N’Ayez Pas Peur

Date: 62-0620 | La durée est de: 1 heure et 44 minutes | La traduction: Shp
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1          Que le Seigneur vous bénisse, frère. Merci beaucoup. Je voudrais dire merci, mes merveilleux frères, pour cette présentation. Je ne pourrais pas avoir plus de liberté et me sentir plus chez moi si j’étais à ma propre chaire, chez moi. Que Dieu vous bénisse. Je suis ici dans le but de jeter ma seine avec la vôtre afin d’aider de tout notre possible le Royaume de Dieu à attraper chaque âme qui erre loin de Dieu. Je vous remercie certainement pour cela, et je crois que vous allez prier pour moi pendant que j’officie. Et il n’y a rien de mieux qu’un bon cadre lorsqu’on sert le peuple tout en...?...

2          Bonsoir, les amis. Je suis très heureux d’être de nouveau ici ce soir dans cette grande salle de bétail, ou plutôt d’exposition. Je pense que c’est la troisième fois que je suis ici, et chaque fois cela s’est toujours avéré une grande bénédiction de se trouver ici, et de rencontrer ce peuple de la Californie.

            Je vous apporte ce soir les grandes amitiés et les grandes bénédictions de la part des frères de l’est, et de l’église de l’est, en vous disant qu’ils se portent bien en vertu des grandes dispositions de Dieu, et je crois que Dieu va vous accorder à tous de grandes réunions pendant que nous serons ici sur cette côte ouest.

3          Je voudrais remercier mes frères d’ici pour ce grand privilège qu’ils ont eu de parrainer ces réunions, étant donné que j’ai ressenti qu’une fois de plus, avant d’aller outre-mer, ce serait pour moi un grand privilège de visiter mes frères le long de cette côte ouest. Et nous sommes ici ce soir au Nom du Seigneur Jésus pour servir et pour faire tout ce que nous pouvons afin d’aider tout le monde à Le connaître mieux que maintenant. J’espère que lorsque les réunions seront terminées, je Le connaîtrai bien mieux que maintenant, car chaque jour nous vivons tous dans ce but-là: essayer de–de Le connaître un peu mieux.

4          Je sais qu’un... Il n’y a pas longtemps quelqu’un m’a dit... Je parlais de quelque chose (et de toute façon ma grammaire est très médiocre), et ainsi je... Quelqu’un a dit (pour commencer, c’était un grand théologien), il a dit: «Vous ne connaissez simplement pas votre Bible.»

            J’ai dit: «Mais je connais très bien l’Auteur.» Ainsi, je... C’est ça. Le connaître, Lui, c’est la Vie. Et s’Il est l’Auteur de la Parole, Il confirmera toujours que Sa Parole est la Vérité. Je crois cela. Et il y a tant de choses qu’Il peut faire, et qu’Il fait effectivement, qui ne sont pas écrites dans la Bible. Mais aussi longtemps que je vois cela se dévoiler dans les pages, je–je sens cette (Comment le dit-on?)–cette assurance, vous savez, montrant que tout marche très bien, parce ce qu’il semble que la chose marche correctement à travers ces pages. Alors cela rend la chose–fait que nous nous sentions mieux.

5          Nous sommes maintenant en route pour Anchorage, en Alaska, vers la côte ouest, et nous commençons ici en Californie. Nous venons de Green Lake, dans le Wisconsin, où les Hommes d’Affaires du Plein Evangile qui... Les deux dernières fois qu’ils étaient ici, j’étais avec eux. Et nous avons tenu la–la convention régionale à Green... Je pense que c’était Green Lake, dans le Wisconsin. Et ensuite, nous sommes descendus à Chicago pour une communion là-bas avec les chrétiens; nous avons passé des moments merveilleux, avec un grand rassemblement, il y a eu beaucoup de gens, et le Seigneur nous a bénis ensemble pour nos faibles efforts en essayant de servir Son peuple.

            Et ensuite, de là nous sommes allés à Southern Pines, en Caroline du Nord. J’ai toujours envie d’appeler cela... Southern Pines devrait être la Caroline du Sud, mais c’est en Caroline du Nord.

            Et nous avons certainement passé des moments merveilleux de communion là avec la convention de la Fraternité Interdénominationnelle; c’étaient vraiment des moments merveilleux. Et ensuite, de là nous avons continué jusqu’en–jusqu’en Caroline du Sud, à Columbia. Et là, nous avons rencontré des gens, et comme ils savaient que nous allions venir ici à la côte ouest... Tous ceux qui sont de passage là, comme nous sommes tous des pèlerins qui confessons cette grande espérance que nous avons en Christ...

6          Nous ne disons pas qu’ici c’est chez nous. Nous sommes des pèlerins et des étrangers. Nous cherchons une cité dont l’Architecte et le Constructeur est Dieu. C’était cela l’attitude d’Abraham; il cherchait une cité. Et nous sommes les enfants d’Abraham. En étant en Christ, nous sommes la postérité d’Abraham. En effet, nous savons qu’Isaac était la postérité naturelle, et toute la postérité naturelle cherchait cette cité; combien plus la postérité royale, la postérité royale d’Abraham devrait la chercher! Et je crois aujourd’hui que l’Eglise, ceux qui ont été appelés à sortir, c’est la postérité royale d’Abraham.

            Nous disons qu’ici ce n’est pas chez nous, parce que nous n’avons pas d’ancre ici sur la terre. Et si nous en avons une, je crois que nous allons rapidement la détacher, afin que s’Il venait ce soir, nous soyons enlevés, n’étant pas ancrés ici sur terre.

7          Je suis très reconnaissant pour cette occasion. Et maintenant... Je sais que très bientôt il se fera un peu tard, il y a tellement de choses à dire, et on dirait qu’on a très peu de temps pour les dire. Mais cela vous rend un peu nerveux; c’est comme si le monde entier est sous pression, et on cherche à se hâter de faire quelque chose. Mais je crois que nous n’allons pas faire cela pendant la durée de cette campagne, nous ferons exactement ce que nous faisions il y a longtemps: juste essayer de laisser échapper la pression, se détendre, et être simplement nous-mêmes, vous savez, être simplement des chrétiens et communier les uns avec les autres, tandis que le Sang de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous purifie de toute impureté.

8          Et maintenant, moi aussi je suis venu jeter mon filet avec ces frères. Or, vous savez que chacun de nous est un pêcheur. Vous savez, le–le Seigneur a parlé une fois à un pêcheur, Il lui a dit de Le suivre pour devenir un pêcheur d’hommes. Et c’est ce qu’il y a ici ce soir à l’estrade, des pêcheurs d’hommes.

            Nous nous tenons quelque part au coin dans notre église, nous lançons le filet dans les parages, et nous rassemblons avec cela tout ce que nous pouvons, nous ramenons tous les pécheurs. Peu importe dans quelle situation il se trouve, nous essayons de l’amener à Christ. Bien, ensuite vient un moment où il nous faut aller au loin. Alors nous mettons ensemble tous nos filets pour que nous puissions aller au loin faire un grand ratissage. C’est pour cela que nous sommes ici ce soir. Et j’ai tissé mon filet par une communion d’amour autour de mes frères, ainsi que leurs filets pour pêcher loin dans Los Angeles et tout autour, pour voir le nombre d’âmes que nous pouvons faire entrer pour Christ. C’est dans ce but-là que nous sommes ici.

            Maintenant, nous... Bien entendu, nous savons qu’en pêchant à la seine, on attrape n’importe quoi, mais il y en a là qui vont être des poissons, aussi sûr que le monde existe, et Dieu va les prendre.

9          Maintenant, priez pour moi pendant que je vais prêcher et prier pour les malades. Et je ne suis pas un guérisseur. On m’appelle comme cela, mais je ne le suis pas. Je suis votre frère (Voyez-vous?), simplement–simplement votre frère qui est ici afin de prier pour les malades.

            Et ainsi, je sais que les témoignages produisent beaucoup de pression, et tout simplement... Il s’est passé quelque chose hier soir, ou plutôt l’avant-dernière soirée à Columbia, cela a défrayé la chronique là dans cette contrée. Il y avait... On n’arrivait pas à faire entrer le petit enfant dans la ligne de prière. C’était un enfant hydrocéphale, avec un petit visage rétréci, et une tête énorme; il semblait avoir un ou deux ans. Et ses yeux étaient abîmés, vous savez comment ils deviennent, avec de grosses veines à la tête. Et les docteurs (les médecins du monde) devaient lui administrer des piqûres chaque jour pour le garder en vie. Et on n’arrivait pas à faire entrer le petit, alors on l’a placé derrière le rideau, et je suis allé derrière prier pour lui.

10        En effet, on prie pour les gens au fur et à mesure qu’ils s’approchent avec les cartes de prière; on prend les cartes et on les distribue chaque jour. Et alors, le petit n’avait pas reçu de carte, et la mère ne pouvait pas rester au-delà de cette soirée-là. Nous avons alors prié pour le petit derrière l’estrade.

            Et le lendemain matin, c’était extraordinaire. Toutes ces grosses veines avaient disparu, et sa petite tête était pratiquement normale. Alors ils–ils–ils l’ont amené chez le médecin, sans rien dire, et le médecin l’a regardé, de la tête aux pieds, puis il l’a examiné. Il y avait un problème de sang qui faisait qu’on devait lui administrer ces piqûres. Et il a dit: «L’enfant n’a même pas besoin de piqûres.» Il a dit: «Je n’ai jamais rien vu de pareil auparavant.»

11        Et alors, cela a fait qu’une grande rumeur se propage dans le voisinage. Et c’était comme au temps de la Bible, cela s’est répandu partout, l’amour et la renommée de notre Seigneur Jésus, qu’Il est toujours capable de guérir les malades. Peu importe ce que c’est, Il est toujours capable de guérir cela. Cela... Il est...

            Il a... La puissance a été mise dans la caisse, et Il nous a donné à chacun une clé. C’est Son Nom. Et si nous n’avons pas peur de signer, eh bien, Il va certainement endo-... Il va certainement faire que le chèque soit encaissable lorsque celui-ci arrive là, si Son Nom est mentionné derrière. «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai», a-t-Il dit. Et je crois cela. Tout ce que vous demandez en Son Nom, et que vous croyez que vous l’avez reçu, vous le verrez s’accomplir.

12        Bon, je pense que demain matin ce sera le petit déjeuner des ministres, je pense. Je suis toujours heureux d’y prendre part, de pouvoir rencontrer mes frères. Je brûle de vous voir, frères, demain matin au petit déjeuner.

            Et je pense que les hommes d’affaires d’ici pourraient prendre le–le samedi matin, si... Maintenant c’est officiel? Samedi matin, au Clifton. Bien, je prendrai alors encore cette bonne bouillie de flocons d’avoine qu’ils ont là-bas. C’est très bon. Je–j’aime cela. Nous serons donc dans l’attente là-bas de vous voir, là-bas.

13        Maintenant, il y a eu... Il a coulé beaucoup d’eau sous les ponts depuis le (c’est une expression du Sud)–depuis que nous nous sommes rencontrés auparavant. J’ai failli me faire tuer tout récemment par un fusil qui a explosé. Vous pouvez le voir sur mon visage, et... Mais le Seigneur a épargné ma vie, et je–je suis reconnaissant d’être ici.

            Je tirais à la cible au moyen d’un fusil qui avait été réalésé ici par monsieur Weatherby, et on me l’avait remis comme étant au point. Et j’ai tiré quelques coups, et j’ai remarqué un gonflement au niveau de l’anneau, et j’ai introduit une autre cartouche. Et on ne sait pas encore ce qui s’est passé. Le fusil a explosé, et cela a projeté le canon à cinquante yards [45,7 m] devant moi et, en explosant, des morceaux de fusil ont pénétré dans les arbres. Et tout ce que j’ai vu, c’était une flamme rouge qui a jailli.

            Et quand les gens... Ils pensaient que j’avais... Bien entendu, de petits fragments s’étaient enfoncés dans mon crâne. Quinze petits fragments se sont simplement logés dans mon oeil en dessous du globe oculaire. Et un autre est entré ici et a arraché le sommet de la dent, et m’a blessé le visage. Et quand les gens... Et pendant quelques minutes je ne savais pas où je me trouvais, bien sûr, et je ne pouvais ni voir ni... C’est comme si on m’avait flanqué un hamburger au visage, il y a environ quatre semaines.

            Je me suis efforcé d’ouvrir cet oeil-ci, et j’ai vu... j’ai regardé tout autour, et j’ai vu cet homme qui était allé là au champ de tir avec moi, là où je tirais sur cette cible. Il se dirigeait vers la cible. Et je ne pouvais pas entendre, je ne pouvais pas parler, je ne pouvais ni entendre ni voir. Et finalement, j’ai attiré son attention. Il est venu là, et j’ai arrêté le sang avec ma main. Et nous avons prié, et le sang a complètement cessé de couler. Et j’étais complètement trempé et...

14        On m’a amené chez le médecin, et il a dit: «Mon Dieu!» (J’oublie le nombre de tonnes de pression qu’ils ont dit que ce fusil pouvait supporter.) Il a dit: «Quand cet homme est venu vous trouver, il devrait retrouver une jambe par ici, et pas de tête ni d’épaules. L’explosion de cet acier devrait faire sauter tout le corps.» Et c’était très près de mon oeil quand cela a explosé. Je suis donc heureux d’être ici, très reconnaissant.

            Le–le médecin qui a examiné l’endroit a dit: «Eh bien, il n’y a qu’une seule...» Il a dit: «Rien ne pouvait se faire, a-t-il dit, parce que l’acier est allé jusqu’au fond de l’oeil.» Et il a dit: «Cela n’a pas du tout affecté la vue.» Il a dit: «La seule chose que je sache–que je puisse dire, de façon certaine, le Bienveillant Seigneur était assis sur le banc pour protéger Son serviteur ce matin-là, sinon il ne lui serait resté...»

            C’est pourquoi j’estime que–qu’Il m’a gardé ici pour vous servir, pour vous aider, et vous, aidez-moi, et nous sommes ici tous ensemble pour nous entraider.

15        Et maintenant, nous voulons ouvrir Sa Parole. J’aime vraiment Sa Parole. Et c’est un peu... D’habitude le premier soir on commence un peu tard, mais nous espérons partir à temps. Et nous allons essayer de prier pour les–quelques malades. Billy m’a dit qu’il a distribué quelques cartes. Et–et maintenant, si nous ne les prenons pas toutes ce soir, gardez-les tout simplement. Nous allons les prendre. Et ne soyez pas pressés. Et maintenant, avant de lire Sa Parole, parlons-Lui juste un moment dans la prière, tandis que nous inclinons la tête; et je crois que nos coeurs aussi sont inclinés.

            Maintenant, alors que vous avez la tête inclinée, les yeux fermés, vos coeurs concentrés sur Dieu, je me demande tout simplement s’il y a des requêtes dont les gens voudraient que l’on se souvienne. Levez simplement la main. Et par ce geste, vous dites: «Ô Dieu, Tu sais ce dont j’ai besoin ce soir en ce moment.» Que Dieu vous bénisse. C’est bien.

16        Notre Père céleste, nous nous approchons maintenant de Ton Trône de grâce. Nous ne désirons pas nous tenir près du trône de justice, parce que nous ne sentons pas que nous pourrions nous tenir là. Mais lorsque nous nous approchons par la grâce, c’est que c’est Toi qui nous as invités à venir. Et nous sommes très heureux du privilège que nous avons de nous approcher de Toi, le Grand et Puissant Jéhovah, au moyen de la grâce de Jésus-Christ.

            Maintenant, nous venons en Son Nom, sachant qu’Il a dit: «Là où deux ou plus sont assemblés en Mon Nom, Je serai donc au milieu d’eux.» Et Il a encore dit: «Si vous demandez quelque chose au Père en Mon Nom, cela vous sera accordé.» Et nous avons l’assurance maintenant, Seigneur, qu’à cause de ces précieuses promesses de la Parole de Dieu, Tu es ici pour écouter.

            Et, Père, nous voudrions d’abord dire: «Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés.» Et nous Te prions, ô Seigneur, de ne pas nous induire en tentation, mais de nous délivrer du malin. Et que le Royaume de Dieu descende sur nous; et bénis notre rassemblement. Bénis la lecture de la Parole, et fais toutes choses, Seigneur, pour la gloire de Ton Royaume, car nous le demandons au Nom de Jésus-Christ. Amen.

17        Maintenant, vous qui aimez plutôt noter un petit texte, j’aimerais que vous lisiez avec moi ce soir dans Matthieu 14, à partir du verset 22, pour juste quelques instants, si vous voulez bien être patients avec moi.

          Aussitôt après, il obligea les disciples à monter dans la barque et à passer avant lui de l’autre côté, pendant qu’il renverrait la foule.

          Quand il l’eut renvoyée, il monta sur la montagne, pour prier à l’écart; et, comme le soir était venu, il était là seul.

          La barque, déjà au milieu de la mer, était battue par les flots; car les vagues étaient contraires.

          A la quatrième veille de la nuit, Jésus alla vers eux, marchant sur la mer.

          Quand les disciples le virent marcher sur la mer, ils furent troublés, et dirent: C’est un fantôme! Et, dans leur frayeur, ils poussèrent des cris.

          Aussitôt Jésus... Jésus leur dit aussitôt: Rassurez-vous, c’est moi; n’ayez pas peur!

            Ce soir, je voudrais utiliser ce passage comme une sorte de réunion de témoignages.

18        C’était certainement à l’heure du coucher du soleil, ce jour-là avait été un jour terrible. Ce jour-là, il y avait eu beaucoup de travail pendant les services. Les gens avaient vu se produire des choses terribles. Vous savez, quand on est dans la Présence de Christ, on voit toujours arriver des miracles. La raison pour laquelle j’aime vivre dans Sa Présence, c’est pour voir Sa puissante et douce main s’étendre pour assister. J’aurais aimé marcher avec Lui en ce temps-là.

            Mais je pense qu’aujourd’hui c’est peut-être un privilège plus grand, parce que c’est Lui qui marche en nous. A l’époque, Il était à l’extérieur, montrant du doigt; aujourd’hui, Il est à l’intérieur, indiquant à Lui-même ce qu’Il est en train de faire. Et je suis très content pour ce privilège.

            Maintenant, le... J’imagine que c’était peut-être l’un des hommes les plus corpulents du groupe. Nous l’appelons Simon, peut-être que c’était l’un des convertis du Seigneur Jésus, il repoussait la barque du rivage, où ils l’avaient poussé après avoir voyagé et prêché le long de la côte. Et–et la journée, il avait fait très chaud. Il était fatigué, et il a poussé la barque dans l’eau, il est monté dedans et s’est assis à côté de son frère André, et il a ramassé les rames dans la petite barque.

19        Maintenant, les bateaux de cette époque-là n’étaient pas comme ceux d’aujourd’hui. Ils n’étaient pas propulsés par un moteur à réaction, ou plutôt–plutôt par l’énergie électrique. Ils étaient propulsés manuellement, bon nombre d’entre eux étaient en quelque sorte comme la barque du pêcheur d’aujourd’hui. Elles avaient de longues rames, et d’un côté il y avait un homme avec une rame, et de l’autre côté il y en avait un autre. Et puis ils avaient une voile. Quand le vent était favorable, ils hissaient cette voile, pour qu’elle prenne le vent, et–et en soufflant, ce dernier les entraînait vers leurs lieux, à la destination où ils s’étaient décidés d’aller. Mais alors, lorsque le vent n’était pas très bon, ils prenaient les rames. Et il y avait deux hommes sur chaque siège pour tirer les rames.

            Et je peux voir Simon tandis qu’il monte dans la barque: un homme costaud, peut-être chauve, et il s’assied à côté d’un–de son frère André, il ramasse la rame. Ils donnent quelques coups de rames, et ensuite ils font au revoir de la main; et les gens qui se tenaient sur le rivage leur ont fait au revoir de la main. C’était une scène bien pathétique, parce qu’ils les invitaient à revenir.

20        Vous savez, il y a quelque chose quand vous rencontrez les gens avec lesquels vous avez des choses en commun, et avec qui vous avez le même langage. A ce moment-là votre communion devient merveilleuse, lorsque vous pouvez avoir des choses en commun. C’est pour cette raison là que nous sommes ici ce soir, parce que nous avons des choses en commun. Nous aimons nous entretenir les uns avec les autres. Nous parlons des mêmes choses.

            Et c’était pareil pour eux. Ils avaient parlé ce jour-là et–de Dieu, de Sa grande puissance, et ils avaient vu Sa puissance opérer parmi eux. Et la réunion était terminée, ils rentraient chez eux, ou ils se rendaient de l’autre côté du lac pour la campagne suivante. Et j’imagine ce que ressentaient leurs coeurs tandis qu’ils faisaient au revoir de la main à ces précieuses personnes de cette époque-là, après qu’ils eurent communié autour des grandes oeuvres de Christ.

            Eh bien, quel moment béni! Oh! vous détestez vous séparer. C’est un amour qui... cela se passe dans le coeur. C’est bien dommage qu’il n’y ait pas beaucoup d’amour aujourd’hui dans nos rassemblements, ce véritable amour que l’Eglise devrait avoir, les uns pour les autres.

21        Au début de mon ministère, j’étais pasteur d’une église. Et nous nous rassemblions le soir un peu à notre propre manière, et nous joignons nos mains, et nous chantions ce cantique:

            Béni soit le lien qui unit

            Nos coeurs dans l’amour chrétien;

            La communion des âmes soeurs

            Est comme celle d’En Haut.

            Quand nous nous séparons,

            Cela nous cause de la peine;

            Mais nous restons unis dans le coeur,

            Espérant toujours nous revoir.

22        Bon nombre de ces précieux anciens visages sont déjà dans la Présence de Dieu, et ce cantique résonne encore au fond de mon âme, parce que dans nos coeurs nous resterons toujours unis, espérant toujours nous revoir. J’ai aidé à ériger les pierres tombales sur plusieurs de leurs tombes, et j’ai vu quand on y jetait la terre, après que j’avais retourné à la poussière le corps qui est poussière. Mais «tu es poussière et tu retourneras à la poussière» n’a pas été dit pour l’âme. C’est juste. L’âme, qui communie, est allée dans la Présence de Dieu.

            Quelque chose... Et des frères dans le ministère venaient et disaient: «Comment cela se fait-il, Frère Branham?» Nous... nous avions de la peine à nous séparer les uns des autres, nous voulions simplement continuer à nous serrer la main. Et parfois nous sortions et allions jusqu’à la voiture, et nous nous tapotions les épaules, ce n’était pas quelque chose de fabriqué, ou une duperie, mais c’était quelque chose qui venait vraiment du coeur.

            J’aurais vraiment souhaité que toute l’Eglise du Dieu vivant ressente cela ce soir. Nous serions très fortement unis pour la Venue du Seigneur, laquelle, je crois, est maintenant très proche. Je crois que nous vivons dans les ombres mêmes de Sa Venue.

            Et s’Il ne vient pas aujourd’hui, je vais L’attendre demain. Et s’Il ne vient pas cette année, je vais L’attendre l’année prochaine. Juste n’importe quand... A chaque instant je désire attendre Sa Venue, persévérant, faisant simplement mon possible, mais croyant toujours qu’Il viendra à n’importe quel moment, étant prêt pour cela. Et je pense que l’Eglise devrait être prête, dans cet état à tout moment, puisque nous devrions certainement veiller dans l’attente de la Venue du Seigneur.

23        Et maintenant, alors qu’ils avaient savouré une grande communion, à présent ces disciples allaient en mer, ou plutôt ils traversaient le lac. J’imagine que le soleil se couchait comme il s’est couché cet après-midi, et c’était un beau tableau sur la mer. Et les eaux étaient calmes, et ils donnaient quelques coups de rames, puis se levaient et agitaient la main en signe d’au revoir. Et ceux qui étaient sur le rivage agitaient la main en signe d’au revoir, et disaient: «Revenez nous voir!»

            Et tandis que la petite barque avançait, la petite ligne formée des gens qui étaient sur le rivage et qui agitaient la main devenait de plus en plus indistincte. Et, finalement, elle a disparu. Les disciples ont probablement ramé pendant un bon moment, et–et ils ont plutôt commencé à transpirer, vous savez, quand on tire ces rames très lourdes. Beaucoup d’entre vous qui avez déjà ramé savent ce que ça signifie.

24        Et après avoir... Ça doit avoir été Jean le jeune qui, le premier, s’est en quelque sorte épuisé, vous savez, étant un jeune homme, il a dû s’arrêter et essuyer la sueur de son front, et il a dit: «Qu’en pensez-vous, frères? Arrêtons-nous quelques minutes pour souffler un peu», comme ils... étant jeune... Et alors ils ont ramené leurs rames à l’intérieur.

            Après qu’ils ont navigué un petit peu, il a dit: «Pourquoi pas tenir une réunion de témoignages pendant que nous attendons ici pour nous reposer un peu?» Et–et, vous savez, c’est un peu... quand vous avez un tas de choses sur le coeur, vous ne pouvez simplement pas taire cela, vous devez dire quelque chose à ce sujet. Et ainsi j’imagine que ce jeune homme, quelque chose bouillonnait au-dedans de lui. Ce jour-là, il avait vu quelque chose qui l’avait convaincu. Et quand un homme est tout à fait convaincu de quelque chose, il ne peut pas garder silence; c’est tout. Il doit simplement faire quelque chose à ce sujet.

25        Et quand l’Eglise est tout à fait convaincue que Jésus-Christ est le Fils de Dieu, qu’Il est ici même avec nous aujourd’hui sous la forme de l’Esprit, je vous assure, un réveil va frapper le pays et embraser la nation, quand tous les membres de l’église sont pleinement convaincus. Mais ils doivent tout d’abord être convaincus avant d’être sincères à ce sujet.

26        Ainsi Jean le jeune a dit: «Nous allons commencer une réunion de témoignages pendant que nous attendons. J’aimerais être le premier à témoigner». En effet, la chose brûlait en lui.

            Cela me rappelle une soeur qui fréquentait notre église. Elle chantait un petit cantique, quelque chose dont je ne me rappelle plus comment elle... comment vous appelez cela, mais quelque chose comme: «Je cours, je cours, je cours, et je ne peux me taire», ou quelque chose comme ceci: «Je viens de traverser, et je ne peux me tenir tranquille», ou quelque chose comme cela. Mais elle se tapait certainement un vrai jubilé avec cela, que cela soit le cas pour les autres ou non. Elle passait un bon moment avec ça. Alors, cela... Ça a dû être la situation dans laquelle se trouvait Jean. Arrêtons-nous simplement maintenant, et écoutons leurs témoignages.

27        Jean a dit: «Frères, il y a une chose dont je suis tout à fait convaincu. Nous pouvons déclarer au monde dès aujourd’hui que nous ne suivons pas une espèce de charlatan. Nous ne suivons pas un certain faux prophète, un certain prétentieux qui–qui ne sait rien, mais nous suivons Dieu. Nous ne suivons pas un certain faux prophète.»

            «Je peux me souvenir de l’époque où, petit garçon, je jouais sur le flanc des collines au printemps. Et je me souviens que ma jolie mère juive m’appelait, et–et me faisait asseoir à la véranda qui faisait face au Jourdain, et elle me berçait dans ses bras pour m’endormir, et elle me racontait des histoires de la Bible. Et elle me montrait l’endroit où Josué, le vaillant guerrier, avait traversé le fleuve sous la puissance de Jéhovah qui avait fait reculer les eaux. Et au printemps les grosses eaux boueuses se sont arrêtées, pendant que notre peuple traversait pour entrer dans sa terre, dans son pays, après être sorti de l’esclavage dans un autre pays; ils y avaient vécu comme des esclaves, et maintenant ils étaient emmenés dans leur propre pays.»

28        «Et elle me racontait comment Dieu avait pourvu à leurs besoins tout au long de leur voyage; pendant quarante ans là dans le désert, sans faillir une seule fois, chaque soir Dieu faisait descendre du ciel du pain sur la terre pour qu’ils le ramassent tout frais chaque jour.»

            «Et tout petit garçon que j’étais, je disais: ‘Maman, c’est étrange. Je ne comprends pas comment Dieu s’y prend. A-t-Il une équipe de nuit Là-Haut, et tout le Ciel est-il plein de boulangeries où Il fait le pain, où les anges le font et font descendre une échelle pour le répandre partout au sol pour Ses enfants?’ Je me souviens que c’est ce que je demandais à maman.»

            «Et elle me répondait: ‘Mon petit Jean, évidemment tu comprends comme un enfant. Mais, tu sais, Jéhovah n’a pas besoin de faire ce genre de choses. Jéhovah est un Créateur. Il n’a pas besoin d’avoir des fours et de cuire du pain, et de procéder comme nous le faisons. Mais Il est le Créateur, et tout ce qu’Il a à faire, c’est de prononcer simplement la Parole, et le pain est là.»

29        «Et, frères, aujourd’hui quand André est allé là et qu’il a reçu ces cinq petits pains de ce petit garçon qui faisait l’école buissonnière, et qui nous a donné ce déjeuner... Et quand je L’ai vu prendre ce pain, le briser, et nourrir cinq mille personnes, j’ai compris que ce n’était pas un faux prophète. Il y a là un lien avec Dieu, parce que seul Dieu peut faire cela. Ça doit être Dieu. Et avez-vous remarqué qu’Il ressemblait à Jéhovah quand Il se tenait là, prenant ce pain?»

            «Et, vous savez, je me suis glissé derrière le rocher, et je me suis tenu au-dessus et j’ai observé, je me suis dit: ‘Je me demande où Il prend cela?’ Et Il prenait ce petit pain. Et quand Il brisait le petit pain, moi je regardais le bout, et Il le tendait à l’un d’entre vous, frères. Lorsqu’Il ramenait la main, il y avait encore le même petit pain, entier. Donc Il–Il n’avait plus besoin de–de le cuire; cela était directement créé dans Ses mains. C’était donc certainement Jéhovah, et... car Il était le Créateur. J’ai vu comment Il se comportait. C’était Jéhovah. J’en suis certain. Et il n’y a rien de faux en Lui. Et j’en suis tout à fait convaincu. Et ce petit garçon, j’ai fait attention à ses petits yeux lorsqu’il les a levés.»

30        Maintenant, vous voyez, à l’intention des petits garçons qui sont ici ce soir, ce petit garçon allait–peut-être qu’il allait à la pêche, ou il était peut-être en route pour l’école. Mais quand il–quand il a vu cette foule, il (à l’instar de tout petit garçon)–il–il a couru en spectateur pour voir ce qui se passait.

            Mais dès qu’il a entendu la voix de Jésus, cela–cela était mieux qu’aller à la pêche. Il–il a voulu écouter ce qui se disait. Alors on a demandé s’il y avait quelque chose à manger, et lui seul avait ses deux petits poissons et cinq petits pains. Et ainsi donc, cela–cela ne représentait pas grand-chose dans la main du petit garçon, mais quand il a remis cela à Jésus, voyez ce que cela a eu comme effet.

            Et maintenant, c’est ce qu’il en est. Nos vies ne représentent pas grand-chose aussi longtemps que nous nous en chargeons nous-mêmes. Mais une fois entre les mains du Créateur, Il peut prendre le peu que nous avons, le découper pour nourrir la multitude. Et souvenez-vous de cela. Lorsque vous entendez Jésus parler dans votre coeur, abandonnez-Lui tout ce que vous avez. Alors Il va se mettre à multiplier cela pour nourrir les autres de votre témoignage. Et tout ce que vous avez à Lui donner, Il va le bénir.

31        Ainsi quand Jean a terminé de donner son témoignage, à peine a-t-il pu s’asseoir que ce pêcheur de grande taille et au dos musclé, du nom de Pierre, s’est levé dans la barque, il a regardé André et a dit: «Je me souviens quand mon frère André est allé écouter Jean. Il m’a dit que ce dernier parlait d’un Messie qui venait, alors je me suis dit que ce n’était qu’une autre rumeur qui courait dans le pays, que c’était juste quelqu’un comme ceux qui viennent et repartent.»

            «Ainsi, vous savez, André est venu un jour tout à fait convaincu que c’était le Messie, alors il m’a invité à aller avec lui un matin pour L’écouter. Alors je lui ai dit que j’irais écouter une fois, parce que j’avais arrêté dans mon esprit que si c’était le Messie, je Le reconnaîtrais, parce que je n’allais pas L’approcher d’après une quelconque idée stupide; je voulais approcher la chose, le sujet, avec les Ecritures. Cela devait se faire selon la Bible.»

32        «Et mon frère André que voici se souvient bien de notre vieux père aux cheveux gris, quand il m’a fait asseoir un jour dans la barque, quand nous étions presque à court de pain à la maison, et que le pot était pratiquement vide, la cruche sèche, et que nous n’arrivions pas à attraper du poisson.»

            «Et ce matin-là, pendant que nous étions réunis, nous avions des dettes à payer, et nous avons prié, disant: ‘Ô Dieu, accorde-nous de faire une bonne prise aujourd’hui.’ Et André, tu sais comment nous avons prié au sujet de ces choses, et comment papa nous enseignait. Et ce jour-là nous avons fait une merveilleuse prise, de quoi payer toutes les dettes, et avoir le repas du jour.»

            «Et ce jour-là papa m’a pris par la main, il a dit: ‘Simon, mon fils, je t’ai enseigné les choses qui sont justes. Pendant toute ma vie j’ai ardemment désiré voir ce Messie qui vient. Je croyais que je Le verrais. Mais maintenant à ce qu’il paraît je–je suis vieux, et il est possible que je ne puisse pas Le voir. Et... Mais vous, il est probable que vous Le voyiez en votre temps. Nous avons attendu Sa Venue génération après génération, depuis l’aube du temps. Mais un jour, Simon, Il viendra. Et s’Il ne vient pas dans ma génération, Il pourrait venir dans la vôtre, parce qu’Il est une Promesse de Dieu.’»

33        J’aime cela. La promesse de Dieu ne peut pas faillir. C’est juste. La Parole est une Chose certaine. Elle ne peut pas changer. Elle doit demeurer telle qu’Elle est écrite. Dieu jugera le monde un jour, et le monde devra avoir un étalon. Et si l’église est un étalon, ce qui est... Où est l’église? Il existe des centaines d’organisations différentes d’églises. Mais l’étalon par lequel Dieu va les juger, c’est Sa Parole.

            Je crois la Parole, car dans le Livre de l’Apocalypse il est écrit: «Quiconque ajoutera une seule chose, ou retranchera quelque chose, de même sa part sera retranchée du Livre de Vie.» Je crois donc que cette Parole est exactement ce qu’Elle est. Elle est vraiment la Parole de Dieu.

34        Et ce soir, je vais considérer que ce grand pharisien avancé en âge croit cette même chose, quand il a dit: «Simon, il y aura toutes sortes de fausses choses qui vont s’élever tout au long des âges, et j’espère que tu vivras jusqu’à devenir un vieil homme. Mais quand ce Messie viendra, Simon, je vais te dire ce qu’Il sera. Il sera très exactement ce que les Ecritures déclarent qu’Il sera.»

            «Or, Moïse, notre prophète, nous a dit dans le rouleau de Deutéronome que nous avons: ‘Le Seigneur votre Dieu suscitera du milieu de vous un prophète comme moi.’ Eh bien, Simon, tu Le reconnaîtras parce qu’Il sera un Prophète. Et c’est par cela que tu seras... tu Le reconnaîtras, car les Ecritures déclarent qu’Il doit être un Prophète.»

35        «‘Tu verras donc arriver pas mal de choses, mais cet Homme sera un Prophète. Et, en outre, nous les Juifs, nous savons que la Parole de Dieu vient au prophète.’ C’est exactement ce que déclarent les Ecritures. La Parole de l’Eternel venait au prophète. Et c’est pourquoi le–le prophète devait venir. ‘Eh bien, n’oublie pas cela, Simon’, m’a-t-il dit. Et presqu’au moment où il allait mourir, il m’a dit ces paroles: ‘Fiston, n’oublie pas. Souviens-toi, quand Il viendra, Il sera un Prophète comme Moïse, parce que c’est exactement ce qui est déclaré.’»

            «‘Et sauras-tu qu’Il est un Prophète? Parce que Moïse nous l’a dit, et les Ecritures nous le disent, que s’il y a parmi nous quelqu’un qui est spirituel ou prophète, si ce qu’il dit s’accomplit, alors écoutez-le. Mais si cela ne s’accomplit pas, alors ne le craignez pas, parce que la Parole de l’Eternel n’est pas avec lui, car Dieu ne peut pas mentir. C’est Dieu qui doit être la Vérité. Et quand un homme dit une chose et que cela s’accomplit, alors ce–ce n’était pas cet homme-là; c’était Dieu. Et c’est donc de cette façon que vous Le reconnaîtrez.’»

36        «Et, vous savez, quand je suis allé là ce jour-là, je doutais un peu de ce que m’avait dit André», et je me le représente secouant les épaules comme cela. Il dit: «Je doutais un peu de ce que me disait mon frère André. Je pensais que c’était juste quelque chose d’autre. Mais lorsque je suis arrivé à la réunion ce matin-là... André était arrivé là bien plus tôt que moi, parce que je devais terminer les filets–de réparer le filet.»

            «Et quand je suis entré dans la Présence de Jésus de Nazareth, Il m’a regardé tout droit en face, et Il a dit: ‘Ton nom est Simon, et tu es le fils de Jonas.’ Non seulement Il savait qui j’étais, mais Il connaissait ce vieil homme pieux qu’était mon père.» Il a dit: «Cela a réglé la question pour moi. J’ai su à l’instant même que c’était Lui, que c’était là le Prophète dont Moïse avait parlé. Par là j’ai eu la conviction que c’était bien cela.»

37        Il avait à peine fini de parler que Philippe s’est levé d’un bond et a dit: «Un instant, frères. Oh! je ne peux plus me contenir.» Il s’est retourné et ayant regardé à l’avant de la barque, il a dit: «Nathanaël, veux-tu bien m’excuser?»

            «Oh! certainement, Frère Philippe. C’est seulement un privilège de t’entendre témoigner.»

            «Eh bien, Nathanaël et moi étions ensemble, encore gosses. Nous avons grandi ensemble, nous avons fréquenté la même synagogue, nous nous assoyions sur les mêmes bancs. Encore gosses, nous–nous étions–nous étions ensemble, et tous les deux nous avons très bien étudié les Saintes Ecritures. Ce jour-là, je me tenais là quand je L’ai vu et que je L’ai entendu parler à Simon de son père et de lui-même. Et j’étais tellement ravi, et tous les deux nous étions d’accord que lorsque le Messie viendrait, Il devrait être un Messie d’après les Ecritures, Il devrait être un Messie d’après les Ecritures. Alors je suis parti en courant de toutes mes forces.»

38        «Et–et–et, Nathanaël, je n’oublierai jamais ce matin-là, quand j’ai frappé là à la porte. Et j’avais pratiquement couru jour et nuit pour arriver là-bas. Et j’ai frappé à la porte, et ta femme a dit: ‘Il est sorti et il se trouve dans son verger.’»

           

            «Et je me suis rendu là, et tu étais en prière. Et je t’ai entendu dire dans ta prière: ‘Ô Dieu, nous avons attendu si longtemps. Mais nous croyons que l’heure approche où nous verrons le Libérateur. Nous L’attendons à tout moment. Et, ô Dieu, je suis ici ce matin parce que quelque chose d’étrange m’a frappé hier soir. Je L’ai vu dans un songe. Et je–je suis ici en prière ce matin.’»

39        Et dès qu’il s’est relevé, eh bien, Philippe a dit: «Viens voir qui nous avons trouvé: le Messie. Nous avons trouvé Celui dont Moïse et les prophètes ont parlé: Jésus de Nazareth, le Fils de Joseph.»

            Il ne s’est pas arrêté pour demander comment ça allait au verger. Le... Il était entièrement convaincu. C’est là le problème aujourd’hui. Nous traînons tant d’autres histoires avec nous que nous ne semblons pas tout à fait convaincus. Si donc nous sommes convaincus que c’est ça, allons droit au but. Croyez-le.

            «Oh! je suis allé à la réunion de frère Roberts. On va prier pour moi. Si je n’obtiens pas la chose là-bas, j’irai à la réunion de frère Allen. Si je n’obtiens pas la chose là-bas, je vais attraper frère Branham.» Voyez-vous, ce n’est pas... Ne faites pas ça. Soyez convaincu qu’Il est Dieu, et croyez-le, que Sa Parole est vraie, et réglez cela juste là, étant parfaitement convaincu. Il n’y a rien en nous les hommes; nous sommes des hommes. C’est Lui qui était mort. C’est Lui, oui, qui est ressuscité et qui est vivant aux siècles des siècles. Nous, nous sommes des êtres mortels, nous sommes Ses représentants. Nous–nous mourons, nous les hommes; mais Lui ne peut pas mourir. Il est l’Immortel.

40        Eh bien, Philippe est allé tout droit au but et a dit: «Viens Le voir. Nous L’avons trouvé.»

            «Nathanaël, te souviens-tu de cette bouffée de chaleur qui t’a traversé? Tu te demandais ce qui m’était arrivé. Certainement, je dois être tombé dans l’extrémisme quelque part.»

            «Oh! tu as dit: ‘Philippe, qu’est-ce qui t’est arrivé? Oh! si le Messie venait, Il descendrait carrément les corridors du Ciel, Il viendrait directement vers notre–notre groupe. Et Il s’adresserait directement à notre groupe des pharisiens, et les sadducéens seraient complètement hors de la chose. Il n’y aurait donc rien d’autre à ça. Eh bien, et Il viendrait directement au temple, au quartier général, et–et là Il se présenterait à Caïphe, le souverain sacrificateur, et ça réglerait la question.’»

41        Mais, vous savez, Dieu fait les choses à Sa propre façon. Il a une façon de faire les choses. Il a toujours des choses comme cela, qu’Il fait qui... Il est–Il est Dieu, et Il–Il oeuvre en tant que Dieu. Il–Il sert en tant que Dieu, parce qu’Il est l’Immortel, l’Infini. Comment notre petite pensée limitée pourrait-elle s’élever là pour atteindre la pensée infinie de Dieu? Oh! Il est omniprésent, omniscient. Il est–Il est Dieu.

            Et alors, à ce moment-là il–il a dit: «Je n’ai pas gaspillé mes paroles avec Nathanaël. J’ai dit: ‘Viens, et vois.’»

42        Ça, c’est une bonne idée. Voyez-vous? Ne restez pas à la maison à critiquer. Venez voir par vous-même. C’est la meilleure façon de faire. «Vous sondez les Ecritures, a dit Jésus, car en Elles vous croyez qu’elles ont... avoir la Vie Eternelle, et ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi.» En d’autres termes: «Si Moi–si Moi Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres, alors si vous ne pouvez pas Me croire, croyez aux oeuvres»; car ce sont les oeuvres qui attestent le témoignage. Vous pouvez témoigner, mais les oeuvres que vous faites, la vie que vous menez parle plus fort que tout le témoignage que vous pourriez donner. Ainsi, les oeuvres parlent plus fort que le témoignage.

            Il a dit: «Croyez les oeuvres que Je fais. Et si Je ne fais pas les oeuvres de Dieu, alors ne Me croyez pas. Mais si Je fais les oeuvres, alors si vous croyez que Je suis Dieu, alors croyez aux oeuvres que Je fais.» Maintenant, remarquez, Il ne s’est pas du tout attribué le mérite. Il a dit: «Ce n’est pas Moi. C’est le Père qui habite en Moi, c’est Lui qui fait les oeuvres.»

43        Maintenant, on voit que... Nathanaël marchait le long du rivage avec–avec Philippe. Et, vous savez, Philippe a peut-être commencé à témoigner comme ceci. Il a dit: «Te souviens-tu de ce Simon, le pêcheur, cet homme qui n’a aucune instruction?»

            «Oui, je–j’ai connu son père, Jonas. Oui. Te souviens-tu que tu lui as acheté du poisson une fois et il ne savait pas établir un reçu?»

            «Oui, je m’en souviens bien.»

            «Eh bien, André, son frère, croyait dans le Messie et il lui a dit, comme nous l’avons dit, toi et moi, que le Messie sera un Prophète comme Moïse. C’est la façon scripturaire pour Le reconnaître. Et si donc il s’agit de Lui, alors voici ce qui s’est passé. Quand il est entré dans la Présence de Jésus de Nazareth, Jésus lui a dit qui il était; Il a dit: ‘Ton nom est Simon et tu es le fils de Jonas.’ Et tu sais quoi, Nathanaël? Cela ne me surprendrait pas qu’Il te dise qui tu es quand tu arriveras. Cela ne me surprendrait pas.»

44        Nathanaël dit: «Eh bien, Philippe, je ne vais pas critiquer. Je vais juste voir.»

            «Eh bien, quand nous sommes arrivés à la réunion, c’était peut-être une ligne de prière, ou peut-être que les gens étaient assis dans l’assistance, ou je ne sais comment, ou qu’ils étaient debout. D’une façon ou d’une autre, il y avait un groupe de pharisiens tout autour, et eux ils savaient...

            Eh bien, ils étaient des orthodoxes, mais ils ne croyaient pas au surnaturel. Alors, ils–ils se tenaient là, les mains derrière le dos, et ils voyaient Jésus accomplir ces miracles, et ils savaient qu’ils devraient donner une réponse à leur congrégation. Et ils ne pouvaient pas nier que cela se soit accompli, parce que c’était juste devant la congrégation. Alors ils disaient: «Il est Béelzébul, Il est le prince des démons.» C’est ce qu’Il... En d’autres termes, c’est un sale esprit qui... un démon, un diseur de bonne aventure, ou un autre sale esprit... Nous savons tous que la bonne aventure et ces histoires, cela vient du diable. Et ainsi ils ont traité l’Esprit qui était en Christ d’esprit impur.

            Et Il leur a parlé, Il a dit: «Je vous pardonne cela. Mais un jour le Saint-Esprit viendra, Il fera la même chose, et un seul mot contre cela ne sera jamais pardonné, ni dans ce siècle ni dans le siècle à venir.» Je me demande donc si nous ne vivons pas en ce jour-là.

45        De toute façon, on constate que lorsqu’ils sont entrés dans le–là où se trouvaient les gens, Jésus a regardé directement dans la foule, ou peut-être que Nathanaël avait pu entrer quelque part dans la ligne, et Jésus l’a regardé et a dit: «Voici un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.» Il ne lui a pas dit qui il était, mais Il a dit: «Un Israélite, dans lequel il n’y a point de fraude.»

            Il a dit: «Rabbi (ce qui veut dire enseignant, maître), quand m’as-Tu connu?» (Eh bien, en d’autres termes, je Te suis inconnu). Quand m’as-Tu connu?»

            Et voici venir le–voici la réponse. Il a dit: «Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous l’arbre, Je t’ai vu.»

            Je peux m’imaginer le vieux Nathanaël se lever dans la...?... la barque, secouer les mains, crier un petit peu, et danser dans la barque. Et cela doit être Matthieu qui a dit: «Calme-toi. Tu vas renverser la barque.» Oh! ils se levaient et avaient alors un vrai jubilée, vous savez, une vraie réunion de témoignages. N’aimez-vous pas y prendre part? Ils passaient vraiment des moments glorieux, et il a dit: «Oh! calme-toi, frère. Tu vas renverser la barque.»

46        «Oh! eh bien, je m’en souviens. Cela a certainement ôté de moi toute ma raideur; en effet, Philippe et moi venions de débattre de cette Ecriture, disant que s’il y en avait parmi nous un qui était prophète... Et nous n’avions pas eu de prophète depuis quatre cents ans et depuis Malachie, il y a quatre cents ans, et l’idée d’un prophète avait disparu. Mais quand cet Homme étrange m’a dit où j’étais avant même que je ne vienne là, cela a réglé la question pour moi. J’ai compris.»

            «Et j’ai regardé tout autour, et j’ai vu le... mon évêque, ou peu importe comment vous pouvez l’appeler là-bas, un sacrificateur, se tenait là. Et il m’a regardé en fronçant durement les sourcils, parce que, vous savez, j’étais diacre là-bas. Et alors, il m’a regardé en fronçant durement les sourcils, mais moi j’étais convaincu. J’avais compris que c’était Lui. J’ai donc simplement tourné le dos, et je me suis précipité vers Lui, et je suis tombé à Ses pieds, et j’ai dit: ‘Rabbi, Tu es le Fils de Dieu, Tu es le Roi d’Israël.’»

47        Oh! je peux alors l’entendre dire: «Excuse-moi, Philippe, je ne pouvais simplement pas te laisser continuer. Je devais dire la chose moi-même.» Voyez-vous? Quand cela vous arrive, vous aimez le dire vous-même. C’est juste ça. Il y a là quelque chose, vous éprouvez de la joie à raconter cela. Quelle réunion de témoignages! Et André cherchait simplement à se lever, et Simon cherchait à l’en empêcher, vous savez, il a dit: «C’est moi, le suivant», et d’un bond il se lève.

            Il a dit: «Frères, permettez-moi de donner un témoignage pour nous tous. Vous souvenez-vous ce jour-là quand Il nous a dit qu’Il allait à Jéricho?»

            «Oui, je me souviens lorsque nous allions à Jéricho.»

            «Et Il devait passer par la Samarie? On se demandait intérieurement pourquoi Il prenait un si long détour de la Samarie au lieu d’aller directement à Jéricho. Mais Il a dit qu’Il devait passer par-là.»

            L’un d’eux a dit: «Oui, bien sûr. Je m’en souviens.»

            «Vous souvenez-vous, là–là-bas à la piscine de Béthesda ce jour-là, quand cet homme qui était couché là a été guéri, et qu’il y avait là cette multitude de gens? Et là-bas Il a dit: ‘En vérité, en vérité, Je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de Lui-même, Il ne fait que ce qu’Il voit faire au Père.’ Voyez-vous, Il devait avoir été conduit à aller par-là, et nous, nous nous demandions pourquoi Il voulait aller chez ces Samaritains.»

48        «Puis nous sommes arrivés à Sychar, et nous–Il s’est assis, c’est comme s’Il était fatigué. Et Il a dit: ‘Allez dans la ville nous procurer de quoi manger.’ Et nous sommes entrés dans la ville sans nous faire remarquer, vous vous souvenez, et ce que... comment nous... ce qui s’est passé. Et à notre retour, nous étions surpris de voir cette femme marquée comme une femme de mauvaise réputation.» Vous savez ce que je veux dire. En ce temps-là, eh bien, on devait les marquer si elles étaient–elles étaient de mauvaises femmes.

            Alors ils ont dit: «Nous avons vu cette femme, et notre Maître s’adressait à elle. Quelle chose étrange, notre Pasteur s’adressant à une femme de ce genre!»

            «Elle était là, debout là avec–avec toutes les boucles de sa tête bien arrangées, et–et elle avait cette cruche d’eau, et–et allait puiser de l’eau. Et elle s’est mise à la faire descendre, eh bien, nous nous sommes dit: ‘Oh! oh! elle n’est pas de notre race. Il va vraiment la réprimander. Et, regardez, elle est marquée. Voyons ce qu’Il va lui dire, car elle n’a rien de bon. On voit la marque qu’elle porte, montrant qu’elle est cataloguée. Ainsi... Et elle n’est même pas du tout membre de notre assemblée. Elle n’est même pas de notre race. Ainsi Il va certainement le lui dire. Voyons voir.’ Et nous sommes allés furtivement derrière les buissons pour suivre très attentivement.»

49        «Et, Simon, je n’arrivais pas à te faire baisser la tête. Ainsi donc, tu voulais vraiment regarder par-dessus l’épaule de quelqu’un. Et ainsi donc, nous avons regardé un instant, et la femme a placé les crochets à la–la cruche, et elle s’est mise à la faire descendre avec le treuil, et Il a dit: ‘Apporte-Moi à boire.’»

            «Alors elle s’est retournée. Elle avait–elle ne L’avait pas vu. Elle avait probablement passé toute la nuit dehors, et elle avait sommeil. Et elle ne L’avait donc pas vu assis là.»

            Et Il était juste un Juif d’âge moyen. Il n’avait que trente ans. Mais je–je pense, selon les Ecritures, que les gens disaient qu’Il paraissait en avoir environ cinquante. En effet, ils disaient: «Tu dis que Tu as vu Abraham? Et Tu n’a pas plus de cinquante ans.» Ainsi Son ministère devait L’avoir usé un peu, vous savez. Et Il a dit–Il a dit: «Avant qu’Abraham fût, JE SUIS.» C’est juste. Ce petit corps terrestre n’avait rien à voir avec cela. Il devait donc avoir l’air d’un homme d’âge moyen, assis là contre la muraille. Et Il a dit...

            «Et elle a dit: ‘Monsieur, il n’est pas de coutume... Tu ne Te rends pas compte que–que nous avons une ségrégation ici, pour que–pour que Toi qui es un Juif, Tu me demandes quelque chose, à moi une Samaritaine.’»

            «Vous souvenez-vous de ce qu’Il a dit? Il a dit: ‘Mais si tu savais à qui tu parlais...’»

50        Je me demande ce soir si nous comprenons réellement qui est cet Etre qui descend. Si nous pouvions ouvrir les yeux et voir les Anges en place, voir le Saint-Esprit (Gloire à Dieu!) prêt à faire quelque chose...

            «Si seulement tu savais à qui tu parlais, c’est toi qui Me demanderais à boire, et Je te donnerais de l’eau que tu ne viens pas puiser ici.» Et elle a continué en Lui parlant du puits. Et, vous souvenez-vous de la conversation au sujet de l’adoration à Jérusalem? Et Il lui a dit que Dieu était Esprit, et que ceux qui L’adorent doivent L’adorer en Esprit et en Vérité.»

            Nous voyons donc que la conversation s’est poursuivie. Il lui a dit: «Va chercher ton mari, et viens ici.»

            «Oh! a-t-elle dit, je n’ai point de mari.»

            «Et, oh! Marc, j’ai vu l’expression de ton visage. Tu t’es dit: ‘Cette fois-ci il y a une gaffe. Quelque chose a tourné mal, ici, parce qu’elle Lui admet ou plutôt Lui dit qu’elle n’a pas de mari; et Lui dit qu’elle a bien eu un mari. Alors, que va-t-il se passer?’»

51        Il a dit: «Va chercher ton mari, et viens ici», mari au singulier (Voyez-vous?). Elle n’en avait pas comme tel; c’est vrai. C’est ça.

            Il a dit: «Va chercher ton mari, et viens ici.»

            Et elle a dit–elle a dit: «Je n’ai point de mari.»

            Il a dit: «Tu as dit vrai. Tu... Tu as eu raison de dire cela, parce que tu en as eu cinq, et celui avec lequel tu vis maintenant n’est pas ton mari. En cela tu as dit vrai.»

            «Et vous souvenez-vous, a dit André, de l’expression de son visage? Elle a dit: ‘Seigneur...» Pas comme ces sacrificateurs qui étaient là-bas quand ils ont vu la chose s’accomplir, eux ont dit qu’Il est Béelzébul. Elle a dit: ‘Seigneur, je vois que Tu es Prophète.’ (Amen.) ‘Nous, nous savons (nous, les Samaritains), nous savons que lorsque le Messie viendra, Il nous annoncera ces choses. Mais Toi, qui es-Tu?’»

            Elle L’avait–elle L’avait présenté comme son–son... ou plutôt, Il lui fut révélé comme un prophète. Il fallait que ce soit un prophète. Il ne l’avait jamais vue auparavant. «Comment as-Tu su cela? Seigneur, je vois que Tu es Prophète.»

52        Maintenant, suivez ce qu’elle... Elle lisait les Ecritures. Elle connaissait la Parole. Elle en savait probablement plus que beaucoup d’autres gens même maintenant. Elle a dit: «Je vois que Tu es Prophète. Et nous savons (Amen) que lorsque le Messie viendra–lorsque le Messie viendra, Il nous révélera ce genre d’histoires. C’est ce qu’Il nous révélera.»

            Il a dit: «Je Le suis, Moi qui te parle.»

            Ces grands yeux bruns ont changé, sa belle chevelure bouclée est tombée sur son épaule. Elle a laissé cette vieille cruche d’eau, et elle a couru de toutes ses forces vers la ville, en disant: «Venez voir un Homme qui m’a dit ce que j’ai fait. Ne serait-ce point là exactement le signe scripturaire du Messie? Si c’est Lui, n’est-ce pas ce que nous attendons? N’est-ce pas la Chose même dont nous savons qu’Elle vient?»

            Et, souvenez-vous, quand nous sommes entrés dans la ville lorsqu’elle... Eh bien, elle était tout à fait... étant... Si vous connaissez les coutumes orientales, elle... les hommes ne l’écouteraient pas, pas du tout, parce qu’elle était une femme de mauvaise réputation. Les hommes ne voudraient pas l’écouter.

53        Mais essayez... quelqu’un qui a vraiment trouvé Jésus, peu importe ce qu’il était, essayez alors de l’éloigner de cela. Quelqu’un va écouter quelque part. Si jamais vous êtes convaincu que c’est le Fils de Dieu, que quelque chose... quelqu’un va écouter. Elle a ébranlé la ville avec son témoignage: «Venez voir un Homme...» Peu lui importait qu’elle soit censée le dire ou pas. Cela brûlait dans son âme.

            Elle était convaincue; elle a dit: «Il est assis là à la porte. Je suis allée là, et Il m’a raconté ma vie. C’est le Messie même.» (Excusez-moi. Je ne devrais pas crier là-dedans comme ça. Vous pouvez baisser le volume. Voyez-vous?) «Oh, a-t-elle dit, Il m’a dévoilé ma vie. Ne serait-ce pas le Messie même?» Et les hommes, sur base du témoignage de cette femme de mauvaise réputation, sans que Jésus ne le fasse une fois de plus, furent entièrement convaincus par le témoignage de cette femme que c’était là le Fils de Dieu, qu’Il était Jésus de Nazareth.

54        Oh! le témoignage, cela a continué–a pu continuer dans cette réunion de témoignages. Il se pourrait que l’un d’eux ait dit: «Vous souvenez-vous de ce jour-là que–que Zachée était monté dans un arbre? Vous souvenez-vous qu’il a témoigné là à la réunion? Il s’est dit: ‘Je Lui en veux, et je vais monter sur cet arbre à Jéricho. Et quand Il passera par ici, Il ne me verra pas. Je vais ramener toutes les feuilles autour de moi comme ceci, et je vais très bien me camoufler. Je vais bien L’observer.’»

            «Et Il venait en descendant carrément la rue, Il s’est arrêté juste en dessous de cet arbre, Il a levé les yeux. Non seulement Il l’a vu derrière ces feuilles, mais Il savait qui il était. Il a dit: ‘Zachée (Alléluia!), descends. Je vais chez toi aujourd’hui pour dîner avec toi.’»

55        L’un d’eux s’est peut-être levé; ça peut avoir été Matthieu, et il a dit (le même qui a écrit le récit de ce soir), il a dit: «Frères, vous souvenez-vous aussi que lorsqu’Il est sorti de Jéricho, ce vieil aveugle de Bartimée était étendu là dans un coin? Et tous les sacrificateurs et tous les autres disaient: ‘Dis donc, toi. J’apprends que Tu ressuscites les morts. Nous en avons un cimetière plein ici; viens les ressusciter. He! espèce de faux prophète, espèce de ceci, cela,’ et l’autre criait... Certains criaient: ‘Salut! prophète’, et ainsi de suite; et d’autres Le maudissaient et tout. Mais Il avait sa face dirigée vers Jérusalem où Il allait pour être offert en sacrifice au Calvaire.

56        «Et ce pauvre mendiant aveugle là-bas, et cette petite chrétienne est passée par là et l’a relevé. Il a dit: ‘Qu’est-ce que... madame, qu’est-ce?’ (Vous voyez, il y a quelque chose dans le chrétien. Il est toujours disposé à aider quelqu’un d’autre à trouver la chose.) Il a dit: ‘Qui sont tous ces gens qui passent?’»

            «Elle a dit: ‘Es-tu un étranger? C’est Jésus de Nazareth, le Prophète de Galilée. C’est le Fils de David, Celui que nous attendions.’»

            «Et il s’est mis à crier. Il a dit: ‘Eh bien, Seigneur, Il est probablement trop loin de moi, à la moitié d’un pâté de maisons.’» L’endroit où il était assis, c’était là à la muraille, et là où Jésus se trouvait, c’était à plus de la moitié d’un pâté de maisons de là, comme cela; c’était peut-être juste à cent yards [91,44 m]. Et il s’est mis à crier: ‘Fils de David, aie pitié de moi.’ Et d’une façon ou d’une autre, il a touché le bord de Son vêtement.»

            «Il s’est arrêté et a dit: ‘Amenez-le ici.’ C’est Jésus de Nazareth.»

57        Quelle réunion de témoignages! N’auriez-vous pas aimé être assis là à les écouter?

            Maintenant, frères, la Bible déclare qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement, le même Jésus. Si vous placez la vie d’une vigne quelconque... Si vous placez dans les sarments la vie qui se trouve dans une–une vigne, et si cette vie produit un sarment et que ce soit ce genre de sarment qui en sort, et qui porte ce genre de fruits, de raisins, si jamais elle produit un autre sarment, ce dernier portera des raisins, exactement les mêmes.

            Et Il est le Cep, et nous sommes les sarments. Et après le premier sarment qui est sorti de ce Cep, le Livre des Actes a été écrit. C’est exact. Et si cela produit un autre cep, un autre Livre des Actes sera écrit après cela (C’est exact.), parce que cela produira le même fruit, car Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement.

58        Rappelez-vous, devant qui a-t-Il accompli ce signe du prophète? Devant les Juifs et les Samaritains, pas devant les Gentils. Rappelez-vous, il n’existe que trois races: les enfants de Cham, de Sem et de Japhet: les Juifs, les Gentils et les Samaritains. Or, pas une seule fois Il a accompli cela devant un Gentil, d’après les informations que nous possédons. Pourquoi? Parce que les Gentils n’attendaient pas de Messie.

            C’est la raison pour laquelle aujourd’hui les gens ne voient pas encore cela. Ils n’attendent pas quelque chose de ce genre. Ils ne croient pas au Saint-Esprit, parce qu’ils n’attendent rien de tel. Tout ce qu’ils font, c’est aller adhérer à une église, placer leur nom dans un registre, et ils disent que c’est tout ce qu’il en est.

            Mais pour ceux qui attendent la puissance, ceux qui attendent le Saint-Esprit, ceux qui attendent que les miracles de la Bible s’accomplissent, il est dit: «Eh bien, il arrivera dans les derniers jours, dit Dieu, que Je répandrai Mon Esprit sur toute chair.» Eh bien, ils sont... Oui, Il vient pour ceux qui L’attendent.

59        Maintenant, souvenez-vous. Il a accompli ce signe devant les Juifs. Ils ont rejeté cela. Il l’a accompli devant les Samaritains. Eux, ils l’ont reçu.

            Maintenant, souvenez-vous, Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Lot arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.» Eh bien, arrêtons-nous un instant et prenons un moment de plus maintenant pour aborder ceci, parce que je pense que cela va enfoncer la chose, la sceller. Eh bien, Il a dit: «Ce qui arriva du temps de Lot...»

60        Maintenant, remarquez, il y a toujours trois catégories de gens. Dieu est rendu parfait en trois. Eh bien, il y a le croyant, le soi-disant croyant, et l’incroyant; et ils sont donc dans chaque congrégation. Un véritable croyant... Maintenant, du temps de Lot, c’est juste la position dans laquelle ils étaient, et c’est dans la même position qu’ils sont maintenant même: les croyants, les soi-disant croyants, et les incrédules.

            Or, Abraham c’était l’Eglise élue, le croyant qui avait marché avec Dieu. Il était la postérité, et sa postérité allait être... hériter la terre, et–et il était le–le grand ordre de Dieu. Et tous ceux qui étaient avec lui étaient en ordre avec Dieu–tous ses serviteurs avaient été circoncis et tout. Ils attendaient ce fils promis. Amen. Et ils sont allés carrément sur la colline, et pour eux les choses ne marchaient pas aussi facilement que pour Lot, le soi-disant croyant, qui était dans la vallée à Sodome. Et les Sodomites étaient les incrédules. Le soi-disant croyant et le croyant...

61        Et trois Anges étaient venus à la tente d’Abraham. L’Un d’eux est resté avec Abraham, et deux sont descendus à Sodome: un Billy Graham moderne et les autres, les grands évangélistes de ce jour-là sont descendus là-bas; ils n’ont pas accompli des miracles, ils ont simplement frappé les gens d’aveuglement. Et la prédication de l’Evangile frappe l’incrédule d’aveuglement. C’est juste. Il est donc descendu prêcher l’Evangile pour appeler Lot à sortir. Voyez-vous l’ordre du jour?

            Mais pour l’Eglise élue, Abraham, la véritable Eglise qui n’était pas à Sodome, qui était hors de Sodome, qui ne communiait pas avec le monde, l’Eglise appelée à sortir, séparée, l’Eglise du Seigneur Jésus-Christ appelée à sortir, séparée, attend le Fils promis. Et Celui qui est resté derrière avec lui s’est entretenu avec lui.

62        Et souvenez-vous, quelques jours plus tôt, son nom était Abram, et celui de sa–sa femme était Saraï, S-a-r-a-i. Mais il avait dû être changé en A-b-r-a-h-a-m, Abraham; et Sara, S-a-r-a, princesse. Abraham, père des nations... Eh bien, la Bible dit que cet Ange avait le dos tourné à la tente, et Il venait de manger des côtelettes d’agneau, ou plutôt de veau, de boire du lait et de manger du pain de maïs–un Homme qui avait de la poussière sur Ses vêtements, qu’Abraham avait reçu chez lui. Et puis, pendant qu’Il était assis là, Il a dit: «Abraham, où est Sara ta femme?» Il l’a appelée par son–son nom de prince, et elle par son nom de princesse. «Où est Sara, ta femme?»

63        Comment a-t-Il su que son nom était Abraham? Comment a-t-Il su que leurs noms à tous les deux avaient été changés? Comment a-t-Il su qu’il était–qu’il était marié et qu’il avait une femme? Il a dit: «Elle est dans la tente, derrière Toi.» Et Sara... Il a dit: «Je vais te visiter. Je (‘Je’, c’est un pronom personnel. Voyez-vous?)–Je vais te visiter selon la promesse dont Tu attends l’accomplissement depuis vingt-cinq ans. Ce fils que tu as attendu impatiemment arrive. Au temps de la vie, Je vais te visiter.»

            Et à ce moment-là, Sara (tous deux étant avancés en âge, Abraham avait cent ans, et Sara en avait quatre-vingt-dix) était là derrière dans la tente, et elle a ricané en elle-même. Comme nous le disons, vous savez, elle a ri sous cape. Et elle a dit: «Hein! moi une vieille femme, avoir du plaisir avec mon seigneur, qui est aussi un vieillard?» Abraham. En d’autres termes, en tant que mari et femme cela faisait quinze ou vingt ans que leur vie intime avait probablement cessé. Voyez-vous? «Moi avoir du plaisir avec mon seigneur? Moi qui suis une vieille femme, et lui aussi un vieil homme?» Ils étaient tous deux avancés en âge. Cela–cela l’a choquée, alors elle–elle a en quelque sorte ri sous cape, comme on le dit–elle a ri sous cape à ce sujet. «Comment cela pouvait-il se faire?»

64        Vous savez quoi? Dieu lui aurait ôté la vie sur-le-champ (C’est juste) pour avoir douté de Lui, mais Il ne pouvait pas le faire. Pourquoi? Elle était une partie d’Abraham. Il serait obligé de prendre Abraham avec elle. Oh! c’est là qu’intervient la grâce. Malgré toutes nos erreurs et nos fautes, Dieu nous garde parce que nous sommes une partie de Christ: la grâce de Dieu nous soutient. Oh! grâce étonnante! Oh! quel doux son!

            Il ne pouvait pas ôter Sara, parce que s’Il le faisait, Il serait obligé de frapper Abraham avec cela. Il ne peut pas ôter l’Eglise. Malgré toutes ses erreurs, elle est toujours Son Eglise. C’est juste. Il ne peut pas l’ôter parce qu’Il ôterait Christ. Elle fait partie de Christ. Elle devient chair de Sa chair, et os de Son os. Malgré toute notre instabilité, notre incrédulité et tout, nos scrupules, aussi longtemps qu’elle est dans ce Corps-là, avec ses hauts et ses bas, la grâce de Dieu continue de la garder.

            Et elle était là. Elle a dit... Puisqu’elle a ri, Il a dit: «Pourquoi Sara a-t-elle ri dans la tente? Qu’est-ce qui a fait rire Sara?» C’est quel genre de télépathie là? Derrière Lui! L’Ange disait à Abraham ici ce que Sara faisait derrière Lui, dans la tente. Eh bien, quand cet Ange est parti, Abraham L’a appelé «Dieu». C’est juste.

65        Il n’y a pas longtemps quelqu’un m’a parlé, disant: «Frère Branham, vous ne croyez pas que c’était vraiment Dieu qui se tenait là mangeant du veau?»

            J’ai dit: «Bien sûr que oui.» Abraham L’a appelé «Elohim». C’est juste. Quiconque sait que c’est S (majuscule) -e-i-g-n-e-u-r, ce qui est traduit en grec par «Elohim», qui signifie «Celui qui existe par Lui-même». Qu’était-ce...?... montrer là?

            Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme.» Qu’est-ce? Elohim, Dieu apparaissant dans la chair humaine, Son Eglise (Alléluia!) manifestant Christ. Jésus a dit dans Jean 14.12: «Les oeu-...Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» C’est juste.

            Or, l’Eglise est sortie de la grande Réforme de l’âge luthérien, et ensuite elle est passée par l’âge wesleyen, pour arriver à l’âge de la Pentecôte. Et maintenant, elle est en train de devenir comme la pierre de faîte dans la–la pyramide.

            Bon, ne pensez-pas que je parle de la doctrine de la pyramide, mais je vous montre simplement un exemple, montrant que cela doit s’ajuster très parfaitement là-dedans, parce que ce n’est pas cimenté; la chose est simplement posée là-dessus. Et que cela...

           

66        Un autre mot est utilisé. L’apparition de Christ et la Venue de Christ (Voyez-vous?), ce sont deux termes tout à fait différents. Voyez-vous? Maintenant, Christ apparaît dans ces derniers jours dans Son Eglise, unissant Son Eglise par l’unité, la foi et la puissance de la Parole, toute l’Eglise, afin que lorsqu’Il reviendra Il trouve la même Eglise. Ce qu’a laissé le gazam, le hasil l’a dévoré; ce qu’a laissé le hasil la sauterelle l’a dévoré, et ainsi de suite jusqu’au jélek. Mais Dieu a dit... «Je restaurerai», dit Dieu.

            Le romanisme et les autres ont dévoré ce bel arbre Epouse de Christ au point qu’il n’en est resté qu’une souche. Mais à partir de cette souche, Dieu a restauré directement, Il l’a carrément relevée à travers l’âge luthérien, l’âge wesleyen, et l’âge de la Pentecôte. Et maintenant on en est à la Lumière du soir. «Je restaurerai, dit l’Eternel, toutes les années que le jélek, le hasil... Je restaurerai cette Eglise dans sa beauté, cette Eglise dans sa puissance.»

67        Et nous voyons venir les lumières du soir, le Saint-Esprit venant avec une telle force sur Son Eglise que le ministère de Jésus-Christ faisant le discernement au milieu de tout Son peuple... Ils étaient là avec une foi pour Le faire descendre, la puissance et les dons se manifestant au milieu d’eux: le parler en langues, l’interprétation des langues, les signes, les prodiges et les miracles. Qu’est-ce? Christ au milieu de Son Eglise, se préparant à la prendre.

68        Pour terminer, je pourrais dire ceci: ce soir-là sur la mer (pour terminer leur témoignage, ensuite nous allons commencer à prier pour les malades), ce soir-là dehors sur la mer, pendant qu’ils tenaient cette réunion de témoignages, ils passaient des moments merveilleux, mais ils avaient commis une erreur. Dans toute leur excitation à cause du grand réveil qu’ils venaient d’avoir, ils étaient partis sans Lui.

            Et je me demande simplement, frères, malgré toute la bonne foi, si ce n’est pas là ce qui s’est passé dans ces derniers jours. Nous avons de nouveaux bâtiments; nous avons conçu de nouvelles histoires; nous avons multiplié des organisations; nous avons fait tout le reste, et nous investissons des milliards et des milliards de dollars par ici, et nous disons que Christ vient très bientôt. Oh! les gens sont trop intelligents pour comprendre... Ils sont avisés. Nos–nos paroles parlent... Notre parole parle plus fort que... Nos oeuvres parlent plus fort que nos paroles, plutôt. C’est juste. C’est comme si nous battons l’air.

69        Et ils étaient là; ils sont partis, et ils étaient tous agités à cause de la réunion, et ils ont oublié de Le prendre avec eux. Alors les ennuis ont commencé. Le diable doit s’être levé derrière eux, il a dit: «Ah bon? Les voilà avec de grands programmes. C’est donc le moment pour moi d’intervenir.» Le voilà venir, immédiatement... commence à envoyer son souffle empoisonné: «Les jours des miracles sont passés. Tout ça n’était qu’un tas d’émotions et d’excitations.»

            Les vagues ont commencé à déferler, et le diable se tenait sur chaque vague, disant: «On va l’avoir. On va la noyer.» Et la vieille petite barque s’est remplie d’eau. Les rames se sont brisées, et le mât s’est effondré. Tout espoir était perdu. Alors la vieille petite barque en s’élevant s’est remplie d’eau, qui s’est infiltrée. Alors, tout espoir était perdu, et...

70        Mais vous savez quoi? Je suis très heureux de vous dire ceci maintenant. Quand ils L’ont quitté, qu’a-t-Il fait? Il a gravi la plus haute colline qu’il y avait dans la contrée. Plus haut Il montait, plus loin Il voyait, et Il veillait constamment sur eux. Je crois qu’Il a fait la même chose, pas vous? Il nous a vus dans notre pétrin. Oui. Voilà qu’ils étaient dans un vrai pétrin. Et au bout d’un moment, quand la tempête... et que tous les espoirs étaient perdus pour qu’il y ait un autre réveil dans l’autre contrée–ils allaient être noyés avant d’y parvenir. Le voilà venir marchant sur la mer, marchant droit vers eux, et le... même... Après toute cette réunion de témoignages, ils ont toutefois eu peur de Lui. Ils ont dit: «On dirait un fantôme. Oui. Oui, cela pourrait être... C’est peut-être un esprit.»

71        Quand Il nous a quittés, Il est monté au-delà du Calvaire. Il est allé au-delà... Il l’a dépassé, Il est monté jusqu’à dépasser le soleil, la lune et les étoiles. C’est comme le chantait l’autre soir l’église de frère Outlaw: «Il a dépassé Jupiter, Venus, Neptune, et Mars.»

            Il est monté jusqu’à atteindre la Voie lactée, Il a continué jusqu’à entrer dans les cieux, Il est allé au-delà du Ciel, et directement au-delà des cieux, et Il a reçu un Nom qui est au-dessus de tout ce qui est nommé Là-Haut. Et Il doit baisser le regard pour voir les cieux. Et Son oeil est sur le passereau, et je sais qu’Il veille ce soir, pas vous? C’est juste.

72        Et Il venait vers eux en marchant sur les eaux. La seule chose qui pouvait les aider, ils en eurent peur. N’est-ce pas drôle? La seule chose qui pouvait les aider, ils en eurent peur. Et c’est ce qui s’est passé aujourd’hui. La seule chose qui pouvait aider les gens contre le communisme, contre toutes ces choses, les Américains en ont peur. Ils disent: «On dirait un fantôme. Ça pourrait être ceci ou cela.» Ne faites pas ça.

            Pourquoi ne L’invitez-vous pas ce soir dans votre barque, et ne dites-vous pas: «Viens, Seigneur Jésus»? Alors la chose va se calmer, en peu de temps nous atteindrons le rivage. Inclinons la tête juste un instant maintenant.

73        Notre Père céleste, c’est une façon modeste et si rudimentaire de devoir apporter un message à un groupe de gens intelligents. Mais je suis sûr, Père, que Tu vas le leur interpréter selon le–selon le–l’esprit dans lequel c’était apporté, afin que cela soit reçu comme l’expression de l’amour et la fraternité, et–et pour apporter la foi aux gens.

            Et maintenant, Père, nous Te prions de nous pardonner toutes nos erreurs et nos fautes, nous prions pour que Ton Saint-Esprit vienne maintenant sur nous. Nous avons dit que Tu es le même hier, aujourd’hui et éternellement. Et puis, les oeuvres que Tu avais faites, l’Eglise les accomplirait aussi. Nous avons aussi cité Tes Paroles, Seigneur. «Les cieux et la terre passeront, mais Mes Paroles ne passeront pas.» Et Tu as dit: «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme.»

74        C’est maintenant l’âge des Gentils. Tu n’es pas un Dieu qui nourrirait une partie de Tes enfants d’une bonne nourriture, et qui laisserait la table vide pour les autres, parce que Tu es juste, honorable, saint, et ne fais acception de personne.

            Et lorsque Tu as donné aux Juifs leur dernier signe, beaucoup d’entre eux ont reconnu que c’était ce qui avait été annoncé. Les Ecritures déclaraient que cela arriverait, et c’était là. Quand Tu es allé vers ce petit groupe de Samaritains rejetés, ils ont cru cela. A la première chose qui s’est produite, ils ont cru cela.

            Et maintenant, Te voici à la porte des Gentils. C’était là la fin de leur âge, et maintenant c’est la fin de l’âge des Gentils. Ô Dieu, nous prions pour que tous ces gens qui sont ici ce soir, et qui ont le don du Saint-Esprit, livrent leur foi à Dieu, et afin que Dieu puisse l’utiliser pour amener la Présence de Jésus-Christ au milieu de nous ce soir. Nous le demandons en Son Nom et pour Sa gloire. Amen.

75        Je ne sais pas, je pense qu’on devrait terminer ici très tôt, mais nous... Demain soir nous–nous ne serons pas autant en retard. Nous allons juste prendre un peu de temps, et appeler la–la–la ligne de prière, et aligner autant de gens que nous pourrons, les aligner et les faire venir, pour que nous priions pour les malades.

            Maintenant, où est Billy? Est-ce de 1–1 à 100? Il a dit qu’il a distribué les cartes de prière de 1 à 100. Très bien. Maintenant, alignons-les donc au fur et à mesure qu’ils viennent. Numéro 1, qui a cette carte de prière? C’est quelle lettre? Nous... Comment? I, I, comme dans Indiana, I...

            Très bien, I-1. Qui a la carte de prière en question? Cette dame-là? Venez directement ici, madame, s’il vous plaît. Numéro 2, si vous voulez bien lever la main maintenant, numéro 2? Maintenant, si... Aidez-moi, un... Oh! 2? Merci. Numéro 3. Qui a le numéro 3. Très bien, monsieur. 4? C’est bon. Maintenant, c’est exact, les huissiers. 5, 5? Je vous en prie, que quelqu’un veuille bien m’aider. Carte de prière 5? 6. Très bien. Très bien, 6, 7, 8.

76        Qui a le numéro 8? Je ne l’ai pas vu. Est-ce cette dame-ci? Je crois que c’est elle. C’est ça? Très bien. 8, 9, numéro 9. La dame là. Numéro 10. Très bien, monsieur. 11?

            Je fais ceci pour éviter que les gens se bousculent, vous savez. Ceci c’est la maison de Dieu, et non pas une arène. Voyez-vous? 11, 12, 13, 14, 14? Je ne vois pas ça. 14? Très bien. 15, 16, 16, 17, 17?

            C’est peut-être quelqu’un qui est sourd, eh bien, ou quelqu’un qui ne peut pas se lever de sa chaise, ou quelque chose comme ça. Nous allons partir prier pour tous ceux qui viennent et qui désirent que l’on prie pour eux. Un peu plus tard... Cependant, ce soir ce n’est qu’une petite réunion d’introduction. Nous allons prendre un peu plus de temps au fur et à mesure que nous allons avancer. Où en est-on? Au 15, 16, 17, 18, 19, 20, 20, 20? Bien, bien... peut-être que c’est quelqu’un qui s’est arrêté... Bien, quelqu’un qui est simplement entré, puis est sorti. Billy m’a dit qu’on n’entend pas très bien au fond. Très bien.

77        Alors, j’aimerais demander ceci. Attendons maintenant une minute. Il me manque le 20. Si la personne est sortie, mettez les gens directement dans la ligne, et nous allons commencer immédiatement. Très bien. Maintenant, combien ici n’ont pas de cartes de prière, mais croient que–qu’ils ont assez de foi pour croire que Dieu va les guérir? Faites voir vos mains, partout maintenant. Très bien. C’est juste partout.

78        Maintenant, tandis que les huissiers s’occupent des gens là-bas, j’aimerais vous demander ceci, vous donner une Ecriture. Si jamais vous me trouvez une fois hors de cette Bible, venez me le dire. Voyez-vous? Très bien.

            Suivez. Une fois, il y avait une femme qui n’avait pas de carte de prière. Nous allons le dire de cette façon. Ça semble... C’est mon... J’espère que ça n’a pas l’air sacrilège. Mais elle souffrait d’une perte de sang, et elle a dit: «Si seulement j’arrive à toucher Son vêtement, je serai guérie.» Vous souvenez-vous de cette histoire? Certainement. Très bien. Alors, elle–elle a touché Son vêtement. Eh bien, je... Littéralement, Il n’aurait pas pu sentir cela dans le naturel, parce que le vêtement palestinien est ample. C’est une robe. Et en-dessous il y a un vêtement de dessous pour protéger les jambes de la poussière. Et Il n’a pas senti cela.

            Elle a juste touché le bord de Son vêtement. Et même l’apôtre Pierre L’a repris, ou il L’a repris quand Il a dit: «Qui M’a touché?» Il a dit: «Mais Je sens que Je me suis affaibli. Une force est sortie de Moi.»

79        Eh bien, combien croient qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement? Maintenant, observez ce glorieux groupe de pasteurs qui sont ici maintenant. Bon, frères, les Ecritures ne nous enseignent-Elles pas qu’Il est à l’instant même le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités? Bon. Vous voyez?

            Combien là-bas croient qu’Il est le Souverain Sacrificateur qui peut être touché par le... Or, s’Il est le même Souverain Sacrificateur, Il agira de la même façon qu’autrefois. Est-ce juste? Maintenant, comment saurait-on qu’Il agit?

            Maintenant, voici ce qu’il en est. Je venais de dire que Dieu est dans Son peuple. Tout ce que Dieu était, Il l’a déversé en Jésus. Croyez-vous cela? Il était la plénitude de la Divinité corporellement. Et tout ce qu’était Jésus, Il l’a déversé dans l’Eglise: le Saint-Esprit. Est-ce juste? C’est donc Dieu en nous. Dieu en nous. Ce n’est pas... Cela ne fait pas de vous quelque chose. Il ne s’agit pas de la sainte montagne ni de la sainte église. Il s’agit–il s’agit du Saint-Esprit, pas du peuple saint, du Saint-Esprit. Voyez-vous? Il s’agit du Saint-Esprit dans le peuple; pas du peuple saint, du Saint-Esprit. Voyez-vous? Et c’est cela la chose.

80        Et dans ce Saint-Esprit il y a des dons. Et les dons des offices de l’Eglise, ce sont: les apôtres, les prophètes, les docteurs, les évangélistes, les pasteurs. Est-ce juste? Tous pour l’édification ou l’unité de l’Eglise, pour la mettre dans l’ordre...?... (Sont-ils... Faites-moi signe quand ils seront prêts. OK), pour la mettre dans l’ordre.

            Eh bien, je vais vous demander maintenant de faire quelque chose pour moi, s’il vous plaît. Si vous voulez juste nous accorder... Le reste de l’assistance, j’espère que vous me comprenez très bien maintenant. Ne vous déplacez pas maintenant. Voyez-vous, restez vraiment tranquilles. A partir de maintenant, ne vous déplacez plus (Voyez-vous?), parce qu’on est dans le–le discernement. Et lorsque vous vous déplacez, vous êtes un esprit... Et vous êtes... sachez que vous êtes un esprit. Si ce n’est pas le cas, vous êtes mort. Voyez-vous? Aussi longtemps que vous êtes un esprit, et que l’onction de l’Esprit est ici...

81        Ce Saint-Esprit est en contact avec chaque esprit qui est ici. Combien savent cela? L’esprit des prophètes est soumis au... Ainsi, Il est en contact. Alors quand vous vous déplacez (Voyez-vous?), il y a interruption. Voyez-vous? Maintenant, c’est sur l’estrade que s’effectue le déplacement, parce que je suis en contact avec cette personne. Voyez-vous? Et puis, les gens viennent. Et dès que le Saint-Esprit lui parle, alors, vous voyez, alors pendant que d’autres sont debout, quelque chose va agir et va aller dans cette direction. Il n’y avait personne qui... Vous voyez? Vous ne savez simplement pas ce que vous devez faire. Alors vous êtes embrouillé. Ainsi si vous voulez bien... Juste pendant environ dix minutes pour terminer cette ligne, ou quinze...

            Maintenant, avant que je ne fasse ceci, je vais vous poser une question. Combien dans cette ligne me sont inconnus? Levez la main. Chacun de vous m’est inconnu. Combien dans cette assistance me sont inconnus? Levez la main, si vous êtes certain que je ne sais rien à votre sujet, levez simplement la main. Voyez-vous? Je pense, tout le monde ici, aussi loin que je vois cette...

82        Je ne connais personne. Je ne connais qu’environ deux ministres qui sont ici à l’estrade, deux ou trois d’entre eux. Frère Kopp et les autres, je les connais. Mais là dans l’assistance, je ne vois personne là que je reconnaisse et dont je puisse citer le nom en ce moment.

            Mais chacun de vous, Dieu vous connaît. Il sait exactement où vous êtes assis. Selon ma façon de voir Dieu, Il savait avant la fondation du monde que vous seriez assis là, puisqu’Il est infini. Certainement. Il est infini; Il savait toute chose. C’est la raison pour laquelle Il peut connaître la fin depuis le commencement. Il est infini. Bon.

83        Maintenant, ici... Est-ce celle-ci la–la patiente? Voudriez-vous approcher un peu plus, madame? Maintenant, voici exactement la scène biblique de Jean, chapitre 4, juste ce dont je viens de parler, une des illustrations dans la réunion des témoignages. Voici un Blanc, et une femme de couleur. C’était Jésus, un Juif, avec une Samaritaine, justement deux races. Et ainsi, elle a essayé de Lui dire cela, que ce n’était pas la coutume; mais Il lui a dit...?... mais Il lui a révélé que c’est Dieu qui avait créé tous les peuples, tout le monde.

84        Nous sommes tous issus d’Adam et Ève. Ils sont notre père et notre mère à nous tous, à tous les êtres humains. C’est la région où nous avons grandi qui a changé notre couleur. Blanc, brun, noir, jaune, quoi que cela puisse être, ça n’a rien à voir avec nous. Chacun de nous pourrait donner à l’autre le sang pour la transfusion. Nous sommes tous... d’un seul sang Dieu a fait toutes les nations. C’est juste. Ainsi cette vieille querelle était morte quand Jésus est venu, ce vieux débat qu’ils avaient. Il leur a fait savoir que Dieu était le Dieu des Samaritains, tout autant qu’Il était le Dieu des Juifs. Et le Père cherchait ceux qui pourraient L’adorer en Esprit et en vérité, peu importe ce qu’ils étaient.

            Pierre a dit en... là, il a dit: «Je comprends que Dieu ne fait acception d’aucune nation, mais Il n’honore que tous ceux qui Le craignent.» C’est juste. Ceux qui invoquent... Eh bien, voici exactement Jean 4. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Maintenant, ceci devrait régler la question. Permettez-moi de vous le dire, je suis votre frère. Je suis frère Branham, votre frère. Mais je ne suis pas un prédicateur, ça vous le savez. Je–j’aimerais l’être, mais je–je n’ai pas assez d’instruction pour prétendre être un prédicateur.

85        Mais ceci est le ministère qu’Il m’a donné comme un don. Et ce don, c’est pour secouer l’Eglise, afin de l’amener à reconnaître la Venue de Christ, le retour de l’Esprit de Dieu dans l’Eglise. Le même Esprit est sur vous. Cela pourrait ne pas être le même don, mais c’est le même Esprit. Il y a différentes manifestations, mais tout le temps le même Esprit. Le même Saint-Esprit que vous avez, c’est le même Saint-Esprit que j’ai, le même Saint-Esprit que nous avons tous. Nous sommes tous les enfants de Dieu.

            Et puis, eh bien, nous nous réunissons donc spirituellement, alors ce Saint-Esprit est là. Et si la maladie est... Et lorsque les enfants de Dieu viennent là où se trouve cet Esprit, ce Dernier–ce Dernier les détecte, et Il peut vous détecter. C’est comme un don de prophétie ou... Non pas un don de prophétie... Je ne sais pas. Disons juste–juste que c’est Christ (Voyez-vous?) qui descend parmi nous; en effet, vous vous mettez à coller un certain nom à quelque chose, et vous êtes vous-même tout embrouillé. Disons donc tout simplement que notre Seigneur Jésus-Christ est au milieu de nous. Voyez-vous? Disons simplement cela.

86        Maintenant, nous nous tenons ici, parlant à cette femme. Je ne la connais pas, je ne l’ai jamais vue. Elle semble être en très bonne santé. Elle pourrait–elle pourrait avoir un problème de ménage, un problème d’argent. Elle pourrait être un imposteur. Je... Elle pourrait être une chrétienne. Elle pourrait être une pécheresse. Je ne la connais pas. Elle est juste venue là. Mais quoi qu’Il lui dise, elle saura si c’est vrai ou pas. Elle sera disposée à l’admettre. Eh bien, s’Il peut lui dire ce qui a été, comme Il l’a dit à Philippe, comme Il l’a dit à Nathanaël, comme Il l’a dit à la femme au puits; ou bien s’Il lui dit ce qui était, alors elle pourra certainement croire pour le futur. Est-ce juste? Allez-vous tous le croire, s’Il le fait?

87        Maintenant, nous voici. Voici la Bible. Voici la femme. Et nous voici debout juste ici devant vous tous avec nos mains levées, pour dire que nous ne nous sommes jamais rencontrés auparavant, que nous ne nous connaissons pas. Et nous sommes des races différentes. Elle est... Je suis un anglo-saxon, et elle, une Africaine. Maintenant, nous voici, c’est parfait au possible.

            Maintenant, soeur, juste pour entrer en contact avec vous... La raison pour laquelle je vous ai appelée soeur, c’est parce que, lorsque j’ai regardé autour, l’Esprit m’a saisi, et j’ai compris que vous étiez une chrétienne. C’est juste. Vous êtes une chrétienne. Or, je ne vous connais pas. Je me tiens juste ici. Vous savez que je suis en train de faire quelque chose. Je suis en train d’entrer en contact avec votre esprit, de l’éloigner de ces autres personnes... de vous isoler en tant qu’une personne.

            Maintenant, si Christ peut m’utiliser, comme un don... Maintenant, Il peut mettre Son Onction sur moi. Il doit La mettre sur vous au même moment, sinon ça ne marchera pas. Pour que cela marche, il faut nous deux. La femme a touché Son vêtement. Jésus ne savait pas qui avait fait cela, mais Il a dit: «J’ai connu qu’une force est sortie de Moi.» Voyez-vous? Ce n’était pas Lui. Il a dit: «Ta foi t’a sauvée.» Voyez-vous? C’était sa foi à elle.

88        Maintenant, je ne vous connais pas. Mais s’Il vous dit quelque chose au sujet de votre vie, peut-être quelque chose pour lequel vous êtes ici, quelqu’un pour qui vous êtes ici, quelque chose que vous avez fait qui n’est pas correct, ou n’importe quoi comme cela, vous saurez si c’est la vérité ou pas, et alors vous croirez. Puisse le Seigneur Dieu l’accorder, c’est cela ma requête.

            Maintenant, vous comprenez dans quelle position cela me place? Voici maintenant le moment où ce que j’ai prêché et que j’ai dit de Lui, il doit y avoir une réaction, sinon j’ai dit quelque chose de faux, sinon la Bible a dit quelque chose de faux. Christ n’est pas vivant ni... Voyez-vous, soit notre religion est vraie, soit elle est fausse. Cela doit être démontré à l’instant même au milieu de tout ce beau groupe d’hommes qui est ici. Voyez-vous? Voici les ministres de Christ assis ici. Nous...

89        C’est comme quand je me suis tenu devant des centaines de milliers de gens, je ne savais même pas parler leur langue, et voir la chose arriver. Devant des païens, des sorciers et ceux qu’ils appellent de saints hommes en Inde, ceux qui marchent dans le feu et tout le reste, et voir la puissance de Dieu descendre et... Mais Il est Christ. S’Il ne l’est pas, j’aimerais savoir où Il se trouve. Je voudrais Le trouver. Oui.

            Cette femme n’est pas une hypocrite. Elle se tient ici pour une raison, et cette raison qui doit... En fait, selon le médecin, elle est censée passer par une intervention chirurgicale. C’est juste. Et cette opération, c’est pour une tumeur. C’est juste. Si c’est juste, levez la main. Maintenant, croyez-vous qu’Il sait où se trouve la tumeur? Croyez-vous qu’Il peut me le dire? Me croyez-vous? C’est au sein. C’est au sein gauche. C’est juste. Très bien. Allez, croyez-le maintenant, et vous n’aurez pas à subir cette opération. Si vous croyez cela de tout votre coeur, Dieu qui est au Ciel va vous débarrasser de cela.

90        Bonsoir, jeune dame. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, je suppose. C’est juste un homme et une femme qui se rencontrent. Mais Jésus-Christ nous connaît tous les deux. Il sait tout de vous, Il sait tout de moi. Je suis juste Son serviteur. Et croyez-vous qu’Il est ici et qu’Il peut me révéler quelque chose vous concernant? Cela fera-t-il que vous ayez foi en Lui, de savoir qu’Il est–qu’Il est ici? Voudriez-vous recevoir tout ce que vous demandez? Voudriez-vous... Vous voudriez le faire.

91        Cet homme assis là avec la main sous le menton, comme ceci, assis juste ici, assis là en train de prier au sujet de cette nervosité, croyez simplement de tout votre coeur. La nervosité vous a quitté maintenant. Bon, est-ce vrai? Levez la main. J’aimerais vous demander ce qu’il a touché. Il avait la foi pour faire que le Saint-Esprit quitte ici et aille vers lui. Je ne l’ai jamais vu de ma vie. Il m’est inconnu, à ce que je sache. Mais il avait la foi. C’est ce qu’il faut (la foi) pour faire cela. Croyez tout simplement.

            J’observe tout simplement une Lumière. Vous... En avez-vous déjà vu la photo? Voyez-vous? Ils l’ont ici, ou ils l’auront. De chez vous, Elle est passée de ce côté et est partie, et je L’ai vue se tenir au-dessus de cet homme-là. Je devais simplement le dire. Maintenant, il y a un homme assis là, juste un homme assis dans la réunion.

92        Maintenant, vous êtes malade. Vous avez consulté le médecin. Il vous a donné quelques conseils, mais ses conseils vous effraient. C’est juste. C’est vrai. Il n’y a rien de mal. C’est juste. Il s’agit d’une maladie gynécologique. C’est ce qui cloche chez vous. Je peux le voir pendant l’examen, ce qu’il a dit... Cela vous dérangerait-il que je dise ce qu’il a dit? Voulez-vous que je vous dise ce que c’est?

            En fait, c’est quelque part... C’est une semence, un germe qui est à un mauvais emplacement, et cela est bloqué dans la trompe, au lieu de descendre dans l’ovaire. On appelle cela une grossesse extra-utérine, et il veut opérer, et cette opération vous fait peur. Si c’est juste, levez la main. C’est vrai. Béatrice, voulez-vous être rétablie? Allez, croyez au Seigneur Jésus-Christ et vous serez rétablie.

            Croyez-vous au Seigneur Jésus, que ce que la–toute la Bible a annoncé par des prophéties...?...

            Un homme. Nous sommes des inconnus l’un pour l’autre. Croyez-vous que le Seigneur Jésus est ici pour vous aider? Croyez-vous que s’Il me révèle ce que vous voulez qu’Il vous accorde, qu’Il va vous l’accorder? Vous croyez.

93        Je ne cesse de voir une femme venir... Assise juste ici en train de me regarder, elle souffre d’une forte–de l’hypertension, elle porte des lunettes, elle peigne les cheveux vers l’arrière, cela... Ne voyez-vous pas cette Lumière suspendue au-dessus de cette femme-là? Regardez. Levez la main, madame. Vous y voilà! Croyez-vous de tout votre coeur maintenant? Alors rentrez chez vous et soyez en bonne santé. Je ne connais pas cette dame. Je ne l’ai jamais vue de ma vie. Elle m’est inconnue. C’est cela votre problème. Vous aviez assez de foi pour toucher Son vêtement afin qu’Il se retourne comme cela, vous ne pouviez pas douter de cela, n’est-ce pas? Vous allez alors obtenir votre guérison.

            J’aimerais vous demander, qu’a-t-elle pu toucher là? Je pense qu’elle est à trente pieds [9 m] de moi. Ce n’est pas moi qu’elle a–qu’elle touche; c’est Lui qu’elle touche. Voyez-vous? C’est ça la chose. Elle L’a touché, et Il a simplement répondu. Voyez-vous? Si jamais l’église se réveillait pour voir cela et comprendre ce que c’est... Très bien.

            Soyez respectueux maintenant. N’ayez pas peur. «N’ayez pas peur. C’est Moi.» C’est le Seigneur jésus. Vous savez que ce n’est pas moi, parce que... Et ça doit être un Esprit et une puissance, afin que tout ce que vous pensez, qui est... Pour moi, c’est Jésus-Christ, le même hier, aujourd’hui et éternellement, qui confirme exactement ce qu’Il a dit. Maintenant, monsieur, je ne vous connais pas et étant donné que nous sommes des inconnus l’un pour l’autre, si le Seigneur Jésus révèle quelque chose à votre sujet ou quelque chose que vous désirez, ou quelque chose que vous désirez pour quelqu’un d’autre, ou quel que soit le cas, vous allez croire en Lui, n’est-ce pas?

            Vous êtes sur le point de subir une opération. Vous devez subir une autre opération; en effet, vous en avez subi une. Et cette opération, c’était pour des calculs rénaux, et vous en souffrez encore. C’est un état chimique de votre corps qui en est la cause. La seule chose qui puisse provoquer... qui puisse être faite, c’est que Dieu ôte de votre corps l’élément chimique qui provoque cela. Du moins, c’est ce que le spécialiste a dit.

            Votre épouse se tient juste là dans la ligne de prière, elle désire... aussi un problème de reins. Qu’en serait-il si vous vous retourniez et alliez là pour imposer les mains à votre femme et prier pour elle? Croyez-vous de tout votre coeur que le Seigneur Jésus va–va accomplir, faire, accorder, la–la rétablir?

            Notre Père céleste, tandis qu’ils s’imposent les mains l’un à l’autre, je condamne ce démon qui a fait cela, et qu’ils soient tous les deux guéris, et qu’ils rentrent chez eux bien portants pour le Royaume de Dieu. Accorde-le, Père. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.

            Très bien, ne doutez pas dans votre coeur maintenant. Croyez de tout votre coeur. Quittez immédiatement la ligne, soeur, et allez directement avec lui. Rentrez chez vous, et oubliez même que vous aviez cela, et soyez guérie.

94        Je crois que le Seigneur Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Je crois qu’Il est ici maintenant. Je crois qu’Il est la Rose de Saron, le Lys de la vallée, l’Etoile du matin. Je crois qu’Il est ici aujourd’hui, apparaissant parmi les gens, leur montrant que la fin est proche, et que bientôt Il va venir pour enlever l’Eglise. Et les ministères de Ses ministres prennent carrément la forme de Son propre ministère qu’Il avait ici sur terre, pour enlever l’Eglise entière. Je le crois de tout mon coeur. Très bien.

            Maintenant, s’il vous plaît... Comment ... Je suis... J’ai dépassé mon temps qui m’était alloué. Je suis désolé. Prenons uniquement cette femme-ci. Alors, voulez-vous juste... Juste une minute.

95        Bonsoir, soeur. Vous étiez ici, alors je pense que vous avez besoin que l’on prie pour vous. Ou bien je vais prier pour les autres, mais pour vous, je voudrais dire que ce sera le discernement ou peu importe comment on peut appeler cela (Voyez-vous?), quoi que ce soit.

            Croyez-vous de tout votre coeur que je suis Son serviteur? Votre problème, c’est dans la poitrine. C’est juste. Mais je ne cesse de voir quelqu’un d’autre apparaître là. C’est votre mari. Il n’est pas ici, mais vous pensiez à lui. Vous étiez en train de prier pour lui. C’est juste. Croyez-vous que Dieu peut me révéler son problème? C’est dans son dos. C’est juste, n’est-ce pas? Maintenant, croyez que vous allez rentrer–rentrer et le trouver bien portant. Très bien. Allez donc carrément de l’avant afin que...?... et croyez de tout votre coeur, et vous trouverez la chose telle que vous le croyez. Maintenant, si vous ne doutez pas, vous trouverez la chose exactement ainsi.

            Croyez-vous de tout votre coeur? Soeur, croyez-vous que Dieu peut guérir l’arthrite et rétablir quelqu’un? Allez simplement de l’avant, en disant...?...

            Maintenant, croyez-vous la même chose, que cette nervosité et cette arthrite vont vous quitter, et que vous allez être rétablie? Alors poursuivez carrément votre chemin. Remerciez le Seigneur. Croyez ce qu’Il a fait.

96        Regardez par ici en venant, soeur. Vous... Dieu peut guérir les troubles cardiaques de même qu’Il peut guérir n’importe quoi d’autre. Ne croyez-vous pas cela? Croyez-vous cela de tout votre coeur? Alors levez la main, dites: «Je l’accepte.» Poursuivez simplement votre chemin en recevant cela en Christ, et soyez rétablie au Nom du Seigneur Jésus. Partez en croyant. Très bien.

            Cet homme est infirme à la suite d’une... Venez par ici, monsieur. Je vois que vous êtes infirme. Regardez-moi et croyez. Allez-vous croire cela? Très bien. Si vous le croyez, toute l’arthrite va vous quitter, et vous rentrerez chez vous, en bonne santé. Croyez-vous qu’Il va faire cela? Si donc vous croyez, continuez donc à marcher en disant: «Gloire à Dieu.» Je voudrais vous imposer les mains au fur et à mesure que vous passez. Passez en disant: «Grâces et gloire soient rendues à Dieu», et croyez de tout votre coeur que cela...?...

            J’aimerais vous demander quelque chose. Vous qui avez ce précieux livre sous le bras, qu’en serait-il si je vous imposais simplement les mains? Croyez-vous que vous guéririez? Alors au Nom de Jésus-Christ, allez et soyez guéri. Amen. Très bien.

97        Approchez. Que pensez-vous, soeur? Ces crises de nervosité vous dérangent-elles? Croyez-vous qu’elles vont vous quitter maintenant? Tandis que vous passez à l’ombre de la croix, continuez à vous réjouir en disant: «Elles ne me dérangeront plus.»

            Regardez ici, monsieur. Vous avez plusieurs choses qui vous dérangent, telles que la prostate et ainsi de suite. Mais la chose principale, c’est un problème cardiaque. Continuez votre chemin et dites: «Je suis guéri au Nom du Seigneur Jésus.»...?... tout votre coeur. Croyez simplement de tout votre coeur.

            Regardez par ici, madame. Croyez-vous que votre mal de dos va cesser, et que vous allez rentrer chez vous et être bien portante? Très bien. Continuez simplement à marcher en disant: «Grâces soient rendues à Dieu», et soyez bien portante par notre Seigneur Jésus-Christ.

98        La dame souffre d’une maladie gynécologique, et je vois aussi qu’elle est dérangée par un étouffement au coeur. Passez carrément et dites: «Je crois de tout mon coeur. Je rentre chez moi, et cela va cesser de me déranger. Je vais être en bonne santé.» Grâces soient rendues à Dieu, et...?... et à notre Seigneur Jésus-Christ.

            Voici venir un homme, apparemment il doit avoir la foi. Et si vous passiez tout simplement, et que je vous imposais les mains? La Bible déclare: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: ils imposeront les mains aux malades, et les malades seront guéris.» Croyez-vous cela? Passez carrément alors. Au Nom de Jésus-Christ, qu’il soit guéri. Amen.

            Nervosité, arthrite, faiblesse, crampes, et trouble cardiaque, croyez-vous de tout votre coeur que vous allez vous rétablir maintenant? Continuez tout simplement votre chemin, en vous réjouissant tout simplement, en disant: «Grâces soient rendues à Dieu», et Dieu va vous accorder la victoire. Croyez-vous cela de tout votre coeur? Très bien. Y a-t-il quelqu’un d’autre qui vient maintenant? Très bien.

99        Allez-vous croire? Et si je vous imposais les mains et ne disais rien? Vous savez que je sais ce qui ne va pas en vous. Et si je vous imposais les mains, croiriez-vous... Quand vous avez crié là il y a quelques minutes, et si je vous disais que cela vous a quitté? Croiriez-vous cela? Très bien. Allez-y carrément. Remerciez le Seigneur...?...

            Très bien, je vais... Très bien, amenez cette dame. A quoi pensez-vous, soeur, alors que vous venez? Croyez-vous qu’Il... Si je disais quelque chose ou ne disais rien, de toute façon allez-vous vous rétablir? Le croirez-vous de toute façon même si j’imposais simplement... Il y a ici un certain esprit ici; vous le savez. Croyez-vous que c’est l’Esprit du Seigneur qui est sur nous? Vous croyez? Alors votre mal de dos... Eh bien, je vous l’ai déjà dit, de toute façon, alors continuez votre chemin. Voyez-vous, continuez votre chemin. Croyez–croyez de tout votre coeur.

100      Combien là-bas croient maintenant de tout leur coeur? Vous croyez? Il est Dieu. Croyez-vous cela? Il est Dieu sur le toit, Il est Dieu sur l’église; Il est dans l’église; Il–Il est Dieu partout. Il est Dieu.

            Je pensais que cette Lumière suivait une dame, mais il s’agissait de cette dame de couleur qui est assise là, vous. Oui. Croyez-vous que je suis Son prophète, ou Son serviteur, cette dame de couleur assise là, en chapeau blanc et en robe blanche? Croyez-vous que Dieu peut me dire, pendant que vous êtes en contact avec Son Esprit, ce qui ne va pas en vous? Accepterez-vous cela? Alors votre trouble de la vessie ne vous dérangera plus.

101      Voulez-vous–voulez-vous bien me faire une faveur maintenant? Imposez les mains à la dame qui est assise à côté de vous, car les yeux la dérangent. C’est juste. Imposez-lui les mains. Très bien. Voulez-vous bien me faire encore une autre faveur? La dame assise à côté de vous est dérangée par une diarrhée, la dysenterie, la diarrhée. C’est juste. Levez la main. Posez votre main sur elle, demandez que cela... elle sera guérie.

            Qu’en est-il de la dame assise à côté d’elle? Croyez-vous de tout votre coeur, madame? Votre problème c’est dans votre flanc, dans votre flanc droit. Croyez de tout votre coeur, et cela vous quittera. Croyez-vous? Qu’en est-il de la dame qui est assise à côté d’elle? Croyez-vous de tout votre coeur? Vous avez des crises d’étouffement, vous n’arrivez pas à respirer normalement. Vous allez respirer normalement maintenant, parce que c’est Dieu.

102      Croyez-vous de tout votre coeur? Imposez-vous les mains maintenant. Maintenant, pour l’amour de ceux qui sont assis à côté de vous, êtes-vous des croyants? Levez la main, si vous êtes un croyant. Maintenant, posez cette main de foi sur quelqu’un d’autre. Voici ce que Dieu a dit. Il a dit ceci: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.»

            Le Saint-Esprit est là-bas, juste le même qui est ici dans ces hommes. Il est partout. Croyez-vous cela? Alors priez pour la personne sur qui vous avez posé la main. Posez vos mains sur eux et priez maintenant. Priez pour la personne.

103      Père céleste, nous T’apportons cette assistance de croyants, en Te remerciant pour Ta Présence qui est ici avec nous. Nous ne Te sentons pas seulement, mais nous Te voyons à l’oeuvre parmi Ton peuple, confirmant Ta Parole par des miracles qui L’accompagnent.

            Maintenant, beaucoup sont malades dans l’assistance. L’heure est avancée. Mais, Seigneur, Tu es le Grand Dieu omnipotent. Je Te prie d’exaucer la prière de Ton serviteur. Et tandis que ces gens qui croient ont leurs mains les uns sur les autres, faisant la prière de la foi... Et Tu as dit: «La prière de la foi sauvera le malade. Dieu le relèvera.»

104      Père, quel groupe d’incroyants serions-nous si nous doutions de Ta Présence ici parmi nous maintenant, après que nous T’avons senti, que nous avons vu Ta Parole, que nous avons prêché Ta Parole, et que nous avons vu Ta Parole agir à travers nous tous ici dans cette salle, sentant Ta Présence, sachant que Tu es ici? Et maintenant, nous obéissons à Tes commandements, en tant que des croyants, pour imposer les mains les uns aux autres, car la prière de la foi sauvera le malade.

            Maintenant, Seigneur, exauce ma prière. Je dépose ma prière sur l’autel. Je dépose là-dessus ma foi là avec la leur. Et, au Nom de Jésus-Christ, nous allons au devant du diable pour relever son défi d’incrédulité. Satan, sors de ces gens! Laisse-les tranquilles. Nous t’ordonnons, par le Dieu vivant, au Nom de Jésus-Christ, de quitter ces gens et de sortir d’eux, afin qu’ils soient guéris.

105      Vous tous qui croyez qu’un croyant vous impose les mains, et qui croyez que la Présence de Christ est ici maintenant, si vous n’êtes pas effrayé... Si vous avez peur et que vous disiez: «Oh! je ne sais pas», alors votre petite barque pourrait sombrer. Mais si vous L’entendez dire dans Son message: «N’ayez pas peur; c’est Moi, Jésus-Christ», la proclamation même de la Bible qui est révélée, il y a assez de foi juste ici à l’instant, si seulement vous... bien...?..

            On dirait que quelque chose cherche à vous retenir, pour que vous disiez: «Oh! je–je ne sais pas. J’ai assisté à des réunions auparavant.» Voyez-vous, je sais très exactement ce que vous pensez. Voyez-vous? Ce n’est pas moi; c’est Lui qui me le dit. Si vous faites ceci... Souvenez-vous, je le dis en tant que ministre, en tant que votre frère. Si seulement vous laissez toutes ces pensées de côté, et que vous êtes certain que c’est un croyant qui vous a imposé les mains...

106      Et Jésus a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.» Et si Abraham, notre père, a cru en Dieu pendant vingt-cinq ans pour recevoir une promesse, à combien plus forte raison la semence royale d’Abraham devrait croire la promesse de Dieu? Acceptez-vous cela? Croyez-vous cela? Et si vous croyez que c’est la vérité, rendez témoignage à Dieu. Mettez-vous debout pour témoigner: «J’accepte maintenant ma guérison. Je crois que je suis guéri, parce que je suis dans la Présence de Dieu et qu’un croyant m’a imposé les mains. Gloire à Dieu qui nous donne la victoire.» Amen.

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