Se Revêtir De Toutes Les Armes De Dieu

Date: 62-0701 | La durée est de: 1 heure et 57 minutes | La traduction: Shp
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1          Merci, Frère Borders. Et inclinons maintenant le coeur juste un instant pour un mot de prière.

            Père céleste, pendant ces nombreuses années, j’ai entendu ce cantique m’inviter à l’estrade dans toutes sortes de langues à travers le monde. Je Te remercie, Seigneur, de ce que tout est possible. Nous pouvons nous représenter les disciples au bas de la montagne tout à fait vaincus, après que Tu leur eus donné le pouvoir de guérir les malades, de ressusciter les morts et de chasser les démons. Et là, ils étaient totalement et complètement vaincus devant un cas d’épilepsie.

2          Mais le Maître de la foi vint, descendant le flanc d’un coteau. Le père, ayant accouru vers Lui, dit: «Seigneur, aie pitié de mon enfant. Il a un démon, et souvent il tombe dans le feu et devient tout raide.» Et il a ajouté: «Je l’ai amené auprès des disciples, mais ils n’ont pas pu le guérir.»

            Et nous voyons qu’Il a dit, alors que le vent soufflait un tout petit peu et que Ses cheveux flottaient au vent: «Je le peux, si tu crois. Car tout est possible à ceux qui croient.» Père, cela est encore vrai aujourd’hui: tout est possible quand tout doute peut être dissipé, et que la foi peut occuper sa place. Et puissions-nous d’une manière ou d’une autre aujourd’hui, par la puissance du Dieu Tout-Puissant, être en mesure de le faire: dissiper toute ombre de doute et obtenir que tout ce qui est–tout soit possible pour nous. Nous Te remercions pour ces glorieuses réunions, pour les ministres, pour leurs églises, les gens, leur collaboration, pour l’auditoire. Nous Te remercions, Seigneur, pour tout ce qui a été fait. Nous prions, Père, que tous les efforts que chacun de nous a fournis soient bénis et multipliés. Et puisse cela revenir vers Toi comme du pain sur la face de l’eau, en pardonnant tous nos péchés et en guérissant nos maladies, en nous aidant à vivre dans ce monde présent, d’une manière telle que les gens voient Christ en nous.

            Il y a aujourd’hui beaucoup de mouchoirs qui sont déposés ici; ils sont déposés à l’estrade sur cette chaire. Je Te prie, Père, de bénir chacun d’eux. Ils représentent des gens malades, des affligés. Et je prie que le Saint-Esprit qui est présent maintenant bénisse ces mouchoirs pour le but pour lequel ils ont été envoyés. Tu as vu chacun d’eux, Seigneur. Tu as mis cela sur leur coeur, de les déposer ici. Tu savais ce dont les gens avaient besoin et je Te remercie de ce que ces gens ont une si grande confiance, Seigneur.

            Maintenant, j’offre ma prière sur l’autel avec la leur, et prie qu’au Nom de Jésus-Christ Tu guérisses chacun d’eux, Seigneur, du plus jeune au plus âgé, du plus malade au mieux portant. Accorde-le, Seigneur. Puisse cela être accompli par la puissance de Christ, car nous le demandons en Son Nom. Amen. Vous pouvez vous asseoir.

3          J’ai... les mots me manquent pour dire combien j’apprécie ces moments de communion ici à Santa Maria. Je suis très reconnaissant à ce groupe de ministres qui ont parrainé ce programme. Et je les apprécie, sachant que dans leurs organisations respectives et tout, ils ont... Pour m’avoir ici, ils ont couru des risques, ils se sont mis en quatre pour faire des choses de ce genre, parce qu’on m’accuse de combattre les organisations, mais cela n’est pas vrai. C’est bien loin de la vérité. Je n’ai rien contre une quelconque organisation, rien du tout. Mais je ne crois pas au système dénominationnel. Je–je crois aux hommes qui sont dans ces organisations.

4          Par exemple, si je vous voyais descendre une rivière rapide à bord d’un petit canot, alors que j’étais sûr que ce canot sombrerait quelque temps après, et que ça ne pourrait pas surmonter ces rapides, je serais un injuste... Je serais un –votre ennemi si je vous laissais naviguer droit à travers ces rapides, sans vous avertir pour descendre de ce canot. Voyez-vous? Ce n’est pas–ce n’est pas que j’aie quelque chose contre vous; il s’agit du canot à bord duquel vous vous trouvez. Voilà la chose. Vous voyez? Je–je vous aime. Je suis–je cherche à vous aider. Et ces hommes le savent, et ils... et ils ont couru des risques (comme on le dit) et se sont mis en quatre pour m’avoir ici. Et je vais... en gardant le Message aussi simple que possible, par de petites illustrations et autres, afin d’essayer d’être une bénédiction pour vous tous.

            Et je suis sûr qu’en partant d’ici, j’emporte une bénédiction pour avoir été avec vous. J’ai éprouvé une grande joie dans mon coeur de voir qu’il y a toujours sur la terre des gens qui, même après que le réveil est terminé, essayent toujours d’aller de l’avant pour le Royaume de Dieu. J’apprécie les hommes de ce calibre, et je... et vous. (Je suppose que toutes les dettes ont été payées. Tout?) Toutes les dépenses ont été effectuées. Vous avez dû parrainer cela. Vous avez dû supporter cela. J’aurais souhaité payer cela moi-même, mais je–je ne peux pas le faire. Mes moyens ne le permettent pas; je n’ai pas autant d’argent. Et je... La raison pour laquelle je peux venir aux petites réunions, comme je l’ai expliqué...

5          Or, il y a certains de nos frères, tels que frère Roberts, et beaucoup de ces hommes qui ont de grandes oeuvres, et ils ont des chaînes de radio et de télévision, et ainsi de suite, si bien qu’il leur faut beaucoup de milliers de dollars chaque jour pour financer cela. Voyez? Il leur faut avoir cela.Eh bien, le Seigneur sait toujours ce qu’Il fait. Il savait–Il savait qu’Il ne fallait pas me mettre dans une histoire pareille. Cela me rendrait fou. Voyez? Je–je ne saurais le faire. Je n’ai simplement pas les facultés intellectuelles pour le faire, et... Mais Il a permis que j’aie des gens qui m’aiment, et je... et j’essaye de prendre le peu que j’ai pour contribuer au Royaume.

6          Eh bien, frère Roberts, frère Allen ainsi que tous ces autres frères qui tiennent ces grandes réunions, nous travaillons tous pour un seul Royaume, vous voyez, vous voyez, nous travaillons tous pour un seul lieu. Et chaque personne essaie, avec les dons que Dieu lui a donnés, d’introduire des âmes dans ce Royaume.

            Eh bien, avec ma petite contribution, j’essaie de joindre ma contribution à la leur, afin de vous pousser à monter vers le Père, et je n’ai besoin que des–des frais, de la réunion, des gens. Je tenais cela dans les églises. Je l’ai fait jusqu’à ce que cela était devenu très pitoyable, dans les pays froids et chauds, et les gens restant debout autour des églises, des petits enfants malades pour qui on devait prier, et les femmes, et les gens étaient déçus. Ainsi donc, nous avons dû laisser les gens louer des auditoires, et les laisser simplement en supporter les frais. Cela a été adopté. C’est tout ce qu’il en est. Cela règle le problème.

7          Et je suis–je suis très reconnaissant pour les hommes de grand calibre qui tiennent de grandes réunions et tout. Je suis très reconnaissant pour ces hommes. Il n’y a pas longtemps, je me suis tenu à côté de frère Roberts, l’un de ceux qui ont le plus de succès en cette matière et dans le... là dans le champ missionnaire aujourd’hui, je pense, c’est frère Oral Roberts, un brave frère chrétien. Et je venais de visiter frère Tommy Osborn. Et ces deux frères sont entrés dans le ministère après avoir assisté à l’une de nos réunions, quand nous venions de commencer. Et puis, je–je...

8          Et Tommy Osborn, tout le monde connaît ce précieux frère, c’est–c’est l’un des hommes les plus braves. C’est vraiment un bien-aimé. Et j’ai été chez lui, j’ai vu sa grande oeuvre pour le Seigneur, j’ai vu ses livres, ses secrétaires ainsi que les grandes machines IBM.

9          Et je suis allé ensuite chez Oral, et j’ai parcouru ce magnifique bâtiment qui vaut des millions de dollars. Oh! les importations qu’ils ont faites, le plafond tout tissé des fils en aluminium, et oh! je me suis senti malpropre de marcher sur les planchers du–du bâtiment, et de grands bureaux, et voir cinq ou six cents machines IBM en marche. Et le courrier ne passait même pas par les mains humaines. Voyez-vous? Il entrait simplement là, passait par la machine, traversait, et en sortait ouvert, descendait à travers les transporteurs, à travers ceci et sortait, il continuait comme cela, sans jamais être touché par les mains humaines. Et je me suis dit: «Oh! la la! Quel système!»

            Ensuite, on mettait... Quelques-uns de mes amis attendaient dehors devant. Puis le grand groupe s’est réuni là, et je ne pouvais plus sortir par la sortie de devant. Ils ont dû me faire sortir par la sortie de derrière. Et je suis sorti: deux agents de police sont entrés et m’ont aidé à sortir. Je suis entré dans le terrain du parking là, de l’autre côté, et je me suis tenu là en train de regarder. Pas de fenêtre dans le bâtiment, juste une sorte d’éclairage indirect. Comme c’est parfait! Vous voyez les gens prendre une pause-café, et des centaines et des centaines. Et je me suis dit: «Quel hommage à la foi d’un seul homme, un jeune garçon d’Oklahoma, à qui Dieu a accordé une telle chose.» Je me suis dit: «Ô Dieu! je Te remercie pour cela.»

10        J’ai jeté un coup d’oeil là chez un brave jeune frère, Tommy Osborn. J’ai pensé à lui, comment il était là... là à Salem ce soir-là, c’était plutôt à Portland, dans l’Oregon, quand ce fou a accouru vers l’estrade et m’a défié. Il se peut que ceux qui sont ici aient été là quand cela était arrivé. Il a failli me tuer juste là à l’estrade. Et je parlais de la foi. Il a dit: «Ce soir, je vais te casser tous les os du corps, toi espèce de traître», et il a craché sur moi.

            Et je–je ne savais pas mieux que de me taire, et j’ai simplement attendu. Puis, le Saint-Esprit a dit: «Puisque tu as défié l’Esprit de Dieu ce soir, tu tomberas à mes pieds.»

            Il a dit: «Je te montrerai aux pieds de qui je vais tomber», et il a levé son poing pour me frapper.

            Et j’ai dit: «Satan, sors de lui, au Nom de Jésus», et il est tombé sur mes pieds au point qu’il m’a coincé sur le plancher.

11        Et Tommy et les autres ont vu cela. Il est rentré chez lui et s’est enfermé dans une chambre, il a attendu trois ou quatre jours, puis il est venu chez moi, dans l’Indiana, il a accouru vers ma voiture, un petit homme nerveux. Il a dit: «Frère Branham, pensez-vous que Dieu m’ait donné un don de guérison?»

12        J’ai dit: «Tommy, il arrivera que cette question au sujet des dons de guérison finira très loin dans les ordures et le gâchis, au point que ce sera affreux. Il y aura une grande foule de gens de toutes espèces qui se lèveront avec ceci. Il y aura toutes sortes de sensations, des ismes, et tout le reste qui se lèveront, au point qu’il arrivera que chaque personne devra avoir une sorte de ministère de guérison, sinon ils ne sentiront même pas qu’ils sont dans le champ missionnaire. Et c’est seulement pour rabaisser l’homme qui essaie absolument à garder sa position. Rappelez-vous, vous êtes tout aussi important que n’importe qui d’autre dans le Royaume de Dieu.» Et ainsi... Et j’ai dit: «Dieu vous a appelé à prêcher l’Evangile, n’est-ce pas?»

            Et il a dit: «Oui.»

            J’ai dit: «Vous avez l’air d’un jeune homme qui promet.» J’ai dit: «Donc, la guérison divine va de paire avec la prédication de l’Evangile. (Et c’est vrai.) Ainsi, priez tout simplement pour les malades.» Et c’est ce qu’il a fait. Oh! comme Dieu a béni ce garçon: habile, intelligent!

            Je me suis tenu là et j’ai regardé tout autour. Je me suis senti à peu près grand comme ça, en me tenant là devant ce gigantesque bâtiment, regardant tout autour. Je me suis dit: «Oh! la la!»

13        J’ai eu en quelque sorte une petite sensation bizarre sur moi, et j’ai pensé à Tommy là-bas, et à Oral ici; et j’étais dans le champ missionnaire avant tous les deux. Et, oh! la la! je serais gêné s’ils venaient dans mon bureau: une petite machine à écrire installée au bout de la roulotte, et je cherche quelqu’un pour m’aider à répondre aux lettres, et ainsi de suite. Je me suis dit: «Oh! la la! ce que...» J’aurais certainement honte de moi-même comme cela.

            Je me suis dit: «Eh bien, ô Dieu! je pense que je n’étais simplement pas... Tu ne pouvais pas me confier autant de choses, autant de choses comme cela. Il se peut que j’aie fait quelque chose qui n’était pas correct, alors peut-être que Tu n’as pas pu me faire confiance.» Peut-être que c’est ce qu’il en était.

            Et maintenant, ce n’est pas pour dénigrer les frères, ou pas... J’espère que cela ne paraît pas sacrilège, mais tout aussi clair que vous entendez ma voix, une Voix m’a parlé, disant: «Je suis ta portion.»

            J’ai dit: «Merci, Seigneur. Je suis heureux d’avoir cette portion.»

            «Je suis ta portion.»

            Ainsi, j’ai pensé que cela paraissait... m’a fait du bien. Je pense qu’Il l’a fait simplement pour m’encourager, car j’ai senti comme si je n’avais rien fait alors que je me tenais là et les observais, ce que Dieu avait fait pour ces frères.

            Puis, je me suis dit que peut-être, à la fin de ma route, quand j’aurai finalement apporté mon dernier sermon et que j’aurai offert ma dernière prière, Il me donnera peut-être une petite portion de Lui-même quelque part là-bas. Et j’espère être là en ce jour-là avec vous tous.

14        Chose étonnante, un petit garçon, un tout petit garçon, apparemment de pas plus de douze ans (Je ne le vois pas ici), et ayant sur la main une petite bandelette de huissier, s’est approché il n’y a pas longtemps et a frappé à la fenêtre. J’étais assis là en train de lire une Ecriture. J’étais en train méditer une Ecriture sur laquelle prêcher cet après-midi, et je–j’examinais pour être sûr que j’avais l’Ecriture au bon endroit. Et j’en avais quelques-Unes écrites ici, et je–j’étais en train de Les vérifier. Et ce petit garçon s’est approché, il a dit: «Frère Branham, puis-je vous prendre une photo?»

            Et j’ai dit: «Oui. Bien sûr que oui.» J’ai dit: «Si ton appareil photo réussit à le faire.» Je suis donc allé dehors. Il m’a pris une photo. J’ai dit: «Tu ferais mieux de l’examiner. Il se peut que ce soit raté.» Et il a simplement ri, un petit garçon mignon.

            Et il a dit–il a dit: «Je ne le pense pas.»

            Et j’ai dit: «Eh bien, j’espère que non.» Puis, il s’est retourné et m’a regardé. J’ai demandé: «Est-ce que tu habites par ici?»

            Il a répondu: «Oui.»

            J’ai dit: «Vous avez certainement le plus beau climat par rapport au climat de partout où j’ai déjà été.»

            Et il a dit: «Merci.» Il a dit: «Eh bien, Frère Branham, je ne voudrais pas vous retenir. Je sais que vous êtes en train de méditer. Et si jamais je ne vous revois pas ici, je vous rencontrerai de l’autre côté.» Un petit garçon, il était un jeune huissier.

15        Je me suis dit: «C’est vrai.» Oui.

                 En nous séparant, laisser derrière nous

                 Des empreintes de pas sur le sable du temps;

                 Des empreintes de pas que peut-être un autre,

                 Pendant qu’il est en train de naviguer sur l’océan solennel de la vie,

                 Un frère désespéré et naufragé,

                 En les voyant, reprendra courage.

            C’est vrai. Voyons d’où nous venons; et laissons les empreintes de pas afin que, s’il y a un lendemain, ceux qui viendront suivent ces empreintes de pas. Soyons sûrs qu’elles conduisent droit au Calvaire, car c’est cela le lieu. Encore une fois, merci à vous tous.

            Et maintenant, peut-être qu’il n’y a pas... le... je ne sais pas qui se charge de cette salle d’armes, que ce soit le–l’officier du jour, ou que ce soit le... qui que ce soit; ou–ou qu’il s’agisse d’un comité, ou... qui que ce soit, je voudrais lesremercier pour ce précieux temps qu’ils nous ont accordé, et pour ce bâtiment de l’armée.

16        Et je ne m’y connais pas tellement en ce qui concerne l’armée. J’avais toujours désiré devenir un soldat. Vous avez appris l’histoire de ma vie, comment quand je parcourais les magazines et que je voyais les soldats, je–je–je désirais ardemment avoir un uniforme, et je–je pense que cela fait un honneur d’avoir... de porter l’uniforme des Etats-Unis, à voir ce que nous représentons... un grand honneur. Pendant la Première Guerre mondiale, j’étais trop petit. Je n’avais qu’environ quatre ans. Et au cours de la dernière Guerre mondiale, j’étais trop vilain ou quelque chose de ce genre. Ils ne m’ont pas pris, ainsi ils–ils ne m’avaient pas accepté.

             Je suis allé me faire enregistrer comme prédicateur, et on m’a posé la question: «Etes-vous marié?»

            Et j’ai répondu: «Oui, monsieur, je le suis.»

            Et on a dit: «Nous admettons les prédicateurs dans la classe 4-H.» Et on a dit: «Nous les appelons quand nous avons besoin d’eux.»

            J’ai dit: «J’attendrai, monsieur. J’aimerais certainement aller là, et encourager les jeunes gens, faire tout ce que je peux.» Ils ne m’ont jamais appelé, je pense donc qu’ils–qu’ils n’ont pas eu besoin de moi. Ainsi...

17        Je me rappelle que je désirais ardemment porter un uniforme, je... Un jeune homme avait une tenue de Scout, et je lui ai dit: «Quand tu l’auras usée, voudras-tu me la donner?» Et il a dit qu’il le ferait. Et finalement deux ou trois ans sont passés, et j’ai continué à demander cette tenue. Et il a cherché à la retrouver, et il n’en a retrouvé qu’une jambe. Et j’ai pris cela, et j’ai porté cela, juste cette jambe. Je me suis tenu au tableau, en classe, pour écrire, et j’avais porté cette jambe à la jambe droite, je pouvais donc me tenir de cette façon, vous savez, pour écrire de côté. Tout le monde pensait que j’en avais porté deux, vous savez. Je n’en avais porté qu’une seule. C’était donc un uniforme. Mais j’étais toujours en quelque sorte un petit, et...

            Vous savez, après tout, je–je me suis procuré un uniforme. Il se peut que vous ne voyiez pas cela de l’extérieur, mais ça se trouve à l’intérieur comme... Je vais en parler juste dans quelques minutes. Et j’espère que je peux vivre de sorte que cela se fasse voir à l’extérieur. C’est là ma prière.

            Lisons maintenant dans les Ecritures, le chapitre 6 des Ephésiens, en commençant au verset 10.

          Au reste, mes frères, fortifiez-vous dans le Seigneur, ... par sa force toute puissante.

          En vous revêtant de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable.

          Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.

          C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté.

          Tenez donc ferme: ayez à vos reins la vérité pour ceinture; revêtez la cuirasse de la justice;

          Mettez pour chaussures à vos pieds le zèle que donne l’Evangile de paix;

          Prenez par-dessus tout cela le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin;

          Prenez aussi le casque du salut, et l’épée de la foi, qui est la parole de Dieu.

            L’armée des Etats-Unis ne m’a pas retenu, parce que, je pense, il y avait des gens plus qualifiés. Mais je suis heureux d’avoir été enrôlé dans une armée, celle du Seigneur. Et Il m’a donné un uniforme.

18        Ici, Paul est en train de parler, il parle de la préparation d’un soldat pour la bataille. L’Evangile a beaucoup d’applications. Vous pouvez comparer cela à l’une ou l’autre chose. Et Paul en parle comme d’un coureur dans Hébreux, chapitre 12. «Puisque nous sommes environnés d’une si grande nuée de témoins, rejetons tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement,...» Là, il parle des jeux olympiques, ou peut-être du Cirque romain. Et maintenant, il parle donc des hommes armés qui vont livrer bataille et de la manière dont ils doivent se préparer.

19        Je me disais cet après-midi, étant donné que nous clôturons ici dans cet arsenal aujourd’hui, que je pourrais prendre ceci comme sujet: «Se revêtir de toutes les armes de Dieu.» Soyez équipés, soyez prêts, car nous n’avons pas à lutter contre le sang et la chair, mais contre Satan, l’ennemi de Dieu, les dominations, et la méchanceté, et les esprits mauvais, les esprits méchants dans les lieux célestes. Et nous courons vers le but de la vocation céleste, et nous sommes certainement dans une bataille.

            Et aucune nation n’osera envoyer un homme sans formation sur le champ de bataille. Il pourrait non seulement se faire tuer lui-même, mais aussi un autre groupe. Il ne sait pas comment s’y prendre; par conséquent, il doit être formé à cette fin. Et les nations sont sages à ce sujet. Elles préparent leurs hommes.

20        Maintenant, le système d’espionnage du monde entier, vous savez, est tel que, même si nous entretenons des amitiés avec d’autres nations, par exemple l’Angleterre et–et nos–nos alliés, nous avons néanmoins des espions en Angleterre, et l’Angleterre a des espions ici. Et nous avons des espions dans le monde entier, et le monde [entier] a des espions ici, que nous soyons des amis ou non. C’est le système qu’ils utilisent. C’est comme si dans ces affaires des nations, on ne peut faire confiance à personne.

21        Et savez-vous pourquoi? C’est parce que le monde entier est dirigé par Satan. Chaque royaume dans le monde est dirigé par Satan. Nous avons horreur de penser ainsi, mais c’est l’Ecriture. Vous savez, l’ennemi a fait monter notre Seigneur sur une montagne très très élevée et Lui a montré tous les royaumes de la terre, et il a dit: «Ils m’appartiennent tous. J’en suis le maître. J’en fais tout ce que je veux, et je Te les donnerai.»

22        Observez la sagesse du Seigneur Jésus, Il s’en est tenu à la Parole de Dieu. Il savait qu’Il hériterait cela dans le Royaume, dans le Royaume qui vient dans le millénium. Ainsi, Il a dit: «Arrière de Moi, Satan.»

23        Maintenant, vous voyez, Satan peut faire tout ce qu’il veut avec elles. Eh bien, si ces nations étaient dirigées par Dieu, nous n’aurions pas de guerre. Il n’y aurait plus de conflit. Il y aurait... de Dieu. Mais Satan est le maître de chaque royaume. Il domine sur le monde. Mais un de ces jours...

24        Vous remarquez cela dans les gens. Tout le monde aimerait qu’une nation dirige le monde, il aimerait avoir un seul drapeau, et les gens aimeraient être la nation la plus puissante du monde, et prendre toutes choses sous leur propre contrôle, et amener toutes les autres nations à parler leur langue. Qu’est-ce? Cela montre seulement qu’il existe un tel endroit.

25        Comme David l’a dit: «Quand la profondeur appelle la profondeur...» Eh bien, avant qu’il y ait une profondeur pour... qui appelle de l’intérieur, il doit y avoir une profondeur pour répondre à cet appel. En d’autres termes, j’ai souvent fait cette sorte de déclaration, en disant ceci, en citant cette Ecriture: avant qu’une fleur ne puisse pousser sur la terre... il a dû y avoir premièrement une terre, avant qu’il y ait une fleur pour pousser sur la terre.

26        Et allez là au bord de la mer et pensez aux poissons. Eh bien, avant qu’il y ait eu une nageoire sur le dos d’un poisson, il devait y avoir une eau où nager, afin d’utiliser cette nageoire, avant que la nageoire n’ait poussé là. Voyez?

27        Et maintenant, nous sommes tous à la recherche d’un endroit où la mort n’existe pas, où la maladie n’existe pas. Prenez notre cas. Quand nous étions de petits garçons et de petites filles, c’était... notre préoccupation principale était de gagner quelques billes ou des toupies ou de jouer à la poupée. Ensuite, il nous fallait fréquenter l’école. Puis, quand nous... La chose suivante, c’était: «Quelle femme ou quel homme pouvons-nous choisir, comme compagnon de notre vie. Ensuite, on a eu une famille. Ils–ils–la famille doit recevoir de l’instruction; on doit payer pour la maison. Et le temps passe, c’en est aussi fini de nous. Nos cheveux sont devenus gris et sont tombés, et nous sommes... notre visage est dirigé vers le coucher du soleil. Vous voyez?

28        Mais nous désirons ardemment cette chose qui est au-dedans de nous, qui dit là... Qu’il y a quelque part... Qu’est-ce? Cela prouve que cet endroit se trouve quelque part. Vous voici assis ici cet après-midi. J’ai regardé... Je suis passé à côté d’une dame. Le Saint-Esprit a dit: «Retourne-toi.» Elle était assise là dans un fauteuil roulant, avec la main levée. Que fait-elle ici? Voici une jeune belle dame assise ici, estropiée; peut-être qu’un homme est assis ici souffrant de l’arthrite; peut-être qu’un autre est cardiaque.

            Or, ces gens qui sont dans des fauteuils roulants peuvent mener une vie normale. Voyez-vous? Des fois, vous vous posez des questions au sujet des estropiés. Tout le monde voit qu’ils sont estropiés. Ce n’est pas un miracle que de leur dire qu’ils sont estropiés. Il s’agit de ceux qui semblent être bien et en bonne santé, dire donc à ceux-là où se trouve leur problème, c’est cela le miracle.

29        Mais des fois, quand une personne est estropiée, les gens pensent que c’en est fini d’elle. Oh! non, non! Observez simplement. Je–je sais ce qu’il en est, mais je surveille pour voir ce qu’Il me dit de faire. Voyez? Je ne peux parler que quand Il parle. Mais, vous voyez, les gens ont–les gens ont soif et faim de quelque part. Quelque chose leur dit qu’il y a une puissance quelque part qui peut les libérer. Eh bien, aussi sûr que cela existe dans votre coeur, quand vous y pensez, il doit y avoir une Fontaine de guérison quelque part. Voyez, voyez?

30        Voyez, avant qu’il puisse y avoir une création, il doit y avoir un Créateur pour créer la création. Voyez? Et tant qu’il existe en vous une soif d’aller quelque part, il existe une–assurément une fontaine ouverte quelque part que vous pouvez toucher; en effet, il faut qu’il en soit ainsi. Quelque chose a créé cela en vous. Et si–s’il n’existait pas de Bible pour nous le dire, néanmoins cela devrait être une réalité, car il y a quelque chose en vous que le Créateur a créé. Et avant qu’il y ait un désir, il doit y avoir quelque chose pour satisfaire ce désir.

            Avez-vous déjà reçu quelque chose que vous désiriez ardemment et auquel vous ne pouviez simplement pas goûter? Après quelque temps, vous obtenez la chose. Cela était là. Voyez?

31        Or, nous désirons ardemment un lieu où la mort n’existe pas, ni la douleur, ni les chagrins, ni la vieillesse. Ce Pays se trouve bien quelque part. Et nous ne pourrons jamais l’atteindre au moyen des fusils, des combats et autres, par des armes naturelles des hommes. Mais il y a un Pays où nous pouvons aller et il faut combattre pour arriver là.

32        Quand... Dieu a donné la Palestine à Israël, quand ils étaient en Egypte, ils devaient cependant combattre pour chaque centimètre de cela. Et Il a dit à Josué (Dans Josué 1), Il a dit: «Tout lieu que foulera la plante de votre pied, je vous le donne.» Donc les empreintes des pas signifient la possession. Voyez? Continuez simplement à marcher, marcher; continuez. Et chaque fois que vous faites un pas dans le Royaume de Dieu, cela vous appartient, juste sur... Et tout ce qui est donné est possible; et tout ce qui est possible est donné. Mais c’est un combat.

33        Et pour nos réalisations ici dans–dans cette nation, il faut veiller pour voir ce qui se passe, les espions des autres nations ici, ils nous espionnent... Nous avons là des espions qui nous espionnent. Ils observent pour voir le nouveau genre d’arme qui sortira. Et puis, ils ont... retournent avec cela dans leur propre pays, et ils inventeront quelque chose pour neutraliser cette arme, quelque chose qui dépassera celle-ci, en l’améliorant un peu.

34        Eh bien, la première guerre dont je me souviens, c’est la Première Guerre mondiale. J’étais un petit garçon. Et je me rappelle mon père qui venait sur la route, conduisant un chariot attelé à deux chevaux. Il... Et il avait un sac de haricots dans le chariot. Et le samedi, nous allions acheter un sac de haricots, et un–et un sac de farine, et un sac de semoule, et–et quelques denrées de ce genre pour nous permettre de passer la semaine. Et j’ai dit...

            Je l’ai entendu dire: «La guerre a été déclarée, mère. Tu entends tous ces sifflements?» Papa avait environ vingt-trois ou vingt-quatre ans à l’époque. Il a dit: «Il se peut que je sois obligé de partir.»

            Et je me suis dit: «Mon père aller à la guerre? Je prendrai ce sac de haricots et cognerai quelqu’un avec si mon...» Voyez? Et je n’étais qu’un tout petit garçon. Et je me rappelle son fusil, le vieux fusil Springfield, il disait qu’avec ce fusil on pouvait percer un poteau téléphonique. Ce fusil est absolument dépassé.

            Les vieilles locomotives à vapeur sur les voies ferrées, qui d’habitude transportaient des munitions et–et amenaient les soldats au front, cette vieille locomotive à vapeur était un grand vieux truc, mais c’est dépassé. Ils n’en ont plus. Ils ont quelque chose de loin meilleur que ce qu’ils avaient à l’époque.

35        Puis, lors de la guerre qui a suivi–suivi, le–et le fusil Garand a remplacé le Springfield. Et aujourd’hui, on a des missiles atomiques; le fusil Garand est dépassé. Ils renouvellent toujours et obtiennent quelque chose de meilleur pour–pour combattre l’ennemi.

36        Et nous sommes une armée. L’Eglise chrétienne est une armée de Dieu. Nous sommes des soldats, des soldats de la croix. Et c’est le devoir de chaque nation de veiller à ce que ses soldats possèdent le meilleur qui existe. Rien...

37        L’autre soir, dans une autre réunion quelque part, j’étais en train de prêcher sur les réalisations, et je parlais de nos soldats américains. Quand Washington se trouvait à Valley Forge, environ la moitié d’entre eux avaient des souliers. Ils étaient pieds nus. Mais ils avaient un général qui a prié toute la nuit. Il a traversé le Delaware le lendemain. C’est ainsi que nous avons eu l’Amérique. Il s’agissait des hommes, de braves hommes qui combattaient pour quelque chose. Nous ne devons jamais les décevoir.

            Eh bien, à l’époque, ils avaient des mousquets, des couteaux. C’est ce qu’ils avaient de meilleur. N’importe quelle nation... Ils avaient le meilleur que nous pouvions leur donner. Et aujourd’hui, voyez la différence entre notre armée d’aujourd’hui et celle qu’on avait autrefois.

38        Mais vous savez, quand Dieu... Etant infini–infini, Il ne peut pas changer. C’est là que repose ma foi, sur la Parole de Dieu, car Elle est Dieu. Et Lui-même...

            Voyez, une parole est une pensée exprimée. Et quand Dieu pense une chose dans Son Esprit, et puis, quand Il l’exprime, c’est éternel. Parce que toute personne ne vaut pas plus que sa parole, et Dieu est éternel, et Sa Parole est éternelle comme Lui, car c’est une partie de Lui. Et vous êtes une partie de votre propre parole, et Dieu est une partie de Sa propre Parole.

            Eh bien, je peux dire quelque chose, ou la nation peut déclarer quelque chose, après une année ou deux, ils sont obligés de continuer à améliorer cela. Mais Dieu est parfait; et Sa première décision est... Il ne peut plus la changer, parce qu’elle est parfaite; en effet, Dieu ne ferait rien, à moins que ce soit parfait.

39        Ainsi, quand Dieu... La première bataille qui ait jamais été livrée n’a pas été livrée sur la terre; elle a été livrée au ciel: Micaël et ses Anges contre Lucifer. Et ils ont été chassés du ciel. Et puis, cette grande armée du diable ainsi que tous ses petits démons sont tombés sur la terre, et Dieu savait qu’il y aurait une bataille.

40        Je crois qu’Il connaissait depuis le commencement même chaque chose qui arriverait. Si Dieu est infini, Il connaissait chaque puce qui serait sur la terre, chaque moucheron, combien de fois il battrait des paupières, et quelle quantité de suif ils produiraient ensemble. Il est infini.

41        C’est pourquoi, le Dieu infini va choisir pour Son armée la meilleure arme qui puisse être donnée. Et Il l’a choisie, et c’était Sa Parole. Dieu a donné à Son armée le meilleur équipement qu’elle ait jamais pu utiliser, et qui puisse jamais être utilisé, et qui ne devrait jamais être changé. Et Il ne l’a jamais changé depuis lors. Cela ne s’améliore pas; il demeure le même tout le temps. C’est avec la Parole de Dieu qu’Il affermit Son peuple.

            Peu importe combien de choses Satan obtient, combien de choses une autre armée obtient ou quoi que ce soit, cela ne peut jamais remplacer le premier choix de Dieu, Sa Parole. Il leur a donné Sa Parole, Sa promesse, et Il a dit: «Tenez-vous-en à cela», le meilleur que l’on connaisse.

42        Or, l’ennemi savait qu’aussi longtemps que la race humaine s’en tiendrait à cette Parole, il ne saurait jamais la toucher. (Maintenant je commence à me sentir religieux à l’instant même.) Tant que la race humaine s’en tenait à la Parole... Dieu a affermi Sa famille sur la terre, Son armée, dans la forteresse de Sa Parole. C’est notre Forteresse. «Le Nom de l’Eternel est une tour forte. Le juste s’y réfugie, et se trouve en sûreté.» Ils sont affermis.

43        Le Seigneur, c’est la Parole. Ils s’y trouvent affermis et en sûreté éternellement, tant que la race humaine s’en tient à la Parole. Tant que l’Eglise s’en tient à la Parole, Elle est affermie. Rien ne peut l’inquiéter.

44        Eh bien, l’ennemi, pour chercher à y faire entrer un espion, afin de chercher à y entrer d’une manière ou d’une autre, il a dû utiliser une sorte de tactique pour se frayer un chemin pour y entrer. C’est ainsi que les espions se frayent un chemin pour entrer dans cette nation, c’est par une sorte de tactique, passer par les–les consuls et autres. Ils ont dû user d’une astuce pour s’introduire ici. Le communisme a dû faire la même chose.

45        Pendant que nous pensons au communisme, permettez-moi de vous dire un petit mot. Ceci va paraître étrange de la part d’un prédicateur, mais ne craignez jamais rien en ce qui concerne le communisme. Il ne vaut rien. J’aimerais que n’importe quel ministre ou n’importe quel conducteur scripturaire, me montre dans la Bible là où le communisme dominera le monde. C’est le romanisme qui va dominer le monde, selon la Bible. Surveillez cela. Ne pensez pas au communisme. Ce n’est qu’une marionnette dans la main de Dieu pour accomplir Sa volonté. C’est exactement ce qu’Il a dit. Il s’en sert. Mais ne vous inquiétez jamais au sujet du communisme. La Bible déclare que c’est le romanisme.

46        Il y a trois rideaux. Comme je vous quitte cet après-midi, je vous laisse ceci. Rappelez-vous, il y a trois rideaux: l’un d’eux s’appelle le rideau de fer, l’autre c’est le rideau de bambou (la Chine et ainsi de suite, l’orient), et puis, il y a un rideau pourpre. Ne craignez pas le rideau de bambou ni le rideau de fer; mais faites attention à celui de pourpre. Vous feriez mieux de faire attention. L’Antichrist sera tellement proche qu’il séduirait même les élus...

47        Qui est l’élu? Quand cette lumière brille sur ce F-i-l-s [«son» en anglais–N.D.T.], s-o-l-e-i-l [«Sun» en anglais–N.D.T.], brille sur une semence qui est régie par une vie botanique, elle va s’animer. Et quand le F-i-l-s [«Son» en anglais–N.D.T.] de Dieu brille sur cette semence prédestinée, celle-ci va s’animer rapidement, aussitôt... Peu m’importe l’état de la vie. Il se peut que ce soit une prostituée, il se peut que ce soit un ivrogne ou quelqu’un qui se livre au jeu d’argent. Cela brillera à l’instant même, aussitôt qu’il frappe cela. «Séduire, s’il était possible, même les élus.»

48        Maintenant, remarquez. Satan a essayé d’y entrer pour espionner, pour voir ce que... comment il pouvait mettre la main sur cette race humaine, il s’est servi de l’une des tactiques les plus fameuses qui... Eh bien, cela montrait qu’il devrait être une puissance surnaturelle pour penser à cela. Et il s’en est servi la première fois et il avait réussi, et il s’en est servi depuis lors, et il a toujours réussi jusqu’à un certain niveau. Il s’est servi du raisonnement contre la foi.

49        Satan est venu vers Ève et a commencé à raisonner contre la Parole de Dieu, la grande armure avec laquelle Dieu avait affermi Son peuple. Il s’est mis à utiliser le raisonnement. Eh bien, «c’est tout à fait raisonnable que Dieu ne pourrait pas vous détruire. Vous ne mourrez certainement pas.» Mais souvenez-vous-en, mes amis, c’est la tactique de Satan pour commencer, et il se sert encore de la même chose, et il réussit toujours avec cela: le raisonnement.

            Les gens essayent de raisonner, disant: «Pourquoi aurions-nous besoin du Saint-Esprit aujourd’hui? Pourquoi aurions-nous besoin de la guérison divine? Pourquoi aurions-nous besoin de ceci, et comment aurions-nous besoin d’une autre Pentecôte? Nous sommes tous civilisés.» Ils l’étaient aussi.

            Mais, vous voyez, s’il a fallu quelque chose pour commencer, et tout ce que Dieu leur avait donné pour commencer, cela reste toujours comme tel. Et les tactiques du raisonnement, c’est ce que Satan a utilisé, et c’est ce qu’il utilise toujours: le raisonnement.

50        Nous connaissons notre ennemi, car tout ennemi... (Maintenant, frères, je me suis tenu loin de la doctrine, vous voyez, jusqu’à présent, mais je dois dire ceci.) Tout ennemi qui raisonne sur... ou toute personne, toute église, toute organisation, tout individu qui raisonne sur un seul iota de la Parole de Dieu, c’est votre ennemi. Il faut la Parole pour vaincre l’ennemi.

51        Quand Jésus de Nazareth était ici sur terre, Il n’a jamais utilisé Sa puissance; pourtant Il était Dieu manifesté dans la chair. Il n’a point utilisé Sa puissance, quand Satan est venu L’attaquer. Il a dit: «Il est écrit.» Qu’est-ce que... Il a dû le faire, car Ève a échoué là-dessus. Et ce qu’Ève a perdu, Christ l’a récupéré. Là où Ève a failli, Christ a affermi de nouveau. «Il est écrit: L’homme ne vivra pas de pain seulement.» «Il est écrit: Tu ne tenteras pas le Seigneur ton Dieu.» Il est écrit, il est écrit. Qu’est-ce? Il s’en est tenu à l’artillerie originelle. Mais Ève avait failli. Elle s’était mise à écouter le raisonnement.

52        Et il y a des gens aujourd’hui qui peuvent presque vous faire raisonner et vous prouver que la chose est fausse. Satan l’avait très bien réussi avec Ève. Que fait le raisonnement? Il rend la chose attrayante. «Eh bien, maintenant, si je veux devenir religieux...»

            Je vous prie, ne prenez pas mes paroles à contresens. Un homme en arrive à vouloir être... aimerait la religion. Il voudrait être sauvé; il n’aimerait pas aller en enfer.

53        Aucun être humain ne voudrait aller à un tel lieu. Cela n’a pas été fait pour l’être humain; cela a été fait pour le diable et ses anges; cela n’a pas été fait pour les êtres humains.

            Bon. Mais l’être humain y va de son gré. Dieu projette toutes les lumières rouges possibles sur cela, et les gens se battent juste pour brûler cela. Vous avez...

54        Avant que vous puissiez venir... devenir un incrédule, il vous faut d’abord vous passer de la foi dans la Parole de Dieu, avant que vous puissiez devenir un incrédule. Il vous faut brûler la lumière rouge de Dieu.

            Remarquez, ces gens, comment Satan a rendu cela si attrayant. Et le péché est attrayant. Je sais que je n’ai pas trop de temps pour ce sujet, mais je voudrais simplement prendre mon temps pour quelques minutes. Arrêtons-nous là-dessus un instant. Nous pourrions nous trouver ici jusqu’au matin sur le même sujet, mais observons simplement.

55        Le péché dans les derniers jours, Pierre nous dit qu’il rôdera comme un lion rugissant. Ça devient pire. Maintenant, je voudrais vous poser une question. Je ne condamne pas; je ne fais qu’une déclaration. Quelques-uns d’entre vous hommes âgés, ou plutôt prenons n’importe qui d’entre nous, et référons-nous à la photo d’une femme qui était une reine de beauté à son époque, il y a cinquante ou soixante ans. Pearl White, Scott Jackson... Elle était censée être la plus belle femme de l’Amérique. Si vous voyiez sa photo accrochée sur un mur, vous penseriez que c’était une antiquité. Qu’est-ce? C’est que les femmes sont devenues plus belles. Satan les habille de cette façon-là, les arrange de cette façon-là. Voyez, ça devient ainsi, parce que ça devient plus attrayant. C’est un...

            Je–je ferais mieux de laisser cela de côté, car j’ai promis que je n’aborderais plus ces choses. Voyez? Mais ce qu’il en est, c’est que ce fut cela son premier outil. Il ramène cela de nouveau juste dans ces derniers jours. Soeurs, ne vous mêlez pas de cette affaire. Eloignez-vous-en.

56        Avez-vous remarqué, de toutes les espèces sexuées qui existent, le mâle est toujours le plus beau. Qui est le plus beau, pour dire le... chez les oiseaux? Considérons le–le petit... Quelqu’un a dit: «Le faisan.» C’est très bien. Considérons le grand coq faisan, comme il est beau, et considérez la petite poule tachetée. Jetons un coup d’oeil au cerf: la biche, une simple petite créature peu attrayante, mais le mâle, une espèce très grande et belle.

57        Considérez le taureau et la vache. Considérez l’élan: le mâle et la femelle.

            Considérez tout ce que vous voulez, et vous verrez toujours que le mâle est le plus beau, sauf dans la race humaine. Et l’homme est laid, tandis que la femme est belle. C’est vrai. Si vous voyez un homme qui est une petite belle créature, rappelez-vous simplement, il y a une cellule mal placée quelque part.

58        Eh bien, cela doit nous mettre à l’aise nous tous qui sommes laids. Mais c’est ça. Quand vous voyez un homme qui a l’apparence et qui a un comportement de femme, il y a un tout petit peu de perversion là quelque part. Et si vous voyez une femme qui essaie d’agir et de paraître comme un homme, il y a encore là une perversion. Tous les deux étaient dans le mâle au commencement, et Dieu les a séparés. Il a placé l’esprit masculin dans l’homme, et Il a pris l’esprit féminin, et Il l’a placé dans la femme. Et quand vous voyez un homme qui essaie d’être efféminé, ou–ou une femme qui essaie d’être masculine, il y a quelque chose qui cloche quelque part.

59        Remarquez. Afin qu’ils soient un, tant dans l’âme que dans le corps, Il prit de son côté une côte, et forma la femme. Voyez-vous? La femme n’est pas de la création originelle; elle est un sous-produit de l’homme. Voyez? Aujourd’hui en Amérique, elle est une patronne, une déesse, et tout le reste. Elle se dandine dans la rue et elle envoie plus d’âmes en enfer que toutes les boîtes de contrebandiers de boissons alcooliques que vous pourriez placer entre ici et Los Angeles. C’est vrai.

60        Mais cependant, une bonne femme, c’est la meilleure chose que Dieu puisse donner à un homme, car c’est une partie de lui. Mais c’est ce Hollywood-ci, ainsi que des trous d’enfer qui lui sont semblables qui ont corrompu la nation ainsi que la vie de la nation, et qui ont brisé la colonne vertébrale par l’immoralité chez la femme et chez la mère, par les tribunaux des divorces et tout le reste. (Je–je vais m’écarter de mon sujet. Je vais y revenir à un moment donné.)

61        C’est attrayant. Eh bien, il rend cela de nouveau... il rend cela instructif, intellectuel. Le Saint-Esprit ne nous dit-Il pas dans 2 Timothée, chapitre 3, que dans les derniers jours, l’église deviendrait un groupe d’intellectuels? Emportés, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, déloyaux, calomniateurs, intempérants, ennemis de gens de bien?

            Vous direz: «Ce sont des communistes.»

62        Oh! non. Ce sont des soi-disant chrétiens, voyez, ayant l’apparence de la piété, mais reniant ce qui en fait la force. Et la puissance, c’est la Parole rendue manifeste. Il a dit: «L’Evangile ne nous a pas été prêché en paroles seulement, mais avec puissance et démonstration de l’Esprit.» Je parle donc de l’armée de Dieu qui est fortifiée.

63        Il rend cela attrayant, riche, scintillant. Oh! tout scintille avec Hollywood, la fosse septique de la terre. Autrefois, nous, on se rendait à Paris pour prendre le modèle pour nos femmes, et maintenant c’est Paris qui vient ici pour chercher cela chez nous. Il y a quelque temps, j’ai prêché ici sur: «L’invasion des Etats-Unis» et le renversement du gouvernement américain. Vous devez avoir entendu parler de cela.

            Une jeune fille délurée était assise à l’estrade, ou plutôt une petite friponne, peu importe comment vous appelez cela, et quelqu’un a dit: «La voici.» Et c’est vrai. C’est la plus basse de toutes les nations: il y a plus de divorces en Amérique qu’il y en a dans le reste du monde presque, mis ensemble; corrompue, sale, souillée, et la dernière civilisation, et nous sommes à la côte ouest, là où l’est et l’ouest se rencontreront. C’est vrai. Juste en plein dans nos propres églises, juste parmi notre propre peuple...

64        Mais Satan rend cela attrayant. Certainement. C’est attrayant. Le péché est attrayant. Mais l’ennemi trouve toujours un meilleur appât. Il la déshabillera un peu plus, et fera ceci, et fera cela. Mais ne vous en faites pas, il ne la laissera jamais complètement nue. Elle serait alors affreuse. Voyez, il sait exactement ce qu’il faut faire. Mais Satan continue à introduire le péché. Et c’était le péché originel. C’est de cette manière qu’il finit, avec la même chose qu’il y avait au commencement du Royaume; la guerre.

65        Maintenant, remarquez. Mais Dieu n’a pas à faire quelque chose de plus pour les Siens, Il ne rendra pas cela plus attrayant. Tout ce qu’Il a à faire, c’est de lever simplement un étendard de Sa propre Parole contre l’ennemi. Quand le–la Bible dit: «Quand l’ennemi vient comme un fleuve, l’Esprit de Dieu lève un étendard contre lui.» Que fait-Il? Il rend plus manifeste la Parole qu’Il a déjà prononcée (fiou!), et Il prend la même Parole, et Il La rend plus manifeste.

66        Je n’ai pas mon porte-monnaie, mais avez-vous déjà fait attention au verso du billet d’un dollar? Là sur une face, il y a le sceau américain, un aigle avec des flèches dans ses serres: le sceau américain. Mais dans l’autre coin qui est devant vous, je crois le coin droit, il y a une pyramide. Et il est mentionné là au bas: «Le grand sceau»

67        Pourquoi notre nation penserait-elle faire d’une pyramide égyptienne «le grand sceau», supérieur même à notre sceau de l’aigle américain? L’avez-vous remarqué? Juste au sommet de la pyramide, il y a la pierre de faîte, au sommet, comme un oeil qui brille.

68        Eh bien, j’ai été en Egypte, et dans ces pyramides... Oh! je pourrais prendre tout l’après-midi! Eh bien, je ne crois pas dans les doctrines des pyramides. Je fais seulement une comparaison. Mais comme vous le voyez, cette pyramide, la pierre n’y a pas été posée. Hénoc a construit cette–cette pyramide, ou plutôt, en son jour. Les gens n’arrivent pas à comprendre cela.

69        Eh bien, les gens ont toutes sortes de religions là-dessus, comme ils en ont sur les zodiaques. Mais chaque chose dans... Dieu a écrit trois Bibles. La première était au Ciel; la deuxième était dans la pyramide; la troisième est sur la terre, et chacune d’Elles s’accorde avec l’autre.

70        Suivez. Par quoi les zodiaques commencent-ils? La vierge. Par quoi se terminent-ils? Léo, le lion: la première Venue de Christ, et la seconde Venue de Christ. Et aujourd’hui, nous en sommes aux poissons croisés, c’est-à-dire l’âge du cancer: parfait. Remarquez la - la tour ici, la pyramide. La base est très large; puis elle devient plus minoritaire; puis là-haut, c’est encore plus étroit; et ensuite vient la pierre de faîte.

71        Qu’était-ce? Luther dans la réforme, la justification. Ensuite, l’ennemi a commencé à venir comme un fleuve. Il a levé un étendard: la sanctification, un peu plus puissant dans l’Esprit. Ensuite, quand l’ennemi a commencé à recouvrir cela et que les gens ont commencé à s’organiser et à joindre ceci, cela, et autre, alors l’Esprit de Dieu est allé chez les pentecôtistes: le baptême du Saint-Esprit. Ils se sont organisés, et ils se sont éloignés. Maintenant, que fait-Il? Il n’y a pas d’autre âge qui vient, mais Il prend l’Eglise pentecôtiste et en fait sortir les élus, puis la taille de sorte que...

72        Quand cette Pierre de Faîte vient se poser sur elle, elle devra être comme le reste.

            Eh bien, c’est ainsi... Ces pierres qui sont posées là, pesant des centaines de tonnes, elles sont posées là, elles s’ajustent tellement bien (sans mortier) que vous ne pouvez pas faire passer une lame de rasoir entre elles. Et quand la Pierre de Faîte viendra, Christ venant vers Son temple, Cela devra s’ajuster parfaitement comme le reste. Et le ministère de l’Eglise de la Pentecôte deviendra absolument si parfait qu’il s’ajustera avec le même ministère qu’Il avait ici, ce qui prendra la chose entière dans l’enlèvement, en tant qu’Eglise. C’est vrai.

73        Maintenant, «quand l’ennemi vient comme un fleuve, Il lève un étendard contre lui.» Maintenant, remarquez. En Eden, Il leur a donné Sa Parole comme arme, juste la Parole parlée. Ensuite, l’ennemi est venu comme un fleuve, alors Il a pris la Parole et L’a faite chair pour habiter parmi nous, un peu plus fort. Depuis tout là-bas, Il Parlait, ici Il marche sur la terre. Gloire!

            Vous allez me traiter de saint exalté de toute façon, vous feriez mieux donc de vous y habituer maintenant.

74        Oh! là au commencement, c’était la Parole parlée. Maintenant La voici; vous pouvez La toucher, Elle est faite chair. Et alors, quand l’ennemi a continué à venir comme un fleuve, Il a déversé la Parole dans l’homme, sous la forme du Saint-Esprit. Voilà de nouveau votre un, deux, trois: justification, sanctification, baptême du Saint-Esprit; comme Père, Fils et Saint-Esprit, et ainsi de suite, dans la perfection.

75        Maintenant, observez la Parole parlée. Dieu au-dessus de nous, Dieu avec nous, Dieu en nous; la Parole au-dessus de nous, la Parole avec nous, la Parole en nous. Alléluia! Vous appartenez à Dieu, vous êtes l’armée de Dieu, en marche: la Parole parlée de Dieu au-dessus de nous dans la Colonne de Feu; la manifestation de Dieu, de Sa Parole dans la chair; maintenant, l’Esprit de Dieu, la Parole parlée, en nous. Amen. Oh!

76        Maintenant, ce qui arriva du temps de Noé, il y avait des géants dans le pays, vous le savez. Et de même, Satan a aussi ses géants intellectuels dans le pays. C’est vrai. Oh! la la! D. D. D. D., Docteur, Docteur en droit. Oh! la la! Oh! la la! des géants intellectuels... Oh! ils connaissent tous les mots, toute la grammaire; ils connaissent... ils savent vraiment tout cela, des géants intellectuels. Mais d’une façon ou d’une autre, ils deviennent des espions. C’est cela le système d’espionnage. Pardonnez-moi maintenant, frères intellectuels, mais c’est un système d’espionnage qui s’est établi au milieu de vous pour faire sortir les brebis, et qui dit: «Eh bien, ce sont des saints exaltés. Ce n’est pas vrai.»

77        Si c’est conforme à la Parole, cela est vrai. Maintenant, nous savons que nous avons des imitations partout. C’est vrai. C’est une bataille. Il vous faut connaître votre ennemi, et il vous faut être sûr de votre armure. Votre armure, c’est la Parole. Votre ennemi, c’est quelque chose qui raisonne contre Elle. «Eh bien, je vous assure, mon cher, vous n’avez pas à faire ceci. Notre église est la plus grande. Nous avons plus...» Oui, oui. De géants intellectuels... Et si vous l’écoutez quelques minutes, il vous amènera si loin de la vérité que vous ne saurez pas où vous en êtes. C’est vrai. Oh! très séduisant, avec son col retourné, vous savez, et il marche, disant: «Eh bien, nous sommes... C’est depuis longtemps, longtemps que nous sommes sur le chemin.»

78        Vous savez, il n’y a pas longtemps, j’ai vu là où le–le pape de Rome a invité toutes les églises à retourner au commencement. J’ai dit: «Gloire à Dieu! J’aimerais faire cela.»

            «Vous tous, retournez à Rome, là où l’Eglise a commencé.»

79        J’aimerais qu’un historien, qu’un lecteur de la Bible, ou qu’un érudit me prouve que l’Eglise a commencé à Rome. L’Eglise a commencé à Jérusalem, le jour de la Pentecôte. C’est là que l’Eglise a commencé. Rome n’avait rien à voir avec cela. Rome en était la ruine, quand elle s’est organisée.

80        Mais je vous assure, l’organisation a commencé à Rome. C’est vrai. Mais l’Eglise à Sa naissance, avec Son armure, Elle a commencé le jour de la Pentecôte à Jérusalem. Et si l’honorable pape voulait remonter jusqu’à ce temps-là, je m’associerais à lui et dirais: «Dieu soit béni! Je consacrerais tout ce que je peux pour vous. Je cherche à retourner à ce jour-là.»

81        Le Message du dernier jour, le messager de la Lumière du soir (selon Malachie 4) ramènera les coeurs des enfants aux pères, au Message originel de la Pentecôte. C’est si confus et tout, là... Prenez la Parole de Dieu.

82        Les espions sont dans le pays. Oh! la la! Ils aiment se disputer avec vous. Il n’y a pas longtemps, quelqu’un est venu me voir et il m’a dit: «Seuls les cent vingt qui étaient montés dans la chambre haute, seuls les douze apôtres ont reçu le Saint-Esprit, la guérison divine. Nous parlons là où la Parole parle, nous nous taisons là où Elle se tait», et il a continué ainsi. Je l’ai laissé faire la fanfaronnade pendant un petit moment, comme un hibou irlandais, faisant de l’épate, mais il n’est pas du tout un hibou. Il a donc terminé ainsi.

            J’ai dit: «Attendez. Vous devriez m’accorder la possibilité d’expliquer cela. Avez-vous dit qu’il n’y avait que douze apôtres qui avaient reçu le Saint-Esprit?»

            «Oui.»

            J’ai dit: «Paul ne L’avait alors pas reçu.» Seul... le don de guérison a-t-il été seulement donné aux douze, avez-vous dit? Alors qu’en est-il d’Etienne qui est allé prêcher aux Samaritains, et qui leur a imposé les mains, et qui a chassé les démons au cours d’un grand réveil? Qu’en est-il de Paul qui est venu là et qui leur a imposé les mains... Pierre est allé là, leur a imposé les mains, et tous ont reçu le Saint-Esprit.

83        Qu’en est-il d’Actes 10.49, quand les Gentils L’ont reçu? En effet, les fidèles circoncis étaient étonnés de ce que le don du Saint-Esprit a été répandu aussi sur les païens, car ils les entendaient parler en langues et glorifier Dieu. Puis il est dit: «Pouvons-nous refuser l’eau du baptême à ceux qui ont reçu le Saint-Esprit comme nous au commencement?» Amen.

            Gloire! C’est la vérité. Oh! je suis si heureux d’avoir les voiles déployées aux vents impétueux, pas vous? Cela vous fait naviguer dans la Bible, Ecriture après Ecriture.

84        Mais pour aller vite, ces géants intellectuels impressionnent les humbles hommes de Dieu. Or, le peuple de Dieu a toujours été sans instruction et humble. Dites-moi juste une seule fois où il en a été autrement. Observez les deux fils. Observez les enfants de Caïn et de Seth. Abel a été tué, il était le type de la mort, l’ensevelissement et la résurrection de Christ. Seth le remplaça.

85        Or les enfants de Caïn sont devenus intellectuels, religieux, parce que leur père était intellectuel (Caïn), religieux. Et Caïn a dressé un autel; Abel a dressé un autel. Caïn a offert une offrande; Abel a offert une offrande. Caïn a adoré; Abel a adoré. Et si Dieu considère uniquement une église, son système, son adoration, ses offrandes, et ainsi de suite, et si c’est tout ce que Dieu considère, Il a été injuste d’avoir condamné Caïn, car celui-ci était tout aussi religieux qu’Abel. Mais il ne s’était pas approché correctement.

86        Qu’en était-il de Moab? Il y avait là Israël; il y avait là Moab qui adorait le même Dieu que nous. Qu’était-ce? C’était l’enfant de la fille de Lot. Et ils étaient là. Ils sont allés chercher l’évêque Balaam. Et celui-ci a dressé sept autels, exactement comme il y en avait du côté d’Israël.

87        Or, Israël n’était pas une dénomination, il n’avait pas de pays où aller, mais il était en route vers un pays. Amen. Nous n’avons pas ici de cité permanente, mais nous en cherchons une qui est à venir. Observez. Balaam a offert sept sacrifices purs, des taureaux, tout comme ils en avaient là du côté d’Israël. Et Balaam a offert sept béliers, représentant la venue de Christ. Israël a fait de même.

88        Alors, si le fondamentalisme est tout ce que Dieu exige, alors les deux côtés étaient justifiés. Mais qu’était-ce? Qu’est-ce que Balaam avait manqué de voir? Il a manqué de voir cette Colonne de Feu. Il a manqué de voir ce rocher frappé, ce serpent d’airain qui précédait Israël comme l’expiation. Il a manqué d’entendre le cri du camp... un chant de triomphe royal au milieu d’eux. Il les a jugés par leurs oeuvres.

89        Dieu ne juge personne par ses oeuvres, Il vous juge par votre foi. Remarquez. Je voudrais éclaircir aussi cela au sujet de la petite dame d’hier soir. Il ne s’agissait pas de ses oeuvres, le fait d’avoir lavé Ses pieds. Il l’a justifiée ainsi devant Simon en disant ce qu’elle avait fait; Il l’a justifiée par les oeuvres, ce qu’elle était en train de faire. Mais quand Il l’a justifiée à ses propres yeux à elle, Il a dit: «Ta foi t’a sauvée», car nul n’est justifié par ses oeuvres. Par sa foi en Lui en tant que Fils de Dieu, non pas ce qu’elle était en train de faire, mais sa foi en Lui... et vos oeuvres sont toujours l’expression de votre foi. C’est vrai.

90        Ces géants intellectuels de ces jours-là étaient de loin... Ils... Regardez ce que les enfants de Caïn sont devenus: des savants, des médecins, des métallurgistes, des grands hommes sur la terre. Mais qu’étaient les enfants de Seth? Des fermiers, des bergers. Voyez, ils ne pouvaient pas du tout se comparer à eux, et Dieu nous a comparés aux brebis. Si quelqu’un a déjà élevé une brebis...

91        Une brebis est... une chose est que chaque fois qu’elle est perdue, elle est totalement perdue. Elle ne peut aller nulle part sans le berger. Et c’est ainsi que Dieu nous a créés. Nous ne prétendons pas être des intellectuels. Nous avons simplement un Berger; c’est tout. Il nous conduit de pâturage en pâturage.

92        Ainsi, aujourd’hui, ces espions très intellectuels impressionnent ces pauvres et humbles enfants de Dieu. Maintenant, Jude a dit dans le livre de Jude, là dans la dernière partie de Jude, il a dit qu’ils se sont glissés au milieu de nous, se sont glissés. C’est ce qui est à la base de ces grandes crises de colère qu’ils ont eues. Ils se sont glissés au milieu de nous, des hommes dont la condamnation est écrite depuis longtemps, ils se sont glissés au milieu de nous, nous éloignant de la Parole, nous amenant à perdre la foi dans la Parole, des écueils errants, des bateaux sans voile... Le vent violent peut souffler, ils n’ont qu’un vieux mât d’une pauvre organisation morte, qui se tient là, disant: «Wooo! les jours des miracles sont passés. Wooo! la guérison divine n’existe pas.»

            Mais si vous avez une bonne voile spirituelle déployée là-haut, l’Esprit prend cela et elle parcourt les pays dont on ne connaît rien. C’est vrai. Oui, ils vous font perdre la foi dans la Parole par leurs expériences raffinées du séminaire.

93        Ils ont attaqué Noé de la même manière. Ils ont chaque fois attaqué les enfants de Dieu de la même manière. Nimrod s’est bâti une tour pour fuir les fléaux de Dieu, mais cela n’a pas duré. Nebucadnetsar s’est bâti une ville, mais elle est tombée. Noé, en construisant l’arche... Pouvez-vous vous représenter les savants de ces jours-là, capables de construire une pyramide que nous ne pouvons pas construire aujourd’hui, capables d’embaumer un corps avec un liquide dont nous ne connaissons rien? Il y a beaucoup de choses que nous n’avons pas encore apprises qu’eux connaissaient.

            Pouvez-vous vous représenter ces savants dire: «Espèce de charlatan, prouve-le-moi. Nous pouvons atteindre la lune avec notre radar et notre machin. Il n’y a pas une goutte d’eau entre ici et là. Comment cela va-t-il arriver?»

            Mais Noé a dit: «Dieu, s’Il a promis de l’eau, Il peut mettre de l’eau là.» Certainement. Cela dépasse le... ces enfants d’aujourd’hui, ces pauvres petits enfants, les intellectuels.

94        Oh! regardez du temps de... quand Josaphat est venu et qu’il a quitté son territoire. Et il a rencontré Achab. Et Achab, toujours pour un intérêt personnel, a dit: «Ramoth en Galaad ne nous appartient-il pas?»

            Il a dit: «Certainement. En partageant le pays, Josué nous l’a donné.»

            Il a dit: «Tout à fait.»

95        Mais vous savez, Josaphat était un homme bon, mais il n’était simplement pas à sa place. C’est le problème qu’ont bien des gens aujourd’hui dans certaines de ces morgues spirituelles, où pendent des glaçons; le thermomètre, spirituellement parlant, marque 90° [32°c–N.D.T.] en-dessous de zéro. Entrez là-dedans et dites: «Amen!» ou «Gloire à Dieu!», tout le monde redresse le cou comme une oie, ils regardent tout autour pour voir ce qui se passe: morts, deux fois morts, déracinés. Ils oublient...

96        Un soir, j’étais en train de prêcher, et une femme s’est mise à hurler et à crier, un jeune frère baptiste m’a parlé le jour suivant, disant: «J’étais en train de me réjouir de votre message jusqu’au moment où cette femme s’est mise à hurler.» Il a dit: «Vous savez, cela m’a donné des frissons dans le dos.»

97        J’ai dit: «Frère, vous vivez dans le monde le plus calme où vous ayez jamais vécu. Si vous allez en enfer, il y a des pleurs et des gémissements ainsi que des grincements de dents. Si vous allez au Ciel, il y aura tout le temps des clameurs et des cris.» «Eh bien, ai-je dit, monsieur, si cela vous donne des frissons dans le dos, ai-je dit, qu’en sera-t-il quand vous arriverez au Ciel? Eh bien, vous allez geler à mort quand vous arriverez là.» J’ai dit: «Vous ne serez vraiment pas à votre place. Car même les Anges, avec leurs ailes recouvrant leurs visages et leurs mains sont...?... recouvrant leurs pieds et leurs visages, chantent: «Saint, Saint, Saint est l’Eternel Dieu Tout-Puissant. Saint, Saint, Saint.»

98        Dieu est un objet d’adoration. Dieu est adoré, Il est adoré. S’il y a quelque chose pour lequel j’honore les pentecôtistes, c’est qu’ils se libèrent et adorent Dieu. Oui.

99        Les géants intellectuels... Josaphat se tenait là, il avait l’habitude d’adorer Dieu. Là était Achab. Et Josaphat, bien entendu, en tant qu’homme de Dieu, s’était dit que la première chose était de consulter Dieu. C’est la meilleure chose. Il a dit: «Nous devons consulter Dieu.»

            «Oh! a dit Achab, assurément, votre Honneur!» Comme pour dire... «Oui, votre Honneur. Eh bien, assurément. J’en ai tout un séminaire plein ici. J’en ai quatre cents, des meilleurs qu’il y a.»

            Il a dit: «Appelez-les.»

100      Voici venir les docteurs en philosophie, les docteurs en droit. Tous sont venus là. Michée ainsi que les autres sont venus là, pas Michée. Tous les prophètes sont venus là. Et ils ont dit: «Prophétisez et dites-nous: monterons-nous à Ramoth en Galaad, là où Josué...? Dieu nous a donné ces terres.»

            Et ils ont continué ainsi. Puis, ils ont consulté Dieu, et ils ont prié et prié, et ils sont revenus et ont dit: «Oui. Monte. L’Eternel est avec toi.»

101      Ezéchias est allé se faire un très grand jeu de cornes, il a traversé la foule en courant, il a dit: «Par ceci, ces grandes cornes de fer, vous allez repousser Ramoth en Galaad, vous allez bouter les Philistins hors du pays», ou plutôt les Assyriens. «Vous allez les bouter hors du pays par ceci.»

            Oh! «Maintenant, réfléchissons.» Je dis: «Comment savez-vous qu’il en sera ainsi?»

            «Ecoutez ça. Dieu nous a donné ce pays. La nourriture qui est produite dans ce pays revient à Israël. Dieu nous a donné ce pays par Josué.»

            «Amen», ont-ils tous dit. «C’est vrai, votre Honneur. Et notre ennemi est en train de s’engraisser sur notre terre. Ce n’est pas normal.»

            «Amen. Cela paraît bon.»

102      Cela ne paraît-il pas raisonnable, intellectuellement parlant? Mais vous savez, il y a quelque chose comme cela, qui ne frappe toujours pas un homme de Dieu. Josaphat a regardé tout autour. Il a dit: «Et c’est tout ce que vous avez?»

            «Eh bien, répondit l’autre, nous en avons quatre cents ici qui sont d’un commun accord. Eh bien, toute l’école est ici. Tous les séminaires sont réunis. Eux tous sont ici.»

            Cela n’a pas sonné juste de toute façon. Il s’agissait de cette semence prédestinée. Vous voyez?

            Il a dit: «N’avez-vous pas quelqu’un d’autre?»

103      Il a dit: «Oui, j’en ai encore un. Mais je le hais. Je le hais.» Il a dit: «C’est Michée, le fils de Jimla.» «Mais, a-t-il dit, je le hais car il prophétise toujours du mal de moi.» Oh! frère. Que Dieu bénisse cet homme. Il a dit: «Voici chacune de nos organisations, elles sont toutes d’un commun accord», c’est comme les Nations-Unies là-bas, aujourd’hui.

104      Vous savez, la Bible dit qu’Il–qu’Il liera l’ivraie d’abord. Ils sont certainement en train de se réunir tous dans le Conseil Mondial des Eglises, chacun d’eux y va, c’est vers là que tous se dirigent. Cela donne donc à l’Eglise l’occasion de grandir. Très bien. Vous subissez une petite persécution là où vous n’êtes pas très bien nourri, et tout doit être mis ensemble de force. Dieu a une manière de faire les choses, vous savez.

105      Ainsi, d’abord, vous savez que tous... Il a dit: «Envoyez le chercher. Ecoutons-le, voyons ce qu’il va dire.»

            Il a dit: «Je vous préviens avant son arrivée. Ce type ne fait qu’aboyer contre moi tout le temps.»

            «Oh! que le roi ne parle pas ainsi.»

            Ainsi, ils envoyèrent le comité des diacres là pour le chercher, pour tenir cette réunion. Ainsi, quand ils ont–Ils l’ont rencontré, ils ont dit: «Ecoute, Michée, tu sais quoi? Tu as été écarté de l’association, tu comprends. Tu ne fais plus partie de l’association. Nous avons dû t’excommunier. Et je te dis maintenant, tu sais, et tu es un israélite au même titre que nous autres, tu sais que Ramoth en Galaad nous appartient.»

            «Eh bien, je vais te dire quoi faire; si tu veux trouver grâce et retourner de nouveau dans ta position parmi les–parmi les frères, je te dirai quoi faire. Va là-bas et dis la même chose que les autres.»

            Frère, il a alors fait fausse route. Ce genre de manoeuvre ne marche pas avec un homme de Dieu, un prophète. Il sait que ce qui l’affermit, c’est la Parole de Dieu.

106      Il a dit: «L’Eternel est vivant, je ne dirai que ce qu’Il mettra dans ma bouche.» Oh! la la! Vous y êtes...?...

            Maintenant, si quelqu’un dit: «C’est ce que je fais aussi», chacun essayera de dire cela. Mais s’Il met là quelque chose de contraire à Sa Parole, c’est le diable qui l’a mis là, pas Dieu. Dieu met seulement Sa Parole. Voyez là où ce prophète veut en venir. Il savait que la Parole de Dieu venait aux prophètes. Et Elie, le prophète, avait déjà maudit Achab à cause de Naboth, il avait dit que les chiens lécheraient son sang. Comment donc Dieu pouvait-Il bénir ce qu’Il avait maudit?

107      Ainsi, Michée a dit: «Attendez, et je verrai ce qu’Il va dire.» Il va d’abord avoir une vision qu’il va comparer avec la Parole. Cela a toujours été ainsi. Comparez cela avec la Parole. Elle est l’Urim Thummim de Dieu. Ainsi donc, quand il–il est allé, il a dit: «Accordez-moi cette nuit.» Et cette nuit-là, il se peut qu’il ait prié toute la nuit, et le Seigneur est venu vers lui et lui a dit ce qu’il devait dire.

108      Le lendemain matin, il est allé, il a dit: «Montez, c’est vrai, mais j’ai vu Israël dispersé comme des brebis sans berger.»

            Voyez, qu’avait-il fait? Il a comparé sa vision avec la Parole, et il savait qu’il avait parfaitement raison là. Peu importe le nombre de ces intellectuels; des érudits raffinés, très hautement instruits, le séminaire, cela n’a pas–n’a pas du tout déphasé Michée. Pourquoi? Il est resté rassuré par sa vision de la Parole. Voilà.

            L’un d’eux le frappa à la bouche, en disant: «Eh bien, nous n’allons plus te prendre dans notre association.» Il a dit: «Laisse-moi te montrer une chose, Michée. N’est-il pas raisonnable...»

109      Peu m’importe combien c’est raisonnable, si une chose est contraire à la Parole de Dieu, c’est contraire à la Parole de Dieu. Si un géant intellectuel venait dire: «Nous n’avons pas besoin du Saint-Esprit. Nous n’avons pas besoin de cette guérison divine.» Peu m’importe combien cela paraît raisonnable, si c’est contraire à la Parole... Dieu a fait la promesse. Amen.

110      Ils ont dit: «Cela n’était que pour les apôtres.» Je me demande vraiment d’où ils tirent cela. Le jour de la Pentecôte, Pierre a dit: «Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au Nom de Jésus-Christ pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.» Amen. Seulement pour les apôtres...

111      C’est pour quiconque a été appelé. Oui, n’écoutez pas ce géant-là. Voyez?

             La Bible dit ici que nous ne luttons pas contre la chair et le sang. Nous n’essayons pas de briser les prises de pieds dans le ring de la lutte contre la chair et le sang; mais nous essayons de briser les prises du coeur de cet esprit qui s’est saisi des gens, qui s’est introduit dans leurs systèmes, dans leurs coeurs, les amenant à faire et à dire des choses qui sont fausses. Certainement.

112      J’ai l’habitude de... Vous savez, je suis moi-même un ancien boxeur. J’ai obtenu... J’ai remporté le championnat de poids coq de trois–trois Etats sans aucune défaite. Je voyais les autres monter sur le ring avec toutes sortes de trucs fantaisistes, ils portaient toutes ces absurdités fantaisistes. Cela ne faisait pas d’eux des boxeurs. Des fois, c’était une comédie. Cela n’avait rien à voir avec la chose. S’il–s’il n’avait pas une puissance cachée là pour briser les prises...

            Et c’est ainsi que nous essayons de présenter nos églises aujourd’hui: avec la plus haute flèche, les plus beaux bancs, le groupe le mieux habillé. Cela ne fait pas lâcher prise. Non, il faut cette puissance cachée de l’Esprit de Dieu, cette Parole là-dedans pour faire lâcher prise. C’est vrai.

113      Ce fut le cas de Pierre. Il savait bien manier son épée. Quand Jésus a eu des ennuis, il a dégainé son épée. Il pouvait la brandir dans tous les sens, couper le souverain sacrificateur, l’oreille de son serviteur avec une épée. Mais quand il fallait faire preuve de véritable courage chrétien, il n’en avait pas. Oui. Mais quant au courage spirituel, il a renié la Parole faite chair qui se tenait juste parmi eux.

114      Il savait bien manier son épée. C’est vrai. Il pouvait combattre le credo tout aussi bien que n’importe qui. Mais il... quand il fallait faire preuve de courage spirituel, il n’en avait pas. Ainsi, il a failli juste là. Eh bien, pourquoi? Il ne connaissait qu’une seule chose: son credo. Mais frère, après qu’il fut allé à la Pentecôte, il s’est revêtu de toutes les armes de Dieu. Maintenant, observez-le. Il devient à présent une personne différente. Il s’est revêtu de toutes les armes.

115      Qu’était-ce? Cette Parole avec laquelle il avait marché se trouvait en lui, l’enflammait dans sa chair et dans son âme. Il s’était revêtu de toutes les armes de Dieu. Ce sont les armes auxquelles Dieu a pourvu. Il avait reçu le baptême, il était rempli du Saint-Esprit. Qu’est-ce? Dieu se rendant toujours présent dans Sa propre armée. Dieu, le jour de la Pentecôte, a fait descendre toutes les armes de Dieu pour Son armée. C’était Lui-même parmi vous.

116      «Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus, mais vous, vous me verrez, car Je serai avec vous, même en vous, jusqu’à la fin du monde.» Jésus-Christ le même hier et éternellement. Matthieu 28. Très bien. En effet, Il a... Il est avec nous, en nous. Voilà les armes. C’est Lui. Il est la Parole, et Il est le Saint-Esprit, et le Saint-Esprit est en nous, Il est la Parole qui rend la promesse manifeste. C’est la promesse. Christ est la Parole, et Il La rend manifeste.

117      L’Esprit vivifie la Parole, rend le... En d’autres termes, Il est la poudre qui propulse la balle et va avec elle. Il en était ainsi de cette poudre quand David a affronté Goliath avec une fronde dans laquelle il y avait une pierre. Il n’avait qu’un seul endroit où frapper, et c’était juste entre les yeux. Le reste du corps était cuirassé. Mais Dieu est entré dans cet Esprit.

118      Qu’était-ce? Il avait cinq pierres et une fronde. Regardez. La F-o-i en J-é-s-u-s [F-a-i-t-h en anglais–N.D.T.] Le voilà venir. Quelque chose est sur le point d’arriver, car il y a là la Parole, la promesse, et la puissance pour lancer cela. C’est ce dont nous avons besoin aujourd’hui, d’un homme qui prendra la Parole de Dieu, ayant derrière lui la puissance du Saint-Esprit pour La propulser et La voir s’accomplir. Voilà l’armée de Dieu. Amen. Sa Parole de feu, Son armée est toute revêtue de Sa Présence au-dedans, et Elle nous accompagne. «J’irai avec vous, Je serai avec vous. Ce n’est pas vous qui parlerez; le Père qui habite en vous, c’est Lui qui fait les oeuvres.»

119      Dans Son armée... Il présente Son armée sous forme de cinq offices, d’abord les apôtres, les prophètes, les docteurs, les pasteurs, les évangélistes. Voilà Son armée; ce sont là Ses soldats; voilà Ses commandants, tous ayant le baptême du Saint-Esprit, ils attendent là pour affronter l’ennemi sur n’importe quel terrain où il se présente; pour affronter l’ennemi avec la Parole de Dieu (Amen), se soutenant les uns les autres, avec Lui le Capitaine en Chef, pas là au front, ici, au-dessus, là derrière; mais en eux. C’est cela l’armée. Confirmant, confirmant quoi? Sa résurrection, par la preuve de Ses oeuvres.

120      Dans Jean 14.12, Jésus dit: «Celui qui croit en Moi fera aussi les oeuvres que Je fais.» Qu’est-ce? C’est Dieu dans l’Eglise, dans ces cinq offices prédestinés, soutenant chaque Parole qu’Il a prononcée, avec le Saint-Esprit Lui-même là-dedans, lequel est la Parole rendue manifeste, prouvant Sa résurrection, prouvant qu’Il vit.

121      Toutes les autres religions sont mortes. Leurs systèmes sont morts. Il n’y a qu’une seule qui est vraie, et c’est le Christianisme, car Christ vit dans l’Eglise de Christ (Amen), rendant Sa Parole manifeste, car Il est le même. Si c’est la même Parole, Elle accomplira la même chose et manifestera les mêmes oeuvres, ainsi que les mêmes signes. Matthieu 28 le déclare. Etre avec Son armée, en eux, les sécurisant... Pensez-y. Le Grand Général Parole a triomphé en nous.

            Il se peut que je vous garde trop longtemps. Je ne voudrais pas vous fatiguer. Mais écoutez. Chez moi, les gens ont l’habitude de rester assis des heures et des heures quand nous apportons un enseignement. J’essayerai d’arrêter juste dans quelques minutes. Je ne voudrais pas que vous vous en alliez. Je voudrais prier pour vous avant que vous vous en alliez. Je pense que ceci est plus important pour vous que n’importe quelle ligne de prière. Voyez? Certainement. Maintenant, si vous voulez bien écouter... Voyez?

122      Le grand Général victorieux qui est descendu, et qui S’était fait... La Parole faite chair a pris cette Parole et a vaincu Satan sur chaque terrain, et a dit: «Détruisez ce temple, Je le ressusciterai le troisième jour.» Et pourquoi? David, dans la Parole, a dit: «Je ne permettrai pas que mon Saint voie la corruption, ni n’abandonnerai Son âme dans le séjour des morts.» Et Il savait que cela était une promesse de Dieu, qu’Il ressusciterait. Et Il a pris cette Parole, et est allé avec Cela jusqu’à la mort, sachant que cette Parole devait s’accomplir.

123      Il n’y a pas une seule promesse de la Parole de Dieu qui manquera de s’accomplir. Il a dit: «Les cieux et la terre passeront, mais Ma Parole ne faillira point.» Chaque promesse est parfaite. Et c’est sur base de cette unique promesse de l’Ecriture, à savoir: «Je ne laisserai pas Mon Saint voir la corruption, Je ne permettrai pas qu’Il voie la corruption, ni n’abandonnerai Son âme dans le séjour des morts.»

124      Or, Jésus savait que la corruption s’installe dans le corps après soixante-douze heures. Le nez s’affaisse. L’entrepreneur des pompes funèbres, s’il est présent, le sait. Eh bien, la corruption s’installe dans le corps. Et David a dit, par le Saint-Esprit, un homme inspiré, la Parole du Seigneur venant au prophète, il a dit: «Je ne permettrai pas que mon Saint voie la corruption.» Et Il savait qu’avant qu’une cellule ne se corrompe, Il sortirait de la tombe.

125      Pourquoi? Il était la Parole, fortifié par la Parole. Et Il ressuscita. Il conquit la mort, le séjour des morts, ainsi que la tombe; et Il est revenu Lui-même sous la forme du Saint-Esprit pour fortifier Son armée pour ce dernier jour, dans ce grand assaut, quand ces géants intellectuels s’élèvent, raisonnent contre la Parole. Mais, «Je ne vous laisserai pas orphelins. Je reviendrai, et Je serai avec vous, en vous.»

126      Il a encore dit: «Je prierai le Père. Il vous enverra un autre Consolateur, le Saint-Esprit. Il demeurera éternellement avec vous.» Qu’est-ce? La Parole, l’Artillerie de Dieu dans l’être humain, manifestant la résurrection. Pensez-y. Ce grand Vainqueur, qui a vaincu chaque maladie, qui a vaincu chaque superstition, qui a vaincu chaque géant, qui a vaincu tout ce qui devait être vaincu sur la terre, mourut, Il a vaincu le séjour des morts, Il a vaincu la mort, Il a vaincu la tombe, Il a vaincu les atmosphères, Il est monté au Ciel, Il est revenu sous la forme du Saint-Esprit. Et nous sommes plus que vainqueurs par Celui qui nous a aimés. Amen.

127      Quelle armée! Comme une armée puissante, le soldat chrétien marche. Amen. La grande victoire. Il est en nous. Pas moi, Il a déjà vaincu cela. Je n’ai pas à faire quelque chose, si ce n’est de croire en Lui et aller de l’avant (Oui, monsieur), car Il est ressuscité. Son Esprit est en nous, le grand Vainqueur. La Présence de la résurrection est en nous.

            Nous sommes passés des choses du monde, de l’incrédulité et des credos au Christ vivant, chaque puissance de l’ennemi étant vaincue. La mort elle-même est vaincue. Le séjour des morts est vaincu, la tombe est vaincue, chaque maladie est vaincue. Amen. Ce n’est pas moi le vainqueur, c’est Lui qui a vaincu. Il ne s’agit pas de ce que je suis; il s’agit de ce que Lui est. Amen. Où est-Il? En moi. Je suis passé de la mort à la vie.

            Quelqu’un a dit: «Billy, tu te comportes comme un idiot.» Il est possible que je le sois, mais je me sens mieux ainsi. Laissez-moi simplement tranquille. C’est vrai. Ici au-dedans, j’ai la Vie; là au-dehors j’étais mort. J’ai une vie de loin meilleure aujourd’hui. Amen. Oh! j’aime cela. Il ne nous précède pas; Il marche en étant en nous.

128      Il n’y a pas longtemps, il y a eu là à Jeffersonville un grand incendie. L’armée Pfau, ou plutôt la société a pris feu, et les gens sont allés chercher les sapeurs-pompiers. Et les sapeurs-pompiers de Jeffersonville se tenaient là comme un garçon avec un petit tuyau de pompe à incendie, le chef allant çà et là, avec un cigare comme un boeuf décorné de Texas, allant çà et là, disant: «Jetez un peu d’eau ici. Jetez un peu d’eau là, les gars. Allez-y, allez-y.» Tout le monde a vu qu’il était le chef. «Jetez un peu d’eau ici.»  «Eh bien, dirent les gens, nous devons chercher d’autres sapeurs-pompiers. Ce n’est pas suffisant.» Ils ont fait appel à Clarksville. Ils sont venus là: bang, bang, bang! Ils sont arrivés là, et ce chef est sorti. Il a serré la main à l’autre chef, échangeant des civilités.

129      Et comment pouvez-vous croire, vous qui tirez gloire les uns des autres? Oh! la la! Un certain grand homme, un évêque, un personnage très important, un ancien, rien. Nous sommes frères et soeurs en Jésus-Christ. Il n’y a personne de grand parmi nous. C’est ce qu’il y a en nous qui est grand. C’est Dieu, le Saint-Esprit dans chacun de nous qui croyons. Pas de très saints évêques et de saints pères; c’est le Saint-Esprit qui est dans les gens. Oui.

            Voilà donc venir ces sapeurs-pompiers de Clarksville. «Bonsoir, évêque.» Oui, comme cela. Le bâtiment continuait à brûler.

130      Quelque temps après, on a fait appel à Louisville. Frère, on avait alors quelque chose. J’étais là à ce moment-là et j’ai vu ce vieux crochet et cette échelle qu’on apportait là. Mais les autres se déplaçaient là, disant: «Cassez cette fenêtre. Jetez un peu d’eau là.»

131      Quand cette grande armée de combattants entraînés de Louisville débarqua là, ils ont fait tournoyer le camion là dans la rue, frère. Ils ont nettoyé la moitié du trottoir en tournant. Qui était au bout de l’échelle? Ils avaient un ascenseur électrique qui a lancé cela là. Qui était au bout de l’échelle? Le chef des sapeurs-pompiers lui-même. Amen. Quand ils... Il tenait dans une main le tuyau de pompe à incendie et dans l’autre main une hache. Il a dit: «Laissez-la partir.» Et ils ont tiré ce levier.

132      Qui est allé le premier? Le chef des sapeurs-pompiers. Quand cela a touché le mur... Il a pris cette hache avant que l’échelle ait atteint le mur, et il en cogna la fenêtre. Il a dit: «Venez, les gars.» Non pas: «Allez-y, les gars, Venez, les gars.» Alléluia! C’est ce que Christ a fait. La Parole est venue, Elle a vécu comme un être humain, Elle a vaincu la mort, le séjour des morts, la tombe, jamais Il a dit: «Allez-y.» Il a dit: «Venez. Je suis avec vous.» Peu après, le feu était éteint.

133      C’est ce qu’il en est... le grand Vainqueur. Nous n’avons pas besoin de grandes dénominations de géants intellectuels. «Je suis membre de la plus grande église de la ville.» C’est une absurdité. Je suis membre de la plus petite, et c’est celle qu’il faut.

134      Cela fait cinquante-trois ans que je suis dans la famille Branham: jamais on ne m’a demandé d’adhérer à cette famille. Je suis né un Branham. C’est vrai. C’est de cette manière que vous êtes enfant de Dieu. Vous êtes né enfant de Dieu par la nouvelle naissance. Un Chef qui est en tête dans chaque combat, notre Grand Conducteur en chef sur le chemin de retour à la maison...

            Quand les nations (Ecoutez maintenant, pour terminer)... Il n’y a pas longtemps, quand les nations ont commencé à fournir des casques de protection à leur armée... Eh bien, ils savaient qu’ils allaient devoir s’en servir. Ils savaient que des éclats d’obus voleraient, ainsi ils savaient qu’ils devraient s’en servir. Oh! Cela semblait peut-être ne pas avoir de l’importance lors de la formation. Mais, frère, une fois sur le champ de bataille, il vous faut avoir cela.

135      Quand on forme les soldats, s’il y en a ici... Je pense que c’est un sac à dos de quatre-vingt-dix livres [Environ 41 kg–N.D.T.] que l’on met sur le dos d’une jeune recrue. C’est par là qu’on commence, on dirait qu’il transpire à mort. Pendant la formation, il ne pense pas que c’est nécessaire, mais qu’il attende simplement que le moment arrive. Il aura besoin de tout ce qui se trouve dans ce sac à dos. Il sera content d’avoir eu cela. Oui, oui. Il–il doit avoir cela, et il sera content d’avoir été formé à utiliser cela.

136      Et ainsi donc, Dieu–sachant que dans ces derniers jours, des géants intellectuels viendront, que tout deviendra intellectuel, qu’il y aura toutes sortes d’ennemis avec la puissance du raisonnement pour essayer de prouver à l’église que les jours des miracles sont passés et tout cela–Dieu, avec quoi a-t-Il chargé le baptême du Saint-Esprit? Le parler en langues, l’interprétation des langues, les prophéties, les dons, et toutes sortes de choses. Cela peut sembler difficile pendant la formation, mais frère, au front, chacune de ces choses doit être utilisée. Dieu équipe Ses soldats exactement avec ce qu’il faut utiliser. Amen.

137      Oh! les gens pourraient dire: «Apprenez simplement la psychologie.» Cela ne marchera pas. Non, non. C’est aussi léger qu’un bouillon fait à base d’un poulet squelettique qui est mort de faim. Cela n’est donc pas bon. Il nous faut avoir la puissance du Saint-Esprit venant sur un homme, avec tous les neuf dons spirituels habitant en lui.

            «Oh! direz-vous, je n’aime simplement pas sortir. Je n’aime pas prier toute la nuit. Je n’aime pas...» Eh bien, alors, vous allez vous faire tuer au front.

138      Restez là jusqu’à ce que Dieu vous équipe du baptême de l’Esprit. Alors tout ce dont vous avez besoin dans ce siècle ou dans le siècle à venir vit juste en vous. Dieu qui est la toute intelligence savait comment équiper Son armée. Il l’a équipée du baptême du Saint-Esprit. C’est exactement ce qu’Il a envoyé dans ces derniers jours.

139      Il savait qu’il nous faut l’avoir. Il savait que les gens raisonneraient, se mettraient à lire cette Parole, quand Elle sera imprimée ici, ce qui arriverait. Et aujourd’hui, nous voyons des gens qui disent: «Eh bien, maintenant, où est ce Dieu de l’histoire? Où est ce Dieu qui a traversé la mer Rouge? Où est ce Dieu qui a guéri les malades?» Ils essaient de dire: «C’est du passé.»

140      A quoi bon donner des vitamines à votre canari et faire qu’il ait des ailes bien fortes, pour ensuite le garder dans une cage? Voilà ce qu’ils essayent de faire avec les gens: les nourrir avec toutes sortes de vitamines de ceci et de cela, et ensuite, vous savez, leur dire que tous les jours des miracles sont passés. Vous êtes enfermé dans une petite histoire par ici. C’est un mensonge. Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Dieu savait qu’il fallait le baptême du Saint-Esprit pour manifester Ses signes du dernier jour. C’est vrai.

141      Il savait que pour être un témoin efficace... C’est comme notre bienveillant ami (Je ne cite pas son nom, car ce n’est pas convenable. Ceci est enregistré sur bande.)... mais un précieux ami, un brave frère, du genre qui va à Sodome, je vous ai parlé de lui l’autre soir... Quand il était en Inde (Vous savez de qui je parle), cet évêque indien l’a défié, disant que Christ n’existe pas, que c’était une religion faite de main d’homme. Il a dit: «Je prendrai trente personnes de ce côté-ci, des malades; et vous, prenez-en trente de ce côté-là. Je guérirai un chaque fois que vous en guérirez un. Et votre Bible enseigne qu’Elle guérira.»

            Et ce certain grand évangéliste a dit: «Les jours des miracles sont passés.» Il n’aurait pas dû faire une chose pareille.

142      Je pense que c’est comme Elie l’a dit cette fois-là: «Pourquoi n’avez-vous pas envoyé...» Si vous n’avez pas la foi pour faire cela, il y en a plein ici qui l’ont. Oh! frère, il se peut que je sois vaincu, mais je n’aurais jamais laissé cet infidèle se tenir là, ou cet incroyant, et–et tourner en dérision la Parole de Dieu. S’il me fallait aller le défier, je me rendrais là en faisant confiance à la Parole de Dieu.

143      C’est comme l’ont dit les enfants Hébreux: «Notre Dieu est capable de nous délivrer de ce feu. Mais cependant, nous ne nous prosternerons pas devant ces prêtres.» C’est vrai.

144      Vous avez besoin du Saint-Esprit pour foncer là. Pourquoi ne l’avait-il pas dit quand nous étions en Inde? Pourquoi ne l’avait-il pas dit quand cet aveugle s’est présenté là devant le roi Nehru, et s’est présenté devant les gens, et qu’il a témoigné dans un séminaire méthodiste qu’il était totalement aveugle, et qu’il a été guéri, et qu’il a été parfaitement rétabli sur l’estrade? Ils savent qui défier et qui ne pas défier. Certainement qu’ils le savent. Ils trouvent qu’ils ont une occasion.

145      Satan connaît ce raisonnement et là où se trouve le raisonnement. Oui, monsieur. Pour être un témoin efficace de Sa résurrection, Il savait qu’il fallait le Saint-Esprit, car l’homme ne peut pas faire ces choses. Il a équipé Son armée avec le Saint-Esprit pour faire ces choses, pour révéler les secrets du coeur, tel qu’Il l’a promis. Vous ne pouvez pas le faire sur base d’une quelconque formation. Vous devez le faire par le baptême du Saint-Esprit, les armes de Dieu. Et ceci est la Lumière du soir. Pour rendre Hébreux 13.8 une réalité, il faudrait plus qu’une formation. Vous pouvez lire des mots, et lire des mots, et lire des mots, et cela ne le fera jamais s’accomplir jusqu’à ce que vous ayez le Saint-Esprit là pour manifester cela.

            C’est ça la Lumière; se revêtir de toutes les armes de Dieu, pas seulement d’une robe, vous vous habillez et vous dites: «Gloire à Dieu! J’ai le Saint-Esprit.» Alors vous êtes en train de laisser jaillir toute la puissance par le sifflet. Vous ne faites aucun bien. Mettez cela en action; mettez cela dans la foi; actionnez cela; faites faire quelque chose à cela: se revêtir de toutes les armes de Dieu pour sortir et résister aux ruses du diable.

            Quand il dit: «Jésus-Christ, c’est de la fausse religion. C’est depuis longtemps qu’elle est morte. Cela n’existe pas; cela n’existe pas, et les jours des miracles sont passés», tenez-vous-en au baptême du Saint-Esprit et prouvez que c’est la vérité. Gloire! Hmmmm!

146      Vous trouvez que je me comporte de façon bizarre? Peut-être que oui. J’ai perdu la raison pour le monde, et je l’ai retrouvée en Christ. «Que les sentiments qui étaient en Christ soient en vous», il faut le baptême du Saint-Esprit, toutes les armes de Dieu; pas seulement serrer la main à un prédicateur, inscrire votre nom dans le registre, ou prendre du pain kascher et l’avaler, et un prêtre boire le vin. Ce n’est pas cela. Mais, frère, restez là jusqu’à ce qu’il survienne un vent impétueux qui remplit tout votre être, dissipe tous vos doutes, ôte tous vos credos, enlève toute autre chose, et met la Parole là-dedans avec la puissance de Dieu derrière pour soutenir cela. Gloire!

147      Je me sens vraiment bien. Amen. Dieu l’a dit. C’est le Saint-Esprit, pas un... J’en ai encore plein ici, mais je ne vais pas le dire. Frère, toutes les armes de Dieu, c’est le baptême du Saint-Esprit avec la Parole derrière cela. Et si quelqu’un dit qu’il a le Saint-Esprit et qu’il renie une seule Parole de ceci, alors ce n’est pas le Saint-Esprit. C’est le Saint-Esprit qui a écrit la Bible, et Il a dit: «Quiconque En retranchera quelque chose, ou Y ajoutera quelque chose, de même sa part sera retranchée du Livre de Vie.» Le Saint-Esprit ne reconnaît que la Parole, parce que c’est Sa Parole, et Il ne peut pas renier Sa Parole. Il doit tenir Sa Parole. Amen.

148      Quelqu’un dit: «Nous avons le Saint-Esprit, mais nous ne croyons pas aux miracles.» Alors, cela prouve que vous ne L’avez pas. Amen. Dans les derniers jours, quiconque traiterait la puissance de Dieu, le discernement, les prophéties et ainsi de suite, de télépathie mentale ou de quelque chose comme cela, est né du diable. Cela ne peut pas être de Dieu. C’est contraire. Cela ne reconnaît pas l’Urim Thummim. Tout ce qui est reconnu par ceci et qui atteste la vérité, est de Dieu. Amen.

            Oh! je L’aime! Il est ici. Cette vieille Parole, il n’y a rien qui apporte la foi comme la Parole. Toutes les armes de Dieu, les soldats formés...

149      Jésus a dit ici: «Les oeuvres que je fais, vous les ferez aussi.» Est-ce vrai? Comment S’est-Il révélé en tant que Messie? En étant capable de discerner les pensées mêmes qui étaient dans les coeurs des gens. Comment a-t-Il exprimé cela dans le Nouveau Testament? «Les oeuvres mêmes que Je fais, vous les ferez aussi.» Dans Hébreux chapitre 4, Il a repris cela. Il a dit: «La Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, pénétrante jusqu’à partager moelles et os et ainsi de suite, elle juge les pensées du coeur.» Alléluia!

150      Jésus a dit: «Ce qui arriva du temps de–de Lot, arrivera de même à la Venue du Fils de l’homme», quand Dieu S’est manifesté dans un homme, Il a tourné le dos comme ceci à une audience, et Il avait tourné le dos à une femme, et Il lui a dit à quoi elle pensait. C’est ça la Parole de Dieu. C’est la vérité de Dieu.

151      Vous les gens, il se peut que vous pensiez que parce que nous sommes assis ici à peine quatre ou cinq cents personnes, assises dans le bâtiment cet après-midi, c’est trop peu. Rappelez-vous que Dieu ne Se joint jamais à de grandes foules. «Là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je serai au milieu d’eux.» Cela ne veut pas dire... Vous dites: «Eh bien, nous sommes assemblés au Nom de Jésus.» Cela veut dire que vous êtes effectivement en Christ. Le monde est mort pour vous, et vous êtes mort au monde; et Christ est vivant en vous. Il est ici sans l’ombre d’un doute. Je Le vois Se déplacer dans l’auditoire maintenant. Amen. Il m’arrête. Croyez simplement.

            Qu’en est-il de vous, madame? Je ne vous connais pas, vous qui êtes assise là. Vous souffrez de la nervosité, de complications, d’un mal d’intestin. Croyez-vous que Dieu vous a guérie? Levez la main, si vous avez accepté cela; continuez votre chemin.

            La dame qui est assise juste derrière elle, là, oui; un ulcère. Si vous pouvez croire, Dieu vous guérira. Ne doutez pas de cela. Croyez-le de tout votre coeur et Dieu enlèvera l’ulcère. Croyez-vous cela? Cela se trouve sur votre jambe droite. Croyez de tout votre coeur. Si cela est vrai, levez la main. Très bien. Je ne connais pas la femme, je ne l’ai jamais vue de ma vie. Si nous sommes étrangers l’un à l’autre, agitez votre main comme cela. Voyez?

152      Qu’est-ce? C’est Christ, toutes les armes de Dieu. Ecoutez. La Parole est une épée, et il n’y a qu’une seule chose qui peut combattre l’ennemi. C’est la main de la foi pour manier cette épée.

153      Il n’y a pas longtemps, un homme a dit qu’il a fait un rêve dans lequel le diable ne faisait qu’avancer, faisant: «Bouh! bouh!» Et il a fait un saut en arrière. Et le diable devenait plus grand, tandis que lui devenait petit. Il savait qu’il allait le combattre tôt ou tard, alors il s’est saisi de la Parole. Et chaque fois que le diable faisait: «Bouh!», lui répondait aussitôt: «Bouh!» et le diable devenait petit. C’est ce qu’il en est. Il faut la main de la foi pour manier la Parole. Alléluia!

            Qu’en est-il de vous? Vous avez un membre de famille qui a eu une attaque d’apoplexie. C’est vrai, n’est-ce pas? Oui. Croyez-vous qu’elle se rétablira? Ayez foi.

154      Vous dites: «Vous le regardiez.» Très bien. Il y a un homme et une femme assis derrière moi. L’homme a un problème de sang, l’arthrite. Sa femme est assise à côté de lui. Elle souffre de la thyroïde. Monsieur et madame Rader, croyez de tout votre coeur, et Dieu vous rétablira si vous voulez croire cela. Croyez-vous, monsieur? Je ne les connais pas. Si nous sommes étrangers l’un à l’autre, levez la main. Voyez? Vous y êtes. Qu’est-ce? Toutes les armes de Dieu. Alléluia! Je L’aime, je L’aime, Parce qu’Il m’aima le premier, Et acquit mon sal-...

155      Cela a retardé votre croissance, monsieur. Vous ne saviez pas que vous aviez tant de foi. Mais je me tenais là, observant cette Lumière qui se déplaçait. Je me suis dit: «Si je leur tourne le dos, ils verront le même Ange qui a vécu là-bas, qui était venu et qui S’était manifesté Lui-même, et qui a révélé ce que l’on pensait dans la tente. Il saura certainement qui vous êtes, et quel est votre problème.» Je demande à chaque personne de croire la même chose. Alléluia! La puissance de Dieu, toutes les armes de Dieu, la Parole entière de Dieu enveloppée en vous: le grand Vainqueur.

156      Oh! Il est un puissant Vainqueur depuis qu’Il a déchiré le voile en deux. C’est-à-dire, pas seulement une seule personne, mais tout le monde, quiconque veut peut venir derrière le voile maintenant. Hâtez-vous et tenez-vous dans la gloire de la Shekinah. Amen. Soyez un sacerdoce royal. Quand ils sont allés là derrière, ils ont pu goûter là où ils avaient... un vase plein de... original... un omer plein de–de la manne qui était tombée au commencement, et qui était gardée là-dedans, uniquement pour le sacerdoce. Nous le savons. Mais maintenant le voile est déchiré. Pas seulement le sacerdoce, mais aussi chacun de nous peut être sacrificateur royal.

157      Venez goûter à la manne originelle, le genre de manne qui était tombée le jour de la Pentecôte, la manne pour l’Eglise, le Saint-Esprit, les armes, ce qui nous a affermis... Pas avec l’instruction intellectuelle, des diplômes de docteur, mais nous sommes affermis par le baptême du Saint-Esprit pour prouver que la Parole de Dieu est la vérité. Gloire! Alléluia! Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela?

            Chantons-Lui Je L’aime, je L’aime, parce qu’Il m’aima le premier. Tout le monde maintenant.

     Je L’aime (L’aimez-vous? Levez la main), je L’aime,

     Parce qu’Il m’aima le premier,

     Et acquit mon salut

     Sur le... du Calvaire

            N’êtes-vous pas heureux? N’êtes-vous pas heureux? Donnez-nous la note de En avant soldats chrétiens, frère, en marche, quatre, quatre, s’il vous plaît. Très bien. Oh! la la! Oh! ...

     ...marchant comme à la guerre,

     Avec la croix de (Mettons-nous debout maintenant) Jésus

     Allant de l’avant;

     Christ, le Maître royal,

     Oh! mène contre l’ennemi; (Qu’avons-nous? Les armes.)

     Droit dans la bataille,

     Regardez Ses bannières s’en aller!

     En avant soldats chrétiens!

     Marchant comme à la guerre,

     Avec la croix de Jésus,

     Allant de l’avant.

158      Vous n’êtes pas honteux de Lui, n’est-ce pas? Paul a dit: «Je n’ai point honte de l’Evangile de Jésus-Christ; car c’est la puissance de Dieu pour le salut.» Tenons-nous simplement les mains et disons: «Alléluia», très fort, maintenant. Allons-y. Alléluia! Alléluia! Alléluia! Gloire à notre Dieu! Gloire à notre Dieu!

     ... armée

     S’avance l’Eglise de Dieu;

     Frères, nous marchons Sur les traces des saints;

     Oh! nous ne sommes pas divisés,

     Nous sommes tous un seul corps;

     Un dans l’espérance, et dans la doctrine, Un dans la charité.

            (Que tout le monde chante cela maintenant.)

     En avant soldats chrétiens!

     Marchant comme à la guerre,

     Oh! avec la croix de Jésus

     Allant de l’avant.

            Voulez-vous vous y joindre? La seule façon de vous y joindre, c’est de naître. Maintenant, la grande chose est ouverte ici, l’autel de Dieu. Il y a de la place à la Fontaine. Pour tout homme ici présent qui aimerait venir joindre ces rangs cet après-midi, qui est disposé à mettre de côté chaque credo contraire à la Bible, chaque pensée contraire à la Bible, chaque doctrine contraire à la Bible, et à avancer avec foi pour dire: «J’accepte Jésus-Christ sur base de Son Sang versé et de Sa Parole», je vous assure, quelque chose vous arrivera juste maintenant. Et vous serez affermi par la puissance du Saint-Esprit.

159      Nul ne peut prétendre être un prédicateur jusqu’à ce qu’il trouve ces sables sacrés. Moïse était intellectuel au possible. Il avait la puissance du... de la connaissance de la Parole. Il connaissait sa position; il savait qu’il était un prophète, et tout. Mais tant qu’il n’avait pas rencontré Dieu là-bas sur ces sables sacrés... Aucun intellectuel ne pouvait le lui ôter à force d’explications.

            Il était présent quand cela s’est produit. Nul n’a le droit de se réclamer de Dieu avant qu’il ne soit venu sur ce terrain sacré qu’aucun géant intellectuel ne peut atteindre. Vous étiez là quand cela s’est produit. Cela ne change rien, comment ils peuvent expliquer cela; vous savez que cela s’est produit. Oh! gloire! Voudriez-vous vous joindre à nous pendant que nous chantons cela une fois de plus? Venez autour de l’autel. Nous serons heureux de prier pour vous avant de commencer la ligne de prière. Très bien, frère, encore En avant soldats chrétiens. Venez maintenant, joignez-vous à nous. C’est le dernier appel. Si vous voulez venir, venez maintenant.

     En avant soldats chrétiens!

     Marchant... (Si vous n’avez pas été affermi par l’Esprit et que la Parole...)

     ... Jésus

     Allant de l’avant;

     Christ le Maître royal (Grand Vainqueur)

     Mène contre (l’incrédulité) l’ennemi (le raisonnement)

     Droit dans la bataille,

     Regardez Ses Bannières s’en aller!

     En avant soldats chrétiens!

     Marchant comme à la guerre,

     Avec la croix de Jésus,

     Allant de l’avant.

160      Combien ici font déjà partie de cette armée? Qui sont déjà remplis du Saint-Esprit? Qui croient chaque Parole de Dieu? Qui reconnaissent que c’est la vérité?

            Notre Père céleste, je ne sais quand je peux encore revenir à cette côte pour visiter ces gens. J’espère très bientôt encore. Mais, Père céleste, je Te remercie pour ce grand témoignage, soir après soir, miracle après miracle, des oeuvres de Dieu inouïes et jamais vues au milieu des gens, avec des choses inouïes dont ils ne connaissent rien, de Le voir Se manifester Lui-même et révéler Son Etre ici, prouvant qu’Il n’est pas mort, mais qu’Il est ressuscité de la tombe.

161      Je Te prie, Père céleste, d’accorder à ces gens toute la puissance de la force du Saint-Esprit, afin qu’ils puissent être des témoins partout sur cette côte, dans ces derniers jours. Car, franchement, Seigneur, tout homme qui est dans son bon sens, sait que nous sommes au temps de la fin. Chaque lecteur de la Bible le sait. Le monde le sait. Les hommes de science disent qu’il est minuit moins trois; on est à l’heure pile.

162      Et Tu as promis que c’est ce qui arriverait en ce jour. Nous lisons dans le livre de l’Apocalypse, dans l’âge de l’église de Laodicée, que les géants intellectuels sont entrés et ont bouté Christ hors de Son Eglise, et Il Se tenait là, en train de frapper à la porte de Sa propre maison, cherchant à y rentrer. Ô Dieu! il n’y a pas un autre–pas un autre âge où il en a déjà été ainsi. Mais c’est dans cet âge, cet âge intellectuel.

            Mais Tu as équipé Tes soldats, Seigneur. Le bouclier, le bouclier, le casque, la Parole, et nous nous tenons cet après-midi comme un groupe minoritaire. Mais, ô Dieu, aiguise-nous; forme-nous; taille-nous; ôte de nous l’incrédulité et les choses du monde, de sorte que quand Christ viendra, Il s’ajuste parfaitement avec Son Eglise, dans son programme, car ce sera le programme du Saint-Esprit: la conduite, les agissements, et des actes du Saint-Esprit quand Christ viendra. Accorde-le, Père. Au Nom de Jésus, je prie. Amen.

163      Vous pouvez vous asseoir juste un moment. Je vais maintenant demander à ceux qui ont les cartes de prière... D’habitude, quand un évangéliste vient dans une ville, les gens trouvent... Ils disent: «Eh bien, seul le prédicateur... attendez que frère Branham, frère Roberts, quelqu’un.» Ça ne demande pas cela. Il faut aussi ces gens. Je vais leur demander de m’aider à prier pour les malades cet après-midi. Vous allez voir aussi quelque chose arriver. Très bien.

            Très bien. Combien ont des cartes de prière? Levez la main. Très bien, je voudrais que vous vous aligniez juste de ce côté-ci, juste ici dans cette allée centrale, et que vous veniez juste de ce côté-ci, tous ceux qui ont des cartes de prière.

            [Frère Branham parle avec quelqu’un.–N.D.E.] Faites cela après–après que nous aurons commencé. Non, je m’occuperai d’eux maintenant même, ceux qui ont des cartes de prière d’abord.

            Maintenant, alignez-vous juste ici. Je voudrais que mes frères viennent s’associer à moi. Vous tous pour qui l’on va prier...?...

164      La Bible dit... Jésus a dit... Et les cieux et la terre passeront, mais Sa Parole ne faillira point. Maintenant, écoutez attentivement, mes amis. Si vous ne croyez pas ceci, vous marchez sur cette piste où il n’y a pas d’effet. Je voudrais vous poser une question. Sur beaucoup, beaucoup de choses que le Saint-Esprit a citées à l’église cette semaine, y a-t-il eu quoi que ce soit de faux parmi elles? Quelqu’un a-t-il déjà trouvé cela faux dans d’autres réunions? Cela a-t-il toujours été vrai? Si c’est le cas, levez la main. Toujours vrai. Voyez? Très bien. Alors ce même Saint-Esprit est juste ici.

            Cette petite dame qui était assise ici, il y a quelque temps, ici quelque part, avait assez de foi pour elle-même et pour son mari. Je ne m’en souviens pas; cela me semble être un rêve de toute façon. Très bien. Si vous avez la foi pour certains de vos bien-aimés, priez pour eux pendant qu’ils sont dans cette ligne.

            Maintenant, nous allons prier pour ceux-ci d’abord. Nous l’avons promis. Et maintenant, pendant que vous passez dans cette ligne, voici les hommes qui ont la même autorité que n’importe qui d’autre pour prier pour les malades.

165      Ecoutez, maintenant. Je voudrais que vous tous vous citiez cette Ecriture avec moi. Jésus a dit ceci dans la dernière commission qu’Il a donnée à Son Eglise, après qu’Il est apparu aux onze et qu’Il les a réprimandés, à cause de la dureté de leur coeur et de leur incrédulité, car ils n’avaient pas cru en ceux qui L’avaient vu après Sa résurrection.

            Il leur a dit: «Allez par tout le monde... (Maintenant, rappelez-vous, c’est à ce moment-là qu’Il a été enlevé.) Allez par tout le monde, et prêchez la Bonne Nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé; celui qui ne croira pas sera condamné.» Il y en a tant qui lisent cela. «Et»–«et» est une conjonction qui lie les phrases ensemble. «Et voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru...»

            On vous a enseigné à serrer la main, à inscrire vos noms dans un registre. Jésus a dit le contraire. Il a dit: «Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru; en mon nom ils chasseront les démons; ils parleront de nouvelles langues; s’ils saisissent des serpents ou boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; et s’ils imposent les mains aux malades, les malades seront guéris.»

166      Voilà la dernière commission que Jésus a donnée; et voici la question qu’Il pose: «Trouverai-Je la foi quand Je reviendrai?» Eh bien, Il n’a jamais dit: «Trouverai-Je la justice? Trouverai-Je une église? Trouverai-Je les gens?» Il a dit: «Trouverai-Je la foi?» Voilà la question.

            Maintenant, à vous qui venez dans cette ligne de prière, ces anciens et ces gens qui se tiennent ici, des chrétiens remplis du Saint-Esprit, ils vont... (ainsi que moi-même), ils vont imposer les mains à chaque personne qui passera par ici. Et sachez que vous allez être guéri. Partez d’ici en disant: «Tout va bien, je vais être guéri.» Cela règle le problème.

            Eh bien, quand cette ligne sera terminée, alors nous allons appeler section par section, jusqu’à ce qu’on ait prié pour tout le monde qui voudrait que l’on prie pour lui. Je l’ai promis.

167      Combien là prieront pour cette ligne de prière? Levez la main. Très bien. Le frère qui est à l’orgue, jouez-nous ce cantique: Crois seulement maintenant, et prions maintenant. Tout le monde, les frères et les soeurs, mettez-vous debout là où vous êtes. Ne laissez personne passer sans qu’on ne lui ait imposé les mains.

            Prenez quelqu’un ici, maintenant, qui peut aider les gens à l’estrade, quelqu’un qui peut les aider à quitter. Venez ici, Frère Fred, s’il vous plaît. Frère Fred Sothmann là, c’est l’un de mes administrateurs, venez ici et aidez les gens à quitter l’estrade pendant qu’ils passent. Tenez-vous juste ici. Et que quelqu’un vienne là pour aider là-bas. Ou ont-ils eu... ont-ils eu... Oui, ils ont un huissier là-bas. C’est parfait. Très bien, inclinons la tête maintenant.

168      Notre Père céleste, nous sommes ici pour Te rendre service. Et nous nous rendons compte que pendant que nous servons Tes enfants, Tu as dit: «Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un des plus petits de ceux-ci qui croient en Moi, c’est à Moi que vous l’avez fait.» Maintenant, voici des mères, des pères, des bien-aimés, des enfants qui se tiennent dans cette ligne-ci, des petits enfants. Et nous prions, Père céleste, que nous... à notre humble façon, tout ce que nous savons faire pour les gens, c’est de prêcher la Parole, La leur expliquer. Puis nous T’avons vu descendre et discerner les pensées des gens, prouvant que Tu es présent. Cela fait de Toi cette grande Colonne de Feu, le Glorieux Christ de Dieu, le même hier, aujourd’hui et éternellement.

            Alors, ces gens oints de Ton Esprit se tiennent ici pour imposer les mains aux malades. Ô Dieu!... Je prie qu’il n’y ait aucun incrédule parmi eux, et puisse chacun partir d’ici heureux, se réjouissant, voyant les maladies et les afflictions de leurs corps les quitter. Accorde-le, Père. Nous Te les confions au Nom de Jésus. Amen.

169      Maintenant, j’ai besoin d’un conducteur qui puisse conduire les chants. Venez ici, Roy. Je voudrais que tous inclinent la tête maintenant, qu’ils soient en prière et chantent dans leur coeur Crois seulement. Tout est possible, pendant que frère Borders conduit le chant. Que tous se mettent à prier maintenant pendant que nous prions.

     Crois seulement (Que tous chantent maintenant),

     Crois seulement...

170      A-t-on donc prié pour tout le monde? N’est-Il pas merveilleux? J’ai vu venir dans la ligne... Maintenant, rappelez-vous qu’il y a ici des gens qui peuvent témoigner, ceux qui ont assisté à d’autres réunions, et qui sont passés par la ligne de prière, pour qui l’on a prié. Et nous pouvons remplir ce truc-ci d’un tas de lettres de témoignage, des déclarations signées par des médecins: cancer, attaques d’apoplexie, polio, tout était guéri. Vous voyez, vous devez simplement vous ancrer et vous en emparer. Ne lâchez pas cela; restez juste là. Eh bien, rappelez-vous que vous commencerez à remarquer après un moment...

171      Tout récemment, nous avons tenu une réunion, et une dame est venue dans la ligne, et elle était une... Il lui a dit son problème. Elle souffrait de l’estomac, de l’ulcère de l’estomac. Et Il lui a dit: «AINSI DIT LE SEIGNEUR, tu es guérie.» Et Il lui a dit de rentrer chez elle et de manger.

            Et puis, une autre dame est passée, et elle avait une grosseur sur un côté de son cou ici (oh! Je pense un pouce de long ou quelque chose comme cela), et Il lui a dit la même chose: elle va se rétablir. Et elles étaient donc des voisines.

172      Et la dame qui avait l’ulcère de l’estomac s’en est allée. Elle a essayé de manger, mais elle ne pouvait simplement pas manger. Et elle a cherché à prendre de la nourriture, mais elle a simplement vomi cela. Et finalement, cela a continué ainsi pendant deux ou trois semaines, et elle... Il semblait comme si elle allait lâcher. Et puis nous, dans l’autre partie du pays pour environ trois ou quatre semaines plus tard...

173      Et un matin, ses enfants allaient à l’école, et elle s’est réveillée. Et chaque fois qu’elle prenait quelque chose, elle... cela brûlait simplement et faisait mal, et elle vomissait cela. Et finalement son mari a dit: «Chérie, je–je pense que tu es en train de jeter l’opprobre sur la cause de Christ.»

            Or, vous ne pouvez pas faire cela quand vous confessez. «Confesser» signifie «répéter la même chose». La confession... Quand vous allez chez un avocat pour–pour faire une confession, vous dites la même chose. Et vous dites: «Par Ses meurtrissures, je suis guéri.» C’est ce qu’Il a dit. Et vous êtes en train de confesser qu’Il a l’a fait. Et elle a continué ainsi.

174      Ainsi un matin, elle se tenait là en train de faire la vaisselle, elle pleurait. Et elle... Tout d’un coup, elle a ressenti une drôle de petite sensation, a-t-elle dit, la parcourir, et elle a commencé à sentir un rafraîchissement dans l’estomac. Eh bien, elle n’a point fait attention à cela. Elle a continué simplement à faire la vaisselle. Elle a vraiment eu faim. (Il se peut que cette dame soit présente maintenant, à ce que je sache.) Et elle a dit que les enfants avaient laissé de l’avoine dans leur assiette, vous savez, les flocons d’avoine, vous savez, préparée. Et d’habitude, cela la brûlait, à cause de cet ulcère de l’estomac. Elle en a donc pris une cuillerée ou deux, et cela ne l’a pas du tout dérangée.

            Et puis, après un moment, elle a pris un morceau de pain grillé. Cela ne l’a pas du tout dérangée. Ainsi donc, elle s’est fait des oeufs sur le plat, et a pris une tasse de café, et elle a simplement eu un jubilé gastronomique normal. Elle a simplement continué à manger, et cela ne l’a pas dérangée. Et elle a attendu deux ou trois heures, rien ne faisait mal... aucun mal.

            Elle est descendue en courant vers la maison de sa voisine, afin de lui en parler, et sa voisine était en train de crier. Elle s’est dit qu’il s’est passé quelque chose. Et la voici en train de secouer les draps sur le lit. Elle venait de se réveiller. La grosseur avait disparu. Elle ne pouvait pas la retrouver. Elle était en train de secouer les draps, cherchant à la retrouver. Et toutes deux sont venues à la réunion pour donner leur témoignage devant à peu près cinq mille personnes. Qu’est-il arrivé? L’Ange du Seigneur... Voyez?

175      Maintenant, rappelez-vous, Daniel a prié, il s’est passé vingt et un jours avant que l’Ange ne vienne vers lui. Combien savent cela? Et quand l’Ange du Seigneur a prononcé cette bénédiction, que serait-il arrivé si elle s’était découragée? Satan serait venu directement. Mais elle a tenu bon.

            Et Il est passé dans le quartier ce matin-là. Il connaît là où vous habitez, tout ce qui vous concerne. Il vous connaît ici. Il connaît où vous êtes. Quand Il vous donne une bénédiction, Il confirme cela, si vous vous en tenez simplement à cela. Il est passé dans le quartier et a guéri ces deux dames, Il s’en est allé quelque part ailleurs. Il est Dieu. N’est-Il pas merveilleux, si merveilleux?

176      Maintenant, je pense que nous... Je pense que ce serait bon, si nous pouvions... si je peux vous poser une question. J’ai prié pour vous. Bientôt je serai dans le champ missionnaire là en Afrique et en Inde, là où des sorciers et des démons et tout... Prierez-vous pour moi? Serez-vous en train de prier pour moi? Merci, jusqu’à ce que nous nous rencontrions.

     Jusqu’à ce que nous nous rencontrions!

     Jusqu’à ce que nous nous rencontrions!

     Jusqu’à ce que nous nous rencontrions aux pieds de Jésus;

     Jusqu’à ce que nous nous rencontrions!

     Jusqu’à ce que nous nous rencontrions!

     Dieu soit avec vous jusqu’à ce que nous nous rencontrions ...

            Voulez-vous prier pour moi, maintenant? Voudriez-vous le faire? Maintenant, tous, fermons les yeux, levons les mains, et chantons cela. Le pianiste, donnez-nous la note. J’ai commencé un peu bas. Donnez-nous la note pour Jusqu’à ce que nous nous rencontrions. Et maintenant, jusqu’à ce que nous nous rencontrions... Et si nous ne nous rencontrons plus, jusqu’à ce que je traverse la rivière, rappelez-vous, je vous ai dit la vérité. Je serai là avec le même témoignage. J’ai confiance que si je ne vous vois pas de nouveau de ce côté de la terre, je vous verrai là-bas. Mais j’espère que je vous verrai de nouveau ici, jusqu’à ce que nous nous rencontrions, que Dieu soit avec vous. Très bien, tous ensemble maintenant.

     Jusqu’à ce que nous nous rencontrions!

     Jusqu’à ce que nous nous rencontrions!

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