Il Y A Ici Plus Que Salomon
1 Merci, frère. Que Dieu vous bénisse. Quiconque ne serait pas en mesure de prêcher après cela ne pourrait pas être appelé prédicateur, n’est-ce pas? C’est merveilleux, c’est beau, bravo. J’apprécie certainement cela chez mon aimable frère. Je me renseignais tout simplement à son sujet, pour savoir à quelle distance il reste, en vue de la prochaine réunion. Je pense qu’il vient de (je n’ai pas bien saisi cela), il vient d’une autre province ou quelque chose comme cela. Mais c’est très bien. Ainsi, nous sommes reconnaissants que Dieu ait donné à ce frère ce beau talent pour chanter Ses louanges. Vous savez, tout cela–cela fait partie de l’Evangile. Je prêchais l’autre jour, là aux Etats-Unis, sur les quatre manières de voir Dieu. Vous savez... Et il y a mille manières de voir Dieu si vous regardez tout simplement tout autour de vous. Il est–Il est partout.
2 Bon, nous sommes désolés de vous avoir gardés jusque si tard hier soir, alors que vous aviez terriblement chaud ici à l’intérieur. Certains amis qui étaient avec moi faisaient: «Fiou!» Ils ne faisaient que s’éventer. Ainsi je... Alors quelqu’un a dit: «Malgré tout, cela ne dérange pas les Indiens.» Il a dit: «Ils restent carrément là toute la soirée, ils rendent témoignage tout le reste de la soirée.» J’en suis donc–donc reconnaissant. Peut-être lorsque je m’en irai, levez-vous simplement et commencez à témoigner, à parler de ce que le Seigneur a fait pour vous.
3 Combien d’entre vous ont déjà entendu parler de Tommy Osborn? C’est l’un de mes précieux amis, un missionnaire; il se rend souvent dans la vieille campagne, il va outre-mer. Et il a dit...
Une fois, je me rendais à... J’étais en route pour l’Afrique du Sud, et il est venu à la réunion. Et–et lorsque je me suis avancé sur l’estrade à New York, à cet endroit où on organise tous ces combats, ce grand amphithéâtre là... Et l’endroit était bondé et archicomble. Et alors que je montais sur l’estrade, Tommy est venu carrément vers moi, m’a pris par la taille et s’est mis à m’étreindre. Et j’ai dit: «Tommy, que faites-vous si loin ici?»
«C’est juste pour vous dire adieu et demander les bénédictions de Dieu sur vous alors que vous serez parti outre-mer.» C’est l’un de mes convertis à Christ dans le ministère de la guérison. Et il a dit...
Et j’ai dit: «Je pense que vous êtes épuisé, Tommy.» Il avait tellement prêché.
Il a dit: «Non.» Il a dit: «Je n’ai pas le discernement pour être épuisé.» Il a dit: «Savez-vous ce que je fais? Je me tiens simplement là pendant quinze minutes, et je lie le diable avec un noeud de la Parole.» Il a dit: «Il ne peut pas s’en dégager. Alors j’amène les gens à prier les uns pour les autres, et ensuite, je me cherche une chaise et je m’assieds, et je les écoute donner des témoignages jusqu’à l’aube», a-t-il dit. Il a dit: «L’un se lèvera, témoignera et dira ce que Dieu a fait pour lui, et cela amènera l’autre à croire, et celui-ci va se lever et témoigner. Et pendant qu’il témoigne, un autre se met debout.» Et il a dit: «Je reste simplement assis là, et je tape les mains et je passe un bon moment.»
4 Oh! la la! c’est merveilleux de voir comment Dieu dispose de Ses différents ministères (Voyez-vous?), comment Il les fait opérer. Cet aimable frère ici qui chante, c’est un ministère des chants. Et d’autres ont un ministère. Voyez-vous, Dieu a établi dans l’Eglise des dons prédestinés. L’un d’eux c’est–d’abord ce sont les apôtres, ensuite les prophètes, les docteurs, les pasteurs et les évangélistes.
Eh bien, un apôtre c’est ce que nous appelons aujourd’hui (nous leur avons donné un nouveau nom) un missionnaire. Un missionnaire est un apôtre. Or, le mot missionnaire signifie «celui qui est envoyé». Et apôtre signifie «celui qui est envoyé»; c’est la même chose. Mais j’ignore pourquoi ils ont voulu être appelés apôtres, ou plutôt missionnaires au lieu d’apôtres. Mais un missionnaire doit avoir l’appel de Dieu et être envoyé par Dieu: un envoyé.
5 Un prophète est un voyant qui voit les coeurs des gens et qui prédit les choses qui s’accomplissent. Et–et maintenant, il existe un don de prophétie. Cela se trouve parmi les membres d’une église locale. Cela tombe sur n’importe lequel d’entre eux. Il donne une prophétie. Ensuite, cela ne peut pas être accepté par l’église avant d’être jugé par deux ou trois témoins. Et alors, ils doivent approuver cela, pour dire que cela vient de Dieu. Ensuite, ils doivent observer pour voir si cela s’accomplit. Ensuite, cela peut ne jamais descendre de nouveau sur ce frère ou cette soeur-là. Cela peut venir sur une autre personne la prochaine... Ça, c’est un don de prophétie.
Mais un prophète, p-r-o-p-h-è-t-e, est né prophète, toujours depuis av-... Il a été prédestiné à cela avant la fondation du monde. Voyez-vous? Maintenant, prenez par exemple Jésus-Christ, le Roi des prophètes. Il était depuis le Jardin d’Eden la Postérité de la femme, un Prophète. Et Moïse naquit, il était un bel enfant, un prophète. Jean-Baptiste, eh bien, Esaïe l’avait vu sept cent douze ans avant sa naissance, et il a dit qu’il était «la voix de celui qui crie dans le désert», sept cent douze ans avant sa naissance. Jérémie, Dieu a dit, avant même qu’il eût été formé dans le sein de sa mère, qu’Il l’avait connu, l’avait consacré, et l’avait établi prophète des nations. Voyez?
6 Les prophètes ont la Parole de Dieu, et ils sont nés des prophètes. Un don de prophétie, c’est quelque chose de différent. C’est un don. Or, il y a neuf–Il y a cinq dons prédestinés dans l’Eglise: les apôtres, les prophètes, les docteurs, les pasteurs, les évangélistes. Maintenant, ça ce sont les cinq dons que Dieu place dans l’Eglise par Sa prescience.
Ensuite, il y a neuf dons qui sont dans l’église locale: le parler en langues, l’interprétation des langues, le don de sagesse, la connaissance, et–et la prophétie, et ainsi de suite. Ce sont les neuf dons spirituels qui opèrent dans l’église. Mais ensuite, il y a neuf–cinq dons qui sont des offices que Dieu place dans l’Eglise. Et, oh! combien nous aimons les voir tous opérer dans le...
L’un d’eux c’est le pasteur, l’autre le docteur, et ces autres choses. Puis, les autres accompagnent comme confirmation. Les dons viennent pour magnifier. Et Dieu a simplement fait les choses de sorte que même un insensé ne pourrait pas trouver une excuse, n’est-ce pas? Il va... Cela est tellement simple, la manière dont Dieu les a faits. Et j’aime cela.
Plus vous devenez simple, plus vous deviendrez grand devant Dieu. C’est juste. N’essayez jamais de vous élever. Lorsque vous le faites, vous vous rabaissez. Voyez? Celui qui s’élève sera abaissé.
7 Il n’y a pas longtemps, j’étais... (Est-ce que je fais quelque chose qui n’est pas en ordre maintenant, frère? Oh! merci. Très bien. C’est mieux... Merci. Ma voix probablement ne sortait pas bien là derrière.)
Il y avait... Je me trouvais récemment dans... On m’avait envoyé une lettre m’invitant à un grand rassemblement dans une grande ville des Etats-Unis: à Chicago, à un rassemblement pentecôtiste. Eh bien, je–je–je ne pouvais pas y aller de toute façon, mais je n’avais pas répondu à la lettre, et le–l’homme qui était le responsable m’a envoyé un message disant: «Ne venez pas.»
«Eh bien, me suis-je dit, c’est en ordre.»
Ainsi donc, ils ont pris un certain grand ministre qui était un grand nom. Et, oh! la la! il enseignait dans une certaine grande école biblique. Et lorsque l’homme en question est monté ce soir-là, il tenait un très gros livre. Cela avait beaucoup de pages, et il donna ce discours intellectuel qu’il lisait dans les pages de ce livre, et il a refermé cela: un excellent discours intellectuel. Voyez?
Mais les saints de Dieu sont restés tout simplement tranquilles. Cela n’avait pas d’effet. L’homme en était conscient. Lorsqu’il était monté, il avait le torse bombé, le col retourné, vous savez, et toutes ces histoires-là; Et il s’est rendu compte que cela ne marchait pas avec le peuple de Dieu. Et lorsqu’il a vu que cela ne marchait... Alors, il a simplement fermé ses livres, et il est descendu la tête baissée, et il s’est retiré très humblement.
Un vieux saint était assis derrière dans un coin, il a donné un coup de coude à l’autre, et il a dit: «S’il était monté de la manière dont il est descendu, il serait descendu de la manière dont il est monté.» C’est vrai. Humilions-nous devant le Seigneur. Voilà comment s’y prendre.
8 Et j’étais juste en train de penser... Quand j’étais assis là dehors (je suis arrivé en voiture et j’écoutais frère Borders terminer son message), et je pensais à–à mes frères indiens. J’espère que ceci est en ordre. Je me souviens qu’à Phoenix, en Arizona, nous avions une–une tente de cirque, et je tenais là une réunion. Et il y avait un–un Indien qui était venu de... Je pense qu’il était un–un Navajo. Et il est entré, un Navajo typique, vous savez, avec des bandes bleues autour de sa tête, et une chemise écarlate. Et il ne s’est pas assis sur le siège. Il s’est carrément assis par terre. Voyez?
Et alors je... Billy distribuait des cartes de prière, et il est descendu, et les a mélangées et il les a distribuées aux gens. Et lorsqu’il... Des gens montaient sur l’estrade avec un mal de dent, et l’autre avait... Peut-être qu’il avait un, vous savez, un mal de ventre, ou quelque chose de ce genre, un petit quelque chose de bénin.
Et j’ai dit à Billy, j’ai dit: «Fiston, arrête de remettre ces cartes à ces gens qui n’ont rien, sinon des maux de dents, alors qu’il y a assis là des gens mourant, atteints du cancer. Ce sont eux qui doivent monter sur l’estrade. Demande aux gens de quoi ils souffrent avant de leur donner une carte de prière. Quelqu’un... Fais monter là quelqu’un qui est mourant, car il ne leur reste qu’une seule soirée, et nous devrons clôturer. Et il y a là environ cinq mille personnes pour lesquelles nous devons prier, et elles–elles sont vraiment malades.
Alors Billy a pris le microphone. Il a dit: «Papa a dit de ne donner ces cartes qu’aux gens qui sont très malades.» Il a dit: «Bon, lorsque je vous les donne, dites-moi ce qu’est votre problème, et je vous donnerai une carte.» Et il a dit: «Les gens qui souffrent d’un mal de dent, et ainsi de suite, et des choses comme cela, des gens qui ont de petits maux de tête, bien sûr que pour eux c’est un grand problème, mais ce n’est pas un problème comparable à celui d’un homme qui est mourant, qui a une maladie cardiaque, ou quelque chose de très grave.»
9 Alors, je vais appeler cet Indien Chef. Il était assis dans un coin à même le sol, sur le plancher, il s’est approché de Billy, il l’a tapoté au dos, il a tendu sa main.
Billy a dit: «Chef, qu’est-ce qui ne va pas?» Il a dit: «Papa m’a dit de demander aux gens ce qu’ils ont comme problème.» Il a dit: «Moi malade.»
Il a dit: «De quoi souffrez-vous, Chef?»
Il a dit: «Moi malade.»
Billy a dit: «Eh bien, je–je ne sais quoi faire.» Il a dit: «Très bien. Asseyez-vous. Je vais m’occuper de vous dans quelques minutes.»
L’homme l’observait de ces petits yeux, il l’observait. Lorsque ce petit tas de cartes a fortement diminué, il s’est avancé et l’a de nouveau tapoté à l’épaule. Il a dit: «Moi malade.»
Et alors, Billy a dit: «Chef, a-t-il dit, il faut que vous me disiez votre problème. Papa m’a dit de ne donner ces cartes qu’aux gens qui sont très malades. Quel est votre problème? Quelle est votre maladie?»
Il a dit: «Moi malade.»
Billy a dit: «Très bien, Chef. Prends ceci et écris dessus: ‘Moi malade.’» Voyez-vous?
10 Alors, il est arrivé qu’il est entré dans la ligne de prière la soirée qui a suivi, la soirée suivante. Alors il s’est avancé là. Bien sûr, le Seigneur s’est mis à parler, et disait aux gens ce qui n’allait pas et ainsi de suite.
Et alors j’ai dit: «Chef...»
«Oui.»
J’ai dit: «Crois-tu que le Seigneur va te guérir?» Il m’a regardé. J’ai vu qu’il n’avait pas très bien compris. Voyez-vous? J’ai dit: «Crois-tu que le Seigneur va te guérir?»Il a dit: «C’est juste.»
Et j’ai dit: «Seras-tu un bon garçon après cela?» Il a dit: «C’est juste.» Et à tout ce que je lui disais, il répondait: «C’est juste.» J’ai fini par découvrir qu’il n’y avait que deux expressions qu’il pouvait prononcer. Il avait appris cela: «Moi malade» et «C’est juste.» Je l’ai rencontré là-bas environ (oh!) six ou huit mois plus tard. J’ai dit: «Voilà ce frère Indien.» Je suis allé vers lui. J’ai dit: «Comment allez-vous, mon ami?», comme cela. Il a dit: «C’est juste.» Quelqu’un de la mission a dit qu’il était guéri. Voyez? Il était guéri. Et c’est tout ce qu’il connaissait: «C’est juste.» Alors... C’est tout ce que vous devez connaître: «C’est juste.» Ainsi, nous sommes très reconnaissants pour cette foi simple. La seule chose que vous devez connaître c’est: «C’est juste», lorsque nous parlons de la Bible. C’est juste.
11 Une fois, un Chinois (Il se peut qu’il y ait des Chinois ici ce soir.) a dit: «Vous les Américains, vous ne lisez pas correctement.» Il a dit: «Vous lisez tous la page en travers comme ceci.» Et il a dit: «Je vais lire Jean 3.16 pour vous.» Il a dit: «Vous dites: ‘Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique... quiconque croit en Lui ne périsse point.’» Il a dit: «Vous dites: ‘Non, non, non.’» Il a dit: «Nous les Chinois, nous lisons la page de haut en bas. ‘Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné Son Fils unique.’» C’est juste. C’est juste.
12 En voyageant partout et en rencontrant différentes personnes de diverses nations, c’est étonnant de voir que tous les enfants de Dieu sont des gens merveilleux. Peu importe leurs langues, ce qu’ils sont, ils sont tous des enfants de Dieu, et ils sont très doux. Et je–je les aime tous. Les Norvégiens, les Suédois, les Finlandais, et... C’est en Finlande que le petit garçon a été ressuscité des morts. Vous avez probablement lu le récit de ce qui s’était passé là-bas.
Et cela fait cinq fois d’affilée, après examen des médecins attestant que les cinq personnes étaient mortes, que celles-ci ont été ramenées à la vie par la grâce de Dieu par une vision. Et ce sont des déclarations signées par des médecins. Vous voyez? Avez-vous lu cela dans le magazine des Hommes d’Affaires Chrétiens il n’y a pas longtemps, le cas du petit bébé mexicain?
13 Maintenant, cela... Vous voyez, avant de mettre quoi que ce soit par écrit, vous devez être en mesure de le prouver. Voyez-vous? Vous pouvez le dire, c’est en ordre, parce que vous pouvez le nier. Mais lorsque vous mettez cela par écrit, vous avez intérêt à ce que cela soit vrai. Ainsi, ce petit bébé mexicain, le médecin avait signé une déclaration attestant qu’il était mort ce matin-là à Mexico. Il y avait des milliers de gens. Eh bien, un seul appel à l’autel fait que vingt mille personnes viennent à la fois. Et ce petit bébé mexicain...
Eh bien, ils étaient tous des catholiques, et ils étaient...
Oh! c’est vraiment un... Ils étaient venus là à 9 h 00 du matin, et ils ont attendu jusqu’à ce que je suis arrivé là à 21 h 00 ce soir-là, et ils nous attendaient. Et je suis monté sur l’estrade. Il avait plu toute la journée, il pleuvait à verse, et ils se tenaient juste là, juste sous cette pluie-là.
14 Le soir précédent, un vieux frère mexicain s’est avancé sur l’estrade, il n’avait pas des chaussures, son pantalon était en haillons, et son vieux chapeau cousu avec une grosse ficelle. Et il s’est avancé sur l’estrade, il tremblait comme cela. Il a introduit la main dans sa poche et a fait sortir un–un chapelet pour réciter un «Je vous salue Marie». Et j’ai dit: «Ce n’est pas nécessaire.» L’interprète, frère Espinosa... Certains d’entre vous des Assemblées de Dieu pourraient connaître Espinosa. Il avait... Et alors, il était mon interprète. Et j’ai dit: «Ce n’est pas nécessaire.»
Alors il s’est approché, et j’ai regardé. Et voilà que je me tenais là, portant une belle paire de chaussures, un bon costume que quelqu’un m’avait donné. Et là se tenait ce pauvre vieux frère, qui n’avait pas de chaussures, qui n’avait pas de costume. Son manteau était en haillons (sans chemise du tout), il était couvert de poussière. Probablement que ce vieil homme n’avait jamais pris un bon repas dans sa vie. Et je venais juste de prendre un bon repas.
15 Souvenez-vous, c’est un–c’est un homme pour lequel Christ est mort, de même qu’Il est mort pour moi ou pour n’importe qui d’autre. Il a autant des droits que moi. Probablement qu’il avait une ribambelle de petits enfants à la maison, ou plutôt de jeunes gens donc, parce qu’il avait environ l’âge de mon père, et il était complètement aveugle.
Et j’ai placé mon pied juste à côté du sien. L’assistance ne pouvait pas voir. Oh! l’estrade était presque aussi longue que la largeur de cette salle, et j’ai placé ma chaussure à côté de son pied pour voir si elle allait lui convenir. Je voulais lui donner mes chaussures. C’est ce que je pensais. Mais son pied était beaucoup plus large. Ensuite, j’ai essayé de placer mes épaules contre ses épaules. Et mon veston ne pouvait pas lui convenir. J’ai pensé: «Ô Dieu, le voilà.» Et j’ai vu ses cheveux gris qui pendaient, et ses yeux étaient blancs. J’ai pensé: «Si seulement je pouvais l’aider d’une certaine manière!» Vous devez compatir avec les gens, sinon vous ne pouvez rien faire de bon lorsque vous priez pour eux. Vous devez–vous devez compatir avec eux. J’ai pensé: «Qu’en serait-il si mon père était encore en vie? Il aurait à peu près cet âge.» C’est probablement le papa de quelqu’un. Et j’ai pensé...
Et alors, j’ai pensé que Satan avait été si méchant à son égard. La nature l’avait mis dans cette condition où il était probablement frappé par la misère... Et voici qu’il n’a même pas de vue pour voir et pouvoir se déplacer.
16 Et j’ai passé mon bras autour du vieil homme, et j’ai dit: «Père céleste, je prie pour ce précieux vieil homme.» Je l’ai vu debout ici devant moi dans une vision, il pouvait–il regardait droit vers moi. Oh! la la! il n’y a rien qui peut arrêter cela lorsque cette vision vient. Absolument rien.
J’ai vu qu’il voyait. Je l’ai tout simplement écarté de moi comme cela, et il a crié: «Gloria a Dios!» Ce qui signifie: «Gloire à Dieu!» Là l’homme voyait aussi bien que moi. Et le soir suivant, il y avait une pile de vieux châles et de vieux chapeaux, haute d’environ trois pieds [90 cm.] et d’environ–environ 15 à 20 mètres de longueur (Comment ils allaient reconnaître le propriétaire de tel ou tel objet, je l’ignore.); c’était simplement empilé pour que l’on prie dessus.
17 Lorsque je suis monté sur l’estrade, mon fils Billy m’a dit... Nous venions juste de commencer la prédication. Frère Espinosa... Je suis monté. Nous avions juste trois soirées, c’était là toute la durée possible de notre séjour. Et j’ai dit: «Maintenant, je vais parler ce soir comme je l’ai fait hier soir, vous dire tout ce que Jésus était, et vous L’avez vu ici parcourir l’assistance. Vous L’avez vu redonner la vue aux aveugles. Regardez là-bas, le tas de vieilles béquilles, de fauteuils roulants et tout ce que les gens utilisaient.»
J’ai dit: «Cela montre que c’est leur foi dans le Seigneur ressuscité qui a accompli cela.» Et je–j’ai dit: «Or, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.»
Et Billy est venu vers moi et a dit: «Papa, j’ai environ trois cents huissiers de ce côté.» Et il a dit: «Ils n’arrivent pas à maîtriser une petite femme.» Et il a dit: «Elle a juste cette taille à peu près, c’est une jeune femme.» Il a dit: «Elle a un bébé mort, et elle était restée debout sous cette pluie là dehors.» Et il a dit: «Mañana ne lui a pas donné...»
18 Man? Ana... Le mot Man? Ana signifie «demain», et il était tellement lent que je l’appelais «demain».Voyez? Il était censé venir me chercher... On lui disait 17 h 00, et lui s’amenait là vers 20 h 30 ou 21 h 00. Voyez? Et je l’appelais Man? Ana.
Il a dit... Il distribuait les cartes de prière. Billy devait juste veiller à ce qu’il n’en vende aucune. Vous voyez? C’est ce à quoi nous devons veiller, non pas... Une personne qui distribue les cartes de prière a un travail à responsabilité, et c’est pour cette raison que je demande à mon propre fils de les distribuer, parce qu’il peut arriver que les gens fassent quelque chose qui n’est pas correct. Ainsi donc, il le surveillait tout simplement, et l’homme distribuait les cartes de prière.
19 Et il a dit: «Il a distribué toutes les cartes de prière, et cette petite femme n’en a pas reçu une.» Et il a dit: «Ces gens sont debout.» Aussi loin que vous pouviez voir dans cette grande arène là qui avait un... Les gens étaient restés debout là toute la journée, depuis 8 h ou 9 h du matin, lorsqu’on avait ouvert les portes, et il était environ 21 h 30, peut-être 21 h 45.
Et il a dit: «Et cette petite femme grimpe par-dessus les huissiers. Elle a un bébé mort, enveloppé dans une couverture. Elle veut que tu pries pour lui.» Et il a dit: «Elle leur monte carrément par-dessus les épaules, elle leur passe entre les jambes.» Et il a dit: «Nous devons simplement aller là derrière et l’éloigner de l’estrade à coup de pieds (Voyez?), car je ne peux pas la laisser monter ici sans avoir une carte de prière, parce que cela provoquerait une bousculade (vous voyez?), vu que ces gens sont restés debout là si longtemps pour attendre une carte de prière.»
20 Et frère Jack Moore (Bon nombre d’entre vous pourraient le connaître, il est de Shreveport, en Louisiane, certains d’entre vous ont peut-être entendu parler de lui. C’est un homme vraiment merveilleux), il était sur l’estrade. Et j’ai dit: «Frère Moore, cette femme ne me connaît pas. Allez prier pour le bébé, où qu’il se trouve, là-bas, elle ne saura pas du tout faire la distinction.»
Il a dit: «OK, Frère Branham.» Il s’est mis à partir, et j’ai dit: «Maintenant, Frère Espinosa, interprétez.» Et j’ai dit: «Comme je le disais, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, la...» Et j’ai regardé, et juste là devant moi, un petit bébé mexicain était assis là. Il avait un petit visage sombre, et il me souriait. Et il n’avait pas de dents, et on ne voyait que ses petites gencives, juste ici en face de moi.
J’ai pensé: «Je me demande si ce n’est pas le bébé en question.» Et j’ai arrêté de parler. J’ai dit: «N’interprétez pas.» J’ai dit: «Frère Moore, un instant.» J’ai dit: «Billy, fraye un passage, et conduis cette femme jusqu’ici à l’estrade.»
Et alors, on a amené la petite femme, elle s’est avancée. Elle est tombée sur les genoux, elle s’est mise à crier: «Padre, Padre.» Ce qui signifie «Père». Elle était catholique. Voyez-vous? «Padre, Padre.»
Et je l’ai prise par la main. Et j’ai dit: «Lève-toi, lève-toi!» Et elle a tendu son petit–son petit bébé raide, d’à peu près cette longueur, sous une couverture qui était simplement trempée. Oh! il avait plu pratiquement toute la journée, et elle était vraiment trempée. Et j’ai dit: «Parles-tu l’anglais?»
Et elle n’arrêtait pas de dire: «Padre, Padre.» Et frère Espinosa lui a dit de garder silence.
Et alors j’ai tenu... J’ai placé ma main sur la petite couverture, sur la petite forme raide qui était froide comme cela. Et j’ai dit: «Père céleste, je n’aimerais pas... Je sais que Tu n’es pas obligé de guérir pour Te confirmer. Tu guéris pour accomplir Ta Parole.» J’ai dit: «Nous savons tous que Tu es Dieu, mais il y a juste un instant une vision est apparue devant moi, comme Tu le sais–un petit bébé. Etait-ce ce bébé, Père? Si ce n’était pas...»Et à peu près à ce moment-là il a fait: «Waa! waa!», et il s’est mis à gigoter de ses petits pieds comme cela, et voilà qu’il était en vie. Et ensuite...
21 Alors, j’ai dit à frère Espinosa, j’ai dit... Et elle s’est mise tout simplement à crier, et elle est tombée à la renverse comme cela. Et–et alors j’ai dit... C’était une belle petite dame, juste une petite créature, qui était peut-être dans la vingtaine, c’était probablement son premier bébé.
Et alors, j’ai dit à frère Espinosa: «Eh bien, ne dites rien à ce sujet maintenant. Voyez? Parce que... Premièrement, envoyez un messager avec ce bébé, et voyez d’où... que son médecin signe la déclaration (voyez?), parce que nous ne voulons rien...» Cela–ça doit être vrai. Voyez? Vous ne voulez rien... Quand quelqu’un lit quelque chose, vous aimeriez que cela soit la vérité. Ça ne doit pas être quelque chose de faux, parce que ce ne serait pas juste devant Dieu.
Et alors... Ils sont allés, et le médecin a signé la déclaration attestant que le bébé était mort de la pneumonie ce matin-là, à 9 h dans son cabinet. Et là, il était 22 heures, environ 22 heures cette nuit-là. Il était mort depuis tout ce temps, et il vit aujourd’hui à Mexico, bien portant et heureux (Voyez?), parce que Christ vit, Christ vit. Et qu’est-ce que cela demande? Une simple foi.
22 J’ai dit à votre pasteur, frère Eddie Byskal; je lui ai dit ce soir, ou cet après-midi lorsque je lui parlais; j’ai dit: «C’est vraiment dommage que nous n’ayons pas pris toutes les six semaines que nous avons passées sur la côte pour être juste ici parmi les gens.» Il a dit: «Frère Branham, a-t-il dit, ça ce n’est même pas le tiers des Indiens.» Il a dit: «Ce sont des pêcheurs qui vendent du poisson, ils sont tous partis dans ces îles-là et partout par ici.»
J’ai dit: «Oh! la la! combien j’aimerais monter dans une petite barque et aller d’une île à l’autre parmi eux!» Non seulement cela, mais j’ai remarqué ceci hier soir dans la réunion, que certains d’entre vous les Suédois, et les Norvégiens, les Allemands, et les Canadiens qui êtes assis là, vous avez une foi merveilleuse. Que Dieu vous bénisse. Vous êtes des gens merveilleux. Nous avons un Merveilleux Sauveur qui nous aime tous. Et je–je suis ici...
23 Je ne peux pas vous guérir. Si je pouvais vous guérir, je le ferais. Voyez, vous savez que je le ferais. Si je pouvais prendre... si pour vous guérir... Si je pouvais prendre une–une pièce de 25 cents–25 cents, la poser sur le sol, et la pousser à l’aide de mon nez en montant et en descendant cette rue toute la journée, pour alors vous voir guéri, je le ferais. Eh bien, Dieu connaît mon coeur. Voici la Bible. Et c’est vrai. Je le ferais. Mais cela ne servirait à rien. Voyez? Mais le... Et maintenant, si jamais quelqu’un venait par ici et disait: «Je peux vous guérir», ne croyez pas cela (Voyez-vous?), parce que même la médecine ne guérit pas. Dieu est le seul Guérisseur qui existe. «Je suis l’Eternel ton Dieu qui guérit toutes tes maladies.»
24 Lorsque ce petit Canadien Donny Morton... Vous avez lu l’histoire dans le Reader’s Digest, lorsqu’on l’avait amené de si loin jusque là, il était handicapé moteur et infirme à tel point que l’hôpital John Hopkins, les frères Mayo et tous l’avaient abandonné. Et il est venu à Costa Mesa, et il était à la réunion. Et le Saint-Esprit a parlé. Le Reader’s Digest a écrit cela, il a dit que le–il a dit: «L’évangéliste n’a même pas posé des questions au garçon. Il lui a dit qui il était, il lui a dit ce qu’il avait fait, d’où il venait, et ce qu’il en était.» Et le garçon fut guéri. Voyez?
Et ensuite, j’ai été appelé chez les frères Mayo pour un entretien à ce sujet, et ils ont dit... J’ai dit: «Bien, je...» Ils n’y ont pas mentionné le nom des frères Mayo, il–il y avait le Reader’s Digest, et c’était–c’est ce que le père avait dit. Mais, bien sûr, le rédacteur ne pouvait pas dire cela au sujet d’un hôpital, et ce qu’il a dit.
Beaucoup de grandes... Si vous lisez cet article, il est dit que beaucoup de grandes cliniques partout aux Etats-Unis et au Canada l’avaient abandonné. Un handicapé moteur, infirme, du nom de Donny Morton. Lisez le Reader’s Digest du mois d’octobre, cela fait environ quatre ans. Et ensuite, il a dit que ce petit bé-... ce petit garçon d’environ huit ans...
25 Oh! c’est une histoire pathétique, de voir comment ce petit frère canadien était sur un traîneau. Il a dit qu’il connaissait des filles sourdes-muettes qui ont été amenées dans mes réunions auparavant et le Seigneur en avait guéri une. Et l’une d’elles chante dans une église, et l’autre est une téléphoniste: ainsi donc les deux étaient sourdes-muettes.
Alors, il a dit: «Nous ne sommes pas vaincus, Donny. Allons dire...» Et la mère et les autres pensaient qu’ils pouvaient peut-être prendre cinquante dollars, et venir tous aux Etats-Unis, et amener Donny à la réunion, et tout le reste. Cela ne suffisait même pas pour payer un seul billet d’avion. Ils ont dû venir par bus, ils ne pouvaient même pas venir par train. Et lorsqu’ils sont arrivés là, ils ont dû recourir au Travelers Aid pour atteindre le lieu où se tenaient les réunions.
Et le Saint-Esprit lui a dit qui il était, d’où il venait, et ainsi de suite–et le père, un homme de petite corpulence, tenait son enfant. Et ainsi... Alors, cela lui a dit exactement ce qui allait arriver. Et le Seigneur a guéri cet enfant pour la gloire de Dieu. Et lorsque j’ai été interviewé là-dessus, ils ont dit chez les frères Mayo: «Révérend Branham, nous ne déclarons pas être des guérisseurs. Nous déclarons seulement assister la nature. Il n’existe qu’un seul Guérisseur. C’est Dieu.» Ça, c’est la meilleure déclaration, n’est-ce pas? Voyez?
26 Le médecin peut remettre en place un bras fracturé, mais il ne peut pas le guérir. Le médecin peut arracher une dent, mais il ne peut pas guérir l’endroit d’où elle a été arrachée. Il peut faire l’ablation d’un appendice, mais qui va guérir? Voyez, il n’existe aucun médicament qui produise des cellules. La cellule c’est–c’est la croissance (Voyez?), et rien ne peut guérir cela. Personne ne le peut. Et pour avoir la croissance, il faut une multiplication des cellules, ce qui est une création. Et il n’existe qu’un seul Créateur: c’est Dieu. Voyez? Et c’est Lui qui doit souder cela ensemble, remettre cet os ensemble. Le médecin peut remettre cela en place, mais (Voyez-vous?) ils doivent... Il faut que le calcium, le potassium et le reste entrent dans cet os pour le ressouder. Maintenant, si je démarrais ma voiture à la manivelle par ici, ou que je tripotais ma voiture et que je me fracturais le bras, et que je courais au cabinet d’un médecin et disais: «Docteur, vous êtes un guérisseur. Guérissez vite mon bras. Je dois finir de démarrer ma voiture.»
Il dirait: «Vous avez besoin d’une guérison mentale, mon gars.» C’est juste.
«Eh bien, puisque vous êtes un guérisseur, guérissez mon bras.» Il n’est pas un guérisseur. Voyez-vous?
Il dirait: «Je peux remettre votre bras en place. Mais c’est Dieu qui doit guérir cela.»
Ainsi donc (Voyez?), les Ecritures ont toujours raison. «Je suis l’Eternel qui guérit toutes tes maladies.» C’est juste. Nous sommes reconnaissants pour les hôpitaux, pour les médicaments et tout le reste. Ils aident la nature, mais ils ne guérissent pas. Non, ce ne sont pas des guérisseurs. C’est Dieu qui est le Guérisseur. Les Ecritures ne peuvent mentir. Voyez?
27 Eh bien, je pense que c’est la raison pour laquelle je prends tant de temps. Vous êtes si gentils, je me tiens simplement là et je vous parle, et vous voilà. Mais vous savez quoi? Je ne... Je suis juste de passage cette fois-ci. Je n’ai qu’un tout petit moment à rester avec vous. Mais j’aimerais prendre un rendez-vous avec vous; puis-je le faire, avec vous tous? Après que nous aurons traversé le fleuve de l’autre côté, et que nous serons redevenus des jeunes hommes et des jeunes femmes, j’aimerais–j’aimerais prendre un rendez-vous de mille ans avec chacun de vous.
Nous nous assoirons sous les arbres à feuilles persistantes, et nous nous assoirons là et nous causerons, et Abraham viendra là, et nous nous lèverons et lui serrerons la main, et Daniel viendra là, nous lui serrerons la main, et nous sauterons, et nous crierons un petit peu, et nous nous rassoirons, et nous parlerons tout simplement de Port Alberni, de ce moment où–de ce moment où nous avions tenu la réunion ici. Eh bien, pour certaines personnes, cela pourrait sembler de la fiction. Mais c’est la vérité. Amen. C’est tout aussi vrai que possible.
28 Maintenant, avant que nous priions pour les malades, ou quoi que ce soit que nous faisons... Et maintenant, j’aimerais que vous sachiez que la guérison divine... Nous ne cherchons pas à en faire notre grand appui. Le docteur F. F. Bosworth, un grand ami à moi, qui est allé tout récemment au Ciel, un vieil homme authentique (Beaucoup d’entre vous ont entendu parler de Fred Bosworth.) était un homme pieux, un saint vieil homme. Et il disait: «La guérison divine, c’est juste comme lorsque vous allez à la pêche.» Il disait: «Vous ne montrez jamais l’hameçon au poisson; vous lui montrez l’appât. Il saisit l’appât et avale l’hameçon.»
Ainsi c’est... Ainsi–ainsi, le ministère de Jésus-Christ, à quatre-vingt-six pour cent, était basé sur la guérison divine. Cela attire l’attention des gens, lorsqu’une chose surnaturelle s’est produite, et que les gens croient alors en un Dieu puissant. C’est ce que cela fait. Voyez-vous? Donc, la guérison divine est une chose mineure, et vous ne pouvez jamais accorder la primauté à ce qui est secondaire. C’est juste, n’est-ce pas, Madame Byskal? C’est juste. Vous ne pouvez jamais accorder la primauté à ce qui est secondaire.
29 Ainsi, nous devons nous souvenir que ceci est juste quelque chose... Eh bien, tel que je vois réellement cela... Eh bien, nous avons de grands hommes dans le monde aujourd’hui, de grands hommes: Tommy Osborn, et–et–oh! quels sont tous les autres? Oral Roberts et ces hommes... Vous avez de grands hommes à travers le Canada, qui viennent et pratiquent la guérison par la prière, l’imposition des mains aux malades. Oh! je respecte cela. Oh! la la! Ce sont des hommes de Dieu, qui ont une grande foi pour persévérer.
Mais quelqu’un m’avait écrit une lettre il y a des années lorsque cela venait de commencer. Il a dit: «Frère Branham...» C’était de bonnes critiques et j’apprécie cela. Au moins, vous savez où vous vous tenez, aussi longtemps que les gens ne se montrent pas (oh!) très méchants à ce sujet, vous savez, mais qu’ils veulent juste être un frère et vous dire là où vous êtes dans l’erreur. Et j’apprécie cela. J’apprécie toujours les critiques, aussi longtemps que c’est–c’est en ordre. Et ensuite, cet homme a dit: «Vous savez, Frère Branham, a-t-il dit, Oral Roberts prie pour cinq cents personnes quand vous, vous priez pour deux personnes.» Il a dit: «Vous êtes l’homme le plus lent que j’aie jamais vu.»
«Bien, ai-je dit, ce–c’est vrai.» Je lui ai répondu...
Et il a dit: «Frère Roberts peut se tenir là et imposer les mains aux gens comme cela, et prier pour eux au fur et à mesure qu’ils défilent, et prier pour eux comme cela, et vous, vous êtes là, occupé toujours avec une seule personne.» Voyez?
J’ai dit: «Mais vous voyez, Dieu a donné à frère Oral Roberts une manière de prier pour les malades, et Il m’a donné à moi une autre manière de prier pour les malades. Et frère Oral Roberts fait cela de la manière que Dieu lui a montrée; moi je le fais de la manière que Dieu m’a montrée.» C’est juste.
30 Et j’ai dit: «Eh bien, voici le problème. Lorsque vous regardez... Qu’arriverait-il si, par exemple, vous aviez une grande foi... (Laissez-moi voir–dire juste une chose. Bien souvent ceux qui manquent cela viennent.) Eh bien, disons, par exemple, que nous avons une grande foi, et voici un homme qui se tient ici sur l’estrade, qui passe un glorieux moment à crier, avec la gloire de Dieu tout autour.» J’ai dit: «Eh bien, peut-être que cet homme a volé de l’argent; il a mené une mauvaise vie; peut-être qu’il a commis un acte immoral avec une femme, ou qu’il a commis un meurtre, ou quelque chose du genre, et que Dieu a placé cette maladie sur lui.» Vous savez, Dieu utilise la maladie pour nous corriger et pour nous ramener à Lui. Croyez-vous cela? Assurément, le... Considérez Job et la façon dont le Seigneur le châtiait.
Maintenant, vous devez faire attention, avec les dons prophétiques vous pouvez vous créer des ennuis. Certainement. Eh bien, qu’en serait-il si cet homme avait fait quelque chose de mal et que moi, je me tienne là, avec une très grande foi de bulldog (comme nous l’appelons ici en Amérique), et que je le prenne et dise: «Alléluia! alléluia! Satan, libère-le! Gloire à Dieu!» Et que j’ôte cette maladie de lui, alors que Dieu l’avait placée sur lui dans un but. J’aurai des ennuis avec Dieu. Voyez-vous ce que je veux dire?
31 Il se peut que vous ne compreniez pas cela. Attendez, laissez-moi vous donner un passage des Ecritures. Je sais que vous ne douterez pas des Ecritures. Tenez, considérons Moïse. Combien croient que Moïse était un prophète, un grand prophète? Dieu a dit à Moïse: «Va là-bas et parle au rocher.» Et Moïse est allé là-bas et a fait ce que Dieu lui avait dit de ne pas faire. Il a frappé le rocher. Il l’avait frappé la première fois, mais Dieu lui avait dit de parler au rocher. Et le rocher était Christ. Il fut frappé une seule fois. Cela représentait donc la faiblesse du Sang de Christ au... Et Moïse l’a frappé la première fois, et les eaux sont sorties. Ensuite, les enfants d’Israël ont de nouveau crié, et ils n’arrêtaient pas de réclamer plus d’eaux et d’autres choses, et Dieu lui a dit d’aller parler au rocher.
Mais il a frappé le rocher, les eaux n’en sont pas sorties. Et il l’a de nouveau frappé. Il avait le pouvoir de le faire. Il était un prophète. Et les eaux sont sorties. C’est juste. Qu’est-ce que Dieu a fait? Il a dit: «Monte ici, Moïse.» Il a dit: «Vois-tu ce pays de l’autre côté? Tu n’y entreras pas. Tu ne M’as pas obéi là au rocher.» Vous vous souvenez de ce récit, n’est-ce pas? Il avait le pouvoir de le faire, mais il aurait mieux fait de faire attention à la manière dont il utilisait cette puissance.
32 Considérez Elie. Il était chauve, et il descendait la route, et quelques petits enfants se sont mis à crier: «Vieux chauve, vieux chauve, pourquoi n’es-tu pas monté comme–comme Elie?», se moquant de lui. Eh bien, c’était normal. Ces petits enfants, ils ne... Peut-être–peut-être que c’était leurs parents qui leur avaient enseigné à faire cela, c’était des petits enfants. Ils se moquaient de ce prophète. Et ils l’ont irrité, et il s’est retourné et a prononcé une malédiction sur ces enfants, au Nom de l’Eternel. Et deux ours sont sortis de la forêt et ont tué quarante-deux petits enfants innocents.
Eh bien, cela ne reflète pas la nature du Saint-Esprit, n’est-ce pas? Non. Tuer ces petits enfants... Voyez? Mais c’était un prophète en colère (voyez?), il a maudit les enfants. Il devait être reconnu, parce qu’il était un prophète. Voyez? Ainsi, vous devez faire attention.
33 Remarquez, dans cette ligne de prière. Je vois quel est le problème de la personne, je le lui dis. Ensuite, je surveille cela, je vois ce qu’ils vont dire ou faire. Je vois ce que Lui me dit de faire. S’il y a quelque chose qui ne marche pas, cela restera noir, sombre et froid; je dis: «Partez, et que le Seigneur vous bénisse.»
Mais alors si ce n’est pas le cas et que je voie cela être accompli, je vois la personne dans le futur, alors je dis: «AINSI DIT LE SEIGNEUR», vous voyez? Alors, vous voyez que cela est donc en ordre. Cela se produira.
Maintenant, priez tout simplement, croyez, et un jour j’espère que je serai de retour parmi vous, alors nous pourrons rester longtemps ensemble. Si donc le Seigneur le veut.
34 Maintenant, j’aimerais lire dans les Ecritures un petit passage qui nous est familier, et il se trouve dans Mathieu, chapitre 12, à partir du verset 41.
Et les hommes de Ninive se lèveront, au jour du jugement, avec cette génération et la condamneront, parce qu’ils se repentirent à la prédication de Jonas; et voici, il y a ici plus que Jonas.
La reine du Midi se lèvera, dans la génér-... au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.
Maintenant, j’aimerais prendre comme sujet: Il y a ici plus que Salomon, Il y a ici plus que Salomon. Et comme texte, j’aimerais prendre: Reconnaître le don et le signe de Dieu. Maintenant, prions.
35 Notre Père céleste, nous venons de lire Ta Parole, et Tu es la Parole. Et Tu as toujours été la Parole. Et maintenant, nous Te remercions de la foi que nous avons pour reconnaître et croire que tout marche exactement comme prévu. Ce soir, cette réunion se déroule exactement à l’heure, et le monde et toutes ses réalisations sont exactement à l’heure.
Ô Père, lorsque nous sommes allés à la foire internationale il y a quelques jours, de voir les réalisations que l’homme a accomplies, et de quelle manière il a progressé, les gens venant du monde entier s’étaient rencontrés pour voir ce que le monde est en train d’accomplir, découvrant les meilleurs oeuvres qu’ils ont accomplies... l’Allemagne, l’Angleterre, la Suisse, le monde entier exposait ce qu’ils ont été capables de réaliser comme progrès.
Et ensuite, Seigneur, nous sommes venus dans cette petite ville reculée, ici à Port Alberni, où se trouvent quelques Indiens isolés de l’île, qui savent ce que c’est remercier Dieu pour une bonne prise de poissons, honnêtement et sincèrement, qui peuvent se tenir sur la montagne et voir le soleil se coucher et crier, et rendre gloire à Dieu lorsque les oiseaux se lèvent le matin et se mettent à chanter, et qui peuvent voir Dieu dans la nature, et L’entendre crier dans les mouettes, L’observer battre Ses grandes ailes dans l’air...
36 Mais nous nous sommes rassemblés ici pour une foire internationale dans le spirituel, pour voir ce que Dieu a été capable d’accomplir avec Son Eglise au travers des âges, comment Il est passé de–de la confession aux dons, aux miracles, au parler en langues, et aux prodiges; et maintenant, Il en arrive carrément au dernier signe, Dieu dans Sa glorieuse affaire, montrant au monde ce qu’Il a été capable d’accomplir avec Son peuple. Et nous sommes si heureux de faire partie ce soir, Seigneur, d’un groupe des gens qui croient cela, et qui sont sincères, qui voyagent partout pour trouver la bonté de Dieu.
Maintenant, Père céleste, bénis Ta Parole. Bénis Ton peuple partout. Sauve les perdus, Seigneur. Ô Dieu, ils doivent mourir un jour, nous le savons. Et je crois, Seigneur, que ce soir il se fera que nous serons ce genre des Gentils que Jésus avait admirés.
Nous lisons dans la Bible que Jaïrus, lorsque sa petite fille était couchée, malade et mourante, il a dit: «Viens imposer les mains à mon enfant, et elle sera guérie.»
Mais lorsque le Romain, le Gentil est venu, il a dit: «Je ne suis pas digne que Tu entres sous mon toit. Dis simplement un mot, et mon serviteur vivra.» Alors, Tu t’es retourné, Tu as regardé Israël, et Tu as dit: «Je n’ai pas trouvé une telle foi en Israël.»
Maintenant, Père, nous ne cherchons pas à imposer les mains aux malades, de crainte que, après mon départ, ils puissent dire qu’«un certain frère est venu ici et m’a imposé les mains». Mais je... Père, ma prière est qu’ils voient que je... ce qu’est le motif de mon coeur, et l’objectif de Ta Parole que j’essaie de leur apporter, qu’ils voient que leur Sauveur, Jésus, est avec eux. Il vit à jamais. Il est vivant. Deux mille ans de critiques et de froideur n’ont pas pu Le tuer. Il est encore vivant juste au milieu de nous ce soir.
Et puisse les gens voir Sa Présence, Le voir à l’oeuvre, ne pas attendre que quelqu’un leur impose les mains, mais que par la foi ils croient au Christ ressuscité, et qu’ils reçoivent leur guérison et leur salut, et qu’ils sillonnent les îles, témoignant comme cette petite dame dont nous avons parlé hier soir, de la ville de Sychar, au pays des Samaritains. Accorde-le, Seigneur.
Nous sommes Tes serviteurs, nous nous recommandons humblement avec ce texte ce soir. Parle, Seigneur. Nous sommes dans Tes mains. Fais de nous ce que Tu trouves convenable. Nous le demandons au Nom de Jésus. Amen.
37 Maintenant, dans ces réunions (à vous du clergé) j’ai essayé de garder cela très simple, juste le message et–de la guérison, afin que nous puissions regarder à notre Seigneur. Maintenant, bien des fois les gens vont çà et là, vous savez... Et c’est simplement humain. Ils disent: «Oh! frère Untel, alléluia! ne pensez-vous pas qu’il avait un don de Dieu? Il m’a imposé les mains. Alléluia!»
Non. C’était votre foi qui a fait cela. Voyez? C’était votre foi, pas les mains du frère. C’était votre foi (Voyez?), parce que si la guérison se trouve dans les mains d’un homme, alors qu’est-il advenu du Calvaire? C’est là qu’Il a payé le prix de notre guérison. C’est notre foi individuelle dans Son oeuvre achevée. Tout homme sait cela. Voyez-vous? Alors, par conséquent, je ne suis pas venu pour essayer de dire: «Que tout le monde avance ici, et que je vous impose les mains.» J’essaie de dire cela afin d’édifier votre foi.
38 Maintenant, l’un de vous... Qu’en serait-il si l’un de vous les frères et soeurs indiens tombait malade là dans l’une de ces îles? Vous penseriez: «Eh bien, je suis pauvre, je n’ai pas d’argent. Si je pouvais aller aux Etats-Unis, aller jusque là-bas chez frère Branham, ou aller jusque là-bas chez Oral Roberts...» Eh bien, peut-être que chez frère Roberts, cela vous prendrait probablement des mois pour y arriver.
J’ai trois cents personnes là-bas sur la liste d’attente en ce moment, venant de par le monde. Mais ça c’est pour un entretien privé. Voyez-vous, lorsque nous arrivons là-bas, je prends un cas comme cela, nous ne lâchons jamais cela. Nous laissons cela tranquille jusqu’à ce que Dieu le révèle. Il faut que Dieu révèle ce que la personne doit faire, ce qu’elle a fait et ainsi de suite comme cela. Eh bien, ce sont des entretiens privés. C’est quelque chose dans la vie. Nous avons le plan qui est exposé ici dans la Bible, mais la vie privée pour les choses... Oh! cela prendrait des années. Je pourrais écrire des volumes de livres sur ce que je L’ai vu accomplir. Et pas une seule fois cela n’a failli. Pas une seule fois cela ne faillit. Demandez à n’importe qui n’importe où. Cela ne faillit jamais. Cela ne peut faillir. C’est Dieu. Voilà une seule chose que Dieu ne peut pas faire. Il ne peut pas faillir. Il ne peut pas faillir.
39 Maintenant, croyez donc. Bon, Jésus réprimandait cette génération-là de ne pas croire Son signe par lequel Il leur prouvait qu’Il était le Messie. Eh bien, nous avons abordé cela hier soir, montrant qu’Il était le Messie parce qu’Il était la Parole. Est-ce vrai? Or, Messie signifie «le Christ, l’Oint». Et alors, Il devait être le Roi, le Dieu Prophète, et voici que l’Esprit était en Lui. Maintenant, souvenez-vous, ceux qui s’en sont vraiment tenus à l’enseignement des Ecritures, ils L’ont reconnu. Mais ceux qui se sont éloignés avec l’autre église par leurs traditions ont manqué cela. Voyez?
Et Jésus, parlant à ces docteurs, a dit: «Vous, par vos traditions, vous annulez la Parole de Dieu.» Maintenant, que feraient-ils avec leurs traditions aujourd’hui, en disant: «Les jours des miracles sont passés»? Ça, c’est une tradition. «La guérison divine n’existe pas.» Ça, c’est une tradition, ce n’est pas la Bible. Je peux montrer à n’importe qui là où Jésus a ordonné Son Eglise et lui a donné la commission d’aller par tout le monde, de prêcher à chaque créature, et que ces miracles accompagneront ceux qui auront cru. Maintenant, j’aimerais que quelqu’un me montre la moindre Ecriture où Il a retiré cela de l’Eglise. Il n’y en a pas. Cela se trouve toujours dans l’Eglise. Ce sont les traditions qui ont tordu cela.
Et c’est pour cette raison qu’ils n’ont pas reconnu Jésus. Parce que leur tradition avait tordu cela et adopté une certaine... Ils pensaient que le Messie viendrait, et sans doute ils ont bâti un temple, et ils ont dit: «Il descendra les corridors des cieux. Une fanfare d’anges jouera la musique, et Il viendra comme cela.» Et qu’est-ce qu’Il était? Il est né dans une crèche, dans une–une–une étable où se trouvaient des vaches et des animaux, dans une petite caisse remplie de paille, et Il était supposé être un Enfant illégitime, Son père et Sa mère n’étant pas mariés. Tout... Oh! la la! le diable avait brossé un–un horrible tableau de Lui.
40 Et ils ont dit: «Un Homme comme cela? Non. De quelle école sort-Il? Où a-t-Il reçu Son instruction? Eh bien, Son papa était un charpentier, et puis, on prétend qu’Il est le Fils de Dieu.» Voyez, ils ne pouvaient pas le croire. Mais cependant, Il était tellement phénoménal qu’on ne pouvait pas nier que la chose était là. Et alors, ils ont simplement dit: «Oh! Il est du diable.» Et c’est la même chose aujourd’hui. Ils traitent cela de la même façon, parce que la sagesse a été justifiée par ses enfants. Savez-vous...
Quand j’ai fait une remarque hier soir, j’ai senti cela parcourir l’assistance, c’était une sorte de sensation drôle lorsque cela est retourné. Et lorsque j’ai dit: «L’instruction a été la marque de l’antichrist tout au travers des âges.» ... L’instruction est le pire ennemi que l’Evangile ait jamais eu.
41 Ecoutez. Je suis sorti du sujet, mais juste pour un instant. Prenons simplement la lignée. Il y a eu Caïn et Seth. Abel a été tué, et Caïn a été suscité à sa place: la mort, la résurrection de Christ. Et les enfants de Caïn étaient tous des gens doués, intelligents, des hommes de science, tout du long jusqu’au temps de Noé. Et les enfants de Seth étaient d’humbles fermiers, des éleveurs de moutons, des paysans tout au long des âges. Il en a toujours été ainsi. Voyez?
Lorsque Jésus vint, les pharisiens, les sadducéens, et les instructeurs, voyez où ils se trouvaient. Des religieux? Oh! des saints? Oh! la la! vous ne pouviez rien pointer du doigt dans leur vie. Mais vous voyez, ils étaient des incrédules. Tout celui qui doute d’une seule ponctuation de la Parole de Dieu est un incrédule. Peu importe combien vous êtes religieux; Satan aussi est religieux. Vous devez croire la Parole. Et si vous avez le Saint-Esprit, le Saint-Esprit ponctuera chaque Parole d’un–chaque phrase d’un «amen». Voyez? Il n’en retranchera jamais rien. Il croira Cela. Voyez?
42 Alors, lorsque Jésus est venu, où a-t-Il trouvé Ses disciples? Est-Il allé chez Caïphe pour demander: «Quel est le groupe le plus intelligent que vous avez?» Il a contourné ceux-là. Ils n’allaient pas croire en Lui.
Où est-Il allé? Il est allé et a pris les Indiens de ce temps-là, les pêcheurs sur la rivière (C’est l’exacte vérité.), des hommes qui ne savaient même pas écrire leur propre nom. La Bible dit que Pierre et Jean étaient des hommes du peuple sans instruction. C’est juste. Mais ils ont pu guérir un homme à la porte appelée la Belle au Nom de Jésus-Christ. Et Il a plu à Dieu de donner les clés du Royaume à un homme qui ne savait pas écrire son nom, en disant: «Tout ce que vous lierez sur terre, Je le lierai dans les Cieux.»
43 Pourquoi l’instruction joue-t-elle un si grand rôle aujourd’hui, détournant et éloignant les gens de Dieu au lieu de les amener à Dieu? Paul... Vous direz: «Qu’en est-il de Paul?» Mais qu’est-ce que Paul a dit? Il avait oublié tout ce qu’il avait appris, et il a dit: «Je ne suis pas venu vers vous avec la sagesse de l’homme, avec de grands discours persuasifs, afin que votre foi ne soit pas bâtie sur de telles choses, mais je suis venu vers vous avec la puissance de l’Esprit, afin que votre foi repose sur la résurrection de Jésus-Christ.»
[Espace vide sur la bande–N.D.E.] ... et s’adressait à eux, les réprimandait parce qu’ils n’avaient pas cru en Lui. Il a dit: «Si Je ne fais pas les oeuvres de Mon Père, alors ne Me croyez pas.» Et ici, Il leur disait...
44 Maintenant, souvenez-vous, dans tous les âges, Dieu a toujours accompli le surnaturel, parce qu’Il est surnaturel. Avez-vous déjà pensé à ce que Dieu était? Laissez-moi vous brosser un petit tableau maintenant, avant que je parte... (Oh! je ne... je suis béni et je ne serai pas en mesure de le faire. Oui, je le suis. Je vais essayer de le faire de toute façon.)
Au commencement, avant qu’il y eût quoi que ce soit, Dieu était là. Avant qu’il y eût une météorite, avant qu’il y ait une lumière, avant qu’il y eût un atome, avant qu’il y eût une molécule, Il était Dieu. Mais Il ne pouvait pas... Il était la grande puissance qui contrôlait tout. Et tout était en Lui.
Eh bien, en Lui il y avait des attributs. Savez-vous ce que signifie un attribut? Levez la main, tout celui qui sait ce que c’est qu’un attribut. Sûrement que vous savez ce qu’est un attribut. C’est quelque chose qui se trouve en vous, cela–qui doit se manifester. C’est comme un attribut... C’est comme quand vous aimez les paysages, lorsque vous voyez les paysages, c’est simplement quelque chose... Oh! la la! vous en êtes simplement ravi.
45 Maintenant, en Dieu... Il n’était pas encore Dieu, parce que Dieu est un objet d’adoration, et il n’y avait rien pour L’adorer. Il était Dieu, mais Il n’était pas Dieu dans ce sens-là. Puis, Il a dû créer les anges, alors, ceux-ci ont commencé à L’adorer. Ensuite, Il avait un attribut d’être un Père. La chose suivante, Il avait un attribut d’être–d’être un Fils. La chose suivante, Il avait un attribut d’être un Guérisseur, ensuite, l’attribut d’être un Sauveur. Voyez? Et toutes ces choses devaient se manifester. Voyez? Et Dieu a-t-Il amené l’homme à pécher, afin qu’Il puisse le punir? Non. Et Il l’a placé sur la base du libre arbitre, et l’homme a péché lui-même. Alors par conséquent, Dieu est devenu un Sauveur à ce moment-là. Voyez?
Ainsi, c’est seulement la manifestation des attributs de Dieu que nous voyons, et tout arrive parfaitement à l’heure. Chaque don, tout se passe exactement en suivant le tic-tac de la montre. Elle–elle est juste là.
46 Or, Jésus, en Son temps, était venu afin de manifester les attributs de Dieu; Dieu s’est manifesté en Lui. Remarquez. Maintenant, Il a manifesté ce signe du Messie. C’était... incroyant... Et dans tous les âges Dieu a accompli des signes à l’intention du peuple. Et alors, lorsque les gens croyaient ces signes-là, c’était un âge d’or pour le peuple. Mais lorsqu’ils ne croyaient pas cela, c’était le chaos pour le peuple. C’est juste. Maintenant, laissez-moi répéter cela, parce que je vais juste prendre quelques minutes maintenant.
Suivez. Lorsque Dieu envoie un don et que le peuple croit cela, c’est un temps glorieux pour le peuple. Mais lorsque Dieu envoie un don et que le peuple rejette cela, cette génération entre dans la destruction. Eh bien, remarquez. Qu’en serait-il si le monde aujourd’hui recevait le don de Dieu?
47 Faisons un recul dans le passé pendant une minute. Noé était–est venu avec un don de Dieu en tant que prophète; il disait qu’une tempête venait et qu’elle allait recouvrir d’eau toute la terre. Eh bien, cela ne cadrait pas avec les idées scientifiques de ce jour-là. Souvenez-vous, en ce temps-là, ils étaient plus avancés en science que nous le sommes aujourd’hui. Ils avaient bâti des pyramides et le sphinx, que nous ne saurons pas bâtir aujourd’hui. Ils embaumaient les corps pour qu’ils gardent l’aspect naturel, même jusqu’à ce jour: une momie. Nous ne pouvons pas faire cela. Ils avaient des teintures que nous ne pouvons pas reproduire. Ils étaient des hommes de science plus avancés que nous le sommes aujourd’hui. Et maintenant, lorsque ... ils pouvaient probablement aussi sonder la lune avec le radar. Et Noé, cet homme se tenait là, après avoir entendu Dieu, et il prêchait et prophétisait que Dieu allait détruire le monde par l’eau. La pluie allait tomber des cieux. Eh bien, je peux entendre l’homme de science s’approcher là, et dire: «Ecoute, nous avons un instrument avec lequel nous pouvons directement atteindre la lune.» Vous savez, il n’avait jamais plu à l’époque. Dieu arrosait la terre à partir des sources, il n’y avait jamais eu de pluie dans les cieux. L’inclinaison de la terre après la destruction du monde antédiluvien, c’est ce qui provoque les pluies. Alors Noé a dit que la pluie allait tomber des cieux, et les gens n’ont pas cru cela. La science a dit: «Il n’y a pas une seule goutte de pluie là-haut, il n’y a pas d’eau. Comment pourrait-il pleuvoir?» Noé disait: «Si Dieu a dit qu’il va pleuvoir et que la pluie viendra de là-haut, c’est que Dieu est capable de mettre la pluie là-haut.» Voyez-vous? Mais les gens n’y croyaient pas. Un jour il plut. Voyez? Et cette race-là, parce qu’ils n’avaient pas cru cela, ils ont été détruit: le monde entier.
48 Des années plus tard, vint un prophète du nom de Moïse, venant du désert, avec une Colonne de Feu au-dessus de lui. Et il leur apportait la promesse de Dieu, leur disant que Dieu avait promis par Sa Parole de les amener dans un pays où coulaient le lait et le miel. Et il avait cette Colonne de Feu au-dessus de lui, et Dieu oeuvrait avec lui afin de prouver à ces Juifs qu’il était un prophète.
Il a dit: «Demain, apprêtez tout, parce que telle chose va se produire.» Et cela s’est produit exactement à la lettre. Il était un prophète.
49 Remarquez. Je pensais l’autre jour combien cela devait être glorieux pour Israël, lorsqu’ils ont entendu cela. Ils ont cru en lui. Remarquez, ils étaient–ils étaient des esclaves. On–on–on leur jetait du pain moisi; ils devaient soit manger cela, soit passer la journée à jeun. Si ces Egyptiens voulaient prendre leurs jeunes filles et les violer, que pouvaient-ils faire à ce sujet? Rien. S’ils voulaient prendre leurs jeunes garçons et les tuer, que pouvaient-ils faire à ce sujet? Rien. Ils étaient des esclaves, et cependant, ils étaient le peuple de Dieu. Amen.
Remarquez. Eh bien, et ici ils étaient le peuple de Dieu dans ce genre de condition, et ce prophète est venu avec l’AINSI DIT LE SEIGNEUR, conformément aux Ecritures. «Dieu, notre Père, avait rencontré Abraham et lui avait dit que sa postérité séjournerait dans une terre étrangère pendant quatre cents ans, et qu’ensuite Il les ferait sortir par une grande promesse et par une grande puissance. Il les délivrerait, et les amènerait dans un bon pays où Abraham a séjourné. Et c’est... l’heure est proche.»
50 N’importe quel homme aurait pu dire cela, mais cet homme-ci avait la Colonne de Feu au-dessus de Lui. Et il était un prophète. Et ce qu’il disait s’accomplissait exactement tel qu’il l’avait annoncé. Oh! la la!
Israël a cru cela. Qu’ont-ils fait? Ils sont sortis de l’Egypte sous cette Colonne de Feu-là et se sont mis en route vers une Terre promise qu’ils n’avaient jamais vue et dont ils ne connaissaient rien. Et aucun d’eux n’y avait jamais été, mais ils sont partis parce que la Parole de Dieu leur avait dit de partir. Ils étaient dans la ligne du devoir.
J’espère que je ne parle pas trop fort. Je suis habitué à prêcher en plein air et tout. Un instant. Remarquez. Je vais me tenir un peu en retrait.
Remarquez, ils ont suivi ce prophète à travers le désert, et Dieu les a nourris dans le désert. Il pourvoyait à tous leurs besoins, Il faisait pleuvoir du pain des cieux pendant la nuit et les nourrissait, Il les a conduits jusqu’à ce qu’ils sont arrivés à un endroit appelé Kadès Barnéa. Kadès Barnéa était autrefois le trône du jugement du monde.
51 Et ils avaient avec eux un grand guerrier du nom de Josué. Et le mot Josué signifie «Jéhovah Sauveur». Il est sorti du camp, il a traversé le Jourdain. Personne n’avait jamais été là-bas auparavant. Ils ne savaient pas que le pays se trouvait là, si ce n’est par la promesse de Dieu. Et il a traversé le Jourdain, il est entré dans la Terre promise, et il a ramené la preuve que ce pays était exactement tel que Dieu l’avait décrit. Voyez? Il se trouvait là.
Et ce fut à ce moment-là que le peuple, quatre-vingt-dix pour cent d’entre eux n’ont pas cru Josué. Ils ont dû errer pendant un certain temps. Mais Dieu avait fait la promesse, Il les a amenés là-bas. Combien c’est beau! Ils n’avaient plus à travailler sous le joug de Pharaon. Ils pouvaient épouser leurs femmes, se construire une petite maison dans le pays, cultiver leur nourriture et tout le reste et en manger, et élever leurs enfants en paix. Les nations les craignaient et tout. Après quelque temps, les flancs des collines de ce beau pays furent couverts des tombes.
52 Puis, vint le plus grand de tous les guerriers, Jésus. Et Il a dit que Dieu a préparé un endroit où la mort n’existe pas (Amen.), un endroit où nous pouvons vivre éternellement, bâtir des maisons et les habiter, nous planter des vignes et en manger les fruits, que nous n’allons pas les laisser à quelqu’un d’autre. Amen. «Il y a plusieurs demeures dans la maison de Mon Père. Si cela n’était pas, Je vous l’aurais dit. Et Je vais vous préparer une place, et Je retournerai pour vous prendre avec Moi, afin que là où Je suis, vous y soyez aussi.» Il a promis cela, qu’il y a une Vie après la mort. Un autre grand Josué... Il n’y avait jamais eu quelqu’un qui était allé de l’autre côté et en était revenu. Tout simplement un autre grand Josué...
53 Remarquez. Ensuite, quand Il est arrivé à cet endroit-là, Il a rencontré Son Kadès Barnéa, le trône du jugement, pour nous tous: le Calvaire. C’est là qu’Il a été jugé pour le péché du monde. Il a traversé le Jourdain de la mort (ça, nous le savons), Il est passé dans l’autre pays, Il est mort. Il est mort si bien que le soleil a cessé de briller, la lune a refusé de briller, eh bien, la terre a eu une dépression nerveuse quand les rochers en ont été secoués et arrachés, lors de Sa mort. Et Il est mort, mais le troisième jour, Il est revenu de l’autre rive du Jourdain, ramenant l’évidence que l’homme vit après sa mort ici. Quel grand Guerrier!
54 Or, Il a dit: «Je vais vous donner le gage de votre salut.» Savez-vous ce que c’est que le gage? C’est l’acompte. Par exemple, si je voulais acheter une barque chez l’un de vous, les frères indiens ici, et que je vienne et dise: «Combien voulez-vous pour votre barque?» Vous diriez: «Deux mille dollars.»
Je dirais: «Eh bien, je vais vous dire ce que je vais faire. Je vais vous donner 50 dollars pour que vous me la gardiez jusqu’à la semaine prochaine. Le ferez-vous? Gardez-moi... Allez-vous la garder pour moi?»
«Je la garderai, Frère Branham.» Alors vous me donnerez un reçu, et je vous donnerai 50 dollars.
Eh bien, vous ne pouvez pas vendre cette barque, parce que j’ai fait la première enchère sur cela. C’est le gage montrant que je vais recevoir la barque. Cela m’appartient.
Eh bien, Dieu est donc revenu, et a dit: «Montez là à Jérusalem, et attendez. Je vais vous envoyer le gage de votre salut.» Et ils étaient tous là-haut, d’un commun accord, en un seul endroit, et soudain, le Gage est venu, Il vint du Ciel un bruit comme celui d’un vent impétueux. Cela remplit toute la maison où ils étaient assis.
55 Maintenant, suivez ceci. Nous pouvons regarder en arrière et voir autrefois quand nous étions des incroyants. Nous voyons là autrefois, quand nous pouvions nous approcher d’une réunion comme celle-ci et nous en moquer. Nous voyons autrefois là dans nos vies, quand nous pouvions critiquer la guérison divine. Nous... Autrefois, nous ne croyions pas en Dieu. Autrefois, nous ne croyions pas en Sa Parole. Mais maintenant, nous avons été ressuscités de cela, nous avons été élevés, nous sommes morts en Christ, nous avons été ensevelis avec Lui, nous sommes ressuscités avec Lui dans Sa résurrection, et maintenant, nous sommes assis dans les lieux célestes en Jésus-Christ. Autrefois...
Voyez-vous, le Gage... Nous voici aujourd’hui dans le Gage de notre salut. Nous nous tenons ici ce soir étant déjà morts, ensevelis en Christ, et ressuscités avec Lui et assis dans les lieux célestes, savourant des choses spirituelles qui viennent de l’autre côté. Voyez-vous, les lieux célestes... Oh! la la! cela nous fait crier, pensez-y.
56 C’est comme une vieille femme de couleur, une soeur noire, qui a dit, là aux Etats-Unis, elle a dit: «Docteur Branham, a-t-elle dit, je–j’aimerais donner un témoignage.»
«Allez-y, soeur. Témoignez.»
Elle a dit: «J’aimerais dire ceci, les amis. Je ne suis pas [haint–N.D.T.]...» (C’est une expression qui est utilisée là dans le Sud), elle a dit: «Je ne suis pas ce que je devrais être, et je ne suis pas ce que je voudrais être. Mais alors, une autre chose dont je suis sûre, je ne suis plus ce que j’étais.» Alors, ce–c’est bon. Elle savait que quelque chose s’était produit. Amen. Moi aussi. Tout homme qui est né de l’Esprit de Dieu sait qu’il n’est plus ce qu’il était. Amen.
Je ne suis pas ce que je voudrais être, et je ne suis pas ce que je devrais être, je ne suis pas non plus ce que j’étais. Voyez? Je suis ressuscité avec Lui. Maintenant, je suis en haut comme ceci, attendant le moment de mon changement.
57 Maintenant, Moïse, Moïse était un serviteur de Dieu. Or, quand Jésus parlait ici, Il a dit: «Les hommes de Ninive se lèveront au jour du jugement parce qu’ils s’étaient repentis après la prédication de Jonas.» Jonas était un prophète.
Or, beaucoup de gens parlent tout simplement en mal du pauvre vieux Jonas, et ils disent qu’il était un–un rétrograde. Je ne le pense pas. Je pense que la Bible dit que l’Eternel dirige les pas du juste. Eh bien, nous faisons des choses qui ne... Nous ne comprenons pas pourquoi nous faisons cela, mais nous nous tenons tout simplement tranquilles. Et aussi longtemps que vous êtes conduit par l’esprit, allez, faites la chose de toute façon. Cela pourrait être contraire à notre pensée, mais lorsque le Saint-Esprit dit: «Vas-y», nous partons. Par exemple, en ce moment même, j’avais une série de réunions qui allaient se tenir à New York; je devrais les tenir cette semaine, là où trois cents Hispanophones ont loué le Madison Square Garden (qui a une capacité de dix-neuf mille personnes), et ils voulaient que cette semaine même, où je suis ici, que je sois à New York. Voyez? Mais le Saint-Esprit m’a conduit ici. Cela semble être contraire à ce qui devait se faire. Mais j’ignore pourquoi, et me voici. Vous voyez, les enfants de Dieu sont conduits par l’Esprit de Dieu. Nous ne comprenons pas. Voyez?
58 Eh bien, les autres frères peuvent aller vers ces gens-là. Eh bien, c’est comme frère Roberts, il ne pourrait pas aller là-bas, il ne pourrait pas venir ici. Il lui faut avoir environ, je pense que c’est environ quinze à vingt mille dollars chaque jour pour des programmes de télévision, et toutes sortes des choses, et–et un immeuble de trois millions de dollars là-bas. Ce frère-là ne pourrait pas venir ici. Vous ne saurez pas parrainer une chose pareille. Vous n’êtes pas un–vous ne saurez pas y faire face. Voyez? Et Tommy non plus et son grand programme, avec des milliers de missionnaires à travers le pays, ne pourraient pas faire cela.
Alors vous voyez, le Seigneur ne me laisse jamais monter jusqu’à ce niveau-là. Il me laisse simplement demeurer à un niveau tel que je peux aller dans chaque petit coin, parce que je n’ai besoin de rien d’autre que Sa Présence. C’est juste. J’étais dans le champ missionnaire avant tous ces frères-là. Mais vous voyez, le Seigneur m’a parlé, disant: «Ne cherche rien de tout cela, ne te mêle pas à l’argent. Laisse cela tranquille.»
Je n’ai jamais de toute ma vie, prélevé une offrande. Voici trente et un ans que je prêche et jamais de ma vie je n’ai prélevé une offrande (Voyez-vous?), parce que... Et je tiens un... J’ai tenu des réunions qui rassemblaient cinq cent mille personnes en un seul lieu. Ensuite, je suis allé tenir une réunion là où l’église ne pouvait accueillir que vingt personnes, mais le Seigneur a dit: «Vas-y.» Voyez-vous? C’est là où Il dit: «Vas-y» qu’il faut aller.
59 Tout récemment... Vous avez entendu parler de frère Roberts, ce grand homme. Et je suis allé... Oh! c’est un aimable frère, un grand ami à moi. Je me suis rendu à son gigantesque immeuble. Je me suis rendu chez Tommy. Et Tommy était ici au–à Portland, lorsque ce fou s’était rué vers l’estrade ce soir-là pour me tuer (Vous avez entendu l’histoire), un homme de très forte corpulence, il a dit: «Je vais t’assommer là au milieu de cette assistance. Je vais te briser le cou.»
Et le Saint-Esprit a dit: «Puisque tu as défié la Parole de Dieu, c’est toi qui tomberas à mes pieds.»
Il a dit: «Je vais te montrer aux pieds de qui je vais tomber», et il a levé son grand poing.
Et j’ai dit: «Sors de lui, Satan!» Et l’homme est tombé très exactement sur mes pieds. Il était là.
Alors Tommy se tenait là. La police est arrivée en courant et a dit: «Nous recherchons cet homme pour le mettre en prison.» Elle a dit: «Est-il mort?»
J’ai dit: «Non, monsieur. Mais faites-le rouler et ôtez-le de mes pieds.» Voyez-vous? Il pesait environ–environ 250 livres [113,3 kg], alors ils l’ont ôté de mes pieds en le roulant, et il était là.
Il a dit: «Est-il guéri?»
J’ai dit: «Non, monsieur. Il adore cet esprit-là.» Il ne... J’avais conduit ces deux policiers à Christ dans le vestiaire là dans le–le Portland Auditorium.
60 Eh bien, maintenant, vous voyez, à cause de cela Tommy est devenu un serviteur de Dieu, et maintenant il–et il va dans les champs missionnaires, et il a accompli une grande oeuvre. Et frère Oral, il y avait là son grand bâtiment. C’est une grande chose de penser qu’un seul homme, un seul homme ait pu placer environ deux millions et demi de dollars ou trois millions dans la construction d’un bâtiment. Ouf! Oh! la la! regardez Tom...
Je suis allé chez Oral Roberts, et il y a cinq cents machines IBM qui fonctionnent. Les mains humaines ne touchent jamais ses lettres. Le–il y a une machine qui les prend, qui écrit cela, qui met cela à l’intérieur de l’enveloppe, qui ferme l’enveloppe, et envoie cela. Il va à la banque, et retire de l’argent, il amène cela dans un très grand camion, et met cela dans un... Un convoyeur va çà et là, et c’est dans plusieurs langues. On retire cela comme cela, afin de prendre soin de leur argent. Eh bien, c’est un... Vous n’avez jamais rien vu de tel dans votre vie. Et c’est une grande chose. Et Oral m’a fait visiter cela, en compagnie de frère Fisher, ainsi que de l’un des missionnaires qui était avec lui là-bas.
Et puis, j’ai vu frère Tommy qui avait son grand bâtiment là-bas. Je me suis dit: «Comme c’est merveilleux! comme c’est bon!» Il m’est arrivé de regarder dehors. Frère...
61 Le policier s’est avancé, et a dit: «Frère Branham, vous ne pouvez pas sortir par cette porte-là.» Il a dit: «Il y a cinquante personnes là dehors qui vous attendent.» Il a dit: «Ils–ils attendent juste pour vous voir.»
Et j’ai dit: «Eh bien, y a-t-il une sortie par derrière?»
Il a dit: «Oui. Sortez par ici.» Et ils ont dit: «Nous allons envoyer un homme par là pour vous prendre.»
Et je suis sorti dans le parking de derrière. Et je faisais les cent pas là en regardant ce gigantesque bâtiment. Oh! la la! c’est juste comme... Je n’ai jamais rien vu de tel dans aucune région du monde. Et c’est un jeune homme pentecôtiste qui a fait cela.
Je me suis dit: «N’est-ce pas merveilleux?» Je me suis dit: «Ô Dieu, combien c’est merveilleux!» Je me suis dit: «De penser simplement au bâtiment de frère Tommy, où... quel gigantesque bâtiment, presque aussi vaste qu’un pâté de maisons, juste pour faire des livres, avec des secrétaires et ainsi de suite, et des machines IBM qui fonctionnent.»
Je me suis dit: «Oh! la la! je n’aimerais pas qu’ils viennent jeter un coup d’oeil chez moi.» Je possède une seule petite machine à écrire placée là au fond d’un camping car. Et je voulais–et j’essayais de trouver quelqu’un pour m’aider à répondre à mes lettres.
Je me suis dit: «Mais mon garçon, pour rien au monde, je n’accepterais toute cette responsabilité. Je n’ai pas assez de cervelle pour gérer cela.» Je me suis dit: «Dieu savait cela.»
62 Et je me tenais là dehors, et alors je suis devenu mélancolique. Je me suis mis à penser: «Ô Dieu, chacun de ces frères a dit que lorsqu’ils ont vu le ministère que Tu m’as donné, cela les a propulsés dans les champs missionnaires.» J’ai dit: «Pour cela, je suis reconnaissant. Nous travaillons tous pour un seul grand endroit qui se trouve là-haut, appelé le Ciel.» Et j’ai dit: «J’en suis reconnaissant. Mais, ai-je dit, je suppose que peut-être tu ne pouvais pas me faire confiance, sachant que je ne serais pas en mesure de m’occuper d’autant d’argent; et que je n’aurais pas l’intelligence pour savoir quoi en faire si je recevais cela.» Et j’ai dit: «Je pense qu’il se fait tout simplement que c’est le cas.»
Et je me tenais là, j’ai senti comme si un petit noeud s’était formé dans ma gorge, parce que... je ne dis pas ceci... Je dis tout simplement ceci parce que c’est la vérité. J’ai entendu une Voix dire tout aussi clairement que vous m’entendez: «Mais Je suis ta portion.»
J’ai dit: «Merci, Seigneur. J’irai partout, à n’importe quel endroit, n’importe quand. J’aimerais faire ce que Tu–ce que Tu veux que je fasse», en remerciant Dieu. Eh bien, frère Osborn, frère Roberts, et frère... tous ces précieux frères à travers le monde, nous travaillons tous pour un seul endroit, un seul endroit. Vous voyez?Et ceci, ce petit don que le Seigneur m’a donné, c’est afin de foncer jusque dans ces petits coins. On ne peut pas être complètement lié par l’argent, par des programmes et des choses comme cela. Je fonce tout simplement jusque dans les petits coins, et je déclenche la chose. C’est tout. Et je–je–je suis reconnaissant pour cette portion. Je suis tellement heureux qu’Il soit ma Portion, et Il est Celui à qui je m’attends.
63 Or, Jonas avait un billet de voyage et devait aller à Ninive, ce que Dieu l’avait appelé à faire; mais il est allé à Tarsis. Maintenant, vous vous dites: «Eh bien, il a fait exactement le contraire de ce que Dieu lui avait dit de faire.» Mais, un instant. Si un prophète est conduit par le Seigneur, cela finit toujours bien. Eh bien, il est allé là-bas et la tempête s’est levée, et–et la mer est devenue houleuse et le navire coulait. Et ils ont lié à Jonas les mains et les pieds et l’ont jeté par-dessus bord dans l’océan; et une baleine l’a avalé.
64 Or, il n’y a pas longtemps ils avaient posé une baleine sur un–un grand wagon plat là à Louisville, dans le Kentucky, cela fait environ quinze ans ou peut-être vingt ans. Et on tenait une conférence. Et le petit homme de science qui tenait cette conférence se moquait de la Bible. Voici ce qu’il disait, il a dit: «Maintenant, j’aimerais que vous... Vous connaissez la légende...» La légende? Cette Bible n’est pas une légende. Elle est la Vérité. Et il a dit: «La légende relative à la baleine qui a avalé Jonas...»
Il a dit: «J’aimerais que vous remarquiez une chose. Vous ne pouvez pas prendre une balle de baseball d’une bonne taille et la faire passer dans la gorge de cette baleine. Alors, pour ce qui est de cette légende, il n’en est rien. Voici une baleine, une baleine de taille normale, et la baleine ne pouvait pas avaler un homme, parce qu’il ne pouvait pas passer à travers sa gorge. C’est–c’est... La dimension maximum que vous pouvez obtenir en dilatant sa gorge est d’environ quatre pouces [10 cm], pour que cet–pour que cet homme soit avalé. Et la chose était impossible.»
C’en était trop pour mes origines irlandaises, vous savez. J’ai dit: «Monsieur, j’aimerais placer un mot.»
Il a dit: «Oui, monsieur. De quoi s’agit-il?»
J’ai dit: «Vous ne connaissez simplement pas votre Bible.» J’ai dit: «Dieu a dit qu’Il avait préparé ce poisson. C’était un poisson d’une constitution spéciale. Voyez? Dieu avait préparé ce poisson. C’était un genre de poisson différent.»
Celui-ci–celui-ci, il aurait pu... Il–il aurait pu avaler une maison s’il le voulait. Dieu est capable de faire ce qu’Il veut. La Bible dit que Dieu avait préparé un poisson. Oh! il avait une grande gorge. Vous voyez?
65 Et alors, Jonas est entré dans le ventre du poisson. Et vous les dames, vous savez donc, lorsque vous nourrissez votre petit poisson rouge, savez-vous ce qu’il fait? Il descend directement au fond du petit bassin, et il étend ses petites nageoires sur le fond, et se repose. Il a le ventre plein. Voyez? Il est tout simplement couché là, se reposant. Il a rôdé dans les eaux jusqu’à ce qu’il a trouvé sa nourriture, et il est descendu et s’est reposé. C’est ce que fait le poisson lorsqu’il a mangé: il remplit son ventre, et il retourne au fond. La truite qu’on a ici va se mettre sous un rocher quelque part et se reposer. Il en est ainsi. Et j’imagine que ce gros poisson avait rempli son ventre avec ce prophète. Alors il est descendu dans l’eau, il est descendu au fond et il s’est reposé.
66 Maintenant, vous dites de Jonas qu’il était dans une [terrible] situation... Il était en mauvaise posture. Beaucoup de gens parlent des symptômes. Ils disent: «Eh bien, on a prié pour moi hier soir, mais je ressens toujours la douleur.» Cela n’a rien à voir avec la chose. «On a prié pour moi. Ma main est toujours infirme.» Cela n’a rien à voir avec la chose. Si vous le croyez, ne regardez pas à cela, regardez à la promesse. Voyez? Ne regardez pas à la main. Ça c’est ce que nous appelons des symptômes, regarder aux symptômes.
Maintenant, il n’y a personne ici qui pourrait avoir des symptômes comme Jonas. Frère, il avait le cas de symptômes les plus horribles que j’aie jamais vus. Ecoutez ceci. Chaque... Eh bien, il était–il était là dans l’océan, ses pieds et ses mains liés derrière lui, et il se trouvait dans le ventre de la baleine, probablement qu’il était à plusieurs mètres de profondeur, baignant dans les vomissures, dans le ventre de la baleine, dans une mer en furie. Eh bien, vous parlez des symptômes!
Qu’il se retourne de ce côté, c’était le ventre de la baleine; de ce côté-là, c’était le ventre de la baleine. Dans tous les sens où il se retournait, c’était le ventre de la baleine. Il n’y a ici personne qui soit dans une aussi mauvaise posture. Considérez ce que–considérez les symptômes qu’il avait. Mais, savez-vous ce qu’il a fait?
Il a dit: «Ce sont des vanités mensongères. Je n’en croirai rien.» Il a dit: «Seigneur...» Il s’est retourné sur son dos, des vomissures étaient tout autour de lui, il avait des algues autour du cou. Il a dit: «Une fois encore, je regarderai vers Ton saint temple.» Oh! non pas regarder au ventre de la baleine, ni aux circonstances, mais «regarder vers Ton saint temple».
Salomon, lorsque Salomon avait dédicacé ce temple il avait prié, disant: «Eternel, si Ton peuple est en difficulté à quelque moment que ce soit et qu’il regarde vers ce saint lieu, alors exauce des cieux.» Et Jonas a agi sur base de la prière de Salomon. Et Dieu... J’ignore ce qu’Il a fait. Il avait placé une tente à oxygène là-bas ou quelque chose du genre, Il l’a gardé en vie pendant trois jours et trois nuits.
67 Maintenant, nous ne... Nous ne sommes pas dans une aussi mauvaise posture. Personne d’entre nous ne se trouve dans une aussi mauvaise posture que Jonas. C’est vrai; en effet, voici le Saint-Esprit ici. Nous ne sommes pas dans le ventre de la baleine, nous–nous ne sommes pas dans cette situation-là. Mais si Jonas, dans ces circonstances-là, pouvait regarder vers un temple pour lequel un être humain avait prié lorsqu’il l’avait dédicacé (et cet homme qui avait prié a rétrogradé plus tard), et Dieu a exaucé ses prières, à combien plus forte raison dans ces circonstances-ci nous pouvons regarder vers le Ciel où Jésus est assis à la droite de Dieu, vivant éternellement pour intercéder sur base de notre confession! Oh! la la! oh! la la! je ne regarderai pas à mon mal de ventre. Je ne regarderai pas à mon coeur qui bat d’une manière bizarre. Je ne regarderai pas à ma main infirme. Mais je regarderai vers la promesse, car Il est assis là, vivant éternellement pour faire l’intercession. Amen.
68 J’aimerais vous montrer une chose maintenant, vous montrer que Dieu sait de quoi Il parle. Bon, les gens de Ninive... C’était une grande ville, d’environ un demi-million de gens, presque aussi grande que Saint Louis, dans le Missouri. Et c’étaient des païens. Ils vivaient dans toutes sortes de péché. Ils adoraient des animaux, des idoles et tout le reste, et ils étaient... Leur activité, c’était la pêche. Et la baleine était donc le dieu de la mer.
Alors, ils étaient donc tous sur le rivage aux environs de 11 heures, en train de pêcher. Tous les pêcheurs tiraient leurs filets là dans la mer, et tout à coup, voici venir le dieu de la mer, la baleine. Elle s’est précipitée sur le rivage, a tiré sa langue, et le prophète a carrément débarqué sur le rivage. Assurément, ils se sont repentis. Dieu sait ce qu’il faut faire. Dieu sait comment faire les choses pour les gens qui veulent croire. Voyez-vous?
Jonas n’était pas en dehors de la volonté de Dieu. Voyez, le dieu baleine a vomi le prophète juste là sur le rivage. Assurément, ils devaient croire son message. Et il est sorti là.
69 Et Jésus a dit, vous savez, qu’il y avait là plus que Jonas. Mais remarquez ce qu’Il a dit. Eh bien, un petit peu avant que nous passions à un autre point. Suivez. Jésus a dit... Ils ont dit: «Maître, nous voulons voir un signe de Ta part.» (Trois versets avant là où j’ai commencé à lire.) «Maître, nous voudrions voir un signe de Ta part.»
Il a dit: «Une génération méchante et adultère cherche un signe.» Est-ce vrai? Et Il a dit: «Il ne sera donné d’autre signe à cette génération...» Maintenant, suivez attentivement. Combien savent que–que les Ecritures se répètent constamment? Nous savons cela. Et Il a dit: «Il ne sera pas donné d’autre signe à cette génération faible, méchante, adultère.» Il s’agit de cette génération-ci.
70 Il n’y a jamais eu autant de méchanceté et d’adultère dans le monde entier qu’en ce temps-ci, la perversion. Eh bien, l’homosexualité, la perversion, les femmes dans les rues, dévêtues, chaque... Vous... C’est tout simplement terrible de voir la manière dont les gens se comportent partout dans le monde, et particulièrement aux–aux Etats-Unis. Et cela devient presque aussi mauvais au Canada. C’est bien dommage, mais c’est vrai. Cette grande nation, cette petite nation en tire un modèle. Ne tirez pas votre modèle d’eux, tirez votre modèle d’ici en haut, de Christ.
Remarquez. Et ils étaient là, une... méchante... Il a dit: «Il n’y aura pas...» Maintenant, suivez attentivement, afin que vous ne manquiez pas cela. «Ils recevront un signe. De même que Jonas fut trois jours et trois nuits dans le ventre de la baleine, de même le Fils de l’homme sera trois jours et trois nuits dans le sein de la terre.» Ils recevront ce signe-là.
De quoi était-ce le signe? De la résurrection. Vous comprenez? C’est exactement ce que nous recevons aujourd’hui, le signe qu’Il n’est pas mort. Il est ressuscité d’entre les morts et Il est au milieu de nous, accomplissant les mêmes choses qu’Il a accomplies lorsqu’Il était ici sur terre. Et la génération méchante et adultère (Voyez-vous?) recevrait ce signe-là.
71 Ensuite, encore une chose, pour terminer. Il a dit: «Et la reine du Midi se lèvera, au jour du Jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.»
Maintenant, écoutez alors que nous terminons. Dans la génération de Salomon Dieu avait donné un don à la terre, et c’était le don de discernement. Et ce don est descendu sur Salomon, et tout le monde croyait cela d’un seul coeur. Qu’en serait-il si tout le monde aujourd’hui croyait... Qu’en serait-il si le Canada et les Etats-Unis croyaient le don que Dieu leur a envoyé, le Saint-Esprit? Qu’en serait-il si tous ceux qui confessent être des chrétiens croyaient vraiment cela? Eh bien, nous n’aurions pas à nous inquiéter au sujet des bombes atomiques de la Russie et de toutes ces choses-là.
Eh bien, nous... Vous ne serez jamais en mesure de creuser pour échapper à la bombe atomique. Eh bien, le problème... Les gens creusent des trous, et là, aux Etats-Unis, ils creusent des caves et font des bureaux pour le gouvernement. Eh bien, cette bombe atomique, celle qu’ils possèdent maintenant, qui fera sauter la terre, je crois qu’elle va à une profondeur de trois cents ou quatre cents pieds [91,4 ou 121,92 m], et sur une superficie de 150 miles carrés [241,4 km²]. Eh bien, même si vous vous trouvez à dix mille pieds [3048 km] sous terre, en plein dans la lave, cela briserait chaque os de votre corps. Vous ne pouvez pas creuser suffisamment pour y échapper.
Mais nous avons un abri anti-aérien. Il n’est pas fait d’acier; il est fait de plumes: soyez enlevés sous Ses ailes (Amen.). C’est vrai. Lorsque ce... Avant que cette bombe ne tombe, nous serons dans la Gloire. Quel est le problème? Les gens disent donc que nous sommes des fous. Si je suis fou, laissez-moi tel que je suis. Je me sens mieux comme cela. Et ainsi, je... j’aime tout simplement rester comme cela.
72 Maintenant, remarquez. Eh bien, au temps de Salomon, tout le monde croyait ce don-là. Oh! la la! Tout le monde, les gens n’allaient pas partout en disant: «Oh! il est des assemblées, il est de ceci, et de cela.» Non, ils étaient tous d’un commun accord. Ils croyaient cela.
Et toute personne qui passait par le - traversait... Ils n’avaient pas des avions à réaction et toutes ces choses en ce temps-là; ils devaient effectuer le voyage par des caravanes de chameaux. Et lorsqu’ils passaient, ils disaient–se rendaient dans d’autres régions du monde, ils disaient: «Vous devriez entendre ce qui se passe en Palestine. Ils ont un Dieu là-bas, et ce Dieu-là se révélé au travers d’un homme.»
73 Maintenant, voyez-vous, l’adoration païenne consiste à se prosterner devant une idole, un dieu imaginaire, et de croire que ce dieu imaginaire vous parle. Le christianisme, c’est l’inverse. Dieu prend un homme vivant qui se prosterne devant Lui, et Il prononce Ses propres Paroles au travers d’un homme vivant, non pas au travers d’une idole. Détournez-vous carrément de l’adoration païenne, de l’adoration des idoles, pour l’adoration chrétienne. Eh bien, ils disaient: «Ils ont là-bas un homme au travers duquel le Dieu qu’ils adorent parle par le discernement. Oh! cela s’est répandu partout. Toutes les nations les craignaient. Elles envoyaient des dons et tout le reste. Il n’y avait pas de guerre au temps de Salomon. Non. Il était–il était... Les gens pensaient qu’il était très intelligent. Ce n’était pas lui; c’était Dieu, le Saint-Esprit en lui, qui le rendait intelligent.
74 Maintenant, cette nouvelle-là s’est répandue sur toute la terre jusque dans le pays de Séba. Et si vous mesurez cela sur votre carte, c’est une longue distance jusque-là, au-delà du désert du Sahara. Et cette petite reine païenne, elle était une païenne. Et les gens venaient, et disaient: «Oh! vous devriez voir ce qui se passe là en Palestine. Il se passe telle chose.» Oh! la la! combien ils pensaient cela à ce sujet! Or, savez-vous comment la foi vient? En entendant la Parole de Dieu. Eh bien, la petite dame a dit: «Quoi?» Vous savez, Dieu en elle... elle croyait qu’il existait un Dieu. Et alors, lorsque cette foi s’est mise à la toucher, disant qu’il existait un Dieu, elle a commencé à Le chercher. Et tout le monde venait. Lorsque les gens arrivaient dans son royaume (les caravanes des chameaux qui traversaient, vous savez, des commerçants et les autres, avec la soie, le lin et tout, et des produits, et tout ce qu’ils avaient, qui traversaient), eh bien, elle les invitait dans son palais, et disait: «Etes-vous passé par la Palestine?»
- Oui - Ces choses sont-elles vraies?- Elles sont vraies. Elles sont vraies. Jamais vous ne... Ce peuple-là est d’un seul coeur et d’un commun accord. Vous n’avez jamais rien vu de tel dans votre vie. Leur Dieu leur a donné un don et Il le manifeste à travers un homme. Et ils ont fait de cet homme-là leur roi. Oh! la la! tous croient cela. Chacun d’eux.
- Eh bien, avez-vous pu voir cela?
- Oui.
- Ces choses sont-elles vraies?
- Assurément, elles sont vraies
Oh! la la! elle voulait donc voir cela, vous savez, lorsqu’on entend parler de cela. Eh bien, elle a décidé qu’elle était... Elle a cherché tous les rouleaux, et elle s’est mise à lire ce qu’était ce Dieu-là. Vous voyez, elle était une païenne, elle s’est mise à lire ce que Jéhovah était, à voir Sa nature. Elle a dit: «Alors, cela doit être la nature de Jéhovah qui se manifeste dans cet homme, parce que Jéhovah, disent-ils, est toute sagesse, et Il prédit des choses.»
75 Ainsi donc, étant la reine, elle devait passer par beaucoup de choses. Elle devait aller vers son prêtre païen et demander la permission de s’absenter de son église. Eh bien, vous savez quoi? J’imagine que ce prêtre païen a dit, vous savez: «Mais Tu vois, écoute ceci, ma fille, tu es une reine. Tu ne peux pas aller t’associer à cette bande d’illettrés, tu sais. Tu ne peux pas faire cela. Tu es une reine. Et ils... Tu sais quoi? Eh bien, tu sais, cela ... Tu vas sortir de ta classe sociale si tu te rabaisses...»
Et elle a dit: «Mais, Révérend, je dois partir. Quelque chose me dit que je dois partir.»
«Oh! mais tu... Nous... Tu ne peux pas faire cela, mon enfant. Tu ne peux pas faire cela. Maintenant, écoute. Nous savons qu’ils racontent toutes sortes de choses là-bas. Ils ont traversé la mer Rouge, qui se serait asséchée, et–et que du pain pleuvait du ciel. Mais ce ne sont que des légendes. Il n’en est rien.»
On entend ce même vieux démon parler aujourd’hui. Le diable retire son homme, mais jamais son esprit. Dieu non plus ne retire jamais Son Esprit. Il pourrait retirer Son homme, mais le Saint-Esprit qui était sur Christ est revenu sur l’Eglise à la fin du monde pour accomplir la même chose.
Remarquez. Eh bien, ces grands érudits et tout le reste de ce jour-là, et ce très grand groupe de pharisiens, ils existent encore. Leurs esprits se trouvent carrément sur d’autres personnes. Voyez-vous? Et de même l’Esprit de Dieu vit toujours, confirmant Sa Parole, continuant à oeuvrer. Cela dépend de ce que vous voulez croire. C’est tout.
76 Maintenant, si nous remarquons... Ensuite, il a dit: «Eh bien, pareille chose n’existe pas.» Il a dit: «Maintenant, si une telle chose existait, ce sont nos idoles, c’est notre église qui ferait cela.»
Vous saisissez cela, c’est la même chose aujourd’hui. «Eh bien, si la guérison divine existe, telle grande église croirait cela. Telle grande église ferait cela.» Voyez? Mais vous savez, Dieu fait des choses qui Lui plaisent. Il n’a pas besoin de consulter quelqu’un à ce sujet. Il est le Tout Suffisant. Voyez-vous? Il n’a pas besoin de demander à quelqu’un. C’est donc Dieu qui faisait cela. Et vous savez, son petit coeur commençait à avoir faim de Dieu, rien n’allait arrêter cela. Et elle a dit: «Monsieur, j’y vais, de toute façon.» «Eh bien, si tu y vas, je vais te rendre ta lettre [de membre] d’église.» Elle a dit: «Vous ferez tout aussi bien de me la rendre, parce que je m’en vais.» Alors elle... Voyez-vous, rien ne va arrêter une personne qui vient à Christ, qui croit réellement en Lui. Lorsque vous entendez la Parole de Dieu et que vous savez qu’Elle agit, rien ne va vous arrêter. C’est tout. Vous venez, de toute façon.
77 Et maintenant, souvenez-vous, cette petite dame a rencontré bien des difficultés. Je la vois faire charger ses chameaux, et voici qu’elle pensait à quelque chose.
Elle a dit: «Eh bien, un instant. Si c’est vraiment... Si ce don est vrai, alors, je vais soutenir cela.» Ainsi donc, elle a pris beaucoup d’or, de l’encens et autres et en a fait charger les chameaux.
Elle a dit: «Je vais amener cela avec moi, mais si la chose n’est pas vraie, alors je ramènerai carrément mon argent.»
Cela pourrait enseigner quelque chose aux pentecôtistes, apporter le soutien aux réunions, et aux réunions qui... aux réunions qui haïssent la chose même que vous soutenez, et vous en privez votre propre église. Les gens font cela aux Etats-Unis. J’espère que vous, les Canadiens, vous ne le faites pas. Mais là-bas, ils font cela juste pour être populaires. «Je vais donner tant à ceci cela.» Oh! la la! ...du lait écrémé...
Remarquez. Maintenant, la voici. Elle a rassemblé tout, elle a mis cela sur ses chameaux, tout cet argent, de l’or d’une valeur de milliers et de milliers de dollars. Et, souvenez-vous, les enfants d’Ismaël, les Arabes, étaient des brigands dans le désert en ce temps-là. Combien cela aurait été facile pour eux de–pour ce groupe de cavaliers de venir carrément et de tuer ce groupe de petits gardes qui protégeaient cette reine, et–et de ravir cet argent-là, et de disparaître en cinq minutes!
Mais, vous voyez, si vous êtes déterminé à connaître Dieu, vous n’avez pas peur. La foi ne connaît pas la peur. Est-ce vrai? Vous ne vous souciez pas de ce que dit le médecin, de ce que dit n’importe qui d’autre; vous croyez cela. Voyez-vous? Et elle ne pensait même pas aux brigands, à ceci, à cela et au reste. Ce qui la préoccupait, c’était parvenir là-bas et voir Dieu agir dans un homme.
78 Et maintenant, souvenez-vous. Elle... Combien de temps pensez-vous que cela a pris à cette femme? Elle n’avait pas une Cadillac climatisée à bord de laquelle venir. Non, elle devait chevaucher à dos de chameau. Savez-vous combien de temps cela a pris à la caravane de chameaux pour voyager de Séba jusqu’en Palestine? Trois mois, quatre-vingt-dix jours, à travers un désert du Sahara chaud, l’endroit le plus chaud du monde, à dos de chameau, pour essayer d’aller voir un don de Dieu. Ce n’est pas étonnant que Jésus ait dit qu’elle se lèverait au jour du Jugement et condamnerait cette génération. Voyez-vous? Elle voyageait peut-être de nuit. Le jour elle se reposait dans les oasis et lisait les rouleaux, les Ecritures, pour voir ce qu’était Jéhovah. Finalement, elle est arrivée à la porte [de la ville].
79 Elle n’est pas venue pour dire: «Eh bien», comme les gens font aujourd’hui, «je vais entrer et m’asseoir. S’il dit une seule chose qui est contraire à ma foi, je vais carrément me lever et sortir.» Cela montre l’ignorance. C’est juste. Mais elle est venue pour rester jusqu’à ce qu’elle soit convaincue. Elle avait lu la Bible; elle avait vu ce que signifiait Jéhovah, ce qu’était Jéhovah, et ce que Jéhovah avait promis. Elle voulait voir si ce Jéhovah dont on parlait était dans cet homme-là.
J’imagine que son prêtre lui a parlé, et a dit: «Eh bien, maintenant écoute ceci. Voici notre grand dragon. Voici notre grande idole ici.»
Elle a dit: «Oui. Mon arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-grand-mère les avait servis, et ils n’ont rien fait, sinon se tenir là comme des statues tout le temps. Ils ne respirent pas; ils ne marchent pas; rien ne se produit. Mais par contre, les gens affirment que ce Dieu-là est un Dieu vivant, qui fait quelque chose.» Amen.
80 Voilà. Amen. Je me sens un peu religieux en ce moment même. Oui, un Dieu vivant, pas un Dieu mort. A quoi servirait un Dieu qui pouvait ouvrir la mer Rouge s’Il ne peut pas faire de même aujourd’hui? A quoi servirait un Dieu qui pouvait guérir un lépreux dans les jours d’autrefois, s’Il ne peut pas faire de même aujourd’hui? Un Dieu historique ne servirait à rien, s’Il n’est pas le même Dieu aujourd’hui. C’est juste. Il est le même Dieu hier, aujourd’hui et éternellement, le même Dieu, qui demande seulement la même foi que ces gens-là avaient exercée.
81 Maintenant, elle se trouve au temple. Elle a défait ses bagages dans la cour du temple, elle a dressé sa tente, elle a placé son argent dans un coin, et elle a placé ses petits eunuques tout autour pour veiller dessus. Et le lendemain matin, elle s’est probablement levée de bonne heure, elle et ses petites servantes qui étaient avec elle. Elles sont entrées et se sont assises, probablement tout au fond de l’église. Et l’assemblée a chanté tous les cantiques, et les trompettes ont retenti et tout le reste, et après un moment, le pasteur Salomon est entré.
Oh! tout le peuple a dit: «Oh! Dieu soit loué! Voilà notre pasteur.» Et le pasteur Salomon est sorti et s’est avancé sur l’estrade. Et elle a vu ce jour-là les choses mêmes qu’elle avait entendues dire qu’elles se produisaient.
Et jour après jour, elle allait étudier les rouleaux. Elle a attendu jusqu’à ce que sa carte de prière fut appelée, ou tout ce qu’elle avait pour monter là, à son rendez-vous avec Salomon. Et lorsqu’elle est arrivée sur le–là devant Salomon, la Bible dit que rien n’était caché à Salomon. Il a révélé tout ce qu’elle désirait connaître.
82 N’est-ce pas là le même Dieu qui était en Christ, qui connaissait les secrets du coeur? Qu’a-t-elle dit? Elle s’est retournée (Eh bien, elle était une païenne), elle s’est retournée, et elle a dit: «Tout ce que j’avais appris était vrai, et plus que cela.» Cela avait été accompli sur elle. Voyez-vous? Elle en était témoin. La même chose que Nathanaël et les autres ont vu (hier soir) en Jésus accomplir la même chose, révéler les secrets du coeur. Voici deux mille cinq cents ans avant... Non, environ huit cents ans avant que cela se produise, voici Salomon qui se tenait là, accomplissant la même chose que Christ a faite lorsqu’Il est venu. C’est le même Dieu. Voyez-vous?
Qu’a-t-elle dit? «Heureux ceux qui sont avec toi, qui voient ce don agir continuellement. Heureux les hommes qui s’assoient ici journellement et qui voient cela se produire continuellement.» Et elle est devenue une croyante.
83 Et Jésus a dit qu’elle se lèverait dans les derniers jours et condamnerait cette génération, parce qu’elle est venue des extrémités de la terre pour voir le don de Dieu opérer, et elle a cru cela. Et aujourd’hui, les gens ne veulent pas traverser la rue. C’est juste. Ils ne veulent pas conduire une belle voiture pour se rendre à la réunion. Plutôt, ils s’en moquent. Et le même Christ a prédit qu’une génération méchante et adultère qui cherchait des signes recevrait le signe de la résurrection. Ce n’est pas étonnant. Quel est le problème?
Pour clôturer, je dirai ceci. Elle avait vu quelque chose de réel. C’est ce que les véritables croyants désirent voir, quelque chose de réel. Souvenez-vous, la chose même qui sauve le véritable croyant, condamne et envoie en enfer l’incrédule. La même eau qui a sauvé Noé, noya l’incrédule. Le même jugement qui sauva le croyant, tua l’incrédule. Le même Saint-Esprit aujourd’hui que le croyant reçoit, condamnera l’incrédule au jour du Jugement. Voyez?
84 Juste une petite histoire à l’intention de mes frères indiens, et tous les autres. J’aime chasser. Oh! j’aime simplement chasser. Oh! la la! oh! la la! c’est–c’est ma seconde nature. Ma conversion n’a jamais ôté cela de moi. Et je–j’aimerais vous raconter une petite histoire au sujet de la chasse juste ici, quand Dieu m’avait dit exactement (votre pasteur, frère Byskal, s’en souvient; frère Sothmann là derrière s’en souvient), quand Il m’avait dit exactement ce que je ferais, où j’irais, et que j’attraperais un caribou, là où il serait, qu’un homme serait en chemise verte à carreaux, et que je tuerais un grizzly avant que je ne retourne. Est-ce vrai? Est-ce vrai, Frère Sothmann? Je l’ai racontée à des centaines de gens.
Nous sommes allés juste là, et Eddie m’a entendu dire cela la veille de notre départ là. Deux jours plus tard, il se tenait juste là et il a vu la chose se produire à la lettre juste comme je l’avais dit. J’ai dit que les cornes du caribou mesureraient exactement 42 pouces [107 cm].
Et le guide a dit: «Exactement 42 pouces?» Il a dit: «Frère Branham, après...» Il a dit: «Où se trouve ce grizzly au sommet de cette montagne-là?» Il a dit: «Frère Branham, selon ce que vous m’aviez dit, vous allez tuer un ours grizzly avant que vous retourniez là où Eddie Byskal se trouve, portant une chemise verte à carreaux.» Et sa femme avait mis cela dans son sac de camp, et lui m’avait dit qu’il n’en avait même pas une.
J’ai dit: «Eh bien, alors, il y aura quelqu’un qui l’aura, parce qu’elle sera là.» Et il portait cette chemise verte à carreaux.
Il a dit: «Avant que nous retournions là-bas?»
«Je l’ai dit.»
Il a dit: «Frère Branham, j’ai un frère qui souffrait de l’épilepsie. Et vous m’aviez dit qu’au moment de sa prochaine crise il faudrait ôter sa chemise et la jeter dans le feu, et qu’il n’aurait plus jamais cela.» Eh bien, c’est ce qu’il a fait, Dieu a guéri son frère de cela. Alors, il a dit: «Dans ce cas, je ne peux pas douter de cela. Mais où sera cet ours?»
J’ai dit: «Il est Jéhovah-Jiré. Il peut se pourvoir d’un ours pour amener Sa Parole à s’accomplir.» Et alors que nous étions juste à environ un demi-mile [805 m] de ces frères-là (on était à environ trois miles [5 km] d’eux), alors que nous étions à environ un demi-mile du lieu où ils étaient, je me tenais là.
Il a dit: «Frère Branham, nous sommes juste à un demi-mile. Où est l’ours?»
J’ai dit: «Ne vous...» J’ai dit: «C’est quoi là-bas, Bud?» Il y avait un grizzly argenté de neuf pieds [3 m], se tenant au sommet de la colline, regardant droit en ma direction.
Il a dit... nous sommes arrivés à neuf cents mètres. Il a dit: «Frère Branham, avez-vous déjà un grizzly?»
J’ai dit: «J’ai tué beaucoup d’ours.»
Il a dit: «Vous feriez mieux de lui tirer dessus à partir d’ici.»
J’ai dit: «Non. La vision disait que j’étais tout près de lui.»
Il a dit: «Oh! Frère Branham.» Il a dit: «Tirez-lui dans le dos maintenant, a-t-il dit, parce que si vous ne le tirez pas dans le dos, ils sont de grands lutteurs.»
J’ai dit: «Oh!»
Et j’ai dit: «Continuons simplement à avancer, Bud.»
85 Nous sommes entrés dans l’autre petit ravin, puis nous sommes montés, et lorsque nous sommes arrivés tout près de lui, à environ deux cents mètres. J’ai dit: «C’est juste ici.» J’ai dit: «Je vais attendre jusqu’à ce qu’il va se retourner.» Il paraissait comme un grand tas de foin. Il s’est retourné et m’a regardé.
J’avais un tout petit fusil. Et juste à l’instant où il se retournait et me regardait, je lui ai tiré en plein dans le coeur. Et le voilà qui roule sur le flanc de la colline comme cela, aussi vite que possible, comme cela. Et Bud se tenait là, la bouche devenue toute pâle. Il a dit: «Frère Branham, je ne voulais pas l’avoir sur moi.»
J’ai dit: «Moi non plus.»
Il a dit: «Maintenant, si ces cornes mesurent exactement 42 pouces [107 cm] lorsque j’arriverai là-bas, je vais crier comme un fou.»
J’ai dit: «Tu ferais mieux de commencer tout de suite, parce qu’il en sera ainsi.»
Il a dit: «J’ai un mètre ruban dans mon sac de selle.»
Et nous sommes arrivés là-bas. La vision disait qu’une–une petite main tenait les cornes. Je me suis arrêté là à côté de frère Eddie. J’ai dit: «Maintenant, observez ce garçon tenir cette corne-là.» Et il est allé, il a pris le mètre ruban, et il l’a apporté, il l’a placé à la base sur la tête. Cette petite main, c’était celle de son fils, Blaine, qui tenait cela, la main qui s’est avancée là.
Bud a dit: «Miséricorde, Frère Branham, juste au nez, cela fait 42 pouces [107 cm].»
J’ai dit: «Bud, Il ne faillit jamais. C’est ce que je voulais dire. Il dit très exactement la chose, très exactement.» Oh! Il est Dieu. Lorsque nous voyons quelque chose de réel et d’authentique... C’est ce que cette reine-là désirait voir, quelque chose de réel.
86 J’avais l’habitude de chasser avec un frère qui était un demi-Indien. Il s’appelle Burt Caul. C’est un Britannique (ou plutôt un Anglais), et il vit ici, il vit dans le New Hampshire. Un grand chasseur. J’aime chasser avec lui. Vous n’avez pas à craindre qu’il se perde. Il connaissait parfaitement son chemin. Et nous... Mais il était l’homme le plus méchant que j’aie jamais vu de ma vie. Ce gars était très méchant. Il avait des yeux comme un lézard, et il me regardait toujours avec ses yeux de lézard, et il me faisait une peur bleue de toute façon.
Mais il–il avait l’habitude de me dire... Il avait l’habitude de tirer sur les petits faons, vous savez, les petits bébés faons. Eh bien, c’est en ordre. J’ai tué des faons lorsque... Si la loi dit que vous pouvez tuer un faon, tuez-le. C’est en ordre. Abraham a tué un veau et l’a servi à Dieu. Il n’y a rien de mal pour ce qui est de la taille ou du sexe de l’animal. Mais le tuer juste pour se montrer méchant, voilà ce qui est mal. Vous ne devez pas... tuer juste pour se montrer méchant.
Il y a une chose chez l’Indien. La raison pour laquelle il est le plus grand défenseur de l’environnement que nous ayons jamais eu, il prenait juste ce dont il avait besoin. S’il en attrapait plus, il relâchait cela. L’homme blanc est un meurtrier, il est allé là-bas et il a tiré sur les bisons, et ainsi de suite, en les prenant pour cibles. C’est un méchant gars, en faisant des choses comme cela.
87 Mais Burt avait l’habitude de les abattre juste pour s’amuser, pour me–pour m’indisposer. Il disait: «Vous les prédicateurs, vous êtes des poltrons.» Alors, c’est ce qu’un... Vous savez ce que je... (Est-ce ce mot-là qu’on utilise par ici, ‘poltron’?) Poltron. Il disait: «C’est–c’est ça votre problème, vous les prédicateurs.»
Alors, un jour je suis allé là-bas. Et il s’était fabriqué un petit sifflet, pour reproduire le cri d’un petit bébé faon, qui fait entendre ce petit brrr, quand il pleure, comme un petit faon pleurant pour sa maman.
Et j’ai dit: «Burt, tu–tu ne vas pas faire cela.»
Il a dit: «Oh! espèce de prédicateur poltron.» Il a dit: «Billy, tu serais un bon chasseur si tu n’étais pas un prédicateur.»
Mais je devais prendre son gibier à chaque automne de toute façon (vous voyez?), alors je le laissais simplement faire. Alors, j’ai dit: «Burt, tu ne vas pas faire cela!»
Il a dit: «Qu’y a-t-il de mal à tuer un faon?»
J’ai dit: «Rien. Mais l’abattre juste pour le laisser gisant là, aller là-bas et abattre un autre, juste pour faire le méchant», j’ai dit: «Voilà–voilà ce qui est mal, Burt. Tu ne devrais pas faire cela. Il grandirait pour devenir un grand cerf un jour, peut-être une biche, et donner beaucoup d’autres cerfs. Tu pourrais avoir des enfants un jour qui aimeraient chasser», et ainsi de suite.
«Non, c’est du non-sens», a-t-il dit, méchant au possible.
88 Alors ce jour-là, il faisait très tard, et on a dans cette région-là le cerf à queue blanche. Et vous parlez de Houdini comme étant le maître en évasion, c’est un amateur à côté de l’un d’eux. Mon gars, ils disparaissent comme cela. Vous devez être rapide et vif, et être un bon tireur pour l’atteindre. Et alors, après–après qu’on leur a tiré dessus, en quelques minutes...
C’était donc un peu vers la fin de la saison de chasse, et nous avions chassé toute la matinée, pas même une trace, la neige atteignait environ six ou huit pouces [15 ou 20 cm]. Nous amenions toujours une bouteille thermos pleine de chocolat chaud, au cas où nous nous retrouvions pris dans une tempête le soir ou quelque chose comme ça, cela allait nous garder en forme. Alors... Nous avions un sandwich dans notre manteau.
Et il était environ 11 heures, et j’ai pensé: «Eh bien, nous n’avons même pas vu une trace ni rien.» Quand les nuits connaissent le clair de la lune, alors ils mangent la nuit, vous savez, ils mangent, et ils se retirent la journée, ils retournent se tapir sous les buissons, dans les bois touffus.
Et alors, nous arrivions presque à l’orée de bois, et je pensais que peut-être... Burt ouvrait la marche. Et quand nous allions parvenir au sommet de la montagne, alors, il allait se séparer en prenant un chemin et moi un autre. Et nous allions faire le tour, et peut-être que nous allions rentrer ce soir-là ou le lendemain matin. Et si nous avions tué un cerf, nous savions où aller le chercher, et ainsi de suite, nous allions prendre un cheval et allions le chercher. Ainsi donc, je pensais...
89 Il est arrivé à une petite clairière qui avait environ trois ou quatre fois la dimension de ce bâtiment ici, et il s’est en quelque sorte accroupi sur une congère. Il s’était en quelque sorte accroupi [hunkered en anglais]. ‘Ce mot n’est pas utilisé par ici, n’est-ce pas?) Je suis un homme du Sud. En d’autres mots, il s’est accroupi? [squatted en anglais]. Il s’est accroupi comme ceci. Et il–il s’est baissé là, et il s’est mis à introduire la main dans son manteau. Je pensais qu’il allait prendre son sandwich, et alors, j’ai introduit la main pour prendre le mien. Je pensais: «Eh bien, nous allons nous séparer ici. Moi, je vais aller d’un côté et lui ira de l’autre, et nous allons chasser de nouveau cet après-midi.»
Et il a introduit la main, et il a tiré ce petit sifflet. J’ai dit: «Eh bien, Burt...» Il m’a regardé avec ces yeux de lézard, et il a ricané un peu, ce petit ricanement sur son visage. Il a tiré ce petit sifflet comme cela, et il a soufflé dedans. Et alors, une très grande biche s’est dressée juste de l’autre côté de l’allée, de l’autre côté de cette petite clairière.
Je me suis dit: «Oh! oh! oh! elle a donc fait un faux pas.» Eh bien, c’est étrange. D’habitude ils ne font pas cela. Vous les frères indiens, vous savez cela, lorsqu’on les chasse.
Et alors, il m’a regardé avec ces yeux de lézard, et il a ri, et il a sifflé encore. Et cette mère biche s’est avancée carrément jusque dans cette clairière. Eh bien, c’est vraiment étrange pour eux de faire cela.
90 Eh bien, la biche c’est la femelle du cerf, vous savez. Je pouvais voir son grand... J’étais suffisamment proche pour voir ses grands yeux, ses grandes oreilles dressées d’une manière si gracieuse. Elle s’est carrément avancée là. Eh bien, quel était le problème? Elle ne faisait pas du spectacle. Elle était une mère. Elle était née une mère. Cet instinct maternel était en elle, et son bébé pleurait. Elle ne se souciait d’aucun danger; elle venait chercher son bébé.
Et nous ne pai-... gardons jamais une cartouche dans le canon. Alors, il a introduit une cartouche, une balle champignon de cent quatre-vingt grains [11,6 g] de calibre 30-06–champignon, et il a remonté cela là. Et il était un fin tireur. Et lorsque le–son Winchester modèle 70...? Et lorsqu’il abaissa le levier comme cela, le déclic du fusil, la biche eut peur, elle regarda, et elle aperçut le chasseur. Mais elle n’a pas fui.
Eh bien, vous savez, c’est étrange. Mais elle était une mère. Son bébé était en difficulté, et elle était née une mère, et elle cherchait son bébé. Elle a regardé ce chasseur, et elle–son grand museau en l’air, elle regardait comme cela, essayant de trouver son bébé. Voyez-vous? Elle l’avait entendu pleurer. Elle ne faisait pas une mise en scène. C’était authentique. Elle était une mère.
91 Je l’ai vu viser, un fin tireur, et j’ai pensé: «Oh! la la! il va faire sauter son coeur et le faire sortir de l’autre côté. Comment peut-il la tromper comme cela? Comment peut-il être aussi méchant pour faire cela? Souffler dans ce sifflet et faire sortir ici cette mère biche, et lui tirer dessus. Ce n’était même pas sûr qu’il aurait amené.
Et je me suis dit: «Ce coeur loyal de cette mère va sauter en elle!» Et je regardais, et je l’ai vu ajuster [le fusil]. Et je me suis dit: «Aussitôt que le réticule de cette lunette sera pointé juste sur ce coeur loyal, il va carrément le faire sauter en elle.» Et j’ai tourné mon dos. Je ne pouvais pas regarder cela.
Et je me suis mis à prier. J’ai dit: «Père céleste, comment peut-il faire cela? Comment peut-il faire cela, Seigneur? Et il ne veut pas m’écouter parler de Toi.» J’ai dit: «Comment peut-il faire cela?’» Et j’étais là plutôt en train de prier en moi-même derrière un buisson.
Je m’attendais à entendre le coup partir à n’importe quel moment, mais ça ne partait pas. J’ai attendu. Le coup ne partait pas. J’ai regardé, et voilà que le fusil allait comme ceci. Il ne pouvait plus le tenir. Il a regardé tout autour, de très grosses larmes coulaient sur ses joues. Sa chevelure noire d’Indien tombait sur son visage. Il a jeté l’arme sur la neige, il a dit: «Billy, j’en ai assez. Conduis-moi à ce Jésus dont tu parles.»
92 Qu’était-ce? Il avait vu quelque chose de réel. Il avait vu quelque chose qui n’était pas du spectacle, qui n’était pas artificiel. Il avait vu la démonstration réelle de la maternité d’une mère cherchant son bébé, quelque chose qui étai authentique. Ô Dieu, fais de nous tous ce genre de chrétien.
Combien de gens ici aimeraient être ce genre de chrétiens, autant que cette biche était une mère? Votre coeur (ni danger ni rien d’autre) voit quelque chose de glorieux, quelque chose qui est réel. Alors, ô Dieu, oh! puissent Ses bénédictions...
93 Inclinons la tête un instant. Que chacun de vous prie dans son coeur, dites: «Ô Dieu, fais de moi ce genre de chrétien.» Priez silencieusement en vous-même.
Ô Dieu, notre Père, accorde à Tes serviteurs, ô Père, le pardon des péchés. Exauce-nous alors que nous crions [à Toi]. Bénis-nous maintenant. Révèle nos péchés à nos coeurs, et fais de nous de véritables chrétiens. Que la grâce et la miséricorde abondent dans nos coeurs. Accorde-le, Seigneur.
94 Il avait vu quelque chose de réel, et il était donc prêt. Il avait vu quelque chose qu’on ne peut pas fabriquer. Ça devait être quelque chose de réel. Ce n’était pas quelque chose de fabriqué. Et nous avons un Dieu ce soir.
Cet homme est diacre dans une église. Juste là sur ce banc de neige, avec ses bras autour des jambes de mon pantalon gelé, il a dit: «Billy, il doit y avoir un Dieu quelque part.» Il a dit: «Y a-t-il un Dieu qui peut faire de moi un chrétien autant que cette biche est une mère?»
J’ai dit: «Oui, Burt. Son Nom est Jésus. Veux-tu Le recevoir?»
Il a dit: «De tout mon coeur, Billy, je Le reçois.»
Je me suis agenouillé dans la neige, j’ai retiré la cartouche de son fusil, j’ai placé mes bras autour de son cou. Là, nous avons prié ensemble, il a reçu Jésus comme son Sauveur. Cela fait environ vingt ans. Il est un membre fidèle du Corps de Christ maintenant; un merveilleux frère.
95 Maintenant, alors que nous prions, combien qui sont ici dans Sa divine Présence, avec leurs têtes inclinées, voudraient dire: «J’aimerais être ce genre de chrétien.» Peut-être que vous n’avez jamais accepté Christ comme votre Sauveur, et vous voudriez dire: «Ô Dieu, aie pitié de moi. J’ai toujours désiré être un chrétien, et vraiment, je n’ai jamais rien vu qui ferait de moi... rien de réel comme cela. Mais je crois réellement que Dieu existe, j’aimerais L’accepter comme mon Sauveur.» Voulez-vous lever la main et dire: «Priez pour moi, Frère Branham.» Que Dieu vous bénisse, monsieur. Un autre? Que Dieu vous bénisse, madame, et que Dieu vous bénisse, que Dieu vous bénisse, vous, et vous. Que Dieu vous bénisse, madame, là derrière. Quelqu’un d’autre?
Eh bien, vous pouvez être membre d’une église. Je ne parle pas du fait d’être membre d’une église. Je parle du fait d’être un chrétien authentique. La mort ne signifiera plus rien pour vous. Vous aimez Jésus à tel point qu’Il est simplement votre... Vous L’aimez comme une mère aime son bébé. Et vous savez, vous parlez de l’amour qu’Il a pour vous? Il a dit: «Une mère peut-elle oublier son enfant qu’elle allaite?» Il a dit: «Elle peut l’oublier. Mais Moi, Je ne peux pas vous oublier. Vos noms sont gravés sur les paumes de Mes mains.»
96 Eh bien, la reine du midi est venue voir la sagesse de Salomon. Jésus était là, après toutes ces centaines d’années, accomplissant la même chose. Et eux... Elle a dit... Eux... Elle est venue écouter Salomon. Et voici que Lui était là avec le même don, seulement c’était plus grand; et Il a promis qu’en ce jour-ci, on recevrait le signe de la résurrection. Ô Dieu, fais de nous de véritables chrétiens. Priez maintenant. Que Dieu soit avec vous. Priez tout simplement, silencieusement en vous-même, dites: «Seigneur, aie pitié. Je me repens maintenant de tous mes péchés. Je crois en Lui.»
Que Dieu vous bénisse, croyez que la foi est dans votre coeur. Maintenant, levez vos têtes. Regardez par ici. Je suis votre frère. Je suis venu vous dire la vérité. Le Dieu qui a donné ce don à Salomon est le même Dieu ce soir. Jésus se tenait là, Il était Dieu manifesté en chair, et Il a monté cela aux gens.
Or, la Bible prédit que dans les derniers jours l’Esprit de Dieu se manifesterait de la même façon. Juste avant la Venue du Fils de Dieu, ce serait comme c’était à Sodome. Le croyez-vous? Alors, puisse le Dieu que vous avez accepté comme votre Sauveur personnel, puisse-t-Il parler ce soir.
97 Combien parmi vous qui êtes ici et qui... Je vais oublier les cartes de prière juste en ce moment. Combien parmi vous qui êtes ici n’ont pas une carte de prière? Maintenant, vous n’avez pas une carte de prière, et vous croyez que Dieu va vous guérir. Levez la main, dites: «Je vais Le croire.» Très bien.
Maintenant, regardez par ici juste un moment. Etant un inconnu pour vous... Maintenant, si Jésus se tenait ici ce soir, portant ce même complet qu’Il m’a donné il y a quelques années... Maintenant, si vous veniez à Lui, et que vous disiez: «Seigneur, veux-Tu bien me guérir?» Il ne pourrait pas le faire. Il l’a déjà fait. Vous croyez cela, n’est-ce pas? «Par Ses meurtrissures...»
Mais Il a pu vous prouver qu’Il était le Christ. Et le seul moyen par lequel vous pourriez savoir cela, ce n’était pas par Son habillement, ni par les cicatrices qu’Il portait, mais par le ministère qu’Il avait; Il était la Parole. Et la Bible dit que la Parole de Dieu est plus tranchante qu’une épée à deux tranchants, et qu’Elle discerne les pensées du coeur. Est-ce vrai? Maintenant, combien savent que c’est la vérité, dites: «Amen.»
Or, la Bible dit que Jésus est maintenant un Souverain Sacrificateur qui peut être touché par les sentiments de nos infirmités. Est-ce vrai? Maintenant, s’Il est le même Souverain Sacrificateur, qu’en serait-il si votre foi Le touchait? Observez et voyez... Maintenant, si je...
98 Ecoutez. Croyez-vous qu’Il aurait quelque chose à voir avec un hypocrite? Jésus? Non, monsieur. Croyez-vous qu’Il pourrait s’associer à des mensonges? Pas notre Dieu. Non. Mais notre Dieu est responsable de Sa Parole. Est-ce vrai? Et humblement, Il a permis que ceci soit accompli, non pas parce qu’Il est obligé, mais afin de montrer aux gens qu’Il est Dieu et qu’Il tient Sa promesse, Dieu.
Certains d’entre vous qui êtes là derrière, vous les Anglo-Saxons, croyez-vous cela de tout votre coeur?
Levez la main, dites: «Je crois cela. Avant que je voie quoi que ce soit s’accomplir, je crois cela.»
Vous les Indiens, croyez-vous de tout votre coeur? Levez la main.
99 Eh bien, maintenant, je vais encore vous demander. Vous qui n’avez pas de carte de prière, levez la main. Maintenant, vous qui n’avez pas une carte de prière. Levez la main, les Blancs là derrière. Très bien.
Maintenant, j’aimerais que vous priiez. Vous qui êtes là derrière, priez et dites: «Seigneur Jésus, ce prédicateur ne me connaît pas. Mais Toi, Tu me connais.» Maintenant, vous pouvez baisser votre main et prier. Et dites: «Seigneur Jésus, si Tu es un Souverain Sacrificateur, laisse-moi Te toucher. Et puis, retourne-Toi.» Comme pour la femme qui toucha Son vêtement, et Il s’est retourné et a dit: «Qui M’a touché?»
Et Paul, ou plutôt Pierre a dit: «Seigneur, l’a-t-il repris, c’est tout le monde qui Te touche.»
Il a dit: «Mais Je sens que Je me suis affaibli.» La vertu, la force, était sortie de Lui.
Or, si le fait d’être touché par une seule petite femme, utilisant le don de Dieu, si le fait d’être touché par une seule petite femme L’a affaibli, qu’en est-il de moi un pécheur sauvé par grâce? Mais qu’a-t-Il dit? «Vous ferez aussi les oeuvres que Je fais, vous en ferez davantage. «Eh bien, la version Roi Jacques dit: «de plus grandes», mais dans la traduction originale... Rien ne pourrait être plus grand. Il a guéri les malades. Il a ressuscité les morts. Il a arrêté la nature. Il a tout fait. Mais «vous en ferez davantage», partout dans le monde (voyez-vous?), «car Je m’en vais au Père.»
100 Maintenant, priez. Vous savez ce qui ne va pas en vous, et priez. Et puisse... Si vous n’avez jamais vu quelque chose de réel s’accomplir, et s’Il apparaît ici ce soir, en Sa Présence...
Eh bien, non pas moi et mon... Peu importe le don que j’ai, vous devez aussi avoir la foi; parce que c’est votre foi qui agit. Pas moi.
Cette femme-là a touché Son vêtement et Il s’est affaibli. Ça, c’était une femme qui utilisait le don de Dieu. Mais lorsqu’Il a quitté la maison de Lazare, et s’est éloigné et qu’Il est revenu, et a ressuscité un homme qui était mort depuis quatre jours, Il n’a jamais dit qu’Il s’était affaibli à ce moment-là. Ça, c’était Dieu qui utilisait Son don. Le croyez-vous? Parce qu’Il a dit à la tombe, vous savez: «Je–Je Te remercie, Père, de ce que Tu m’as déjà exaucé. Mais c’est à cause de ceux-ci que J’ai dit cela.» Voyez-vous? Il a dit: «Je ne fais rien avant que le Père Me le montre.» C’est pour cette raison qu’Il n’est pas retourné lorsqu’on L’a envoyé chercher. Maintenant, priez.
Et si je suis serviteur de Dieu... Eh bien, si quelqu’un pense que ceci est faux, avancez ici et faites-le. Fais-le sous nos yeux, si c’est faux. C’est très calme... Donc, ce n’est pas faux. Cela vient de Dieu. C’est la Bible de Dieu. Maintenant, croyez. Et croyez maintenant, tous...
101 Je suis une... nerveuse. Ça fait onze réunions d’affilées pour moi, et je suis vraiment épuisé. Vous savez cela. Soirée après soirée, chaque soir la force, la vertu... Et pendant la journée Il m’envoie là à un coin et dit: «Tiens-toi ici. Un type va venir dans un fauteuil roulant.» Ça, ce sont les grandes visions.
Celles-ci sont des petites. C’est vous qui déclenchez celles-ci. Celles-là sont celles que Dieu donne; Il dit: «Cet homme vient, et il a fait une certaine chose à une certaine époque. Il sera en train de s’avancer vers le coin. Parle-lui simplement, et fais-le se lever du fauteuil roulant, et continue ton chemin. Que nul ne sache qui a fait cela.» Vous lisez cela ici dans les journaux, et tout comme cela. Personne ne sait de qui il s’agit. Il m’envoie là-bas; Il dit: «Fais ceci.» Voyez? C’est Dieu qui utilise Son don. Voyez, voyez?
Maintenant, faites cela. Utilisez le don de Dieu, et dites: «Ô Grand Souverain Sacrificateur de Dieu, laisse-moi Te toucher. Et utilise frère Branham pour me parler. Et si Tu me révèles mon problème, et ce que... ceci, ou quelque chose qui est dans mon coeur et pour lequel je prie, je croirai de tout mon coeur.» Et alors vous serez en mesure de dire, comme la mère biche, comme... Vous verrez quelque chose de réel, comme Burt Caul.
102 Eh bien, tenez, voilà. Merci, Seigneur. Regardez de ce côté. Combien ont vu cette photo dans le journal ce soir? L’avez-vous vue? A-t-il montré cela ici, très bien. Vous savez, cette Colonne de Feu que vous avez vue dans le journal, Là voilà. Elle se tient juste là. Elle se tient au-dessus d’une petite femme assise là tout au fond par ici, une petite dame. Elle porte des lunettes. Elle est un peu mince. Elle souffre d’une allergie.
Croyez-vous, soeur? Vous avez levé la main il y a quelques minutes, pour dire que vous n’avez pas une carte de prière. Vous n’avez pas reçu. Vous n’avez pas une carte de prière, n’est-ce pas? Tenez-vous debout. Est-ce de cela que vous souffrez? Si c’est vrai, levez la main. Et si je vous suis inconnu, agitez la main comme ceci. J’aimerais vous demander une chose. Maintenant même vous ressentez une très douce sensation, n’est-ce pas? Une très... Je regarde droit à cette Colonne de Feu qui décrit des cercles autour de cette femme maintenant même. Votre foi vous a guérie. Jésus-Christ... maintenant, est-ce que vous croyez?
E-1 Thank you Brother. God bless you. Anyone that couldn't preach behind that wouldn't be called a preacher, would they? Wonderful, beautiful, well done. Certainly appreciate that in my lovely brother. I was just inquiring about him, how close he was for the next meeting. I think he's from (I didn't get it just right), from another province or something. But that's really fine. So thankful that God has given this brother this lovely talent to sing His praises. You know, it--it all goes to make the Gospel. I was preaching the other day down in the States there, on four ways of seeing God. You know... And there's a thousand ways of seeing God if you just look around. He's--He's everywhere.
E-2 Now, we're sorry that we kept you so late last night, when you was awful hot in here. Some of the friends that's with me said, "Whew." They was just fanning away. So I... Then someone said, "That doesn't bother the Indians though." Said, "They stay right there all night, testify the rest of the night." So--so I'm grateful. Maybe when I go, just get up and start testifying, telling about what the Lord did for you.
E-3 How many of you ever hear of Tommy Osborn? He's a very precious friend of mine, and he goes to the old country much, over across the seas, a missionary. And he said... One time I was going to... I was on my road to South Africa, and he came to the meeting. And--and when I walked out on the stage at New York City, that place where they do all that wrestling, the big arena there... And the place was packed out and jammed together.
And I was walking out across the stage, and Tommy come right over and grabbed me around the waist and started hugging me. And I said, "Tommy, what you doing way up here?"
"Just say farewell to you and ask God's blessings on you while you're gone overseas." He's one of my converts to Christ in the healing ministry. And he said...
And I said, "I guess you're wore out, Tommy." He'd been preaching so much.
Said, "No." Said, "I don't have any discernment and have to get wore out." Said, "You know what I do? I just stand there for fifteen minutes and tie the devil up in a knot with the Word." Said, "He can't get out of it. Then I have them pray for one another, and then I get me a chair and set down, and listen to them testify till daylight," he said. Said, "One will get up and testify and tells what God did for him, and that makes the other one believe, and he gets up and testifies. And while he's testifying another one's getting up." And said, "I just set there, and clap my hands, and have a good time."
E-4 Oh, my. It's wonderful to see how God has His different ministries (You see?), how He works it. This lovely brother here singing, that's a ministry of song. And others has a ministry. See, God has set in the church predestined gifts. One of them is--first is apostles, prophets, teachers, pastors, and evangelists.
Now, apostles is actually what we would call today, we give them a new name, missionary. A missionary is an apostle. Now, the word "missionary" means "one that is sent." And the "apostle" means "one that is sent," the same thing. But how they ever wanted to be called apostles, or missionaries instead of apostles, I don't know. But a missionary must have the call of God and sent of God: one sent.
E-5 A prophet is a seer who sees the people's hearts and foretells the things that's coming to pass. And--and now, there's a gift of prophecy. That's in the church with the local members. It falls upon any of them. They give a prophecy. Then it cannot be received to the church until it's been judged by two or three witnesses. And then, they have to put their seal on that, to say it's of God. Then they have to watch to see if it happens. Then it may never fall on that brother or sister again. It may be on another one the next... That's a gift of prophecy.
But a prophet, p-r-o-p-h-e-t, is borned a prophet, always from bef--was ordained that before the world ever even begin. See? Now, you take like Jesus Christ, the King of prophets. He was, from the garden of Eden, the Seed of the woman, prophet. And Moses was borned a proper child, a prophet. John the Baptist, why, Isaiah saw him seven hundred and twelve years before he was born, and said he's the "voice of one crying in the wilderness," seven hundred and twelve years before he was born. Jeremiah--God said before he was even formed in his mother's womb that He knew him, and sanctified him, and ordained him a prophet to the nations. See?
E-6 Prophets have the Word of God, and are borned a prophet. A gift of prophecy is different. That's a gift. Now, there's nine... there's five ordained gifts in the church: apostles, prophets, teachers, pastors, evangelists. Now, that is the five gifts that God places in the church by His foreknowledge.
Then there's nine gifts that's locally in the church: speaking in tongues, interpretation of tongues, and gifts of wisdom, and knowledge, and--and prophecy, and so forth. Them's nine spiritual gifts that operates through the church. But then there's nine--five office gifts that God puts in the church. And, oh, how we love to see them all operating in the...
One of them is the pastor, teacher, and those things. Then the others comes along in confirmation. Gifts are to magnify. And God's just got it so even a fool will not be excused, will he? He will... It's so simple the way God has made them. And I like that.
The more simpler you become, the greater you'll become before God. That's right. Don't never try to lift yourself up. When you do, you're bringing yourself down. See? He that exalts himself shall be abased.
E-7 Not long ago I was... (Am I doing something wrong here, brother? Oh, thank you. All right. That's better... Thank you. I probably wasn't sounding right, back there.)
There was... recently I was in... The people had sent me a letter to come to a great rally in a great city in United States: Chicago, to a Pentecostal rally. Well, I--I--I couldn't go anyhow, but I hadn't answered the letter back, and the--the man that was in charge sent me word, "Don't you come."
"Well," I thought, "that's all right."
So then they got some great minister that had a great name, and my, how he was some big Bible school teacher. And when the man come up that night, he had a great big book. It had pages, and he gave that intellectual talk as he read it from the pages, and turned it back: a very fine intellectual talk. See?
But the saints of God just set still. It wasn't going over. He knew it. When he got up, chest swelled out, collar turned around, you know, and all this to-do. And he found out that that didn't go with the people of God. And when he seen it didn't go... So he just closed up his books and walked back down with his head down, real humbly walking away.
There was an old saint setting back in the corner, punched the other one, and said, "If he would've went up the way he come down, he'd have come down the way he went up." That's about right. Humble ourselves before the Lord. That's the way to do it.
E-8 And I was just thinking... When I was setting out there (drove up and listening to Brother Borders finish up his message), I was thinking about the--my Indian brethren. I hope this is all right. I remember in Phoenix, Arizona, we had a--a circus tent, and I was having meeting there. And there was an--an Indian came in from... I think he was a--a Navaho. And he come in, very typical Navaho, you know, with a blue bands wrapped around his head, and scarlet shirt on. And he didn't set down in the seat. He just set right down on the floor. See?
And so I... Billy had been giving out those prayer cards, and coming down, mixing them up and handing them out to the people. And when he would... People come up on the platform with a toothache, and the other one had... Maybe he'd a, you know, tummy-ache or something another, some little minor something.
And I said to Billy, I said, "Son, quit giving them cards out to them people with nothing, but just toothaches when there's people setting there with cancer, dying. They must get on the platform. Ask the people what's wrong with them and then give them a prayer card. Somebody... Get something up there that's dying, 'cause they just got one more night, and we got to close. And there's about five thousand people there to be prayed for, and they--they're real sick.
So Billy got up on the microphone. He said, "Daddy said just give these cards to people that was really sick." Said, "Now, when I give them out to you, you tell me what's wrong with you and I'll give you a card." And he said, "Just people that's got toothaches, and so forth, and things like that, having little headaches, 'course that's a big problem to them, but it ain't a problem like a man dying, and heart trouble, or something real bad."
E-9 So I'm going to call him Chief. He was setting over in a corner on the dust on the floor, and he walked up to Billy, patted him on the back, held out his hand.
Billy said, "Chief, what's wrong?" Said, "Daddy told me to ask what was wrong with the people."
He said, "Me sick."
He said, "How are you sick, Chief?"
He said, "Me sick."
Billy said, "Well, I--I don't know what to do." He said, "All right. You set down. I'll get to you in a few minutes."
He watched him, them little eyes watching. When that little bunch of cards got pretty low, he walked up and tapped him again. He said, "Me sick."
And so Billy said, "Chief," said, "you'll have to tell me what's wrong with you. Daddy said just to give these cards to people that was real sick. What's wrong with you? How are you sick?"
He said, "Me sick."
Billy said, "All right, Chief. You take this and write on it 'Me sick.'" You see?
E-10 So it happened to be, he got in the prayer line the next night, the following night. So he come up there. 'Course the Lord begin to speak, telling what was wrong and what, so forth.
And so I said, "Chief..."
"Yeah."
I said, "do you believe the Lord will heal you?" He looked at me. I seen he didn't get it very good. See? I said, "Do you believe the Lord will heal you? "
He said, "That right."
And I said, "Will you be a good boy afterwards?"
Said, "That right." And everything I said to him, he said, "That right."
Come to find out, there was only two words he could say. He had learned that: "Me sick" and "That right." I met him about, oh, six or eight months later down there. I said, "There's that Indian brother." I went over to him. I said, "How are you, fellow," like that.
He said, "That right."
Someone in the missionary out there said he was healed. See? He was healed. And that's all he knowed. "That right." So... That's all you have to know, "That's right." So we are very grateful for that simple faith. The only thing you have to know is, "That's right," when we talk about the Bible. That's right.
E-11 A Chinaman one time (There may be some Chinese here tonight.), he said, "You Americans don't read right." He said, "You all read across the page like this." And said, "I am going to read John 3:16 for you." He said, "You say, 'God so loved the world, He gave His only begotten Son... whosoever believeth on Him shall not perish.'" Said, "You're saying, 'No, no, no.'" And said, "We Chinese, we read up and down the page, 'God so loved the world, He gave His only begotten Son.'" That right. That's right.
E-12 Traveling around meeting different people in different nations, it's amazing but to find out all God's children are wonderful people. No matter what language, what they are, they're all God's children, and very sweet. And I--I love them all. Norwegians, Swedes, and Finns, and... In Finland, that's where the little boy was raised from the dead. You probably read the story there.
And that's five straight times, by doctor's examination that five people, being dead, being by the grace of God through a vision called their life back to them again. And that's signed doctor's statements. You see? You read that in the "Christian Business Men" not long ago about the little Mexican baby?
E-13 Now, that... you see, before you put anything in print you've got to be able to prove it. See? You can say it. That's all right, 'cause you can deny it. But when you put it in print, you better have it right. And so this little Mexican baby, the doctor signed that it had died that morning down in Mexico there. There was thousands. Well, one altar call produced twenty thousand people at one time. And this little Mexican baby...
Now, they were all Catholic, and they were...
Oh, it's such a just... They come there at nine o'clock at morning, and wait till I got there at nine that night, waiting for us to come. And I come on the platform. Been raining all day, just pouring down, and they stood right there, right in that rain.
E-14 Night before that there was an old Mexican brother come across the platform, no shoes on, trousers all ragged, an old hat sewed up with twine cord. And he was coming across the platform, shaking, like that. He reached in his pocket and got out a--some beads to say a "Hail Mary." And I said, "That's not necessary." The interpreter, Brother Espinosa... Some of you Assembly of God people would know Espinosa. He's with... And so he was my interpreter. And I said, "That's not necessary."
So he come up, and I looked. And there I was, standing there with a good pair of shoes on, nice suit somebody give me. And there that poor old brother was, didn't have no shoes, didn't have no suit. His coat was ragged, no shirt at all, dusty. Probably the old fellow never had a good meal in his life. And I just got through eating a fine meal.
E-15 Remember, he's a--he's a man that Christ died for, same as me or anybody else. Got just as much right as I have. Probably a bunch of little kiddies at home, or maybe young folks then, 'cause he'd have been about the age of my father, and there was totally blind.
And I put my foot up the side of him. The congregation couldn't see. Oh, the platform was about as long as this building is across, and I put my shoe up the side of his foot to see if it would fit him. I'd give him my shoes. And I thought that. And his feet was much larger.
Then I tried my shoulders to his shoulders. My coat wouldn't have fit him. I thought, "O God, there he is." And I seen his gray hair hanging down, his eyes white. I thought, "If I could only help him some way." You've got to feel for people, or you can't do no good when you pray for them. You got--you got to feel for them. I thought, "What if my daddy would've lived? He'd have been about that age." He's probably somebody's daddy. And I thought...
And then, just think that Satan has been so evil to him. Nature has got him in the condition he's in probably in this poverty-stricken... And here he don't even have eyesight to see to get around.
E-16 And I put my arm around the old fellow, and I said, "Heavenly Father, I pray for this dear old man." I looked at him stand out here in a vision in front of me, he could--looking right at me. Oh, my. There ain't nothing going to stop that when that vision comes. Yes, sir.
I seen he could see. I just pulled him away from me like that, and he hollered, "Gloria a Dios." That means "Glory to God." There he could see as good as I could. And the next night there was a pile of old shawls and hats that was about three foot high and about--about fifteen, twenty yards long (How they'd ever know who it belonged to, I don't know.), just piled together to be prayed over.
E-17 When I got to the platform, Billy, my son, said to me... We had just started preaching. Brother Espinosa... I walked up. We just had three nights, all we could be there. And I said, "Now, I'm going to speak tonight, as I did last evening, telling you all what Jesus was, and you seen Him here go out through the congregation. You seen Him restore sight to the blind. Look, laying there, what a pile of old crutches, and chairs, and things that the people set in."
I said, "It goes to show that their faith in the risen Lord has did this." And I--I said, "Now, faith is the substance of things hoped for, the evidence of things not seen."
And Billy come to me and said, "Daddy, I've got almost three hundred ushers on this side." And he said, "They can't hold a little woman." And said, "She's just about so high, young woman." Said, "She's got a dead baby, and she's been standing in that rain out there." And said, "Manana never give her..."
E-18 Manana... The word "Manana" means "tomorrow," and he was so slow till I called him "tomorrow." See? He was supposed to come after me... They'd say at five o'clock, and he'd get there about eight-thirty or nine. See? And I called him Manana.
He said... He was giving out prayer cards. Billy just had to watch that he didn't sell one. You see? That's what we have to watch, not... A person giving out prayer cards has a responsible job, and that's the reason I have my own son giving them out, 'cause people could be something done bad. And so then, he just watched him, and he give out the prayer cards.
E-19 And said, "He's give out all the prayer cards, and this little woman didn't get one." And said, "Them people has been standing." Just as far as you could see around that big bull ring there, with a... Been standing there all day, since eight or nine o'clock that morning when they opened the gates, and this was about nine-thirty that night, maybe quarter to ten.
And said, "And that little woman has climbed through them ushers. She's got a dead baby wrapped up in a blanket. She wants you to pray for it." And said, "She climbs over the top of their shoulders, runs between their legs." And said, "We just have to get back there and kick her off the platform (See?), 'cause I can't let her up here without a prayer card, 'cause it'll cause a riot (You see?), 'cause them people's stood there that long waiting for a prayer card."
E-20 And brother Jack Moore (Many of you all may know him, from Shreveport, Louisiana, some of you might've heard him. He's a very fine man.), he was on the platform. And I said, "Brother Moore, that woman wouldn't know me. Go over and pray for the baby, wherever it is over there, and she'll never know the difference."
He said, "Okay, Brother Branham."
He started off, and I said, "Now, Brother Espinosa, interpret." And I said, "As I was saying, Faith is the substance of things hoped for, the..." And I looked, and right here in front of me was a little Mexican baby setting there. It was a little dark brown face, and it was laughing at me. It didn't have any teeth, just its little gums showing, right here in front of me.
I thought, "Wonder if that's that baby." And I stopped. I said, "Don't interpret." I said, "Brother Moore, wait a minute." I said, "Billy, make a way and bring that woman up here to the platform."
And so they brought the little woman up, and she come up. She fell down on her knees, begin to holler, "Padre, Padre." That means "Father." She was Catholic. See? "Padre, Padre."
And I took her by the hand. And I said, "Stand up. Stand up." And she held her little--little stiff baby out, about this long, under a blanket, just soaking wet. Oh, it was just pouring rain all day, and it was real wet. And I said, "Know English?"
And she just kept saying, "Padre, Padre." And Brother Espinosa told her to keep quiet.
And so I held--put my hand on the little blanket like that, and the little stiff, cold, form. I said, "Heavenly Father, I don't want... I know You don't have to heal to prove Yourself. You heal to fulfill Your Word." I said, "We all know that You're God, but just a moment ago a vision came before me, as You know--a little baby. Was it this baby, Father? If it wasn't..."
About that time it went "Waa. Waa," and begin to kick its little feet like that, and there it was alive. And then...
E-21 So I said to Brother Espinosa, I said... And she just started screaming and fell backwards like that. And--and so I said... Beautiful little lady, just a little thing, about maybe in her twenties, probably her first baby.
And so I said to Brother Espinosa, "Now, don't you say nothing about that now. See? Because, first thing, put a runner with the baby, and find out from... Let her doctor sign the statement (See?), 'cause we don't want nothing..." It--it must be true. See? You don't want nothing... Someone reads anything, you want it to be the truth. It mustn't be something wrong, because that wouldn't be right before God.
And so... Went, and the doctor signed the statement that the baby died with pneumonia that morning at nine o'clock in his office. And that was at ten, about ten o'clock that night. Been dead all that time, and lives in Mexico today, healthy and happy (See?), because Christ lives, Christ lives. And what does it take? Simple faith.
E-22 I said to your pastor, Brother Eddie Byskal; I said to him tonight, or this afternoon when I was speaking with him; I said, "It's just too bad that we didn't have the full six weeks we've been coming up the coast to be right in here amongst the people."
He said, "Brother Branham," said, "that's not one third of the Indians." He said, "They're commercial fishermen, and they're all out in these islands and out through here."
I said, "Oh, my. How I would like to get in a little boat and go from island to island among them." Not only that, but I noticed last night in the meeting, some of you Swedes, and Norwegians, and Germans setting back there, Canadians: wonderful faith. God bless you. You're wonderful people. We have a great Saviour that loves us all. And I--I am here...
E-23 I could not heal you. If I could heal you, I'd do it. See, you know I'd do that. If I could take... if to heal you... If I could take a--a quarter, twenty-five cents, and lay it on the ground, and push it up and down this street all day long with my nose, and then see you get healed, I'd do it. Now, God knows my heart. Here's the Bible. And that's right. I'd do it. But that wouldn't do no good. See? But the... And now if somebody ever comes by and says, "I can heal you," don't you believe that (See?), because even medicine don't heal. God's the only Healer there is. "I'm the Lord Thy God that heals all Thy diseases."
E-24 When this little Canadian, Donny Martin... You read the story in "Reader's Digest," when they brought him all the way down there so spastic and drawed that John Hopkins, Mayo Brothers, and all, turned him down. And he came down to Costa Mesa, and was in the meeting. And the Holy Spirit spoke. "Reader's Digest" wrote up, said the--said, "The evangelist didn't ask the boy. He told the boy who he was, told him what he had done, and where he come from, and what about it." And he was healed. See?
And then I was called in at Mayo Brothers for an interview for that, and they said... I said, "Well, I..." They never put Mayo Brothers' name on there, but they--there they had the "Reader's Digest," and it was--the father had said it. But of course the writer wouldn't say that about a hospital, and what it said.
Many great... If you read the article, said many great clinics through the United States and Canada had turned him down. And a spastic, drawed up, name was Donny Martin. October's "Reader's Digest," about four years ago. And then, he said this little ba... this little boy about eight years old...
E-25 Oh, it's a pathetic story, how this little Canadian brother come down on a sled. He said he knowed some deaf and dumb girls that was brought to my meeting before that, and the Lord healed one. And one of them is a singer in church, and the other one is a telephone operator: So was both deaf and dumb.
So he said, "We're not whipped, Donny. Let's go and tell..." And the mother and them thought they could maybe take fifty dollars, and all of them come to the United States, and take Donny to the meeting, and everything else. It wouldn't even pay one of their ways on a airplane. They had to come by a bus, couldn't even come by train. And when they got there, they had to take Travelers Aid to get out there to where the meeting was.
And the Holy Spirit told him who he was, where he come from, and so forth--little drawed-over father, holding his baby. And so... Then it told him exactly what would happen. The Lord healed the child to the glory of God. And when being interviewed on that, they said at Mayo Brothers, "Reverend Branham, we don't profess to be healers. We only profess to assist nature. There's one Healer. That's God." That's the best, isn't it. See?
E-26 The doctor can set an arm where it's broke, but he can't heal it. The doctor can pull out a tooth, but he can't heal where it come out of. He can cut out an appendix, but who's going to heal? See, there's no medicine that will build cells. Cells is--is growth (See?), and nothing can heal that. No one can. And to have growth is a multiplication of cells, which is creation. And there's one Creator: that's God. See? And He has to knit that place together, put that bone together. The doctor can set it but (You see?), they have to... It takes calcium, potash, and so forth, to go into that bone to mend it together.
Now, if I was cranking my car out here, or fooling with it and broke my arm, and I run into a doctor, and said, "Doc, you're a healer. Heal my arm right quick. I want to finish my car."
He'd say, "You need mental healing boy." That's right.
"Well, if you're a healer, heal my arm." He's not a healer. See?
He'd say, "I can set your arm. God has to heal it."
So then (See?), the Scripture's always right. "I'm the Lord Who heals all of thy diseases." That's right. We're thankful for hospitals, and medicine, and so forth. They aid nature, but they do not heal. No, they're not healers. God's the Healer. The Scriptures cannot lie. See?
E-27 Now, I guess that's the reason I take so much time. You're so nice, I just stand and talk to you, and there you are. But you know what? I don't... I'm just passing through this time. I don't have but a little bit to stay with you. But I want to make a date with you. Can I do it, all of you? After we cross over the river on the other side, and we become young men and women again, I want--I want a thousand years of appointment with each one of you.
We'll set down by the evergreen trees, and set down there and talk, and there'll come Abraham by, and we'll raise over and shake hands with Abraham, and Daniel will come by, we'll shake hands with him, and jump around, and shout a little bit, and set back down, and just talk about Port Alberni when--when we had the meeting here. Now, that sounds like to some people it might be fiction. But that's truth. Amen. That's just as truth as it can be.
E-28 Now, before we pray for the sick, or whatever we do... And now, I want you to know that Divine healing... We do not try to make that our great hold. Doctor F. F. Bosworth, a good friend of mine, just went to heaven recently, a real old man. Many of you has heard of Fred Bosworth. There was a godly, saintly, old man. And he said, "Divine healing is just like going fishing." Said, "You never show the fish the hook; you show him the bait. He grabs the bait and gets the hook."
So that's... So--so about eighty-six percent of Jesus' ministry was on Divine healing. It attracts the attention, of something Supernatural being done, and the people then believe in a mighty God. That does it. You see? So Divine healing is a minor, and you can never major on a minor. That's right, Mrs. Byskal, isn't it? That's right. You can never major on a minor.
E-29 So we have to remember that this here is just something... Now, my real way of seeing it... Now, we have great men in the world today, great men: Tommy Osborn, and--and, oh, who all? Oral Roberts, and those men... You got great men through Canada here, goes by, healing with prayer, laying hands on the sick. Oh, I respect that. Oh, my. They're men of God, great faith to hold on.
But someone wrote me a letter years ago when first started. He said, "Brother Branham..." Good criticism, and I appreciate that. At least you know where you're standing, as long as people don't get, you know, oh, real mean about it, just wants to be a brother and tell you where you're wrong. And I appreciate that. I always admire criticism, as long as it's--it's right. And then, this man said, "You know, Brother Branham," he said, "Oral Roberts will pray for five hundred while you pray for two." He said, "You are the slowest man I ever seen."
"Well," I said, "that--that's true." Wrote him back...
But he said, "Brother Roberts can stand up there, and lay hands on them like that, and pray for them as they go through, and pray for them like that, and here you're still standing there dealing with one." See?
I said, "But you see, God gave Brother Oral Roberts a way to pray for the sick, and He gave me another way to pray for the sick. And Brother Oral Roberts does it his way that God told him; I do it the way God told me." That's right.
E-30 And I said, "Now, here's what it is. When you're looking... What, for instance, if you got great faith... (Just let me see--just say something. Usually them that misses comes in.) Now, say for instance, we got great faith, and here stands a man on the platform all having a great time shouting, and the glory of God around." I said, "Now, maybe this man stole some money; he lived evil; maybe run around with some woman immorally, or he done a murder or something, that God had put this sickness on him." You know, God uses sickness for whips to bring us to Him. You believe that? Sure it is, the... Look at Job and chastening of the Lord.
Now, you have to notice, prophetic gifts can get yourself in trouble. Certainly can. Now, what if this man's done something evil, and I'm standing there, great big (what we call in America) bulldog faith, and I grab a hold of him, say, "Hallelujah, Hallelujah. Satan turn him loose. Glory to God." And I take that disease off of him, and God put it on him for a purpose. I'm in trouble with God. You see what I mean?
E-31 Maybe you don't get it. Wait, let me give you some Scripture. I know you won't doubt the Scripture. Here, let's take Moses. How many believe Moses was a prophet, a great prophet? God told Moses, "Go down there and speak to the rock." And Moses went down there and done what God told him not to do. He smote the rock. He smote it the first time, but God told him speak to it. And the rock was Christ. He was smitten once. It spoke of the--the weakness of the blood of Christ then at the... And Moses smote it the first time, waters came forth. Then they cried again, and kept crying for more water and something else, and God told him to go down and speak to the rock.
But he smote it, the waters didn't come. And he smote it again. He had power to do it. He was a prophet. And the waters came forth. That's right. What did God do? Said, "Come up here, Moses." Said, "You see the land yonder? You're not going in. You didn't obey Me down there at the rock." You remember the story, don't you? He had power to do it, but he'd better watch the way he used that power.
E-32 Look at Elijah. He was bald-headed, and he was coming down the road, and some little children begin to say, "Old bald-head, old bald-head, why don't you go up like--like Elijah did?" making fun of him. Now, that was all right. Them little kids, they didn't... Maybe--maybe it was their parents that taught them to do that, they was little fellows. They was making fun of this prophet. But they got him angry, and he turned around and put a curse on those children, in the Name of the Lord. And two she-bears come out of the woods and killed forty-two little innocent children.
Now, that don't sound the nature of the Holy Spirit, does it? No. Kill them little children... See? But a angered prophet (See?), he cursed them children. Had to be recognized, because he was a prophet. See? So you have to watch.
E-33 Notice, in that line. I see what the trouble of the person is, tell them. Then watch over, see what they're going to say or do. See what He tells me to do. If there's something there wrong, it still remains black and dark and cold, I say, "Go, and the Lord bless you." But then if it isn't, and I see it's being done, see them in the future, then I say, "THUS SAITH THE LORD," you see. Then you see it's all right then. It'll happen.
Now, just pray, believe, and someday I hope to get back with you, so we can stay a long time together. So if the Lord willing.
E-34 Now, I want to read a familiar little text out of the Scripture, and it's found in Saint Matthew in the 12th chapter, and begin with verse 41.
And the men of Nineveh shall rise up in the judgment with this generation, and shall condemn it: because they repented at the preaching of Jonas, and behold, a greater than Jonas is here.
And the queen of the south shall rise up in the gener--in judgment with this generation, and shall condemn it: for she came from the uttermost parts of the earth to hear the wisdom of Solomon, and behold, a greater than Solomon is here.
Now, I would like to take for a subject, "A Greater Than Solomon Is Here, A Greater Than Solomon Is Here." And for a text, "Recognizing God's Gift And Sign." Now, may we pray.
E-35 Our heavenly Father, we have just read from Your Word, and You are the Word. And You've always been the Word. And now, we thank Thee that we have faith to know and believe that everything is running just exactly on schedule. Tonight this meeting is just exactly on time, and the world and all of its achievements is just exactly on time.
O Father, when passing through the World's Fair a few days ago, looking at the achievement that man has done, and how he's progressed, how the people had gathered from around the world to see what the world was doing, finding their best that they have did... Germany, England, Switzerland, the world around was displaying what they had been able to improve upon.
And then, Lord, we come over to this little city way back here at Port Alberni, where some isolated Indians from off the island, who knows what it is to thank God for a good catch of fish, honest and sincerely, who can stand on the mountain and watch the sunset and cry, give praise to God when the birds wake at morning and begin to sing, and can see God in nature, and hear Him scream in the gulls, watch him lap his great wings in the air...
E-36 But we have gathered here for a spiritual world fair, to see what God's been able to do with His church through the age, how He's come from--from confession to gifts, and signs, and speaking in tongues, and wonders; and now right down to the last sign, God in His great affair, showing to the world what He's been able to do with His people. And we're so glad to be represented tonight, Lord, among a group of people that believes it, and sincere, and travels everywhere to find the goodness of God.
Now, heavenly Father, bless Thy Word. Bless Thy people everywhere. Save the lost, Lord. O God, they must go someday, we know. And I trust, Lord, that tonight it'll come to pass that we will be the kind of Gentiles that Jesus admired.
We read in the Bible where Jairus, his little girl laid sick, dying, and he said, "Come, lay Your hands upon my child, and she will be well."
But when the Roman, Gentile, he said, "I'm not worthy that You'd come under my roof. Just speak the Word, and my servant shall live." Then You turned, and looked at Israel, and said, "I've not found faith like that in Israel."
Now, Father, we're not trying to lay hands upon the sick, that when I leave they might say that "a certain brother come by and laid hands on me." But I... Father, I pray that they will see that I--what the motive in my heart, and the objective of Thy Word, that I'm trying to bring to them, that their Saviour, Jesus, is with them. He's ever living. He's alive. Two thousand years of criticism and coldness could not kill Him. He's still alive right in our midst tonight.
And let the people see His Presence, see Him working, not wait to someone to lay hands upon them, but by faith believe the resurrected Christ, and receive their healing and their salvation, go up and down the islands everywhere, testifying like the little lady we spoke of last night at the city of Sychar, and over in the land of the Samaritans. Grant it, Lord.
We are Your servants, humbly committing ourself with this text tonight. Speak, Lord. We are in Your hands. Do with us as You see fit. In Jesus' Name we ask it. Amen.
E-37 Now, in these meetings (to the clergymen) I have tried to keep it very simple, just the message and--of healing, so that we can watch our Lord. Now, many times people go around, you know... And it's just human. They say, "Oh, Brother So-and-so, hallelujah, don't you think he had a gift of God? He laid hands on me. Hallelujah."
No. That was your faith that did it. See? It was your faith, not the brother's hands. It was your faith (See?), because if there is healing in some man's hands, then what happened to Calvary? There's where He paid the price of our healing. It's our individual faith in His finished work. Any man knows that. You see? Now, therefore, I have not come trying to say, "Let's all come up and let--lay hands on you." I'm trying to say this to build your faith.
E-38 Now, and one of you... What if one of you Indian brethren or sisters, would get sick way out on one of those islands? You think, "Well, I'm poor, ain't got no money. If I could go down to the States, go way down to Brother Branham, go way over to Oral Roberts..." Well, maybe Brother Roberts, you'd probably takes months to get in.
I got three hundred setting there on a waiting list now, from all over the world. But that's for private meeting. See, when we come in there, I take a case like that, we never leave it. We leave it alone until God reveals. It takes God to reveal what he must do, what he has done and so forth like that. Now, them's private interviews. That's something in life. We got the plan laid out in the Bible here, but the private life of things... Oh, it would take years. I could write volumes of books on what I've seen Him do. And not one time did it ever fail. Not one time does it ever fail. Just ask anybody at any place. It never does. It can't fail. It's God. There's one thing God cannot do. He cannot fail. He can't fail.
E-39 Now, believe now. Now, Jesus was rebuking that generation for not believing His sign that He had proved to them that He was the Messiah. Now, we took that last night, and how He was the Messiah because He was the Word. Is that right? Now, "Messiah" means "the Christ, the anointed One." And then He was to be the King, the God prophet, and here was the Spirit in Him. Now, remember the ones who really stayed with the Scripture teaching, they recognized Him. But those who went off with the other church in their traditions, they missed it. See?
And Jesus told those teachers. He said, "You with your traditions, you take the commandments of God, and make them of non effect." Now, what would they do with their tradition today, saying, "The days of miracles is past." That's a tradition. "There's no such a thing as Divine healing." That's tradition, not the Bible. I can show any man where Jesus ordained His church and commissioned it to all the world, to every creature, and these signs shall follow them that believe. Now, I want somebody to show me a spot of Scripture where He taken it away from the church. It's not there. It's still in the church. It's the traditions that's twisted it out.
And that's the reason they didn't recognize Jesus. because their traditions had twisted away and got some... They thought the Messiah would come, and no doubt they built a temple, and said, "He will come down the corridors of heaven. They'll beat the Angelic band, and He will come in like that." And what was He, born in a manger, in a--a--a barn where cows and animals was, in a little box of straw, and was supposed to be a illegitimate birth, His mother and father not married. All... Oh, my. The devil painted an--an awful picture for Him.
E-40 And they said, "A man like that? No. What school did he come from? Where did he get his education? Why, his daddy was a carpenter, and then say he's the Son of God." See, they couldn't believe that. But yet, He was so phenomena until they couldn't deny it was there. And then they just said, "Oh, he's of the devil." And that's the same thing today. They'll class it the same way, because wisdom is justified of her children. Did you know...
As I made a remark last night, I felt it sweep over the audience; it kind of had a funny feeling when it returned. But when I said, "Education has been the mark of antichrist all through the ages."... Education is the worst enemy the Gospel ever had.
E-41 Listen. I'm off the subject, but just a moment. Let's just take the lineage. There was Cain and Seth. Abel was killed, and Cain was brought in his place: death, resurrection of Christ. And Cain's children were all smart, intelligent, scientists, all down through to the days of Noah. And Seth's children were humble farmers, sheep raisers, peasants all the way through. It's always been that way. See?
When Jesus come, the Pharisees, and Sadducees, and educators, look where they were at. Religious? Oh, holy? My, you couldn't put a finger on their life. But you see, they were unbelievers. Anything that doubts one punctuation of God's Word is an unbeliever. I don't care how religious you are; Satan's religious too. You've got to believe the Word. And if you got the Holy Ghost, the Holy Ghost will punctuate every Word with a--every sentence with an "Amen." See? It'll never take from it. It'll believe it. See?
E-42 So when Jesus came, where did He get His disciples? Did He go to Caiaphas now and said, "What's the smartest group you got?" He bypassed those. They wouldn't believe Him.
Where did He go? He went and got the Indians of that day, the fishermen down on the river (That's exactly right.), men who couldn't even sign their own name. The Bible said that Peter and John were both ignorant and unlearned. That's right. But they could heal a man at the gate called Beautiful in the Name of Jesus Christ, and it pleased God to give a man that couldn't sign his own name the keys to the Kingdom, saying, "Whatever you bind on earth, I'll bind it in heaven."
E-43 Why does education play such a part today, twisting the people away from God instead of bringing them to God? Paul... You say, "What about Paul?" But what did Paul say? He had to forget all he ever knowed, and he said, "I never come to you with the wisdom of man, with enchanting great words, but that your faith would be built upon such, but I come to you in the power of the Spirit, that your faith would be in the resurrection of Jesus Christ."
[Blank.spot.on.tape--Ed.]... and was saying to them, rebuking them because they had not believed Him. He said, "If I do not the works of My Father, then don't believe Me." And here He was telling them...
E-44 Now, remember, God in all ages has always done the supernatural, because He is supernatural. Did you ever think what God was? Let me give you just a small picture now, before I go... (Oh, I won't... I get blessed and won't be able to. Yes, I am. I'm going to try it anyhow.)
In the beginning before there was anything, It was God. Before there was a meteor, before there was a light, before there was a atom, before there was a molecule, He was God. But He couldn't... He was the great controlling power of everything. And He was everything in Him.
Now, in Him was attributes. You know what attribute means? Raise up your hand, anybody knows what a attribute... surely you know what a attribute is. It's something that it's in you, it's--that's got to display itself. Like an attribute... Like you love scenery, and when you see that scenery, something it just... Oh, my, it just thrills you.
E-45 Now, in God... He wasn't God yet, because God is an object of worship, and there was nothing to worship Him. He was God, but He wasn't God in that manner. Then He must've created Angels. Then they begin to worship Him. Next, He had a attribute to be a Father. Next thing He had a attribute to be--to be a Son. Next thing He had a attribute to be a Healer, next thing, attribute to be a Saviour. See? And all these things had to display themselves. See? And God to make a man sin, so He could punish him? No. And He put him on the basis of free moral agency, and man sinned himself. And so therefore, God became a Saviour then. See?
So it's just only the attributes of God displaying themselves that we see, and everything is perfectly on time. Every gift, everything's moving just exactly according to the tick of the watch. She--she's right there.
E-46 Now, Jesus in His time, He came to display the attributes of God. In Him God was manifested in Him. Notice. Now, He'd showed this Messiahic sign. It was... unbelieving... And God in all ages has had signs to the people. And now, when the people believe that sign, it was a golden age to the people. But when they disbelieved it, it was chaos to the people. Right. Now, let me quote that again, 'cause I'm only going to take just a few minutes now.
Look. When God sends a gift, and the people believe it, it's a glorious time for the people. But when God sends a gift and the people turns it down, that generation goes into destruction. Now, notice. What if the world today would receive God's gift?
E-47 Let's go back for a minute. Noah was--come with a gift of God as a prophet, saying there was coming a storm that was going to cover the whole world with water. Now, it didn't meet with scientific ideas of that day. Remember, they were greater scientists then than we are now. They'd built the pyramids and Sphinx, and we couldn't build that now. They embalmed the body to make it look natural, even to this day, a mummy; we couldn't make it. They had coloring that we can't touch. They were greater scientists than we have today. And now, when--they probably could shoot radar to the moon too.
And Noah, this man standing out there after hearing from God, and preaching, prophesying that God was going to destroy the world with water... It's going to rain down out of the heavens. Why, I can hear the scientist to come up there, and said, "Look, we've got an instrument that we can shoot plumb to the moon." You know, it had never rained in them days. God watered the earth up from the springs, never been no rain in the skies. The earth, leaning back after the antediluvian destruction, causes the rains.
So Noah said that it's going to rain from above, and the people didn't believe it. Science says, "There's not one drop of rain up there, no water. How could it rain?"
Noah would say, "If God said it's going to rain, and rain's coming from up there, God's able to put rain up there." See? But the people didn't believe it. One day she rained. See? And that race, because they did not believe it, they were destroyed: the whole world.
E-48 Years later come a prophet named Moses, came down out of the wilderness, a Pillar of Fire over him. And he was bringing them the promise of God, telling them that God had promised by His Word to take them to a land that was flowing with milk and honey. And he had this Pillar of Fire over him, and God was working with him to prove to those Jews that he was a prophet.
He said, "Tomorrow get everything ready, because a certain-certain thing will take place." And it happened just exactly. He was a prophet.
E-49 Notice. I thought the other day how glorious that must've been for Israel when they heard that. They believed him. Notice, they were--they were slaves. They--they--they'd throw them out molded bread; they eat it or done without. If those Egyptians wanted to take their young daughters and ravish them, what could they do about it? Nothing. Go and take their young sons, and kill them, what could they do about it? Nothing. They were slaves, and yet they were God's people. Amen.
Notice. Now, here they were God's people in that kind of a shape, and down come this prophet with THUS SAITH THE LORD, according to the Scriptures. "God, our Father, met Abraham, and told him that his seed would sojourn in a strange land for four hundred years, then He'd bring them out with a great promise and power. He would deliver them, and take them to a good land where Abraham sojourned. And it's--the time is at hand."
E-50 Any man could've said that, but this man had a Pillar of Fire over him. And he was a prophet. What he was saying was happening just exactly the way he said. Oh, my.
Israel believed it. What did they do? They marched out of Egypt under that Pillar of Fire on the road to a promised land that they had never seen or knowed nothing about. And none of them had ever been there, but they went because God's Word bid them to go. They were in the line of duty.
(I hope I'm not too loud. I've been used to preaching outdoors and things. Just a minute. Notice. I'll stand back a little.)
Notice, they followed that prophet through the wilderness, and God fed them in the wilderness. He supplied all their needs, rained bread out of the heavens of a nighttime and fed them, and took them up till they come to a place called Kadesh-barnea. Kadesh-barnea was one time the judgment seat of the world.
E-51 And they had a great warrior with them called Joshua. And the word "Joshua" means "Jehovah-Saviour." He went out of the camp, crossed over the Jordan. Nobody never been over there now. They didn't know the land was there, only by the promise of God. And he crossed over the Jordan, went over into the promised land, and brought back the evidence that the land was just exactly what God said it was. See? It was there.
And it was then that the people, ninety percent of them disbelieved Joshua. They had to wander awhile. But God making the promise, He took them over. How lovely. They didn't have to work under Pharaoh. They could marry their wives, build them a little house on the place, raise their own fa--gru--grub and stuff, and eat it, and raise their children in peace. The nations feared them and so forth. And after while the hillsides of that lovely land become spotted with graves.
E-52 Then along came the greatest Warrior of them all, Jesus. And He said that God has prepared a place where there's no death (Amen.), where we can live forever, build houses and inhabit them, plant vineyards, and eat the fruit of them, and we'll not leave them for somebody else. Amen. "In My Father's house are many mansions. If it wasn't so I would've told you. And I'm going to prepare a place for you, and return again to receive you unto Myself, that where I am there ye may be also." He promised it, that there's life after death. Another great Joshua... Nobody's ever been over, and come back. Just another great Joshua...
E-53 Notice. Then when He got to that place, He met His Kadesh-barnea, the judgment seat for all of us: Calvary. There's where He was judged for the sins of the world. He crossed over the Jordan of death, that we know it, over into the other land, died. He died so until the sun quit shining, the moon wouldn't shine, and why, the earth had a nervous chill when the rocks shook out of it, when He died. And He died, but on the third day He come back from across Jordan, bringing back the evidence that a man lives after he dies here. What a great Warrior.
E-54 Now, He said, "I'm going to give you the earnest of your salvation." You know what the earnest is? Is the down payment. Like if I wanted to buy a boat from one of you Indian brethren, and I went out and said, "How much you want for the boat?"
You say, "Two thousand dollars."
I'd say, "Well, I'll tell you what I'll do. I'm going to give you fifty dollars to hold it for me until next week. Will you do it? Hold me... Will you hold it for me?"
"I'll do it, Brother Branham." Then you give me a receipt, and I'll give you fifty dollars. Now, you can't sell that boat, because I got first bid on it. That's the earnest that I'm going to get the boat. It belongs to me.
Well now, God came back, and said, "Go up there to Jerusalem, and wait. I'm going to send you the Earnest of your salvation. And they were up there all in one accord in one place, and suddenly there came the Earnest, come down from heaven like a rushing mighty wind. It filled all the house where they were setting.
E-55 Now, looky here. We can look back and see where we were once unbelievers. We seen once where we'd have walked around a meeting like this and laughed at it. We seen once back in our lives where we would've criticized Divine healing. We... One time we didn't believe in God. One time we didn't believe in His Word. But now we have been raised up from that, lifted up, died in Christ, buried with Him, raised with Him in His resurrection, and now setting in heavenly places in Christ Jesus. Once...
See, the Earnest... Here we are today in the Earnest of our salvation. We stand here tonight already dead, buried in Christ, and raised with Him, and setting in heavenly places, enjoying spiritual things coming back from across the way. See, heavenly places... Oh, my. It makes us shout, think about it.
E-56 Like an old colored woman, a Negro woman, sister, said down in the States, she said, "Dr. Branham," said, "I--I's want to give a testimony."
"Go ahead, sister. Testify."
She said, "I wants to say this, people. I hain't..." (That's a word they use in the south), said, "I hain't what I ought to be, and I hain't what I want to be. But then, another thing I know; I hain't what I used to be." So that--that's good. She knowed something had happened. Amen. So do I, every man that's borned of the Spirit of God knows you're not what you used to be. Amen.
I ain't what I want to be, and I ain't what I ought to be; I ain't what I used to be either. See? I have raised with Him. Now, I'm this high up, waiting for my change to come.
E-57 Now, Moses, Moses was God's servant. Now, Jesus speaking here, He said, "The men of Nineveh shall rise in the judgment because they repented at the preaching of Jonah." Jonah was a prophet.
Now, a lot of people just talk bad about poor old Jonah, and they said he was a--a backslider. I don't think so. I think the Bible says that the footsteps of the righteous is ordered of the Lord. Now, we do things that don't... We don't understand why we do it, but we just keep still. As long as you're led of the Spirit, go do it anyhow. It may be contrary to our thinking, but when the Holy Spirit said, "Go," we go.
For instance right now I've got a meeting, be set in New York; I'd have it this week, where there was three hundred Spanish-speaking people takes Madison Square Garden that seats nineteen thousand, and wanted this very week here that I'm in here, to be in New York. See? But the Holy Spirit led me over here. Seems like it'd be contrary. But I don't know why, but I'm here. You see, children of God are led by the Spirit of God. We don't understand. See?
E-58 Now, the other brethren can go to them people. Now, like Brother Roberts, he couldn't go there, he couldn't come here. He has to have around, I think, it's around fifteen to twenty thousand dollars every day: television programs, and all kinds of things, and--and a three million dollar building there to operate. That brother couldn't come here. You couldn't support nothing like that. You're not a--can't afford to do it. See? And neither could Tommy and his great program, with thousands of missionaries across the land, he couldn't do it.
So you see, the Lord never let me grow up like that. He just let me stay so I could go in any little corner, 'cause I don't need nothing but just His Presence. That's right. I was on the field before any of those brethren. But you see, the Lord has spoke to me, saying, "Don't get none of that. Don't get mixed up in money. Leave it alone."
I never took a offering in all my life. I've been preaching for thirty-one years and never took an offering in my life (See?), because... And I hold a... I held meetings as much as five hundred thousand in one congregation. Then I went and held a meeting where the church only seat twenty people, but the Lord said, "Go." See? It's wherever He says, "Go," go.
E-59 Here not long ago... You've heard of Brother Roberts, the great man. And I went... Oh, he's a sweet brother, very good friend of mine. And I went to his great big building. I went over to Tommy. And Tommy was down here at the--at Portland when that maniac ran out to kill me that night on the platform (You've heard the story) great big fellow, and said, "I'm going to knock you out there in the middle of that audience. I'll break your neck."
And the Holy Spirit said, "Because you've challenged the Word of God, you'll fall over my feet."
Said, "I'll show you whose feet I'll fall over," pulled back his big fist.
And I said, "Come out of him, Satan," and he fell across my feet, just exactly. There he was.
So Tommy was standing there. The police run out and said, "We're after that man to put him in jail." Said, "Is he dead?"
I said, "No, sir. But roll him off my feet." See? He weighed about--about over about two-fifty, so they rolled him off my feet, and there he was.
He said, "Is he healed?"
I said, "No, sir. He worships that spirit." He won't... I'd led those two little police to Christ in the dressing room back there at the--at Portland Auditorium.
E-60 Now. Now, you see, in that Tommy became a servant of God, and now he--and going out in the fields, done a great work. And Brother Oral, there was his great building. It's a great thing to think that one man, one man could put up about a two and a half, or three million dollar building. Whew. My. Look at Tom...
I went in Oral's place, and there's five hundred IBM machines running. His letters never touch human hands. The--there's a machine picks them up, writes it off, takes it down, folds it, and sends it out. Goes to the bank, and gets money, and brings it in by great big truck, and dump it in a... A conveyer runs around in different languages. They pull them out, like that to take care of their money. Why, it's a... You never seen anything like it in your life. And it's a great thing. And Oral taking me through to show me, and Brother Fisher, and one of the missionaries with him there.
And then I'd seen Brother Tommy with his great big place over there. I thought, "How wonderful, how good." And I happened to look out. Brother...
E-61 The police come up, and said, "Brother Branham, you can't get out that door." Said, "There's fifty people standing out there waiting for you." Said, "They'd--they're just waiting to see."
And I said, "Well, is there a back entrance?"
Said, "Yes. Go out through this way." And they said, "We'll send a man around to pick you up."
And I walked out in the back parking lot. I was walking up and down there looking at that great big building. Oh, my, just like... I never seen anything in any part of the world like it. A little Pentecostal boy did it.
I thought, "Isn't that wonderful?" I thought, "God, how wonderful." I thought, "Just think of Brother Tommy's place, where, how that great big almost a city block, just in making books, and secretaries, and so forth, and IBM machines running.
I thought "My. I'd hate for them to come to my place to look mine over." I got one little typewriter setting in the end of a trailer. And I would--was trying to get someone to help me answer my letters.
I thought, "But boy, I wouldn't have all that responsibility for nothing. I ain't got brains enough to take care of that." I thought, "God knowed that."
E-62 And I was standing there, and then I got real melancholy. I got thinking, "God, each one of the brothers said that they seen the ministry You gave me, and it started them on the field." I said, "To that, I'm grateful. We're all working for one big place up there called heaven." And I said, "I'm thankful for that. But" I said, "I suppose maybe You couldn't trust me, and You knowed I wouldn't be able to take up money like that. And I wouldn't have the intelligence to know what to do with it if I took it up." And I said, "I guess it just happens to be that way."
I was standing there, kind of felt a little choked in my throat, because... I don't say this... I just say this is the truth. I heard a voice just as plain as you hear me, said, "But I am your Portion."
I said, "Thank You, Lord. I'll go anywhere, any place, at any time. I want to do what You--what You'd have me to do," and thanking God. Now, Brother Osborn, and Brother Roberts, and Brother, all those precious brethren throughout the world, we're all working for one place, one place. You see?
And this, the little gift that the Lord give me is to press into these little corners. You can't be all tied up with money, and programs, and things like that. Just press into the little corners and get the thing started. That's all. And I--I--I'm thankful for this portion. I'm so glad He is my Portion, and He's the one that I'm waiting on.
E-63 Now, Jonah had a ticket to go down and wanted to go to Nineveh, what God called him to do, but he went to Tarshish. Now, you think, "Well, he done exactly what God told him not to do." But just a minute. If a prophet is led of the Lord, it always comes out right. Now, he got out there and the storm come up, and--and the seas got rough, and the boat was sinking. And they tied Jonah's hands together and his feet together, and throwed him overboard in the ocean, and a whale swallowed him.
E-64 Now, not long ago they had a whale laying on a--a big flatcar down at Louisville, Kentucky, about fifteen years ago, or maybe twenty. And they was giving a lecture. And the little scientist that was giving the lecture was making fun of the Bible. Here's what he said: said, "Now, I want you people... You know the legend..." Legend? This Bible's not a legend. It's the truth. And he said, "The legend about the whale swallowing Jonah..."
He said, "I want you to notice. You couldn't take a good sized baseball and put it in the throat of that whale. So as far as that legend, there's nothing to it. This is a good, ordinary-sized whale, and the whale could not have swallowed a man, because he wouldn't have went through his swallow. It's--it's... The most you could stretch it would only be about four inches that--that the man could've went through. And he could not have done it."
That was just too much for my Irish background, you know. I said, "Mister, I want to say a word."
He said, "Yes, sir. What is it?"
I said, "You just don't know your Bible." I said, "God said that He prepared this fish. This was a special-built bird. See, God prepared this fish. It was a different type."
This one--this one, he could've... He--he could've swallowed a house if he wanted to. God can do what He wants to. The Bible said God prepared a fish. Oh, he had a big throat in him. You see?
E-65 And so Jonah went into the belly of the fish. And you ladies know now, when you feed your little goldfish, you know what he does? He goes right down to the bottom of the little basin, and puts his little swimmers against the bottom, and rests. He's got his belly full. See? He's laying there just resting. He's done prowled through the waters until he found his food, and went down and rested. That's the way fish does when they feed: get a belly-full, they go back. The trout out here will get under a rock somewhere and rest. That's the way.
And I imagine this big old fish got a bellyful of this prophet. So he goes down in the water, and goes down to the bottom, and lays down.
E-66 Now, you talk about Jonah being in a condition. He was in a bad shape. Lot of people talk about symptoms. They say, "Well, I was prayed for last night, but hmm, I still got the pain." That don't have nothing to do with it. "I was prayed for. My hand's still crippled." That don't have nothing to do with it. If you believe it, you don't look at that, you look at a promise. See? You're not looking at the hand. That's what we call symptoms, looking at symptoms.
Now, there's nobody in here could have symptoms like Jonah. Brother, he had the awfullest case of symptoms I ever seen. Looky here. Every... Now, he was--he was out on the ocean, his hands and feet tied behind him, and he was in the belly of the whale, probably several fathoms deep, laying in the vomit in the whale's belly on a stormy sea. Now, you talk about symptoms...
He looked this way, it was whale's belly. That way was whale's belly. Everywhere he looked was whale's belly. There's nobody in that bad a shape here. Look what--look at the symptoms he had. But you know what he said?
He said, "They're lying vanities. I won't believe any of it." He said, "Lord..." turned over on his back, the vomit all around him, seaweeds around his neck. He said, "Once more will I look to Your holy temple." Oh, not look at the whale's belly, or the circumstance, but, "look at Your holy temple."
Solomon, when Solomon dedicated that temple he prayed. He said, "Lord, if Thy people be in trouble at any time and look to this holy place, then hear from heaven." And Jonah acted upon Solomon's prayer. And God... I don't know what He done. He put a oxygen tent down there or something, and He kept him alive for three days and nights.
E-67 Now, we don't... We're not in that bad a shape. There's none of us as bad off as Jonah was. That's right, 'cause here's the Holy Spirit here. We're not in the belly of the whale, we--we're not in that condition. But if Jonah, under those circumstances, could look to a temple that a human being prayed when he dedicated it (and the man that prayed backslid later), and God heard his prayers, how much more under this circumstance can we look towards heaven where Jesus sets at the right hand of God, ever living to make intercessions on our confession? My, my. I won't look at my tummy ache. I won't look at my heart beats funny. I won't look at my crippled hand. But I'll look towards the promise, for He sets there ever living to make intercessions. Amen.
E-68 I want to show you something now, show where God knows what He's talking about. Now, the people of Nineveh... That was a big city about a half a million people, pretty near the size of St. Louis, Missouri. And they were heathens. They were in all kinds of sin. They worshipped animals, and idols, and everything, and they were--their occupation were fishermen. And so the whale was the god of the sea.
So all of them was out about eleven o'clock fishing, all the fishermen pulling their nets out there in the sea, and the first thing you know, up come the sea god, the whale. Run up to the bank, licked out his tongue, and the prophet come walking right out on the bank. Sure they repented. God knows what to do. God knows how to do things to people that wants to believe. See?
Jonah wasn't out of the will of God. See, the whale god spit the prophet right out on the bank. Sure they're going to believe his message. And there he come out.
E-69 And Jesus said that, you know, that there was a greater than Jonah there. But notice what He said. Now, a little bit before we go into another subject. Look. Jesus said... They said, "Master, we will see a sign." (Three verses behind where I started reading.) "Master, we would see a sign."
He said, "A weak and adulterous generation seeks after a sign." Is that right? And He said, "There will be no sign given that generation..." Now, listen, close. How many knows that--that Scripture repeats Itself constantly? We know it. And He said, "There will be no sign given that weak, wicked, adulterous generation." That's this generation.
E-70 There never has been so much in all the world of wickedness and adultery as there is right now, perversion. Well, homosexual, perversion, women on the streets, stripped, every... You.. It's just terrible the way people are doing all over the world, and especially in the--in the States. And it's getting to be almost as bad in Canada. It's too bad, but it's true. That big nation, this little nation's a pattern off of it. Don't take your pattern from them, take your pattern from up here, Christ.
Notice. And there they were, a wicked... He said, "There will be no..." Now, listen, close, so you won't miss it. "They will receive a sign. As Jonah was in the belly of the whale three days and nights, so the Son of man will be in the heart of the earth three days and nights." They will receive that sign.
What is the sign of? The resurrection. You get it? That's exactly what we're getting now, the sign that He's not dead. He's raised from the dead and among us, doing the same things He did when He was here on earth. And the wicked and adulterous generation (See?), would receive that sign.
E-71 Then, one more, closing. He said, "And the queen of the south shall rise in the judgment with this generation and shall condemn it. For she came from the utmost parts of the earth to hear the wisdom of Solomon. And behold a greater than Solomon is here."
Now, listen in closing. In the generation of Solomon God gave a gift to the earth, and that was the gift of discernment. And it fell upon Solomon, and all the people believed it with one heart. What if all the people today would believe... What if the Canada and the United States would believe their Gift that God sent them, the Holy Ghost? What if all the people that professed to be Christians just believed it? Why, we wouldn't have to worry about Russia's atomic bombs and all them things.
Well, we'd... You'd never be able to dig out of the way of the atomic bomb. Well, the thing... People are digging holes, and down in the States they're going down in caves and making government offices. Well, that atomic bomb, the one they got now that will burst the earth, I believe it's three or four hundred feet deep, and for a hundred and fifty miles square. Well, if you was ten thousand feet under the earth, plumb down into the lava, it would break every bone in your body. You can't dig away from it.
But we've got a bomb shelter. It's not made of steel; it's made of feathers: under His wings (Amen.), be lifted up. That's right. When that... 'Fore that bomb drops, we'll be in glory. What's the matter? Then they say we're crazy. If I am crazy, leave me like I am. I feel better this way. And so I just--I like to stay this way.
E-72 Now, notice. Now, in Solomon's time, everybody believed that gift. Oh, my. Everybody, they wasn't going around saying, "Oh, he's old Assemblies, and he's old this, and he's old that." No. They was all with one accord. They believed it.
And how everybody coming by the--through... They didn't have jet planes and things in them days; they had to travel through camel caravans. And when they passed through, they'd say--go down the other parts of the world, saying, "You ought to hear up in Palestine. They got a God up there, and that God is making Hisself known through a man."
E-73 Now, see, pagan worship is to prostrate yourself before the idol, the imaginary god, and believe that the imaginary god is talking to you. Christianity is vice versa. God takes a living man that prostrates himself before Him, and speaks His own Words through the living man, not through an idol. Just turns right around from pagan worship, idol worship, to Christian worship.
Now, they said, "They got a man up there that's their God that they worship, speaks through that man with discernment. Oh, it went everywhere. All nations feared them. They sent in gifts and everything. No wars in time of Solomon. No. He was--he was... They thought he was too smart. It wasn't him; it was God, the Holy Ghost in him that makes him smart.
E-74 Now, that news came way down across the earth into the land of Sheba. And if you'll measure on your map, it's a long ways down there, across the Sahara Desert. And this little pagan queen, she was a heathen. And people coming in, saying, "Oh, you ought to see up there in Palestine. Such-and-such, and such-and-such." My, how they'd think that about that.
Now, you know, faith comes by what? Hearing the Word of God. Now, the little woman would say, "What?" You know God in her, she believed that there was a God. And so when that faith begin to touch her, that there was One, she begin to look for Him. And everybody would come in. When they come into her kingdom (camel caravans going through, you know, traders, and so forth, with silks and linens and so forth, and produce, and whatever they had, coming through), why, she'd call them into her palace and say, "Did you come through the way of Palestine?"
"Yes."
"Is it so?"
"It's so. It's so. You never... Them people are one heart and one accord. You never seen such in your life. Their God has given them a gift and displaying it through a man. And they've made that man their king. Oh, my. They all believe it. Every one of them."
"Well, did you get to see it?"
"Yes."
"Is it so?"
"Sure, it's so."
Oh, my. She wants to see it then, you know, when you hear about it. Now, She decided that she was... She got all the scrolls, and she begin to read what that God was. See, she was a heathen, and she begin to read what Jehovah was, see His nature. She said, "Then that must be Jehovah's nature that's displaying Himself in this man, because Jehovah, they say, is all wise, and He foretells things."
E-75 So now, being the queen, she had a lot to go through with. She had to go over to her pagan priest and ask permission to go from her church. Well, you know what? I imagine that pagan priest, said, you know, "But you see, look here, girlie. You're a queen. You can't go down with that illiterate bunch, you know. You can't do that. You're a queen. And they... You know what? Why, you know, it would... You would get out of your own class if you got down..."
And she said, "But, sir, I want to go. Something tells me I want to go."
"Oh, but you... we... You can't do it, child. You cannot do it. Now, listen. We know they say all these kind of things up there. They crossed the Red Sea, and it dried up, and--and they rained bread out of heaven. But it just legends. There's nothing to it."
You hear that same old devil talking today. The devil takes his man, but never his spirit. God never takes His Spirit either. He might take His man, but the Holy Ghost was on Christ, come back by the church to the end of the world to do the same thing.
Notice. Now, them big old scholars and things of that day, and that great big old bunch of Pharisees, they still live. Their spirit's right on others. You see? And God's Spirit still lives just the same, confirming His Word, going on. Depends on what you want to believe. That's all.
E-76 Now, if we notice... Then he said, "Now, there's no such a thing as that." Said, "Now, if there was anything to that, our idols, our church would be doing it."
You get that, the same thing today. "Now, if there's anything to Divine healing, the great so-and-so church would believe it. The great so-and-so church would do it." See? But you know, God does things to suit Himself. He don't have to ask anybody about it.
He's the self-sufficient One. See? He don't have to ask nobody. So God was doing it.
And you know, a little heart begins to hunger for God, there's nothing going to stop it. And she said, "Sir, I'm going anyhow."
"Well, if you do, I'll give you your church letter."
Said, "You might as well give it, 'cause I'm on my road." So she... See, nothing going to stop the person that comes to Christ that really believes Him. When you hear the Word of God, and know It's moving, there's nothing going to stop you. That's all. You're coming anyhow.
E-77 And now remember, that little lady had a lot of difficult. I see her pack her camels, and here she thought of something.
She said, "Now, wait a minute. If that's truly... If that gift is right, then I'm going to support it." So she got a lot of gold, and frankincense, and stuff, and packed it on camels. She said, "I'll take it with me, but if it isn't so, then I'll bring my money right back."
That could teach Pentecostal people something--supporting meetings, and meetings that--that hate the very thing that you stand for, let your own church go without. They do it in the States. I hope you Canadians don't do it. But they do it down there and just to be popular. "I give so-and-so to such-and-such." Oh, my. Skim milk...
Notice. Now, here he was. She put everything together, and she put it on her camels, all that money, thousands times thousands of dollars worth of gold. And remember, Ishmael's children, the Arabs, they were robbers in the desert then. How easy it would've been for them to--them fleet horse riders to ride right in and kill that bunch of little guards around that queen, and--and take that money, and fly away in five minutes.
But you see, if you're determined to know God, you don't know no fear. Faith knows no fear. That right? You don't care what the doctor says, what anybody else says; you believe it. See? And she wasn't thinking about the robbers, and this, that, and the other. She was thinking about getting over there and seeing God working in a man.
E-78 And now, remember. She... How long do you think it took that woman? She didn't have a air-conditioned Cadillac to come in. No, she had to ride on the back of a camel. You know how long it taken the camel train to get from Sheba to Palestine? Three months, ninety days, through a hot Sahara desert, the hottest place in the world, on the back of a camel, trying to come to see a gift of God. No wonder Jesus said she'll rise in the judgment and condemn this generation. See? She might've traveled by night. Daytime she laid up in the oasis and read the Scrolls, the Scriptures, to see what Jehovah was. She finally arrived at the gate.
E-79 She didn't come, say, "Well," like people do today, "I'll go in, set down. If he says one thing that's contrary to my belief, I'll get right up and walk out." That shows ignorance. That's right. But she come to stay till she was convinced. She'd read the Bible; she seen what Jehovah meant, and what Jehovah was, and what Jehovah had promised. She wanted to see if that Jehovah they talked about was in that man.
I imagine her priest told her, said, "Well, now looky here. Here's our great Dagon. Here's our great idol here."
She said, "Yes. My great-great-great-great-great-grandmother served them, and they haven't done nothing but stood there as a statue all the time. They don't breathe; they don't move; there's nothing happened. And they say this God's a living God, doing something." Amen.
E-80 That's it. Amen. I feel kind of religious right now. Yes, a living God, not a dead one. What good's a God that could open the Red Sea if He can't do the same today? What good is a God that could heal a leper in the days gone by, if He can't do the same today? A historical God's no good, if He isn't the same God today. That's right. He is the same God today, yesterday, today, and forever, the same One, only asking the same faith that they exercised.
E-81 Now, she's at the temple. She unpacks out there in the temple yard, put up her tent, put her money back in a corner, put her little eunuchs around to guard it. And the next morning, maybe she got up early, her and her little maids was with her. And they went in and set down, probably way back in the back of the church. And they sang all the songs, and the trumpets blowed and everything, and after while Pastor Solomon came walking out.
How all the people said, "Oh, praise God. There's our pastor." And they walked out, Pastor Solomon on the platform. And she watched that day the very things that she'd heard told taking place.
And day after day she went studying the Scrolls. She waited till her prayer card was called, or whatever it was she had to get up there, her appointment with Solomon. And when she got up on the--there before Solomon, the Bible said that there wasn't nothing hid from Solomon. He revealed everything that she wanted to know.
E-82 Isn't that the same God that was in Christ, that knowed the secrets of the heart? What did she say? She turned (now, being a heathen), she turned, and she said, "All that I heard was right, and more than that." It'd been done to her. You see? She was a witness of it. The same thing that Nathanael and them saw (last night), in Jesus doing the same thing, revealing the secrets of the heart. Here twenty-five hundred years before... No, about eight hundred years before it happened, here stood Solomon doing the same thing that Christ did when He come. It's the same God. You see?
What did she say? "Blessed are those who are with you that see this gift working all the time. Blessed are the men that sets here daily and sees that happening all the time." And she become a believer.
E-83 And Jesus said she'll rise up in the last day and will condemn this generation, because she came from the utmost parts of the earth to see the gift of God in operation and believed it. And people today won't walk across the street. That's right. They won't drive a nice car to the meeting. If anything, they'll make fun of it. And the very Christ predicted that a wicked and adulterous generation that would be seeking for signs would receive the sign of the resurrection. No wonder. What was the matter?
In closing, I say this. She seen something real. That's what real believers wants to see--something real. Remember, the very thing that saves the real believer, condemns and sends to hell the unbeliever. The very water that saved Noah, drowned the unbeliever. The same judgment that saved the believer, killed the unbeliever. The same Spirit today that the believer receives will condemn in the day of the judgment, the unbeliever. See?
E-84 Just a little story to my Indian brethren, and all. I like to hunt. Oh, I just love to hunt. My, my, that's--that's my second nature. My conversion never took that out of me. And I--I'd like to tell you a little story about hunting right here--where God told me exactly (your pastor, Brother Byskal remembers it, Brother Sothmann, back there), where He told me exactly what I was going to do, where I'd go, a caribou I'd get, where he'd be laying, a man would have a green checkered shirt on; and would kill a grizzly bear 'fore I got back. Is that right? Is that right, Brother Sothmann? Hundreds of people I told.
Went right there, and Eddy heard me tell it the day before we left down there. Two days later he stood right there and seen every bit of it come just to pass as I told. I said the horns would be exactly forty-two inches high.
And the guide said, "Forty-two exactly?" Said, "Brother Branham, after..." He said, "Where's that grizzly bear up on top of this mountain?" Said, "Brother Branham, according to what you told me, that you're going to kill a grizzly bear before you get back to where Eddie Byskal is standing with a green checkered shirt on." And his wife had put it in his camp bag, and he told me he didn't even have one.
I said, "Well, then, there's going to be somebody's going to have it, 'cause it's going to be there." And he had that green checkered shirt on.
Said, "Before we get back there?"
"I said that."
He said, "Brother Branham, I had a brother had epilepsy. And you told me when he had this fit again to jerk his shirt off and throw it in the fire, and he wouldn't have any more." Well, he did, and God healed him of it. Now, he said, "Then I can't disbelieve it. But where's that bear going to be?"
I said, "He's Jehovah-jireh. He can provide Himself a bear to make His Word come to pass." And when we was just about half a mile from them (being about three miles from them), when we was about a half-a-mile from them, I was standing.
He said, "Brother Branham, we've just got a half-a-mile further. Where's the bear?"
I said, "Don't you..." I said, "What's that, Bud?" There was a nine foot, silver-tipped grizzly standing up on top of the hill, looking right at me.
He said... we got within five hundred yards. He said, "Brother Branham, did you ever shoot a grizzly?"
I said, "I've shot many bear." He said, "You better shoot him from here."
I said, "No. The vision said I was right up on him."
He said, "Oh, Brother Branham." He said, "Shoot him in the back now," said, "'cause if you don't shoot him in the back, they're great fighters."
I said, "I know. But this one in the vision I shot in the heart."
He said, "Oh."
And I said, "Just keep going, Bud."
E-85 We went over in the other little coulee, and come up, and then we was right close to him, about two hundred yards. I said, "This is just right." I said, "Wait till he looks around." Looked like a big hay stack. He turned and looked at me.
I had a little bitty rifle. And just as he turned and looked at me I shot him right smack in the heart. And here he rolled over the hill like that, as hard as he could come, like that. And Bud stood there, turning white in the mouth. He said, "Brother Branham, I didn't want him on my lap."
And I said, "Neither did I."
He said, "Now, if them horns are exactly forty-two inches when I get down there, I'm going to have a screaming fit."
I said, "You better have it right here, because it's going to be that way."
He said, "I've got a measure in my saddle bag."
And we got down there. The vision said a--a little hand would hold the horns. I pulled up beside of Brother Eddie there. I said, "Now, watch that boy hold that horn." And he went around, and got that tape measure, brought it out, put it down the base of the head. That little hand: his boy, Blaine, held it, went up there.
Bud said, "Mercy, Brother Branham, right smack on the nose, forty-two inches."
I said, "Bud, He never fails. I mean. He tells just exactly, just exactly." Oh, He's God. When we can see something real and genuine... That's what that queen wanted to see, something real.
E-86 I used to hunt with a half-Indian brother of mine. His name is Burt Caul. He's a Britainer, and he lives up here (or Englishman), lives up in New Hampshire. Great hunter. I love to hunt with him. You didn't have to fool about letting him get lost. He knowed his way back. And we... But he was the meanest man I ever seen in my life. That guy was really wicked. He had eyes like a lizard, and he always look at me with them lizard eyes, and scare me to death anyhow.
But he--he used to say to me... He used to shoot little fawns--you know, little baby fawns. Now, it's all right. I've killed fawns when... If the law says you can kill a fawn, kill it. That's all right. Abraham killed a calf and fed it to God. There's nothing in the size of anything or the sex of it. But just to kill them to be mean, that's wrong. You shouldn't do--just kill to be mean.
That's one thing about the Indian. Reason he was the great conservationist we ever had, he took just what he had to use. If he caught more, he turned it loose. The white man was a murderer, he went out and shot the buffaloes out, and so forth, for targets. That's the bad guy in doing things like that.
E-87 But Burt used to shoot them just for fun, to make me--make me feel bad. He said, "You preachers are chicken-hearted." So that's what's a... You know what I (Is that word used up here, chicken-hearted?) Chicken-hearted. Said, "That--that's what's the matter with you preachers."
So one day I went up there. And he'd made him a little whistle, to make it sound like a little baby fawn, with that little brrr. Crying, like it was crying for its mammy.
And I said, "Burt, you--you wouldn't do that."
He said, "Oh, you chicken-hearted preacher." He said, "Billy, you'd be a good hunter if you wasn't a preacher."
But I had to get his game about every fall anyhow (You see?), so I just let him go. So I said, "Burt, you wouldn't do that."
He said, "What's wrong with killing a fawn?"
I said, "Nothing. But just to shoot it to leave it lay there, go over and shoot another one, just to act mean," I said, "that's--that's bad, Burt. You shouldn't do that. That would grow up into a big buck someday, maybe a doe, have many other deer. You might have children someday wanted to hunt," so forth.
"Nah, nonsense," he said, just as wicked as he could be.
E-88 So that day it was way late, and we have the whitetail deer up there. And you talk about Houdini at being an escape artist, he's an amateur from one of them. Boy, he'd be gone like that. You had to be fast, and quick, and a dead shot to hit him. And then, after--after they've been shot at a few times...
So it was kind of late in the season, and we'd hunted all morning, not even a track--about six or eight inches of snow. We always pack a thermos jug full of hot chocolate, where if we got caught out in a storm at night, or something, we'd keep going all right. So... we had a sandwich in our coat.
And it was about eleven o'clock, and I thought, "Well, we haven't even seen a track, nor nothing." Moonlight nights, and they'll eat at nighttime, you know, feed, and go in the day, lay under brush piles, back in the heavy timbers.
And so we was getting up nearly timberline and I thought maybe... Burt was leading the way. And we'd get up on top of the mountain, then he'd separate and go one way, and me the other. And we'd come around, and maybe we'd get in that night or the next morning, one. And if we killed a deer we'd know where to go get him, and so forth, take a horse and go after him. So then I thought...
E-89 He'd come to a little opening about three or four times the size of this building here, and he kind of hunkered down on a snow drift, kind of hunkered. (That word ain't used here, is it?) I'm a southerner. In other words, he squatted? squatted down like this. And he--he got down there, and he went to get back to get in his coat. I thought he was going to get his sandwich, and so I went in after mine. I thought, "Well, we'll separate here. I'll go one way and he the other, and hunt back this afternoon."
And he reached back and he pulled out this little whistle. I said, "Now, Burt..." He looked up at me with them lizard eyes looking at me, and kinda...?... that little sneering laugh on his face. He pulled out that little whistle like that, and he blew it. And when he did, a great big doe stood up just across the way, across that little opening.
I thought, "Oh, oh. Oh, she made a bad move then." Now, that's strange. They won't do that usually. You Indian brethren know that, when they're hunted.
And then, he looked at me and them lizard eyes, and he laughed, and he blew it again. And that mother doe walked right straight out into that opening. Now, that's altogether strange for them there to do that.
E-90 Now, a doe is a mother deer, you know. I could see her great... I get close enough to see her big eyes, them big ears sticking up so graceful. She walked right out there. Now, what was the matter? She wasn't putting on a show. She was a mother. She was borned a mother. The instinct of mother was in her, and her baby was crying. She wasn't cared about fearing anything; she was coming to find her baby.
And we never pair--carry a shell in the barrel. So he put a shell up, a .30-06 hundred and eighty grain mushream bullet--mushroom, and he pulled it up there. And he was a dead shot. And when the--his Model 70 Winchester... And when he pulled the lever down like that, the click of the gun, the deer spooked, looked, and she spotted the hunter. But she never run.
Now, you know that's strange. But she was a mother. Her baby was in trouble, and she was borned a mother, and she was hunting for her baby. And she looked at that hunter, and she--big nose up, looking like that, trying to find her baby. See, she'd heard it cry. She wasn't putting on an act. It was genuine. She was a mother.
E-91 I seen him level down, a dead shot, and I thought, "Oh, my. He will blow her heart plumb through the other side. How can he deceive her like that? How can he be so mean as to do that? blowing that whistle, and getting that mother deer out here and shoot her. Doubtful he'd ever take her in."
And I thought," That loyal heart of that deer will be blowed out of her." And I looked, and I see him leveling down right. And I thought, "As soon as that cross hair in that scope come right across that loyal heart, he'd blow it plumb through her." I turned my back. I couldn't look at it.
I started praying. I said, "Heavenly Father, how can he do it? How can he do it, Lord? And he won't listen to me talking about You." I said, "How can he do it?" And I was there kind of praying to myself behind a bush.
I listened for the gun to fire any minute, but it didn't fire. I waited. It didn't fire. I looked around, and it was going like this. He couldn't hold it no more. He looked around, the great big tears running down his cheeks. His black Indian hair fell down his face. He threw the gun down on the bank, said, "Billy, I've had enough of it. Lead me to that Jesus you're talking about."
E-92 What was it? He saw something real. He saw something that wasn't put on, artificial. He saw the real display of motherhood after her baby, something that was genuine. O God, make all of us that kind of a Christian.
How many in here would like to be the kind of a Christian that that deer was a mother? Your heart, danger, or nothing else, sees something great, see something that's real. Then God, oh, may His blessings...
E-93 Let's bow our heads just a moment. Each one of you in your own heart pray, say, "God, make me that kind of a Christian," just silently to yourself.
O God, our Father, grant unto Thy servants, O Father, pardoning of sin. Hear us as we cry. Bless us now. Reveal our sins to our hearts, and make us real Christians. Let grace and mercy abound in our hearts. Grant it, Lord.
E-94 They saw something real, and they were ready then. They saw something that could not be manufactured. It had to be something that was real. It wasn't a manufactured thing. And we've got a God tonight.
That man is a deacon in a church. Right there on that snow bank, with his arms wrapped around my frozen pant legs, he said, "Billy, there's got to be a God somewhere." Said, "Is there a God that can make me a Christian, as much as that deer is a mother?"
I said, "Yes, Burt. His Name is Jesus. Will you receive Him?"
He said, "With all my heart, Billy, I receive Him."
I knelt down in the snow took the shell out of his gun, put my arm around his neck. There praying together, he received Jesus as his Saviour. That's been about twenty years ago. He's a faithful member of the body of Christ now: wonderful brother.
E-95 Now, while we're praying, how many here in Divine Presence, with your heads bowed would say, "I would like to be that kind of a Christian." Maybe you've never accepted Christ as your Saviour, and you'd say, "God, be merciful to me. I've always wanted to be a Christian, but really, I've never seen nothing that would just make me... nothing real like that. But I really believe that there is a God, and I want to accept Him as my Saviour." Will you raise your hand, say, "Pray for me, Brother Branham." God bless you, sir. Another? God bless you, lady, and God bless you, God bless you, you, and you. God bless you back there, lady. Some another?
Now, you may be a member of a church. I'm not talking about membership. I'm talking about it's you being a Christian, genuine. Death would mean nothing to you. You love Jesus so that He's just you're... You love Him like a mother would love her baby. And you know, you talk about the love that He has for you? He said, "Can a mother forget her suckling babe?" Said, "She might. But I can't forget you. Your names are engraved on the palms of My hands."
E-96 Now, the queen of the south come to see the wisdom of Solomon. Here was Jesus, after all these hundreds of years, was doing the same thing. And they... She said... They... She come to hear Solomon. And here was He with the same gift, only greater, and promised that in this day they would receive the sign of the resurrection. God, make us real. Pray now. God be with you. Just pray, just silently to yourself, saying, "Be merciful, Lord. I now repent of all my sins. I believe on Him."
God bless you, trusting that faith's in your heart. Now, raise your heads. Look this a way. I'm your brother. I've come to tell you the truth. The God that gave the gift to Solomon is the same God tonight. Jesus stood there, being God manifested in the flesh, and showed the people.
Now, the Bible predicts that in the last day the Spirit of God will manifest Itself in the same way. Just before the coming of the Son of God, it'd be like it was at Sodom. You believe that? Now, let the God that you have accepted as your personal Saviour, let Him speak tonight.
E-97 How many of you people here that... I'm going to omit the prayer cards right at this time. How many people here that doesn't have a prayer card? Now, you do not have a prayer card, and you believe that God will heal you. Raise up your hands, say, "I will believe it." All right.
Now, you look this a way just a moment. Being a stranger to you... Now, if Jesus stood here tonight wearing this same suit that He gave me years ago... Now, if you come to Him, and you said, "Lord, will You heal me?" He couldn't do it. He's already did it. You believe that, don't you? "By His stripes..."
But He could prove to you that He was Christ. And the only way you'd know it, not by the way He was dressed, not the scars on Him, but the ministry He would have; He would be the Word. And the Bible said the Word of God is sharper than a two-edged sword, and a Discerner of the thoughts of the heart. Is that right? Now, how many knows that's truth, say, "Amen."
Now, the Bible said that Jesus now is a High Priest that can be touched by the feeling of our infirmities. Is that right? Now, if He's the same High Priest, how about your faith touching Him, and watch and see... Now, if I'm...
E-98 Listen. Do you believe He would have anything to do with a hypocrite? Jesus? No, sir. Do you believe He'd associate Himself in lies? Not our God. No. But our God is responsible for His Word. Is that right? And humbly, He's permitting this to be done, not because He has to, but to show the people that He is God and keeps His promise, God.
Some of you people back there, you Anglo-Saxons, do you believe it with all your heart? Raise up your hand, say, "I believe it. 'Fore I see anything real done, I believe it."
The Indian people, you believe with all your heart? Raise up your hand.
E-99 Now. Now, again, I'm going to ask you. You without a prayer card, raise up your hand. Now, you haven't got a prayer card. Raise up your hand, the white people back there. All right.
Now, I want you to pray. You people back there, pray and say, "Lord Jesus, that preacher doesn't know me. But You know me." Now, you can take your hand down and pray. And say, "Lord Jesus, if You're a High Priest, You let me touch You. And then You turn around," like the woman that touched His garment, and He turned around and said, "Who touched Me?"
And Paul, or Peter said, "Lord," he rebuked Him. "All's touching You."
He said, "But I perceive that I got weak." Virtue, strength went from Him.
Now, if one little woman touching Him, using the gift of God, if one little woman touching Him caused Him to get weak, what about me a sinner saved by grace? But what did He say? "The works that I do shall you do also. More than this shall you do." Now, the King James says, "greater." But the--in the original translation... Nothing could be greater. He healed the sick. He raised the dead. He stopped nature. He done everything. But "more than this shall you do," all around the world (See?), "for I go to the Father."
E-100 Now, you pray. You know what's wrong with you, and you pray. And let... If you've never seen nothing real done, and He will appear here tonight in His Presence... Now, not me and my... No matter how much gift I have, you have to have faith too; 'cause it's your faith that operates it. It's not me.
The woman, she touched His garment and He got weak. That was a woman using God's gift. But when He went away from the house of Lazarus, and went away and was come back, and raised up a man had been dead four days, He never said He got weak then. That was God using His gift. You believe that? 'Cause He said at the grave, you know, "I--I thank Thee, Father, that's already heard me. But for these I said it." See? He said, "I do nothing till the Father showed Me." That's the reason He didn't go back when they sent for Him. Now, pray.
And if I be God's servant... Now, if anybody thinks this is false, come up here and do it. Let's see you do it, if it's false. Pretty quiet... Then it isn't. It's of God. It's God's Bible. Now, you believe. And just believe now, all...
E-101 I'm a nervous... This is eleven straight meetings for me, and I'm just wore out. You know it. Night after night, every night, strength, virtue. And through the day, He will send me down on the corner and say, "Stand here. There'll be a guy come by on a wheelchair." That's the big visions.
These are the little ones. You're causing these. That's the one that God gives, said, "This man comes by, and he did a certain thing at a certain time. He will be pressing around the corner. Just speak to him, and raise him up out of the chair, and go on. Let nobody know who does it." You hear it up here in papers, and things like that. Nobody knows who it is. He sends me down there, says, "Do this." See? That's God using His gift. See, see?
Now, you do it. You use God's gift and say, "Great High Priest of God, let me touch You. And You use Brother Branham to speak to me. And if You'll just tell me what's my trouble, and what... this, or something that in my heart I'm praying for, I'll believe with all my heart." And then you'll be able to say, like the mother deer, like... You'll see something real, like Burt Caul saw.
E-102 Now, here. Here, here it is. Thank You, Lord. Look over this way. How many seen that picture on the paper tonight? You see it? Did he show it here? All right. You know that Pillar of Fire you saw in the paper, there It is. It's standing right there. It's over a little woman, setting way back here towards the back, a little lady. She's wearing glasses. She's kinda thin. She's suffering with an allergy.
Do you believe, sister? You put up your hand a few minutes ago you didn't have a prayer card. You don't got--have a prayer card, do you? Stand up on your feet. Is that what you're suffering with? If that's right, raise up your hand. And if I'm a stranger to you, wave your hand like this. I want to ask you something. Right now you feel a real sweet feeling, don't you? Just real... I'm looking right at that Pillar of Fire circling right around that woman right now. Your faith has made you whole. Jesus Christ... Now, do you believe?