Laisser Échapper La Pression
1 ... compté parmi un groupe comme celui-ci, d’être de nouveau ici ce matin. Frère Shakarian... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] Le Seigneur lui a épargné la vie. Comme nouvelle, c’était certainement affligeant pour moi de la prendre. Mais, je suis tellement heureux que les choses que nous prêchons agissent aussi parmi nous, de voir que Dieu guérit les malades et les affligés.
Et nous avons juste quelques instants, environ deux minutes pour parler. Et ensuite, j’aimerais prier pour ceux qui nous suivent par la radio, et ceux qui sont dans le besoin.
2 Nous venons juste de quitter Southern Pines, en Caroline du Nord, où le Seigneur a accompli un grand miracle. Un soir, lorsque nous sommes arrivés ... C’était trop tard pour la petite dame qui était venue avec un bébé hydrocéphale d’obtenir une carte de prière pour entrer dans la ligne de prière. Mais elle se tenait là, derrière les rideaux, tenant ce précieux petit enfant, les larmes lui coulant sur les joues, comme seul l’amour maternel peut le faire pour un bébé. Et sa petite tête était tellement enflée que ses petits yeux étaient exorbités, et de grosses veines se dessinaient sur sa tête, à force d’avoir reçu une sorte de piqûre du médecin chaque jour pour le garder en vie pendant cette journée-là.
3 Et comme je passais là, j’ai regardé et j’ai vu cette mère qui tenait ce petit bébé, et j’ai dit à Billy, mon fils: «Ce pauvre petit enfant...»
Et il a dit: «Et, papa, elle m’a demandé une carte de prière.» Et il a dit: «Elle–elle est venue trop tard. Je les ai toutes distribuées.»
J’ai dit: «Bien, dis-leur tout simplement de chanter encore le cantique Crois seulement, et je vais vite descendre là prier pour le bébé.»
Et je suis descendu, et j’ai prié pour le petit enfant, et j’ai demandé à notre Seigneur d’avoir pitié de lui. Et cette dame a ramené le petit enfant à la maison ce soir-là. Et le lendemain matin, lorsqu’elle s’est réveillée, à sa grande surprise, elle a regardé le petit enfant, et les grosses veines avaient disparu. La tête était pratiquement normale.
Alors, elle a immédiatement couru avec le bébé chez le médecin, et le médecin était très étonné, et il a dit que cela... Il a examiné son sang, ou tout ce qu’ils devaient faire pour l’injection. «Eh bien, a-t-il dit, il n’en a plus besoin.»
4 Et cela a provoqué une grande agitation dans toute la contrée. C’était vraiment un autre témoignage pour la gloire de Dieu, de savoir qu’Il–qu’Il répond à la prière lorsque les coeurs sont sincères et veulent croire en Lui. Il n’y a pour Lui rien de trop difficile à accomplir. Et je crois qu’Il aime simplement faire cela pour Son peuple.
Eh bien, on va me remettre un tas de requêtes, juste dans un instant, pour ceux qui ont appelé au téléphone et qui ont demandé qu’on prie pour eux. Et vous qui nous suivez par la–par la radio, j’aimerais que vous soyez prêts et que vous soyez dans l’expectative. Soyez persévérants et tenez-vous-en à la promesse de Dieu, parce que la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur Dieu le relèvera. C’est l’Ecriture.
5 Et si seulement vous pouvez vous tenir dans cette atmosphère céleste dans laquelle je me tiens ce matin, ici à la cafétéria Clifton, où il y a littéralement des centaines des gens entassés à l’intérieur, tous des croyants qui croient et qui vont se joindre à moi dans la prière, afin de prier pour vous et pour vos bien-aimés. Peu importe ce que c’est, pourquoi ne pas simplement élever cela maintenant devant Dieu, et croire que Dieu va nous exaucer et répondre à la prière?
6 Maintenant, vous devez continuer avec cette foi que vous avez au moment où vous sentez que la Présence du Seigneur est avec vous. Or, bien des gens se demandent ce qui se produit lorsqu’ils–lorsqu’il semble qu’ils sont guéris, et qu’après un certain temps ils ressentent le contraire. C’est parce que lorsque la prière est faite, et la Présence du Seigneur est avec vous, la foi augmente. Et ensuite, lorsque la foi vous quitte, eh bien, alors quelque chose vous est arrivé. Vous devez garder cette foi-là. Ne laissez jamais ce sentiment vous quitter. Souvenez-vous toujours que Dieu a répondu. C’est Sa Parole. Il ne peut pas se rétracter là-dessus. Il doit tenir Sa Parole. Et pour vous encourager, sachant que Dieu a fait la promesse...
7 Et je crois que la Bible, c’est Dieu sous forme écrite. Nous savons qu’ «Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. La Parole a été faite chair, et Elle a habité parmi nous.» Et voici Ses promesses. Il nous les a données, et nous devons les chérir. Et maintenant, il n’y a qu’une seule chose qui vivifiera cette Parole; c’est le Saint-Esprit. C’est Lui qui apporte la vie à la semence. Et lorsque le... Dieu déverse Son Esprit sur la terre, comme Il l’a promis pour ces derniers jours, quelle que soit la sorte de semence que l’Esprit déverse sur... Ce sont les eaux, juste comme...
Christ a été frappé, comme le rocher dans le désert pour un peuple qui périssait, qui se mourait, qui avait besoin d’eau, Christ a été frappé afin que l’eau de la Vie soit déversée sur eux.
Maintenant, l’assemblée, à vous qui nous suivez par la radio, si seulement vous pouviez voir, les gens sont maintenant debout. Tenez-vous prêts maintenant pour la prière. Imposez-vous les mains les uns aux autres, posez votre main sur la radio, ou plutôt, à l’endroit où vous êtes malade, et ensuite, prions ensemble.
8 Notre Bienveillant Père céleste, alors que nous nous approchons maintenant de Ton Trône de grâce en ce Nom tout suffisant du Seigneur Jésus... Et nous venons en croyant et en déposant nos prières et notre foi sur l’autel, avec tous ceux qui sont ici, en faveur de ceux qui sont à travers le pays, qui sont malades et dans le besoin ce matin. Père céleste, c’est comme une répétition d’Actes 4. Lorsque les gens ont prié, le bâtiment où ils étaient assemblés trembla, et la puissance de Dieu descendit sur les gens.
Que Satan libère chaque personne qui est liée, et qui nous suit par la radio ce matin, et qui écoute. Qu’il y ait un tel... un événement parmi eux, à tel point que ce sera comme le témoignage que nous venons juste de donner au sujet du petit bébé hydrocéphale. Que chaque maladie quitte les gens. Que la puissance qui a ressuscité Jésus d’entre les morts, et qui nous L’a présenté vivant après deux mille ans, que cette puissance vivifie chaque malade et les guérisse. Accorde-le, Père. Nous les recommandons à Toi, maintenant, avec nos prières, avec le sacrifice de Christ qui va devant nous, au Nom du Seigneur Jésus-Christ, et pour Sa gloire. Amen.
[Un frère conduit le cantique Crois seulement.–N.D.E.]
Encore une fois.
[Le frère conduit encore le cantique.]
[Espace vide sur la bande.]
9 L’Ecriture dit qu’il y aura une pluie de la première et de l’arrière-saison. Eh bien, maintenant, le terme hébreu (je n’arrive pas à prononcer cela maintenant), mais «la première pluie» signifie «la mise en terre de la semence». Voyez-vous? La semence est donc plantée maintenant, et elle est en train d’être plantée à travers toutes ces organisations.
Maintenant, lorsque l’Esprit se met à descendre dans cette glorieuse portion, Il se reproduira selon Son espèce. Alors, prions que le–le Saint-Esprit plante les Semences dans toutes ces organisations, et lorsque la grande pluie viendra qu’une moisson en sorte.
10 Prions. Notre Père céleste, nos coeurs sont émus ce matin d’une vive émotion à cause de cette occasion de voir les gens entrer en cette heure, où les Lumières du soir commencent à briller. Que la glorieuse puissance de Dieu descende dans cette organisation des Adventistes du Septième jour. Depuis les conducteurs jusqu’à la plus petite église, que le Saint-Esprit se déverse sur eux, Seigneur. Puissent-ils recevoir à travers le pays une Pentecôte et une grande moisson d’âmes pour le Royaume de Dieu. Accorde-le, Seigneur, à travers le monde. Oins ces gens... [Espace vide sur la bande–N.D.E.] [Un parler en langues et une interprétation sont donnés.] [Espace vide sur la bande.] [Un frère joue en solo L’hymne de bataille de la république avec une trompette. Un frère chante en solo Je ne décevrai pas le Seigneur. Et Que Tu es grand, suivi par un duo d’harmonica.]
11 Merci. Je ne sais quoi dire. Les mots me manquent tout simplement. J’en ai tellement entendu que je suis tout simplement comblé. N’est-ce pas merveilleux? Combien notre Seigneur... C’est juste... Je suis très heureux. Je crois que je me suis senti conduit à venir ici ce matin. C’est tellement bon d’être ici, d’être assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ.
Nous sommes si reconnaissants d’écouter... (de frère Harold. Je n’arrive pas à prononcer son nom, alors, je dois simplement l’appeler Harold.) d’entendre comment le Seigneur l’a conduit dans ce merveilleux endroit, et ce qu’ils accomplissent.
Je dirais certainement, en rapport avec cela, que lorsque vous allez dans d’autres pays, vers ces gens qui sont là-bas, il faut un message de Pentecôte pour secouer ces gens-là. Voyez-vous? Ils–ils ont toute la théologie, et tous les–les traités, et ainsi de suite. Mais il leur faut voir Dieu en action. C’est ce qui les attire. En un seul appel à l’autel à Durban, lors de mes dernières réunions là-bas, nous avons compté trente mille personnes, de purs païens, qui sont venues à Christ en une seule fois (Voyez-vous?), parce qu’ils avaient vu quelque chose qu’ils pouvaient palper.
12 J’aimerais dire cela, concernant ce–le grand missionnaire de l’Inde, Hudson Taylor. Un–un jeune Chinois est allé vers lui un matin et a dit: «Docteur Taylor, a-t-il dit, j’ai simplement reçu Christ dans mon coeur, et mon âme est enflammée de l’Esprit de Dieu qui est en moi.» Il a dit: «Devrais-je étudier... A quelle école devrais-je aller pour étudier et décrocher mon baccalauréat, et tout?»
Monsieur Taylor a dit: «N’attends pas que la chandelle soit à moitié consumée pour montrer la lumière.»
C’est juste. C’est ce que je pense aussi. Lorsque... C’est ça le problème. Les gens attendent, et on les fait entrer dans ces séminaires, et on fait sortir d’eux tout ce que Dieu a placé en eux. Voyez-vous?
Je–je pense, partez aussitôt que la chandelle est allumée. Si vous n’en savez pas davantage, dites-leur comment elle s’est allumée. C’est tout ce qu’ils doivent savoir. Dites-leur tout simplement–simplement comment elle s’est allumée, et laissez-les s’enflammer. Le reste ira de soi. Juste... allez tout simplement. Dites-leur comment la chandelle s’est allumée, et laissez-les s’allumer, et ils en parleront à quelqu’un d’autre. Et c’est maintenant le moment d’allumer la chandelle. C’est vrai, c’est juste. Eh bien, je serais assez fou pour traînailler avant d’aller prêcher une chose comme cela. Vous savez cela.
13 C’est comme lorsque je me trouvais ici une fois dans une excellente université, et quelqu’un a dit: «Frère Branham, vous avez écrit quelques livres. J’aimerais vous conférer un diplôme de docteur.»
J’ai dit: «Je suis trop avisé pour accepter cela.»
Il a dit: «Pourquoi pensez-vous cela?»
J’ai dit: «Les gens connaissent mon vieux parler du Kentucky; ‘les his’, ‘les hain’t’, les ‘tote’ et... Avec un tel parler, et dire que je suis un docteur? Les gens ont assez de bon sens pour ne pas croire cela. Je suis donc trop avisé pour faire cela.» Donc, nous connaissons nos capacités.
Mais c’est bon d’être ici, au milieu de ce merveilleux groupe. Et juste alors que j’écoutais les–les cloches de joie sonner dans chaque coeur, un petit passage de l’Ecriture m’est venu à l’esprit, que je pourrais juste utiliser, je dirais, pendant quelques quinze minutes ou un peu plus comme cela, frère. Il... je me sens certainement petit, et je présente mes excuses à frère Harold. Je suis arrivé ici ce matin juste au moment où il devait prêcher, et ensuite... parmi les gens. Et puis, on m’a appelé à monter ici. Je me sens embarrassé, et je présente mes excuses à frère Harold, je... [Frère Harold dit: «Puis-je dire juste une chose en rapport avec cela?»–N.D.E.] Oui, vous pouvez dire quelque chose. [Frère Harold s’adresse à l’assistance.]
14 L’humilité, c’est la voie vers le succès. C’est juste. Je vous invite à venir à la réunion de ce soir, au... J’ai appelé cela le Cow Palace, et j’ai embrouillé tout le monde. On m’a dit une fois que c’était le Cow Palace, et j’ai découvert que cela se trouve ici, à San Francisco. [Quelqu’un dit: «Great Western Fairgrounds.»] Great Western Fairgrounds. Et nous aurons des moments glorieux là-bas, avec un groupe de frères. Nous sommes juste comme, eh bien, comme une petite photo que j’ai vue une fois.
15 J’étais là-haut dans le Nord-Ouest en train de pêcher, et j’avais amené une ligne pour la pêche à la truite (Beaucoup d’entre vous les frères ici, vous êtes des pêcheurs), et je portais sur mon dos une petite tente à deux places. Et j’étais très loin, là-haut dans les montagnes. Et j’avais une petite tente à deux places et quelques matériels, vous savez. Et je faisais la pêche à la truite. Et j’en avais attrapé assez pour manger. Et ensuite, j’avais simplement libéré les autres. Et j’aime tout simplement pêcher ceux qui sont dans les petits ruisseaux.
Et derrière moi, il y avait des saules d’élan qui retenaient constamment ma ligne. Un matin, je me suis dit: «Eh bien, je vais descendre chercher une–ma petite hache pour couper tous ces saules d’élan, pour éviter que ma petite mouche artificielle soit retenue dans les–dans les saules.»
16 Et alors, j’ai quitté la tente, et je suis descendu, et j’ai coupé cela; et j’avais ma petite hache, j’ai attrapé mes poissons, et je suis revenu. Et une vieille mère ourse et ses oursons étaient entrés dans ma tente, et ils l’avaient complètement mise en pièces.
Et alors, un ours est juste comme... Vous avez entendu parler de l’ours qu’on avait enfermé dans une vitrine. Le problème n’est pas ce qu’ils détruisent... ce n’est pas ce qu’ils mangent, mais plutôt ce qu’ils détruisent. J’avais un petit tuyau de poêle, elle a tout simplement mis cela en pièces juste pour entendre cela faire du bruit. Et alors, j’ai remarqué... Et je–j’aime vraiment... Eh bien, y a-t-il ici quelqu’un qui vient du Kentucky? J’aime les flapjacks [Crêpes–N.D.T.], vous savez. On... Ici vous les appelez «pancakes», je crois. Et alors, je–j’aime verser de la mélasse dessus. Et–et je–je–je ne suis pas... je ne les asperge pas, je les baptise. Alors, j’aime vraiment en déverser dessus, vous savez, alors j’ai dû... beaucoup–beaucoup de mélasse.
17 Et–et ce qui est étrange, lorsque je me suis approché, la vieille mère ourse a fui de l’autre côté et a appelé ses oursons d’un cri tendre, et un ourson a fui avec elle. L’autre petit ourson est tout simplement resté là, il avait le dos tourné vers moi. C’était un tout petit gars, et c’était au printemps. Je me suis bien gardé de m’approcher tout près de ce petit ourson, parce que la mère pouvait me griffer. Alors je... Et cette dernière a continué à l’appeler d’un cri tendre. Et je me suis demandé: «Qu’est-ce qu’il a, ce petit ourson?»
Et j’ai regardé de côté, il avait sa tête toute penchée comme ceci, vous savez. Tantôt, il levait sa patte, tantôt, il la baissait. Et je me suis dit: «Qu’est-ce qu’il a?» J’ai fait un détour, sans jamais perdre de vue un certain arbre, afin de pouvoir y grimper avant que la mère ne puisse me charger. J’ai fait un détour, et ce petit ourson s’était emparé de mon seau de mélasse, et il en avait ôté le–son–le couvercle. Et naturellement, il ne savait pas comment boire cela; et il plongeait tout simplement sa patte là-dedans comme ceci, et ramenait cela sur son visage et léchait comme ceci. Et ils aiment ce qui est sucré, et il était couvert de mélasse de la tête jusqu’au bas des pattes. Et il léchait cela.
18 Et j’ai crié: «Sors de là!» Et il n’a prêté aucune attention à moi. Et sa mère l’appelait; il ne prêtait toujours aucune attention à moi. Je me suis dit: «Eh bien, il a trouvé quelque chose de très bon.» Alors, lorsqu’il s’est retourné, il n’arrivait pas à ouvrir ses yeux, tellement ils étaient collés, étant pleins de mélasse, vous savez: la petite créature offrait le plus drôle des spectacles.
Je me suis dit: «Oui, il n’y a aucune condamnation pour ceux qui sont dans le champ. Ça, c’est certain.» Je me suis dit: «C’est exactement comme une véritable réunion de Pentecôte à l’ancienne mode, comme celle de ce matin»; et nous plongeons nos mains dans la mélasse aussi profondément que possible, et nous léchons cela.
Vous savez, en fait, lorsqu’il a finalement laissé tomber le seau et qu’il a couru vers les autres qui avaient peur de s’approcher là pour s’en emparer, ceux-ci l’ont léché, ils se sont mis à lécher la mélasse dont il était couvert.
Alors, c’est à peu près ce que nous sommes en train de faire ce matin, nous léchons la mélasse de ces témoignages.
19 J’ai apprécié le témoignage de soeur Shakarian. Et ce petit Stevie, comment il a grandi ici. J’avais l’habitude de lui donner une tape sur la tête, et maintenant, il peut m’en donner une sur la tête. Oh! la la! il a grandi, et il est devenu un très bon garçon, et il a suivi sa... Ce n’est pas étonnant, il est issu d’une bonne famille, il y a quelque chose derrière. Je vois frère Demos après tout ceci, et frère Williams, et oh! tant d’autres qui sont ici. Je ne sais tout simplement pas comment le dire, mais je suis reconnaissant d’être ici, pour ces bons moments de communion. Et ce genre d’endroit, c’est juste comme le Ciel pour moi, nous nous asseyons tout simplement comme ceci et nous éprouvons une grande joie. Maintenant, comme nous nous sommes réjouis... Quelque chose m’est venu à la pensée il y a quelques instants, une Ecriture. Et juste avant que nous abordions cette Ecriture, nous pouvons prier, juste un instant.
20 Ô Dieu, notre Bienveillant Père, nous venons dans Ta Présence maintenant au moyen de la grâce, en vertu de l’invitation de notre Seigneur qui dit: «Tout ce que vous demanderez au Père en Mon Nom, Je le ferai.» Nous sommes certains que cela nous sera accordé. Nous Te sommes reconnaissants pour ce rassemblement aujourd’hui dans cette chambre haute. Oh! si seulement ce monde aveugle pouvait voir et éprouver cette joie, chaque ivrogne quitterait la rue et viendrait, ô Dieu, si seulement ils savaient ce que signifie la vraie joie! Et ils essaient de prendre de l’alcool et de boire, et plusieurs s’étalent sur les plages, restent dans des boîtes de nuits, essayant de substituer quelque chose à cette grande joie que Dieu leur a donné à recevoir sur cette terre. Ô Dieu, je prie qu’il y ait une lumière qui parte d’ici aujourd’hui, une lumière qui amènera beaucoup de gens à cette connaissance salvatrice; et que la joie de Dieu soit dans leurs coeurs.
Merci, Père. Alors que je vais citer ces quelques paroles, bénis-les pour la réussite du service. Au Nom de Jésus. Amen.
21 Dans le Livre d’Esaïe, j’aimerais juste citer un verset pour un–juste pour quelques minutes. Esaïe 32.2:
Et le–le nom de l’Eternel est une tour forte. Il est un rocher dans une terre altérée, un abri dans la tempête.
J’aimerais centrer ma pensée sur ça: Le Rocher dans une terre altérée. Et je... En voyant ce groupe de gens, cela me rappelle plutôt quelque chose. En fait, j’aimerais déclarer ceci, ou intituler ce texte comme ceci: Laisser échapper la pression. Je pense que c’est ce qui s’est produit ce matin.
Vous savez, le monde est sous pression. Tout va à une allure vertigineuse, et les gens ne savent pas où ils vont. Ils descendent la rue à quatre-vingt-dix miles à l’heure [144 km/h], pour s’arrêter dans une buvette et boire pendant deux heures avant de retourner chez eux. Et ils semblent vraiment être sous une grande pression: tout le monde est irascible, tout le monde se pousse et se bouscule. Et je–je me demande tout simplement quel remède il faut.
22 Ensuite, je me souviens qu’il y a quelques jours, notre pasteur... Je venais d’arriver, et j’étais en retard à cause des visites, et les gens s’étaient rassemblés, vous savez, les gens qui venaient de plusieurs nations se trouvaient là, et ils restaient dans les hôtels, dans les motels et tout le reste, attendant. Et alors, le pasteur était épuisé. Il ne pouvait pas effectuer certaines de ses visites, parmi lesquelles il y avait des cas urgents. Alors, je me suis occupé de quelques-unes des visites qu’il devait effectuer, et je suis allé voir quelques personnes à–à–à l’hôpital municipal.
Et le–la chambre 331, je crois, c’était cela le numéro. J’étais allé voir une femme qui allait subir une–une opération. Et je me suis rendu au numéro 331, et la femme en question n’y était pas. Alors, je suis remonté, et une infirmière se tenait là, tapant du pied. Et j’ai dit: «Bonjour.» J’ai dit: «Pouvez-vous me dire où se trouve mademoiselle Unetelle?» J’ai dit: «Elle est censée être dans la chambre 331.»Elle a dit: «Eh bien, si elle est censée se trouver dans la chambre 331, elle y est.»
Je me suis dit: «Oh! la la!» J’ai dit: «Oui, madame. Merci.»
Je suis de nouveau retourné au 331, et on m’a dit: «Eh bien, peut-être que c’est au 332, de l’autre côté du hall.»
Ils ont dit: «Non. Elle n’est pas ici. Il se pourrait que ce soit au 231.» Alors, j’ai descendu l’escalier, et il y avait là un petit médecin assis là au bureau, un petit homme. C’est le premier homme que j’aie rencontré, qui était autant large qu’il était grand de taille. Donc, il était assis là au standard, et je suis passé à côté, et j’ai dit: «Salut.» Il m’a simplement regardé d’un air un peu étrange, et je me suis dit: «Non, non, je n’aimerais pas lui demander.»
23 Alors, je suis descendu dans une salle, et il y avait là une dame qui sortait de la salle d’opération (une dame portant un masque au visage) et–et l’infirmière était là au rez-de-chaussée. Elle est allée à la réception, et j’ai dit: «Madame, je suis un peu embrouillé.» J’ai dit: «Je suis monté là-haut voir une dame au numéro 331, elle n’y est pas. Et je n’arrive pas à trouver... On m’a dit qu’elle se trouve peut-être au–au 231.»
Elle a dit: «Eh bien, alors, cherchez au numéro 231.»
J’ai dit: «Bien, merci.» Oh! la la!
Je n’arrivais pas à trouver la salle 231. Alors, je suis un peu descendu au hall. Le petit médecin s’avançait, tenant en main son stéthoscope, il faisait tournoyer cela comme ceci. J’ai dit: «Bonsoir, monsieur.» J’ai dit: «Je cherche le numéro 231. Pouvez-vous me l’indiquer?»
Il a dit: «Allez dans ce sens, puis dans l’autre sens.»
J’ai dit: «Merci pour le renseignement.» Qu’est-ce que c’est?
Je suis retourné, et il y avait là une autre dame assise à un bureau, et elle me paraissait plutôt calme; alors j’ai dit: «Madame, pouvez-vous me donner un renseignement?» Je lui ai raconté mon histoire. J’ai dit: «Je suis un peu embrouillé. Je suis un prédicateur. Je suis ici pour une visite.» Elle a dit: «Un instant, monsieur.» Elle est allée là-bas, elle a regardé dans le registre, elle a dit: «Oui, allez juste là au coin. Elle–et elle est au 241.»
Alors je me suis dit: «Eh bien, Dieu soit loué! voilà quelqu’un qui avait laissé échapper la pression.»
24 Voyez-vous, c’est juste une pression qui est accumulée. C’est l’âge dans lequel nous vivons: un âge des névrosés, où les gens ne savent quoi faire, ni où ils vont. Et les médecins n’ont pas la réponse à cela, car les psychiatres eux-mêmes se font soigner par des psychiatres. Alors, ils n’ont pas la réponse.
Mais il y a certainement une réponse quelque part. Nous pouvons traiter de cela pendant des heures et des heures. Mais je me disais que c’est Dieu qui a la réponse. Si les gens pouvaient simplement s’asseoir dans un endroit comme celui-ci, et faire échapper la pression (voyez-vous?), avec les gens qui sont–qui sont entrés dans l’éternité. Ce n’est pas que nous y entrerons; nous y sommes déjà entrés. C’est juste.
25 Je prêchais l’autre soir... Je ne dis rien qui vaille quelque chose, mais parfois le Seigneur me donne quelque chose. Et lorsque je dis cela, je crois que c’est profond, parce que c’est Lui qui me le donne. Et je pensais que (J’en ai parlé au cours d’une réunion l’autre soir.) je disais que les enfants de Dieu étaient une fois des esclaves, ils n’avaient rien à manger et ils vivaient dans des conditions misérables dans lesquelles ils se trouvaient. Et du désert vint un prophète, et il leur a parlé d’un pays où coulait le lait et le miel.
26 Et alors, ils n’avaient jamais été dans ce pays-là. Ils n’en savaient rien, toutefois, ils ont suivi ce prophète. Finalement, ils arrivèrent à Kadès Barnéa. Et là, Josué, le grand guerrier (ce qui signifie Jéhovah Sauveur) traversa le Jourdain et ramena la preuve que ce pays-là existait; là-bas un l’homme pouvait vivre en paix, élever sa famille, ses enfants, et former une nation, et Dieu allait les bénir. Et il ramena la preuve que Dieu n’avait pas menti au peuple, témoignant que ce pays là existait bel et bien. Et c’était un bon pays, où coulait le lait et le miel. Ils ramenèrent une grappe de raisins que transportaient deux hommes.
Ensuite, après quelque temps, l’homme devait mourir. Bien sûr, après qu’il avait vécu et élevé ses enfants, il devait faire face à la tombe. Finalement, ce glorieux pays était devenu un... Tous les flancs des collines (ou plutôt, beaucoup de flancs des collines, devrais-je dire) étaient devenus des cimetières, et leurs bien-aimés reposaient dans ces tombes.
27 Puis, une fois, vint un autre grand guerrier: Jésus de Nazareth, Jéhovah fait chair, habitant parmi nous. Il est descendu et nous a dit: «Il y a plusieurs demeures dans la Maison de Mon Père.» Bien que vous ayez un pays, où vous pouvez vous construire des maisons, élever vos enfants, faire vos cultures et... Mais il existe un Pays où l’homme ne meurt pas, où vous n’avez pas à vieillir et à mourir. Il était le Josué dans notre–pour nous, et Il est arrivé à Son Kadès Barnéa, le trône du jugement; en fait, Kadès Barnéa était le trône du jugement. Et là, Kadès Barnéa pour Lui, c’était le Calvaire, là où Il a porté tous nos péchés.
28 Et ensuite, Il a traversé ce que nous appelons le Jourdain (la mort), et le matin de Pâques Il est revenu, nous ramenant la preuve que l’homme peut vivre après la mort. Ensuite, Il a aussi rapporté une grappe de raisins, et Il leur a dit d’attendre là-haut jusqu’au jour de la Pentecôte. Ils en ont tous pris une bouchée et ont reçu la–la preuve que l’homme est–est–peut de nouveau vivre, et nous vivons de nouveau. Nous sommes ressuscités des oeuvres de la mort à une nouvelle Vie; et maintenant, nous sommes déjà assis ensemble dans les lieux célestes en Jésus-Christ, nous sommes déjà dans l’éternité, parce que nous sommes devenus une partie de Sa Vie, la Vie Eternelle. Et la Vie Eternelle, c’est la Vie de Dieu–de Dieu; en effet, nous sommes des fils et des filles de Dieu. Tout ce qui a un commencement a une fin. Ainsi donc, les choses qui n’ont pas eu de commencement sont celles qui n’ont pas de fin; et ça, c’est seulement Dieu. Nous devenons donc une partie de Sa Vie.
29 Pensez-y. Dieu, au jour de la Pentecôte, cette Colonne de Feu s’était divisée et des langues de feu se sont posées sur chacun d’eux, Dieu s’était séparé en–s’était divisé, parmi Son peuple. Nous devenons la Vie même de Dieu en nous. Alors, nous sommes morts aux choses du monde, et nous sommes ressuscités avec Christ, et nous sommes assis dans les lieux célestes, regardant en arrière d’où nous sommes venus. C’est suffisant pour que nous puisions y penser.
Et cela laisse échapper la pression, cela ôte la pression lorsque nous reconnaissons la position que nous occupons maintenant en Christ, en recevant le Saint-Esprit–la Vie propre de Dieu (le mot grec Zoe qui signifie la Vie propre de Dieu) demeurant en vous. Et vous ne pouvez pas mourir, pas plus que Dieu ne peut mourir. Nous sommes éternels avec l’Eternel (Amen.), attendant ce glorieux moment de la rédemption du corps.
Et nous sommes déjà morts, et nos vies sont cachées en Dieu à travers Christ et scellées par le Saint-Esprit. Le diable est complètement hors du tableau. Et lorsque nous nous asseyons comme ceci dans les lieux célestes avec Christ, en Lui, alors nous pouvons certainement laisser échapper la pression.
30 Je prends par exemple cette nuit mémorable là en Egypte (à laquelle nous pensons tous, cette nuit mémorable de la Pâques), lorsque toute l’Egypte était dans la désolation. Chacun courait de maison en maison, et les hurlements se faisaient entendre partout. Mais Israël pouvait rester tout aussi calme que possible au milieu de cette détresse. Il n’avait qu’une seule chose à faire: appliquer le sang sur le linteau, et il y aurait... vous pouviez vous reposer tranquillement. Et si Israël pouvait regarder sur le montant de la porte, où le sang était appliqué, et se rendre compte que la mort allait passer par-dessus (c’était le Sang de l’Agneau en préfiguration), à combien plus forte raison pouvons-nous avoir de l’assurance lorsque Dieu...
31 Ce n’est pas pour parler contre mes frères baptistes. C’est comme un frère venait de dire, ils ont dit: «Nous avons reçu le Saint-Esprit lorsque nous avons cru.» Paul a dit: «Avez-vous reçu le Saint-Esprit depuis que vous avez cru?»
Et un remarquable frère baptiste m’a rencontré il n’y a pas longtemps, il m’a dit, il a dit: «Frère Branham, pour un baptiste que vous êtes, a-t-il dit, ce–c’est incroyable de vous entendre dire que nous ne recevons pas le Saint-Esprit lorsque nous croyons.» Il a dit: «Abraham crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice.»
J’ai dit: «Et Dieu lui donna le sceau comme confirmation. Il avait agréé sa foi, lorsqu’Il lui a donné le sceau de la circoncision. Donc, maintenant la circoncision c’est le Saint-Esprit. Il circoncit notre coeur, et nous savons que nous sommes passés de la mort à la Vie. Nous sommes ressuscités avec Christ dans la résurrection.» J’ai dit: «Eh bien, lorsque nous comprenons cela, nous regardons en arrière dans nos vies et nous voyons ce que nous étions.»
32 S’il y a des gens de couleur ici (permettez cette expression), mais la dame de couleur, qui avait donné le témoignage à la convention une fois, a dit (elle s’est levée et a donné son témoignage), elle a dit: «Eh bien, j’aimerais dire ceci, a-t-elle dit, je–je ne suis ne pas ce que je devrais être, et je ne suis pas ce que je voudrais être. Et puis encore, je sais que je ne suis plus ce que j’étais.» Alors c’était–c’était la chose.
Donc, nous savons que nous sommes passés de la mort à la Vie, parce que nous sommes vivants. Nous ne sommes plus ce que nous étions. Oh! c’est merveilleux de savoir que la pression peut être libérée. C’est tout. «Le Nom de l’Eternel est une tour forte; et le juste s’y réfugie. Et Il est un rocher dans une terre altérée», un rocher dans une terre altérée.
33 Je lisais une fois au sujet d’un grand aigle. J’ai prêché une fois dans une convention sur l’aigle; en effet, le seul moyen que je connaisse pour prêcher, c’est d’observer la nature. Et Dieu vit dans la nature. Quand on observe l’aigle, en voyant ses traits... et là au temple par ici, j’ai prêché sur L’Agneau et la Colombe, la nature de ces... Et voyez-vous, à travers toutes ces choses, c’est Dieu qui nous parle.
Et il y a un seul type d’aigle (Il en existe quarante espèces différentes.); ce nom signifie «celui qui déchire avec le bec». Et l’aigle, lorsqu’il devient vieux, une croûte se forme sur sa tête. Et il vieillit, il devient presque aveugle, il n’arrive presque plus à se déplacer.
34 Finalement, lorsqu’il s’affaiblit et que toutes ses plumes deviennent branlantes, de sorte qu’il n’arrive plus à voler très haut, alors il va jusque–il monte très haut dans les montagnes jusqu’à ce qu’il trouve un certain rocher. Là il se pose donc sur ce rocher. Ce qu’il doit faire, c’est cogner sa tête contre ce rocher jusqu’à ce que toute cette croûte se détache. Et on dit qu’il continuera à cogner sa tête jusqu’à ce que cela va saigner. Il va presque s’exténuer à force d’y cogner la tête. Il va revenir s’y cogner de nouveau jusqu’à ce que toute la croûte soit partie. Lorsque toute cette croûte-là se détache de sa tête, bien qu’il saigne et qu’il est blessé, il a l’assurance. Il va se relever et s’envoler avec les vieilles plumes qu’il a en poussant un cri. Il laisse échapper la pression. Pourquoi? Il sait qu’aussitôt que toute cette croûte s’est détachée, il va renouveler sa vie. Il se renouvelle. La nouvelle vie vient certainement lorsque toute la croûte disparaît.
35 Et lorsque je pense ce que... combien notre Dieu est glorieux pour se soucier de Son aigle, pour donner à cet aigle un moyen de renouveler sa vie lorsqu’il devient vieux... La seule chose qu’il a à faire c’est de cogner sa tête pour enlever cette croûte. Et c’est une chose merveilleuse.
Mais oh! je connais un autre Rocher contre lequel l’homme peut se cogner pour enlever la croûte du monde, jusqu’à ce que toute l’incrédulité tombe, tout ombre et toute chaîne tombent, jusqu’à ce que le monde sorte complètement de lui, et toute l’incrédulité, tout l’orgueil et toute la raideur sortent de lui à force de se cogner, alors, la nouvelle vie doit venir sûrement. Alors, vous pouvez laisser échapper la vapeur et commencer tout simplement à vous réjouir, parce que la nouvelle vie doit sûrement venir.
Aussi longtemps que vous pouvez faire sortir l’incrédulité de vous en cognant, ôter ces choses; n’adoptez pas un certain dogme, un certain credo ou quelque chose que l’homme a inventé, mais acceptez simplement la pure Parole de Dieu, croyez-La et restez là jusqu’à ce qu’Elle devienne une réalité pour vous. Je vous assure, la nouvelle naissance est en route. C’est exact. Nous pourrons alors laisser échapper la pression, parce que la nouvelle naissance est en route.
36 Je prêchais une fois là-haut dans les montagnes du Kentucky, et j’avais fait un–un appel à l’autel. Et un malabar était venu là, il voulait me jeter hors de l’estrade. C’était pendant la moisson du maïs, et il... la jambe de son pantalon était déchirée, et il avait un clou là-dedans. Il allait monter sur l’estrade pour jeter ce saint exalté de petit prédicateur hors de l’estrade. Alors on m’a dit qu’il venait. Et lorsqu’il est arrivé à la porte (il y avait là quatre ou cinq grands gaillards, les bras croisés comme ceci), je continuais tout simplement de prêcher. Et il a attendu un peu trop longtemps. Il ne pouvait pas directement atteindre l’autel. Il s’est effondré au milieu de la salle et il s’est mis à lever les mains en l’air, en criant: «Ô Dieu, aie pitié de moi, un pécheur», implorant à l’autel.
37 Et ensuite, lorsque le Saint-Esprit est descendu et a révélé et lui a dit ce qu’il avait fait, alors qu’il se tenait là... Voilà ce qui l’a neutralisé. Alors qu’il se tenait là, et qu’il lui a été dit qu’il courait avec cette autre femme (et sa femme était assise là, avec deux enfants), cela l’a confondu, l’acte même qu’il avait commis. Il a compris qu’il fallait plus qu’un homme pour faire cela. Il fallait Dieu pour faire une chose pareille. Et il a poussé un cri en venant à l’autel, il criait: «Aie pitié de moi, ô Dieu. Je suis un pécheur.»
38 Le lendemain, il est revenu, il a dit: «Frère Branham, j’ai fait un songe hier soir, où j’étais devenu un lapin me tenant là dans le champ.» Il a dit: «Un grand chien de meute me pourchassait.» Et il a dit: «Et j’ai détalé de toutes mes forces. Et je ne savais où aller.» Il a dit: «Et j’ai regardé sur la montagne, il y avait là un grand rocher ayant une ouverture.» Il a dit: «Je me suis dit que si jamais je peux atteindre ce rocher, je pourrais vraiment laisser échapper la pression.» Il a dit: «Le chien de meute était tellement proche que je pouvais sentir son souffle sur mes talons.» Il a dit: «Mais lorsque je suis entré à l’intérieur, je me suis assis et j’ai laissé échapper la pression.»
C’est une bonne chose qu’il faut faire. Il existe un Rocher où nous pouvons trouver... Il est un Rocher dans une terre altérée, c’est là où nous pouvons nous asseoir et laisser échapper la pression.
39 Et maintenant, mes amis, il est 11 heures, je sais que nous sommes censés partir maintenant. Et je suis très heureux d’être ici ce matin, ayant laissé échapper toute la pression, et de me tenir parmi des gens comme ceux-ci. Que le Seigneur vous bénisse très–très abondamment, et priez pour moi. Que Dieu vous bénisse. [Un frère s’adresse à l’assemblée.–N.D.E.] Amen. C’est très...?... [Espace vide sur la bande].
40 Vous avez tous compris que tout récemment j’ai failli me faire tuer. Vous–vous l’avez appris, au sujet d’un fusil qui avait explosé, un des... Monsieur Weatherby, par ici avait alésé un fusil. C’était un fusil qui était réalésé, et c’était un fusil Winchester. J’ai toujours désiré avoir un Weatherby Magnum, parce que je fais la chasse. C’est le seul exutoire que je possède. Et frère Art Wilson avait donné à mon fils un fusil modèle 270, excusez-moi, c’était un Roberts modèle 257. Et Billy est gaucher, il ne pouvait donc pas se servir de ce fusil, parce que c’était un fusil à culasse mobile, modèle 70, vous les frères qui faites la chasse... Et c’est–c’était mon...
41 Vous savez, ma mère, qui est allée au Ciel il y a quelques semaines, était une demi-Indienne; et j’aime tout simplement la nature. Et c’est là où je vais faire la chasse.
Et je–je ne suis jamais arrivé à... J’ai des amis qui auraient bien voulu m’acheter un fusil Weatherby. C’est vrai. J’en ai. Mais je ne voulais pas laisser un ami m’acheter un fusil Weatherby, et mettre autant d’argent dans cela, alors que j’ai des amis qui sont des missionnaires et qui n’ont pas des chaussures à porter. Je ne pouvais pas faire cela. Non, je ne pouvais tout simplement pas le faire.
Alors, un frère a dit: «Je vais faire aléser ce fusil pour toi, Billy, et ça marchera.»
42 Monsieur Weatherby l’avait alésé. Lorsque je l’ai récupéré, j’ai introduit une cartouche dedans, et je l’ai levé pour tirer comme cela, et cela m’a explosé au visage. Cela a projeté le canon à 50 mètres devant moi et la monture de ce côté. Et le–tout ce que je pouvais voir, c’était un feu rouge qui montait aussi haut que ce plafond comme cela, et le sang giclait et se rependait partout. Et je me suis relevé tranquillement. Je pensais que j’étais mort. Et c’était vraiment effroyable.
43 J’en ai tiré un petit–un petit message. Voyez, ce fusil, pour commencer, n’était pas un Weatherby. Si dès le départ cela avait été un Weatherby, ça aurait marché, parce que l’acier aurait supporté la pression. Cela a–ça a cédé à la pression qui s’était accumulée. Monsieur Weatherby a été très gentil. Il est venu chercher le fusil. Il n’arrivait pas à comprendre ce qui s’était passé, et je pensais que c’était la chambre à munitions qui avait causé cela.
Maintenant, (voyez-vous?) si ce fusil avait été un Weatherby, dès le départ, il n’aurait jamais explosé.
44 Et maintenant écoutez, mes amis, laissez-moi vous dire ceci: Lorsque vous sortez, professant le christianisme, ne prenez pas juste une idée de reconversion. Vous allez exploser tôt ou tard. N’essayez pas d’imiter quelqu’un d’autre. Ecoutez. N’essayez pas de faire semblant, d’adhérer à une église, ou de chanter des cantiques. Vous devez naître de nouveau et commencer dès le commencement. Alors, cela supportera la pression aussi longtemps que vous contiendrez cela pour que cela n’explose pas. Que Dieu vous bénisse. Et je suis reconnaissant du fait que, vous tous, vous allez prier pour moi maintenant. Dieu...
E-1 Numbered among a group like this, to be here this morning again. Brother Shakarian... [Blank.spot.on.tape--Ed.] The Lord spared his life. It certainly was news to me when I heard about it. But I'm so glad that the thing that we preach about, it also works among us, to see that God heals the sick and the afflicted.
And we just got a few moments, and about two minutes to speak. And then I'd like to pray for those in radio-land, and those who are needy.
E-2 We just left Southern Pines, North Carolina, where the Lord did a great miracle. One night when we was coming in... It was too late for the little lady who had arrived with a water-head baby to get a prayer card and get in the line. But she was standing behind the curtains with this precious little child, the tears streaming down her cheeks, like only a mother's love could go for a baby. And its little head was swollen in such a condition, its little eyes pushed out, great big veins over its head, and some kind of a shots that the physician had to give it each day in order to live through that day.
E-3 And as I passed by I looked over and seen the mother with the little baby, and I said to Billy, my son, "That poor little fellow..."
And he said, "And, daddy, she asked me for a prayer card." And said, "She--she was too late. I'd done give them all out."
I said, "Well, just tell them to sing the song again and ('Only Believe') and let me run down and pray for the baby."
And I went down and prayed for the little fellow and asked our Lord to be merciful to it. And the lady taken the little fellow home that night. And the next morning when she rose up, to her surprise, to look at the little fellow, the big veins was gone. The head was practically normal.
So she rushed it over to the doctor right away, and the doctor was so amazed, and he said it... He checked its blood, or what-ever they had to do for this shot. "Why," said, "it doesn't need it anymore."
E-4 And it made quite a stir around through the country. Just another testimony to the glory of God, to know that He--He answers prayer when the hearts are sincere and want to believe on Him. There's nothing too great for Him to do. And I believe that He just loves to do that for His people.
Now, they're going to hand me a group of requests, just in a moment, for those who called in on the phone and--to be prayed for. And you out in the--the radio-land, I want you to be ready, and be in expectations. And be perseverant that you're going to hold on to the promise of God, because the prayer of faith shall save the sick, and God shall raise them up. That's the Scripture.
E-5 And if you could only stand in this heavenly atmosphere that I'm standing in this morning, here in Clifton's Cafeteria, where there's literally hundreds of people pressed in here, all believers believing and is going to join in prayer with me to pray for you and for your loved ones. Whatever it is, why not just hold it up before God now and believe that God's going to hear us and answer prayer.
E-6 Now, you must continue with the faith that you have when you feel the Presence of the Lord is with you. Now, many people wonder what happens when they--seem like they are healed, and then after while they don't feel that way. But it's because that when prayer is being made, and the Presence of the Lord with you, faith mounts up. And then when faith leaves, well, then something's happened to you. You must remain with that faith. Don't never let that feeling leave you. Just always remember that God has answered. It's His Word. He just cannot go back on that. He must keep His Word. And in an encouragement to you, knowing that God made the promise...
E-7 And I believe that the Bible is God in written form. We know that "In the beginning was the Word, and the Word was with God, and the Word was God. The Word was made flesh and dwelt among us." And this is His promises. He gave them to us, and we must cherish them. And now, there's only one thing that will quicken this Word; that's the Holy Spirit. It brings life to the seed. And when the--pours out His Spirit upon the earth, as He has in these last days, whatever kind of a seed that Spirit pours upon... Which is the waters, just like...
Christ was smitten, like the rock in the wilderness to a perishing people that were dying, needing water, Christ was smitten that the water of Life might be poured out upon them.
Now, the congregation, if you in radio-land could only see, they're standing now. Be ready now for prayer. Lay your hand upon each other, upon the radio, or upon the place where you're sick, and then let us pray together.
E-8 Our gracious heavenly Father, as we are now approaching Thy throne of grace in that all-sufficient Name of the Lord Jesus... And we come believing and laying our prayers and our faith upon the altar with all these here for those that are in the land that are sick and needy this morning. Heavenly Father, it seems like another Acts 4. When the people prayed the building was shook where they were assembled, and the power of God moved upon the people.
May Satan turn loose every bound person in radio-land this morning that's listening in. May there be such a--a happening among them, until it'll be like the testimony we have just given about the little baby with the water-head. May every disease depart from the people. May the power that raised up Jesus from the dead, and has presented Him to us alive after two thousand years, may that power quicken every sick person and make them well. Grant it, Father. We commit them to You, now, with our prayers, with the sacrifice of Christ going before us, in the Name of the Lord Jesus Christ, and for His glory. Amen.
[A brother leads the song, "Only Believe"--Ed.] [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-9 The Scripture says that there would be a former rain and a latter rain. Well now, the Hebrew word (I cannot call it just now.), but "former rain" means "a planting of seed." See? So the seed is planted now and getting planted all out through these organizations.
Now, when the Spirit begins to fall in that great portion, It'll bring forth Its kind. So let's pray that the--the Holy Spirit will plant the Seeds all through that organization, and when the great gush does come that there'll be a crop come out of that.
E-10 Let us pray. Our heavenly Father, our hearts are stirred this morning with great emotions because of this opportunity to see the people coming in in this hour, when the evening Lights are beginning to shine. May the great power of God sweep down through that Seventh Day Adventist organization. From the leaders all the way to the least little church, may the Holy Spirit be poured out upon them, Lord. May they receive a Pentecost and a great gathering of souls to the Kingdom of God throughout the country. Grant it, Lord, across the world. Anoint these people... [Blank.spot.on.tape--Ed.] [Tongues and interpretation--Ed.] [Blank.spot.on.tape.] [A trumpet solo of "Battle Hymn Of The Republic." A brother sings a solo, "I Cannot Fail the Lord" and "How Great Thou Art" followed by a harmonica duet.]
E-11 Thank you. I don't know what to say. I'm just without words. I've heard so much till I'm just filled up. Isn't that wonderful? How our Lord... That's just... I'm so glad. I believe I felt led to come up here this morning. So good to be here, setting in heavenly places in Christ Jesus.
We're so thankful to hear Brother Harold's... I can't call his last name, so I'll just have to say Harold. To hear that how the Lord led him to that great place, and what they're doing.
I certainly will say this in connection with it, that when you go to the other lands, those people there, it takes a message of Pentecost to stir them people. See? They--they have all the theology, and all the--the tracts, and so forth. But they've got to see God in action. That's what attracts them. One altar call at Durban, my last meeting there, we recorded thirty thousand come to Christ as raw heathens at one time (See?), because they seen something they could put their hand on.
E-12 I'd like to say that, in regards to that, the great missionary to India, Hudson Taylor. There was a--a young Chinese boy come up one morning and said, "Dr. Taylor," said, "I have just received Christ in my heart, and my soul is on fire with the Spirit of God in me." Said, "Shall I study... What school shall I go to to study and get my B.A., and so forth like that?"
Mr. Taylor said, "Don't wait till the candle is half burned to show light."
That's right. I think so too. When... That's the trouble. The people wait, and they take them into those seminaries and take all out of them that God put in them. You see?
I--I think, go as soon as the candle's lit. If you don't know no more, tell them how it lit. That's all they have to know. Just--just tell them how it got on fire, and let them get on fire. The rest of it'll take care of it. Just--just go. Tell them how the candle was lit, and let them get lit, and they'll tell somebody else. And the candle-lighting time now... That's true, that's right. Now, I would be foolish to try to preach behind something like that. You know that.
E-13 Like I was up here one time at a fine school, and someone said, "Brother Branham, you've wrote a few books. I would like to confer on you a doctor's degree."
I said, "I'm too smart for it."
Said, "Why would you think that?"
I said, "They know my old Kentucky way of speaking; 'his' and 'hain't' and 'tote,' and... I'd talk that, and say I was a doctor? People got better sense than that. So I'm just too smart to do that." So we know our capacity.
But it's good to be here: this fine group. And just while I was listening to the--the joybells a ringing in every heart, a little Scripture came on my mind that I might use just for, I say for fifteen minutes or by about like, brother. He... I certainly feel little, and apologize to Brother Harold. I dropped up here this morning right at the time he was to speak, and then... up among the people. Then they called me up here. I feel real bad, and apologize. [Brother Harold speaks to the audience--Ed.]
E-14 Humility is a way to success. That's right. I invite you down to the meeting tonight, down to the... I called it the Cow Palace and got everybody mixed up. They once told me it was the Cow Palace, and I find out that's plumb at San Francisco. [Someone says, "Great Western Fairgrounds"--Ed.] Great Western Fairgrounds. And we're having a grand time down there, a group of brethren. We're just like, well, like a little picture I seen one time.
E-15 I was up in the northwest fishing, and I had a trout line (many of you fishermen brethren here), and I was packed out on my back with a little pup tent. And I was way back up into the mountains. And I had a little pup tent and some, you know, equipment. And I was catching trout. And I'd just catch enough for what I'd eat, and then turn the rest of them loose. And I just love to fish for those little brook.
And I had a moose willow behind me that was catching my line all the time. In the morning I thought, "Well, I'll go down and get me a--my hatchet, and cut those moose willows off, so my little Coachman wouldn't catch in the--in the willow."
E-16 And I left the tent, and went down, and chopped it down; and had my little axe, and caught my fish, and come back. And an old mother bear and her cubs had got in my tent, and they just tore it all to pieces.
And so, a bear is just like... You've heard of a bear in a china closet. It's not what they destroy--not what they eat; it's what they destroy. Had a little stove pipe, and she had just smashed that all to pieces just to hear it rattle.
And so, I noticed... And I--I do love... Now, anybody here from Kentucky? I love flapjacks, you know. They... You call them pancakes here, I believe. And so--and I--I like to put molasses on them. And--and I--I--I'm not--I don't sprinkle; I baptize. So I really pour it on, you know, so I have to bring plenty--plenty molasses.
E-17 And--and the strange thing when I come up, the old mother bear run away over to one side, and she cooed to the cubs, and one little cub run off with her. The other little cub just set there, had his back turned: a little bitty fellow it was in springtime. And I knowed better than to approach too close to that little fellow, because mother might scratch me. So I... And she kept cooing to it. And I noticed, "What's the matter with the little fellow?"
And I looked around, and he had his head all down like this, you know. He was moving his hand up and down. I thought, "What's he got?" I walked around, keeping a tree always in mind, so to get up the tree before she could get to me. And I walked around, and this little fellow had got my molasses bucket, and he got the--his--the lid off of it. And he didn't know, of course, how to drink it, and he'd just stick his little paw down like this, and lick it up over his face like this. And they love sweet stuff, and he was molasses from the top of his head to the bottom of his feet. And he would lick it.
E-18 And I hollered, "Get away from there." And he didn't pay a bit of attention to me. And his mother called him; he still didn't pay any attention to me. I thought, "Well, he's found something awful good." So when he looked around, he couldn't open his eyes--just sticking full of molasses, you know: funniest looking little fellow.
I thought, "Yeah, there's no condemnation to them that's in the patch. That's one thing sure." I thought, "Just like a real old Pentecostal meeting like this morning," got our hands down in the molasses jar just as far as we can, licking.
You know, the thing of it was, when he finally dropped the bucket and run off to them that was scared to come up there and get it, the rest of them licked him--so licking the molasses off.
So that's about what we've been doing this morning, licking molasses from these testimonies.
E-19 Enjoyed Sister Shakarian's testimony. And this little Stevie, how he's growed up here. I used to pat him on the head, and now he can pat me on the head. My, he's growed up, and made such a fine boy, and following his... No wonder, he's got a good background, something behind it. See Brother Demas here after all this, and Brother Williams, and oh, so many here. I don't know just how to say it, but I'm grateful to be here, this fine time of fellowship. And this is the kind of places that's just heavenly to me, just set together like this and have a great joy. Now, as we have rejoiced, can... Something come on my mind just a few moments ago, a Scripture. And just before we approach this Scripture could we just pray, just for a moment.
E-20 Gracious Father God, into Thy Presence we come now by the way of grace, by the bidding of our Lord saying, "Ask the Father anything in My Name, I'll do it." We know that it shall be given. We're grateful to You for this gathering today at this upper room. Oh, if this blind world could only see and feel the joy, every drunkard would come from the alley, O God, if they only knew what true joy was. They're trying to take and drink, and many are laying on the beaches, and in dance halls, trying to substitute something for this great joy that God brought them on earth to receive. God, I pray that there'll be light go from here today that will bring many into this saving knowledge and the joy of God be in their hearts.
Thank You, Father. As I quote these few words, bless them to the furthering of the service. In Jesus' Name. Amen.
E-21 Over in the book of Isaiah, I'd just like to quote from one just for a--just a few moments. Isaiah 32:2: "And the--the Name of the Lord is a mighty tower. He's a rock in a weary land, a shelter in the time of storm."
I would like to think of that, the rock in a weary land." And I... Seeing this group kind of brings something to my memory. That is, I'd like to state this, or text this, to say this: "Letting Off the Pressure." I think that's what's happened this morning.
You know, the world is built up under pressure. Everything is going at a breakneck speed, and they don't know where they're going. They go down the road at ninety miles an hour, to stop in a tavern and drink two hours 'fore they get home. And it just seems to be such a pressure: everybody irritable, pushing, shoving. And I--I just wonder what the cure is.
E-22 Then I remember a few days ago, our pastor... I'd come in, and I was late with my calls, and people gathering in, you know, internationally around there, and set in the hotels, and motels and things, waiting. And then the pastor was worn out. He couldn't make some of his calls, and some of them were emergencies. So I took some of his and went to ones--the--the City Hospital.
And the--a room 331, I believe, was the number. I was to go to a woman facing a--an operation. And I went down to 331, and the woman wasn't there. So I went back up, and a nurse was standing there patting her foot. And I said, "How do you do?" I said, "Could you tell me where Miss Such-a-name is?" I said, "She's supposed to be in 331."
She said, "Well, if she's supposed to be in 331, she is."
I thought, "Oh, my." I said, "Yes, ma'am. Thank you."
I went back to 331 again and they said, "Well, maybe it's 332, across the hall."
"No." Said, "She isn't here. It might have been 231."
So I went down the stairs, and there was a little doctor setting there at the desk, a little man. The first one I've ever seen as broad as he was high. So he was setting there at the switchboard, and I passed by, and I said, "Howdy do?" He just looked at me kind of strange, and I thought, "Uh-uh, I don't want to ask him."
E-23 So I went on down in the room, and there was a lady coming from the operation room (a lady with a mask over her face) and--and the nurse there at the floor. She went over to desk, and I said, "Lady, I'm a bit confused." I said, "I went upstairs to see a lady at 331, and she wasn't there. And I couldn't find... They said maybe she's at--at 231."
She said, "Well, then, look in 231."
I said, "Well, thank you." My.
I couldn't find 231. So I went sort of down the hall. The little doctor was walking along with his stereoscopes in his hand, twisting them around like this. I said, "Good evening, sir." I said, "I'm looking for 231. Could you tell me?"
He said, "This a way and that way."
I said, "Thank you for your information." What is it?
I went back, and there was another lady setting over to the desk, and I thought she looked pretty calm, so I said, "Lady, could you tell me?" I told her my story. I said, "I'm a bit confused. I'm a minister. I'm here to make a call."
She said, "Just a moment, sir." She went over, looked on the books, said, "Yes. Go right around the corner. She's... And she's in 241."
So I thought, "Well, praise God, somebody had the pressure off."
E-24 See? It's just a built-up pressure. It's the age that we're living in: a neurotic age where people don't know what to do, where they're going. And the doctors don't have the answer for it, because the psychiatrists is being doctored by the psychiatrists. So they have not the answer.
But there's some answer surely, somewhere. We could deal on it for hours. But I was just thinking that God has the answer. If they could just set in a place like this, takes off the pressure (See?), with people who are--are entered into eternity. We are not going into it; we're already in it. That's right.
E-25 Speaking the other night... I don't say anything that's worth anything, but sometimes the Lord gives me something. And when I do, I think it's profound, because He give it to me. And I was thinking that (I spoke on it at a meeting the other night.) how that God's children, one time slaves, nothing to eat and just living bere--mere conditions that they were in. And down out of the wilderness came a prophet, and told them of a land that was flowing with milk and honey.
E-26 And now, they'd never been to that land. They knowed nothing of it, but they followed him. Finally they came to Kadesh-barnea. And there Joshua, the great warrior (meaning Jehovah-Saviour) went over the Jordan, and brought back the evidence that that land was there--where a man could live in peace, raise his family, his children, and be a nation, and God would bless them. And how that he brought back the evidence that God had not lied to the people, that the land was there. And it was a good land. It was flowing with milk and honey. They brought back a bunch of grapes that two men carried.
Then, after while man had to die. Of course, after he'd lived and raised his children, he had to face the graveyard. Finally this great land become a... All the hillsides (or many of the hillsides, I should have said) became graveyards, and the blessed ones laid on these graves.
E-27 Then there came another great warrior once: Jesus of Nazareth, Jehovah made flesh dwelling among us. He came down and told us that "In My Father's house there are many mansions." Though you have a land, you can raise your homes, and a raise your children and raise your crops and... But there is a land where man doesn't die, where you don't have to get old and die. And He was the Joshua in our--for us, and He came to His Kadesh-barnea, the judgment seat, which Kadesh was the judgment seat. And there, Kadesh-barnea for Him was Calvary, where He bore all of our sins.
E-28 And then He crossed over what we call Jordan (death) and come back on Easter morning, bringing the evidence to us that man can live after death. Then He brought back a group of grapes too, and He told them to wait up there to the day of Pentecost. They all got a bite of it, and got the--the evidence that man is--is--can live again, and we are living again. We have raised from the things of death unto new life, and now we set together in heavenly places already in Christ Jesus, already in eternity, because we become a part of His Life, Eternal Life. And Eternal Life is God's Life--God's, because we're sons and daughters of God. Everything had a beginning has an end. So it's those things that had no beginning has no end, and that was only God. So we become part of His life.
E-29 Think of it. God, on the day of Pentecost, that Pillar of Fire separated and tongues of fire set upon each of them, God separating Himself in--dividing Himself, amongst His people. We become God's own Life in us. Then we are dead to the things of the world, and have risen with Christ and setting in heavenly places, looking back to where we come from. It's enough that we could think of that.
And it lets off the pressure, takes the pressure away when we recognize the position that we now hold in Christ by receiving the Holy Spirit--God's own Life (The Greek word "Zoe" which means God's own Life.) dwelling in you. And you can no more die than God can die. We're eternal with the eternal (Amen.), waiting for that glorious time of redemption of the body.
And now we are already dead, and our lives are hid in God through Christ and sealed by the Holy Spirit. The devil is out of the picture altogether. And when we set together like this in heavenly places with Christ, in Him, then we can certainly let off pressure.
E-30 I take for instance that great night down in Egypt (what we all think of, that great Passover night) that when all Egypt was bothered. Everybody was running from house to house, and screaming going on everywhere. But Israel could set just as calm in the midst of trouble. They had one thing to do: apply the blood to the lintel, and there would--you could rest calmly. And if Israel could look upon the post by the applied blood, and know that death would pass over (that was the Blood of the Lamb in figure), how much more can we rest assured when God...
E-31 Not to speak against my Baptist brethren... As a brother just said, they said, "We received the Holy Ghost when we believed." Paul said, "Have you received the Holy Ghost since you believed?"
A great Baptist brother met me not long ago, and he said to me, he said, "Brother Branham, you being a Baptist," he said, "that--that sounds incredible for you to say that we do not receive the Holy Ghost when we believe." He said, "Abraham believed God and it was imputed unto him for righteousness."
I said, "And God gave him the seal of the confirmation. He had received his faith, when He give him the seal of circumcision. Therefore, the circumcision now is the Holy Ghost. It circumcises our heart, and know we've passed from death unto Life. We've raised up with Christ in resurrection." I said, "Now, when we know that, we look back at our lives and see what we were."
E-32 If the colored people are here, excuse this expression. But the colored lady who gave the testimony at the convention one time, she said--got up and gave her testimony. She said, "Well's, I want to say this," she said. "I--I ain't what I ought to be, and I ain't what I want to be. And then again, I know I ain't what I used to be." So that was--that was it.
So we know that we have passed from death unto Life because we are alive. We're not what we used to be. Oh, it's wonderful to know that the pressure can be let off. That's all. "The Name of the Lord is a mighty tower that the righteous run into. And He is a rock in a weary land," a rock in a weary land.
E-33 I was reading some time ago of a great eagle. I preached once in the convention of the eagle, because the only way I know how to speak is watch nature, and God lives in nature. Watching the eagle, seeing its traits... And up at the temple up here, preaching on the "Lamb And The Dove," the nature of them... And see, all them things are just God speaking to us.
And there's one type of eagle (There's forty different kinds of them.), means "a ripper with the beak." And this eagle, as he gets old, there's a crust comes over his head. And he gets old, he goes blind almost, and he can't hardly get around.
E-34 Finally, when he gets weary, and all of his feathers are getting loose so he cannot fly very high anymore, then he goes till--he goes high into the mountains till he finds a certain rock. There he sits at that rock now. The job is that he's got to beat his head against that rock until all that crust flies off. And they say he will beat and beat until his head will bleed. He will almost knock himself out. He will come back and beat again until all the crust is gone. When all that crust goes off his head, though he's bleeding and wounded, he's got the assurance. He will raise up and flop what feathers he's got and scream out. He lets off the pressure. Why? He knows as soon as all that crust is gone, he's going to renew his life again. He gets renewed again. New life is sure to come when all the crust is gone.
E-35 And when I think what--how great a God is to be mindful of His eagle, to give that eagle a way to renew his life when he's old. Only thing he has to do is beat the crust off. And that's a great thing.
But oh, I know another Rock that a man can beat the crust of the world off there, until every unbelief has dropped, and every shadow and every fetter has dropped, until he has got all the world beat out of him, all the unbelief beat out of him, all the pride beat out of him, all the starch beat out of him. Then new life is sure to come. Then you can let off the steam and just start rejoicing because new life is sure to come.
As long as you can beat the unbelief out of you: take things, and not take some dogma, some creed or something that some man has made up; just take the unadulterated Word of God, and believe it and stay there until It becomes a reality to you. I'm telling you; new birth is on its road. That's exactly. We can let off the steam then, because new birth is on its road.
E-36 I was preaching up in the mountains one time in Kentucky, and I made a--an altar call. There was a great big old fellow come back there, was going to throw me out of the meeting. Was in corn-cutting time, and he--he had just had his trouser leg ripped open, and he had a nail in it. And he was going to go up there and throw this little holy-roller preacher out. So they told me he was coming. And when he come to the door (four or five great big bullies, and arms closed like this). I just kept on preaching away. And he waited a little too long. He couldn't get to the altar quick enough. He fell in the middle of the floor and begin to throw his hands up, crying, "God, be merciful to me a sinner," calling out at the altar.
E-37 And then when the Holy Spirit come down and revealed, and told him what he would done, standing there... That's what got him. When he stood there, and told him that another woman he was running with (and there set his wife, and two children setting there), shamed him to the very act that he had done. He knowed that it took more than man to do that. It took God to do something like that. And he screamed coming to the altar, crying, "Be merciful to me, God. I'm a sinner."
E-38 The next day he come back, he said, "Brother Branham, I had a dream last night that I was a rabbit setting out in the field." And he said, "A great hound got after me." And he said, "I started running for all that was in me. And I didn't know where to go." And said, "I looked up on the mountain, and there was a big rock and it had a hole in it." He said, "I thought if I could ever get to that rock, I could just let off the pressure." He said, "The hound was so close till I could feel his breath on my heels." He said, "But when I got in, I set down and let off the pressure."
That's a good thing to do. There is a Rock that where we can find... He's a Rock in a weary land, there where we can set down and let off the pressure.
E-39 And now, friends, it's eleven o'clock, and I know we're supposed to go now. And I'm so glad to be here this morning with all the pressure off and setting amongst people like this. The Lord bless you real, real good, and pray for me. God bless you. [A brother speaks to the congregation--Ed.] [Blank.spot.on.tape--Ed.]
E-40 You all understood that just recently I'd almost gotten killed. You--you knew that, about a rifle blowing up, one of the... Mr. Weatherby, down here, had bored out a rifle. It was a rebored rifle, and it was a Winchester. I've always wanted a Weatherby Magnum, 'cause I've hunted. And that's the only outlet I have. And Brother Art Wilson gave my boy a .270; I beg your pardon, it's a .257 Roberts. And Billy's left-handed, so he could not use the gun, because it was a bolt action model 70, you brethren who shoot guns... And that's--that's been my...
E-41 My mother, you know, that just slipped to heaven a few weeks ago was a half-Indian, and I just love the outdoors. And that's where I get my shooting.
And I--I never could... I've got friends that would've brought me a Weatherby gun. That's right, I have. But I couldn't think of letting a friend buy me a Weatherby gun, and putting that much money in it, when I got missionary friends ain't got shoes on their feet. I couldn't do that. No, I just couldn't do it.
So a brother said, "I'll have that gun bored out for you, Billy, and it'll be all right."
E-42 Mr. Weatherby bored it out. When I brought it back, I put the shell in it, and raised to fire it like that, and it blowed up in my face. It blowed the barrel fifty yards in front of me, and the stock this way. And the--all I see was red fire as high as this ceiling go up like that, and blood was spurting all over everything. And I raised up peacefully. I thought I'd passed on. And it was such a tremendous thing.
E-43 I got a little--a little message out of that. See, that rifle wasn't started a Weatherby. If it would been started at the beginning a Weatherby, it would've been all right, because the steel would've held. It got--it got pressure off it. Mr. Weatherby's so nice. He searched the rifle. He couldn't tell what happened, but I thought it was head space that did it.
Now, (See?), if that rifle would've started at the beginning, and come up a Weatherby, it'd never blowed up.
E-44 And now listen, friends, let me say this to you. When you go out professing Christianity, don't just take a reconversion idea of it. You'll blow up sooner or later. Don't try to impersonate someone else. Look. Don't just make out, and join church, or sing the songs. You got to be borned again and start from the beginning. Then it'll hold the pressure as long as you got it so it won't blow up. God bless you. And I'm thankful you all praying for me now. God...