Voici, Un Plus Grand Que Salomon Est Ici
1 Merci, Frère Borders. Inclinons la tête juste un instant maintenant pour la prière. Si nous avons des requêtes, levons les mains vers Dieu et disons calmement dans nos coeurs: «Ô Dieu, souviens-Toi de moi.»
Notre Père céleste, nous nous sommes rassemblés de nouveau ce soir, un jour de plus qui nous rapproche davantage de ce glorieux moment où Tu amèneras le temps à se fondre dans l’éternité. Nous avons eu le privilège d’être en vie aujourd’hui, de voir (pour beaucoup d’entre nous), d’entendre, et d’avoir nos sens et de sentir l’Esprit de Dieu dans notre coeur. Nous en sommes reconnaissants. Ce soir, juste avant la réunion, des coeurs ont été réchauffés et des mains se sont levées. Ô Père, ce soir l’expectative est grande. Aide-nous maintenant à recevoir ce que nous demandons. Je Te prie d’exalter Ton Fils, Christ, devant l’assistance ce soir. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen. Vous pouvez vous asseoir.
2 Vous êtes une assistance très sympathique, et si sympathique pour un orateur; je vous ai parlé trop longtemps, en vous gardant jusqu’à une heure très avancée. Demain après-midi, c’est notre service de clôture. Je crois franchement que le Saint-Esprit nous a confirmé qu’Il est ici. Maintenant, insistons sur tout ce que nous pouvons maintenant. La prière... Et soyez prêts, tout ce qu’Il a pour nous, nous le recevrons. Eh bien, il y a beaucoup de visiteurs ici. Il y en a ici qui viennent des autres régions du pays. Et puis, allez le matin à l’école du dimanche. Ces hommes-ci sont des serviteurs de Christ. Ce sont des gens qui croient dans ce même ministère que je prêche. Ce sont des ministres, des co-ouvriers, des citoyens du Royaume de Dieu. Ils ont des églises ici. Ils seront ravis de recevoir chacun de vous demain matin dans leurs églises.
3 Et, vous savez... Je pense qu’ils ont déjà fait cette déclaration, mais je dis toujours ceci: C’est un péché d’envoyer vos enfants à l’école du dimanche. Combien le savent? Vous commettez un péché en envoyant vos enfants à l’école du dimanche; vous devez les y amener. Il faut donc que vous fassiez cela. Demain, accompagnez vos enfants à l’école du dimanche. Ces hommes ont peut-être bien organisé leurs églises pour s’occuper de tous les âges, de tous les jeunes et toutes les personnes âgées, et tout comme cela. Vous entendrez la Parole du Seigneur. Et ma prière est que chacune de leurs églises soit tellement remplie du Saint-Esprit demain que des signes, des prodiges, des miracles et tout se produiront dans leurs églises, et qu’une grande gloire et une grande louange soient rendues à notre Seigneur Jésus-Christ. Je le crois de tout mon coeur.
4 Maintenant, rapidement, pour aborder directement le message de ce soir. Et je voudrais me rassurer maintenant que demain, après-midi... Je pense qu’il est 14 h ou 14 h 30 ou quelque chose de ce genre-là. Et combien de cartes de prière... A-t-on distribué beaucoup de cartes de prière? Nous devons faire ces... Vous savez, nous devons prier pour eux. Nous prions pour chaque personne qui reçoit une carte de prière. Et ils vont distribuer des cartes de prière demain, après-midi vers... oh! quelques instants avant le début du service. Je dirais, au moins quarante-cinq minutes avant, pour que cela ne dérange pas le–le service du soir ou plutôt de l’après-midi. Le garçon sera donc ici, et il sera avec quelqu’un pour l’aider, et ils distribueront les cartes de prière environ une demi-heure peut-être ou quelque chose comme ça, ou peut-être un peu plus, à quiconque désire avoir une carte de prière. Et nous prierons pour tous ceux pour qui nous le pourrons.
5 J’essaie de toutes mes forces, mais avec ma main posée sur la Bible ce soir... Et il y a avec moi ici des gens qui savent que ces réunions, tout le long de la côte, ont été des réunions d’essai. Je pars pour le champ missionnaire. Si jamais je reviens, ce sera un genre de service différent de ce que j’ai tenu. Je ne prierai que pour les malades. Voyez-vous? Je... Cela... Le discernement ne marche pas avec le peuple américain. Les intellectuels ne voient pas cela. Que l’une de ces choses arrive en Afrique, et vingt à trente mille personnes vont aussitôt se ruer à l’autel.
6 Mais nous, nous sommes quelque peu comme... Il n’y a pas longtemps, dans notre contrée, on a vu dans un bazar une dame qui cherchait à montrer à un petit garçon tout ce qui devrait attirer l’attention d’un petit garçon. Et après un moment, elle a pris de petites cloches qu’elle a fait tinter. Et l’enfant ne faisait que regarder fixement, il a simplement regardé ailleurs. Et finalement, la dame était si bouleversée qu’elle s’est tout simplement écroulée en travers du comptoir. Certaines personnes qui se tenaient là se sont approchées d’elle et ont voulu savoir ce qui n’allait pas. Elle pleurait. Elle a dit: «C’est mon petit garçon.» Elle a dit: «Depuis un certain temps, il reste juste assis–il a commencé à rester le regard fixe.» Et elle a dit: «Tout ce qui devrait attirer l’attention d’un petit garçon de son âge ne l’attire plus. Il regarde simplement dans le vide.» C’est ainsi qu’est devenue l’église. Dieu a agité devant eux chaque don spirituel qui peut être agité, qui est mentionné dans la Bible, ils regardent juste fixement. Eh bien, je pense que c’est peut-être en ordre. C’est ce que je pense.
7 Cela me rappelle un vieux poète en anglais, un poète anglais. J’oublie son nom. Il écrivait... Il avait toujours aimé la mer, mais il ne l’avait jamais vue. Puis un jour, alors qu’il se rendait à la mer, il a rencontré un vieux marin qui en revenait. Et celui-ci a dit: «Où vas-tu, mon brave homme?» Il a dit: «Je vais à la mer.» Il a dit: «J’y ai dédié mes écrits, mais je ne l’ai jamais vue.» Il a dit: «J’ai une folle envie de sentir l’odeur de ses vagues salées. Je désire voir les vagues écumeuses quand elles se brisent, entendre les cris des mouettes, quand elles volent.» Et le vieux loup de mer, le marin, le visage couvert de barbe, a retiré sa pipe en épi de maïs et il a craché. Il a dit: «Je suis né sur la mer il y a soixante ans. Et depuis lors j’y suis resté. Je n’y vois rien de si émouvant.» Qu’est-ce? Il avait tellement vu cela que c’était devenu ordinaire pour lui. C’est là notre problème, nous les pentecôtistes. Nous avons tellement vu la gloire de Dieu qu’elle est devenue ordinaire pour nous. Cela ne nous émeut plus.
8 J’ai vraiment fait de mon mieux. Ceci est mon service de clôture en Amérique. J’avais vraiment senti que je devais venir ici dans cette contrée. J’ai amené cet aimable groupe d’hommes l’autre matin à déjeuner, et jamais de ma vie je n’avais rencontré un groupe d’hommes aussi merveilleux, aussi aimables, des hommes très spirituels, et dont les coeurs sont pleins d’amour pour leur peuple. Ce sont des pasteurs, des bergers. Vous ne savez pas le combat que ces hommes ont livré pour organiser cette réunion ici. C’est juste. Mais ils désirent que cela soit fait devant leur peuple. Ils s’intéressent à la croissance de leur peuple dans la grâce de Dieu, et ils essaient de les amener à mieux connaître Dieu. Et quand ils entendent parler de quelque chose en rapport avec Dieu, ils l’examinent, et quand ils estiment que c’est correct, ils amènent cela devant le peuple en dépit du prix à payer. J’honore et respecte de tels hommes. C’est juste. Et nous avons imposé les mains aux gens dans des réunions. Cela fait des années, des années et des années que nous pratiquons cela. John Wesley priait pour les malades, Calvin, Knox, Spurgeon, tout du long, ils priaient pour les malades et ils imposaient les mains aux malades. La pentecôte est venue avec le parler en langues et les interprétations, et ainsi de suite; mais nous n’avons jamais vu ce que le Saint-Esprit fait pour nous à l’instant même. Voyez-vous?
9 Et c’est ce que j’essaie de faire comprendre aux gens: vous ne devez pas attendre qu’un don spécial arrive dans la contrée. Christ est toujours présent dans Son Eglise. Qu’arriverait-il si vous étiez étendu ici sur la route, perdant tout votre sang dans un accident? Diriez-vous alors: «Je dois envoyer chercher frère Branham, frère Roberts ou quelqu’un pour venir prier pour moi»? Christ est juste là, toujours présent. Voyez-vous? C’est ce que j’essaie d’amener les gens à voir. Cependant voyage après voyage à travers la nation, cela ne change pas. Et pour autant que je sache, à moins que le Dieu Tout-Puissant me révèle de faire autrement, ceci sera ma dernière série de réunions en Amérique, aux Etats-Unis, avec le discernement. Je continuerai à prêcher et à prier pour les malades. J’utiliserai cela quand j’irai dans d’autres pays. En effet, vous ne savez jamais–vous ne saurez jamais ce que cela a comme effet sur moi. Cela m’affaiblit. Une seule vision me met en pièces plus longuement que–plus que le fait de me tenir ici et de prêcher pendant trois heures. Et je le fais... je me détends pour voir ce qui va se passer, et c’est... ça ne marche simplement pas, c’est tout.
10 Un après-midi en Afrique du Sud, je me tenais devant à peu près... environ deux cent mille personnes, sur une tribune quelque peu pareille érigée pour un champ de courses. Ils avaient dû l’ériger de l’autre côté du champ de courses. Je me tenais là-dessus... Il était impossible de distribuer des cartes de prière, il y avait vraiment des milliers et des milliers de personnes. Nous n’avions personne... J’avais quelques missionnaires auxquels j’ai dit: «Allez prendre une personne des tribus auxquelles vous prêchez.» Ils ont aligné un groupe de gens. La première personne à venir à la tribune était une femme mahométane, avec une tache rouge sur le front, comme vous le savez, une pure mahométane.
Et j’ai dit: «Pourquoi êtes-vous venue vers moi? Vous êtes une mahométane.»
Elle a dit: «Oui.»
J’ai dit: «Pourquoi êtes-vous venue vers moi, moi qui suis un chrétien?»
Elle a dit: «C’est parce que je crois que vous pouvez m’aider.» Elle parlait très bien l’anglais.
Et j’ai dit: «Avez-vous déjà lu le Nouveau Testament?»
Elle a dit: «Oui.»
Et j’ai dit: «Vous avez donc compris ce que je viens de dire, à savoir que ce qu’Il était, le même hier...»
Elle a dit: «Oui, monsieur.»
J’ai dit: «Si donc le Saint-Esprit vous révèle [quelque chose], alors vous saurez que votre prophète mahométan ne peut pas faire cela. Il est mort et enseveli. Mais Christ le Fils de Dieu est ressuscité, et Il vit pour toujours.»
Elle a dit: «S’Il me révèle [quelque chose] comme Il l’a fait là dans le Nouveau Testament, tel que cela est écrit, je L’accepterai comme mon Sauveur.»
Et quand... J’ai dit... Je l’ai regardée de nouveau, j’ai dit: «Vous avez un kyste à la matrice. Votre mari est assis juste là... c’est un homme svelte. Et il y a quelques jours, vous étiez chez un médecin, un homme à la moustache noire, de forte carrure, et portant un complet gris. Et il a examiné vos organes féminins, et il a déclaré que vous avez un kyste à l’ovaire.»
Elle a dit: «J’accepte Jésus-Christ comme mon Sauveur personnel». Et alors, dix mille mahométans sont venus à Christ à ce même instant.
11 Avant de partir, j’ai prêché dans un club des Kiwanis, et des ministres étaient là. Et là, ils parlaient d’un certain homme. Il avait fait là vingt ans, et il a dit: «Ce précieux joyau.» Il avait converti un mahométan. Et puis, ils m’ont dit que j’étais fou. Et ce qu’eux appelaient folie, qu’ils appelaient psychologie, télépathie mentale, ou mauvais esprit, ou quelque chose du genre, a converti plus de mahométans à Christ en cinq minutes que tous les traités intellectuels et tout, qu’ils avaient distribués pendant cent cinquante ans. Voyez-vous, vous y êtes.
12 La personne suivante qui est venue sur la tribune, c’était un petit garçon qui louchait. Pendant que je le regardais, j’ai dit: «Eh bien, je n’ai pas de puissance pour redresser ses yeux. Vous savez que je n’en ai pas. Je ne suis qu’un homme. Regardez le petit ami.» Et j’ai dit: «Mais maintenant, pour ce qui est de sa vie...» en le regardant...
Et ainsi donc, pendant que je parlais, le petit garçon... J’ai dit: «Il vient d’un–d’un foyer chrétien, parce que dans sa hutte, dès que vous entrez, il y a une image de Christ suspendue du côté droit de la porte, quand vous entrez. Sa mère et son père sont des Zoulous, mais il est... Ce sont des gens plutôt sveltes.» Et ils se sont levés tout au fond, peut-être à une distance d’un pâté de maisons derrière, et c’était juste. Et j’ai dit: «Maintenant, la mère... Aussitôt que les yeux de l’enfant s’étaient ouverts, la mère a montré cela au père; ils louchaient depuis sa naissance.»
J’ai regardé derrière et le petit ami se tenait là, avec son petit ventre ressorti, sans vêtements du tout. Et voilà qu’il se tenait là, me regardant comme cela. Et quand j’ai regardé de nouveau, ses yeux étaient aussi droits que les miens. J’ai dit: «Tout le monde voit que ses yeux sont droits.» Je l’ai fait passer.
13 Combien ont entendu parler du docteur F.F. Bosworth, du vieux frère Bosworth? C’est l’un des vieux hommes les plus pieux que j’aie jamais rencontrés dans ma vie; il était là, debout sur la tribune. Je l’ai entendu essayer... Combien ont connu Ern Baxter? Un véritable théologien, un frère en Christ, il se tenait par là. Et un médecin anglais contestait... Il s’est avancé là et a dit: «Qu’avez-vous fait à cet enfant? L’avez-vous hypnotisé?»
Et j’ai dit: «Et puis, le gouvernement britannique vous a donc délivré une autorisation pour pratiquer la médecine, et vous n’en savez pas plus sur l’hypnotisme que ça? Si l’hypnotisme redresse les yeux d’un enfant qui louchait, vous les médecins, vous feriez mieux de pratiquer l’hypnotisme.»
Il a dit: «Eh bien, Monsieur Branham, quand j’ai déposé l’enfant là sur la tribune, il louchait. Et voici qu’il se tient ici», il l’avait sous sa main. Il a dit: «Ses yeux sont droits. Quelque chose s’est passé entre là et ici.»
Et j’ai dit: «Oui, il a rencontré Christ.»
14 Eh bien, il a dit... Un très gros lys... Certaines d’entre vous, les dames, vous aimez les lys. Là-bas, certains de ces lys mesurent 18 pouces [45,7 cm]; et il y en avait là un grand bouquet à l’estrade. Je... Il a dit: «Je sais que Dieu est dans cette fleur. On m’a appris à croire cela. C’est la vie. Nous ne pouvons pas la produire; c’est vrai.» Et il a dit: «Est-Il assez réel pour faire que les yeux de ce garçon se redressent?»
Monsieur Bosworth a posé ses mains sur lui, il a dit: «Monsieur, vous allez provoquer une émeute. Regardez là-bas maintenant.» Il a dit: «Vous prenez trop de temps alors que le frère est sous l’onction. Nous allons devoir vous demander de partir.»
Et il a dit: «Un instant! Monsieur Branham, qu’est-il arrivé à ce garçon? Jésus-Christ est-il suffisamment réel pour redresser ces yeux?»
J’ai dit: «Il vous faudra me croire sur parole. L’enfant se tenait juste là. Je ne l’ai même pas touché. La–la foi de ce père et de cette mère qui se tiennent là, avec cet enfant... Ses yeux sont droits.» Il a écarté tout le monde, et il s’est avancé jusqu’à l’estrade, il a levé ses mains, il a dit: «Alors j’accepte Christ comme mon Sauveur personnel.»
Et à mon départ... environ vingt-cinq ou trente mille personnes étaient à l’aéroport, me faisant au revoir de la main, et ce petit ami a sauté leurs barrières qu’il y avait là et il a couru là, il m’a étreint au cou, et il s’est mis à parler en langues. Et il a dit: «J’ai quitté. Maintenant, je vais devenir un médecin missionnaire auprès des autochtones là-bas sous le système pentecôtiste.» Oh! la la!
15 Cet après-midi-là, tandis qu’on se tenait là (juste un autre cas de plus, je n’aurai pas le temps de raconter cela), mais quand cela est arrivé, j’ai dit: «Combien d’entre vous veulent recevoir Christ comme leur Sauveur personnel? Je veux que vous leviez la main.» Trente mille personnes se sont levées, trente mille vrais autochtones qui ne savaient pas distinguer la main droite de la main gauche, des femmes se tenaient là, sans vêtements, juste un bout d’étoffe d’environ quatre pouces [10 cm] de largeur, et avec des colliers.
Et quelqu’un a dit: «Je crois qu’ils ont compris qu’il s’agit de la guérison physique.»
J’ai dit: «Je n’ai pas parlé de la guérison physique. Etes-vous convaincu que la Bible par laquelle je viens de vous dire ce qu’Il était, c’est Dieu faisant ceci?» Ils ont tous levé leurs mains. J’ai dit: «Si vous êtes sincère, brisez votre idole sur le sol.» C’était comme une tempête de poussière, comme cela. Et trente mille vrais autochtones ont reçu Christ comme leur Sauveur, en une seule fois.
16 Et le lendemain matin, mademoiselle... Sidney Smith, le maire de Durban, en Afrique du Sud, m’a appelé au téléphone, il a dit: «Allez sans tarder à votre fenêtre qui donne sur la plage. Vous allez voir quelque chose que vous n’avez jamais vu.» Et voilà qu’arrivaient dix-sept camions chargés, de grands camions (et ils sont longs comme d’ici jusque-là où il est écrit «sortie», par là) bien remplis de... J’avais fait une seule prière, une prière d’ensemble, pour ces milliers et ces milliers, juste une marée humaine. Vous en avez vu la photo, et alors... (C’est une transposition dans cette affaire.) Et quand vous–quand vous regardez là...
Et j’avais regardé là, et les gens étaient étendus là, et je me suis simplement levé, et j’ai levé la main, et j’ai fait une petite prière d’environ cinq minutes sur chacun d’entre eux, et j’ai dit: «Si vous croyez que cet Esprit qui connaît les secrets du coeur, c’est le Dieu de la Bible, alors acceptez votre guérison.» Et le jour suivant, je regardais par la fenêtre, et dix-sept de ces grands camions chargés passaient, et ces autochtones qui étaient étendus dans ces choses dans lesquelles on les transportait, avec des bâtons, des fauteuils roulants, des civières et tout le reste, marchaient derrière ces camions en chantant: «Tout est possible, crois seulement.»
Le docteur F. F. Bosworth est l’un des hommes les plus honnêtes que j’aie jamais vus. Il ne... jamais... Il avait fait une sous-estimation plutôt qu’une surestimation.
Il a dit: «Frère Branham, quand j’ai vu cette chose se produire en masse, a-t-il dit, j’ai pu dire avec ma main sur la Bible que j’ai fait une sous-estimation en parlant de vingt-cinq mille miracles extraordinaires qui se sont produits en une seule fois.»
17 Et nous, nous détournons la tête, et nous nous en allons, disant: «Eh bien, je pense que c’était très bien.» Ces gens-là ressusciteront et nous condamneront. C’est juste. C’est juste. Vous êtes mon peuple. Je suis anglo-saxon. Vous êtes–vous êtes mon peuple. Vous êtes ceux que je... Vous êtes–vous êtes comme moi; vous êtes des Blancs. Et–et je suis–je suis–je suis ici pour vous dire... Mais votre instruction vous a détruits. C’est tout à fait juste. Elle vous a éloignés de Dieu. C’est ce qu’elle fait toujours. L’instruction est le plus grand ennemi que l’Evangile ait jamais eu. Je le dis de tout mon coeur. C’est le plus grand ennemi que l’Evangile ait jamais eu. Il est bien plus difficile de traiter avec un païen instruit qu’avec un païen inculte.
18 Permettez-moi de vous dire quelque chose. Juste là sur place, j’ai demandé à ces gens, j’ai dit: «N’attendez donc pas que vous vous mettiez à apprendre des langues. Allez, parlez-en à tous ceux de votre tribu.» J’ai des coupures de journaux et j’oublie la quantité d’armes à feu et d’autres objets qu’ils avaient volés, rien que dans la tribu Songhaï, et ils les ont restitués. Le maire de... Le journal de Durban a publié cela, disant qu’ils en avaient fini avec le péché. Et remarquez. Permettez-moi de dire quelque chose juste... pas pour être sacrilège, mais pour vous avertir avec amour, fraternité et pitié. Ces femmes qui se tenaient là complètement nues, n’ayant sur elles qu’un bout d’étoffe, dès–dès qu’elles ont reçu Christ comme leur Sauveur, elles se sont éloignées de là, les bras croisés. Que quelqu’un réponde à ma question. Si le seul fait de recevoir Christ peut amener une–une femme qui ne sait pas distinguer sa main droite de sa main gauche à se rendre compte qu’elle est nue, comment pouvons-nous nous dire chrétiens et continuer sans cesse à enlever nos vêtements? Il y a quelque chose qui cloche quelque part.
19 Prions. Père céleste, j’ai fait de mon mieux. J’ai fait tout ce que je pouvais. Le reste relève de Toi, Père. Je–je... Je Te prie de nous aider maintenant tandis que nous lirons Ta Parole, tandis que nous parlerons. Tous ceux que Tu as appelés, sûrement Tu... ils viendront. Je Te les confie tous, ainsi que moi-même, ces quelques mots qui sont ici devant moi. Et je Te prie de sanctifier cela pour Ton honneur. Je regrette de retenir Ton peuple jusqu’à une heure tardive. Et je prie, ô Père, sachant que le réveil est terminé et que les gens se fatiguent facilement, je–je regrette si j’ai fait quelque chose de mal. Et je Te prie de m’aider ce soir et de nous permettre de voir Ta Parole encore une fois dans Sa Lumière. Puis guéris les malades et sauve les perdus. Nous Te confions cela au Nom de Jésus. Amen.
20 Saint Matthieu 12, à partir du–du verset 38. Vous êtes–vous êtes si gentils que je déteste de–je déteste de devoir m’efforcer. Voyez-vous? Et nous sommes habitués au temps de réveil, où nous prêchons toute la nuit, où nous prions toute la nuit, nuit après nuit (Voyez-vous?), tout le temps, continuant sans cesse. Quand un réveil éclate, c’est tout simplement jour et nuit, jour et nuit. Je ne m’en fais pas que vous perdiez un jour de travail. Ce n’est pas grave. Mais je ne veux pas que vous manquiez l’école du dimanche le matin. Ne–ne manquez pas l’école du dimanche. Si vous devez manquer un jour de travail, cela ne me dérangerait pas trop, car de toute façon toutes ces choses sont périssables. Mais ne manquez pas l’école du dimanche. Je vais vous laisser sortir tôt afin que vous puissiez aller à l’école du dimanche. Matthieu 12, verset 38:
Et il y eut quelques-uns des scribes et des pharisiens qui prirent la parole, et dirent: Maître, nous voudrions te voir faire un miracle.
Il leur répondit: Une génération méchante et adultère demande... des miracles; il ne lui sera donné d’autre miracle que celui du prophète Jonas.
Car, de même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.
Les hommes de Ninive se lèveront, au jour du jugement, avec cette génération et la condamneront, parce qu’ils se repentirent à la prédication de Jonas; et voici, il y a ici plus que Jonas.
La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.
J’aimerais tirer de là un petit sujet: Voici, un plus grand que Salomon est ici.
21 Jésus était... (Je mets l’alarme de ma montre pour m’assurer de ne pas dépasser l’heure ce soir.) Jésus réprimandait les villes d’où Il venait, et où Il avait accompli Ses oeuvres et Ses miracles. Il les réprimandait parce qu’elles n’avaient pas cru en Lui. Si vous lisez le chapitre précédent, le chapitre 11, ainsi que le chapitre 12, vous verrez là que ces gens, qui étaient censés reconnaître le jour dans lequel ils vivaient, ne l’ont pas reconnu. Ils ont manqué de reconnaître cela. Et au lieu de reconnaître très exactement le jour et le signe qu’il y avait en Son jour... Il les a même réprimandés, disant: «Vous savez discerner l’aspect du ciel, mais vous ne pouvez discerner les signes du temps. Si vous Me connaissiez, vous connaîtriez Mon jour.»
22 Maintenant, essayons d’absorber chaque portion de ceci ce soir. Et je sais que c’est différent. Ces passages sont différents de ce que vous avez peut-être écouté; mais je voudrais que vous essayiez d’écouter attentivement ce soir. Voyez-vous, les gens–les gens essayaient de–d’avoir leur propre conception, et ils ne L’écoutaient pas sur base des Ecritures; en effet, Il leur avait dit: «Pourquoi ne sondez-vous pas les Ecritures, car ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi? Vous pensez avoir en Elles la Vie Eternelle, et ce sont Elles qui rendent témoignage de Moi. Et si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas.»
Ils ne pouvaient pas croire qu’Il était Dieu et cependant être un Homme. Il a dit: «Si vous ne pouvez pas croire en Moi comme étant un Homme, croyez aux oeuvres. Si vous ne pouvez pas Me croire, que les oeuvres rendent témoignage. Si les gens disent que Ma naissance est une naissance illégitime, et que Je n’ai point d’instruction, et que Je n’ai été à aucune de vos écoles et ainsi de suite, et que vous ne pouvez pas Me croire parce que Je n’ai jamais évolué sous votre doctrine ou ainsi de suite, eh bien, croyez aux oeuvres que Je fais. Elles rendent témoignage de Moi.» Quelle réprimande pour les gens!
23 Or, remarquez toutes les villes où Il avait été. Et Il avait fait des réprimandes, disant: «Et toi, Capernaüm, seras-tu élevée jusqu’au ciel? Non. Cependant tu seras abaissée jusqu’au séjour des morts. Si les miracles qui avaient été faits au milieu de toi avaient été faits dans Sodome, elle subsisterait encore aujourd’hui.» Et Il s’est mis à parler à l’un et à l’autre sur le fait que...
24 Quelqu’un est malade là-bas. Si certains de ces frères veulent bien la faire sortir pour prendre–ou pour prier pour elle. Gardez simplement vos mains sur elle, frères, permettez-moi de prier pour elle juste ici. Notre Père céleste, je prie pour cette soeur. Que la puissance du Dieu Tout-Puissant soit sur elle et la délivre, Seigneur. Je le demande au Nom de Jésus-Christ. Amen.
Eh bien, le problème, c’est qu’elle s’est sentie très mal à cause de la concentration qu’il y a par là, avec la foule qui se trouve autour d’elle. Il y a un homme assis ici, juste ici, qui regarde droit vers moi; il souffre de la même maladie. Ainsi... Si vous voulez la prendre et la promener, ou plutôt la faire sortir, et lui faire prendre un peu d’air et tout, et ensuite la ramener, ce sera en ordre. Maintenant, pendant qu’ils font cela, écoutez ce que nous essayons de dire ici. Maintenant, remarquez. Vous devez peut-être la transporter, car elle s’est évanouie. Voyez-vous?
25 Maintenant, remarquez. Jésus a dit qu’Il réprimandait ces gens parce qu’ils L’avaient–L’avaient rejeté à cause de ce qu’Il faisait, et ces gens n’arrivaient pas à comprendre cela. Et Il leur disait cela. Eh bien, Dieu se vengeait d’eux à cause de leur incrédulité.
Or, nous savons ceci que dans chaque génération qu’il y a eu sur terre, Dieu a toujours manifesté Ses dons, Ses signes, Ses prodiges comme confirmation de Sa Parole, toujours. Et les gens sont... Même dans l’Ancien Testament, à l’époque à laquelle Jésus se référait ici, Il... Vraiment, ils s’appuyaient honnêtement plus sur le signe que sur la théologie. En effet, si la théologie, peu importe combien elle était élevée et combien elle semblait correcte, si l’Urim Thummim ne déclarait pas que c’était juste, la chose était fausse. Voyez-vous? Ils s’appuyaient sur le signe surnaturel; mais le signe surnaturel ne pouvait pas apparaître pour n’importe quoi. Il devait se produire conformément à la Parole. Eh bien, c’est de cette façon que nous devons veiller aujourd’hui. Nous avons toutes sortes de signes, mais il faut que ce soit des signes provenant de la promesse de la Parole–la Parole de la promesse pour produire cela. Et nous savons qu’en ce jour, nous pouvons rechercher des choses qui ne sont pas justes. Certainement, parce que Satan lance toute son armée là-bas pour faire tout ce qu’il peut afin d’arrêter cela. Mais il n’y arrivera jamais. La Parole de Dieu prévaudra. Elle ira droit de l’avant. Le diable ne L’arrêtera donc jamais. C’est chose certaine.
26 Eh bien, Dieu a toujours envoyé ces signes aux gens, et dans la Bible, Il a dit aux gens de croire à leurs prophètes et ainsi de suite. Et puis, Jésus ici, pendant qu’Il se tenait là, après qu’Il eut accompli tant de choses, voici venir alors ces pharisiens, et ils ont dit: «Maître, nous voudrions voir un miracle de Ta part», après qu’ils L’ont vu faire exactement ce que la Bible avait annoncé à Son sujet. Et cependant, ils sont revenus, disant: «Nous voudrions voir un miracle de Ta part.»
Et Il les regarda, j’imagine qu’Il était un peu découragé, et Il a dit: «Une génération méchante et adultère demande un signe; et ils ne recevront point d’autre signe que celui de Jonas (c’est-à-dire Jonas, le prophète). De même qu’il fut trois jours et trois nuits dans le ventre d’un grand poisson, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.» Maintenant, je désire que vous... Eh bien, observez quel genre de génération cherchait ce signe: une génération faible, méchante, incrédule et adultère.
27 Combien savent (Et les théologiens et ceux qui lisent les Ecritures le savent) que la Bible a toujours eu une réponse complexe? Elle donne toujours des réponses et encore des réponses. Elle se répète. Elle ne peut jamais périr. C’est la Parole éternelle de Dieu. Et ici dans Matthieu, au–au chapitre 3, Il a dit ici, Il a dit: «Je... hors d’Egypte... afin que s’accomplît ce que le prophète avait annoncé: ‘J’ai appelé mon fils hors d’Egypte.’» Consultez vos notes en marge et voyez de qui il s’agissait. Il s’agissait de Jacob, son fils; mais cela s’appliquait aussi à Christ, Son Fils. Cela a toujours eu une réponse complexe. Et ainsi, Jésus parlait bien sûr de cette génération-là, mais toute génération méchante, incrédule et adultère... Et si cette génération dans laquelle nous vivons aujourd’hui n’a pas les mêmes caractéristiques, alors je ne sais pas laquelle les a eues dans le monde entier. Nous vivons à l’époque de l’une des générations les plus incrédules et les plus adultères jamais connues.
28 Il n’y a pas longtemps, j’ai pris un journal, pendant que je survolais Hollywood, ou plutôt Los Angeles; et je lisais là que soixante-quatorze crimes, de grands crimes, étaient commis chaque nuit dans la seule ville de Los Angeles. J’ai lu, il n’y a pas longtemps, dans un journal de Chicago, qu’on reconnaissait trois... vingt-cinq mille cas d’avortement chaque mois, dans la ville de Chicago. Pensez-y. Et tandis que sur cette côte ouest, l’homosexualité a augmenté de trente pour cent l’an passé. Pensez-y. Une génération adultère... Oh! si seulement nous avions jusqu’à deux heures du matin pour creuser là-dedans: la méchanceté, une génération adultère. C’était le genre de génération qu’il y a eu, et elle a reçu cela. Qu’était-ce? Le signe de la résurrection. Maintenant, où en sommes-nous?
29 «De même que Jonas fut dans le ventre du grand poisson, le Fils de l’homme sera dans le sein de la terre.» Aujourd’hui, bien des gens pensent qu’Il s’y trouve toujours; mais Il n’est pas mort. Il est ressuscité des morts et Il est ici avec nous maintenant, apparaissant parmi nous, confirmant Lui-même, d’un bout à l’autre de la côte, et partout dans le monde, qu’Il est vivant. Et cette génération méchante et adultère voit un signe montrant que Jésus-Christ est vivant et qu’Il n’est pas mort. Une génération méchante et adultère cherche un signe, et elle le recevra: le signe de la résurrection. Laissons cela pénétrer très profondément maintenant. Etudions cela sérieusement.
Pendant que vous laissez cela pénétrer, je désire poser une question au sujet de Jonas. Jonas était un prophète. Bien des gens condamnent Jonas et disent: «Eh bien, c’était un vieux rétrograde. Il...» Il n’était pas rétrograde. Un homme de Dieu... «L’Eternel affermit les pas–les pas du juste.» Croyez-vous cela? Et je ne me préoccupe pas de ce que fait un homme de Dieu, du moment qu’il est ordonné par Dieu. Il pourrait faire des choses qu’il jugerait lui-même comme de la folie; mais si seulement vous observez, cela va marcher parfaitement bien, si seulement il peut continuer tel qu’il est conduit.
30 Eh bien, Dieu dit à Jonas de se rendre à Ninive, une ville qui avait environ la dimension de Saint Louis. Il y avait des hommes méchants, oh! la la! pervertis, pervers; il n’y avait rien de bon en eux. Il a dit: «Va là-bas, et crie contre eux.» Et il est allé là où on prenait le bateau et il s’est payé un billet. Au lieu de se rendre à Ninive... Peut-être qu’il n’y avait pas de bateau allant par là, alors il est simplement allé à Tarsis. Je ne pense pas que ce fût de la folie, après que j’en ai reçu la vraie révélation, que j’ai vu ce qui s’était passé et que j’ai lu les livres à ce sujet. Et j’ai compris qu’il était dans le bon.
Et en route, quand il fut en pleine mer, il eut des ennuis. Et une tempête s’éleva, et les gens pensaient que le bateau allait couler. Et Jonas leur dit que c’était lui le coupable, et qu’on lui lie les mains et les pieds et qu’on le jette par-dessus bord. Et Dieu avait préparé un grand poisson pour l’avaler.
31 Eh bien, il y a quelques années, environ vingt-cinq ans, on a amené le–le squelette d’une baleine à Louisville, dans le Kentucky. C’est juste de l’autre côté de la rivière par rapport à l’endroit où je vis. Et ils montraient la grandeur de sa bouche, et un petit professeur se tenait là, ayant plus d’instruction que de jugeote pour contrôler cela. Ainsi, il expliquait tout au sujet de cette baleine.
Et il a dit: «Eh bien, vous avez entendu parler de cette vieille légende au sujet de la–la baleine qui aurait avalé Jonas.» Il a dit: «Si vous remarquez bien, vous ne pourriez pas faire passer une balle de baseball dans sa gorge.» Il a dit: «C’est impossible.»
Je–j’étais simplement trop Irlandais pour supporter cela. J’ai donc dit: «J’aimerais juste vous dire quelque chose, monsieur. Il y a une chose que vous avez oubliée. Il est possible que cette baleine n’ait pas été en mesure de faire cela; mais si vous remarquez bien, Dieu avait préparé celle-ci. C’était un genre spécial. Peut-être qu’on aurait pu faire passer tout un bateau dans sa gorge.» Voyez-vous? Dieu avait préparé un poisson pour Jonas. Voyez-vous? Il avait une constitution–constitution spéciale à cette fin, pour avaler le prophète. Et il... Et ce n’était pas impossible. Les gens...
32 Un–un petit... Ceci n’est pas un endroit où plaisanter, mais j’étais... Une jeune fille était sauvée, elle montait la rue en criant: «Gloire au Seigneur!», et en chantant; sa petite chevelure était tirée en arrière, et son visage brillait comme un oignon pelé. Elle passait des moments glorieux.
Un infidèle qui se tenait au coin a dit: «Qu’est-ce qui ne va pas?»
Elle a dit: «Je viens d’être sauvée il y a quelques instants. Gloire au Seigneur!»
Il a dit: «Que tiens-tu sur le coeur?»
Elle a dit: «Une Bible.»
Il a dit: «J’espère que tu y crois.»
Elle a dit: «Bien sûr que j’y crois.»
Il a dit: «Crois-tu à cette histoire qu’il y a là sur Jonas?»
Elle a dit: «Bien sûr que je crois à cette histoire sur Jonas.»
Il a dit: «Crois-tu que–que Jonas fut avalé par un grand poisson?»
Elle a dit: «Oh! oui. Si la Bible le dit...» Elle a dit: «Même si c’était Jonas qui avait avalé le grand poisson, je croirais cela.» Et elle a dit...
–Oh! a-t-il dit, comment vas-tu le prouver autrement que par la foi?
–Eh bien, a-t-elle dit, quand j’arriverai au Ciel, je vais m’approcher et en parler avec Jonas.
Il a dit: «Et si Jonas ne se trouve pas là-bas?»
Elle a dit: «Alors, ce sera à toi de le lui demander.» Je pense que c’était assez. Oui. Ainsi un petit enfant... Mais, toutefois, Dieu est capable.
33 Jonas fut donc jeté hors du bateau, et le grand poisson qui rôdait dans les eaux à la recherche de la nourriture a avalé Jonas. Et quiconque sait... C’est comme lorsque vous nourrissez votre poisson rouge; quand le petit poisson mange et que son petit ventre est plein, il descend tout droit au fond du bocal, où vous l’avez mis, dans le petit vase. Et il fait reposer ses petites nageoires au fond. Il a mangé; il se repose. Et ce poisson, quand il a avalé ce prédicateur, il est descendu se reposer au fond de la mer. Je ne sais pas à quelle profondeur c’était, mais il reposait là au fond.
Et j’aimerais parler de ceci maintenant. Vous savez, on–on trouve tant de gens qui se fient aux symptômes. «Eh bien, on a prié pour moi. J’ai une main infirme. On a prié pour moi, mais... Je–je crois réellement en Dieu, mais ma main ne va pas mieux.» Elle n’ira jamais mieux aussi longtemps que vous regarderez à cette main. Voyez-vous, vous regardez à la chose qu’il ne faut pas. Vous devez regarder à Sa promesse.
34 Il y a quelque temps, un vieux couple avancé en âge est venu et voulait que je prie pour leur fils qui se mourait de la diphtérie noire. Je n’avais pas–je ne pouvais pas aller. Et ils ont continué à attendre, et quelques jours plus tard, le vieil homme a dit: «Mon fils est mourant maintenant.» Et, finalement, je suis allé après le service.
Le médecin ne voulait pas me laisser entrer. Et il a dit: «Non, vous avez des enfants, et je ne peux pas vous laisser entrer, car cette diphtérie est contagieuse.» Et il a dit: «Il n’y a rien que vous puissiez faire pour lui.» Eh bien, en parlant à cet homme, j’ai découvert que c’était un catholique. Et j’ai dit: «Si le prêtre était ici... Si ce garçon était catholique et–et que ce père était allé me chercher, et que j’étais un prêtre...» Il a dit: «C’est différent.» Il a dit: «Vous voyez, un prêtre n’est pas marié.»
J’ai dit: «Vous le laisseriez aller prendre–lui administrer les derniers sacrements, n’est-ce pas?»
Il a dit: «Oui, mais le prêtre n’est pas un homme marié. Vous, vous avez des enfants.»
J’ai dit: «Et si j’en endossais moi-même la responsabilité? Je vais signer un papier. Je vais en endosser la responsabilité.» Finalement, je l’ai persuadé là-dessus, et il m’a habillé comme un Ku Klux Klan, avec toutes sortes d’histoires, et il m’a envoyé là où se trouvait ce garçon.
35 Eh bien, le coeur était atteint, quelque chose n’allait pas dans son coeur. Le cardiogramme indiquait un niveau très faible. Cela ne battait qu’un certain nombre de fois par minute. Et la vieille mère et le vieux père se tenaient là à côté du garçon. Je me tenais d’un côté du lit et eux de l’autre. Et une petite infirmière se tenait là à nous observer, une jolie jeune fille d’environ, oh, je pense, vingt-cinq ans. Et j’ai donc posé mes mains sur le garçon et j’ai prié, et j’ai juste fait une prière ordinaire. Et quand j’ai dit: «Amen», le vieux père a saisi la mère et s’est mis à l’étreindre, et il–ils se sont étreints. Il a dit: «Oh! mère, n’est-ce pas merveilleux? N’est-ce pas merveilleux? Merci, Seigneur Jésus, pour avoir guéri notre fils.»
Le garçon allait toujours aussi mal, et eux s’essuyaient les larmes l’un à l’autre et louaient Dieu. Et cette petite infirmière qui se tenait là, n’arrivait pas à comprendre cela. Et elle a dit: «Monsieur, ce n’est pas mal, je pense.» Elle a dit: «Je ne suis pas membre de votre religion, mais... votre genre de religion.» Elle a dit: «Mais j’aimerais vous poser une question. Comment pouvez-vous agir comme cela, vous, et la mère de cet enfant agir comme cela, alors que ce garçon est étendu là, mourant?»
Il a dit: «Madame, le garçon n’est pas mourant.»
–Tiens, a-t-elle dit, il est dans le coma depuis trois jours!
36 Et une sorte de machine qui était là montrait cette aiguille qui était descendue très bas, et jamais dans l’histoire médicale cela n’est remonté. Le vieux père (Je n’oublierai jamais cela) essuya ses yeux, s’avança et posa les mains sur l’épaule de cette jeune femme. Il dit: «Mon enfant, dit-il, tu as appris à regarder à cette machine. Et tout ce que tu connais, c’est observer cette machine.» Il dit: «Ce–ce–c’est... Tout ce que cette machine sait faire, c’est d’indiquer ce qui se passe ici. C’est vrai.» Il dit: «Toi, tu regardes à cette machine. Mais moi, je regarde à une promesse que Dieu a faite.»
Cela dépend de ce à quoi vous regardez. Aujourd’hui, le garçon est marié et père de deux enfants. Voyez-vous, cela va de soi! Voyez-vous? Il est resté encore étendu comme cela deux ou trois jours de plus, mais il s’en est carrément tiré et s’est rétabli. Voyez-vous, cela montre à quoi vous regardez. Vous devez faire attention à ce à quoi vous regardez. Ne regardez pas à vos symptômes.
37 Si jamais quelqu’un a eu des symptômes, c’était bien Jonas. Eh bien, souvenez-vous, il était dans le ventre du grand poisson. Disons qu’il était à vingt brasses [36,6 m] de profondeur, là dans l’océan, les mains liées dans son dos, les pieds liés, et dans le ventre du grand poisson, étendu au milieu des vomissures dans le ventre du grand poisson, avec des algues tout autour du cou. Eh bien, en voilà des symptômes. Qu’il se tourne de ce côté, c’était le ventre du grand poisson; de l’autre côté, c’était le ventre du grand poisson; de quelque côté qu’il se tournait, c’était le ventre du grand poisson. Eh bien, en voilà des symptômes. Personne d’entre vous ce soir n’est autant dans le pétrin, j’en suis sûr (C’est juste), pas autant dans le pétrin. De quelque côté qu’il se tournait, c’était le ventre du grand poisson.
Mais savez-vous ce qu’il a dit? «Ce sont de vaines idoles. Je n’y croirai pas.» Qu’a-t-il dit? «Encore une fois je regarderai vers Ton saint temple», il s’est retourné sur le dos, et il a tourné la face en direction du temple du mieux qu’il pouvait. Pourquoi? Quand Salomon avait fait la dédicace de ce temple, il avait prié ce jour-là. Quand la Colonne de Feu était entrée et était allée derrière le Saint des saints, Salomon avait fait cette prière et dit: «Seigneur, quand Ton peuple sera en difficulté où que ce soit, et qu’il regardera vers ce saint lieu, alors exauce-le des cieux.» Et il a cru cela. Et Dieu a fait quelque chose. Je ne sais pas ce qu’Il a fait. Il est possible qu’Il ait mis un réservoir d’oxygène dans le ventre de ce grand poisson. Je ne sais pas ce qu’Il a fait. Il l’a gardé en vie pendant trois jours et trois nuits, et Il l’a déposé à sa destination, là où il devait aller.
38 Et si Jonas, dans de telles circonstances, a pu croire dans une prière qui avait été faite par un homme tel que Salomon qui, plus tard, a rétrogradé à cause de femmes, et il a eu foi en un temple fait de mains d’homme, à combien plus forte raison devrions-nous regarder ce soir à Christ, qui est assis à la droite de Dieu, et qui intercède avec Son propre Sang sur base de nos confessions? Combien nous devrions croire cela! «Rien, aucun symptôme ne me fera obstacle; je regarde à la promesse de Dieu selon laquelle Il accomplirait la chose.» C’est là la seule chose. Regardez à cela. Il était là.
39 Une fois, j’ai lu une histoire là-dessus. Tous les habitants de Ninive étaient des païens. Généralement, les païens adorent les animaux et ce qui a vie. Très loin là-bas, en Amérique du Sud, je les ai vus exécuter la danse du kangourou. Ils avaient une danse, une sorte de fête, et tous dansaient comme le kangourou, car c’est... Tout ce qu’ils ont jamais vu, c’est le kangourou. Ainsi, ils allaient immédiatement manger le kangourou, et ils l’ont jeté au feu et ils l’ont brûlé un peu. Oh! comment l’ont-ils fait, je l’ignore. Moi, je n’avais pas faim. Ainsi donc, de toute façon, leur façon de danser, c’était comme la danse du kangourou. C’est de cette manière qu’ils... Et on voit ces gens là en Afrique, ils ont toutes sortes de petites choses curieuses provenant d’animaux, et qui sont aspergés de sang. Eh bien, c’est ce qu’ils croient être Dieu. Et alors, nous voyons que ces gens là-bas, à Ninive, adoraient aussi des idoles, et leur dieu de la mer, c’était un grand poisson. Ainsi tous ces hommes, du fait qu’ils vivaient au bord de la mer, comme occupation, ils étaient des pêcheurs; c’était cela leur principale occupation. Et ils faisaient une grande exportation des poissons vers le monde de cette époque-là.
Ainsi, un jour donc, les–tous les pêcheurs étaient là dehors vers midi, pêchant, tirant leurs filets. Et tout à coup, le dieu est sorti de la mer, le dieu poisson. Il s’est précipité sur le rivage, et d’un coup, il a tiré la langue, et marchant sur la langue du grand poisson, le prophète est sorti directement sur la terre. Il n’est pas étonnant qu’ils se soient repentis. Amen.
40 Dieu sait comment faire les choses. Dans la simplicité, Dieu sait plutôt comment s’y prendre. Voyez-vous? Jonas n’était pas rétrograde. Il suivait tout simplement la conduite de l’Esprit. C’est de cette façon qu’on amène les gens à la repentance. Il a dit... Il est allé aussitôt à travers la ville, disant: «Si vous ne vous repentez pas, dans quarante jours, cette ville sombrera.» C’est tout. Voyez-vous, que pouvaient-ils faire d’autre, sinon se repentir, car leur–leur dieu même avait vomi le prophète. Et ils étaient certains que celui-ci avait un message. C’était leur dieu, ainsi ils... Il l’a directement vomi là.
Notre Dieu c’est Christ. Amen. Et Il a envoyé le Saint-Esprit sur terre. Je me demande pourquoi nous ne pouvons pas croire cela. Il fut manifesté ici dans la chair. Il s’est tenu là, et Il a dit: «Et les habitants de Ninive se lèveront au dernier jour avec ceux de cette génération et la condamneront, parce qu’ils se sont repentis à la prédication de Jonas. Et il y a ici plus que Jonas.» Ensuite on lui a demandé un signe...
41 Et puis, Il continue en disant, presque au même moment, que Dieu a parlé dans toutes les générations. Chaque fois que Dieu envoie un don sur la terre, et que les gens le reçoivent, c’est un âge d’or pour cette génération-là. Mais quand les gens le rejettent, c’est le chaos pour cette génération-là.
Eh bien, qu’arriverait-il ce soir si... Si le peuple américain qui prétend être une nation chrétienne, qu’arriverait-il si nous tous qui déclarons être des chrétiens acceptions le don que Dieu nous a envoyé, le Saint-Esprit? Ne serait-ce pas merveilleux? Eh bien, nous pourrions cesser de fabriquer des missiles. Oh! rien au monde ne pourrait nous faire du mal. Ce serait impossible. Nous aurions une protection. Le Saint-Esprit serait sur nous. Certainement. Nous n’avons besoin de rien d’autre que du Saint-Esprit, si le peuple acceptait simplement le don que Dieu leur a envoyé, et c’est le Saint-Esprit. Mais une église est en désaccord avec l’autre, et celle-ci dit: «Oh! le Saint-Esprit n’existe pas. Ça, c’était pour les disciples.» Et c’est un don maintenant même. C’est pour l’Eglise, et aujourd’hui, nous sommes dans les derniers jours.
42 Oh! vous n’avez pas besoin de parler des abris. Les gens, comme des taupes, creusent des trous dans le sol pour essayer d’échapper à la bombe atomique. Comment allez-vous y échapper? Oh! cette bombe fait dans le sol un trou d’environ un mile [1,6 km] de profondeur sur 150 miles carrés [240 km²]. Eh bien, même si vous étiez à 50 miles [80 km] sous la terre, tout en dessous de la–la lave, le choc de la bombe briserait tous les os de votre corps. Il n’y a pas moyen d’y échapper, pas du tout. Il n’y a qu’un seul moyen. Et nous avons un abri. Il n’est pas fait d’acier, mais il est fait de plumes. Nous nous reposons sous Ses ailes. Amen. Et cela ne se trouve pas ici bas; cela se trouve là-haut. Vous êtes au-dessus de cela, quand vous naviguez jusque dans le... vous vous élancez jusque dans Son sein. Certainement. Voilà l’échappatoire.
43 Permettez-moi d’introduire ceci. (J’espère que ma montre ne va pas sonner trop tôt. Mais regardez, écoutez.) Aujourd’hui les gens ont une peur terrible du communisme. Honte à vous! Eh bien, pourquoi avez-vous peur du communisme? Je voudrais qu’un théologien, qu’un érudit de la Bible me montre où il est dit que le communisme dirigera le monde. Je vous assure, selon la Bible, c’est le romanisme qui va diriger le monde. Observez cela.
Ne faites pas attention aux rideaux de fer et aux rideaux de bambou; faites plutôt attention au rideau de pourpre. C’est celui-là qui va vous avoir. Ne vous en faites pas là-dessus. Cela... Notez cela, et dites: «Frère Branham l’a dit», et mettez cela dans votre Bible, et voyez si c’est juste. Le communisme n’est qu’un instrument dans la main de Dieu, qui joue un rôle. Eh bien, il ne représente rien. C’est tout à fait juste. N’ayez pas peur de cela. C’est quelque chose pour vous désorienter et vous empêcher de voir. Mais ceux qui lisent la Bible et les hommes qui aiment Dieu s’en tiennent à ce que dit la Bible. Certainement. Observez tout simplement cela.
44 Eh bien, nous ne voulons pas recevoir le don de Dieu dans cette nation, cette génération. Les gens ont rejeté cela. Les gens qui y croient sont traités de fanatiques, d’excentriques, de saints exaltés et de tout le reste. Ils sont méprisés et rejetés, exactement comme les Ecritures l’ont prédit. «Traîtres, hautains, enflés d’orgueil, aimant le plaisir plus que Dieu, blasphémateurs, calomniateurs, intempérants, ennemis des gens de bien, ayant une forme de la piété, mais reniant ce qui en fait la force.» C’est exactement ce que le Saint-Esprit a annoncé pour les derniers jours. Et nous y sommes, les amis. Nous y sommes exactement. Nous pourrions y rattacher plusieurs autres Ecritures, passons à autre chose, à ce que Jésus a dit ici. Et comme du temps de... Du temps de Salomon, Dieu a envoyé un don parmi Son peuple. Et il y a eu un temps où ils acceptèrent cela. Ils acceptèrent Salomon, le don de discernement. Et quand Salomon exerçait le discernement, tout le monde était d’un même coeur et d’un commun accord. Chaque... Oh! chaque nation était dans la crainte. On ne leur faisait pas la guerre. On–on ne leur faisait pas la guerre parce qu’on avait peur d’Israël, ce n’était pas tellement de la nation en tant que telle, mais du Dieu qu’Israël servait. Israël était d’un même coeur et d’un commun accord. Et ils étaient tous rassemblés autour de ce don. Oh! combien ils aimaient tous cela, et tout le monde parlait en bien...?...
45 Ne serait-ce pas merveilleux si tous les chrétiens, ce soir en Amérique, se mettaient tous à parler du Saint-Esprit, disant combien Il est merveilleux, et se mettaient... Oh! je vous assure que ce serait... Eh bien, les journaux partout en parleraient. Et les lignes de télécommunication grilleraient à force d’envoyer l’information. Oh! combien ce serait merveilleux! Mais ils ne veulent pas le faire. Voyez-vous! Mais, oh! si seulement nous pouvions nous rassembler autour des dons de Dieu, le Saint-Esprit!
Maintenant, nous voyons qu’en ce jour-là tout le monde s’était rassemblé. Et Dieu avait fait roi cet homme qui avait ce don sur lui. Oh! vous savez, la nouvelle s’était répandue partout. Les gens amenaient des troupeaux de moutons. Ils amenaient du bétail, de l’or et tout, et ils les aidaient. Ils cherchaient à être en paix avec eux, c’est ce qu’ils cherchaient à faire; en effet, ils savaient qu’un Dieu vivant était au milieu d’un peuple vivant. Ils savaient cela.
46 Maintenant, remarquez ce qui est arrivé. En ce temps-là, la nouvelle se répandait par... Dieu merci, ils n’avaient pas la télévision; mais les nouvelles se répandaient de bouche à oreille. Et les–les caravanes passaient pour aller quelque part, et les gens en parlaient. Et peu après, la nouvelle est parvenue très loin, jusqu’à Séba. Evaluez la distance de Jérusalem à Séba sur votre carte. Il y avait là-bas une reine, une petite païenne, une reine païenne. Et les gens venaient et rendaient témoignage de ce qui se passait en Palestine. Et la foi vient de ce qu’on entend la Parole de Dieu.
47 Oh! cette petite dame était prédestinée à la Vie Eternelle. Et dès qu’elle entendit cela, quelque chose s’enflamma dans son petit coeur de païenne. Elle a commencé à se poser des questions à ce sujet. Lorsque la caravane suivante est passée, elle n’a pas pu attendre. Elle a ordonné à ses eunuques d’aller les chercher et de les amener.
–D’où venez-vous?
–Nous venons du Nord.
–Etes-vous passés par la Palestine?
–Oui. Oh! je sais ce que vous voulez me demander: c’est à propos de leur Dieu.
–Oui, c’est juste. Avez-vous vu la chose?
–J’ai vu cela. C’est la vérité. Oh! ils aiment tellement cet homme, ils en ont fait leur roi; et quant à leur Dieu, ils ont un Dieu surnaturel qui se manifeste carrément à travers cet homme.
48 Maintenant, quiconque sait... Je vais arrêter ceci juste une minute. En fait–en fait, il est temps. Je... Est-ce en ordre, juste une minute? Tout le monde sait que l’adoration païenne est... Le païen fait sortir l’idole. Un prêtre lui apporte du vin. Il mange en honneur de cette idole. Ensuite il entre dans le temple et se prosterne devant cette idole, il continue à s’exciter comme cela jusqu’au point où il croie vraiment entendre cette idole lui parler. Eh bien, c’est tout à fait l’adoration païenne. Vous, frères, vous le savez en considérant l’histoire.
Maintenant, regardez ce que Dieu fait. Il se retourne carrément et ne... Voyez-vous, il s’imagine que la–la vie, l’esprit qui doit exister, qui habite en fait dans cette idole, entre dans cette idole et lui répond. Oh! on racontait que ces païens autrefois pouvaient se prosterner de telle sorte qu’ils affirmaient qu’ils entendaient les dieux parler au travers de ces idoles.
49 Mais voyez-vous combien le christianisme est différent, combien il se moque de cela? Dieu n’utilise pas une idole; Il utilise un homme.
Et lorsqu’un homme se prosterne dans la Présence de Dieu, Dieu entre Lui-même dans cet homme, et cet homme devient une créature vivante dans laquelle Dieu habite, pas une idole morte, mais un homme. Dieu n’a jamais utilisé des idoles. Il a toujours utilisé l’homme. Dieu n’utilise pas de machines, de dispositifs mécaniques. C’est... Il utilise des hommes, des individus. Excusez-moi. Ce n’était pas mon intention de crier aussi fort. Remarquez. Je ne suis pas excité pour autant. Je sais exactement où je me tiens. C’est juste. Je me sens tout simplement bien.
50 Remarquez. Puis ce Dieu était descendu, le Grand Jéhovah, et Il s’était manifesté au travers d’un homme, afin que les gens sachent que c’était plus qu’un homme. Cet homme avait quelque chose qui était–était différent. Et tout le peuple adorait Dieu et croyait en Dieu, et ils ont construit le temple. Ils ont réalisé de grandes choses en ce temps-là.
Remarquez. Cette petite reine a commencé à en entendre parler. La foi vient de ce qu’on entend. Son petit coeur s’est mis à battre vite. Il lui fallait y aller pour voir cela. Alors, après un moment, beaucoup de gens sont passés par là en témoignant, tout le monde disait que ces gens étaient d’un même coeur et d’un commun accord. Il n’y avait pas de différends parmi eux. Personne ne se baladait là pour dire: «Oh! il n’est pas membre de mon groupe. Ce–c’est un pharisien. Je ne pense pas... Je suis un sadducéen.» Il n’y avait rien de tel. Ils étaient d’un même coeur et d’un commun accord. C’est de cette façon que vous devez être.
Oh! oh! si seulement nos églises pouvaient être comme cela, frères. Si nos églises, nos différences, pouvaient simplement être... Très bien, c’est en ordre aussi longtemps que vous croyez, et que vous avez Dieu, et que vous avez vos–vos églises et tout. Mais, oh! soyons d’un commun accord, un seul homme, un «en avant soldats chrétiens», juste une unité de Dieu en marche vers la victoire, recevant tout ce qui vient au Nom du Seigneur, c’est-à-dire ce que la Parole de Dieu a promis de nous envoyer. Croire cela, agir sur base de cela.
51 Maintenant, bien vite, son petit coeur se mit à battre au point qu’elle n’arrivait pas à rester... elle n’arrivait plus à dormir. Il lui fallait simplement aller voir cela. Il se passe quelque chose lorsqu’il vous arrive d’entendre parler de Dieu. L’homme sait qu’il vient de l’autre côté du voile sombre, quelque part au-delà d’ici. Il sait que lorsqu’il mourra, il traversera encore de l’autre côté du voile. D’où est-il venu et où est-il parti? L’homme a toujours désiré ardemment voir ce qu’il y a derrière ce rideau. C’est exact. Ainsi lorsqu’il voit quelque chose s’élever de derrière ce rideau, et illustrer quelque chose qui a été promis depuis là-bas, cela doit faire tressaillir son coeur.
52 Remarquez. Ainsi cette petite femme, elle était... son coeur s’est mis à battre pour y aller. Or, elle avait certaines choses à faire avant de partir. Eh bien, la première chose à faire, c’était d’aller obtenir la permission de son église pour partir et se rendre là-bas. Eh bien, c’était une chose difficile d’aller vers un prêtre païen. Je peux le voir, quand il–elle s’est avancée, et–et s’est inclinée devant lui, l’appelant (peu importe comment elle l’a appelé) «saint père» ou que sais-je, elle s’est approchée de lui, s’est inclinée, et l’autre s’est incliné. Et il... elle était la reine du pays.
Elle a dit: «Si je comprends bien les dires des caravanes et ainsi de suite (et certains d’entre eux m’ont apporté des rouleaux venant de la Palestine), ils tiennent une grande réunion là-bas. Et il y a là un homme qui est oint par leur Dieu; et ce Dieu manifeste Sa propre Vie au travers de cet homme. Mon Seigneur, sa sainteté, j’aimerais aller voir.»
53 Pourriez-vous vous l’imaginer lui accordant la permission? «Nous ne collaborons pas avec ces réunions qui se tiennent là-bas.» Oh! certainement. Toutes sortes de propos ont pu sortir. «Eh bien, si quelque chose devait se produire, cela devrait se produire juste ici dans votre propre église. Et après tout, ce n’est qu’une bande de nullités. Nous avons appris qu’ils traversent des mers et tout comme cela. Mais c’est une bande de saints exaltés, ou (Excusez-moi) de fanatiques, ou quelque chose comme ça, tu sais, là-bas. Ils... Ça ne vaut rien. N’y crois pas, ça ne vaut rien. Si quelque chose doit se produire, cela se produira juste ici dans votre propre église. Ce serait juste ici. Si un dieu devait faire quelque chose–quelque chose, notre dieu le ferait.»
Je peux voir cette petite femme se redresser. Elle dit: «Seigneur, mais moi, je désire y aller. Je désire en être convaincue.» J’aime ce genre de courage là. «Je veux être convaincue. J’ai leurs rouleaux ici. Je désire aller voir si cet Esprit qui est dans cet homme c’est exactement ce Dieu-là comme le déclarent ces rouleaux. Ainsi donc, si c’est le cas, c’est ce Dieu-là qui parle au travers de cet homme.»
«Eh bien, écoute ceci. Il y a ici le grand dieu Dagon, il y a ici le grand dieu Untel, Jupiter, le dieu Soleil, et tous ces autres dieux que nous avons ici.»
Elle a peut-être dit: «Oui, mon arrière-arrière-grand-mère les a servis; ma grand-mère les a servis et tout. Ma mère les a servis. Et qu’ont-ils fait? Ce sont des idoles muettes. Je ne les ai jamais entendues prononcer un seul mot ni ne les ai vus accomplir une seule chose.»
54 C’est comme ces credos muets et ainsi de suite que l’on sert aujourd’hui, et des choses qui n’ont pas plus de vie en elles... Vous parlez–parlez d’un Dieu, un Dieu qui était, et on envoie un garçon à l’école, et on lui apprend à être ministre, et on lui parle d’un Dieu historique. A quoi sert un Dieu historique d’hier s’Il n’est pas le même Dieu aujourd’hui? Si un Dieu plein de miséricorde a pu satisfaire les besoins des gens hier, et qu’Il ne soit pas le même Dieu aujourd’hui, c’est un Dieu minable. Il a fait acception de personnes. A quoi bon donner à votre canari toutes sortes de bonnes vitamines pour qu’il ait des ailes puissantes et des os gros et solides, et ensuite le mettre dans une cage pour qu’il ne vole pas? C’est la même chose que d’envoyer un homme recevoir toutes sortes de cours et tout le reste, et apprendre ce qu’un Dieu était, tout ce qu’Il avait fait, et tout ce qu’Il avait fait à l’époque, mais ensuite faire volte-face et lui dire que les jours des miracles sont passés et que ça n’existe pas. Pour moi, ce n’est même pas raisonnable.
55 Alors cette petite reine a peut-être dit: «J’ai entendu parler de tous ces dieux. J’ai entendu parler de toutes ces choses. Mais je ne les ai jamais vus manifester le moindre signe de vie. Je n’ai jamais vu une oeuvre qu’aurait accomplie un dieu ni rien d’autre.»
«Eh bien, je vais te dire quelque chose, ma fille. Si tu vas là-bas... Tu es notre reine. Tu ne peux pas aller te mêler à un tel groupe de gens. C’est insensé.»
Je ferais peut-être mieux de le dire. Cela brûle en moi de toute façon. J’étais... Ma belle-fille et mon épouse étaient en ville ce matin, et elles faisaient des achats dans un magasin. Et une dame a dit: «Il y a une dame qui habite de l’autre côté de cette rue en face de moi, son mari a une affaire par ici. Elle était à cette réunion qui s’est tenue là-bas l’autre soir. Elle avait un certain quelque chose à la jambe, et c’était un... Cet homme qui se tenait à la chaire en a parlé à cette femme. Et, vous savez, cela est parti, et elle en était tellement émue.»
Ma belle-fille a dit: «Il s’agit de mon beau-père.» Elle a dit: «Il s’agit de mon beau-père.» Elle a dit: «Y avez-vous été?»
La dame a dit: «Oh! non. Je ne peux pas y aller.»
Elle a dit: «Eh bien, pourquoi ne pouvez-vous pas y aller?»
Elle a dit: «Mon mari est diacre ici dans l’une des grandes églises de la ville. Je ne pouvais pas aller m’associer à un groupe de gens comme cela.»
Ma belle-fille a dit: «De toute façon, vous êtes la bienvenue.»
56 Et puis, vous parlez des clans! Oh! vous criez au sujet des catholiques. Eh bien, vous êtes pareils (Voyez-vous?), tout à fait pareils. La poêle ne peut pas se moquer du chaudron. Vous savez que c’est juste. Eh bien, c’est pareil, tout à fait; car Dieu n’est-Il pas notre Père à nous tous? Pourquoi nos dénominations nous séparent-elles? Pourquoi un ministre ayant un diplôme d’université chercherait-il à–à garder une femme qui a vraiment besoin de la guérison de son corps, qui est venue d’un endroit pour être guérie par un Dieu que ce ministre déclare connaître? C’est ce qui m’étonne.
57 Frère, cette petite reine a considéré cela et a dit: «J’ai plutôt entendu parler de tout ça, mais je n’ai jamais rien vu jusqu’ici.»
–Eh bien, si tu y vas, nous allons t’excommunier.
–Eh bien, vous feriez mieux de me rendre mes papiers maintenant, car je pars.
Voyez-vous, quand Christ commence à agir dans un coeur, c’est parti. C’est tout. Ainsi, rappelez-vous qu’elle devait faire face à bien des choses, à bien des choses. Eh bien, elle a perdu sa qualité de membre. Et, autre chose, elle a dit... Je me suis dit que c’était très bien. Elle a dit: «Si cette chose est la vérité, elle mérite d’être soutenue.» Elle a alors réuni beaucoup de sous, d’encens, d’or, d’argent, de myrrhe et elle en a chargé des chameaux.
Mais voici ce qu’elle s’est dit, je crois: «Si c’est la vérité, je vais soutenir cela. Si ce n’est pas la vérité, je peux carrément ramener mes trésors.» Elle pourrait enseigner aux pentecôtistes quelque chose: soutenir des ministères radiophoniques qu’il y a ici, qui se moquent et tournent en dérision la religion même que vous représentez. C’est juste. Et votre propre église souffre à cause de la dîme que vous pourriez–devriez apporter (Absolument); simplement parce que les autres ont plutôt un grand nom ou quelque chose comme cela.
N’avez-vous jamais appris les choses spirituelles jusqu’alors? Nous devrions le faire. C’est juste. Nous devrions apprendre à discerner l’esprit pour voir d’où il vient. Eh bien, ce n’est pas du lait écrémé, là, si vous pouvez le diluer.
58 Remarquez. Alors, cette petite femme a dit: «Si c’est juste, je vais soutenir cela. Si cela–si c’est juste, cela mérite tout. Si ce n’est pas juste, ce n’est pas bon du tout.» Alors elle pourra ramener ses dons. Or, souvenez-vous, elle avait un long trajet à parcourir, elle ne pouvait pas voyager... Elle devait traverser le désert du Sahara, non pas à bord d’une Cadillac climatisée, mais à dos de chameau. Savez-vous le temps que cette caravane a mis pour partir du pays où était cette reine jusqu’en Palestine? Cela leur a pris trois mois: quatre-vingt-dix jours, à dos de chameau! Il n’est pas étonnant que Jésus ait dit qu’«elle se lèvera au jour du Jugement et condamnera cette génération.» Certaines personnes ne veulent même pas traverser la rue pour aller voir la même chose. C’est vrai.
Et, autre chose, souvenez-vous, les fils d’Ismaël étaient des brigands du désert. Et elle n’avait qu’un petit groupe de soldats, des eunuques. Combien ça aurait été facile pour ces brigands de tomber sur elle, tuer ces petits eunuques, s’emparer de ses trésors et s’en aller! Mais, vous savez, quand vous êtes déterminé à chercher Dieu, Dieu frayera une voie pour vous, et il n’y a rien à craindre du tout. Vous n’avez en vous qu’une réalisation, une pensée, un motif, un objectif, et c’est de parvenir à Dieu. Et si Dieu vous a parlé, vous irez. Peu importe ce qui arrive. Dieu frayera une voie pour que vous y parveniez, si vous êtes réellement ancré, et si vous savez de quoi vous parlez. Et elle l’a fait.
59 Elle a réuni ses servantes ainsi que ses eunuques, et ils sont tous montés sur des chameaux. Et elle voyageait peut-être la nuit; il faisait tellement chaud dans le désert. Je peux imaginer que la journée, pendant qu’ils étaient assis à l’ombre quelque part, dans une petite oasis, sous des arbres, elle prenait ces rouleaux et les lisait pour voir... Elle voulait savoir, quand elle serait arrivée là-bas, si la chose était scripturaire.
Et quand elle est venue, elle n’est pas venue comme bon nombre d’entre nous le font ici. Nous allons à la réunion une seule fois. Les voisins... «J’ai un bon voisin qui habite ici. Ils nous ont invités, et ainsi nous irons. Je m’assiérai cinq minutes, et s’il dit une seule chose contraire à ma foi, je vais aussitôt me lever et sortir.» Cela révèle l’ignorance. Cela ne fait même pas montre de bon sens. Quiconque a été bien élevé ne ferait pas une telle chose. Si j’allais dans un temple bouddhiste, si j’allais dans le temple, je serais assez gentleman pour rester assis là jusqu’à ce que cette réunion soit au moins terminée. C’est juste.
60 Vous parlez d’une certaine ignorance des gens du Kentucky; vous parlez de cet Etat d’où je viens, de l’ignorance de ces gens qui sont là-bas. Je ne sais pas. Parfois je me pose des questions. Que l’une de leurs filles rentre le matin avec des cheveux tout emmêlés, et avec de la manucure au visage, après avoir passé toute la nuit avec un petit Ricky aux cheveux coupés en brosse. Je vous assure, elle–elle saura la prochaine fois qu’elle sortira; on prendra une latte de tonneau, ou une branche d’un noyer là, et on va tout simplement l’écorcher.
Et je vous assure, vous parlez tous de la délinquance juvénile; tant de journaux en parlent. Je pense qu’il s’agit de la délinquance des parents, plutôt...?... la vieille règle d’or suspendue avec ces dix commandements suspendus dessus... si vous prenez un adolescent là et que vous l’épluchiez un petit peu, vous n’aurez pas tant de propos du genre: «Pauvre petit Ricky. Tu es gentil. Tu n’avais pas l’intention d’agir mal, Marthe.» Elle–elle a besoin d’une bonne raclée, c’est ce dont elle a besoin. La Bible dit: «Epargne la verge, et tu gâteras ton enfant», et c’est tout à fait juste. Vous ne trouverez jamais rien de mieux.
61 Chez nous, on avait les dix commandements suspendus au-dessus de la porte à un fouet de noyer long à peu près comme ça. Et, frère, j’en recevais tous les dix sur le dos, et un peu partout aux jambes, pratiquement tous les jours. Cela m’a quand même fait du bien. Je vous assure, papa m’amenait derrière la maison, et je dansais une petite gigue. Mais je savais que je ne ferais plus la chose la prochaine fois, quand il en avait fini avec moi.
La vie serait vraiment meilleure, si nous avions davantage de papas qui font cela aujourd’hui. Il ne m’a jamais donné un seul coup pour lequel je ne l’honore pas ce soir. Quand j’ai regardé dans le cercueil et que j’ai vu ses cheveux gris sur le côté de sa tête, je me suis tenu là et des larmes ont coulé sur mon visage. J’ai dit: «Papa, j’ai contribué à ce qu’ils soient là. Oh! que Dieu me vienne en aide.» C’est juste. Je respectais mon papa. C’était un père qui me faisait faire ce qui est juste. Oui, oui. Nous avons besoin davantage de pères de ce genre aujourd’hui.
62 Eh bien, elle est arrivée. Elle s’est arrêtée devant le–le palais. Elle a déchargé ses chameaux, et elle a installé ses servantes là, et elle a dressé ses tentes. Et elle est venue pour rester jusqu’à ce qu’elle soit convaincue. Oh! frère, ce n’est pas étonnant, elle condamnera cette génération. Voyez-vous? Elle est venue pour rester jusqu’à ce qu’elle soit convaincue. Et elle a attendu.
Eh bien, le premier matin, je peux entendre les trompettes retentir, les cloches sonner. Et la petite reine s’est habillée, elle est entrée, et peut-être qu’elle a dû prendre un siège tout au fond derrière. Et tout allait bien, avec tous les cantiques et tout le choeur qui chantait. Ensuite le pasteur Salomon est monté à la chaire. Et elle a remarqué combien merveilleux... Son petit coeur s’est mis à brûler. Eh bien, ce jour-là, peut-être qu’elle a dû acheter quelques livres en rapport avec cela à l’étal des livres. Elle est rentrée ce soir-là, et elle a lu, et elle n’en finissait pas de lire. Le lendemain, elle... jour après jour...
63 Finalement, sa carte de prière a été appelée. Elle n’était même pas sortie de ses gonds à ce sujet. Elle a attendu son tour. Et quand vint le moment où elle s’est tenue devant Salomon, la Bible déclare que rien n’était caché à Salomon qu’il ne lui ait entièrement révélé. Amen. Salomon... l’Esprit de discernement a dit à la reine le secret de son coeur. Jésus a dit que cette reine se lèvera au Jugement et condamnera cette génération-là, car il y avait là plus que Salomon. Ecoutez ce qu’elle a dit. (Nous terminons.) Ecoutez ce qu’elle a dit. Elle a dit: «Tout ce que j’avais entendu dire était vrai, et c’est plus que ce que j’avais entendu.» Voyez-vous, le miracle était accompli sur elle à ce moment-là. Voyez-vous, elle venait directement de Séba, et lui ici était un Juif. Et ainsi, il ne connaissait donc rien sur la reine. Mais quand elle s’est tenue dans sa présence, il lui a révélé tous les secrets de son coeur, il lui a dit les choses qu’elle désirait savoir. Tout ce qu’elle avait dans son coeur, Dieu fit connaître cela à Salomon.
64 Ne voyez-vous pas? Ce même Dieu... Comment pourriez-vous appeler cela de la télépathie? Comment pourriez-vous traiter cela de démon (Oh!), quand vous ne comprenez pas qu’en ce moment même je puisse connaître ce que vous pensez là-bas? Comment pouvez-vous douter? Comment... Qu’est-ce qu’il a, mon peuple? Que... Ne voyez-vous pas que ce même Dieu a la même nature, depuis le commencement et dans toute la Bible? Puis elle s’est tournée, et elle a dit: «Heureux les hommes qui sont avec toi, qui se tiennent ici et qui voient ce grand don de Dieu à l’oeuvre chaque jour. Heureux ces yeux qui sont ici et qui voient cela.»
Jésus a dit: «Elle se lèvera au Jugement et condamnera cette génération. Car elle est venue des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et il y a ici plus que Salomon.»
Et, mes amis chrétiens, écoutez: Il y a ici plus que Salomon. Le Saint-Esprit Lui-même est ici. Christ sous la forme du Saint-Esprit est ici parmi nous, confirmant que le même... même ce que Salomon avait, est ici aujourd’hui, seulement bien des fois plus glorieux, avec deux mille cinq cents ans d’histoire du même Esprit oeuvrant dans l’Eglise. Il y a ici plus que Salomon. Son coeur fut touché. Elle n’avait jamais rien vu de pareil auparavant. Cela n’était pas ordinaire pour elle. Elle était convaincue que c’était vrai.
Permettez-moi de dire quelque chose ici, juste un instant. Quand les gens, des gens véritablement sincères peuvent voir quelque chose de réel, cela change leurs opinions. C’est juste. Et en fait, bon nombre de gens dans le monde aujourd’hui ont faim de voir ce que nous sommes en train de rejeter. C’est juste. Ils veulent voir quelque chose de réel.
65 Cette petite histoire... Cela pourrait tomber bien à propos maintenant même. Je désire dire cela. Vous... Vous savez tous que je fais la chasse. Je–je suis–j’aime faire la chasse. Ma mère est une... (elle est décédée tout récemment) était pratiquement une demi-Indienne. Et je–j’ai fait la chasse toute ma vie. La première chose que j’ai achetée... J’ai piqué toute la journée des plants de patates douces, et je gagnais vingt-cinq cents. Je me suis acheté un piège en acier, et j’ai attrapé un lapin que j’ai vendu à quinze cents, et je me suis acheté deux autres pièges en acier; j’ai aussitôt commencé les affaires. Je n’avais que six ans. Depuis lors, je fais la chasse, et je tends des pièges. Et je vais faire la chasse dans les bois du Nord, j’avais l’habitude de le faire, tout en haut là-bas.
Et j’avais là-bas un bon compagnon de chasse, et c’était un formidable chasseur, un très bon tireur; et c’est l’homme pour qui vous n’aviez pas à craindre qu’il se perde dans les bois. Il savait comment s’en sortir. Et j’aimais chasser avec lui. Mais il était vraiment cruel. Il–il avait des yeux comme ceux d’un lézard. Vous connaissez ces drôles d’yeux, comme les femmes essaient de se les farder aujourd’hui? Vous savez, comme les yeux de lézard. Et ainsi elle... C’était un homme très bien, mais il était cruel. Il avait l’habitude de tuer les faons juste pour m’indisposer. Il... Il savait que je...
66 Eh bien, c’est tout à fait en ordre de tuer un faon; il n’y a pas de mal à ça. Si la loi vous permet de tuer un faon, mes frères chasseurs, il n’y a pas de mal. Abraham a tué un veau et il l’a donné à manger à Dieu, et Dieu en a mangé. C’est juste. Ainsi le sexe ou plutôt la taille n’a rien à voir avec cela. Mais tuer juste pour le simple plaisir de tuer, ça c’est un meurtre. Je ne crois pas dans le fait de détruire les choses. Pendant sept ans j’ai été moi-même garde-chasse, comme vous le savez. Ainsi donc, n’oubliez pas, soyez toujours honnête et correct en rapport avec ces choses. Et voici...
Il abattait ces petits faons, et peut-être sans même les ramasser, juste pour m’indisposer. Il était tout simplement cruel. Et j’essayais de lui parler de Dieu. Et quand je faisais mention de Dieu, il se tenait simplement là et il riait, la tête renvoyée en arrière. Ainsi... Mais, je pensais que là, tout au fond de lui, il pouvait y avoir quelque chose de bon dans l’homme. Vous ne... Ne rejetez jamais complètement un homme. Faites tout simplement de votre mieux, persévérez. Que ce soit Dieu qui rejette.
67 Ainsi je–je... Un jour je suis allé là-haut, et c’était vers la fin de la saison. Et ces cariacous, là-haut, oh! la la! vous dites de Houdini qu’il est maître en évasion, il n’est qu’un amateur à côté de ces cerfs. Et de toutes façons, quand on tirait sur eux, ils disparaissaient tout simplement–tout simplement. Et la nuit, lors du clair de lune, ils se nourrissent pendant la nuit, et ils rampent sous les broussailles pendant la journée, ils rentrent là dans les taillis. Vous ne les trouvez jamais.
Et cette nuit-là, une jolie petite neige était tombée, formant une couche de six ou huit pouces [15 ou 22 cm] environ; c’était un temps favorable pour suivre les pistes. Et nous étions–nous sommes allés chasser. Et nous apportions toujours une bouteille thermos pleine de chocolat chaud, pour qu’au cas où nous nous serions égarés quelque part dans les bois, ou aurions tué un cerf, et que nous devrions rentrer, ou que nous serions pris dans une tempête de neige, ce chocolat puisse nous aider à survivre. C’est mieux que le café ou quoi que ce soit d’autre, car cela fortifie, et le chocolat est nourrissant. J’avais donc une... Nous en avions chacun de nous un litre dans nos chemises, avec un sandwich.
Et nous avons marché toute la matinée, nous n’avions même pas vu la moindre piste, et nous étions... Tard, vers 11 h 30 ou 12 h, nous sommes arrivés à une petite clairière ayant à peu près la dimension de cette salle. Et il... il était devant moi, marchant, et d’habitude nous allions tout en haut jusque dans le–au-delà de la lisière des bois, et puis nous... Il prenait sa direction, et nous allions l’un d’un côté et l’autre de l’autre, et nous progressions. Et lorsque nous attrapions un cerf, nous le suspendions. Et nous savions que lorsque nous serions de retour au camp de base... Nous retournerions là ce soir-là, ou si nous ne le faisions pas, nous ne nous inquiétions pas l’un pour l’autre. Nous savions comment nous débrouiller dans les bois, et nous rentrions le jour suivant.
68 Ainsi donc, je pensais qu’il s’apprêtait à partir, parce que nous étions arrivés bien haut. Et d’habitude les cerfs gravissaient les montagnes en courant quand ils étaient effrayés. Et ainsi, il s’est donc arrêté à ce petit endroit, puis il s’est assis. Et je pensais qu’il ramenait la main dans sa chemise pour prendre cette bouteille thermos afin–afin que nous prenions notre casse-croûte; et ensuite nous nous séparerions et retournerions. Donc, au lieu de cela, il a fait sortir ce vieux petit sifflet.
Il avait fabriqué un petit sifflet qui résonnait exactement comme le cri d’un petit bébé cerf qui pleure sa maman. Vous savez ce que–vous savez ce que fait un faon, avec ce drôle de petit bruit. Eh bien, il s’était fait un sifflet qui résonnait exactement comme cela. Et je lui avais dit ce matin-là, avant que nous partions, j’avais dit: «Burt, tu ne vas pas utiliser ça?»
Il a dit: «Oh! tu es comme tous les autres prédicateurs. Tu ne seras jamais un bon chasseur. Tu es trop peureux.» Il a dit: «Ne–ne–ne... vous êtes–vous, les prédicateurs, vous êtes trop peureux pour être des chasseurs.» Et d’habitude je devais de toute façon prendre son gibier.
69 Mais–mais toutefois, il–il avait l’intention d’abattre ce petit cerf. Il a donc plongé la main dans sa chemise, et il en a fait sortir ce sifflet. J’ai dit: «Tu ne vas pas faire ça.»
Il a dit: «Oh! ressaisis-toi, Billy. Ressaisis-toi.»
Il y avait là un amoncellement de neige, et il a soufflé dans ce petit sifflet. Et je me suis dit: «Eh bien, comme nous n’avions pas vu une seule trace, que ça ne ferait pas de mal.» Mais à ma surprise, à peu près à une distance de la largeur de cette salle, une très grande et belle biche s’est levée. Eh bien, c’est la femelle du cerf: la biche. Ses grandes oreilles étaient dressées comme cela, ses beaux grands yeux regardaient. Que se passait-il? Peu importe combien elle s’était bien cachée, un bébé, son bébé pleurait. Il était en détresse. Elle a fait un bon. Elle s’est mise à regarder tout autour. Eh bien, nous ne nous tenions pas à plus de trente yards [27 m] d’elle.
Burt m’a regardé avec ses yeux de lézard, et je me suis dit: «Oh! la la!» Et il a encore sifflé. Et cette biche s’est carrément avancée jusque dans la clairière. Or, tout chasseur de cerfs sait que c’est tout à fait inhabituel. Les cerfs ne font pas cela, et surtout quand on leur a tiré dessus, et aussi à cette heure-là de la journée; il était environ 11 heures, 12 heures. Elle s’est carrément avancée jusque dans la clairière.
Et je l’ai regardée, et je me suis mis à penser: «Cette mère, il la trompe. Il souffle dans ce sifflet qui résonne comme le cri d’un petit bébé, de son bébé. Et elle n’est pas une hypocrite. Elle n’est pas juste en train de jouer à la mère; elle n’imite pas quelque chose. Elle est née une mère. C’est l’instinct qui est en elle. Elle est une mère, et c’est un bébé qui pleure. Elle était née une mère authentique. La chose était en elle.»
70 Elle s’est avancée encore là. Il m’a regardé de nouveau comme cela. J’ai secoué la tête comme cela. Il... J’ai tendu le bras. J’ai entendu cette balle entrer dans ce calibre 30-06, une grosse balle champignon de cent quatre-vingts grains [11,6 g], et il a ajusté cette lunette. Je savais que dans quelques instants, quand il appuierait sur cette gâchette (c’était un tireur d’élite), je savais qu’il allait faire sauter son coeur loyal au-dedans d’elle.
Et je me suis dit: «Comment peut-il faire cela? Un homme d’une telle cruauté tuerait là cette mère qui cherche à retrouver son bébé, qui se trouve là à la recherche de son bébé; et il lui ferait sauter son coeur loyal au-dedans d’elle.» Je me suis dit: «Quel type cruel il doit être! Certainement qu’il ne fera pas cela.»
Et quand la–la culasse mobile de ce modèle 70 est descendue, est descendue comme cela, la biche a entendu cela et elle s’est retournée. Et elle a vu le chasseur. Mais a-t-elle bougé? Pas du tout. Pourquoi? Elle était une mère. Mourir ou pas, son bébé avait des ennuis. Elle cherchait à retrouver ce bébé. Elle cherchait des yeux partout. Le bébé appelait. Elle ne pouvait pas s’empêcher. Elle était une mère.
71 Je–je pleurai pratiquement. J’ai juste détourné la tête. Je me suis dit: «Ô Dieu, je ne peux pas voir cela. Comment peut-il faire cela, faire sauter le coeur de cette pauvre mère là-bas, tandis qu’elle se tient là, cherchant son bébé? C’est une vraie démonstration de la loyauté, et comment peut-il faire cela?» Il a visé comme cela, étant tout aussi calme. J’ai tourné le dos. Et au fond de mon coeur j’ai dit: «Père céleste, ne le laisse pas faire cela. Ne le laisse pas faire cela. Comment peut-il faire cela? Comment peut-il tirer dans le coeur de cette mère comme cela, tandis qu’elle cherche à retrouver son bébé comme cela?»
Et j’ai attendu, et le coup ne partait toujours pas. J’ai attendu encore un peu; le coup ne partait toujours pas. Et je me suis retourné pour regarder. Et voilà que le canon du fusil allait comme ceci, en vacillant tout simplement. Et il a levé les yeux, et des larmes coulaient sur ses joues, ses lèvres tremblaient. Il a pris le fusil et il l’a jeté sur un amoncellement de neige, et il m’a saisi par la jambe du pantalon et a dit: «Billy, j’en ai marre. Conduis-moi à ce Jésus dont tu parles.»
Aujourd’hui il est diacre dans une église baptiste. Là même sur cet amoncellement de neige, je l’ai conduit à Christ. Pourquoi? Il avait vu quelque chose de réel, il avait vu quelque chose qui n’était pas une imitation. Il avait vu là quelque chose d’authentique. Il savait qu’il y avait quelque chose derrière cela. Elle était une mère. Elle était née une mère.
72 Ô Dieu, fais de moi un chrétien comme cela. Fais que je sois un chrétien, afin que je puisse être si réel que les gens qui sont à la recherche de quelque chose de réel voient quelque chose de réel et sachent que Christ est réel. Inclinons la tête.
Combien ici... Soyez sincère. Un instant, s’il vous plaît. Soyez sincère. Combien aimeraient être le genre de... autant chrétiens que cette biche était une mère? Levez la main, dites: «Moi, Frère Branham. Je–je désire être ce genre de chrétien là.» Que Dieu vous bénisse.
73 Père céleste, je ne m’en doutais vraiment pas, alors que je me tenais là ce jour-là dans cette neige, les pieds mouillés, et cet homme me tenant aux jambes, sanglotant et pleurant... Eh bien, je crois que cette biche est encore là-bas avec son bébé. Je l’espère. Elle ne savait pas ce qu’elle faisait. Mais Dieu est capable de parler par ces pierres. Cet homme cruel avait vu quelque chose de réel. Il avait vu tant de soi-disant croyances et d’imitations. L’homme étant lui-même un chasseur, Dieu a dû traiter avec lui de cette manière-là, pour lui faire voir qu’il y avait quelque chose de réel. Et s’il vit encore aujourd’hui, c’est un aimable chrétien né de nouveau. Combien nous T’en remercions, Père.
J’ai vu peut-être quelque trois cents, quatre cents ou cinq cents mains, peut-être un peu plus que cela, se lever il y a quelques instants, pour montrer qu’ils–ils voulaient être de véritables chrétiens, Seigneur. J’ai dû réprimander cette semaine, ô Dieu, crier là-dessus, me demandant tout simplement ce que mes frères pensent, me demandant ce que Tu penses. J’ai essayé d’être honnête, Seigneur. Les gens étaient assis à se poser des questions. Que tout cela soit terminé maintenant, Seigneur. Que tout cela soit tout simplement mis en pièces et réglé. Puissions-nous venir auprès du Dieu que nous reconnaissons comme étant réel. Que chacun de nous puisse expérimenter ce que c’est qu’être réellement un chrétien né de nouveau, autant que cette biche était une mère. Accorde-le, Seigneur. Ecoute-nous, je Te prie.
74 Maintenant, chacun de vous qui avez la tête inclinée, les yeux fermés, je voudrais que vous disiez tout simplement dans votre coeur, que vous fassiez une petite prière, disant: «Ô Dieu, aie pitié de moi.» C’est juste. Ayez simplement la foi. Ne doutez pas. Ô Dieu... Que chacun de vous qui sent que Christ est près de lui lève simplement la main et dise: «Je–je crois qu’Il est vraiment près de moi ce soir. Je sens vraiment Sa Présence.» Que Dieu vous bénisse. Continuez tout simplement à prier. C’est juste. «Ô Dieu, j’ai hâte de voir la chose.» Ayez simplement la foi. Croyez. «Fais de moi un chrétien, ô Seigneur, juste comme... autant un chrétien que cette–que cette biche était une mère.»
75 Combien n’ont jamais assisté aux réunions auparavant? Levez la main, ceux qui n’ont jamais assisté aux réunions. Eh bien, que Dieu vous bénisse, vous êtes nombreux. Relevez un instant la tête si vous avez fini de prier.
Je veux que vous regardiez par ici. Au courant de cette semaine, j’ai parlé d’un Jésus qui est vivant. Je ne vous ai pas parlé sur base d’un credo; je vous ai parlé sur base de la Bible, sur base de Sa Parole. Je vous ai présenté Sa promesse qui dit qu’Il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Croyez-vous cela? Maintenant, s’Il... Si vous voyiez quelque chose de réel, vous le désireriez, n’est-ce pas? Ne... Vous n’avez pas besoin de quoi que ce soit de faux; il vous faut quelque chose de réel.
Puisse Dieu vous montrer ce soir ici même que je vous ai dit la vérité. Il est le Messie qui est vivant. Ne doutez pas maintenant. Croyez. Regardez de ce côté-ci et dites à Christ dans votre coeur: «Tu es ce Souverain Sacrificateur-là. Je le crois.» Souvenez-vous, permettez-moi de le dire clairement: je ne suis pas le Souverain Sacrificateur. Je ne suis que votre frère. Lui, Il est le Souverain Sacrificateur. Mon toucher ne représentera rien; Son toucher à Lui fera la chose. Il attend votre toucher, votre toucher, votre toucher de foi. Et s’Il l’a fait en Son jour, Il le fera encore aujourd’hui. Ne le croyez-vous pas?
76 Cet homme qui est assis là, la main à la joue, souffre de l’hypertension; croyez-vous que Dieu va vous accorder la guérison de cette hypertension, monsieur? Croyez-vous? Levez la main, dites: «Je l’accepte.» Je ne connais pas cet homme. Mais c’est la vérité.
La dame assise là à côté de vous souffre aussi d’un trouble féminin. Si elle croit de tout son coeur... Le croyez-vous, soeur? Levez la main. Est-ce quelque chose de réel? C’est Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Cette femme-là, autrefois, L’a touché par le sentiment de ses infirmités; cette femme aussi L’a touché. Ne doutez tout simplement pas. Ayez la foi.
La dame assise juste ici, elle souffre du cancer. Elle prie pour ce cancer. De plus, elle prie pour un de ses petits enfants. Ce petit enfant est un arriéré. Croyez-vous que Dieu va le guérir? Je vous suis inconnu. Si c’est juste, agitez la main comme ceci.
Eh bien, pourquoi n’aviez-vous pas, vous tous, ce genre de foi hier soir? Croyez tout simplement. Ne doutez pas. Posez votre main sur cette femme qui est juste à côté de vous. Voulez-vous me faire une faveur? Elle souffre d’un mal de gorge. Ayez simplement la foi.
77 Voyez-vous combien c’est facile, si vous croyez simplement cela? Ne doutez pas. Croyez tout simplement de tout votre coeur. N’est-Il pas bon et merveilleux? N’est-ce pas réel?
L’homme qui est assis juste par ici souffre des complications; il souffre de la gastrite, du foie. (Ô Dieu, ne permets pas qu’il manque la chose.) Monsieur Brines, croyez. Vous avez reçu cela. Maintenant c’est très doux. Ne–ne faites rien pour interrompre cela. Laissez cela continuer. Je ne connais pas cet homme; je ne l’ai jamais vu. Dieu qui est au Ciel le sait, et voici ma Bible sur mon coeur. Il peut me frapper de mort à cet instant.
Qu’a-t-il touché? Qui a-t-il touché? Qui que ce soit qui était là, si nous ne nous connaissons pas et sommes des inconnus l’un à l’autre, levez la main. Qui que soit cette personne, n’importe quelle personne qui a été appelée, si nous sommes des inconnus l’un à l’autre, levez la main. Nous ne nous connaissons pas. Levez vos mains, qui que soit cette personne-là, qui venait d’être appelée tout à l’heure. Oh! certainement. Voyez-vous?
78 Y a-t-il quelqu’un de ce côté-ci? La dame qui est assise là et qui regarde droit vers moi; elle a une peur bleue de ce cancer. Elle se pose des questions. Vous vous demandez s’il s’agit de vous. «Est-ce moi?» C’est celui à qui vous vous adressez. Je vais vous dire de qui il s’agit. Votre nom c’est madame Brown. Maintenant, vous savez à qui je m’adresse donc. Croyez-vous que Dieu vous a guérie? Si vous croyez, levez la main et dites: «Je l’accepte.» Que Dieu vous bénisse.
Cet alcoolique pour lequel vous priez, croyez. Vous avez essayé de tout votre coeur, mais ça n’a pas très bien marché. Mais ne vous en faites pas. Il le sait. Maintenant, si c’est vrai, agitez la main comme ceci. Personne ne sait cela, à part vous, Dieu et moi. Comment aurais-je su ce pour quoi vous étiez en train de prier? Vous devez croire. Vous devez avoir la foi. Ne doutez pas.
Cette dame de couleur assise là à côté de vous, qui vient de Portland, oui; croyez-vous de tout votre coeur? Madame Beck, vous pouvez–vous pouvez rentrer chez vous et être aussi en bonne santé. Jésus-Christ vous a guérie. Amen.
79 Croyez-vous qu’il y a quelque chose de réel ici ce soir? Qui est-ce? Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Ne croyez-vous pas cela? Eh bien, si vous voulez être un vrai chrétien, croyez-moi. Comment pourrais-je me tenir ici? Comment le Saint-Esprit pourrait-Il oeuvrer comme ceci ici au travers–au travers d’un hypocrite? Pensez-vous que Dieu honorerait un hypocrite? Pas du tout.
J’ai assurément une idée de ce qu’Il est après vingt, trente et un ans de service, durant lesquels j’ai fait sept fois le tour du monde. Il y a assurément toutes sortes de... Dieu ne permettrait pas cela. Je vous dis la vérité, les amis. Ceci est la vérité. Et c’est la franche vérité. Eh bien, je sais que c’est juste maintenant... Je–j’ai largement dépassé le temps. J’allais... Je vous ai dit que j’appellerais ces cartes de prière. Mais il est presque 22 heures. Je–je ne sais pas par où passe le temps. Je suis désolé de vous garder comme ceci. Je vous ai promis que je ne le ferais pas. J’essaie d’ôter ceci de...?...
80 Je vous assure, le Dieu du Ciel sait que c’est la vérité. Cet Ange de Dieu que vous voyez sur cette photo est à l’instant même juste ici à l’estrade. C’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Voyez quelque chose de réel. Croyez cela. Si je dois me tenir ici demain après-midi jusqu’au coucher du soleil, jusqu’à 22 heures demain soir, je prierai pour tout celui qui le désire et qui a une carte de prière, si vous ne me laissez pas vous garder trop longtemps ce soir.
Je me demande une chose. J’allais vous poser une question. Chacun d’entre vous qui sait qu’il n’est pas autant–autant chrétien que l’était cette mère... que cette biche était une mère, alors que vous voyez quelque chose ici juste devant vous... J’ai vu quelque chose arriver encore juste là, cette femme qui est assise juste là.
Voici cet homme qui souffre de la prostate, il se lève pendant la nuit. Que Dieu vous bénisse, frère; c’est terminé. Maintenant, ça tourbillonne partout, cela va partout. Quand je... Quand cet incroyant a vu quelque chose de réel, il était prêt à se repentir sur-le-champ.
81 Je me demande ce soir si nous ne pourrions pas avoir un véritable service de consécration maintenant même. Permettez-moi d’abord de prier pour vous, là où vous êtes assis. Permettez-moi de prier sur ces mouchoirs. Inclinons la tête.
Père céleste, je pose les mains sur ces mouchoirs. Bénis-les...?... Au Nom de Jésus-Christ, Ton Fils. Ô Dieu, veille sur ces mouchoirs. Et, Père céleste, beaucoup de malades sont là dans l’assistance. Plusieurs prient pour leurs bien-aimés. Je peux le sentir, le voir. Ils voient que quelque chose est en train de se passer, Seigneur. Je deviens faible, constamment plus faible. Je Te prie, ô Dieu, de m’aider. Aide-moi à présent à offrir la prière de la foi pour eux, ô Dieu. Ils sont assis ici et ils ont supporté la chaleur; beaucoup d’entre eux ont traversé des difficultés. Ne–ne permets pas qu’ils manquent la chose ce soir, ô Dieu. Tu–Tu–Tu es ici pour le faire. Que–qu’ils voient que c’est réel.
82 Dieu notre Père, un jour un petit garçon faisait paître les brebis de son père. Nous le connaissons sous le nom de David. Il s’intéressait aux brebis de son père. Il avait reçu la responsabilité de ces brebis, et il devait veiller sur elles. Aucune d’entre elles ne devait se perdre. Et un lion est venu et en a enlevé une. Le petit David n’avait pas une carabine magnum. Il n’avait qu’une fronde, mais il avait foi en Toi. Il s’est avancé. Il a récupéré cette petite brebis que ce lion avait ravie. Il a tué le lion, et il a ramené la brebis dans les verts pâturages ombragés, et il l’a mise près des eaux paisibles; en effet, c’était la brebis de son père. Et, Cher Père céleste, ce soir des maladies comme les troubles cardiaques, le cancer, la tuberculose, des infirmités, ces démons qui sont des lions sont venus et ont enlevé certaines de Tes brebis, ils les traînent dehors. Ils se sont traînés dans les cabinets de tous les médecins et dans toutes les cliniques. Ils les traînent dehors. Je suis en train de les poursuivre ce soir, Seigneur. Je n’ai rien que cette petite fronde de la prière. Mais Tu as promis: «La prière de la foi sauvera le malade.» Ils sont Tes brebis, et je vais après elles. Satan, tu vas devoir les lâcher. Je les ramène ce soir par la prière de la foi. Lâche-les et laisse-les tranquilles. Je les réclame pour le Seigneur Dieu. Au Nom de Son Fils Jésus-Christ, que ton emprise de l’incrédulité sur toute cette salle soit brisée et que chacun d’eux soit guéri. Accorde-le, ô Père, dans le précieux Nom de Jésus.
83 Ne doutez pas de cela; croyez. Croyez-vous? Levez la main et dites: «Je crois, Frère Branham. Je crois.» Si Dieu peut se tenir ici et utiliser pour ce... N’est-ce pas qu’Il a dit aussi: «La prière de la foi sauvera–sauvera le malade»? Vous l’avez utilisée de toutes les manières.
Maintenant, combien ici qui ne connaissent pas Dieu désirent devenir chrétiens? Levez la main. Dites tout simplement: «Je veux lever la main, Frère Branham. Je désire devenir chrétien.» Combien de membres d’églises y a-t-il ici, qui savent réellement qu’ils ne vivent pas tel qu’ils le devraient, qu’il y a des choses que vous ne comprenez tout simplement pas, vous êtes–vous êtes tout embrouillé, vous ne savez que faire, et vous aimeriez réellement être un vrai chrétien? Levez la main, dites: «Priez pour moi, Frère Branham.» Que Dieu vous bénisse. Pendant que nous chantons un cantique, si notre organiste veut bien nous donner un accord: «Je L’aime, je L’aime, parce qu’Il m’aima le premier.»
84 Je me demande... Tous ceux qui croient que Dieu écoutera ma prière, et ont besoin de Dieu pour cela, ne voudriez-vous pas venir et dire: «J’abandonne ma vie, mon âme... Je vois quelque chose de réel, quelque chose de réel qui sort de la Bible. Et je viens ce soir me tenir autour de l’autel. Je viens pour prendre position maintenant même. Et dès aujourd’hui, je dis la vérité, je Lui consacrerai ma vie. Je serai un meilleur membre de mon église. Je serai un chrétien plus consacré. Dès ce moment j’abandonne tout ce qui est du monde. Par la grâce de Dieu, je vais être dès ce moment un vrai chrétien. Je m’approche, Frère Branham, pour me tenir ici. Je désire que vous priiez pour moi.» Voulez-vous bien venir pendant que nous chantons? Venez. Levez-vous carrément et venez. Que Dieu vous bénisse, ce... Qui que vous soyez, venez carrément maintenant. C’est ça. La consécration, c’est ce qu’il nous faut.
Je L’aime (L’aimez-vous réellement? Votre âme représente-t-elle tout pour vous maintenant?)... L’aime...
Parce que... (Je désire essayer de vous serrer la main...?...)
[Frère Branham serre la main à ceux qui se sont approchés de l’autel et il s’éloigne du microphone, ses paroles sont indistinctes.–N.D.E.]... l’autel ensemble...
85 Ne voulez-vous pas venir consacrer votre vie? Si vous êtes un chrétien, mais que vous ne viviez pas dans la victoire comme vous le devriez, vous savez que si Jésus venait ce soir, vous ne seriez pas prêt pour aller. Vous auriez peur. Il y aurait quelque chose de faux. Si vous rentriez chez vous, et qu’en descendant la rue, vous sentiez votre coeur s’arrêter... Et le médecin, après avoir examiné votre pouls, dit: «Oh! oh! je ne peux rien faire. Il est mort.» Qu’arriverait-il si un accident survenait et que le sang commençait à couler, et que vous sentiez votre coeur frémir; que vous étiez sous une voiture, coincé... Oh! vous souhaiteriez être venu. Ce serait trop tard à ce moment-là. Venez maintenant. Ne courrez pas du tout le risque, les amis. Venez.
86 Maintenant, permettez-moi de vous le dire, vous ne verrez plus jamais rien de plus réel de la part de Dieu jusqu’à ce que vous voyiez Jésus face à face, car c’est exactement ce qu’Il a fait quand Il était ici. Et Il ferait de nouveau cela, s’Il se tenait ici, alors que ce jour passe. Ne voulez-vous pas venir?
Je... aime (Que tout le monde chante. Levons les mains), je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur le bois du Calvaire.
Un de ces jours, vous désirerez qu’Il dise: «C’est bien fait, Mon bon et fidèle serviteur. Celui qui confessera son péché...»
«Mais si j’avais conçu l’iniquité dans mon coeur, alors Dieu n’aurait pas exaucé ma prière», a dit David. Qu’est-ce que l’iniquité? L’iniquité c’est quelque chose dont vous êtes conscient que vous faites, mais que vous ne devriez pas faire, et dont vous ne voulez toujours pas vous repentir. Si j’avais conçu l’iniquité dans mon coeur, sachant que je devrais faire la chose, mais ne la fais pas, alors Dieu a promis, la Bible promet que Dieu n’exaucerait pas votre prière, si vous saviez que vous devriez faire la chose mais que vous ne le faisiez pas. Est-ce juste, frères? Est-ce juste, frères ministres? C’est vrai, si j’avais conçu l’iniquité...
87 Maintenant, si vous êtes membre de ces églises, que vous dites: «Eh bien, voilà mon pasteur qui se tient là. Il croit que je suis un chrétien», c’est juste, venez vous consacrer de nouveau. Votre pasteur en sera heureux. Certainement. Il sera heureux de le savoir. Il connaît la vraie sincérité, le désir de votre coeur est de faire ce qui est juste. J’ai... Si c’était mon église, certainement que je serais heureux. Et vous êtes mon église. Le monde entier est ma paroisse. Vous êtes donc mon église, et je serais heureux de cela. Consacrez votre vie pendant que nous chantons encore une fois. Ensuite nous allons prier. Venez maintenant.
Je L’aime (...?... L’aime.), je L’aime
Parce qu’Il m’aima le premier
Et acquit mon salut
Sur... du Calvaire.
[Frère Branham se met à fredonner Je L’aime.–N.D.E.]
Inclinons la tête maintenant pendant que nous fredonnons. Je vais descendre maintenant parmi les gens qui sont ici. Que tout le monde soit en prière. Maintenant, venez ici. Maintenant, la seule chose que vous puissiez faire est de confesser du fond de votre coeur, de confesser votre tort et de croire.
88 Maintenant, Dieu vous a vu venir ici. Il est infini. Il connaît toute chose. Et Il vous a vu venir ici. C’est Lui qui vous a parlé. Il connaissait votre coeur. Il a parlé et vous vous êtes avancé. Il vous voit maintenant même. Confessez votre tort, dites: «Ô Dieu, je regrette d’avoir fait cela. Aide-moi ce soir, Seigneur; je désire vivre pour Toi. Par Ta grâce, je Te serai fidèle jusqu’à la fin du monde. Je serai Ton serviteur.» Maintenant, que tout le monde dans l’assistance s’incline et prie.
Ô Dieu notre Père, nous nous approchons de Ton Trône de grâce. Ce soir, quelques–un grand groupe de gens est debout autour de cet autel. Beaucoup d’entre eux sont membres des églises. Certains n’ont peut-être jamais encore fait de confession. D’autres l’ont fait et ont failli. Mais, ô Dieu, je sais que Tu as confiance dans l’homme qui, en essayant, échoue, et qui est donc assez courageux pour se relever et essayer de nouveau. Ô Dieu, je Te prie d’exaucer chacune de leurs requêtes. Ils se tiennent ici maintenant, la tête inclinée, le coeur incliné. Ils croient en Toi. Tu es leur Dieu. Ils confessent leur tort, et ils–ils veulent être en ordre, Seigneur. Ils veulent que toute incrédulité soit ôtée d’eux. Que leur petit péché qui les enveloppe et qui les trouble si facilement soit ôté d’eux ce soir pour ne plus jamais revenir.
89 Je plaide pour chacun d’eux. Tu les as vus quand ils se sont levés de leur siège, quand ils sont descendus du balcon et qu’ils ont quitté les allées. Vous dites: «Eh bien, cela... Je pourrais me tenir là derrière et faire autant.» Ô Dieu, l’appel à l’autel, c’était pour venir ici, et cela a montré qu’ils n’avaient pas honte de reconnaître leur tort. Et ils sont venus, en confessant devant Dieu et les saints anges, en confessant devant leur semblable qu’ils avaient tort et qu’ils désirent être en ordre. Lorsqu’ils se sont avancés ici, ils... Le fait qu’ils se sont eux-mêmes avancés ici, c’était là leur confession.
Maintenant, Tu as promis qu’ils seraient pardonnés, et je sais qu’ils le sont, Seigneur. Et je Te les confie maintenant, en tant que Ton serviteur, par un mot de prière, croyant et sentant dans mon coeur que le Glorieux Saint-Esprit est bien content de ce qu’ils ont fait.
90 Et je prie, ô Dieu, qu’ils vivent une vie victorieuse tout le reste de leurs jours, que le reste de leurs jours soit plein de victoires. Que Satan, que la maladie les quitte. Que rien ne puisse les déranger. Et puissent-ils Te servir tous les jours de leur vie. Et un jour, si Tu tardes, et qu’ils arrivent à l’heure de la mort, et que le vent froid commence à souffler à leur chevet ou plutôt que les vapeurs froides du Jourdain envahissent leur visage, nous serons certains que le vieux bateau de Sion fera retentir son sifflet et viendra prendre ce pèlerin pour l’amener de l’autre côté de la rivière. Accorde-le, Seigneur. Qu’il le fasse arriver en sécurité dans le–le Pays promis.
Donne-leur la Vie Eternelle, Seigneur, ressuscite-les au dernier jour. Accorde-le, Seigneur. Que chacun de ces membres d’église aille demain à son église avec un visage brillant et un témoignage à la gloire de Dieu, à savoir qu’ils ont trouvé une nouvelle Ancre ce soir et qu’ils sont maintenant des chrétiens consacrés à Ton service. Je Te les confie par cette prière, au Nom de Jésus. Et, ô Seigneur, si j’ai trouvé grâce à Tes yeux, prends chacun d’eux. Je Te les confie de tout mon coeur, au Nom de Jésus.
91 Maintenant, ceux qui sont ici autour de l’autel, qui se sont approchés pour faire leur confession, à savoir qu’ils ont tort, et qui croient que Dieu leur pardonne, je désire que vous leviez les mains comme cela. Levez les mains, dites: «Je sens dans mon coeur que Dieu m’a pardonné. Et je promets, dès ce soir, que je servirai mieux Dieu le reste de mes jours.»
Maintenant, je désire que vous vous tourniez juste vers l’assistance. Tournez-vous carrément, vous tous qui êtes à l’autel. Tournez-vous juste vers l’assistance, carrément comme ceci. Maintenant, levez de nouveau les mains vers l’assistance et dites: «Priez pour moi.» Dites-le avec moi: «Priez pour moi.» Tous ceux... Que ceux qui se tiennent ici répètent après moi: «Priez pour moi [Ceux qui sont à l’autel répètent après frère Branham.–N.D.E.] afin que je sois toujours fidèle à Dieu. Je suis certain, frère et soeur, que je servirai Dieu, et je désire vos prières.»
92 Maintenant, vous tous là-bas qui voulez faire cela, levez les mains vers eux, et dites: «Mon frère et ma soeur [L’assemblée répète après frère Branham.–N.D.E.], je promets de prier pour vous et de vous soutenir: mon amour et ma loyauté, en tant que mon frère et ma soeur. Ô Dieu, aide-moi à le faire.» Amen. Maintenant, nous tous avec les mains levées vers Dieu...
Je L’aime, je L’aime...
[Frère Branham parle au pasteur.–N.D.E.] Très bien, pasteur. N’oubliez pas les services de demain (Je suis désolé d’être en retard), dites-leur que je m’occuperai de chacun d’eux demain soir, même s’il faut que je reste jusqu’à minuit.
E-1 Thank you, Brother Borders. Let us bow our heads just a moment now for prayer. If we have any requests let's raise our hands to God and quietly in our hearts say, "God, remember me."
Our heavenly Father, we have assembled tonight again, one more day closer to that great time when You'll pull time into eternity. We've had the privilege of living today, and seeing (many of us), and hearing, and having our senses feeling the Spirit of God in our heart. We're grateful for it. Tonight just before the meeting, hearts has been warmed and the hands has gone up. Expectation tonight is great, Father. Help us now to receive what we ask for. I ask that You'll magnify your Son, Christ, before the audience tonight. In the Name of Jesus Christ I ask it. Amen. You may be seated.
E-2 You're such a nice audience, and so nice to talk to, I've been talking too long, keeping you too late. Tomorrow afternoon is our closing service. I truly believe the Holy Spirit has proved to us that He's here. Now, let's push everything we can now. Prayer... And be ready, whatever He has for us, that we will receive it.
Now, there's many visitors here. There's some here from other parts of the country. And now, in the morning attend Sunday school. These men here are servants of Christ. They're people who believe in this same ministry that I preach. They're ministers, fellow workers, citizens of the Kingdom of God. They have churches here. They'd be glad to have you tomorrow morning to attend their churches, each one.
E-3 And you know... I guess they've made that statement, but I always say this: It's a sin to send your children to Sunday school. How many knows that? It's a sin to send your children to Sunday school; you have to take them. So be sure to do that. Go with your children tomorrow to Sunday school. These men perhaps have their church organized in good situation to take care of any age, and all the young and old and what alike. You'll hear the Word of the Lord.
And I pray that each one of their churches tomorrow will be so filled with the Holy Spirit till signs, wonders, miracles and things will take place in their church, and there'll be a great glory and honor given to our Lord Jesus Christ. I trust it with all my heart.
E-4 Now, quickly, to get right into the message for tonight. And I want to be sure now, tomorrow afternoon... I think it's two o'clock, or two thirty or something. And how many prayer cards... Do we have many prayer cards out? We got to make these... You know, we got to pray for them. Every person gets a prayer card gets prayed for. And they'll be giving out prayer cards tomorrow afternoon about an, oh, a while before the service starts. I'd say at least forty-five minutes, so they won't interfere with the--with the evening or the afternoon service. So the boy will be here, and he will have someone with him to help, and they'll be giving out the prayer cards about, maybe a half hour anyhow, or maybe a little more, for anybody that wants a prayer card. And we'll pray for every one we can.
E-5 I been trying awfully hard, but, with my hand on the Bible tonight... And there's people here with me who knows that these meetings up and down the coast has been test meetings. I'm leaving for the mission fields. If ever I come back again, it'll be a different kind of service from what I've held. I'll be praying for the sick alone. See? I... It... The discernment don't go with the people of America. The intellectual people, they don't see it. One of those things can happen in Africa and twenty and thirty thousand will rush to the altar at once.
E-6 But we are somewhat like... A lady was noticed in our country in a ten cent store not long ago. She was trying to show a little boy everything that ought to attract a little boy's attention. And after while, she'd pick up little bells and jingle it. And he'd just stare, just look right out. And finally the lady got so overcome, she just fell across the counter.
Some of the people standing there walked up to her and wanted to know what was the matter. She was crying. She said, "It's my little boy." She said, "Some time ago he just set--started setting, staring." And said, "Nothing that should attract a little boy of his age never attracts him anymore. He just stares in space."
That's about the way the church has got. God has shook every spiritual gift that can be shook, that's mentioned in the Bible, before them; and they just stare. Well, I guess it's all right, perhaps. I guess it's so.
E-7 Reminds me of an old poet in English, an English poet. I forget his name. He was writing... Always he loved the sea, but he'd never saw it. So one day he was going down to the sea, and he met an old sailor coming from the sea. And he said, "Where goest thou, my good man?"
He said, "I go to the sea." Said, "I've wrote of it, but I've never seen it." Said, "I long to smell its briny waves. I'd like to see the white caps as they break, hear the sea gulls as they fly."
And the old salt, the sailor, with beard on his face, pulled out his corn cob pipe and spit. He said, "I was borned on it sixty years ago. I've been there ever since. I don't see nothing so thrilling about it."
What is it? He'd saw it so much till it become common to him. That's what's the matter with us Pentecostal people. We've seen so much of the glory of God until It's become common to us. It doesn't stir us no more.
E-8 I have tried so hard. This is my closing American meeting. I was definitely, felt to come here to this country. I took this fine bunch of men the other morning to breakfast, and never met such a fine bunch of men, any better men in my life, real Spirit men, hearts full of love for their people. They're pastors, shepherds.
You don't know the fight that these men has fought to bring this meeting here. That's right. But they want it before their people. They're interested in their people growing in the grace of God, and they're trying to get them to know more about God. And when they hear of something of God, examine it and think it's right, they bring it before the people regardless of what the price is to pay. I got honor and respect for such men. That's right.
And we've had laying on hands in meetings. We've had that since, years and years and years and years. John Wesley prayed for the sick. Calvin, Knox, Spurgeon, all down through, they've prayed for the sick and laid hands on the sick. In come the Pentecostal with speaking with tongues, and interpretations, and so forth and on; but never have we ever seen what the Holy Spirit's doing for us right now. See?
E-9 And that's what I'm trying to get to the people: that you don't have to wait till some special gift comes through the country. Christ is ever present with His church. What if you're laying out here on the road bleeding to death in an accident? Then you say, "I have to send and get Brother Branham, Brother Roberts, or somebody come pray for me?" Christ is right there, ever present. See? That's what I'm trying to get the people to see. But after trip after trip across the nation it still remains the same.
And so far as I know, unless Almighty God reveals to me to do different, this will be my last meeting in America in the United States, under discernment. I will always preach and pray for the sick. When I go into other countries I'll use that. Because you never know--never will know what that does to me. It weakens me. One vision will tear me up longer than--more than standing here for three hours preaching. And I do it, relaxing myself to find what will take place, and it's--it just doesn't take, that's all.
E-10 I stood in South Africa one afternoon, with between about--around two hundred thousand people, a platform something similar to this built for a race track. They had to build it on the other side of the race track. Stood up there... No way of giving out prayer cards, there was just thousands times thousands. We had no one...
I had some missionaries, "Go down and get one person out of your tribes that you're preaching to. They lined up a group of people. The first come across the platform was a Mohammedan woman, red dot on her forehead, as you know, thoroughbred Mohammedan.
And I said, "What did you come to me for? You're a Mohammedan."
She said, "I am."
I said, "Why did you come to me, as a Christian?"
She said, "Because I think you can help me." Spoke pretty well, English...
And I said, "Did you ever read the New Testament?"
She said, "I have."
And I said, "Then you seen what I've just got through speaking about, that what He was, the same yesterday..."
She said, "Yes, sir."
I said, "Then if the Holy Spirit will reveal to you, then you'll know that your Mohammedan prophet cannot do that. He's dead and buried. But Christ the Son of God has raised again and living forevermore."
She said, "If He can reveal like He did in the New Testament there, as it says, I'll accept Him as my Saviour."
And when... I said... Looked at her again, I said, "You have a cyst on the womb. Your husband's setting right out there--is a tall thin man. But you was with a doctor a few days ago, with a black mustache, heavyset, wearing a gray suit. And he examined you by the female organ, and said on the ovary you have a cyst."
She said, "I accept Jesus Christ as my personal Saviour," and ten thousand Mohammedans come to Christ at that moment.
E-11 Before I went over I spoke in a Kiwanis Club, and some ministers was present. And they was talking about one man there. He'd been there twenty years, and said, "That precious jewel." He'd turned one Mohammedan. Then they told me that I was crazy. And what they call crazy, and what they call psychology and mental telepathy, or a evil spirit, or something, turned more Mohammedans to Christ in one five-minutes time than all the intellectual tracts and everything that's been passed in a hundred and fifty years. See, there you are.
E-12 Next come on the platform was a little cross-eyed boy. While looking at him, I said, "Now, I don't have any power to uncross his eyes. You know I don't. I'm just a man; look at the little fellow." And I said, "But now, as far as his life..." looking at him...
And so then, while I was speaking, the little boy... I said, "He come from a--from a Christian home, because in his hut, as you go in the door, there's a picture of Christ hanging on his right side of the door as you go in. His mother and father are Zulus, but he is... They're rather thin, tall people." And they stood up, way back, maybe a city block back, and that was right. And I said, "Now, the mother... She showed the father as soon as the baby's eyes was opened, he was born cross-eyed."
I looked back and the little fellow was standing there, his little belly out, no clothes at all. And there he stood there, looking like that at me. And when I looked back his eyes was straight as mine. I said, "Anyone sees his eyes is straight," passed him on through.
E-13 How many ever heard of Dr. F. F. Bosworth, old Brother Bosworth? One of the godliest old man I ever met in my life, there he was, standing on the platform. I heard him trying... How many ever knowed Ern Baxter? A real theologian, a brother in Christ, was standing there along.
And a British doctor was disputing... Come up there and said, "What'd you do to that baby? Did you hypnotize him?"
And I said, "And then the British government give you license to practice medicine, and know no more about hypnotism than that? If hypnotism will straighten a baby's eyes that's crossed, you doctors better practice hypnotism."
Said, "Well, Mr. Branham, I put the baby on the platform down there, and the baby's eyes were crossed. And here he's standing here," under his hand. Says, "His eyes are straight. Something happened between there and here."
And I said, "Yes, he met Christ."
E-14 Now, he said... A great big lily... Some of you ladies like lilies. Some of them lilies there are eighteen inches across; and there the big bouquets of them across the platform. I... He said, "I know God's in that flower. I'm taught to believe that. It's life. We can't produce it; that's true." But said, "Is He tangible enough to make that boy's eyes come uncrossed?"
Mr. Bosworth put his hands on him, said, "Sir, you're going to cause a riot. Look out in there now." Said, "You're taking up too much time while Brother's under anointing. We'll have to ask you to leave."
And he said, "Just a minute. Mr. Branham, what happened to that boy? Is Jesus Christ tangible enough to uncross them eyes?"
I said, "You'll have to take my word. He was standing right there. I haven't even touched him. The--the faith of that father and mother out there, and this child... His eyes are straight."
He pushed everybody back, and walked up to the platform, held up his hands and said, "Then I accept Christ as my personal Saviour."
And when I was leaving--about twenty-five or thirty thousand out at the airplane waving good-bye, this little fellow jumped over their lines that was there, and run out there, hugged me around the neck, and begin to speak in tongues. And he said, "I've left. Now, I'm going to be a medical missionary to the natives back in there under the Pentecostal setup." Oh, my.
E-15 That afternoon, when standing there (just one more case--I won't have time to tell it), but when that happened, I said, "How many of you want to receive Christ as personal Saviour? I want you to raise your hand." Thirty thousand stood, thirty thousand blanket natives, didn't know which was right and left hand, women standing there with no clothes on, just a clout four inches wide, beads.
And someone said, "I believe they meant physical healing."
I said, "I did not mean physical healing. Are you convinced that the Bible that I've just told you what He was, is the God that's doing this?" Every one of them raised their hands up. I said, "If you're sincere, break your idol on the ground." It was like a dust storm, like that. And thirty thousand blanket natives received Christ as their Saviour at one time.
E-16 And the next morning Miss... Sidney Smith, the mayor of Durban, South Africa, called me up and said, "Go to your window that faces the seashore right quick. You'll see something you've never seen." And there come seventeen truck loads, big vans (and they're as long as from here to where it says "Exit" over there) just full of... I made one prayer, congregational prayer, for that thousands times thousands, just oceans of people. You seen the picture of it, and then... (That's transposition in this thing.) And when you--when you look there...
And I looked out there, and they was laying out there and I just stood and raised my hand, and made one little prayer of about five minutes, over every one of them and said, "If you believe that that Spirit that knows the secrets of the heart is the God of the Bible, then accept your healing." And the next day I looked out the window, and seventeen of those big van loads coming down, and those natives that was laying in those things that they were packing them in, and clubs, and wheelchairs, and stretchers and everything else, was walking behind this, singing, "All things are possible, only believe."
Dr. F. F. Bosworth's one of the most honest men I ever seen. He would never... He'd underestimate instead of overestimate. He said, "Brother Branham, when I seen that massive thing take place," said, "I could say with my hand on the Bible that I underestimate twenty-five thousand outstanding miracles took place at one time."
E-17 And we turn our heads, and walk away, and say, "Well, guess it was all right." They'll raise and condemn us. That's right. That's right. You're my people. I'm Anglo-Saxon. You're--you're my people. You're the one that I... You're--you're like me; you're a white man. And--and I'm--I'm--I'm here to tell you... But your education has ruined you. That's exactly right. It's got you away from God. It always does. Education's the greatest enemy the Gospel ever had. I say that with all my heart. It's the greatest enemy that the Gospel ever had. It's a lot harder to deal with a educated heathen than one that's uneducated.
E-18 Let me tell you something. Right in that same place, I asked these people, I said, "Don't wait now until you go learn languages. Go, tell everybody in your tribe." I've got newspaper clippings where I forget how many loads of firearms and things that they'd stole, just in the Shangai tribe, brought them back. The mayor of--the paper of Durban packed it, that they were through with sin.
And notice. Let me say something just, not to be sacrilegious, but to be brotherly, and godly, and warningly to you. Them women standing there stark naked, with nothing but a clout on; and as--as quick as they received Christ as their Saviour, they walked away from there with their arms folded. Answer my question, somebody. If just receiving Christ will cause a--a woman that doesn't know right and left hand to realize she's naked, how can we call ourselves Christians, and constantly stripping the clothes off all the time? There's something wrong somewhere.
E-19 Let us pray. Heavenly Father, I've tried hard. I've done all I know. The rest is to You, Father. I--I just... I pray You help us now as we read Your Word, as we speak. Whatever You've called, You surely... It will come. I commit it all to You, with myself, these few words that's laying here before me. And I pray that You'll sanctify it to honor You.
I'm sorry I'm holding Your people too late. And I pray, Father, knowing that the revival's over, and people weary easy, I--I'm sorry if I have done anything wrong. And I pray that You'll help me tonight and let us see Thy Word once more in Its Light. Then heal the sick and save the lost. We commit it to You in Jesus' Name. Amen.
E-20 Saint Matthew 12, begin with the--at the 38th verse. You're--you're so nice I just hate to--I hate to have to squeeze myself. See? And we're used to revival time, when we preach all night, pray all night, night after night (See?), all the time, going constantly. When a revival breaks, it's just day and night, day and night. I don't mind you missing a day's work. That's all right. But I don't want you to miss Sunday school in the morning. Don't--don't miss Sunday school. If you have to miss a day's work, I won't feel too bad about that, 'cause all them things are perishable anyhow. But don't miss Sunday school. I'll let you out early so you can go to Sunday school.
38th verse of Matthew 12:
And there were certain of the scribes... of the Pharisees answered, saying, Master, we would see a sign from thee.
But he answered and said unto them, An evil and an adulterous generation seeks after... signs; and there shall be no sign given unto it, but the sign of the prophet Jonas:
For as Jonas was three days and three nights in the whale's belly; so shall the Son of man be three days and three nights in the heart of the earth.
And the men of Nineveh shall rise in judgment with this generation, and shall condemn it: because they repented at the preaching of Jonas; and. behold, a greater than Jonas is here.
The queen of the south shall rise up in the judgment with this generation, and shall condemn it: for she came from the utmost parts of the earth to hear the wisdom of Solomon; and, behold, a greater than Solomon is here.
I want to take a little text from there: "Behold, A Greater Than Solomon Is Here."
E-21 Jesus had been... (I'm setting my watch to alarm, so I know I won't be overtime tonight.) Jesus had been rebuking the cities that He'd come out of, and had done His works and signs. He had been rebuking them because they had not believed Him. If you'll read the previous chapter, the 11th chapter, and read the 12th chapter you'll see in there where those people that ought to have known the day that they were living, they did not know it. They failed to recognize it.
And instead of knowing just exactly the day and the sign that would be in His day... He even rebuked them, said, "You can discern the face of the skies, but the sign of the time you cannot discern. If you would've known Me, you would've known My day."
E-22 Now, let's just try to drink every whit of this in tonight. And I know it's different. These texts has formed different now than what maybe you've been listening to; but I want you to try to listen close tonight. See, they were--they were trying to--to have their own idea, and not Scripturally listening to Him; for He had said to them, "Why don't you search the Scriptures, for They are They which testify of Me. In Them you think you have Eternal Life and they testify of Me. And if I do not the works of My Father then don't believe Me."
They couldn't believe Him being God and yet being a man. He said, "If you can't believe Me as a man, believe the works. Let the works testify, if you can't believe Me. If they say I'm born illegitimate birth, and I have no education, I never appeared in any of your schools, and so forth; and you can't believe Me because I never come up under your doctrine or so forth; why, believe the works that I do. They testify of Me." What a rebuke to a--a people.
E-23 Now, notice all the cities He had been to. And He had been rebuking, "Capernaum, thou art exalted into heaven but shall be brought down to hell. If the mighty works had been done in you, that was done in you had been done in Sodom, it would've been standing yet today." And He begin to talk one to the other, of how that...
E-24 Somebody's sick there. If some of the brethren will take her out, and take--or pray for her. Just hold your hands on her, brethren, let me pray for her right here. Our heavenly Father, I pray for this sister. Let the power of Almighty God be upon her and deliver her, Lord. I ask this in Jesus Christ's Name. Amen.
Now, what it is, she's got real sick because of condensed around there, with the crowd setting around her. There's some man setting here, right here, looking right at me, suffering the same thing. So just... If you want to take her and walk her around, or take her out, and let her get a little air and things, then bring her back, it'll be all right.
Now, while they're doing that, you listen to what we are--are trying to say here. Now, notice. You may have to pack her, 'cause she's fainted. See?
E-25 Now, notice, Jesus said that He was rebuking those people because that they had--had done turned Him down in the things that He was doing, and they couldn't understand it. And He was telling them about it. Now, God was getting back at them, on because of their unbelief.
Now, we know this, that in every generation that's been on the earth God has always showed His gifts and signs and wonders of confirmation of His Word: always. And people are... Even in the Old Testament, in the days that Jesus was referring to here, He... Really, honestly, they depended more on the sign than they did on the theology. Because if the theology, no matter how great it seemed to be, and how right it seemed to be, if the Urim-Thummim didn't speak that it was right, it was wrong. See? They depended on the supernatural sign; but the supernatural sign just couldn't come on anything. It had to come according to the Word.
Now, that's the way we have to watch today. We have all kinds of signs, but it's got to be signs from the Word's promise--the promise of the Word to do this. And we know that in this day we can look for things that's not right. Sure we can, because Satan's throwing his whole army out there to do everything he can do to stop it. But he will never do it. The Word of God will prevail. It'll go right on. So he will never stop it. That's one thing sure.
E-26 Now, God always sent them signs, and told them to believe their prophets, and so forth, in the Bible. Then Jesus here, while He was standing there, after He had done so many things, then here comes these Pharisees up and said, "Master, we would seek a sign from you," when they had seen Him do exactly what the Bible said He would do. And yet they come back again, say, "We would seek a sign from thee."
And He looked at them, I imagine kinda discouraged and said, "A weak and an adulterous generation seek after a sign; and they shall receive no sign but the sign of Jonas (meaning Jonah, the prophet). As he was three days and three nights in the whale's belly, so must the Son of man be three days and three nights in the heart of the earth." Now, I want you... Now, watch what kind of a generation would seek for this sign: a weak, wicked, unbelieving, adulterous generation.
E-27 How many knows (and theologians and Scripture readers that knows) that always the Bible has a compound answer? It always answers and answers again. It repeats itself. It can never die. It's the eternal Word of God. And here in Matthew the--the 3rd chapter, He said here; He said, "Out of Egypt I... it might be fulfilled which was spoke of the prophet, 'Out of Egypt I've call My son.'" Run your marginal reading and find out what that was. It was Jacob His son; but it also referred to Christ His Son. It always has a compound answer.
And now, Jesus, 'course, was referring to that generation, but any wicked and unbelieving, adulterous generation... And if this wouldn't meet its qualification, this generation that we're living in today, worldwide, I don't know what did. We're living in the time of one of the most unbelieving, adulterous generations that there ever known.
E-28 I picked up a paper as I flew over Hollywood here not long ago, or Los Angeles, and was reading where that seventy-four major crimes was committed every night, major crimes, in one city, Los Angeles. I was reading in a Chicago paper not long ago where three--twenty-five thousand abortion cases was recognized in the city of Chicago per month. Think of it. And where homosexual on this west coast had increased thirty percent since last year... Think of it. A adulterous generation...
Oh, if we just had till about two o'clock in the morning to dig into that: wickedness, adulterous generation. That would be the kind, and they would get it. What was it? The sign of the resurrection. Now, where are we at?
E-29 "As Jonah was in the belly of the whale, the Son of man will be in the heart of the earth." Many people today think He's still there; but He's not dead. He's risen from the dead and's here with us now, appearing among us, proving Himself, up and down the coast, around the world everywhere, that He lives. And the wicked and an adulterous generation sees a sign that Jesus Christ is alive and not dead. A wicked and an adulterous generation will seek after a sign, and they'll get it: the sign of the resurrection. Let it soak real deep now. Study hard.
While you're letting that soak I want to ask something about Jonah. Jonah was a prophet. Many people condemn Jonah and say, "Well, he was a old backslider. He..." He wasn't backslid. A man of God... "The steps--the footsteps of the righteous is ordered of the Lord." Do you believe that? And I don't care what the man of God does, if he's ordained of God. He might do things that he thinks is crazy to himself; but if you only watch, it works right out exactly right, if he just goes the way he's led.
E-30 Now, God told Jonah to go down to Nineveh, a city about the size of St. Louis. Wicked, oh, my, and perverted, perverse, everything was wrong with them. He said, "Go down there and cry out against them." And he went down to the ship and bought hisself a fare. Instead of going to Nineveh... Perhaps was not any ships going that way, so he just goes over to Tarshish. I do not believe that it was foolish, after I got the real revelation of it, and see what happened, and read the books on it. And I see where he was right.
And on the road out into the sea he got in trouble. And the storms come up, and they thought the ship was going to sink. And Jonah told them it was his fault; tie his hands and feet and throw him overboard. And God had prepared a whale to swallow him.
E-31 Now, some years ago, about twenty-five years ago, they brought the--the frame of a whale to Louisville, Kentucky. That's just across the river from where I live. And they had how big its mouth was, and some little professor standing there, that had more education than he had gumption to control. So he was telling all about this whale.
And he said, "Now, you've heard the old legend about the--the whale swallowing Jonah." He said, "If you'll notice, you couldn't put a baseball in his throat." Said, "It isn't no such a thing."
I--I was just too Irish to stand for that. So I said, "I'd just like to say something to you, fellow. There's one thing you missed. That whale might not be able to do it; but if you notice, God prepared this one. This was a special kind. You could've throwed the whole boat down his throat maybe." See? God prepared a fish for Jonah. See? He was a special built--built to order, to swallow the prophet. And he... And it wasn't no such a thing. People...
E-32 A--a little... This is no place to joke, but I was... A little girl had got saved, and she was going up the street hollering, "Praise the Lord," and singing, her little old hair pulled back, and her face shining like a peeled onion. She was having a glorious time.
An infidel was standing on the corner said, "What's the matter?"
Said, "I got saved down there a while ago. Praise the Lord."
Said, "What you got over your heart?"
Said, "A Bible."
Said, "I guess you believe it."
Said, "Sure I believe it."
Said, "You believe that story in there about Jonah?"
Said, "Sure I believe that story about Jonah."
He said, "You believe that--that Jonah was swallowed by a whale?"
She said, "Oh, yes. If the Bible said..." Said, "If Jonah swallowed the whale, I'd believe it." And said...
"Oh," he said, "how you going to prove it any other way but by faith?"
"Why," she said, "when I get to heaven I'm just going to walk up and talk to Jonah about it."
Said, "Then what if Jonah isn't there?"
Said, "Then you'll have to ask him." Guess that was enough. Yes. So a little child... But yet God is able.
E-33 So Jonah was throwed out of the ship, and the whale, prowling through the waters to find his food, he swallowed Jonah. And anyone knows... Like feeding your goldfish, when the little fish feeds and gets his little belly full, he goes right down to the bottom of the pitcher, where you got him in, the little vase. And he rests his little swimmers on the bottom. He's eat; he's resting. And this fish, when he swallowed this preacher, he went down to the bottom of the sea to rest. I don't know how many fathoms deep it was, but he was laying down there.
And I'd like to speak about this now. You know you--you find so many people that rely upon symptoms. "Well, I was prayed for. I got a crippled hand. I was prayed for, but... I--I really believe God, but my hand's no better." It'll never be no better as long as you look at that hand. See, you're looking at the wrong thing. You must look at his promise.
E-34 Some time ago a aged, old couple come and wanted me to come pray for their boy, was dying with black diphtheria. I didn't--couldn't go. And kept waiting, and a couple days later the old fellow said, "My boy's dying now." And finally, after service I went.
Doctor wouldn't let me go in. And he said, "No, you have children, and I can't let you go in 'cause that diphtheria's contagious." And said, "You couldn't do him no good."
Now, talking to the man, found out that he was Catholic. And I said, "If the priest was here... If that boy was Catholic, and--and this father had come and got me, and I was a priest..."
He said, That's different." He said, "You see, a priest is not married."
I said, "You'd let him go and take--give him the last rites, wouldn't you?"
He said, "Yes, but the priest is not a married man. You've got children."
I said, "If I take the responsibility on myself? I'll sign a paper. I'll take the responsibility." Finally I talked him out of it, and he dressed me up like a Ku Klux Klan with all kind of stuff on me and sent me in there where this boy was.
E-35 Now, it got in the heart, something wrong with his heart. The cardiogram showed that it was way down. It was just beating so many times per minute. And the old mother and father stood there by the side of the boy. I got on one side of the bed and them on the other. And a little nurse stood there watching us, fine looking little lady of about, oh, I guess, twenty-five years old. And so I put my hands upon the boy, and prayed, and just asked a common prayer.
And when I said, "Amen," the old father grabbed the mother and begin to hug her, and him--hug each other. They said, "Oh, Mother, isn't it wonderful? Isn't it wonderful? Thank you, Lord Jesus, for healing our boy."
The boy was just as bad as he ever was, and they just wiped the tears from each others' eyes and just praised God. And that little nurse, standing there, she couldn't understand that. And she said. "Sir, it's all right, I guess." Said, "I don't belong to your religion, but--your kind of religion." She said, "But I want to ask you something. How can you act like that, you, and the mother of this child act like that, and that boy laying there dying?"
He said, "Madam, the boy's not dying."
"Why," she said, "he's been in a coma for three days."
E-36 And some kind of a machine there showed that this hand ever dropped that far, never in medical history did it ever come back again. The old father (I'll never forget it) wiped his eyes, and walked over, and put his hands on that young woman's shoulder. He said, "Child," he said, "you're taught to look at that machine. And that's all you know about, is watch that machine." Said, "That--that's... All that machine knows is tell what's going on here. That's true." Said, "You're looking at that machine. But I'm looking at a promise that God made."
Depends on what you're looking at. That boy's married and got two children. See, it just goes to show. See? He laid like that another two or three days, but he come right out and got well. See, it just goes to show what you're looking at. You've got to see what you're looking at. Don't look at your symptoms.
E-37 If anybody had symptoms, Jonah had it. Now, remember, he was in the belly of the whale. Let's say he was twenty fathoms deep out there in the ocean, his hands tied behind him, his feet tied, and in the belly of the whale, laying in the vomit of the whale in its belly, seaweeds all around his neck. Now, that's really some symptoms. He would look this a way, it was whale's belly; that way was whale's belly; everywhere he looked was whale's belly. Now, that's really symptoms. There isn't any of you that bad off tonight, I'm sure (That's right.), not that bad off. Everywhere he looked it was a whale's belly.
But you know what he said? "They are lying vanities. I won't believe them." What did he say? "Once more will I look to Your holy temple," turned over on his back, and faced, the best he could, towards the temple.
Why? When Solomon dedicated that temple, he prayed that day. When the Pillar of Fire come in and went down behind the holiest of holies, Solomon prayed, and said, "Lord, if Your people be in trouble anywhere, and look towards this holy place, then hear from heaven." And he believed it.
And God did something. I don't know what He done. He might've put a oxygen tank in that whale's belly. I don't know what He done. He kept him alive for three days and nights, and delivered him at his course, where he was supposed to go.
E-38 And if Jonah, under those circumstances, could believe in a prayer that was made by a man that later backslid because of women, as Solomon; and believed on a temple that was built with the hands of men, how much more ought we tonight look to Christ, Who's setting at the right hand of God, with His own Blood making intercession upon our confessions? How we ought to believe it. "Nothing, no symptoms, standing in the way, I'm looking towards God's promise that He said He would do it." That's the only thing. Look at that. There he was.
E-39 I read a story on it one time. All the people of Nineveh was heathens. Heathens usually worship animals and life. Way down there in south America, I noticed them doing a kangaroo dance. They had a dance, some kind of a party, and they all danced just like the kangaroo, 'cause that's... Everything they'd ever seen is the kangaroo. So they was going to eat the kangaroo directly, and they throwed him on the fire and singed him a little. Oh, how they done it, I don't know. I wasn't hungry. So then, anyhow, the way they was dancing is like the kangaroo dance. That's the way they...
And you see them come through Africa. They got all kinds of little funny-looking things of animals, sprinkled with blood. Well, that's what they believe to be God.
And now, we find out that these people down there in Nineveh also worshipped idols, and their sea god was a whale. So all the men, the occupation being by the sea, they were fishermen: the main occupation. And it was a great export there of fish to the world at that time.
So then, the--all the fishermen was out there about noontime one day, fishing, pulling in their nets. And all at once the god come up out of the sea, the whale god. It run up to the shore, and licked out his tongue, and the prophet come walking right off the tongue of the whale, right out on to the ground. No wonder they repented. Amen.
E-40 God knows how to do things. Yet, in its simplicity God knows how to do it. See? Jonah wasn't backslid. He was just following the leading of the Spirit. That's how to make the people repent. He said... He went right down through the city and said, "If you don't repent, in forty days this place will sink." That's all. See, how could they do anything but repent, because their--their very god spit the prophet out. And they knowed he had a message. That was their god, so they... Just spit it right out.
Our God is Christ. Amen. And He sent down the Holy Ghost. Why can't we believe it what I wonder? Here He was manifested in flesh. There He stood, and He said, "And the people of Nineveh will rise in the last day with this generation and condemn it, because they repented at the preaching of Jonah. And a greater than Jonah is here." Then ask Him for a sign...
E-41 Then He goes on to say, about then, that God through all generations spoke. Whenever God sends a gift to the earth, and the people receive it, that's a golden age for that generation. But when they reject it, it's chaos for that generation.
Now, what if tonight... If American people who claim to be a Christian nation, what if all we who claim to be Christians would accept God's gift that He sent to us, the Holy Ghost? Wouldn't it be wonderful? Why, we could quit making missiles. Why, there wouldn't be nothing in the world ever hurt us. They couldn't. We have protection. The Holy Ghost is upon us. Certainly. We wouldn't need nothing else but the Holy Ghost, if the people would just accept the gift the God sent them, and that's the Holy Spirit.
But one church will different from the other, and this one say, "Oh, there's no such thing as the Holy Ghost. That was for the disciples." And it's a gift right now. It's for the church, and now's the last days.
E-42 Why, you don't have to talk about bomb shelters. People are digging under the ground like moles, trying to get away from the atomic bomb. How you going to do it? Why, they'll blow a hole in the ground about a mile deep and for one hundred and fifty miles square. Well, if you was fifty miles below the earth, plumb below the--the lava, the shock of it would break every bone in your body. There's no way at all of escape.
Only one way. But we've got a bomb shelter. It's not made out of steel; but it's made out of feathers. Under His wings we rest. Amen. And it's not down here; it's up there. You get above it, when you sail into the--soar into His bosom. Sure. That's the escape.
E-43 Let me drop this in. (I hope my watch don't alarm too quick. But look, listen.) The people today are scared to death of communism. Shame on you. Well, what are you scared of communism? I want any theologian, any Bible scholar to show me where communism will rule the world. I tell you, Romanism's going to rule the world according to the Bible. You watch about that.
Don't watch iron curtains and bamboo curtains; but watch the purple curtain. That's the one that's going to get you. Don't you never worry about that. That... You just mark that down, and say, "Brother Branham said it," and put it in your Bible, and see if it's right.
Communism is nothing but a tool in God's hand, playing right up. Well, it won't amount to nothing. That's exactly right. Don't fear about that. That's something to throw you off of the track of looking. But Bible readers and men who love God stay with what the Bible said. Certainly. Just watch that.
E-44 Now, we won't receive God's gift in this nation, this generation. They've turned it down. The people who believe in it is called fanatics, cranks, holy-rollers, and everything else. They're despised and rejected, just what the Scripture said they would do. "Traitors, heady, high-minded, lovers of pleasure more than lovers of God, truce breakers, false accusers, incontinent, despisers of those that are good, having a form of godliness, but denying the power thereof." It's exactly what the Holy Spirit said would happen in the last days. And we're here, friends. We're here exactly.
Many other Scriptures we could tie in with it, let's go on to another thing, what Jesus said here. And as in the days of... In the days of Solomon, God sent a gift among His people. And there was one time they accepted it. They accepted Solomon, the gift of discernment. And when the discernment was upon Solomon, everybody was one heart and one accord. Every... Why, every nation feared. They didn't have no war. They--they didn't have any wars because they was afraid of Israel, not so much the nation as it was the God they were serving. They were in one heart and one accord. And they all rallied around that gift. Oh, how they all liked it, and everybody talking good...?...
E-45 Wouldn't it be wonderful if every Christian tonight in America would all go to talking about the Holy Ghost, and how wonderful it is, and go... Why, I tell you it would be... Why, wouldn't it make newspapers everywhere. And the lines would burn up just from sending the news. Oh, how wonderful it'd be. But they won't do it. See? But oh, if we could just rally around the gifts of God, the Holy Spirit.
Now, we find out that everybody in that day rallied around. And God made this man that had this gift upon him, the king. Why, you know, news scattered everywhere. The people brought in herds of sheep. They brought in cattle, and gold, and everything, and helped them. They was trying to find peace with them, is what they were trying to do, because they knowed that a living God was with a living people. And they knew that.
E-46 Now, notice what taken place. News scattered them days by... Thank God, they didn't have television; but they had lip-to-ear. And the--the caravans would come through and go somewhere, and they'd talk about it. And after while the news come way down into Sheba. Mark on your map how far that is from Jerusalem down to Sheba.
They had a queen down there, a little pagan, heathen queen. And people come by and would give testimony of what was going on up in Palestine. And "faith cometh by hearing the Word of God."
E-47 Oh, this little lady was ordained to Eternal Life. And as soon as she heard this, something caught fire in her little pagan heart. She begin to wonder about that. Next caravan come through, she couldn't hardly wait. She'd have her eunuchs to go out, and get them, and bring them in.
"Which way did you come?"
"We come from the north."
"Did you pass through Palestine?"
"Yes. Oh, I know what you're going to ask me: about their God."
"Yes, that's right. Did you see it?"
"I saw it. It's the truth. Why, they love that man so well, they made him the king; and their God, they got a supernatural God that's displaying Himself right through that man."
E-48 Now, anyone knows... I'm going to turn this off in just a minute. It's just really--really time. I... Is it all right just a minute? Anyone knows that heathen worship is... The heathen brings out the idol. A priest brings him wine. He eats to this idol. Then he gets out in the temple, prostrates himself before this idol, keeps working himself up like that, until actually he believes that he can hear that idol speaking to him. Now, that's absolutely heathen worship. You brethren know that by taking history.
Now, look how God does. He turns right back around, and don't... See, they think that the--the life, the spirit, that ought to be, that really belongs in that idol, comes in that idol and speaks back to them. Why, it was said that pagans in the old days could prostrate themselves in such a way, they claim they could hear the gods talk out of them idols.
E-49 But see how much different Christianity is, how mocker that is to it? God don't take an idol; He takes a man. And if a man will prostrate himself in the Presence of God, God puts Hisself in the man, and the man becomes the living creature that God's a living in, not a dead idol, but a man.
God never used idols. He always used man. God don't use machinery, mechanical devices. It's... He uses men, individuals. Excuse me. I didn't mean to holler that loud. Notice. I'm not excited though. I know right where I am. That's right. I just feel good.
E-50 Notice. Then this God had come down, great Jehovah, and was manifest Himself through a man, that they knowed it was more than man. There was something about him that was--was different. And the people all worshipped God, and believed God, and they built the temple. They done great things in that day.
Notice. This little queen begin to hear of it. Faith cometh by hearing. Her little heart begin to beat fast. She must go up and see it. So after while so many come through testifying, everybody telling how them people were one heart and one accord. There was no differences in them. There wasn't one walking around, say, "Aw, he don't belong to mine. He--he's a Pharisee. I don't think... I'm a Sadducee." Nothing of that. They was one heart and one accord. That's the way you have to be.
Oh, oh, if our churches could only get that way, brethren. If our churches, our differences, could just be... All right, it's all right as long as you believe, and have God, and have your--your churches, and things. But oh, let's be one accord, one man, one Onward Christian soldiers, just one unit of God marching on to victory, receiving everything that comes in the Name of the Lord: that is, the Lord's Word promised to send us. Believe it; act upon it.
E-51 Now, first thing you know, her little heart got to beating so that she just couldn't stay... She couldn't sleep at night. She just had to go see it.
There's something or other about when you ever hear about God. Man knows that he come from out of the dark curtain, somewhere beyond here. They know that when he dies, he goes back through that curtain. Where did he come from and where did he go? Man has always longed to see what was behind that curtain. Exactly. So when he sees something rise from behind that curtain, and illustrate something that's been promised from over there, it ought to thrill his heart.
E-52 Notice. So this little woman, she was--her heart begin to beat to go. Now, she had some things to do before she went. Now, the first thing she had to do was to go get permission from her church to leave to go up there. Now, that was a hard thing to go to a pagan priest. I can see him, when he--she walked up, and--and she bowed to him, and called him the (whatever she did), the holy father, or whatever it was, walked up to him, and bowed, and he bowed. And he--she was the queen of the land.
She said, "I understand through the caravans and so forth (and some of them has brought me scrolls down from up in Palestine), that they're having a great meeting up there. And there's a man up there that's been anointed by their God; and that God is acting His own Life through that man. Sir, holy one, I would like to go see."
E-53 Could you imagine him giving her permission? "We're not cooperating with that meeting up there." Oh, sure. All kinds of words could've come. "Now, if there's anything would've went on, it would've went on right here in your own church. And after all, that's just a bunch of nothing. We heard of them crossing seas and everything like that. But it's a bunch of holy-rollers, or (excuse me) fanatics, or something, you know, up there. They... There's nothing to it. Don't you believe it, nothing to it. If there's anything going to go on, it'll go on right here amongst your own church. Right here it would be. If there's anything--anything that a god would do, our god would do it."
I could see that little queen rear herself back. She'd say, "Sir, but I want to go. I want to be convinced." I like that kind of a courage. "I want to be convinced. I've got their scrolls here. I want to go to see if that Spirit that's in that man, is just exactly what these scrolls say that that God is. So then, if it is, it's that God speaking through the man."
"Now, looky here. Here's great god Dagon, here's great god so-and-so, Jupiter, the sun god, and all these others we have around here."
She'd say, "Yes, my great-great-grandmother served them; my grandmother served them, and all; my mother served them. And what have they done? They're dumb idols. I've never heard them speak a word or do a thing."
E-54 It's about like some of these dumb creeds that we're serving today, and so forth, and things that's got no more life to it... You talk--talk about a God, a God that was, and send a boy to school, and teach him to be a minister, and tell him about a historical God. What good's a historical God of yesterday if He isn't the same God today? If a God full of mercy could meet the people's needs yesterday, if He ain't the same God today, He's a poor God. He had respect of person.
What good does it do to feed your canary bird all kinds of good vitamins to make good strong wings and big heavy bones, and put him in a cage so he can't fly? Same thing as send a man away, and take all kind of schooling, and everything, and learn what one God was, and what all He did, and what all He did there; but then turn around and tell him, "the days of miracles is past, no such a-thing." That's not even intelligent to me.
E-55 So that little queen might've said, "I've heard about all them gods. I've heard about all them things. But I've never seen a move of life out of them. I've never seen one thing done to act like a god or nothing else."
"Well, let me tell you something, my daughter. If you go up there... You're our queen. You can't go amongst a bunch of people like that. Silly."
I might as well say it. It's burning me up anyhow. I was... My daughter-in-law and wife was downtown this morning, and they were buying some stuff in a store. And a lady said, "There's a lady across the street here from me, her husband has a business over here. She was up to that meeting over there the other night. And she had some kind of a something on her leg, and it was a... That man in the pulpit was telling that woman about that. And you know it left, and it thrilled her to death."
My daughter-in-law said, "That's my father-in-law." Said, "That's my father-in-law." Said, "Have you been up?"
Said, "Oh, no. I couldn't go up."
Said, "Well, why can't you go up?"
She said, "My husband is a deacon in one of the big churches here in the city. I couldn't go around a bunch of people like that."
My daughter-in-law said, "But you're welcome to come anyhow."
E-56 Then you talk about clans. Why, you holler about the Catholic. Why, you're the same thing (See?), just exactly the same. Pot can't call kettle black. You know that's right. Why, it's the same thing, exactly; because isn't one God the Father of us all?
Why would our denominations separate us? Why would some minister with some degree of college, would try to--to a keep a woman, that really needs healing in her body, that come from a place to get healed by a God that he claims he knows? That's what I wonder.
E-57 Brother, that little queen looked around at that and said, "But I've been hearing about all this; but I've never seen nothing yet."
"Well, if you go, we're going to excommunicate you."
"Well, you just might as well give me my papers now, because I'm going." See, when Christ begins to move in a heart, it's gone. That's all.
So remember she had a lot to confront her. She had a lot. Now, she lost her membership. And another thing, she said... I thought it was very good. She said, "If that thing is the truth, it's worth supporting." So she gathered up a lot of money, frankincense, gold, silver, and myrrh, and put it on the camels.
But here was her thought, I believe. "If it's the truth, I'll support it. If it isn't, I can bring my treasures right back." She could teach Pentecostal people something: supporting radio ministries out here that would make fun and laugh at the very religion that you are representing. That's right. And your own church suffering for the tithe that you would--ought to be giving them (yes, sir); just because they got some kind of a big name or something like that...
Haven't you never learned spiritual things yet? We should. That's right. We should learn to discern the spirit to see where it comes from. Now, that's not skim milk, now, if you can dissolve it.
E-58 Notice. Now, this little woman, she said, "I'll support it if it's right. If it--if it's right, it's worth everything. If it isn't right, it's no good at all." So she could bring her gifts back.
Now, remember. She had a long ways to go, and she couldn't travel... She had to cross the Sahara Desert, not in a air-conditioned Cadillac, but on the back of a camel. You know how long it takes that caravan to come from where she was to Palestine? It taken them three months: ninety days, on the back of a camel. No wonder Jesus said she'll rise in the judgment day and condemn this generation. Some people won't walk across the street to see the same thing. Right.
And another thing, remember, the sons of Ishmael was robbers in the desert. And she just had a little band of soldiers, eunuchs. How easy they could've fell in on her, and killed them little eunuchs, and taken her treasures, and gone on.
But you know, if you're determined to seek God, God will make a way for you, and there's no fear at all about nothing. You just have one achievement, one thought, one motive, one objective, and that's get to God. And if God spoke to you, you'll go. I don't care what takes place. God will make a way for you to do it, if you're really anchored and know what you're speaking of. And she did.
E-59 She got her maids together and her eunuchs and all got on the camels. And she traveled, maybe, by night; it was so hot through the desert. I can imagine in the daytime, setting up under the shade somewhere, in some little oasis under some trees, taking those scrolls and reading them to see... She wanted to know when she got there if it was Scriptural.
And when she come, she didn't come like a lot of us do here. We'll go to the meeting once. The neighbors... "I got a good neighbor lives down here. They invited us, and so we'll go over. I'll set five minutes, and if he says one thing that's contrary to what I believe, I'll get right up and walk out." That shows ignorance. That don't even show good sense. Anybody that's raised good wouldn't do a thing like that.
If I went in a Buddha temple, if I went in the temple, I'd be gentleman enough to set there till at least that meeting was over. That's right.
E-60 You talk about some of the ignorance of Kentucky; talk about that state that I come from, the ignorance of those people down there. I don't know. Sometimes I wonder.
Let one of their daughters come in of a morning with her hair all twisted up, and manicure over her face, all night long with some little Ricky with a flattop haircut. I'll tell you, she'll--she'll know the next time she goes out; get a barrel slat, or a limb off of a hickory there, and just skin her down.
And I tell you, you all talking about juvenile delinquency; there's so many papers talking about it. I think it's parent delinquency, instead...?... the old golden rule hanging with all them ten commandments hanging on it... Take a young'n out there, and shuck him down a little bit, you wouldn't have so much, saying, "Poor little Ricky. You're nice. You didn't mean to do bad, Martha." She--she needs a good beating, is what she needs.
The Bible said, "Spare the rod, you spoil your child," and that's exactly right. You'll never find nothing any better.
E-61 On my home they had the ten commandments hanging up over the door on a hickory stick about that long. And, brother, I had all ten of them across my back, and up and down my legs, pretty near every day. It done me good though.
I'll tell you, pop took me out behind the house, and I danced a little jig. But I knowed not to do it the next time, when he got through with me.
There'd be a whole lot better life, if we had some more daddies to do that today. He never struck me one lick but what I honor him tonight for it. When I looked in the casket, and seen his gray hair on the side of his head, I stood there and tears dropped upon his face. I said, "Daddy, I helped put them there. God help me." That's right. I respected my daddy. He was a daddy that would make me do right. Yes, sir. We need more like that today.
E-62 Now, she come up. She stopped in front of the--the palace. She unloaded her camels, and put her maids down there, and put up her tents. And she come to stay till she was convinced. Oh, brother, no wonder she'll condemn this generation. See? She come to stay till she was convinced. And she waited.
Now, the first morning, I can hear the trumpets sounding, the bells a ringing. And the little queen dressed herself, went in, and maybe she had to take a seat way back in the back. And everything went along fine, all the singing, and all the choir sang. Then Pastor Solomon walked out into the pulpit. And she noticed, how marvelous... Her little heart begin to burn. Well, that day, maybe at the book stand, she must've bought some books on it. She went back out that night, and she read, and she read. The next day, she... day after day...
E-63 Finally her prayer card was called. She didn't even blow up about it. She waited till her turn. And when it come to a place to when she stood before Solomon, the Bible said that there was nothing hid from Solomon but what he made known to her. Amen. Solomon, a spirit of discernment told her the secret of her heart. Jesus said that that queen will rise in the judgment and condemn that generation, 'cause a greater than Solomon was there.
Look what she said. (We're closing.) Look what she said. She said, "All that I heard was right, and more than I heard." See, the miracle had been performed on her then. See, she was from plumb down in Sheba, and he was a Jew up here. And so, he knowed nothing about her. But when she stood in his presence, he revealed all the secrets of her heart, told her the things that she wanted to know. Everything was in her heart, God made Solomon know about it.
E-64 Don't you see? That same God... How could you call it telepathy? How could you call it a devil (Oh.), when you don't realize that I stand here and know what you're thinking about out there? How can you doubt? How... What is the matter with my people? What... Can't you see that same God is the same nature, all the way down through the Bible everywhere?
And she turned around, and she said, "Blessed is the men that's with you, that stands here and can see that great gift of God working every day. How blessed are these eyes that sets and sees it."
Jesus said, "She'll raise up in the judgment and condemn this generation. For she came from the utmost parts of the world to hear the wisdom of Solomon, and a greater than Solomon is here."
And, Christian friends, look: A greater than Solomon is here. The Holy Spirit Himself is here. Christ in the form of the Holy Ghost is here with us, proving that the same--even what Solomon had, only many times greater is here today; with twenty-five hundred years of history of the same Spirit working in the church. A greater than Solomon is here.
Her heart was touched. She hadn't seen nothing before. It wasn't common to her. She knew it was right.
Let me say something here, just a moment. When people, real genuine people can see something real, it changes their opinion. That's right. And really, a lot of the world today is hungering to see what we're turning down. That's right. They want to see something real.
E-65 This little story... It might come in just handy right now. I want to say it. You... All you know that I hunt. I--I'm--I love to hunt. My mother's a, that just passed away recently, she was almost a half Indian. And I--I've hunted all my life. First thing I ever bought... I dropped sweet potato plants all day and got a quarter, bought me a steel trap, and caught a rabbit, sold the rabbit for fifteen cents, and bought me two more steel traps: started right off in the business. I was only about six years old. I've been hunting, trapping, ever since. And I go up into the north woods to hunt, used to, up there, and way up.
And I had a good hunting partner up there, and he was a dandy hunter, real good shot; and a man that you didn't have to worry about getting him lost in the woods. He knowed how to get out of there. And I used to love to hunt with him. But he was so cruel-hearted. He--he had eyes like a lizard. You know how them funny looking eyes, like women try to paint theirs today? You know, lizard-eyed like. And so she...
He was a very fine man, but he was cruel. He used to kill fawns just to make me feel bad. He just... He knowed I...
E-66 Now, it's all right to kill a fawn; that's all right. If the law lets you kill a fawn, my hunter brothers, that's all right. Abraham killed a calf and fed it to God, and God eat it. That's right. So the sex, or the size has nothing to do with it. But just to kill just for the fun of killing, that's a murderer. I don't believe in destroying things. I was seven years a game warden myself, as you know. So now, remember, always be honest and right with those things. And here was a...
He'd shoot these little fawns, and maybe not even pick them up, just to make me feel bad. Just cruel-hearted... And I tried to talk to him about God. And I'd mention God, he'd just stand there and laugh with his head back. So... But way down in him I thought there was something might be good in a man. You don't... Don't never turn a man down altogether. Just try your best, keep on. Let God do the turning down.
E-67 So I--I... One day I went up there, and it was late in the season. And them white-tailed deer, up there, my. You talk about Houdini being an escape artist, he was a amateur the side of them. And anyhow, when they been shot at, they were just--just vanished. And moonlight night, they'd feed at nighttime, and crawl under brush in the day, get back in the thicket. You never find them.
And there come a nice little snow that night, about six or eight inches, good tracking weather. And we were--took off for hunting. And we'd always carry a thermos bottle full of hot chocolate, where if we got turned around somewhere in the woods, or killed a deer, and had to walk back, or got in a snowstorm, that chocolate would help keep you alive. It's better than coffee or anything, because it's got a--a fuel to it, and a nourishment to chocolate. So I had a... We each one had a quart in our shirt and a sandwich.
And we'd walked all morning, hadn't even seen one track, and we were... Long about eleven-thirty or twelve o'clock, we come to a little opening about the size of this building here. And he--he was ahead of me, walking, and we'd usually go way up into the--above the timber lines, then we'd... He'd split, and we'd go one way and another, and walk down through. And if we got a deer, we'd hang it up. And we'd know when we come back to the base camp... We'd be back there that night, or if we wasn't, we didn't worry about one another. We'd know how to take care in the woods, and we'd be back the next day.
E-68 So then, I thought he was fixing to leave, 'cause we're getting pretty high up. And the deers usually run up the mountain when they were scared. And so then he stopped at this little place and set down. And I thought he was reaching back in his shirt to get a hold of this thermos bottle to--to eat our lunch; and then we'd separate and go back. So instead of that, he brought out this little old whistle.
He had made a little whistle that sounded just like a little baby deer crying for its mammy. You know how--you know how a fawn goes, that little funny noise. Well, he'd fixed him a whistle, sounded just exactly like that. And I said to him 'fore we left that morning; I said, "Burt, you wouldn't use that?"
He said, "Aw, you're like all the rest of the preachers. You'd never make a hunter. You're too chicken-hearted." Said, "Don't--don't--don't... You're--you preachers are too chicken-hearted to be hunters." And usually I had to get his game anyhow.
E-69 But--but however, he--he was going to shoot this little deer. So he reached down in his shirt, and he pulled out this whistle. I said, "You wouldn't do that."
He said, "Oh, get next to yourself, Billy. Get next to yourself." There was a snowdrift there, and he blowed this little whistle.
And I thought, well, we hadn't seen a track, wouldn't hurt nothing. But to my surprise, about as far as across this building, a great big, beautiful, whitetail doe stood up. Now, that's the mother deer: doe. Her big ears standing out like that, her big beautiful eyes looking. What was the matter? No matter how good she was hid, a baby, her baby cried. It was in distress. She jumped up. She begin looking around. Now, we wasn't standing over thirty yards from her.
He looked up to me with them lizard eyes, and I thought, "Oh, my." And he blowed it again. And that deer walked right out into that opening. Now, anyone that hunts deer knows that's absolutely unusual. They won't do that, especially when they've been shot at, and that time of day too: about eleven o'clock, twelve. She walked right out in the opening.
And I looked at her, and I begin to think. "That mother, he's deceiving her. He's blowing that whistle like a little baby crying, her baby. And she's not a hypocrite. She's not just acting; she's not putting on something. But she's borned a mother. It's instinct in her. She's a mother, and that's a baby crying. She was a genuine born mother. It was in her."
E-70 She stepped out there again. He looked at me again like that. I nodded my head like that. He... I reached down. I heard that shell go up in that .30-06, big hundred and eighty grain mushroom bullet, level down at that telescope. I knew in a few moments when he touched that trigger (He was a dead shot.), I knowed he'd blow her loyal heart plumb through her.
And, "How could he do that?" I thought. "A cruel-hearted a man as that would take that mother there, trying to find her baby, out there looking for her baby; and would blow her loyal heart right out of her." I thought, "What a cruel fellow that must be. Surely he won't do it."
And when the--the bolt went down on the model 70, went down like that, the deer heard it, and she turned. And she saw the hunter. But did she move? No, sir. Why? She was a mother. Death or no death, her baby was in trouble. She was trying to find that baby. She was looking everywhere. The baby was calling. She couldn't help that. She was a mother.
E-71 I--I was almost crying. I just turned my head. I thought, "God, I can't see that. How can he do that, blow the heart of that poor old mother out there, and her standing looking for her baby? A genuine display of loyalty, and how can he do it?" He leveled down like that, that steady nerve. I turned my back. And I said, "Heavenly Father," down in my heart, "don't let him do it. Don't let him do it. How can he do it? How can he shoot the heart of that mother out like that, and her trying to find her baby like that?"
And I waited, and the gun never fired. I waited a little longer; the gun never fired. And I turned around to look. And here's the way the gun barrel was going, just shaking. And he looked up, and the tears running down his cheeks, his lips a quivering. He took the gun and throwed it down on the snow bank, and grabbed me around the trouser leg, and said, "Billy, I've had enough. Lead me to that Jesus you're talking about."
He's a deacon in a Baptist church now. Right there on that snowdrift, I led him to Christ. Why?
He saw something real. He saw something that wasn't put on. He saw there was something genuine. He knowed there was something behind it. She was a mother. She was a born mother.
E-72 God, make me a Christian like that. Make me to be a Christian, so that I can be so real that people who are looking for something real can see something real, and know that Christ is real. Let us bow our heads.
How many in here... Be honest. Just a minute, will you? Be honest. How many of you would like to be the kind of--as much a Christian, as that deer was a mother? Raise up your hand, say, "It's me, Brother Branham. I--I want to be that kind of Christian." God bless you.
E-73 Heavenly Father, how little did I know, standing there in that snow that day, my feet wet, that man holding me around the legs a snubbing and crying... Well, I guess the deer's still there with her baby. I hope so. Little did she know what she was doing.
But God is able of these stones to speak out. That cruel-hearted man saw something real. He'd seen so much make-belief and put on. To being a hunter hisself, God had to deal with him in that way, to see that there was something that was real. And if he's living yet today, he's a lovely Christian, borned again. How we thank you for that, Father.
I seen some three or four or five hundred hands, maybe close to maybe more than that, go up a few moments ago, that they--they wanted to be a real Christian, Lord. I've had to scold this week, God; cry over it, wondering just what my brethren are thinking, wondering what You're thinking. I've tried to be honest, Lord. The people set and wondered. May it all be over now, Lord. May it just all be broke up and settled. May we come to the God that we know that's real. We each one can have that experience of being a real born Christian, just as much as that deer was a mother. Grant it, Lord. Hear us, I pray.
E-74 Now, each one with your head bowed, your eyes closed, I want you to just say in your heart, just pray a little prayer, "God, be merciful to me." That's right. Just have faith. Don't doubt.
Oh, God... Each one of you that feels that Christ is near you, just raise up your hand, say, "I--I just believe He's real near me tonight. I just feel His Presence." God bless you. Just keep praying. That's right. "God, I long to see..." Just have faith. Believe. "Make me a Christian, Lord, just like, just as much Christian as that--as that deer was a mother."
E-75 How many's never been in the meeting before? Raise up your hand, never been in the meeting. Well, God bless you, many. Raise your heads just a minute if you're finished praying. I want you to look this a way.
I talked this week of a Jesus that's a living. I ain't told you from a creed; I've told you by a Bible, by His Word. I give His promise, that He's the same yesterday, today, and forever. You believe that? Now, if He... If you could see something real, you'd want it, wouldn't you? Don't... You don't want nothing bogus; you want something real.
May God show you tonight right here, that I've told you the truth. He's Messiah, living. Don't doubt now. You believe. Look this way and say in your heart to Christ, "You're that High Priest. I believe it. Remember. Let me plainly make it I'm not the High Priest. I'm just your brother. He's the High Priest. My touch will mean nothing; His touch will do it. Your touch is what He's waiting on, your touch, your faith touch. And if He did that in His day, He will do it again today. Don't you believe it?
E-76 That man setting there with high blood pressure, hand up to his jaw; you believe that God would grant your healing of that high blood pressure, sir? You believe it? Raise up your hand, say, "I'll accept it." I don't know the man. But that's true.
The lady setting next to you there, has a female disorder also. If she'll believe with all her heart... You believe it, sister? Raise up your hand. Is that something real? That's Jesus Christ the Son of God.
That woman that could touch back there by the feeling of her infirmities, that woman touched too. Just don't doubt. Have faith.
Lady setting right down here, she has cancer. She's praying for cancer. Also she's got a grandchild she's praying for. The grandchild is retarded. You believe that God will heal? I'm a stranger to you. If that's right, wave your hands like this.
Now, why didn't you have that kind of faith last night, you all? Just believe. Don't doubt. Put your hand on that lady right next to you. Will you do me a favor? She suffers with a throat trouble. Just have faith.
E-77 See how easy it is if you just believe it? Don't doubt. Just believe with all your heart. Isn't He good and wonderful? Isn't that real?
Man setting right over here, he's suffering with complications, got stomach trouble, liver trouble. (God, don't let him miss it.) Mr. Brines, believe. You got it. It's too sweet now. Don't--don't do nothing to interrupt it. Let it be going. I don't know the man; I've never seen him. God in heaven knows that, and here's my Bible over my heart. He can strike me dead this minute.
What's he touch? Who did he touch? Ever who that was over there, if we don't know one another and we're strangers, raise up your hand. Ever who the person was, any of the people's been called, if we're strangers to one another, raise up your hand. We don't know one another. Raise up your hands, ever who was them people has been, that was just called just now. Why, sure. See?
E-78 What about somebody in this way? Lady setting there, looking right at me; she's scared to death of that cancer. She's wondering. You're wondering if it's you. "Is it me?" That's one you're talking to. I'll tell you who it is. Your name is Mrs. Brown. Now, you know who I'm talking to now. You believe that God's healed you? If you do, raise up your hand, say, "I accept it." God bless you.
That alcoholic that you're praying for, you believe. You tried with all your heart, but it didn't work so good. But don't you worry. He knows about it. Now, if that's true, wave your hand like this. Nobody knows that but you and God and me. How'd I know what you was praying about? You must believe. You must have faith. Don't doubt.
That colored lady setting there by you from Portland. Yes. You believe with all your heart? Mrs. Beck, you can--you can go home and be well too. Jesus Christ healed you. Amen.
E-79 You believe there's something real here tonight? Who is it? Jesus Christ the Son of God. Don't you believe that? Now, if you want to be a real Christian, you believe me. How could I stand here? How could the Holy Spirit work like this in here through--through a hypocrite? You think God would honor a hypocrite? No, sir.
I surely got some conception of Him of twenty--thirty-one years of service, around the world seven times. Surely there's all kinds of... God wouldn't permit that. I'm telling you the truth, friends. This is truth. And it's honestly true.
Now, I know it's right now... I--I'm way past. I was going to... I told you to call them prayer cards. But it's almost ten o'clock. I--I don't know where the time goes. I'm sorry to keep you like this. I promised I wouldn't do it. I'm trying to get this away from...?...
E-80 So help me, God of heaven knows it's the truth. That Angel of God that you see on that picture is right now right here at the platform. That's THUS SAITH THE LORD. See something real. Believe it. If I have to stand here tomorrow afternoon until the sun goes down, till ten o'clock tomorrow night, I'll pray for every person that wants to be prayed for that has them cards, if you just don't let me keep you too long tonight.
I wonder something. I was going to ask you a question. Each one of you that knows that you're not as--as much Christian as that mother was--as that deer was a mother, while you see something right in your face here...
I seen something happen right there again, that woman setting right there.
Here's the man with that prostate trouble, getting up at night. God bless you, brother, it's over. Now, it's just whirling everywhere, just going everywhere. When I... When that unbeliever saw something real, he was ready to repent right there.
E-81 I wonder tonight if we couldn't have a good consecration service right now. Let me pray first for you, where you're setting. Let me pray over these handkerchiefs. Let's bow our heads.
Heavenly Father, I lay my hands upon these handkerchiefs. Bless them...?... in the Name of Jesus Christ, Your Son. God, watch over these. And heavenly Father, there's many sick out in the audience. There's many praying for their loved ones. I can feel it, see it. They see there's something going on, Lord. I'm getting weak, weaker all the time.
I pray, God, help me. Now, help me to pray a prayer of faith for them, God. They set here and suffered it out through heat; many of them come through difficult. Don't--don't let them miss it tonight, God. You--You--You're here to do it. Let--let them see it real.
E-82 Father God, one day there was a little boy herding his father's sheep. We know him as David. He was interested in his father's sheep. He'd given a charge over them sheep, and he must watch them. None of them must be lost. And a lion come in and got one.
Little David didn't have a magnum rifle. He only had a slingshot, but he trusted in You. He went forward. He got that little sheep that that lion took. He slew the lion, and brought the sheep back to shady green pastures, and laid him down by the still waters; because it was his father's sheep.
And dear heavenly Father, tonight diseases like heart trouble, cancer, tuberculosis, crippled, them devils of lions is come in and got some of Your sheep, is dragging them out. They've drug through every doctor's office and clinic. He's dragging them out. I'm going after them tonight, Lord.
I ain't got nothing but this little slingshot of prayer. But You promised, "The prayer of faith will save the sick." They're Your sheep, and I'm coming after them.
Satan, you're going to have to turn them loose. I'm bringing them back tonight, through a prayer of faith. Turn them loose, and let them alone. I claim them for the Lord God. In the Name of His Son Jesus Christ, may your grip of unbelief break across this building and every one of them be healed. Grant it, Father, in Jesus' precious Name.
E-83 Don't doubt it; believe it. Do you believe it? Raise up your hand, say, "I believe it, Brother Branham. I believe it." If God can stand here and use for this... Didn't He also say, "The prayer of faith shall save--save the sick?" You used it in all ways.
Now, how many in here that don't know God, and wants to become a Christian, raise up your hand. Just say, "I want to raise my hand, Brother Branham. I want to become a Christian." How many church members here, that really knows that you're not living the way you ought to live; there's things that you just can't understand; you're--you're all mixed up, you don't know what to do, and you would really like to be a real Christian? Raise your hands, say, "Pray for me, Brother Branham." God bless you.
I wonder, while we sing a song, if our organist will give us a chord, "I love Him, I love Him, Because He first loved me."
E-84 I wonder, just as many that believes that God would hear my prayer, and you have a need of God for such, won't you come and say, "I'm surrendering my life, soul... I see something real, something that's out of the Bible, real. And I'm coming up tonight and stand around the altar. I'm coming to make my stand right now. And from this day henceforth, so help me, God, I'll dedicate my life to Him. I'll be a better member in my church. I'll be a more consecrated Christian. From this hour on I sell out to everything of the world. I'm going to be a real Christian from this hour on by the grace of God. I'm coming up, Brother Branham, to stand here. I want you to pray for me."
Will you come while we sing? Come. Just rise right up and come. God bless you, that... Whoever you are, come right on now. That's it. Consecration, that's what we want.
I love Him (Do you really love Him? Is your soul anything to you now?) love Him
Because... (I want to try to shake hands with you...?...)
[Brother Branham shakes hands with those who have come up around the altar walking away from the microphone, his words not understandable--Ed.]... altar together...
E-85 Won't you come down and consecrate your life? If you are a Christian, and not living just in victory like you should, you know if Jesus would come tonight, you wouldn't be ready to go. You'd be scared. There'd be something wrong. If you'd go home, started down the road, and you feel your heart failing... The doctor had to look at your pulse, say, "Oh, oh, can't help it. They're gone."
What if a wreck, and the blood starts running out, you feel your heart moving; you're under a car, pinned down... Oh, you wish you would've come. It's too late then. Come now. Don't you take a chance at no time, friends. Come.
E-86 Now, let me tell you; you'll never see nothing any more real from God until you see Jesus face to face, 'cause that's exactly what He did when He was here. And He would do it again, if He was standing here, while this day is going on. Won't you come?
I love (Everybody sing. Let's raise our hands), I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's tree.
Someday You want Him to say, "It's well done, My good and faithful servant. He that will confess his sin..."
"But if I regard iniquity in my heart, then God will not hear my prayer," said David. What is iniquity? Iniquity is something that you know that you're doing that you ought not to do and still won't repent of it. If I regard iniquity in my heart, knowing that I should do it, and don't do it, then God promised, the Bible promises that God will not hear your prayer, if you know you should do it and won't do it. That right, brethren? That right, brother ministers? It's true, if you regard iniquity...
E-87 Now, if you belong to these churches, you say, "Well, there stands my pastor. He believes me to be a Christian." Right. Come consecrate yourself over. Your pastor will be happy for it. Certainly he will. He will be happy to know. He knows a real sincerity, the desire of your heart is to do that what's right. I have... If it was my church, I sure would. And you are my church. The whole world's my parish. So you are my church, and I'd be happy.
Consecrate your life while we sing one more time. Then we're going to pray. Come now.
I love Him, (That's right.) I love Him
Because He first loved me
And purchased my salvation
On Calvary's...
[Brother Branham begins humming "I love Him."--Ed.]
Let's bow our heads now, humming. Going to get among the people down here now. Everybody praying. Now, you come here. Now, the only thing that you can do is confess from your heart, confess your wrong and believe.
E-88 Now, God seen you walk up here. He's infinite. He knows all it. And He seen you walk up here. He was the One Who spoke to you. He knowed your heart. He spoke and you come forward. He sees you right now. You confess your wrong, say, "God, I'm sorry I did it. Help me tonight, Lord; I want to live for You. By Your grace I'll stand true to You to the end of the world. I'll be Your servant." Now, let everybody in the audience bow and pray.
Oh, God, our Father, we are approaching Thy throne of grace. Standing around this altar tonight stands some--large group of people. Many of them are members of churches. Some of them maybe have never made a confession yet. Some of them has made it and failed. But, God, I know You have confidence in a man, that while he's trying, he fails, and then enough soldier to rise up on his feet and try again.
God, I pray that You'll answer every one of their requests. They're standing here now, their heads bowed, their hearts bowed. They're believing You. You're their God. They're confessing their wrong, and they--they're wanting to be right, Lord. They want all unbelief to be taken away from them. Let their little besetting sin that does so easy upset them, let it be taken from them tonight and never to return again.
E-89 I plead for each of them. You watched them when they raised from their seat, come down from the balcony, come down out of the aisles. You say, "Well, that... I could stood back there and done just as well." God, the altar call was to come up here, and that showed that they wasn't ashamed to admit their wrong. And they're come, confessing before God and the holy Angels, confessing before their fellow man, that they been wrong, and they want to be right. When they walked up here, they--their own walking up here made their confession.
Now, You promised that they'd be forgiven, and I know they are, Lord. And I turn them to You now, as Your servant, in a word of prayer, believing, feeling in my heart the great Holy Spirit is well pleased with what they've done.
E-90 And I pray, God, that they'll live a victorious life all the rest of their days, the rest of their days may be full of victory. May Satan, may sickness, leave them. May there not be a thing bother them. And may they serve You all the days of their life. And someday, if You tarry, and they go down to the hour of death, and the old chilly winds begin to break across the bedside, or the cold vapors of the Jordan catching across their face, we know that the old ship of Zion will blow her whistle and she'll come by and pick up that pilgrim to take it across the river. Grant it, Lord. Land them in the--the land of promise safely.
Give them Eternal Life, Lord, and raise them up at the last days. Grant it, Lord. May tomorrow each of these church members go to their church with a shining face and a testimony to the glory of God, that they found a new Anchor tonight and they are now dedicated Christians to Your service. In Jesus' Name I commit them to You with my prayer.
And O Lord, if I've found grace in Your sight, take each one of them. I give them to You with all my heart, in Jesus' Name.
E-91 Now, the ones that's around the altar here, that's come up to make your confession that you have been wrong, and you believe that God forgives you, I want you to raise up your hands like it. Raise up your hands, say, "I feel in my heart that God has forgive me. And from this night on I pledge that I will serve God better the rest of my days."
Now, I want you to turn right around to the audience. Just turn right around, all you at the altar. Turn right around to the audience, right around this way. Now, raise up your hands again towards the audience and say to this, "Pray for me." Say it with me, "Pray for me." All that... The people standing here, repeat after me, "Pray for me, [Those at the altar repeat after Brother Branham--Ed.] that I'll always be true to God. I know, brother and sister, that I will serve God, and I desire your prayers."
E-92 Now, all of you out there that will do that, raise your hand out to them, and say, "My brother and sister, [Congregation repeats after Brother Branham--Ed.] I pledge my prayer and my support to you: my love and my loyalty, as my brother and sister. God, help me to do so." Amen.
Now, all of us with our hands up to God...
I love Him, I love Him...
[Brother Branham speaks to the pastor--Ed.] All right, pastor. Remember tomorrow's services (Sorry to be late), you tell them that I'll get every one of them, if I have to stay till midnight tomorrow night.