Voici, Un Plus Grand Que Salomon Est Ici

Date: 62-0612 | La durée est de: 1 heure et 43 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci...?... Bonsoir, mes amis. C’est un privilège d’être de retour ici ce soir, et d’être au service du Seigneur. Et hier soir, nous avons certainement apprécié (juste un commentaire) le message, un petit drame. Eh bien, vous ne l’avez pas apprécié plus que moi; j’essaie de vous le répéter, comme je le vois, tel que le Seigneur l’a fait, ou tel que les gens l’ont fait dans la Bible. Et ce soir, c’est un–un tel privilège d’être de retour ici ce soir et de vous revoir tous. C’est vraiment merveilleux.

            Je voudrais dire que bien des fois dans les réunions, un ministère mal compris comme celui-ci ... Mais il semble certainement être bien compris ici. Cela montre que vous avez reçu un bon enseignement. J’apprécie cela.

            Et maintenant, prenez toujours garde à ce qu’Il vous dit. Vous voyez? Si ce soir je n’ai pas de temps pour l’expliquer, comment... prenez garde à ce que ça dit, parce que ce n’est pas moi. Je ne sais pas cela. Voyez? C’est juste un, comme j’essaierais de le dire, juste un... C’est un don, c’est comme si vous changiez de vitesse. Et vous ne le savez pas, mais c’est vous qui faites cela. C’est vous; ce n’est pas moi.

2          Et ceux qui voyagent et qui se rencontrent sur la route, et ainsi de suite, et à la maison, les visions qui apparaissent là-bas ne sont pas comme celles qu’on a sur l’estrade. Celles qui apparaissent à l’estrade, c’est vous-mêmes qui les provoquez. Voyez? Vous ne le savez pas, mais c’est vous. C’est votre foi qui le fait. Et celles–celles qui apparaissent à la maison sont celles que Dieu déclenche. Mais ceci, c’est ce que vous provoquez, vous.

            Comme je pourrais vous l’expliquer brièvement, quand la femme toucha le vêtement du Seigneur Jésus, elle se retourna–ou plutôt Il se retourna et dit: «Qui M’a touché?» Et Il regarda tout autour. Et l’apôtre Pierre l’a en quelque sorte repris d’avoir fait une telle observation; mais Il dit qu’Il a senti qu’Il s’était affaibli. Une vertu était sortie, à cause d’une petite femme. Et Il regarda partout dans l’assistance jusqu’à ce qu’Il la trouva; et Il lui dit que sa perte de sang était terminée. C’est sa foi, sa foi qui avait fait cela (voyez?), la foi de la femme.

3          Eh bien, maintenant que diriez-vous du cas de Lazare qu’Il ressuscita? Combien c’était plus glorieux de rappeler à la vie un homme qui était mort depuis quatre jours! Il n’est nullement déclaré que Jésus était devenu faible cette fois-là. Voyez? C’était Dieu qui le faisait. Eh bien, dans Saint Jean 5.19, Il a dit: «En vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père premièrement.» Voyez? Voyez, c’était une vision. Pas  «Ce que J’entends le Père dire,» mais «ce que Je vois faire au Père». Voyez?Maintenant, le Seigneur Lui avait dit... Nous savons que les Ecritures ne créent pas la confusion, et Elles ne se contredisent pas. Elles sont la Vérité. Ainsi, Il ne faisait rien avant que le Père ne Lui ait montré par une vision ce qu’Il devait faire. «En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, mais ce qu’Il voit faire au Père, le Fils le fait pareillement. Mon Père agit; Moi aussi, J’agis jusqu’à présent.» En d’autres mots, c’est juste jouer un drame, ce que Dieu lui avait dit de faire.

4          Maintenant, Dieu doit Lui avoir dit alors de quitter Lazare et de s’en aller, parce que celui-ci allait mourir; et après tant de jours ils L’enverraient chercher, mais Il ne devait pas y aller; en effet, cette aimable famille L’enverrait chercher. Aussi continua-t-Il Son chemin. Et finalement, Lazare, quand il mourut à telle heure précise et ainsi de suite, Jésus le savait. Et Il se retourna et dit que Lazare dormait. Bien sûr que les disciples ne comprirent pas cela. Ils pensèrent qu’il se reposait. Alors Il leur dit dans leur propre langage: «Il est mort. Et à cause de vous, Je me réjouis de ce que Je n’étais pas là. Mais Je vais le réveiller.» Voyez?Maintenant, observez-Le à la tombe. «Père, Je Te rends grâces de ce que Tu M’as déjà exaucé. Mais Je dis ceci à cause de la foule qui M’entoure.» Voyez? Il n’est nullement déclaré qu’Il soit devenu faible. C’était Dieu utilisant Son don, montrant à Son Fils ce qu’Il devait faire. Mais quand la femme Le toucha, c’était là une femme, utilisant le don de Dieu à cause de la foi qu’elle avait en cela. Voyez? C’est cela la différence. Voyez, c’est votre foi, pas la mienne, c’est la vôtre. C’est vous qui le faites. C’est votre foi.

5          On a un si bref séjour et une si grande foule de gens que je suis désolé de m’en aller, quoique fatigué. Mais je dois... Maintenant, je sais que ce soir ils ont un–un service de baptême, et ainsi de suite, ici à l’église. Frère Ned Iverson, mon ami et frère, va prendre la suite du service maintenant et continuer pour un moment. Et je voudrais certainement le recommander, vous recommander de venir l’écouter. Et ainsi donc, ce soir après le service... Nous devons libérer les gens assez tôt pour cela, et je dois aller à mon motel, et m’apprêter pour quitter le matin, plusieurs heures avant le jour, et faire 700 miles [1126,5 km] en voiture pour repartir le lendemain matin chez moi: à 3 ou à 4 heures chez moi, afin d’être au Cow Palace, à Los Angeles, la semaine prochaine. Je dois faire tout ce parcours en voiture avec ma famille. Il ne me reste plus de jours, sinon un ou deux jours de voyage dans l’intervalle entre les réunions, jusqu’au mois de septembre prochain. Et c’est une très grande mission, ainsi priez pour moi.

6          Et je ne suis pas trop gros. Si j’étais aussi gros que votre pasteur, ici présent, je crois que je pourrais juste y aller jour et nuit. Je ne vous dis pas de le faire travailler jour et nuit. Mais–mais–mais le petit frère Ned a dit aujourd’hui, quand je parlais avec lui, le pasteur, il a dit: «J’aurais souhaité vous transmettre un peu de ma force.» Eh bien, ce serait bien, parce qu’il est si gros et fort. Et moi, j’ai toujours été petit. Quand je travaillais pour la Compagnie de Service Public, je montais les marches, et–et l’opératrice au tableau de bord en haut, madame Ehalt, disait: «Billy, je peux toujours savoir quand tu viens.» Elle disait: «Tu es le plus petit homme de tous les travailleurs de la Compagnie de Service Public, mais le plus bruyant.»Je disais: «bien, Edith, je dois faire beaucoup de bruit pour que les gens sachent que je suis là.»

7          Maintenant, je crois que tous les frères ont été présentés, je pense, sur toute la ligne. Et un petit frère que j’ai oublié à l’autre réunion, c’est le petit garçon méthodiste qui était un méthodiste enraciné sorti du séminaire. Et–et il a un frère qui est une figure de proue de l’Université Asbury de Wilmore, dans le Kentucky. Et ce garçon et sa famille sont sortis et ont reçu le baptême du Saint-Esprit, et il prêche le Plein Evangile. C’est le frère Collins, Wilbur Collins. Où êtes-vous, Wilbur? Wilbur Collins, il est quelque part là au fond. Voudriez-vous juste nous dire un mot à partir de là, ou voulez-vous monter ici? J’aimerais que l’on puisse voir un méthodiste qui a reçu le Saint-Esprit, en dehors de frère Neville qui est ici. Venez ici, et dites-nous juste un mot. Et je pense, Frère Junior Jackson, qu’on vous a présenté, n’est-ce pas, Frère Jackson? Un autre méthodiste, enraciné, et qui a reçu le baptême du Saint-Esprit.

8          Frère Collins, je le connais depuis un certain nombre d’années–un précieux et doux chrétien, un véritable homme de Dieu. Lui, sa femme et sa famille sont tous sous l’ordre de–l’ordre biblique de Dieu. Frère Collins. [Frère Collins dit quelques paroles.–N.D.E.]Merci, Frère Collins, que le Seigneur vous bénisse. C’est très bien. Maintenant, vous les méthodistes qui êtes ici, nous ne voulons pas dire que vous n’êtes pas des chrétiens. Voyez? Mais vous savez ce qu’est l’Eglise pentecôtiste? C’est l’Eglise méthodiste évoluée. Voyez?

9          Jack Shuler (beaucoup d’entre vous le connaissent) est un bon méthodiste. Jack m’a dit... Une fois, je suis venu à Phoenix, et j’allais au Madison Square Garden. Il était là dans l’auditorium de l’école. Et je lui ai téléphoné, j’ai dit: «Jack, je ne savais pas que vous étiez ici.»Il a dit: «Frère Branham, je ne savais pas que vous veniez.» Et il a dit: «Je me serais écarté du chemin.»J’ai dit: «Je ne serais pas venu si j’avais su que vous étiez ici.» J’ai dit: «Eh bien, Frère Jack, ai-je dit, la plupart des gens qui viennent à mes réunions sont des pentecôtistes.»Il a dit: «Eh bien, vous avez mon groupe.»J’ai dit: «Eh bien, je pensais que vous étiez méthodiste.»Il a dit: «Ne savez-vous pas ce qu’est un méthodiste?»Et j’ai dit: «Non.»Il a dit: «Un–un méthodiste–ou un pentecôtiste, c’est un méthodiste orthodoxe.»Et vous savez tous ... Eh bien, beaucoup d’entre vous connaissent Jack, Bob, le vieil homme, et tous les autres. C’étaient de vrais chrétiens.

10        J’étais dans une université luthérienne, Béthanie, où l’on m’avait fait des remontrances, oh! la la! ils m’avaient vraiment passé un savon. Il s’agit de l’homme qui m’avait traité d’un fin devin. Et alors, le Seigneur l’a en quelque sorte repris un tout petit peu à ce sujet, vous savez, et alors, il m’a téléphoné pour présenter des excuses. Nous sommes descendus au sous-sol où ils avaient dressé un grand dîner. Et il m’a dit; il a dit: «Frère Branham, je voudrais juste vous poser quelques questions. D’abord, je suis désolé d’avoir dit ce que j’ai dit dans cette lettre.»J’ai dit: «Ça ne fait aucun problème. Je n’y pensais même plus.»Il a dit: «Je voudrais que vous me disiez, quoi donc... Nous les luthériens, sommes-nous dans la course?»J’ai dit: «Bien sûr.»Il a dit: «Qu’est-ce que–qu’est-ce que nous avons, nous?»J’ai dit: «Vous avez l’Esprit de Dieu.» Et puis, j’ai dit: «Vous savez...» Ils... Pour les étudiants qui ne pouvaient pas supporter leurs études... ils avaient donc à peu près mille hectares de maïs là-bas. Ainsi, ils travaillaient afin de payer pour leurs études. Alors ils... Il a dit...J’ai dit: «Une fois, un homme planta du maïs. Et il sortit, et le lendemain matin deux petites feuilles avaient poussé. Il a dit: ‘Gloire au Seigneur pour ma récolte de maïs!’»J’ai dit: «Maintenant, Frère Aegery, avait-il une récolte de maïs?»Il a dit: «Bien, pas encore.»J’ai dit: «Il en avait donc potentiellement.»Il a dit: «Oui.»J’ai dit: «Ça, c’était vous, les luthériens.» Et j’ai dit: «Peu après, les deux petites feuilles ont grandi, et quelque temps après, cela a formé une aigrette. Ça, c’était les méthodistes. Ils ont regardé derrière en bas, et ont dit: ‘Je n’ai plus besoin de toi. Tu n’es qu’une feuille; moi je suis une aigrette.’»

11        «Alors, quelque temps après, un peu de pollen en est tombé et est encore retourné dans la feuille, et cela fit pousser un épi de maïs, semblable au grain original qui était tombé en terre.» J’ai dit: «Ça, c’était les pentecôtistes.» J’ai dit: «Mais voyez, cela porte le grain original.» J’ai dit: «Nous avons beaucoup de champignons sur l’épi, mais cependant il s’y trouve aussi quelques grains, vous savez.», ai-je dit. Mais ils... J’ai dit... Et j’ai dit: «Maintenant, l’Eglise pentecôtiste, ce sont des luthériens évolués.» Il vit cela. Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, nous–nous avons lu cela, et dit-il, nous nous sommes rendus là.» Et il dit: «Nous avons vu les pentecôtistes sauter, trembler, et donner des coups de pieds dans les chaises.» Il dit: «Qu’est-ce que–qu’est-ce qu’ils ont, eux?»J’ai dit: «Le Saint-Esprit.»Il a dit: «Eh bien, qu’est-ce qui les fait agir ainsi?»J’ai dit: «Ils doivent laisser échapper la vapeur. Voyez?» Et–et j’ai dit...Et il a dit: «Croyez-vous en cela?»J’ai dit: «Bien sûr. Mais, vous voyez, le problème est que l’Eglise pentecôtiste, dans... Eh bien, le seul défaut que je trouve en cela, c’est qu’ils laissent échapper cela par le sifflet, au lieu d’utiliser cela pour faire tourner la roue. Quand quelqu’un dit quelque chose contre vous, laissez cette grâce de Dieu se tenir là pour vous faire aimer la personne malgré tout. C’est ce qui... laisser cette vapeur travailler là (Voyez?), et–et sortir dans les rues, et amener d’autres gens, et ainsi de suite. Laisser cette–laisser cette vapeur travailler juste là.»J’aime aussi entendre cela siffler, vous savez. Mais attendez jusqu’à ce que vous arriviez au croisement, alors nous pouvons faire siffler la vapeur. Faisons avancer cela, nous sommes en train de rouler à toute vitesse sur la route, alors le...

12        J’ai été gracieusement invité à revenir par votre pasteur, et peut-être, Dieu voulant, cet automne quand je reviendrai, je pourrais venir pour quelques soirées de plus cet automne. Et frère Bigby... Je lui ai demandé d’amener encore cet article qu’il avait écrit. Bon, toutes sortes de choses ont été dites à mon sujet, vous savez. J’ai été traité de tous les noms, du Fils de Dieu incarné au plus vil des démons. Et... Mais je pense que son expression était juste... Il l’a exprimé de tout son coeur. Ce n’était pas de la flatterie; c’était vraiment ce qu’il pensait, et je–j’apprécierais certainement cela. Je... Je...?... pratiquement le meilleur article que j’aie jamais vu à mon sujet. Et j’en avais en plusieurs exemplaires là-bas, mais... Tout celui qui entrait disait: «Puis-je prendre ceci, Frère Branham?» Et bien vite, vous savez, je n’en ai plus. Voyez?

13        Ainsi, je lui ai demandé s’il pouvait essayer de m’en trouver un autre exemplaire, parce qu’il y a encore d’autres livres qui viennent, et ils–ils vont... Je veux que l’article soit dedans, portant son nom. Et, à propos, je pense qu’ils ont quelques livres là derrière (je pense que c’est vrai, n’est-ce pas?), Frère Wood et les autres, et les bandes aussi, et le reste, comme le... là derrière, en sortant. Et maintenant, nous sommes... Je sollicite toutes vos prières. Je parcours le pays, priant pour les gens, et alors, je–je suis quelqu’un qui a besoin des prières. Peut-être que vous aurez de la peine à comprendre cela, mais c’est la vérité. C’est un... J’en ai probablement beaucoup plus besoin que vous tous. Et peut-être pas à cause d’une maladie, mais à cause de ce à quoi je dois faire face jour après jour.

14        Et chaque jour... Il y a des gens assis juste ici maintenant, qui me regarde droit en face, avec qui j’ai eu un entretien ce matin, et ainsi de suite, et qui savent que... comment cela nécessite que l’Esprit de Dieu se meuve là-dedans, et trouve ces fissures et coins dans la vie. Ceci c’est la Parole. Nous le croyons. Et ça, c’est la Parole. Mais Dieu établit dans l’Eglise des apôtres, des prophètes, des docteurs, des pasteurs et des évangélistes. Et tous ces ministères, c’est pour le perfectionnement. Et maintenant, les docteurs, les pasteurs et les évangélistes, ce sont eux qui apportent la Parole. Et les prophètes doivent passer les choses au peigne fin dans ces petits coins pour les individus (Vous voyez?), et annoncer les choses à venir, et ainsi de suite.

15        Eh bien, en réalité les apôtres sont des missionnaires. Je crois, maintenant... Mon instruction est très limitée, mais le... Je pense que le mot «apôtre» signifie «un envoyé». Est-ce vrai? Le mot missionnaire ne signifie-t-il pas la même chose? «Un envoyé». Alors comment donc a-t-on désiré être appelé missionnaire plutôt qu’apôtre? Je ne sais pas. Mais l’un ou l’autre sont corrects aussi longtemps que–longtemps que le Seigneur les a envoyés. C’est bien. Maintenant, je suis... Je ne prendrai pas beaucoup de votre temps, parce que le service de baptême vient juste après. Je voudrais lire un passage des Ecritures, et j’espère que cela ne me prendra pas trop de temps.

16        Hier soir, j’ai dit: «Accordez-moi trente minutes.» Et quand je descendais la route, après avoir essayé de revenir à moi-même et sortir de ces sphères là-bas, mon fils a dit: «C’était vingt bonnes minutes, papa.» Il dit: «Ç’a pris juste à peu près 1 h 45’.»J’ai dit: «Oh! je n’ai pas fait si longtemps là-bas. C’est impossible.» Et j’ai tourné le regard vers ma montre, et j’ai dit: «Oui.» Mais vous savez, c’est quelque chose à propos... Merci. C’est quelque chose qui est... Les gens m’aiment. Ils m’aiment et je les aime aussi. Je dois rencontrer certains de ces frères là dehors et serrer cette main de ce très bon vieux coeur du Sud qui bat là en dessous. J’aime vraiment cela.

17        Mais, vous savez, quelquefois... Chaque ministre sait quand le Saint-Esprit semble juste... chaque mot que vous prononcez pénètre là-dedans. N’est-ce pas un sentiment merveilleux? Vous détestez de vous arrêter, n’est-ce pas? Et cependant, vous savez que vous êtes rude, et pour ce qui est d’interrompre la réunion, vous avez cependant du mal à arrêter. Cela me rappelle... J’ai deux fillettes à la maison, et ce sont des filles toutes faites maintenant, qui ont vraiment poussé. L’une a seize ans et l’autre en a douze. L’une c’est Rebecca et l’autre c’est Sara. Et Sara c’est la petite.

18        Eh bien, il y a quelques années, et ... Je revenais d’une réunion. Elles sont toutes deux des filles à papa. Oh! la la! vous savez comment... Et le petit garçon, le petit hmm... vous parlez d’un... Il a dit qu’il sera un prédicateur. J’ai dit: «Chéri, il te faudra beaucoup changer, si tu dois le devenir.» Et ainsi... Joseph. Et ainsi, les filles étaient encore très petites, et elles étaient éveillées et attendaient mon retour jusque vers minuit. Et j’étais fatigué–et j’avais conduit durant deux ou trois jours, revenant de la Californie. Et quand je suis arrivé à la maison, naturellement, les petites filles étaient prises par le sommeil et étaient déjà allées au lit. Et maman attendait. Aussi, je me suis allongé pour essayer de dormir, et je n’y parvenais pas. Et, vous savez, j’étais affaibli et nerveux, et tout, à la suite des réunions, l’impact: les âmes, et réalisant toute cette responsabilité, tenant devant vous ce qui a été acquis par le Sang de Christ. Ce n’est pas vraiment une chose facile. Mes frères ici présents savent ce que c’est, comment vous...

19        Je pense que chaque ministre devrait rester seul pendant longtemps avant de monter à la chaire, il devrait sortir étant dans la fraîcheur du Saint-Esprit, parce qu’il a entre ses mains ce qui a été acquis par le Sang. Vous voyez, j’ai souvent pensé à ce que je ferais si j’avais deux gouttes du Sang littéral de Jésus. Et maintenant, nous avons ici devant nous ce qui a été acquis au prix de Sang. Il a donné Son Sang pour vous, et nous tenons cette assistance entre nos mains. Oh! la la! nous ferions mieux d’être vraiment sûrs et aussi respectueux que possible. J’étais donc très nerveux, comme nous savons tous ce que c’est. Et je n’arrivais pas à dormir, ainsi... Ma femme avait longtemps attendu, ainsi elle dormait. Je me suis levé et suis allé m’asseoir sur une chaise, au salon. Vers le lever du jour, j’étais assis là-bas, pensant à la réunion, et je me demandais ce que signifiaient certaines visions, et ainsi de suite. Et tout d’un coup, j’ai entendu une agitation là dans la chambre des filles, juste là dans un petit vestibule de la résidence du pasteur. Et j’ai regardé.

20        Becky s’était réveillée. Très vite, elle a pensé: «Il fait jour. Papa doit être de retour.» Et en sautant, elle a réveillé Sara, sa petite soeur. Et Becky est plutôt mince, avec de longues jambes, et–et–et ainsi elle est venue en courant à travers le salon. Et Sara, une petite fille courte...Et je les compare en quelque sorte, en pensant à cela, à l’église. Vous savez, l’une existe depuis longtemps, vous savez. Et elle a une longue histoire derrière elle. Et–et l’autre est plutôt petite et courte, le groupe pentecôtiste, vous savez, il est là il n’y a pas très longtemps. Alors ils...Et Becky est sortie en courant très vite. Et elle a sauté et s’est carrément assise à califourchon sur mes genoux, et elle a dit–a jeté ses bras autour de mon cou, et a commencé à m’embrasser. Et vous savez comment votre coeur se sent. Bien, la petite Sara, elle portait... Je ne sais pas si vos enfants le font ou pas; les miens prennent les vieux vêtements de leurs aînés, les fripes. Elle portait donc les pyjamas de Becky, et les pieds ressemblaient vraiment aux pattes de lapin, vous savez, c’était bien trop long. Et la petite compagne trébuchait, tombait, venant à travers la maison. Finalement elle est arrivée.

21        Et juste au moment où elle est arrivée là, Becky s’est retournée, et a dit: «Sara, ma soeur, je veux te dire quelque chose. C’est moi qui suis arrivée ici la première.» Voyez? Et elle a dit: «Je me suis emparée de tout papa, et il ne reste rien pour toi.»Ainsi la petite Sara a fait retomber sa petite lèvre, ses petits yeux bruns se sont plutôt embués de larmes, et j’ai tendu mon autre jambe et lui ai fait signe de la tête; elle a simplement couru et a sauté directement dessus, comme elle monterait sur un cheval de selle. Et elle était un peu chancelante, vous savez. Elle allait tomber de là. Elle n’était pas là depuis longtemps. Ses jambes n’étaient pas aussi longues que celles de Becky, celle-ci pouvait toucher le sol, vous savez.

            Et–et ainsi, Sara était chancelante, et j’ai placé mes deux bras autour d’elle pour la tenir. Elle a posé un petit peu sa tête sur ma poitrine. Directement elle a ouvert ces petits yeux noirs, et s’est retournée vers Rebecca, et a dit: «Rebecca, ma soeur, je veux te dire quelque chose. (Voyez?) Cela peut être vrai que tu as tout papa. Mais je veux que tu saches que papa s’est emparé de moi tout entière.» Alors...Vous savez, quand Il nous enveloppe tous en Lui, nous ne nous tracassons plus, n’est-ce pas? Toutes choses s’évanouissent tout simplement. Et c’est ce que je veux faire, et c’est tout ce que nous voulons tous faire: Le laisser juste prendre tout ce que nous avons, tout notre temps, tous nos sens, et juste nous abandonner à Lui. C’est juste.

22        Maintenant, lisons donc un passage de cette précieuse Parole, avant de parler encore là-dessus, juste pour un petit moment. Et ouvrons la Bible maintenant, dans le Livre de Saint Matthieu, vous qui voulez noter la référence biblique. Commençons avec le chapitre 12, du verset 38 au verset 42 inclus.

          Et quelques-uns des scribes et des pharisiens prirent la parole, et dirent: Maître, nous voudrions te voir faire un miracle.

          Il leur répondit: Une génération méchante et adultère demande... miracle; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui du prophète Jonas.

          Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.

          Les hommes de Ninive se lèveront, au jour du jugement, avec cette génération et la condamneront, parce qu’ils se repentirent à la prédication de Jonas; et voici, il y a ici plus que Jonas.

          La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.

            Si je dois prendre un petit sujet que j’aimerais tirer de là, c’est: Voici, un plus grand que Salomon est ici. Il était en train de réprimander ces pharisiens à cause de leur–leur incrédulité. Ils avaient eu la Bible tout au long des âges des rouleaux, où tous les prophètes avaient parlé de Sa Venue. Tout du long depuis Moïse, quand il écrivit la Genèse, il a parlé de la Venue du Seigneur.

23        Moïse Le décrivit, exactement ce qu’Il serait, comment ça... Et Esaïe décrivit comment Il naîtrait, comment Sa naissance se ferait par une vierge. Et Moïse avait annoncé qu’Il serait un Prophète exactement comme lui. Et toutes ces choses avaient été annoncées concernant notre Seigneur.

            Et cependant, le–le système de ce jour-là avait simplement fait–s’était éloigné de la Parole, et les gens vivaient par les traditions des anciens. Et j’espère que nos églises ne deviendront jamais comme cela, s’éloigner de la foi dans la Parole de Dieu pour s’attacher aux traditions des anciens. Alors, nous élaborons des dogmes, et alors, nous introduisons des choses dans le–dans le–notre doctrine qui ne sont vraiment pas dans la Bible. Et j’espère que nous resterons toujours avec le Plein Evangile, et que tous nous prêcherons le plein Evangile tout le temps. C’est–c’est comme cela, je pense, que Dieu le voulait, que nous prêchions la chose entière.

24        Et maintenant, comme je l’ai souvent dit, je pourrais ne pas avoir la foi pour amener chaque promesse à s’accomplir, mais je ne me mettrai certainement jamais en travers du chemin de quelqu’un qui a effectivement assez de foi pour le faire. J’ai souvent dit que j’aimerais avoir assez de foi comme en avait Enoch, en sorte que je n’aie pas à mourir quand mon temps viendra, juste faire une promenade un après-midi, et monter à la Maison avec Lui. Mais si je n’ai pas cette foi-là, j’espère certainement arriver à voir quelqu’un qui l’a. Et je crois qu’un jour nous aurons tous cette foi-là, de sorte que quand Il viendra, nous pourrons juste faire une promenade et aller à la Maison avec Lui.

25        Eh bien, Jésus avait strictement... Comme nous l’avons remarqué hier soir dans le petit drame, Jésus accomplissait strictement, Il faisait très exactement ce que les Ecritures avaient annoncé à son sujet. Et beaucoup d’entre eux ont cru cela, parce que... Même dans le cas de la femme au puits, aussitôt que cet Esprit et cet acte ont brillé sur son coeur, elle a vite reconnu que c’était là le signe du Messie. Il y avait... Le Messie, quand Il est venu, Il devrait faire ce genre d’oeuvre. Alors elle dit: «Tu dois être Prophète.»Maintenant, voyez, quelquefois nous méprisons quelque chose qui est réellement bon, parce que cela n’a pas la finesse que nous pensons que cela devrait avoir. Je n’aimerais pas m’éloigner de mon texte, mais il y a quelques années, je lisais un article qui–qui parlait d’un homme qui avait commis un crime. Et il était–a été mis en prison; après le jugement, il a été trouvé coupable de quelque chose qu’il avait fait pendant l’exercice de ses fonctions. Et c’était au temps d’Abraham Lincoln, et on allait le fusiller au lever du soleil, un certain matin.

26        Un vrai ami qui l’aimait a plaidé pour lui sans succès. Alors il est allé auprès de la plus haute instance à laquelle il pouvait recourir. Il est allé chez monsieur Lincoln. On dit que monsieur Lincoln sortait de son carrosse. Et il tomba à ses pieds et dit: «Monsieur Lincoln, Monsieur...», il lui a raconté le cas. Et il dit: «C’est un homme intègre.»Je pense qu’il s’était enfui au moment de quelque chose, de la bataille, ou...?... n’avait pas assumé sa responsabilité ou quelque chose du genre, et alors, ou... Et il a dit: «Il était juste nerveux. Il est issu d’une bonne famille.» Et il a dit: «Il était juste nerveux et il s’est enfui. Monsieur Lincoln, il n’en avait pas l’intention. Et après demain matin, ils vont le fusiller. Il va mourir fusillé par le peloton d’exécution après demain matin.» Il a dit: «Monsieur Lincoln, vous êtes un chrétien.» Il a dit: «Vous... Votre signature sauvera la vie de cet homme.» Et il a dit: «Il ne voulait pas faire cela, j’en suis sûr.» Il a dit: «Je plaide pour lui en tant qu’un ami.»Monsieur Lincoln prit un morceau de papier et écrit simplement dessus: «Gracié par Abraham Lincoln.»Il amena cela à l’homme qui était en prison. Ce dernier ne voulut pas l’accepter. Il dit: «Présente cela toi-même.»

27        Il ne voulut pas l’accepter. Il a dit: «Non. Si ça venait de monsieur Lincoln, ça devrait être scellé du sceau des Etats-Unis», et ainsi de suite, et tout comme cela. Il dit que cela devrait être raffiné. Et étant donné qu’il a rejeté cela, il fut exécuté. Etant donné qu’il a rejeté cela... Ça portait le sceau de monsieur Lincoln ou plutôt sa signature, mais il rejeta cela. Et alors, le cas fut jugé au tribunal du fait que son nom y était. Il avait dit que–qu’il avait gracié l’homme, mais l’homme fut fusillé. Alors quand le cas fut jugé à la cour fédérale, voici la décision de la cour fédérale: Une grâce n’est pas une grâce à moins qu’elle soit acceptée comme une grâce. Il en est donc ainsi de la Parole de Dieu. C’est la Parole de Dieu pour tous ceux qui veulent L’accepter comme la Parole de Dieu. Si Elle ne L’est pas, eh bien, alors Elle ne L’est pas. Ainsi nous croyons la Parole, et c’est la raison pour laquelle nous attendons le signe de Son apparition. Nous ne voulons pas nous tromper en cela. Nous ne voulons pas prendre les pensées de quelqu’un sur cela. Nous voulons lire cela juste dans la Parole.

28        Ainsi Jésus avait strictement et directement accompli chaque signe qu’Il était supposé accomplir. Maintenant, nous savons aussi, avant que nous quittions cette partie du sujet, que les Juifs cherchent des signes (Voyez?), et les Grecs, la sagesse. Et Paul a dit: «Nous prêchons Christ crucifié.» Maintenant, les Juifs... cherchaient un signe parce qu’ils–ils plaçaient les signes au-dessus de leur théologie. Et c’était une bonne chose. Si...Vous pourriez dire: «Eh bien, cela semble un peu étrange, Frère Branham.»Eh bien, Jésus a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas.» Voyez? S’Il ne confirmait pas la–la Parole de Dieu, alors ne Le croyez pas. Mais Il a dit: «Si vous ne pouvez pas Me croire, alors croyez la Parole.»

29        Maintenant, nous remarquons dans la Bible que si un prophète, ou un songeur, faisait un songe et que les gens étaient dans le doute à ce sujet, on les conduisait au temple et on les plaçait devant l’Urim Thummim. Et remarquez, si l’Urim Thummim ne répondait pas... Maintenant, la chose la plus proche que j’ai trouvée en étudiant cela, ce qu’était cet Urim Thummim, c’était ce pectoral d’Aaron. Je l’ai trouvé l’autre jour à une des conventions, là sur le terrain des Baptistes Américains, là à Green Lake, dans le Wisconsin, où les Hommes d’Affaires du Plein Evangile tenaient une convention. Et ils avaient le modèle de ces pierres-là... tout.

30        Maintenant, et ils prenaient un songeur, ou un prophète; peu importe combien cela semblait bon, si ces lumières mystérieuses semblables à un arc-en-ciel ne brillaient pas sur cet Urim Thummim, alors le rêve n’était pas accepté, ni la prophétie non plus. C’était jugé par l’Urim Thummim. Ainsi, voyez-vous, c’était toujours le surnaturel qui confirmait la vérité. Maintenant, je pense que c’est la même chose aujourd’hui. Quand nous entendons si souvent dire que les jours des miracles sont passés, et si vous les pentecôtistes et les gens du Plein Evangile, vous êtes partis à l’extrême, je pense que c’est parce que les gens ne comprennent pas. Après que cet Urim Thummim de cet âge des sacrificateurs, ou de cet âge-là a cessé, ainsi que l’âge du sacerdoce lévitique d’Aaron, nous avons un autre Urim Thummim, et c’est la Bible de Dieu. Voyez? Et si nos signes et prodiges sont... la Parole de Dieu les reflète, alors nous pouvons dire «Amen» à cela. C’est Dieu confirmant exactement ce qu’Il avait promis de faire.

           

31        Il a promis qu’Il répandrait le Saint-Esprit dans les derniers jours. Ainsi, ce n’est qu’une réflexion. C’est–C’est cet Urim Thummim qui se reflète dans les gens. Voyez? Je suis sûr que ce n’est pas difficile à comprendre parmi un peuple comme celui-ci. C’est cet–cet Urim Thummim-ci, la Bible, reflétant les promesses de Dieu. Et Jésus avait reflété Son ministère en tant que Messie, et les gens n’avaient pas cru cela. Et dans les chapitres suivants, nous comprenons qu’ils... Ou que le–le même chapitre qui précède celui-ci, ils avaient vu Ses oeuvres, et ils L’ont traité de Béelzébul. Béelzébul est un démon, comme un...Ils L’ont vu faire ces choses, et ils ont pensé qu’Il était un diseur de bonne aventure, un sorcier, ou quelque chose du genre. Et Il leur a dit: «Aujourd’hui, vous parlez contre ceci, et Je vais vous pardonner. Mais quand le Saint-Esprit viendra (peut-être pour faire la même chose, c’est ce qu’Il voulait dire), parler en mal de cela ne leur serait jamais pardonné» (Voyez?), parce que... ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.

32        Eh bien, eh bien, Dieu dans tous les âges, a toujours eu des dons dans Son Eglise. Il a toujours confirmé Son peuple. Partout où vous voyez le Dieu vivant, vous voyez les signes du Dieu vivant. Maintenant, Moab était là sur la colline, et il offrait des sacrifices. Il avait sept autels, Balaam, et il avait sept taureaux. Il avait sept béliers, ces taureaux, c’était un sacrifice pur; les béliers parlaient de la venue du Juste. Du point de vue fondamentaliste, il était tout aussi fondamental que–que Moïse l’était là en bas, dans le camp d’Israël. Mais la seule différence était que Dieu confirmait Moïse par un rocher frappé, un serpent d’airain, une Colonne de Feu, et la clameur du camp–la clameur royale là dans le camp. Et Dieu confirmait cela là en bas. Voilà la différence. Cela montre...

33        Maintenant, si nous parlons du fondamentalisme, eh bien, Caïn était tout aussi fondamentaliste qu’Abel. Les deux garçons voulaient trouver grâce aux yeux de Dieu. Caïn apporta un sacrifice. Caïn bâtit un autel. Caïn adora; il était tout aussi sincère qu’Abel. Mais Abel, par des révélations spirituelles (sur lesquelles l’église est bâtie, les révélations spirituelles de la volonté et de la Parole de Dieu), offrit un sacrifice qui plut à Dieu. Eh bien, je crois que c’est le jour dans lequel nous vivons aussi maintenant.

34        Maintenant, Dieu a toujours eu des signes. Ici, Jésus parlait de... Il réprimandait ces villes et disait: «Oh! toi Capernaüm», et d’autres villes. «Si le signe... Si les miracles qui ont été accomplis au milieu de toi–ou si les oeuvres qui ont été accomplies en toi, étaient accomplies à Sodome, elle subsisterait jusqu’à présent. Et tu t’es élevée jusqu’au ciel, mais tu seras abaissée jusqu’au séjour des morts», comment... réprimandant les villes qui n’avaient pas accepté le Message...Et considérez le Message aujourd’hui, comment il a parcouru le monde: les missionnaires. Oh! je crois que Sodome et Gomorrhe seront plus excusables que les gens et les villes d’aujourd’hui qui rejettent l’Evangile, alors que Dieu, avec Son Urim Thummim, reflète Ses signes et prodiges du dernier jour parmi Son peuple. Regardez juste ce qui a été fait durant ces quelques dernières années. Partout dans le monde, les feux du réveil sont accompagnés de grands signes et prodiges, ainsi que de miracles. Il n’y a plus rien qui puisse suivre cela, sinon le jugement, après que cela est rejeté.

35        Maintenant, Jésus parlait ici de certains de ces gens du temps où Dieu avait accompli des signes. L’un d’eux dont Il a parlé c’était Jonas; et Jonas avait été envoyé à Ninive. Et j’ai toujours eu pitié de Jonas, parce que beaucoup de gens, je pense, ont mal compris Jonas. Eh bien, les gens disent que Jonas était rétrograde, qu’il était ceci, cela; et j’ai dit la même chose. Mais étudions simplement Jonas une minute. Je ne crois pas qu’il fût rétrograde, parce qu’il était le prophète de Dieu. Et il semblait marcher en dehors de la volonté de Dieu, mais la petite histoire que je voudrais vous raconter dans un moment, je crois que vous verrez que Dieu a fait marcher toutes choses parfaitement. Vous savez, l’Eternel ordonne les pas des justes. Cela nous donne, à nous les ministres, un temps–l’occasion quelquefois de reprendre en quelque sorte notre souffle, quand nous pensons que nous avons fait un faux pas. Mais, parfois Dieu marche simplement avec nous. Nous pensons que c’est une erreur, mais peut-être c’est Dieu qui est en action.

36        Maintenant, Ninive était une ville beaucoup plus grande que celle-ci–oui, presque de la dimension de Saint Louis. Et c’était une–une ville des païens, et c’était une grande ville commerciale, et une grande ville côtière. L’une de leurs principales occupations là-bas était la pêche. Et ils étaient des adorateurs d’idoles, et leurs péchés étaient devenus si grands que Dieu ne pouvait plus les supporter. Rappelez-vous, il n’y avait point de sacrifice sur l’autel pour eux en ce temps-là, comme il y en a pour le monde aujourd’hui. Par conséquent, Dieu ne pouvait pas tolérer ce péché horrible. Aussi dit-Il à Son prophète de descendre à Ninive (Nous tous qui lisons la Bible connaissons cette histoire), et Il lui a dit: «Crie contre cette ville.»

37        Et le prophète, quand il est arrivé sur la côte ... Plutôt que d’aller à Ninive, il prit un bateau qui faisait voile vers Tarsis. Maintenant, nous avons toujours pensé que c’était un chemin facile, ou plutôt se dérober à son devoir. Mais je vais essayer de défendre ce prédicateur ce soir, et je vais dire que je crois qu’il était prophète, et qu’il était exactement dans la volonté du Seigneur. Je crois qu’il avait suivi la conduite de l’Esprit. Je crois qu’il était conduit à aller dans cette direction-là. Il ne le comprenait pas, après que Dieu lui eut donné la commission d’aller à un endroit, et voici qu’il s’est retrouvé allant dans une autre direction. Il est descendu à l’avant du bateau, ou plutôt en bas dans la coque, et il s’est endormi. Et une grande tempête s’est levée. Eh bien, nous savons que tous les passagers ont crié, disant qu’ils allaient–allaient sombrer, et que quelque chose clochait. Et Jonas est monté, et a confessé que ça pouvait être sa faute. Il a dit qu’on lui lie les pieds et les mains, et qu’on le jette par-dessus bord, parce que ce n’était pas juste qu’eux tous périssent à cause de lui.

38        Maintenant, Dieu fit qu’un gros poisson (que nous appelons une baleine) l’avale, et le poisson était en train de se nourrir dans l’eau au milieu de cette tempête. Beaucoup d’entre vous remarquent comment un poisson peut monter à la surface spécialement pendant la tempête pour se nourrir, parce qu’il y a beaucoup... Le–le–l’océan connaissait un réveil. Vous savez, il montait et descendait, passant un bon temps. Ça, c’est quand il... C’est un réveil.

39        Je me rappelle quand je m’étais tenu sur le rivage de la mer pour la première fois... Ce n’était pas la mer; c’était le lac Michigan. J’étais juste un jeune prédicateur, j’étais allé écouter Paul Rader prêcher à la Foire mondiale, vers l’an 1933, je crois que c’était ça, quand elle s’est tenue à Chicago. Et j’ai eu l’occasion pour la première fois de sortir pour contempler une grande étendue d’eau, c’est plus large que la rivière Ohio. Et l’eau ne cessait de faire des bonds, et continuait, vous savez. Et c’était au début du printemps. Nous étions là au service du lever du soleil de Pâques. Et j’ai vu ces grosses crêtes d’écumes venir, vous savez, et frapper le–le bord, et retourner. Et j’ai pensé à cela... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... chanter: «Des vagues de joie déferlent sur mon âme comme les flots de la mer.»Et j’ai pensé: «Elles déferlent, mais ce n’est pas la fin des vagues. Elles retournent pour déferler et déferler encore.»Et j’ai pensé: «Eh bien, pourquoi est-ce que ça bondit?» Et quelque chose a semblé me dire: «Il a un réveil; c’est tout.»

40        Eh bien, j’ai pensé: «Tu sais quoi? Il n’y a pas un brin... pas une seule goutte d’eau de plus à cet endroit maintenant, dans ce lac, qu’il n’y en avait quand c’était parfaitement calme. Il n’y a pas plus d’eau. Pas du tout. Y avez-vous déjà réfléchi? Mais il a juste un réveil (Voyez?), sautant simplement, criant, ayant un réveil.»J’ai pensé: «Bien, à quoi ça sert d’avoir un réveil?»Un vent a soufflé là, un vent impétueux, vous savez, comme nous le croyons, et a commencé à l’agiter. Pourquoi s’agite-t-il? Et il m’est arrivé de remarquer que toutes les saletés qu’il y avait là dans le lac, ç’a repoussé cela sur le rivage. Voilà donc le but d’un réveil: jeter dehors toutes les saletés (Vous voyez?), faire sortir tout ce qui est du monde, et le repousser sur la plage. Et maintenant, quand nous... J’espère que nos Eglises pentecôtistes n’en ont pas besoin maintenant. Vous... Nous en avons pour nous réjouir, vous savez; nos églises n’en ont pas besoin cependant. Ainsi [Frère Branham se racle la voix.–N.D.E.], nous avons un–nous avons un réveil de toutes les façons. Ainsi donc, si le ... Il saute simplement et se réjouit là au milieu des vagues.

41        Ainsi, pendant que ce bateau tanguait donc, et le poisson se nourrissait... Et aussitôt, une grande baleine est venue et a avalé Jonas. Et je parlais à quelqu’un à ce propos ici il y a quelques années, quand on avait amené une baleine à Louisville sur un wagon plat, juste son squelette. Et cet homme était–fit une observation là-dessus.

            Il dit: «Maintenant, le... Vous savez, vous avez entendu cette légende de la Bible sur la–de la baleine qui aurait avalé Jonas.» Il dit: «Je veux que vous remarquiez tous qu’il... Il lui était impossible de faire cela. Il fallait que son... soit... oh! là où se trouve l’oesophage ici, dit-il, la baleine ne peut pas avaler quelque chose qui dépasse la taille d’une–comme une orange, ou une pamplemousse, là où ça descend.»Et je me tenais debout là, juste un jeune homme, écoutant. Vous savez, il m’est arrivé de penser... Avez-vous remarqué? (J’ai lu cela plus tard.) J’ai écouté, et je me suis dit: «Certainement que la Bible ne peut mentir à ce sujet.» Et j’ai pensé: «Ça ne peut pas être une légende et rester dans la Bible. Et ce n’est pas une légende. Je crois que cela est la vérité.»

42        Mais avez-vous remarqué qu’il s’agit ici d’une baleine spéciale? Dieu avait préparé celle-ci. Cette baleine était constituée de manière spéciale pour cette occasion. Vous savez, Dieu peut faire cela. Oui, Il le peut. Il s’était une fois pourvu lui-même d’un sacrifice là-haut sur la montagne, dans Genèse 22. Jéhovah-Jiré pouvait se pourvoir Lui-même d’une baleine. Ne le croyez-vous pas? Ainsi Il en eut une assez grande pour avaler ce prophète. Et quand elle est descendue au fond, après s’être nourrie...N’importe qui sait qu’après que vous avez nourri votre poisson rouge, eh bien, vous remarquerez qu’il descend directement au fond, il mettra ses petites nageoires au fond, et se reposera, parce qu’il a le ventre plein. Eh bien, le voilà là au fond qui se repose. Et cette vieille baleine, peut-être, a avalé Jonas, et est descendue au fond de la mer, peut-être à plusieurs brasses de profondeur, et elle se reposait. Elle avait le ventre bien plein. Et alors...

43        Mais, vous savez, Jonas là en bas dans le ventre de cette baleine, avec des algues enroulées autour de son coup... Et il était dans une mauvaise posture. Et il s’est retourné sur son dos, et il baignait dans les vomissures de la baleine, et il s’est mis à tourner dans cette direction...Vous savez, les gens disent: «Eh bien, Frère Branham, on a prié pour moi hier soir, mais ma main ne va pas mieux.» Vous–vous ne regardez pas à la promesse; vous regardez à vos symptômes. Voyez?«Eh bien, j’étais malade hier soir quand on a prié pour moi. Je ne vais pas mieux ce matin. Priez encore pour moi.»C’est bien ça. Mais si vous avez accepté cela la première fois, il n’est plus nécessaire de prier, car c’est déjà réglé. Vous voyez? C’est à vous. Voyez? Non. Et vous–vous regardez aux symptômes. Cela dépend de ce à quoi vous regardez. Voyez?

44        Ainsi il regardait aux symptômes en bas... Ecoutez. Qu’en serait-il s’il avait regardé à cela là-bas? Eh bien, quand il regardait dans ce sens, c’était le ventre de la baleine; quand il regardait dans l’autre sens, c’était le ventre de la baleine; partout où il regardait, c’était le ventre de la baleine. Et il était au fond de la mer, les mains et les pieds liés derrière lui, au fond de la mer, une mer houleuse. Maintenant, au fond de la mer... Eh bien, vous parlez d’un cas de symptômes, il en avait vraiment, là au fond de la mer, dans le ventre de cette baleine. Et–et le voilà, les mains liées, les pieds liés, couché en plein dans les algues, et ce que le poisson avait mangé avant l’enveloppait partout, et il reposait au fond de la mer.

45        Mais vous savez quoi? Il ne regardait pas au ventre de cette baleine. Savez-vous ce qu’il a dit? Ce sont des vanités mensongères. Elles n’étaient pas du tout vraies. Il voulait regarder à autre chose. Il a dit: «Une fois de plus je vais regarder à Ton saint temple.» Eh bien, Jonas savait que, quand Salomon avait fait la dédicace de ce temple-là, il avait prié et dit: «Eternel, si Ton peuple est dans les difficultés quelque part, et qu’il regarde vers ce lieu saint et prie, alors exauce des cieux.» Et il avait confiance dans cette prière. Et vous savez ce que Dieu a fait? Je ne sais pas s’Il avait placé une bombonne d’oxygène là-dedans, ou je ne sais quoi, mais Il le garda en vie pendant trois jours et trois nuits.

46        Maintenant, si Jonas, dans de telles circonstances, pouvait avoir foi dans une prière qu’un homme avait faite (un homme ordinaire qui, plus tard, avait rétrogradé) et que Dieu a honoré cette foi, que devrions-nous faire ce soir, tandis que nous regardons non pas à un–un temple fait de main [d’homme], mais à un temple qui est dans la Gloire, et pas à un homme qui avait rétrogradé, mais au Fils de Dieu qui est assis là avec Ses–avec Ses vêtements ensanglantés pour intercéder sur base de notre confession? Nous ne devrions pas regarder à nos symptômes, mais à la promesse de Dieu. Oui, oui.

47        «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» C’est tout. Il est le Souverain Sacrificateur qui est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts pour faire intercession sur base de notre confession, ce que nous avons cru et confessé. Et toute chose qu’Il a faite pour nous, nous pouvons la confesser et la croire, et Il est là pour accomplir cela devant la Présence de Dieu. Combien nous devrions nous réjouir, et ne regarder à aucun symptôme. Regardez à ce que Dieu a promis. C’est une promesse. Maintenant, nous trouvons que c’est étrange... Pendant trois jours et trois nuits, cette vieille baleine ne faisait que tourner en rond dans l’eau là quelque part, et Jonas était vivant. Maintenant, il nous est rapporté que ces gens vivaient de la pêche, et qu’ils gagnaient leur vie en faisant la pêche. Alors peut-être que tous les pêcheurs étaient dehors... Et la baleine était l’une de leurs divinités.

48        Eux tous étaient donc là en train de pêcher dans la mer, et tout d’un coup, leur dieu est monté à la surface, et il a filé tout droit vers la plage, il fit sortir sa langue, et le prophète est directement sorti de la bouche de leur dieu, en marchant. Comment pouvaient-ils s’empêcher de croire? Voyez? Certainement. Rien d’étonnant qu’ils aient fait porter des sacs à leurs animaux, parce que le–le dieu de la mer avait craché le prophète, et ce dernier leur a dit de se repentir. Maintenant, vous voyez, Jonas n’était pas en dehors de la volonté de Dieu; il était exactement dans la volonté de Dieu. Et Jésus a dit qu’une génération méchante et adultère cherche un signe. Avez-vous remarqué cela? Et ils le recevront. Il a promis qu’ils recevraient leur signe. Il a dit: «De même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre de la baleine, de même le Fils de l’homme sera dans le sein de la terre.»

49        Or, cette génération-ci est méchante et adultère. Nous le savons. Et quel était le signe qu’ils allaient recevoir? Le signe de la résurrection. Jésus n’est pas mort, mais Il est ressuscité. Une fois de plus, les grandes villes commerciales se sont livrées à–à l’ennemi, au diable, et les gens se marient, et donnent leurs enfants en mariage; ils se livrent à l’adultère et à la perversion, et toutes sortes de souillures qu’il y a sur la terre aujourd’hui; et les chrétiens incrédules, ayant l’apparence de la piété, emportés, enflés d’orgueil, l’âge intellectuel...Le prophète en a parlé. Le Saint-Esprit a dit expressément que dans les derniers jours il viendrait un âge intellectuel; les hommes seraient égoïstes, orgueilleux, blasphémateurs, rebelles, intempérants, et ennemis des gens de bien.

50        Vous direz: «Ce sont les communistes, Frère Branham.» Non, monsieur. Ce sont des membres d’église, ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force... de ces hommes... Ainsi... Ils reçoivent le signe de Jonas...Car Jésus-Christ est avec Son peuple ce soir, accomplissant et faisant la même chose qu’Il fit avant Sa crucifixion. Et Il est ressuscité, et Il vit avec nous. Vous–vous ne comprenez pas qui est celui avec qui vous êtes assis là-bas. C’est un fils ou une fille de Dieu. Peut-être que c’est une bonne chose que nous ne le comprenions pas, comme c’est le cas. Oh! eh bien, nous sommes assemblés dans les lieux célestes, regardant Son Urim Thummim de ce dernier jour qui reflète sa Présence comme Il est prêt à venir; Il fait Son apparition sous la forme du Saint-Esprit pour affiner Son église et l’apprêter à être reçue. Amen. Nous sommes si heureux de le savoir.

51        Ainsi, je ne pense pas que Jonas fût en dehors de la volonté de Dieu. Et je crois que cette génération méchante et adultère cherche des signes. Bon. Et ils... Dieu n’a jamais refusé, mais Il leur donne toujours un signe. Bon, nous découvrons que nous en sommes arrivés au second personnage, lequel était Salomon. Maintenant, tous les lecteurs de la Bible savent que le temps de Salomon était l’âge d’or d’Israël. Si... Ils ont prospéré plus sous Salomon, parce qu’il n’y avait presque pas de guerre. Et ils ont bâti le temple, et c’était un grand âge d’or pour Israël.

52        Et la raison en était que quand Salomon, le fils de David, accéda au trône, eh bien, il n’a point demandé à Dieu de–de lui donner tant de richesses, mais juste la sagesse pour savoir gouverner et–et garder le peuple uni. Eh bien, alors, Dieu a travaillé avec lui, et Il lui a donné un don de discernement. C’est vrai, certainement. Et il pouvait discerner le bien du mal, et ainsi de suite, et la nouvelle s’est répandue partout, à travers le monde, au sujet de ce grand...

53        Vous savez, si Dieu dans un âge quelconque... quand Il voit les gens, et qu’Il leur donne un don, ou un signe... Et un don produit toujours un signe. C’est la raison pour laquelle Jésus réprimandait les gens, parce qu’Il était le don de Dieu, et le signe du don de Dieu était en train d’être confirmé. Il a dit: «Si vous ne pouvez pas Me croire, croyez aux oeuvres, car elles parlent de Moi.» Vous voyez?Et maintenant, ne serait-ce pas merveilleux ce soir si toute l’Amérique croyait au Don de Dieu pour ces derniers jours, le Saint-Esprit? Certainement, c’est le Don de Dieu. Maintenant, pensez-y seulement. Quand ils rejetaient ce signe et ce don, qu’est-ce qui arrivait? La–la nation sombrait dans le chaos. S’ils acceptaient ce don, alors la nation connaissait un âge d’or. Maintenant, c’est la même chose qui se passe ce soir.

54        Pensez-y, ce soir si chaque Américain qui professe être chrétien et croire en Jésus Christ acceptait et croyait au Don que Dieu nous a envoyé en ces derniers jours: le Saint-Esprit. Eh bien, vous savez quoi? On ferait partir chaque agent de notre police. On pourrait tout simplement brûler les prisons. Nous n’en aurions plus besoin. Non, non. Il n’y aurait plus de tribunaux et autres. Nous n’en aurions plus besoin. Eh bien, ce serait le millénium. Certainement. Mais que font-ils? Ils rejettent le don de Dieu. Pas seulement cela, mais, comme ce fut aux jours de Noé, ils ridiculisent cela et s’en moquent. Et nous restons là, endurant cela. C’est vrai.

55        Noé a dû aussi endurer cela. Maintenant passons donc de Salomon à Noé; mais avez-vous remarqué, Dieu... Après que Noé eut livré son message, Dieu lui dit d’entrer dans l’arche, et Il le scella là à l’intérieur. Et le lendemain matin, il a pensé qu’il allait pleuvoir. Mais, vous savez, Noé y est entré le dix-septième jour du mois de février, et vous savez quoi? Il n’a pas plu du tout pendant une semaine. Et les gens qui se tenaient tout autour (les croyants frontaliers), disaient: «Eh bien, ce vieil homme, il se pourrait qu’il ait raison. Allons là-haut pour voir s’il arrive quelque... La science déclare qu’il n’y a point d’eau là-haut; mais lui a dit que son Dieu était capable de créer de l’eau là-haut s’Il l’a promis. Alors il se pourrait qu’il ait raison. Restons simplement tout près.»

56        Il y en a beaucoup de ce genre-là aujourd’hui, qui sont là juste pour voir ce qui va arriver. Voyez? Ainsi le... Ils ont dit: «Si ça commence réellement, quelque chose comme de l’eau là-haut dans le ciel, des nuages, ou quelque chose comme ça, nous frapperons à la porte, et nous entrerons.»Eh bien, le premier jour Noé a cru qu’il allait pleuvoir. Il s’est donc assis et a regardé dehors par cette fenêtre, et le soleil s’est levé, et a traversé le ciel, et pas une goutte de pluie. Vous savez. Et Noé a commencé à se poser des questions: «Je me demande si je suis dans le vrai ou dans l’erreur.»Et ainsi, le second jour est passé, le troisième est passé. (Pentecôtistes, ne vous mettez jamais en tête que vous êtes dans l’erreur maintenant. Restez juste là et tenez jusqu’au bout.) Il l’a promis, et Il va le faire. Voyez, voyez?

57        L’autre soir, je prêchais sur Présumer: que serait-il arrivé si l’apôtre avait dit: «Nous avons attendu ici voici neuf jours. Je crois que nous avons déjà reçu le Saint-Esprit. Je présume que nous l’avons reçu. Allons de l’avant, sortons et commençons notre ministère.» Oh! non. Ils ont attendu jusqu’à ce que ce signe biblique soit apparu là; eh bien, ça c’est... jusqu’à ce que c’était parfait. Et ils ne pensaient à rien. Ils ont vu Dieu confirmé, quand Son Urim Thummim a commencé à briller dans leurs vies. Alors Pierre a dit: «C’est ce qui a été annoncé par le prophète Joël...» C’est vrai, parce qu’il avait une Ecriture pour soutenir cela. Et c’est cela l’Eglise de Dieu aujourd’hui.

58        Et Salomon était le grand oint de Dieu. Combien je pourrais imaginer que tout le monde était d’un seul coeur et d’un même accord, toute la nation était d’un seul coeur et d’un même accord. N’est-ce pas comme cela qu’on doit être? Qu’en serait-il si toutes les églises appelées l’Eglise de Jésus-Christ étaient ce soir juste comme Israël l’était en ce temps-là, d’un seul coeur et d’un même accord?Il n’y avait là personne qui venait pour dire: «Oh! Eh bien, je ne connais rien de ce vieux Salomon. Je ne connais rien là-dessus. Je crois que c’est un fanatique. Qu’en penses-tu, Jim?»«Oh! je pense aussi que c’est un fanatique.» Et puis, sortir et aller vivre sous son propre olivier. Non. Tout le monde venait à la réunion. Ils disaient: «Oh! Pasteur Salomon. Je n’ai jamais vu pareille chose de ma vie. Gloire à Dieu d’avoir envoyé Son Esprit sur nous.» Et, vous savez, un réveil comme celui-là se répand partout dans le monde. Certainement.

59        Et maintenant, en ce temps-là ils n’avaient pas de télévision, ni–ni de radio, ni de presse, et que sais-je encore, pour répandre les nouvelles. C’était transmis juste de bouche à oreille. Et c’étaient les grandes caravanes de chameaux et autres qui traversaient les différentes régions du pays, eh bien, qui apportaient les nouvelles. Et quelque temps après, cela est parvenu jusqu’à Séba, loin au sud. Et il y avait là une petite reine. Eh bien, elle était une païenne, mais elle était–elle a commencé par apprendre que quelqu’un était venu là et disait: «Oh! je suis juste passé en Israël, et nous avons eu quelques produits de là et les avons amenés ici. Et, oh! vous devriez voir ce pays. Vous devriez voir quel genre de réunion ils tiennent là. Ils sont vraiment un.»«Et, vous savez, ils ont là un Dieu qu’ils appellent Jéhovah, et ce Jéhovah s’est choisi un homme, et Il se confirme comme Jéhovah au travers de cet homme.» Oh! la la! ça a dû être un merveilleux entretien.

60        Vous savez, la foi vient en écoutant la Parole de Dieu. Voyez? C’est vrai. Ainsi donc, pendant que ces gens disaient ces choses, tout au fond du coeur de cette petite reine, elle a commencé à se demander: «Je me demande si toutes ces choses sont vraies. Eh bien, attendons jusqu’à ce que la prochaine caravane de chameaux passera.» Et ainsi, la prochaine passa. «Etes-vous passé par Israël?»«Oui, je suis passé par là.»«Est-il vrai qu’ils ont un réveil là-bas, les pentecôtistes, ou le...» Eh bien, les pentecôtistes de ce temps-là. Vous voyez? «Ont-ils un véritable réveil?»«Oh! ils sont d’un même coeur et d’un même accord.»Oh! la la! j’aurais souhaité que ce groupe soit comme cela ce soir. Je vous assure, on lirait de gros titres le matin dans les journaux de Columbia. Je vous assure.«Oui, oui. C’est merveilleux!» Et il a dit: «Oh! oui.»«Dites-moi. Avez-vous pu voir cet homme qu’ils ont là-bas, Salomon?»«Oui.»«Est-ce vrai qu’ils ont un Dieu qui se révèle au travers de lui?»«Oui, c’est vrai.»

61        Mon gars, ce petit coeur a commencé à battre. Elle voulait y aller. Maintenant, je pense que si nous commençons à raconter combien nos gens sont bons, combien ce Saint-Esprit est merveilleux, au lieu d’essayer de nous renverser l’un l’autre (Vous voyez?), l’un l’autre, je pense que cela ferait que chaque... Vous êtes le sel de la terre. Vous voyez? Mais le sel ne peut préserver que quand il entre en contact. Voyez? Ainsi, je pense que si nous devenions vraiment salés, le monde aura réellement soif. Ne le pensez-vous pas? C’est vrai. Devenez vraiment salés.

            Et maintenant, nous voyons que Salomon passait simplement des moments merveilleux. Alors cette petite reine a commencé à avoir faim et soif. Et je m’imagine que la nuit elle se réveillait, et elle appelait ses–ses–ses filles, et disait: «Oh! j’ai eu un songe, et j’ai rêvé que je... Un songe étrange, je ne sais pas trop pourquoi. Et je crois que... Peut-être que c’est parce que le conducteur de ce groupe-là m’a parlé aujourd’hui de ce réveil qu’ils ont là en Israël.

62        Finalement, son coeur commença à battre, jusqu’à ce qu’elle dit: «Eh bien, vous savez, je vais monter pour voir par moi-même.» Ça, c’est bon. Faites votre choix. Vous savez, quand quelque chose commence à battre, commence à avoir soif, c’est alors le moment d’aller à la recherche. Si vous commencez à vous dire: «Je pourrais mourir l’un de ces jours. Je ne connais pas Dieu», vous feriez mieux de commencer, parce que c’est le feu rouge de Dieu. Le signal va bientôt changer, alors vous feriez mieux de vous hâter. Si quelque chose vous dit ce soir: «Je crois qu’il y a une Fontaine pour la guérison quelque part.» Le signal de Dieu retentit. Entrez, sans tarder. L’eau est déjà agitée. Tout ce que vous devez faire, c’est d’y entrer sans tarder.«Quand est-ce qu’elle a été agitée, Frère Branham?»Il y a de cela mille neuf cents ans au Calvaire, l’agitation. Et puis, le jour de la Pentecôte, cela a réellement secoué toute la chose. Elle a été réellement agitée alors. Maintenant, tout ce que vous devez faire, c’est entrer directement sans tarder dans les eaux de l’Esprit et être guéri.

63        Maintenant, cette petite femme, elle avait faim et soif de monter là. Ainsi donc... Après tout, elle était un membre d’église, aussi devait-elle aller obtenir le consentement de son prêtre païen, pour voir si elle pouvait assister au réveil ou pas. Et je peux donc la voir maintenant se rendre là et dire: «Saint père [Espace vide sur la bande–N.D.E.], je voudrais demander votre permission, si je peux... Il y a un réveil là en Israël, m’a-t-on dit. Ils ont un Dieu là-bas qui (oh!) vit juste dans les gens. Et ils sont tous d’un même coeur. Et on m’a dit que cet homme a une sorte de don de discernement. Il a la connaissance des mystères, et qu’il peut prédire les choses qui vont arriver. Et on dit qu’il y a là un grand Dieu qu’ils servent. Et, vous savez, saint père, je voudrais me rendre là-bas pour voir si c’est vrai.»Je peux m’imaginer ce qui est arrivé. Je peux l’entendre dire: «Mon enfant, la dignité d’une reine vous permet-elle d’aller au milieu d’une bande comme celle-là?»

64        Vous savez, là où Dieu répand Son Esprit, les gens sont toujours méprisés d’une manière ou d’une autre, comme une bande d’ignorants. Bien sûr qu’ils ne connaissent rien de ce monde. Ils perdent leur propre pensée, afin de trouver la pensée de Christ. Voyez?Et ainsi là-bas, la chose était certainement odieuse, et on en parlait en mal. Je peux l’entendre dire: «Mon enfant, absolument pas. S’il devait se manifester un don de ce genre, cela devrait être ici dans notre église. Vous savez, la même chose continue. Certainement. Il dit: «Oui, bien sûr.» Il dit: «Ce serait juste ici parmi nous, au sein de–de nos groupes. C’est là que ça se passerait.»

65        Elle a dit: «Mais, père, c’est–ce n’est pas ça. Et on m’a dit... C’est ainsi que je voudrais juste avoir votre permission, si je peux monter là-bas.»«Ecoute. Tu es une haute dignitaire. Tu jouis d’un grand prestige, et tu es–tu es une personne distinguée. Tu ne peux pas te rabaisser pour aller au milieu d’une bande comme celle-là.»Et ainsi, elle dit: «Mais, vous savez, mon seigneur, je–je veux y aller de toutes façons.» Vous savez, il y a quelque chose, quand Dieu commence à tirer dans votre coeur, il n y a rien qui va vous garder loin de cela. C’est vrai. Absolument pas. Cela commença donc à tirer dans son coeur, vous savez: «Tu dois y aller de toutes les façons.»«Eh bien, dit-elle, j’en ai entendu parler.» C’est comme cela que la foi vient. «Laissez-moi juste y aller découvrir par moi-même. Je reviendrai vous en faire le rapport.» «Tu n’auras jamais mon consentement. Eh bien, feu ta vieille grand-mère, ton arrière-grand-mère, et toutes les autres qui furent reines avant toi, se retourneraient là dans leurs tombes, si elles apprenaient que tu as fait une chose pareille.»Je peux juste m’imaginer cette dame se dire dans son petit coeur: «Eh bien, elles feraient mieux de s’apprêter à se retourner, parce que j’y vais.» Voyez? Ainsi...

66        Pourquoi? La foi vient de ce qu’on entend, de ce qu’on entend de la Parole de Dieu. Et quand Dieu commence à tirer dans votre coeur, il n’y a pas moyen de s’en débarrasser, allez seulement faire ce que cela vous dit de faire. C’est la seule chose à faire. Ainsi, elle était là, quelque chose tirait dans son coeur, et ça faisait...Il dit: «Maintenant, écoute. Eh bien, reste juste ici dans ton église, et peut-être qu’un jour le grand Dagon ou l’un de nos dieux ici agira.»Elle a dit: «Ecoutez ceci. J’aimerais vous dire quelque chose. J’ai passé tout mon temps dans ce temple-ci. Et tous les jours vous m’avez parlé d’un dieu, et j’ai entendu ma mère dire la même chose. Et vous avez un livre de règlements ici, et vous avez des idoles accrochées partout ici, et je n’ai rien vu arriver.»

67        Là, c’est ce que j’aime. Et s’il existe un Dieu qui peut entrer en vous... Vous connaissez tous la forme de l’adoration païenne? (Je sais... Je ne veux pas... J’observe cette montre là-haut, et je vais me tromper en me fiant à celle-ci.)Alors maintenant, une adoration païenne, voici comment ils y vont: ils apportent l’idole et la placent là. Et puis, ils prennent un prêtre, et ils bénissent le cierge. Et ils placent ce cierge devant l’idole, et ils lui apportent quelque chose à manger, et ils mangent la communion avec lui. Ensuite, ils se prosternent devant cette idole, et abandonnent leurs pensées au point qu’ils croient entendre l’idole leur répondre. Eh bien, c’est là l’adoration païenne des idoles.

68        Eh bien, c’est le contraire avec Dieu. Voyez? Dieu n’est pas une idole; Dieu est un Esprit, cependant nous nous prosternons devant cela. Et l’Esprit n’entre pas dans une idole, comme quelques soi-disant croyants voudraient nous le faire croire, mais l’Esprit entre en vous. Et vous êtes la maison de Dieu...?... vivant, marchant, manifestant le Dieu vivant. Car Dieu n’habite pas dans des temples faits de main d’homme: «Mais Tu M’as préparé un corps.»Vous êtes la lettre de Dieu, une épître écrite. Dieu est en vous, se manifestant au travers de vous. Si vous pouvez vous prosterner devant Dieu, et dire: «Ô Dieu, je suis un pécheur. Entre en moi», et qu’ensuite, le Saint-Esprit entre, vous êtes alors une idole vivante de Dieu, un représentant vivant de Dieu, marchant partout avec Dieu qui parle aux autres à travers vos lèvres.

69        Maintenant, cette petite brave femme s’adresse peut-être à ce prêtre, disant: «J’ai été ici toutes ces années. Vous avez parlé de tout ça. Je n’ai jamais vu cela parler une fois; je n’ai vu personne qui agisse différemment; ç’a toujours été la même vieille chose, et elle n’a pas de vie du tout en elle. Et s’il y a quelque part un Dieu qui peut donner la vie, c’est de cela que j’ai besoin.»Je dis «amen» à ce qu’elle dit. Oui, oui.«J’aimerais trouver cela.»Eh bien, la première chose alors, cela lui a coûté sa qualité de membre. Elle a donc pris sa carte de membre sous son bras. Maintenant... Ainsi, je pense peut-être qu’elle a descendu la route, en marchant. Maintenant, cette petite dame a dû affronter certaines choses. Et maintenant... pour se rendre là-bas.

70        Et maintenant, la première chose, elle a dit: «Je vais y aller. Et j’ai lu tous les livres sur ce que ce Jéhovah devrait être. Et je vais aller voir de moi-même.» Et alors, elle a fait charger de dons quelques chameaux. Et elle a dit: «Si la chose est vraie, alors je vais soutenir cela. Si ce n’est pas le cas, je vais ramener mon argent.» Mon gars, elle pourrait donner à certains d’entre nous en Amérique des leçons, n’est-ce pas? Oui, oui. Si cela est fondé, ça vaut tout. Sinon, ça ne vaut rien. Eloignez-vous-en. Et elle a dit: «Si cette chose que Jéhovah déclare être... S’Il se manifeste, et que je voie cela de mes propres yeux, je suis donc disposée à tout donner à cela. Mais si ce n’est pas le cas, je pourrai juste ramener mes dons.» Maintenant, rappelez-vous, avec tout cet or et tout sur ces chameaux... Elle avait des centaines de kilomètres à parcourir, et vous savez quoi? Les enfants d’Esaü étaient dans le désert, et ils étaient des bandits. Et quelle proie facile ç’aurait été, avec tout cet argent! Ce groupe de brigands se jetterait sur cette petite dame et la tuerait ainsi que ces quelques petits gardes, des eunuques qui l’accompagnaient, et ils s’empareraient de cet argent.

71        Mais vous savez quoi? Quand vous sortez pour rencontrer Christ et que vous êtes déterminé à rencontrer Christ, vous ne pensez à aucun danger du tout. Vous ne vous préoccupez de rien d’autre. Vous avez un objectif et un but, et c’est rencontrer Christ. Oh! si le monde pouvait en arriver à avoir faim comme cela! Elle voulait rencontrer Christ, et c’était là son objectif principal, ou plutôt, rencontrer Salomon, le don, et voir si c’était Dieu. Et elle n’entrevoyait aucun danger. Pas du tout.

72        Quelqu’un a dit une fois... J’ai vu une femme se lever et commencer à crier, et elle a couru tout autour. Franchement, elle a sauté par-dessus quatre chaises environ. Et certains d’entre eux ont dit: «C’est comme si cette femme allait se casser le cou.»Je la connaissais. Elle était une petite ménagère ordinaire là-bas. Mais j’ai dit: «Elle n’y pensait pas.» Elle est juste passée de l’autre côté, et elle ne pouvait tout simplement pas rester assise. C’était tout. Elle courait. Elle était en feu. J’ai dit: «Elle devait tout simplement courir.» Et ainsi, elle ne pensait pas au danger; elle allait de l’avant. Vous diriez par exemple: «Eh bien, maintenant, si vous ne–si vous ne faites pas telle chose, vous allez mourir.» Vous ne faites pas attention à cela. Vous acceptez la Parole de Dieu là-dessus, et vous continuez à courir. Et elle devait continuer.

73        Et maintenant, rappelez-vous, si vous dessinez sur votre... regardez sur votre carte, de Jérusalem jusque là-bas à Séba, on traverse le désert du Sahara... Et le chameau met trois mois pour faire cette traversée. Maintenant, elle n’a pas fait la traversée dans une Cadillac climatisée. Voyez? Elle a dû faire la traversée sur un chameau, et il a fallu trois mois pour y parvenir. Maintenant, c’est parce qu’elle avait réellement soif de Dieu. Le problème qu’ont les pentecôtistes aujourd’hui, c’est que nous avons tout entre nos mains, et nous regardons juste cela et disons: «Eh bien, je pense que c’est bien. Voyez? C’est très bien.» Mais quand vous devez payer un prix comme celui-là, alors vous appréciez réellement la chose quand vous la recevez. Voyez? C’est juste.

74        La voilà. Elle devait traverser le Sahara, et voilà. Et ces vieux chameaux voyageaient peut-être de nuit; elle était accompagnée sur son chemin de quelques servantes, et d’un groupe de petits eunuques, ne pensant à rien d’autre. Mais tout au long de la journée, elle restait assise dans une oasis quelque part, lisant ces rouleaux, ce que Jéhovah était, car la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend de la Parole de Dieu. Elle avait reçu ces rouleaux et elle les lisait. Elle voulait connaître exactement ce que Jéhovah était, et Salomon manifestait Jéhovah. Ainsi, elle est allée pour s’en rendre compte. Eh bien, finalement elle arriva, et elle atteignit le portail. Et quand elle est arrivée au portail, elle a fait décharger tous ses chameaux, et elle a parqué probablement là dehors sur le terrain. Et présentons juste un petit drame maintenant. Je peux voir les gens venant de partout tout autour. Et le lendemain matin, elle s’est lavée et–et est allée à la–la réunion. Et elle a pu s’asseoir.

75        Et, bien vite, le pasteur Salomon est sorti, et toute la musique jouait, et ainsi de suite. Et le pasteur Salomon est sorti. Elle prit son... Elle n’avait pas de carte de prière; elle attendait donc simplement là au fond de la salle, vous savez. Ainsi, elle a attendu là derrière pendant longtemps. Et quand le Pasteur Salomon a commencé–a commencé à parler, les gens... elle vit que c’était absolument la sagesse dont elle avait entendu parler.

76        Et le lendemain matin, quand elle est entrée, je pense qu’elle était presque au milieu de la salle. Et aussitôt, il s’est fait qu’elle est arrivée tout près. Et un matin, elle est entrée dans la ligne, et elle s’est retrouvée en face de Salomon. Elle a dit: «Maintenant, je verrai comment–si c’est vrai ou pas. Je suis juste–je ... Il y a juste quelque chose qui m’envahit et me dit que c’est juste.» Et la Bible dit qu’il n’y avait pas un seul secret que Dieu n’a pas fait connaître à Salomon. C’est juste. Et quand Salomon a commencé à lui parler, et à discerner [les pensées de] son coeur et ses désirs, vous savez ce qu’elle a dit?Elle s’est tenue devant les gens (Considérez cette petite païenne maintenant.)–s’est tenue devant le peuple, et a dit: «Tout ce que j’avais entendu est vrai, et c’est même plus que ce que j’avais entendu.» Oh! elle était doublement convaincue, parce qu’elle avait vu ce que les autres avaient vu, et maintenant cela agissait sur elle. Amen.

77        Et si vous ne croyez pas que le Saint-Esprit est vrai, éprouvez-Le de la même façon. Il se pourrait que vous appreniez comment cela agit sur les autres, mais attendez qu’Il se mette à agir sur vous une fois. Alors vous saurez avec certitude que c’est le don de Dieu. Ça enlève toute la colère, tout le péché, toute l’incrédulité, tous les doutes, toutes les peurs; même la peur de la mort vous quitte quand le Saint-Esprit entre en vous. Oh! c’est réel, mes amis. Si vous ne L’avez jamais reçu, ne laissez pas la nuit passer sans que vous Le receviez.

78        Combien c’était une–une grande chose! La petite dame était tellement émue qu’elle–qu’elle s’est tenue là, et elle voulait même ramener de la terre avec elle. Elle était–est réellement devenue une croyante. Et Jésus a dit: «La reine du midi se lèvera au [jour du] Jugement avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités du monde connu de ce temps-là, à dos de chameau, pour entendre la sagesse de Salomon; et Je vous dis qu’il y a ici plus que Salomon.» En effet, Salomon exerçait le discernement, voyez combien cela était plus glorieux.

79        Et maintenant ce soir, après qu’Il est mort, enseveli, et ressuscité et entré dans la Gloire comme Souverain Sacrificateur depuis deux mille ans... Et le monde des infidèles, inspiré par le communisme comme il l’est ce soir, au milieu de tout cela, un plus grand que Salomon se tient ici, un plus grand que tous, le même Dieu avec le même don promis, le même Saint-Esprit avec la Vie Eternelle.

80        Quel était le problème de cette petite dame? Pour une fois dans sa vie elle avait vu quelque chose qui était réel, quelque chose qui n’était pas de façade, un rituel, du formalisme ou autre chose. Elle était arrivée dans une église où elle a vu la manifestation d’un Dieu vivant. Maintenant, si cette petite femme va se lever avec cette génération du temps où Jésus était sur la terre et la condamnera, qu’en est-il d’aujourd’hui?Quand elle a parcouru deux mille, oh! non, presque quatre-vingt-dix jours... je ne sais pas combien de kilomètres c’était. C’est très loin au sud. J’ai fait faire le calcul de cela une fois. Mais je sais qu’on met longtemps pour arriver jusque-là, ça prend presque–presque quatre-vingt-dix jours pour arriver là–trois mois à travers le désert pour entendre la sagesse de Salomon. Et ici en Amérique, on a du mal à traverser la rue en voiture pour voir la puissance de résurrection de Jésus-Christ par une Bible, un Urim Thummim, qui avait promis de Le refléter dans les derniers jours. Et voici que la chose est là par l’évidence biblique.

81        Le Saint-Esprit avec l’évidence biblique est venu dans l’église, et Il manifeste les signes et puissances de Jésus ressuscité juste parmi nous maintenant, un plus grand que Salomon. L’Esprit immortel de Dieu est en train de travailler, non pas seulement avec une seule personne, mais Il travaille dans l’Eglise tout entière, accomplissant des signes et des prodiges, guérissant les malades, ressuscitant les morts, chassant les démons, parlant en langues, donnant l’interprétation, déversant les puissances et convertissant les pécheurs. Oh! Il accomplit des signes, montrant qu’Il est présent ici, discernant les coeurs et les pensées des gens, ce qu’Il avait promis de faire. Et, souvenez-vous, c’était cela le dernier signe qu’Israël reçut. Et c’est le dernier signe promis pour aujourd’hui: le signe du dernier jour. Et nous y sommes.

82        Cette petite reine avait vu quelque chose de réel, quelque chose qu’elle a pu observer elle-même. Et c’était réel. Elle pouvait voir les effets de cela sur cet homme. Elle savait que c’était quelque chose qui...Les gens aujourd’hui... Je crois que si l’église, comme je l’ai dit, ne laissait pas échapper tant de vapeur par le sifflet, mais qu’elle mettait plutôt cela en action, et qu’elle avait faim et soif d’amener les gens là où ce genre de choses se passent... Voyez? Les gens veulent voir quelque chose de réel. Ils ne veulent pas entrer tout simplement, et faire inscrire leur nom dans un registre. Les gens qui ont faim et soif de Dieu viennent pour trouver quelque chose de réel.

83        Il n’y a pas longtemps, je me rappelle ... Peut-être que je vous ai déjà raconté cette petite chose. Comme vous le savez, je suis un chasseur, ou j’aime vraiment chasser. Je ne suis pas un chasseur, mais je chasse en Afrique, en Inde, et partout dans le monde. Ma mère était une métisse, et elle... Et mon grand-père était un chasseur célèbre. Et ainsi, j’ai toujours aimé cela. La première chose que j’ai achetée... Je piquais des plants de patates douces toute la journée, et j’ai gagné vingt-cinq cents; j’ai acheté deux pièges en acier, et j’étais dans les affaires. Et je–j’ai attrapé un opossum et j’ai vendu sa peau et me suis procuré quelques pièges de plus. Et j’ai commencé de vraies affaires alors. J’avais environ huit ans, et je chasse depuis lors.

84        Eh bien, j’avais l’habitude de monter dans les bois du Nord pour chasser, vers le Nord. Et je chassais d’habitude avec un bon chasseur là-bas, du nom de Burt Caul. Celui-ci était un vrai chasseur, vous n’aviez pas à vous inquiéter à son sujet. Bien des fois, quand vous amenez quelqu’un dans les bois, et si vous ne faites pas attention... et s’il ne connaît pas bien les directions, et comment interpréter les signes (la mousse sur les arbres et ainsi de suite), vous allez devoir le chercher pendant un ou deux jours. Il va se perdre, juste sur un petit périmètre. Mais pas Burt. Et cette contrée plane, là dans les environs du Maine et ainsi de suite, il savait exactement où il se trouvait. Nous partions chasser le matin, et lui... Vous n’aviez jamais à vous inquiéter. Quand on se séparait, Burt était là ce soir-là. C’est tout. Et ainsi on aimait chasser ensemble. Il n’y avait qu’une chose que j’avais contre Burt, et c’était le fait qu’il était l’homme le plus méchant que j’aie jamais vu. Il avait des yeux juste comme ceux d’un lézard, vous savez, étirés en arrière, comme ceux de certaines de ces femmes qui essaient de se farder les yeux dans ces derniers jours...?... ces–ces affaires à l’apparence drôle. Cela ne ressemble pas à un être humain. Et il avait une sorte d’yeux bridés comme ceux d’un lézard, et il était méchant.

85        Et, vous savez, il m’accompagnait souvent à la chasse, et il–il tirait sur ces faons juste pour m’indisposer. Et j’ai dit: «Burt...» Maintenant, il n’y a aucun mal à cela. Je n’ai donc rien contre le fait de tuer un faon, vous mes frères chasseurs. Vous voyez? Non, non. Si l’Etat dit que vous pouvez en abattre, il n’y a aucun mal à cela, car la conservation de la nature veille sur cela pour voir s’il y en a assez. Ils peuvent laisser faire. Il n’y a rien de mal en rapport avec–avec l’âge de l’animal. Abraham tua un veau, et Dieu en mangea. C’est juste. Ainsi, je ne fais pas allusion à l’âge. Mais si c’est juste pour se montrer méchant, c’est là le problème. Faire cela juste pour se montrer méchant, je pense que ça, c’est simplement un meurtre, et je ne tuerai rien de cette manière-là. Et ainsi, Burt allait juste... il voyait un faon qui fuyait. Il les renversait, juste comme cela et disait... Et je disais: «Burt, je t’aime. Tu es un brave homme. Mais tu es–tu es l’homme le plus méchant que j’aie jamais vu.»Il disait: «Oh! prédicateur, c’est comme ça avec vous autres. Vous êtes trop peureux.» Il disait: «Ressaisis-toi.»

86        Et je suis monté là-haut un hiver pour chasser avec lui. C’était un peu vers la fin de l’automne, et il y avait une sorte de... La neige était déjà tombée, et la saison de chasse avait commencé depuis deux semaines. Et je... Burt est monté là pour me rencontrer, et nous sommes arrivés au camp. Et nous avons pris notre chocolat chaud. Nous mettions cela dans nos thermos. Et ensuite, nous sortions, et quand nous étions bloqués quelque part dans la neige, et que nous ne pouvions pas... qu’on était obligé de rester toute la nuit, on allumait un feu, eh bien, nous prenions du chocolat chaud pour nous réchauffer en quelque sorte durant la nuit, et peut-être avec un sandwich, ou quelque chose d’autre. Et–et on amenait toujours des allumettes sèches pour pouvoir faire un feu.

87        Et ce matin-là nous sommes montés vers le défilé Jefferson, nous sommes entrés dans la chaîne présidentielle. Et alors, nous sommes allés... Pas même une piste... Ces petits cerfs de Virginie, vous parlez de Houdini comme étant maître en évasion, ils sont vraiment des spécialistes en la matière. Et ils peuvent entrer sous cette broussaille, et vous–vous ne les verrez pas. C’est seulement tard le soir juste avant l’obscurité que vous pouvez en voir un bouger. Si c’est au clair de la lune, il va attendre jusqu’à la nuit pour sortir. Voyez? Alors, après qu’on leur a tiré dessus, de toutes les façons, ils sont très, très difficiles à trouver. Et nous n’avions même pas trouvé une trace ce matin-là. Et c’était aux environs de midi, et... Avant que nous quittions, Burt a dit: «J’ai quelque chose pour toi, Billy.»

88        Et j’ai dit: «Qu’est-ce?» Et il a plongé la main dans sa poche, et il avait un petit sifflet. J’ai dit: «C’est quoi ça? Des coyotes... pour des coyotes?Il a dit: «Non. C’est le cri du cerf.» Il a dit: «Ecoute ça», et il a sifflé. Et vous avez déjà entendu le cri d’un faon, ça ressemble au cri d’un petit cerf, un faon, criant pour chercher sa maman.»Et j’ai dit: «Burt, tu ne devrais pas faire cela.» Et il a dit: «Oh! pasteur.» Il a dit: «Vous autres, a-t-il dit, vous êtes trop peureux pour être des chasseurs.»Et j’ai dit: «Bien, Burt, j’aime chasser.» Et franchement, j’ai dû prendre son cerf plusieurs fois. Mais il a dit... Il a dit: «Mais vous autres les gars, vous êtes trop peureux.»J’ai dit: «Eh bien, ne–ne tire pas sur ces tout petits compagnons, Burt.» J’ai dit: «Tu ne devrais pas faire cela.» Et il... J’ai dit: «Tu ne devrais pas souffler dans ce sifflet comme cela.»Il a dit: «Observe seulement.»

89        Eh bien, j’ai oublié cela. Il était environ onze heures dans la journée, et nous sommes arrivés à un endroit presque aussi vaste que cette salle-ci, et la neige recouvrait le sol. C’était une clairière. Et le vieux Burt s’est assis, et il a tendu la main vers l’arrière comme ceci. J’ai pensé qu’il voulait prendre un peu de son chocolat chaud. Ainsi il a tendu la main vers l’arrière comme ceci, et alors, il a sorti ce petit sifflet. J’ai dit: «Burt, tu ne peux pas faire ça.»Il a fait: «Chut!» Il a pris ce petit sifflet, et il a fait entendre un cri, ç’a résonné très exactement comme le cri d’un petit–un petit bébé cerf qui cherche sa maman.

90        Et quand il a fait ça, juste de l’autre côté de la clairière, une très grosse biche s’est levée (Eh bien, ça c’est la femelle du cerf.), avec ces très grandes oreilles, de grands yeux bruns, un bel animal. Et elle a regardé... Le vieux Burt a baissé la tête en dessous de ce tas de broussailles. Ces yeux de lézard m’ont regardé, vous savez, et j’ai pensé: «Oh! la la! certainement il ne va pas faire ça.» Et il a sifflé de nouveau. Eh bien, c’est inhabituel qu’à cette heure de la journée, une biche se lève, particulièrement pendant la saison de chasse; et quand il a sifflé encore, elle est carrément sortie dans cette clairière. Or, ça c’est inhabituel, à n’importe quel moment, que les biches fassent ça. Mais, vous savez, elle était une mère. Et tout au fond de son coeur elle était une mère. Elle ne faisait pas semblant pour se faire remarquer. Elle était vraiment une mère née, et son petit bébé était en danger, et alors elle n’avait peur de rien. Elle voulait trouver où était ce bébé. Je peux encore voir ces grandes oreilles dressées comme cela, vous savez comment elles font, cette tête dressée comme cela.

91        Et tout d’un coup, j’ai vu Burt. Nous n’introduisions jamais de coques dans le canon, ou plutôt de cartouche, jusqu’a ce que vous voyiez quelque chose pour tirer dessus. Ainsi il a introduit la cartouche. Il avait une 30-06. J’ai vu... Oh! il était un tireur d’élite. Et je l’ai vu viser comme cela, et j’ai pensé: «Oh! la la! il va lui faire carrément sauter ce coeur loyal. Il... Comment pouvait-il faire cela, alors que cette mère essayait de trouver son petit?» Voyez?Et il a sifflé encore. Et la–la biche a compris, quand elle a senti son odeur, que le chasseur était là. Mais, vous savez, elle ne s’est pas sauvée du tout. Généralement, elle l’aurait fait. Mais ce petit criait d’une manière si pathétique que cette mère ne se souciait pas si cela signifiait la mort. Elle était déterminée à retrouver ce petit en détresse. Ça, c’est la vraie maternité originale. Rien ne pourra vraiment prendre sa place, aucunement: uniquement Dieu. Dieu a dit: «Une mère oublie-t-elle l’enfant qu’elle allaite? Oui.» Il a dit: «Elle peut oublier son bébé, mais Je ne vous oublierai jamais, car vos noms sont gravés dans les paumes de mes mains.»

92        J’observais donc ce chasseur, et il s’est retourné, et il a ajusté le fusil vers le bas. Et je savais que ce réticule pointait juste le coeur de la biche, cette grosse balle qui prend la forme d’un champignon de cent quatre-vingt grains [11.7 grammes]. Ça allait lui faire sauter son coeur loyal de mère. J’ai pensé: «Comment peut-il faire une telle chose?» Je ne pouvais pas regarder cela. J’ai juste tourné le dos comme ceci. Maintenant, la situation a plutôt changé. J’étais derrière quelques buissons. J’ai juste dit dans mon coeur: «Père céleste, ne le laisse pas faire ça. Ne le laisse pas faire ça» Et je... juste en moi-même, j’écoutais pour entendre à tout moment ce fusil détonner. Et j’ai remarqué que le coup ne partait pas. J’ai attendu encore un peu, et le coup ne partait pas. Et je me suis retourné pour voir, et le canon du fusil allait comme ceci. Je l’ai observé, et il s’est retourné. De très grosses larmes lui coulaient sur les joues. Il a jeté le fusil par terre, et il a dit: «Billy, j’en ai assez», il m’a saisi par les jambes du pantalon. Il a dit: «Je veux que tu pries pour moi et que tu me conduises à ce Jésus dont tu parles.»

93        Qu’y avait-il? Qu’était-ce? Il avait vu quelque chose de réel. Il avait vu quelque chose qui n’était pas un faux-semblant. Il avait vu quelque chose qui était original. Il était convaincu. C’est ce que vous avez besoin de savoir, quelque chose de réel, pas une forme, un faux-semblant, mais un Dieu réel, un amour réel, une action réelle. Est-ce de cela dont votre coeur a faim? Inclinons la tête et parlons-Lui juste un moment. Je me demande maintenant (pendant que nos têtes sont inclinées juste un moment, réfléchissons juste un moment) combien d’entre vous ici ce soir (Maintenant, soyez sincère.), combien d’entre vous aimeraient être ce même genre de chrétien dans leur coeur, être autant chrétien que cette biche était une maman. Levez juste votre main, et dites: «J’aimerais être ce genre de chrétien.» Que Dieu vous bénisse. «Quelque chose qui va me jeter tout droit dans la gueule de la mort, et mon amour pour Christ va continuer tout du long: un amour immortel. Je L’aime avec tout ce qui est en moi.» Il voit vos mains.

94        Notre Père céleste, réellement, il y a ici plus que Salomon. Il y a ici plus que n’importe lequel des prophètes. Le Saint-Esprit est ici, le Don de Dieu au monde. Et Il... Durant des centaines et des centaines d’années, Il ne pouvait pas se frayer un chemin pour entrer dans l’Eglise. Mais Il a promis qu’Il aurait une Eglise sans tache ni ride en ce dernier jour. Et nous Le voyons agir ce soir. Maintenant, Il est venu en nous, avec le parler en langues, Il est venu en nous avec la joie; et maintenant, Il continue à avoir de plus grands dons. Et Il guérit les malades, et maintenant Il a ressuscité les morts. Et Le voici, la–la Parole de Dieu. Il est la Parole de Dieu. La Parole a été faite chair. Et maintenant, la Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants. Elle pénètre jusqu’à partager jointures et moelles, et elle discerne les pensées du coeur: le Saint-Esprit.

95        Et ce soir cette petite histoire sur Burt et moi, là dans le Nord, Père... [Espace vide sur la bande–N.D.E.]... juste vivre comme le monde. Et le monde ne peut pas voir la différence entre eux et les autres qui suivent la tendance du monde. Tu es capable de prendre une vieille mère biche, de ramener un de Tes enfants à la raison. Merci pour cela, Seigneur.

            Et je prie ce soir que le Saint-Esprit remplisse chaque coeur d’amour et de paix, et qu’Il nous accorde de voir la main de notre Dieu. Car, réellement il y a ici plus que Salomon. Et maintenant, Tu as promis que dans les derniers jours, Tu ferais ceci, comme ce fut au temps de Noé et au temps de Sodome. Et Tu as donc traité avec les Juifs et les Samaritains en ce jour-là. Et les Gentils ont eu deux mille ans de préparation.

96        Et maintenant, au temps de la fin, Tu ne pourrais pas être juste, Seigneur, et puis, laisser... Les Juifs ont dû juste voir ce signe et ont dû le rejeter; et alors, ils furent rejetés. Maintenant, Père, si Tu leur as donné cela, et que Tu laisses les Gentils entrer sur la seule base de la théologie ... Tu n’es pas ce genre de père. Tu es le même. Tu donnes à l’un de Tes enfants la même chose qu’à l’autre. Tu les aimes tous. Et chaque génération, chaque dispensation reçoit son signe et son don pour l’âge. Et maintenant, Père, nous savons que... Nous sommes reconnaissants, ce soir, d’avoir le signe du Saint-Esprit, le Jésus ressuscité apprêtant Son Eglise. Bénis-nous ce soir. Que Ta Présence soit avec nous, nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.

97        Maintenant, avec nos coeurs tournés vers Lui... Maintenant, je suis désolé de vous avoir gardés si longtemps. Je suis vraiment en retard d’une demi-heure. J’avais dit à Billy que je serais parti à 21 h 30, et que les frères pourraient donc baptiser et ainsi de suite. Nous devons sortir le matin vers trois heures. Maintenant, cela me fait penser à ça, ça me rend nerveux. Et c’est la raison pour laquelle je coupe mon message comme je le fais. Pardonnez-moi pour cela. Mais je crois que le Saint-Esprit vous a dit quelque chose dans le coeur, qui vous fera croire (C’est juste), qui vous fera croire de tout votre coeur.

98        Maintenant, nous pourrions appeler... Je pense que nous avons distribué quelques cartes de prière. Nous pouvions appeler ces cartes de prière ici et prier pour ces gens. Ou bien nous pouvons y aller de n’importe quelle manière que nous voudrions pour terminer la réunion. Ou bien, vous voudriez plutôt... pour donner à tout le monde une chance égale? Alors prions simplement, et demandons au Père céleste, que tout celui qui a suffisamment de foi là-bas dans l’auditoire pour Le toucher... Voudriez-vous faire cela? Allez-vous croire que vous avez suffisamment de foi pour le faire? Levez la main. Voilà. C’est juste. Vous voyez, mes amis, où je me tiens (Voyez?), je me tiens ici? Voilà. Les gens sont là. Je ne les connais pas. Mais alors, je dis ici que–que Dieu les connaît. Et je... Quand les gens sont allés voir la sagesse de Salomon, et ensuite quand ils sont allés voir les oeuvres de Jésus...

99        Or, rappelez-vous, Dieu ne peut changer. Il reste toujours Dieu. Quand Dieu prend donc... C’est ma foi dans la Bible. Quand Dieu prend une décision sur quelque chose, cela doit donc demeurer ainsi. Cela ne peut jamais changer, parce qu’Il ne peut pas avoir aujourd’hui... Chacune de Ses décisions est parfaite, parce qu’Il est infini. Savez-vous ce que signifie l’infini? Vous savez, quand vous prenez votre appareil photo et que vous le réglez sur l’infini; cela signifie simplement que c’est à partir de là et sans fin. Eh bien, Dieu est infini. Voyez? C’est de là que vient le mot infini. Maintenant, Il–Il n’a jamais eu de commencement, ainsi Il n’a point de fin. Et tout ce qui a jamais commencé à une fin. Ainsi, c’est la raison pour laquelle nous devons naître de l’Esprit de Dieu, pour avoir la Vie de Dieu en nous, avoir la Vie Eternelle; en fait, le mot grec «Zoe» signifie la Vie même de Dieu en nous. Et cette Vie ne peut mourir, pas plus que Dieu ne le peut, parce que c’est une partie de Dieu, l’infini. C’est juste. Et c’est Son Esprit.

100      Maintenant, si Son Esprit a travaillé dans l’âge de Salomon, puis dans l’âge du Seigneur Jésus, et qu’Il a été promis pour ces derniers jours, c’est le même Dieu. Amen. Il l’a promis. Vous le croyez tous, n’est-ce pas? Le croyez-vous, mes frères? C’est bien. J’aurais souhaité vous prendre tous avec moi dans ces réunions, un si bon soutien comme cela. Dieu fera n’importe quoi quand Il a plein de gens autour de vous. C’est juste. Vous tous, n’oubliez pas, si je reviens le printemps suivant, de venir chacun de vous. Ayons encore de la communion, ayons plusieurs soirées de réunions. En entendant ce moment-là, priez pour moi.

101      Maintenant, me voici debout ici. Combien de gens dans cette audience... Maintenant, je reconnais que... Je ne suis pas sûr, voici soeur Bryant. Et ensuite, ces trois personnes assises ici, je les connais. Maintenant, en dehors de ceux-là, je ne vois personne que je connaisse, à l’exception de ce frère juste ici. Et il est venu... Il était un baptiste. Il est venu, et il ne cessait de parler du Saint-Esprit et tout. Il n’arrivait pas à cesser de fumer. Et il a eu quelques entretiens, et un matin le Saint-Esprit est juste descendu, et ce fut la fin de cela. Et alors, il a dit: «Je suis–je vis en Caroline. Je ne...»

102      J’ai dit: «Cherchez frère Bigby, joignez-vous à son église, ai-je dit, parce que c’est là qu’il faut aller, si vous...» J’ai dit: «Parce que je–je sais qu’il est un vrai enseignant. Ainsi... et un homme de Dieu.»Ainsi, je ne connaissais donc pas beaucoup d’autres frères, mais je connaissais frère Bigby. Et je sais qu’il y a d’autres braves hommes. Je les ai rencontrés ici dans la salle ce soir. Regardez en haut et en bas ici, nous sommes–nous sommes tous des enfants de Dieu. C’est tout.

103      Maintenant, combien de gens ici sont malades (ceux que je ne connais pas) et veulent que Dieu les aide, des gens qui savent que je ne sais rien à leur sujet, rien de ce qui ne va pas en eux, ou n’importe quoi? Vous dites... Comme je l’ai remarqué, ici quelque part, c’était peut-être à l’autre réunion, une femme est passée à l’estrade, et elle a dit: «Oui. Je vous connais. J’étais à une de vos autres réunions une fois, il y a quatre ou cinq ans.»Oh! la la! pensez-y. Combien de dizaines de milliers de personnes j’ai rencontrées depuis lors! Vous voyez? Je n’ai aucun moyen de vous connaître, juste quand vous passez sur l’estrade, ou en étant assis là-bas dans l’auditoire. Et combien sont malades maintenant, et savent que je ne connais pas leur problème? Levez simplement la main, partout où vous êtes. Eh bien, c’est pratiquement tout le monde. Et Dieu nous viendra sûrement en aide maintenant.

104      Maintenant, je veux que vous fassiez ceci. Je veux que vous cessiez de penser à nous les prédicateurs, les frères qui sont ici sur l’estrade. Maintenant, ceci ne se passe pas dans un oui-ja, dans une salle sombre avec les lumières éteintes, l’oeuvre du diable. Ceci se passe juste ici au grand jour, dans la Présence de Jésus-Christ et de Son Eglise, cette Sainte Bible posée ici, le confirmant. Ceci est l’Urim, l’Urim Thummim. Ceci est le pectoral. C’est ça le pectoral fortifié de chaque croyant. C’est juste. Voyez? Et l’Urim Thummim, c’est ce surnaturel qui a émané de cela, confirmant cela. Et croyez de tout votre coeur. Ne doutez pas maintenant. Je veux que vous croyiez vraiment. Et priez et dites: «Père céleste, je Te suis très reconnaissant d’avoir envoyé Ton Fils, Jésus-Christ. Il est mort à ma place. Nous disons qu’Il a été blessé pour nos péchés; par Ses meurtrissures nous sommes guéris, par les choses qu’Il a faites. Ce soir, Il est assis à la droite de la Majesté divine pour faire intercession sur base de notre confession.»

105      «J’ai juste entendu frère Branham dire au cours de quelque deux dernières soirées que la Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, et qu’Elle discerne les pensées du coeur. Or, lorsque Tu étais ici sur terre, Tu étais la Parole faite chair et Tu as habité parmi nous. Ça nous le savons, que Tu étais la Parole. Et maintenant, nous croyons que la Parole est venue sous la forme du Saint-Esprit pour confirmer la Parole écrite, pour L’attester.»«Eh bien, une femme a touché Ton vêtement une fois, et–et Ton Fils, Jésus-Christ, s’est retourné et a repéré la femme, et lui a révélé sa perte de sang. Nous voyons qu’un homme aveugle L’a arrêté, ainsi de suite, et encore et encore, et tant d’autres tout au long des Ecritures.»«Et maintenant, nous voyons que Tu as dit: ‘Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.’» Maintenant, c’est ce qu’Il a dit. Est-ce vrai, frères? Nous voulons croire cela maintenant. Croyons tous cela de tout notre coeur, et priez tous pour moi.

106      Maintenant, chacun de vous, faites simplement sortir votre incrédulité, mettez-la sous vos pieds, et maudissez-la au Nom du Seigneur Jésus; et prenez la Parole de Dieu, et élevez-La, et dites: «Je suis un croyant; je–je vais le croire de tout mon coeur.»Je ne dis pas qu’Il va le faire. S’Il ne le fait pas... Je–je ne peux pas Le forcer à le faire, vous savez. Il est simplement... Il est Dieu. Voyez? Je–simplement je–je crois simplement cela. Et maintenant, s’Il ne le fait pas, alors–alors nous allons... Je pense qu’il y a peut-être quelques cartes de prières dans l’auditoire ici ce soir. Et s’il y en a, eh bien, nous allons les appeler, et faire venir les frères ministres ici, et nous allons prier pour ces gens. Mais je pense que la chose principale pour un chrétien...

107      Considérez ce Romain à cette époque-là. Le Juif a dit: «Viens imposer les mains à ma fille, et elle sera guérie.»Le Romain a dit: «Je crois mieux que cela. Prononce seulement la Parole. C’est tout.»Jésus s’est retourné et a dit: «Je n’ai pas trouvé une telle foi en Israël.» Voyez? Ça, c’est nous les Gentils. Nous sommes censés savoir que ce que Sa Parole dit est la Vérité. C’est la seule raison pour laquelle je me tiens ici comme ceci ce soir, c’est parce que la Parole l’a promis. Vous le savez. Et la manière dont j’ai attendu pendant des années que quelque chose de glorieux se lève dans les derniers jours... Vous savez, il nous est promis que–que cela va ramener la foi des enfants à celle des pères originels de la Pentecôte. C’est juste. Nous attendons cela. Il l’a promis, et nous le croyons.

108      Maintenant, priez simplement, et je vais prier avec vous. Et nous croyons que peut-être Dieu nous viendra en aide. Et j’espère qu’Il va le faire. Je vois Cela juste au-dessus d’une femme assise là. Elle me regarde, mais elle est assise juste ici. Elle est en train de pleurer. Elle a la main levée comme ceci au visage. Elle a un pansement au visage. Eh bien, c’était peut-être à cause d’un bâton qui l’a cognée. C’était peut-être n’importe quoi d’autre. Croyez-vous que Dieu peut révéler à partir d’ici ce que c’est? Allez-vous l’accepter? C’est le cancer. Croyez-vous que Dieu va guérir cela? Voulez-vous l’accepter? Très bien, alors. Vous pouvez le faire. Amen. La petite dame qui est assise là, portant un pull-over, elle a baissé la main, elle avait son doigt à la bouche. Vous aviez la main levée il y a quelques minutes, pour dire que vous étiez ici, désirant qu’on prie pour vous. Croyez-vous que Dieu peut me révéler votre problème? Croyez-vous? Si donc vous le croyez de tout votre coeur, alors votre coeur ne vous dérangera plus. Alors, vous serez guérie. Croyez-vous que votre trouble cardiaque sera guéri? Très bien, monsieur...?... La seule chose que vous devez faire, c’est juste croire.

109      Maintenant, je ne connais pas ces gens. Ils sont des inconnus. Maintenant, me croyez-vous? Voici mes mains levées, et ma Bible est ici. Moi, pour autant que je sache, je ne les ai jamais vus de ma vie. Ce sont juste des gens qui sont assis là. Tenez. Oh! quel sentiment! Gloire à Dieu! Frères, le Saint-Esprit... Regardez, je prie... Essayez de voir ceci. Regardez juste là-bas à côté de cette femme. Regardez cette Lumière là-bas. Voyez cette Lumière plutôt rougeoyante et douce qui tourbillonne, descendant droit sur elle. Ne pouvez-vous pas voir Cela? Regardez. Cette dame assise juste là. Elle prie pour un fils, des problèmes mentaux. C’est juste, n’est-ce pas, madame? Levez la main si c’est la vérité. Ayez simplement la foi. Voyez?

110      Cela a frappé la dame à côté de vous. Voilà que Cela a directement quitté cette dame-là pour aller vers la dame qui est à côté. Avez-vous toutes une carte de prière? Vous avez une carte de prière? Non. Très bien. Vous n’en avez pas. Très bien. Vous n’en avez pas besoin. La dame à côté de vous là, la Lumière est juste au-dessus d’elle. Regardez juste par ici, vers moi, soeur, juste un moment. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Oui. Il s’agit de votre fille qui vient de subir une opération. Vous priez pour cela. Si c’est vrai, levez la main. Très bien. Ne doutez pas; ça ira bien. Vous croyez?Pourquoi pleurez-vous, madame? Vous êtes toute abattue, n’est-ce pas? Croyez-vous que je suis Son prophète? Je vous suis inconnu. Ne pleurez pas. Hé! regardez, madame. Ne faites pas cela. Ne faites pas cela. Je ne le dirai pas; mais vous vous proposez de faire quelque chose, mais ne le faites pas. Cela ne vaut pas la peine. C’est juste. Laissez cela. Ne le faites pas. Tenez-vous loin de cela. Eloignez-vous; oubliez cela. Ça va bien finir. N’ôtez jamais une vie, parce que ça ne marchera pas. Restez éloignée de cela. Croyez-vous que je suis Son serviteur? Vous n’habitez pas ici. Vous allez vous rendre à Charlotte maintenant. C’est juste. Madame Mongolo, retournez, ne faites rien à ce sujet, et Dieu sera avec vous et arrangera cela parfaitement. Vous croyez? Ayez simplement la foi. Ne doutez pas. Ne doutez pas. Croyez simplement de tout votre coeur.

111      Tout au fond, tout au fond, juste derrière...?... cet homme qui se tient debout, portant une chemise blanche, une femme ayant une maladie de la peau. Croyez-vous que Dieu va vous guérir, madame? Vous l’acceptez, vous le croyez? C’est juste. La voilà. Mettez-vous simplement debout pour que vous puissiez louer Dieu pour cela, et cela va vous quitter. Vous avez une carte de prière? Vous n’en avez pas besoin. Quand vous avez la foi comme cela, vous n’avez pas besoin d’une carte de prière. Cela va vous quitter, parce que l’ombre qu’il y avait là juste au-dessus de vous a disparu. Voyez?Voici une dame assise juste en bas par ici. Elle est une... Ô Dieu, qu’elle ne manque pas cela. Elle a eu des ennuis. Elle a eu un accident, et elle est... Cela fait qu’elle connaisse des moments d’affaiblissement, d’évanouissement en quelque sorte. Elle n’est pas d’ici: elle vient de la Géorgie. Croyez simplement, Madame Griffin, et vous vous rétablirez...?... Je lui suis inconnu. Je ne la connais pas. Mettez-vous debout, madame. Reconnaissez le Seigneur Jésus comme votre Guérisseur. Croyez-vous, mes amis?

112      Une dame assise juste ici derrière est en train de prier. Elle prie pour une amie qui est alcoolique, pour une autre qui souffre d’une tumeur au cerveau. Dites donc, vous étiez une fois à une de mes réunions. Vous étiez guérie d’un cancer. C’est juste. Vous habitez à Charleston. Mademoiselle Rearling, rentrez chez vous maintenant. Jésus-Christ vous accorde votre désir. Amen. Vous croyez de tout votre coeur? Je crois que le Saint-Esprit a parcouru la salle toute entière. Etes-vous croyants? Combien ici croient qu’un plus grand que Salomon est ici, ne l’est-Il pas? Combien croient qu’Il a dit: «S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.»? Croyez-vous cela? Et vous avez dit que vous êtes des croyants. Maintenant, posons nos mains les uns sur les autres.

113      Notre Père céleste, nous T’amenons cette audience. Nous avons parlé de grands dons à travers les âges. Et nous voici ici, les coeurs unis par le Saint-Esprit, et le Saint-Esprit est ici avec nous, se manifestant Lui-même, montrant que–que l’Eglise est en train de recevoir son dernier signe, juste avant que Dieu ne se tourne et n’emmène l’Eglise dans la Gloire.

            Maintenant, fais que ces croyants... Puisse le Saint-Esprit regarder là dans les coeurs de ces croyants qui ont leurs mains posées sur quelqu’un d’autre, priant pour eux. Tu as dit: «La prière de la foi sauvera le malade. Dieu le relèvera.» Tu as dit: «Voici les miracles qui accompagneront les croyants. S’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Et il nous a été enseigné au travers des âges que là où deux ou trois sont assemblés, Tu seras au milieu d’eux. Et Te voici ici ce soir, Seigneur, tout aussi réel que Tu l’étais quand Tu es allé avec Cléopas et l’autre et que Tu as brisé le pain. Et ils T’ont reconnu par un signe que Tu avais fait avant Ta crucifixion. Ils ont compris que Tu étais ressuscité d’entre les morts, et ils sont allés chez eux les coeurs légers, se réjouissant, et disant: «Le Seigneur est réellement ressuscité!»

114      Maintenant, Seigneur Dieu, je Te prie d’aller avec nous, Seigneur. Puisse la puissance du Saint-Esprit libérer chaque personne qui est ici ce soir, liée par ces afflictions, alors que je joins mes mains avec ce groupe de ministres ici présents, en tant que Tes serviteurs, croyant pour cet auditoire. Et nous sommes d’un commun accord, en un seul lieu, et le Saint-Esprit est ici pour guérir les malades et les affligés. Ô Dieu, que la puissance du diable soit brisée, et que le Saint-Esprit descende sur cet auditoire de–de gens...?...et chasser le mauvais esprit d’incrédulité au Nom de Jésus-Christ.

115      Je crois en Lui. Je crois que chacun de vous est guéri, si seulement vous l’acceptez. Nous les ministres ici sur l’estrade, nous allons joindre nos mains en étant un dans la prière. Nous croyons de tout notre coeur que c’est Christ qui se manifeste Lui-même ici devant nous. Qu’est-ce? C’est l’Urim Thummim qui est rendu manifeste au travers de la Parole, le Saint-Esprit avec les signes du dernier jour avant que la terre soit brûlée. Oh! cachez-vous en Christ ce soir, comme Il l’a promis, et soyez guéri, chacun de vous. Tous ceux qui veulent le croire, mettez-vous debout maintenant, comme nous élevons les mains vers Lui d’un commun accord. C’est juste. C’est juste.

            Ma foi regarde à Toi,

            Toi, Agneau du Calvaire,

            Sauveur divin;

            Maintenant, écoute-moi quand je prie,

            Ôte toute ma culpabilité,

            Oh! laisse-moi dès ce jour

            Etre tout à Toi!

            Au Nom du Seigneur Jésus...

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