See? Sit real still, be in prayer.
Here's a lady. You believe God will tell me what your trouble is? Would you accept it? Look at me. You got a growth. You believe God can tell me where the growth is? It's in the intestines. That's right. You believe that God will heal it? All right. Then go. As you have believed, so will it be to you, and...?... all. All right.
God's no respect of persons. If He healed that lady going down there with the female trouble, He can heal you too, can't He?
All right. How do you do, sister? You believe if I ask Him, He will make you well? I can't--I can't heal you, but I can ask Him, and He can do it. I believe you're already healed. Don't you think so? All right. That's the way to do it. God bless you, sister. That's the way.
E-113 Do you believe if we'll ask God... Jesus said this: "These signs shall follow them that believe. If they lay their hands on the sick they shall recover." You believe that I believe Him? Then in the Name of Jesus Christ, I obey His commandment for laying hands on the sick. Amen. Believe it?
Will you also believe it, sister? You believe, passing through here? You're--you're not coming just to come by Brother Branham, 'cause it wouldn't do you no good. But you're coming believing that Christ is standing here somewhere, and we don't see Him. Is that right? Come. Heavenly Father, I bless this woman in the Name of Jesus Christ. May she be healed. Amen. Believe now.
E-114 Do you believe, sister? Our heavenly Father, I pray in Jesus, Name that You'll heal this sister and make her well. Amen.
God bless you, my brother, blind in your eye and know if it's a...?... You believe that God will make you well? Our heavenly Father, only You can heal this man. I pray for him, with my hands upon him, and asking if he will be made every whit whole. Grant it, in Jesus' Name, I ask it of You. Amen. God bless you, my brother. Go believing.
You believe too, sister. Heavenly Father, I ask for her healing in the Name of Jesus Christ. Amen. God bless you.
Come right along, both of you? Well, bless your heart. My, this is sweet. I hope someday to see my papa and mama coming down through the Kingdom of God. If I pray for you, you believe that He will make you well? Our heavenly Father, this little couple, I lay my hands upon them with all the reverence and respect that I know how. If it laid within my power, I would make them whole. I cannot do it, Lord. But I believe in You Who will. I ask it in Jesus Christ Name. Amen. Go now, both of you. Be well, and live a good, happy, long life for the Kingdom of God.
E-115 That's the most horrible thing. No one knows about it. See? Everybody tells you get next to yourself, and how can you? See? Nervousness. Ooh, my, that old dark shadow following you all the time, nothing you can do. Everything's gone wrong, and every... That's it. You believe He will let me cast it away from you? Satan, come out of her. In the Name of Jesus Christ, leave this poor little woman. Shame on you. I adjure thee by the living God, Whose Presence is here now, Whose servant I am, let it be from this night on. God...?... God bless you, lady. With all my faith and hope, you're free. Go on your road rejoicing...?...
You believe, my brother? Let's pray. Heavenly Father, in the Name of Jesus Christ, Your Son, let the power that raised Jesus from the grave quicken his body and make him well. Amen. Lord bless you, my brother.
E-116 You believe, sister? Our heavenly Father, in the Name of Jesus, Your Son, I lay my hands on this woman while we're in the Presence of this, shrouded Presence of Jesus Christ. May she be healed. Bless you, sister. Go just rejoicing, happy, believing.
Come, sister, you and brother. Let's have your hands. Heavenly Father, I bless them. In the Name of Jesus Christ may they get their desires tonight, be made perfectly whole, and live for the Kingdom of God, in Jesus' Name. Amen. Go believing now. Don't doubt. Just believe.
Can you believe? Does everybody believe? Many times people thinks you have--everybody has to be told. You don't have to be told. I know it. And if I go to talking about it, it just gets more, and more, and more. And see, and I get weaker, weaker, and weaker. And that line is still long. But God knows everything. Don't you believe that? Certainly He does. How many believes, whether you say anything or not, just believe? Amen.
E-117 Now, He didn't leave me, when I just started that. He's still here. He's here. You believe it? What about you? You believe it? I don't know you. God knows you. But you believe He can tell me what's wrong with you? If I tell you, you'd be surprised. You just get real weak, got weak spells. That's right. You believe that He can make you well from that? A preacher who wants to preach the Gospel? You are a minister, and you just get so weak you can't preach. Isn't that right? But you can be strong from now on. You believe you are? Then go on your road and say, "Praise the Lord." Let me hear from you. Hallelujah. Amen.
E-118 Oh, America, America. How oft would I have hovered you: how oft, but you would not.
Something strange about you. Oh, I know now. Here it is. You're the lady that I met in the restaurant. It's over. In the Name of Jesus Christ, let this woman go home now, being well. Lord, let her recover from this. I believe You will, because today that great mysterious leading into that restaurant, knowing what's caused this... The poor woman's tried to shake...?... from it a long time. But now she's coming free. Go in Jesus' Name and be well, happy, rejoicing.
E-119 All right, sir. You believe if I ask Him you'll be made well? In the Name of the Lord Jesus Christ, grant the healing of our brother, as I lay hands on him for the glory of God. Amen. God bless you, my brother. Go.
God bless you, my brother. Many days have been long here. Let's pray. Our heavenly Father, oh, if I could only hold my daddy tonight like this. But it's hers. Help him, God. Bless her too, Father. May they have the healing, live a long life. And someday in glory, when we're all turned back to young people again, may I meet them again with the testimony of Jesus Christ. I ask this blessing. Amen. God bless you. Go, believing. You'll be all right. Just have faith in God. God bless you. Isn't that sweet?
You believe, young man? In the Name of Jesus Christ, I obey His commandments by laying my hand upon yours, and asking that the devil depart you, and be made well...?...
E-120 Do you believe, sister? Then in the Name of the Lord Jesus Christ, He said, "These signs shall follow the believers," let her be well. Amen. Don't doubt. Just go now...?... Be perseverant. Believe it.
How do you do, sister? This is the hour of deliverance for you. You believe it? In the Name of Jesus Christ, may she be set free right now. Amen. May you be...?... God bless you, sister.
Come here. Brother, I know what that old stick means, to be hobbling around on it. This will be the hour of deliverance. Are you going to be perseverant in the Presence of God now? Not in our presence, but His Presence that I'll pray for you, and you're going to get well. You believe it? Our heavenly Father, I bless our brother. In the Name of Jesus Christ, may the power of God make him well. Amen. Believe it now. All your...?...
E-121 May the little fellow be set free. In the Name of Jesus Christ, may it be from tonight on. In Jesus' Name. Now, watch what happens to him. He got it.
How do you do, sir? My, I just...?... a crippled out arm. I wished you could stretch it out to the Lord Jesus tonight. Let Him bless you and make you well. Heavenly Father, I pray for this boy. I pray that the power that can make him well, Jesus Christ, will heal him. May he turn so that the blessings of God could come upon him in Jesus Christ Name. Thank You, Lord. God bless you, boy. Go believing now...?...
How do you do, little fellow? [Someone speaks to Brother Branham--Ed.] I believe He will, don't you? The little boy can't talk. See? So just believe. Now, we're going to pray and ask God. I believe that little boy will come back talking...?... You believe it? He's got a bad...?... My, my. Our heavenly Father, may the dumb spirit upon this child depart, and may the child talk. In the Name of Lord Jesus Christ. Amen...?... tomorrow night...?...
E-122 Gracious God, Who brought back Jesus from the dead, heal this sister and make her well, as I lay my unworthy hands upon her, but believing in Christ, the worthy One. I ask for her healing. Amen. Bless you, sister. Believe it now.
How do you do, sister? Our heavenly Father, as this woman crosses the platform humbly, reverently, knowing that healing is something that's already been done. The people believe it, then as I said tonight, be like that woman of long ago, persistent, perseverant. They believe it. God shows them His sign; they accept it; they believe it. May she be healed in Jesus' Name. Amen.
You believe, sister? Our heavenly Father, the prayer of faith shall save the sick, and God shall raise them up. I pray that You'll grant this blessing to our sister, that what she asks for, in the Name of Jesus Christ. I lay my prayer with hers, my faith with hers, and may it be granted. Amen. God bless you, sister.
E-123 How do you do, sister? You believe that He will make you well? I'll put my faith with yours and we'll lay our prayer on His altar, and believe it in His Presence. Our heavenly Father, I pray for this dear woman as she stands here tonight, crippled, all these things, Father, I pray that--that You'll grant her recovery, God. I'm laying my prayer upon the altar with hers, placing my faith upon the sacrifice, Christ Jesus, and asking that she will be made well. Amen. Believe now, with all your heart.
How do you do, brother? Do you believe that God will make you well? Our heavenly Father, this young gallant-looking man stands here before me. We're standing in Your Presence as brothers. I ask You, Lord, as I lay my prayer with his, grant it, Lord, that he will be given his request. In Jesus' Name. Amen. Believe it. Now, be persistent. Hold on to it; it's been asked, so let it be done.
E-124 How do you do, my brother? You believe with me now that you can go back down this aisle well? Our heavenly Father, I pray that You'll grant his request. I lay my prayer with his prayer, my faith with his faith, all in your Bible and in the Blood of Jesus Christ. We ask it in His Name. Amen. The prayer of faith shall save the sick and God shall raise them up.
My brother, you're going to believe with me, aren't you? Heavenly Father, as I hold his hand, may the power of Almighty God come upon our brother, and may every frail doubt that's trying to hang on, be broken loose. May he pass that sound barrier, go on and buzzing out through yonder, through the Kingdom of God, persistent, claiming his healing through the stripes of our Lord Jesus Christ. Amen. Bless you, brother.
How do you do, sister? I believe this is the hour. I lay my faith with my sister's upon God's holy altar with my prayers and my faith with hers. I ask, God, in the Name of Jesus Christ to give her her request. Amen. So shall it be in Jesus' Name.
E-125 Our heavenly Father, in the Name of Jesus Christ, the Son of God, may my prayer that I lay with my brother's, my hopes with his hopes, my faith with his faith upon Your holy altar. Receive it, Lord. I offer this in his behalf, in the Name of Jesus Christ. Amen. Be persistent now. Hold right on to it. God bless you, my brother.
Our heavenly Father, they said the prayer of faith saves the sick. I offer mine with my brother. I feel for him. Lord, I pray that You'll heal him. Hear us, Lord, as I ask in Jesus' Name. Amen. Bless you, brother. Be persistent now. Believe Him.
Come, my sister. Our heavenly Father, as I stand here in Thy Presence, and in the presence of this congregation, in the presence of this woman, I ask as I lay prayer with hers upon the altar, receive us, Father. I offer this in Jesus Christ's Name. Amen. God bless you. Be persistent. Now, don't--don't cut it out.
E-126 Kind, sister. Would you like to go home and eat your supper, be made well? Just go ahead.
Do you believe, sister? Heavenly Father, I pray that You'll heal her, as I offer my prayer with hers, in Jesus Christ Name. Amen.
Bless you, brother. Our heavenly Father, I lay my hands upon brother. In the Name of Jesus Christ may he be healed. I offer my prayer with his, Father, upon Your holy altar. In Jesus' Name let him be healed. Amen. God bless you, brother.
E-127 Now, to the audience Jesus said these words, Mark 11:24 "Verily, verily, I say unto you, if you say to this mountain, 'Be moved,' and don't doubt in your heart; but believe that what you have said will come to pass, you can have what you say." Do you believe it?
All right. Then lay your hands on one another, bow your heads. Lay your hands upon each other. Don't doubt. "Now, if you say to this mountain, 'Be moved'..."
E-128 Yes, ma'am...?... pray... Lord Jesus (Now, while you're praying, I'm praying, for a lady brought a little boy up here). Father God, I pray that You'll grant the healing of the little boy. Now, I lay hands upon him, and believe in Jesus' Name that it shall be done, as I put my faith with his loved one here, upon your altar. And may he recover, Lord. In Jesus' Name. Amen. Now, believe, sister. Be persistent.
I just don't know. Praying for the sick has been something I have never been able to understand. Before I ever went out with discernment or anything, somehow I'd just go pray for the sick when I was a--just a local Baptist minister down there. Somehow or another they just got well. I don't know.
E-129 Many of you has read the stories about even God sending the animals in; how people has come through dreams and revelations; people who never heard before has come from miles across the sea to be prayed for. I just pray a prayer of faith is all I know, and I believe it. I believe it. God promised it. And then if He promised that, now you don't have to take my word for it; you take His Word for it. And then if you have to take my word about Him calling me to pray for the sick, but I think that He's proved that.
Looky here. Years ago when I told you about this great Light, Pillar of Fire, told you how It looked, before any scientific picture was ever taken of It, now look at the pictures they've got of It.
Now, that same Light is standing right here where I am right now. I'm looking right straight at It, right here, an emerald-colored light. Now, that mechanical eye of that camera don't take psychology, you know. The Light was there. Here It is, doing just exactly what It said It would do.
E-130 Jesus said, "I come from God, and I go to God. A little while the world won't see Me no more; yet you'll see Me." Now, here. What was He? The Pillar of Fire that led the children through the wilderness. It was made flesh in the form of a Man, Jesus Christ. He died, buried, rose up into heaven, and on the road to Damascus Paul met this same Pillar of Fire.
You say, "Oh, that's wrong." Oh, no.
He said, "Lord, Who are You?"
He said, "I'm Jesus." Now, now, none of the rest of them saw it. Paul saw it.
Nobody else saw that dove, but Jesus--over Jesus but John, because he knowed he was going to see it, 'cause God told him so. See? That's it. He was persistent. He knew it. Now, here it is.
E-131 Now, I prayed for each one of you. I prayed for each one. Jesus said, "If you say to this mountain 'Be moved,' and don't doubt in your heart, but believe that what you have said will come to pass, you can have what you say." Now, I have said it; now let it be done. It's written to be spoken. I have spoke it; let it be done.
Now, let us pray, with our hands on each other, as believing children of God. If you ever was persistent... How can you keep from being persistent now?
If these mighty signs would have been done in Russia, it wouldn't be communist today. These mighty signs had been done in--in China, it wouldn't be communist today. Oh, America, America, how oft has God visited you, and how much longer will He permit it? The end time is here. The evening lights are shining.
E-132 Now, Lord, I love these people. They are Your people, and together we are brothers and sisters in Your Son Jesus. And now, Lord, as I spoke tonight of David with the little slingshot, he was interested in the father's sheep. And no matter how little it was, he was ready to display and to conquer with what little he had to conquer with. And You was with him.
Lord, I'm coming after these sheep tonight. They've been sick. I've obeyed Your commandments. You showed Your Presence, Your willingness. You've healed them with cards, without cards, showing that You're here. You never fail. You're the omnipresent God. And I'm coming to challenge the devil that would keep them behind the sound barrier of unbelief. Now, that I prayed them through tonight, I break the way with the Word of God and set them free. In the Name of Jesus Christ, I bring them back to the faith...?... Come out, Satan.